100* Année. — N* 12. NUMERO VljNO* Dimanche 84...
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100* Année. — N* 12. L E NUMERO VljNO*Dimanche 84 Mars 1989.
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LE COURRIER DE L’OISEJOURNAL OE L'ARRONDISSEMENT DE SENLIS
Paraissant ilTp.i r
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SE N L IS p . , iJfci. ^ r . M h r - ’ SEINTILIST É L É P H O ^A o 4
—w " 'directeur Commercial t 1. VIONOH
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Annonce, volontaire».. . . I fr. 25 la ligne. I ** ou 3* P*f!a....................... 2 ti . la llgn«.
Les m anuscrits , insérés ou non, n e so n t pas renaus
En flagrant délit de contradiction
/ MM. les docteurs Roubino- vitch, de Clérambault et Colin, incontestables techniciens des maladies mentales, nous affir
m aient l’autre jour, à propos de la triste histoire du capitaine Hervé Dumas, que « la clarté du raisonnem ent est, chez certains aliénés, un phénomène classique et prouve qu’ils n ’en sont que plus déments. » Voilà qui est judicieusem ent observé. Nous entendons fort bien cela et cela nous tranquillise sur le cas de nos 60.000 Nous savions déjà qu’ils ont bon estomac, nous savons m aintenant qu’ils ont la tête solide car ils n ’ont cu re de la log ique e t se c o n tre d ise n t en le u r p o litiq u e avec la p lu s év iden te désinvolture.
*%:Il s’agit, comme vous savez, des
Congrégations, ou plutôt il ne s’agit pas des Congrégations dans leur ensemble, mais seulement de savoir si l’on autorisera q u e lq u es congréga tions m iss io n n a ire s . Prem ier illogisme, car d’abord to u te s les congrégations sont m issionnaires et servent partout puissamment l’influence française à l ’étranger et celles-là mêmes qu’il ne s’agit point pour le moment d’autoriser comme par exemple les Dominicains et les Jésuites ainsi que plusieurs autres. E t puis, comme l’a fort bien dit le citoyen Frossard il y a là une question d ’ensemble qu’il faudrait avoir le courage d’envisager dans son ensemble. Mais, passons. Il ne s’agit point de réparer une injustice. Courons au plus pressé. Plaçons-nous sur le terrain de la politique extérieure. Il s’agit avant tou t de sauvegarder les intérêts de la France à l’étranger.
Ecoutons M. Marcel Héraud.« O n ne p e u t co n te s te r, d it-il, n i les
services que rendent les missions, ni leur importance. » E t il prévoit une objection à laquelle il répond victorieusement. A ujourd’hui, dira-t-on —« l’esprit anticlérical l’emporte en Chine, en Turquie, au Mexique. Voyons donc s’il est exact que l’influence des missions catholiques recule. Le nombre total des missionnaires et de leurs écoles est, au contraire, en croissance et ce so n t les F rança is qu i, p a r leu r to lérance, p a r leu r absence de p ro sé ly tism e , o n t p u , p lu s q ue tous les a u tres , re s te r d a n s les p a ys a n tic lé r ica u x avec l’accord des g o u vern em en ts . » E t Marcel .H éraud de conclure : « Si nos missions disparaissent, les autres s’accroîtront au grand détrim ent de l’influence française. »
Sans doute, sans doute. Pour ce qui est de la religion même elle sera toujours enseignée mais ce ne sera plus dans notre langue.
M. Henri Lorin expose à son tour l’œuvre d’expansion de nos missions à l’étranger. Il note que nos missionnaires obtiennent partout dans leur enseignement le plus grand succès par leurs méthodes pédagogiques, par l’excellence de leurs manuels, par leur respect absolu de toutes les croyances. Ils sont respectés dans des pays non chrétiens comme le Japon, ou entièrem ent laïques comme la Turquie.
« Ils servent les intérêts spirituels de la France en donnant leur enseignement en français, en séjournant pendant de longues années, quelques- uns même pendant toute leur vie, dans les pays où ils se sont fixés ; ils servent nos in térêts m atériels en faisant connaître nos produits et nos m arques. Leur genre de vie, leur apostolat, leur pauvreté volontaire ne sont-ils pas d’ailleurs éminemment propres à inspirer le respect.
« C’est par leurs exemples surtout qu’ils font la conquête des âmes. »
Et M. Henri Lorin de conclure lui aussi que le problème qui se pose devant le Parlem ent est celui-là même de l’influence de l’expansion française dans le monde.
A’ On ne peut mieux dire et ce sont là des constatations parfaitem ent exactes. Nous ne doutons pas que la Chambre n ’arrive à voter quelques- unes des autorisations qu’on lui propose. Mais il n ’en est pas moins vrai que quelle que soit la solution adoptée, elle dem eurera incomplète et insuffisante, parce que nos parlem entaires ont sur la question des idées absolum ent contradictoires.
Il y a en effet contradiction flagrante à reconnaître aux Congréganistes, les qualités les plus hautes et les plus bienfaisantes quand ils travaillent à l ’étranger et à les leur refuser lorsq u ’ils se trouvent en France.
Nous nous comportons ici comme cet industriel ou ce commerçant qui
ferait à l’E tranger une réclame formidable pour des produits considérés comme nettem ent inférieurs dans leurs pays d’origine.
Puisqu’il s’agit de l’influence fran çaise et d’un problème de politique extérieure, nous nous exposons ainsi à faire piètre figure auprès des E trangers qui peuvent à tout moment nous enfermer dans ce dilemne : Ou bien vous nous envoyez des indésirables et vous êtes de malhonnêtes gens, vous nous considérez comme des inférieurs ou des sauvages, — ou bien vos missionnaires ont les qualités que vous dites et que nous leur reconnaissons — qualités de compétence, de technicité, de dévouement, de tolérance, d’absolu désintéressem ent et de haute bienfaisance morale et alors — de les chasser de chez vous, vous êtes de rudes imbéciles.
Choisissez, M essieurs. Si vous ten ez à ce que la France continue à faire b o n n e figure d a n s le m onde , il fa u t asseoir sa propagande sur autre chose qu’une inconséquence qui risque bien suivant les cas de passer pour de la sottise ou de la déloyauté.
LA MORTdu glorieux Maréchal FochUn des plus grands Français que la
France ait connus, vient de disparaître, écrit M. Louis Madelin, de l’Académie Française.
La plus grande figure de la guerre vient d’apparaître au seuil de l’im mortalité. Le voilà parti, rappelé à Dieu, en qui il communiait dans une foi si profonde, écrit le maréchal Lyautey.
Foch fut un grand soldat et un grand Français, ‘déclare Von Seek, ancien chef d’état-major de l’armée allemande.
Foch a été le plus grand des hommes dans la plus grande des guerres que le monde ait jam ais connues, dit l’amiralJL.oi*d Beatty.
Le maréchal Foch n ’est plus !Découvrons-nous.Il a sauvé la France. Il a sauvé l’hu
manité.4*
Le glorieux maréchal Foch, on le sait a séjourné dans notre ville en 1918, dans l’ancienne maison de M. Georges Fautrat, rue Bellon et c’est de là qu’il partit à Rethondes imposer ses conditions à l’Allemagne vaincue.
Dans une proclamation qu’il adressait à la population, le 12 novembre 1918, M. de Parseval, adjoint, disait :« Si la Ville de Senlis n ’a pas vécu le dernier acte de la grande guerre, elle a eu du moins, l’insigne honneur d’avoir pour hôte, pendant les jours à tout jam ais historiques, des prélim inaires de l’armistice M. le maréchal Foch. » C’est dans ses m urs que l’illustre chef des armées alliées a perçu les échos réconfortants de la France victorieuse.
Le 17 novembre 1918, le maréchal Foch assistait dans notre vieille Cathédrale, à la messe commémorant la victoire des armées alliées et la délivrance de l’Alsace-Lorraine et Mgr Dourlent, dans un magnifique discours rendait hommage à la bravoure et à la science du Maréchal, et aux Officiers et Soldats, qui s’étaient révélés d’ardents et dévoués défenseurs.
Le 13 décembre 1918, le Conseil Municipal décidait de donner le nom du Maréchal Foch, à une voie de la ville, afin d’honorer un de ceux qui avaient grandement contribué à la victoire des alliés.
Le 23 février 1928, M. le Dr Chastel transmettait à M. le Maire, une proposition d’adresse de sympathie et de vœux de guérison au Maréchal Foch (que nous avons publiée) demandant de la faire sienne et d’en demander le vote à l’assemblée communale.
Elle était votée à l’unanimité et transmise à M. le maréchal Foch, qui le 8 m ars suivant, adressait à M. le Maire, une , lettre ainsi conçue :
« Monsieur le Maire,« Le maréchal Foch a été très touché
des vœux affectueux que vous lui transmettez de la part du Conseil Municipal de Senlis.
« Vous savez assez quels liens l’attachent à votre glorieuse ville pour deviner combien peuvent être sincères les remerciements dont il me charge pour vous et tous ceux qui se sont associés à votre pensée.
« Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’assurance de ma considération la plus distinguée.
« Signé : Illisible.’« Officier d’ordonnance
du Maréchal Foch. »
Dès qu’elle apprit le décès du glorieux maréchal Fach, la Municipalité a immédiatement adressé le télégram me suivant à Madame la Maréchale Foch :
« La Ville 'de Senlis profondément « attristée de la mort de l’illustre Mali réchal, adresse à Madame la Maré « chale Foch, ses plus respectueuses « condoléances.
« Signé : Louis E s c a v y , maire, G a zea u , D e m o in e t , L o u â t , adjoints.
D É P U R T E W TNos Députés
Séance du 14 mars 19%)Scrutin sur la discussion immédiate
des projets concernant les congrégations. (Le gouvernement avait posé la question de confiance).
Pour l’adoption...............S 323Contre ............................ : 254
Ont voté pour : MM. Bctateille etFournier-Sarlovèze.
Ont voté contre : MM.'iAubaud,Schmidt, Uhry et Vassal.
Conseil départemental d’hygièneLe Conseil départemental d’hygiène
de l’Oise s’est réuni le 13 mars 1929, à la Préfecture, sous la présidence de M. le Préfet. Il a notamment étudié les questions suivantes :
T u e r i e p a r t i c u l i è r e à V i l l e r s - S a i n t - Frambourg.
Agrandissement du cimetière de Vi- neuil-Saint-Firmin.
Lutte anti-vénérienne dans le département en 1928.
Adduction d’eau potable à Gouvieux, etc...
Le 1er Pas DunlopL’éliminatoire de l’Oise aura lieu à
Beauvais le 7 avril, elle est ouverte aux jeunes gens de nationalité française n ’ayant encore possédé aucune licence de coureur cycliste, âgés de 15 ans au moins et 18 ans au plus au 1er avril.
Itinéraire : Beauvais, Tillé, Le Bois Saint-Martin, Noirémont, Froissy- Cré- vecœur-le-Grand, Notre-Dame-du-Thil, Beauvais, soit 52 kilomètres.
Dossards de 9 heures à 11 heures et de 13 heures à 13 heures 30, au Café de l’Oise, 21, rue de Calais, à Beauvais.
Rassemblement à 13 heures 45 devant l’Hôtel de Ville de Beauvais.
D épart en g roupe à 14 heures, m êm el ieu
Départ définitif à 14 heures 15,’ au Carrefour des rues de Calais et d’Amiens.
Arrivée rue de Calais face au Café de l’Oise. Vestiaire : Café de l’Oise.
Aux dix premiers, une paire de boyaux et une Médaille de bronze offerts par la Société Anonyme des Pneumatiques Dunlop.
Engagement 3 francs, donnant droit à la licence de débutant, reçus chez M. René Cocu, sous-délégué sportif, 14, faubourg Saint-Jacques, à Beauvais.- ♦ — -----------------------
Convocation des Réservistese n 1 9 2 9
SERONT CONVOQUES EN 1929a) Officiers
Tous les Officiers de réserve des classes 1923 et 1924 qui n ’auront pas été convoqués en 1928.
Les Officiers de réserve de la classe 1925, titulaires du grade de sous-lieutenant avant le 1er juillet 1926.
Les Officiers de réserve des classes 1920, 1921 et 1922 qui, ajournés antérieurement, n ’ont pas effectué leur période d’exercice en 1928.
Un nombre important d’Officiers de réserve de classes plus anciennes que la classe 1920, proposables pour l’avancement.b) Sous-Officiers et Hommes de troupe
Les réservistes appartenant à la classe 1923, c’est-à-dire nés entre le 1er janvier et le 31 décembre 1903 et ceux qui, par le jeu de la loi de recrutement suivent dans les réserves le sort de cette classe (engagés, sursitaires, omis, naturalisés, etc.).
Les réservistes des classes 1920 et 1922, qui par suite d’ajournement, n ’ont pas effectué leur période en 1928.
Les.sous-officiers de réserve n ’appartenant pas aux catégories ci-dessus, désireux de préparer le brevet de chef de section ou de concourir pour ce titre et volontaires pour une convocation.
SERONT DISPENSES DE LEUR PERIODE EN 1929
Officiers, Sous-Officiers et Hommes de troupe
Les réservistes classés dans le service auxiliaire.
Les affectés spéciaux.Les réservistes ayant établi leur ré
sidence à l’étranger. ,Les réservistes pères d’au m oins*
enfants vivants.Les réservistes ayant, au cours de
leur service actif, accompli un séjour m inimum de trois mois sur un théâtre d’opérations extérieur.
Les réservistes ayant pris part à des opérations de guerre sur un théâtre d’opérations extérieur, même s’ils n’y ont pas séjourné trois mois.
Les réservistes non Officiers ayant accompli au moins cinq ans de service actif.
Les réservistes, agents de chemin de fer, en instance de classement dans l’affectation spéciale.Ajournements et changements de série
L’ajournement est le report de la période à l’année suivante en cas de force majeure.
Le changement de série est le report de la période à une autre époque de la même année.
Les demandes d’ajournement doivent être remises à la Gendarmerie.
Les demandes de changement de série doivent êtfe adressées au Commandant du corpsfie troupe où le réserviste est convoqué.
Les réserviâes appelés à faire une période pourront faire connaître à leur chef de corps ou de service (celui in- diqué sur le fascicule de mobilisation joint au livret individuel, l’époque à laquelle ils préfèrent être convoqués. Il leur sera donné satisfaction dans la mesure du possible.
Soldions de famille| Les réservistes qui estiment avoir des droits à l’allocation réservée aux soutiens de famille devront, s’ils ne l’ont |é jà fait, adresser immédiatement leur |e[nande au maire de leur commune.I Réservistes de l’armée de merViles r é s e rv is te s de l ’a rm é e d e , m e r
.4.• « u n e p é r io d e s e ro n t co n - vi /Mises in d iv id u e lle m e n t.
Affiches de renseignements Des affiches de renseignements sont
apposées dans toutes les communes. Les réservistes convoqués ont intérêt à les lire attentivement.Dates des convocations
dans la 2e région1° Infanterie. — Centre de mobilisa
tion d’infanterie n" 21 et 67e régiment d’infanterie : 20 mai au 9 juin ; 19 août au 8 septembre ; 4 au 24 novembre.
Centre de mobilisation d’infanterie n° 22 et 51e régiment d’infanterie : 10 au 30 juin ; 19 août au 8 septembre ; 4 au 24 novembre.
Centre de mobilisation d’infanterie n° 23 et 91e régiment d’infanterie : 10 au 30 ju in ; 4 au 24 novembre.
2° Cavalerie. — Centre de mobilisation de Cavalerie n° 2 et 22 et 12e régiment de Chasseurs : 8 au 28 avril ; 29 juillet au 18 août ; 19 août au 8 septembre ; 16 septembre au 6 octobre ; 4 au 24 novembre.
Centre de mobilisation de Cavalerie ^ 22 (Spahis) : 26 août au 15 sep-
. o° Artillerie. — Centre de mobilisation d’Artillerie n* 102 et 101e régiment d’Artillerie Lourde : 8 au 28 avril.
Centre de mobilisation d’Artillerie n° 2* et 17e régiment d’Artillerie de campagne : 8 au 28 avril ; 20 mai au 9 j uin ; 15 juillet au 4 août ; 6 au 20 août ; 19 août au 8 septembre ; 4 au 24 novembre.
Centre de mobilisation d’Artillerie n° 302 et 301e régiment d’Artillerie portée : 8 au 28 avril ; 29 mai au 18 juin ; 24 juin au 14 juillet ; 15' juillet au 4 août ; 19 août au 6 septembre ; 4 au 24 novembre.
Bataillon Ouvriers d’Artillerie : 8 au 28 avril ; 20 mai au 9 juin ; 10 au 30 juin ; 1er au 21 juillet ; 19 août au 8 septembre ; 4 au 24 novembre.
4e Train des équipages. — Centre de mobilisation du Train n ' 2, 2“ Compagnie autonome du Train : 14 séries é- chelonnées du 8 avril au 29 décembre.
5° Aérostation. — Centre de mobilisation d’Aérostation n" 1 : 17 ju in au 7 juillet ; 4 au 24 juillet ; 15 juillet au 4 août ; 22 juillet au 11 août ; 8 au 28 août ; 7 au 27 octobre.
i6° C. O. A. — 2e Section de C. O. A. : T Bcries échelonnées du 13 mai au 24 novembre.
7° Infirmiers. — 2e section d’infirmiers : 6 séries échelonnées du 20 mai au 24 novembre.Dates des convocations
dans la 1re région1° Infanterie. — Centre de mobilisa
tion d’infanterie n° 11, 12, 110e régiment d’infanterie, 43e régiment d’in fanterie : 27 mai au 16 juin ; 1er au 21 juillet ; 16 septembre au 6 octobre.
Centre de. mobilisation d’infanterie n° 13, 1er régiment d’infanterie : 27 mai au 16 juin ; 1er au 21 juillet ; 2 au 22 septembre.
Centre de mobilisation de Chars n° 509, 509e régiment de Chars de combat : 27 mai au 16 ju in ; 1er au 21 juillet ; 23 septembre au 13 octobre.
2“ Cavalerie. — Centre de mobilisation de Cavalerie n° 1 : 19 août au 8 septembre.
3° Train. — Centre de mobilisation du Train n° 1 : Séries échelonnées du 8 avril au 13 octobre.
4° Artillerie. — Centre de mobilisation d’Artillerie n° 1 ,15e régiment d’Artillerie de campagne : 8 au 28 avril ;
p-gQiau 20 ju in ; 20 septembre au 10
de mobilisation d’Artillerie n ° 1, Défense contre Avions : 5 au 25 août ; .19 août au 8 septembre.
Centre de mobilisation d’Artillerie n " 301 : 24 ju in au 14 juillet ; 19 août au 8 septembre.
l re Compagnie autonome d’ouvriers d’Artillerie : 8 séries échelonnées du 8 avril au 3 novembre.
5° Génie. — Centre de mobilisation du Génie n ” 3, 3e Génie : 13 mai au 2 juin ; 10 ju in au 30 ju in ; 8 au 28 juillet ; 2 au 22 septembre ; 23 septembre au 13 octobre.
6° i ” Section de C. O. A. : Les dates seront indiquées ultérieurement.
7° Infirmiers. — l re Section d’Infir- | puiers : 27 mai au 16 juin ; 1er au 21 £ juillet ; 2 septembre au 22.septembre.
A travers SenlPharmacie ouverte i
‘D im anche 24 Mars Pharm acie Lesage, place H enri-I V.
lia fîort du Jïaréehal poehUn deuil national
Nous avons reçu de diverses Sociétés locales, Anciens Combattants, Médaillés militaires, Jeunesses Patriotes, Union Catholique, etc., différents communiqués au sujet de la mort du glorieux m aréchal Foch.
La Municipalité de Senlis avait déjà pris les devants pour rendre un hommage mérité à ce grand soldat, et voici la proclamation qui a été affichée sur lesm iurs de notre Ville :
CHERS CONCITOYENS,La mort du Maréchal Foch est un
deuil National qui frappe, plus que toute autre, notre Ville.
Qui de nous pourrait oublier que le grand Chef qui disparaît vécut à Senlis au milieu de nous, avec l’admirable simplicité que nous lui avons connue ; qu’il eut à Senlis son Grand Quartier Général d’où partirent les ordres fa m eux que l’illustre généralissime des armées alliées adressait aux millions de soldats que la confiance de cinq grandes Nations avait placé sous ses ordres et que par son génie et sa ténacité, il conduisit à la victoire.
Aussitôt que la triste nouvelle fu t connue, la Municipalité fit mettre le drapeau en berne à la Mairie et adressa par télégramme ses respectueuses condoléances à Madame la Maréchale Foch.
En même temps elle réclamait pour la Ville de Senlis, l’honneur d’être officiellement représentée aux obsèques nationales que le pays allait faire au grand artisan de la victoire.
La Municipalité convie les habitants a s ’associer à. ces sen tim en ts de deuil et de tristesse.
Le Maréchal Foch aimait Senlis ; il n avait pu se soustraire au charme de notre vieille cité ; et ceux qui l’ont approché savent qu’il y avait laissé un peu de son cœur.
La Municipalité convie les habitants à décorer leurs maisons du drapeau national cravaté de deuil le jour des obsèques qui auront lieu le mardi 26 mars.
La Municipalité se préoccupe d’organiser à la Cathédrale de Senlis, d’accord avec Monseigneur Dourlent, un service funèbre auquel seront conviées toutes les Sociétés locales.
Louis E s c a v y , Maire.
H. D e m o in e t , 2“ Adjoint.
Eugène Gazeau, / " Adjoint.
F. L o u â t ,3e Adjoint.
Une audience solennelle au Tribunal de Commerce
Vendredi dernier, une audience solennelle a été tenue au Tribunal de Commerce à l’occasion de l’installation dans leurs fonctions de juges titulaires de MM. Mercereau et Bailly et de juge suppléant de M. Camus.
M. Soualle, le distingué Président de cette juridiction a présidé, entouré de MM. Sommaire, juge et Moquet, suppléant.
MM. Mercerqau, Bailly et Camus, faisaient face au Tribunal.
MM. les A vocat; et Avoués étaient présents ou représentés.
Plusieurs personnalités avaient bien voulu honorer de leur présence cette audience solennelle ; MM. Vivien et Lepape, anciens présidents, MM. Paul- vé, sous-préfet, Demoinet, adjoint, représentant la Municipalité, Bascher, président de l’Union Commerciale et Industrielle de Senlis et Région, M. Valdener, juge de Paix, M. le Directeur de la Banque de France, MM. Gaillat et Lenoir, huissiers, les représentants de la presse.
L’audience solennelle ayant été déclarée ouverte, M. Soualle a prononcé l’allocution suivante :
« Après avoir installé dans leurs fonctions de Juges titulaires, M. Mercereau et M. Bailly, et de juge suppléant, M. Camus, permettez-moi avant de reprendre nos travaux, de dire combien le Tribunal est heureux de l’élection, de nos collègues, de nos amis, et de nos collaborateurs de longue date.
« C’est avec une grande joie que nous voyons revenir parm i nous, M. Mercereau qui pendant de nombreuses a n nées a déjà appartenu à notre Tribunal.
« Forcé par les rigueurs de la loi, qui régit les fonctions des m agistrats consulaires, il a quitté le Tribunal au moment où, grâce aux années passées au milieu de nous, il avait acquis une expérience et une science juridique qui toujours nous étaient utiles et parfois indispensables.
« Aussi notre joie a-t-elle été très grande, quand, cédant aux sollicitations de ses nombreux amis, et déférant à l’invitation du Tribunal, il a accepté de poser sa candidature, candidature du reste confirmée par tous les électeurs qui ont bien voulu voter,
i « Mercereau, du, reste, pendant l’in
tervalle écoulé entre son départ forcé du Tribunal, et sa rentrée, a encore augmenté sa science juridique ainsi que son expérience des affaires.
« Suppléant de la justice de Paix, poste auquel nous1 l’avons arraché aux grands regrets de son chef, qui je l’espère, voudra bien nous pardonner notre insistance, Président fondateur de l’Union Commerciale de Crépy, Membre de la Chambre de Commerce de l’Oise, écrivain économiste et fiscal distingué, il nous apporte science, expérience et dévouement, auxquels, nous le savons, nous ne ferons jam ais appel en vain.
« M. Bailly, un vétéran du Tribunal, qui a voué un culte fidèle à notre grande famille consulaire, M. Camus, un juge sur lequel on peut compter en toutes circonstances, ont leur 'm andat rçnou- velé pour une nouvelle période d'ê deux
« Nous n’osons vanter les mérites de nos deux collègues, car tous les connaissent de longue date et les apprécient ; qu’il no u s. suffise de nous réjouir du renouvellement de leur m andat, ce qui donne au Tribunal deux auxiliaires compétents et très expérimentés.
« A cette satisfaction de voir notre Tribunal reconstitué comme nous le désirions, vient se joindre une véritable tristesse causée par le départ de M. Sommaire, qui, suivant une loi que nous ne saurions trop critiquer, est forcé d’abandonner son siège au moment, où il était désigné pour nous donner une collaboration inappréciable.
« Là, nous pouvons vous faire un reproche bien mérité.
« Pourquoi l’année dernière, n ’avez- vous pas voulu accepter la Présidence pour laquelle vous étiez tout indiqué ?.
« Le Tribunal ne serait pas privé aujourd’hui d’un de ses membres qualifié comme un des plus éminents et des plus érudits.
« Vous n ’avez pas voulu céder, nous n ’avons eu qu’à nous incliner, mais à cette, audience vous ne nouvez nous empecher ae vous aire -ce que nous pensons de vous.
« Pendant votre séjour au Tribunal, séjour beaucoup trop court, vous avez conquis l’estime et l’amitié de tous. Rompu très rapidement aux travaux de l’audience, vous y avez apporté im médiatement la sagacité d’un esprit pénétrant, une grande rectitude de jugement basée sur un raisonnement rigoureux, sur des vues sages dont l’exposé em pruntait surtout la précision à la précision de la pensée. Nous ne pourrons jam ais oublier le charme de nos délibérés, où vous souvenant des moindres arguments posés par les avocats, vous nous donniez votre avis documenté.
« Aussi espérons-nous que si vous quittez le Tribunal, vous ne l’abandonnez pas. Revenez-y, revenez-y souvent ; à vous comme à nos anciens, nous avons besoin d’avoir recours et les liens de notre famille consulaire ne seront jam ais rompus.
« Nous espérons revoir bientôt parmi nous notre excellent collègue M. Dri- vière et lui transmettons nos meilleurs vœux de rétablissement.
« Nous adressons notre témoignage de satisfaction à tous les auxiliaires du Tribunal, aux agréés et aux avocats dont. les plaidoiries si intéressantes nous font toujours paraître les audiences trop courtes ; nous faisons des souhaits pour que Me Chastaing, victime d’un accident, reprenne bientôt sa place à la barre.
« A notre Greffier, M. Gavenc, et à son collaborateur, M. Gaillat, qui rem plissent avec tant de zèle la besogne ingrate du Tribunal.
« Nous remercions les personnalités présentes à cette audience, et tout particulièrement nos anciens collègues et nos anciens Présidents, MM. Vivien et Lepape, qui savent qu’une place leur est toujours réservée au foyer consulaire, et qu’en venant l’occuper, ils nous apportent par leur présence une douce souvenance du passé. »
L’audience solennelle ayant été levée, Messieurs les Magistrats consulaires se sont retirés en Chambre du Conseil où ils ont reçu les compliments des assistants.
Le Courrier de l’Oise est heureux d’y joindre les siens les plus respectueux.
Médaillés MilitairesEn raison du décès et des obsèques
de M. le Maréchal Foch, Président général de la Société des Médaillés militaires, le déjeuner amical qui devaitavoir lieu pour la 400e Section, le 24 m ars courant, à l’Hôtel Ridard, est reporté au 21 avril 1929 même heure et mêm e lieu.
Tableau de Concours pour la Légion d’honneur
année 1 9 2 9MM.
Jeâniïerod Bernard-Charles-Marie- Philippe, capitaine au 11e régiment de Chasseurs.
Lemaire Henri-Gustave, lieutenant au 4* régiment de Spahis marocains.
De Ferron Geoffroy-René-Marie-Jo- seph, capitaine au 8e régiment de Dragons. -r- < —
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CRÈMESIMON
A r t . 13.
TRIBUNAL DE c o m m e r c e DE SENLIS
Ouverture Vérifications
. A ^ „ créanciers de 1» faillite LARCEBEAU Denis, maréehal- ^ \ " / > n . à tJlly - Saint - G eorges, sont invités à se trouver le Vendredi 29 M ars 1929, à d ix heures
demie du m atin, au Greffe du nbunai de Commerce de Senlis
(>P ?ce Saint-Pierre, P°ur la première vérification et l ’affirmation des créances.
*477Le Greffier,
GAVENC.
Aay. 14.ABUNAL DE COMMERCE
DE SENLIS
GlOtun pour insuffisance (TactilPar jugement en date du 5 mars
1921, le Tribunal de Commerce de Senlis a, s tr requête du syndic, déclaré clôturées les opérations de la faillite REBOISY, poissons, vins et épictne à Chantilly, pour insuftisanueifiactit'.
Le*476
Greffier,GAVEiNC.
A N N O N C E S J U D IC IA IR E S
Asw. 1**
Etudes de M» G eorges MORANDavoué à Senlis
et deM® Eugène GAZEAU, notaire à Senlis.
TENTE SDK LICITATIONDE
U N E MAISONA USAGE DE COMMERCE
s i s e à. B R A Y com m une de RULLY
sur la Place
a v e c C irc o n s tan c e s e t D épendancesplus amplement désignée ci-après
L'adjudication aura lieu le Jeu d i 1 8 A vril 1 9 2 0 , à quatorze heures, en la Salle d’Ecole de Bray, commune de Rully, par le ministère de M® Eugène GAZEAU, notaire à Senlis, commis à cet effet.
En exécution d'un jugem ent rendu par défaut par le Tribunal civil de l’Oise, section de Com- piègne, le neuf janvier 1929, enregistré.
E t aux requête, poursuite et diligence de ;
Mme Alice Barbiot, épouse assistée et autorisée de M. 6 , Réty, contremaître d’usine, avec lequel elle demeure à Breuil-le-Vert,« agissant comme exerçant confor- « m o m e n t a l ’a r t i c l e 1166 d u C o d e « civil les droits de M. André- « Albert Bellard, leur débiteur, et « Mme Julia-Eléonore Roussel,* veuve de M. Clet-Gustave Bêlai lard, caution solidaire de son fils a sus-nommé ».
Poursuivants la vente.Ayant pour avoué constitué M*
Georges M orand, dem eurant à Senlis.
En présence ou eux dûment appelés de :
i»“t Mme Julia-Eléonore Roussel, dem eurant à Nogent-sur-Oise, veuve de M. Clet-Gustave Bellard; 2*n* M. André-Albert Bellard, dem eurant 4 Saint-Quentin, Chemin de Fayet, iieudit Chemin aux Pourceaux ; 3'“* Mme Fernande- ,Claire Bellard, épouse de M. Paul jflernu, avec lequel elle demeure A P&ris, rue Morand, n“ 13 ; 4**' M. jPepl Hernu dem eurant à Paris, «lue Morand, n° 13, « pris en* tan t que besoin en son nom per- « sonnel e t pour l’assistance et « l’autorisation nécessaires à la « dame son épouse et valider la « procédure » ; 5'»* Mme Made- iefne-Obéline Bellard, épouse de M. Chambrelant, avec lequel elle dem eure à Nogent-sur Oise ; 6“ * e t M. Chambrelant, ouvrier d’uèi- oe, dem eurant à Nogent-sur-Oise, « pris en tan t que besoin en son « nom personnel et pour assister « e t autoriser la dame son épouse a e t valider 1a procédure ».
Présen ts à la vente.N’ayant pas d’avoué constitué.Il sera, le Jeudi d ix -h u it 4 vril
1929, à quatorze heures, en la Salle d’Ecole de Bray, commune de Rully, par le ministère de M* Gazeau, notaire à Senlis, commis A c e t effet, procédé à la vente sur licitation, aux enchères publiques, au .plus offrant et dernier enchérisseur, à l’extinction des feux, de â’immeuble dont la désignation su it :
DÉSIGNATION & MISE A PRIX d e l’Im m eub le â m n d r e
Une M alson à usage de commerce de marchand de vins et débitant, située à Bray, commune de Rully, sur la Place, élevée partie sur terre-plein et partie sur caves d’un rez-de-chaussée comprenant : salle de café, petite salle de débarras, cuisine séparée .en deux parties par une cloison vitrée e t dans l’une desquelles a iôté ouvert un magasin d’épicerie, «chambre à la suite.
Mansarde et grenier au-dessus.Cour derrière avec entrée de
cave extérieure.Au foed, hangar, cellier et re
mise.De l’autfe côté, petit jardin clos
de m urs paraissant mitoyens avec basse-cour.
P orte cochère donnant sur la rue de l’Eglise.
Le.tout joignant par devant la place, d’un côté M. Fouquet, par derrière M. Coimet, et d’autre côté la rue de l’Eglise.
Cette m aison est louée p o u r une durée de n e u f années à com pter d u cinq avril 1925, m oyennan t u n loyer annuel de n e u f cents francs payable par trim estre .
fllise A prix : 6 .0 0 0 fr.
En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M* Gazeau, notaire à Senlis, et déposé en son Etude où toute personne peut en prendre connaissance, l’immeuble ci-dessus désigné sera mis en vente sur la mise à prix sus- énoncée, fixée par le jugement précité.
Fait e t rédigé par l’avoué poursuivant soussigné.
A Senlis, le 21 mars 1929.(Signé) MORAND.
Et enregistré.
S'adresser pour les renseignem ents :
A M» G eorges M orand, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;
E t à M9 Eugène Gazeau, notaire à Senlis, rédacteur e t dépositaire du cahier des charges, 2449
Art 2Etude de M» G eorges MORAND
avoué à Senlis.
Séparation de Biens
Assistance judiciaireDécision du 23 Février 1929.
D’un exploit du ministère de M* Malapert, huissier à Creil, en date du vingt-deux mars 1929, enre gistré, il appert : Que Madame REVAUX Alice, épouse de M. GAYOT Marcel, garagiste, avec lequel elle dem eure à Creil, rue de la République, n° 74, a formé sa demande en séparation de biens con tre M. GAYOT. sonmari, e t M* Chastalng, avoué-agréé à Senlis, syndic de la faillite du dit sieur Gayot, et que M* Morand, avoué à Senlis, a été constitué sur la dite demande.
Senlis, le vingt-trois mars 1929. Signé : MORAND.
Et enregistré. 2468
Au profit de Madame Jeanne- Hélène-Athénaïse JARRY, épouse de Monsieur Louis-Auguste LE PORTIER, ancien négociant en grains, avec lequel elle est domiciliée de droit mais autorisée à résider et résidant de fait à Senlis, 4, rue Rougemaille.
E t par défaut contre Monsieur Louis-Auguste LE PORTIER, ancien négociant en grains, demeurant à Senlis ci-devant, et actuellement à Vic-sur-Aisne (Aisne), 28, place de la Mairie.
Il appert :Que le divorce a été prononcé
de piano d’entre les époux Le Portier - Jarry , au profit de la femme et aux torts du mari.
Pour extrait :Signé : CHASTAING.
E t enregistré. 2450
A r t . 6 .
A T EL IE R S BURTONN o g e n t-su r-O ise
Société Anonyme au capital de 1.200.000 francs
Avis de ConvocationAMessieurs les Actionnaires de
la Société Anonyme des Ateliers BURTON, dont le siège social est à Nogent-sur-Oise, sont convoqués pour le J e u d i 2 5 A vril 1 0 2 9 , à quinze heures, 68, rue des Marais, à Paris, en Assemblée générale ordinaire.
ORDRE DU JOUR :1* Rapport du Conseil d’Admi
nistration.2° R a p p o r t d u C o m m is s a ir e d e s
Comptes.3“ Approbation des Comptes de
l’exercice 1928.4° Quitus aux Administrateurs.5" Réélection ou nomination du
Commissaire des Comptes.
A r t . 3
Etude de M* G eorges MORANDmmmA A fl fTMirÜrfi 8PY En
DIVORCEAsslstanoe Judiciaire
Décision du 29 Octobre 1921
D’un jugem ent rendu par le Tribunal civil de l’Oise, section de Compiègne, le dix-sept octobre 1928, enregistré, au profit de Mme LIENARD Mathilde - Eugénie , épouse de M. POTIER Marcel Victor, avec lequel elle demeure de droit, mais autorisée à résider et résidant de fait à l’Isle-sur- Doubs, Grande Rue, n° 34, et par défaut contre M. POTIER Marcel- Victor, maçon, demeurant à Au- tfaeuil-en-Valois, il appert : Que le divorce d’entre les époux Potier-Liénard.
Messieurs les Actionnaires désirant assister à l’Assemblée sont irévenus q u e , conformément à 'article trente-trois des statuts,
les actions au porteur doivent être déposées cinq jours au moins avant la date de TAssemblée, au Siège social, ou qu’ils ont à faire parvenir, soit le récépissé de dépôt y afférent, soit une lettre d’un établissem ent de crédit, banquier, agent de change, notaire, attestant que les titres resteront immobilisés jusqu’au lendemain de ladite Assemblée.
Tous Actionnaires ayant droit de voter à l ’Assemblée générale peuvent se faire représenter par un mandataire, pourvu que celui- ci soit lui-même actionnaire et membre de l’Assemblée; dans ce cas les pouvoirs doivent être déposés au Siège Social au moins deux jours à l'avance, conformément aux term es de l ’article trente-cinq des statuts.
Le Conseil d 'A dm in is tra tion . 2458
Pour extrait :MORAND.
Et enregistré. 2456
A r t . 4.
Etude de M* Guet©® LOIR, avoué à Senlis,
43, rue de la République.
Assistance JudiciaireA dm ission du 30 Ju in 1928
D’un jugement rendu par défaut par le Tribunal civil de l’Oise, section de Compiègne, en date du tro is octobre 1928, enregistré.
Entre Monsieur Mareeau-Gaston MAHIEUX , oharretier, demeu rant à Apreiaont.
E t Madame Jeanne-M arcelle- Isabelle HERMAL, épojise de M. M arceau-Gaston MAHIEUX, avec lequel elle demeure de droit, mais résidant de fait séparément à Apremont.
Il appert ;Que le divorce a été prononcé
d’entre les époux Mahieux-Her- mal, à la requête et au profit du mari.
Pour extrait :2451 Signé : G. LOIR.
A r t . B.
Etude de M« L. CHASTAINGavoué à Senlis.
Extrait de jugem ent de Divorce
D’un jugem ent contradictoirement rendu par le Tribunal civil départemental de l’Oise, section de Compiègne, le trojs octobre 1928, enregistré.
A r t . 7.
Etude de M» BOILEAU, notaire à Nanteuil-le-Haudouin.
Dépositaire des archives de l’Etude de Baron.
Suivant acte reçu par M“ Boi- leau, notaire, le 26 février 1929, enregistré à Nanteuil, le 7 mars suivant, folio 165, case 845, Mme Joséphine PEPIN, demeurant à Ermenonville, veuve de M. Alfred BERY, a vendu à M. Louis W IL- LEMIN, peintre, et Mme Elise LENGLET, son épouse, de Ver, le fonds de com m erce de pein tu re e t v itre r ie , exploité à Er-
înonville, par feu M. Béry, com- enant : ren se ig n e , le nom
commercial, la clientèle et l’achalandage, le matériel et les m archandises qui en dépendent.
Entrée en jouissance: 1 " février 1929.
L’insertion au Bulletin Officiel a été faite le 16 mars 1929.
Oppositions dans les dix jours de la présente insertion, à l’Étude de M° Boileau, notaire.
Pour deuxième insertion 2422 BOILEAU.
Art. 8.
de M* VIDY» notaire à Cfcantttty.
DEUXIEME INSERTION
Suivant procès-verbal d’adjudication dressé par ledit M” Vidy, le 16 février 1929, enregistré à Creil (A. C.), le 1** mars 1929, volume 329 bis, folio 113, n“ 499, à la requête du syndic provisoire de la faillite de M. Emlle-Louis DEVAUX, marchand fruitier à Chantilly, le fonds de com m erce de fru ite rie , p rim e u rs , vo la illes, b e u rre , oeufs, po issons e t
a lim en ta tion généra le , exploité à Chantilly, 96, rue du Connétable, a été adjugé à M. Albert MORVAN, électricien, demeurant à Senlis, 12, place de la Halle, avec tout ce qui en dépendait.
L’insertion au Bulletin Officiel des Ventes et Cessions de Fon de'Commerce a été faite le 20 ma 1929.
Les oppositions, s’il y a lie seront reçues dans les dix jo u de la présente insertion, à Chah tiliy, en l’Etude de M® Vidy, do mlcile élu.2428 (Signé) VIDY.
il
Art. 9.
Cabinet ISORÊ9 te r , ru e Albouy
PARIS (X»)
Suivant acte sous seings privés en date du 15 mars 1929, enregistré à Betz, le 18 mars 1928, folio 101, case 18,
Monsieur et Madame Jules MOREAU, demeurant à Betz (Oise), Grande Rue, ont vendu à Monsieur et Madame Julien ROSÉ, demeurant à Paris (18«), rue Gar- reau, n°2. le fonda de com m erce de b u v e tte , ép icerie , quincaille rie , qu’ils exploitent 4 Betz (Oise), Grande Rue, à l’angle de la rue des Jardins.
Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix jours de la deuxième publication, chez M« Petit, notaire à Betz, ou au Cabinet Isoré, 9 ter, rue Albouy, à Paris (X*).
Le Directeur :2469 L,. B A S T l.
A rt. 10.PREMIER AVIS
Monsieur et Madame JACQUES- MASCRÉ viennent de se rendre acquéreurs de la partie appartenant à Monsieur et Madame GORDIER-LEFEBVRE, du matériel servant a l’exploitation de la B uvette de la G are de Chantilly, dont Monsieur et Madame Cordier- Lefebvre avaient la gérance, ainsi que de diverses marchandises.
Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues au domicile de Monsieur et Madame Jacques- Mascré, à Senlis, rue du Châtel, n» 17. 2455
A r t . 11.
PREMIERE PUBLICATION
Suivant acte s. s. p. du 14 mars 1929, enregistré à Nanteuil-le- Haudouin (Oise), le 16 mars 1929, folio 168 case 864, M. et Mme PRADALIÉ ont vendu à M. et Mme BROSSARS, demeurant ai Plessis-Trum illy (Oise), Je fonàts de com m erce de v lns-ép icerle sis à Péroy-les- Gombries, canton de Nanteuil-le-Haudouin (Oise).
Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues au fonds chez l’acquéreur, jusqu’au dixième jour après la seconde publication.
Pour extrait :2457 BROSSARS.
Ar t . 15.TRIBUNAL DE COMMERCE
DE SENLIS
Clôture pour insuffisance fl’acü lPar jugement en date du 15 mars
1929, le Tribunal de Commerce de Senlis a, sur requête du syndic, déclaré clôturées les opérations de la liquidation judiciaire de la dame Veuve 8METS, beurre et fromages, à Cires-les-Mello, pour insuffisance d’actif.
Le Greffier, GAVENC.
Etude de M» LANGL0IS, no ta ire | à Senlis.
A & j l f O f i O A T I Q NA SENLIS
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de peupliers, chênes et bouleaux, à Bruchebay et Derrière Saint- Lazare. — Section G, n“ 387 du cadastre.
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S’adresser pour prendre connaissance du cahier des charges et pour tous renseignem ents : à M. LONCHAMPT, receveur de l’Hôpital, ou à M«LANGLOIS, notaire.
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Suivant acte sous seings privés en date à Crépy-en-Valois (Oise), du 11 mars 1929, enregistré à Crépy-en-Valois (Oise), le 12 mars 1929, folio 87, case 10.
M onsieur PLESSAT Raymond demeurant à C répy-en -V alo is (Oise), rue Saint-Lazaré, n* 1 vendu son fen d s de eè: de co iffeu r situé à l’adresse çi dessus indiquée et cédé ses droit» au bail des lieux à
Monsieur PEYROT Noël, coiffeur, demeurant à’ Paris, rue de Charenton, n° 247.
L’insertion au Bulletin Officiel des Ventes est parue le 23 mars 1928.
Les oppositions seront reçues dans les dix jours de la présente
Eublication chez M* N euville, uissier à Crépy-en-Valois (Oise),
et au Cabinet J. BESSON, 15, rue des Halles, à Paris, où domicile est élu.
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M» Félix LOUAT, notaire à Senlis
M* R eym ond BARELLA, notaire 4 Verberie.
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S ’adresser pour les renseignem ents :
A M* G eorges M orand, avoué à Senlis, poursuivant la vente;
A M® P ie r re Fabignon , notaire à Neuilly-en-Thelle, rédacteur et dépositaire du cahier des charges;
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S’adresser pour les renseignem ents à :
1» M® L. C hastalng, avoué à Senlis, poursuivant la vente;
2° M® Gazeau, notaire à Senlis;3’ M« M alapert, huissier à
Creil;4° Et au Greffe du Tribunal civil
de l’Oise, section de Compiègne, où le cahier des charges est déposé.
S ’adresser pour les renseignem ents :
A M* G eorges M orand, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;
A M® Félix Louât, notaire à Senlis ;
E t à M* R eym ond B arella , notaire à V erberie, rédacteur et dépositaire du cahier des charges.
Etudes de M» L. CHASTAINGavoué à Senlis
et de M* BARBIER, notaire à Creil.
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S'adresser pour le* renseignements A ;
1’ M’ L. C hastalng, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;
2° M* B arb ie r, notaire à Creil, chargé de la vente et dépositaire du cahier des charges.
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Etude de M» PETIT, notaire à Senlis.
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A vendre s l’amiable, M aison d e R ap p o rt sise à Senlis, rue des Vignes, n® 2. — S’adr. à M‘ Petit, notaire.
Etude de M» Félix LOUAT, notaire à Senlis.
A vendre à l’amiable, une Malson B ourgeo ise sise à Senlis,r u e d e M e a u x , n« 14 . S ’a d r e s s e rà M* Louât.
Etude de M* R o b e rt BOILETnotaire
à Pont-Sainte-M axence (Oise).
Vente aux enchères publiques d ’O bjets M obiliers, à Pont-Ste- Maxenoe, rue de l’Ile, le Dimanche 24 Mars 1929, à'14 heures, p a r le ministère de M* Boilet, notaire â Pont-Sainte-Maxence.
Vente aux enchères d’un im p o rta n t M obilier, sis àFleurines, rue de Paris, le Dimanche 7 Avril 1929, à 14 heures, e t jour suivant, s’il y a lieu, par le ministère de M' Robert Boilet, notaire à Pont-Sainte-Maxence.
Etude de M« DURAND, notaire 4 Pont-Sainte-Maxence
Adjudication volontaire, à Pont- Sainte-Maxence, en l’Etude e t par le ministère de M* Durand, notaire, le Lundi 31 Mars 1929, 4 14 h., d’un Fonds de C om m erce de Restaurant, Vins et Liqueurs avec Licence, exploité à Sarron, dans l ’immeuble ci-après, sous l’enseigne « Maison Louis, Au. Rendez-Vous des Pêcheurs », e t d’une M aison à usage de Restaurant, Vins et Liqueurs, sise à Sarron, sur le bord de l’Oise, 4 proximité du barrage.
Etude de M® THIROUIN, notatre à Acy-en-Mnltien (Oise.
Bon A ttira il de C ulture, à vendre par adjudication volontaire, après cessation, le Dimanche 24 Mars 1929, à treize heures p récises, à Bouillancy, canton de Betz (Oise), par le ministère de M* Tnirouin, notaire à Acy-en- Multien.
Etude de M* MAROT, greffier de paix à Pont-Sainte-Maxence.
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