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COURRIER DE L’OISE JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS F»ralsa&vt toim&neu» -A.BOISTI^T-HI^ÆEÎTSrTS Un &a... Six moi» f "o* Bureaux P* P o t t a 10 12 7 On s’abonne mn Rureaox du Journal et dans ton» les bureaux do poste. — L’abonnement ost payable d avance cl continue de plein droit jus^u a réception d’avis contraire. X j O s JL üv moments partent du 1 M de chaque mois ara- BUREAUX, RÉDACTIONS ADMINISTRATION S IN U S 11. Place 'nenri-lV, 11 - SEN LIS TÉLÉPHONf 4 HfW'tOTi* Commerafti » * n«KO» p r t x d 3 jN S «m T iow a fcuaonMt i6gtu<w . .... ! h. 50 la lljnj. I kicI ik u knaonrtt ’olonlalrea... I tr. 28 la ligna. I *' ou *' P**'..... ...... * il 1* ligna. F,es manuscrits, insérés ou non, ne sont paa renucus * DE LA FÉDÉRATION EUROPÉENNE La 60* session du Conseil de la Société des Nations vient de s’ouvrir. Que va-t-il advenir du fameux projet de Fédéra tion Européenne auquel le nom de M. Briand se trouve désormais indisso lublement lié ? On ne sait pas encore, peut-être va-t-on savoir... Peut-être ? Mais ce n’est pas sûr. Notre pensée sur ce point demeure interrogative. Nous sommes donc tout à fait « à la page » puisque le « Point d’interro gation » est à la mode. Ceux de nos lecteurs qui lisent YEcho de Paris ont même pu voir que l’astucieux Sennep dont la politique est à peu près d’pc- eord avec celle de Cert inax a affublé pbamuft ^Îlmes Ües^n^^^^amrt^sus d’un groupe de métèques qui ont tout l’air de se gausser de lui et qui repré sentent, à n’en pas douter, la Société des Nations. Comme hommage à Cos- tes et à Bellonte, c’est assez ingénieux. Mais eu égard, si l’on peut le dire sans ironie, à la Société des Nations et au rôle que M. Briand doit forcément y jouer c’est tout à fait irrévérencieux. C’est même un manque de tact. Vous ne trouvez pas ?... Si, tout de même, un peu. S’il ne convient pas de pren dre ies choses au tragique, il convient du moins de les prendre au sérieux. Vous vous étonnerez après tous ces quolibets qu’on ne fasse pas grand- chose à Genève ? Mais la première condition d’une action efficace c’est de croire qu’elle est possible et cette attitude de confiance décente sinon respectueuse devrait être celle de tous lorsque s’ouvre une session du Con seil de la Société des Nations. En ce qui concerne M. Briand, deux catégories de citoyens et de journalis tes nous paraissent à l’heure actuelle avoir également tort. Ce sont ceux qui d’une part le portent aux nues, — position pour laquelle iiil-tneme sem ble avoir un peu trop de prédilection, -— et ceux d’autre part qui travaillent à l’éreinter. Aristide Briand ne mérite « ni cet excès d’honneur, ni cette in dignité ». Il a un passé politique qui peut ne pas plaire à tout le monde; sa ma nière de faire un peu désinvolte, sa souplesse, sa sinuosité, son habileté, sa présence permanente et devenue quasiment nécessaire dans les diffé rentes combinaisons ministérielles oui se succèdent peuvent agacer certains esprits tout d’une pièce. Depuis la guerre, il a évolué. Il a donné des arrhes à certains éléments conserva teurs par sa politique avec le Vatican et puis voilà dix ans qu’il travaille avec une louable persévérance au problème de la Paix. C’est sur ce der nier point qu’à l’heupe présente il rencontre des panégyristes et détrac teurs. Les premiers sont surtout de gauche et les seconds, de droite. C’est justement ce que nous trouvons dé testable. M. Briand fait visiblement effort pour sortir de la politique de parti, il tend à devenir un homme national, voire même un homme international, un bon Européen : bref il se roi use à rester l’homme d’hier, il veut devenir l’homme de demain. C’est un dessein louable. Et maintenant, qu’il apporte à l’exécution de ce dessein passable ment de vanité, un peu de précipita tion, quelque imprévoyance, un cer tain manque de précision ct^ de fer meté, beaucoup d’illusions, c’cst par faitement possible et c’est même pas sablement certain. Mais ce n’est pas une raison pour lui en vouloir à mort, comme d’autre part il n’y a pas de quoi en faire un prophète. On a dit que son étoile commençait à pâlir. S’il est vrai, il serait fâcheux pour lui que ceux qui prétendent la rallumer fussent ces hommes d’hier qui s’étaient donné pour mission d’é teindre les étoiles et qui ayant large ment détenu le pouvoir avant-guerre n’avaient rien su organiser m pré voir. Quant à ceux qui tendent à le dé monétiser aujourd’hui peut-être ne songent-ils pas assez que M. Briand représente la France et qu’en atten dant mieux il importe qu’il la repré sente bien. Le rôle du ministre des affaires é- trangeres serait de beaucoup facilité si la guerre avait été gagnée politi quement comme elle le fut militaire ment. S’il n’en a pas été ainsi, à qui la faute ? C’est un sujet qu’il ne faut pas trop approfondir, mais en cherchant bien on trouverait que ceux-là qui sont res tés si longtemps boudeurs, tel Achille enfermé sous sa tente, uniquement occupés à déplorer le malheur des temps, y ont bien leur part de res- poii:,;.hiiitc. j, r, . f À Ce qu’il en sera du projet de Fé dération Européenne ? Vraisembla blement rien pour cette année. On décidera de le soumettre à une étude plus approfondie. C’est déjà quelque chose. En pareille matière on ne peut aller très vite sous peine de faire fausse route. Ce qu’il nous faut sou haiter, c’est que le dit projet ne soit pas purement et simplement enterré. Cela ferait certainement plaisir à ceux qui ne voient la Paix assurée que par la force des armes. Mais si ia force des armes est une condition permanente et nécessaire de la Paix, elle en est, a u j o u r d ’h u i , une condition insuffi sante. En d’autres termes, il nous faut être militairement très forts, mais cela ne suffit pas. La force des armes ne peut aujourd’hui servir qu’à défendre une cause approuvée par la conscience universelle, il faut qu’elle soit soutenue par un statut juridique international. Ce statut juridique in ternational, il faut travailler à le dé finir et à le constituer solidement. Mais, pour cela, il faut d’abord en re connaître la nécessité. « II a a des milieux français ou étrangers, écrit excellemment, le t'. Yves de la Brière, qui manifestent quelque déplaisir, quelque impatience, lorsqu'ils apprennent, à propos de chaque problème politique, social ou religieux, que l’on accorde une place grandissante à l’aspect international de la question. D ’a u c u n s verraient presque, dans ce genre d’études, une sorte d’apostasie à l’égard du devoir national et patriotique. Nous sommes désolé, pour notre part, de contribuer, une fois de plus, à ce genre de scan dale; mais force nous est bien de cons tater que l'internationalisation de tous les problèmes constitue l’un des caractères fondamentaux de la civi lisation contemporaine. Grâce à l’in terdépendance économique, la péné tration mutuelle et la communauté progressive d’existence sociale entre tous les peuples, il n’est plus une seule question de quelque importance qui puisse être considérée sur le seul plan national. Bon gré mal gré, il est devenu indispensable, au nom même des faits, de la considérer pareille ment sur le plan international. Le meilleur service que l’on soit en me sure de rendre à la patrie n’est pas d ’i g n o r e r le monde international, comme si notre ignorance allait l'eni- pêcher d’exister ; mais cm contraire, de faire tenir avec honneur à la patrie elle-même son juste rôle dans la vie internationale, au nom du bien com mun et de la solidarité de tous les droits ». Le regretté cardinal Mercier, pourtant si persévéramment attaché à la pensée des ruines et des deuils de la Belgique, pensait exactement de la même manière. Il voulait lui aussi qu’existât la Société des Nations et il avait même proposé que Bruxelles en fût le siège. C’est précisément ce à quoi il nous faudrait penser quand s’ouvre une nouvelle session de l’Etahlissement de Genève. Il faut lui souhaiter de réus sir et que celui-là qui y représente la France parvienne à le faire avec di gnité, fermeté et succès — on n’y travaille peut-être pas au mieux en lui faisant systématiquement mau vaise presse. A, C henet . Un service départemental de secours contre l’incendie et autres calamités publiques Nous apprenons que sur l’initiative du Commandant Güesnest, inspec teur départemental des services d’in cendie et de secours, M. le Préfet de l’Oise, par arrêté du 30 août, a nommé une Commission spéciale appelée à examiner un projet, d’organisation d’un service départemental de secours con tre l’incendie et autres calamités pu bliques dans l’Oise, ainsi que cela exis-, te dans un grand nombre de départe ments. Cette commission se réunira h la Pré fecture de l’Oise, sous la présidence di M. Le Beau, préfet de l’Oise, le mer credi 17 septembre, à 14 heures, et 1 présentera vraisemblablement un rap-j port au Conseil général lors de la ses sion qui s’ouvrira le lundi 22 cou r>!.. ' * N oms C ro u s pnrrfrf les m ernhre” 1 ci^vs M ille s d’Honneup de la mutualité Par décret présidentiel, les récom penses honorifiques ci-après sont oe- eïdées, pour services rendus à la mu- tçidité, aux personnes de notre régio.n Omit les noms suivent et que nous fé- liltons avec plaisir ; T Médaille d’Argent m. Frénot, secrétaire trésorier de la Société de secours mutuels d’()rry-la- Vllle. M. Santerre, société scolaire mutuel le, à Varinfroy. Médaille de Bronze M. Bergue Paul-Désiré, délégué de Ta variété de secours mutuels Union dé partementale des sapeurs-pompiers fin lOise à Chamblv. Mme Busserolli de cette commission, les noms en ce qui concerne l’arrondissement de Sen- lis, de MM. Gèorges-Picot, conseiller général; Uhry, député, maire de Greil; le capitaine Launé, inspecteur dépar temental adjoint des services d’incen die et de secours à Crépy. Monseigneur Le Senne échappe à un accident Une automobile transportant Mgr Le Senne, évêque de Beauvais, en vacan ces à Saint-Pierre-de-Quiberon, a heurté un talus près d’Auray et a ca poté. Le prélat et les personnes qui l’ac compagnaient n’ont eu que de légères contusions. La main-d'œuvre agricole roumaine Une convention de travail et d’é migration ayant été signée il y a quel que temps entre la France et la Rou manie, des travailleurs agricoles rou mains peuvent être procurés aux em ployeurs français qui eu feront la de- "’Ua Transylvanie et plus pariicuuc- rement la région d’Oradea Mare semble devoir être ia zone où s’opéreront les premiers recrutements. La région d’Oradea Mare c-t essen tiellement agricole et les habitants des villages sont des paysans habitués a tous les travaux agricoles. Ils culti vent les céréales, les plantes sarclées, le lin. Ils sont très au courant de l’é levage du bétail. Ils sont généralement sobres et semblent devoir apprendre facilement le français, le roumain é- tant uhe langue latine. Comme dans la plupart des pays de l’Europe Centrale et Orientale, la traite des vaches est généralement effectuée par les femmes. Us vachers ne peu vent donc être recrutés qu’en petite quantité et une période d’adaptation sera nécessaire pour les mettre au cou rant du fonctionnement de l’étable et surtout de la traite telle que nos va chers 1a, pratiquent en France. Les bouviers sont en nombre suffisant. Les charretiers, tels qu’on les con çoit en France, n’existent que rare ment en Roumanie, ce fait étant com mun à ce pays et à beaucoup de pays de l’Europe Centrale et Orientale. La turc dans ces contrées est, en effe* .» < t.. mutuel- net; !<■-Cl Verberie. Malneux Ar- DÉPARTEMENT A vis de Concours Un concours sur titres pour la nomi nation d’un Médecin-Inspecteur dépar temental d’hygiène sera ouvert à la Préfecture de l’Indre, le 15 Octobre 1930. Ce concours est réservé aux méde cins hygiénistes exerçant ou ayant exercé des fonctions sanitaires publi ques et aux diplômés des Instituts d’hygiène universitaire français ayant moins de 45 ans, Les renseignements sur les condi tions du concours, pièces à produire, traitement, etc., seront foiirilis aux in téressés sur demande adressée, avant le 25 septembre, à la Préfecture de l’Indre, è Chàteàuronx, à la Préfectu re de l’Oise (deuxième division), ,k Hrfiovni*, fia üuw «m Nominations dans le Clergé M. le chanoine Boclet, chancelier de l’Evêché. est nommé chanoine titulai re, en remplacement de Mgr Dubois, doyen du chapitre. M. le chanoine Grison, curé-doyen de Betz, est nommé chanoine titulai re de seconde création et secrétaire de l’Evêché. MM. les abbés Hallier et de Brunier, prêtres de la dernière ordination, sont nommés professeurs à l’Ecole Sainte- Marie du Moncel. M. l’abbé Henrio, prêtre de la der nière ordination, est nommé curé de Morienval, et chargé de Feigneux et de Fresnoy-la-Rivière. M. l’abbé Rapp, prêtre de, la derniè re ordination a été nommé aumônier de l’Hôpital des jockeys, à Chantilly. Conseil Général de l’Oise C’est le lundi 22 septembre, à 14 Heures, à la Préfecture de l’Oise que 1c Conseil Général d.- l'Oise tiëndré «à ordinaire H» trou QUI M HfffS tioir nu quêtes Joui * I en trè 5 forêts de de la ré- ci moins i . , sfivent conduire les chevaux et latiOTI rer, ils sont plus rarement au courant' de la conduite des machines modernes telles que moissonneuses, faucheuses, faneuses, distributeurs d’engrais, se moirs, etc... Un complément de forma tion en France sera donc nécessai re. Les bergers sont peu nombreux mais quelques bergers spécialisés peuvent être recrutés. Ils sont accoutumés à des races ovines plus rustiques que les nôtres. Par contre, les hommes à toutes mains dont nous avons de grands be soins sunl très nombreux. Ils sont très au courant des différents travaux agri coles et savent en général conduire les animaux (chevaux et bœufs). Après un court séjour, il sera certainement pos sible de faire de certains d’entre eux d’excellents charretiers. Les bût hérons existent au grand nombre, provenant de Transylvanie. Les “exploitations agricole- gion sont généralement petites. Aussi les femmes savent rarement soigner et traire dix vaches. Il leur faudrait pour cela une période de perfectionnement et d’entraînement dans nos exploita tions françaises. Par contre, presque toutes les femmes peuvent facUenTPrrsi traire cinq vaches. Elles connaissent également les différents travaux agri coles. Des restrictions existent comme dans tous les pays pour le recrutement de la main-d'œuvre féminine. Le contingent accordé pour débuter sera limité et il sera nécessaire de demander le re crutement d’un nombre d’hommes au moins égal à celui des femmes. Cette règle est un peu celle qui présidait aux recrutements d’ouvrières polonaises jusqu’à ces temps derniers. Avant de déposer des contrats pour ouvrières il y a lieu de consulter le Service de la Main-d’OEuvre et de l’Im migration agricoles sur les disponibi lités du moment. Comme dans tous les pays à nata lité normale, le» ménages sans enfoui» çy tmtlVÊhi Pf| imbibée Unifié, tiers fa- ptitfvq. déflircM’îi-» de fcsttfi' en FrSrpfl* «tr? .rsàfüUss#! Mme Capton, née Humain Adrien n|%larie-Louise-Henrictte, trésor ière 1 de section de la société scolaire de si'- ! cours mutuels et de retraite de la cir conscription de Senlis à Verberie. M. Cuel Fernand, président de la so ciété de secours mutuels des anciens combattants du canton de Grépy-en- Viilois. M. Delacroix Paul-Charles-Edmond. président de la société de secours mu tuels d’Ivors. M. Frémont Louis, délégué de la so- ciélé de secours mutuels de Verbe- rie. M. Gauthier Louis-Jean-Marie, se crétaire de la société de secours mu tuels la Solidarité chamantaise à Cha înant. M. Kayser Florent-Emile, trésorier de section de la société scolaire de se cours mutuels et, de retraite de la cir- consci ipt-ion de Senlis à Précy-suï*- Gise. M. Morel Furcy, administrateur de la société de secours mutuels Union mutuelle de Duvy. Mme Nocq, née Martin Camille, dé- ....tfc-Iey™ /• -- . -T rt . i rt, / ï,* I C* IO île» C O 1*1 II l I' D 111 — tue!s de \ erhoTie. M. Pénard Loüis-Joseph-Antonin, président de la société de secours mu tuels de Saint-Maximin. Mme Robquin, née Bléry Germaino- Gharlotte, trésorière de section de la société scolaire de secours mutuels et de retraite de la circonscription fie Senlis.à diamant. M. Simon Mauriçe-Alexis, trésorier de section de la société scolaire de se cours mutuels et de retraite de la cir- conscriptien de Senlis. M. Varloquet Pierre, trésorier de la société de secours mutuels de Fonlai ne-Chaftlis, à Fontaine-Chaâlis. Ment i nns h nno rable s M. Ardouin Pierre, administrateur de section de la société de secours mu tuels Association des jardiniers de France, à Pont-Ste-Maxeneo. M. Brisset Sylvain, trésorier de sec- lion de la Société scolaire de secours mutuels et de retraite de la circons cription de Sentis, à Betz. .M. Bruhet André-Henri, trésorier de la société de secours mutuels de Bé- Ihisy-Saint-Martin. ; j \I. Caron Georges, trésorier de la so- A travers Pharmacie ouverte i ‘Dimanche 14 septembre ; Pharmacie Lesage pie ;e Henri-IV. Avis . La Ville de Senlis (Oise) demande de suite un GARDE CHAMPETRE, cet emploi conviendrait de préférence à un garde chasse ou à un gendarme, bonne situation, logé et habillé, congé annuel et retraite. Adresser les demandes au Secrétai re Général de la Mairie de Senlis. 4008 (Poids et mesures La vérification des' poids et mesures aura lieu à là Mairie de Senlis, les 17, 18 et 19 septembre prochains. Le 17 septembre, de 9 heures à midi. Le 18, de 13 h. 30 à 16 h. 20. Le 19, de- 13 h. 30 à 16 h. 30. M. Têtard est nommé notaire Nous apprenons que par décret pré sidentiel du 8 septembre dernier, M. Gustave Tétand.-est nommé, aux fonc tions de notaire, en résidence à Senlis, en remplacement de M. Clovi| Petit, son beau-père, démissionnaire en sa faveur. Depuis de longues années, M. Têtard qui apportait sa précieuse et intelli gente collaboration à M* Petit, prend une charge qu’il connaît admirable ment. La nombreuses et fidèle clien tèle de cette importante étude conti nuera. comme par le passé, à 1u i d o n ner son entière confiance et <à donner à son nouveau titulaire la même mar que d’estime qu’elle témoignait à son rédéeesseur. M. Petit était le doyen des notaires des arrondissements de Compiègne et de Sentis, il exerçait, dans notre ville depuis bientôt 45 ans. M. Petit après toute une vie d’activité et de travail a droit à un repos bien gagné. Nous lui souhaitons d’en jouir pendant encore de longues années et nous adressons à M. Têtard, nos sin cères compliments. La Flamme du Souvenir Mardi dernier, une trentaine de membres de la Section de l’(J. N. C. de Senlis, se sont-rendus,à Paris, pour y accomplir un geste symbolique au Poilu inconnu. Précédé du drapeau de « La Flam me » porté par M. Rigault, et de celui de la Section de Senlis de l’IJ. N. C., porté par M. Guizelin, le groupe a ga gné l’Arc de Triomphe, où après le cé rémonial d’usage, la, minute de silence respectueusement observée, M. Gazeau, président de la Section, entouré de ses camarades, a ranimé la flamme du Souvenir et de la Reconnaissance sur la tombe du Poilu inconnu. Moment émotionnant, s’il en fut un, dont les Anciens Combattants présents garderont le souvenir. x-rfectionnée et si les p a y s a d e secours mutuels l’Espérance ' l( T' U'ili î nos. M. Feutry Maurice, trésorier de la société de secours mutuels Union mu tuelle de Duvy. M. llennequin Justin-Pierre-Jules, trésorier-adjoint de la société de se cours mutuels de. Pontpoint. Mme Lamouche, née Jaffré Augusti- ne-Jeanne-Alexina, trésorière de sec tion de la société Polaire de. secoui mutuels et de retraite de la circons cription de Senlis, à Fresnoy-la-Riviè- rc. M. Lemarié Anatole-Pierre, adminis trateur de la société de secours mutuels de Saint-Maximin. M. Lepellerin Désiré, vice-président de la société de secours mutuels de.- anciens e*mbattants de Précy-sur-Gi- se. M. Me,usiner Théodule, administra t&ur de la société de secours mutin 1 de l’orfèvrerie d’Ercuis, à Belle-Eglise • M. Pelet Alfred, administrateur de la ociété mutuelle de retraite des. an Sens combattants, à Goye. | Mme Privât, née Humain (Renée- Andréa-Paula-Héloïse, trésorière de section de la société scolaire de secours mutuels et de retraite de la circons cription de .Senlis, à Vincuil-Saint- Fii-mi». _,-\U Renard Cyriile-Arthur, vice-pre- sident de la société de secours mutuels Tlvors. . | M. Ridoux Alfred-Elodie, administra teur de la société de secours mutuels des anciens combattants de Précy-sur- *M Sommermont René-Jean-Joseph, trésorier de section de la société scolai re de secours mutuels et de retraite de la circonscription de ^enlis, a Ma il Toursière Louis, administrateur de la société de secoure mutuel-- 1 L pérance de Fleunnes. M. Viet Henri-Albert-Loiu-, -en.-- taire de section de la société mteiprc . fessiorinelle de la région de Creil, Mon- tataire, Nogent-sur-Oise et environ-, a Sa'int-Vaast-les-Mello. M. Violet Henri, trésorier de «erlton flv 1 s.. socJéié mutqetR île rclraila tiucuîjje sbnibçft ?0!’1 * Le lllC à ll C «Je Noël O»don Qui ne connaît dans le « Tout Sen lis » le Théâtre de Noël O udon ? Nous sommes heureux, sans en être surpris, de trouver, dans l’importante revue les Eludes, sous la signature d’Alphonse de Parvillez l’appréciation élogieuse que voici ; « Toute une avalanche de jolies piè ces pour nos théâtres d’œuvres : l’au baine est, rare. Pour enfants et pour adultes, pour jeunes gens et pour jeu nes filles, prose ou vers, comédies ul tra-modernes ou parodies classiques rien de plus varié que ce théâtre, où tous les désirs sont prévus et satis faits. Sous cette diversité se retrouve pourtant un trait commun : aucune de ces petites œuvres ne manque d’es prit, aucune n’est indifférente. Les contes de Perrault ont fourni à l’auteur une sorte de variations impré vues et charmantes qui feront la joie des enfants; et les parodies du Cid, d’Hernani, de Cinna, d’Iphigénie et de Cyrano enchanteront les collégiens. Mais les cercles d’amateurs et les sa lons, à leur tour, auront de quoi ra jeunir leur répertoire, et tous les im présarios seront reconnaissants a l’original auteur qui leur apporte d’un seul coup une telle abondance de bien faits ». EG-il nécessaire d’ajouter q u e j’on peut trouver ce charmant Théâtre, vingt-cinq pièces, sept monologues, —■ à Senlis même, chez l’auteur, 12, rue de Meaux. A. C. Toujours à propos du tournant de Malgenest Nous recevons de M. le Comte Ar- nauld Doria, le dévoué président du Comité de l’arrondissement de Senlis, la lettre suivante que nous nous fai sons un devoir de publier in-extenso : Ggnon, par Barbcry (Oise) 5 septembre 1930. Monsieur André Marcherez, Délégué du Touring-Glub de . France, à Soissons (Aisne), Monsieur, .le viens de lire, dans le numéro du de la le tire que vous adressez au Pré sident du Touring-Club de France pour attirer son attention — ce dont je ne saurais trop vous féliciter — sur 1111 point particulièrement dangereux de la Route Nationale n 0 32, situé sur la crête de Malgenest, entre le virage du même nom et Le Plessis-Chamant. Vous avez été victime, le 3 août, d’un grave accident en cet endroit et vous en signalez une série d’autres qui ont mi lieu, ces dernières semaines, à la même place. Il sont évidemment cau sés par le profil trop bombé de la rou te, rendue de ce fait extrêmement glis sante par temps de pluie. Vous deman dez au Président du T. G. F. d’interve nir auprès des autorités compétentes pour que cet état de choses cesse au plus tôt. Je tiens à vous faire savoir que j’ai été, moi aussi, ému par tant d’acci dents — le 15 août ma voiture remena à Senlis une jeune fille blessée par suite d’un capotage à cette même pla ce — et je'viens vous communiquer le résultat des démarches que j’ai cru devoir faire, depuis trois semaines, au près de l’administration. 1° D’accord avec- M. l’Ingénieur des Pont et Chaussées de Sentis, des po- iffflyv. i 11/1i(' d Icvi 1 r“< nifAuls naF i’AulO- mobue-cmiD cio rife-de-u i‘am<\ et mentionnant que cette route est dan gereuse par temps de pluie ou gel, vont être incessamment posés à chaque ex trémité de la partie mauvaise; 2° J’ai en outre offert, au nom de l’A’. C. I. F., une subvention aux Ponts et Chaussées pour que la route nationa le n° 32, dans sa, partie exagérément bombée, soit, dès maintenant aplanie. La dépense prévue étant très élevée, et notre subvention, hélas ! insuffisante; cette réfection ne pourra être commen cée que lorsque l’administration aura les crédits nécessaires pour l’entre prendre. M. Bedaiix, Ingénieur des Ponts et Chaussées, m’a donné l’assu rance qu’il ferait l’impossible pour que ce travail soit effectué dans le courant de 1931. Mais il a, dès maintenant, don né des ordres pour que l’on jette du gravier sur la partie la plus dérapante de la route; celle-ci sera ensuite cy lindrée. Les aspérités causées par le gravier encastré dans le goudron ren dront la chaussée moins lisse, donc moins glissante quand elle sera mouil lée ou humide. Cette opération sera répétée si besoin est. Afin de dégager la Roule Nationale n° 32, trop étroite pour la circulation intense oui y règne, et de donner aux nombreux cyclistes une cliaussee rou ante et praticable par tous les temps, j’ai, depuis un an, sollicité les socié tés de tourisme, les clubs automobi les, les particuliers et les communes pour obtenir la somme nécessaire à la construction d’une piste cyclable sur cette route depuis la sortie de Senlis jusqu’à la côte de Verberie. La dépen se totale dépassera 100.000 francs. Les importantes subventions recueillies à ce jour — celle de TA. C. I. F. est de 13.000 francs — me permettent d’espé rer que, bientôt, cette piste pourra être établie. Je voulais porter à votre connais sance tous ces projets, afin que vous sachiez que le comité de l’arrondisse ment de Senlis de TA. C. I. F. ne se désintéressait pas des questions rou tières de sa région et serait même très heureux de voir le T. C. F, encourager ses initiatives et appuyer ses démar-. ches. Ainsi secondé et stimulé par le con cours de TA. C. F., du T. C. F., de TA. G. I. F., et des Syndicats d’initiatives de Senlis et de Compiègne, l’adminis tration des Ponts et Chaussées par viendra bientôt, je l’espère, à donner aux usagers de. la route, nationale h ° 32 plus de confort et de sécurité. Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’as surance de mes distingués sentiments. Comte Arnauld D oria , Président du Comité de l’arron dissement de Senlis de l’A. C. I, F.; Membre du Conseil d’Ad ministration de VA. C. I F. Passage d’un globe-trotter Le sujet polonais Zalmann Malans- ki, 23 ans, qui a entrepris, il y a 2 mois, le tour de l'Europe, à bicyclette, a été de passage à Senlis jeudi der nier, où il a fait apostiller son livre de route par le service de la police. 11 a déjà parcouru l’Allemagne, la Russie, l’Autriche, la Tchécoslovaquie, rt la Fhfisse. Il ve-fi dirigé sur Calais» 01» fi FrOVfitSrduPrr! fifitfi' T Vii(fl«4c.r Passage de course D’après des renseignements fournis pour le service de la police, la Société « Cyclo-Club Greillois » organise pour le dimanche 21 septembre courant une course cycliste sur le parcours Creil- Senlis-Creil. Passage à Senlis à II heures 30. A l’occasion de cette course, un ser vice d’ordre 'icra assuré, pw là police iqqnlojpéiR dan, le» “«nfiJffijHiS tùaûuj

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* DE LA FÉDÉRATION EUROPÉENNEL a 60* session d u Conseil

de la Société des N ations v ien t de s’ouvrir . Que va-t-il ad v en ir du fam eu x p ro je t de F é d é ra ­

tion E u ro p éen n e auq u e l le nom de M. B r ia n d se tro u v e d éso rm ais ind isso­lu b lem en t lié ? O n ne sait pas encore, peu t-ê tre va-t-on savoir... P eu t-ê tre ? Mais ce n ’es t pas sû r . Notre pensée su r ce p o in t d em eu re in terrogative . N ous som m es donc to u t à fa i t « à la page » p u isq u e le « P oin t d ’in terro­gation » es t à la mode. Ceux de nos lec teu rs qui l isent YEcho de Paris ont m êm e p u voir que l’a s tu c ieu x Sennep don t la po lit ique es t à peu p rè s d ’pc- eord avec celle de Cert inax a affublé

pbamuft ̂ Îlmes Ü e s ^ n ^ ^ ^ ^ a m r t ^ s u sd ’u n g roupe de m étèq u es qu i on t to u t l ’a i r de se g ausse r de lu i et qui re p ré ­sen ten t , à n ’en pas dou te r , la Société des N ations. Com m e hom m age à Cos- tes et à Bellonte, c’est assez ingénieux. Mais eu égard , si l’on p eu t le d ire sans ironie , à la Société des N ations et au rô le que M. B r ian d doit fo rcém en t y joue r c’est to u t à fa it i rrévérencieux . C’est m êm e u n m a n q u e de tac t. Vous ne trouvez pas ?... Si, tou t de mêm e, u n peu. S’il ne convien t pas de p r e n ­dre ies choses au trag ique , il convien t d u m o ins de les p re n d re au sérieux. Vous vous é tonnerez ap rè s to u s ces quo libe ts q u ’on ne fasse p a s g rand- chose à Genève ? Mais la p rem ière cond it ion d ’u ne ac t ion efficace c’est de cro ire q u ’elle es t possib le e t cette a t t i tu d e de confiance décen te s inon respec tueuse dev ra i t ê tre celle de tous lo rsque s’ouvre u ne session d u Con­seil de la Société des Nations.

E n ce qui concerne M. B riand , deux ca tégories de c itoyens et de jo u rn a l i s ­tes n ous p a ra is se n t à l’h e u re actuelle avoir éga lem en t to r t . Ce sont ceux qu i d ’u ne p a r t le p o r te n t a u x nues, — position p o u r laquelle iiil-tneme sem ­ble avoir un peu t ro p de prédilec tion ,-— et ceux d ’a u t re p a r t qu i t rava il len t à l ’é re in te r . A ris tide B r ian d ne m érite « ni cet excès d ’h o n n e u r , n i cette in ­d ignité ».

Il a u n passé po li t ique qui peu t ne p as p la ire à to u t le m o n d e ; sa m a ­n iè re de fa ire u n peu désinvolte , sa souplesse, sa s inuosité , son habileté, sa p résence p e rm a n e n te e t devenue q u a s im e n t nécessa ire d an s les diffé­re n te s com bina isons m in is té r ie l les oui se succèden t peu v en t agacer ce r ta in s e sp r i ts tou t d ’u ne pièce. D epuis la guerre , il a évolué. Il a do n n é des a r rh e s à ce r ta in s é lém ents conserva­te u r s p a r sa po lit ique avec le V atican et p u is voilà dix ans q u ’il travaille avec u ne louable p ersévérance au p rob lèm e de la Paix . C’es t su r ce d e r ­n ie r po in t q u ’à l’heupe p résen te il re n c o n tre des pan ég y r is te s et d é trac ­teu rs . Les p re m ie rs son t s u r to u t de gauche et les seconds, de droite . C’est ju s te m e n t ce que n ous tro u v o n s dé­testable .

M. B r ia n d fait v is ib lem en t effort p o u r so r t ir de la po lit ique de parti , il ten d à deven ir u n h o m m e na tiona l, voire m êm e u n h o m m e in te rn a t io n a l , u n b o n E u r o p é e n : b re f il s e r o i u s e à r e s t e r l ’h o m m e d ’h i e r , il v e u t d e v e n i rl ’ho m m e de d em ain . C’est u n dessein louable. E t m a in te n a n t , q u ’il appo rte à l ’exécution de ce dessein passab le ­m en t de vanité , u n peu de p réc ip i ta ­tion, que lque im prévoyance , un cer­ta in m a n q u e de préc is ion ct ̂ de fe r ­m eté, b eaucoup d ’illusions, c ’cst p a r ­fa i tem en t possible et c’est m êm e p a s ­sab lem en t ce r ta in . Mais ce n ’est pas u n e ra ison p o u r lui en voulo ir à m ort, com m e d ’a u t re p a r t il n ’y a pas de quoi en fa ire u n p rophè te .

On a dit que son étoile co m m ençait à pâ lir . S’il est vrai, il serait fâcheux p o u r lui que ceux qui p ré te n d e n t la r a l lu m e r fu ssen t ces h o m m es d ’hier qu i s ’é ta ien t do n n é p o u r m ission d ’é te in d re les étoiles et qu i ay a n t la rge ­m e n t dé ten u le pouvo ir av an t-g u erre n ’av a ien t r ie n su o rg an ise r m p ré ­voir.

Q u a n t à ceux qu i ten d e n t à le dé­m o n é t ise r a u jo u r d ’h u i p eu t-ê tre ne

songent- ils pas assez que M. B riand rep ré sen te la F ra n c e et q u ’en a t te n ­d an t m ieux il im p o r te q u ’il la re p ré ­sente bien.

Le rôle du m in is t re des affaires é- t ran g e re s se ra i t de b eaucoup facilité si la gue rre avait été gagnée polit i­q u e m e n t com m e elle le fu t m il i ta i re ­m en t. S’il n ’en a pas été ainsi, à qui la fau te ?

C’est un su je t q u ’il n e fau t pas t rop ap p ro fo n d ir , m a is en c h e rc h a n t bien on t ro u v e ra i t que ceux-là qui son t re s ­tés si long tem ps b oudeurs , tel Achille en fe rm é sous sa ten te , u n iq u e m e n t occupés à dép lo re r le m a lh e u r des tem ps, y ont b ien leu r p a r t de res- poii:,;.hiiitc. j, r, . f

ÀCe q u ’il en se ra du p ro je t de F é ­

d é ra t io n E u ro p é e n n e ? V ra isem bla­b lem en t r ien po u r cette année . On déc idera de le so u m e ttre à u ne é tude p lus approfond ie . C’est d é jà que lque chose. E n pareille m a tiè re on ne peu t a ller t rès vite sous peine de fa ire fausse route . Ce q u ’il no u s fa u t sou­ha ite r , c ’est que le dit p ro je t ne soit pas p u re m e n t et s im p lem en t en te rré . Cela ferait c e r ta in e m en t p la is i r à ceux qu i ne voient la Pa ix assu rée que p a r la force des a rm es . Mais si ia force des a rm e s est une cond it ion p e rm a n e n te et nécessa ire de la Paix , elle en est, a u jo u r d ’hui, u n e cond it ion insuff i­sante . E n d ’a u tre s te rm es , il nous fa u t être m i l i ta i re m e n t trè s forts , m ais cela ne suffit pas. La force des a rm e s ne peu t a u jo u r d ’h u i serv ir q u ’à défendre une cause ap p ro u v ée p a r la conscience universelle , il f a u t q u ’elle soit sou tenue p a r u n s ta tu t ju r id iq u e in te rn a t io n a l . Ce s ta tu t ju r id iq u e in ­te rn a t io n a l , il f a u t t rava ille r à le dé­finir et à le co n s t i tu e r so lidem ent. Mais, p o u r cela, il faut d ’abo rd en re ­co nna ître la nécessité.

« II a a des m i l ie u x f r a n ç a i s ou é t ra nge rs , écri t e x c e l l e m m e n t , le t ' . Yves de la Brière, q u i m a n i fe s te n t que lque déplaisir, que lque im patience , lorsqu 'ils apprennen t, à propos de chaque problèm e polit ique , social ou religieux, que l’on accorde une place grand issan te à l’aspect in ternational de la question . D’au cu n s verraient presque, dans ce genre d ’études, une sorte d ’apostasie à l’égard du devoir nationa l et pa tr io tique . N ous so m m es désolé, p our notre part, de contribuer, une fo is de p lus, à ce genre de scan­dale; m ais force nous est bien de co n s­tater que l ' in terna tiona lisa tion de tous les prob lèm es consti tue l’un des caractères fo n d a m e n ta u x de la civ i­lisation con tem pora ine . Grâce à l’in ­terdépendance économ ique, la p én é ­tration m u tu e l le et la c o m m u n a u té progressive d ’ex is tence sociale entre tous les peuples , il n ’est p lu s une seule question de que lque im portance qu i pu isse être considérée sur le seul plan national. B on gré m a l gré, il est devenu ind ispensable , au n o m m ê m e des fa its , de la considérer pareille­m e n t sur le plan in terna tiona l. Le m eilleur service que l’on soit en m e ­sure de rendre à la patrie n ’est pas d ’ignorer le m o n d e in ternational, c o m m e s i n o t r e i g n o r a n c e allait l'eni- p ê c h e r d ’e x i s t e r ; m a i s cm c o n t r a i r e , de faire ten ir avec h o n n eu r à la patrie e lle-m êm e son ju s te rôle dans la vie in ternationale , au n o m du bien c o m ­m u n et de la solidarité de tous les droits ». Le reg re t té c a rd in a l Mercier, p o u r ta n t si p e r sé v é ra m m en t a t tach é à la pensée des ru in e s e t des deuils de la Belgique, pensa it exac tem en t de la m êm e m an ière . Il vou la i t lui aussi q u ’ex is tâ t la Société des N ations et il avait m êm e proposé que B ruxelles en fû t le siège.

C’est p réc isém en t ce à quoi il nous fa u d ra i t p en se r q u a n d s’ouvre u ne nouvelle session de l’E tah l is sem en t de Genève. Il f a u t lui so u h a i te r de ré u s ­sir et que celui-là qu i y re p ré se n te la F ra n c e p a rv ien n e à le fa i re avec d i­gnité , fe rm eté et succès — on n ’y t rava il le p eu t-ê tre pas au m ieu x en lu i fa isan t sy s té m a tiq u e m e n t m a u ­vaise presse.

A, Ch e n e t .

Un service départementalde secours contre l’incendie

e t autres calamités publiquesNous app renons que su r l’initiative

du C om m andan t Güesnest, inspec­teur d épartem en ta l des services d ’in­cendie et de secours, M. le Préfe t de l’Oise, p a r arrêté du 30 août, a nom m é une Com m ission spéciale appelée à ex am in er un projet, d ’organisation d’un service départem enta l de secours con­tre l’incendie et au tres ca lam ités p u ­bliques dans l ’Oise, ainsi que cela exis-, te d an s un g ra n d nom bre de départe­ments.

Cette com m ission se réu n ira h la P ré ­fecture de l ’Oise, sous la p résidence di M. Le Beau, p ré fe t de l’Oise, le mer credi 17 septem bre, à 14 heures, et1 présen te ra vra isem blab lem ent un rap-j port au Conseil généra l lors de la ses sion qui s’ouvrira le lundi 2 2 cou

r> !..' * N o m s Cro u s p n rrfrf le s m e rn h r e ” 1 c i^ v s

M i l l e s d’Honneup de la mutualitéPar décret présidentiel, les récom ­

penses honorifiques c i-après sont oe- e ïd é e s , pou r services ren d u s à la m u - tçidité, aux personnes de notre régio.n Omit les nom s suivent et que nous fé- l i l tons avec p la is ir ;T

Médaille d ’Argentm . Frénot, secrétaire trésorier de la

Société de secours m utuels d ’()rry-la- Vllle.

M. Santerre , société scolaire m u tu e l­le, à Varinfroy.

Médaille de BronzeM. Bergue Paul-D ésiré , délégué de Ta

variété de secours m utuels Union dé­partementale des sapeu rs-pom pie rs fin lO ise à Chamblv.

Mme Busserolli

de cette com m ission, les nom s en ce qui concerne l ’a r ro n d issem en t de Sen- lis, de MM. Gèorges-Picot, conseiller g énéra l ; Uhry, député, m a ire de Greil; le cap ita ine Launé, inspecteur dépar­tem enta l ad jo in t des services d ’incen­die et de secours à Crépy.

Monseigneur Le Senneéchappe à un accident

Une automobile transportan t Mgr Le Senne, évêque de Beauvais, en vacan­ces à S a in t-P ierre-de-Q uiberon , a heurté un ta lus p rès d ’A uray et a ca­poté.

Le prélat et les pe rsonnes qui l’ac­c om pagna ien t n ’ont eu que de légères contusions.

La main-d'œuvre agricole roumaineUne convention de travail et d’é­

m igration ayan t été signée il y a quel­que temps entre la F rance et la Rou­m anie, des travailleurs agricoles rou­m a in s peuvent être p rocurés aux em ­p loyeurs frança is qui eu feront la de- " ’Ua T ransy lvan ie et plus pariicuuc-rem ent la région d’O radea Mare semble devoir être ia zone où s’opéreront les p rem iers recru tem ents .

La région d ’O radea Mare c-t essen­tie llem ent agricole et les hab itan ts des villages sont des p ay san s habitués a tous les travaux agricoles. Ils culti­vent les céréales, les p lantes sarclées, le lin. Ils sont très au couran t de l’é­levage du bétail. Ils sont généralem ent sobres et sem blen t devoir apprendre facilem ent le f rançais , le roum ain é- tan t uhe langue latine.

Comme dans la p lu p ar t des pays de l’Europe Centrale et Orientale, la traite des vaches est gén é ra lem en t effectuée p a r les fem m es. Us vachers ne peu­vent donc être recru tés q u ’en petite quantité et une période d’adaptation sera nécessaire pour les mettre au cou­ran t du fonc tionnem ent de l’étable et surtout de la traite telle que nos va­chers 1a, p ra t iq u en t en F rance . Les bouviers sont en nom bre suffisant.

Les charretiers, tels q u ’on les con­çoit en F rance , n ’existent que ra re ­m ent en Roum anie , ce fait é tant com­m un à ce pays et à beaucoup de pays de l’Europe Centrale et Orientale. La

turc d an s ces contrées est, en effe*

.» < t..m u t u e l -

net;!<■ -ClVerberie.

M alneux Ar-

D É P A R T E M E N TA v i s d e C o n c o u r s

Un concours su r titres pour la n om i­nation d ’un M édecin-Inspecteur d é p a r ­tem enta l d ’hygiène sera ouvert à la P réfec tu re de l ’Indre , le 15 Octobre 1930.

Ce concours est réservé aux m éd e­cins hygién is tes exerçant ou ay an t exercé des fonctions san ita ires pub li­ques et aux d iplôm és des Institu ts d ’hygiène un ivers ita ire f ran ça is ayan t m oins de 45 ans,

Les rense ignem en ts su r les condi­tions du concours, pièces à produire, t ra item ent, etc., seront foiirilis a u x in ­téressés su r dem ande adressée, avant le 25 sep tem bre , à la P réfec tu re de l’Indre, è Chàteàuronx, à la P ré fec tu ­re de l’Oise (deuxièm e division), ,k Hrfiovni*, fia üuw «m

Nominations dans le ClergéM. le chanoine Boclet, chancelier de

l’Evêché. est nom m é chanoine titulai­re, en rem placem en t de Mgr Dubois, doyen du chapitre.

M . le c h a n o i n e G r is o n , c u r é - d o y e nde Betz, est nom m é chanoine titu la i­re de seconde création et secrétaire de l’Evêché.

MM. les abbés Hallier et de Brunier, prê tres de la dernière ordination, sont nom m és pro fesseurs à l ’Ecole Sainte- M arie du Moncel.

M. l’abbé Henrio, p rêtre de la der­nière ordination, est no m m é curé de Morienval, et chargé de F e igneux et de Fresnoy-la-Rivière .

M. l’abbé Rapp, prêtre de, la dern iè ­re ordination a été no m m é aum ôn ie r de l’Hôpital des jockeys, à Chantilly.

Conseil Général de l’OiseC’est le lund i 22 septem bre, à 14

Heures, à la Préfecture de l’Oise que 1c Conseil Général d.- l'Oise tiëndré «à ordinaire H» trouQUI M H fffS t i o i r n u q u ê t e s Joui *

I en trè 5 forêts de

de la ré-

cim oins i . ,s f i v e n t c o n d u i r e l e s c h e v a u x e t lat iOTIrer, ils sont plus ra rem en t au courant' de la conduite des m ach ines modernes telles que m oissonneuses , faucheuses, faneuses, d is tr ibu teurs d ’engrais , se­moirs, etc... Un com plém ent de fo rm a­tion en F rance se ra donc nécessai­re.

Les bergers sont peu nom breux mais quelques bergers spécialisés peuvent être recrutés. Ils sont accoutum és à des races ovines p lus rus t iques que les nôtres.

P a r contre, les h o m m e s à toutes m ains dont nous avons de g ran d s be­soins sunl très nom breux . Ils sont très au courant des différents t ravaux agri­coles et savent en généra l conduire les a n im a u x (chevaux et bœufs). A près un court sé jo u r , il sera certa inem ent pos­s ib le de fa ir e de certa ins d’entre eux d ’e x c e lle n ts ch a rre tiers .

Les bût hérons e x is te n t au g ra n d n o m b re , p ro v en a n t de T r a n sy lv a n ie .

Les “exploitations agricole- gion sont généra lem ent petites. Aussi les f e m m e s savent ra rem en t soigner et traire dix vaches. Il leur faudra i t pour cela une période de perfec tionnem ent et d ’en tra în em en t dans nos exploita­tions françaises . P a r contre, presque toutes les fem m es peuvent facUenTPrrsi t ra ire c inq vaches. Elles connaissent égalem ent les différents t ravaux agri­coles.

Des restrictions existent com m e dans tous les pays pour le recru tem ent de la m ain -d 'œ uvre fém in in e . Le contingent accordé pour débuter se ra limité et il sera nécessaire de d em ander le re ­c ru tem ent d’un nom bre d ’hom m es au m oins égal à celui des fem m es. Cette règle est un peu celle qui p résidait aux recru tem en ts d ’ouvrières polonaises ju s q u ’à ces tem ps derniers.

Avant de déposer des contrats pour ouvrières il y a lieu de consulter le Service de la M a in -d ’OEuvre et de l’Im ­m igra tion agricoles su r les d isponib i­lités du m om ent.

Comme d an s tous les pays à na ta ­lité norm ale , le» m énages sans enfoui» çy tmtlVÊhi Pf| imbibée Unifié, tiers fa- ptitfvq. déflircM’îi-» de fcsttfi' en FrSrpfl*

«tr? .rsàfüUss#!

Mme Capton, née Hum ain Adrien n |% larie-Louise-H enric tte , trésor ière 1 de section de la société scolaire de si'- ! cours m utue ls et de re tra ite de la c ir ­conscription de Senlis à Verberie.

M. Cuel F e rn an d , p rés iden t de la so­ciété de secours m utuels des anciens combattants du canton de Grépy-en- Viilois.

M. Delacroix P au l-C harles-E dm ond . président de la société de secours m u ­tuels d ’Ivors.

M. Frém ont Louis, délégué de la so- ciélé de secours m utue ls de Verbe- rie.

M. G authier Louis-Jean-M arie , se­crétaire de la société de secours m u ­tuels la Solidarité cham an ta ise à Cha­înant.

M. Kayser Florent-Em ile , trésorier de section de la société scolaire de se­cours m utue ls et, de re tra ite de la cir- consc i ipt-ion de Senlis à Précy-suï*- Gise.

M. Morel Furcy, a d m in is t ra teu r de la société de secours m utuels Union mutuelle de Duvy.

M m e Nocq, née M artin Camille, dé-. ... ttfc-Iey™ /• -- . -T rt . i rt, / ï,* I C* I O île» C O 1*1 II l I' D 111 —tue!s de \ erhoTie.

M. P énard Loüis-Joseph-A ntonin , président de la société de secours m u ­tuels de Sain t-M axim in .

Mme Robquin, née Bléry G erm aino- Gharlotte, trésorière de section de la société scolaire de secours m u tu e ls et de retraite de la c irconscrip tion fie S e n l is .à d ia m a n t .

M. Simon Mauriçe-Alexis, trésorier de section de la société scolaire de se­cours m utuels et de re tra ite de la cir- conscriptien de Senlis.

M. Varloquet Pierre, t résorier de la société de secours m utuels de Fon la i­ne-Chaftlis, à Fontaine-Chaâlis .

Ment i n n s h n no rable sM. Ardouin Pierre, a d m in is t ra teu r

de section de la société de secours m u ­tuels Association des ja rd in ie rs de France, à Pont-Ste-M axeneo.

M. Brisset Sylvain, t résorier de sec- lion de la Société scolaire de secours mutuels et de re tra ite de la c ircons­cription de Sentis, à Betz.

.M. B ruhet A ndré-H enri, t résorier de la société de secours m utue ls de Bé- Ihisy-Saint-Martin.

;j\I. Caron Georges, trésorier de la so-

A traversPharmacie ouverte i

‘Dimanche 1 4 septembre ; Pharmacie Lesage pie ;e H enri- IV .

Avis. La Ville de Senlis (Oise) dem ande

de suite un GARDE CHAMPETRE, cet em ploi conv iendra i t de p ré fé rence à un garde chasse ou à un gendarm e, bonne situation, logé et habillé, congé annue l et retraite.

Adresser les d em andes au Secrétai­re Général de la Mairie de Senlis.

4008

(Poids e t mesuresLa vérification des' poids et m esures

au ra lieu à là M airie de Senlis, les 17, 18 et 19 septem bre p rochains .

Le 17 septem bre, de 9 heures à midi. Le 18, de 13 h. 30 à 16 h. 20.Le 19, de- 13 h. 30 à 16 h. 30.

M. Têtard est nommé notaireNous app renons que p a r décret p ré ­

sidentiel du 8 septem bre dernier, M. Gustave Tétand.-est nommé, aux fonc­tions de notaire, en résidence à Senlis, en rem placem en t de M. Clovi| Petit, son beau-père, d ém iss ionna ire en sa faveur.

Depuis de longues années, M. Têtard qui apporta i t sa précieuse et intelli­gente collaboration à M* Petit, p rend une charge q u ’il connaît ad m irab le ­ment. La nom breuses et fidèle c lien­tèle de cette im portan te étude conti­nuera. com m e p a r le passé, à 1 u i don­ner son entière confiance et <à donner à son nouveau ti tu la ire la m êm e m a r ­que d ’estime q u ’elle témoignait à son

rédéeesseur.M. Petit était le doyen des notaires

des a rrond issem en ts de Compiègne et de Sentis, il exerçait, dans notre villedepuis bientôt 45 ans.

M. Petit ap rès toute une vie d ’activité et de travail a droit à un repos bien gagné. Nous lui souhaitons d’en jou ir pen d an t encore de longues années et nous adressons à M. Têtard , nos s in ­cères com plim ents.

La Flamme du SouvenirM ardi dern ier , une tren ta ine de

m em bres de la Section de l’(J. N. C. de Senlis, se son t-rendus ,à P ar is , pour y accom plir un geste sym bolique au Poilu inconnu.

Précédé du d rapeau de « La F la m ­me » porté p a r M. Rigault, et de celui de la Section de Senlis de l’IJ. N. C., porté p a r M. Guizelin, le groupe a g a ­gné l’Arc de T riom phe, où après le cé­rém onial d ’usage, la, m inu te de silence respec tueusem ent observée, M. Gazeau, p rés iden t de la Section, entouré de ses cam arades , a ra n im é la flamme du Souvenir et de la R econnaissance sur la tombe du Poilu inconnu.

M om ent ém otionnant, s’il en fut un, dont les A nciens C om battants présents g a rderon t le souvenir.

x-rfectionnée et si les p a y s a d e secours m utuels l’Espérance' l( T'U'ili î nos.

M. F eu try Maurice, t résorier de la société de secours m utue ls Union m u ­tuelle de Duvy.

M. l lennequin Ju s t in -P ie r re -Ju les , trésorier-adjoint de la société de se­cours m utuels de. Pontpoint.

Mme Lamouche, née Jaffré A ugusti- ne-Jeanne-Alexina , trésorière de sec­tion de la société P o la i r e de. secoui mutuels et de retraite de la c ircons­cription de Senlis, à F resnoy-la-R iviè- rc.

M. Lem arié A natole-Pierre , a d m in is ­trateur de la société de secours m utuels de Saint-M axim in.

M. Lepellerin Désiré, v ice-président de la société de secours m utue ls de.- anciens e*m battan ts de Précy-su r-G i- se.

M. Me,us iner Théodule, adm in is tra t&ur de la société de secours m utin 1 de l’orfèvrerie d ’Ercuis, à Belle-Eglise • M. Pelet Alfred, a d m in is t ra teu r de

la ociété m utuelle de retraite des. an S en s combattants, à Goye.| Mme Privât, née Hum ain (Renée- Andréa-Paula-Héloïse, trésorière de section de la société scolaire de secours mutuels et de retraite de la c ircons­cription de .Senlis, à V incu il-Sa in t- Fii-mi».

_ , - \ U R enard Cyriile-Arthur, v ice-pre- sident de la société de secours m utue lsT lvors . .| M. R idoux A lfred-Elodie, a d m in is t r a ­teur de la société de secours m utuels des anciens com battan ts de P récy -su r-

*M S o m m erm o n t R ené-Jean -Joseph , trésorier de sec t io n de la so c ié té s c o la i­re de seco u rs m u tu e ls et de retra ite de la c irc o n scr ip tio n de ^ e n lis , a M a­

i l T o u rsière Louis, a d m in is tr a te u r de la s o c ié té de secoure m utuel-- 1 L p érance de F le u n n e s .

M. Viet Henri-Albert-Loiu-, -en .-- taire de section de la société m te ip rc

. fessiorinelle de la région de Creil, Mon- tataire, Nogent-sur-Oise et environ-, a Sa'int-Vaast-les-Mello.

M. Violet Henri, trésorier de «erlton flv 1s.. socJéié m utqe tR île rclraila tiucuîjje sbnibçft? 0 !’ 1 *

L e l l l C à l l C « J e N o ë l O » d o n

Qui ne connaît dans le « Tout S en ­lis » le T héâ tre de Noël O u d o n ? Nous som m es heureux, san s en être surpris , de trouver, dans l’im portan te revue les Eludes , sous la s igna tu re d’A lphonse de P a r v i l l e z l’appréc ia tion élogieuse que voici ;

« Toute une ava lanche de jolies p iè­ces pour nos théâtres d ’œ uvres : l ’a u ­baine est, rare . P our en fan ts et pour adultes, pour jeu n es gens et pour j e u ­nes filles, prose ou vers, com édies ul­tra -m odernes ou parodies classiques r ien de p lus varié que ce théâtre , où tous les désirs sont p révus et sa tis­faits. Sous cette diversité se retrouve pou r tan t un tra it c o m m u n : aucune de ces petites œ uvres ne m a n q u e d ’es­prit, aucu n e n ’est indifférente.

Les contes de P e r ra u l t ont fourn i à l’au teu r une sorte de varia tions im p ré ­vues et ch a rm an te s qui feron t la joie des e n fa n ts ; et les parodies du Cid, d ’H ernani, de Cinna, d ’Iph igénie et de Cyrano enchan teron t les collégiens. M ais les cercles d ’a m a teu rs et les sa ­lons, à leu r tour, au ro n t de quoi r a ­jeun ir leur répertoire, et tous les im ­présarios seront reconna issan ts a l’o rig inal au teu r qui leu r apporte d ’un seul coup une telle abondance de b ien ­faits ».

EG-il nécessaire d ’a jou te r q u e j ’on peut trouver ce ch a rm a n t Théâtre , v ing t-c inq pièces, sept m onologues, —■ à Senlis m êm e, chez l ’auteur, 12, rue de Meaux.

A. C.

Toujours à propos du tournant de Malgenest

Nous recevons de M. le Comte Ar- nau ld Doria, le dévoué président du Comité de l’a r ro n d issem en t de Senlis, la lettre suivante que nous nous fa i­sons un devoir de pub lie r in-extenso :

Ggnon, p a r B arbcry (Oise)5 sep tem bre 1930.

M onsieur A ndré M archerez, Délégué du Touring-Glub de . F rance , à Soissons (Aisne),

Monsieur,.le viens de lire, dans le n um éro du

de la le tire que vous adressez au P ré ­sident du T ouring-C lub de F rance poura t tirer son attention — ce dont je ne sau ra is trop vous féliciter — su r 1111 poin t p a r t icu liè rem en t dan g ereu x de la Route Nationale n 0 32, situé su r la crête de Malgenest, en tre le v irage du m êm e nom et Le P less is -C ham ant.

Vous avez été victime, le 3 août, d ’un grave accident en cet endroit et vous en s ignalez une série d ’au tres qui ont mi lieu, ces dern iè res sem aines, à la m êm e place. Il sont év idem m ent cau ­sés p a r le profil trop bom bé de la rou ­te, rendue de ce fait ex trêm em en t g lis­sante p a r tem p s de pluie. Vous d e m a n ­dez au P ré s id en t du T. G. F. d ’in terve­n i r au p rè s des autorités com pétentes pour que cet état de choses cesse au p lu s tôt.

Je tiens à vous fa ire savoir que j ’ai été, moi aussi, ém u p a r tan t d ’acci­dents — le 15 août m a voiture re m e n a à Senlis une jeu n e fille blessée p a r suite d ’un capotage à cette m êm e p la ­ce — et je 'v ie n s vous co m m u n iq u e r le résu lta t des d ém arch es que j ’ai c ru devoir faire, depu is trois sem aines, a u ­près de l’adm in is tra tion .

1° D’accord avec- M. l ’Ing én ieu r des P on t et Chaussées de Sentis, des po-iffflyv. i 11/1 i (' d Icvi 1 r“< nifAuls naF i’AulO-mobue-cmiD cio r ife-de-u i‘am <\ et m en tio n n an t que cette route est d a n ­gereuse p a r tem ps de pluie ou gel, vont être incessam m en t posés à chaque ex­trém ité de la partie m auva ise ;

2° J ’ai en outre offert, au nom de l’A’.C. I. F., une subvention aux P on ts et Chaussées pou r que la route n a t io n a ­le n° 32, d an s sa, partie exagérém en t bombée, soit, dès m a in ten an t aplanie . La dépense prévue étant très élevée, et notre subvention, hélas ! insuffisan te ; cette réfection ne p o u rra être co m m en ­cée que lorsque l ’adm in is tra t ion a u ra les crédits nécessa ires pour l’en tre ­p rendre . M. Bedaiix, In g én ieu r des Pon ts et Chaussées, m ’a donné l’a s s u ­rance q u ’il ferait l ’impossible pou r que ce travail soit effectué dans le couran t de 1931. Mais il a, dès m a in ten an t , don­né des o rdres pour que l’on je tte du g rav ie r su r la partie la p lus d é rapan te de la route; celle-ci se ra ensuite cy­lindrée. Les aspérités causées p a r le g rav ie r encas tré dans le goudron re n ­d ront la chaussée m oins lisse, donc m oins g lissan te qu an d elle sera m ouil­lée ou hum ide. Cette opération se ra répétée si besoin est.

Afin de dégager la Roule N ationale n° 32, trop étroite pour la c ircu la tionin te n se o u i y r èg n e , et de d o n n er a u xnom b reu x cyclistes une cliaussee ro u ­ante et praticab le p a r tous les tem ps,

j ’ai, depuis un an, sollicité les socié­tés de tourism e, les c lubs au tom obi­les, les par t icu liers et les com m unes pou r ob tenir la som m e nécessa ire à la construction d ’une piste cyclable su r cette route depuis la sortie de Senlis ju s q u ’à la côte de Verberie. L a dép en ­se totale d épasse ra 100.000 francs . Les im portan tes subventions recueillies à ce jo u r — celle de TA. C. I. F. est de 13.000 f ran cs — m e perm etten t d ’espé­rer que, bientôt, cette piste p o u rra être établie.

Je voulais porter à votre conna is ­sance tous ces projets , afin que vous sachiez que le comité de l’a r rond isse m e n t de Senlis de TA. C. I. F. ne se dés in téressa it pas des questions ro u ­tières de sa région et sera it m êm e très h e u re u x de voir le T. C. F, encourager ses initiatives et ap p u y e r ses démar-. ches.

A insi secondé et s tim ulé p a r le con­cours de TA. C. F., du T. C. F., de TA. G. I. F., et des Syndicats d ’in it ia tives de Senlis et de Compiègne, l’a d m in is ­tra tion des Pon ts et Chaussées p a r ­v iend ra bientôt, je l ’espère, à d onner a ux usagers de. la route, na tionale h ° 32 p lus de confort et de sécurité.

Je vous prie d ’agréer, Monsieur, l ’a s ­su rance de m es d is tingués sen tim ents .

Comte A rn au ld D o r i a ,

Président du Comité de l’arron­d issem en t de Sen lis de l’A. C. I, F.; M em bre du Conseil d ’A d ­m in is tra tion de VA. C. I F.

Passage d’un globe-trotterLe su je t polonais Z a lm a n n M alans-

ki, 23 ans, qui a en trepris , il y a 2 mois, le tour de l 'Europe, à bicyclette, a été de passage à Senlis jeudi der­nier, où il a fait apostiller son livre de route p a r le service de la police.

11 a dé jà p a rcou ru l ’A llem agne, la Russie, l ’Autriche, la T ch é c o s lo v a q u ie , rt la Fhfisse. Il ve-fi dirigé su r Calais»01» fi FrOVfitSrduPrr! fifitfi' T Vii(fl«4c.r rç

Passage de courseD’après des rense ignem en ts fou rn is

pou r le service de la police, la Société « Cyclo-Club Greillois » organ ise p o u r le d im an ch e 21 sep tem bre cou ran t une course cycliste su r le p a rcou rs Creil- Senlis-Creil.

P assag e à Senlis à I I heu res 30.A l’occasion de cette course, un ser­

vice d’ordre 'icra assuré, p w là police iqqnlojpéiR d a n , le» “«nfiJffijHiS tùaûu j

Page 2: COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1930_09_14_MRC.pdf · M. Le Beau, préfet de l’Oise, le mer credi 17 septembre, à 14 heures, et1 présentera vraisemblablement

LE COURRIER DE L ’OISE

Club sportif senlisien : / Assemblée générale

L ’assem blée généra le o rd ina ire des m em b res du Club Sportif Senlisien, a u ­r a lieu sam edi 13 sep tem bre 1930, à 20 heures 45, au siège, Hôtel de Ville (S a l­le des Réunions).

Ordre du Jo u r :1° R apport p a r M. le P rés id en t de la

C om m ission Sportive su r la saison 1929-1930.

2° Compte ren d u m ora l et f inancier p a r le Secrétaire.

3“ Election et renouvellem ent des M em bres du b u reau et des C om m is­sions.

4° N o m in a tio n de C a p ita in e s d ’é q u i­p e s e t c o m p o s it io n d es é q u ip es .

5° A ttributions d iverses pour la sa i­son 1930-1931.

6° Q u e s tio n s d iv e r se s .Le Président

de la C om m iss ion Sportive , A ndré F u ig a u l t .

[ *M atch du 7 sep tem bre 1930

à A v i l lyC. S. Senlis (1), b a t C. S. Avilly-St-

L éonard p a r 3 bu ts à 1.Pa r t ie jouée très amic/ilemep! p a r

'deux équipes, chez lesquelles le m a n que d ’en tra în em en t se fa isa i t sentir.

Avilly possède de bonnes ind iv idya lités, la défense n o tam m en t p a ra î t a hau teur .

Senlis a p résen té u n e défense un peu boiteuse p a r suite d ’absence des t i tu ­laires, m a is d isons que les r e m p la ­çan ts s ’en t irè ren t fort b ien et défen diren t leurs couleurs avec u ne éner gie fa rouche ; p a r contre l’a ttaque s ’avère com m e devant fo u rn ir au cours de cette saison u n jeu offensif des p lus rem arq u és .

Bon début et espérons que d im an ch e p ro ch a in nos rep ré sen tan ts ferontm ie u x en co re .

M atch du 14 sep tem bre 1930 à 11 heures

C. S. A villy -Sa in t-L éonard (1), con­tre C. S. Senlis (1).

M atch re tour de d im an ch e dern ier

3ui va se jo u e r su r le coquet te r ra in u boulevard P a s te u r qui a reçu de sé­

r ieuses am éliorations.P o u r son p rem ie r m a tch à Senlis, le

onze « m a r in e violet » a u ra à cœ ur de renouvele r sa victoire de d im anche de rn ie r et de fa ire ass is te r le public à u n m a tch p a r fa i t su r toute la li­gne.

P r ix d ’entrée au te rra in , 1 f ranc .— — t-------

La question des sportsau Conseil municipal

A insi que nous l’avons re la té d an s le 'compte ren d u de la séance du Conseil m u n ic ip a l que nous avons publié dans notre dern ie r num éro , M. Hallo, a don ­né lecture d ’u n excellent ra p p o r t au su je t de la question des Sports qui, on le sa it in té resse pa r t icu l iè rem en t tous les am is des Sports de notre ville.

Nous croyons utile d ’en pub lie r les p r in c ip a u x passages Le Sport est ac-tlipllomonl /> \̂ r\r*Arscs idn 11 paldu devoir de toutes les M unic ipalités de doter les Société Sportives ré g u ­l iè rem en t constituées, d ’un te r ra in de j e u susceptib le de donner toute sa tis­faction.

Le p ro je t d ’équ ipem ent na tiona l dé­posé p a r le G ouvernem ent su r le b u ­re a u des C ham bres prévoit une som m e de trente m ill ions pour la création et l ’a m é n a g e m en t de te r ra in s de jeux .

Nous avons penst que le m o m en t é- ta i t venu de profiter de cette occasion p o u r nous p ro cu re r les ressources n é ­cessa ires à l ’achèvem ent de cette œ u ­vre si b ien com m encée p a r M. Esca- vy et la M unic ipali té précédente.

' La Com m ission a estim é que les t r a ­v a u x d é jà fa its au stade et consis tan t p lu s par t icu l iè rem en t en ap p o r t de terre et en n ivellem ent du te r ra in se sont élevés à 33.200 f rancs , il res te­ra i t à fa ire po u r environ 25.000 f ran cs de t ra v a u x de te rra ssem en t, soit au to­ta l 62.000 f ra n c s environ. Ces t ra v a u x ont été exécutés en régie p a r les ser­vices de la Ville et doivent p a r consé­quen t en tre r en ligne de compte dans le m o n tan t total de l’am én ag em en t . Il re s te ra i t donc po u r com pléter le t r a ­vail à exécuter les am élio ra t ions su i­van tes :■Rr»i«iir.n fff» Hn taupoin.

lage poijr u n total d e . . . 9.587 fr.Insta l la t ion pou r arrosage

et a lim en ta tion éventuelle d ’une salle de douches p o u r u ne som m e d e . . . . 26.542 fr.

E tab lissem en t d ’u n sau to ir 1.000 fr. E tab lissem en t d ’u n porti­

que ............................ 4.000 fr.E tab lissem en t d ’u n basket-

ball .................. 1.500 fr.

Soit au to ta l ................... 42.629 fr.Ce qui fe ra i t u ne dépense généra le

de 105.000 f ra n c s environ pou r ren d re ce te r ra in des sports abso lum en t p a r ­fait. Nous pouvons y a jo u te r u n e som ­m e de 11.000 f ra n c s po u r p lan ta tion d ’arb u s tes au to u r du stade.

La ville de Senlis peu t p ré ten d re sur cette som m e à u n e aide de l ’Etat égale à 50 % du m o n ta n t d u devis. La dép en ­se que la C om m une a d é jà faite cons­titue sa p a r t d an s la totalité du devis de sorte que la subvention de l ’Etat serv ira i t à exécuter les t ra v a u x neu fs qui v iennen t d ’être ind iqués et p a r a ­chèverait to ta lem ent l’œ uvre co m m en ­cés. De ce fait, la Ville n ’a u ra i t p lus r ien à débourser.

C onform ém ent a u x conclusions du r a p p o r t de M. Hallo, le Conseil a p r isix l ’u n an im ité un© délibération afin desolliciter la subvention en^question et constituer le dossier rég lem enta ire , é- ta n t fa it observer q u ’aucu n e décision n ’in te rv iendra , q u an t à l ’a ttr ibution de cette subvention, avan t l ’adoption p a r les Cham bres, du pro je t d ’équ ipem ent na t io n a l d an s lequel sont inscrits les crédits nécessa ires ,

* ------Médaille de la Prévoyance sociale

Nous ap p ren o n s p a r la voie du J o u r ­na l O ffic ie l , que M. Georges G handa- voine, t réso rie r de la Caisse d ’épargne 'de no tre ville, vient de se voir décer­n e r la M édaille d ’or, p o u r services re n d u s a u x œ uvres de p révoyance so­ciale.

Noqs adressons à M. Guandavoinc, nos plus sineères com plim ents.

S

A v i sM adam e W ÈTZEL-C A V A D IN I, ,

C h a u ssu re s 3. Rue R ougem aille à S E N L I S

in fo rm e sa nom breuse clientèle q u ’elle a cédé à com pter du p rem ie r octobre p rochain , son m a g a s in à M adam e G erm aine Matellier, de Chantilly, qui exp lo ite ra u n fonds de com m erce de Bonneterie et de Dentelles.

M adam e W etze l-C avad in i t ient à re ­m erc ie r sa fidèle clientèle de la con­fiance q u ’elle lui a tou jo u rs tém oignée et l ’in fo rm e q u ’elle continue à Sain t- M axim in , la vente des chassu res q u ’el­le fa isa i t valoir à Senlis. Sa clientèle se ra certa ine d ’y t rouver un choix c o n ­sidérable de chaussures , à des q u a li­tés et à des p r ix défiant toute concur­rence. 4601

Une affaire d’injuresM adam e F leuron, née Chen.ey.ais Cé­

cile, 38 ans, m anouvriè re , rue des Fours à Chaux, à Senlis, a porté p la in te au P a rque t , contre M. Roulet Georges, b rocanteur, ru e de l ’A pport au Pa in , à Senlis, pour in ju re s publiques.

M. K astner, co m m issa ire de police, chargé de l ’enquête, a en tendu les deux parties, pou r é tablir la pa r t de vérité i dan s cette affaire.

De l’audition de M, Roulet, il résulte que M m e F leuron lu i m an ifes te une certa ine an im osité , du fait q u ’il a dé­posé com m e tém oin devant M. le Juge d ’ins truc tion , d an s l’affaire du d ram e de la rue des F ours à Chaux. Elle lui a u ra i t dit n o tam m en t q u ’elle l ’au ra i t d ’une façon ou d ’une autre,

M. le C om m issaire de Police a invité la p la ignan te à se pourvoir, à ses r i s 7 ques et périls , devant la ju r id ic t ion ci­vile com pétente (Juge de P aix) et si elle le ju g ea i t opportun.

Faits de police— Deux contraventions ont été rele­

vées p a r la police m unic ipale , à la ch a rg e de deux automobilistes, pour d é fa u t d ’éclairage de leu rs véhicules.

— Procès-verba l a été dressé à la charge de M. F aub lé René, ajusteur, pou r passage à bicyclette su r une pas­serelle in terdite (passerelle de la rue Carnot).

— X... a u ra i t lancé volontairement un e p ierre su r la tête d ’un chien tenu en laisse et lui a a ins i crevé un œil.

S u r plainte , enquête ouverte par la police.

— M. Fauchet, a m is à la porte, sa fille Eugénie , âgée de 15 an s qui j j ^ t érecueillie p a r M. Redeaux. Enqiic-----verte.

— Procès-verba l a été dressé à l’er- I contre de M. M orin Fabien , architecte ! 4, rue de Villevert, pou r défaut de clfi- ; tu re d ’un te r ra in vague, sis à l ’angle

de la ru e du T em ple et de la rue de ja R épublique et qui est devenu u n véri-

i table dépotoir public.— Contravention a été relevée p a r Un

agen t de service au théâtre à la chat-; ge du s ieur Letr ionnaire Jean , 24 ans,

garçon coiffeur, à Senlis, qui fumait dans la salle du théâtre, au cours d’uiP représen ta t ion c iném atographique.

f— On a volé des poires et au to s fru its , pour Tme va leur de 100 franfs environ, dans la proprié té clôturée de M. de Yalroger, 4, place de Creil. *

P la in te et enquête.— On a volé des pom m es de terre

su r pied d an s un ch am p appartenant à l ’hôpital. Enquête et surveillance de police.

CHANTILLYCONSEIL MUNICIPAL E L Y S Ë E -C H A N T IL L Y

: ' 0 À H t ; 1 0 9 A I - - - - SA N S A U G M E N T A T IO N D E P R IXde la sealice du 5 septembre 1930 . . DEUX DES pLUS g r ANDS SUCCES - -Présents : MM. Joly, maire ; Leroux et | .......................d u p a r a m o u n t

Leclercq, adjoints ; Taupin, Dambly, Gi-

i

I « d r a m ede la rue des Fours-à-Chaux

M. K astner, C om m issaire de Police, a reçu cer ta ines ' révélations concer­n a n t l ’affaire de la rue des F ours -à - Chaux, et qui p o u rra ien t éc la irer plus am p le m e n t J a justice.

Ce m ag is tra t s ’est em p ressé de les porter à la conna issance de M. le Juge d ’instruction.

Plus rapide... Plus économique...que la voie ferrée

Service Rapide JournalierPARIS - CREIL - SEIMLISNogent-sur-Oise - MontataireH. PROT

J r3 C ia .it D é p o t a à P a r l a

Creil : M°° H u o t , 26, rue de la Républi­que. — Tél. 2,65.

Montataire : M-’ S t-A lb in , 124, rueJean Jaurès.

Nogent-sur-Oise : M0" D e n i s , 2, rue del’Aubier.

Senlis : M°" L eclerc, 61, rue de la Répu-

Infraction à la policedes cours d’eau

Procès-verba l a été dressé, p a r le garde riv ière Pelle tier Arsène, de Bo- rest, à M. Cottin, industrie l, place St- M artin , à Senlis pour in frac t ion à la police des cours d ’eau (non enlève­m en t d’herbes fauchées dans u n bief de la Nonette).

A cet effet, M. le C om m issaire de P o ­lice rappe lle à tous les r iv e ra in s do ce cours d ’eau local, q u ’il existe un S y n ­dicat de protection de cette riv ière dit « Synd ica t de la Nonette ».

Ge Synd ica t est régi p a r u n e o rdon­n ance royale du 14 avril 1847. Aux te rm es de l’article 6 de ce règlem ent, les usin ie rs et industr ie ls r ivera ine sont tenus d ’enlever l’herbe fauchée d an s leur bief.

Le Synd ica t de la Nonette, ap p u y é p a r le service hydrau l iq u e com pétent s ’est efforcé, depuis quelques années, de fa ire respec te r le règ lem en t p ré ­cité.

Le non en lèvem ent des herbes p a r l ’us in ie r de chaque bief cause un gros p ré jud ice à cer ta ins u s in ie rs d ’aval.

Il est donc d ’in térê t généra l de veil-x. ■ *-* . ù e i^ W o » t .

M. le C om m issa ire de Police r a p p e l ­le, en outre, q u ’un a rrê té préfectoral, en date du 31 août 1906, et tou jou rs en vigueur, in terd it formellement, à tous les r ive ra in s et par t icu lie rs de je ter d an s la Nonette des détritus, ordures, a n im a u x crevés, et toutes au tres m a ­tières quelconques, a in s i que de fa ire écouler des herbes et au tres p roduits de t ra v a u x exécutés su r cette r iv iè ­re.

Des surveillances seront f réq u em ­m en t exercées p a r le service de la po­lice locale pou r veiller à l ’application des règ lem ents précités.

Les in frac t ions constatées feront l ’objet de p rocès-verbaux réguliers et donneront lieu à des poursu ites j u d i ­ciaires.

RENTRÉE DES CLASSES

Police des débitsLe service de la Police a notifié à

M m e veuve Cayla, née C harlier J e a n ­ne, ex-débitante rue V ie ille-de-Paris , à Senlis, q u ’elle ne p ou rra i t exploiter le r e s ta u ra n t q u ’elle se proposait d ’ou­v r ir au x lieu et p lace de son anc ien débit qui a été fe rm é définitivement p a r autorité de jus t ice et m esu re de police, à la suite d ’une condam nationc o r r e c t i o n n e l l e s u b i e p a r l a t e n a n c i è -re, pou r excitation à la débauche. Cet­te dern ière condam nation e n t ra în a n t u n e incapac ité d ’exploiter u n établis­sem ent de ce genre, p e n d a n t une d u ­rée de 5 ans, p a r app lica tion de l ’a r t i­cle 4 de la loi du 5 novem bre 1915, rég lem en tan t l ’ouverture de nouveaux débits.

Passage sur passerelle interdite— Contravention a été relevée p a r la

police m u n ic ip a le à la cha rge de M. Decreqse Benoit, 65 ans, ja rd in ie r , rue a u x FlageâFds, à Senlis, pou r c ircu la ­tion à bicyclette, su r la passere lle de la rue Carnot, dont l ’accès est fo rm el­lem en t in terd it aux cyclistes et cava­liers, p a r l ’a rrê té m u n ic ip a l du p re ­m ier août 1906, toujours en vigueur.

jr II

Fournitures Générales p u r Ecoliers

Spécialité de SERVIETTES et TROUSSES deen to u s g en re s

LIVRES CLASSIQUES

ehezJS ™ R a n c e O U B O I S - h E R O Ü X

5, place de la Halle, Senlis4571

Service des EpavesD ans la sem aine écoulée, les trou­

vailles su ivantes ont été déclarées au C om m issar ia t de police (Service, dés Epaves) :

— Un étui noir, con tenan t un comp­teur de très petit modèle.

— U n veston po rtan t une décoration ( ru b an a u x couleurs de la Médaille militaire).

— U n m an teau d ’en fan t (usagé, à c a rreau x b lancs et noirs).

— U ne m ontre-bracelet.— U n collier de chien.-— Un ph a re d ’auto.

baud, Debacq, L e m p e re u r , L e fèv re , Béry, Carré, Dubrouillet, Forain et Dupuis.

A b s e n t s excusés : MM. Mercier, Clapa- rède, Lelogeais, Bara. Gondelle, Carter etLavallée.

y Installation de l’électricité aux éco- leS' .— Le Conseil adoptant les conclu- ,uns de ses Commissions des finances de

^LV ririe et des Travaux, décide de p ro­céder par adjudication publique à l’ins­tallation de l’électricité aux Ecoles pu­bliques de la Ville.* M. Claparède, architecte, sera charge

d’établir le devis et le cahier des charges.Ces travaux seront effectués en 1931.2° Réfection du préau de l’Ecole des

Filles. — Pour ces travaux de réfection et de transformation, le Conseil adopte également les conclusions de ses Com­missions des Finances, de la Voirie et des Travaux, mais décide toutefois que ces travaux auront la priorité sur le p ro­jet d’installation de l'électricité; ils fe­ront également l’objet d’une adjudication et seront exécutés dans le délai le plus réduit.

M. Claparède, architecte, établira le de­vis et le cahier des charges.

3“ Budget prim itif de 1931. — de procéder au vote du Budget primitif de 1931, le Conseil municipal, à l’unani­mité, autorise le maintien des taxes com­munales instituées par la loi du 13 août 1926, qu’il a votées le 9 octobre 1929, pour l’année 1930.1 Ces taxes seront les mêmes en 1931 et les années suivantes.

Le buget primitif est ensuite vote a 1 u-fianimité et arrête aux chiffres suivants .I (Recettes ............. 932.528 601 Dépenses ' ........................... 932.528 60

4 Tarifs des transports par l’ambulance "irijnipale. —-- Le Conseil, à 1 unanimité,

f o t e T c ta r i f à a p p l iq u e r p o u r la l o c a t io n

Vendredi 12, soirée à 21 heures Samedi 13, soirée à 21 heures

Dimanche 14 Septembre, matinée à 15 h. soirée à 21 heures

ECLAIR JOURNAL

Théâtre Municipal CinémaP ro g ra m m e du d im an ch e 14 septembre

Soirée à 9 heuresd an s ** ******* ***-

— V V I V E L E S P O R T »— avec Jo b yn a Ralston

P A N DANS LE MILLEComédie sportive

In te rp ré tée p a r R icha rd Dix. — « Un ex traord ina ire m a tch de « base­ball », sport na tional aux Etats-Unis, sport p ass io n n an t entre, tous, est joué p a r les m eil leu rs p rofessionnels du Nouveau M onde ».

CARNETN A IS S A N C E

— Nous ap p ren o n s la na issance du je u n e Guy Hallo, fils de M. Ch. Hallo et de M m e née Mussat.

Nous fa isons des vœ ux pour la pros­périté du nouveau-né et adressons nos com plim en ts a u x h eu reu x parents . |

M E S S E S A N N IV E R S A IR E S— Le sam edi 20 sep tem bre 1930, à

10 heures 30, en l’Eglise de Chantant, un service ann ive rsa ire se ra célébré à la. m ém oire de M. l ’abbé Ernest Boulanger, anc ien curé de cette pa­roisse.

CL l - c - r lB l io x * d u f c c i i o p O .P t.

46®— U ne m esse ann iversa ire sera dite

le m a rd i 16 sep tem bre 1930, à 9 heu­res, en l ’Eglise. Cathédrale de Senlis, à la m ém oire de M. Auguste S im ard .

4607R E M E R C IE M E N T S

■— M. F ran c is Audy, le docteur Achille A udy et ses enfan ts , profondé­m en t touchés des tém oignages de sym ­pa th ie q u ’ils ont reçus à la suite du décès de Mlle Cécile Audy, p rient tou­tes les pe rsonnes qui se sont associées à leur deuil, d ’accepter leurs rem er­c iem ents émus.

ÉTAT CIVIL DE SENLISdu 5 au 12 septembre

Naissances5. Guy Hallo, 16, rue Saint-Yves-à-

l ’Argent.4 . H enri-C harles-F ranço is de Saul-

ses de Freycinet, au Grand Villemé- trie.

7. Jacque line-B ernade tte Corpechot, 42, rue de }a République.

9. M aurice t te -Suzanne Gressier, rue du M oulin Sa in t-T ron .

S aP ublica tion de M ariage

11. E ntre M. C harles-Eugène Boude- ville, m eun ier , domicilié à Gourleuil (Oise), et Mlle G erm aine-M arie-Loui- se-Henriette Viet, couturière, domici­liée à Senlis, 18, avenue des Arènes.

Décès5. A ngélina M achuelle, 46 ans, mé­

nagère, domiciliée à M ontataire (Oise) décédée 1, f aubourg St-M artin .

5. E m ile-H enri N avarre , 41 ans, ma- nouvrier, domicilié à Gramoisy, décé­dé, 1, faubourg Sain t-M artin .

8 . F é lix -Ju les Legrand , 42 ans, em ­ployé de chem in de fer, domicilié à Fosses (Seine-et-Oisç), décédé 1, f a u ­bourg Sa in t-M artin .

9. Joseph Darcy, 45 ans, m anouvrie r domicilié à Creil, décédé 1, faubourg Saint-M artin.

de l ’a m b u la n c e “m u n ic ip a le et le s a r r ê te comme suit :

Courses effectuées dans Chantilly, 10francs. .

Autres courses : p rix au kilométré, 2francs.

5° Etablissement du projet d ’aménage­ment et d’embellissement de la Ville. — A l’unanimité, le Conseil municipal, pour se conformer à la loi du 14 mars 1919, décide d’établir un plan d’aménagement et d ’embellissement de la Ville et dé­cide également que ce plan sera établi par un homme de l’art.

6° Personnel communal. — Conseil de discipline (loi du 12 mars 1930). — Sont nommés délégués au conseil de discipli ne institué par ladite loi :

M. Joly, maire : délégué titulaire.M. Béry, conseiller municipal : délé­

gué suppléant

Clara Bow dans LA BELLE AUX CHEVEUX ROUX

avec Lane Chandler

L ’adaptation musicale des films est faite par Monsieur Jean BOCHARD Pendant l’entr’acte, Musique

Louise L a g r a n g e , Lucien D a l sa c e

dans

L£ RUISSEAUDenise Fleyry sera-t-elle arrachée

au Ruisseau ?Drame émouvant tiré de la pièce

de Pierre Wolff

Vestiaire — Fumoir — Promenoir

Heureuse Initiative Bientôt dans un cadre parfaitement choisi

EXPOSITION D’ARTPHOTOGRAPHIQUE

des Œuvres de M. Fernand Dengremont au Foyer-Fumoir de l ’Elysée

Rallye de Chantilly de samedi Rendez-vous Poteau des Vignettes. Les

cavaliers sautent quelques barres route des Vignettes et route des Tilleuls pour passer devant le château de Pontarmé, passent au carrefour Laversin, traversent la ligne, la route du Héquet, route Neuve,P o te a u N e u f o ù i l s s a u t e n t p lu s i e u r s h a ie s e t d o u b le s b a r r e s , p a s s e n t l e c o n t r e - b a s et le contre-haut du chemin de fer, viennent pa r la Vieille route à la Croix de Pon tar­mé où a lieu le quart d ’heure d’arrêt. Se dirigent ensuite au carrefour du Chapi­tre où plusieurs obstacles sont posés ain­si qu’au Poteau Saint-Léonard, descen­dent la route des Bruyères où après avoir sauté plusieurs haies ils remontent au Poteau des Vignettes où a lieu le jeu fi­nal qui consistait à tenir une balle sur une assiette en sautant une barre au ga­lop. Un barrage très sévère a eu lieu sur une double barre surélevée à 1 m. 20. Le premier a été M. le vicomte de La Roche- foucault, le second a été M. Paul de Saint- Sauveur qui ont reçu les Ilots de rubans traditionnels.

Etaient présents : M. Beaudrier, M. Paillard, docteur Roussel, M. Tony Rous­sel, M, et Mme J. Bernard, MM. le comte et le vicomte de La Rochefoucault, M.

7“ Augmentation de t r m te m e n tw x e m I Hubert MeMer, MM. Paul ^ J a c q u e s de oues communaux. —- Le Conseil, a lu - ■ ____ployés ------- . ■ ■ ■ > ■

nanimii'é, adopte les conclusions de ses Commissions des Finances et du Person­nel et vote une augmentation annuelle et forfaitaire de 1.200 francs aux employés communaux, et décide de prendre à sa charge les versements personnels des as­surances sociales,

8 ° Approbation de l’état des produits h a/a; ' ’lï V ECU (fvT i 0 i tû !>’ Il ISP ü ji jii-'ôuée’s* sauf en ce qui concerne l’article 4 du rôle dont la somme restant à recouvrer est de 625 fr. 63.

9 “ Demande de subvention du Comité « pour supprimer la guerre ». — Le Conseil décide par 12 voix de ne don­ner aucune suite à cette demande.

10° Demande de M. Clavier. — Bourse du Duc d’Aumale. — Le Conseil confirme sa délibération du 6 juin 1930, accordant la bourse du duc d’Aumale à M. Clavier Georges, élève de l’Ecole des Arts et Métiers de Lille, mais pour l’année sco­laire 1930-1931.

Salle Saint-Louis'On nous annonce pour les 21 et 28

septembre, deux séances récréatives. La première comportant deux pièces jouées par les jeunes gens et en intermede le trio Maxim’s les célèbres clowns,

La seconde donnée par l’Amicale des Anciens de Saint-Jean de Dieu ; au p ro­gramme : Les 37 sous de M. Montaudin, Laïcisée et Manu Militari.

Nous en reparlerons.Jardins ouvriers >

Ne-;:" avons omis en donnant le palma­rès de l’Exposition des Jardins ouvriers de mentionner les noms des personnes et des groupements qui ont — avec la Ville de Chantilly — généreusement of-

"£l'l es prix : ce sont MM. René Guille-mil lût, 'Lucien Lécuyer, l ’Uraior» Gommer-ciale de Chantilly et la section.

Exposition d ’Horticulture du 24 aoûtNous publions ci-après le palmarès de

l’Exposition d’Horticulture, palmarès que nous aurions voulu insérer plus tôt.

PALMARESCatégorie Jardiniers Maisons bourgeoi­

ses. — 1. M. Muller, jardinier-chef chez M. le marquis de Chasseloup-Laubat à Chantilly. Grand Prix d ’Honneur, Médail­le offerte par M. le Ministre de l’Agricul­ture et prime de 150 francs.

2. M. Lefèvre, jardinier-chef chez M. Guilleminot, Chantilly. Prix d ’Honneur, Médaille offerte par le département de l ’Oise et prime de 130 francs.

3. M. Prunier, jardinier-chef au Bois- Saint-Denis à Chantilly. Prix d ’Honneur, Médaille' offerte par le département de l’Oise, prime de 130 francs et mention spéciale opur son exposition de légumes.

4. M. Fourreaux, jardinier-chef chez Mme Caillet à Vineuil-Saint-Firmin. Prix d’Honneur, Médaille offerte p a r la Société d’Horticulture de Chantilly et prime de 130 francs.

Catégorie horticulteprs marchands. — 1. Hors concours : Maison Férard , 20, rue de la Pépinière à Paris.

2. M. Hureau, horticulteur à Aumont. Diplôme d ’Honneur, Médaille offerte par

Mme et Mlle Lazard, M. et Mme Georges Lévy et leurs enfants, M. et Mme Tellier, Mme Janssaud, Mlle Coates, etc.

Le prochain rallye aura lieu samedi 13 courant, pour le rendez-vous téléphoner Manège Lazard 130 Chantilly.

G. L A Z A R Dic U 'Orgeinom

Leçons de Manège. — Promenades Achat. — Vente

Chevaux po u r chasses et rallyes

10. M arie Laudigeois, 1, faubourg ffjP ome d ’Honneur, Médaillé < .int-M artin . ' dt“ 1 ASrlcullure ct Prlme de

..Catégorie architecte paysagiste. — M. André Galard fils, à Gouvieux. Prix (i’Honneur, Médaille offerte par le Minis- tre de l’Agriculture et prime de 100 fr.

Catégorie Génie Agricole. — 1. M. Rou­doux. négociant à Chantilly. Diplôme de Médaille d’argent, Médaille offerte par la Société d’Horticulture de Chantilly. Fé­licitations spéciales pour la présentation de son exposition.

2. M. Lécuyer, négociant à Champagne. Diplôme de Médaille d ’argent.

Très vives félicitation du jury à tous les exposants.

FiançaillesNous venons d’apprendre les fiançail­

les de M. Christian Guétin, fils de Mme et de M* Guétin. huissier à Chantilly avec Mlle Paulette Le Guav, fille de M. et Mme Le Guay de Corbeil-

Golf de Chantilly Résultats des Concours

Prix du Gros Chêne. — Messieurs. Han­dicap « par trous » contre Par. 18 trous. 30 engagements. — M. T.-W. Powell, 1 up ; Cl. Weinbach, ail square ; comte de Brémond d’Ars, ail square ; J. Weinbach, 2 down; J. de Saint-Sauveur, 2 down ; M. Callou, 2 down.

P rix du Bois Saint-Martin. — Dames. Handicap « p a r trous » contre Par. 18 trous. 28 engagements. — Mme P. Ré- gnauld, ail quare ; Mlle D. Oppenheim, 1 down ; Mme J.-C. Saxby, 2 down ; Mlle C. Thibaud, 2 down ; Mlle G. Dufour, 2 down.

Samedi 13 septembre et jours sui­vants Prix Sans Souci. Dames. Scratch. éliminatoires « par coups ». Medal play. 18 trous.

Samedi 20 et lundi 22 septembre, Prix Flowershop, Dames, eclectic compétition moitié du handicap, deux parcours de 18 trous.

Samedi 27 septembre, Médaille Men­suelle, Messieurs-Dames.

A7 A c roi «>(/i cMercredi dernier ont eu lieu les obsè­

ques de M. iFrédérick Meggs, décédé le 1" septembre dernier à Chantilly, à la suite d’une cruelle et longue maladie.• Une foule nombreuse assistait au ser­

vice religieux célébré en l’église angli­cane et suivait le corbillard qui disparais­sait sous les couronnes et les gerbes, der­nier hommage de ses très nombreux amis.

M. Meggs meurt à 62 ans, après une vie toute de labeur et d ’honnêteté.

Unanimement regretté on peut dire de lui que c ’est un très brave homme qui disparaît.

Nous nous permettons d ’offrir à Mme Meggs, sa veuve et à ses enfants nos sen­timents de bien douloureuse sympathie.

APREMONTLa Commission de vérification des

Concours de T ir organisés par 1’ « Union Apremontoise » a établi ainsi qu’il suit, le palmarès pour cette année :

Fusil Lebel. -— 1. M. Moreap, 140 p.; 2. M. Levasseur, 134 p.; 3. M. Tricot, 133 p.; 4. M. Vanreust, 132 p.; 5. M. Depaux, 129 p.; 6 . M. Drugeon, 128 p.; 7. M. Taupin, 126 p.; 8 . M. Prince, 122 p.; 9. M. Mar- voyer, 121 p.; 10. M. Vesan, 115 p.

Carabine. — 1. M. Moreau, 150 p.; 2. M. Drugeon, 147 p.; 3. M. Brunei, 147 p.; 4. M. Heurteur, 147 p.; 5. M. Depaux, 146 p.; 6 . M. Cotterousse, 146 p.; 7. M. Lecu- tier R., 146 p.; 8 . M. Tricot, 145 p.; 9. M. V e s a n , 1 4 3 p .; 1 0 . M. T a u p in , 1 4 1 p .

L a distribution des prix aura lieu sa­medi 13 septembre courant, à 20 h. 30, Salle Levasseur, place Galliéni.

Le Conseil d ’administration adresse ses bien sincères remerciements aux Ama­teurs de Tir qui ont participé au Con­cours de la Société et sès compliments aux lauréats.

BETHI8Y -SAINT-MARTINFête patronale. — Dimanche 14 et lun­

di 15 septembre, fête patronale. Manège, tir, confiserie, loteries, attractions diver­ses. La Fanfare de Béthisy-Saint-Martin, direction G. Gressier, fera entendre le dimanche de 15 à 18 heures, dans la cour de la Mairie, les meilleurs morceaux de sop répertoire.

Grand bal public les deux jours de fête à par t ir de 21 heures.

Les habitants sont invités à pavoiser et à illuminer.

BORANNoyé dans l’Oise. — M. Auguste Le-

sueur, 64 ans, rentier, péchait dans l’Oi­se, quand soudain il tomba dans la r i ­vière et se noya.

COYE-LA-FORETFête de Coye-la-Forêt. — Numéros ga­

gnants de la Tombola.21 362 764 1319 2038 2394 3084 368027 380 772 1346 2057 2414 3092 373974 383 773 1382 2060 2426 3093 3755

116 468 778 1406 2075 2455 3103 3760139 485 854 1413 2079 2478 3180 3765164 486 891 1478 2198 2589 3290 3774174 489 892 1489 2204 2599 3294 3778177 505 982 1498 2254 2694 3337 3882185 506 984 1573 2271 2642 3377 3884277 509 990 1579 * 9 3 2671 3427 3887280 512 995 1704 2295 2674 3465 3936284 549 1025 1771 2296 2740 3477 397 0299 563 1172 1788 2306 2784 3478 3979319 615 1186 1839 2374 3007 3620 3987329 687 1245 1983 2379 3045 3633358 692 1287 1994 2385 3074 3675

Lots à réclamer à la mairie de Coye.CREPY-EN-VALOIS

Incendie. — Un incendie vraisembla­blement occasionné par la chute de la foudre au cours d’un orage, a consumé une meule de 4.500 bottes d ’avoine non battue représentant 80 quintaux de grains destinés aux semailles du printemps.

M. Robert Vanier, cultivateur, éprouve un préjudice de 8.000 francs. Il y a as­surance.

CHAINANTFête patronale. — Samedi 13 septem­

bre, à 20 h. 30, Retraite aux Flambeaux, par la Compagnie des Sapeurs-Pom­piers.

Dimanche 14 septembre, à 8 h. 30, distribution de secours aux familles nom­breuses et nécessiteuses habitant la Com­mune.

A 15 heures, Exercices de Gymnas­tique, exécutés p a r le « Réveil » de Senlis, sous la direction de M. Grimbert.

A 16 heures, CONCERT, par l ’Harmo­nie Municipale de Senlis, sous la d irec­tion de M. Mouche.

A 17 heures, Vin d’honneur offert parla M u n ic ip a l i t é a u x M u s ic ie n s , a u x G y m - n a s t e s e t a u x S o c ié t é s lo c a le s .

Matinée dansante, sous la tente.A 21 heures. Bal de nuit.Lundi 15 septembre, à 13 h. 30, T ir

de l’Oie p a r les jeunes gens de la com­mune.

A 15 heures, Tir à la Carabine pour Hommes et Jeunes Gens.

Distribution des numéros de tombola aux Dames et Jeunes Filles.

A 16 heures, Départ de Ballon-Cartes, offerts par M. Troncin aux enfants des écoles.

A 17 heures, Course en sac, Jeux di­vers, Tirage de la Tombola, Matinée dan­sante.

De 21 heures à 2 heures, Bal.Dimanche 21 septembre, de 8 heures

à 18 heures, Grand Concours de Tir A l’Arc, organisé par la Compagnie d ’Arc de Chaînant.

3" Epreuve de la Coupe Challenge, of­ferte par M. Troncin, conseiller d’arron­dissement.

De 16 heures à 19 heures, Matinée dan­sante.

De 21 heures à 2 heures. Bal.Manège de chevaux de bois, Loterie,

Tir, Confiserie, Balançoires.

I FRESNOY-LE-LUATMariage. — Nous apprenons le p ro ­

chain mariage de Mlle Renée Roland, tilleUe 2YI. et Mine Gustuvc llülaud', Ue FfCS-noy-le-Luat, avec M. Je docteur Pierre Bonté, fils de M. le docteur et de Mme Bonté, de Picquigny (Somme).

La bénédiction nuptiale sera donnée aux futurs époux le mardi 23 septembre prochain, à midi très précis, en l’église SainUGermain-l’Auxerrois, à Paris.

Nous adressons nos meilleurs vœux de bonheur aux futurs époux et nos compli­ments à leurs sympathiques familles.

LA CHAPELLE-EN-SERVALFiançailles. — C’était le dimanche 3

août, fête toute intime, qu’ont eu lieu à l ’église les fiançailles de Mlle Marthe Ro­land avec M. Pierre Saudax, ingénieur- chiiqiste.

Aux jeunes fiancés et à leurs honora­bles familles, nous offrons nos meilleurs compliments et nos vœux respectueux.

Les traditions de foi, d’honneur, de dévouement, qui constituent leur pa tr i­moine commun seront dignement conti­nuées au nouveau foyer qui va bientôt se fonder.

Contraventions. — Pour éclairage in ­suffisant à sa moto, le nommé Antoine Sans, rue des Carrières à Charenton ; pour refus de s’arrêter Yves Charuel, b i­joutier, avenue Simon-Bolivar à Paris, et défaut de feu rouge arrière.

MONTLEVEQUER e m e r c i e m e n t s . — A l ’o c c a s io n d u m a ­

r ia g e d e M . T t ic ie n T c r s è c h e a v e c M lleLucienne Dekerpel, une quête faite à la mairie au profit du Bureau de Bienfai­sance a produit la somme de 37 fr. 25.

Le Maire adresse ses sincères remercie­ments aux généreux donateurs et renou­velle ses' vœux de bonheur aux jeunes époux.

J o y e/2r

HAUT-PARLEUR.

PHILIPSDémonstrations et Renseignements sur demanda

A. MORVAN12, Place de la Halle, SE N L IS ~ Tél. 19

6, Rue des Vendredis, PONT-Ste-M AXENCE - Tél. 59

96, Rue du Connétable, CHANTILLY Tél. 188

Page 3: COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1930_09_14_MRC.pdf · M. Le Beau, préfet de l’Oise, le mer credi 17 septembre, à 14 heures, et1 présentera vraisemblablement

ORRY-LA-VILLE

Nous apprenons avec plaisir que Mon­seigneur l’Evêque de Beauvais a accor­dé l’insigne de la Reconnaissance diocé­saine à Mme Méjasson-Fouquerolles. sa­cristine de l’Eglise d’Orry-la-Ville, depuis 31 ans.

Nous lui adressons toutes nos plus vi­ves félicitations pour les longues années de dévouement consacré à la paroisse de cette commune.

PONTARME

Un cycliste découvert écrasé sur la route. — Mercredi vers 21 heures, M. Du- mont, garçon boucher, se rendait à Thiers, en bicyclette, par la route de Pa­r i s , q u a n d à 2 k i lo m è t r e s e n v ir o n d e P o n t a r m é , i l a p e r ç u t , é t e n d u p r è s d e ta b o r d u r e ' d u t r o i t t o ir , d a n s u n e m a r e d e sang, à côté d’une bicyclette un homme qui ne paraissait plus avoir signe de vie, le corps était encore tout chaud.

En effet, le malheureux était mort, il avait la tête écrasée et des débris de cer­velle s’étaient répandues sur le troittoir.

Immédiatement informée, la gendarme­rie de Senlis se rendit sur les lieux et parvint à identifier la victime : M. Paul- Sylvain Gobert, 36 ans, menuisier, né et demeurant à Pontarmé.

L’enquête ouverte déterminera dans quelles circonstances Gobert a trouvé la mort. i

A-t-il été ébloui p a r une auto venant en sens inverse, ou a-t-il été p ris d ’un étour­dissement. C’est ce que nos dévoués gen­darmes cherchent à établir. Une chose est certaine, c ’est que la roue avant de la bicyclette était' écrasée.

CkPONT-SAINTE-** AXENCE

Grande fête nautique de Pont-Sainte- Maxence. — C’est demain dimanche 14 septembre que se déroulera dans le bas­sin de la route de Liancourt, la grande fête nautique offerte aux Pontois p a r la direction de « La Salpa Française » avec le concours du « Club Sainte-Maxence ».

Les épreuves commenceront à 15 heu­res. Tour à tour, les Pontois pourront ap­p laudir nageurs de vitesse, nageurs de de demi-fond et plongeurs.

Les nombreux engagements reçus à ce jour permettent de prévoir des luttes très chaudes pour les premières places; seul le ltlû mètres nage libre comportera des séries, la largeur du hassin assurant aux autres épreuves toute la régularité néces­saire.

Nous rappelons pour mémoire les dif­férentes épreuves :

100 mètres nage libre, 100 mètres dos, 400 mètres libre, 100 m. réservé « Sal­pa», course de relais (800 mètres : par équipes corporatives de 4 coureurs).

A ces concours sportifs viennent s’a­jouter deux épreuves comiques sur cour­tes distances :

Course en baquets, course habillée (vê­tements imposés, chemise, veste, panta­lon et coiffure), ainsi qu’une pantomime nautique et démonstrations de nages de course et de sauvetage.

Les engagements pour toutes ces épreu­ves seront reçus jusqu’à samedi soir par M. Ollivier, secrétaire du Club Sainte- Maxence, 77. rue de Cavillé, et M. Claris­

se, membre du Bureau du C. P. M., à la Salpa ».I>e nombreux et superbes prix récom­

penseront les concurrents.Cette belle fête sera rehaussée par la

présence de la Fanfare Municipale de Pont-Sainte-Maxence qui fera entendre ses meilleurs morceaux.

Le Comité organisateur espère que le public Pontois viendra nombreux applau­dir les efforts des jeunes athlètes du pays. Il rappelle que l’entrée est gratuite et que toutes Js,s places sont assises.

Le Club Sainte-Maxence s'organise. — Le bureau du C. S. M. élu à l’assemblée générale du 28 août dernier s’est cons­titué comme suit :

D ire c te u r : M. l’ab b é M artin , v ic a i re ;'P ré s id e n t : M. B igot ;V ic e - p r é s id e n t ; M . D u t e r tr e ;S e c ré ta ire g é n é ra l : M. O lliv ie r ;Trésorier : M. Demoney ;Membres : M83 Boilet et Durand, MM.

de Baillieneourt, Astoin, Caron, Clarisse.M. Knus est' secrétaire-adjoint et M.

Hermel est chargé de l’établissement du cahier des matches.

Commission sportive. — Président : M. Bigot ; Membres : MM. Dutertre, Ca­ron, Demoney, Bois et Selig.

Equipe I. — MM. Leroy, Dutertre, Du- bern ou Vilmont, Clermont, Hermel, Job R„ Grospiron, OUiveer (cap.), Rreuil, Knus, Zanghellini et Job A.

Les équipes II et III seront constituées définitivement à la prochaine 'séance d’entraînement, ainsi que l ’équipe de cross.

Il ne sera pas organisé d ’équipe Bas­ket-Ball au début de cette année.

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098

THIERSRésultats du Concours de Tir organisé

par la Cie des Sapeurs-Pompiers ̂(clos le 31 août 1930). — Concours à 2u mé­trés : 1. Morand Désiré, 2. Delalain nene, 3. Mavré René, 4. Dole Fernand, 5. Com­net Alphonse, 6 . Tillier Eugène, 7. Berson, 8 . Morand Arthur, 9. Boyelle Roger, 1U. Théroine Raymond, 11. Logghe Maurice, 12. Lecerre, 13. Santoni, 14. Marotin Clo- taire, 15. Fauvet Fernand, 16. Delalain Marcel, 17. Deslandes Edmond, ,

Concours à 12 mètres : 1. Mavre André, 2. Delalain René, 3. Fauvet Fernand, 4. Boyelle Roger, 5. Giboin, 6 . Cottinet A - phonse, 7. Logghe Julien, 8 . Morand Dési­ré, 9. Cottara Alphonse, 10. Delalain Mar­cel, 11. Berson, 12. Létolle Maurice, 18. Noël Désiré, 14. Logghe Maurice, 15. Mo­r a n d A r th u r , 16 . T h é r o in e A lp h o n s e .

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Le Gérant : E . B o y b n v a l .

Imprimeries Réunies de Senlisn , pUca Henri IV

ANNONCES JUDICIAIRES

A r t . 1er.

Etudes de M* Georges MORAND,avoué à Senlis,

e t d e M M a r c e l V ID Y . n o ta ir e à C h a n til ly .

V E N T E S U R L I C I T A T I O ND’UNE

Superbe Propriétésituée à CHANTILLY

rue de la Faisanderie appelée a Les Bourgognes »

susceptible de LotissementComprenant : Belle Maison d ’ha

bitntion, J a r d in d ’ag rém en t, a u t re g ra n d Ja rd in , J a rd in po tager , nom b reu x com m uns

d 'une contenance de n e u f m ille mètres environ , • -- ,, I grande cuisine, deux caves a c

plus amplement désignée ci-après. pons dans l’une desquellesI , • 1* / -U Cf., n,n nontrol

L’adj îdîcation aura lieu le Samedi 11 Octobre 1 9 3 0 , à quinzeheures en l’Etude et par le mi­nistère de M' Marcel VIDY, notai-e à Chantilly, commis àCet e ff t.

En e x é c u t io n d’u n j u g e m e n t ren lu c o n tr a d ic to ir e m e n t p ar le T r ib u n a l c iv i l de l ’O is e , s e c t io n d eCompiègne, le trente juillet 1930, enregistré

que besoin en son nom person­nel et pour l’assistance et l’au-

« torisation nécessaires à la dame son épouse et la validité de la procédure. »

Présents à la vente ;N’ayant, nas d’avoué constitué.Il sera, le Samedi once Octobre

1930, à quinze heures, en l’Etude et par le ministère de M* Marcel Vidy, notaire à Chantilly, commis 1 cet effet, procédé à la vente sur licitation, aux enchères publiques, au plus offrant et dernier enché­risseur, à l’extinction des feux, de l’immeuble dont la désignation suit :

DESIGNATIONET

m I S E A P R I XDE L’IMMEUBLE A VENDREUne su p e rb e P ro p r ié té , située

à Chantilly, rue de la Faisanderie, appelée « Les Bourgognes », sus­ceptible de lotissement et compre­nant :

Au sous-sol : Garde-manger,' char-

_______^ ____ uncalorifère, chauffage central et un chauffe-bains, deux caves a vins, vvater-closets.

Au rez-de-chaussée ; Deux vesti­bules à droite desquels ; grande salle à manger, fumoir et office et à gauche, grand salon, petite vé- randah fermée sur le jardin der ri ère la maison, vvater-closets.

Au p r e m ie r é ta g e : P a lie r à d r o ite duquel : une grande chambre, un grand cabinet de toilette, une salle de bains en retour, en face une

de bains, à gauche :

les Bourgognes, le Golf de Chan-j iilly, ainsi que sur le Canal Saint- Jean et la rivière la Nonette.

Libre de location

Mise a prix . ioo.oqd fr.

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M* Marcel Vidy, notaire à Chantilly, et déposé en son Etude où toute personne peut en prendre connaissance, l ’im­meuble ci-dessus désigné sera nrs en vente sur la mise à prix sns- énoncée, fixée par le jugemi nt précité.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

Senlis, le 12 septembre 1930.(Signé) MORAND.

Et enregistré.

S ’adresser pour les renseigne­m ents :

A M» Georges Morand, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M« Gaston Loir, avoué à Senlis, présent à la vente ;

A M» Marcel Vidy, notaire à Chantilly, rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Et pour visiter, au ditM e VIDY, notaire.

« union avec son défunt mari. » Poursuivants la vente ;

Ayant pour avoué M* Georges Morand, demeurant à Senlis.

En présence ou lui dûmei t appelé de :me m m "S "GlIFÀ/^Ti'yy’hYa %„

Bois ; « Agissant au nom et comme « subrogé tuteur du mineur Gar­ce notel, sus-nommé. »

Il sera, le Samedi 11 octobre 1930, à quinze heures et dem'e, en l’Etude et par le ministère de Me Marcel Vidy, notaire à Chantilly, commis à cet effet, procédé à la vente sur licitation, aux enchères publiques, au plus offrant et der- enchérisseur, à l’extinction des feux, en quatre lots, des immeu­bles dont la désignation suit ;

DÉSIGNATION & MISES A PRIX des Immeubles à VendreCommune cia Lamorlage

Frein'er lot Une Maison, rue de la Mairie,

tiares environ de terre, lieudit sine, demeurant h Mouv, rue de deur reconventionnel, avant pour« L'Ancien Chemin », tenant d’un] Beauvais, cité Charrette. « Pris avoue M hsca y.côté Nord la commune de Lamor-I « au nom et comme tuteur à 110- laye, d’autre côté Monsieur Lan-! « terdiction légale du sieur ’IIIIL glois, d’un bout le chemin des « Fernand-Georges-Orial, sus-Vignes ou la sente des Bionnes, et d’autre bout au Vieux Chemin. fW p. ' r' ‘i" '

Mise à prix : 2 .0 0 0 francs

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier

ides charges dressé par M“ Marcel ! Vidy, notaire à Chantilly, et dé­posé en son Etude où toute per­sonne peut en prendre connais­sance, les immeubles ci-dessus désignés seront mis en vente sur les mises à prix sus-énoncées fixées par le jugement précité.

Fait et rédigé par l’avoué pour- ! suivant soussigné.

A Senlis, le 12 septembre 19 0 Signé : MORAND.

Et enregistré.

■•'o...... „ , ,. 1 autre salle uc va .—, _ 0 -Et aux requete, poursuite et di- deux chambres et vvater-closets

a* . a u deuxième étage ; Palier, enface un boudoir, une lingerie et en arrière lingerie, à gauche une chambre, en retour un cabinet de toilette, salle de bains, petite ve- randah, une autre chambre avec un cabinet do toilette, water-clo sets.

Au troisième étage : Palier, droite deux chambres d’amis, e face et à gauche cinq chambres de domestiques et une grande cham­bre de débarras, une autre pièce à usage de laverie avec poste d’eau, water-closets et salle de bains.

Grenier perdu au -dessus du tout

ligence de Madame Anna Kousnetzoff, sans

profession, épouse assistée et au­torisée de Monsieurle Prince Guivl Amilak . ari, sans profession, Che­valier de la Croix Saint-Georges, avec lequel elle demeure de droit à Paris, boulevard de la Tour Maubourg, n° 100, mais résidant de fait, à Neuilly-sur-Seine, rue de la Ferme, n* 3 ; « agissant en sa « q lalité d’héritière mais sous bé- « néflee d’inventaire seulement de « Madame de la Torre. »

Poursuivants la vente ; Ayant pour avoué constitué, M*

Georges Morand, demeurant à Se dis.

En présence ou eux dûment appelés de :

l 1*1 Monsieur Constantin Greaves, ancien Colonel de l ’Armée Russe, ancien Chambellan de sa Majesté l’Empereur Nicolas II de Russie, propriétaire, demeurant à Chan­tilly, rue de la Faisanderie ;

Présent à la vente ; Ayant pour avoué constitué, Me

Gaston Loir, demeurant à Senlis.M onsieur G régoire K ous-

A ivv_ S.

Distribution d’eau, de gaz et d’électricité.

Jardin d’agrément Autre grand jardin derrière

dans lequel :Communs ; .comprenant loge

ment de chauffeur et de cocher, divisé en une cuisine, une salle à

j manger, quatre chambres, une grande remise avec fosse pour

I auto ; en-dessous une écurie pour q u a tr e chevaux, buanderie et sel- l e r i e , b a s s e - c o u r c o m p r e n a n t p lu -

Etudes de M' Georges MORAND,avoué à Senlis

et de M” M arcel VIDY, notaire à Chantilly.

VENTE SUR LICITATIONDE

DEUX MAISONSsises à LA M O R LA Y E

rue de la Mairie, n*s 2 et 4

12 ares 80 cent, de TERRETerroir de L am orlaye

lieudit Le Mont de Pô

6 ares 57 cent, de TERRETerroir de L am orlaye

lieudit L’Ancien Cheminen q u a tre lo ts

Le tout plus amplement désigné ci-après

n° 2, anciennement rue Gaudefroy, élevée sur terre- plein d’un rez- de-chaussée et d’un étage avec grenier au-dessus, couvert en tuiles, comprenant :

Au rez-de-chaussée : entrée, couloir, cuisine, cellier, bureau et

; salle à manger. Installation de gaz I au rez-de-chaussée.' A l'étage : deux chambres et deux cabinets de toilette.

Jardin devant ; cour à côté, dans laquelle poulailler et cabanes à lapin» ; autre cour derrière la lüàson d’habitation dans laquelle water-closets et buanderie.

Grand jardin à la suite.L’ensemble entièrement clos,

tient par devant à la rue de la Mairie avec entrée sur cette rue par une grande et une petite portes, par derrière au rû Saint- Martin et par hache à M. Herlaut (mur mitoyen), d’un côté Est à M. Blanchet (grillage séparatif appartenant à l’immeul le présen­tement mis en vente), et d’autre côté Ouest le deuxième lot ci- après et M. Ilerlaut (murs mi­toyens).Mise à prix : 1 2 .0 0 0 fr.

S’adresser pour les renseigne ment s à .-

A M» Georges Morand, avoué h Senlis, poursuivant la vente ;

Et à M» M arcel Vidy, notaire a Chantilly, rédacteur et dépositaire du cahier des charges. 4590

Art . 3.Etude1 de M'> Georges MORAND,

avoué a Senlis.

E xtra it p r e s c r it p ar l 'a r t ic le Tiiï du Cotte Civil

. nommé, nommé à cette fonction « suivant délibération du conseil

« le Juge de Paix du canton dé « Creil, en date du vingt et un

février 1930. »Il appert :

Que le divorce a été prononcé ] de piano d’entre les époux Tkil Douant, aux torts et griefs du] mari.

Pour extrait publié eh confor ( mité de l’article 247 du Code civil j et on vertu d’une ordonnance rendue sur requête par Monsieur le Président du Tribunal ojyU df■ parte mental de l ’Oise, section de Compiègne, le neuf septembre 1910, enregistrée, afin de faire courir les délais d’opposition et d’appel, ledit jugement n’ayant pu être signifié à la personne mêm< do sieur Roger Thiel, ès qualités4592 Signé ; CIIASTA1NG.

Il appert :Que le divorce a été prononcé

de piano d ’entre les époux Peeterr- Habert à leurs torts et griefs respectifs.

Rigné : Et enregistré.

CIIA8 TAING,4595

A»».Etude de M« L. CH ASTA1NG

avoué à Senlis.

Assistance Judiciaire.Décision du Bureau de Senlis

du 30 Mars 19i 9.

f .(rail ila lugafvmrj Ha fliv/ni'CA

Deuxième lotUne Maison sise rue do la Mai­

rie, n° 4, élevée sur terre-plein

Z1*1* ivioDHiüur tïi « ixuuo- i lerie, oaase-uuur tnetzoff, propriétaire, demeurant à sieurs poulaillers. Neuiily-sur-Seine, rue de la Ferme, | Grand jardin potager dans lequel

deux hangars et un poulailler. Présent à la vente ; 1 L’ensemble de cette propriété

N’ayant pas d’avoué constitué. d’une contenance d’environ neuf3*»1 M o n s i e u r A l f r e d Maver,avo- mille mètres, tient par devant au

. , . , +.T* . - I wii.-lî lo m a Hf, 11, K a lsan Jp riA nni*cat-avoué, demeui Rheiastrasse

L’adjudication aura lieu le Sa­m edi 11 O ctobre 19 3 0 , àquinze heures et demie, en l’Etude et par le ministère de M" Marcel VIDY, notaire à Chantilly, com­mis à cet effet.

dea

En exécution d’un jugement rendu sur requête par le Tribunal

i s i e u r A l f r e d M a v e r , a v o - 1 m u i e u i t m e a . u e m puL u o n i u . a u c [v u de l’Oise, section de Com-! demeurant à \Viesba- midi la rue de la Faisanderie, par piègne, le vingt-trois juillet 1939 instrasse 48; « a g i s s a n t derrière au n o ri à t allée du Canal enregistré.

* .. / Qo nf-.ÎPfln Institut, Framtfil n . __ .m. .1

i.v, n° 4, élevée ,d’un rez-de-chaussée et d’un etage avec grenier au-dossus couvert en tuiles, divisée :

Au rez-de-chaussée en une cui­sine et salle à manger.

A l’étage : deux chambres. Jardin devant, dans lequel water-

closets et buanderie.L’ensemble tient par devant à la

rue de la Mairie avec entrée sur cette rue par une petite porte, par derrière et d’un côté Est à Mon sieur Ilerlaut (murs mitoyen ;,-x- d’autre côté Ouest la maison com­posant le premier lot ci-dessus murs et pignon mitoyens).

Mise à prix : 5 . 0 0 0 fr.

Le Tribunal civil de l’Oise, section de Compiègne, par juge­ment en date du vingt-neuf jan­vier 19-30, enregistré, rendu sur la requête de Madame Aline-Félicia l.EGRAND, sans profession, de­meurant à Bargny, veuve de M Charles-FrancisqueTROUILLET, a donné acte à ladite dame de sa demande d’envoi en possession de la succession de M. Charles-Fran­cisque TROUI ,LET, son mari, tnanouvrier, décédé à Bargny, le vingt-huit décembre 1929, sans laisser aucun héiitier connu au deo-ré successibie, et, avant de faire droit sur ladite demande, a presciit l’exécution des formalités de publication voulues par la loi -, Pour extrait certifié conforme par l’avoué soussigné.

A Senlis, le 13 septembre 1930. 45çq Sigré : MORAND

D’un jugement rendu par le Tribunal civil départemental de l’Oise, section de Comt iègne, le vingt quatre juillet 1929. enre- gistié, au pr,. fit de Madame ILOURY Charlotte, épouse de Monsieur LE POl ZAR J Etnile- Pierre Marie, avec lequel elle est domiciliée de dt oit, mais auto.-isée à résider et résidant de fait à Ver- berie, rue de Paris.

Et par défaut contre Monsieur LE POEZARD Emite-Plerre-Ma- rie, demeurant à Verberie, ci-de- vant et actuellement s;ins domicile ni résidence connus.

Il appert ;Que le divorce a été prononcé

_ j piano d’entre les époux Le Poëzard-Floury au profit de la femme et aux torts du mari.

Pour extrait : (Signé) CHASTAING.

Et enregistré. 4593

A r t . 7.

Etude de M» R obert BOILETnotaire

à Pont-Sainte-Maxence.

DEUXIEME INSERTION

Suivant contrat reçu Pêr M* Ro bert Boilet notaire s Pont-Sainte- Maxei ce ,Oise). le 19 août 1930, enregistré à ont Sainte-Maxence, le 27 août suivant, fo’io 166, case 705.

Madame Au juStine GIRAULT, commerçante, demeurant à Saint- Gervais, commune de Pontpoint, veuve de Monsieur Léon-Louis Auguste NIQULT.

A cédé à Monsieur Jules Lu­cien BARON, ouvrier à la Sou ju re Autogène Française, et Ma dame Lucie C.îLAIS, son épouse, demeurant ensemble à Saint - Gervais, commune de Pontpoint.

Un fonds de com m erce cie déb it de bo issons e t ép icerie , exploité à Saint Gervais, com­mune de Pontpoint.des Ventes et Cessions de Fonds de Commerce a eu lieu le 3 sep­tembre 1930.

Les oppositions devront être faites dans les dix jours qui sui­vront la présente insertion , en l’Etude de M’ Boilet, notaire à Pont-Sainte - Maxence , domicile élu.

Pour deuxième insertion : 4540 Robert BOILET.

Ar ï . 9.Etude deMe R eym ond BARELLA

notaire a Verberie.

Suivant contrat reçu par M“ Ba- rella, le 1 r septembre 1930, enre-

Ltré à Pont-Sainte-Maxence, le1 K3U|nuutut o xeferrrj iuiiu x i *’ R io**,Monsieur Léon-Louis-Clément

URLESTRE, 'marchand de vins, hôtelier, et Madame Marguerite METENIER, son épouse, demeu­rant ensemble à Verberie, ont cédé à Monsieur Louis BAIGNKAU et Madame Mélanie LAPAI RE, son épouse, demeurant ensemble à Pa­ris, 44, rue Bisson :

Le fonds de com m erce de v ins, r e s ta u ra te u r e t h ô te lie r qu’ils exploitaient à Verberie, 34, rue de la Pêchei ie.

Domicile élu en l’Etude deM” Ba- rella, où les oppositions seront reçues dans les 10 jours de la deuxième insertion.

Pour première insertion : 4531 R. BARELLA.

A r t . 10Messieurs les Actionnaires de la

Société « l’Agence A utom obile de C om piègne », dont le siège est à Senlis, 17, rue du Faubourg- Saint-Martin, sont convoqués à l’Assemblée générale ordinaire annuelle, qui se tiendra le Lundi G O ctobre 1 9 3 0 , à 13 h. If2, à Paris, 90, boulevard de Courcélles.

ORDRE DU JOUR : Approbation des comptes et duT/iiau ue j DAuivmoRapports du Conseil d’Adminis-

tration et du Commissaire aux Comptes.

Quitus de gestion à donner au Conseil.

Nomination d’un Commissaire aux comptes pour l’exercice en cours,et fixation de ses émoluments.

Autorisation à donner aux Admi­nistrateurs, conformément à l’ar­ticle 40 de la loi de 1867.

4582 Le Conseil d’Administration.

A r t . 8 .

Etude deavoué

Art. 4.L. CHASTAING,à Senlia,

Etude de **’

A r t . 6 .L. CHASTAING, avoué à Senlis, -

au nom et comme curateur spé- « ciat à l’interdiction de Mademoi- « selle Elisabeth Kousnetzoff sans « profession, demeurant à Wies- « baien (Allemagne). »

Ayant pour avoué constitué, M* Georges Morand, demeurant à Senlis.

4’“‘ Madame Anna Sclieremeteff, sans profession, épouse de Mon­sieur Klavesky, avec lequel elle demeure h Moscou. Jitnaya Ou- litzi, u” il) ; 5 n* et Monsieur Kla­vesky, demeurant à Moscou, Jit- caya ùuluza, u° 10 ; « piis eu tant

Saint-Jean (Institut de France) d’un côté à l ’est Monsieur Chapard et d'autre côté à l’ouest Messieurs Normand, Renard et la succession de Monsieur George Stearu.

Droit de passage à pied et en voiture de 2 mètres 60 de largeur sur la propriété de la succession de M. George Stearn pour accéder à l ’avenue du Bouteiller.

Droit de passage à pied et eu voiture sur l’allée du Canal Sbiut- Jean, appartenant à 1 Institut de France.

Vue magnifique sur les prairies

gistréEt aux requête, poursuite et

diligence de : l*n‘ Madame Pauline-AIice Gar-

notel, marchande de quincaillerie, demeurant a Lamorlaye, veuve non remariée de M. Gustave- Louis Hervin ; 2 »* Et Madame Angèle-Marie-Angustine Frenot, marchande épicière, demeurant à Lamorlaye, veuve non remariée de M. Gabriel-Eugène Garnotei ; « Agissant au nom et, comme tu- « triee naturelle e t légale de Ray- « mond-'tabriel Eugène Garnotei, « sou fils lulttvur, issu de son

Troisième lot Douze ares quatre-vingts cen

tiares de terre lieudit « Le Mont de Pô », tenant d’un côté Monsieur Roger Rimbert. d’autre côté re présentant Madame veuve DeJ~ bergue, d’un bout les héritiers Sieber, et d’autre bout Monsieur Leroy.

Cadastre section B, numéros 259 , 26 1 2 .1 bis et 262.

Mi e à prix : 1 .0 0 0 francs

Quatrième lot Et sU ares çinqaunte-sept ceni-

* b Assistance JudiciaireDécision du Bureau de S en lis

du 28 Décembre 1929.

Extrait da Jugem ent de D ivorce

Extrait de J u gem en t de D ivorce

Etude de Me LANGLOIS, notaire! à Seplis.

Suivant acte reçu par M* Lan- glois, le 26 août 1930, enregistré à Senlis le lendemain, volume 387 a, folio 76, case 452, M. (Jmer POR­TIER, négociant en grains et four­rages, et Madame Maria MULLE- BROUCK son épouse, demeurant ensemble à Seulis, 14 bis, rue duFaubourg-Saint-Martin, ont venduà M. Marcel LEROY, négociant en grains et fourrages, demeu­rant à Senlis, 4, rue Thomas-Cou- ture l’enseigne, le nom cornmer-

1 cial, la clientèle et 1 achalandage attachés au fonds de com m erce de m arch an d en g ro s de g ra in s g ra in e s fo u rra g è re s , pailles, fo u rra g e s , sons e t issues, qa’ils

I de* Compiègne, [ 1930, enregistré.

Entre Madam

le trente avril

Raymonde-Ju-

D’un jugement contradictoire-1 ment rendu par le Tribunal civil [exploitaient à Senljs, 14 et 14 bis, départemental de l'Oise, “Section j rue du FaubourgrSaint-Martin,1 - i~*----------------------------------------■ ainsi que le matériel servant à

l’exploitation dudit fonds, mais non compris le droit aux baux.

Entrée en jouissance an i “r sep tembre 19301

Publication de la vente a eu lieu au Bulletin Officiel du 6 septem­bre 1930.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix^ jours à dater du présent avis, à Senlis, en l’Etude de M* Langlois, où

| domicile est élu.Pour deuxième avis :

4514 A. LANGLOIS

Etude de Me Marcel TOUCHAUDcommissaire-priseur

de l’arrondissement de Senlis Téléphone 150

LE VENDREDI 26 SEPTEMBRE 1930à 13 heures

Au LYS-CHANTILLYVilla Les Digitales

22, Grande AvenueAu domicile de M. VAN VLOTEN

V E N T E J U D I C I A I R Eaux enchères publiques

En vertu d’une ordonnance de M. le Pfésideut dp Tribunal de la Seine, du 12 juillet 1930.

D’UN

[mobilier Moderne4s, îrxl Kntre Madame Kaymonde-Ju-

rVuu jugement rendu par J® h iet te HABERT, épouse de Mon- tribunal civil départemental de L . ^ chanleg. j uies-Joseph PEE- l’Oise, section de Gompiegne, i.e l TjSRg, de nationalité Française, trente avril 1930, en,ref [ a v e c lequel elle demeure de droit profit de Madame Renée DEIN an , l à pjeujiiy.en-Thelle, mais autori- épouse de Monsieur F j sée à résider et résidant de fait à(leorges-Orial THIL, inanouvrier, parigi 131> rue gaint MarUu avec lequel elle demeu | p Bmft„ ^ FfiSse au Drincidroit en dernier lieu à W B ^ta tre , nuis à La’gneville, rue de Mop tataire, et actuellement autorisée à résider à Saint-Dénis (»eine),42, route de Gonesse, cliez sa

! sœur, et par défaut contre Mon- ' sieur Loger TI4IL, ouvrier d u-

Demanderesse au principal, défenderesse reconventionnelle, ayant pour avoué M« Chastaing.

Et Monsieur Charles-Jules-Jo­seph PEETERS, commis-épicier, demeurant à Neuilly-en-Thelle.

Défendeur au principal, dernan-

à l’état de neuî4612

Etude de Me Reym ond B4RELLAnotaire à Verberie (Oise).

La Vente par adjudication vo­lontaire de Matériel et Objets Mo­b ilie rs , à Verberie, 2, rue; des Moulins, à la requête de M. Caron , annoncée pour le Dimanche 1 4 S ep tem bre , aura lieu le DIMAN­CHE 21 SEPTEMBRE 1 9 8 0 , r? 14 heures.

’ . ....

Page 4: COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1929-1930/bms_js_1930_09_14_MRC.pdf · M. Le Beau, préfet de l’Oise, le mer credi 17 septembre, à 14 heures, et1 présentera vraisemblablement

A M E U B L E M E N T S C O M P L E T ST A P I S S E R I E •» ■»»*<• D É C O R A T I O N

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