La Réforme électorale et le reste Les Élections de...

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1 102® A n n é e . - Ae 51 LE NUMERO VINGT] CENT; <36 m? Dimanche 20 Décembre *331 L E C O U R R I E R D E L ' O I S E JOURNAL DE L ’A R R O N D I S S E M ENT DE SENLIS Paraissant le Dimanche ABOITN-BM EITTS ? "o® Bui*#iux P*Post® tîi Mi itmn,,,! 11 1 J moif «• » ■, •,, i t i | | Lu 3 Jkbo. inamants partent du i- de chaque moi» On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. —L’abonnement est payable (I avance et continue de plein droit jusqu'à réception d'avis contraire. BUREAUX, REDÀuTOTrA^MINISTRATIOI'. SENLIS — 11, F* l ace HLenri-XV, il — SENLIS TÉLÉPHONL N° 4 Directeur Commercial : E. VIGNON i DBS JN H BJ ï* a- I O £* fc* iasoaKM KfcJa* | fr. 60 U ligna. I Ré«lam*s Annonce* volouialrea.... I fr. 28 la Ugn«. I ** 00 8> ...... ........... 8 fr. 1* IIgm«, /es manuscrits, insères ou non, ne sont pas renocus La Réforme électorale et... le reste / Il faut tout de même recon naître qu’il y a... comme qui dirait un certain gâchis dans le travail parlementaire. On aborde en hâte une masse de questions fort diverses dont certaines eussent demandé à être approfondies. Et nous voilà maintenant lancés dans la réforme électorale qui consiste, comme l’on sait, dans la suppression du « se cond tour ». « Les gens « bien pensants » ont tout l’air de penser 1que cette réforme s’im pose absolument et que c’est le meil leur moyen de couper court aux mar chandages, aux maquignonnages et aux tripatouillages... Il se peut... Il se pourrait aussi que, comme le disait ■ 1 autre jour Ludovic-Oscar Frossard, cette réforme n’aboutisse « qu’à un déplacement chronologique des ma quignonnages q u ’o n prétend empê cher ». Ce qui veut dire que le gros effort de... « préparation », au lieu de se répartir éventuellement en deux fois, dans les circonscriptions où il y aurait ballottage, serait fourni en une seule fois, dans toutes les circonscrip tions, — avec quelle frénésie, on le prévoit ! « A l’heure où paraîtront ces lignes, nos lecteurs seront peut-être rensei gnés. L’affaire cependant risque de traîner en longueur. Au moment où nous écrivons, ce que l’on, voit de plus clair, c’est que la réforme déplaît fu rieusement aux Socialistes et que les Radicaux ne paraissent pas fixés, mais là, pas du tout. On leur fait observer que ce sont les leurs qui « avaient pré médité la suppression du second tour ». Et de Kérillis se promet de faire afficher par toute la France un certain article de Daladier sur la sup pression du second tour, envisagé comme la conséquence logique du refus des Socialistes à faire alliance publique avec les Radicaux. D’autre part il semble bien que ce M. Lambert qui est l’auteur du projet de suppression soit, au fond, d’accord avec M. Herriot... Alors on ne com prend plus. On ne voit pas bien pour quoi tant de feuilles radicales crient au sabotage du suffrage universel.. C’est que la situation des Radicaux est extrêmement compliquée. Au fond leurs préférences de cœur vont aux So cialistes. Ils rêvent toujours avec at tendrissement à un bel, et bon, et pro fitable Cartel... Mais les Socialistes sont tout de même bien intransigeants et puis ils vous jouent, aux élections, de vilains tours et le plus vilain de ces tours est souvent joué au « second tour »... Nous l’avons vu, à Senlis, aux dernières élections. D’autre part les Radicaux sentent qu’un très grand nombre d’électeurs moyens, situés un peu sur leur droite, ne laisseraient pas d’être mieux dis posés pour eux, s’il pouvait s’établir un fossé plus large entre les Socialis tes et eux. Les radicaux n’ont pas com plètement tort d’espérer recueillir des voix de ce côté. Surtout s’il n’y avait qu’un tour, à cause de la crainte ins pirée par le succès possible du candi dat socialiste. Ils pourraient peut-être avoir ainsi assez de sièges pour deve nir la « majorité » ou du moins pour en devenir l’élément indispensable. Comme ils entendent être un parti de gouvernement, la perspective n’a rien pour leur déplaire. On comprend donc leur embarras et comment, dans le cas présent, la tactique serait pour eux de faire passer la réforme sans y travailler ouvertement. «A Du côté des Socialistes, la situation est beaucoup, plus simple. Les scru tins de ballottage leur sont générale ment favorables depuis quelque temps. Ils résistent à la réforme, ils se lancent dans l’obstruction. Le procédé consiste, comme l’on sait, a parler indéfiniment à propos des moindres choses, voire même à propos des incidents de séance, et à faire traîner les débats pour les em pêcher d’aboutir. C’est ainsi qu’en 1879 Parnell, un député Irlandais, avejc deux de ses amis ont pris onze cents fois la parole dans une seule session et ont fait du rer une séance de la Chambre des Communes pendant quarante et une heures. Au Reichsmt autrichien, en 1909, le groupe Tchèque, par son obstruc tion, obligea l’assemblée à siéger 86 heures consécutives ! Nous allons voir si nos braves S. F. I. O. auront autant de souffle avec leurs sept cents amendements ! A Pendant ce temps hélas ! La misère et le chômage vont leur train et Jean Delage nous signalait ces jours-ci l’af freuse détresse de ces pauvres émi grés russes obligés de coucher sous les ponts et de marcher des nuits entières pour lutter contre le froid et le som meil. Gn ne saurait les renvoyer chez eux comme d’autres travailleurs étran gers puisqu’aussi bien c’est la mort qui les y attend. Mais ce n’est pas une raison pour les laisser mourir de faim chez nous... Juste en face de l’article de Jean Delage, dans ce même numéro de L’Echo de Paris, on peut lire une annonce qui nous apprend qu’on trou ve .à Cannes des « palaces accueil lants » à des « prix correspondant bien à la situation actuelle ». (!) Nous ne savons pas ,quels sont ces prix qui « correspondent à la situation actuel le ». Mais, sans vouloir condamner au chômage les marmitons et les plon geurs de la Côte d’Azur, nous avons l’idée )que l’on ferait bien de faire « sur ces prix » quelques économies qui pourraient utilement servir à sou lager ceux que la misère oblige à dé ambuler nuit et jour en quête d’un abri et d’un morceau de pain. A. Chenet . Chemin de Fer du Nord PARIS-NORD A LONDRES Fêtes de Noël 1931 et du Jour de l’An 1932 Les 22, 23, 24, 30 et 31 décembre 1931, délivrance de billets d’pxcursion à prix réduits de Paris-Nord à Londres, vala bles quinze jours, avec facilité de pro rogation contre supplément. 1° Via Boulogne-Folkestone ou Calais-Douvres Service de jour. Prix des places aller et retour (sauf variations) et y compris le droit de timbre : Aldultes Première classe : 552 fr. 75. Deuxième classe : 404 fr. 00 . Troisième classe : 286 fr. 25'. Réduction pour enfants de 4 à 10 ans. 2° Via Dunkerque-Tilbury Service de nuit Prix des places aller et retour (sauf variations) et y compris le droit de timbre : Adultes Première classe : 434 fr. 25 Deuxième classe sur le réseau du Nord, troisième classe sur le bateau et sur les chemins de fer anglais : 273 fr. 50. Troisième classe : 230 fr. 75. Réduction pour enfants de 4 à 10 ans. Les billets donnent droit à une fran chise de 30 kilogrammes de bagages sur tout le parcours (pour les enfants, le poids est réduit à 20 kilogs). Pour plus amples renseignements, horaires, délivrance de billets, s’adres ser à la Gare du Nord, 18, rue de Dun- kerque à Paris ; à là Compagnie du Southern Railway, 13, rue Auber, Paris et à la Compagnie du London Midland and Scottish, 12, boulevard de la Ma deleine. & La Compagnie du Chemin de Fer du Nord informe le public qu’à l’oc casion des fêtes de Noël et du Jour de l’An, pendant la période du samedi 19 décembre 1931 au dimanche 3 janvier 1932 inclus, des billets de toutes clas ses pourront être délivrés à l’avance, la veille ou l’avant-veille du départ, aux guichets de la gare de Paris-Nord. Bien indiquer aux guichets, lors de la demande des billets, la date exacte du départ. CAISSE RÉGIONALE de Crédit Agricole Mutuel de l’Oise Les difficultés éprouvées par certains groupements agricoles se livrant, à ti tre privé, à des opérations de crédit et qui ont été l’objet, ces jours derniers, des préoccupations gouvernementales, me font une obligation de déclarer que La Caisse Régionale de Crédit Agricole de l’Oise et ses filiales (Caisses canto nales ou locales de crédit agricole mu tuel) n’ont rien de commun avec ces groupements. La Caisse Régionale de Crédit Agri cole de l’Oise a été constituée confor mément aux lois et décrets qui régis sent l’institution du Crédit Agricole Mutuel et sè trouve soumise, de ce fait, au contrôle des Inspecteurs du Minis tère de l’Agriculture et du Ministère des Finances. Depuis sa fondation, elle est affiliée à la Caisse Nationale de Crédit Agri cole, à laquelle le Gouvernement vient de confier précisément le soin de se courir les groupements défaillants. Son organisation, ses contrôles et son bon fonctionnement, lui ont assuré une prospérité constante dont l’important accroissement annuel de son capital et de son fonds de réserve constitue le plus sûr garant. En octobre 1930, une circulaire du Garde des Sceaux, a fait savoir à Mes sieurs les Notaires, qu’ils pouvaient dé poser les fonds, à eux confiés par leur clientèle, dans les caisses régionales de Crédit Agricole Mutuel, consacrant ain si la confiance que ces institutions doi vent inspirer à leurs adhérents et dé posants. Les Élections de Dimanche bibliographie dans l ’O i s e CONSEIL D’ARRONDISSEMENT Canton de Songeons M. Crosnier, républicain U. R. D est élu par 707 voix contre 697 à M. Vas- seur, radical-socialiste. Canton de Marseille-en-Beauvaisis M. le Docteur Fontan, républicain, U. R. D., est élu par 965 voix. Canton de Formerie MM. Aujoux, U. R. D................... 647 voix Lièbe, radical-socialiste .. 584 voix Weil-Reynal, S. F. I. O. .. 454 voix Ballottage Les Cartellistes w. battus en Chartreuse Quatre élections cantonales ont eu lieu dimanche en Isère. Deux sièges, ceux de Saint-Laurent-du-Port et du Grand-Lemps ont été enlevés au Cartel par les républicains indépendants. L’élection de Saint-Laurent-du-Pont, canton de la Chartreuse, est spéciale ment intéressante. Il s’agissait de rem placer un radical-socialiste. Le candi dat cartelliste, M. Terpend, adjoint socialiste de Saint-Laurent-du-Pont, accompagné par M. Mistral, député- maire de Grenoble, avait mis en jeu la question de la Grande-Chartreuse. Il déclarait, dans sa profession de foi, vouloir s’élever avec force contre ceux qui ont entrepris une campagne systé matique en faveur des Chartreux. , Son concurrent, M. Villard, maire de Saint-Pjerre-de-Qhartreuse, commune sur le territoire de laquelle est le mo nastère, se déclarait, au contraire, par tisan du droit commun et de l’abroga tion des lois d’exception. M. Villard a été élu par 1.073 voix contre 556 ; cet écrasement du cartellisme en Char treuse a produit une vive sensation dans la région. CHAMBRE DE COMMERCE DE BEAUVAIS ET DE L’OISE Renouvellement de la S"16 Série Scrutin de ballottage du 20 Décembre 1931. Aux Electeurs Consulaires du Département de l’Oise Mesdames, Messieurs, Vous avez bien voulu, le 6 décembre, malgré les incommodités persistantes du scrutin consulaire, vous déplacer en nombre appréciable pour nous appor ter vos suffrages. Nous vous en remercions très vive ment et nous vous demandons de ve nir, plus nombreux encore, renouveler votre effort au ballottage du 20 décem bre. Votre confiance nous est plus que jamais nécessaire pour nous permet tre de coopérer utilement à la défense des intérêts économiques du Pays, gra vement menacés par les circonstances actuelles. — Vos tout dévoués, MM. E. DELICOURT, négociant en bois, à Compiègne ; G. MAILLARD, négociant en épicerie, à Beauvais ; J. POTELLE, fabricant de boutons de nacre, à Méru ; G. TROENDLE, ancien industriel, in génieur, à Villers-sous-Saint-Leu ; G. VIOT, négociant en charbons, fabri cant de clôtures et articles en ciment à Beauvais. Mesdames, Messieurs, En vous remerciant du nombre im portant de voix que vous avez accordé à ceux de nos collègues qui se repré sentaient devant vous le 6 décembre nous croyons particulièrement oppor tun de faire en leur faveur un nouvel et pressant appel auprès de vous. L’ac tivité commerciale et industrieile du Pays est, à l’heure présente, singuliè rement menacée : il faut que tous ceux qui sont conscients du danger renfor cent, par de larges témoignages de confiance, l’autorité des hommes qui dans des Assemblées désintéressées’ s’efforcent à la défendre de leur mieux! Veuillez croire, Mesdam^-eé-^VjL»! sieurs, à tout notre dévouement, J. Loisel, président; F. Moritz et L. Soualle, vice-présidents ; L. de Sé- rem/Je, secrétaire ; P. Ala.voine, P- Dnyae, R. Gftilleminot, G. Lefebvre- Albaret, E . Mauny, A. Poulin, membres. Mesdames et Messieurs les Electeurs qui égareraient leur bulle- in ele vote, sont assurés d’en trouver autres, mis à leur disposition dans la salle du scrutin de chaque chef-lieu de canton. Acheter des Timbres Antituberculeux est une obligation pour chacun. Les em ployer par tous les moyens mis en no tre pouvoir, les montrer est un devoir . impérieux. Le Timbre «. de l’air pur » apprend à vivre sainement. D numéro de décembre de la Revue Bibliographique Le Livre Français, vieit de publier, sous la plume du Coate Arnauld Doria, des comptes rendus très élogieux des récents ou vrages de M. Félix Louât et du Baron Antré de Maricourt. ]>ous sommes heureux de pouvoir repoduire ci-dessous, à l’intention de nos lecteurs, le texte'de ces deux ar ticle. Félix L ouât Histoire de la Ville de Senlis (un hors-texte de Hallo) S’étageant au-dessus de la vallée de la Nonette, dominée par la flèche al- tière de sa cathédrale et ses nombreux ebehers, Senlis, encore encerclée de ya double enceinte de remparts, est une yUle fort pittoresque et chargée d’his- “pre. Elle a su conserver, presque in- t|cte jusqu’ici, sa riche parure de vieux monuments, et cependant, bien qu’elle ne soit éloignée que de dix lieues de la capitale, nombreux sont les touristes qui ne l’ont pas encore « découverte ». Le livre de M. Louât contribuera, nous le souhaitons, à la mieux faire con naître ; on ne saurait, en tout ca#, trouver un meilleur guide que lui. Par sa position au milieu de forêts giboyeuses, Senlis fut la ville préférée des Mérovingiens, des Carolingiens et des premiers Capétiens qui y cons truisirent notamment un important château dont les ruines subsistent tou- j ours. Avant eux, les Romains avaient installé dans la cité gauloise conquise point stratégique au croisement de rou tes importantes, une garnison nom breuse. C’est ce qui explique les ves tiges de l’occupation romaine qu’on peut y admirer encore aujourd’hui. Au Moyen Age, monastères et églises s’y élevèrent comme par enchantement, et sa cathédrale compte au nombre des plus belles dont la France puisse jus tement s’enorgueillir. Suivant dans son récit l’ordre chro nologique, M. Félix Louât, l’actuel mai re de la ville et son historien très jiyerti, retrace tous les événements dont Senlis fut le théâtre, depuis sa fonda tion jusques et y compris les journées tragiques de l’occupation allemande de 1914. L’histoire locale, ici, se confond si souvent avec celle de la France, que la lecture de ces pages est toujours d’un vif attrait. Le côté archéologique n’a pas été délibérément écarté ; aussi l’étude des principaux monuments militaires, ci vils et religieux, presque tous encore debout, est-elle, au cours de cette his toire, sommairement esquissée. La seconde partie du volume est con sacrée aux rues de Senlis, aux noms souvent désuets mais charmants (rue aux Flageards, aux Fromages, aux Co quilles, rue de la Poulaillerie, des Ba lances, du Chat-Héret, etc...), et au récit des vicissitudes de l’ancienne église St- Aignan, transformée en théâtre depuis plus d’un siècle. Il est utile que de tels ouvrages sur les vieilles villes de notre pays soient publiés, car, — c’est l’auteur lui-même qui le remarque fort justement dans son Avant-Propos — « souvent, la petite histoire aide à comprendre et à expliquer la grande ». -Baron André de M aricourt La Jüoft du Due d’Eughleti On devait déjà au baron André de Maricourt des ouvrages historiques d’un puissant intérêt sur l’époque ré volutionnaire et l’épopée impériale. Par la parfaite connaissance qu’il a de cette période, si troublée et si fertile en drames, de notre vie nationale, il était donc tout qualifié pour npus en retra cer aujourd’hui un des épisodes les plus poignants : La Mort du Duc d’Enghien. Ce sujet a été maintes fois traité, mais trop souvent imparfaitement ou avec parti pris. M. de Maricourt, lui, sait être d’une scrupuleuse impartia lité ; de plus, cet érudit archiviste analyse, avec une très clairvoyante perspicacité, les documents officiels, les journaux de l’époque, les corres pondances et les mémoires des acteurs et des spectateurs du drame. Bien mieux, il verse aux débats des pièces encore inédites qui permettent de re constituer parfaitement certains points, restés jusqu’ici obscurs, de l’histoire navrante de l’enlèvement du duc en territoire étranger, de son court inter nement au château de Vincennes et de f son jugement inique et sommaire. Soirs la plume du baron de Mari court, les personnages prennent corps et renaissent à la vie ; on les voit pen ser et^ agir devant nous. A les bien connaître — car l’auteur, excellent Psychologue, sait scruter les conscien ces — on comprend mieux alors les Mobiles de leurs actes. Talleyrand, « satanas ex machina », ne sort pas grandi de cette tragique aventure, non Pins que Foucher. Savary nous appa raît d’un zèle excessif et Réal singulier de maladresse. Par contre, la culpabi lité de Bonaparte semble moins gran de qu’on ne le croyait jusqu’ici, avant cette enquiête approfondie. On a l’im pression très nette que le futur empe reur a agi par raison d’Etat, persuadé a tort qu’Enghien conspirait avec Du- mouriez et Cadoudal contre lui. Talley rand l’a soigneusement entretenu dans Cette croyance et, à l’heure du juge ment du jeune Gondé, il précipitera les choses et brouillera les cartes. Ce n’est par exemple qu’après l’exécution que le ministre fera parvenir à son maître les attendus du jugement et la suppli que dans laquelle le duc demandait la faveur d ’u n e audience au Premier Consul. Bonaparte, donc, a été trompé ; pour tant, si dans l’intimité il en faisait par fois l’aveu, il ne voulut jamais offi ciellement reconnaître son erreur, en dossant ainsi devant l’histoire un cri me dont le principal responsable reste Talleyrand. Ce forfait, comme le re marque l’auteur, vaudra à Napoléon sa couronne : en effet, «, ce crime, en se mant la terreur, déterminera en Fran ce une fièvre qui fit l’Empire ». A côté du drame, au récit fort bien conduit, et le rendant plus poignant encore, M. de Maricourt retrace la tou chante idylle du duc d’Enghien avec sa cousine Charlotte de Rohan-Rochefort. Celle-ci, inconsolable, mènera après le meurtre, et pendant près de quarante ans, une « existence désolée, toute de résignation hautaine de dignité sim ple et de religion profonde ». Ce livre dans lequel le dernier des Condé, « prince jeune, ardent, chasseur et amoureux », nous apparaît, aux heu res graves et tragiques, un caractère droit, une âme bien trempée, un soldat héroïque et chevaleresque devant la mort, sera lu avec profit par tous ceux que passionnent les grands procès de l’histoire. Comte Arnauld Doria. COMMERÇANTS ! Vendez des produits français. FRANÇAIS ! Achetez dns produits français P êclie Conformément aux dispositions de l’arrêté préfectoral du 25 novembre 1926, approuvé par décisions de MM. les Ministres de l’Agriculture et des Travaux Publics en date des 20 , 23 dé cembre 1926 et portant réglementation permanente de la pêche fluviale, dans le département de l’Oise, les époques pendant lesquelles la pêche est inter dite, en 1932, en vue de protéger la reproduction du poisson, sont fixées ainsi qu’il suit, pour les différentes es pèces : Truite Cours d’eau de première catégorie Du premier janvier 1932 inclus au 2 avril 1932 inclus et du 21 octobre 1932 inclus au 31 décembre 1932 inclus. Cours d’eau de deuxième catégorie Du lundi 18 avril 1932 inclus^ au sa medi 18 juin 1932 inclus, et du 21 oc tobre' 1932 inclus au 31 janvier 1932 inclus. Autres Poissons Cours d’eau de première catégorie Du premier janvier 1932 inclus au 2 avril 1932 inclus et du lundi 18 avril 1932 inclus au samedi 18 juin 1932 inclus. Cours d’eau de deuxième catégorie Du lundi 18 avril 1932 inclus au sa medi 18 juin 1932 inclus. Ecrevisses Du premier janvier 1932 inclus au samedi 18 juin 1932 inclus et du lundi 19 septembre 1932 inclus au 31 décem bre 1932 inclus. Les cours d(eau et canaux du dépar tement de l’Oise sont, au point de vue de la réglementation de la pêche, divi sés en deux catégories : La première catégorie (espèce domi nante : la truite) comprend : Le Thérain (partie située en amont de Villers-Saint-Sépulcre et tous les affluents de cette partie). La Brèche et tous ses affluents. L’Epte et tous ses affluents. La Noye et tous ses affluents. La Celle et tous ses affluents. La Bresle et tous ses affluents. La deuxième catégorie (rivières sans truites) comprend tous les cours d’eau et canaux non désignés ci-dessus. — ♦ - Avis de Concours Un concours pour quatorze emplois de rédacteur-stagiaire aura lieu à la Préfecture de Seine-et-Oise les 26, 27 et 28 janvier 1932. Peuvent seuls se faire inscrire en vue de ce concours : 1 ° les français du sexe masculin titulaires du diplôme du bac calauréat, du brevet supérieur de l’en seignement primaire, du diplôme de l’école des hautes études commerciales ou d’une des écoles supérieures de commerce reconnues par l’Etat, du di plôme de fin d’études secondaires, de la capacité en droit ou d ’u n brevet d’officier des armées actives de terre ou de mer ; 2 ° les expéditionnaires et dactylographes hommes des Préfectu res et Sous-Préfectures comptant au moins cinq ans de services. Tous renseignements relatifs au pro gramme et aux conditions d’admission seront fournis sur demande adressée au Secrétariat Général de la Préfecture de Seine-et-Oise, à Versailles. AVIS Les Fêtes de Noël et du Nouvel An tombant cette année le vendredi, le « Courrier dé l’Oise » paraîtra à la date du dimanche comme d’habitude, mais le tirage sera avancé de 24 heures. Nous prions nos correspondants et clients de bien vouloir en prendre note et nous leur rappelons qu’en temps ordinaire les communiqués et annon ces devront nous être remis le JEUDI avant MIDI . TRIBUNE^ LIBRE Défense de fumer Il est bien permis d’avoir un faible pour les Gitanes, mais ce qui est dé fendu c’est de les allumer dans une salle de spectacle. Sans plus se soucier des spectatrices assises autour de lui que du danger d’incendie, un étranger distribuait l’au tre soir, aux fauteuils de balcon, de vé ritables nuages de fumée. Dimanche après-midi un autre spec tateur procédait de la même façon en distribuant à profusion des mégots en core incandescents sur le parquet. Ces faits sont heureusement assez rares, mais il serait désirable, dans l’intérêt de tous, que dans des cas sem blables, l’agent de service rappelle ces Messieurs Sans-Gêne à la politesse et à la prudence. Monsieur Clara veille parfaitement à la bonne tenue de la salle, nous som mes persuadés que la police saura veiller à la bonne tenue des specta teurs. Association des Sociétés de Gymnastique de l'Oise Assemblée Générale Dimanche 20 décembre 1931, à Creil. 10 heures. — Cours des Moniteurs, salle de l’Avenir. 11 heures. — Réunion des Membres du bureau et de la Commission tech nique, même endroit. Midi 30. — Déjeuner Hôtel du Che min de Fer. 14 heures. — Assemblée générale. Hôtel de Ville de Creil. —— -------------------- ♦ — --------- Comité d'entente des Associations d'Anciens Combattants et Victimes de la Guerre du Département de l’Oise LA CARTE DU COMBATTANT et les recommandations parlementaires Un grand nombre d’Anciens Com battants se plaignent non sans raison, de l’extrême lenteur avec laquelle tra vaille la commission dite de l’art. 4 , chargée d’examiner les demandes de tous ceux qui, en raison de circonstan ces particulières, réclament la carte du Combattant bien qu’ayant apparte nu à des unités réputées non-combat tantes. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’une des causes principales de cette lenteur leur est imputable : elle réside, en effet, dans les innombrables interventions parlementaires qu’ils provoquent et qui compliquent la besogne à un point difficilement imaginable. Jusuement émue de cet état de cho ses, la Confédération Nationale des Anciens, Combattants vient d’adresser à tous îes Parlementaires une lettre détaillée pour les prier de ne plus in tervenir. Nous en donnons ci-dessous les principaux passages qui se passent de commentaires. « D’une étude à laquelle nous ve nons de. nous livrer, il ressort que la principale cause de cette lenteur rési de dans le fait que le personnel réduit, mis à la disposition de cette commis sion est presque uniquement occupé à rechercher des dossiers et à répondre au volumineux courrier reçu des par lementaires qui recommandent leurs électeurs et amis : quinze employés procèdent à des recherches aux fichiers et dans les dossiers, plusieurs rédac teurs rédigent les réponses aux inter ventions et un fonctionnaire des plus importants consacre plusieurs jour nées par semaine à signer les répon ses. « Nous vous demandons... de ne pas compliquer la besogne des dits fonc tionnaires et de considérer que les re commandations, d’où qu’elles viennent, ne peuvent et ne doivent avoir aucune influence pour l’attribution de la carte du Combattant. « Si les intéressés y ont droit, ils l’auront du seul fait de leur mérite, s’ils n’y ont pas droit, aucune inter vention ne la leur fera donner, et la Confédération Nationale se dressera toujours contre l’intrigue et le passe- droit. » Nous invitons nos camarades qui se pourvoient devant la commission de l’art. 4 à méditer ces sages paroles, et nous les prions instamment de ne pas solliciter des interventions dont le seul résultat est de retarder l’examen des dossiers. Nous espérons d’ailleurs que dorénavant, les parlementaires refuse- | ront de se livrer à des interventions j dont l’inutilité leur a été si nettement signalée;

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Directeur Commercial : E. VIGNON

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/es manuscrits, insères ou non, ne sont pas renocus

La Réforme électorale et... le reste

/ Il fa u t to u t de m êm e reco n ­n a ître q u ’il y a... com m e q u i d ira it u n c e r ta in gâch is d an s le tra v a il p a r le m e n ta ire . O n ab o rd e en h â te u n e m asse de q u es tio n s

fo r t d iv erses d o n t c e rta in e s e u ssen t d em an d é à ê tre a p p ro fo n d ie s . E t n o u s vo ilà m a in te n a n t lancés d a n s la ré fo rm e é lec to ra le q u i con sis te , com m e l ’on sa it, d an s la su p p re ss io n d u « se­cond to u r ».

«L es gens « b ien p e n s a n ts » o n t to u t

l ’a ir de p e n se r1 que c e tte ré fo rm e s ’im ­p o se a b so lu m e n t e t q u e c’e s t le m e il­le u r m oyen de co u p er c o u rt a u x m a r­ch an d ag es , a u x m a q u ig n o n n a g e s e t a u x tr ip a to u illag es ... Il se p eu t... Il se p o u r ra i t a u ss i que, com m e le d isa it

■ 1 a u tre jo u r L u d ov ic-O scar F ro ssa rd , c e tte ré fo rm e n ’a b o u tisse « q u ’à u n d é p la c e m en t ch ro n o lo g iq u e des m a ­q u ig n o n n ag es q u ’on p ré te n d em pê­c h e r ». Ce q u i v e u t d ire q u e le gros e ffo rt de... « p ré p a ra tio n », au lieu d e se r é p a r t i r év en tu e llem en t en d eux fo is, d an s les c irc o n sc rip tio n s où il y a u r a i t b a llo ttag e , s e ra it fo u rn i en u n e seu le fo is, d a n s to u te s les c irco n sc rip ­tio n s , — avec q u e lle frén ésie , on le p ré v o it !

«A l’h e u re où p a ra î t ro n t ces lignes,

n o s le c teu rs se ro n t p e u t-ê tre re n se i­gnés. L ’affa ire c e p e n d a n t r isq u e de t r a în e r en lo n g u e u r. A u m o m en t où n o u s écrivons, ce que l ’on, vo it de p lu s c la ir , c ’es t que la ré fo rm e d é p la ît fu ­r ie u se m e n t a u x S ocia lis tes e t q u e les R ad icau x ne p a ra is s e n t p a s fixés, m ais là , p a s du to u t. O n le u r f a i t o b serv er que ce so n t les le u rs q u i « a v a ie n t p ré ­m é d ité la su p p re ss io n d u second to u r ». E t de K érillis se p ro m e t de f a i r e a ffich e r p a r to u te la F ra n c e u n c e r ta in a rtic le de D a la d ie r s u r la su p ­p re ss io n du second to u r , envisagé co m m e la co n séq u en ce log iq u e d u re fu s des S ocia lis tes à fa ire a llian ce p u b liq u e avec les R ad icau x .

D ’a u tre p a r t il sem ble b ien q u e ce M. L a m b e rt q u i e s t l ’a u te u r d u p ro je t de su p p re ss io n soit, a u fo n d , d ’acco rd avec M. H errio t... A lo rs on n e com ­p re n d p lu s . O n n e v o it p a s b ie n p o u r ­q u o i t a n t de feu ille s ra d ic a le s c r ie n t au sabo tage d u su ffrage u n iv e rse l..

C’e s t que la s i tu a tio n des R ad icau x e s t e x trê m e m e n t com pliquée . A u fo n d le u rs p ré fé ren ces de c œ u r v o n t a u x So­cia lis tes . Ils rê v e n t to u jo u rs avec a t­te n d r is se m e n t à u n bel, e t bon , e t p ro ­fitab le C artel... M ais les S ocia listes so n t to u t de m êm e b ie n in tra n s ig e a n ts et p u is ils v o u s jo u e n t, a u x é lec tions, de v ila in s to u rs e t le p lu s v ila in de ces to u rs e s t so u v en t jo u é a u « second to u r »... N ous l ’avons vu , à Senlis, au x d e rn iè re s é lec tions.

D ’a u tre p a r t les R ad icau x se n te n t q u ’u n trè s g ra n d n o m b re d ’é lec teu rs m oyens, s itu és u n p eu s u r le u r d ro ite , ne la is se ra ie n t p a s d ’ê tre m ieu x d is ­posés p o u r eux, s’il p o u v a it s ’é ta b lir u n fossé p lu s la rg e e n tre les Socialis­te s e t eux. L es ra d ic a u x n ’o n t p a s com ­

p lè te m e n t to r t d ’e sp é re r re c u e illir des voix de ce côté. S u r to u t s ’il n ’y av a it q u ’u n to u r, à cau se de la c ra in te in s ­p irée p a r le succès possib le du c a n d i­d a t socialiste . Ils p o u rra ie n t p e u t-ê tre av o ir a in s i assez de sièges p o u r deve­n i r la « m a jo r ité » ou d u m o in s p o u r en dev en ir l ’é lém en t in d isp en sab le . C om m e ils e n te n d e n t ê tre u n p a r t i de g o u v ern em en t, la pe rsp ec tiv e n ’a r ie n p o u r le u r d ép la ire . O n co m p ren d donc le u r e m b a rra s e t com m en t, d an s le cas p ré se n t, la ta c tiq u e s e ra it p o u r eu x de fa ire p a sse r la ré fo rm e san s y tra v a ille r o u v ertem en t.

«AD u cô té des Socia listes, la s itu a tio n

e s t b eau co u p , p lu s sim p le . L es sc ru ­tin s de b a llo ttag e le u r so n t g én éra le ­m en t fav o rab les d ep u is quelque tem p s. Ils ré s is te n t à la ré fo rm e , ils se la n c e n t d a n s l ’o b s tru c tio n .

Le p rocédé consiste , com m e l’on sa it, a p a r le r in d é fin im en t à p ro p o s des m o in d res choses, vo ire m êm e à p ro p o s des in c id e n ts de séance, e t à fa ire t r a în e r les d éb a ts p o u r les em ­p êch e r d ’ab o u tir .

C’e s t a in s i q u ’en 1879 P a rn e ll, u n d ép u té I r la n d a is , avejc d eux de ses a m is o n t p r is onze cen ts fo is la p a ro le d an s u n e seu le session e t o n t fa it d u ­r e r u n e séance de la C h am b re des C om m unes p e n d a n t q u a ra n te e t u n e h eu res .

A u R e ic h s m t a u tr ic h ie n , e n 1909, le g ro u p e T ch èq u e , p a r son o b s tru c ­tio n , obligea l’assem blée à siéger 86 h e u re s consécu tives !

N ous a llo n s v o ir si n os b rav es S. F . I. O. a u ro n t a u ta n t de souffle avec le u rs sep t cen ts a m en d em en ts !

AP e n d a n t ce tem p s h é la s ! L a m isère

e t le chôm age v o n t le u r t r a in e t Je a n D elage n o u s s ig n a la it ces jo u rs -c i l ’a f­freu se d é tre sse de ces p a u v re s ém i­g rés ru sse s obligés de co u ch er sous les p o n ts e t de m a rc h e r des n u its en tiè re s p o u r lu t te r co n tre le fro id e t le som ­m eil. G n ne sa u ra it les ren v o y e r chez eu x com m e d ’a u tre s tra v a ille u rs é tra n ­g e rs p u is q u ’a u ss i b ien c’e s t la m o rt q u i les y a tte n d . M ais ce n ’e s t p a s une ra iso n p o u r les la isse r m o u r ir de fa im chez nous...

J u s te en face de l’a rtic le de Je a n D elage, d a n s ce m êm e n u m é ro de L ’E ch o de P aris, on p e u t lire u n e a n n o n ce q u i n o u s a p p re n d q u ’on t ro u ­ve .à C annes des « p a laces accu e il­la n ts » à des « p r ix c o rre sp o n d a n t b ien à la s itu a tio n ac tu e lle ». (!) N ous ne savons p a s , quels so n t ces p r ix q u i « c o rre sp o n d e n t à la s itu a tio n ac tu e l­le ». M ais, san s v o u lo ir co n d a m n e r au chôm age les m a rm ito n s e t les p lo n ­g eu rs de la Côte d ’A zur, n o u s avons l ’idée )que l ’on fe ra it b ien de fa ire « s u r ces p r ix » q u e lq u es économ ies q u i p o u r ra ie n t u tile m e n t se rv ir à sou­lag e r ceux q u e la m isè re oblige à dé­a m b u le r n u it e t jo u r en qu ê te d ’u n a b ri e t d ’u n m o rceau de p a in .

A. Ch en et .

Chemin de Fer du NordP A R IS -N O R D A L O N D R E S

F êtes de N oël 1931et d u Jo u r de l’A n 1932

Les 22, 23, 24, 30 et 31 décem bre 1931, d é liv rance de b ille ts d ’p x cu rs io n à p rix réd u its de P a ris -N o rd à L ondres, v a la ­b les qu inze jo u rs , avec fac ilité de p ro ­rogation contre su p p lém en t.1° Via B oulogne-F olkestone

ou Calais-D ouvres Service de jo u r.

P r ix des p laces a lle r et re to u r (sau f varia tio n s) et y com p ris le d ro it de tim b re :

Aldultes P rem iè re c lasse : 552 fr. 75. D euxièm e classe : 404 fr. 00 . T ro isièm e classe : 286 fr. 25'. R éduction po u r e n fa n ts de 4 à 10

ans.2° Via D u n kerq u e -T ilb u ry

S erv ice de n u itP r ix des p laces a lle r et re to u r (sau f

v aria tions) et y com pris le d ro it de tim b re :

A d u lte s P rem iè re c lasse : 434 fr. 25 D euxièm e c lasse su r le ré seau du N ord, tro isièm e c lasse su r le ba teau et s u r les chem ins de fe r a n g la is : 273 fr. 50.T ro isièm e c lasse : 230 fr. 75. R éduction p o u r e n fa n ts de 4 à 10

ans.Les b ille ts d o n n en t d ro it à u n e f ra n ­

ch ise de 30 k ilo g ram m es de bag ag es su r tou t le p a rco u rs (pour les en fan ts , le poids est réd u it à 20 k ilogs).

P o u r p lu s am p les ren se ig n em en ts , ho ra ires, d é liv rance de b illets, s’ad re s­se r à la G are du Nord, 18, ru e de D un- k erq u e à P a r is ; à là C om pagnie du Sou thern R ailw ay , 13, ru e A uber, P a r is et à la C om pagnie du L ondon M idland an d Scottish, 12, bou levard de la M a­deleine.

&L a C om pagnie du C hem in de F e r

du N ord in fo rm e le pub lic q u ’à l’oc­casion des fêtes de Noël et du Jo u r de l ’An, p e n d a n t la période du sam ed i 19 décem bre 1931 au d im an ch e 3 ja n v ie r 1932 inc lus, des b ille ts de tou tes c las­ses p o u rro n t ê tre déliv rés à l’avance, la veille ou l’avan t-veille du départ, au x gu ichets de la gare de P aris-N ord .

B ien in d iq u e r au x gu ichets, lo rs de la dem ande des b illets, la date exacte du départ.

CAISSE RÉGIONALEde Crédit Agricole Mutuel de l’Oise

Les d ifficultés éprouvées p a r certa in s g ro u p em en ts agrico les se liv ran t, à ti­tre privé, à des opéra tions de c réd it et qu i ont été l’objet, ces jo u rs dern iers, des p réoccupations gouvernem enta les, m e fon t u n e obligation de d éc la re r que La Caisse R égionale de Crédit A grico le de l’O ise et ses filiales (C aisses can to ­na les ou locales de c réd it agricole m u ­tuel) n ’ont rien de com m un avec ces g roupem en ts.

L a C aisse R égionale de Crédit A gri­cole de l ’Oise a été constituée confor­m ém en t au x lois et décrets qu i rég is­sen t l ’in stitu tio n du Crédit A gricole M utuel et sè trouve soum ise, de ce fait, au contrôle des In sp ec teu rs du M inis­tère de l ’A g ricu ltu re et du M inistère des F in an ces.

D epuis sa fondation , elle est affiliée à la Caisse N ationale de Crédit A gri­cole, à laque lle le G ouvernem ent v ien t de confier p réc isém en t le soin de se­co u rir les g roupem en ts d éfa illan ts .

Son o rgan isa tion , ses contrô les et son bon fonctionnem en t, lu i ont a ssu ré une p ro sp érité constan te dont l’im p o rta n t acc ro issem en t a n n u e l de son cap ita l et de son fonds de réserve constitue le p lu s sû r g a ran t.

En octobre 1930, une c ircu la ire du G arde des Sceaux, a fa it savo ir à M es­sieu rs les N otaires, q u ’i ls pouv a ien t dé­poser les fonds, à eux confiés p a r leu r clientèle, dan s les ca isses rég io n a les de Crédit A gricole M utuel, co n sac ran t a in ­si la confiance que ces in s titu tio n s doi­ven t in sp ire r à leu rs ad h éren ts e t dé­posan ts.

Les Élections de Dimanche b i b l i o g r a p h i ed a n s l ’O i s e

CONSEIL D’ARRO N D ISSEM EN T

Canton de SongeonsM. C rosnier, rép u b lica in U. R. D est

élu p a r 707 voix contre 697 à M. V as- seur, rad ica l-soc ialis te .

Canton de M arseille -en-B eauva isis M. le D octeur F o n tan , rép u b lica in , U.

R. D., est é lu p a r 965 voix.Canton de F orm erie

MM.A ujoux, U. R. D................... 647 voixLièbe, rad ica l-so c ia lis te . . 584 voixW eil-R eynal, S. F . I. O. . . 454 voix

Ballottage

Les Cartellistes w . battus en ChartreuseQ uatre élections can tona les ont eu

lieu d im anche en Isè re . D eux sièges, ceux de S a in t-L a u re n t-d u -P o rt et du G rand-L em ps on t été enlevés au Cartel p a r les rép u b lica in s indépendants. L ’élection de S a in t-L auren t-du -P on t, can ton de la C hartreuse, est spéciale­m en t in té ressan te . Il s ’ag issa it de rem ­p lace r un rad ica l-socialiste . Le candi­da t carte lliste , M. T erp en d , ad jo in t socialiste de S a in t-L auren t-du -P on t, accom pagné p a r M. M istra l, député- m a ire de Grenoble, ava it m is en je u la question de la G rande-C hartreuse . Il déclara it, dan s sa p ro fession de foi, voulo ir s ’élever avec force contre ceux qui ont en trep ris u n e cam p ag n e systé­m atique en fav eu r des C hartreux ., Son concurren t, M. V illard , m a ire de

S a in t-P je rre -d e -Q h artreu se , com m une su r le te rrito ire de laq u e lle est le m o­nastère , se déclara it, au contraire , p a r­tisa n du droit com m un et de l ’abroga­tion des lois d ’exception. M. V illard a été élu p a r 1.073 voix contre 556 ; cet éc rasem en t du ca rte llism e en Char­treu se a p ro d u it u n e vive sensation d an s la région.

CHAMBRE DE COMMERCEDE BEAUVAIS ET DE L ’OISE

Renouvellement de la S"16 SérieS cru tin de ballo ttage

du 20 D écem bre 1931.

A u x E lecteurs C onsulairesdu D épartem en t de l’Oise

M esdam es, M essieurs,Vous avez b ien voulu, le 6 décem bre,

m alg ré les incom m odités pers is tan tes du sc ru tin consu la ire , vous dép lacer en nom bre ap p réc iab le po u r nous appo r­te r vos suffrages.

Nous vous en rem erc io n s très vive­m en t et nous vous d em andons de ve­n ir, p lu s n o m b reu x encore, renouveler votre effort au ballo ttage du 20 décem ­bre. V otre confiance nous est p lus que ja m a is n écessa ire p o u r nous perm et­tre de coopérer u tilem en t à la défense des in té rê ts économ iques du P ays, g ra ­vem ent m enacés p a r les c irconstances actuelles. —

Vos tout dévoués,MM.

E. DELICOURT, négocian t en bois, à C om piègne ;

G. MAILLARD, négocian t en épicerie, à B eauvais ;

J . PO TELLE, fa b ric a n t de boutons de nacre , à M éru ;

G. TROENDLE, an c ien industrie l, in ­gén ieu r, à V illers-so u s-S a in t-L eu ;

G. VIOT, négocian t en charbons, fa b ri­can t de c lô tures et a rtic les en cim ent à B eauvais.

M esdam es, M essieurs,En vous rem erc ian t du nom bre im ­

p o rtan t de voix que vous avez accordé à ceux de nos collègues qui se rep ré ­sen ta ien t devan t vous le 6 décem bre nous croyons p a rticu liè rem en t oppor­tu n de fa ire en leu r fav eu r un nouvel et p re ssa n t appel au p rè s de vous. L ’ac­tivité com m erciale et industrie ile du P ay s est, à l ’heu re présen te , s ingu liè­rem en t m enacée : il fa u t que tous ceux qu i sont conscien ts du danger re n fo r­cent, p a r de la rges tém oignages de confiance, l ’au to rité des hom m es qui d ans des A ssem blées désin téressées’ s’efforcent à la défend re de le u r mieux!

V euillez croire, M esdam ^-eé-^V jL»! sieurs, à tou t no tre dévouem ent,

J. Loisel, p ré s id e n t; F. M oritz et L. Soualle, v ice-p résiden ts ; L. de Sé- rem/Je, secré ta ire ; P. Ala.voine, P- Dnyae, R. G ftillem inot, G. L efebvre- Albaret, E . M a uny , A . Poulin, m em bres.

M esdam es et M essieurs les E lecteurs qui ég a re ra ien t le u r bulle- in ele vote, sont a ssu ré s d’en trouver au tres, m is à le u r d isposition dans la

salle du scru tin de chaque chef-lieu de canton.

A cheter des T im b res A n titu b ercu leu x est une obligation pour chacun. Les em ­ployer par tous les m o y e n s m is en no­tre pouvoir, les m on trer est un devoir . im périeux . Le T im b re «. de l’air p u r » apprend à vivre sa in em en t.

D num éro de décem bre de la Revue Bibliographique Le L ivre Français, vieit de pub lier, sous la p lu m e du Coate A rn au ld Doria, des com ptes rendus trè s é logieux des récen ts ou­vrages de M. F é lix Louât e t du B aron A ntré de M aricourt.

]>ous som m es h e u re u x de pouvoir rep o d u ire c i-dessous, à l ’in ten tio n de nos lecteurs, le te x te 'd e ces deux a r ­tic le .

F é lix Louât

Histoire de la Ville de Senlis(un hors-tex te de Hallo)

S’é tagean t au -d essu s de la vallée de la N onette, dom inée p a r la flèche a l- tière de sa ca th éd ra le et ses n o m b reu x ebehers, Senlis, encore encerclée de ya double encein te de rem p arts , est une yUle fo rt p itto resque et chargée d’h is- “p re . E lle a su conserver, p resq u e in -t |c te ju s q u ’ici, sa rich e p a ru re de v ieux m onum ents, et cependan t, b ien qu ’elle ne soit élo ignée que de d ix lieues de la cap ita le , n o m b reu x sont les tou ris tes qui ne l ’on t p as encore « découverte ». Le livre de M. L ouât con tribuera , nous le souhaitons, à la m ieu x fa ire con­n a ître ; on ne sau ra it, en tou t ca#, trouver u n m eilleu r gu ide que lui.

P a r sa position au m ilieu de forêts giboyeuses, Sen lis fu t la ville p référée des M érovingiens, des C arolingiens et des p rem ie rs C apétiens qu i y cons­tru is ire n t n o tam m en t u n im p o rtan t château don t les ru in es subsis ten t tou- j ours. A van t eux, les R om ains avaien t in sta llé d an s la cité gauloise conquise po in t s tra tég iq u e au cro isem ent de ro u ­tes im p ortan tes, u n e garn iso n nom ­breuse. C’est ce qui exp lique les ves­tiges de l’occupation rom aine q u ’on peu t y ad m ire r encore a u jo u rd ’hui. Au M oyen Age, m on astè res et ég lises s’y élevèrent com m e p a r enchan tem en t, et sa ca théd ra le com pte au nom bre des p lu s belles dont la F ran ce p u isse ju s ­tem en t s ’enorgueillir.

S u ivan t d an s son réc it l’o rdre ch ro­nologique, M. F é lix Louât, l ’actuel m a i­re de la v ille et son h is to rien trè s

j iy e r ti , re trace tous les événem ents dont Senlis fu t le théâtre , depu is sa fo n d a­tion ju sq u es et y com pris les jo u rn ées trag iques de l’occupation a llem an d e de 1914. L ’h isto ire locale, ici, se confond si souvent avec celle de la F ran ce , que la lecture de ces pages est to u jo u rs d ’un v if a ttra it.

Le côté archéo log ique n ’a p a s été délibérém ent écarté ; au ss i l ’étude des p rin c ip au x m o n u m en ts m ilita ire s , ci­vils et re lig ieux , p resq u e tous encore debout, est-elle, au cours de cette h is ­toire, so m m airem en t esquissée.

La seconde p a rtie du volum e est con­sacrée au x ru es de Senlis, au x nom s souvent désuets m a is c h a rm an ts (rue au x F lageards, au x F rom ages, a u x Co­quilles, ru e de la Pou la ille rie , des B a­lances, du C hat-H éret, etc...), et au réc it des v ic issitudes de l’an c ien n e église St- A ignan, tran sfo rm ée en th éâ tre depu is p lus d’un siècle.

Il est u tile que de te ls ouvrages su r les vieilles v illes de no tre p ay s soient publiés, car, — c’est l ’a u teu r lu i-m êm e qui le rem arq u e fo rt ju s te m e n t dan s son A van t-P ropos — « souvent, la petite h isto ire aide à com p ren d re et à exp liquer la g ran d e ».

-B aron A ndré de Maricourt

La Jüoft du Due d’EughletiOn devait d é jà au b a ro n A ndré de

M aricourt des ouvrages h isto riques d’un p u is sa n t in té rê t su r l’époque ré ­volu tionnaire et l ’épopée im p éria le . P a r la p a rfa ite co n n a issan ce q u ’il a de cette période, si troub lée et si fe rtile en dram es, de no tre vie na tionale , il é ta it donc tout qualifié p o u r npus en re tra ­cer au jo u rd ’hu i un des ép isodes les p lus p o ignan ts : L a M o rt d u Ducd’Enghien.

Ce su je t a été m a in tes fois tra ité , m ais trop souvent im p a rfa ite m e n t ou avec p a rti p ris . M. de M aricourt, lui, sa it être d ’u n e sc ru p u leu se im p a rtia ­lité ; de p lus, cet é ru d it a rch iv iste analyse, avec une trè s cla irvoyan te perspicacité, les docum ents officiels, les jo u rn au x de l’époque, les co rres­pondances e t les m ém oires des ac teu rs et des spec ta teu rs du dram e. B ien m ieux, il verse a u x débats des p ièces encore inéd ites qu i p e rm etten t de re ­constituer p a rfa ite m en t ce rta in s points, restés ju s q u ’ici obscurs, de l’h isto ire navran te de l’en lèvem en t du duc en territo ire é tran g er, de son court in te r­nem ent au châ teau de V in cen n es et de

f son j u g em en t in iq u e et som m aire .Soirs la p lu m e du baro n de M ari­

court, les p erso n n ag es p re n n e n t corps et re n a isse n t à la vie ; on les voit p e n ­ser et ag ir devan t nous. A les b ien connaître — c a r l ’au teu r, excellen t Psychologue, sa it sc ru te r les conscien­ces — on com prend m ieu x a lo rs les Mobiles de leu rs actes. T alley ran d , « sa tan as ex m a c h in a », ne sort p as grandi de cette trag iq u e aven tu re , non Pins que Foucher. S av ary nous a p p a ­ra ît d ’un zèle excessif et R éal s in g u lie r de m alad resse . P a r contre, la cu lp ab i­lité de B onaparte sem ble m o ins g ra n ­de qu’on ne le croyait ju s q u ’ici, av an t cette enqu iê te app rofond ie . On a l’im ­pression trè s nette que le fu tu r em p e­reu r a ag i p a r ra iso n d’Etat, p e rsu ad é a tort q u ’E ngh ien consp ira it avec Du- m ouriez et C adoudal contre lui. T a lley ­rand l’a so ig n eu sem en t en tre tenu dan s Cette croyance et, à l ’h eu re du ju g e ­

m en t du je u n e Gondé, il p réc ip ite ra les choses et b ro u ille ra les cartes. Ce n ’est p a r exem ple q u ’ap rès l’exécution que le m in is tre fe ra p a rv e n ir à son m a ître les a tten d u s du ju g e m e n t et la su p p li­que d an s laquelle le duc d em an d a it la fav eu r d ’une aud ience au P rem ie r Consul.

B onaparte , donc, a été tro m p é ; p o u r­tan t, si d an s l ’in tim ité il en fa isa it p a r ­fois l ’aveu, il ne vou lu t ja m a is offi­c ie llem en t reco n n a ître son e rreu r, en ­dossan t a in s i devan t l’h isto ire u n c ri­m e dont le p rin c ip a l re sp o n sab le reste T a lley ran d . Ce fo rfa it, com m e le re ­m arq u e l’au teu r, v au d ra à N apoléon sa couronne : en effet, «, ce crim e, en se­m a n t la te rreu r, d é te rm in era en F ra n ­ce une fièvre qu i fit l ’E m p ire ».

A côté du dram e, au réc it fo rt bien conduit, et le re n d a n t p lu s p o ig n an t encore, M. de M aricou rt re trace la tou­chan te idy lle du duc d ’E n g h ien avec sa cousine C harlotte de R ohan-R ochefort. Celle-ci, inconsolab le , m è n e ra ap rè s le m eurtre , et p en d an t p rès de q u a ran te ans, une « ex istence désolée, toute de ré sig n a tio n h a u ta in e de d ign ité s im ­ple et de re lig ion p ro fonde ».

Ce liv re d ans lequel le d e rn ie r des Condé, « p rin ce jeu n e , a rden t, ch asseu r et am o u reu x », nous ap p a ra ît, au x h eu ­res g raves et trag iq u es, u n carac tère droit, une âm e b ien trem p ée , u n soldat héro ïque et chevaleresque devan t la m ort, sera lu avec profit p a r tous ceux que p ass io n n en t les g ra n d s procès de l ’h isto ire.

Comte A rn au ld Doria.

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P ê c l i e

C onform ém ent au x d ispositions de l’arrê té p ré fec to ra l du 25 novem bre 1926, ap p ro u v é p a r décisions de MM. les M in istres de l ’A g ricu ltu re e t des T rav au x P u b lic s en date des 20 , 23 dé­cem bre 1926 et p o rtan t rég lem en ta tion p e rm an en te de la pêche fluviale, dans le d ép artem en t de l ’Oise, les époques p e n d an t lesquelles la pêche est in te r ­dite, en 1932, en vue de p ro tég er la rep roduction du poisson, son t fixées a in si q u ’il su it, po u r les d ifféren tes es­pèces :

T ru iteCours d ’eau de p rem iè re catégorieDu p re m ie r ja n v ie r 1932 in c lu s au 2

av ril 1932 inc lu s et du 21 octobre 1932 inc lu s au 31 décem bre 1932 inc lu s.

Cours d ’eau de deuxièm e catégorieDu lu n d i 18 av ril 1932 inclus^ au sa ­

m ed i 18 ju in 1932 inc lus, et du 21 oc­to b re ' 1932 in c lu s au 31 ja n v ie r 1932 inc lus.

A u tre s P o issonsCours d ’eau de p rem iè re catégorieDu p re m ie r ja n v ie r 1932 in c lu s au

2 av ril 1932 in c lu s et du lu n d i 18 avril 1932 inc lu s au sam ed i 18 ju in 1932 inc lus.

Cours d’eau de deuxièm e catégorieDu lu n d i 18 av ril 1932 in c lu s au sa ­

m ed i 18 ju in 1932 inclus.E crevisses

Du p rem ie r ja n v ie r 1932 in c lu s au sam ed i 18 ju in 1932 in c lu s et du lu n d i 19 sep tem bre 1932 in c lu s au 31 décem ­b re 1932 inc lus.

Les cours d(eau et c a n au x du d é p a r­tem en t de l’O ise sont, au p o in t de vue de la rég lem en ta tio n de la pêche, divi­s é s en deux catégories :

L a p rem iè re catégorie (espèce dom i­n an te : la tru ite ) com prend :

Le T h é ra in (partie située en am ont de V ille rs-S a in t-S ép u lc re et tous les a ffluen ts de cette p artie ).

L a B rèche et tous ses affluents.L ’E pte et tous ses affluen ts.L a Noye et tous ses affluents.L a Celle et tous ses affluents.L a B resle et tous ses affluen ts.L a deuxièm e catégorie (riv ières san s

tru ites) com prend tous les cours d ’eau et c a n au x non désignés c i-dessus.— ♦ -

Avis de ConcoursU n concours po u r quatorze em plo is

de réd ac teu r-s tag ia ire a u ra lieu à la P ré fec tu re de Seine-et-O ise les 26, 27 et 28 ja n v ie r 1932.

P eu v en t seu ls se fa ire in sc rire en vue de ce concours : 1° les f ra n ç a is du sexe m ascu lin titu la ire s du d ip lôm e du bac­ca lau réat, du b revet su p é rie u r de l ’en ­se ig n em en t p rim a ire , du d ip lôm e de l ’école des h au tes études com m ercia les ou d ’u n e des écoles su p é rieu re s de com m erce reconnues p a r l’E tat, du di­p lôm e de fin d ’études secondaires, de la capacité en droit ou d’un b revet d ’officier des a rm ées actives de te rre ou de m er ; 2 ° les ex p éd itio n n a ires et dac ty log raphes hom m es des P ré fe c tu ­res et S o u s-P ré fec tu res co m p tan t au m o ins c inq an s de services.

T ous ren se ig n em en ts re la tifs au p ro ­g ram m e et au x conditions d ’ad m ission se ro n t fo u rn is s u r dem ande adressée au S ec ré ta ria t G énéral de la P ré fec tu re de S eine-et-O ise, à V ersailles.

A V I SL es F êtes de N oël et du N o u ve l A n

tom b a n t cette année le vendred i, le « C ourrier dé l’O ise » paraîtra à la date du d im a n ch e co m m e d’habitude, m a is le tirage sera avancé de 24 heures.

N ous prions nos correspondants et clien ts de b ien vouloir en p rendre note et nous le u r rappelons q u ’en tem p s ordinaire les c o m m u n iq u és et a n n o n ­ces devron t nous être rem is le JE U D I a van t M ID I .

TRIBUNE^ LIBREDéfense de fumer

Il est b ien p e rm is d ’avoir un faib le p ou r les G itanes, m a is ce qui est dé­fen d u c ’est de les a llu m er d an s une sa lle de spectacle.

S an s p lu s se soucier des specta trices ass ises au to u r de lu i que du d an g er d ’incendie , u n é tran g e r d is tr ib u a it l ’a u ­tre soir, a u x fau teu ils de balcon, de vé­ritab les n u ag es de fum ée.

D im anche ap rè s-m id i un au tre spec­ta te u r p rocéda it de la m êm e façon en d is tr ib u a n t à p ro fu sio n des m égots en ­core in can d escen ts su r le parque t.

Ces fa its son t h eu reu sem en t assez ra res , m ais il se ra it désirab le , dan s l ’in té rê t de tous, que dans des cas sem ­blab les, l ’agen t de service rap p e lle ces M essieurs S ans-G êne à la po litesse et à la p rudence .

M onsieur C lara veille p a rfa ite m en t à la bonne ten u e de la salle, nous som ­m es p e rsu ad és que la police sa u ra v eille r à la bonne tenue des sp ec ta ­teu rs.

Association des Sociétésde Gymnastique de l'Oise

A ssem b lée Générale D im anche 20 décem bre 1931, à Creil.

10 h eu res. — Cours des M oniteurs, salle de l’A venir.

11 h eu res. — R éun ion des M em bres du b u reau et de la C om m ission tech ­nique, m êm e endroit.

M idi 30. — D éjeu n er Hôtel du Che­m in de F er.

14 h eu res. — A ssem blée générale . Hôtel de V ille de Creil.—— -------------------- ♦ — ---------

Comité d 'en ten te des Associations d'Anciens Com battants e t Victimes

de la Guerre du Département de l’OiseLA C A R T E DU C O M B A T T A N T

etles reco m m a n d a tio n s p a rlem en ta ires

U n g ra n d nom bre d’A nciens Com­b a ttan ts se p la ig n e n t non san s ra ison , de l’ex trêm e len teu r avec laquelle t r a ­vaille la com m ission dite de l’art. 4 , chargée d’ex am in er les dem andes de tous ceux qui, en ra iso n de c irco n stan ­ces p a rticu liè res , réc lam en t la carte du C om battan t b ien q u ’a y a n t a p p a rte ­n u à des u n ité s rép u tées non -com bat­tan tes.

Ce q u ’ils igno ren t, c ’est q u ’une des cau ses p rin c ip a le s de cette len teu r leu r est im p u tab le : elle réside , en effet, dan s les in n o m b rab les in terv en tio n s p a rle m e n ta ire s q u ’ils p rovoquen t et qu i co m pliquen t la besogne à un p o in t d iffic ilem ent im ag inab le .

Ju su e m e n t ém ue de cet é ta t de cho­ses, la C onfédération N ationale des A n c ien s, C om battan ts v ien t d ’ad resse r à tous îes P a rle m e n ta ire s u n e le ttre détaillée p o u r les p r ie r de ne p lu s in ­te rven ir. Nous en donnons ci-dessous les p rin c ip a u x passag es qu i se p assen t de com m en ta ires.

« D’u n e étude à laquelle nous ve­nons de. nous liv rer, il resso rt que la p rin c ip a le cause de cette len teu r ré s i­de d an s le fa it que le p erso n n el rédu it, m is à la d isposition de cette com m is­sion est p resq u e u n iq u em en t occupé à rech e rch e r des dossiers et à rép o n d re au vo lum in eu x co u rrie r reçu des p a r ­lem en ta ire s qu i reco m m an d en t leu rs é lec teurs et am is : qu inze em ployés p rocèden t à des rech erch es au x fichiers et d an s les dossiers, p lu sieu rs réd ac ­teu rs réd ig en t les rép o n ses au x in te r­ven tions e t u n fo n c tio n n a ire des p lu s im p o rtan ts consacre p lu s ieu rs jo u r­nées p a r sem ain e à s ig n er les rép o n ­ses.

« N ous vous dem andons... de ne pas co m p liq u er la besogne des d its fonc­tio n n a ire s et de considérer que les re ­com m andations, d ’où q u ’elles v iennen t, ne p eu v en t et ne doivent avoir aucune in fluence p o u r l ’a ttr ib u tio n de la carte du C om battant.

« Si les in té ressés y ont droit, ils l ’au ro n t du seu l fa it de leu r m érite , s’ils n ’y ont pas droit, aucune in te r­ven tion ne la leur fe ra donner, et la C onfédéra tion N ationale se dressera tou jours contre l’in trigue et le passe- droit. »

N ous inv itons nos cam arad es qui se pou rv o ien t devan t la com m ission de l’art. 4 à m éd ite r ces sages paro les, et nous les p rio n s in s ta m m e n t de ne p as so llic ite r des in terv en tio n s don t le seul ré su lta t est de re ta rd e r l’exam en des dossiers. Nous espérons d ’a illeu rs que dorénavan t, les p a rle m e n ta ire s re fu se -

| ro n t de se liv re r à des in terven tions j dont l’in u tilité le u r a été si ne ttem en t

signalée;

Page 2: La Réforme électorale et le reste Les Élections de ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1931_12_20_MRC.pdf1 102® année. - ae 51 le numero vingt] cent;

A t r a v e r s

Pharm acie ouverte :D im a n ch e 20 £D écem bre. — M. Liardoü,

fu e de l ’A p p o r t-a u -P a in .

Elections au Tribunal de Commerced e S e n l i s

S c ru tin d e B a llo tta g ed u 2 0 D é c e m b re 1931

A ucun des can d id a ts n ’a y a n t obtenu le 6 décem bre d e rn ie r la m a jo rité ab ­solue, un second to u r de sc ru tin a u ra lieu le d im an ch e 20 décem bre à l'effet de p rocéder à l’élection d ’ün P résiden t, d ’un Ju g e T itu la ire et d ’un Ju g e su p ­p léan t.

E lecteurs C onsulaires !N ’oubliez pas d ’a lle r voter dem ain

p o u r :M. SQUALLE, P rés id en t sortan t,M. M OQUET, Ju g e titu la ire sortan t,M. BONAMY, Ju g e su p p lé a n t so rtan t

N ous reco m m an d o n s encore u n e fois à MM. les E lec teurs de ne p as se dé­s in té resse r de ce second to u r de sc ru tin .

Des b u lle tin s de vote se ro n t déposés à la -m airie de chaque chef-lieu de c a n ­ton.

Recensementdes jeunes Gens de la classe 31Le M aire de la V ille de S en lis in ­

form e les je u n e s gens nés du p rem ie r ju in au 31 décem bre 1911 e t du p re ­m ier ja n v ie r au 31 m ai 1912 et dom i­ciliés à Senlis, d ’avo ir à se fa ire in s ­crire à la M airie su r les tab leau x de

' recensem en t a v a n t le 25 décem bre.Les jeu n es gen s ab sen ts p o u rro n t se

fa ire rep ré sen te r p a r leu rs p a re n ts ou tu teu r.

Recensement des chevaux et mulets

Il e s t procédé, en ce m om ent, au re ­cen sem en t des chevaux et m ulets.

En conséquence, tous les p ro p rié ta i­res son t inv ités à fa ire à la M airie leu r déclara tion , a v an t le p rem ie r jan v ie r , des an im a u x qu i son t en leu r posses­sion.

AVISLes services a d m in is tra tifs de la M ai

rie é tan t de p lu s en p lus su rch arg és, il a été reco n n u n écessa ire p o u r p e rm e t­tre au x em ployés des b u re a u x d ’effec­tu e r leu r trav a il, de réd u ire les h eu res d ’ouvertu re de la M airie au public .

E n conséquence à p a r t ir du p rem ie r ja n v ie r 1932, les b u re a u x seron t ou­verts au p u b lic de 9 h eu res à m id i e t de 14 h eu res à 17 h eu res au lieu de 18 heures.

Assemblée Générale du Syndicat d’initiatives de Senlis

C’est dem ain d im an ch e à 14 h eu res 15, q u ’a u ra lieu a u th éâ tre m u n ic ip a l, l ’assem blée gén éra le an n u e lle du S y n ­d ica t d ’in itia tiv e , dont nous avons don­né le p ro g ram m e dan s no tre dern ie r num éro .

Union Nationale des CombattantsS ec tion de S en lis

Le B u re a u de l ’U nion N ationale des A nciens C om battan ts (Section de Son- lis), fe ra cette an n ée son a rb re de Noël, po u r les e n fa n ts des Sociétaires, au x o rp h e lin s et au x pu p illes de la N ation,

, le 10 ja n v ie r 1932, à l ’Hôtel des A rènes, à 2 h eu res 30 p réc ises, avec le .concours du G uignol et de M usiciens am a teu r -.

1 °

3°4°5“6 °

4 0 0 e sectionde Médaillés Militaires de Senlis

V ous êtes p rié d ’a ss is te r à la réu n io n de la Section qui a u ra lieu à la salle d ’H orticu ltu re de Senlis, le d im anche 20 décem bre 1931, à 14 h eu res.

O rdre du J o u r :P a ie m e n t des co tisations pour

1932.Com pte re n d u de la d e rn iè re a s ­

sem blée.R ap p o rt m oral.S itua tion financière.Date du d é je u n e r p o u r 1932. Q uestions diverses.

Les cam arad es qu i ne p eu v en t a s ­s is te r à cette réu n io n , p euven t verser le u r co tisation au com pte chèque p os­ta l de la Section : P a r is 1639-87, ou à M. L ouis R igau lt, 4, ru e des V ignes, à S enlis.

Un concert de guitareDe p assag e à P a ris , ap rè s avoir don ­

né quelques concerts à la cap ita le , le je u n e com positeu r v irtuose de la g u i­ta re c la ss iq u e et espagnole , Carlos S an - tias , d o n n era u n co n c e rt’ au T héâ tre M u n ic ip a l de S en lis le m a rd i 22 cou­ra n t à 8 h eu res 45.

P r e m i è r e P a r t i e

M enuet (Sor).P rélude (Bach).A n d a n tin o (S an tias).T h è m e variée (Sor).Chartson gallèga (T arrago).

D e u x i è m e P a r t i e

R om ance (M endelsshonn).Caprice A rabe (T arrég a).C hanson H indou (R. K orsakoff). Sab la t (S an tias).D anse (G ranados).D anse (F a lla ).

3 fran cs6

P r ix des p laces fran cs .

4 f ra n c s ;

Patronage Saint-RieulA rb re de N oël

Le P a tro n ag e S a in t-R ieu l o rg an ise son trad itio n n e l a rb re de Noël p o u r le d im anche 27 décem bre, à la S alle des OEuvres, ru e du C im etière Sain t-R ieu l, à 14 h eu res 30.

Les p a re n ts des en fa n ts et les am is de l’OEuvre y sont co rd ia lem en t invités.

Les perso n n es qui d é s ire ra ien t con­tr ib u e r à la jo ie des petits peuven t en ­voyer jouets, g â te rie s et choses u tiles à M. l ’abbé M ichel ou à M. l ’A rch ip rê- tre qu i les recev ron t avec reco n n a is ­sance.

A la Cathédrale^La Fête de Noël

Jeu d i 24 décem bre. — A i l h eu res 45 du soir, ch an t de la généalogie, su ivie du T e D eum . M esse b asse de M inuit uvec ch an t de can tiq u es.

V endredi 25 décem bre. — M esses basses toute la m atin ée ju s q u ’à 9 h eu ­res. G ran d ’M esse à 10 heures. Serm on p a r M. l’abbé L egrand , économ e de l’In stitu tio n du S a in t-E sp rit de B eau- vais.

A 3 heu res, vêpres, S a lu t solennel.

L’ « Ave ni r »L ’A ssem blée gén éra le de la Société

de Secours M utuels L ’A ven ir , au ra lieu le sam ed i 19 décem bre 1931, à 20 h eu res 30 p récises, à l’H ôtel de V ille

.sa lle des Sociétés.O rdre du Jo u r ;

A ppel n o m in a l ;L ecture d u p rocès-verbal de la

dern iè re assem blée ;A dm issions ;R ad ia tions ;R apport du P ré s id e n t ; N om ination des C om m issaires des com ptes ;

Q uestions d iverses ;C ontre-appel.

1 °

2 °

3°

5°6 °

7°8 °

Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis

R éu n io n d u 10 D écem bre 1931La réu n io n de décem bre a été tenue

le jeu d i 10, sous la p résid en ce de M. le B aron A ndré de M aricourt, p résiden t.

L assis tan ce é tait to r t nom breuse ap rès les fo rm alités d ’u sag e et la dis- trib u tio n au x p e rso n n es p résen tes du volum e 1929-1930. M. le P ré s id en tcom m encé une re m arq u ab le conféren-ce s u r l’abbé P révost, le gén ia l au te u r de M anon L escaut, qui a p p a rtie n t à no tre rég ion p a r les 'd e rn ie rs tem ps de s a vie et sa m ort à Courteuil.

Le con férencier re trace m in u tieu se m en t le m ilieu où n aq u it le fu tu r écri v a in dan s cette p itto resque v ille de Ilesd in , p u is son sé jo u r chez les jé ­su ites, son en g ag em en t d an s l ’a rm ée où il no ta su r le v if le type du sergen t L escaut, son re to u r chez les jésu ites , son p assag e chez les bénéd ic tins, etc.

A près u n long sé jo u r à l ’abbaye de S a in t-G erm a in -d es-P rés , il quitte, un peu b rusq u em en t, les bons pères et sa vie de ro m an c ie r va com m encer.

Cette con férence p résen tée avec au ­ta n t d ’a r t que de docum enta tion est v i­vem ent app laud ie .

Bal des Jeunes GensU ne réu n io n en vue de l ’o rgan isa tion

du B al des Je u n e s G ens a u ra lieu le m ard i 22 décem bre 1931, à 21 heu res p récises, au Café du Com m erce.

La Sainte-Barbe de 1931L a quête fa ite au cours du b an q u e t

à l ’Hôtel du G rand Cerf p o u r le se­cours im m éd ia t de l ’U nion D éparte­m en ta le des S ap eu rs-P o m p ie rs de l ’Oi­se a p ro d u it 290 fran cs.

Celle fa ite au B al d ans les Salons de l’Hôtel des A rènes, en fav eu r de la Caisse des écoles a donné 80 fran cs.

R em erc iem en ts b ien sin cè res a u x gé­n é reu x donateurs.

P a rm i les nom s des inv ités qu i a s ­s is ta ien t au B anquet, une e rre u r b ien invo lon ta ire a fa it om ettre d an s no tre d e rn ie r n u m éro le nom de M. P ern ey , le dévoué m em b re du Conseil de fa ­m ille de la Société de Secours M utuels des S ap eu rs-P o m p ie rs .

N ous ten o n s à ré p a re r cet oubli — avec nos excuses.

Dans la MagistratureLe M essager de l’O ise an n o n ce que

des b ru its cou ren t à G om piègne su r d es m u ta tio n s im p o rtan te s qu i v ien ­d ra ien t b ien tô t m odifier sensib lem en t la com position du T rib u n a l de cette ville.

M. B ab in o b tien d ra it sous peu un siège à la Cour d ’A ppel.

M. T h au qu i a re fu sé d e rn iè rem en t u n av an cem en t p o u r re s te r à C om piè- gne, a u ra it les p lu s g ran d es chances de p re n d re la p résid en ce en re m p lace ­m en t de M. B abin .

M. R ousselot, p ro c u re u r de la Ré­p u b liq u e recev ra it en ja n v ie r , u n a v a n ­cem en t de choix d an s le re sso rt de la Seine.

M. Béteille, p ro cu reu r à C lerm ont, re ­v ien d ra it à C om piègne, en cette q u a ­lité.

Un hommage éclatant, rendu au Dr René Lemaître

L a P resse M édicale du 12 décem bre p ub lie la Leçon In a u g u ra le , fa ite au g ra n d A m p h ith éâ tre de la F acu lté de M édecine de P a ris , p a r le D octeur F e r- n an d L em aître , P ro fe sse u r agrégé, ap ­pelé à l’h o n n eu r de succéder au P ro ­fe sseu r Sebileau , de reg re ttée m ém oire d an s la chaire d ’o ttorh ino-laryngo lo - gie.

F a isan t, selon l’usage, u n re to u r su r le p assé de sa b rillan te carriè re , le D octeur F e rn a n d L em aître a dit ceci :

“ J ’a ttrib u e m on succès d’é tu d ian tà l’excellen te o rien ta tion de m es débuts. Mon frère , R ené L em aître et m on vieil am i, V ictor D elaunay , en m e p e rm et­ta n t de v ivre d a n s l ’am b ian ce que crée la p ré p a ra tio n à l’in te rn a t, m ’on t b e a u ­coup a p p ris : ils m ’ont fa it bénéfic ier de le u r m a tu rité d ’esp rit ; ils m ’on t in ­cu lqué les p rin c ip es essen tie ls de la d isc ip line et de la m éthode d an s le tra - vail ; ils fu ren t, en réa lité , m es p re ­m ie rs m aîtres . Je les rem erc ie de tou t cœ ur, et, pu isq u e j ’ai, ici, l ’occasion de p ro n o n cer le nom de René L em aître , je dem ande que l ’on m ’au to rise à sa lu e r en lui le P è re de la « su tu re p rim itiv e » q u ’il a, le p rem ie r, réa lisée , p en d an t la g u e rre ».

A cet h om m age fra te rn e l si noble si ju s te et si touchan t, de Senlis, d e ’ la région, de b ien p lu s loin encore, q u i­conque sa it ce que rep ré sen te d an s la ch iru rg ie f ran ça ise le D octeur R ené L em aître , au ss i m odeste q u ’a ttach é à sa science et à ses devoirs, s ’associera de tou t coeur

Les S éan ces R écréatives de l’Am icale d es Anciens Elèves

de l’Ecole de la rue de VillevertLe.s deux réu n io n s récréatives don­

nées p a r le g ro u p e ly rique de l’Am icale des an c ien s élèves de l ’école de la rue de V illevert ont obtenu un vif succès

L a m atinée de d im an ch e lit Sî)jj ‘ com ble et q u an d le P ré s id e n t de l'A m i­cale, M. B audeloque, a d re ssa à notre nouveau cu ré les sen tim en ts respec­tueux de b ienvenue de l’A m icale » hu g ro u p em en t ly rique , p lu s une pia;ce n ’é tait d isponib le à la vaste salle de h ru e du C im etière Saint-R ieul.

En quelques paro les im pressionaa n _ tes, M. le C hanoine D upuis rem X rjri l ’Am ici de l’avoir inv ité k -*< cette l'ete de fam ille , il ex p rim a -ai sy m p a th ie à cette association difne co n tin u a tr ic e du p assé et fo rn ù \e d é ­s i r é e voir p ro sp é re r nos écoles libres.

Cette allocution recu e illit l’un a/im ité des ap p lau d issem en ts

Un p ro g ram m e m usica l, exécuté su r am plificateur, réa lisé p a r M Casse fu t 1re s apprécié .

Q uatre p ièces au p rog ram m e : T out ji* ■ • Pièce héroï-com ique LesM ystife s , in te rp ré tée avec beaucoup do gout p a r MM. Berge, D arras, linder, G aucher et M lle X... Le Salon Vert, com edie où la rencon tre du futur gen- d re .,e du fu tu r b eau -p ère donna lieu ™ a? u san tes scènes, félicitations à MM. L inder, Casse, G aucher e tP é ru t. Le N ouveau Sa lom on , com édie bouffe lu t po u r les in te rp rè te s un succis m é­rite . M. E m ile G rim bert, P. Le ton, M. Lebon, P é ru t et V andenecke, olxinrent des ap p lau d issem en ts enthousiastes. Enfin, la d ern iè re pièce II fa u t bien v i­vre, com édie en un acte de Marcel Du­bois, fu t ren d u e avec beaucoup de sen ­tim en t p a r les an c ien s de l’Amicale, MM. P. Fréville , J . Fréville , P . Bour- goin, P. Lebon. Cette pièce intitulée : « Il fa u t b ien vivre », m it en évidence les moeurs trop an crées à l’heurc ac­tuelle dans^ la société. Il fa u t féliciter les in te rp rè te s qu i a v a ie n t’ Irax-allip our d o n n rr à, oo-fcte p ièce S O n VCriKnfo''jo u r.

De n o m b reu x in te rm èd es p e rm fe n t au pub lic d ’ap p la u d ir d ’excellents' ac teu rs . Citons le Roi du R ire, l ’inim itable R obert D elvienne avec un répertoire v ra im en t com ique A ndré Bourse le jo y eu x tourlourou , R oland D arras dans ses chansons, et MM. R ené Berge et M aurice Lebon d an s u n am usan t d ia­logue com ique.

Le p iano d ’accom pagnem en t fut te ­nu avec ta le n t p a r M. P a u l Tinel.

L ’écla irage é lectrique é ta it dirigé car­ia M aison B attefort.

En te rm in an t, fé lic ita tions bien sym ­p a th iq u es à M. A lfred R ichard qui est p assé un m a ître d a n s l’organisation et la réu ssite des réu n io n s recréatives de l’A m icale de la ru e de Villevert.

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FOOTBALL - ASSOCIATIONCOUPE DE F R A N C E

D im anche 20 D écem bre, à 14 heures.g ra n d m atch de Coupe de F ran ce

P arc des Sports de la G rande F am ille à CREIL

en tre l’U. S . Q U E V IL L Y

(L igue de N orm andie) F in a lis te de Coupe de F ran ce

et le R. C. R O U R A IX (L igue du Nord)

A ncien C ham pion du Nord.

V 8 , , de V u . S . C reil-^T fn t-Just s&ra le 20 décem bre p ro ch a in le th éâ tre d un des p lu s im p o rtan ts m a tc h e s de Coupe de F ran ce .

L ’U. S. Quévilly, fina liste de la Cou- pe de F ran ce 1926-1927, c lub de d iv i­sion d ’h o n n eu r de la L igue de N or­m andie , ren co n tre ra , en effet, le Ra- cing-CIub de R oubaix, ex -cham pion du Nord, un des p lu s im p o rtan ts c lubs de celte ligue.

L igue du Nord, L igue de N orm andie sont p a rm i les p lu s im p o rtan tes de la Fédéra tion .

Ces deux équipes, qu i se re n c o n tre ­ront- à Creil, sont p a rm i les m eilleu res de leu r rég ion et peuven t être com ptées p a rm i les v ing t ou tren te m eilleu res équ ipés fran ça ises .

La F édéra tion F ran ça ise de Football a donG été bien in sp irée en in d iq u an t com m e lieu de ren co n tre un te rra in du d ép artem en t de l’Oise : Creil, nœ ud ferrov ia ire trè s im p o rtan t, et en outre v ra i te rra in n eu tre po u r une ren co n tre de cette im portance .

La F édéra tion p ourra , en la c ircons­tance, se ren d re com pte des ré su lta ts ob tenus au po in t de vue p u b lic dans notre départem en t, e t de la fa v e u r du ballon rond.

Si les ad m ira te u rs de ce spo rt v eu ­len t p o u r l’av en ir voir d ’a u ss i jo lis

!t î " " ” « P P artlen i d ’a ss is te rn o m b reu x a la rencon tre du 20 décem ­bre.

raapporteront la joie chez vous

F r i m e à t o u t a c h e t e u r

qui

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Le Prix du Pain dans l’OiseU ne b aisse é tan t su rvenue su r le

p rix des fa rin es , le p r ix lim ite du nain d ans le d ép artem en t de l ’Oise est r a ­m ené depu is h ie r vendred i, de 2 f r qn à 2 fr. 25 le k ilo g ram m e (portage corn * p ris).

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dem andes, il est p ru d en t de re te n ir ses p laces à l’avance, à l ’Hôtel du Nord ru e de la R épublique (T éléphone 116).’

&m a t c h e s i n t e r d i t s

L E 20 D EC EM BRE 1931 En r a i s o n du g ran d m atch de Coupe

de F ran ce U. S. Q uévilly-R . C. R oubaix, qui a u ra lieu à Creil le d im an ch e 20 décem bre, les ren co n tres officielles prévues po u r ce jo u r- là son t reportées au 27 décem bre.

Un appel du B ureau du D istrictLes Clubs de l ’Oise on t reçu la lettre

que nous p u b lions ci-dessous :Senlis, le 9 décem bre 1931.

Cher Sociétaire,Chaque année, depuis long tem ps, le

B ureau du D istrict-O ise so llic ita it a u ­p rès de la Fédéra tion , l ’o rgan isa tio n d un m atch im p o rtan t su r son te rrito i­re, à titre de p ro p ag an d e po u r le dévee loppem ent du football dan s no tre ré ­gion.

L a F édéra tion v ien t de nous d onner sa tisfac tion en cho is issan t le te rra in de l ’U. S. C re il-S a in t-Ju st, po u r fa ire jo u e r le 20 décem bre p ro ch a in , le m atch U. S. Q uévilly-R . C. R oubaix, com ptan t po u r les tren te -d eu x ièm es de finale de la Coupe de F rance .

Le B ureau du D istrict a estim é q u ’il était nécessa ire de m ettre tou t en œ u ­vre p o u r a s su re r un jo li succès à cette ren co n tre si im portan te , ja m a is vue d ans no tre région, qui doit ê tre le po in t de d ép art d ’une u tile p ro p ag an d e dans l’Oise en fav eu r du ballon rond, ce que, d’un com m un accord, nous ne cessons de réc lam er.

Nous estim ons que tous nos adeptes ont un devoir de so lidarité à re m p lir afin que le p lus g ran d nom bre d ’en trées possible soit en reg is tré au cours de cette m an ifesta tio n de d écen tra lisation q u ’a b ien voulu nous acco rder la F. F. F. A. et qui, p a r l’avenir, se rv ira de base à no tre F édéra tion . C’est po u r cette ra ison que le b u reau du D istric t Oise a décide :

f° De reporter au d im anche 27 dé­cem bre, toutes les rencon tres o ffic ie lles du 20 décem bre ;

2 ° D’in te rd ire à cette m êm e date, les m atches am icau x dan s u n rayon de 15 k ilom ètres de Creil ;

3° D’inv ite r tous les au tres c lubs à ne pas o rg an ise r de ren co n tres ce jo u r- la ;

4° D’ad resse r à tous ses ad h éren ts (d irigeants, jo u eu rs , sup p o rte rs), un v i­goureux appel po u r le m atch du 20 dé­cem bre à Creil, afin q u ’il soit le lieu de réun ion de tous nos am is.

C’est, cjroyons-nous, en su iv an t la m ain d ans fa m a in une m êm e po liti- n " a d ’en ten te , d ’accord, que tous nos

* v orron t se développer d an s l ’Oi­se, le Sport qui nous est si ch er et pour lequel tous nous trav a illo n s avec ta n t de persévérance.

Vous com prendrez ce rta in em en t q u ’un échec financ ie r p o u r cette im ­p ortan te ren co n tre officielle a u ra it pour notre rég ion les rép e rcu ssio n s les p lus fâcheuses. A ussi, co n n a issan t votre es­p rit au su je t de la vu lg a risa tio n du football, nous ne doutons p as que vous accorderez votre concours po u r ce que nous vous dem andons.

V euillez ag réer, M onsieur, l ’a ssu T rance de m es sen tim en ts b ien dévoués

P our le bureau du D istrict Oise Le S ecré ta ire : L. T a c a il .

AE n tra in em en t

D im anche 20 décem bre 1931, des équipes A et B du G. S. S.

Les équ ipes I e t 2 du C. S. S. sont p riées de se trouver d im an ch e p ro ­ch a in à 9 h eu res au S tade en tenue, po u r un m atch d’en tra în em en t qu i sera rég u liè rem en t a rb itré ,

P a s d’absten tions... la ren co n tre est sérieuse ?

AR éu n io n extraordinaire

En vue de m ettre au p o in t le tirage de la tom bola g ra tu ite , les m em b res du B ureau et de la C om m ission Sportive du C. S . S. son t convoqués, à la réu n io n e x trao rd in a ire qui se tien d ra à l’Hôtel du N ord, m ercred i 23 décem bre 1931 à 20 heures 30.

Il ne se ra p a s ad ressé de convoca­tion personnelle , le p ré sen t av is de­v an t en te n ir lieu.

W*.D ernier A v is

P a iem en t des C otisationsLes m em b res ac tifs du C, S. S. qui

n ’au ro n t payé in tég ra lem en t leu r coti­sation 1931-1932 fixée à 30 fra n c s au p rem ie r ja n v ie r 1932,- se ro n t p rivés des avan tag es de la po lice-aociden ts et ne seron t au to risés à jouer, q u ’à leu rs r isq u es et p é rils et su r décharge p a r eux donnée p réa lab lem en t au P ré s i­dent.

A ttention... la chose est trop sérieuse p ou r ne p as la ra p p e le r une dern iè re fois.

Le T réso rie r se tien t à la d isposition des m em b res p o u r le p a iem en t des co­tisations.

P o u r le B ureau ,L e Secrétaire.

CRÉDIT LYONNAISCapital et réserves i m illiard 208 millions

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C. b. b en lis (1), p a r 4 bu ts à 1. ’Ce m atch de c h am p io n n a t s ’est te r­

m in é p a r une nouvelle d éfa ite des lo­caux ; ce son t eux qu i m a rq u è re n t le p lu s de bu ts m ais p a s tous du bon cô­te ; le ch an g em en t ap p o rté d ans l’é­qu ipe n ’était p a s m au v a is — le ré su l­ta t 0 à 0 à la m i-tem p s po u v ait la isse r en trevo ir un m atch nu l, m a is C ham bly m a rq u a un but, u n dem i-sen lis ien un second, d ans son cam p. C ham bly, un tro isièm e ne ttem en t h o rs jeu , le q u a ­trièm e p a r u n dem i-sen lis ien ; Senlis m a rq u a en fin de p a rtie su r un shoot de 1 a ilier-d ro it.

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Sport Vélocipédique SenlisienC om pte rendu de la séance d’assem blée

générale du 12 décem bre 1931.A l ’ouvertu re de la séance M. M or­

crette, p rem ie r v ice-p résid en t p ren d la paro le et s ’ex p rim e en ses te rm es

M essieurs.C’est avec la p lu s dou loureuse ém o­

tion que j ’ouvre a u jo u rd ’h u i cette séan-

lad ie v ien t de nous en lever p ré m a tu ré ­m ent, que tous a im a ien t et re sp ec ta ien t d an s Sen lis et qui su t ju s q u ’à la d er­n ière m in u te se donner en exem ple à ses am is e t à sa fam ille p a r sa d ign ité et sa g ran d e force de Caractère.

Je propose d ’envoyer à M adam e la Com tesse T u rq u e t de la B oisserie e t à ses en fan ts , au nom du S. V. Senlis tout en tier, l ’expression de nos condo­léances les p lu s ém ues et les p lu s s in ­cères.

Les paro les de M. M orcrette sdtat é- coutées d an s un silence resrac tfte tfx p a r tous les m em b res p r é s e n t é ~

C ontinuant, M. M orcrette donne en ­su ite lec tu re d’une le ttre q u ’il a reçue de M m e la Com tesse T u rq u e t de la B oisserie. '

V ieux C hâteau, le 8 décem bre 1931.A M onsieur le V ice-P résid en t du

b p o rt V élocipédique Sen lisien ,« C est avec ém otion que j e p ren d s

la p lu m e dan s ces h eu res de g ran d e epreuve, p o u r d ire à vous e t à votre bociete, com bien je su is touchée et re ­con n aissan te des n o m b reu x tém o ig n a­ges de reg re ts reçus à la m ort de m on m ari votre très a ttaché P résid en t, a in si que de la belle p a lm e d ’or déposée su r sa tom be.

« J 'e sp è re que tous g a rd e ro n t long­tem p s son souven ir d ans leu rs cœ urs avec lés sen tim en ts de bonne c a m a ra ­derie et de p a trio tism e dont il a donné le co nstan t exem ple ».

« Recevez l’expression de m a consi­dération d istinguée ».

S igné :Com tesse T u r q u e t d e l a B o i s s e r i e .

E n su ite M onsieur M orcrette donne co n n a issan ce à la Société des en tre ­tiens q u ’il a eus avec la F am ille de M. tu rq u e t de la B oisserie et des paro les q u ’il est ch arg é de ra p p o rte r au x m em ­bres du S. V. Senlis.

De la p a r t des e n fa n ts de M. T u rq u e t de la B oisserie, dites à la Société du S V . S q u e n o u s v o u l o n s c o n t i n u e r l 'œ u ­v r e de n o t r e père et q u ’au ssi long tem ps qu elle re s te ra ce q u ’elle est, nous nous fe rons u n devoir de lu i ê tre ag réab le et de 1 a im er com m e le fe ra it no tre père et m em e de co n tin u er le C hallenge T u rq u e t de la B oisserie.

Je propose de rem erc ie r la fam ille de sa décision spon tanée et de n o m m er M. F ran ço is T u rq u e t de la Boisserie, V ice-P résident. ’

Je p ropose égalem en t de d o n n er au

B oisserie16 16 n ° m de T u rq u e t deT ous les m em b res p ré sen ts se jo i­

g n en t a M M orcrette p o u r a d re sse r à la fam ille de M. T u rq u e t de la B oisse­rie leu rs condoléances émues, p o u r le deuil c ruel qu i v ien t de les f ra p p e r et p a r re sp ec t p o u r la m ém oire de leu r venere P résid en t, tous les m em b res ac­c lam en t le nom de M. F ran ço is T u rq u e t de la B oisserie com m e V ice-P résid en t et déso rm ais le V élodrom e de Sen lis s a p p e lle ra « V élodrom e T u rq u e t de la B oisserie ».

M. L epape se lève et dem ande q u ’en signe de deuil la séance soit levée p en ­d an t quelques in s tan ts .

La séance est levée à 21 h eu res 40R eprise à 21 h eu res 50.M. G uizelin , secré ta ire , donne le

com pte re n d u m ora l de 1931 — dan s lequel il re la te l ’au g m en ta tio n du nom ­bre de cou reu rs du S. V. S. portés à

Vr t ïM iq oe au x m em b res p ré sen ts que le b. V. S. a o rgan isé en 1931, 9 ré u ­n ions ta n t rég io n a les que d ép a rtem en ­ta le s et que n om bre de vedettes ré ­gionales son t venues p a rtic ip e r au x réu n io n s o rgan isées p a r le S. V. S

A près avo ir rem erc ié ses collègues du B ureau et toutes les p e rso n n es qu i ont, con tribué au x succès d es re u ­n ions du V élodrom e, M. G uizelin te rm i­ne son com pte ren d u très détaillé e t très com plet en so u h a itan t que les cou leurs au b. V. b. so ient au ss i b rilla m m e n tl T ^ tèes en 1932 fiu ’eUes l’o n t été en îv S i.

M. Caron, tréso rie r, p re n d ensu ite la Parole p o u r d o n n er en u n com pte ren d u trè s détaillé , (la p lace m a n q u a n t p o u r ï ’in se re r) le b ilan de la Caisse du ». V. b. au 15 décem bre 1931.

En caisse au 15 dé­cem bre 1930 ................... U .819 f r 95

Recettes de 1931 ......... 24.602 f r ’ 75

T o t a l ___D épenses de 1931

36.422 fr , 70 23.848 fr. 72

12.573 fr. 98 com pte ren d u

A voir de la Société au 15 décem bre 1931

A près la lecture du ix.._m ora l et financier, M. M orcrette p ren d la paro le p o u r rem erc ie r MM. G uizelin e t C aron, sec ré ta ire e t tré so rie r, p o u r

x ------------ j — ---------- v , Lmc expose détaillé , p ro u v an t la v ita litéce. H élas, un deuil im p lacab le , cruel, I ’a Société, il les fé lic ite p o u r le dé- a f ra p p é votre Société en la p e rso n n e vouem ent q u ’ils ap p o rten t au S. V. de son cher P résid en t, celu i qu i p en - Senlis.d an t 35 an s se dévoua au S. V. S en lis M orcrette ad resse ég a lem en t touset le fit ce q u ’il est ac tuellem ent, c ’est- ses rem erc iem en ts à foutes les p e rso n - à -d ire une bociété p a rm i les p lu s belles | 9ui ont con tribué au x succès dyet les p lu s v ieilles de F ran ce , celu i su r­tou t qui p a r son in itia tiv e et sa la rg es­se le dota de son vélodrom e.

Ge q u ’il fu t po u r la Société vous le savez tous, m ais, p eu t-ê tre se ra it- il bon su rto u t po u r les jeu n es , de rap p e le r com m ent j l a rr iv a à c réer cette belle p iste su r un te rra in a y an t une vue a u s ­si ag réag le et au ss i étendue.

C’était au début de 1896, au m om ent où la b icyclette é ta it g ran d e re ine , q u ’il eu t l ’idée avec quelques am is MM. Le­roy, Schew ebach, A udy, B utel et votre serv iteu r, dont tro is trop tôt d isp a ru s , q u ’il eu t l ’idée d is-je , d ’e n trep ren d re ce gros trava il.

Il y m it beaucoup d ’argen t, nous un peu, et avec l ’aide de la V ille et de quelques m em b res fo n d a teu rs , il p a r ­v in t à ré u n ir la som m e n écessa ire pour fa ire la p iste seu lem ent. A lors, à ses f ra is il acheta un te r ra in et d ’ap rè s les p lan s de M ousset on co m m ença le ci­m ent, peu ap rès il fit co n stru ire to u ­jo u rs à ses fra is , la belle tr ib u n e que vous connaissez. A la belle sa ison enfin on p u t o u v rir les portes au x cou reu rs et au public . In u tile de vous rap p e le r les gros succès ob tenus.

A cette époque le S. V. S. et le V é­lodrom e fo rm aien t deux Sociétés d if­féren tes, en 97 ou 98, no tre P ré s id en t to u jo u rs gén éreu x a b an d o n n a la p iste au S. V. S. p o u r u n e som m e m in im e à lu i rem b o u rse r, il lu i loua ensu ite po u r u n e som m e au ss i m odeste le te r ra in et les constructions. A l ’aven ir, il n ’y ava it p lu s que le S. V. S. avec son V é­lodrom e.

Voici M essieurs, l ’jjo m m e sp o rtif que fu t no tre P ré s id e n t q u ’u n e longue m a-

S. V. S enlis.

R en u ô ve llem en t du B ureau pour 1932

M. M orcrette ap rès avoir p résen té les excuses de M , A udy, p ré s id en t d ’h o n ­neur, cède la p résidence à M. L epape doyen- de l’assem blée, p o u r la séance de ren o u v ellem en t du B ureau .

M, L epape p ren d la paro le p o u r don­n e r lec tu re d ’une carte que M. M or­crette a reçue de M. le M aire de Senlis.

« F é lix Louât, M aire, p rie M. le P ré ­s id en t de l ’excuser à la réu n io n de ce so ir ; il jo in t ses sy m p a th ies a ttris tées a celles de tous les S ocié ta ires p o u r la p erte que la Société éprouve en la pe r- sonne de son si dévoué p résid en t, et vote des deux m a in s p o u r l ’élection au poste su p rêm e du p rem ie r V ice-P rési- den t auquel il souhaite une longue et h eu reu se p résidence dan s le succès et sa n s soucis ».

A vant de p rocéder au vote, M B u- nel dem ande si toutes les perso n n es com posan t le B ureau de 1931 sont c a n - ' d idates a la réélection . M. Ghéron de­m an d e la paro le et p ropose M. T erro ine com m e sec ré ta ire -ad jo in t, d isa n t que M. T erro in e qu i a cessé de cou rir p o u r­ra it re m p lir cette fonction avec b e a u ­coup de zele. M. Chéron a jo u te q u ’on p o u rra it n o m m er M. M arin , cap ita in e de rou te p o u r lu i conserver u n poste d an s le B ureau , lu i m o n tra n t no tre r e ­co n n a issan ce p o u r les serv ices q u ’il a re n d u s au S. V. S en lis . q

Il est ensu ite procédé au vote e t ap rès d ep o m n em en t M. L epape donne toc- tu re du ré su lta t du sc ru tin po u r la com ­position du B u reau de 1932,

Page 3: La Réforme électorale et le reste Les Élections de ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1931_12_20_MRC.pdf1 102® année. - ae 51 le numero vingt] cent;

r

lous fit assister à vraim ent éblouis-

V otan ts 41P résid en t d’h o n n eu r : M. A udy.P résid en t : M. M orcrette, 30 voix.V ice-P résiden ts : M. T u rq u e t de la

B oisserie fils, p a r acc lam atio n ; M. Leroy, 32 voix ; M. Bollé, 35 voix.

Secréta ire : M. G uizelin , 39 voix.S ecré ta ire-ad jo in t : M. T erro ine 38

voix.Trésorier : M. C aron, 39 voix.T résorier-ad jo in t : M. Chéron, 38

voix.P o u r le poste de C apita ine de route,

M. B riziou a y a n t ob tenu 11 voix et M. M arin , 10 voix. M. L epape dem ande à l ’assem blée s ’il fa u t p rocéder a un nou­veau vote, ou si l ’on nom m e le Socié­ta ire a y an t le p lu s de voix. A l ’u n a n i­m ité M. B riziou est nom m é C apita ine île Route.

L a p ro c lam atio n des ré su lta ts se fa it a u m ilieu des acclam ations.

M. L epape se lève et rem erc ie l’a s ­sem blée d ’avo ir renouvelé sa confiance au x m em b res du B u reau so rtan t, il fé ­lic ite M. M orcrette de sa nom in a tio n au poste de P ré s id e n t et il inv ite le B ureau de 1932 à ven ir p ré s id e r la séance .

M. M orcrette e t les m em b res du B u­re a u p re n n e n t p lace p o u r la séance et de su ite M. M orcrette se lève p o u r re ­m erc ie r tous le s m em b res p ré se n ts du g ra n d h o n n eu r q u ’ils lu i fa isa ie n t en l’élevan t à la d irection du S. V. S enlis, il les a s su re de tou t son dévouem ent à la cause du- sp o rt et ap rès avoir re m e r­cié M. L epape p o u r sa p résidence , il a ssu re à tous que l'officine trop exiguë reeey ra tous les sp o rtifs , qu i au ro n t beso in de ses services, p u is com m e il é ta it d ’usage à toutes les assem blées g én éra les et b ien que no tre cœ ur soit .triste, les coupes se rem p lissen t et ap rè s avo ir à nouveau évoqué la m é­m oire de no tre reg re tté P ré s id e n t M. M orcrette lève son verre à la p rospérité du S. V. Senlis.

L a séance est levée à 22 h eu res 50.L e Secrétaire,H,lrr • „ _ 3

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Mais qu’est-ce que c’est que ça : A Z A Ï S ?

Telle est la question que se pose le héros du film, le baron W urtz , homme d ’affaires très riche, d ’une distraction formidable, rôle interprété d’une façon inénarrable par MAX D EA RLY .

Comme spectateur, en sortant, vous n aurez pas à vous poser cette question car vous emporterez le souvenir d ’un spec­tacle d ’une gaîté sans égale.M ais qu’est-ce que c’est que ça : A Z A Ï S ?

Pour ce F ilm , la discrétion ne nous perm et pas de vous en dire plus long. Retenez vos places à l ’une des séances des 24, 25 ou 26 Décembre.

Vous connaîtrez A Z A ÏS . Vous n ’en aurez pas regret.

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— Le gen d arm e H élin de la b rigade de S en lis et M m e H élin, son t depuis quelques jo u rs , les p a re n ts d ’un c in ­qu ièm e en fan t, un fils, qu i a reçu le p rén o m de René.

N ous ad ressons au g en d arm e Hélin, qu i on s ’en souvient, ava it été victim e d ’un g rave acciden t ’— au m om ent de la m o rt trag iq u e de M. H azard , et à M m e Hélin, nos com plim en ts et nos m eilleu rs vœ ux de p ro sp érité au fu tu r g en d a rm e R ené H élin.

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9. I rén ek a D ziedzina 1, fau b o u rg St- M artin .

10. G ilberte-M arie-L ouise Q uentin 1 fau b o u rg S a in t-M artin .

14. Jean -E u g èn e G ressier, route de P on t.

15. R ené-R oland Hélin, 1, faubourg S a in t-M artin . b

17. G laude-Rosa T esson, V ieux Che­m in de Pont.

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Nota. — E xcep tionnellem ent, le Di­m anche 2(, pas de m a tinée .

lets de la tom bola et souhaita à chacun une bonne soirée.

Des applaudissem ents nourris saluè­ren t le discours de M. Simiand. Après quoi la parole fut laissée aux acteurs qui in terp ré tèren t avec beaucoup de b rio la delicate comédie musicale de Ludovic de rran em esn il : Le Grillon du foyer. M. Paul R ivierre composa un « John » très Ï?£ SSIt’«M- Bavart un délicieux « Caleb ». MM. H enry Bouy et Paul Gobert furent Par , , dans leurs rôles. Les actrices ne le cédèrent en rien aux acteurs : Mme Ghapat joua une « Dot » charm ante et Mlle \ \ arren une « Bertha » aussi belle que bonne, tandis que Mlle Alcadien et M. Legay personnifiaient à rav ir la fa­mille Fiedling. Pendant les en tr’actes, la sym phonie exécuta sous la direction de M. Bodde, compositeur, Savoia-Roma, de Codini ; le Manoir m ystérieux, de lîod- de, et Très gentim ent, de Ménichetti, a in­si que les scènes alsaciennes Sous les Tilleuls, de Massenet, au début du second acte.

Excellent soirée qui fait le plus grand honneur aux dévoués organisateurs de l ’U. N. C. et aux généreux am ateurs du « Tréteau Bienfaisant » et du « Gorupe Nogentais ».

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Conseil MunicipalSéance du 14 décembre 1931

Le Conseil m unicipal s’est réun i à la Mairie, le lundi 14 décembre 1931, la présidence de M. Paulvé, maire, pour la tenue de la session ord inaire de no­vembre.

E taient présents : MM. Leroux et Le­clercq, adjoints ; Taupin, Dambly, Mer­cier, Claparède, Gibaud, Debacq, Délo­geais, Lem pereur, Bara, Gondelle, Béry,' ' x ” ' L a -

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se de l ’équ ipage p a r M onts et V allons b a tta it son p le in en forêt d ’H alatte, un acc iden t qu i a u ra it p u être p lu s g rave s ’est p rodu it. , _ , „ -

U n ce rf p a ra is sa n t très aa-ipssif aim it m 6’ Carter, Dubrouillet, Forain

q u a n d to u d a m t ï n t ^ h T l ’ ^ m S e .L i f fa is a n t u n h a lla li cou- I Secrétaire pour la séance: M. Rivierre.

M le. P c rd R - nu ■ I PT0C®<î e a la form ation des CommissionsM. le C apita ine C hapuis du 4” S p ah is I m unicipales qui seront chargées d’étu-

m aro ca in s tu t a tte in t d ’u n coup d ’a n - | d7 r le® questions à soumettre au Con­seil m unicipal -conformément à l ’article 59 de la loi m unicipale, ces Commissions procéderont la nom ination de leur vi­ce-président.

dou ille r qu i lu i p én é tra d a n s la janf- be a tra v e rs la botte.

R am ené à son dom icile, il re çu t a u s ­sitôt les so ins que n écessita it son état.

H eureusem ent, la b lessu re n ’est pas grave.

Etrangers condamnés en correctionnelle

Le su je t p o rtu g a is R odriguez José, 22 ans, qu i ava it été in cu lpé p a r la po­lice locale, d ’un vol d ’une som m e de 1.100 f ra n c s au p ré ju d ic e d ’un de ses com patrio tes, a été condam né de ce chef, le 15 cou ran t, p a r le T rib u n a l cor­rec tio n n e l de Senlis, à deux m ois de p riso n (p a r défau t).

U n au tre su je t po rtugais, H yacintho C ontino, a llias D ias d ’-Oliveira, a été co n d am n é à la m êm e audience, à un m ois de p rison , p a r d é fau t p o u r d is­sim u la tio n d’iden tité et fau sse décla­ra tio n .

Ces deux é tran g e rs ap rè s avoir com ­m is les délits qu i le u r son t rep rochés I p é ta ie n t ’en fu is a u P o rtu g a l. 1

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VJnc a ffa ire renvoyéeà u n e autre session

M ard i, :alors que 'l’aud ience v en a it de s ’e u v r ir p o u r les ‘débuts de l ’affaire H ecto r © atteux, 47 ans, g a rd ien d ’usine, p rév en u lib re , accusé de vols qualifiés a u p ré ju d ic e de M. L ouis D escham ps, I p ro p rié ta ire à C ires-les-M ello, d ’une * usine inoccupée et don t les époux B at- te u x av a ien t la garde, on s ’est ap erçu q u e le p rin c ip a l tém oin , M. D escham ps, n ’éta it p a s là , a lors q u ’il devait, p a ­ra ît- il , se constitu er p a rtie civile.

L ’affa ire a été renvoyée à la p ro ­ch a in e session.

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MM. P ie rre et R oger L efebvre du P rey , fils de l ’an c ien ag ricu lteu r, sén a teu r du P as-d e -C a la is ,-o n t eu lieu m ard i d e r­n ie r à B eauvais .

A près réquisito ire-de M. le P ro c u re u r de la R épublique, et des p la id o iries de M M . W a ru s fe l -et L evàsseur, les deux in cu lp és on t été condam nés au x t r a ­v a u x fo rcés à p erp é tu ité ,

e t s u r t o u t , à p r i x é g a l , l a q u a l i t é l a m e i l l e u r e

6381

Nom ination de délégués. — Sont nom­més délégués du -Conseil Municipal : liste -électorale et politique. — Commisssion adm inistrative : M. Lavallée ; Commis­sion m unicipale : MM. Béry et Lelogeais.

Adjudications publiques : MM. Clapa­rède et Dubrouillet.

Chambre d ’agriculture : M. Texier. Commission de classement des che­

vaux : MM. Lelogeais et Mercier.Commissaires répartiteurs. — Le Con­

seil m unicipal établit la liste de propo­sition des Commissaires répartiteu rs ti­tulaires et suppléants à nommer pour 1932,

Place « Albert Joly ». — Le Conseil Municipal sur la proposition de M. Béry, conseiller m unicipal, et à l ’unanimité, décidé, en souvenir de son regretté Maire M. Joly, et en témoignage des services par lui rendus à la Ville de Chantilly, de donner le nom « Albert Joly » à la pla­ce actuellement dénommée « place des Cascades ».

Assurances des Sapeurs-Pompiers et des Cantonniers. —- Modifications aux contrats. — (En attendant la résiliation du contrat d’assurance des Sapeurs- Pom piers, actuellement en cours, il sera apporté au dit -contrat 1111 avenant p ré­voyant le paiem ent d ’indem nités tem po­raires plus élevées et garantissant la res­ponsabilité de la Ville pour une large part.

-En ce qui concerne l’assurance des cantonniers, le contrat sera renouvelé au début de 1933 afin que la garantie com­prenne les m odifications apportées der-

1 n ièrem ent p a r une nouvelle législation des assurances. P our contracter cette as­surance, la Ville fera un appel d’offres auprès des agents d’assurances dé Chan­tilly.

E ntretien des chemins vicinaux. — Ap­probation de divers m archés de gré à gré. — A l’unanim ité, le Conseil m unici­pal autorise M. le Maire à passer divers m archés de gré à gré qui devront in te r­venir avec certains entrepreneurs ou fournisseurs pour les travaux d’entretien des chem ins vicinaux. La dépense résul­tant de ces m archés s’élève à 74.300 fr. à prélever sur le p rodu it des prestations

Cours ménager. —- M. le Maire fait sa­voir à l ’Assemblée que la Société Saint- Quentinoise de Chantilly a offert deux appareils à gaz pour le -cours ménager. Le Conseil prend acte de cette communi­cation et adresse tous ses rem erciem ents à la Société Saint-Quentinoise.

Personnel communal. — Conseil de discipline. — En conformité du règle­m ent d’adm inistration publique du 23 juillet 1930, le Conseil m unicipal procède au scrutin secret, à la nom ination d’un délégué titu laire au Conseil de discipli­ne prévu par la loi du 12 m ars 1930.

E st élu : M. Paulvé, maire.Taxe d’enlèvement des ordures ména­

g è r e s .— M. le Maire fait savoir à l’as­semblée que la tax e .d ’enlèvement des or­dures ménagères votée p ar le Conseil m unicipal, le 2 octobre 1931, ne pourra être recouvrée en 1932, cette taxe ayant été instituée postérieurem ent à l’établis­sement du Budget p rim itif de 1932.

En conséquence, le Conseil m unicipal a l unanim ité, décide de rapporter sa dé­libération du 2 octobre 1931, en ce. quelle concerne l ’exercice 1932.

Projet de lotissement d ’un terram frue ' des Cascades et impasse Souchier — Avant d e donner son avis sur un projetM Deloner n d ,Un terra in Présenté, par M . Delonoy, le Conseil décide que desCommissions des Travaux, Voirie et Hv-S n ^ n o r T ^ f e-projet et é l i r o n t fie nn deyant lui perm ettre d ’émet­tre un aros motive sur la question.dr l^ ! ï , . fP-llo ■!<t d istribution du gaz et don à n a — ..Com m unication est servatinne ,sseniblée des quelques ob- des h â f P resenlees p ar la Commissiondu f ia l f i , Clvils de 1,0ise au suietc été S n f n ( entre la Ville e t la s °- dn w i„ n ^ .r !noise P °ur la distribu­

ai d,U S?z. et de l ’électricité.M . le Maire ajoute qu’il s’est entretenu

se ilrtY ? qv m tio£ avec Flngénieur-Con- rnnini ■ Y - us lcs renseignem ents complémentaires demandés par la Com­m ission des bâtim ents civils lui seron t lourm s avec célérité et cet im portant

traité prarra, vraisem blablem ent, être appliqué d ’i-ci peu.

Le Conseil prend acte de cette corn nii'». lotion,. Tra^ ' x urgents. — M. Leclercq ad- J®in ’ J n n e lecture au Conseil du pro- ces-verjjQi ,je ia séance des Commissions

m h r aux et des F inances du 12 dé- C6Y a ’ au cours de laquelle -certains tra- ItY pnT- réfection tout à fait urgents ontrimmeuhiagaS' Y f ’agit de réParation àY nnY ? e la P e r c e p t io n ; d e travauxY P„ a l’abattoir ; de la réfection a» îVrim de l ’immeuble Beaumé et la Machfnë. n d’UD aibri-urinoil’> ™e detifip *e Conseil Municipal ra-nnp Y Y ses Commissions et décidetreDris trpaQVaUXY 0nt ü s agit se ront en­trepris très rapidem ent.

Subventions d’ordre général. — A l’u-de115Ü?) Y Conseil vote une subventionYns r n / ': '1108 ?U Proflt de la grandesouscription nationale « La Dette » et

d e ^ ’œuvre*11011! ?5° francs au profltae 1 œuvre « Le Livre de l’Aveugle ».M. Rivierre fait savoir qu’une œuvre lo-til v T l r vienf de se créer à Chan-k ü tl Y Conseil accepte d’allouer àvenu e’ UIie subvention, le moment

Subventions au Timbre A ntitubercu­leux et au dispensaire de Chantilly.Une somme de 300 francs est votée au profit du tim bre antituberculeux.

autre part, le Conseil vote une sub­vention de 2.000 fr. pour 1931 au profit du .Dispensaire de Chantilly.

Cette dernière subvention qui est an­nuelle sera prélevée sur le c réd it réservé pour subvention aux œuvres locales.

Admissions en non-valeurs. — Le Con­seil admet en produits irrécouvrables la somme de 00 francs pour transport par ambulance municipale des personnes né­cessiteuses.

Comité secret. — En Comité s e c re t , le C o n se il m u n ic ip a l d o n n e so n avis s u r

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n ier numéro que M. l’abbé Bouly ferait une conférence sur l’Art -du Sotireier, à la- Salle Saint-Louis, le jeudi 22 décem­bre, c’est le m ardi 22 décembre qu’il faut lire.

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Le jour de Noël, à 3 heures ; le dim anchedes demandes diallocations d’assistance T 27 décembre, à 3 heures, même repré- lircsentees an 4IW ,l/> I «AWtattnnprésentées au titre de l ’assistance aux temmes en couclies, assistance aux vieil­lards et allocations aux vieillards et al locations m ilitaires.

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Le Concert des Anciens CombattantsJeudi dernier 10 décembre, les anciens

combattants ont donné dans la salle des Variétés, leur concert annuel sous la p ré ­sidence de M. Boussillon, sous-préfet de benlis, M. le lieutenant-colonel Grand, représentant M. le colonel du 4° Spahis empêché, et M. Paulvé, m aire de Chan­tilly.

Assistance nombreuse et choisie dans laquelle nous avons noté MM. W arusfel, conseiller général; Chaillot, juge de p a ix ’ Leroux et Leclercq, adjoints ; Me Vidy’ notaire ; Guétin, huissier ; Mme Guille- minot; M. Merouze, percepteur; plusieurs conseillers municipaux, etc., etc.

Avant que le rideau ne se lève, M. Si­miand prit la parole pour transm ettre aux personnes présentes et aux acteurs les remerciements de ses cam arades -an­ciens combattants. Il se plut à souligner la générosité de M. R ivierre et de ses amis du « Tréteau Bienfaisant » et du « Groupe Lyrique Nogentais ». M. Si­miand salua respectueusem ent M. Rous

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a u J C u n d i 2 1 î ) ê c e m b r eDimanche (M ATINÉE à i ; h.

Une adorable comédie satirique sentimentale et cocasse qui charme

et amuse sans grossièreté

Mon Curéchez mon Rabbinavec Jean HERSGHOLT, Nancy CAROLet C h a r l e s (R O G F E IF tS

Une puissante comédie dramatique

L A L E T T R Eavec

M a r c e l l e R O M É E (de la Comédie-Française) A n d r é ROANNE, P a u l C A P E L L A N I P r i n ­c e s s e H Q A N GT H ITH E et G a b r i e l GABRIO

D E S S IN S A NIM ÉS S O N O R E S

PATHË-JÔÜRML, parlant et sonoreles p in s complètes A ctualités i n Monde en tie r

En Coupe de F rance des Patronages, les ciels m arines m atcheront -le 3 janvier prochain à Chantilly, le -Patro Club St- Çlément de W asquehal (Nord), actuelle­m ent en tète du cham pionnat de l ’Union régionale des Flandres. Il y aura du Sport ce jour-là.

Les SportsU. S. C. (1) et L iancourt (1), 3-3.Nous avions pronostiqué que Chan­

tilly se débarrasserait de Liancourt sans h op de difficultés, c’était là une opinion un peu trop optim iste, car les cham pions ont bien failli m ordre la poussière. Dé- cidém ent L iancourt est particulièrem ent dangereux pour les leaders.

11 faut dire que Chantilly quelques m i­nutes avant la fin eut le m atch en m ains; le penalty dont bénéficièrent les locaux devait se tradu ire par un but. Il en fut autrem ent et c ’est regrettable pour ne pas dire plus.

Le football sorti fut m édiocre Lian­court joua avec plus de -cran que de Science — Mauroy toutefois fournit un travail énorme au cen tre du terrain .

Chantilly ne brilla pas davantage. Après le m atch de Compiègne, on s’at­tendait à mieux. Tacail touché le dim an­che précédent fut relégué à l’aile droite jusqu’au repos. P a r la suite, il s’entendit moins -bien qu’à l’ord inaire avec Aston qui se dépense toujours plus qu’il ne le faudrait tan t pour sa santé que pour Péquipe : un centre-avant n ’a pas à faire le travail des in térieurs droit et gauche. L’ailier gauche fut tout à fait insuffisant, le joueur qui tien t actuellement le poste Cil équipe seconde pourrait être essayé avec avantage. Meggs devant Mauroy eut to rt à faire et la bataille ne tourna pas toujours à son avantage. Noone et Lab- Ijeight, le dern ier surtout, accom plirent fin travail de Romain.

A l ’arrière M'iny se racheta un peu du­ran t la seconde p artie du m atch d’un dé­bu t m édiocre, Oa-mus revient en forme sans p ara ître am éliorer beaucoup son jeu et Carlier pour ne pas être en reste sor­tit de ses buts une fois assez m alheureu­sement. On ne peut lui en faire grief, il cueillit des balles hautes p ar contre avec sa dextérité coutumière.

Sans être beau, le m atch fut toutefois a^sez palp itan t du fait que les équipes a r­rivèren t au repos avec -chacune 3 buts, I i an court ouvrant la m arque et Chantilly seA ra ttrap an t ensuite largem ent si bien njeme qu’on put croire un instant qu’il allait enlever la partie aisément.

) Arbitrage im partial rendu difficile par 1 enervem ent de la galerie.

C. S. L iancourt (2) bat U. S. C, (2), 3-1.W : 4

P ar suite du m atch de Coupe de F ran ­ce Quevilly-Roubaix à Creil, les rencon­tres de cham pionnats du 20 décembre sont reportées au 27 du même mois.

AVILLY-SAINT-LEONARDBicyclette disparue. — Un ouvrier

pein tre en bâtim ents, M. Marceau Yacob,23 ans, hab itan t la- -Grande Rue, a signa­lé, à -la gendarm erie de Senlis qu’ayant laisse pendant 1 h. 30 sa bicyclette à la porte du débit Dupré, un inconnu s’en était emparée.

P réjudice : 300 fr. L’auteur ne s’est pas fait -connaître.

fo o tba ll. — C. S. Avilly (1) bat A. S. Litzarches -(i)t p a r 3 bu ts à 0.

L équipe de Luzarches qui se présen­tait nantie d’un beau palm arès dut, mai­gre tous ses efforts, s’incliner devant A v i l l y par un score qui représente bien la physionom ie de la partie .

(En effet, malgré quelques bonnes ac­tions offensives assez facilem ent rép ri­mées p a r -les arrières locaux en bonne tonne, Luzarches dut laisser dans l ’en­semble, le commandement aux rouge et blanc. 0

La prem ière mi-temps arrive sur 1111 score vierge, Avilly n ’ayant pu concré­tiser son avantage territo ria l, sa ligne d’avants n ’ayant pas toute l ’homogénéité désirable.

Le repos porte conseil, et après une descente de Luzarches qui se term ine p ar une sortie, les avants d ’Avilly, bien alimentes p ar une ligne de demis cons­tam m ent sur la- balle, deviennent très dangereux. Sur une ouverture qui lui est faite, Maillet bloque la balle qui est re ­prise p a r Lussiez, lequel m arque le p re­m ier but à 3 mètres.

Quelques instants après, Lecointe des­cend le long de la touche, tire au but et le goal de Luzarches, surpris, laisse pé­nétrer la sphère de cuir dans ses filets

Avilly -domine de plus en plus ; Le­cointe en possession de la balle, centre Maillet qui a suivi, reprend de la tète et m arque un but im parable, le plus beau de la partie.

La fin survient peu après, alors que J ai z arche s se trouve acculé devant ses 'buts.

Bonne partie jouée amicalement et avec correction de part et d ’autre.

CHAMANTCette

La semaine prochaine :M aurice CHEVALIER, dans

LE PETIT CAFEBaskett-Ball

nntt m tan!leC’ Ü y . aura Ia messe de m i­nuit et tout_ sera mis en œuvre pour con­ten ter aussi bien le cœ ur que les oreil­les. La messe royale de Dumont sera chantee p ar les hommes de bonne volon­té, accompagnés p a r le sym pathiaue or­ganiste M. P ierre -Gauthier. q

A la tribune, un chœ ur de dames etMmJp UAnB Y S0U-S rhab ile direction -de Mme André Iro n c in , chantera les canti­ques les plus populaires se rapportan t à la naissance de l’Enfant-Dieu.

Enfin on aura l ’inestim able p la isir d entendre Mlle Lebasq, l ’artiste si con­nue non seulement dans la région de Senhs, m ais surtout dans les grandes églises de la capitale, qui nous ' doiine- ra la M inuit chrétien et deux vieux Noël des xiv° et xv° siècles.de^ N o ë /Y r h nC esPérer 9ue ies offices tous Chaînant seront au goût de

Vof de poules. — M. Marie Lachavan- ne, propriétaire , dem eurant à Paris; bou- levard Samt-Marcel, possède une pro-ï£ “ ;te, au 1ï f udit ?ux Marais de Chaînant, dans laquelle il vient de tem ps à autre

Récemment, il a constaté la dispariti' de deux poules de race Plym outh d valeur de cent francs pièce.

La gendarm erie de Senlis a ouvert enquete.

Renversé par une automobile — TTn m anouvrier de Fleurines, M. Henri Pon-

onune

uneLes Cantiliens ont rep ris les matches

officiels et déjà de beaux succès sont ve-_________________Xluus. , nus récom penser les joueurs de l’entrai- . ., . A m. i « u n ro n -

sffimi, «,1e représentant de l’E tat mais nement auquel ils s’astreignent depuis I ;,U ’ a»e de 6a. ans, a été renversé le Ua» S r ef l ^ to u i très affectueusement l’an- f e euI? nlois’ V° ici Ies résultats des , atfoYale 17 ™le«nne rs •17 heures’ route fr.x— ■mm 1 différentes rencontres. | nationale 17, a 800 m étrés à l’Est de

,Y o Y a;Y ’„.p ar^ U e, aut0 conduite par lecien frere d ’armes ». Il assura le lieute- w 1Y Y l nel. G rand. de la fidélité.de tous Le 29 novembre, la prem ière batIe® anMieDS com battants. Enfin il'souhaY- tC° ? e..la Prem ière locale par 45 à 17. La I Y S Y l e 'p - " aflèche 311 scrvice d’un Sa' ta a M. -Paulvé, maire, la plus cordiale I T - 1 - Y <Fatl? èm(r.Pa r .44 a 10- ' ? de Peronne.

tier, le plus ab o i f a m r Y Y e n ' eM> Chantilly, la troisièm e défait la troLe ,.co rePpluSst Se ï " eT p î J r d1 ™ eChaaenl^ I Ï W W 32 » 2"-« ro u D e m e n tSSe 11 V eut a u s s i (l u e ]eamicule Ce 3u i1 est : <( une I re ou enaque équipé ide narti d P01lus qul> sans distinction des phases de -baskettvère veille «n • neutcaWé la plus sé- santés réussit à vaincre p a r 30 à 25. Aaux morts aux d 'Y n -? U resP.ect dû Chantilly la deuxième l’em porta par 78droits (ju ils ont si chere- ■ a 4 snr loi r i o n v ! r\n . i.

bienvenue « entendant m.e Toc I Le 0 décem bre,'la deuxième bat à Coye | tT,•G nèvÉUIent b lessé à la tête, M. P,w asz o 1

7 abs°lu pour rendre ChantillyPlus beau et plus digne de so’n | Le 13 décembre, à Creil, la prem ière son en-

térfel ad T Y 6t 7,1 soutien <( moral et ma- ’ Da7 fa? X d entre eux que le destin n a pas favorisés ».

bles^Yarh-A1/ d*î q,urekPles Paroles aima- dent d’honn Guilleminot, prési-miand ffiY Uri et de M' Chaillot, M. Si-Jénérosité d Pi . nn? a ^générosité 1 assistance pour les bil-

à 4 sur la- deuxième de M ontataire ; la troisièm e fit subir le même sort à la p re ­m ière de Gouvieux p a r 46 à 8 .

Les benjam ins eux en déplacem ent à Coye succombèrent.

Le dim anche 20, à Chantilly, tro is bel­les rencontres avec d ’excellentes équipes du Clu-b Notre-Dame des Champs de Pa­ris.

Senlis.La gendarm erie a commencé

quete.COURTEUIL

M. Lecœur, m aire de la commune a porte plainte contre un habitant de’ la commune pour injures.

enquêm ndariIlerie d® SenHs a 0uvert une CREPY-EIM-VALOIS

meNe R a t i o n de la gendar-merie. — A diverses reprises des fem mes et des jeunes filles cU culant sur Lsfit fi’a tfV01Slnant.ACréPy avaient été l ’ob- A ^ues et de vols.

Grâce à une m inutieuse et habile en­quete la gendarm erie, qu’il y a lieu de

Page 4: La Réforme électorale et le reste Les Élections de ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1931_12_20_MRC.pdf1 102® année. - ae 51 le numero vingt] cent;

féliciter, a m is la m ain sur son auteur, le nommé Jean M ercier, âgé de 18 ans, m anœ uvre, rue Saint-Georges à Crépy.

Il a reconnu les attaques contre Mlle Thérèse Dum onthier, 21 ans, m énagère; Mlle Jeanne Billers, 26 ans, etc., mais a nié être l ’auteur de la récente agression contre une autre personne.

Il a été mis à la disposition du P ar­quet de Senlis.

MONTLEVEQUE

(3Ïôôfc><jk> «lùcJûtfcûfc

OHE ! OHE qu’on se le dise !

Ah ! voilà Noël et où allons-nous ■— Mais mes Amis, faites comme nous. — Mais oui !

Venez tous chez COURT AT à Monllévêque

J E U D I 2 4 D E C E M B R E 1 9 3 1G RAN D B A L DE N U IT

P a r le fantaisiste

JA Z Z N É -N ÉE t on y trouvera tout pour réveillonner

et s’amuser VENDREDI 25 DECEMBRE 1931

- - GRAND BAL EN MATINEE - -- - - ET BAL DE NUIT - - -

Bon accueil à tous.COURTAT NE-NE6394

TjëôjfTjë'ijF

LAGNY-LE-SEC

M. le Maire n ’est pas content. — M. Charles Lepage, m archand de vins et m aire de la comune, s’est p lain t à la gen­darm erie qu’un inconnu avait passé par une haie pour pénétrer dans son pou­lailler et s’em parer d’un dindon d’une valeur de cent francs.

Le voleur a dédaigné les 2 dindes.OGNOIY

Lai gendarm erie de Senlis a été dans l ’obligation d’arrê ter pour violences à agents de la force publique dans l’exer­cice de ses fonctions, le forgeron Mau­rice H iret, 50 uns, de la Roue qui Tourne. C e lu i a é té d é f é r é au P a r q u e t d e S e n l is .

ORRY-LA-V1LLE

Union Nationale des Combattants: — Le Conseil d’adm inistration de la Sec­tion des Anciens Combattants d’Orry-la- Ville a décidé de reporter au 31 janvier 1932, le tirage de la tombola organisée au profit des orphelins de guerre et de la Caisse de secours de la section, qui devait avoir lieu le 25 décembre.

La distribution de l’Arbre de Noël au­ra lieu le 25 décembre comme prévu dans la salle du Cinéma à 14 h. 30.

— Le Groupe artistique des Cheminots Creil-Nogent met actuellement au point la soirée de gala dont la représentation aura lieu le 24 décembre, à 20 h. 30, Salle Goumas, rue de La Chapelle (ou­verture des bureaux à 20 heures).

Une troupe éclatante de Vedettes en tête de laquelle nous trouvons : MM. Le- feuvre, Mousse Populaire, Max Rigol’s ; Mme Populaire, Mlle Prévôt, Géo Drin- ler, Les Cinglés, P ignet, le célèbre co­mique troup ier Max Tram el. 15 parties de chant. (Il a été trouvé une vache au Chénevet) A qui la vache, vaudeville en 1 acte de P. Thomas, P iano tenu p ar M. Jubar.

Rappelons que cette soirée est organi­sée au profit de la Caisse de Secours du Club des M archeurs d ’Orry-la-Ville, et que la location est ouverte. S’adresser à M. Jacob, 20, rue d’H érivaux ou à M. Serge Coqueret, 6 , rue de Senlis, à Orry.

PONT-SAINTE-MA9CENCE

Football. — C. S. M. (1) bat U. S. A. Béthisy-Saint-M artin (1), p ar 4 buts à 0.

Pont : C. S. M. (2) bat C. S. Avilly (2) par 7 buts à 0.

M ontataire : S. A. C. M ontataire (3) bat C. S. M. (3) par 8 buts à 1.

AVIS. — Tous les m embres actifs du C. S. M. sont convoqués à la gare de Pont, dim anche 20 décembre, à 12 h. 30. D épart en groupe pour Creil ; m atch Roubaix-Quévilly.

THIERS

Fêtes de Noël et du Jour d\t l’An GRAND BAL, le 25 décem bre 1931 et le 1" janvier 1932, salle de M. Commeau.

VILLEiMEUVE-SUR-VERBERIE

Samedi 5 décem bre- a été célébré la traditionnelle Sainte-Barbe, fête toujours bien accueillie par les membres honorai­res de nos braves pom piers.

Un banquet de 52 couverts réunissait les pom piers et leurs amis, sous la p rési­dence du distingué m aire M. Marissal et du très dévoué lieutenant de la Compa­gnie M. Delahoche, dans la belle salle du sym pathique garagiste de Villeneuve M. Jacquet, lequel soigna ses hôtes comme il convient. Le dîner fut em preint de la plus cordiale cam araderie. Des discours, à la louange et à l’encouragem ent de nos' braves sapeurs furent prononcés au champagne et la joie ne cessa de régner chez les convives qui ne cachèrent pas leu r satisfaction et m arquèrent leur con­tentem ent en se retrouvant, pour la plu­part, le lendem ain dans la même salle autour d’un déjeuner amical.

I ous les invités, au nom bre desquels Mme Marissal et M. le Maire, ne quittè­rent qu’à regret cette joyeuse fête, trop courte a leur gré, en se donnant rendez- vous pour l’année prochaine.

Signalons en passant que, d ’autre part un deuxième banquet de quelques com­m erçants eut lieu le même soir, dans un débit voisin, en l’honneur de « Sainte Jalousie » nouvelle fête à ajouter au calendrier — une dizaine de personnes banquetèrent ainsi, loin des officiels et du protocole sans contrain te et sans dou­te aussi sans col ni cravate ; ils purent ainsi s’en m ettre jusque-là. Nous leur souhaitons d’avoir passé une bonne soi­rée.

On dit même, mais nous n ’en croyonsrlcn » il y a tan t de mauvaises langues, que 1 un d’eux fut obligé de p rend re un pavillon de haut parleur pour pouvoir m ettre sa clé dans la serrure. Nous le répétons sous toutes réserves.

Un Peknot.

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l’ÉLEVAGE du PARCà VILLENEUVE-SUR-VERBERIE

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L IV R A ISO N A DOM ICILE6353

V I L L E R S - S A i f t S T - F R A M B O U R G

La gendarm erie de Senlis en tournée de nuit, a dressé procès-verbal pour fer­m eture tard ive à M. Louis Lévêque, dé­bitant, qui ignorait qu’il était en défaut.

ETRENNES 1932Puisque va se poser, et pour à neu

près tout le monde, la délicate question du choix des étrennes, on nous saura gre de signaler ici au moins queW LT uns des très beaux livres d’étrennes m é présente cette année la LibrairiB vr chette. 1

Les livres ne composent-ils pas un deau fort joli, très apprécié, et — Cg « 5;ne gâte rien de nos jours su r to u t a •peu coûteux que possible ? '* *

Le nouvel album de L orioux , Lee n Nigauds (30 fr.), est digne de s e Æ * amés. Des aventures si joliment con tre p a r Mme de Ségur, Lorioux a tiré Vif? dessins étonnam m ent curieux, drôle ?souhait et d’un grand art. W a

Voici un album signé de M. AbelRj,,, mant, de l ’Académie française, JJn d ’Aujourd’hui (30 fr.), où le Spirituel (ca- dém icien met en scène un petit gaÇon du temps présen t et raconte —? avec quelle verve ! — les leçons de sav>ir-vi- vre qu’il lui a données. D’amusants des­sins en noir et de magnifiques aquarelles . i. ' ” EC0UD> d’un coloris éblouissant

et d un savoureux modernisme, commen­ten t de façon piquante le texte tout scin­tillant de traits.

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Cette année, avec Le Petit de Crac (broché, 25 fr. ; cartonné, 35 f:.), c ’est Mme de Segur qui a les honneirs de la « Nouveauté » dans la belle collection «H isto ires d’Autrefois et d ’Aujoutd’hui ». Ce volume est formé de trois amusantes com édies de la célèbre comtesse.

Trois exquises nouveautés dans la « Bi­bliothèque Rose » : de Magdelëne du G enestoux, en qui revit le 'talent déli­cat de Mme de Ségur, Une Petite Vani­teuse, Zozo, bonne petite fille, qu’un on­cle arrive à corriger de ses déplaisants défauts ; — de M.-T. L a tza ru s , Siit laG i-crzzcI’2ï o i i l c , où bien tics aVCïltureS, &ît‘nd e s p é r ip é t i e s a t t e n d e n t le s d e u x en fen ts q u i s ’y s o n t a v e n tu r é s ; — de M ari Ni- c o l l e t , Vivent les Vacances, jo y eu x r o ­m a n q u i s ’a c h è v e s u r u n e n o te délicate d ’é m o tio n ( c h a c u n d e c e s 3 v o lu m e s bro­c h é , 9 f r . ; r e l ié , 14 f r .) .

E t n ’oublions pas la nouvelle « Collec­

tion Illustrée Hachette », qui m et à la portée de la jeunesse les chefs d ’œuvre de la littérature française et qui a déjà publié des rom ans de G e o r g e S a n d , A l e ­x a n d r e D u m a s , P i e r r e L o t i , A n a t o l e F r a n c e , R e n é B a z in ( c h a q u e volume re­lié, 16 fr.).

Signalons enfin, pour les grandes per­sonnes, le Chateaubriand héros de l ’aven­ture rom antique d’Henry B é r e n g e r ( « F i­gures du Passé » : broché, 25 fr. ; car­tonné, 35 fr.) ; — le riche Michel-Ange des « Classiques de l’Art » (cartonné, 80 fr.); — Les Modes au xix* siècle (bro­ché, 45 fr. ; relié 60 fr.), de MM. André B l u m et Charles C h a s s é , volume très original, très piquant et très évocateur ; — « Les Grands Ecrivains », collection superbe (le volume broché, 40 fr.), qui v ient de s’enrich ir des chefs-d’œuvre de Marcel P r é v o s t , Maurice B a r r é s , P ierre L o t i , R o l a n d D o r g e l e s , A b e l H e r m a n t ; - - Los Merveilles de l’Art, où M. Louis ÙOURTICQ, de l’Académie des B e a u x -A r ts , a su réunir, en une incom parable galerie dont il fait lui-même les honneurs, les plus beaux trésors de la pein ture, de la sculpture et de l’architecture du monde entier (broché, 110 fr. ; relié, 160 fr.).

Les ne r veux sont fréquemment’ su je ts à des m alaises de l ’es­

tom ac e t à des troub les de la d i g e s t i o n , c a r , m a n g e a n t d ’h ab itu d e très v ite e t m as ti­q u an t à peine les a lim ents, leur estom ac se fatigue. C’est pour-

; quoi, très souvent, les nerveux

s o n t des dys pep t iq ues .ï Dans ce cas, pour rétablir le

bon fonctionnement de l’es­tomac et dissiper les lourdeurs dont il est le siège, il faut d’abord soigner le système ner­veux.

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nutrition du système nerveux.; De plus, les Pilules Pinks o n t un bon t on i que de: — P o s to m a .f i d o n t e l le s a c t i v e n t

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terroir de Bonneuil en ValoisET

1 Pièces de Terre e t Frichet9rroir de Russy

L’adjudication aura lieu le JEUDI 7 JANVIER 1932, à 14 Jieures, en la M airie d ’Ormoy- Villers, en ce qui concerne les articles un à cinq de la dési­gnation ci-après et le JEUDI 14 'A N V IE R 1 9 3 2 , à 14 h e u r e s , e n

la Mairie de Bonneuil-en-Valois, on ce qui concerne les articles six à vingt-cinq de la désigna­tion ci-après, p a r le m inistère de M” PILLEBOUT, notaire à Grépy-en-Valois, commis à cet < ffet.

avec lequel elle demeure à Mo- rienval ci-devant et actuelle­m ent à G lairoix (Oise), rue St- Simon, n° 84, et ce dern ier pris tan t en son nom personnel au besoin que pour assister et au­toriser la dame son épouse sus­nommée ; « agissant Mme Le- lorme comme tu trice naturelle et légale de: 1° Fernand-Lucien Berleux, né à Fresnoy-le-Luat, le 20 avril 1911 ; 2 ° E t Gisèle- Renée Berleux, née au même lieu, le 25 octobre 1913, ses deux enfants m ineurs issus de son prem ier m ariage avec M. Louis Berleux susnommé, en son vivant commis de culture, de­m eurant à Morienval, décédé « Mort pour la F rance », à Au- toral, commune de Cambronne, le 10 juin 1918, et M. Delorme, comme co-tuteur des dits mi­neurs, Mme Delorme réintégrée dans la tutelle qu’elle avait p er­due p ar le fait de son second mariage avec adjonction de M. Dielorme comme co-tuteur sui­vant délibération du conseil de famille des dits m ineurs tenue sous la présidence de M. le Ju ­ge de Paix du canton de Cré- py-en-Valois, le 19 hovembre 1923. »

Poursuivants, ayant M“ L. Chastaing pour avoué.

E n présence ou elle dûment appelée de Mme Georgina Co­chet, épouse de M. Alfred De- lattre, jard in ier, avec lequel elle demeure à Auger-Saint-Vin- cent, « p rise au nom et comme subrogée-tutrice des m ineurs Fernand-Lucien Berleux et Gi- sèle-Renée Berleux, susnommés, nommée à cette fonction sui­vant délibération du Conseil de famille des dits m ineurs tenue sous la présidence de M. le Ju ­ge de Paix du canton de Crépy- en-Valois, le 16 mai 1931. »

Procédé aux jours, heure et lieux ci-dessus indiqués à la vente sur licitation, aux enchè­res publiques, aux plus offrants et derniers enchérisseurs et à l’extinction des feux, des im ­meubles dont la désignatioh suit :

DESIGNATIONTerroir d ’Ormoy-Villers

On fait savoir à tous ceux rru’il appartiendra :

Qu’en vertu et en exécution d ’un jugement rendu sur re­quête p ar le T ribunal civil de Lenlis, le 21 octobre 1931, en­registré.

Il sera aux requêtes, poursui- 1 es et diligences de Mme Lucie- Ju lia Cochet, veuve en prem iè­res noces de M. Louis Berleux et épouse en secondes noces de M. Edm ond-Lucien Delorme, cantonnier, ancien çultivateur,

1° L ieudit le Village, en face de la place, une Maison à usage de commerce de boulangerie, com prenant :

E n entrant, boutique, salle de billard, chambres.

D errière cuisine et salle à manger.

G renier au-dessus.Cour dans laquelle il existe,

fournil, rem ise et écurie, cave sous le fournil.

D errière ces bâtim ents, jardin entouré de m urs.

L’ensemble d’une contenance d ’environ 7 ares 70, tient d’un côté M. Relier, d ’autre côté M. Dubarle, d ’un bout la rue, d’au­tre bout le ja rd in désigné sous l’article deux.

Section B, num éros 165 p.,166 p.

Mise à p rix ; 2.500 francs

2° L ieudit le Village, 21 ares 37 centiares de jard in d ’après les titres, 11e contenant que 12 ares 14 centiares, tenant d ’un côté M. Relier, d’autre côté M. Dubarle, d ’un bout l’article p re ­m ier, d ’autre bout le chem in ru ­ral n° 16, dit Chemin vert

Section B, n" 167 p.Mise à p rix : 600 fr.

3° UNE MAISON sur le bord de la grande route, près la place publique, com prenant au rez- de-chaussée, cuisine et cham ­bre.

Grenier au-dessus dans le­quel se trouve une cham bre m ansardée.

Cour en avant.T errain et ja rd in derrière et

sur le -côté.L’ensemble d’une contenance

de deux ares environ, tient d ’un côté M. Truillier, d ’autre côté M. Morel, d ’un bout M. Trift, d’autre, bout la rue.

Section C, num éros 242 p., 243 p .

Mise à p rix : 1.500 fr.4° 18 ares 33 centiares de te r­

re, lieudit la Petite Solle, te­nant des deux côtés Mme Gan- nevalle, d ’un bout le chemin de fer (ligne d ’Ormoy à Mareuil), d’autre bout M. Brassard.

Section B, n° 185 p.Mise à p rix : 600 francs

5° 6 ares 99 centiares de te r­re, lieudit le Millier, tenant d ’un bout et d’un côté M. Gélot, d’au­tre côté la Compagnie du Nord, d’autre bout M. Relier.

Section C, n° 401 p.Mise à p rix : 200 francs

Terroir de Bonneuil-en-Valois6 ° UNE MAISON sise au Ha­

meau du Berval, lieudit le P res­soir, com prenant : au rez-de- chaussée, deux pièces et une grange, escalier sur le côté don­nant accès au grenier couvert en tuiles. Cave.

Cour devant dans laquelle se trouvent des clapiers et toits à porcs.

Jard in sur le côté.Le tout d ’une contenance de

30 ares environ, tien t au nord au chem in de Bonneuil au Ber­val, au sud (clos p ar un mur) au chemin de grande com m uni­cation n° 32 de Verberie à Vil- lers-Cotterêts, à l ’est M. Fort, à l’ouest M. Leroy (haie apparte nant à la p ropriété).

Section D, num éros 1.032 p., 1.033 p., 1.034 p., 1.035 p.

Mise à p rix : 1.000 francs7° 83 ares 71 centiares de

terre, lieudit le Pressoir, traver­sé p ar le chem in du Berval à Bonneuil, tenant au Nord l’an­cien chem in, au sud M. M ariet­te, et le chem in de Bonneuil- en-Valois au Berval, à l ’est M. Ruffin et M. Barré, à l’ouest le nouveau chem in du Berval à Bonneuil (une m asure à Mlle Jo- ly est enclavée dans cette p iè­ce).

Un puits existe.Section D. numéros 1.028,

1.029, 1.030, 1.034 p., 1.039.Mise à p rix : 1.000 francs

8° 21 ares 56 centiares de terre et bois lieudit le Fond de N ancourt, traversés par le che­min de Pontdron au Berval, te­nant d’un côté M. de Coupigny et M. Bourgeois, d ’autre côté M. de Coupigny, M. Crinon et M. Ruffin, d ’un bout le chemin de grande communication de Ver­berie à Villers-Cotterêts, d’au­tre bout les Larris.

Section D, numéros 39, 39 bis, 40 p., 45 p., 46, 58, 59.

Mise à p rix : 160 fr

9° 27 ares 80 centiares de terre, lieudit le Fond de Nan­court, tenant d ’un côté M. Ruf­fin et M. Crinon, d ’autre côté M. Degraine et M. Thibault d’un bout la route de Verberie à Vil­lers-Cotterêts, d ’autre bout 'les Larris (traversé p ar le chemin de P ontdron au Berval).

Section D, num éros 51, 52J 62, 63.

Mise à p rix : 200 francs

10° 17 ares 21 centiares de terre et taillis, lieudit le Fond de Nancourt, tenant d ’un côté M. H érouard, d’autre côté M. Thibault, d’un bout les Larris, d’autre bout le chemin de Pont­dron au Berval.

Section D, numéros 72, 73, 103.

Mise à p rix : 80 francs

11° 5 ares 47 centiares de terre, lieudit le Fond de Nan­court, tenant d ’un côté M. de Coupigny, d ’autre côté M. Bour­geois, d’un bout le chemin de grande com m unication de Ver­berie à Villers-Cotterêts, d ’au tre bout M. Ruffin.

Section D, numéros 83 p., 841>.

Mise à p rix : 40 francs

12° 11 ares 40 centiares de bois taillis, lieudit Au-dessous de la Mande, tenant d’un côté M. Touchard, d’autre côté M Fortier, d ’un bout M. Nicolas d’autre bout M. Fortier et M Benoit. 1

Section D, n* 3-64,—_Mise à p rix : 100 francs

13° 15 ares 13 centiares de terre, lieudit les Ravaux, tenant d’un côté M. Hérouard, d’autre côté M. Chrétien, d’un bout M Dumouthiers, d’autre bout un chemin.

Section C, num éros 488 ™ 489 p. p ‘

Mise à p rix : 500 francs

14” 5 ares de terre, lieudit le L<qnval, tenant d’un côté M Cornet, d ’autre côté M. Vivenel" d’un bout M. Parthiot, d'am™ bout M. Dumouthiers.

Section C, n* 669.Mise à prix : 25 francs

15° 49 a res . 24 centiares de terre, lieudit le Fossé Jacob, te­

nant d’un côté M. H érouard, d’autre côté M. Ruffin, M. Cham­penois, d’un bout M. Dulae, d’autre bout le Ravin.

Section C, numéros 992, 993 1.004, 1.005.

Mise à p rix : 250 francs

16° 9 ares 37 centiares de terre, lieudit la Vigne Blanche, tenant d ’un côté M. Hérouard, d’autre côté le chemin du Lieu Restauré' au Berval, et p a r ha­che M. Bourgeois, et M. Cri­non, d’un bout M. Ruffin, d ’au­tre bout le chem in de la Cha­pelle.

Section C, num éros 1.033, 1.034.

Mise à p rix : 200 francs

17° 6 ares 34 centiares de terre, lieudit les Ouches, tenant d’un côté M.' Lécaillon, d ’autre côté e t d’un bout M. Bourgeois, d’autre bout M. Ruffin.

Section C, n° 1.104.Mise à p rix : 40 francs

18° 4 ares 54 centiares de pré planté, lieudit les Aulnes- Lambin, traversés p ar le ru de Bonneuil, tenant d ’un côté M. Senart, d’autre côté M. Moreau, M. Violette e t M. Malin, d ’un bout M. Noé, d’autre bout un ru.

Section E, numéros 1.368, 1.369, 1.370.

Mise à p rix : 150 francs

Terroir de Russy

19° 10 ares 04 centiares de friche, lieudit la C arrière de l’Ormelet, tenant d’un côté et d’un bout la commune de Russy, d’autre côté M. Pillon, d ’autre bout M. Rollet.

Section A, 11“ 95 p.Mise à p rix : 25 francs

20° 7 ares 14 centiares de friche, lieudit la Sente de l’Our- seault, tenant d’un côté M. Ma­riette, d’autre côté M. Champe­nois, d’un bout M. Clément, d ’autre bout le chemin de l’Or­melet.

Section A, n° 35.Mise à p rix : 15 francs

21" 8 ares 55 centiares de terre, lieudit le Relai de l ’E ­tang, tenant d’un côté M. Bour­geois, d’autre côté M. Fournier et M. Fontaine, d ’un bout le ch,emin de l ’Orm'elet, d ’autre bout la commune de Russy.

Section A, n° 83.Mise à p rix : 25 francs

22° 42 ares 55 centiares de terre, lieudit le Fond de Pri- gonval, tenant d ’un côté M. Se­melle et la route du Berval à Besmont, d ’autre côté l’ancien chem in, d ’un bout M. Clément.

Section A, numéros 472, 473

m in du Berval à Besmont, te­nant d ’un côté M. Semelle, d ’au­tre côté M. d)e iPinieux, d’un bout M. Rollet.

Section A, n* 508.Mise à p rix : 40 francs

24° 12 ares 25 centiares de terre, lieudit le Fond de Pri- gnonval, tenant d ’un -côté M. Lacour, d’autre côté M. de Bouexie, d ’un bout M. Rollet, d’autre bout le chemin de Bes­mont au Berval.

Section A, n° 483.Mise à p rix : 50 francs

25° 18 ares de terre, lieudit le Clos, tenant d ’un -côté ML Toupet et M. Pillon, d’autre cô­té M. Gatté, d ’un bout M. Pillon, d’autre bout M. de Bouexie.

Section A, n* 722,Mise à p rix : 100 francs

M I S E S A P R I XOutre les charges, -clauses et

conditions insérées au -cahier des charges dressé p a r M“ Pil- 1-ebout, notaire à Crépy-en-Va­lois et déposé en son étude où toute personne peut en prendre connaissance les enchères se­ront reçues sur les mises à prix fixées p ar le jugem ent précité.

Fait et rédigé -par l’avoué poursuivant soussigné.

Senlis, le 19 décembre 1931.Signé : L. CHASTAING

Et enregistré.

S ’adresser pour les renseigne­m ents à :

1° M° CHASTAING, avoué Senlis, poursuivant la vente ;

2° M6 PILLEBOUT, notaire à Crépy-en-Valois, chargé de la vente et dépositaire du cahier des charges.

6405

Mise à p rix : 100 francs23° 10 ares 60 centiares de

terre, lieudit le Fond de Pri- gnonval, traversés p ar le che­

Art. 2.

Etude de M* PICARD, D octeur en Droit,

Avoué à Senlis,21, rue de Villevert, Tél. 13.

Successeur de M° Escavy.

VENTE AUX ENCHÈRESaprès conversion de saisie

imm obilière

DE

UN PAVILLONgenre

« Villa style anglo-normand » situé à LAMORLAYE

(Oise)rue de l’Ancienne Route,

désigné ci-après

L’adjudication aura lieu en l ’audience des criées du T r i­

bunal Civil de prem ière ins­tance de Senlis du 14 JAN­VIER 1932, à quatorze heures, au P alais de Justice de Senlis, P lace Notre-Dame, ancien -Evêché.

E n vertu d ’un jugement ren ­du p a r le T ribunal Civil de Sen­lis le deux décem bre 1931, en­registré.

E n tre :1*°* 1° Monsieur Léon-Adol-

phe Grehier, p roprié taire , de­m eurant à Epinay-sous-Sénart (Seine-et-Oise), Villa Sénart.

2 ° Monsieur Jean Boyer, hô­telier, dem eurant à Paris, rue Saint-Merri, n “ 36.

Co-intéressés, créanciers sai­sissant.

Ayant M° P icard pour avoué, lequel est constitué et occupe pour eux aux lieu et place de M° Escavy, son prédécesseur.

2cnt 1° Monsieur Robert-Léon Belliard, en trepreneur -de tra ­vaux publics, p ris tan t en son nom personnel que pour la va­lid ité de la procédure à l’égard de la dame Blanche Gauthron- net, son épouse, dem eurant en­semble à Lam orlaye (Oise), rue de l’Ancienne Route.

2 ° Madame Blanche Gauthron net, épouse -de M onsieur Bel­liard, sus-nommé, avec lequel elle est dom iciliée de d ro it à Lamorlaye, m ais ayant résiden­ce séparée à Viarmes, rue de Paris, 11° 101.

P artie saisie, Ayant Me M orand pour avoué

constitué.3ent Le Crédit du Nord, So­

ciété Anonyme de Banque aucapital de cent m illions de francs, dont le siège social està Lille, 4, 6, 8, rue Jean Roisin,en la personne de ses d irec­teurs et adm inistrateurs audit siège.

Créancier inscrit.Ayant Me Chastaing -pour a-

voué.

Ledit jugement prononçant la conversion en vente aux enchè res de la saisie im m obilière p ra tiquée à la requête de MM. Gre­n ier et Boyer, sus-nommés sur les époux Belliard-Gauthronnet, également sus-nommés ; ladite saisie faite p ar procès-verbal de M' Guétin, huissier à Chantilly, en date du 5 septem bre 1931, visé, enregistré, dénoncé et transcrit au bureau des hypo- thèques de Senlis, le 3 octobre 1931, volume 104, n °s 43 44 45.

Il sera procédé le jeudi qua­torze janvier 1932, à 14 heures, en l’audience des criées du T ri­bunal Civil de Senlis, séant au Palais de Justice, Place Notre- Dame, Ancien Evêché, aux re ­quêtes, poursuites e t diligences des sus-nommés et aux clauses et conditions contenues au ca- iner des charges déposé au Greffe du T ribunal Civil de Senlis.

A l ’adjudication au plus of­

frant et dern ier enchérissi immeuble dont la désig

DESIGNATIONCommune de Lamorlaye

UN PAVILLON genre 0 style anglo-norm and » éle caves : d ’un rez-de-chausi élévation com prenant : r hall d’entrée spacieux s salle à m anger, avec fùm grande cheminée, bureau ne et water-closets.

D ’un prem ier étage co nant : dégagement, (chambres, salle de bains ter-closets, penderie. Cha central, eau, gaz, électrici

Communs com prenant: - bre de domestique, se quatre boxes, grand gara g renier à fourrages.

Le prem ier étage du pa a accès sur une grande te de seize m ètres sur tro is r soixante-quinze centim ètri couvrant les boxes.

Jard in devant et derrièLe tout d ’une contenan

cinq cent trois m ètres t p a r devant le vieux Ghèm D ans, au fond M. Jacob, à te une voie d’accès et à g Monsieur Viney.,. Cedit immeuble cadastrio° t i 31 P- et e m p i ­la totalité du lo t vingt et

me du lotissem ent, d it le m ent de Lamorlaye, vieux m m d f Paris, bordure" Chantilly.

M I S E A P R I XLes enchères seront ou'

sur la mise à p rix de quatre - vingt mille francs, c i. ‘

PURGE LEGALE• H est déclaré, confor aux dispositions de l ’art du Code de P rocédi vile que tous ceux d desquels il p o u rra it êt inscrip tion sur l’immeu désigné pour raison theques légales, devront r ir -cette inscrip tion a’

j u d i c a G o n !011 dU jU gC m ei

Fait e t rédigé à Senlis 1p 15 décembre 1931 p a r l ’avoUé soussigné. 1 1 avoue

Signé : PICARD.Et enregistré.

S ’adresser p ( gnements à ;

W PICARD, , avoué à Senlis, vert, poursuiva:

M« MORAND TAING, avoués sents à la vente

u i“ : g u e t , n - 1

Page 5: La Réforme électorale et le reste Les Élections de ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1931_12_20_MRC.pdf1 102® année. - ae 51 le numero vingt] cent;

r

l e c o u r r ie r u a L’o ia a

Abt . 3.

E tude de M9 René PICARD, docteur en droit, avoué à Senlis

21, rue de Villevert Téléphone 13

(Successeur de M9 Escavy).

V E N T ESUR SAISIE IMMOBILIERE

ÜKE PROPRIÉTÉsise à I\leuilly-en-Thetfe

rue; du MoutimM-, n* à ci-après désignée.

.les. Petite cour au fond de la - , Louise-Léonie Quéruel, épouse Senlis, le tren te juillet 1931, en-quelle est un petit hangar ou de M. P ierre Brissaud, artiste registré. Entre Monsieur Prosper- appentis ; porte d’entrée dans graveur, avec lequel elle de- Emile-Alexandre D&aKVEDAVY, un passage com m un conduisant meure à Paris, 13, place Dau- garçon coiffeur, dem eurant à Sen- à la maison ci-après. j phine, et ce dern ier p ris tan t iis. E t Madame Germaine-Audrée

en nom personnel au besoin FOUGART, épouse de M. DESE- que pour la validité de la pro- VÈDAVY, sus-nommé, avec le- cédure à l’égard de la dame son quel elle dem eure de droit, mais épouse. autorisée à résider e t résidant de

Présents à la vente, l'ait à Senlis, rue d& la (Jhancelle- Ayant M” Morand, pour avoué’ r ' e ’ n° ci-devant et actuelle-

constitué, dem eurant à Senlis. i hient à Compiègae. Il appert : „ , , Que lu divorce a été prononceProcédé aux jour, heure et u ’e n t r e les époux DESEVëDàVY-

iieu ci-dessus indiques a, la ven- FÜUCART te sur licitation, aux enchères,

Pour extrait :

Il s e r a p r o c é d é l e J E ü D I 14 ->T5C N V IER 1 9 3 2 , à quatorze heu­res, en l'audience des saisies im m obilières du Tribunal civil de prem ière instance de Senlis, séant au Palais de Justice à Senlis, place Notre-Dame, an­cien Ëvéché, à l'ad judication *au plus offrant et dernier en­chérisseur de :■

UNE PROPRIETE sise à Neuilly-en-Thelle, rue du Mou- th ier, n° 5, composée r 1° d 'une maison à usage d’habitation com prenant un rez-de-chaussée et un prem ier étage avec gre­n ie r au-dessus, couvert en tui-

2° Une autre petite m aison ou pavillon au fond du passage commun ci-dessus ind iqué , pa­raissant com prendre un rez-de- chaussée auquel ou accède p ar plusieurs m arches et un p re­m ier étage ; pe tit grenier sur lie côté,, le tou t couvert en a r­doises.

P etit ja rd in derrière.L’enâernble de la dite p ro

priété d’u n e superficie, y com­pris rem placem ent des bâti m e n ts , de t r o i s ares v i n g t «cen t ia r e s , t i e n t d ’u n côté Desm * d’autre côté le passage eomi et Ometz, d ’un la' rue du rMou th ie r et d’autre bout Ometz

Cadastré section F.483 p, et 484.

Cet immeuble est occupé sa voir :

La m aison prem ière désignée p ar Mme veuve Hutin, et la se­conde p ar Mme veuve H ardy, à titre de locataires.

Il est en outre im posé au rô­le de la contribu tion foncière ainsi qu’il résulte des extraits dont copie suit :

num éros

Départem ent de l’Oise, arrondissem ent de Senlis Canton de Neuilly-en-Thelle, cadastre case 140

E xtrait de la m atrice des proprié tés bâties de la commune de Neuilly-en-Thelle pour l’année 1931

Mme Génadot-Roussel (veuve), à Ris-Orangis (S.-et-O.)

Section N* an Flan Ginton on Rendit Mature de la Propriété Classe Menu

484 Le Bourg Maison484 Le Bourg Maison

Total ____ .

225175400

Certifié conforme à la m atrice cadastrale déposée dans les ar­chives de la d irection des C ontributions directes. Beauvais, le 31 janvier 1931. Pour le D irecteur : signé : Illisiblem ent.

D épartem ent de l’Oise, arrondissem ent de Senlis Canton de NeuHïy-en-Thelle, cadastre folio 323

E xtra it de la m atrice des p ropriétés foncières de la commune de Neuilly-en-Thelle pour l’année 1931

Mme Génadot-Roussel (veuve), à Ris-Orangis (S.-et-O.)

Classe Reirenn

1 3.60J* *

3.60Certifié conform e à la m atrice cadastrale déposée dans les ar­

chives de la direction des C ontributions directes. Beauvais, le 31 janvier 1931. P ou r le D irecteur : signé r Illisiblem ent.

Section fin Plan Banton on R e n d it Contenance M n r e :

F 483 P Le Bourg 1 a. 50. JardinF 484 P Le Bourg 1 a. 70 sol de mai

courTotaux........ 3 a. 20

Ces immeubles ont été saisis à la requête de M. Bernard-Hen- r i M othiron, rem isier, demeu­ran t à Paris, 6 bis, rue Lavoi- sier.

Ayant pour avoué M° René P icard , lequel est constitué et occupera pour lu i aux lieu et place de M9 Escavy, son prédé­cesseur, dem eurant à Senlis, 21, rue de Villevert.

Sur M. Marcel Roy, demeu­ra n t à Vaires-sur-Marne, rue Louis-Bectard, n° 12 ci-devant et actuellem ent à Clichy, 4, rue René-Véziel. _

P a r procès-verbal de M° De- lahousse, huissier à Neuilly-en- Thelle en date du 5 fév rier 1931, visé le d it jour, enregistré à Neuilly-en-Thelle, le 6 février 1931, et tran sc rit, après dénon­ciation au saisi, au bureau des hypothèques de Senlis, le 21 fé­v rie r 1931, volume 104, numéro29. ; i r #

MISES A PRIXL’adjudication aura lieu sur

la mise p rix fixée p a r le eréan-

s r . . pou™ ‘.!“ *: 5.000 francs

PURGE LEGALE11 est déclaré conform ém ent

aux dispositions de l’article 696 du code de procédure ci­vil, que tous ceux du chef des­quels il p ou rra it être p ris ins­crip tion su r l’immeuble saisi pour raison d ’hypothèques lé­gales, devront requérir cette inscrip tion avant la tran sc rip ­tion du jugement d ’adjudica­tion.

Fait et rédigé p a r l’avoué poursuivant soussigné.

Senlis, le 16 décembre 1931.Signé: PICARD.

E t enregistré.

S’adresser pour tous rensei­gnements :

A M» PICARD, docteur en droit, avoué à Senlis, 21, rue de Villevert, Téléphone 13, pour­suivant la vente.

A M" DELAHOUSSE, huissier à NeuilIv-en-Thelle ;

Et à M» FARIGNON, notaire à Neuilly-en-Thelle.

6404

publiques, aux plus offrants et dern iers enchérisseurs et à l’ex-! (Signé) MORAND,tinction des feux, des immeii- Et enregistré. 6405bles dont la désignation suit

D É S I G N A T I O NP rem ier lot

UNE MAISON à Pontoise, rue Bassé, n° 90, anciennem ent n"

ayant deux entrées sur la rue, l’une p a r un corridor con­duisant à la cour et l ’autre p ar un vestibule avec escalier des­servant les étages et le grenier

A r t. 6 . . ^

Etude de M* TÊTARD, notaireà Senlis.

DEUXIEM E INSERTION

débit de boissons i ï oute.s les marchandises néces-I^oité U ’onUSamte M ex‘ ®alres * l’exploitation du fondsde < avillé n. 83 smw ’ rUe I ? “ üe -en Sérance seront achetées Café de L a M o n to Z enseigne j et payées par le gérant. Le pro-

Les onno^îi- ’ ; priétaire dudit fonds ne devant endans le s td , j"‘oas seront reçues aucun cas ê tre responsable du insertion \ de la présente parement des fournitures faitesm* benlis, en l ’Etude de au gérant.

Domicile est élu au fonds vendu a Goye (Oise), Grande Rue, n°49.

Signé :6389 COPPE, MAURICE.

Etude d

Ma été élu avoué, où domicile

l Æ S « ? m f etin 0fflciel duPour deuxième insertion :6336 COLL1AUX.

Art . ioEtude 4e pje Félix LOUAT, notaire

à Senlis.

PREM IERE INSERTION

A r t 14.

DEUXIÈM E PUBLICATION

consistant en : i novembre 1931. enregistré à Sen-Au rez-de-chaussée : une h*» le 1'" décembre 1931. volume

cham bre à coucher, une salle à 389 n, folio 90, case 563, il a été manger, une cuisine, un grand procédé entre : cabinet de toilette. | i*-» M. Raymond-IIenri-Céles-

Au, prem ier étage : une cham- tin TERGN1ER, entrepreneur de b re à coucher, une salle à man- fumisterie, demeurant à Senlis, ger, une cuisine, une petite tue Léon-Fautrat, n“ 2. cham bre, un cabinet de débar- 21" 'E t M. Eugéne-Jules-Charles ras, water-closets. | GOYARD, aussi entrepreneur de

Au deuxième étage : une fumisterie, demeurant à Senlis,cham bre à coucher, une salle à rue des Vétérans, n° 3. manger, une cuisine, une petite Au partage amiable de la So- cham bre, un cabinet de débar- eiété en nom collectif ayant existé ras, w ater-closets. j entre eux sous la raison sociale :

W ater-closets dans l’escalier « T e rg n ie r e t G oyard », avec entre le p rem ier et le deuxième siège à Senlis, rue Léon-Fautrat, étage. i n° 2, et dissoute par anticipation

G renier sur la maison cou- * compter du 45 novembre 1931, vert en tuiles. taux term es du même acte ; ladite

Petite cour dans laquelle ca Société constituée suivant acte binets d’aisances i reçu par M* Petit, notaire à Senlis,

Le tou t t i e n t 'd ’un côté M. ^ février 1927..

Suivant acte sous signatures privées, en date à Sentis du pre­mier décembre mil neuf cent trente et un, enregistré à Senlis, le neuf décembre mil neuf cent

Aux termes d’un procès-verbal tr0nte f un* foIA° 9’,CaSe \ 3’ d’adjuditetion dressé par Me Félix ' _ Monsieur Emile-Adnen LUZU- Louat. notaire à Senlis, le h u it! R1ËR et Madame Louise-Jeanne décembro 1931, enregistré à Sen- GIRAUD, son épouse, ont vendu

-u. term es, d un acte reçu par jjSi je qjnze décembre 1931, vol. j à :JH- retard , notaire a Senlis, le 30 389 b, folb 92, case 583, aux re -i Monsieur Ernest EloiMINGUET

quête, poursuites et diligences de et Madame Angèle-Julie DES-

Langlois, d ’autre côté veuve Noël, au fond M. glois, p a r devant la rue.

Mme Par cet acte il a été attribué

Gou-25,

Deuxième lot UNE MAISON située à

vieux, rue Gambetta, n ‘ construite en moellons, couver­te en ardoises, com prenant :

Un rez-de-chaussée divisé en cuisine, salle à m anger, cabinet de débarras.

Et un étage divisé en palier et deux cham bres.

G renier au-dessus.

Lan_ M. TERGNIER, l’un, des ex-asso- ". ciés : le fonds de commerce

j d’entreprise de fum isterie, zin- i guerie, plom berie et ehajn£ft=B*,que la Société « Tergnier et Goyart » faisait valoir à Senlis, rue Léon-Fautrai, n° 2, avec ma­gasin annexe et ateliers situés même ville, rue Léon-Fautrat, n° 15, et rue des Vétérans, n° 3.

Les oppositions devront être faites, sons peine de forclusion, dans les dix jours de la présente insertion:

M. et M“*Pu#t, ci-après nommés, contre Malame Amélie-Françoise- ; Berthe TiLAZAC, débitante, de­meurant è Senlis, veuve de Mon­sieur Raytiond CHARRON ; il a été adjujé à Monsieur Jean- Pie rre-Viftorin PUEL et Madame Maria-Julie DELTOUR, son épou­se, demeirant ensemble à Mon- treu il-so is -B o is (Se i ne) , rue Emi!e-Zol>, n° 3, un fonds de commerce d’hôtel-eafé-restau- rant exploité à Senlis, rue du Ohâtel, ^12, à l’enseigne d 'Hôtel du Château- i

Entrée en jouissance du jourl’adjudication.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront refues dans les dix jours qui suivrJnt la seconde insertion, a Senlis, en l’E tude de M* Louât, notaire, t>ù domicile a été élu à cet effet

four prem ière insertion : 6392 F. LOUAT.

PIERRES, son épouse,Le fonds de com m erce de

papeterie-librairie qu’il exploi­t e n t à Senlis (Oise), rue du Châtel, n° 12.

Les oppositions seront reçues au fonds jusqu’au dixième jour après la présente publication.

L’Insertion au Bulletin Officiel des Ventes de Fonds de Com­merce a été faite le 19 décembre.

Pour extrait :6368 MINGUET.

• M' Maurice LENOÎR huTasler à Senlia.

B E A U MOBILIERPIANO d e m i-p u e Pleyal

I Vendre aux Enchères Publiquespar suite d’acceptations

bénéficiaires

à GOUVIEUX (Oise)Chemin des Aigles Pavillon du Moulin

derrière la Gare de Chantillyle Dimanche 27 Décembre 4934

à 1 3 h e u re s 3 0

par le ministère de M* LENOIR huissier à Senlis

Etudes de M* Georges MORAND,avoué à Senlis.

et de M” Maurice DAUVERGNE, notaire à Béthisy-Saint-Pierre.

Ar t . 15,

TRIBUNAL. DE COMMERCE DE SENLIS

Piano dem Lqueue P leyel,Plusieurs armoires à glace à une porte. Armoire à linge penderie en chêne. Commodes dessus mar­bre. Plusieurs tables de toilette dessus de marbre. Plusieurs ma­telas de laine. Plusieurs cou chettes en bois. Fourneau-cuisi­nière émaillé. Glaces. Fauteuils. Lits pliants. Table pliante. Com­mode-toilette acajou. Secrétaire acajou. Bibliothèques. Nombreux lots de livres divers. Machine à, laver, lessiveuse. Chaises, tables et bancs de jardin. Brouette, outils de jardin. Voitures d ’enfant. Bat terie de cuisine et vaisselle di­verses.

Et nombreux autres objets qui seront présentés au moment de f; vente.

Conditions Ordinaires

A rt . i l .

_ p L’insertion. au Bulletin Officielfin annexe petit bâtim ent di- des Ventes et Cessions de Fonds

visé en deux pièces et un cabi­net.

Cave.Jard in planté d ’arbres. Petit

bois à la suite.Le tout d’une -contenance de

44 ares 12 -centiares, tien t par devant à la rue Gambetta, au fond et d ’un côté M. H ersent et d ’autre côté vers ouest M. De- ver. ,

Troisièm e lotUNE MAISON située à Gou-

vieux, im passe Thiers, n° 3,1 dans une cour commune, com ­prenan t :

Deux pièces et cellier au rez-j deux cham bres à !

de Commerce a eu lieu dans le numéro du 16 décembre 1931.

La présente insertion est faite en renouvellement de celle parue dans le même journal, numéro du

décembre.Pour deuxième insertion :

6363 TÊTARD.

A r t . 7.

Etude de M» TÊTARD, notaire à Senlis.

PR E M IE R E INSERTION

I Les créanciers de la faillite du sieur Alphonse - Abel PIERRE, marchand de charbons, demeu-

1 rant à Senlis, sont invités à se réunir le M ardi 22 Décembre 1934, à 44 heures, en l’auditoire

j du Tribunal de Commerce de Senlis, à l’effet de donner leur avis sur la composition de la liste

A cette même adjudication ; Vente volontaire de nombreux antres Meubles et Objets Mobi­liers appartenant à diverses au­tre s personnes,

Fouis de Boulangerie-Pâlisseri&Parist v> i,-, D „ • des créanciers présumés et êtrer a n s | _ Banlieue - Province ^ nstll!t4a anl. m *intipn m,. l«

Pour tous renseignem ents, s’a­dresser & M' Maurice LENOIR,huissier à Senlis. Téléphone 59,

6406

Art . 4.

Etudes de M' L. CHASTAING, avoué à Senlis,

de Me VIDY, notaire à Chantilly.

et

Vente s u f Lieitationaux enchères publiques

aux plus offrants et derniers enchérisseurs

DE

Une Maisonsise à PONTOISE

(Seine-et-O ise) rue Basse, n° 90

DE UX MAI SONSsises à GOUVIEUX

(Oise) rue Gambetta, n ’ 25

et Impasse Thiers, n° 3 UNE

PIÈCE DE PRÉET UN

T errain à Bâtii*terroir de GOUVIEUX g

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 16 JANVIER 1932, à quinze heures, en l’Etude et p ar le m inistère de M9 VIDY, no­taire à Chantilly, commis à cet effet.

Chastaing pour avoué consti­tué, dem eurant à Senlis.

En présence ou eux dûment appelés de :

1° Mlle Marie-Augustine Ber­ge, célibataire m ajeure, coutu­rière, dem eurant à Gouvieux,

ru e Blanche; 2° Mme Geneviè- ve-Adèle Berge, épouse de M.Antoine-Marie Monneron, an­cien m aître d’hôtel, avec lequel elle dem eure à Paris, fi, rue Ou- dinot, et ce dern ier « p ris tan t en son nom personnel • au be­soin que pour la validité de la procédure à l’égard de la da­me son épouse; 3° Mme Hélè- ne-Alphonsine Berge, épouse de M. Alfred-Joseph Leleu, garçon boucher, avec lequel elle de­meure à Viarmes (Seine-et-Oi­se), 7, rue aux Fées, et ce der­n ier p ris tan t en son nom p e r­sonnel au besoin que pour la validité de la procédure à l ’é­gard de la dame4° Mme EIÎse-Laurentîne B er-)Ies enchères seront re ç u e 7 7 u r ge, épouse de M. François-Aie- les mises à p rix fixées p a r >»xis Lecuisim er, m aréchal-fer-1:---------- * - ■ • - 1ran t, avec lequel elle dem eure

d G-cfa. clllSS 6 G' ’étage. ’ 1-JialuJJ1 cs ** Suivant acte reçu par M°Têtard,

r _ . notaire à Senlis, le 14 décembretnilJs au-dessus couvert en ly31 enregistré à Senlis. le 17

r, . ,, j décembre 1931, volume 389 B, fo-Petite cour derrière. | Iio 96) case 595.Jard in à la suite de la conte-! Monsieur Gaston-Oscar NÎAR-

nance de 6 ares 04 centiares QUIN, mécanicien-garagiste, et environ.^ Madame Suzanne-Gabrielle COM-

D roit à la cour commune et au PAGNON, son épouse, demeurant puits qui s’y trouve. ensemble à Senlis, rue de la Ré-

Le tout tenant du levant à la Publique, ncs 17 et 19, ont vendu à cour commune, du couchant à Monsieur Maurice-Alfred-Anatalis cause du ja rd in à l’article ci- MAURY, mécanicien, et Madame après, du Nord à M. Savary et Simonne-Jeanne ALLEAUME.son du Midi â M. Champagne. épouse, dem eurant ensemble à

’ j Gonesse (Seine-et-Oise).Quatrième lot j Le fonds de com m erce de

3 ares 06 centiares environ m écan ic ien -g arag is te qu’ils ex- de pré , te rro ir de Gouvieux, ploitaient à Senlis, dans une mai- lieudit les Repas, tenan t d’un son sise à l’angle de la rue de la coté l ’article 3 ci-dessus, d’au- République, sur laquelle elle porte tre cô té à M. le général Mar- les n"s 17 et 19, et de la rue de la chand et M. Gérardin, d’un bout Bretonnerie. la rue T hiers et d ’autre bout le Les oppositions, s’il y a lieu, tossé. • seront reçues jusqu’au dixième

Cinquième lot jour après la secouue publication10 ares 26 centiares de ter„ à Senlis, en l’Etude de M» Têtard,

rain à bâtir, lieudit le Coper-i lr0 'nie ou le Poulina, te rro ir de! Pour prem ière insertion ;Gouvieux, tenant d’un côté M. 6410 Joly représen tan t Bessin, d ’on-' tre côté Mme Champagne, d ’un bout le chem in de Précy-sur-Oi- se et d ’au tre bout au fossé de ville.

C adastré section G, n" 2.249.

TE TARD.

M I S E S A P R I XOutre les charges, clauses et

conditions insérées |au cahier des charges dressé p a r M9 Vidy, notaire à Chantilly et déposé

1 ae J* .aalTe son réponse ; | p L r " n E p ren d Je 1 ^ ^ ^ Mme Elise-Laurentm e Ber- 1PS enchère* -------

à La Grande-Montagne, com m u­ne de Saint-Germain-îes-Corbeil (Seine-et-Oise), et ce dernier pris tan t en son nom person­nel au besoin que po u r la va­lid ité de la procédure à l’égard de la dame son énouse ; 5* M. Alberf-Alexandue Berge, entre­preneur de m arbrerie, demeu­ran t à Senlis. 4. place Lanavit; 6 ° M. Paul-Louis-Emile Berge, ta il­leur de pierres, dem eurant à Gouvieux, rue Thiers ; 7° Mme

jugement précité, savoir Pour le prem ier

lot, à la somme de Pour le deuxième

lot, sür celle de . .Pour le troisièm e

lot, sur celle de . .Pour le quatrièm e

lot, sur celle de ...Pour le cinquième

lot, sur celle de . .

le

10.000 fr.10.000 fr.

3.000 fr. 390 fr.

1.000 fr.l’avoué F ait et rédigé p ar

M arie-M arthe-Elisabeth Husson, poursuivant soussigné.A Senlis, le 18 décembre 1931.

ART. 8

Etude de Me R o b ert BOILETnotaire

à Pont-Sainte-Maxenc®.

C e s s i o n o i e F o n d s

PREMIERE INSERTION

On fait savoir à qu’il appartiendra :

Qu’çn vertu et en d’un jugement rendu contradic to irem ent p a r le T ribunal civil de Senlis, le ~28 octobre 1931, enregistré.

Il sera aux requête, poursui­tes et diligences de Mme So- phie-Amélie Quéruel, épouse de M. Victor-Alexis Gottiniaux, avec lequel elle demeure à Houilles (Seine-et-Oise), rue Daumesnil, n 9 11 bis, et ce der­n ier tan t en son nom person­nel au besoin que pour l’assis­tance et l’autorisation nécessai- res a la dame son épouse.

« Agissant Mme Gojttiniaux, nee Quéruel, en qualité d’héri- tiere, mais sous bénéfice d’in ­ventaire seulement, de Mme M arie-Berthe Quéruel, sa sœur, décédée à Gouvieux (Oise), le douze janvier 1931, veuve de M. Albert-Alfred Berge. »

Poursuivants, ayant Me L.

sans profession, dem eurant à, Gouvieux. veuve de M. Eloi-Al- phonse Berge ; 8° Mme Marie- Augustine Logerot, épouse de

tous ceux M. Raymond-Jean Lanot, em- plové au Com ptoir d’Escompte,

exécution avec lequel elle demeure à St- Denis. ifSeînte), 87, ru e de la

Signé : L. E t enregistré.

CHASTAING.

S ’adresser pour les renseigne­m ents à :

R . . . . ■ • — - , 1° M9 L. CHASTAING, avouéHepubhque, et ce dern ier p ris , à Senlis, poursuivant la vente-be"oinn quen p o t T i ? ™ - "UL 2!. M* G- MORAND, avoué ’ la procédureme son épouse ; 9° M. -Tean ____Louis-Gilbert Logerot, ia rd i- l iioj nier, dem eurant â Gouvieux • 1 , ° VIRY, notaire à Chan- 10“ M. .Pierre Letellier, c o n trô l! tlU?» Çh a rSé de la vente et dé­leur des douanes, dem eurant au Poslt air e du cahier des charges.

ï, V il l u i a i S enlis> p ré se n t à la ven te ; a 1 égard de la da-i q„ M8 T nTTA-r • ’use • o» \ r I . 6 M J.UUAT, n o ta ire aà Sen-

Havre, 16, rue Henri-Genestal, ci-devant et actuellement à Ste- Adresse (Seine-Tnférieure). 35 rue du Manoir ; 11» Mlle Olvm- pe-Blanche Ouéruel. célibatai­re m ajeure, sans profession, de­m eurant à Gouvieux. rue Gam­betta, n° 25 ci-devant et actuel­lement à Sainte-Adresse, 35 rue du M anoir: 12» Mme Margue­rite Ouéruel, sans profession dem eurant au Mcsnil-Patrv f Calvados), chez M. Cairon. veuve de M. Em ile-Ferdinand Lepoultier ; 13° Mme Hélène-

6348

Ar t . 5.

Etude de M» Georges MORANDavoué à Senlis.

D I V O R C E

Assistance JudiciaireDécision du 25 Juillet 1934

D’un jugem ent rendu par le

Suivant contrat i eçu par Me Boi- let. notaire à Pont-Sainte-Maxence, le 12 décembre 1931, enregistré à Pont-Sainte-Maxence, !e 15 dé­cembre suivant, folio 26, case 146.

Monsieur José LARUCCIA, coiffeur-parfum eur, et Madame Suzanne BOULAY, son épouse, demeurant à Pont-Sainte-Maxen­ce, rue Perronet, n° 25.

Ont cédé à Monsieur Louis- Maurice-André GAY, coiffeur, de­meurant à Paris, cité Riverin, n? 6 .

Un fonds de com m erce de coiffure (hommes et dames), parfumerie, articles de Paris et accesso ires, exploité à Pon t- Sainte-M axence, rue Perronet n» 25.

La prise de possession a été fixée au 11 janvier prochain (1932).

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix jours qui suivront la seconde insertion dans ce journal, à Pont-Sainte- Maxence, en l'Etude de M ' Boilet, notaire, domicile élu.

Pour prem ière insertion : 6412 Robert BOILET.

A r t , 9 .

Etude de M9 COLLIAUX, notaire à Mouy.

Suivant acte reçu par M” Col- liaux, notaire à Mouy, le 24 no­vembre 1951, enregistré à Mouy, le 2 décembre 1931, folio 90, case 447.

Madame M aria-T hérèse NA- VEZ, dem eurant à Pont-Sainte- Maxence , veuve d8 Monsieur Maurice ISRAËL, et les enfants de Monsieur Maurice ISRAËL.

Ont vendu à Monsieur Liberté- Firmin-Alexandre BASSET, com-

Tribunal de prem ière Instance de merçant, demeurant à Creil’.

Ancien Cabinet Barrillëre, Prat Ver chère et Menant j

BariUère, Prat, Janssen s Népot et Desrum aux

Membres de la C1” des Courtiers en Fonds de Boulangerie

3 0 , ru e C o q u illiè re , P A R ISMétro : Les Halles, Louvre Téléphone : Louvre 71-01

consultés sur le m aintien ou- le remplacement du syndic et sur l’élection des contrôleurs. ;

6396Le Greffier,

GAVENC.

Suivant acte

Art. 16.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Etude de M" Louis GUÉTINgradué en droit

huissier à Chantilly.

A C H A N T I L L Y( route de Senlis

1 où les objets ont été transportés

le Dimanche 27 Décembre 4931 { à 13 heures 30

WrntQ aux enchères publiquesD’UNLes créanciers de la faillite du

sieur André CHARPENTIER, an­cien garagiste à Lamorlaye, sont

, - sous signatures invités à se réunir le Mardi 29? à L^ncourt(O ise), Décembre 1931, à 44 heures 30,

y51'en reg is tré à en l’auditoire du Tribunal de *09?' î v (0^ e),’. Ie 26 novembre Commerce de Senlis, à l ’effet den w L m m » ! case 1 délibérer sur les propositions de -- ~ ----- •---Emile JOUIN, boulanger, et Mme concordat qui pourraient être ü ques anciens. Chambres acajou, Eugénie BAR, son épouse assistée 1 faites par le débiteur, les accep- noyer e t pitchpin avec literie, et autorisée ont vendu leur fonds ter ou à défaut s’entendre dé- Lits de fer e t enivre. Armoires à de bou langerie situé à Liancourt clarer en état d’union et dans ce ghme. Garniture de cheminée. (Oise), 6, rue Pasteur, et cédé le

} } o n J / i o b i l i e rcomprenant notamment :

Salies à manger. Salon. Ta­bleaux. Peintures. Meubles

droit au bail des lieux où est ex­ploité le dit fonds à M. Maurice BROUT, boulanger, et Mme Amé­lie HELYE, son épouse assistée et autorisée, qui sont en posses­sion. '

Les oppositions seront reçues pour la validité chez l’acquéreur et pour la correspondance chez MM. Barillère, Prat, Janssens, Nérot et Desrumaux, mandatai­res soussignés, dans les dix jours qui suivront la présente publica­tion.

La présente insertion a paru au Bulletin Officiel des Ventes de Fonds de Commerce le 9 décem­bre 1931.

BARILLÈRE, PRAT 6324 et Compagnie.

cas, être consultés sur le main- Glaces. Toilettes. Table à jeu. tien ou le remplacement du synd ic ., Liseuses. Table acajou Louis XVI.

Argenterie. Accordéon. Machine

Art . 12.

E T U D E

b e r a n g e rContentieux civil et commercial

Rédaction d’actes 4 97 , rue du Temple, Paris (3 )

Métro : Temple ou République Archives 72 05

deuxième publication

Sjiriant acte sous signatures privées du i«p décembre 1931, en­registré à Senlis, le 8 décembre 1931, folio 9, case 9.

Monsieur DEIION Isaïe et Ma­dame AUXIETRE Yvonne, son épouse, dem eurant à Orry-la- Ville (Oise), 16, rue de La Cha­pelle.

Ont vendu à Madame veuve GOUGEON, demeurant à Bouque- lon, par Pont-Audemer (Eure).

Le fonds de com m erce de café-restaurant sis à Orry-la- Ville (Oise), 16, rue de La Cha­pelle.

Domicilo est élu au fonds vendu pour la validité et à l’Etude BE­RANGER, 197, rue du Temple, à Paris, où les oppositions seront reçues jusqu’au dixième jour après la présente publication.

L’insertion au Bulletin Officiel des Ventes et Cessions de Com­merces a été faite le 19 décembre.

Etude BÉRANGER Contentieux Civil et Commercial

497, rue du Temple 6370 PARIS (39).

A r t . 13.

UNIQUE PUBLICATION

V G É F I A N C E

Suivant acte sous signatures faità C°ye (Oise), en date

aes zt et 30 novembre 1931, enre- f i; 7 Creil, le 8 décembre 1931,

99, case 8 .Monsieur COPPE Léonard-Ju-

p16n’ ^ Valéry, dem eurant à Loye (Oise), Grande Rue, n° 49, propriétaire dû fonds da com ­merce d’hôtel-eafé-billard-bal- restaurant, exploité à Coye (Oi­se), Grande Rue, n» 49, a donné f? jrance l’expl°itation dudit tonas de commerce, à compter du 24 novembre 1931..

A Monsieur MAURICE Maxime, demeurant à Aulnay-sous-Bois ( ^ e - e t - O is e ) . rue du Quatre- Eeptembre, n» 58.

6397Le Greffier,

GAVENC.

Art. 17.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créanciers de la faillite de la dame FELINEAU, née Made­leine JORDAT, manufacture de brosserie à Bôthisy-Saiut-Pierre, sont invités à se trouver ie Mardi 29 Décembre 1934, à 14 heures, en l ’auditoire du Tribunal de Commerce de Senlis, à l ’effet de faire vérifier leurs créances e t d’en affirmer la sincérité.

Le procès-verbal des vérifica­tions sera clos le même jour.

Le Greffier,6398 GAVENG,

A r t . 18,

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créanciers de la faillite de la dame M arie-A ntoinette de TROGOFF, Hostellerie des Bru­yères, à Coye, sont invités à se réunir le M ardi 29 Décembre 1931, à 14 heures, en 1 auditoire du 1 ribunal de Commerce de Senlis, pour entendre e t arrêter le compte définitif de M9 Morand, syndic.

Le Greffier,6399 GAVENC.

Etudes de M9 Gaston LOIR, avoué-agréé à Senlis,

et de M9 PILLEBOUT, notaire à Crépy.

Vente aux enchères publiquesDE : UN

Fonds de CommerceD’ÉLECTRICIEN

exploite i GEÊET-ES-VALO ISrue Saint-Lazare, n° 28

L’adjudication aura lieu le MARDI 29 DECEMBRE 1931, à 14 heures, en l ’E tude e t p a r le m inistère de M9 PILLEBOUT, notaire à Crépy.

M I S E A P R I XEn outre des charges, clauses

et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M« Pille- bout, notaire à Crépy-en-Valois, où toute personne peut en prendre connaissance, le fonds de com­merce dont s’agit .sera mis en vente sur la mise l nflfl f r à prix de................. 4.UUU I I .

S’adresser pour les renseigne­m ents ;

A M9 Gaston LOIR, avoué- agréé à Senlis, poursuivant la vente ;

A M9 PILLEBOUT, notaire à Crépy, rédacteur et dépositaire du cah ier des charges;

A M9 BARBARANT, huissier à Crépy. 6384

à coudre Singer. Horloge com­toise. Fourneau de cuisine. R é­chaud à gaz. Outils divers. Appa­reils de T. S. F, Bicyclettes. Re­morque.

par e m inistère de Me GUÉTIN huissier à Chantilly.

Au Comptant - Frais ordinairesOn pourra visiter la veille de la

vente , de 14 à 16 heures. 6395

Etude de Ma LANGLOIS, notaire à Senlis.

A VENDRE A L’AMIABLE

MAISONA USASE DE COMMERCE '

s i s © à S E3NT l u i !3rue Saint-Jean, n9 8

près la place de la Halle,

S’adresser pour renseignements à M» Langlois, notaire. 6357

Vente aux enchères publiquesDE : UN

Fonds de Commerçade Café-Épieerie

auquel est annexée la gérano* d’un débit de tabacs

exploité à ROCQUEMONT

L’adjudication aura M«u la MARDI 22 DECEMBRE 1931, A 14 heures 30, en la M airie de Rocquemont, p ar le m inistère de M9 DAUVERGNE, notaire à Béthisy-Saint-Pierre, com m is à cet effet.

S’adresser pour les renseigne­ments :

A M* Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

E t à M* M aurice DAUVER­GNE, notaire à Béthisy-Saint- P ierre , rédacteur et dépositaire du cah ier des charges.

jff Vendre ou à JCouer

MaisonBourgeoise1 4 , rue St-Y ves-à-l’Argent

A SENLISSalon, salle à manger, quatre

chambres maîtres, une chambre domest. — Eau, gaz, électrieité, chauffage central. Petit jardin.

S’adresser à M9 Langlois, no­taire à Senlis. 6373

Etude de M* TÊTARD, notaire à Senlis (Oise)

A . V E N D R E

FONDS DE VINSSalle De Danse, CaMne pour Cinéma

JEU DE BOULESProximité forêts de Chantilly

e t Halatte.

S’adresser au Notaire. 6303

A V E N D R E

BONNE JUMENTL I M O N I È R E

S’adresser à M.VERHELST, à Villevert, par Senlis.

6369

Etude de Félix LOUAT, notaire *à Senlis.

A vendre è l’amiable, un Hôtel particulier, sis à Senlis, rue Sainte-Prothaise, n ' 2. S’adresser à M' Louât, notaire.

A vendre à i’amiable, une Mai­son sise à Orry-la-Ville, 1, rue-M j.1 A O’nda A 4 f » Td’Aumale. — notaire.

S adr. 4 M9 Louât,

Etude de M* LANGLOIS, notaire à Senlis.

A vendre par adjudication, le Vendredi 15 Janvier 1932, à 14 h. 30, à Silly-le-Long, en la salle de la Mairie, par le ministère de M® Langlois, notaire, IO h ec ta res 2 9 ares 3 6 eentiaroade Terre, sis aux terroirs de Silly-le-Long, Nanteuil-le-Haudouin, Le Plessis- Belleville e t Saint-Pathus.

A vendre à l’am i.ble, lia iso n à usage de commerce, sise à Senlis, rue Saint-Jean, n» 8 , près la place de la Halle. - S’adr. A M* Langlois, notaire.

A vendre d© gré à gré, une Maison sise à Senlis, rue du Moulin-du-Gué-de-Pont. — S’adr. à M« Langlois, notaire.

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Etude de M« DURAND, notaire à Pont-Sainte-Maxence.

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Revue de l'Orient Chrétien. Volume 28. 1931-1932.

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L'Ecole primaire, 29 février 1932

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1932 ca Galopin chaudières 20111015

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Bulletin de L'Étoile 06 Novembre-Décembre 1932 Causeries à Ommen (été 1931).pdf

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Glenn Gould (1932-1982) - BnF

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L'Ecole primaire, 15 avril 1932

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ŠUMARSKI LIST 4/1931

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Onze notes égyptiennes - UNICAEN · d'O. Guéraud, Ent. 25-26, 1931, 66-67, et R. Taubenschlag, Studi in onore di S. Riccobono I, 1932, 509-510, Scripta minora, II, 1959, 339-345.

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Georges Garvarentz (1932-1993) - BnF

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L'Ecole primaire, 15 janvier 1932

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BARZANI 1931-1958

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L'Ecole primaire, 15 octobre 1932

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Vardges Petrossian (1932-1994) · Vardges Petrosian (1932-1994) ISNI : ISNI 0000 0000 8160 1342 Data 1/3 data.bnf.fr. Documents sur Vardges Petrossian (1932-1994) (1 ressources dans

Vardges Petrossian (1932-1994) · Vardges Petrosian (1932-1994) ISNI : ISNI 0000 0000 8160 1342 Data 1/3 data.bnf.fr. Documents sur Vardges Petrossian (1932-1994) (1 ressources dans

Catalogue vente 6 février 2015cdn.interencheres.com/medias/g/2/f/d/0/b/5/2fd0b5ae44ef...10h00 - 1 ère partie : lot n 1 à lot n 154 1 Blondie, Album n 01 - Volume 1 (1931 - 1932),

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