Le Meschacébé (Lucy, La.) 1873-07-19 [p ] · 2017. 12. 13. · sains, qu'on ne les rencontre que...

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  • SAMEDI 19 JUILLET 1878. EDGAR P. O., LA. XXI' ANNEE.-N 29.

    PMX DM8 ANONCEs: A IX NNEMINT:

    PAICR D l Dit D LIOxE'I : I(;u aui .................. .5 00

    Prmin re faertion........1 50 Six ili ................. 50

    ertio u mivanto• ....... 75 J'A VA BLEN D'A VANCE.

    JOURNAL DES PAROISSES ST-JEAN-BAPTISTE ET ST-CHARLES -. LOUISIANE.

    E. DTMACEZ AS T. Bf-ELLO W, REDA CTEIURS.

    LBE SAH VEBBAILLE8

    Oe qui tonn b plus autrefosle Doge Versilles, ce fut de 'yvoir li-mme. Us Oriental commele Shah nedoit s'tonner de rien,et so#n fgme asiatique ne se serapas dmenti un instant lorqu'l atomo la main sianglante de F'em-pelrer Guillaume Berlin, qu'il apas en revue la lotte et 'armeaaglais Portsmouth et Wind-sor, que le prsident Mac-Mahonet le du de Brogie lui ont t fait unpompeOx accueil sous Are deBoole Pari, et qu'Il a dsor

    le pdsident Buaet au palai deLoais XIV Versaille. Mas aile Shah demeare impaible aunlem des ations relativementm ernes de FOoCident, Fehi-bimon q b'i t de sou auguteiuMu l isb r(etivesom maint

    rapport, et la mnpalit rpa-bicluede P1rlS, qui d'aboCd ro-huait de coemmntr la moindredpese pMer sa riaptios dam laeit rvetounasre, a bien it desravisr et de voter une ian-.oation matrBe sa noble tranderqui v iet du pay de la lumireprimitive. Ele a eu raiseo dtea-rr la asmuhe dua hatme des AIes-a*BA dams Fragee priode4 N qMai a eaomplimert9est lat vieieMtoue quid s pro-

    mi aves on cortge de souve-rs et 4d'eaiegnements, et aou

    OmeCna dmmoire la grandear etla iud eaede peuple qui ontsame. Oit le M couate qau rend

    sai cems sM-ml--s et as si-fweem s 6eei eveoqHeurt eieM

    sqgigMtama le pwa qse ae leAit e plfeae a ure etMawpelig. Vo donc ae quiIMudes eu .m 4 emmoud leMdOelbde la Jeuese de rhomanl-t! Quelle auelleus isurore

    YIi h I.ieg.t -Op eta,~bea , oarl et xiet., les

    m•s.udss de Pas.

    I•,wte Mlas na,:s nea .*****r t *^. erY -ssesses was

    *Ab lMs d Milh ls, .p-pl -* - i * . wIm-M--

    I I II' ' ' j

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    ( J; B .4

    et toffe le globe habit o il sement lui-m8me Prtroit et privd'air il disprait et le faiscea ar-tfliel e rompt, et le monumentcroule en poussire. Voil pour lapolitique. Quant la thologie, lesavant orientaliste Louis Jacolliotnous monte le fleuve sacr destradition religieuses et des su-pertitieon ternelles descendantde l'Inde orientale lInde occi.dentale, coulant avec le Gange etrIndus, 'chapipant da foyer pri-mordial par l'Arabie et l'Egypte,la Perse et l'Asie Mineure, pourparvenir, tout en se transformant,en Jude, en Grce et Rome. Zo-roastre,qui a vu Ormns face ace, est le prophte de la Perse,

    et le Zead-Ave est encore de nosjours un sqet d'tade et de me-ditation. Pierre Lroux, le Biasfranais quant aux biens de latrre, ayant tet~, il y a trentean, une euvre philosophique in-titule PSBMdfdif sociate, futontrainet de s'arrter e route; les

    resomes pcuniaires lui man-quateit, mo les trsors intellec-talf mais il ne put rister audsir de parler de Zoroastre, et,laissnt vide un epacequi ne serapas combl, le pauvre et modesterivan sata la dernire lettrede l•aphabet et exprima sa pen-se sur le beceau-de notre empce.La Pere ift aussi la patrie desdiamants et des fleurs, et inspirales potes Saadi et Ferdoucy. Elletait bien dchue, quand Chardinnousy adnistgure, mais ellegardait enore tu charme et unpartmu, une magie et un attraitdont le Shah achver de nousgtri. lU rrive propos ea cetteEu"mpe inquite et tro~ble, pld'h•tastone et de tremssillemntes.

    l l i rvle nalrement e qu'ellene sat peut-tre pp asesz malgr

    SJongue o exprience, le cueilsles misres qui attendent les

    p asservis et4dgradmmtaatBlamnt hpr e et tjeta Oemo m

    sarque, qui vaineimte chermce rmsnrnbral et sgique et

    Wi.d.i-rlssdam -m d•n-

    B" btl -pMotique u ]

    jitde ramJsee t et teagioter id J paor de Ladres, qolle u et ]

    eiob ehs Las niassmoltairesde Petmse, qui doanrent n ]

    eis -e omN d'motion an I

    wel sueuaS 9 A-t-il visul d6bwrramr la uof6t deVSsoomma qtamdo. tu un d"ien em"dt, on voua

    amaums~ *mue eoue# maummede?-gmodeque 1 vou roesacMr de la W.''mair. il- u Wui pddo.m d porto bleu ipala

    -J g, -. IwIo~pour toaue ladnki ufnlmt trisWd pur omi* m le jflg 0o00osd e pomvout lamun bm., Qui a tssM don a ider, et la prla

    Omieuoummd m *O. q @m om hiqotm*.eII du pour le pue1r u b'd*o i ou d eupudiiiismat o.r8i qu~Jie dudr qu'i(l lat hi

    pomas)i~nurr S bu s, lise ANN

    r~rr Li~u~rr~i isu#s o

    'hr ;6'ouSuiir(a -rralII I~i~ZY.r~~bah"r

    B comte de Volney, sont moins la-5 mentablesqueoelle-l, car elle offreSl'aspect du repoussant contact det la mort avec la vie.

    Mais ri le Shah ne s'harmonisegure AParisqu'avec l'oblisquedeLouqeor, il ne fait pas disparate Versailles et y complte an cou-traire le muse des antiques. Dansles jardins de Lo Ntre, les tritonset nalades du paganisme lancentdans l'air les gerbes d'eaux mur-murantes qui faisaient rver Marie-Antoinette, l'altire et infortuner souveraine; on croit apercevoir

    sous les ombrages verts cette ttegracieuse et vide que trancha lecouperet jacobin. L'illusion estplus forte, et on s'imagine que legrand roi lui-mme va entrer l'assemble versaillaise, bott, pe-ronn, le fouet main, et dire enSsecouant sa crinire lonine qu'ila failli attendre. Les ordres pri-vilgis sont prts le saluer; no-blesse et clerg ont rtract la nuitSdu 4 aot, et la bourgeoisie estremise sa place et courbe terreen la personne de Thiers. Il y ades dues et barons, des comteset marquis, toute une cour qui nedemande qu servir. Le Shahn'est vraiment ps trop dpayset surtout dsorient, et il recou-ma t leur mine hautaine ou ram-pante, superbe on cafarde, les ma.ges et les satrapes qui valent bienceux que possda la Perse , sonznith. Ie monde recule ou u'apas fait un pas, et Mirabeau etDanton, Robespierre et Maratn'ont jamais exist; Napolon lui-mme, le premier du nom, est unmythe, s'il n'a t le lieutenant-gnral ou le maire du palais dela dynastie des Bourbons on desPharaons. Ia France recule encoredans le kalidoscope de Versailles,court grande vitesse aux Croi-sades et tous les plerinages, etJusqu' Charlemagne fondant letemporel, et Clovis humiliant lefier Sicambre Voll lerve auquelssiste le Shah, et ilse demande

    pourquoi sarrter ea si beau che.min et ne pas retourner jusqu'Cyrus qu'il aimerait mieux que leNeroadet allemand Beuter. Hlasihlas t tempsoat bie changs,et csvlsousont ble trompeuses.81 le ptrteMdant soat l, et aussiles courtisans, o sont le peupleorvable et la foule igorante, les

    privildges e les pra4ug• O sontlsai els gidtatao

    innocmnt ai montse r.shud les gattes retentIs.muat de tionsO, et opolss e prencet pour lepiartyr de leuyrs d yama orMals, esmalo 'noeemt+p-

    ssnmtde vos Suves, . r vos SIm*a ehn dosmasl reux j de vos mbms fuq. dsOsvoease 4,mus la dont ro.s de vu smebl.seslaaien sqonesaPAux qui boum- par rpuhe et qe i 1'.-gbu*eths ou. vos 7Ms mma que. Vous pmulaks lu Per-ier mumm tCopudu, lestm moeg Yos arube Peine,p. ezqlaq~adss, yvou 1c et quelqus pMs plus ImomWous a'y peWPbo pldu , Yao n,ouuI vumme, es dl.

    u~iiO.4MW l'muile ell jetteu sur lui

    ~Li4~UV5N5 pur muer l4ce ouude ods..a s'es aJoulipeoIuom.eej1de us 4ef .ivui

    LN. > qqIW.w te~pe M&Mc un scuideutquii'-~~.Y ir at socidt1Perr ob 00 o gd eY C M"wi d f t s s

    ma

    m n o a ve u v e0Ssus4nk-~ , oirl 4edih iiacna u cdi

    Vous Parie, je ciavieun q. ami8#lc-rhak ~O Ma @Ii#bar r i MA4 puCIVM eee Msas que

    une dom$. def t

    Una trvers; c mal prvu, ndo rpe. t

    LES MILLE ET UNE

    CONNAISSANCES UTILES.

    CCXXIIl est certain que la thorie des

    germes a beaucoup de faits quisemblent en dmontrer l'exactitu-de. En effet, il est rare de trouverune humeur virulente qui ne ren-ferme l'un ou l'autre type de proto-organisme, et depuis que 3t. l'as-teur a donn la thorie de fermqen-tation proprement dite, il est toutnaturel qu'on ait assimil les aftfeetious virulentes aux fermenta-tions ordinaires. Le virus devenaitainsi une semence d'tres infrieurs,et eela para.issait d'autant plussimple qu'aussi srement que latigue nait du figuier, le raisiu dela vigne, la pomme dlu pomiuier,aussi srement le virus typhodeproduit la ilvre typhode, le vi-rus scarlatineux la scarlatine, levirus varioleux la variole.

    Avant de rapporter les diffren-tes expriences qui ont t faitessur ce sujet, disons que ces orga-nismes infrieurs, que l'on trouvedans les humeurs virulentes, sontabsolument les mmes que ceuxque l'on rencontre dans toutes leshumeurs altres; ce sont surtoutdes vibrions et des bactrie; lesnoms d'ailleurs varient souventd'un auteur l'autre, car les diff-rences ne sont Jamais bien nettes.Ce petits tres ne prsentent au-cun organe de digestion ni aucunorgane de locomotion; ce sont depetites masses fines, alonges, ho-mognes dans toute leur tendueet doues de mouvemet. Ce sontles nombreux granules trs finsqui sont renferms dans les hu-meurs et qui, par accolement boutbout et soudure des granules,

    donneraient naissanceauxvibrionset aux bactries. Ceux-ci se trans-formeraient plus tard en d'autresformes, qu'on a appeles leptotkh•r.

    Tous ces corpuscules considrscomme divers ne reprsentent pro-bablement que les tats successifsd'une mme espce. Ce qu'il y ade certain, c'est qu'on ne les trouveni sur l'pithlium du mucus del'homme, ni sur eelii des animauxsains, qu'on ne les rencontre quedans les cas de maladie, ou dix oudouze heures aprs la mort.

    Nous feronsremarquerque, pourles vgtaux, il se passe des ph-nomnes analogues ceux qui ac-compagnent la doomposition destissus animaux; seulemaet, les or-gansmes qui se d6veloppent ot,dans ce cas, des vgtaux, M.1Trcul a or voir que, dans lint- irieur des cellules vgtales, lors-que cellesci sont macres, Il sedveloppe des corpscules trs pe-tits, par transformation du latex. iAn point de vue de la gnrationspontane, cette observation esttrs importante, car ces lments Inaissent dans des cellules parfai- 1tement formes, situes profond6-

    ment, et qui ne peuvent laisser 1pntrer aucun germe dans leurintrieur. OCes fits oat conduit

    M. Tnrcul admettre que cesplantulcs peuvent nattre et se d-velopper l'intrieur de cellulesbien closes, pendant la putrfac-tion, nans aucune intervention degermes venus du dehors, et parcousquent que, de la matire or-Ianique, peuvent provenir descorps vivants trs diffrents de lasubstance dont ils drivent.

    Depuis plusieurs annes, M.Chauveau, profetseur de physiolo.gie l'Ecole vtrinaire de Lyon,et savant des pli l distingues, aentrepris une srie d'exlt>rienaessur les virus et les maladies viru-lentes. Ses premires recherchesont iprt sur le virus-vaccin. Ilsest surtout proccup de cher-cher quels taieet les lments dela srosit vaccinale qui avaientl'action spcifique (le cette humeur,si ce sont les parties solides, ou lesparties liquides.

    Pour rsoudre ce problme, M.Chauveau a employ la dilution,et il a constat ce sujet que duvaccin tendu de cinquante fois sonpoids d'eau est aussi certain dansson action que du vaccin concen-tr;'il a de mme obtenu des in-oculations avec du vaccin tendude cent cinquante fois son poidsd'eau, mais d'une manire moinsconstante. Dans ces cas, l'ruptionvaccinale se comporte de la mmefa"on que si elle avait t dter-mine par une inoculation de vac-cin pur.

    En laissant reposer qnelquesheures de la lymphe vaccinale me-

    ,lange avec de l'eau, on au-dtssus!de laquelle on a ajout lentementet sans mlange de l'eau distille,on obtient deux couches de liqui-des. Dans la couche suprieure, ily aura, par suite de la diffusion,de l'eau dans laquelle se trouventdissous les principes solubles del'humeur vaccinale, tandis quedans la couche infrieure se trou-vent les parties solides du vaccin,et principalement des granulationsmolculaires. Avec le liquide pro-venant de la couche suprieure, lesrsultats de l'inoculation sont tou-'jours ngatifs, tandis qu'ils sonttonjours positifs quand on inoculele flide pris au fond de l'prou-;vette.

    M. Chauvean conclut de ces ex-prienes que la srosit vaccinalen'est pas virulente et que l'activitdes virus rside dans des granula-tions solides. Etudiant alors oescorpuscules virulents de plus prs,il a constat qu'ils peuvent trelavs sans perdre leurs propritsspifiques, et qu'il se montrentaussi virulents que s'ils taientrests dans leur vhicule naturel,Ainsi, dans le humeurs virulen-tes, l'actvit opcidfque serait itesur les plus fns lments corpu,-culaires, et pour qu'une humeurvirulente soit en pleine possessionde son activit sp6cique, il n'estpas ncemnaire qu'elle contienned'autres ments figurs que lesfnes granulation moluenaires. I

    Le conclusions de M. Chauveauont t aceptes pr la pluprt i

    contre lequel il nay ursit re mmdqu.4.4ap .er toute jualice Soit rn *111 tfemme quipa eh.pl

    deu lendimseI que dfries-vou.feu d i Ps eilonm* bmm wwelle eosen m IwU%m bu

    ordame quai s'y rouvenst Wup mrl&-41 pu, mdla juge qui* dans laeratsdeooudsern iuMtetdabeSairsiL dirr coup ble.?

    "&-l. la eundsmastlam d'" lna ost oudi es niel. tk 6poque dmns tu esam de. bl j1. ptpren(ne Wuipwblo quIl m unife conte a W;bbcPr~ nConcours wtnit de elmeostauees l14? qe'SuBie.pme sur lui cbUgesdoa t l nu pul s je)IBl'.Qund bien mme,dunmOs, li itdn l .r

    ams p guste, dnODe nelu, des , .feevietiou anuquea le juge ne peut sla mort d'un Innoceot, go n'ut qq SWtsimdlqu rabsPnkOlutin d'unr couipblet~ US. ~ibuapulallqueLl crims e ouate .&l pelli. &em'04W d'i udI*cen miit ee qui s mm Il 1 l d k deslut quo lud laisse Yore tuulqwaaw; i vos ~p1suiqus*wl, par nue cTreopUlloe muFfieur

    "r niu es6ble, ear e'ust 1irm- nne INU #814 m 6",49mI4 fflj'Mv6k~iim M ffle el se trenu.O du ww eues,ss4nt,. b& lemLems est

    Iss tIrnctellsuvoep

    trtbiiu*sIlt votre oempte. iiunU ULU(L" cin "fieFpro4Mi," %vq#rnt.)

    ( des physiologistes, et FAcamii ioedes sciences leur a doinn6 sa uanc-tion. Nous croyoun naumnolqunede srieuses objections peuventI tre faites l'une de ces conclu-sions, qui admet que la partie li-'quido de liinuneur virulente n'aIaucune actioun ispcitique, et que

    Stoute cette action rilide unique-ment dans les granulat;ons.

    En effet, en mlangeant de la1 rosit virulente avec de l'eau, il

    se pourrait qu'on altrt les sub.st-inces albuminoldes qui formentcette srosit. Les liquides organi.ques sont en effet des compossdfinis; il n'y a pas l une simpledissolution de principes, mais desIcombinaisons particulires et quine peuvent tre modifies sanschanger aussitt les proprits sp.ciales le ces corps. Un grammede sel dissous dans de l'eau resteun gramme de sel et se retrouvetel quel par l'vaporation, tandisqu'en dissolvant de l'albumine dusang, un globule ou toute humeurorganique, vous dtruisez pourtoqjours cette substaneeorganique.

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