Le Meschacébé (Lucy, La.) 1873-07-19 [p ] · 2017. 12. 13. · sains, qu'on ne les rencontre que...

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SAMEDI 19 JUILLET 1878. EDGAR P. O., LA. XXI' ANNEE.-N 29. PMX DM8 ANONCEs: A IX NNEMINT: PAICR D l Dit D LIOxE'I : I(;u aui .................. .5 00 Prmin re faertion........1 50 Six ili ................. 50 ertio u mivanto• ....... 75 J'A VA BLEN D'A VANCE. JOURNAL DES PAROISSES ST-JEAN-BAPTISTE ET ST-CHARLES -. LOUISIANE. E. DTMACEZ AS T. Bf-ELLO W, REDA CTEIURS. LBE SAH VEBBAILLE8 Oe qui tonn b plus autrefos le Doge Versilles, ce fut de 'y voir li-mme. Us Oriental comme le Shah nedoit s'tonner de rien, et so#n fgme asiatique ne se sera pas dmenti un instant lorqu'l a tomo la main sianglante de F'em- pelrer Guillaume Berlin, qu'il a pas en revue la lotte et 'arme aaglais Portsmouth et Wind- sor, que le prsident Mac-Mahon et le du de Brogie lui ont t fait un pompeOx accueil sous Are de Boole Pari, et qu'Il a dsor le pdsident Buaet au palai de Loais XIV Versaille. Mas ai le Shah demeare impaible au nlem des ations relativement m ernes de FOoCident, Fehi- bimon q b'i t de sou augute iuMu l isb r(etivesom maint rapport, et la mnpalit rpa- bicluede P1rlS, qui d'aboCd ro- huait de coemmntr la moindre dpese pMer sa riaptios dam la eit rvetounasre, a bien it de sravisr et de voter une ian-. oation matrBe sa noble trander qui v iet du pay de la lumire primitive. Ele a eu raiseo dtea- rr la asmuhe dua hatme des AIes -a*BA dams Fragee priode 4 N qMai a eaomplimert 9est lat vieieMtoue quid s pro- mi aves on cortge de souve- rs et 4d'eaiegnements, et aou OmeCna dmmoire la grandear et la iud eaede peuple qui ont same. Oit le M couate qau rend sai cems sM-ml--s et as si- fweem s 6eei eveoqHeurt eieM sqgigMtama le pwa qse ae le Ait e plfeae a ure et Mawpelig. Vo donc ae qui IMudes eu .m 4 emmoud le MdOelbde la Jeuese de rhomanl- t! Quelle auelleus isurore YIi h I.ieg.t - Op et a,~bea , oarl et xiet., les m•s.udss de Pas. I•,wte Mlas na,:s nea . *****r t *^. erY -ssesses was *Ab lMs d Milh ls, .p -pl -* - i * . wIm -M-- I I II' ' ' j :~-1: ( J; B .4 et toffe le globe habit o il se ment lui-m8me Prtroit et priv d'air il disprait et le faiscea ar- tfliel e rompt, et le monument croule en poussire. Voil pour la politique. Quant la thologie, le savant orientaliste Louis Jacolliot nous monte le fleuve sacr des tradition religieuses et des su- pertitieon ternelles descendant de l'Inde orientale lInde occi. dentale, coulant avec le Gange et rIndus, 'chapipant da foyer pri- mordial par l'Arabie et l'Egypte, la Perse et l'Asie Mineure, pour parvenir, tout en se transformant, en Jude, en Grce et Rome. Zo- roastre,qui a vu Ormns face ace, est le prophte de la Perse, et le Zead-Ave est encore de nos jours un sqet d'tade et de me- ditation. Pierre Lroux, le Bias franais quant aux biens de la trre, ayant tet~, il y a trente an, une euvre philosophique in- titule PSBMdfdif sociate, fut ontrainet de s'arrter e route; les resomes pcuniaires lui man- quateit, mo les trsors intellec- talf mais il ne put rister au dsir de parler de Zoroastre, et, laissnt vide un epacequi ne sera pas combl, le pauvre et modeste rivan sata la dernire lettre de l•aphabet et exprima sa pen- se sur le beceau-de notre empce. La Pere ift aussi la patrie des diamants et des fleurs, et inspira les potes Saadi et Ferdoucy. Elle tait bien dchue, quand Chardin nousy adnistgure, mais elle gardait enore tu charme et un partmu, une magie et un attrait dont le Shah achver de nous gtri. lU rrive propos ea cette Eu"mpe inquite et tro~ble, pl d'h•tastone et de tremssillemntes. l l i rvle nalrement e qu'elle ne sat peut-tre pp asesz malgr SJongue o exprience, le cueils les misres qui attendent les p asservis et4dgradmmtaat Blamnt hpr e et tjeta Oemo m sarque, qui vaineimte chermce rmsnrnbral et sgique et Wi.d.i-rlssdam -m d•n- B" btl -pMotique u ] jitde ramJsee t et teagioter i d J paor de Ladres, qolle u et ] eiob ehs Las niassmoltaires de Petmse, qui doanrent n ] eis -e omN d'motion an I wel sueuaS 9 A-t-il visul d6bwrramr la uof6t de VSsoomma qtamdo. tu un d"ien em"dt, on voua amaums~ *mue eoue# maummede? -gmodeque 1 vou roesacMr de la W.' 'mair. il- u Wui pddo.m d porto bleu ipala -J g, -. IwIo~pour toaue ladnki ufnlmt tris Wd pur omi* m le jflg 0o00osd e pomvout la mun bm., Qui a tssM don a ider, et la prla Omieuoummd m *O. q @m om hiqotm *.eII du pour le pue1r u b'd*o i ou d eu pudiiiismat o.r8i qu~Jie dudr qu'i(l lat hi poma s)i~nurr S bu s, lise ANN r~rr Li~u~rr~i isu#s o 'hr ;6'ouSuiir(a -rral II I~i~ZY.r~~bah"r B comte de Volney, sont moins la- 5 mentablesqueoelle-l, car elle offre Sl'aspect du repoussant contact de t la mort avec la vie. Mais ri le Shah ne s'harmonise gure AParisqu'avec l'oblisquede Louqeor, il ne fait pas disparate Versailles et y complte an cou- traire le muse des antiques. Dans les jardins de Lo Ntre, les tritons et nalades du paganisme lancent dans l'air les gerbes d'eaux mur- murantes qui faisaient rver Marie- Antoinette, l'altire et infortune r souveraine; on croit apercevoir sous les ombrages verts cette tte gracieuse et vide que trancha le couperet jacobin. L'illusion est plus forte, et on s'imagine que le grand roi lui-mme va entrer l'assemble versaillaise, bott, pe- ronn, le fouet main, et dire en Ssecouant sa crinire lonine qu'il a failli attendre. Les ordres pri- vilgis sont prts le saluer; no- blesse et clerg ont rtract la nuit Sdu 4 aot, et la bourgeoisie est remise sa place et courbe terre en la personne de Thiers. Il y a des dues et barons, des comtes et marquis, toute une cour qui ne demande qu servir. Le Shah n'est vraiment ps trop dpays et surtout dsorient, et il recou- ma t leur mine hautaine ou ram- pante, superbe on cafarde, les ma. ges et les satrapes qui valent bien ceux que possda la Perse , son znith. Ie monde recule ou u'a pas fait un pas, et Mirabeau et Danton, Robespierre et Marat n'ont jamais exist; Napolon lui- mme, le premier du nom, est un mythe, s'il n'a t le lieutenant- gnral ou le maire du palais de la dynastie des Bourbons on des Pharaons. Ia France recule encore dans le kalidoscope de Versailles, court grande vitesse aux Croi- sades et tous les plerinages, et Jusqu' Charlemagne fondant le temporel, et Clovis humiliant le fier Sicambre Voll lerve auquel ssiste le Shah, et ilse demande pourquoi sarrter ea si beau che. min et ne pas retourner jusqu' Cyrus qu'il aimerait mieux que le Neroadet allemand Beuter. Hlasi hlas t tempsoat bie changs, et csvlsousont ble trompeuses. 81 le ptrteMdant soat l, et aussi les courtisans, o sont le peuple orvable et la foule igorante, les privildges e les pra4ug• O sont lsai els gidtatao innocmnt ai montse r.shud les gattes retentIs. muat de tionsO, et opolss e prencet pour le piartyr de leuyrs d yama orMals, esmalo 'noeemt+p- ssnmtde vos Suves, . r vos SIm*a ehn dosmas l reux j de vos mbms fuq. dsOsvoease 4, mus la dont ro.s de vu smebl.seslaaien sqonesa PAux qui boum- par rpuhe et qe i 1'.- gbu*eths ou. vos 7Ms mma que. Vous pmulaks lu Per- ier mumm tCopudu, lestm moeg Yos arube Peine, p. ezqlaq~adss, yvou 1 c et quelqus pMs plus Imom Wous a'y peWPbo pldu , Yao n,ouuI vumme, es dl. u~iiO.4MW l'muile ell jetteu sur lui ~Li4~UV5N5 pur muer l4ce ouude ods.. a s'es aJoulipeoIuom.e e j1de us 4ef .ivui LN. > qqIW.w te~pe M&Mc un scuideut quii'-~~.Y ir at socidt 1Perr ob 00 o gd eY C M"w i d f t s s ma m n o a ve u v e 0Ssus4nk-~ , oirl 4edih iiacna u cdi Vous Parie, je ciavieun q. ami 8#lc-rhak ~O Ma @Ii#bar r i MA4 puCIV M eee Msas que une dom$. def t Una trvers; c mal prvu, ndo rpe. t LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES UTILES. CCXXI Il est certain que la thorie des germes a beaucoup de faits qui semblent en dmontrer l'exactitu- de. En effet, il est rare de trouver une humeur virulente qui ne ren- ferme l'un ou l'autre type de proto- organisme, et depuis que 3t. l'as- teur a donn la thorie de fermqen- tation proprement dite, il est tout naturel qu'on ait assimil les aft feetious virulentes aux fermenta- tions ordinaires. Le virus devenait ainsi une semence d'tres infrieurs, et eela para.issait d'autant plus simple qu'aussi srement que la tigue nait du figuier, le raisiu de la vigne, la pomme dlu pomiuier, aussi srement le virus typhode produit la ilvre typhode, le vi- rus scarlatineux la scarlatine, le virus varioleux la variole. Avant de rapporter les diffren- tes expriences qui ont t faites sur ce sujet, disons que ces orga- nismes infrieurs, que l'on trouve dans les humeurs virulentes, sont absolument les mmes que ceux que l'on rencontre dans toutes les humeurs altres; ce sont surtout des vibrions et des bactrie; les noms d'ailleurs varient souvent d'un auteur l'autre, car les diff- rences ne sont Jamais bien nettes. Ce petits tres ne prsentent au- cun organe de digestion ni aucun organe de locomotion; ce sont de petites masses fines, alonges, ho- mognes dans toute leur tendue et doues de mouvemet. Ce sont les nombreux granules trs fins qui sont renferms dans les hu- meurs et qui, par accolement bout bout et soudure des granules, donneraient naissanceauxvibrions et aux bactries. Ceux-ci se trans- formeraient plus tard en d'autres formes, qu'on a appeles leptotkh•r. Tous ces corpuscules considrs comme divers ne reprsentent pro- bablement que les tats successifs d'une mme espce. Ce qu'il y a de certain, c'est qu'on ne les trouve ni sur l'pithlium du mucus de l'homme, ni sur eelii des animaux sains, qu'on ne les rencontre que dans les cas de maladie, ou dix ou douze heures aprs la mort. Nous feronsremarquerque, pour les vgtaux, il se passe des ph- nomnes analogues ceux qui ac- compagnent la doomposition des tissus animaux; seulemaet, les or- gansmes qui se d6veloppent ot, dans ce cas, des vgtaux, M.1 Trcul a or voir que, dans lint- i rieur des cellules vgtales, lors- que cellesci sont macres, Il se dveloppe des corpscules trs pe- tits, par transformation du latex. i An point de vue de la gnration spontane, cette observation est trs importante, car ces lments I naissent dans des cellules parfai- 1 tement formes, situes profond6- ment, et qui ne peuvent laisser 1 pntrer aucun germe dans leur intrieur. OCes fits oat conduit M. Tnrcul admettre que ces plantulcs peuvent nattre et se d- velopper l'intrieur de cellules bien closes, pendant la putrfac- tion, nans aucune intervention de germes venus du dehors, et par cousquent que, de la matire or- Ianique, peuvent provenir des corps vivants trs diffrents de la substance dont ils drivent. Depuis plusieurs annes, M. Chauveau, profetseur de physiolo. gie l'Ecole vtrinaire de Lyon, et savant des pli l distingues, a entrepris une srie d'exlt>rienaes sur les virus et les maladies viru- lentes. Ses premires recherches ont iprt sur le virus-vaccin. Il sest surtout proccup de cher- cher quels taieet les lments de la srosit vaccinale qui avaient l'action spcifique (le cette humeur, si ce sont les parties solides, ou les parties liquides. Pour rsoudre ce problme, M. Chauveau a employ la dilution, et il a constat ce sujet que du vaccin tendu de cinquante fois son poids d'eau est aussi certain dans son action que du vaccin concen- tr;'il a de mme obtenu des in- oculations avec du vaccin tendu de cent cinquante fois son poids d'eau, mais d'une manire moins constante. Dans ces cas, l'ruption vaccinale se comporte de la mme fa"on que si elle avait t dter- mine par une inoculation de vac- cin pur. En laissant reposer qnelques heures de la lymphe vaccinale me- ,lange avec de l'eau, on au-dtssus! de laquelle on a ajout lentement et sans mlange de l'eau distille, on obtient deux couches de liqui- des. Dans la couche suprieure, il y aura, par suite de la diffusion, de l'eau dans laquelle se trouvent dissous les principes solubles de l'humeur vaccinale, tandis que dans la couche infrieure se trou- vent les parties solides du vaccin, et principalement des granulations molculaires. Avec le liquide pro- venant de la couche suprieure, les rsultats de l'inoculation sont tou-' jours ngatifs, tandis qu'ils sont tonjours positifs quand on inocule le flide pris au fond de l'prou-; vette. M. Chauvean conclut de ces ex- prienes que la srosit vaccinale n'est pas virulente et que l'activit des virus rside dans des granula- tions solides. Etudiant alors oes corpuscules virulents de plus prs, il a constat qu'ils peuvent tre lavs sans perdre leurs proprits spifiques, et qu'il se montrent aussi virulents que s'ils taient rests dans leur vhicule naturel, Ainsi, dans le humeurs virulen- tes, l'actvit opcidfque serait ite sur les plus fns lments corpu,- culaires, et pour qu'une humeur virulente soit en pleine possession de son activit sp6cique, il n'est pas ncemnaire qu'elle contienne d'autres ments figurs que les fnes granulation moluenaires. I Le conclusions de M. Chauveau ont t aceptes pr la pluprt i contre lequel il nay ursit re mmdqu.4.4 a p . er toute jualice Soit rn *111 tfemme quipa eh.pl deu lendimseI que dfries-vou.feu d i Ps e ilonm* bmm wwelle eosen m IwU%m bu ordame quai s'y rouvenst Wup mrl&-41 pu, m dla juge qui* dans laeratsdeooudsern iuMtetd abeSairsiL dirr coup ble.? "&-l. la eundsmastlam d'" lna ost oudi es ni el. tk 6poque dmns tu esam de. bl j1. pt pren(ne Wuipwblo quIl m unife conte a W;bbcPr~ n Concours wtnit de elmeostauees l14? qe'SuBie. pme sur lui cbUgesdoa t l nu pul s je)IBl'. Qund bien mme,dunmOs, li itdn l .r ams p guste, dnODe nelu, des , .f eevietiou anuquea le juge ne peut s la mort d'un Innoceot, go n'ut qq SW tsimdlqu rabsPnkOlutin d'unr couipblet~ US. ~ibua pulallqueLl crims e ouate .&l pelli. &em'04W d'i u dI*cen miit ee qui s mm Il 1 l d k de slut quo lud laisse Yore tuulqwaaw; i vos ~p1sui qus*wl, par nue cTreopUlloe muFfieur "r niu es6ble, ear e'ust 1 irm- nne INU #814 m 6",49mI4 fflj' Mv6k~iim M ffle el se tr enu.O du ww eues,ss4nt,. b& lem Lems est Iss tIrnctellsuvoep trtbiiu*sIlt votre oempte. iiunU ULU (L" cin "fieFpro4Mi," %vq#rnt.) ( des physiologistes, et FAcamii ioe des sciences leur a doinn6 sa uanc- tion. Nous croyoun naumnolqune de srieuses objections peuvent I tre faites l'une de ces conclu- sions, qui admet que la partie li- 'quido de liinuneur virulente n'a Iaucune actioun ispcitique, et que Stoute cette action rilide unique- ment dans les granulat;ons. En effet, en mlangeant de la 1 rosit virulente avec de l'eau, il se pourrait qu'on altrt les sub. st-inces albuminoldes qui forment cette srosit. Les liquides organi. ques sont en effet des composs dfinis; il n'y a pas l une simple dissolution de principes, mais des Icombinaisons particulires et qui ne peuvent tre modifies sans changer aussitt les proprits sp. ciales le ces corps. Un gramme de sel dissous dans de l'eau reste un gramme de sel et se retrouve tel quel par l'vaporation, tandis qu'en dissolvant de l'albumine du sang, un globule ou toute humeur organique, vous dtruisez pour toqjours cette substaneeorganique. 8 II,) BAZAR DE LA COTE 40 J.J-B. CAIRE a l'ionneur d'informer me clients et le public eu gnral qu'il vient de recevoir par rle steamneri OCiof Alt et Oreat ?epuhlic, uin grand asorti. ment de PRODUITS DE L'OUEST, entre autre : FARINE en gros barilset demi-baril, MAIS SOR DE BL, EPAULES VERTES, JAMBONS VERTS Ez JAMBONS CURS AU SUCRE, WIIISKEY de la Maison PoLAND & IENRY, de Cieinnati, BOURBON de Cincinuatl, et beaucoup d'antres articles de groceries, tels que, GRU, FARINE E D MAS, 8AGAM1T, &c., &c., trop longs numrer. fWAU COSMPTANT SELBEMENT. ms73. J.-.. aCAIm. Du GRBJINsL DB JAKDIxUBa de toute sorte et de premier bhoix viennent d'tre reue&de Philadel- pbhi et sont ei vente au OeiD Ba sa Da LA OTr, invriable Wient au comptant. 8t-Jean-Baptiate, 19 Jillet 1878. J.-S.CAIuJ. 8t.Jeem-~rire Pu*$$o WUOCAUUk IBARIL de intU dinm~doiu4 BUINO ke. * "' Bol lis de 40 &Ami.us 04&~5 M00 Oordes Sois de C4. .' ue?.ur lues .. dwou n.0 au aouulgad 8i721.. IOufa . v*aIu.

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  • SAMEDI 19 JUILLET 1878. EDGAR P. O., LA. XXI' ANNEE.-N 29.

    PMX DM8 ANONCEs: A IX NNEMINT:

    PAICR D l Dit D LIOxE'I : I(;u aui .................. .5 00

    Prmin re faertion........1 50 Six ili ................. 50

    ertio u mivanto• ....... 75 J'A VA BLEN D'A VANCE.

    JOURNAL DES PAROISSES ST-JEAN-BAPTISTE ET ST-CHARLES -. LOUISIANE.

    E. DTMACEZ AS T. Bf-ELLO W, REDA CTEIURS.

    LBE SAH VEBBAILLE8

    Oe qui tonn b plus autrefosle Doge Versilles, ce fut de 'yvoir li-mme. Us Oriental commele Shah nedoit s'tonner de rien,et so#n fgme asiatique ne se serapas dmenti un instant lorqu'l atomo la main sianglante de F'em-pelrer Guillaume Berlin, qu'il apas en revue la lotte et 'armeaaglais Portsmouth et Wind-sor, que le prsident Mac-Mahonet le du de Brogie lui ont t fait unpompeOx accueil sous Are deBoole Pari, et qu'Il a dsor

    le pdsident Buaet au palai deLoais XIV Versaille. Mas aile Shah demeare impaible aunlem des ations relativementm ernes de FOoCident, Fehi-bimon q b'i t de sou auguteiuMu l isb r(etivesom maint

    rapport, et la mnpalit rpa-bicluede P1rlS, qui d'aboCd ro-huait de coemmntr la moindredpese pMer sa riaptios dam laeit rvetounasre, a bien it desravisr et de voter une ian-.oation matrBe sa noble tranderqui v iet du pay de la lumireprimitive. Ele a eu raiseo dtea-rr la asmuhe dua hatme des AIes-a*BA dams Fragee priode4 N qMai a eaomplimert9est lat vieieMtoue quid s pro-

    mi aves on cortge de souve-rs et 4d'eaiegnements, et aou

    OmeCna dmmoire la grandear etla iud eaede peuple qui ontsame. Oit le M couate qau rend

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    et toffe le globe habit o il sement lui-m8me Prtroit et privd'air il disprait et le faiscea ar-tfliel e rompt, et le monumentcroule en poussire. Voil pour lapolitique. Quant la thologie, lesavant orientaliste Louis Jacolliotnous monte le fleuve sacr destradition religieuses et des su-pertitieon ternelles descendantde l'Inde orientale lInde occi.dentale, coulant avec le Gange etrIndus, 'chapipant da foyer pri-mordial par l'Arabie et l'Egypte,la Perse et l'Asie Mineure, pourparvenir, tout en se transformant,en Jude, en Grce et Rome. Zo-roastre,qui a vu Ormns face ace, est le prophte de la Perse,

    et le Zead-Ave est encore de nosjours un sqet d'tade et de me-ditation. Pierre Lroux, le Biasfranais quant aux biens de latrre, ayant tet~, il y a trentean, une euvre philosophique in-titule PSBMdfdif sociate, futontrainet de s'arrter e route; les

    resomes pcuniaires lui man-quateit, mo les trsors intellec-talf mais il ne put rister audsir de parler de Zoroastre, et,laissnt vide un epacequi ne serapas combl, le pauvre et modesterivan sata la dernire lettrede l•aphabet et exprima sa pen-se sur le beceau-de notre empce.La Pere ift aussi la patrie desdiamants et des fleurs, et inspirales potes Saadi et Ferdoucy. Elletait bien dchue, quand Chardinnousy adnistgure, mais ellegardait enore tu charme et unpartmu, une magie et un attraitdont le Shah achver de nousgtri. lU rrive propos ea cetteEu"mpe inquite et tro~ble, pld'h•tastone et de tremssillemntes.

    l l i rvle nalrement e qu'ellene sat peut-tre pp asesz malgr

    SJongue o exprience, le cueilsles misres qui attendent les

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    B comte de Volney, sont moins la-5 mentablesqueoelle-l, car elle offreSl'aspect du repoussant contact det la mort avec la vie.

    Mais ri le Shah ne s'harmonisegure AParisqu'avec l'oblisquedeLouqeor, il ne fait pas disparate Versailles et y complte an cou-traire le muse des antiques. Dansles jardins de Lo Ntre, les tritonset nalades du paganisme lancentdans l'air les gerbes d'eaux mur-murantes qui faisaient rver Marie-Antoinette, l'altire et infortuner souveraine; on croit apercevoir

    sous les ombrages verts cette ttegracieuse et vide que trancha lecouperet jacobin. L'illusion estplus forte, et on s'imagine que legrand roi lui-mme va entrer l'assemble versaillaise, bott, pe-ronn, le fouet main, et dire enSsecouant sa crinire lonine qu'ila failli attendre. Les ordres pri-vilgis sont prts le saluer; no-blesse et clerg ont rtract la nuitSdu 4 aot, et la bourgeoisie estremise sa place et courbe terreen la personne de Thiers. Il y ades dues et barons, des comteset marquis, toute une cour qui nedemande qu servir. Le Shahn'est vraiment ps trop dpayset surtout dsorient, et il recou-ma t leur mine hautaine ou ram-pante, superbe on cafarde, les ma.ges et les satrapes qui valent bienceux que possda la Perse , sonznith. Ie monde recule ou u'apas fait un pas, et Mirabeau etDanton, Robespierre et Maratn'ont jamais exist; Napolon lui-mme, le premier du nom, est unmythe, s'il n'a t le lieutenant-gnral ou le maire du palais dela dynastie des Bourbons on desPharaons. Ia France recule encoredans le kalidoscope de Versailles,court grande vitesse aux Croi-sades et tous les plerinages, etJusqu' Charlemagne fondant letemporel, et Clovis humiliant lefier Sicambre Voll lerve auquelssiste le Shah, et ilse demande

    pourquoi sarrter ea si beau che.min et ne pas retourner jusqu'Cyrus qu'il aimerait mieux que leNeroadet allemand Beuter. Hlasihlas t tempsoat bie changs,et csvlsousont ble trompeuses.81 le ptrteMdant soat l, et aussiles courtisans, o sont le peupleorvable et la foule igorante, les

    privildges e les pra4ug• O sontlsai els gidtatao

    innocmnt ai montse r.shud les gattes retentIs.muat de tionsO, et opolss e prencet pour lepiartyr de leuyrs d yama orMals, esmalo 'noeemt+p-

    ssnmtde vos Suves, . r vos SIm*a ehn dosmasl reux j de vos mbms fuq. dsOsvoease 4,mus la dont ro.s de vu smebl.seslaaien sqonesaPAux qui boum- par rpuhe et qe i 1'.-gbu*eths ou. vos 7Ms mma que. Vous pmulaks lu Per-ier mumm tCopudu, lestm moeg Yos arube Peine,p. ezqlaq~adss, yvou 1c et quelqus pMs plus ImomWous a'y peWPbo pldu , Yao n,ouuI vumme, es dl.

    u~iiO.4MW l'muile ell jetteu sur lui

    ~Li4~UV5N5 pur muer l4ce ouude ods..a s'es aJoulipeoIuom.eej1de us 4ef .ivui

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    LES MILLE ET UNE

    CONNAISSANCES UTILES.

    CCXXIIl est certain que la thorie des

    germes a beaucoup de faits quisemblent en dmontrer l'exactitu-de. En effet, il est rare de trouverune humeur virulente qui ne ren-ferme l'un ou l'autre type de proto-organisme, et depuis que 3t. l'as-teur a donn la thorie de fermqen-tation proprement dite, il est toutnaturel qu'on ait assimil les aftfeetious virulentes aux fermenta-tions ordinaires. Le virus devenaitainsi une semence d'tres infrieurs,et eela para.issait d'autant plussimple qu'aussi srement que latigue nait du figuier, le raisiu dela vigne, la pomme dlu pomiuier,aussi srement le virus typhodeproduit la ilvre typhode, le vi-rus scarlatineux la scarlatine, levirus varioleux la variole.

    Avant de rapporter les diffren-tes expriences qui ont t faitessur ce sujet, disons que ces orga-nismes infrieurs, que l'on trouvedans les humeurs virulentes, sontabsolument les mmes que ceuxque l'on rencontre dans toutes leshumeurs altres; ce sont surtoutdes vibrions et des bactrie; lesnoms d'ailleurs varient souventd'un auteur l'autre, car les diff-rences ne sont Jamais bien nettes.Ce petits tres ne prsentent au-cun organe de digestion ni aucunorgane de locomotion; ce sont depetites masses fines, alonges, ho-mognes dans toute leur tendueet doues de mouvemet. Ce sontles nombreux granules trs finsqui sont renferms dans les hu-meurs et qui, par accolement boutbout et soudure des granules,

    donneraient naissanceauxvibrionset aux bactries. Ceux-ci se trans-formeraient plus tard en d'autresformes, qu'on a appeles leptotkh•r.

    Tous ces corpuscules considrscomme divers ne reprsentent pro-bablement que les tats successifsd'une mme espce. Ce qu'il y ade certain, c'est qu'on ne les trouveni sur l'pithlium du mucus del'homme, ni sur eelii des animauxsains, qu'on ne les rencontre quedans les cas de maladie, ou dix oudouze heures aprs la mort.

    Nous feronsremarquerque, pourles vgtaux, il se passe des ph-nomnes analogues ceux qui ac-compagnent la doomposition destissus animaux; seulemaet, les or-gansmes qui se d6veloppent ot,dans ce cas, des vgtaux, M.1Trcul a or voir que, dans lint- irieur des cellules vgtales, lors-que cellesci sont macres, Il sedveloppe des corpscules trs pe-tits, par transformation du latex. iAn point de vue de la gnrationspontane, cette observation esttrs importante, car ces lments Inaissent dans des cellules parfai- 1tement formes, situes profond6-

    ment, et qui ne peuvent laisser 1pntrer aucun germe dans leurintrieur. OCes fits oat conduit

    M. Tnrcul admettre que cesplantulcs peuvent nattre et se d-velopper l'intrieur de cellulesbien closes, pendant la putrfac-tion, nans aucune intervention degermes venus du dehors, et parcousquent que, de la matire or-Ianique, peuvent provenir descorps vivants trs diffrents de lasubstance dont ils drivent.

    Depuis plusieurs annes, M.Chauveau, profetseur de physiolo.gie l'Ecole vtrinaire de Lyon,et savant des pli l distingues, aentrepris une srie d'exlt>rienaessur les virus et les maladies viru-lentes. Ses premires recherchesont iprt sur le virus-vaccin. Ilsest surtout proccup de cher-cher quels taieet les lments dela srosit vaccinale qui avaientl'action spcifique (le cette humeur,si ce sont les parties solides, ou lesparties liquides.

    Pour rsoudre ce problme, M.Chauveau a employ la dilution,et il a constat ce sujet que duvaccin tendu de cinquante fois sonpoids d'eau est aussi certain dansson action que du vaccin concen-tr;'il a de mme obtenu des in-oculations avec du vaccin tendude cent cinquante fois son poidsd'eau, mais d'une manire moinsconstante. Dans ces cas, l'ruptionvaccinale se comporte de la mmefa"on que si elle avait t dter-mine par une inoculation de vac-cin pur.

    En laissant reposer qnelquesheures de la lymphe vaccinale me-

    ,lange avec de l'eau, on au-dtssus!de laquelle on a ajout lentementet sans mlange de l'eau distille,on obtient deux couches de liqui-des. Dans la couche suprieure, ily aura, par suite de la diffusion,de l'eau dans laquelle se trouventdissous les principes solubles del'humeur vaccinale, tandis quedans la couche infrieure se trou-vent les parties solides du vaccin,et principalement des granulationsmolculaires. Avec le liquide pro-venant de la couche suprieure, lesrsultats de l'inoculation sont tou-'jours ngatifs, tandis qu'ils sonttonjours positifs quand on inoculele flide pris au fond de l'prou-;vette.

    M. Chauvean conclut de ces ex-prienes que la srosit vaccinalen'est pas virulente et que l'activitdes virus rside dans des granula-tions solides. Etudiant alors oescorpuscules virulents de plus prs,il a constat qu'ils peuvent trelavs sans perdre leurs propritsspifiques, et qu'il se montrentaussi virulents que s'ils taientrests dans leur vhicule naturel,Ainsi, dans le humeurs virulen-tes, l'actvit opcidfque serait itesur les plus fns lments corpu,-culaires, et pour qu'une humeurvirulente soit en pleine possessionde son activit sp6cique, il n'estpas ncemnaire qu'elle contienned'autres ments figurs que lesfnes granulation moluenaires. I

    Le conclusions de M. Chauveauont t aceptes pr la pluprt i

    contre lequel il nay ursit re mmdqu.4.4ap .er toute jualice Soit rn *111 tfemme quipa eh.pl

    deu lendimseI que dfries-vou.feu d i Ps eilonm* bmm wwelle eosen m IwU%m bu

    ordame quai s'y rouvenst Wup mrl&-41 pu, mdla juge qui* dans laeratsdeooudsern iuMtetdabeSairsiL dirr coup ble.?

    "&-l. la eundsmastlam d'" lna ost oudi es niel. tk 6poque dmns tu esam de. bl j1. ptpren(ne Wuipwblo quIl m unife conte a W;bbcPr~ nConcours wtnit de elmeostauees l14? qe'SuBie.pme sur lui cbUgesdoa t l nu pul s je)IBl'.Qund bien mme,dunmOs, li itdn l .r

    ams p guste, dnODe nelu, des , .feevietiou anuquea le juge ne peut sla mort d'un Innoceot, go n'ut qq SWtsimdlqu rabsPnkOlutin d'unr couipblet~ US. ~ibuapulallqueLl crims e ouate .&l pelli. &em'04W d'i udI*cen miit ee qui s mm Il 1 l d k deslut quo lud laisse Yore tuulqwaaw; i vos ~p1suiqus*wl, par nue cTreopUlloe muFfieur

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    ( des physiologistes, et FAcamii ioedes sciences leur a doinn6 sa uanc-tion. Nous croyoun naumnolqunede srieuses objections peuventI tre faites l'une de ces conclu-sions, qui admet que la partie li-'quido de liinuneur virulente n'aIaucune actioun ispcitique, et que

    Stoute cette action rilide unique-ment dans les granulat;ons.

    En effet, en mlangeant de la1 rosit virulente avec de l'eau, il

    se pourrait qu'on altrt les sub.st-inces albuminoldes qui formentcette srosit. Les liquides organi.ques sont en effet des compossdfinis; il n'y a pas l une simpledissolution de principes, mais desIcombinaisons particulires et quine peuvent tre modifies sanschanger aussitt les proprits sp.ciales le ces corps. Un grammede sel dissous dans de l'eau resteun gramme de sel et se retrouvetel quel par l'vaporation, tandisqu'en dissolvant de l'albumine dusang, un globule ou toute humeurorganique, vous dtruisez pourtoqjours cette substaneeorganique.

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