Le Meschacébé (Lucy, La.) 1877-06-23 [p ]...Ah! tes produits, les voil! Cration qui hlain la 1...

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l'apprenild, nppelait 'lric dle 1litten "'l'veillenur dit genre linminin"; il en swrn, lui, "l'firnr". Soni intelli- gence illiniiite f it ce qu'flle touche. (le qu'il ne dit ; as. il le fit iltvintier. Un mot est ton t. l di. a pilume, qui n'aurait ailleurs atir'n -1seg ; mai l, au milieu de ris pagis liftlnntes, il vonis arrtte, et tout il coup il vous semble qu'en votre esprit un voile se dchire: votre horizon m'largit, 1ni roonde nouveau vous apparit. Que de choes-, par exemple, dans cette plirnse: "Le pauvrex aiment la France comme lui ayant obligation, ayant dles devoirs envers elle; les riches l'aiment commne leur applorte- nant, leur ttant obllige!" Que dle v- rit ausi! Miiielet !rvoyait-il, lorqun'il Il'crivit. les ruilles pren- ves par lemiqunles all;iit paisser sa France bien-aimniet 1Elle est venue, li'heure qu'il unviit i rdite, o la bourgeoisie, fille de 89, 'est monitre telle qu'il l'avit -'repienitir ; nonu l'avonA vue: et. peat-tre en est-il descendu plus tt dans la tombe, Il a pa la voir, uIni ansi, prite risquer la faillite gnrale, la faillite de la piati ie, plutt que de rompre un senl joun navec sa peur goiste et stnpide. La France! Ses regards mont con- stanmment tourns vers elle, et, lors- qu'il parle du peuple, c'est d'elle. tonjours d'elle qu'il 'occpe. Elle et l'pouse du paynan qui en a Mr4 le sol et qui s'est attrcl elle d'un in- dimolable amour. Elle est la mat* treme de l'ouvrier qui un' posWeile nu monde que son pansM, Ma gloire, et qui s'en conutente. Elle est la miredni lsoldat, ce petit conscrit qni s'en va chantant la Marseillaise, en .ongeant aux hros de 92. Quant aix nutres, anx riches, ils owcnpent la France, ils en joniasent, mais iln n'ont plus le temr de l'nimer; ils regardent en has le peuple qni monte, et ils ont peur de lu ; ils se tournent du ct du pouvoir, ils l'appellent leutr ie- cours; ils complotent, exi, les af- franchis d'hier, de for"er des entra- ves la foule, qu'ilN trou veont main- tenant trop prs d'eux. Que n'cou- tenout-ils la parole amie, le conseil sa- lutaire : "Propritaires, savez-vous blen elni qui ne btMigera point, pas plus que la terre nmme t C'et le people. Appuyez-vous nsur lui. Le aluit de la France et le vtre, gens riches, c'est que vouit n'ayez pas peur du penple, que vous alliez lui, que vous le connainies, que voun laissiez l lee fables qu'on vouii fait et qui n'ont nul rapport la ralit... Il fant e'enrtendre, deaerrer les dents, le emur anusi, @ parler, comme on tait entre bommem." Ils pourraient encore tre sanus, et du mme conp ils sauveraient la France. Le vou- dlront-ils Jamais sincrement, leynile- ment, gureuisemient ? Ils oi t bien malade*, s'erie Michelet; on ne re- vient pas ailment de si loin. Il fau- dra donc que le penple, uni eux, accompliase Aon euvre. OraTAVE ORATX. (La fin aus prockhain unsumro.) i> Das si a a to ~ I. '*iet entre u-dent.. jo rit dans tlm eteux ardena. fint@ =p t m*M r... -p -tn done f quelle pther Ata}Jn! 4oun*on ront PMenbit, X P messe toniflt, Baese amhu., San front, se ronefr iMonnant, appelet... 5teie "wie I fd^A i4aliremfrt Cette herbe tait un poison; Quel vide flan% la maison Ah 1 nature! Ah! tes produits, les voil! Cration qui hlain la Crature! 1 IL Un autre petit enfant, Livide, et romme 4tou4fit, Bouehe sure, rr a front, s'aualblit.. t eew 'se lit b ii (m** Ut Dans la terrm. Mres I le bonhear est eeert. Le mdecin 1-11 secort 1 DItommande Pour le cher tre abattm 'Use herbe dont la verte Fat trangeae On a le fleon d'an bond t Male le petit moribood, Quedgote l'aspect mIl de la cailler, leuse d'se avaler Une goutte. Ia s'.iMet roidit. Le dcter, dont il maudit Lavisite, ate mO desmts qu'il ddead eourre lailler...-L'esafut Boum"kat Et Wal-,&& wules 1Verres Il expirait sa Ulma; Q re sae; fl vivrs eut,.- Eluets. herbe tlseealas ededeux yenx Ari *b l m d mless, Chet e 1-w*IeeZ cet ae dte EsDe l'autre ange De l'autre suge! III. La nature alors parla: "Oui, 'est vrai, l'herbe qui l'a Arrarhie, L doiice rpr'i-, an tipas, Oui, c'est I*'hitrbt- que tn m'sit IReprochbe. "Un pen de mon suie ami Refait de l'eiifant blmi L'enfant rose; Mai il faut savoir comment, Et rapprt, et le moment, Et la dose. * "II fant navoir ! c'Pot le mot. Je vous aime, main il faut Que l'on m'aide. La science, elle, in'absont. Hlonimes, rien n'est poison, tout Est reiiide. "'Tout est lin plonr le savant. La mme plante est, su.iivaint L'ocntirtnce, Le mpnrtre oni la gnurison. SIl 1'existe qu'un poison, L'Ignorance." AUL'GCSTF VACQUEUIE. A\1IAux prifq en PAIWAGIE. dlem priix iinoiltti- q'nr FI*aniejnne hia- bitation LABRANCHE. S'aulrroxer C. JIAUBERT & Ciw., I6jn3lu. Propri(.taires. MARCHA'NIISES FIE Amricaines et Importes 90 & 91-... rue Cornimne... 90 &92, et 105 &107 ... rue Grnvier ... 1 0 .5& 107 1OTYVPELLE-ORLL~NS. L:VPJ,a Maison BOYD est repr-- gente dansa les paroisme rireraines pot- AVEC FABRIQUE DE TABAC A LA VAPEUR M&. 279 ltue Deoattw, NovIFUlW-OrIaua. TAR AC9 Pmnr. Prilm et Chiquer, <iO.ARF.M def la~ ITMifle et dis payot. pR 1Q' en carutte. et cii pamlnrtu. 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I'aViso. lillois S. tce - La 1<>l'l)..IA FNCPIT.t III tiF1 eI:eesmiiriiiee-o gtr lit %-i. eliijrm le-le iiie-ilte-tirs mysielt item-, e-t <li e- tei loperia-il e-l e Ue gWitfit.re' det lis IbliNetelee exige file tastsi-e-s petit-es miieej-t ieeeuritvm niet lbtiteceu ite- tAietgite-eer e-t ,g:rniiutii-eejeter liem. eltest sipiscixt fait.. ait ltee.-t-ieu diti Tes-..ario-r. .11 i-er <>m s, <ege-ct Ibeecr lcit eceeqe)gnoe. f j.e -sIe. J.m Fs jd.~ I)A1, prs4idenIt. DI RECTEURS 4 jnn. <LGainem .Tni. 1. Dn v FA.-. lLirt lwingd C. levy 1Ili-irv Reneghaw Eysiory Clzijp JImIgh WiIan *Jamf-m Il * nlew IL. nimbe JA... JIJl am A. Bajldwin W.-Il. Schmidt <'Inp. ut.4're*dv L. Alems Rw<hard FI(ower 84vOtt 114-ieigeo .1. lVeiPLR (ho. *jii;u 11-.Ta ,Ivor ). patio J.C. Mt-ramT..i. Ai-e.v. JIWI' VOMP, solliciteur wImair la ranli- ft, la. COLLECTEUR Le Pousfiign a Ilbouneur d'offrir Px-g ar- dcc.e an rubi ,0 tuai6leolctu S- .Tean.llapbtioe et dn . ao.. oau. S'aulr-.%mar "IEI>AIt P. 0.. 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  • l'apprenild, nppelait 'lric dle 1litten"'l'veillenur dit genre linminin"; il enswrn, lui, "l'firnr". Soni intelli-gence illiniiite f it ce qu'flle touche.(le qu'il ne dit ; as. il le fit iltvintier.Un mot est ton t. l di. a pilume, quin'aurait ailleurs atir'n -1seg ; mai l,au milieu de ris pagis liftlnntes, ilvonis arrtte, et tout il coup il voussemble qu'en votre esprit un voile sedchire: votre horizon m'largit, 1niroonde nouveau vous apparit. Quede choes-, par exemple, dans cetteplirnse: "Le pauvrex aiment laFrance comme lui ayant obligation,ayant dles devoirs envers elle; lesriches l'aiment commne leur applorte-nant, leur ttant obllige!" Que dle v-rit ausi! Miiielet !rvoyait-il,lorqun'il Il'crivit. les ruilles pren-ves par lemiqunles all;iit paisser saFrance bien-aimniet 1Elle est venue,li'heure qu'il unviit i rdite, o la

    bourgeoisie, fille de 89, 'est monitretelle qu'il l'avit -'repienitir ; nonul'avonA vue: et. peat-tre en est-ildescendu plus tt dans la tombe, Il apa la voir, uIni ansi, prite risquerla faillite gnrale, la faillite de lapiati ie, plutt que de rompre un senljoun navec sa peur goiste et stnpide.

    La France! Ses regards mont con-stanmment tourns vers elle, et, lors-qu'il parle du peuple, c'est d'elle.tonjours d'elle qu'il 'occpe. Elle etl'pouse du paynan qui en a Mr4 lesol et qui s'est attrcl elle d'un in-dimolable amour. Elle est la mat*treme de l'ouvrier qui un' posWeile numonde que son pansM, Ma gloire, etqui s'en conutente. Elle est la mirednilsoldat, ce petit conscrit qni s'en vachantant la Marseillaise, en .ongeantaux hros de 92. Quant aix nutres,anx riches, ils owcnpent la France, ilsen joniasent, mais iln n'ont plus letemr de l'nimer; ils regardent enhas le peuple qni monte, et ils ontpeur de lu ; ils se tournent du ctdu pouvoir, ils l'appellent leutr ie-cours; ils complotent, exi, les af-franchis d'hier, de for"er des entra-ves la foule, qu'ilN trou veont main-tenant trop prs d'eux. Que n'cou-tenout-ils la parole amie, le conseil sa-lutaire : "Propritaires, savez-vousblen elni qui ne btMigera point, pasplus que la terre nmme t C'et lepeople. Appuyez-vous nsur lui. Lealuit de la France et le vtre, gensriches, c'est que vouit n'ayez pas peurdu penple, que vous alliez lui, quevous le connainies, que voun laissiezl lee fables qu'on vouii fait et quin'ont nul rapport la ralit... Ilfant e'enrtendre, deaerrer les dents,le emur anusi, @ parler, comme ontait entre bommem." Ils pourraientencore tre sanus, et du mme conpils sauveraient la France. Le vou-dlront-ils Jamais sincrement, leynile-ment, gureuisemient ? Ils oi t bienmalade*, s'erie Michelet; on ne re-vient pas ailment de si loin. Il fau-dra donc que le penple, uni eux,accompliase Aon euvre.

    OraTAVE ORATX.(La fin aus prockhain unsumro.)

    i> Das si a a to

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    Cette herbe tait un poison;Quel vide flan% la maison

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    Crature! 1IL

    Un autre petit enfant,Livide, et romme 4tou4fit,

    Bouehe sure,rr a front, s'aualblit..

    t eew 'se litb ii (m** UtDans la terrm.Mres I le bonhear est eeert.Le mdecin 1-11 secort 1

    DItommandePour le cher tre abattm'Use herbe dont la verte

    Fat trangeaeOn a le fleon d'an bond tMale le petit moribood,

    Quedgotel'aspect mIl de la cailler,leuse d'se avaler

    Une goutte.Ia s'.iMet roidit.Le dcter, dont il maudit

    Lavisite,ate mO desmts qu'il ddead

    eourre lailler...-L'esafutBoum"kat

    Et Wal-,&& wules 1Verres

    Il expirait sa Ulma;Q re sae; fl vivrs eut,.-Eluets. herbe

    tlseealas ededeux yenxAri *b l m d mless,Chet e 1-w*IeeZcet ae dte

    EsDe l'autre angeDe l'autre suge!

    III.La nature alors parla:"Oui, 'est vrai, l'herbe qui l'a

    Arrarhie,L doiice rpr'i-, an tipas,Oui, c'est I*'hitrbt- que tn m'sit

    IReprochbe."Un pen de mon suie amiRefait de l'eiifant blmi

    L'enfant rose;Mai il faut savoir comment,Et rapprt, et le moment,

    Et la dose. *"II fant navoir ! c'Pot le mot.Je vous aime, main il faut

    Que l'on m'aide.La science, elle, in'absont.Hlonimes, rien n'est poison, tout

    Est reiiide."'Tout est lin plonr le savant.La mme plante est, su.iivaint

    L'ocntirtnce,Le mpnrtre oni la gnurison.

    SIl 1'existe qu'un poison,L'Ignorance."

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