Zu Comité Commentairesimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1940/B315556101_MIDSOC_1940... · Dans...

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Zu Comité secret à la Conférence socialiste 1111111111111111111111111 llllllll 1111111111111111111111111111111111111111111111111111 Je ne veux pas chercher un rap- sés par la guerre; ce qui tient à ce pr.hement entre les séances mes- que l'objectif de cette discu.ion que simultanées du Comité Secret fut .trèmement vaste, beaucoup de la Chambre des députés, et de plus, qu'aux nombreux motifs poli- Conseil National du Parti Socialis- tiques de mécontentement que peut te, avoir aujourd'hui notre Parti par Les deux Assemblées n'ont évi- suite de la continence à laquelle il demment pas les mêmes méthodes .t contraint depuis cinq mois, de discussion, ni les mêmes moyens Plusieurs de nos orateurs ont de documentation, ni la même en. souligné avec force, les difficultés portance nationale ou mternationa- économiques et financières qui vont le, je le reconnais bien volontiers. imposer des restrictions melneduel- Cependant, il y a plus qu'une sim- les et collectives pleines de danger, ple coïncidence dans la simult.ét si on ne les aborde pas méthodique- té de ces réunions, voulus toutes ment, franchement avec le . senti- deux par notre Parti, à fin d'une ment qu'Ml. soM inévitables e LE BANQUE]' QUOTID/EM REGIONAUX AU RESTAURANT DROUANT. gauche à droite + Sir Ronald CAMRBF_LL. ambas.deur d'Ar, période hivernale où la France vit quM faut de toute nécessité m'en stem. à Paris: M. G. SOUSTELLE, Président des quotidlem8 résionatur dans l'attente d'évènements graves accomoder puisqu'on ne peut faire ...st mn discours t M. SERRUYS. Rein Commimaire l'Economis Netizmik. auxquels elle se doit de savoir si autrement. C'est ainsi par exemple N. 53.924. elle est prête, matériellement et que les problèmes du ravitaillement moralement de la hausse des prix, du circuit C'.t qu'en effet, depuis cinq mois monétaire, de l'inflation, ont été le Pays n'a guère connu que ce que évoqués par Spinasse avec beau. le Gouvernement a voulu qu'il con- coup de vigueur et de penetratzon. massé. Or la vente, qui vient d'en En dépit de l'optimisme officiel, il haut n'est pas nécessairement la reste beaucoup à faire en ce do- vérité, surtout quand la Censure moine, s'en mêle. De même, bien que sommaire eu' lia doute allait, s'aggravant de cure, une étude des bots de guerre semaine en semaine, dont il était et des buts de paix a été commencée d'ailleurs difficile de préciser Fort à cette même réunion. Ce n'.t cer- gine, mais qui trouvait des motifS tainement pas affaiblir le moral du à s accrtre, nombreux et varies pays unanime d.s sa demiou en une foule de mécontentements1 de ne pas céder à l'hitlérisime et subalternes, où d'inforraationu plus au bolchevisbe. que de rechem ou moins inquiétantes colportées de cher les moyens de rendre la âme, bouche à oreille. re la moins longue et la moins D était de l'intérêt général d» meurtrière possible, et de jeter, I. Pair, de rechercher si les craintes bases solides d'une paix européen. étaient justifiées ou non. Pour ce- ne plus stable pour celle qui fut In il fallait ouvrir une enquête com- si souvent troublée entre 1918 et piète et rapide auprès de tous ceux 1935. qui en haut on en bas, devaient ou ". pouvaient apporter des éléments pré els irinformation. D. esprits chagrins verront ds. Une décision suivrait prise en ces initiatives du parti socialiste, toute connaissaneo dé cause, en de- une agitation intempestive. Certains hors de toute considération autre iront sans doute jusqu'à prétendre que l'intérêt collectif du Peuple et qu'il rompt ainsi la trève politique de la Nation. pour des fum purement partisanes. J'aurais beaucoup à, dire sur ce C'est cette enquête dont le Parti sujet, dans le sens même où je suis socialiste a pris l'initiative au Par- intervenu à notre Conseil National. 1emeM et darm ses propres Fédéra- Mais je Suis sûr que la Censure ne tions. laismrait rien passer de . que j'é- Sur l'enquête menée au Parle- crirais et je suis bien obligé de me ment, c'est-à-dire sur les débats du taire. Comité Secret, je ne dirai naturel- Je dirai seulement que rien ne lement rien, sinon que les rensel- serait plus dangereux que d'ubac- gnements qui nous ont été diumes donner ce pays au mirage dange- les chiffres qui nous ont été four- reux d'une unanimité dont tout es- nis et qui sont facilement contrée prit critique serait banni, et qui ne tables, témoignent d'un effort puis- serait qu'une forme de la passivité. sont continu vers une production Le peuple qui se bat, le peuple qui sera bientôt formidable d'un ma- qui souffre, pour défendre ents'au- tériel de guerre de toute première ires biens, sa liberté, a le droit d'exi valeur. Il n'y a qu'à persévérer dans cot- te voie, et c'est là une des raisons important., sinon même la raison lupins importante de l'unanimité de l'ordre du jour de confiance qui a clos le débat. Par contre, pourquoi ne pas le dire, la longue discussion du Con- seil National n'a pas laissé une im- pression au.i nette d'une solution complète de to. les problèmes po- Député de Castelsarr.in per de ceux qui parlent et agissent en son nom, et de notre Parti no- tamment, qui est le plus grand par. ti populaire, une vigilance sans dé- faillance, et une franchise à. laquel- le il ne doit y avoir de limite que dans la mesure où elle serait con- traire aux intérêts dont elle a la .uvegarde. Marcel GUERRET, Sur le front rhénan Quelque activité terrestre et aérienne de a été dispersée en laissant un peu de matériel sur le terrain. Q. Une deuxième a été repoussée en laissant entre nos mains deux sous- Jeudi 22 février (matin) officiers' Un aspirant et un feld- webel. COM1111111111lle dll 11 UN COUP DE MAIN ENNEMI A ETE REPOUSSE A L'EST DE Plus à l'est, dans la région de la LA MOSELLE. Blies, on a surtout assisté à des UNE DE NOS PATROUILLES tira °riants d'artillerie' Piand'aie. .A FAIT PRISONNIERS DEUX ment des tirs de contre-batterie. SOUS-OFFICIERS ALLEMANDS. Enfin les tirs entre casemat. sur « Sur terre Sur notre front, la journée d'hier usez ensoleillée, a commandé une assez vive rerudescence de l'activité terrestre et aérienne. A l'est de la Moselle, un coup de main a été tenté par les Allemands sur un de eus postes installé dans :ro, ou quatre maisons à la lisière d'un petit village. Les Allemands ont essaye de s'emparer de ce poste rnsis iLs ont été repoussés sans dif- ficulté. Cependant, ils ont rétmsi, e est retirant, à mettre le feu, à coups de grenades à l'une des Mai- ... Plus à l'est, c'est-Adire dans la réglàn à l'ouest de la Sarre, signa- lons deux histoires de patronal. Une première patrouille allers., les bords du Rhin ont été assez nourris. LES TROUPES BRITANNIQUES FORTIFIENT LEURS SECTEURS Londres, 22 février. Dans un article détaillé sur les travaux dé- fensifs effectués par les troupes britanniques en France, le corres- pondant du « Times o auprès du corps expéditionnaire déclare no- tamment a La ligne devient tous les jcum plus forte. Pendant des mois des officiers des quartiers généraux, de bataillon, de brigade et de divis:on ont examiné soigneusement la to- pographie de la région et étudié toutes 1m particularités du paysage pour déterminer l'usage qui, au be- soin, pourrait en être fait. n Le travail ne cesse jamais. Par- Mut dans les lignes avancées on peut voir de nouveaux réduits ratinent de cages et dont les tente. SOCIALISTE sautes barres de fer disparaissent lentement sous la couche de ciment. Le squelette que le corps expédi- tionnaire avait hérité des Français est devenu maintenant un corps, un corps dont le poids augmente rapi- dement. z Dans l'air Dans le domaine aérien, les évé- nements de la journée d'hier se ré- sument comme suit Les Britanniques vol fait de nombreuses reconnaissances au-des- sus de /a mer du Nord jusqu'à Bom ahuris et Heligoland. Au cours de ces reconnaissances ils se sont li- vrés à l'attaque de plusieurs torpil- leurs ennemis. Les Allemands de leur côté, ont très activement survolé la mer du Nord où leurs avioncà ont attaqué queignes, bâtiments de commerce et des dragueurs de mines. Les avions allemands ont, d'au- tre part, fait quatre reconnaissan- ces profondes au-dessus des régions est et nord-est de notre territoire. Au-dessus des lignes, multiplen reconnaissances réciproques avec sorties parallèles d'escadrilles de chasse. Un seul combat a été livré au-dessus de n. lignes. Il s'est ter- miné sans résultat. DEUX AVIONS ALLEMANDS ABATTUS PAR LA R. A. F. Londres, 22 février. Le saisis. tue de l'air annonce qu'un avion en- nemi a été, attaqué et abattu par un avion de combat de /a Royal Air Force au large de la côte nord-est peu après midi aujourd'hui. Un peu plus tard un deumeme avion Heinkel, attaqué par les « Spitfires » de l'aviation de chasse, s'est écrasé au sol près de Saint- Abbsbead. Quatre hommes se trouvaient à bord de l'appareil. (Saint-Abbshead est un point de la côte nord-est du comté de Ber- wick, à dix milles environ de la frontière anglo-éeossaise). Conseil des Ministres Paris. 22 février. Le conseil des ministres s'est réuni ce matin à. l'Ely- Me, soes la présidence de M. Albert Lebnm, A l'issue de la délibération, mn a duré de 15 heures a la h. 15, M. Albert Sarraut, ministre de /intérieur, a donne lecture du communiqué que voici t « M. Edouard Daladier. pcésldevi f0 conseil, a fait un exposé d'ensemble de la sitmtion diplomatique et mili- taire. , » Le emseil a prooédé à l'examen de la situation économique et des divers !problèmes girelle souk.. ces derniers feront l'objet de prochaines décisions. , M. Guy La Chambre ministre de l'air, a semms a /a signature du pou- sident de la République un décret-loi aux terme,s duquel le général Vuille- min, commandant en chef des forces aériennes, est maintenu dans /es cadres actifs au dela de la limite d'âge, Pour une durée d'un an et placé dans la position s hors cadres a. Moutons h ce communiqué que l'en' Rasé de m. Daladier a été. à son habi- tude, extrèmement complet et détaillé sur Mus les points de la situatMn di- plomatique et militaire. En ce qui touche les problêmes sou- levés par In situation économique c'est celui du cotg de la vie nu' a mincira, luxent vctcnn l'attention du conseil Un trés prochain cons., de eabMd sern consacre à l'examen de ce pende. Par ailleurs, /es décisions annoncées Par le communiqué officiel comporte- ont certaines mesures destMées faire face anx citernes ohpptle leur brIS lourdes rêsurnnt de "état de guerre. Enfin. 11 est Vrairrnibisible qu'au cours des prochaines délibérations mi- nistérielles seront recherchés les mayens propres assurer une eeilleure coordination mire les divers sommes idem. mictivitè . économique du mu, Souvenirs de l'Ancienne Paris, 22 février. La situation demeure sans grand changement dam l'ensemble du front de Carélie. Les soviétiques continuent de lancer des engagements de prise de contact a l'ouest du lac Vuoksi Ils se montrent de plus en plus actifs dans la région de Kamara et sur les rives du lac de Muolasalvi. Fe dépit des affirmations con- trais. ,de Moscou, Helsinki main- tient que /es troupes finlandaises sont toujours maitre.. de 111e de 1Pavisto et que Mutes 1m attaques lancées dans ce secteur ont été re- poussees. Les troupes soviétiques poursui- vent leurs coups de -béliers dans le secteur de Tansale, mais sans suc- cès." Deux diyisions rusSes ont été littéralement saerifiées dans ce sec- teur.. cours des derniers. jours. - Au nord du lac Ladoga il se con- firme que Plusieuts reglmenis vieitques sont en tris mauvaise [posture. . Ils tombent « lambeau par lam- beau n, dit Pétat-maîos finlandSIA 'L'aviation russe -agit de Plus en plus m.sivement. Depuis plusieurs Mes le tordent. de finlandais est survole quotidien- nement par des vagues de 600 à bardent .00a divloinnsmviétiqu. qui bom- tirmtement positions militaires et villes ouyertes -- sur-1 tout les villes ouvertes. bardent spécialement les volts fur- ies finlandais, de leur côté, hem. ré.. ao LE COMMUNIQUE SOWETIQUE Moscou, 22 février. Communi- que de la circonscription militaire de Leningrad en date du 21 fé- vrier Aucun événement 'mportant à signaler. Entre le 19 rt e 21 février les troupes susses ont occupé SM. le froM, dans le territoire de la los- teresse de Koivisto, lii fortifica- tions ennemies, parrul lesquelles 37 forts bétonnés pour,. d'artillerie. L'aviation rasse a bombardé des troupes ennemies et des Objectifs militaires. Au cours de comtats Conférence à Copenhague DES TROIS ETATS SCANDINAVES CoPenhague 22 février. Le a Po- litiken e annonce que la conference à Cspenhague des ministres des affai- res étrangères du Danemark, de Suè- de et de Norvège, qui commencera samedi pr.hain et dursra quarante- huit heures; s'occupera des différents points suivants 1. Graves problèmes que la guerre a souleves pour les neutres du Nord; s. Terrible guerre maritime ; Guerre contre le peuple frère nordique ; Politique économique et toutes autres questions surgies depuis le commencement de la guerre. Les délibérations tendront à faire apparat/ce des lignes directrices com- munes d'action pour éviter on adou- cir les difficultés des Pays neutres. Us communiqué sur le résultat de la réunion paraîtra dimanche. Ce qui se passait sur dans la deuxième quinzaine de lévrier 1915 à 1918 Le 16 février 1918 Un sous-marin Le 23 février 1915 : Le e Desaix > allemand hombarde Drames. Iran une démonstration devant Akaba. Le 17 février 1917 1 Fin du trans- Le 24 février 1915 : La e Dague > saute sur une mine devant Antivari. Les 25 et 26 fe-vmer 1915 : Destruc- tion des forts de l'entrée des Darda- nettes. Le 27 février 1917 u Le torpilleur 317 > saute sur une niine devant Calais, Torpillage du e Uaulois 2. en port de la 17me division a Salonique; Tenedos et Mouches sont évacués. Le 18 février 1917 1 Découverte de- vant Carthagène d'une caisse mouil- lée sur une bouée et supportant des caisses de documents et explosifs Le AI fermer 19I5 t Début des opé- rations actives de l'escadre alliée contre le., forts desDardanelles, Le 28 févrim- 1015 : L'Anificterre Le 21 février 1917 911tentat-coni. déclare le blocus des côtes alleman. l'amiral Gregoroviteb, ministre de la des de l'Afrique du Sud, marine en Russie. EN FINLANDE Vives actions locales z Les Allemands était. Men ren- seignés depuis le temps de leur amitié étroite avec la Finlande. Ribbentrop aurait emporté dam ses bagages, quand ll vola vers Mosmu, tous les plans de la ligne Manner- heim qui étalent entre /es mains du quartier général allemand. z Informations contradictoires sur les accords russo-turcs Tondras, 22 février. Les concen- trations de troupes soviétiques dans le Caucase et la campagne menée «outre la Turquie et /Iran dans les journaux russes et à la radio, ont amené les Alliés à redoubler de vigi- lance blèse préparer 010151e &ante- alite dans le Proche et le Moyen Orient. Telle est la constatation que font ce matin plusieurs journaux anglais, qui émettent l'opinion que le gouver- nement de Moscou va peut-être ten- ter de compenser sa perte de presti- ge en Finlande Par une victoire ra- pide an sud du Caucase. Tous ers journaux pensent que Plran serait la premiers victime d'une poussée sovié- tique vers le sud et que ses puits de Pétrole ne doivent pas manquer de tenter Moscou ; mais il, n'écartent pas mn plus la possibilité d'une at- taque contre la Turquie. VENDREDI 23 PETRI:ER 1848 L'avis des Norvégiens : (.4 C'est trop fiord ! Du point de vise maintien du su. cal, la censure fait une lourde tau. te, car l'article autorisé émet d Pense contre des socialistes des critique assez vives qui ne sont PitS de co. ture d cimenter l'union nationale, 1 Du point de vue politique, la con.. sure semble vouloir Justifier une fois de plus l'accusation portée Par tous les interpellateurs de ven- dredi d'être an instrument de gouvernement. Une autre accusation d Mcohé- 'duce et d'IllogiSme, a été formulée par M. Xavier-Vallat comme par Léon Blum. Celle-ci aussi, la censure semble prendre plaisir d la justifier. Le Midi s n voulu reproduire avant-hier un article du s Point« taire e sur la Deo. étrangère. La censure/1-mile1 par suite, de' consignes reçues quelques instants avant notre publication, a du nous rppprip.p an passage, qui naturel- lement donnait une information importante. Ainsi cette grosse nouvelle a êta autorisée à Paris, et interdite en province, par les mêmes censeurs, ceux de Paris, bien que les foidnaux de Paris aient pu la fabm connaître en provinee aussi bien que dans la capitale. Cela S'était aéia prer.it Mais là récidive après Vinterpel- lotion ne démontre-t-elle pas que rien n'est changé et que rien ne Le 29 février 1916 1 Départ de Elle autorise apparement et nui, Le 22 février 1917 1 Un sous-marin Il torpille six vap.rs hollan- Da/ny (E. O.) de douze bà'timents qedlnent l'article qu'elle crot agrès changera ? dais partis de Falinonth sur garantie russ,,. transportant en France des troupes Léon HUDELLE. de sécurité donnée par le gouverne- ment allemand au gouvernement bol- I/ y a à lofe du mois à Sa/maque landais. 120.000 français et 120.000 ang/ms. aériens seize appareils ennemis ont été abattus. LES ALLEMANDS AURAIENT LIVRE AUX RUSSES LES SE- CRETS DE LA LIGNE MANNERrIEJM Londres, 22 février. -- L'envoyé sPécial du Daily Expsess en Fin- lande, qui vient d'arriver à Londres, érelll Voill là plus grand como du monde. Il mem.. 190 mMes de long, 22 de large e Les R.ses en savent déjàet cent contenir 75.000 hectolitres do blé. beaucoup se la ligne Mannerheim, M.'lesAlleuumsl.rts lu rue li,a,:rero:n.all dlz,unt ettu smoé. étmumercial car, d'après des mure. dignes de foi, les Allemands ont transmis ami Russes, à la vellle de la guerre, toutes les informations utiles qui étaient en leur possession au sujet de la fameuse ligne finnoise. /NQUIETANTES CAMPAGNES DE PRESSE La -presse et la radio de Moscou ont déclenche une violente campagne contre la Turquie et l'Iran. Un tor- rent d'insultes est déversé contre ces deux pays, qui sont accusés d'être les irtsirUnieniS du capitalisme et de s'être inclinés devant e me a de la Grande-Bretagne et de la France. L'Iran est particulièrement vise et I. insultes dirigées contre lui rappellent tellement celles qui sac. II t I Fld l'attaque sonegq e qt vraiment mie la liussie invisage ire nouvelle agressi.. LA TURQUIE PREND SES PRECAUTIONS . Le a Daily Hersld s. pense que cet état de choses et le renouveau de de pression nazie sur la Roumanie ont incité la Turquie à prendre des +mesures de défense exceptionnelles. 11 801 ajoute e Les états-majors alliés ne laissent rien au hasard et suivent avec vigi- lance la nervosité dans le Proche- Chien I. CONTRADICTIONS Cependant, ces visées soviétiques en Turquie semblent cire en contra- diction avec une information du e Ti- mes a, qui, ce matin, se fait l'écho d'un bruit se/on lequel la Russie se- rait prête à reprendre les négocia- tions avec les Turcs a 1,e bruit court, ici, écrit /e cor- resmondant de ce journal à Stamhoul, que la Bussie a suggéré au gouverne- ment turc que les conversations qat Mrent interrompues lors de la visite à Moscou, en selobre dernier, de M. « étrangères de Turquie, devraient être reprises. » Les milieux officiels lunes ne con- firment ni ne dementent cette rameur Si la nouvelle est exacte, il est per- mis de, supposer que le gouvernement Loeveietzeo àccetbéelpe.plinine tdade con traité de non-agression ou ce: opération dans la région de la mer Noire qui corail en conflit avec ses engagements vis.à-vis de la Grande- Bretagne et de la France ou avec la t' d ertr relisant Jaurès PAS DE SOCIETE SOCIALISTE SANS LA LIBERTE a Dans l'ordre social nouveau, la liberté aura place en lui, ou plutôt la liberté en sera l'âme même et l'esprit de feu. Si noux allons vers l'égalité et in justice, ce n'eut pas aux dépens de la liberté; nous ne voulons pas enfermer les hommes dans des compartiments étroits, nu- mérotés par la force publiique. Nous ne sommes pas séduits par un idéel de réglementation tracassière et étouffante. Nous aussi nous avons une ârne libre; nous aussi nous sentons en nous l'impoli.ee de toute contrainte extérieure. Si dans l'ordre social rêvé par nous nous ne r.contrions pas d'emblée la li- berté, /a pleine, la vivante liberté, nous regretterions la société actuel- le, malgré ses désordres, ses iniqui- tés et ses oppressions. « La justice est pour nous insé- parable de la liberté. v Man SAURES, Une eNco'EnS sTignC eH vA iNeiGllEe de tahefeileo MN semaines, impose aux censeurs l'in- terdiction de tout article relatif d d'éventuels remaniements ministé- riels. Ne cherchez pas le rapport One peut avoir avec les secrets de la défense nationale ou avec le main- tien du moral, le problème dyne modification du cabinet opérée sans crise politique, et de par la volonté des ministres eux-mêmes. La consigne est telle voila tout. J'ai bien cherché, avec des ruses de Peau-Rouge, d tromper la ange des censeurs toulousains. Je n'ai pu réussir. Je ne me plains pas. Mais s'il est interdit d'examiner le problème d'un remaniement mi- nistériel dans esprit f.,vorable mer au remaniement, ne devrat-il pas être interdit aussi de traiter ce même problème dans un esprit op- posé. c'est -d- dire favorable au « statu quo n ? cependant, o l'Ere Nouvelle z consacrait tont son éditorial d'a- vant-hier d ce problème pour sou- tenir que l'entrée de quelques so- cialistes dans un cabinet élargi lui ss oe.mbol pis ii:roon.riésirable. Je n'adresse aucun grief Pédi- torlaliste de s l'Ere Nouvelle soeur J'estime cependant que i.e menet_ ro ne devait pas autoriser sa publi- cation puisque cette même consiste nous refusait le droit d'exposer la thèse contraire. ABONNEMENTS Rédaction et Admtnistration t 39. nie Rognelalne, TOULOUSE Tit. 200.93 C. P. Postaux 5.271 8 ma .11 fr.. 8 mois 80 frd 1 en 135 BUREAU A PARIS t 5, rue StAugustin (2) Téléph. Richelieu 69.00 (3 lignes groupfzes md en mem) Commentaires Den Mie Ilerni Mures Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Zu Comité secretà la Conférence socialiste

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Je ne veux pas chercher un rap- sés par la guerre; ce qui tient à cepr.hement entre les séances mes- que l'objectif de cette discu.ionque simultanées du Comité Secret fut .trèmement vaste, beaucoupde la Chambre des députés, et de plus, qu'aux nombreux motifs poli-Conseil National du Parti Socialis- tiques de mécontentement que peutte, avoir aujourd'hui notre Parti par

Les deux Assemblées n'ont évi- suite de la continence à laquelle ildemment pas les mêmes méthodes .t contraint depuis cinq mois,de discussion, ni les mêmes moyens Plusieurs de nos orateurs ontde documentation, ni la même en. souligné avec force, les difficultésportance nationale ou mternationa- économiques et financières qui vontle, je le reconnais bien volontiers. imposer des restrictions melneduel-

Cependant, il y a plus qu'une sim- les et collectives pleines de danger,ple coïncidence dans la simult.ét si on ne les aborde pas méthodique-té de ces réunions, voulus toutes ment, franchement avec le . senti-deux par notre Parti, à fin d'une ment qu'Ml. soM inévitables e LE BANQUE]' QUOTID/EM REGIONAUX AU RESTAURANT

DROUANT. gauche à droite + Sir Ronald CAMRBF_LL. ambas.deur d'Ar,période hivernale où la France vit quM faut de toute nécessité m'en stem. à Paris: M. G. SOUSTELLE, Président des quotidlem8 résionaturdans l'attente d'évènements graves accomoder puisqu'on ne peut faire ...st mn discours t M. SERRUYS. Rein Commimaire l'Economis Netizmik.auxquels elle se doit de savoir si autrement. C'est ainsi par exemple N. 53.924.elle est prête, matériellement et que les problèmes du ravitaillementmoralement de la hausse des prix, du circuit

C'.t qu'en effet, depuis cinq mois monétaire, de l'inflation, ont étéle Pays n'a guère connu que ce que évoqués par Spinasse avec beau.le Gouvernement a voulu qu'il con- coup de vigueur et de penetratzon.massé. Or la vente, qui vient d'en En dépit de l'optimisme officiel, ilhaut n'est pas nécessairement la reste beaucoup à faire en ce do-vérité, surtout quand la Censure moine,s'en mêle. De même, bien que sommaire eu'

lia doute allait, s'aggravant de cure, une étude des bots de guerresemaine en semaine, dont il était et des buts de paix a été commencéed'ailleurs difficile de préciser Fort à cette même réunion. Ce n'.t cer-gine, mais qui trouvait des motifS tainement pas affaiblir le moral duà s accrtre, nombreux et varies pays unanime d.s sa demiouen une foule de mécontentements1 de ne pas céder à l'hitlérisime etsubalternes, où d'inforraationu plus au bolchevisbe. que de rechemou moins inquiétantes colportées de cher les moyens de rendre la âme,bouche à oreille. re la moins longue et la moins

D était de l'intérêt général d» meurtrière possible, et de jeter, I.Pair, de rechercher si les craintes bases solides d'une paix européen.étaient justifiées ou non. Pour ce- ne plus stable pour celle qui futIn il fallait ouvrir une enquête com- si souvent troublée entre 1918 etpiète et rapide auprès de tous ceux 1935.qui en haut on en bas, devaient ou ".pouvaient apporter des éléments préels irinformation. D. esprits chagrins verront ds.

Une décision suivrait prise en ces initiatives du parti socialiste,toute connaissaneo dé cause, en de- une agitation intempestive. Certainshors de toute considération autre iront sans doute jusqu'à prétendreque l'intérêt collectif du Peuple et qu'il rompt ainsi la trève politiquede la Nation. pour des fum purement partisanes.

J'aurais beaucoup à, dire sur ceC'est cette enquête dont le Parti sujet, dans le sens même où je suis

socialiste a pris l'initiative au Par- intervenu à notre Conseil National.1emeM et darm ses propres Fédéra- Mais je Suis sûr que la Censure netions. laismrait rien passer de . que j'é-

Sur l'enquête menée au Parle- crirais et je suis bien obligé de mement, c'est-à-dire sur les débats du taire.Comité Secret, je ne dirai naturel- Je dirai seulement que rien nelement rien, sinon que les rensel- serait plus dangereux que d'ubac-gnements qui nous ont été diumes donner ce pays au mirage dange-les chiffres qui nous ont été four- reux d'une unanimité dont tout es-nis et qui sont facilement contrée prit critique serait banni, et qui netables, témoignent d'un effort puis- serait qu'une forme de la passivité.sont continu vers une production Le peuple qui se bat, le peuplequi sera bientôt formidable d'un ma- qui souffre, pour défendre ents'au-tériel de guerre de toute première ires biens, sa liberté, a le droit d'exivaleur.

Il n'y a qu'à persévérer dans cot-te voie, et c'est là une des raisonsimportant., sinon même la raisonlupins importante de l'unanimité del'ordre du jour de confiance qui aclos le débat.

Par contre, pourquoi ne pas ledire, la longue discussion du Con-seil National n'a pas laissé une im-pression au.i nette d'une solutioncomplète de to. les problèmes po- Député de Castelsarr.in

per de ceux qui parlent et agissenten son nom, et de notre Parti no-tamment, qui est le plus grand par.ti populaire, une vigilance sans dé-faillance, et une franchise à. laquel-le il ne doit y avoir de limite quedans la mesure où elle serait con-traire aux intérêts dont elle a la.uvegarde.

Marcel GUERRET,

Sur le front rhénan

Quelque activité terrestreet aérienne

de a été dispersée en laissant unpeu de matériel sur le terrain.

Q. Une deuxième a été repoussée enlaissant entre nos mains deux sous-

Jeudi 22 février (matin) officiers' Un aspirant et un feld-webel.

COM1111111111lle dll 11

UN COUP DE MAIN ENNEMIA ETE REPOUSSE A L'EST DE Plus à l'est, dans la région de laLA MOSELLE. Blies, on a surtout assisté à des

UNE DE NOS PATROUILLES tira °riants d'artillerie' Piand'aie..A FAIT PRISONNIERS DEUX ment des tirs de contre-batterie.SOUS-OFFICIERS ALLEMANDS.

Enfin les tirs entre casemat. sur

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Sur terreSur notre front, la journée d'hier

usez ensoleillée, a commandé uneassez vive rerudescence de l'activitéterrestre et aérienne.

A l'est de la Moselle, un coup demain a été tenté par les Allemandssur un de eus postes installé dans:ro, ou quatre maisons à la lisièred'un petit village. Les Allemandsont essaye de s'emparer de ce posternsis iLs ont été repoussés sans dif-ficulté. Cependant, ils ont rétmsi,e est retirant, à mettre le feu, àcoups de grenades à l'une des Mai-...

Plus à l'est, c'est-Adire dans laréglàn à l'ouest de la Sarre, signa-lons deux histoires de patronal.

Une première patrouille allers.,

les bords du Rhin ont été asseznourris.

LES TROUPES BRITANNIQUESFORTIFIENT LEURS SECTEURS

Londres, 22 février. Dans unarticle détaillé sur les travaux dé-fensifs effectués par les troupesbritanniques en France, le corres-pondant du « Times o auprès ducorps expéditionnaire déclare no-tamment

a La ligne devient tous les jcumplus forte. Pendant des mois desofficiers des quartiers généraux, debataillon, de brigade et de divis:onont examiné soigneusement la to-pographie de la région et étudiétoutes 1m particularités du paysagepour déterminer l'usage qui, au be-soin, pourrait en être fait.

n Le travail ne cesse jamais. Par-Mut dans les lignes avancées onpeut voir de nouveaux réduitsratinent de cages et dont les tente.

SOCIALISTE

sautes barres de fer disparaissentlentement sous la couche de ciment.Le squelette que le corps expédi-tionnaire avait hérité des Françaisest devenu maintenant un corps, uncorps dont le poids augmente rapi-dement. z

Dans l'airDans le domaine aérien, les évé-

nements de la journée d'hier se ré-sument comme suit

Les Britanniques vol fait denombreuses reconnaissances au-des-sus de /a mer du Nord jusqu'à Bomahuris et Heligoland. Au cours deces reconnaissances ils se sont li-vrés à l'attaque de plusieurs torpil-leurs ennemis.

Les Allemands de leur côté, onttrès activement survolé la mer duNord où leurs avioncà ont attaquéqueignes, bâtiments de commerce etdes dragueurs de mines.

Les avions allemands ont, d'au-tre part, fait quatre reconnaissan-ces profondes au-dessus des régionsest et nord-est de notre territoire.

Au-dessus des lignes, multiplenreconnaissances réciproques avecsorties parallèles d'escadrilles dechasse. Un seul combat a été livréau-dessus de n. lignes. Il s'est ter-miné sans résultat.

DEUX AVIONS ALLEMANDSABATTUS PAR LA R. A. F.Londres, 22 février. Le saisis.

tue de l'air annonce qu'un avion en-nemi a été, attaqué et abattu parun avion de combat de /a Royal AirForce au large de la côte nord-estpeu après midi aujourd'hui.

Un peu plus tard un deumemeavion Heinkel, attaqué par les« Spitfires » de l'aviation de chasse,s'est écrasé au sol près de Saint-Abbsbead.

Quatre hommes se trouvaient àbord de l'appareil.

(Saint-Abbshead est un point dela côte nord-est du comté de Ber-wick, à dix milles environ de lafrontière anglo-éeossaise).

Conseildes Ministres

Paris. 22 février. Le conseil desministres s'est réuni ce matin à. l'Ely-Me, soes la présidence de M. AlbertLebnm,

A l'issue de la délibération, mn aduré de 15 heures a la h. 15, M. AlbertSarraut, ministre de /intérieur, a donnelecture du communiqué que voici t

« M. Edouard Daladier. pcésldevi f0conseil, a fait un exposé d'ensemblede la sitmtion diplomatique et mili-taire.

, » Le emseil a prooédé à l'examen dela situation économique et des divers

!problèmes girelle souk.. ces derniersferont l'objet de prochaines décisions.

, M. Guy La Chambre ministre del'air, a semms a /a signature du pou-sident de la République un décret-loiaux terme,s duquel le général Vuille-min, commandant en chef des forcesaériennes, est maintenu dans /es cadresactifs au dela de la limite d'âge, Pourune durée d'un an et placé dans laposition s hors cadres a.

Moutons h ce communiqué que l'en'Rasé de m. Daladier a été. à son habi-tude, extrèmement complet et détaillésur Mus les points de la situatMn di-plomatique et militaire.

En ce qui touche les problêmes sou-levés par In situation économique c'estcelui du cotg de la vie nu' a mincira,luxent vctcnn l'attention du conseil

Un trés prochain cons., de eabMdsern consacre à l'examen de ce pende.

Par ailleurs, /es décisions annoncéesPar le communiqué officiel comporte-ont certaines mesures destMées

faire face anx citernes ohpptle leur brISlourdes rêsurnnt de "état de guerre.

Enfin. 11 est Vrairrnibisible qu'aucours des prochaines délibérations mi-nistérielles seront recherchés lesmayens propres assurer une eeilleurecoordination mire les divers sommes

idem. mictivitè . économiquedu mu,

Souvenirs de l'Ancienne

Paris, 22 février. La situationdemeure sans grand changementdam l'ensemble du front de Carélie.

Les soviétiques continuent delancer des engagements de prise decontact a l'ouest du lac Vuoksi

Ils se montrent de plus en plusactifs dans la région de Kamara etsur les rives du lac de Muolasalvi.

Fe dépit des affirmations con-trais. ,de Moscou, Helsinki main-tient que /es troupes finlandaisessont toujours maitre.. de 111e de

1Pavistoet que Mutes 1m attaques

lancées dans ce secteur ont été re-poussees.

Les troupes soviétiques poursui-vent leurs coups de -béliers dans lesecteur de Tansale, mais sans suc-cès." Deux diyisions rusSes ont étélittéralement saerifiées dans ce sec-teur.. cours des derniers. jours.

-

Au nord du lac Ladoga il se con-firme que Plusieuts reglmenisvieitques sont en tris mauvaise

[posture. .

Ils tombent « lambeau par lam-beau n, dit Pétat-maîos finlandSIA

'L'aviation russe -agit de Plus enplus m.sivement.

Depuis plusieurs Mes le tordent.de finlandais est survole quotidien-nement par des vagues de 600 à

bardent.00a divloinnsmviétiqu. qui bom-

tirmtement positionsmilitaires et villes ouyertes -- sur-1tout les villes ouvertes.

bardent spécialement les volts fur-ies finlandais, de leur côté, hem.

ré..ao

LE COMMUNIQUE SOWETIQUE

Moscou, 22 février. Communi-que de la circonscription militairede Leningrad en date du 21 fé-vrier

Aucun événement 'mportant àsignaler.

Entre le 19 rt e 21 février lestroupes susses ont occupé SM. lefroM, dans le territoire de la los-teresse de Koivisto, lii fortifica-tions ennemies, parrul lesquelles 37forts bétonnés pour,. d'artillerie.

L'aviation rasse a bombardé destroupes ennemies et des Objectifsmilitaires. Au cours de comtats

Conférenceà CopenhagueDES TROIS ETATS SCANDINAVES

CoPenhague 22 février. Le a Po-litiken e annonce que la conferenceà Cspenhague des ministres des affai-res étrangères du Danemark, de Suè-de et de Norvège, qui commencerasamedi pr.hain et dursra quarante-huit heures; s'occupera des différentspoints suivants

1. Graves problèmes que la guerrea souleves pour les neutres du Nord;

s. Terrible guerre maritime ;Guerre contre le peuple frère

nordique ;Politique économique et toutes

autres questions surgies depuis lecommencement de la guerre.

Les délibérations tendront à faireapparat/ce des lignes directrices com-munes d'action pour éviter on adou-cir les difficultés des Pays neutres.

Us communiqué sur le résultat dela réunion paraîtra dimanche.

Ce qui se passait surdans la deuxième quinzaine

de lévrier 1915 à 1918

Le 16 février 1918 Un sous-marin Le 23 février 1915 : Le e Desaix >allemand hombarde Drames. Iran une démonstration devant Akaba.

Le 17 février 1917 1 Fin du trans- Le 24 février 1915 : La e Dague >saute sur une mine devant Antivari.

Les 25 et 26 fe-vmer 1915 : Destruc-tion des forts de l'entrée des Darda-nettes.

Le 27 février 1917 u Le torpilleur317 > saute sur une niine devant

Calais, Torpillage du e Uaulois 2. en

port de la 17me division a Salonique;Tenedos et Mouches sont évacués.

Le 18 février 1917 1 Découverte de-vant Carthagène d'une caisse mouil-lée sur une bouée et supportant descaisses de documents et explosifs

Le AI fermer 19I5 t Début des opé-rations actives de l'escadre alliéecontre le., forts desDardanelles, Le 28 févrim- 1015 : L'AnificterreLe 21 février 1917 911tentat-coni. déclare le blocus des côtes alleman.l'amiral Gregoroviteb, ministre de la des de l'Afrique du Sud,marine en Russie.

EN FINLANDEVives actions locales

z Les Allemands était. Men ren-seignés depuis le temps de leuramitié étroite avec la Finlande.Ribbentrop aurait emporté dam sesbagages, quand ll vola vers Mosmu,tous les plans de la ligne Manner-heim qui étalent entre /es mains duquartier général allemand. z

Informationscontradictoires

sur les accords russo-turcs

Tondras, 22 février. Les concen-trations de troupes soviétiques dansle Caucase et la campagne menée«outre la Turquie et /Iran dans lesjournaux russes et à la radio, ontamené les Alliés à redoubler de vigi-lance blèse préparer 010151e &ante-alite dans le Proche et le MoyenOrient.

Telle est la constatation que fontce matin plusieurs journaux anglais,qui émettent l'opinion que le gouver-nement de Moscou va peut-être ten-ter de compenser sa perte de presti-ge en Finlande Par une victoire ra-pide an sud du Caucase. Tous ersjournaux pensent que Plran serait lapremiers victime d'une poussée sovié-tique vers le sud et que ses puits dePétrole ne doivent pas manquer detenter Moscou ; mais il, n'écartentpas mn plus la possibilité d'une at-taque contre la Turquie.

VENDREDI 23 PETRI:ER 1848

L'avis des Norvégiens :

(.4 C'est trop fiord !

Du point de vise maintien du su.cal, la censure fait une lourde tau.te, car l'article autorisé émet d Pensecontre des socialistes des critiqueassez vives qui ne sont PitS de co.ture d cimenter l'union nationale, 1

Du point de vue politique, la con..sure semble vouloir Justifier unefois de plus l'accusation portéePar tous les interpellateurs de ven-dredi d'être an instrument degouvernement.

Une autre accusation d Mcohé-'duce et d'IllogiSme, a été formuléepar M. Xavier-Vallat comme parLéon Blum.

Celle-ci aussi, la censure sembleprendre plaisir d la justifier.

Le Midi s n voulu reproduireavant-hier un article du s Point«taire e sur la Deo. étrangère.

La censure/1-mile1 par suite, de'consignes reçues quelques instantsavant notre publication, a du nousrppprip.p an passage, qui naturel-lement donnait une informationimportante.

Ainsi cette grosse nouvelle a êtaautorisée à Paris, et interdite enprovince, par les mêmes censeurs,ceux de Paris, bien que les foidnauxde Paris aient pu la fabm connaîtreen provinee aussi bien que dans lacapitale.

Cela S'était aéia prer.it

Mais là récidive après Vinterpel-lotion ne démontre-t-elle pas querien n'est changé et que rien neLe 29 février 1916 1 Départ de Elle autorise apparement et nui,Le 22 février 1917 1 Un sous-marin

Il torpille six vap.rs hollan- Da/ny (E. O.) de douze bà'timents qedlnent l'article qu'elle crot agrès changera ?dais partis de Falinonth sur garantie russ,,.transportant en France des troupes

Léon HUDELLE.de sécurité donnée par le gouverne-ment allemand au gouvernement bol- I/ y a à lofe du mois à Sa/maquelandais. 120.000 français et 120.000 ang/ms.

aériens seize appareils ennemis ontété abattus.

LES ALLEMANDS AURAIENTLIVRE AUX RUSSES LES SE-

CRETS DE LA LIGNEMANNERrIEJM

Londres, 22 février. -- L'envoyésPécial du Daily Expsess en Fin-lande, qui vient d'arriver à Londres,érelll Voill là plus grand como du monde. Il mem.. 190 mMes de long, 22 de largee Les R.ses en savent déjàet cent contenir 75.000 hectolitres do blé.beaucoup se la ligne Mannerheim, M.'lesAlleuumsl.rts lu rue li,a,:rero:n.all dlz,unt ettu smoé. étmumercialcar, d'après des mure. dignes defoi, les Allemands ont transmis amiRusses, à la vellle de la guerre,toutes les informations utiles quiétaient en leur possession au sujetde la fameuse ligne finnoise.

/NQUIETANTES CAMPAGNESDE PRESSE

La -presse et la radio de Moscou ontdéclenche une violente campagnecontre la Turquie et l'Iran. Un tor-rent d'insultes est déversé contre cesdeux pays, qui sont accusés d'être lesirtsirUnieniS du capitalisme et des'être inclinés devant eme a de la Grande-Bretagne et de laFrance. L'Iran est particulièrementvise et I. insultes dirigées contre luirappellent tellement celles qui sac.

II t I Fldl'attaque sonegq e qtvraiment mie la liussie invisage irenouvelle agressi..

LA TURQUIE PREND SESPRECAUTIONS

. Le a Daily Hersld s. pense que cetétat de choses et le renouveau dede pression nazie sur la Roumanieont incité la Turquie à prendre des+mesures de défense exceptionnelles.11 801 ajoute

e Les états-majors alliés ne laissentrien au hasard et suivent avec vigi-lance la nervosité dans le Proche-Chien I.

CONTRADICTIONS

Cependant, ces visées soviétiquesen Turquie semblent cire en contra-diction avec une information du e Ti-mes a, qui, ce matin, se fait l'échod'un bruit se/on lequel la Russie se-rait prête à reprendre les négocia-tions avec les Turcs

a 1,e bruit court, ici, écrit /e cor-resmondant de ce journal à Stamhoul,que la Bussie a suggéré au gouverne-ment turc que les conversations qatMrent interrompues lors de la visiteà Moscou, en selobre dernier, de M.

«

étrangères de Turquie, devraient êtrereprises. »

Les milieux officiels lunes ne con-firment ni ne dementent cette rameurSi la nouvelle est exacte, il est per-mis de, supposer que le gouvernementLoeveietzeo

àccetbéelpe.plininetdade

con traité de non-agression ou ce:opération dans la région de la merNoire qui corail en conflit avec sesengagements vis.à-vis de la Grande-Bretagne et de la France ou avec lat' d ertr

relisant JaurèsPAS DE SOCIETE SOCIALISTESANS LA LIBERTE

a Dans l'ordre social nouveau, laliberté aura place en lui, ou plutôtla liberté en sera l'âme même etl'esprit de feu. Si noux allons versl'égalité et in justice, ce n'eut pasaux dépens de la liberté; nous nevoulons pas enfermer les hommesdans des compartiments étroits, nu-mérotés par la force publiique. Nousne sommes pas séduits par un idéelde réglementation tracassière etétouffante. Nous aussi nous avonsune ârne libre; nous aussi noussentons en nous l'impoli.ee detoute contrainte extérieure. Si dansl'ordre social rêvé par nous nousne r.contrions pas d'emblée la li-berté, /a pleine, la vivante liberté,nous regretterions la société actuel-le, malgré ses désordres, ses iniqui-tés et ses oppressions.

« La justice est pour nous insé-parable de la liberté. v

Man SAURES,

UneeNco'EnS sTignC eH vA iNeiGllEe de tahefeileoMNsemaines, impose aux censeurs l'in-terdiction de tout article relatif dd'éventuels remaniements ministé-riels.

Ne cherchez pas le rapport Onepeut avoir avec les secrets de ladéfense nationale ou avec le main-tien du moral, le problème dynemodification du cabinet opérée sanscrise politique, et de par la volontédes ministres eux-mêmes.

La consigne est telle voila tout.J'ai bien cherché, avec des ruses

de Peau-Rouge, d tromper laange des censeurs toulousains.

Je n'ai pu réussir. Je ne me plainspas.

Mais s'il est interdit d'examinerle problème d'un remaniement mi-nistériel dans esprit f.,vorable

mer au remaniement, ne devrat-il pasêtre interdit aussi de traiter cemême problème dans un esprit op-posé. c'est -d- dire favorable au« statu quo n ?

cependant, o l'Ere Nouvelle zconsacrait tont son éditorial d'a-vant-hier d ce problème pour sou-tenir que l'entrée de quelques so-cialistes dans un cabinet élargi luiss oe.mbol pis ii:roon.riésirable.

Je n'adresse aucun grief Pédi-torlaliste de s l'Ere Nouvelle soeur

J'estime cependant que i.e menet_ro ne devait pas autoriser sa publi-cation puisque cette même consistenous refusait le droit d'exposer lathèse contraire.

ABONNEMENTS Rédaction et Admtnistration t 39. nie Rognelalne, TOULOUSE Tit. 200.93 C. P. Postaux 5.2718 ma .11 fr.. 8 mois 80 frd 1 en 135 BUREAU A PARIS t 5, rue StAugustin (2) Téléph. Richelieu 69.00 (3 lignes groupfzes md en mem)

CommentairesDen Mie Ilerni Mures

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Hitler fan 11118 0011311011

111111811181118111

firlillable

' Le général Serrigny publie dans lara Revue des Deux Moades a, sous letitre t e Les hésitatiom de l'Allema-gne en guerre r, une importante étu-de, dont voici la conclusion r

Ea réalité, la guerre que les Alle-mands mènent actuellement en leverde rideau et qui s'applique aux neu-tres plus qu'à tous autres constitueune Opération de ravitaillement pré.laide. La Suède seule peut leur pro-curer du fer et /a Roumanie du pé-trole ; aussi le Führer brandit-il al-ternativement son tonnerre dans cesdeux directions. Il ne passerait auxactes contre eux qui s'il avait la cer-titude de pouvoir occuper effective-ment les mines avant l'arrivée desAlliés. Sinin, il serait encore une foisobligé de livrer bataille sans être as-oré de ses ravitaillements et dansdes conditions hies plus délicatesqu'en Belgique on en Hollande, puis-go ce nouveau théâtre d'opérationsserait fol éloigné du premier. Hitlera toujours craint, en effet, de com-battre sur plusieurs fronts. La dispo-sition des forces atteindrait ici sonmaximum t elle l'obligerait à d'Onces-eants trosports de troupes que la si-tuation précaire des autostrades etdes chemins de fer ne faciliterait paselle exigerait une énorme consomma-tion de projectiles et de matériel. Lesnouvelles opérations se dérenlessientrelia tt tshostiles, où l'animosité des popda-fions créerait probablement bien desobutootru.

En bon tacticien est relui qui saitfaire obstacle aux volontés de rad-versaire et lui imposer les siennes.Puisque l'Aileron^que cherche à fairetrain. /a guerre en longueur, les al-les doivent s efforcer de la raccour-cir ; puisque pAfiemagine u or, juté_ Notre intérêt est bien net Nom de-rd capital à mettre la main sur /es vous assurer gintémité de la Rodas-richesses nordiques et roumaine, Ils aie comme de la Scandinavie, slotdoivent tout faire pour l'en empêcho qu'il arrive et contre qui que ce soit.

L'heure des décisions approche pourles Alliés. SI Hitler est vaincu dans salutte pour le pétrole et le fer, quefera-t-il 7 On peut se demander si,novent pas réussi à obtenir par lamenace les matières premières néces-saires à la gnerre, ervignent de te-rrifier dans des combats ruineux ceseffectifs difficles à rernplacer, il nenenserait pas à s'enfermer derrièrem frontière Siegfried dans une dé-fensive absolue. Son autarcie lui per-mettrait de vivre mal pendant plu-sieurs années, mais enfin de virve ;

il conserverait l'espoir que ses adver-saires, lassés de la lutte, se prête-raient un jour à une paix htanche.aie serait l'ultime chapitre de la guetce des nerfs.

La discussion générale ayot étéclone et le passage à la disemsiondes articles voté le 8 février, M.Ferdinand Morin, qui préside,en discussion l'article premier qui°dicte le principe de la oPPressionde la patente.

M. Becquart propose de profiterfie l'occasion pour supprimer a.si/es octrois,

M. Pau/ REYNAUD, ministre desfinances. déjà assez de dif-ficultés avec /a oppression de inpatente ! (Sourires).

M. Becqueot retire son amende-ment.

L'article premier est adopté. Sont,de ce fait, supprimés I dans lesan-Criais départsmots, la patente,'et en Alsase et Lorraine, l'impôtSur les professions et /a taxe sur les-magasins.

Ti s'agit maintenot de déternd-ter les ressources de remplacement.

LE TAUXDE LA TAXE D'ARMEMENTPuis on arrive à rariiele délicat:

'l'article 3 qui porte de 1 à 2 % letaux de la taxe d'armement étant'entendu que le gouvernement dépo-'sera avant le 17' janvier 1941, unprojet de loi réorganisant les finan-ces locales.

M. Pébellier pense que tout ré-ehafaudage de M. Paul Reynaudrepose sur la fixité des pelai Or, leprix de la vie augmente et la axe-flore de M. Paul Reynaud ne peutque l'aggraver etere. Des mesurrud'urgence s'imposent pour enrayercette hausse.

M. Paul REYNAUD. Voeuavez miaou de vous préoccuper dela hauoe des prix, mais la taxed'armement instituée e navril n'a euaucune répercussion sur les prix. a

M. Bonnevay propose de rédigerroutine suit l'octroie 3

En see de permettre à l'Etat d'in-demniser les collectivités locales deIn perte de recettes budgétaires queleur cos° l'évonation et rocrols-sement de loues dépenses dû aux né-cessités de la Défense nationale, il

ter. 11 fait une terre nationaleiii saguerre. S'il al la Finlande, a rés

.,fla Pologne, s,

:pour reconsti uer

l'aoien empire des Tsars ; s'il pré-tend poursuivre ensuite l'avance deses armées vers le Nord scandinave,c'est pour attetndre l'océan Atlanti-que et Y posséder un grand port. S'ilrevienne ena 1s même opération dansle Sad, c'est peur reprendre, avm lalimsarable, /a torche vers Costan-linople et ouvrir ainsi à son profitOne deuxième fenêtre sur /a mer li-bre.

Puisque les deux compères neeontPus plus unis, il semblerait logiquec u priori e pour les Alliés d'éviterde les souder. Nous devrions douemaintenir une ffifferenou de traite-ment entre leu deux adversaires etménager celui-ci pour mieux abattreceini-tà. Pareille conception étaitpeut-etre exacte lorsqu'on ignoraitencore la valeur da l'armée russe.Nos sommes heureusement rensei-gnés à cet égard aujourd'hui grocela valeureuse Fin/onde. La Russie estun monstre avec une grosse tête etun tout petit cor. ; Eellsernbie nepourrsit prendre une va/eur indus-trielle et militaire que gré. à unénorme afflux d'officiers, de foc-gtieoirinairsIieAs neetruagride eteciihonuir eines uèvhioann;,

n'est pas en mesure de les lui four-nir. La coalition ne saurait donc avoirdeS craintes bien sérieuses à cetégard. Toutefois, silo Russie s'empa-rait des mines roumaines et nordi-ques, il y aurait de grandes chancesqu'elle mit ces richesses à la disposi-tion de ses amis temPorgires limarleur permettre d'intensifier leurs ope-rations. N'oublions Pas aplus grand intérêt à /a emdinuationà l'aggravation même de la guerre ac-tuelle, de tacon a creer dans le mon-de /e terrain d'ensemencement favo-rable S la culture du bacille commu-niste La Russie et l'Allemagne doi-vent donc être abattues ensembleelles représentent les deux force deLésriaegreeallier dis isiisimade il; nt uynt

ni tranquillitéVernatiemaie, ni paixsoride possible.

Il ne s'agit pas seulement de mainte-nir le moral des neutres en questionpar nue vague promesse d'appui pourte jour où ils seraient attaqués. Pourque cet aplani ait sa valeur as pointde vue de la guerre totale, il doitCire .nstituè à l'avance.

Ce n'est pas brique les puits depétrole roumains seront entre lesmoine du Reich qu'il faudra se bat-tre, c'est avant I La frontière rou-maine .nstitue, eromme je l'ai écritbien avant la guerre, une des lignesMaginot de la liberté.

Du côté de la Suède, le péril alle-mand est évidemment moins direct.Une action militaire, un if ébarque-enent y sont peu à craindre de ripart du Reich. Il y et loin d'ailleursvics °ôtes sud de la Scandinavie â la Les Alliés, comme les neutres, &I-ndria dey mines - Per contre, l'in- vent comprendre ardood'hui que leconnue russe prend toute sa valeur rétablissement de la vie internationa-dans ce domaine. Il y a cinq mais, le est fonction de leur virilité. TousMiller et Staline étaient tombés duo- cenx dans /e monde qui ont le désirmord pour dépecer la Pologre, mais, de retrouver la poix, la vraie paix,depuis lors, le dentier s'est évadé de doivent se rendre compte qu'elle de.lu tutelle de son partenee. Sa poli- mande tm effort unanime. Le jourOro trouve ses fins en elle-même. prochain où l'équilibre des forces se-'Peu lai imiceetemt les Puissances ne- ra rompu en notre faveur, l'offensiveridentales ; il ne prétend nullement devra succéder S /a défensive. Lales attaquer. Les richesses minières guerre sera d'autot plus courte quene l'intéressent pas davantage ; il la meute appelée 5 ferrer les deuxru pussede dent beaucoup trop ehez Iodes sauvages sera phis nombreuselui et ne saurait d'ailleurs les exploi- et pins

La Chambre supprime la patentelllll Moins Illibutiono

sera perçu un décime en acereioe.ment de la taxe d'armement crééepar le décret du 21 avril 1939 eneompenotion des recettes prove-nant de la contribution de la paten-te supprimée par l'article premierdu présent projet de lot

Les ConseiLs générer. et les Con-seils municipeox sont autorisés àétablir des centim. additionnels

A la taxe d'armement sur lesaffairnu qui seront réalisérs surleur territoire

A l'impôt cédulaire sur lesbenéfiem ind.triels et commer-ciaux, ainsi qu'à l'impôt cédulairesur les bénéfices des professionsnon coonerriales dont sont passi-bles les contribuables assujettis àa patente.

M. Dommange, rapporteur de laCommission du commerce, derme-de que celle-ci soit saisie ainsi quela Commission d'agriculture ; laCommission des finances accepte.

Le renvoi à la Commission estordonné sa. opposition.

UNE JOURNEE NATIONALED'A/DE A LA FINLANDE

Puis M. Louis Nachon, député duJura, a déposé une proposition derésolution tendot à inviter le gou-vernement à instituer d'urgenceune e journée nationale d'aide à laFinlande

M. Champetier de Ribes, sous-oerétaire d'Etat, dit qu'effective-ment la France continue à apporterune aide efficace à la Finlande.

e Le gouvernement appuie bienvolontiers la propoition qui témoi-gnera la fraternelle sympathie dupeuple de France au peuple fin-nois ». (Velu applaudisomentst

La proposition est votée à Puna-nirnité.

La Chambre lève sa séance à 17heur. 10.

Séance demain matin et après-midi pour la suite de la discussiondes interpellations sur les orvicesde propagode, information et cen-sure.

Le centntuniuué du G.Q.G.Jeudi 22 février (soir)

-ACTION DES DEUX ARTILLERIES NOTAMMENT A L'OUESTDE LA SARRE ET A L'EST DE

ACTIVITE ACCRUE DES DE Y.TX AVIATIONS ENTRE MO-- _

Pour vos déclarationsest de l'intérêt de chacun de

souscrire exotement et da. lesdélais les déclarations que lui im-pose la loi ; d évite ainsi dru péna-lités et de désagréables demand.de roseignemeuts ; il aide indirec-tement à la lutte rentre la fraudeen facilitant le trasail de l'Admi-nistration.

En particulier, tout habitant deIn France a intérêt à sonorise Os-que année la déclaration s'empiètede son revenu, qu'il soit ou ne soitpas impooble.

S'il est impeoble, se .nformnsimplement à la loi.

Sil ne l'est Po( il en prévientainsi le contrôleur.

La perception de l'impôt cédirlal-ru sur les traitements et salait.an titre de 1940 par voie de rete-nue à la source so les rémunéra-clous de 1910, instituée depuis le1^' janvier dernier, fait que les re-venue de (cette nature acquis en1939 ne seront pas imposés en 1910à l'impôt cédulaire, mais ils r.tentimposablm à l'impôt général sur leseventi.

Tous les salariés doivent done,comme les années précédent., pro-duire à leur contrôleur la déclara-Une habituelle.

Les mobilisés ne sont pas dispen.ses d-établir leur deelaratio. Nor.espéront qu'ils bénéficieront (male-ment de mesures spéciales, mais se,tuellement ils sont soumis aux milmes obligations que la généralitédes contribuahl..

Ensore un mot peur les contri-buables exonérés de la ContributionNation/si Ex-traordinaire de 15 Te.N'oubliez pas de justifier votre exo-nération, car pore les mois de no-vembre et décembre, cette taxe estrecouvrable par vole de rôle.

Enfin en ce qui concerne les dé-lais pour l'envel des déelaratio.,nous entendons renouveler notre do-léance Il est indispensable de re-tarder tons les délais légaux et sur-tout il importe de donner aux mo-bilisés la possibilité de remplir 1mformalités exigées ; qu'on lens ac-corde dune an délai spécial._cosQui est imnoSaateL'impôt sénéral or le revenu,

qui se superpose éventuellementaux différents impôt cédulairm, estun impôt s s en ce sensque, sauf exceptions, il frappe aunom du chef de famille re.emblesris revenus de cette famille.

Sont Imposables à PL G. R. (Im-pôt général sur 1 revenu) :

a) Les célibatairm, neufs, divor-ces sans enfant charge, dont lerevenu dépasse 10.000 francs;

Salaires et traitemementsLE MONTANT HAUT DES SALAIRES ET TRAITE/1E1,MS DE VANNES

PRECEDENTE EST, EN GENERA 1. CVIMUNItil.1 A LEUR PERSON-NEL PAR LES ADMINISTRATION é ET LES EMPLOYEURS PRIVES.

ti déclarerRémunérations fixes Pelle.. à ti-

tre de location de services traite-ments, soldes, appointements, salaires, gages, émoluments, etc.

Remunérations variables perçuesau mémo titre : remisesproPertion-neltes, participations a. bénéfices,etc.

Indemnités compté...Mires Pri-mea,

i,ra=étl:"e esenekerliore:ment, de cherté de vie, supplémentcolonial, indemnités journalières decongé payés aux travailleurs, etc.

Renumérations indirectesgénéra-1lement dénommées pourboires. Se-oir : a) pourboires payés par rein-

P 'br purOrboires reçus de la main à/a main ;

Rémunérations exceptionnelles etnotamment indemnités de .pppgédie-ment pour la partie ne constituantpot des dommagess mnlets (/a frac-tion des indemnités de congédiementsusceptible d'être comprise dans latbase de l'impôt est généralement ar-1bitrée une somme équivalente ausalaire normal de six mois).

Reributions aderentes aux heuressuppternentaires de travail fourniespar /es ouvriers et employés, sous dé-duction du prélèvement

Appointements dee asseelés-gérantsdes sociétés à responsabilité limitée,lorsque ceux-ci ne possèdent pas lamajorité des parts sociales.

Avantages complémentaires rsensen nature :logement, chauffage, éclai-rage, habillement, blanchisroge, nour-riture, etc., pour l'intégra/lié de leurvaleur s'ils sont accordés à titre en-tièrement gratuit ; pour la différenceentre leur valeur réelle P110 valeurconvenue s'ils sont accordés à prixréduit.

W or 'e enVirstuff.: ;';"mrr.1915

nue l'enMais n'oubli. pas que vous avez

le droit de déduireI. Les versements effectués pour

la constitution de posion ou de re-traite à capital aliéné (maximumde déduction aulonisé 6 % du trai-tement brut ou 10.000 fr.).

Contribution nationale de 2 %payée par voie de retenue en 1930;

Impôt sur I. salaires. Re-tranchez l'impôt sur les salaires quevous avez payé en 1939

DELLE ET MUN XX MI "- 40 Les fini* epfgompues

LM MIDI SOCIALISTE

b) Les contribuables mariés sanscobol à charge, deo le revenu dé-passe 15.000 francs

e) Les personnes mariées au veu-ves, avec un enfant à charge, donte revenu dépasse 20.000 francs.

Et, ainsi de dsuite, en ajoutant :I° 5.000 francs pour le second 00-faut; 2^ 10.000 frocs pour le troi-sième ; 15.000 francs par enfantcompter du quatrième.

PERSONNES A CHARGESont conSidéréeS comme étant à

Charge du contribuable, les enfants,mineurs ou infirmes, légitimas ourecueillis d'une façon définitive. Lasituation qui entre en ligne decompte est celle au ler >miter del'année de l'imposition.

En aucun cas, le parents ne peu-vent Plus être COnsidérés commepersonnes à chasge, même ai lecontribuable subvient entièremotà leurs b.oins.

Mais dans ce cas, le contribuableest en droit de déduire de l'ensem-ble de son revenu, soit les pendonsalimetaires qu1 /eur ver., soit lessommas qu'il dépense pou leur en-tretien, dans la limite de :

2.500 francs par an pour les villesde plus de 200.000 habitots et dansles circonscriptions indietriellm;

1.800 frocs dans les villes de100.000 à 200.000 habitants ;

1.080 francs dan des autres cora-/nom.

N'oubliez pas de déclarer exacte-ment votre situation de famille, Carles contribuables u célibataires, di-vorcés ou veufs et qui n'ont pasd'enfant ainsi que les contribuablesmariée depuis plus de deux ans etqui n'ont pas d'enfant sont, quelelo soit leur âge, soumis à la taxede .mperriation familiale. La si-tuation envisagée est celle au lerjanvier 1940. Sont exonérés de cettetaxe :

a) Les cOntrlbuables dont les en-fants sont merts, à condition quel'an d'eux au moins ait atteint l'âgede 16 a.;

b) Les mutilés de guerre titulai-res dons pension de 40 p. 100 euplus;

c) Leu contribuables vent à leurcharge un ou plusieurs enfants re-oeillls (mineurs ou infirtnes);

d) Les .ntribuanies ayant adop-té un enfant à condition que, si l'a-doption a eu lieu alors que l'enfantétait àgé de plus de 10 a., cet en-fant ait été à la charge de f adap-ta.nt comme enfant recueilli depuisl'âge de /0 ans, Cette exonérationcesse d'être appliquée si l'enfantadopté décède avant d'avoir atteint150e de 16 os.

bution 'de 2 p. 100. La ontribution de15 p. 100 applicable à partir du lernovembre 1930, sera perçue par voiede situes, en 1940, sur les avantages

mis en novembre et décembre

Allocations viagères attribuées pourservices rendus, pensios alimentai-res, traitements afférents â certainesdécorations, telles que médaille d'ar-gent.

Pensions et sentes viagères consti-tuées par versements d'annuités oupu transfert de capital, y copsis lesretraites mutuel/es des anciens com-battants.

A ne nes déclarerIndemnités allouées pour frais

mtegralement compenses pardes dépenses de service. (En prinetpe les frais doivent être évalués enseptuplant le taux admis pour la pro-fossion comme on le verra plus foie.

Allocations familia/es : indemnitéspour charges de famille, maierotios(es indemneéa de logement de cher-

Itedseenirrnalsode csillelga" srtaleonr'IvZ.mille, majorations de pensions Pour

M'Ostiene d'assistance et d'assu-rance, y compris celles de chômage.

Pensions dis victimes de la gare-re mutilés et assimilés, veuvm,

ainsi que la part des Pen-sions mixtes allouées pmrté ou maladies contractées Pur lesmilitaires.

Pensiens servies aux victimes civi-les de la guerre ou à leurs ayantsdroit.

Retraite da combattant instituéepar /a loi du 16 avril 1930.

Traitements attachés à la Légiond'honneur et à la Médaille militaire.

Rentes riagères et allocations tem-poraires accordées aux victimes d'a,cistents ffair travail.

Rentes viagères servies par la Cais-se d'amortissement en échange de va-leurs du Trésor.

peut déduiresont évalués par la loi à 10 % durevenu brut.

Mari t a) Chacun est en droit, àcondition d'en apporter la j.tifina-t'on, de déduire .s frais réels sileur montant est plus élevé que leforfait

b) Pour certaines professions,l'Administration des Contributionsdirectes admet un pourcentage defraie à déduire supérieur à 10 %,

se.

La pmition naturelle de la Suè-de pour sa défen. peut être enviéepax la plupart des otres neutres.Pour la nourriture, elle se suffit àelle-même. Tout ce qu'elle a besoind'importer pour soutenIr une puer-

a savom . ne, c'est le caoutchouc, les casbu-4 Leur let5 %WH= briteerô 23,11L2 et rental. pre411114 Mainlifflô

propriétaires de leurs outilsjoueurs professionnels de foot-ball-association; ouvriers d'impri-sorte de journaux travaillot lanuit ; directeurs de théâtres etde cinématographes ; employésdes wagons-lits ; ouvriers mi-neurs travaillant au fond des mi-nes

Toutefois pour cmx derniers,rAdministration admet une dé-duction minima de 2200 fr, quiest élevée à 2.500 fr. pour les ou-vriers qui ont à supporter danfrais jornaliers de transportpour se rodre de leur domicile àleur travail ;

20 % pour les forts des Halles dela Ville de Paris ; employée duPari Mutuel ; chauffeurs de taxisalariés, exerçant dos le dépar-tement de la Seine ; mennegninsdes grandes maisons de coutureparisiennes ; ordonnateurs dmpompes funèbres de la Seine.

30 % pour les journalistes ; artis-tes dramatiqu., lyriques, ciné-matographiques ou musiciens ;

chefs d'orchestre ; conservateursdes hypothèques ; commis d'a-gent de change et commis dumarché en banque lorsqu'ils sontpourvus d'un emploi à la Boumedes valeurs de Paris et chargésdre relations avec la clientèlemodélistes dos grandes maisonsde couture parisleoes ; person-nel de la Chambre des députés

La déclaration détaillée et par caté-gories de revenus est obligatoire.

Ha particulier, la décoanon deséléments du train de vie est obligotoue.- Son omission ern une déolarationinexacte peut être sanctionée par uneamende de 100 hen.,

Nous ne reprendre00 pas ici /es in-dications Vol sont déjà fournies For lasformules de déclaration qu'a établiesl'Admiraistration I ce mrait un doubleemploi, totaiement

Muta nous apportera. Fo.' chaquems dm explicatio. complem.tairm.Du moLm celim que nous estimons lesPlus importantes.

REVENUS FONCIERSLa formule de déclaraticn établie

par l'Administration do.° Butes In-dican.eu po. les propriétés urbainesou rurales, tant en ce qui concerne lesrevenus à dertarer (suivant qu'ellessont !mem ou nen) qu'en ce qui Con-cerne 100

Une remarque pourtant ; Les cons-tructMns nouvelles sont exemptes d..pôts foncimu pendant un certehi norm-

al/nets s'applique exclusiventent A lacontribution fmciére et aux taxm an-nexes.

Elle ne loue pas en matière d'LCIIL.Il ml donc indispensable que les re-

venus des Immeublm benéficiotd'exeniptions temporairm soieou eom-PriS dem la déclaration d'Oplita sous-crite pour ri G. IL

VALEURS ET CAPITAUXMOBILIERS

Menia remarque que ei-dessus en cequi concerne la formule de crirtmetion.

Mais il convient d'indiquer que doi-vent figurer dans la déclaration tom1m revenus, même ceux qui ont étél'objet d'une retenue h la banque, etméme sem qui sont dits s .emptsd'impôts sur 10 revenu a, à l'exception:

De certains reveno qui, Par deudispositiom de loi exceptionnellm, sontmeinliUM de ilinPôt général sur le re-veau, sevOir

Les arrérages de rente Perpétuelle4 % 1925 à garantie de change (dit4 % or);

Les intérêts des Bons du Trésor àéchéance Mun an et plus;

Les intérêts des Dom du Trésor à&béance de deux ans au plus et dmBons de la Caisse autonome de la Illéifense nationale à 18 mois dribrinceet emx des Bons d'armement,

Les Intéréts des bons spécia. àcourt tenne, à deux atu d'échéance: aumaxiinum, émis au profit de la Cal.edes Pensions en vertu de la loi du 31décembre luta,

Des intérêts dm prêts consentisaux cultivateurs par les neg.iants engraiau et graines ou ProduitS sgricolmsur la base de 50 francs, au minimum.lise quintal de blé zen. en gage et

Le Daily Telegraph écrivait hierc Ce serait une grave erreur de

ne pas tenir /a Survie pour un paysSort, Après l'Italie et la Turquie.elle est le phis puissant des Etatsnon belligérants en Europe, par saposition, ses ressourc., ses tradi-tions et sa volonté de défendre sesdroits.

Il y a 125 ans que 1. Suédois nese sont pas battue t ils n'ont Peede buts agressifs. Mais il y a chefeux un eSprit de fierté militaire quirappelle le temps de Gustave-Adol-phe et les défaites administrées àse0 ennemis par l'infanterie suedoi-

et du Sénat ; internee des hôpi,taux de Paris ;

40 % pour lm voyageurs de con. !

merce, représentants et placiersde commerce ou d'ind.trie ; ins-pecteurs d'assurances dm bran-ches vie, capitalisation et épar-1gne (compte tenu dans le reve-nu brut dru indemnités allouémeà titre de frais de service ou defrais de route) ;

45 % pour 1m protns d'aviation,radios et méeoiciens navigantsdes compagnies de trosportsaériens ; pilot. et mécaniciensemployés par /es maisons de cons-truction d'avions et de moteursdes aéro-clubs et des ecoles d a-viation civile (personnel affectéen permanence à la navigatiOnaérienne) ;

50 % pour les employés des P. T. T.radio-él.triciens du personnelcivil du ministère de l'Air ; per-sonnel technique de la Compa-gnie Radio-Fran., mais sur l'ablocation pour service de nuit

enenweetemenemees*Surproduire et s'abstenir

Produire davantage pour expor-ter. Consommer moins pour écono-miser telle doit être la disciplinedes Français. En exportant nousgagnons des devises; en économi-ont nous nous permetteaa l'achatdes Bons d'Armement. Ainsi nouspayons chaque jour la victoire dedemain.

pores que /e M. d'intérêt annueln'excède pas 4 %.

BENEFI CES AG RI COLESLes feuilles de décimation permettent

de choisir entre le bénéfice rée/ (pro-ult bols diminué des frais d'exploita-

tien) ou le Orifice forfaitaire (revenud'après lequel lm terres exploitées sontunpnouhlm êt la contribution fonciers).

Ma. les agriculteurs, s'as sont enmême temps propriétaires, doiventfaire figurer deux fois, dans leur &cl.ration, le revenu net de leur propriété.

Duo première fois à la rubrique «Pro- .prié% surate o en tant que proprié.tains;

Une seconde fois O la rubrique ai ex.ploitation agrieole e en tant qu'explo%tants.

PROFESSIONS COMMERCIALESLm commerçants faisant moins de

5:00.000 freAes de chiffre d'affairespeuvent bénéficier du forfait; las autresdoivent déclarer leur bénéfice réel Ide'elaeuliuu modéla

Mais les commerçants bénéficient duforfait doivent, néanmoins, sils sontimposables faire une déclaration, soitpour la taxe d'apprentissa)oe, Mn pourl'impôt général sur le revenu.

Si le forfait n'est pas encore établipar rAdministration au moment de larédaction de leur déciaration, ils peu-vent indiquer simplement, au lieu etpl.e du chiffre du bénéfice, la formule« forfait non encore établi e.

JEUNES MARIES

Attention, ne déclares pas tout enLino

P Le mari doit déclarerai La totalld de ses roe,nus person-

nels réalisés en nifinbi Le montant des revenus de im

femme, du jour du mariage à la finde l'année 1939.

2, La femme doit déclarerLe montant des revenus réalisés de.

Puis le 1. janvier 19m jusqu'à la datade son mariage.

DECES DU MARI AU COURSDE L'ANNEE 1939

Ix veuve dist dériderLa totalité de ses revenus, rialisés

1939 depuis le décès du mari jusqu'à/a fin de ladite année.

BECES DE LA FEMME AU COURSDE L'ANSES 1939

Le veuf doit déclarerLa totalité des revenus tombés par

le mariage en 1939 co.ne s'il n'yavait pas eu de décès.

FEMME SEPAREE DE BIENSET VIVANT AVEC SON MARI

Le man doit déclarer la totalité deses revenus et de ceux de sa femmeséparée de biens et vivant avec lui.Dans ce cas, la femme est solidaire-muut mergn.ble du paiement de l'im-pôt général établi au nom de son mari.

os métallurgiques spéciaux, dontelle a déjà préparé des réserves.

La Suède s'est peut-être trompéeen ce qui concerne les estimationsde coke et de houille i elle sentaujourd'hui les conséquencou de'cette petite. erreur, mais simplementd'une manière qui pourra lui fairequelque bien, puisqu'elle se résumeà réduire un peu un niveau trèsélevé de .nfort domestique.

Elle a dans ses frontièrea le ferle phis fin du monde, done la ma-tière premier la plus importantepour l'armement. Grâce à la colla.'boration scandinave, elle peut mê-ler son fer au chrme norvégien.Elle fait elle-même tous s. coonset routes ses munitions, même cetmodu plus récent perfectiooement

Ses réserver, en or et devises contde plus de 125 millions de livressterling.

Notre confrère anglais ne seletlIPPP pat, La Snfill0 est uriges.n....

« L'étroger. écrit Lindkvite,se hasarderait dans cette petite vil-le serait fort étonné si en lui ap-prenait qu'il en trouve au centrad'une des plus puissantea forteses-os du Nord européen, qu'il fouleun sol au-dessoius duquel font cons-truites de vastes casemates bondéesde munitions. n A quelques kiloMiltees des cafés en sommeil et desrares boutiques apparaissent lesgueul. de .nous géants en partierecouverts par la neige.

Peu d'uniformes militari. à Be'ren, rien n'iris/due remstenoe d'orfortereoe. Cependot, quelques pancartes rédigées en cinq lange.,nous prévieoent que le passagnest strictement interdit. Il est bonde ne pas trop s'aventurer dans ces

dangeseux, car il arrivefréquemment aux personnes tropcurieusou d'être dans l'obligation deprolonger leur séjour, non à Boden,

:mais dos une prison proche deStOckholm.

lb estd'ail/eurs difficile de s'aven«tures dans cette petite ville, carune police spéciale, co.idérée com-me la meilleoe du monde, veilleavec boueoup d'autorité snrterdietion qui est faite à tout étraoger d'entrer à Brides.

Voici l'histoire de Boden, ou plu-tôt de la forteresse

Cène., au début du siècle der-eues, Fon decouvrit, en Suède, desmines de dfer, de, cuivre et (mêmed'or, la Ftrote, qui avait des fron-fares communes avec ce pays,mit à costruire fiévreusement feuroutes en direction de la 00501e, àélogir son réseau ferroviaire etaussi à perfectio.. sas PortalaAdals.

Les richesses naturel]ut de laSuède devenant l'objet de convoi.,tries de la part de la Russie, la Rod-éo la fameuse forteressede &Oen, interdisent ainsi rockseux ennemis, Il est bon de soulignerque cette forteresse s'édifia dans serancmt le plus absolu, en plein cer-cle polaire, sOns la oriasse Mipsc.enoble de plusiors mètres de glace.

Bedon veillait à la séeurité de laSuède et ded ses riehesses. Quod,en 1918, le .I.se russe s'écroula ets'éloigna de la frontière surderie laFinlande rosit née. Certains milieuxde Suède pensaient que la forte-resse de Soden avait perdu touteimportance, mais rétat-major nefut pas de cet avis. La Finlanden'apparat:riait pas comme une go-P00110 obuolse mmutmr leu neovoitlueade la nouve/le Russie qui mpéraitreprendre sa lutte pour la coursevers la mer, désirant un aceèu anagrandes voies maritime. Les Dar-danelles aux mains des Tores ; lePacifiqupe sous e contrôle des Ja-ponais ; la mer Baltique, mer inté-rieure, n'offre que peu d'intérêt.C'est donc l'océan Atlantique quiintéresse tant la Russie, mari deuxpetits pays lui barrent la route.

Le barrage finlandals est sérieuxavec les fortificatioua du côté deLeningrad, il y a aussi les lasu etles inunenses forêt.

La vaillante petite armée finlan-daise peut tenir en respect lm ar.mées roses, mais oe armée mo-derne avec ses engins redoutablespourrait finalement écru« ce mal-heureux petit pays et la Suède se-rait à la merci de renvahisseur.

Voilà pourquoi la Suède redoublade vigilance et perfectionna la pe-tite ville de /3oden, construite artcroisement des chemins de fer Nar-rele-LuMa et Stokholm-Banearan-da, interdisant rode de la régionmlnière et du port de Lutés qui tonsyre b porta à l'Atiantique,

Haden est bien la ligne Maginot:suédoise.

Depuis quelques années, la Suèdesuit attentivement l'activité sovié-tique dans le Nord. Les Russes ont,en effet, construit des autostradesen direction de Finmarken, la Pro-vince finlandaise, vers l'extrêmeNord, lls fortifièrent aussi les côtesde la mer Blaohe.

Mais la Suède suit avee calme etconfiance /es événements et son ar,mée est prête à route éventualité.

LE VOYAGE DE M. WELLES

M. Welles, l'envoyé special du prési-dent des etatmunis est attendu demain

optes où il doit débarquer.Il sa rendra amsitilt a Rome où il

séjournera que deux tours.51 sors mardi 3). Herm.

M1

La Suède veille et o prépareSI résister à toutes les menac.. Elle

ne ors pas prise au dépourvu, elletravaille inlassablement au soros-ceinot de la défeno de ses fronliilres, en perfectionnant Salta cesseses armements. Elle aussi possèdesa iirite Maginot., qui s'étend dansles neigm éternelles du cercle pe-lai..

Boden, ville qui pour un étron-ger n'a aucun intérêt, est cep.,dant pour la uède le verrou quiferme l'entrée d upays à toute con-voitise possible et même probablede la post de ses voisins.

Regardez la carte des pays scan-dinav., remontez vers les bords dugolfe de Bothnie, et vous trouverezavant d'arriver à la station fron-tière Haparanda un petit point quiporte /e nom de Boden.

Dans le journal suisse ere.cht le journaliste suédois, SvenLpftevits; détaiglis

sot s siddoise, construite à quel-ques kilomètres du cercle polaire.

Boden est une toute petite villeprovinciale, calme et endormie, quine se distingue en rien des autrespetitvu villes o quelques petits ca-fés, un hôtel pour voyageurs etquelques boutiqu.. Vie monotonesans évènements, sa. heurts. Toutautour, la plaine couverte de neigedu cercle polaire, et une couche desglace de pl.leurs mètr. d'épais-seur. La température d.cend enhiver, à 40° au-dessous de zéro.

Les revenus à déclarer

La Suède est un paysriche et puissantel qui se garde

1111/

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ZANS l'IRAKM. von Ribbentrop se souvenant

des efforts rume de 1877-78 et de1914-18 pour atteindre la mer libre(Méditerranée au Golfe Persique)a, parait-il, suggéré à Staline l'idéed'un plan d'attaque contre le Pro-che-Orient. Dans l'esprit des diri-geants allemands, ce plan ne seraitque la première étape d'une offensi-Ire soviétique destinée, par un che-min ou par un autre, à atteindreles Indes; la réalisation de ce Manpensent encore les mêmes dirigeantsserait de nature à épouvanter lesAllies, et notamemnt l'Angleterre,au point de leu faire céder.

Que l'idée de transformer le Pro-che-Orient en nouveau théâtre desopérations soit née à Berlin rienque de très naturel. Le « Drang,naelt Odra n pousse effectivemendl'Allemagne dans cette direction et'le vieux plan pangermanique d'a-vant- guerre de s Berlin à Bag-dad » prouve surabondamment dansquel sens et vers quelles régi-eusIn Reich, dont la politique dans cedomaine est traditionnelle, entendconquérir son espace vital.

Il est vraisemblable que la Hus-site ne serait pas seule à interveniret que l'Allemagne lui prêterait leplus grand concours. Il es" mêmepossible que ce soit dans ces ré-glana que se réalise enfin cette communanté militaire dont ou a tantparlé jusqu'à poésant.

Atlan ^en, le Canteilliellemor ber-linois dU P3:Mly d- Puma n écri-vait ré-narrent que e daes les mi.Prou hitlériens or. tient pou cer-tain que la al erre danènerera eriguerre du pétrole et on- se prépare

une extension proilitine dre opé-ration, militaires au Caucase. enTrac, en Perse, dons la pérmsuleArabique. n

Personne ne s'y trompera, laguerre dans le Proche-Orient seraTa grande bataille des matières pro-faner., le combat pour les pétroles.

Certes la Russie possède d'impor-tants gisements pétroliers, mais lestechniciens s'accordent pour direque la région de Bakou est moinsriche qu'on ne croit et que scu ré-serves serPnt rapidement épuisées.De là à désirer conquérir la régioniranienne des bords de la Mer Cas-tienne et même à prolonger l'Amriheidjan en direction de Mossoul ilte'y a qu'un pas que l'impérialisteSteline franchirait allègrement.

De son eût& l'Allemagne en guer-re manque de carburant, le fait estnotoire, et ses efforts Pour s'asSlIverune part toujours plus grande de laproduction roumaine témoignent dee. besoi. amans, et non couverts.

L'offensive dans le Proche-OrientMirait ainsi un double but mena-cer la puissance britannique et lae route des Indes e, et s'assurerUne des régions du globe les plusriches en pétrole.

Il est dune vraisemblable queHitler, malgré son anticapitalismede froide, caresse l'e.spoir de re-enquérir une des plus belles réa-(isations du capitalisme allemandd'avant 1914 la Turkish retro-?eum fondée naguère Par la Detiffs-che Bank. On sait comment, aprèsla débâcle de 1918 cette société estdevenue L'Irae Petroleum Cy, con-

inatériel de guerre à l'étranger.Des deux pays limitrophes de

l'U. R. S. S. l'Iran est certainementcelui qui offre le plus d'intérêts, tanten raison de son activité économi-que, que par la puissance des affai-res britanniques qui y sont instal-1.s.

L'Iran constitue l'ancien royau-

qUeeldeleFseo"u'vere?dues

constamment avec un cierge suantdespotique qu'a vida, connut pourcette raison des smcles d'anarchie.Ce n'est seulement qu'au lendemainde la guerre 1914-1918 que ce paystrois fois grand comme la Francerecouvra son indépendance et sadignité.

C'est en effet en 1921, qu'un sol-dat, Rem Khan, à la tête de 3.000Perses, marcha sur Téhéran, se fi

cession/lame des fana,os gisements homme, enichileeiree, tendis quitunpétrolifères de Mossoul (Mesop0- aneivo junpunligte stu Eddie qtamile) dans laquelle la France Ire- ft .et, eve-

présentée ar b Cie Francais° des n- 1re.PPétroles) a une part de 23.75 % Sous de .. deex hen,qui doit assurer la moitié de ses, hé. la LecdcerCetiqc d. PqYqbesobs en comb.tibles liquides, menée. Les traités désavanbgeuxpart qui lui a été conférée par le furent dénoncés, l'aimée TéeMe.it

Traité de San Remo (avril 1920). sée,leets

finances as.ini., les ban-

Depuis le 24 mars 1925, rime,ess les rebell. vaincus ou sou-

, Quand l'ordre fut rétabli, Re-Pe'lemé d'élt exclue d'ex- Khanvoulut proclamer la Ré.ploiter pendant 75 ans des pile. publique,' me, le erg. voujouvemente sur tout le territoire de 17- eeiesnetpublique, y mis son veto. On étaitrak, sauf dans le villayet de Bani 1925. Ne ,,,,ennt has être pré-

sident de la République Reza KhanOn aura une idée de ce que re- se fait Empereur.

présente cette concession, quand onmura que les 'réserves de pétrolede l'Irak sont estimées à 387 mil-lions de tonnes, alors que les ré-serves de la Roumanie sont éva-luées à 90 millions et celles du Mexique à 26 millions seulement.

Sentant qu'il ne pourrait vaincreIra résistances du clergé islamiqueReza Khan, ce soldat presque sansinstruction, eut un trait de génie,il ress.cita l'Iran, disparu depuis15 siècles, et redonna à son peupleun sentiment national nouveau. Dréveilla les .uvenirs de la Perseantique, celle d'avant la .nquétearabe, la Perse qui avait été un desphares de la civilisation. La jeun.-Se s'enthousiasma et avec elle RemKhan gagna la partie. La Perse is-lamique était bien morte. La reli-gien continuait à être respectéemais elle restait indépendante deUEtat et n'eut plus, de ce fait, prisealom sur la politique.

Ce fut la période des grandes ré-pétrolières du monde '° '°'°'' formes l'abolition du fez et duOH Cie of Hm' Jans., l'Angle les. voile, et l'ère de l'équipementnien Oit Cie, la Royal Dutch et la dustriel du pays. Lindustrie textile

se développe, le tabac, le sucre, leCie Française des Pétroles.

Il faut que l'on sache également. thé, l'opium, les cotonnades, les M-

oult n'y a pas que l'Irak qui ré. réales deviennent des monopoles

cèle du pétrole, il y a aussi l'Iran, d'état. Le commerce des automani-

l'Arabie, (antes orientale et oui- les prend une grande extension, ce-dentale), la Syrie, les Des du Golfe lui due peaux également. De nom-

Persique, la Palestine, la Traanjor- breuses mines sont mises en exploi-

dame, rio.tation. On construit des routes, en

Faut- il rappeler Ics efforts que électrifie certaines régions et on en-

la France et l'Angleterre ont faits treprend la réalisation d'une gran-

dans ces régions pour /a mise en de voie ferrée le Transiranien, dont

exploitation de ces riehesaes ? le premier tronçon fut inauguré il

Par l'intermédiaire de l'Iraq lb-Mobutu et .de ses nombreuses filia-les, qu'il mrait trop long d'émané-ler ici, la Grande-Bretagne et laFrance ont pris position depuislongtemps Sur ce qu'il est convenude nommer e l'échiquier pétrolierde l'Asie antérieure n.

Il faut que l'on sache, pour lacompréhension des évènements fu-turs que derrière l'Iraq Petrolcam,il y a les plus puissantes sociétés

Le Liban, la Syrie, Lattaquié etle Djebel Drane sont des territoiressons mandat français, tandis quela Palestine et la Tra.jordanie,sont placées sous mandat britanni-que. Les ports pétroliers de Tripoli,et de Haiffa, où aboutissent les pi-pe-line de Mosmul, permettent lecontrôle des puits de l'Irak.

Les efforts pour fomenter des ré-voltes en Arabie man demeurésvains. Or, quiconque tient l'Arabie,est maître du pétrole de l'Iran trai-té dans les énormes usines deAbadan au fond du golfe Persiqueou se trouve /es plus grandes rafflneriru du monde.

L'Arabie comprend d'ailleurs plu-sieurs petits Etats nés du démen-

mé Royaume du Hodjus et que flan-que l'Etat de Nedjed. Ce royaumearabe Saoudite joue un très grandrôle dans le monde musulman. Si-tué sur la côte orientale de la merRouge, 800 kilomètres de Suez,contient les deux grandes villassaintes de la Mecque et de Médine.

Toute cette région renferme dupétrole. Et l'on n'a pas perdu lesouvenir d'un certain Khabed e/Walid conseiller d'Ibn Séoud, roi del'Arabie Saoudite qui se rendit àBerchtesgaden, au mois de juin der-nier, pour discuter d'éventuelles concessions pétrolieres à l'Allemagne,sana toutefois qu'il ait été donnésuite à ce projet.

Si t'on ajoute que dans ces ré-gions du Proche-Orient, s'entassentde multiplen peuples qui se détes-lent, on comprendra que l'Alterna-

brement de l'ancien empire turc, fur ait relativement beau jeu pourainsi que le mPPelait il y a quel- faire une propagande que lesques mois, le Moniteur des Canton- moyens n'arrêtent point. Estuil ho-rants. soin de rappeler à ce propos les

C'est le territoire de Cheik Said, conditions mystérie.es dans les-sur lequel la France possède cer- quelles est mort au début de l'an-tains droits qui remontent au 18° née dernière S. M. Chant 1°', roisiècle mais qu'il a toujours été dé- d'Irak, jante au moment où les AI-licat de faire reconnaître. lemands prenaient pied en Iran gra,-

C'est I'lladramout, émirat indé- à cmtaines maladresses de lapendant, situé sur le golfe d'Aden presse française, généralementet la Mer d'Oman. C'est Hase, au- mieux 1,doirçetee émirat indépendant placé surla cote orientale d'Arabie (GolfePersique), tout près du fameux ar-chipel des Bahrein,' riche en pétro-le.

C'est le Sultanat d'Oman, avecson grand port de Mascate, sur legolfe Persique. C'est l'émirat duYemen.

C'est enfin et surtout le Royaumearabe Saoudite, anciennement nom-

gre. La Société emploie plus de

L'ennui. pour les visées german°.r.ses c'est que l'Irak et /Iran sontliés par une véritable alliance av.la Turquie, ainsi d'ailleurs qu'avecl'Arghanistan, par où il faut bienpasser-pour rnenacer les Indes.

De sureroit les Anglais et lesFrancais ne se croisent pas les braset l'Etat-major a bien fait., ce qu'ilavait à faire.

DANS L'IRANQuoi qu'il en soit, l'extension y à 3 aus et qui est une des plus

éventuelle des hostilités dans la belles réalisatious du génie civil mu-ne méridionale de la Mer Caspienne, derne.ne prendra pan au dépourvu les

pçait en effet, au moment où cet ar-euples de cette région. On annom

,sédes pl. riches du monde en pro-

Mais la riches. PrineiPeel'Iran réside d

deans son sous-sol, un

duits Mtroliers. Et ici commemePhant oire d e l 'in fl uence an gltim .

australienne, se lie avec un jeune-persan qui lui parle des infiltrait°usde pétrole dans son pays. D'Arcy serend en Perse et se fait a.orderune concession d'une durée de 60ans et d'une superficie de 800.000kilomètres carrés (la superficie dela France est de 550.000 hilomêtrescarres).

LE MIDI SOCIALISTE

d'Abaddan au fond du GolfePersique, elles sont alimentées parun pipe-line de 235 kilomètres et&a chalandequiempruntent le Ti-

30.000 ouvriers.Les modifications politiques sur-

yenues en Iran n'ont cependant pasété sans influencer toute la straté-oie pétrolière britaanique dans leProche-Orient. En 1932, /e gouver-nement de Reza Khor,' fait savoirqu'il considère les , estions ac-cordées à D'Arcy canane nulles etnon avenues. L'affaire fait beaucoupde bruit, mais se termine heureuse-ment par un compromis signé en1933, L'Iran reconnaît de nouveauxdroits à 1 asociété anglaim et ce,jusqu'en 1993.

Toutefois l'algarade sert de le-(ou, d'autant que le tra.port dupétrole du Golfe Peraique en An-gleterre est particulièrement oné-reux. Les tankers de nues Iranienobligés de contourner l'Arabie, etde remonter la Mer Rouge, ont dé-jà parcouru plus de 6.000 kilomè-ires lorsqu'ils arrivent à Port-Saiden Méditerranée.

Ces considérations incitent alorsles Anglais à chercher la plus gran-de partie de leur pétrole en Médit,tmranée, et à pousser la continuetion du fameux pipe-Une reliant lespétroles de Momoul situés en Irak,dans lesquels précisément l'Angle-Iranian Oit a une grosse participa-tion, aux ports méditerranéens. Cefut chose faite en 1935.

Outre l'Angleterre, d'autres puis-sances sont également intéresséesau pétrole iranien. Les Américainsont obtenu da. le Nord-est del'Iran une concession au.i vasteque celle de l'Angletter dans le Sud.Dans le Nord, les Russes sont ans-talles près de Sernman. Enfin, ungroupe français, le groupe LéonWenger, poursuivi t'étude des ter-rains pétrolifères dans cette mêmerégion de Semnan et s'est intéressé

La Presse varisiennetiens e Figaro 5, Me Lucien

mise réduit le problème h <imbuesquestions

TOUJOURS L'AFFAIREDE L' ALTMARK a

L'affaire de l' Altmark a a alluméune vaste controversa Cependant, ellese réduit à des questions qu'il ne doiSpas etre difficile d'éclaircir.

pourquoi le mûre allemand, soniPa... e Bergen, n'avait-il 'pas dé-claré qu'il transportait des Prhermiers

-dedle." "vq r.' ELLE 'ETOUFFE sue NOUYEAU-NEde nombreuses raisons et d'abord Persouci de la vie des prisonniers, que le

ET TENTE DE LE BRULER

destroyer anglais prétendit couler un on, 22 février. A Givors, une

istmu ennemi au fond du fiord neutre jeune ouvrière tisseuse, âgée de 25 a.,de Josing, en présence de deux canon. eté arrêtée mus l'inculpation d'innières norvégienne, pourquoi le cous. fanticidemandant allemand voulut, éperonner Ayant mis au monde un enfant népanuy,a, na, enueru, ren proure nu. viable du sexe masculin, elle l'éMuffavire usnon pour enuen, lu vie, en lui mettant du coton dans la cou-

des prisormiem. L'explosion de vend. Parvenir, elle depeça lepetit corps etL'histoire de la prospection de

Oie, puis elle tenta de faire brûler le

t.ces terrai est une suite clavent.,.,Oro.niy avait-0 sis seulement ...yr? dv. vten 11e,ie E't/Yent an Y

rés qu'un ne peut conter ici. D'Arey

ce qu'il avait bord ?

blults deostnneeery edl,g aberces que la noir.tuvelle

a env... ...rien. l'opération, maa elle n'eût

dualpeu d'achever sa sinistre

lm-dB

Imole teelorsqu'il remontre un Françaisfait des bailles archeologu

qui. TRENTE-CINQ DEPUTES soierie.Le Liseur dans e Paris-Midi »

l'erse et conduit notre pétrolier àNISTES VONT ETRE JUGES

PAR LE TRIBUNAL MILITAIREMaidan I Naftun, la « Vallée de

Du moment que certains Etats op-

tenu correctement.

tent pour M. neutralité totale, il es

Le gmte énergique de l'Amirauté an-

tindispensable que leur rôle soit pas eux

vais calcuL

unermtriction.

l'huile ni où le pétrole engluait le Le Tribunal milliaire de mssation a

foré donne dm résultats tels que A vouMir tout gagner on risque de par lm trenteminq députée du am..

Vers eett même époque un Aile- bunal militaire pour tentative

aleenpremiermoteur P. combustion inter-

sol. Le 26 mai 1908, le premier puit examiné ce matm les pourvois formés

le campement est noyé. La D'Arey tout perd, la Norvège a fait un mau- ouvrier et paysan contre /ma ordon.Exploitation est sauvée.

, députés.

a une somete iranie.e exploitantda. la province de Khorassan.

Au total, la production de l'Iran vol d,atteint actuellement pl. de 12 mil-lions de tonnes de pétrole ce quiprocure au budget de Reza Khande substautiellus rentrées par le jeud. redevanc..

SUR L'ETRANGERLa France a toujours entretenu

d'excellentes relations av. l'Iran.De nombreux techniciens sont al-lés sur place travailler l'indus-triallisation du payys, dus teintu-reries ont été i.talle. par nossoins, et le chemin de fer de laCaspienne au Golfe Persique, quiatteint 2.000 mètres d'altitude etparcourt 1394 kilomètres dont 1.000en montage, a montré ce que pou-vaient faire nos ingénieurs. De nombreux étudiants fréquentent nosuniversités.

Toutefois, il faut bien dire lavérité, certaines maladresse onvoudrait être sûr qu'elle fut incons-ciente et non l'expression d'une ri-valité entre trusts la maladr.sede trois journaux parisiens a portéun grave préjudice à notre presti-ge. L'affaire, en dépit des effortspour en réduire les co.équenees,fut grave, puisqu'elle amena, le 28décembre 1938 la rupture des rela-tion. entre I. deux pays, le rappelimmédiat des étudiants et don offi-utero iranie. travaillant en France,le congédiement de prof.seurs etde technicieus français engagés enIran et la supprmsion de comma,des ind.triell. en France.

D'une plaisantetie d'un goût dou-teux, l'Allemagne a su largementprofiter malgré los excuses de laFrance à l'Iran et la reprise desrelatious diplomatiques qui eut lieule 21 février 1939.

Nous osons espérer que /Iran nenoes a pas gardé rigueur d'an faitdont la Fran., ne saurait être rai-sonnablement tenue P.,M. et que le peuple iranien nousa conservé son amitié et sa sym-pathie.

phanie entre la Ruade et l'Océan, lemonde sc.dinave est exposé depuisdes siècles aux convoi.. de Istomou.Et 1. convoitises de Moscou sont aussiaujourd'hui celles de Berlin.

C'mt Là ce qui fait la gravité de lacrise. L'affaire de l' « Altmark s ne sertque de prétexte. Le fait signifleenest que l'attaque de la Finlande étaitun début. L. Riresscandinav. sontvisés s0005 rue.

A allagra la RION

LA BULGAR/E PAIERA 40 *DES INTFIILTS DE SA DETTELondres. Comme suite aux né-

gociations ors viennent d'avoir lieuà Londres, elatives au 50m, Me de hiettle bulgare et qui se sont termi-ne. la se .01s derniers, on commu.

r eecord est intervenu en-

I a ort, st les tlégues bilt.niques etfiat (ais 'oral de .leurs bulga-res d autre part.

Aux termes de cet accord, la Bul-garie s'engage h payer 40 p. 100 de latotalité des intérêts de sa dette pourl'année en cours contre remise descoupons y afférents.

tre h gouvemement bulgare, d'une

DES MANIFESTATIONSANnALLEMANDES

DANS UN THEATRE D'AMSTERDAM

Amsmeden. teesmanifestations h,nti-allemande ont éclaté, hier soir, dans unthéâtre d'Arnemdam, au coure de la

'raisentationdu drame de Don Car-soe 5, par une troupe docteurs d, DusseL

La police dut inmmenie qiiinve erres-mtions furent opérées parmi las manifes-tants.

UN PROJET OFFICIELDE « VASTE ET LOINTAINETOURNEE s POUR L'EQUIPEDE FRANCE DE FOOTBALL

A la suite de trois match.. do footballqui sont opposé, au coure de la semaine àPuai,, à Rejoue et à Lille las Mohs. mili-ter. de France et de Grande-Bretagne,noue ex., recueilli les échos d'un v.teproie qui viendrait de haut. On acquiela certitude que cetm équipe de footballPe.. envi...ger de se enesmeravee n'impor-te quelle formation du monde puisquecontre les meilleure joueurs lei...nique,elle a, nos fois de éite. fait jeu égal.Et l'on dit qu'nvtiet Pext. Stands '0.0nation.» tous des homme.d esseellereens..lité au demeurantrelent appelée à participer à une va. ettrée lointaine tournée.

a coté des prmtigieuses rencontres quibanosaient t'équipe tricolore à cellesdm natio. du Royaume-Uni.

Nous voici donc revenus é un état dechoses infiniment souhaitable pour telion développement sur notre sol d'unsport admirable entre tous.

Nous reparlerons Mailhurs de larencontre en question Qu'Il nous suf-Ose pour aujourd'hui d'exprimer lem. qu'elle soit une propag.de par-faite pour le oueSt.

Deux mnditions sont pour cela in-dispensables temps convenabie et

LE PRIX DES ALCOOLS DESTINES ru,. entébree ie 303e un, tn esprit sportif égaiement exemplaire

dra au siège de la C.G.T., et mi serendront ensuite à Bruxelles sont ar,rivas cet apres-midi, à 1 heures&l'aérodrome du Bourget.

Ils auront unc entrevue avec lebureau

duCN DISCOURSDE M. CAMILLE CHAUTEMPS

A L'AMERICAN-CLUBLe ministre a souligné la communau-

té spirituel/0 des Etats-Unis et de

par d'importantes commandes dex-mêmessonniers

découvrit

Ue em

n. q uea.

l'Iran e lAnf -.,...0.0,

eur3rstie dM q r a ouenon ,Prel v , L Li DoLuar pere eitir aitr aiet d irs.evo réal.

angl. el Me. é/3// 5... ' C.ccce. A LA CARBURATIONles agents du contrôle norvégien, en _o.., ..,.. - ____,_ ..,

I t. ee.

, ,, es, m

via teriatorm. ministrePalis, 22

desenfinanc es, les

_er.

pr ix d ecre. ou

350 Etat s-m hir..d Am eienq

inI American-

, , Mouesue,

v,,enniversaire de la naissance de Georges 010m (es 11.7hIé.i7 7t 7h7x '77 Bu'hen-

mee des cfgbdê gieép Jjf

ghanistan . é da Lent des prépa-,ratifs milfrafres, allant du renforce-

En 1901, un avocat res , us, aven_ ri...4. pu ne P. d'cequrIr que ar relu d vint".u'reaO"1 d mçilnue'r 'tt'nunif.Pasiunel'Irfu.é Cac.medleàiih'e.. c'c,..m,Il l t e Man an ils

mobilisation

u.'Ji<ms qd '''7.e''%

'le-. ele es scores it.mant des systèm. de défense à l

pamanta t.rir ..gkvalleràllin, Wiitdonyl plusieurs cm-daines de prisoluters,..s,c, vice-président du conseil,

Knox d'Ar., qui avait découvert,i ironvaien, à .1vd eitirû i1e e : tot ation sont portés respectivement », mplaçant M. Edouard Daladie. .. n'on les » Entin , et tms.,., eu faisaient des se ii

can-Club, et M. Camille Chautemps cinqont édhange des toasts qui ont été

M. MasErooanpresident de l'A.* En sec...

partielle, en I f 411 éonra élé t'inv. d'honneur.

radiodiffuses.

aLa bande molletière est condamnée :

Telle est la déclaration que du siseell

Eans. Venant de Croydon, les

En Finlande

pétroles.

lllllll!IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIJIIIIIIIIIIIII

HOS

prensf5 oucstion qui est counable nous livrons au prix deLa BANDE MOLLETIERE

Certes, 1. « ba.ndes a offraient de Le rcqL qui s'd,muute.ssqigraves inconvénient, , les homme, manche, sur I. terrain du

de la Eracde guerre, aq' uerre Muchant le sol du territoirsé" donc la "de eu.. ad

.iejefe'dte'f'aue' toutrequeiticuli.eOde,./ M'erca.qucule

ballonEn secret, il santéreme à d'Arey frange marine de 5 ou 6 kilomètres

Il"et révèle, juste avant la déclaration est Mterdite aux flottes de guerre desb iantsi 2 T t risonnier de

e/e Mais quelle sera la nouvelle tenue d

à

3

ON DEGOUVREUN PERMIS D'EVA(mUATION

...QUI DATE DE 1665

On vint de découvrir en démolie..uneajeilleimbotge à Eveehem, dans le Glam

m .ater-eh. un dmmuent vieux de prèsde noie eièdes. qui est on fals k premierpormie d'évacuation que Ton connais..

Il fut dayié le 5 juillet 1665 par lesmarguilliers Ridhard Hendee es SenoelHaughon, à L.dres à la nornnséo MeaWalker, pour lui meure de tue Lon.dans amuse. mande ne.réfugier à Eveéam.

LA QUESTION DU PETROLE- ROUMAIN 1

La réponse de Bucarest à Londres.Londres. Le gouvernement ron-

main a fait remettre au Foreign Offi-ce une note de réponse aux qu'estionsposées par le gouvernement britan-nique au sujet de l'action déployéepur lu C d t dl des

On laisse entendre dans les milieuxpolitiques londoniens que la réponsedu gouvernement de Bucarest affirmeque /a Commission garantira uneloste repart.. do petrol° entrel'Allemagne et les Alliés.

MANUVRE DE LA FLOTTE RUSSEEN MER NOIRE

Constantea. Le seevice de preme aile-coud &eine à l'émeitere Mi.edenvche de Moscou annoncent que, selon deenouvelle. de Séle.topol, grandes me-n.... de la flotte eoviétique de In metNoire ont eu lieu ces jours-ci.

La dépêche souligne que dve `ie.', demute cliem o. prie part â <se mermeweeet eue le» deux tiers de ces Imité» étaie.clandestinement mrth, ses derniers tempe.des Chantiers maritimes soviétique» oit il»avaient été construits. Le/ manccuvres ceeremenaient égales.. dm exercices de Ihr-tilleeie cestièreet de l'aviation maritime.

Une Journée nationale du Vinchaud sera organisée dans toute laFrance d la date du 3 mars.

Le président Roosevelt se trou-me actuellement dans les parages deCosta-Rica.

M. Celle est élu conseiller fé-déral en remplacement de M. Mottaen Suisse.

VU. R. S. S. intensifier sapropagande d travers l'Europe.

LE GASPILLAGE DES AVIATEURSSOVIET1QUES

Helsinki. L'aviation soviétiquepoursuit ses raids de destruction.Comme il a été déjà annon. la Pe-tite localité de Tortmahl a été hierl'objet d'un bombardement intense.

Un aviateur, volontaire américainqui participait à la défense de /aloran., a déclaré que les Russesn'avaient pas jeté cor celte localitémoins de 1.000 bombes. Le résultaide ce bombardement a été un hom-me tué et une vingtaine de petitesmaisons ouvrières détériorée,. D'a-

nonne di. capitaine de Moimac, qui lesavait renvoyés devant le troisième tri-

mand nonamé Di.el constrisait leglaise est approuvé sans l ombre d

ne, qui devait permettre d'utiliserun résidu du pétrole : le manant.Ce fut une révolution, /e

moteur.Die' allait évincer la machine àvapeur. Le pétrole allait conquérirles mers.

Comme les moirure Diéml étalentalors de puissance modeste et qu'ilne pouvait être question de leuri.tallation à bord de grands ba-tenus, on eut alors l'idée d'introdui-re directement le mazout dans lesfoyers des grands navir.. Les avantages furent énormes. Le mazout,sous un même poids, donne une cha-leur 70 % supérieure au charbon,il est moins encombrant, pan pluscher et d'une maninulation plus fa-cile. Ce ' nouveau combustible aug-mentait de surcroit, le bayou d'ae-don des navires d'environ 50 %

Le chef de l'Amirauté anglaised'avant 1914, l'Amiral Fischer, pré-sentait l'avenir des navires chauf-fée au mazout. Mais Pour s7 lax77/1dans de telles modifications, il lui Les règles sont simples : L I. seulfallait être assuré du ravitaillement terriMrMle d'un pays neutre mit une

%o tenu te e leur , car

eSSOrt

ovale

' l

nes stupéfaites. l'existence de l'a- ,nutre 3. Tu, nunuenne nos soldats ?

venturier Australien, et la cI. 9U1 n'impom P. la mise en pratique Les dotera-ton Cesem en effet, entre Francais et

, officiellement, do Brdennu un, r, ue lus, Feus sommes également .. .a diesJ,

des droits de celui-d à une société de ces reg.ssCee,pretieement d'êtes bottes ou de /eggins y ne es, position d. personnes qui déniconstituée le 2 ma/ 1914, l'Angle neutre.

,Pour Nous n'avons pas a renne. cl ms esrait-on suggérer pour le moins ......i.e' d.i. Mec i tenaient d'autres genres artistN

De. admOn,inistrat'Et e Le faits

eurs de cette So- .111evive ...end a viprouventoledêOutra geusemmt nuen.,0n. ,erns., le dernier. Nous dirons seulement queleu de euey 0 0eieee eeehrd ch,lecauses du

consulter à ce sujet.eldsacm, mn prit fin Mn filles 1 couleur, sanie, ta. red

Dersian à participation ds s lors que le 9iliis ntmit

les premcomp

iers dintéressésavisa haussés . pastel. etc... Nous

ci 'été sont en effet nommés par le . lixé-iiI7hIé nix-Iégienneichancelier de l'échiquier, l'un retiré- André ehauneix dans « Paris-Soir ni LE MAJOR ATTLEE ET PLUSIEURS 00., "li.ia ir c."re ".qqe/ de ce Nets. ,T k. .e.eir°,..4sente l'Amirauté, l'autre H , précédent nfCotas,. de DE SES COLLEGUES A PARIS Pill3 aven' e c°.., .vee ev lu illiv 30.t Ea1II1 eS

d,m'an

esturs. coérenne. Ils ont un droit de veto, si Ms ces les Etats mandinaves, liés par leurdécisions du COnmil sont a contrai- Iiistoire et par leurs Intérêts économi-ees à la politique générale s. ques, tris attachés à leur neutralité et

Après la la création de ....etrès confi.ts dans /es lois internatio- taures du departement international

/Van/routé bguerre,ritannique est devenue Lnal s s

oentresontun dangerconcertés

e vaguepour se n-pré- sict Parti travailliste et Mme AYeto g. q tant 3 a qua té e qu au M.

munir c encor . G Id i d i aou , cm o vent sester demain ti D grand Meeiê e el?... Pei? u cite, .,., , fis 5277o m.Tulou

I Anglo Iranien Od. De anussantea Aujourd'hui, ce danger s est terribte. la troisiénie session du comité syn- car lea matahes mn.. avec 1.11raffiner/. ont été inesnées date ment précisé. Pat sa position géogr.- Med franco-britannique qui se lied. ane n'étMent vraiment- qu'an Ptianier

cor,sitution du paru commun.te. Près l'aviur on n'a-Les trente-cimi députes soutenaient val, Anxiiié

ate américain. peoToyit Pareil E.Plibge de SID

dans leur pourvoi que les Poursuites inanitions.engagées contre eux cortstit.ient mieviolation de la loi constitutionnelle. NOUVEAU RAPPELque la lettre qu'ils avaient envoyée au DE TERRITOR/AUX N....m.. hernieux de faire conprésident Herriot rentrait dans l'exer- Helsinki. De nouvelles affiches vent toujours bénéficier à d. pris

En agissant fortement 1. Alliés, dit-on, défendent /es neutres contre leurspropres erreurs.

C'est comme pour cette affalre de

n'Llf giu%de croit nabile de ',Manger 10m. de leur mandat de déPUtéa el quo été app.ées ce matin sur leg imbattables des superbes agranabirnsluei piredde'it usine tant de prudence 13 communication de cette lettre aux

pourrait bien un jour lui coûter cher. journaiistes parlementaires était d'un murs de la capitale rappeiant sans dissements exécutés par le

St lneosngaec'trtounuchat ' n'ut C"u'àl'ac'rctivi PetéurPar'lue! 178114dreatPer111.9e5v. teicsd'thi'ourfiXmnjéss d'eu- tri'rbri:urdedodecounqit's 'Iriéjà.te''''pluPP3re'reila Polodne siérait °PP.' e .. d& a'uelques souvenirs esse, troublants. nj

Qrne'br7.7v.t. Pu'vqtdema -Tel''''''''' mmillririebal.un militaire de cassation a de recrutement le 28 février. Ces 0,00,0,i,, emehte erustice,111. ,..,..,,,,,, rejeté les pourvois formas par les

vront se or...enter dans les bue.. anné..vi

.

Mourir Pour BeiVinki's 'e7e.u: :1In

Le

trente-cinq députés communistes P.oc. ' reproduisant les traits niant

survivre iSeulemi-meina cher sont livrés avec mt. que les faits qui leur sont reprochés A VIE en Noyer ciré, miore de Moût etl..anitime Mallet dans e L'Intransl. ,...nlvetud...venIptirxe.r.i falcsmini

PORTIVE...altreL- de

portraMlignes et s'harmonisant av.

Pour une affaire, c'ee cou une LePar mnséquent, les trente-cinq com- La grandeur avec cadre est dei50 X 60 centimètres.

terculiomoLle faits pavre%leS Princip. du droit in-

monr entier se préoccupe de l'aspect revent lue, nroona,n,m,n,juridique d des rarmix.sions éventuel- par le troisième tribunal militaire. RUGBYI. de Psibordage de c Altmark ». C'est mie véritable uvre d'art qued

DU RUGBY

d'Etat a la présidence du conseil.au Sénat M. Ducos, sous-secrétaire et b Grande-Bretagne

reprise des relations entre la Frame

et responsable de la e-,f Ufi,fi de la EST CONDAMNEE. DATE MEMORABLE DANS L'HIS-75 francs pris dans nos BUREAUXdes eaux territoriales norve. TOISE INTERNATIONALE

giennes ? Mais pr quoi la remplacer:et-on 7 ou à 97 frams expêlé par nosvoue 'cendre, faut confronter Dimanche, au parc des Princes, soins.

(port et emballage compris),Lorsque l'agrandissement conspo

plusieurs têtus un supplément dcinq francs_par perdoane en susde la pmmiere est demondé paHla maLsore

l'an pratique de Foutre côté de lu pas envoi contre rem u,sment.

Cotae

peut d'ailleurs s'entendre sous &dresser les commandes ellesun double C.Mi-à-dirv due fonds t 38, rue Roque/aine, Tou.(notre rugby perdit plutôt qu'il ne 3a- louso. Compte Chèqu. postalud

DE PARIS

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EPAR CACHETÉESGNE EN - CARAFESEST PUR, SAIN,

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LA GUERRE DU PETROLE

De l'Irak à l'Iran

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

La MI à 1111UPOCHENAPANS ARRETES

Après de minutieuses recherchesle personnel de la Brigade des Re-cherches sous la direction de l'Ins-pecteur Boyrie, vient de procéder àl'arrestation de deux jeun. cam-brioleurs, P... M., 17 ans, et 11- F.,20 ans, tous deux venant de Bor-deaux

ArrèS Uou long interrogatoire ausecrétariat de /a Sûreté, ils ont re-connu avoir commis divers cam-briolag. tant à Tonlouse qu'aBordeaux.

Ils sont, en effet, les auteurs duVol aven effraction commis à l'Egli-se St-Nicolas, quartier St-Cyprien,où iLs ont également fracturé cinqtronen et soustrait une certainesomme d'argent.

A Bordeaux, ils ont pénétré dans'une boulangerie non loin du Marchédes Capucins, fracturé le tiroir-caisse et emporté une certainesomme d'argent.

Chez un commerçant en fruits etprimeurs, près la Gare St-Jean, ilsont également commis un vol etemporté un trousseau da clés quia été trouvé en leur possession.

Le 6 février ils ont cambriolé un:bar en compagnie du nommé Mi-randa Marcel, et des prénommésm Le Parisien a et le a Balafré a.

Le. Chef de la Sûreté de ToulouseS'étant mis en relatibns aven soncollègue de Bordeaux les reeher.ches sont poursuivies.

Service des EauxPar suite de travaux urgents, la

kliStributicso de l'eau sera interrom-pue aujourd'hui. vendredi 23 fé-vrier à, partir de 9 heureu dans les

déSignées ci-après o

Rue Riquet et boulevard Riquetrpartie comprise entre la rue de ta(lolembette et les allées Jean-Jan-OMS), rue de la Colombette (partiecoté Canal), rues Constantine, An-dré-Messager, St-Ferréol et Amélie,petite rue Riquet.

Le Serviee normal sera rétabli si-tôt les travaux terminés, probable-ment 'da005 le courant de l'après-

LA FINLANDE DEMANDEDES SKIS

Le TOuring-Club de France toitun pressant appel ou public afinque toute personne pouvant dispo-ser d'une ou plusieurs paires deskis /es fasse parvenir au BureauRégiOnal de Toulouse, 59 rue Alsace,que les transmettra à la légation deFinlande à Paris. Reus insistonssur le fait TOU Y . luReuce.COLLECTE DE VIEUX PAPIERSLe Service de nettoiement, con-

Rouant le ramaSsage des vieux pa-/Mers, le senlèvera samedi 24 cou-rant dans l'apr.-midi dan Mes ruesLafayette, du Poids-de-TH.1e et du1...tem Victor-Hugo.

On est prié de les placer à l'en-trée des immeubles en paquets fi-Celés de moins de vingt kilo.

ABSENCE MISE A PROFITMlle Fallières, demeurant 27, rue

Valade, a signalé au 301e arrondisse-ment, que l'appartement de ses voi-sins de palier, M. et Mme Clerc, avaitCté cambriolé.

M. et Mme Clerc étant absent deToulouse, le montant du vol n'a puetre Bvalué.

ENTOLAGEUn sieur S... Jean de passage. à

Toulouse le 19 février conunitprudence de suivre deux femmes àl'Hôtel Majestic et s'aperçoit en par-tant qu'une somme lie 4.000 francslui avait été soustraite.

Les investigations auxquelles s'estlivrée la Brigmle des murs sous lesdirectives dr Al l'Inspecteur Bourre',

a permis d'appréhender et de faireécrouer les auteurs de ce vo/

Mathieu, Léonie, 34 ans, folle TM-blique, 45 rue Peyrotières. De Rosa,Philomène, 25 ans, rue Saint-Antoine-du-T

ETRANGER EN DEFAUTL'agent rassies, de la Brigade de

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La Vie SportiveRUGBY A QUINZE

La Journée du « Rugbyman Pyrénéenaux Armees

Dimanche aux PentsolumeauxL'EQUIPE 05 STADE TOULOUSAIN

Nous avons présenté, hier, la Romeet magnifique équipe tarbaise, nousparlerons aujourd'hui du remarquablegroupément rouge et noin s tres10 ngtemps que notre club doyen n av..mérité, à un ai haut degré, son appel-lation de « Stade Toulousain a. Jamaisson équipe première, puisque c'estd'elle que nem parlons, n'avait comptédans sm rangs un nombre si imposantde Toulo.ains. En effet, seul Béant,l'ex.11ent avant tonna te Bagneres-de-Bigorre, fait exception à la regie géné-rale. Tous les autres t Soulié, Dutrain,Laguerre, Auriach, Rega6000, Ayribat,Bene., Giraud, Larzabal, Le Guênec.Pignol, Mouton Anriade, Feuilleret ontreçu iour éducation ou lew consécra-tion sportive soit au Stade, mit auT.O.E.C., soit au T. O. C'est dont uneéquipe essentiellement toulousaine quirencontrera les champions de Francedu Stado. Pas de grandes étoilesStade, mais un bloc homogène pretiayuans avec cceur un rugby loyal et ef-ficace qui fait ses preuves depuis ledébut de la .Ison. En tête de laPelle E de la Coupa de l'Espérance,alles nu goal-average de +112 points,elle est Imbattur à ce Mur. Subira-t-elleen première défaite dimanche, ou régis-tera-t-elle vktorieusement aux poulainsde Sauté ?

Nombreux seront les spectateurs quivoudront assister h ce magnifique choc.51 y aura Ta grande foule dimancheaux Ponts-Jumeaux.

len loyer fie gide. ; Marengo contrestade .- Des joueurs suleants duStade Toulousain son, convoqués12 ri. 45 RaynaL, Péré, Sarnen, Jougla. Vaysse, Marty, Dagues, h.riat,BeffTara. Volai Tourneux, LoubetFourment Oms, Nrs.ulous. Nusbau-wer, Boy, Bastié, Feuilleret, BarthèsAubfban.

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RUGBY A TREIZE

COUPE DE L'AMITIELes amateurs de rugby à treize au-

ront b choisir pour dimanche le terrainmunicipal d. Tunes, où seront cImier-00m Ire dquupm de In Pcoc,drurr t) etdu SPOrting, et le Stade Pérignon, oùla Providence MO recevra le Fer-à.Cheval, leader de la Coupe. Deux mat-curé intéressants, et nous inritons lepublic à se rendre à l'une de ces deuxpart' es, et nous lui certifions qu'il verradu jeu, car cas quatre équipes en pré-sence ont pom mot d'ordre I ouvrir àoutrance.

Au Stade Pérignon, le Fer doit rem-porter la victoire, mals qu'll ne Prennepas ce match a la légère car les pou-laim do M. Miguel pourraient renver-ser I. premosties.

Aux TUrreS, Match très intéressantcor les deux èàuipea sont formées parOrs jeunes gens des deux quartiers quis'où d'excellents camarades et le Pu-blie verra du jeu des deux côtés, carchacun voudra se montrer digne descouleurs quol défend.

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;- Germain Baysse, 81 ans, rue du Clai-. mn Pouget /4. - Gabrie/ Bonlioure,Mans, rue RaymOnd-IV, 47. - WelCendeville, 56 ans, rue de Strasbourg, 5

/- Henri Méson. 73 ans, petite rueguet, 13. - Marie Ferre/, veuve Lefane

'55 ans, rue SaMt-Lazare, ie - Moni-que Gaitier, 09 jours, avenue Camille-

, Isupoi 109. - JoSehh Jen., 70 ans,avenue Frédéric-Estabe, /5. - Morgue.rite Monilier,.

ou. veuveuf a ,75 ana rue Saint-J.eph,

85. ans rue Drinwill. I. - Marie C,arèm, veuve Aser 53 ans, rue Escounsié.ces Arnand-Bernard. - Guty Mestre, 1Sous,, rue Edouard-vaillant, 13. - ElleFourcadee. 30 ans, 79, chemin de 750e0.libres, à Tournef.ille. - Marie Rets,/lei, veuve Didaux 57 ans. quai de Ten-nis, 34. - Jean Mousty, 00 oui,, neTraversière-tarage, I. - Sébastien Das-fugues. 66 ans, rus Ter Lafage, 7, -Victor Chen, 29 ans, rue de Fleurance,12. - Marie Combes, 68 ans, allées

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NitimtermVie.11kONINE

MAN ECAI1N p ROSE. - Rond apprenons

na peu tardivement que, en date du11 courant, un superbe et beau gar-çon, qui a reçu les prénoms de Hen-ri-Rolland, est venu egayer le foyerde notre bon camarade Solda Michel(actuellement mobilisé dans un régi-ment d'infanterie aux armées, et deMadame, née Ferran Nous adressonsnos vux de bonheur au nouveau ve-us, nos souhaits de prompt rétablisse-ment à la maman, nos .mplimentsOn papa et a toute cette belle familledont le petit Rolland est /e troisirineenfant ct tons en parfaite santé.

CARNET BLANC. - Le 20 .uranta été célébré en notre comme, /emariage de Bordes Louis.GabriM et«le Mlle Marie-Louise-Rose Portes,tous deux de Mane, auxquels nousadressons ainsi qu'a «leurs famillesnos meilleurs compliments.

- Le 22 également, c'était notrej une compatriote Lagarde Paul etIlle Mmeeline-Marie (listait, dont la

famille habite Juzetdrilmehon Mite-Garonne), qui célébraient leur unionen notre marie de Mane. Aux uns etaux autres, encore une fois, nos m.-leurs .mplimenis et nos I.plus sincères.

1111110111111111111111111 llllllll 11111111111110)

COUR D'ASSISES

('NEAFFAIRE D'EMPOISONNEMENT

Voici la suite de l'audience de laCour d'assises de l'Aude dans l'affaired'empoisonnement de Villegrand.

La partie civileLe dernier témoin entendu, Me No'

gué a la parole au nom de M. Bielle,frère de la sictime, partie civile.

L'éminent ha/ormier revient avmtome sur les antécédents, sur /a con-duite respective de l'accusée et de /avicthr.e. La vie conjugale a été pourBielle un enfer. La dame /tté avaitdes mceurs deo/arab/es. La preuve enest faite par l'unanimité des témoins.Dès qu'elle fut enceinte, elle pensaau meurtre. Sa conduite suspecte dansla journée du drame et le lendemainne fait que corroborer l'impressiontleià établie. Me Rogué se fonde surcette conviction pour demander aujurY un verdict de condamnation quipermettra à la partie civile d'obtenirle franc de dommages-intérêts qui luiest dû et à Osmose de prononcer ladéchéance de la paissance maternelleà l'encontre tle la veuve Bielle.

Réquisitoire et plaidoirie11. Morelli, notre emellent procu-

reur, prononce ensuite son réquisi-toire. Il conclut formellement à l'as-tassInat par empoisonnement avecPréméditation et, en conclusion deces sévères urgumeids, demandejury de se prononcer affirmativementsur la question de culpabilité es é000tant les circonstances atténuantes.

Verdict négatif5je 11,,, .

a'r.i. wntrer que

AU SENATL'ORGANISATION ERotrOivfiQuR

DU PAYSLe Sénat s'est réuni à 15 heures,

sous la présidence de m. JeanneneY,Peur la suite de la discussion desinterpellattons de MM. Hachette etGainier sac l'organisation écono-mique du Paya

M. Rethel demande à interpellerOc ministre de l'intérieur O sur l'in-suffisance des mesures prises con.tre les menées hitléro-communisteset, en particulier, sur les conditionsdans lesquelles a PU se soustraire àla justice françaises un ancieulmembre d'un gouvernement étran-ger qui était l'objet de poursuitespénales devant un tribunal narrer.Monne1 et deux tribunaux militaisr.

M. Maulion, premier inscrit danS/a disrimion générale, monte à 14tribwe.

Le sénateur du Morbihan examiane l'état de la production nationale.

LA QUESTION VITICOLEM. Portmann intervient ensuite

au nom du groupe Vitico/e. Il sou.ligne que la France a toujours étéle premier pays viticole du monde.D demande au gouvernern.t d'eueomonter encore les exportations denos vins.

M. Portmann demande que deeefforts soient faits pour obtenir urrabaissement des droits et des taxesqui frappent nos vins dans certainspays étrangers.

En outre nos vins et spirituemcdoivent trouver un débondé 000si9dérable en Grande-Bretagne, dansses Dominionrs et dans Ses armées,

LA CRISE DU CAPERépondant à M. Mario Roustan,

qui parle de la cri.e du café, M,Queuille, ministre du ravitaillementdéclare que l'approvisionnementnormal du café, a été mal assurépendant un mois, faute de moyensde transports suffisants, mais sirégime de liberté avait été mainteanu dans ce domaine les prix au,raient, il le craint, monté considé,rablement.

M. Marin Roustan proteste Ego.leMent SUT le mangea QU certaingproduits menufactU.S.LES RENEF/CES DE GUERREM. Ulys. Fabre demande qu'el

frappe les super-bénéfices, maisqu'on ne considère pas comme béenéfice de guerre un gain inférieur!à 3 % du chiffre d'affaires. Il fan..droit également accorder un traiteoment spécial à certaines industrielet prendre en considération Ifinvesutissement des bénéfices en consetraction et en outillage.

Le Sénat fixe sa prochaine sérumee à mardi 27 février à 15 heures,pour la discussion de la propositirde M. Monnier, sur e rutilisatim4rationnelle de toua les mobilisa r.

La séance est levée à 18 h. 40.'

s'il est indiscutable que la dame Ittein'a pas toujours eu mie conduiteexempte de tout remette. la Pre.vematérielle du crime n'est pas faite etqu'aucun élément ne permet d'affir-mer qu'elle a administré du Poisonson mari. Il y a donc un doute formel,

line seule question est posée adjury, qui après une délibération d'unquart d'heure rapporte une réponsenégative.

En conséquence, Anna Itté est M.quittée.

litant donné 10 verdict, Me Rognéretire ses conclusions. Il n'y a donopas d'audience civile.

La session de la cour d'assises estclose.

lllll naillOWS11111110.

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CARCASSONNEPARTI SOCIALISTE S. F. L O. ...-

Section et mus-seetion.s. - Samedi 24février, à 20 heures, au siège, café duMidi, réunion plénière de tom les casmarad. disponibles. Compte rendu desdécisio00 pris00 par la commission ad-ministrative pour l'envoi de cOlis aux

AUDE camarad. mobilisés. - Le secrétaireadjoint,

ENVOI DE SKIS A LA FINLANDE.- Les personn05 qui auraient des pai-res de skia en double-emploi et quidasirersient en faire don auxdais peuvent les confier h M. J. Lo-bule. rue du Pont, qui 1m joindre àueu nouvel envoi qu'il doit faire à lafin de ce mois.

UNION DES CHA.SSEURS DE LAREGION CARCASSONNAISE. - As-semblée générale le samedi 24 février,6. 21 heures, au café Pou., price Da-villa.

Ordre du boite, Compte rendu moralsu finarmier 1939-90 ; décisions d'ordrecollectif O prendre pour la destructiondes nuisibles.

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