VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK …

4
VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK FIEBERPHANTASIE MINGUET QUARTET JORG WIDMANN STEFAN LITWIN OPÉRA NATIONAL DE PARIS BASTILLE /AMPHITHÉÂTRE MERCREDI 20 OCTOBRE 2004 r-777: 0 TtS1 10\1. d'AuToivq/E_ 33e édition DE nVIIIASi Direction Gerard Mortier dirent. Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés

Transcript of VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK …

Page 1: VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK …

VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT

NEBENSTUCK

FIEBERPHANTASIE

MINGUET QUARTET

JORG WIDMANN STEFAN LITWIN

OPÉRA NATIONAL DE PARIS BASTILLE /AMPHITHÉÂTRE

MERCREDI 20 OCTOBRE 2004

r-777: 0TtS1 10\1.d'AuToivq/E_

33e édition

DE nVIIIASiDirection Gerard Mortier

dirent.

Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés

Page 2: VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK …

Jhrg WidmannFieberphantasie (1999)pour piano, clarinette et quatuorà cordes. Création en FranceCommande de l'Académiedes Beaux- Arts de MunichCréation en mars 1999 à MunichDurée : 17 minutes

Gérard PessonNebenstück, filtrage de la Ballade op.io n°4de Brahms (1998)Création le 4 mars 1998 au Konzerthausde Freiburg par l'Ensemble RechercheDurée, 8 minutes

Entracte

Wolfgang RihmVier Studien zu einem Klarinettenquintett (2003)Création en FranceÉcrit pour Jôrg Widmann et le Ming-uetQuartet. Création le 12 mars 2003 auFestival de BadenweilerDurée : 38 minutes

Stefan Litwin, pianoJOrg Widmann, clarinette

Minguet QuartetUlrich Isfort, premier violonAnnette Reisinger, deuxième violonIrene Schwalb, altoMatthias Diener, violoncelle

Coréalisation Opéra National de ParisFestival d'Automne à Paris

Avec le concours de la Sacem

sacerni

Photos de couverture

Charlotte Oswald

Elena Andreyev

Manu Theobald

REMINISCEL-Laurent Feneyrou

Affleurent à la surface des troisoeuvres de ce concert souvenanceet invocations du romantismeallemand ; de Robert Schumannles Fantasiestück pour clarinette et piano

opus 73, de Johannes Brahms laBallade opus fo n°4 et le Quintetteavec clarinette en si bémol mineur op. 115,

page d'introspection et d'adieu.Loin du rigorisme ou de la stricteobservance des lois de la tradi-tion, une généalogie se dessine,mais non selon les usages désor-mais connus de la transcription.Le musicien renoue avec l'aura,réminiscence, anamnèse modi-fiant, sinon intensifiant le son etla forme, l'événement et son de-venir abstrait. Art, histoire, maisaussi rêves et signaux du quoti-dien éloignent le séculaire maté-riau et sa réalité familière. La mé-moire créatrice compose ladistance, articule, dans le si-lence et l'intervalle, la disjonctioncomme l'essence de ce que nousavons définitivement perdu.

"N'est-ce pas la voix de nos amisque hante parfois un écho desvoix de ceux qui nous ont précé-dés sur terre ?'", écrivait WalterBenjamin. Dans la hantise decorps sonores sans chair, inouïs,insaisissables mais visibles, aucours de ces entretiens avecquelque fantôme, se donne l'au-thentique dialogue avec l'aïeul.L'original, dépecé, est contraintà une errance, à une existenceombrée, spectrale, faite non decitations, mais d'allusions et d'hé-ritages effleurés.

Dans son amour infinipour cette errance soli-taire, Brahms puisa auxsources littéraires lesplus délicatement inti-mistes du romantisme, àde mélancoliques ta-bleaux aux tons étouffés,à peine troublés par l'ir-ruption du sentiment.Lyrique, son désespoirsuscite le repli de l'au-diteur, au seul contact desoi et de la nature. D'unehésitation rhapsodiqueentre un idéal beethové-nien et une introversionqui ne se lasse pas dechercher dans la mélodieson expression la plusauthentique, entre unerésignation contrariéedans le chant et unesouffrance certaine figéedans des formes et desdéveloppements glacés,naquirent de courtes in-cises d'une étonnanteforce expressive, desthèmes brisés et dou-loureux, animés d'unepalpitation angoissée, oude faibles lueurs bientôtéteintes.

Si le modèle brahmsienétait à l'origine du ErnsterGesomg (1996-1997), pourorchestre, dans les VierStudien zu einem Klarinetten-

quintett (2 0 02) , WolfgangRihm retrouve les ac-cents d'une nostalgie,d'une tristesse, d'unregret sentimental, de

la Sehnsucht que Nietzscheentrevoyait chez Brahmsrêvant en secret ou pleu-rant sur lui-même. Lapremière étude deRihm, Moderato, sostenuto,d'un tempo impertur-bable, reconduit le mor-cellement cellulaire, latension subjective entrele chant et l'exigencemoderne du travail thé-matique. Chez Brahmsse vérifiaient en effet lesconséquences d'un prin-cipe issu du classicismeviennois : l'intervalle oule motif germinal, mo-difié selon un processusincessant de variation,irrigue en soi des pé-riodes, voire une étudeou toute une oeuvre. Suitun Molto vivace, où lescordes adoptent unchromatisme descendantobsessionnel, fff feroce,

happant parfois lesgalbes de la clarinetteseul un Meno mosso, pppdolcissimo, fondé sur desintervalles de quinte,rompt la virtuosité dudiscours. Inversement,l'Andante con moto, volon-tiers consonant, traverséde tierces, est briève-ment contrarié par unAllegro ma non troppo, loin-tain souvenir des figuresde la deuxième étude. Lerecueil s'achève sur unCalmo sostenuto, à l'écriturevariée, notamment parun court Adagio en formede choral, ou dans lesépulcral Morendo conclu-sif. "La beauté elle aussidoit mourir chantaitdéjà la Minnie de Brahms,sur les vers de Schiller.

Toute moderne, la reconductionsouterraine des contrastes à unmatériau unique, toujours re-manié, modelé, transcendé, mas

mais-

qué parfois, générantd'autres idées, sinon des déve-loppements mélodiques inatten-dus, confère aux énoncés unecohérence interne, produisantl'impression d'un discours mu-sical autonome et constammentlié aux rares incises et intervallesde base. Comme dans les der-nières oeuvres de Brahms, au lieude l'inspiration mélodique, leferme espacement des registres,la fonction de relief sonore ensoi, l'appel aux résonances dupiano, aux cordes en trémolo ouaux trilles de la clarinette, et l'in-sistance structurelle sur deuxnotes, mi et fa, dominent dans lesscènes musicales de la Fieberphan-tasie (1999), pour piano, quatuorà cordes et clarinette, de JôrgWidmann. Malgré des liens évi-dents, la fragmentation deBrahms se différenciait de la cel-lule de Schumann, autre maîtrede la dissociation. La désagréga-tion de la forme, ou plus préci-sément de la grande forme,phénomène négatif en un sens,met aussi en lumière l'émergencedu timbre moderne, continu, àl'image du glissando. En té-moigne l'oeuvre de J rg Widman,gestuelle et lyrique, en séquencessupprimant les différences entrecontrepoint et instrumentation,et multipliant les allusions.

Avec Nebenstück (1998), Gérard Pessonénonce, dans les bruissements de l'effectifbrahmsien à souhait du Quintette avec clarinetteop. 115, ce qu'il nomme une "contaminationétrange" entre l'invention musicale et unemémoire nécessairement oxydée. "Lesoeuvres qui nous hantent s'interposent sou-vent lorsqu'on croit avoir tiré une idée dunéant, comme en retour, elles se colorent denos obsessions, car, en matière d'art, la re-cherche est concomitante à une incessante ar-chéologie." Mâtinée de souffle, détimbrée,comme d'un corps spirituel, subtil, Nebenstückmodifie l'étrange Ballade op. fo n° 4 deBrahms dont elle est une instrumentation,un délicat "filtrage". Or, le filtrage désignenon seulement une transsudation, le passaged'un liquide, pour le clarifier, à travers uneétoffe, un papier, un linge, du gravier ou dugrès pilé, mais aussi, dans l'ancienne phy-siologie, les organes séparant une humeur dela masse du sang et un processus d'élabora-tion, comme la nourriture s'infiltrant dansles chairs. En 1854, Brahms découvrait lesStimmen der Wolker, recueil de Herder dont lepoème Edward avait déjà été mis en musiquepar Schubert et Loewe, et dont il réaliseraen 1878 une version pour baryton et violon(op. 75 n° I). De cette légende populaires'inspirèrent aussi les quatre ballades de l'opusfo, sans développement, et dont les éclats sejuxtaposent naïvement. L'ultime Andante conmoto, d'une simplicité grave et élégante,renonce aux accents dramatiques et préfigureles dernières pièces pour piano de Brahms.Les premières mesures, en forme de barca-rolle, retinrent l'attention de Schumann"De quelle façon merveilleuse l'étrange mé-lodie hésite entre majeur et mineur, puis restelugubrement en majeur." La deuxièmesection, più lento, col intimissimo sentiment°, ma senza

troppo marcare la melodia, nimbe le chant d'unetexture ondoyante, avec un accompagnementen deux pour trois, avant un choral queGérard Pesson confie au seul quatuor.

Fait étrange dans la trajectoire de ce concert,dont l'héritage est l'un des enjeux, l'anciennelégende écossaise transmise par Herdernarre un parricide. D'emblée, dans ledécharnement des timbres instrumentaux, leson, mélodie évidée, s'y fait trace, écho,mémoire, avènement de l'absence.

Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés

Page 3: VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK …

Gérard PessonGérard Pesson est né en 1958 à Torteron(Cher). Après des études de Lettres et Mu-sicologie à la Sorbonne, puis au Conserva-toire National Supérieur de Musique deParis, il fonde en 1986 la revue de musiquecontemporaine Entretemps. Il est pensionnairede l'Académie de France à Rome (VillaMédicis) de 1990 à 1992. Lauréat duStudium International de composition deToulouse (1986), de Opéra Autrement(1989), de la Tribune Internationale del'Unesco (1994), il obtient en mai 1996 leprix de la Fondation Prince Pierre de Mo-naco. Ses oeuvres ont été jouées par de nom-breux ensembles et orchestres en Europe.Son oeuvre la plus récente, Rescousse (margina-lia) sera créée par l'Ensemble Modern. Ilvient de faire paraître aux Editions VanDieren un journal Cran d'arrêt du beau temps ettravaille à un opéra d'après LAst rée d'Honoréd'Urfé, commande de l'Opéra de Stuttgart.Ses oeuvres sont publiées aux Éditions HenryLemoine.

Wolfgang RihmNé à Karlsruhe en 1952, Wolfgang Rihmcommence à composer à l'âge de 21 ans,s'étant formé dans sa ville natale auprès d'Eu-gene Werner Velte dès 1968. En 1973, il tra-vaille avec Karlheinz Stockhausen à Cologneet avec Klaus Huber à Freiburg. Entretemps, il est entré en contact avec WolfgangFortner et Humphrey Searle, et suit régu-lièrement, à partir de 1970, les cours d'étéde Darmstadt (où il enseignera à partir de1978). La Première Symphonie est composée en1969. Les Deuxième et Troisième Symphonie datentdu début des années 1970, de même qu'uneimportante composition pour orchestre,Dis-Kontur. À la même époque, il fait une pre-mière incursion dans le théâtre musical avecles opéras de chambre Faust und Yorick (1976)et Jakob Lenz (d'après Büchner), créé en 1978.Il compose sur un texte de Heiner Müller,Die Hamletmaschine (1986), et dpus, sur destextes de Sophocle, Nietzsche et Müller, crééau Deutsche Oper de Berlin en 1987 ; il créeensuite une série de pièces orchestrales et ins-trumentales d'après Artaud, Tutuguri (1981-82).

Dans les années quatre-vingt, ilcompose des cycles, notammentles trios Fremde Szenen (1982-1983) , et les sept pièces pour en-semble et orchestre, Chiffre (1982-1985), tout en revenant auxgenres traditionnels, cycles ly-riques, pièces pour piano et qua-tuors à cordes. Dans les années90, les partitions, plus épurées,évoquent les oeuvres tardives deLuigi Nono. En 2001, il reçoit lePrix de la Royal Philharmonie So-ciety pour Jagden und Formen. En2002, année de son cinquan-tième anniversaire, de nombreuxfestivals et institutions ont orga-nisé des concerts et commandé denouvelles oeuvres. En mai 2003Wolfgang Rihm reçoit le prix dela Fondation Ernst-von-Siemens.Il achève actuellement une oeuvrepour le New York Philharmonieque dirigera Lorin Maazel.Catalogue des oeuvreswww. universaledition . com

Jeirg WidmannCompositeur et clarinettiste. Néà Munich en 1973, JiirgWidmannprend ses premières leçons de cla-rinette à sept ans. Il étudie avecGerd Starke à Munich avant depoursuivre ses études à New Yorkauprès de Charles Neidich à laJuilliard School of Music. Il ob-tient le premier prix du ConcoursCarl-Maria von Weber à Munichet celui des Conservatoires demusique allemands à Berlin.

En novembre 1999, ilcrée avec l'Orchestre dela Radio bavaroise dirigépar Sylvain Cambreling,un concerto pour clari-nette Über die Linie II queWolfgang Rihm a com-posé pour lui.La musique de chambre,son répertoire de prédi-lection, le conduit àjouer dans de nombreuxfestivals. Il joue avec Na-talia Gutman, AndràsSchiff, Heinz Holliger etChristoph Poppen, ainsiqu'avec les quatuors Vo-gler, Keller et Arditti.Depuis octobre 2001, ilest professeur de clari-nette au Conservatoirenational de musique deFreibourg. En 1993, ilenseigne à la Royal Aca-demy of Music deLondres, fait des confé-rences à l'Académie demusique de Lisbonneet au Conservatoired'Odessa. En 2001, leRoyal College of Musicde Londres lui a consa-cré un festival.Dès 1984, à l'âge de onzeans, il prend des cours decomposition auprès deKay Westermann puisauprès de Hans WernerHenze, Wilfried Hiller,Heiner Goebbels etWolfgang Rihm. LeMünchner Kammer-spiele lui a commandé en1998/99 des musiquesde scène pour Cymbelinede Shakespeare et Hécubed'Euripide (mise en

Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés

Page 4: VIERSTUDIENZUEINEMKLARIeEeUe INT NEBENSTUCK …

scène de Dieter Dom).2001 a marqué ses dé-buts au Festival de Do-naueschingen avec uneoeuvre symphonique in-titulée implosion.En décembre 2003,l'Orchestre sympho-nique de Bamberg l'a ac-compagné dans leConcerto pour clarinette deMozart et lui a com-mandé une oeuvre. Dansle cadre de sa résidenceauprès du Deutsche Sin-fonie-Orchester Berlin(2003-2004), JôrgWidmann a composéune oeuvre créée en fé-vrier 2004 sous la di-rection de Kent Nagano.Ces dernières annéesJôrg Widmann a été ré-compensé par de nom-breuses distinctions,dont le Prix de musiquede la Fondation Ernst-von-Siemens en mai2003. Son opéra DasGesicht ira Spiegel (Le visage

dans le miroir) a été créé enjuillet 2003 à l'Opéranational de Bavière.Cette année, ses Quatuorsà cordes II et III ont été exé-cutés respectivement parle Quatuor Keller auFestival de Hitzacker etpar le Quatuor Arditti àBadenweiler.Invité par le Wissen-schaftskolleg (Académiedes arts et des sciences)de Berlin, Jôrg Wid-mann y a enseigné en2004 et y sera réinvitéau printemps 2005.

Jôrg Widmann est en résidence auFestival de Salzburg en été 2 004 ,en tant qu'interprète et compo-siteur ; il est invité par le NDR(Radio) de Hambourg, pour unesérie de concerts comme clari-nettiste et compositeur au coursde la saison 2004-2005. Auprintemps 2005, le Quatuor Ar-ternis créera, avec la soprano Ju-liane Banse, son Quintette pour voixet quatuor à cordes.Catalogue des oeuvres ÉditionsSchott.

Stefan Litwin, pianoNé à Mexico, Stefan Litwin étu-die le piano, la composition auxEtats-Unis et en Suisse, auprès deChristoph Keller et Jürg Wyt-tenbach. Il est diplômé de l'Uni-versité de l'Etat de New York(1993). Il a joué en soliste avecl'Orchestre de Cleveland (dirigépar Christoph von Dohnanyi), dela Radio bavaroise (dirigé parMichel Gielen), l'English Cham-ber Orchestra. Ses partenairespour la musique de chambresont Aurèle Nicolet, ChristianTetzlaff, le Quatuor Lasalle, leQuatuor Arditti. Il a collaboréavec les compositeurs LuigiNono, Luciano Berio, Beat Fur-rer, Hans Zender, a publié denombreux enregistrements et ar-ticles théoriques. En 2003/2004,il est résident du Wissenschhaft-kolleg de Berlin où il réalise unprojet de composition et donnedes conférences.

Minguet QuartetLe Minguet Quartet a été fondé en 1988 parde jeunes musiciens après des études de mu-sique de chambre au Conservatoire Folkwangd'Essen. Ils se sont donnés pour modèle letravail de Walter Levin, du Quatuor LaSalleet des quatuors Amadeus, Melos et AlbanBerg.Aujourd'hui installé à Cologne, le QuatuorMinguet est invité par de nombreux festi-vals et institutions en Europe. Il collaboreavec les clarinettistes Paul Meyer, EduardBrunner et Jôrg Widmann ainsi qu'avec lespianistes Leon Fleisher et Lars Vogt.Le répertoire du Quatuor Minguet inclut lamusique d'aujourd'hui et les créationsd'ceuvres du XXIe siècle. Le Minguet Quar-tet s'est donné pour mission de mettre en va-leur le champ de tension entre la musiquede chambre classique ou romantique et lamusique de chambre contemporaine.Le Minguet Quartet a commencé le premierenregistrement intégral des douze quatuorsà cordes de Wolfgang Rihm, à l'occasion ducinquantième anniversaire du compositeur,en 2002. La Fondation Kunst und Kulturde Rhénanie-du-Nord/Westphalie a acquisun ensemble d'instruments précieux qu'ellea mis à la disposition des quatre musiciens.

ivl\LLiyAeome.A '

33 édition

Président : André BénardDirection générale Alain Crombecque

Direction artistiqueMusique Joséphine MarkovitsThéâtre et danse : Marie Collin156, rue de Rivoli, 75001 Paris

01 53 45 17 17www.festival-automne.com

NATIONAIE

DE PARIS

DirectionGérard Mortier

0 892 89 90 90www.opera-de-paris.fr

ee. France

Paris 93.5

Abus de curiosité

franceculture.com

Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés