Les actus ❙ Entre Viroflaysiens : vos annonces de proximité ❙ p. 7

Initiatives ❙ Des bureaux partagés dans la gare de Chaville-Vélizy ❙ p. 26

Oxygène ❙ L'Ecu de France fête ses 20 ans ❙ p. 30

Cadre de vie ❙ Une conseillère conjugale et familiale ❙ p. 21

SEP-TEMBREOCTOBRE 2016

www.ville-viroflay.frSUPPLÉMENT DE

❘ 06 ❘RENCONTRES DU MAIRE ❙ Deux matinées pour dialoguer ❘ le 8 cotobre et 6 novembre ❘ p. 14

L’ÉCU DE FRANCE FÊTE SES 20 ANS ❙ Exposition, ateliers, concerts ❘ du 15 au 19 novembre ❘ p. 6

EXPOSITION Regards textile(s) du 3 novembre au 4 décembre ❘ Ecu de France

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NUMÉRO 06 ❘ OCTOBRE NOVEMBRE 2016

La nature au coeur de la ville

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MAGAZINE D’INFORMATIONS PUBLIÉ PAR LA VILLE DE VIROFLAY

Rédaction, Administration, Hôtel de Ville2, place du Général de GaulleTél. : 01 39 24 28 28Directeur de la publication : Olivier LebrunComité de rédaction : Vincent Guillon, Antoine Beis, Camille FaulqueRédactrice en chef : Domitille de VeyracConception graphique : Karine Moine & Armelle et les crayonsMise en page : Karine MoineRédaction : Domitille de Veyrac, Philippe Laroche, Cédric Simon-LorièreCouverture : Agnès KieferTirage : 9100 exemplairesImpression : Réveil de la MarneDistribution : Odessa PlusRégie publicitaire : PLC, Brigitte Sultan, 31, rue de la Rochefoucaud Paris 9. Tél. 01 45 26 08 30. Fax : 01 42 82 97 04.Dépôt légal : octobre 2016ISSN : 2 431 - 4560Le magazine de la ville est distribué dans vos boîtes à lettres et dans les lieux publics ainsi qu’en télécharge-ment sur www.ville-viroflay.fr. Si vous le recevez tardivement, n’hésitez pas à nous contacter au 01 39 24 28 62 ou communication@ville-viroflay.fr

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p. 4les actusSur le vif : retour en imageA la une : La boîte à cycler pour apprendre à réparer son vélo. Hamak, le nouveau service de petites annonces entre Viroflaysiens. La Semaine du goût. Mathieu génération Pokémon, La Semaine Indigo.Face à face : rencontre avec Claude et Irène Dalex, pour l’amour de l’art.

p.12grand angleLa nature investit la ville

p. 18cadre de vieLa rentrée scolaire. Une conseillère conjugale et familiale reçoit sur rendez-vous.Stationnement en zones bleues. Les travaux en ville. Le plan local d’urbanisme évolue.

p. 24démocratie localeLe département contraint à une hausse de la taxe foncière.Inscriptions sur les listes électorales. Question/réponse.Le maire à votre rencontre.

p. 26initiativesDes bureaux partagés dans la gare de Chaville-VélizyLa mission locale intercommunale de Versailles favorise l’emploi des jeunes

p. 29oxygèneL’Ecu de France fête ses 20 ans.L’enfance vue par Maurice Denis Les rencontres du jumelage en musique

p. 34le bloc-notes des associations

p. 36expressions

p. 38carnet

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06 ❙ OCTOBRE NOVEMBRE 2016 ❙ éditorial 3

INFORMATIONSHôtel de ville 2, place du Général de Gaulle 78220 ViroflayTél. : 01 39 24 28 28www.ville-viroflay.frOuverture lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30. Mardi de 13h30 à 17h30.Permanence du service Etat civil mardi de 17h30 à 19h et samedi de 9h à 11h30 (sauf vacances scolaires).CCAS : 01 39 24 12 60

Urgences Samu : 15Pompiers : 18Police municipale : 01 39 24 28 21 (ouverture du lundi au samedi de 8h à 12h30 et de 13h30 à 16h30.Commissariat : 01 34 65 79 00

Pharmacie de garde Pour connaître la pharmacie de garde et, durant la nuit, prévenir de votre arrivée, appelez le commissariat de Vélizy au 01 34 65 79 00.Infos sur www.monpharmacien-idf.fr et en téléchargeant l'application

" MonPharmacien "

Comment trouver un médecin de garde Pour connaître votre médecin de garde, composez le 15. Les Viroflaysiens peuvent consulter un médecin généraliste pour des urgences tous les dimanches et jours fériés, de 9h à 13h, après appel du 15 dans l’ancien hôpital Richaud, à Ehpad Hyacinthe Richaud, 82, boulevard de la Reine.

« La ponction annuelle totale de l’Etat s'élève à près de 200 M€, soit 20 % du budget de fonctionnement. »

En tant qu'élu municipal et départemental, j'ai l'habitude de prendre mes responsabilités et d'assumer les décisions que je prends, seul ou collectivement. Depuis toujours, j'essaie de fournir tous les éléments qui permettent à chacun d'entre vous de bien comprendre les tenants et les aboutissants de ces décisions. C'est à nouveau le cas pour l'augmentation de la part départementale de la taxe foncière 2016 que chaque propriétaire reçoit depuis début septembre. Chacun

sait que la situation financière de la France n'est pas bonne et que l'embellie annoncée par certains n'est toujours pas au rendez-vous. Depuis maintenant 4 ans, les départements doivent faire face à une forte augmentation des dépenses sociales, tout en étant mis à contribution dans le cadre de la résorption des déficits publics (dont ils ne sont pas responsables). C'est ainsi que le gouvernement a délibérément choisi de siphonner, de 2014 à 2017, 90 % de la Dotation Globale de Fonctionnement des Yvelines, en la passant de 145 M€ à 13 M€. Nous sommes le seul département français à subir une telle saignée ! Combinée à la hausse des dépenses sociales et à d'autres prélèvements au profit d'autres départements, la ponction annuelle totale s'élève à près de 200 M€, soit 20 % du budget de fonctionnement.Quand on sait que 78 % du budget départemental sont composés de dépenses obligatoires (allocations sociales, collèges, pompiers, transports, péréquation...), que les frais de personnel représentent

uniquement 18 % (178 M€) et que seuls 5 % (50 M€) sont des dépenses facultatives, toutes les mesures d’économies qui pourraient être prises ne suffisent pas à absorber la ponction sans précédent que nous subissons. Dès lors, à partir du moment où toutes les économies possibles à court terme ont déjà été initiées et qu’il est impossible de réduire les allocations sociales fixées au niveau national, le seul levier envisageable demeure l’impôt qui, je peux vous l’assurer, n’est ni dans mon

ADN, ni dans celui de mes autres collègues élus de la majorité départementale.Cette décision demeurera exceptionnelle et doit permettre de maintenir la capacité du département à accomplir ses missions et à investir pour son avenir, tant dans le soutien de l’activité économique et de l’emploi, que dans le développement de nouveaux moyens de transport ou dans la rénovation des collèges.Soyez assurés de toute ma vigilance pour poursuivre une politique où, malgré les décisions iniques du gouvernement, chaque euro dépensé dans les compétences départementales le sera utilement.Très sincèrement

Olivier Lebrun,Votre Maire

Vice-président du Conseil départemental des Yvelines

DEPUIS QUATRE ANS, LES DÉPARTEMENTS FONT FACE À UNE FORTE AUGMENTATION DES DÉPENSES SOCIALES

Collecte des déchets et tri Retrouvez toute l’info de tri sur www.versaillesgrandparc ou 0 800 284 524 (appel gratuit depuis un poste fixe).Vous pouvez aussi retirer le « guide du tri » de Versailles Grand Parc à l’accueil de la mairie.

Chers Viroflaysiens,

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CAP SUR LES OFFLÉNIES !Les Offlénies ont rassemblé petits et grands autour du thème du cirque, les 17, 18 et 19 juin. Trois jours d’une fête colorée et animée qui s’est clôturée par la grande brocante sur l’avenue.

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CULTURES D'ÉTÉCinéma, expo, sculptures florales… La culture a pris l’air cinq jours durant, en juillet.

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MÉDAILLÉESA l’occasion de la Fête de la ville, Les Offlénies, neuf mamans se sont vues remettre la médaille de la famille.

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UN VILLAGE EN FÊTELe repas de quartier organisé début septembre par l’association des amis du village a rassemblé 150 habitants des rues Racine, Bossuet, Massenet, Corneille, Molière, Carrefour de la Fontaine, Jean Rey, Niquet et impasse de la Ferme… pour un 30e rendez-vous particulièrement festif.

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06 ❙ OCTOBRE NOVEMBRE 2016 ❙ les actus 5SUR LE VIF

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DOM JUAN À VIROFLAYLa compagnie Burlesques associés a joué Dom Juan ou le festin de Pierre dans le cadre du mois Molière, début juillet.

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DANS LES STARTING-BLOCKS D'UNE COURSE NATURE478 coureurs étaient dans les starting-blocks, le 4 septembre, pour cette 7e édition de la QBRC (Quelques bonnes raisons de courir). Une course verte qui propose un parcours essentiellement en forêt.

✪LES RENDEZ-VOUS DE LA RENTRÉELe forum des associations et des activités municipales, début septembre, a permis aux Viroflaysiens de choisir leurs activités de l’année et la soirée dédiée aux nouveaux Viroflaysiens a accueilli 150 adultes et enfants.

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La boite à cycler, le coup de pouce pour apprendre à réparer son vélo

Ce samedi de juillet, Jean-Jacques, Isabelle, Renaud et Caroline, tous quatre bénévoles de la Boîte à cycler, ont accueilli une dizaine de cyclistes viroflaysiens sous les platanes du parvis de la bibliothèque. Valérie est venue avec les deux vélos offerts à son mariage pour participer à l’atelier de réparation proposé par l’association la Boîte à Cycler.

« Je suis là surtout pour apprendre », dit-elle. « Jean-Jacques m'a montré comment changer les patins de freins. Je n'ai plus qu'à aller en acheter et les monter moi-même. »Créée par Camille et Nicolas, en novembre 2015, La Boîte à Cycler accueille les visiteurs devant la bibliothèque ou à la Forge, un samedi sur deux de 11h à 12h30, depuis

le mois de janvier. « Dans 90 % des cas, les gens viennent pour des problèmes de dérailleur, de crevaison, de voilage de roue, de câble de frein. Et aussi à cause du manque d'outils », explique Jean-Jacques, les mains noircies de cambouis. « C’est un bel espace de rencontres pour les amateurs de vélos. Et c’est très convivial ! » Check-up rapide, petite leçon de réparation, conseils d’entretien et remise sur « pied » du vélo sont au programme. « Et si un cycliste désire approfondir, il est le bienvenu pour adhérer à notre association », précise Isabelle. Une adhésion dont le coût est laissé à l'appréciation du nouvel impétrant. La Boîte à cycler dispose également d'un mini-local à la Forge, où elle organise des « Ateliers-Retape » dans la cour, deux samedis par mois de 9h à 11h, pour remettre en état de vieux vélos délaissés et les vendre afin de glaner quelques subsides pour l'association. Après huit mois d’existence, l’association compte 61 adhérents et 205 sympathisants. Une belle croissance qui pourrait la pousser à rendre ses ateliers hebdomadaires dès l'automne prochain. ■

Prochains ateliers : samedis 8 et 22 octobre et samedi 5 et 19 novembre de 11h à 13h devant la bibliothèque. En cas de pluie, à la Forge.

Infos : : http://www.laboiteacycler.org/ contact@laboiteacycler.org

Merci pour le matériel informatique !La récolte a été fructueuse pour les jeunes d’Arc’Ados, la structure municipale d’animations. Les Viroflaysiens leur ont apporté, début juillet, une vingtaine de vieux ordinateurs, des souris, des claviers, des imprimantes, des disques durs, des câbles et du petit matériel afin qu’ils puissent utiliser cette matière première lors d’un atelier informatique animé par le Sunlab*. Neuf adolescents ont ainsi appris à démonter des ordinateurs et à changer les pièces défectueuses, à programmer et à créer leurs propres jeux vidéo (parmi lesquels un jeu de course-poursuite entre chiens et chats) ou encore à mettre en scène un petit film animé. Un grand merci à tous les généreux donateurs !

* Fablab viroflaysien : http://mysunlab.org

Radio Grand Parc vient de naîtreLa radio web dédiée à l’actualité du territoire Versailles Grand Parc vient de naître. Créée par de jeunes yvelinois, Radio Grand Parc traite de toutes les informations économiques, culturelles, spor-tives… locales et est accessible depuis son site Internet. La jeune radio qui a reçu le soutien finan-cier de la communauté d’agglomération Versailles Grand Parc, se développe petit à petit. Pour cela, elle recherche les compétences de bénévoles (web développeurs, journalistes, communicants…). Si cette aventure vous intéresse, vous pouvez la contacter par mail à contact@radiograndparc.frEt pour accéder à l’information quotidienne une seule adresse : www.radiograndparc.fr

> La Boîte à cycler propose deux rendez-vous mensuels pour apprendre à réparer son vélo.

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> Les jeunes d’Arc’Ados lors de l’atelier d’in-formatique organisé grâce au don de matériel.

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Entre Viroflaysiens : des petites annonces par et pour vous ! En juillet, la Ville a lancé son nouveau site Internet, proposant de nombreux services dont le portail « Entre Viroflaysiens », un service de petites annonces développé par Hamak, marque du groupe Pagesjaunes.« Ma machine à laver est tombée en panne, comment la réparer ? », « Mon fils a de sérieuses lacunes en anglais comment l’aider ? », « Quelqu’un peut-il m’aider à monter cette armoire ? » Depuis des années, la Ville est sollicitée pour mettre en avant les petites annonces des Viroflaysiens. Afin de répondre à cette demande, elle s'est rapprochée de Hamak, un nouveau service de mise en relation imaginé par Pagesjaunes.Le service « Entre Viroflaysiens » met en relation des utilisateurs « clients » qui ont des besoins de services de proximité (baby-sitting, soutien scolaire, courses et livraisons, etc.), avec des prestataires capables de répondre à ces besoins. Ces derniers sont identifiés comme des particuliers, des professionnels ou des auto-entrepreneurs, de Viroflay ou des communes limitrophes, gage du sérieux de la démarche.Les services (plus de 80 thématiques) sont repartis en quatre grands univers : maison (bricolage, jardinage, gardiennage, ménage/linge, auto/moto), coup de main (courses, informatique, livraisons, aide administrative), famille et animaux (garde d'enfants, soutien scolaire, garde d'animaux) et loisirs (sports, relaxation, beauté, musique…). Accessible sur ordinateurs, tablettes et mobiles, mais également en application (Android et iPhone), Entre Viroflaysiens se veut facilitateur de contacts et son usage est aisé.Une fois votre compte créé (comptez quelques minutes), vous pouvez poster votre annonce. N’hésitez pas à donner le maximum d’informations et à préciser la somme que vous êtes prêt à débourser pour l’accomplissement de la prestation (tarif à l’heure, forfait…). Le portail se charge de vous envoyer une liste de prestataires disponibles à proximité de chez vous, qui acceptent vos conditions. Votre choix fait, vous êtes directement et gratuitement mis en relation avec la personne sélectionnée. Pour

le paiement, vous pouvez régler la prestation en ligne via un service sécurisé ou en direct par un autre moyen de paiement (chèque, espèces, chèque emploi service universel). A noter qu’en réservant et en payant votre prestataire par carte bancaire via le portail, il est possible de bénéficier d’une assurance en cas de problème pouvant survenir durant la réalisation d’une prestation (selon les conditions d’éligibilité du service).Des Viroflaysiens satisfaits du service l’ont déjà testé pour vous ! Camille, 38 ans, a trouvé sa baby-sitter pour garder chaque mardi soir ses jumeaux de 3 ans quand elle va à l’aquagym. Eric, 27 ans, a quant à lui trouvé quelqu’un pour prendre soin de Sicco, son labrador, durant son voyage en Italie cet été et Sandrine, 43 ans, a pu recruter une aide-ménagère pour son repassage et son ménage. Comme eux, trouver la personne qu’il vous faut à Viroflay n’a jamais été aussi simple grâce au service « Entre Viroflaysiens ».■

Informations : Entre Viroflaysiens est accessible depuis www.ville-viroflay.frwww.entreviroflaysiens.fr

QUELQUES CHIFFRESLe marché des petites annonces en France c’est :> En 2003, 88 millions d’euros> En 2009, 477 millions d’euros (+ 442% de 2003 à 2009)> En 2015, 869 millions d’euros (+ 82% de 2009 à 2015)Source JDN

Le saviez-vous ?Les Pagesjaunes fêtent aujourd’hui leurs 70 ans. Elles sont issues de la régie publicitaire des annuaires de France métropolitaine que le ministère des P.T.T. a confiée en 1946 à l’Office d’annonces (ODA), propriété d’Havas.

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« Papilles et confidences », un livre qui croustille Papilles et confidences, un nouvel ouvrage culinaire, qui paraît au moment de la Semaine du goût, détaille 40 recettes à travers les souvenirs d’enfance de nos aînés. Une page du patrimoine de la ville à déguster patiemment.

Le souvenir d’une mère attentionnée aux fourneaux, le doux fumet d’une enfance choyée, les premières bouchées d’un plat inoubliable. C’est à partir de cette mémoire vivante que le service animation retraités a recueilli 40 recettes de nos grands-mères. Le fruit du travail d’un atelier organisé à la Forge avec sept seniors de la ville. « A l’origine nous avons proposé un atelier d’écriture sur le thème de la cuisine. Puis, avec l’aide d’une professionnelle, la journaliste culinaire Nicole Renaud, l’idée de transmettre a pris le dessus. Une proposition gourmande est alors née : partager ses souvenirs dans ce lieu si confidentiel qu’est la cuisine », explique Béatrice Berthod, maire adjoint, chargé de la Famille, de l’Action sociale et du Handicap. « A partir des souvenirs des seniors, des anecdotes

liées à des recettes ont été collectées », complète la responsable du service animation retraités. Isabelle se souvient par exemple qu’en « pénétrant dans la maison, en revenant de l’école, je devinais aussitôt ce que ma mère nous avait préparé. Souvent l’odeur du flan aux pruneaux se répandait dans l’escalier comme pour m’accueillir. » Le gâteau aux pommes de sa mère s’inscrit aussi dans l’histoire familiale. « J’aidais maman quand elle le préparait. Et c’est avec une certaine émotion que je le concocte pour mes enfants une à deux fois par mois. » Un art de la table qui offre « convivialité, partage et qui permet de faire plaisir à ceux qu’on aime », ajoute-t-elle. Un sentiment que partage Yvette, une autre participante. « J’aime recevoir, faire une belle table et des bons petits plats. » La recette du

karotten kuchen (gâteau aux carottes), elle la tient de son amie allemande, Crista, qui vivait à Hassloch en Allemagne, ville jumelée avec Viroflay. « J’allais souvent la voir. Je suis allée au mariage de sa fille et elle est venue au mariage de la mienne », se souvient la Viroflaysienne. « Ce gâteau est surprenant car on ne soupçonne pas la présence des carottes. Il est délicieux. On mange beaucoup de gâteaux en Allemagne, notamment à 16h pour le café », complète-t-elle. « L’objectif était de collecter des savoir-faire familiaux, de recueillir d’une manière organisée ce que nos grand-mères, nos tantes, nos mères avaient à nous transmettre de cet irremplaçable bonheur de vivre », détaille Nicole Renaud, la journaliste culinaire qui a animé ces ateliers. Le savoureux recueil, intitulé Papilles et confidences, permet de « préserver ces recettes et ces histoires et ainsi éviter qu’elles ne tombent dans l’oubli », précise-t-elle. « C’est une cuisine familiale à la portée de tout le monde. Une cuisine de l’affection et de l’amour. » Au registre des conseils, Nicole Renaud estime qu’on « ne fait bien les choses qu’avec une réelle envie. L’envie de faire plaisir, de rassembler sa famille, ses amies… Pour bien réaliser une recette, il faut se l’approprier. » Quoi de plus naturel, dans ce cas, que d’en connaître l’histoire pour la réussir. Le livre de cuisine sortira à l’occasion de la Semaine du goût organisée du 10 au 16 octobre. ■

Infos pratiques Papilles et confidences, 96 pages. Impression Orséry. Prix 15 €.

Livre en vente à partir du 10 octobre à la librairie Une page de vie - 76, avenue du Général Leclerc. Séances de dédicaces, samedi 15 octobre de 9h à 12h sur le marché Leclerc et samedi 5 novembre de 10h30 à 12h30 à la librairie Une page de vie.

> Sept seniors ont élaboré un livre de recettes sous la houlette de la journaliste culinaire, Nicole Renaud.

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Matthieu, génération Pokémon Le 24 juillet sortait en France le jeu vidéo Pokémon Go, version mobile de la franchise Pokémon, suscitant un engouement inédit (50 millions de téléchargements en moins d’un mois). Viroflay compte d’ailleurs plusieurs arènes Pokémon (des lieux dans lesquels, les joueurs qui ont téléchargé l’application peuvent éprouver la combativité de leurs personnages capturés grâce à la technique de réalité augmentée*). Matthieu, étudiant de 20 ans, tout comme le célèbre Pikachu, personnage phare des Pokémon, est devenu expert de ce phénomène planétaire. C’est avec son premier jeu, Pokémon Sapphire, en 2003, que commence la longue histoire entre Matthieu et les Pokémon. A 8 ans, il apprend l’anglais en jouant à Pokémon. Plus tard il découvre le streaming et les versions japonaises du dessin animé et finit par maîtriser les rudiments de la langue du pays du soleil levant. Matthieu s’avère un compétiteur acharné. En 2014, il parvient jusqu’aux finales françaises de présélections du championnat du monde de Pokémon. Et cette année, pour se relancer dans la course à la victoire, il s’est entouré d’un coach. « Simon m’est indispensable ! Il est pédagogue, patient et garde la tête froide. Ce qui me manque parfois. » Les compétitions amènent cet ancien timide à commenter

les matchs des autres joueurs, sur scène ou en streaming, et prochainement, à arbitrer des matchs officiels. Perfectionniste dans sa manière d’appréhender le jeu, Matthieu exporte ses méthodes de joueur autodidacte dans ses études. Il passe de 5 de moyenne en mathématiques en classe de seconde, à 19 en terminale. Il prend également goût à l’écriture avec Pokémon en rédigeant près d’un millier de pages où sont compulsées réécritures d’épisodes « ratés », stratégies de jeu, pensées fugaces… Cela lui ouvre alors les portes du site jeuxvideo.com, pour lequel il devient modérateur, puis, en 2010, du site eternia.fr pour lequel il rédige et anime les réseaux sociaux. En 2015, Matthieu fonde sa propre association, toujours en lien avec Pikachu et consors. Désormais président, rédacteur, commentateur, arbitre et bien sûr joueur, Matthieu regarde son avenir professionnel avec sérénité. « Je commence cette année une licence en langues vivantes appliquées et espère bien poursuivre dans l’événementiel. » ■

* Système informatique qui rend possible la superposition d’un modèle virtuel 2D ou 3D à la perception que nous avons naturellement de la réalité, et ceci en temps réel.

LE HÉRISSON, CET AMI QUI VOUS VEUT DU BIEN

Le hérisson est un précieux allié des jardiniers car il mange limaces et insectes qui s’attaquent aux cultures. Cette espèce menacée trouve refuge dans les jardins. Pour

le protéger, vérifiez qu'il n'y a pas de hérisson sous les haies avant de les tailler ou de passer la débrou-sailleuse. Gardez un petit coin sauvage pour lui dans le jardin et, en automne, laissez un peu de feuilles pour la confection de son nid d'hiver. Attention aux filets de protection des fruits ou des légumes, véri-tables pièges dont il ne peut se dégager. Enfin, l'hiver, veillez à ce que votre chien n’aille pas le déranger en pleine hibernation sous un tas de feuilles. ■

VIENT DE PARAÎTRESAISON CULTURELLE 2016/2017

Expositions, spec-tacles, rencontres, conférences… Retrouvez toute la programmation de la saison culturelle 2016/2017 dans la plaquette distribuée dans les boîtes à lettres en septembre. Si vous ne l’avez pas reçue, vous pouvez vous la procurer à l’accueil des équipements culturels et de l’hôtel de ville. Réservez dès à présent vos temps forts et tout au long de l’année, pensez à la billetterie en ligne sur www.ville-viroflay.fr

> Matthieu a l’âge des Pokémon. Passionné, il est devenu expert.

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SEMAINE INDIGOSeniors, avis de temps forts !La Semaine indigo, semaine bleue nationale, dédiée aux se-niors permet de mettre en avant leur contribution économique, sociale et culturelle. A Viroflay, elle se décline à travers une dizaine de rendez-vous du 3 au 7 octobre. Ateliers cultu-rels, créatifs, numériques, projection de docu-mentaire, rencontre-débat s’annoncent comme autant de temps forts à ne pas manquer. Programme dans Sortir pages 10-11Infos : La Forge - 89, avenue du Général Leclerc. Tél. : 01 30 24 47 25. www.semaine-bleue.org

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06 ❙ OCTOBRE NOVEMBRE 2016 ❙ les actus 11FACE À FACE

Une seconde vieClaude et Irène DalexL’un est laqueur d’art et a restauré plusieurs ornements de l’église Saint-Eustache, l’autre est présidente de l’Œuvre Saint-Eustache. Claude et Irène Dalex, deux parcours au service du beau.

« Le laquage est un art qui nécessite des connaissances en gravure, peinture, sculpture, une patience toute asiatique et un long travail de préparation », explique Claude Dalex. Ses mains, fortes et cagneuses, parlent d’elles-mêmes. Et si ça n’est pas suffisant, Irène Dalex prend le relais. Le couple se complète. Chacun différent, unis par l’amour du beau. Balloté dans son enfance au gré de familles d’accueil, Claude Dalex passe aux Orphelins Apprentis d’Auteuil. Il est ensuite dirigé vers une formation de peintre en bâtiment et placé chez un artisan laqueur renommé sur la place de Paris, où il apprend les techniques du laquage d’art. C’est en 1961, que Claude rencontre Irène. Il venait d’être hospitalisé au Val-de-Grâce, après 36 mois de service militaire au Maroc, dont un an à l’hôpital. « Une erreur médicale. On a dû m’amputer de trois doigts et demi de la main droite », précise Claude. Claude et Irène se marient en 1962. « Il était travailleur et sérieux, il a fait preuve de beaucoup de courage et de grande volonté pour reprendre un métier manuel artistique bien que très handicapé », se remémore Irène. Elle, secrétaire à l’ACL (Aide à la construction et au logement, collecteur du 1 % patronal), gravit en 33 ans les échelons jusqu’à devenir directrice commerciale. Lui, malgré son handicap, poursuit son métier. Après 25 ans de salariat, Claude

s’installe à son compte dans la zone d’activités de la Pépinière de Viroflay et se spécialise dans la restauration de laques anciens (1). Il travaillera pour des antiquaires spécialisés, des décorateurs renommés, Alberto Pinto notamment, des collectionneurs, des particuliers… Pour l’appartement de Jacques Chirac à l’Elysée, il restaure deux torchères. Pour le Ritz, il participe à la restauration de la suite de Coco Chanel. « Claude a également refait à la feuille d’or le fauteuil et la tête de lit de Madame Chanel », détaille Irène. Pour le mime Marcel Marceau « grand amateur de laque », il crée des meubles et restaure des masques du théâtre Nô. S’ensuivra trente ans d’une amitié « simple et sincère ». En 1987, la Ville le sollicite pour

participer à la restauration de l’église Saint-Eustache. Au terme de plusieurs années de chantier, il donne une nouvelle vie à l’autel de la Vierge et l’autel de Saint-Eustache grâce à un travail minutieux de mise en teinte, de décors, de patine et de dorures. Il réalise également des vitrines, encadre des tableaux, redore la table de communion…

L’association de l’Œuvre Saint-Eustache, créée en 1985 par le maire de Viroflay de l'époque, Gérard Martin, afin de préserver le patrimoine, demande à Claude, quelques années plus tard, de faire partie du conseil d’administration. Mais étant plus à l’aise avec des outils qu’avec un stylo, c’est Irène qui se rend aux réunions avant de devenir trésorière, puis présidente de l’association. « J’avais vécu la restauration de l’église de l’intérieur alors je m’y suis intéressée de plus en plus. C’est important qu’elle ne tombe pas dans l’oubli. » En 2013, aidée par des bénévoles passionnés d’histoire, elle lance les visites guidées gratuites de Saint-Eustache. « Il y a toujours du monde. Les visiteurs sont souvent surpris de découvrir comment l’église

a traversé les siècles depuis 1546. »Claude et Irène sont à présent à la retraite. Claude restaure encore quelques pièces en laque de sa collection personnelle. « Ce que j’aime, c’est donner une seconde vie à des meubles que certains seraient prêts à jeter. », conclut-il, la passion toujours ancrée. ■

BIO EXPRESS29 août 1938 : naissance de Claude.

24 mai 1939 : naissance d’Irène.

1954 : Claude débute une formation en tant que laqueur d’art.

1962 : mariage de Claude et Irène à Ivry-sur-Seine.

1970 : installation à Viroflay avec leurs deux enfants, Laurent et Véronique.

1987 : début de la restauration des ornements de l’église Saint-Eustache par Claude.

1999 : Irène est élue présidente de l’œuvre de Saint-Eustache après avoir été trésorière pendant 8 ans.

VISITE GUIDÉE DE SAINT-EUSTACHEChaque premier dimanche du mois (sauf de juin à septembre) de 14h30 à 17h. 7, rue Jean Rey. Entrée libre.

(1) Le mot laque est féminin quand il désigne la matière brute et masculin quand il désigne un objet fabriqué.

Le fauteuil et la tête de lit de Madame Chanel refaits

à la feuille d'or ❝

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VILLE : LE GRAND RETOUR À LA NATUREAlphonse Allais, préconisait de construire les villes à la campagne « car l’air y est plus pur ». Viroflay a appliqué ce sage conseil et, dans le village devenu ville, la nature est bien présente. Poules, jardins partagés, ruches… prennent leurs aises sous le regard bienveillant de Viroflaysiens.

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Au 8 bis, rue Rieussec, un jardin prend forme depuis le mois de mai. Des talus et des allées dessinent une géographie de verdure. Des boutures de fleurs s’épanouissent. Plants de pommes de terre et framboisiers affichent un camaïeu de verts… La nature a éclos sur un terrain

vague grâce à une vingtaine de Viroflaysiens qui expérimentent, binent et sèment. Dans ce jardin pas comme les autres, on ne travaille pas la terre chacun de son côté, mais ensemble, encouragé par Véronique Landuré-Morel, initiatrice du projet dans le cadre de l’association la Société d’horticulture et des amis des jardins de Viroflay.Fille d’agriculteurs, avec des racines bien ancrées dans la terre, Véronique avait à cœur de transmettre sa passion. Quand la résidence étudiante se construit au 64, rue Gaston Boissier, elle imagine tout de suite créer un jardin partagé entre jeunes et riverains pour créer du lien. C’est finalement un autre projet qui aboutit. En mai dernier, la Ville propose de mettre à la disposition de la Société d’horticulture, un terrain en friche, rue Rieussec, disponible pour trois ans, afin qu’un jardin partagé puisse voir le jour. Depuis, un groupe de Viroflaysiens s’est constitué pour prendre part à l’aventure.Véronique pointe du doigt une plate-bande de pommes de terre. « Ce sont nos premières plantations. Un plant donne 5 à

10 pommes de terre, cela permet de partager rapidement quelque chose. » Tout un symbole. Elle poursuit la visite du lopin de terre. « Là, c’est de la phacélie, qui nourrit les abeilles et favorise la pollinisation. En bordure de ces allées, des iris agrémentent le jardin et permettent de retenir la terre. »

Plus loin, courgettes, fraises, côtes de blettes, thym, cassis ou encore sauge fleurie s’épanouissent… Récupération et débrouillardise sont les maîtres mots de ce jardin d’Eden. Les bordures des allées ont été confectionnées avec des lattes d’une ancienne terrasse prête à partir à la déchetterie. Les copeaux de bois étalés sur le sol, utiles pour absorber l’humidité, ont été donnés par l’entreprise viroflaysienne Treps. Enfin, la Ville a installé deux récupérateurs d’eau de pluie et Versailles Grand Parc a fourni trois composteurs. « Des riverains viennent d’ailleurs y déposer leurs épluchures et à terme, Versailles Grand Parc pourra s’en servir comme composteurs de démonstration », précise Véronique. Quant aux plantes, beaucoup ont été bouturées ou données par d’autres jardiniers. Ce sont tout autant des jardiniers expérimentés que des novices qui sont à l’œuvre. En témoignent Anne et Eric : « Nous n’avons pas de jardin et donc pas d’occasion concrète de jardiner. Des sujets comme l’économie collaborative, la culture biologique, nous intéressent. C’est agréable de venir ici. On apprend comment faire

On jardine, on échange, on partage ❝

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VILLE : LE GRAND RETOUR À LA NATURE

> Un jardin partagé a pris forme rue Rieussec grâce à l’implication de bénévoles.

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des associations de légumes, on échange, on se rencontre. » Pour Myriam, cette initiative lui permet un « retour à la terre ». « J’ai eu un jardin pendant 15 ans, avant de vivre en appartement. Ici, j’ai appris comment fabriquer et utiliser le compost qui permet d’enrichir la terre naturellement, comment créer des buttes de terre pour donner du relief… »Et les jardiniers de la rue Rieussec ne sont pas à court d’idées. En prévision, construire par eux-mêmes un potager surélevé pour que les personnes ayant des difficultés à se baisser puissent jardiner en hauteur. « L’écologie est à la portée de tous. Il suffit d’un peu d’huile de coude, des idées et de l’entraide », souligne Véronique. Pendant trois ans, chacun

acquerra de l’expérience. Trois ans pour « donner envie et montrer que l’on peut faire des choses ensemble. » Et pour tous ceux qui aimeraient rejoindre l’aventure, si l’équipe de la rue Rieussec affiche complet avec une dizaine de personnes en liste d’attente, il est possible de proposer un bout de son jardin pour initier un autre projet. ■

Infos pratiques Société d’horticulture et des amis des jardins de Viroflay 11, rue des Oiseaux. Tél. : 01 30 24 06 96 / shajv@orange.fr.

QUELQUES CONSEILS DE JARDINIERSUn jardin se prépare à l’automne. Pour cela, il est nécessaire de :> protéger son sol pour l’hiver en étalant les feuilles et les dernières tontes sur les plates-bandes. Celles-ci vont former un manteau naturel parfait,> faire du compostage. Il constituera une alimentation idéale pour le sol lourd et argileux tout en réduisant le volume de vos déchets.

Jardiner, une autre façon de se connaître

Chez Habitat et humanisme, l’idée que le jardinage pouvait être vecteur de convivialité et d’apprentissage a germé très tôt. L’association, qui gère dix logements,

rue Moser, afin de favoriser l’insertion de familles en difficulté, a lancé des ateliers à l’automne 2015. « Comme la résidence était neuve, il fallait aménager le jardin pour que les habitants soient heureux et fiers du lieu où ils habitent. Chaque famille étant accompagnée par un bénévole, cela permettait de nous retrouver tous ensemble autour d’un projet. La fondation Truffaut nous a fait une dotation pour acheter du matériel de jardinage et la Ville nous a donné des arbres et des arbustes », explique Véronique Henry, bénévole à l’initiative du projet. Habitat et Humanisme sollicite alors Espaces, une association de réinsertion par le jardinage, pour animer ces séances nature. Au total, six ateliers ont réuni cinq adultes et une dizaine d’enfants. « Compostage, plantation d’arbres fruitiers,

paillages, tailles, planning pour l’arrosage d’été, construction de nichoirs et d’abris pour les insectes, jeux pour les enfants autour de l’écologie… Tous ces rendez-vous ont aussi été un prétexte pour parler d’autre chose. » Depuis la rentrée, ce sont les bénévoles d’Habitat et humanisme qui poursuivent l’animation de ces ateliers avec les familles, à raison d’un tous les deux mois. Peut-être plus. « Cela dépendra de la demande. »

Infos pratiques Pour devenir bénévole dans le cadre d'un accompagnement de familleGeneviève Liouville au 06 02 31 21 53 / g.liouville@habitat-humanisme.org ou Béatrice Bournisien au 06 67 16 06 59 / b.bournisien@habitat-humanisme.orghttp://www.habitat-humanisme.org/

FOIRE AUX PLANTESDes professionnels de l’horticulture et des pépiniéristes présentent à la vente de nombreuses plantes pour jardins ou jardinières.Samedi 15 et dimanche 16 octobre de 9h à 18h30. Parvis de la biblio-thèque - 74, avenue du Général Leclerc.

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> Chacun partage ses connaissances en jardinage.

> Les locataires de la rue Moser ont découvert le jardinage lors d’ateliers.

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André, papa poule de Flora et TempêtePlus de 200 familles de l’agglomération ont adopté un couple de poules en mai. Ces nouvelles « meilleures amies de l’homme » donnent des œufs et surtout, favorisent la réduction des déchets.Les poules championnes du recyclage picorent jusqu’à 150 kg de déchets organiques par an. C’est pour cette raison qu’André Beillard et sa femme ont signé une convention avec Versailles Grand Parc les engageant dans une démarche écoresponsable. Sous condition de disposer d'un jardin individuel, de fournir un poulailler et de s'engager à bien traiter les animaux, la communauté d’agglomération a financé une partie du coût d'achat des deux gallinacées.Premier constat en arrivant chez les Beillard, les poules aiment leur maître. Quand celui-ci bêche, elles marchent dans ses pas pour chasser le ver de terre, puis, quand il se pose enfin, elles se couchent à ses pieds. Pour André, réalisateur de films documentaires, « Les poules fonctionnent à l’instinct et reconnaissent la main qui les nourrit… » Et qui les loge ! En effet, André, en fin bricoleur autodidacte a réalisé pour ses protégées un poulailler trois pièces tout confort visiblement très apprécié.« Ce choix d’avoir des poules résulte d’une démarche globale », nous explique celui qui disposait déjà d’un composteur. Si ériger un nid douillet l’a inspiré, trouver un nom aux deux spécimens a été une toute autre gageure. Aussi, il aura fallu l’aide de ses petits-enfants pour que les poules soient bâptisées. Après d’âpres discussion, les parrains d’un jour ont décidé que la poule pondeuse rousse se nommerait Flora et la noire, Tempête, pour

son caractère affirmé.« Avoir des poules, c’est sympathique sur le papier, mais ça engage notre responsabilité », avertit André sérieux. En effet, outre l’installation d’un poulailler, il faut anticiper les absences (la poule supporte mal les voyages), réfléchir à la configuration du jardin car s’il est important d’avoir des espaces ombragés, les poules aiment aussi la lumière comme le prouve la position décontractée de Flora en plein bain de soleil. Des poules qui certes se prélassent, mais qui sont avant tout d’incroyables ventres. « Omnivores, elles aiment tout, les pépins de melon, les feuilles de salade, la viande. Elles mangent en permanence et gare aux coups de bec », affirme André. « Elles vont jusqu’à se voler la nourriture. Ce sont des ogres », conclut Alice, 6 ans. Même s’il est difficile de satisfaire à l’insatiable appétit des poules, celles-ci vous le rendent bien. « Quel plaisir, quand elles ne couvent pas (baby blues de la poule), de récupérer chaque

matin deux œufs de 60 gr dont le goût dépasse tout œuf bio que vous pourriez acheter », confie André qui vante le jaune couleur safran des œufs maison. « Ils doivent être bon puisqu’elles en mangent les coquilles », assure Antoine, 4 ans. Et sa tante, Juliette, de rajouter, « Ils font d’excellentes crêpes ! » Juliette, l’une des filles d’André, prend plaisir à s’occuper des poules pendant les absences de son père. « Les enfants les adorent, ils se chamaillent pour ramasser les œufs du jour et les poules les apprécient. » Parfois encore, c'est Bernard un voisin qui se dévoue pour nourrir les gallinacées. Le soleil se couchera dans cinq minutes. Réglées comme des horloges suisses, il est temps pour Tempête et Flora d’aller se coucher et pour André, de fermer la porte de leur maisonnette. ■

Pour en savoir plus www.farmili.com/blog Retrouvez le guide des poules sur www.versaillesgrandparc.fr

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> André Beillard veille sur les deux poules données par Versailles Grand Parc.

> Ramasser les œufs devient un rite pour les enfants.

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Chaque mardi, jeudi et samedi toute l’équipe est sur le pont pour vous accueillir au marché place Leclerc.Tout y est, un étalage varié et alléchant, avec des produits choisis sur le volet, ultra-frais et de qualité. Il y en a pour tous les goûts, des espèces sauvages, des crustacés vivants, des coquillages, mais aussi des poissons labels rouge et BIO.Une seule préoccupation : contenter les clients avec des produits de qualité, mais aussi le conseil de vos artisans poissonniers, et la petite recette pour mieux vous accompagner dans votre cuisine.

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Une gestion écologique du patrimoine vert de la ville

La Ville est labellisée « deux fleurs » au niveau régional depuis 2014. Ce label ré-compense ses 14 335 fleurs annuelles et 13 300 fleurs bi-sannuelles plantées, mais aussi la gestion écologique de son patrimoine vert avec un arro-sage composé d’eaux pluviales et de sources avoisinantes, une réduction du passage des tondeuses grâce à de larges par-terres de fleurs - le coup de cœur du jury s’est d'ailleurs notam-ment porté sur les prairies de fleurs qui parsèment Viroflay - et une utilisation raisonnée des produits phytosanitaires. Le la-bel récompense également une

ville propre et un environne-ment visuel préservé grâce à un mobilier publicitaire dis-cret. Dans cette même lignée, Viroflay a remporté le concours régional 2015 sur le thème « Accueillir la nature dans nos rues et autour de nos arbres ».Bon à savoir, à partir de janvier 2017, la nouvelle règlementa-tion interdira l’utilisation de produits phytosanitaires. La Ville utilisera donc des produits « biocontrôles », qui ne pour-ront toutefois éviter la pousse des mauvaises herbes, surtout les années pluvieuses. Le prix à payer pour un environnement moins pollué. ■

Composter à domicile, c’est détourner des ordures ménagères, plus de 150 kg de matière organique par foyer et par an, et ainsi permettre leur recyclage. Versailles Grand Parc forme les Viroflaysiens au compostage et

offre un composteur à mettre dans le jardin. Il est également possible pour les résidences collectives de s’engager dans une démarche de compostage.Depuis 2010, grâce à un partenariat avec l'Ademe et la région Ile-de-France, deux sessions de réunions et de formation sont organisées chaque année à l'automne et au printemps. Aujourd'hui, près de 3600 foyers sont déjà équipés.Retrouvez toutes les infos sur le compostage, ainsi que le guide du compostage au sur www.versaillesgrandparc.fr / N° vert : 0 800 284 524 du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h.

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Le précieux nectar s’écoule lentement dans le récipient. Le fruit du travail de milliers d’abeilles qui ont butiné tout l’été. « Parmi les 12 ruches installées dans le parc de Bon Repos, seules trois sont en production. Les autres servent à l’élevage pour peupler le rucher », explique Jean-Albert Guieysse. L’apiculteur est à la manœuvre ce samedi 3 septembre dans la salle polyvalente de l’école Corot devant un public impatient de pas-ser à la dégustation. L’opération a pour but « de faire sortir le miel des cadres. A l’aide d’un couteau, on les désopercule pour que le nectar puisse s’écouler des cellules. Les cadres sont alors placés dans la centrifugeuse pour expulser le miel », détaille le spécialiste. « Ensuite, on filtre les débris de cire et après décantation on sou-tire le miel pour le mettre en pot. » Le subtil mélange de miel de tilleul issue des parcs et jardins et de miel de châtaignier provenant de la forêt offre un goût particulier dont se délectent les convives. Et notamment Isabelle, une Viroflaysienne : « Il est très bon et le goût est assez relevé. Lorsque j’étais enfant, mon grand-père avait une miellerie à Viroflay. Ses ruches étaient installées dans la forêt de Fausses Reposes. Je me souviens des gestes qu’il pratiquait exactement comme ceux des api-culteurs aujourd’hui. » Les 10 kilos de miel prélevés, Simonpierre Delorme, le second apiculteur qui s’occupe du rucher précise

qu’« il y a plus de fleurs en ville. La flore est variée et la période de floraison est plus longue. De plus, l’exposition aux pesticides est moins importante. » LES ABEILLES, SENTINELLES DE L’ENVIRONNEMENTC’est suite à une convention passée avec la Ville que les ruches ont pu être installées dans le parc de Bon Repos et, avec cette récolte annuelle ainsi que la visite du rucher proposée lors de la fête communale, les apiculteurs se félicitent de pouvoir partager leur passion et

transmettre un peu de leur savoir. L’occasion « pour certains d’être rassurés vis-à-vis des abeilles, de comprendre combien elles sont utiles avec la pollinisation des plantes ou encore d’acquérir une meilleure connaissance de la nature. Pour bien appréhender l’apiculture, il faut savoir comment vivent les plantes et fonctionnent les saisons. C’est un ensemble. Si on veut protéger les abeilles, on doit prendre soin de la nature », expliquent les spécialistes pour qui « l’abeille est la sentinelle de l’environnement. » ■

Le miel et les abeillesAprès la grande miellée de l’été, l’heure de la récolte a sonné. Malgré une météo en demi-teinte, nos butineuses, hébergées dans le parc de bon repos, ont travaillé sans relâche à l’abri du frelon asiatique et autres menaces.

DES PLANTES EN JARDINIÈRES Les conseils des jardiniers de la villeVous n’avez pas de jardin, mais quand même envie de jardiner ? Sachez qu’il est possible de cultiver fraises, tomates, radis, courgettes et autres cucurbitacées dans des jardinières sur un balcon. Ces plantes poussent facilement pour autant qu’on leur accorde un peu de temps et d’attention. Il est également possible de fleurir vos jardinières (ou jardins) avec des plantes vivaces, qui permettent d’obtenir un fleurissement durable et peu gourmand pour certaines variétés.

Enfin, les santolines, les heuchères, les pervenches, certaines variétés de verveines, de lin ou de sauge, sont parfaitement adaptées à une culture nécessitant peu d’entretien.

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> Lors de l’extraction de miel, les apiculteurs ont pu transmettre leur connaissance des abeilles aux Viroflaysiens.

> La Ville privilégie la gestion écologique des espaces verts.

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Voilà un mois que les élèves ont fait leur rentrée. L’occasion de faire le point et de donner quelques conseils de professionnels pour passer une bonne année.

RENTRÉE 2016

Les crayons sont taillés, les cartables fin prêts. Jeudi 1er

septembre, 1 466 enfants ont repris le chemin des trois écoles élémentaires et des trois écoles maternelles de Viroflay et 628 jeunes ont rejoint le collège Jean-Racine. Les écoles maternelles et élémentaires enregistrent une classe en moins, par rapport à la rentrée 2015, pour un nombre identique d’élèves, et ce, malgré l’ouverture d’une classe supplémentaire à l’école Corot, le lendemain de la rentrée, grâce à l’appui du maire et de la première adjointe (lire encadré).La Ville, gestionnaire du patrimoine bâti des écoles élémentaires et primaires, a profité de la trêve estivale pour effectuer des travaux dans les bâtiments avec, à l’école maternelle Le Coteau, la réfection de la toiture en tuiles et de la toiture terrasse, à l’école maternelle Lamartine, le remplacement de toutes les portes d’entrée, et dans le groupe

scolaire Arcades-Le Colombier, la réfection de la lasure des façades bois, pour un coût global de 208 800 €. Côté restauration scolaire, afin de favoriser une alimentation saine et équilibrée, la Ville maintient la préparation des repas sur place, dans la cuisine centrale, avec des menus validés en amont

par une commission composée notamment d’une diététicienne.A noter que, comme lors des précédentes rentrées, une aide aux devoirs est proposée à 24 collégiens, à Arc’Ados, et des cours de soutien en français sont proposés à 12 collégiens, à la Forge. ■

Rentrée scolaire : quelques astuces pour une année sereine

Pourquoi les classes, en particulier de maternelle, sont-elles si chargées cette année ?

Certaines classes, notamment des classes maternelles, comptent 34 ou 35 élèves. Les décisions d’ouverture et de fermeture de classes relèvent de la compétence du directeur aca-démique et, dans les Yvelines, ces décisions s’appuient sur une grille indiciaire départementale (dite grille Noder). Cette année, et plus particulièrement dans les trois maternelles, le seuil n’était pas atteint pour déclencher l’ou-verture de classes supplémen-taires. Une classe dans l’école élémentaire Camille Corot a toutefois pu être ouverte dès le lendemain de la rentrée scolaire grâce à une demande appuyée du maire, Olivier Lebrun, et de la première adjointe déléguée aux Affaires scolaires, Pauline Billaudel, auprès du directeur académique.

COMMENT MIEUX ACCOMPAGNER LES ENFANTS DANS LEUR SCOLARITÉ ?Nathalie de Boisgrollier, fondatrice d’Oze, association d’aide à la parentalité, vient de publier son second ouvrage chez Albin Michel « Heureux à l’école, tout commence à la maison ». L’auteure viroflaysienne nous livre quelques astuces.

Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ce livre ? J’ai entendu beaucoup d’amis se plaindre de l’école, pas assez adaptée au rythme de l’enfant, et d’enseignants se plaindre de parents qui savent tout. J’ai voulu montrer comment chacun pouvait

préserver le bonheur d’apprendre de l’enfant et qu’une grande partie de ce bonheur se développe à la maison.Quels conseils donnez-vous ?Mettre moins de pression sur l’enfant, lui donner confiance. Ce n’est pas parce qu’un enfant a des

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> Le maire, Olivier Lebrun, a effectué la tournée des classes lors de la rentrée scolaire.

> Nathalie de Boisgrollier, auteure viroflaysienne de livres pédagogiques.

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difficultés en primaire qu’il fera un mauvais collège et un mauvais lycée. L’inverse est vrai aussi. Le plus important, c’est l’instant présent.Les parents doivent apprendre à accompagner leurs enfants différemment. Pourquoi ne pas autoriser son enfant à réciter sa poésie allongé sur le canapé, donner le goût de la lecture en racontant des histoires ou en écrivant un carnet de voyage, faire des mathématiques en jouant... Bref, sortir de la théorie, mettre du concret. Lire des livres (au moins un) que son enfant doit lire, permet d’en parler et d’être

avec lui. Et puis, il est nécessaire d’apprendre à son enfant à persévérer, à écouter, à donner son avis, à dire son désaccord… Un enfant trop formaté risque de manquer de créativité et d’audace.A l’heure de la rentrée, comment rassurer les parents… et les enfants ? Si le chemin de nos enfants nous semble différent ou plus long, cela n’a pas d’importance. Ce sont nos peurs d’adulte qui renforcent celles des enfants. Les parents sont invités à être dans la confiance de la vie et à lâcher prise sur les enjeux de classe ou

de niveau. J’aime la notion de points positifs et de talents. N’hésitez pas à valoriser les compétences et les talents de vos enfants, plus nombreux que les difficultés qui ne sont que passagères. ■

Infos pratiquesHeureux à l’école, tout commence à la maison, le guide pratique des parents bienveillants. 256 pages. Prix : 16,50 €. Editions Albin Michel août 2016. Dédicace samedi 15 octobre de 10h30 à 12h30 à la librairie Une page de vie - 76, avenue du Général Leclerc. www.oze-coaching.fr / ndebg@oze-coaching.fr

Les jeunes et internet : les bons réflexes à adopter

« Les parents craignent les pratiques numériques de leurs enfants, mais paradoxalement, ils les accompagnent peu sur ce sujet. Sans doute par peur de ne pas savoir appréhender les techniques », constate Victor Portier, diplômé en Web development et intervenant chez e-Enfance. La conférence de sensibilisation du 4 octobre permettra d’expliquer les usages des jeunes sur les réseaux sociaux, d’identifier les pratiques à risques et de conseiller les parents dans leur rôle de vigie bienveillante en les dotant d’outils. « On observe une tendance à la

recherche de buzz par les jeunes, avec une surenchère d’images et de défis sur le net qui peut les mettre en danger physiquement ou nuire à leur e-réputation. » La soirée abordera aussi les points positifs du Web, « Un formidable moyen de communiquer, de s’informer », avec des mises en garde : « Une consommation excessive et irréfléchie favorise les risques d’écueil, les mauvaises rencontres… » Tout comme dans la vie « réelle », le web implique de donner les bons repères. Et il n’y a pas d’âge pour aiguiller un enfant dans son éducation

numérique. Dès lors que celui-ci est équipé en écran ou en capacité d’aller sur Internet, les parents ont un rôle à jouer pour l’aider à avancer de manière progressive et raisonnable. « Le jeune prendra vite de bons réflexes s’il est épaulé. A l’inverse, s’il découvre le Net, livré à lui-même, il n’aura aucun garde-fou et sera rapidement exposé à des risques importants », conclut le spécialiste. ■

Infos pratiques Conférence « Les jeunes et Internet : comprendre les enjeux et les risques pour mieux les accompagner » Par l’association e.Enfance. Mardi 4 octobre à 20h30. La Forge - 89, avenue du Général Leclerc. Entrée libre.

Plus d'infos www.e-enfance / numéro d’écoute : 0800 200 000 (Net écoute est une ligne d’écoute de prévention numérique gérée par E-Enfance pour le compte de la Commission européenne et de l’Etat français. www.netecoute.fr )

BON À SAVOIR> Un adolescent de 4e équipé d'un smart-phone passe en moyenne cinq heures par jour sur un écran quel qu’il soit, deux heures avant l’école, et trois heures le soir (source e-Enfance).

> 25% des 8/17 ans ont déjà été victimes d'insultes ou rumeurs sur Facebook.

L'association e-Enfance, agréée par le ministère de l'Education nationale, anime une conférence, mardi 4 octobre, pour aider les parents à mieux suivre les pratiques internet des jeunes et en éviter les dangers.

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> L'association e. Enfance donne une conférence à Viroflay.

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« Un lieu où l’on peut dire que ça ne va pas » Emmanuelle Le Prince-Ringuet, conseillère conjugale et familialeEmmanuelle Le Prince-Ringuet a pris ses fonctions de conseillère conjugale et familiale en mai. Elle reçoit sur rendez-vous au Cocon des familles. Un service de la Ville gratuit et ouvert à tous.

Quel est votre domaine d’intervention ?Je reçois gratuitement les couples, les familles, les parents, mais aussi les personnes seules pour des entretiens en famille, en couple ou individuels. J’accompagne les personnes qui souffrent dans leurs relations familiales. Ici leur est offert un espace, un temps où la souffrance peut être dite, entendue. Je pose des questions et je les amène à s’en poser

dans le respect de là où elles souhaitent aller. J’apporte des pistes, j’aide à prendre du recul et à trouver des solutions par elles-mêmes. Cet accompagnement se fait à leur rythme, le temps qu’elles jugent nécessaire.Quelles situations concrètes traversent les personnes que vous accompagnez au Cocon des familles ? Elles sont variées. Je reçois des parents un

peu perdus avec leur adolescent, des couples en crise, des personnes dont un proche souffre d’une addiction à l’alcool ou aux jeux vidéo. Je reçois également des personnes qui doivent faire face à un deuil, à une séparation, à la solitude, à l’isolement, qui ont des problèmes relationnels et cela, quel que soit leur âge… L’estime de soi est bien souvent au cœur de l’entretien. Ensemble, on essaye de comprendre ce qui ne va pas et on cherche ce que l’on pourrait mettre en place pour que cela aille mieux. A quel moment venir vous voir ? Il arrive souvent qu’une grande souffrance déclenche la décision de venir, mais c’est dommage d’attendre aussi longtemps et pour un couple, c’est parfois tard. La décision de rencontrer un professionnel n’est pas facile à prendre, pourtant elle désamorce des situations qui pourraient s’envenimer davantage. Il ne faut pas avoir peur de venir. La consultation se passe en toute confidentialité et avec bienveillance. Elle aide à se remettre en marche. Tout peut se dire en entretien et quelques fois, il s’agit du seul espace où l’on peut dire que ça ne va pas. ■

Informations pratiquesPermanences au cocon des familles mardi de 14h à 16h et vendredi de 9h à 11h. Sur rendez-vous auprès du Centre communal d’action social. Tél. : 01 39 24 12 60.

Le cocon des familles a ouvert ses portes le 7 mars. Il propose en un seul lieu plusieurs services à l’attention des parents, des familles et des professionnels de la petite enfance. Dans cet espace d’échanges, d’écoute et d’animations entre parents et enfants sont proposées des activités de soutien à la parentalité, des consultations pour tous avec une conseillère conjugale et familiale et une psychologue spécialisée dans la petite enfance.Les préoccupations autour de la grossesse, du lien à

son enfant ou les difficultés que l’enfant peut exprimer, trouvent un espace pour être approchées, pensées, et accompagnées. Le cocon des familles permet enfin aux jeunes parents de s’informer sur les différents modes de garde. Il a vocation à être un espace ressource pour les assistants maternels. Toutes les activités sont gratuites.16, avenue des Combattants. Tél. : 01 30 24 48 52. Informations sur www.ville-viroflay.fr (rubrique vie pratique / à tout âge / petite enfance 0-3 ans).

Bon à savoir : Le Cocon des Familles : un cocon pour tous ! ET AUSSI

> Association « père mère enfant médiation » au service de la famille 36, rue des Chantiers à VersaillesTél. : 01 30 21 75 55 / mf@apme-mediation.comwww.apme-mediation.com

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> Emmanuelle Le Prince-Ringuet reçoit sur rendez-vous au Cocon des familles.

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06 ❙ OCTOBRE NOVEMBRE 2016 ❙ cadre de vie 23

RUE D’ESTIENNE D’ORVES Le Syndicat des Eaux d’Ile-de-France procède depuis le 12 septembre au renouvellement du réseau d’eau potable, et ce, jusqu'à fin novembre.

RUE DU LOUVRE ENTRE LA RUE FAIDHERBE ET LA RUE DE JOUYA partir de mi-octobre pour deux mois, la Ville va procéder à la rénovation du réseau d’assainissement avec la reprise sous domaine public des branchements des pro-priétés riveraines et le remplacement d’un tronçon du réseau à l’angle de la rue de Jouy.Ensuite, la Ville réalisera une réhabilitation de la conduite principale sans ouverture de tranchée, puis en partenariat avec le Syndi-cat Intercommunal pour le Gaz et l’Electricité en Ile-de-France procèdera à l’enfouissement des réseaux électriques, de télécommunica-tions et d’éclairage public. Cette opération se poursuivra par le réaménagement de la voirie (trottoirs et chaussée).

RUES DU PRÉSIDENT DOUMER, GEORGES CLÉMENCEAU ET RAYMOND POINCARÉ Début novembre jusqu'à fin 2016, la Ville va rénover le réseau d’assainissement avec une reprise sous domaine public des branchements des propriétés riveraines. Le projet se poursuivra par une réhabilitation par l’intérieur du réseau principal sans ouverture de tranchée, puis par l’enfouissement des réseaux électriques, de télécommunications et d’éclairage public, par l’intervention de GRDF pour renouveler son réseau gaz et enfin par le réaménagement de la voirie.

QUARTIER VERDUN Les travaux de réaménagement se poursuivent boulevard de la Libération jusqu'à fin octobre. Le chantier continuera par le réaménagement de la rue René jusqu’à fin 2016. Début 2017, par le réaménagement du square Verdun puis, au printemps, par la reprise de la place de Verdun.

SENTE DE LA GARE ET SENTE DU HARAS ENTRE L’AVENUE GASTON BOISSIER ET LE TUNNEL PIÉTON Enedis (anciennement ERDF) va réaliser le renouvellement de son réseau HTA. Le démarrage du chantier est programmé à partir de la mi-novembre 2016 pour une durée d’environ deux mois et demi.

RUE DU COMMANDANT RAYNAL Le Syndicat des Eaux d’Ile-de-France va procéder au renouvellement de son réseau d’eau potable. Le démarrage du chantier est programmé à partir de mi-octobre pour environ deux mois.

TRAVAUX EN VILLEDes zones bleues pour faciliter le stationnement en ville

Viroflay compte 18 zones bleues. Ces zones comprennent 81 places qui proposent des durées maximales de stationnement de 15 mn (qui passeront fin 2016 à 20 mn), 20 mn ou 2h, ainsi que des arrêts minutes. Grâce à leur durée limitée, elles permettent une meilleure rotation des véhicules et maintiennent une offre de stationnement aux abords des lieux d’activités.Les cinq arrêts minutes sont situés au n°35-37, 76 et 96 de l’avenue du Général Leclerc, avenue Gouraud et place de la Bataille de Stalingrad, côté Marquette. Leur durée de stationnement maximale autorisée est de 20 minutes et certaines de ces places sont équipées de bornes lumineuses avec un voyant indiquant si la durée de stationnement

est respectée ou non. En cas de stationnement sur les zones bleues, les automobilistes doivent apposer un disque à l’arrière du pare-brise, côté passager, pour donner l’heure d’arrivée du véhicule et permettre à la police municipale de vérifier la durée de stationnement.A noter que pour faciliter ses déplacements, cinq parkings publics sont à la disposition des Viroflaysiens (parking couvert de la bibliothèque, parking couvert du centre-ville, parking Costes et Bellonte, parking de la gare Chaville-Vélizy, parking de la Pépinière). ■

BON À SAVOIRDes disques bleus sont à la disposition des Viroflaysiens chez les commerçants et à l’accueil de l’hôtel de ville.

Le plan local d’urbanisme évolue Adoption de la modification simplifiée n°1 du Plan Local d’Urbanisme (PLU)Le 23 juin, le conseil municipal a adopté la modification simplifiée n°1 du PLU. Les modifications précisent les dispositions relatives à l’utilisation du sol de la zone d’activités, clarifient certaines dé-finitions du règlement et définissent des dispositions pour favoriser les performances énergétiques des constructions existantes.Lancement d’une nouvelle modification du PLUD’autres évolutions sont intervenues depuis, nécessitant une nouvelle modification du PLU. Cette procédure est lancée depuis le 22 septembre, suite à un arrêté pris par le maire. Lors de la séance du 29 septembre, le conseil municipal a fixé les modalités de la mise à disposition auprès du public du dossier de modification du PLU. Il sera consultable en mairie du 7 novembre au 12 décembre 2016 - un registre sera ouvert pour recueillir les observations du public – et sur www.ville-viroflay.frLe public pourra également adresser ses observations par courrier.

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démocratie locale 24

La taxe foncière perçue par le Département passe de 7,58 % à 12,58 %. Cette hausse de la fiscalité traduit une situation critique sans précédent, avec des dépenses sociales obligatoires qui s’envolent et une réduction massive des dotations de l’Etat. Explications.

Le département des Yvelines, contraint à une hausse de la fiscalité

La dotation globale de fonctionnement versée par l’Etat a été ponctionnée de 90 % (soit 15 % de recettes en moins pour le département), parallèlement, les dépenses sociales obligatoires comme le RSA (Revenu de solidarité active) explosent (10 % de plus) sans aucune autre contrepartie financière de l’Etat. Au total, le département doit financer 200 M € de plus en fonctionnement.Pourtant, le département des Yvelines enregistre des frais de fonctionnement et une masse salariale les plus bas de France (18 % du budget seulement). Depuis des années, la collectivité parvient à cumuler la fiscalité la plus basse, l’un des niveaux d’endettement les plus faibles de France et une dépense de fonctionnement par habitant inférieure d’un tiers à celle des départements franciliens. Aujourd’hui, la perte des recettes est telle que le département est contraint d’augmenter les impôts notamment pour pouvoir poursuivre dans les cinq ans à venir ses investissements dans les collèges, le numérique, le logement et les transports.Pour Pierre Bédier, président du Conseil départemental des Yvelines, cette situation n’est pas irréversible. « Les prélèvements dans les Yvelines n’ont pas vocation à être dans la moyenne. Ils ont été et doivent redevenir parmi les plus bas de France : facteurs d’une croissance

dynamique et créateurs d’emplois. Nous ferons tout pour sortir de l’asphyxie financière provoquée par le gouvernement. Je souhaite qu’avant la fin du mandat, notre département soit celui où les impôts sont les plus faibles après Paris et les Hauts-de-Seine. Deux cas à part en raison de leur richesse immobilière. » ■

Informations sur www.yvelines.fr

POUR VOTER EN 2017, INSCRIVEZ-VOUS SUR LES LISTES ÉLECTORALES AVANT LE 31 DÉCEMBRE

2017, ANNÉE D'ÉLECTIONS

Les élections présidentielles se dérouleront les 23 avril et 7 mai 2017 et les législatives, les 11 et 18 juin 2017 afin de désigner les députés siégeant à l’Assemblée nationale.Pour pouvoir voter, il faut être inscrit sur les listes électorales avant le 31 décembre 2016. L'inscription est automatique pour les jeunes de 18 ans. Ceux qui se trouvent dans une autre situation

(déménagement, première inscription...), doivent prendre l'initiative de la demande.

Possibilité d’inscription via www.service-public.fr ou auprès du service civil de la mairie, muni d’une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport en cours de validité) et d’un justificatif de domicile récent à son nom.

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Si la Ville ne peut choisir les commerces qui s’implantent en raison de la liberté d’entreprendre, elle mène des actions pour favoriser un commerce de proximité grâce notamment à un travail avec des opérateurs privés, les Chambres de commerce et d’industrie et les Chambre de métiers et de l’artisanat. Dans le quartier Corby, par exemple, la Ville a demandé au bailleur de l’immeuble du 161 avenue du Général Leclerc, de favoriser l’implantation d’une boulangerie. En parallèle, elle a mis en contact le bailleur avec une enseigne qui accompagne l’installation de boulangeries. Une boulangerie ouvrira prochainement.La Ville a également pris des contacts avec de grandes enseignes bios afin de favoriser l’implantation de ce type de commerces. Ces actions de sensibilisation peuvent prendre du temps. Et pour qu’un commerce

perdure, une offre en adéquation avec la demande demeure la règle.Aujourd’hui, Viroflay compte 201 commerces dont 28 commerces alimentaires. Quatorze dans le centre-ville, deux à Corby (auxquels s’ajoute la future boulangerie), quatre dans le village, deux à Rive droite et cinq à Verdun. A noter qu’en 2009, il était dénombré 232 commerces dont 23 alimentaires. Si le nombre d’enseignes a baissé, celui des commerces alimentaires a donc augmenté. ■

Dans chaque numéro, retrouvez l’une des questions posées par les Viroflaysiens lors de la permanence des élus, le premier samedi du mois (1er octobre et 5 novembre) de 10h à 12h au marché Leclerc. Lire Sortir p. 14.

LE MAIRE À VOTRE RENCONTRELe maire, Olivier Lebrun, et les élus, rencontrent les Viroflaysiens pour parler des projets en cours et échanger avec eux. Samedi 8 octobre de 10h à 12h. Quartier Corby. 206, avenue du Général LeclercDimanche 6 nov. de 10h à 12h. Quartier Verdun. Place de Verdun.

QUESTION Pourquoi la Ville ne favorise-t-elle pas davantage l’implantation de commerces de bouche et de commerces bios ?

RÉPONSE

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DEUX MATINÉES POUR DIALOGUERDANS LES quartiers corby & VERDUN

LE MAIRE À VOTRE RENCONTRE

Samedi 8 octobrede 10h à 12hQuartier Corby

Dimanche 6 novembre de 10h à 12hQuartier Verdun

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Des bureaux collaboratifs dans la gare de Chaville-VelizyUn espace de coworking géré par Burol@b verra le jour dans la gare de Chaville-Vélizy mi-novembre. Il s’agit du premier espace de bureaux partagés ouvert par la SNCF à Viroflay.

A Viroflay dans l’ancien logement du chef de la gare de Chaville-Vélizy, (gare qui comptabilise 4 000 à 5 000 voyageurs par jour), quatre pièces sont en cours d’aménagement en bureaux permettant d’accueillir jusqu’à 19 personnes simultanément. « Ce sera comme un centre d‘affaires où les coworkers et les personnes passant dans la gare pourront cohabiter pour travailler », explique Thibaud de Loynes, co-fondateur de Burola@b et gérant de cet espace mis à disposition par la SNCF. Le lieu proposera notamment des services innovants comme un espace « conseil numérique et activité » ou encore la location de trottinettes électriques.Le coworking ou cotravail intègre les notions de travail partagé et de réseau de travailleurs,

encourageant l’échange et l’ouverture. La France est l’un des fers de lance du mouvement puisque Paris était début 2016*, la 3e métropole du monde la mieux dotée de ces espaces avec 88 unités (Barcelone en compte 92 et New York 119). La SNCF s’est engagée dans la création de ces bureaux partagés afin d’améliorer le potentiel économique et l’attractivité de ses gares, de proposer des solutions alternatives à la mobilité « obligée » et de favoriser l’implantation de petites entreprises. Ces espaces sont élaborés en concertation avec les collectivités territoriales et confiés à des gestionnaires, tel Burol@b, dont le métier est d’accompagner dans ces espaces les chercheurs d’emploi, les indépendants, les salariés en mobilité, les entrepreneurs et les

petites entreprises.« Le coworking est en Ile-de-France une bonne solution pour travailler en réseau et à moindre frais », poursuit Thibaud de Loynes, initiateur du projet viroflaysien avec Françoise-Marie Lemoine et avec le concours d’Arnaud Mercier, président de Versailles Club d’Affaires, et du réseau Solidarité Coordination Yvelines. « Après deux années passées à chercher des salles de travail à partager à Versailles, nous avons eu l’idée de monter notre propre espace de coworking pour répondre aux problèmes des chercheurs d’emploi », explique Thibaud de Loynes. Le projet a été retenu par la SNCF pour monter trois bureaux de coworking, dont un à Viroflay. « Chacun de nos centres est géré avec des chômeurs longue durée, ainsi que par des bénévoles afin de favoriser une remise en situation professionnelle et de promouvoir l’économie sociale et solidaire locale. Tout comme nos premiers bureaux ouverts en 2014, rue Franklin à Versailles, nous réfléchissons à un espace dit polyvalent, favorable à la mixité et flexible. » Des utilisateurs qui devraient, d’après l’expert, être principalement des entrepreneurs et indépendants (coachs, consultants, assureur, expert-comptable, designer web…) et des demandeurs d’emplois. « L’émulation et le réseau qui naissent dans ces centres sont une vraie plus-value pour chacun, quelle que soit sa situation », conclut Thibaud de Loynes. ■

*Etude La Fonderie, agence numérique de la Région Ile-de-France.

Infos pratiques

Ouverture prévue le 15 novembreTarifs : 250 € TTC par mois (disponible 24h/24 avec clé) ou forfait à l’heure.Tarif réduit pour les chômeurs : - 50 %Wifi / Coin convivial (zone verte) / accueil / Open space de coworking (zone rouge) /3 bureaux pour TPE et start-ups éventuelles (zone bleue).Contact : 09 83 99 77 89 / 06 12 78 01 00 - http://www.burolab.fr - info@burolab.fr

Le coworking est une bonne solution pour travailler en réseau et à moindre frais❝

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> La SNCF propose à la location quatre bureaux en « coworking » dans la gare de Chaville-Vélizy.

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MISSION LOCALE INTERCOMMUNALE DE VERSAILLES

Un accompagnement pour l'emploi des jeunesEn 2015, 666 jeunes ont trouvé un emploi et 358 ont débuté une formation grâce à la Mission locale intercommunale de Versailles (MLIV).

« Les missions locales existent depuis 25 ans, date du rapport sur les Zones urbaines sensibles (ZUS) du professeur Schwartz pour qui il fallait lutter contre l'isolement et accompagner les jeunes en difficulté avec un regard bienveillant et dans un esprit de libre adhésion », explique Marie-Antoinette Marq-de Saint Chaffray, chargée de mission dans la structure. La MLIV, association loi 1901 de service public de proximité, missionnée par l’Etat et les collectivités territoriales, s'adresse à tous les jeunes de 16 à 25 ans, sortis du système scolaire. Notamment ceux, peu ou pas qualifiés, qui rencontrent des difficultés en matière d'insertion professionnelle ou sociale.L’équipe, répartie entre son siège versaillais et ses antennes, est constituée de conseillers en insertion socio-professionnelle avec une approche à la fois professionnelle et sociale des jeunes. Un accompagnement individualisé est renforcé par le soutien ponctuel de parrains bénévoles qui aident les jeunes à se mobiliser pour faire aboutir leurs projets. « Nous sommes toujours en recherche de bonnes volontés, l'année passée, sur 87 parrainés, 70 ont trouvé un emploi ou une formation, ou ont obtenu un diplôme ou un concours », détaille Marie-Antoinette. « Notre première mission est de redonner confiance au jeune tout en respectant le temps dont il aura besoin pour finaliser son projet professionnel », explique la conseillère pour qui la plupart de ces jeunes « subissent » des vies chargées de nombreux problèmes ou, sont au contraire issus d'élites, mais délaissés, faute de répondre au modèle familial.

Si les conseillers disposent du traditionnel parcours de retour à l’emploi pour guider les jeunes, ils les soutiennent également sur des axes divers (santé, justice, handicap, mobilité, citoyenneté…) qui viendraient freiner leur insertion sociale. De nombreuses formations et aides sont proposées grâce aux partenaires locaux. « Nous avons la chance de disposer d’un tissu associatif extrêmement riche au sein du territoire versaillais », souligne la chargée de mission. C'est cette richesse qui permet par exemple de proposer des ateliers de groupe sur l'alternance, le logement, les langues, le budget personnel... « Sans perdre de vue l’objectif final qu’est la mise à l'emploi », poursuit Marie-Antoinette. « Bien

que déroutant, le cadre est important pour ces jeunes. Nous nous efforçons de les rendre acteurs et non plus spectateurs de leurs propres vies. » Et les réussites sont nombreuses comme en témoigne Thomas, 25 ans. « Grâce à la Mission locale, j'ai décroché un emploi d’avenir comme agent de maintenance des bâtiments à l’hôpital Mignot et ça me plait ! » ■

Infos pratiques

Mission locale intercommunale de Versailles (MLIV) 7, rue Jean Mermoz, Bât B - 78000 Versailles. Tél. : 01 30 83 27 60 / mission-locale@mliv.org / www.mliv.orgDu lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30 et le vendredi matin, de 9h à 12h30.

ACTUALITÉSEMAINE EUROPÉENNE POUR L’EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉESDu 14 au 20 novembreCette semaine vise à modifier la perception du handicap en entreprise et dans la société. Programme des animations www.semaine-emploi-handicap.com

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> Les jeunes accueillis par la Mission locale bénéficient de l’accompagnement d’un « parrain ».

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30L'ÉVÈNEMENTPlusieurs jours et une nuit pour les 20 ans de l'Ecu de France

33LES IMMANQUABLESL'enfance vue par Maurice DenisLes rencontres du jumelage en musique

34LE BLOC NOTES DES ASSOCIATIONS

L'Ecu de France en fêteOn n'a pas tous les jours 20 ans !

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L'Ecu de France fête ses 20 ans

L’Ecu de France qui s’est construit au fil du temps regroupe aujourd’hui la majeure partie des activités culturelles de la ville (expositions, ateliers d’art, cours de langues, direction des Af-faires culturelles). Un lieu emblématique chargé d’histoire qui fête ses 20 ans le 19 novembre.

Rome ne s’est pas faite en un jour ! Il en va de même pour l’Ecu de France. Le prestigieux pôle culturel fête cette année ses 20 ans d’existence. Que de chemin parcouru par l’ancien relais de poste construit en 1780. Tour à tour café avec sa terrasse d’angle, puis salle d’exposition, il faudra attendre 1996 avant que les lieux s'agrandissent en intégrant le " séchoir ", témoin des anciennes blanchisseries de la ville. Le projet à la Grâce de Dieu habite des services municipaux depuis 1989. Lorsque l’Ecu de France est inauguré le 16 novembre 1996 par Franck

Borotra, alors ministre de l’Industrie, de la Poste et des Télécommunications et président du Conseil général des Yvelines, l’homme d’Etat avouera être « impressionné par la réalisation. Un investissement pour l’avenir », déclarera-t-il dans l’immense salle d’exposition de 300 m² aux côtés de Gérard Martin, le maire de l’époque. Et les premiers visiteurs sont tout de suite conquis par l’édifice dont l’incroyable luminosité permet de sublimer les œuvres. « C’est certainement un des plus beaux salons de la périphérie de Paris. » « Ce qu’il y a de bien, c’est que l’on peut

toucher les sculptures. On peut les approcher, en faire le tour. » Les avis sont unanimes, pari réussi pour la ville. Le Conseil d’architecture d’urbanisme et d’environnement des Yvelines (CAUE 78) attribuera même à Viroflay le premier prix de la catégorie « Equipement socio-culturel » pour la réalisation. Et de fait, le bâtiment arrive magistralement à unifier l’ancien et le moderne grâce aux architectes G. Goeffroy et F. Zonca, alors maîtres d’œuvre. L’édifice qui abrite les ateliers d’art accueillera ensuite l’animation culturelle et la direction des Affaires

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culturelles. Quelques années plus tard, en 2007, c’est au tour de la bibliothèque et de l’auditorium d’être inaugurés par l’équipe municipale. L’ensemble forme alors un lieu de savoir et d’échange incontournable en plein centre-ville. « Sa position permet de renforcer le centre et de rapprocher les deux rives », souligne Jane-Marie Hermann, maire-adjointe déléguée à la Culture et au Jumelage. « Nous essayons de développer les synergies entre la salle d’art contemporain et la bibliothèque couplée à l’auditorium. Six à sept expositions sont organisées chaque année. Cela participe au rayonnement de la ville. »Aujourd’hui, l’édifice reçoit près de 280 élèves dans les différents ateliers d’art et 160 élèves pour les cours de langue. « Transmettre ce savoir est primordial », explique la responsable des ateliers. « Outre la technique, ils ont l’opportunité de mettre en scène leur sensibilité artistique. Une ouverture à la compréhension du monde de l’art. Mais aussi au monde d’aujourd’hui dans lequel nous sommes bombardés d’images. » ■

DES MOMENTS INOUBLIABLES

Parmi les événements qui resteront dans les annales, la maire adjointe déléguée à la Culture et au Jumelage se souvient du centenaire de 14-18 ou encore de l’exposition le Papier dans tous ses états. « Une performance est organisée à chaque vernissage. En l’occurrence, il s’agissait d’un défilé de mode avec des robes en papier, c’était très impressionnant », confie Jane-Marie Hermann. La manifestation autour du « light painting » a elle aussi marqué les esprits. « C’était après les attentats, l’année dernière. Un moment très fort. 300 personnes ont formé une tour Eiffel sur le parvis, rappelant le symbole de paix et d’amour. Il y avait beaucoup d’émotion. La preuve également que c’est un lieu de rassemblement », indique la responsable des expositions. Avec l’organisation de ces événements, elle souhaite « sortir des sentiers battus, proposer quelque chose de différent. L’objectif est de mettre en lumière des pratiques artistiques et de faire dialoguer différents univers. » Au sujet de la galerie, elle estime sa conception « sur le principe d’un parcours. La première salle haute sous plafond permet d’accueillir des œuvres qui ont parfois du mal à trouver leur place ailleurs. La seconde, en haut, est plus intimiste. Ces espaces dialoguent et offrent une perspective sur deux niveaux. » Elle en est convaincue, « ce lieu a une âme. »

RENDEZ-VOUS LE 19 NOVEMBRE POUR LES 20 ANS

Le public est convié à fêter l’événement samedi 19 novembre à partir de 19h. L’occasion d’admirer l’œuvre collective qui sera assemblée à partir des créations faites de fil, tissu, plastique ou encore de papier de tous les participants. « L’installation sera alors suspendue au plafond. L’idée est de permettre aux Viroflaysiens de s’approprier les lieux. Tout le monde est sollicité ». Un événement qui s’inscrit dans la manifestation « Regards Textile(s) » organisée du 3 novembre au 4 décembre avec neuf artistes de la fibre. Marion et Sylvie Breton, de l’association « Jours, Semi et Entre-deux », proposeront également un atelier « badge à broder » pendant la soirée. D’autres surprises sont au programme : concert de batucada avec le public en utilisant des outils, issus des différents ateliers comme instruments de musique, le tout sur une composition originale de Philippe Raynaud, directeur du conservatoire, lectures et enregistrements, projections… Autant de rendez-vous qui permettront de découvrir les activités de L’Ecu de France sous un autre angle. Un anniversaire à ne rater sous aucun prétexte. Lire sortir page 6.

❝ L'AVIS DES VIROFLAYSIENSMarie-Claire – Le Louvre« Je garde en mémoire de fabuleuses expositions »Je fais partie du « Souvenir de Corot ». Souvent, les gens nous disent que c’est une des plus belles salles d’exposition. Je reconnais volontiers que c’est un bel endroit, grand et lumineux. Je garde en mémoire de fabuleuses expositions avec des peintres de la région. Et notamment Danièle Fuchs. C’était une amie. Elle a commencé très jeune avec Dunoyer de Segonzac. J’aimais beaucoup ce qu’elle faisait et plus particulièrement ses gravures de chemins de croix ainsi que ses aquarelles.

Marie-Josée – Les Bertisettes« Les activités proposées sont très variées »Je participe aux ateliers de reliure depuis 1982. J’ai eu l’occasion de voir trois professeurs différents qui avaient chacun leurs méthodes. Ils ont été complé-mentaires. J’aime beaucoup cette activité. Le travail du cuir est très agréable, on lui donne de la forme, on choisit la couleur… On peut faire énormément de choses dans la reliure, c’est très varié. D’ailleurs, les activités proposées ici sont elles aussi très variées. Et les expositions très souvent intéressantes. Celle avec quelques sculptures de Camille Claudel m’avait beaucoup plu.

Jeanine – Rive droite« Je fréquente les lieux depuis 25 ans »Les ateliers d’art offrent un éventail d’activités très intéressant. Je suis assez satisfaite de l’offre qui est proposée pour une commune de 16 000 habitants. Depuis 25 ans que je fréquente les lieux, j’ai fait de la photo, du dessin, de la peinture ainsi que de l’aquarelle. Et en ce moment je fais de la gravure. C’est passionnant. Les expositions ne correspondent pas toujours à mes goûts. Celle sur les céramiques était en tout cas très réussie.

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L'enfance selon Maurice DenisLe 65e Salon du Souvenir de Corot met à l’honneur le peintre Maurice Denis (1870-1943) à travers une exposition sur l’enfance.

« Je sais parler aux moins de dix ans, je leur inspire confiance, j’ai vite fait de me mettre à leur portée ou à leur place », c’est ainsi que Maurice Denis s’adresse aux jeunes, dans l’hebdomadaire Benjamin paru en 1933, pour les sensibiliser à l’art. Si le peintre sait parler aux plus petits, il aime aussi les représenter. Tout au long de sa vie, le porte-parole du mouvement Nabi, qui est aussi père de famille nombreuse, dessinera entre autres ses enfants et petits-enfants dans le quotidien de leur vie. Un nourrisson souriant, Marthe au piano ou dessinant, Claire la main levée, Pauline sur la plage… Les scènes de vie et les portraits, peints ou esquissés, se succèdent et

livrent la tendresse de son regard, le bonheur partagé, l’innocence et la joie, ainsi que l’amour maternel.Le Souvenir de Corot a choisi de rendre hommage à cet artiste majeur à travers l’exposition « Maurice Denis et l’enfance » qui présente, jusqu’au 23 octobre, seize peintures originales et douze lithographies. Les artistes contemporains invités à ce 65e salon exposent étalement des œuvres autour de l’enfance.« J’ai le souvenir d’un homme qui travaillait beaucoup », raconte Claire, l’une des petites-filles de Maurice Denis. « Il aimait bien que l’on vienne à l’atelier, mais il ne fallait pas trop le

déranger. En fin d’après-midi, il nous emmenait jardiner. Il nous expliquait la perspective, nous faisait observer la forme des bourgeons et les différentes couleurs. Il était très pédagogue. » C’est ainsi que le peintre conçut un livre de coloriage pour enseigner la perspective et le dessin aux plus jeunes. Un ouvrage également présenté dans l’exposition. Maurice Denis fut l’initiateur avec Paul Sérusier du groupe postimpressionniste des Nabis qui se forme en 1888-1889 (groupe influencé par Paul Gauguin, qui rassembla notamment Pierre Bonnard, Edouard Vuillard, Félix Vallotton). Artiste yvelinois, il a résidé et travaillé à Saint-Germain-en-Laye, dans sa propriété nommée « Le Prieuré », devenue aujourd’hui un musée départemental consacré à son œuvre, aux artistes symbolistes et Nabis et à leur époque. ■

INFOS PRATIQUESMaurice Denis et l’enfanceExposition jusqu’au 23 octobreGalerie A l’Ecu de France - 1, rue Robert Cahen. Ouvert tous les jours de 14h à 19h. Entrée libre.Retrouvez le livre de coloriage dans son intégralité sur www.ville-virolfay.frInfos : www.mauricedenis.com Catherine Roch, peintre officielle des Armées, réalisera des portraits d’enfants samedi 1er et dimanche 2 octobre de 15h à 18h et ensuite sur rendez-vous au 06 61 12 20 16. Tarif : 120 € pour une séance de 45 mn. www.amismauricedenis.org /www.musee-mauricedenis.frwww.souvenirdecorot.com /

UN DIALOGUE MUSICAL FRANCO-ALLEMANDLes rencontres du jumelage

Deux rendez-vous musicaux sont pro-posés dans le cadre des Rencontres du jumelage qui mettent en lumière les liens unissant les villes jumelées de Viroflay et de Hassloch en

Allemagne, avec le 13 octobre à 20h30 à l’au-ditorium, un dialogue musical chant lyrique, piano, et le 15 octobre à 20h30 à l’auditorium, un concert avec le quatuor Lupot, spécialement venu de Hassloch, qui interprètera des œuvres de Camille Saint-Saëns et de Radu Paladi. Les rencontres du jumelage se poursuivront par un cycle de trois conférences en janvier, mars et mai. Lire Sortir p.7

DEVENEZ JURY DU CONCOURS DE NOUVELLES LITTÉRAIRESEnvie de vous lireL’association Envie de vous lire organise chaque année un concours de nouvelles. Pour la thématique 2016, « La révolte des moutons », 67 nouvelles ont été reçues. Pour devenir jury et élire votre nouvelle préférée parmi six sélectionnées, rendez-vous sur le site dès le 5 novembre, et votez à la bibliothèque avant le 10 décembre. La remise des prix se déroulera samedi 7 janvier à la bibliothèque.Infos : www.enviedevouslire.fr

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LES IMMANQUABLES

> L’enfance vue par Maurice Denis.

> Les rencontres du jumelage en musique.

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Bloc-notes des associations■ ZOOM

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BESOIN D'UN COUP DE MAIN ? CHANTIERS YVELINES EST À VOTRE SERVICE !Chantiers Yvelines

Vous avez des travaux de maçonnerie, de petit bricolage, de pose de revêtements muraux ou de sol, de peinture, de ménage ou jardinage, de manutention ou encore un déménagement à faire ? Vous souhaitez confier cela à un prestataire extérieur ? Pensez à Chantier Yvelines, une association locale qui favorise le retour à l’emploi des personnes par des contrats de travail auprès des particuliers, entreprises, associations ou collectivités.Vous pouvez solliciter la venue d’un

accompagnateur pour estimer la faisabilité et la durée des travaux ainsi que les fournitures à prévoir. Puis, l’association affectera la mission à la personne qui convient. Ensuite, la mission s’effectuera sous la responsabilité du donneur d’ordre et se déroulera dans des conditions optimales grâces aux salariés de Chantiers Yvelines. L’association, en tant qu’employeur, prend en charge toutes les formalités administratives. Les factures des services à la personne peuvent notamment se régler par chèque bancaire ou chèque emploi service universel. Enfin, dans le cadre des emplois familiaux (ménage et jardinage), les particuliers peuvent déduire de leurs impôts 50 % des sommes versées.

Infos : 24, rue du Maréchal Joffre. Versailles Tél. : 01 39 07 25 35 du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30 / insertion@chantiers-yvelines.fr / www.chantiers-yvelines.fr

UN ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ ET DES ATELIERS POUR RETROUVER UN EMPLOISolidarités Nouvelles face au Chômage ❙

Depuis 1985, Solidarités Nouvelles face au chômage, composée d’antennes locales, accompagne bénévolement les demandeurs d'emploi dans leur recherche. L’antenne viroflaysienne, située près de la gare Rive droite, compte huit bénévoles viroflaysiens, actifs ou retraités, qui aident des « offreurs de talents » à retrouver un emploi. Certains de ces bénévoles participent également à l'animation d’ateliers proposés par l’antenne (compétences, projet professionnel, communication orale, entretien…).

« Solidarités Nouvelles face au Chômage est complémentaire de Pôle Emploi. Elle m’a soutenu dans cette période de recherche d'emploi grâce à un accompagnateur bénévole. A chaque rendez-vous, nous faisions le point sur mes avancées. J’ai participé à des ateliers collectifs et j’ai pu rencontrer d’autres personnes. Cela m’a encouragé à l’action et m’a aidé à sortir de l'isolement. », témoigne un Viroflaysien. Comme lui, une quinzaine de Viroflaysiens ont retrouvé un poste ou créé leur entreprise.Infos : www.snc.asso.fr / www.scy.org / Tél. : 01 39 49 05 19.

TROUVER UNE ACTIVITÉ BÉNÉVOLE QUI NOUS RESSEMBLEFrance bénévolat ❙

Depuis 2010, le bénévolat associatif progresse régulièrement. Les activités permettent un engagement régulier (écoute, gestion, communication, management, formation…) ou ponctuel (collectes, accompagnements…). Parce qu’il n’est pas toujours facile de choisir une mission bénévole qui correspond à sa personnalité et à ses motivations, France Bénévolat aide à concrétiser un projet d’engagement en mettant en relation des futurs bénévoles avec les associations. Elle accompagne également les associations dans la gestion de leurs bénévoles et valorise le bénévolat. L’association compte

250 points d’accueil dans toute la France, dont le bureau de Versailles.Infos : France bénévolat Versailles - 7, rue Sainte-Sophie (gare Rive droite). Tél. : 01 39 20 09 69 les lundis et jeudis de 14h30 à 17h, le samedi matin sur rendez-vous. www.yvelines.francebenevolat.org

LE MONDE DE LA VIGNE ET DU VINCercle Œnophile de Viroflay ❙

Le Cercle Œnophile de Viroflay propose des dégustations thématiques afin de découvrir dans une ambiance conviviale des vins de France et du monde. Possibilité de participer à une ou plusieurs soirées durant lesquelles la dégustation de cinq à six vins est accompagnée d’un léger repas froid servi assis et d’un diaporama commenté.Les samedis à 18h45 - 15 octobre (dégustation animée par un œnologue sur le thème Mets et Vins), 3 décembre (dégustation prestige St Emilion-Fronsac), 21 janvier (vins d’Australie et de Nouvelle-Zélande), 25 mars (vins de Loire et de la région Tours-Saumur), 20 mai (vins de Calce - Roussillon).Tarifs : entre 16 € et 22 € + 6 € pour les non adhérents. Adhésion annuelle : 12 €. Inscription, minimum 8 jours à l’avance, 88 places. Infos : bmstrevisan@free.fr / https://cercleoenoviroflay.wordpress.com/

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RÉUNION MENSUELLEAmicale philatélique de ViroflaySamedi 1er, 15 octobre et 5 novembre de 16h à 18h ❙Conseils d’experts, échange, fourniture de timbres, abonnements à des revues spécialisées...Ecu de France, salle 101 (1er étage).Infos : Jacques Vialette au 06 71 30 23 88.

CONFÉRENCESSociété d’Histoire et d’ArchéologieMardi 4 octobre de 9h30 à 11h ❙La sortie de la guerre 14-18, les traités de paix et les modifications apportées à la structure de l’Europe.Mardi 8 novembre de 9h30 à 11h ❙L’histoire de l’Allemagne, de la fin de la guerre jusqu’au milieu des années 20.La Forge. Entrée libre.

CONCERT CLASSIQUE AU PROFIT DES DÉMUNISAccueil Ecoute ViroflayDimanche 9 octobre à 16h30 ❙Par l’orchestre de l’Académie de Versailles. Haendel, Bach, Mozart. Direction Serge Canal. Au profit d’AEV, association d’aide aux personnes démunies. Eglise Notre-Dame du Chêne. 28, rue RieussecTarifs : 10 €. Réduit : 5 €. Vente sur place ou à la librairie Une page de vie. Infos : 01 30 21 18 63.

BRADERIES DE RENTRÉEAssociation Générale des Familles de ViroflaySamedi 15 octobre de 9h à 18h ❙Vêtements.Samedi 19 novembre de 12h à 18h ❙Jouets.Salle Dunoyer de Segonzac Infos : 01 30 24 34 52 (mercredi et samedi de 10h à 12h) / http://agfv-viroflay.fr. (Le dépôt des vêtements et jouets à vendre est réservé aux adhérents).

CAFÉ POLYGLOTTEComité de jumelageVendredis 28 octobre et 25 novembre à 19h ❙Auberge des Arcades : 134, avenue du Général LeclercInfos : pat.vero.morin@free.fr

SOCIÉTÉ D’HORTICULTURE ET DES AMIS DES JARDINS DE VIROFLAYAteliers d’art floralSamedis 5 novembre, 17 décembre, 4 février, 11 mars, 13 mai ❙Dirigés par une professeure diplômée.La Forge - 89, avenue du Général Leclerc. Tarifs : adhésion 15 € par an+ 15 € pour l'achat de végétaux et accessoires à chaque atelier. Infos : 01 30 24 11 77 / laurence.lavillonnière@gmail.comAutres activités : visite du clos

paradénia safrané à Rosay (le 8 octobre), tombola de plantes, jardin partagé rue Rieussec. Infos : 01 30 24 06 96 / shajv@wanadoo.fr

SPECTACLE MUSICALTroupe AiranceSamedi 12 novembre à 20h30 et dimanche 13 novembre à 16h ❙Un moment d’émotion, d’humour et de tendresse avec à une balade à travers le répertoire de la chanson française, du Jazz et de la comédie musicale.Salle Dunoyer de SegonzacTarifs : 12 €, Etudiants/enfants 6 €.Réservation : 06 63 18 31 71.

CONFÉRENCE-DÉBAT " LES MIGRANTS, UNE CHANCE POUR NOUS ? "par CCFD-Terre Solidaire, Amnesty International, Secours Catholique, APIV, RESF, LA CIMADEMardi 15 novembre à 20h30 ❙Intervention de Catherine Wihtol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, spécialiste des migrations internationales.Salle Dunoyer de Segonzac.Entrée libre.

COLLECTE NATIONALESecours catholiqueSamedi 19 et 20 novembre ❙Opération « 10 millions d’étoiles »

Vente de bougies.Samedi 3 décembre ❙Marché Leclerc.Les 17 et 18 décembre ❙

LES MYSTÈRES DE NOTRE-DAME DU CHÊNEParoisse Notre-Dame du ChêneDimanche 20 novembre à 17h ❙ « Les Mystères de Notre Dame du Chêne » évoqueront sous forme de tableaux, la vie de la communauté chrétienne, les souvenirs de ces 50 ans, les fioretti de ce temps de jubilé. Entrée payante. Plus d’infos sur viroflay-catholique-yvelines.cef.fr

SOIRÉE FESTIVE BANGLADAISEComité Yvelinois de Soutien à GK Savar-BangladeshSamedi 26 novembre à 19 h30 ❙Conférence : « L’installation de jardins familiaux dans les îles du delta menacées par le changement climatique, une solution éprouvée pour fournir une alimentation équilibrée aux populations pauvres et prévenir l’afflux de réfugiés dans les bidonvilles », suivie d’un spectacle artistique et d’un repas bangladais.Salle Dunoyer de Ségonzac.Infos : 01 30 24 03 28 / http://comgksavar.org

POUR LE MAGAZINE DE DÉCEMBREMerci de faire parvenir votre actualité avant le 30 octobre à communication@ville-viroflay.frLa rédaction publiera les informations et photos en fonction de l’actualité et de la place.

AIDE À L'EMPLOYABILITÉ DES SENIORSAgir abcd YvelinesL’association recherche pour son programme « Employabilité des Seniors », des retraités bénévoles souhaitant aider des seniors (plus de 45 ans) à se repositionner sur le marché du travail. Après une formation, les bénévoles sont intégrés dans une équipe, animée par un responsable local. Infos : agirabcd.yvelines@gmail.comTél. : 01 39 02 38 87.

ACCUEIL ET PROMOTION DES IMMIGRÉS À VIROFLAYDes adultes d’origine étrangère veulent apprendre le français ou se perfectionner dans notre langue,

à l’oral ou à l’écrit. Des enfants ont besoin d’aide pour faire leurs devoirs, leurs parents ne possédant pas assez le français pour les suivre. Alors si vous aimez les nouveaux contacts, ainsi que la découverte d’autres cultures, venez les aider ! Suivant vos disponibilités et celles de la personne que vous aiderez, ce sera en journée ou en soirée, une à deux fois par semaine. Infos : Anne Prohin au 06 71 50 06 53 / Isabelle Chariou au 01 30 24 80 98 / apiv.viroflay@orange.fr

SECOURS CATHOLIQUERecherche des bénévoles de tous âges pour renforcer son équipe afin de poursuivre l'accompagnement d'enfants et d'adultes en

difficulté et de permettre à des enfants de partir en vacances avec des familles viroflaysiennes.Infos : Gabriel Brossard au 06 72 50 27 03 / sc.viroflay@laposte.net ou la délégation des Yvelines au 01 39 50 44 45 / www.secours-catholique.org

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Union pour ViroflayLes Républicains - MoDem - Non inscritsUn effort de civisme pour l'environnement

Sans que cela soit toutefois spécifique à Viroflay, notre environnement quotidien souffre, depuis quelques mois, de conséquences visibles de restrictions de budgets. En effet, malgré les appels répétés, les dépôts sauvages de déchets en tous genres « fleurissent » ça et là, et généralement nuitamment !

De quoi s’agit-il ? Incontestablement de plusieurs « variétés » : les unes relèvent de la négligence, telle qu’on la retrouve au pied des « Points d’Apport Volontaire » de verre sans qu’il soit très facile de comprendre ce qui a empêché les bouteilles d’en franchir la bouche (sauf en cas de surcharge, bien-sûr). D’autres poussent dans des recoins ! Il reste toutefois difficile de trouver une explication à l’attrait que semble exercer une borne à incendie (par exemple) sur un fer à repasser, un pot de peinture ou un sac plastique au contenu

douteux. Ce constat est hélas fréquent.

Tous les Viroflaysiens savent pourtant que, une fois pas mois, les objets encombrants sont ramassés devant leur porte. Savez-vous ce qui pousse certains à choisir un moment différent pour encombrer le trottoir d’immondices ? Pas facile à comprendre, du moins pour un esprit rationnel.

Cette inattention des règles élémentaires relève parfois clairement de l’incivisme. Pour certaines personnes, l’idée même de se déplacer jusqu’à la déchetterie est inconcevable. Nous n’ignorons pas qu'elle peut présenter une difficulté matérielle. Mais savons-nous au moins que ces déchets spécifiques (ceux qui ne sont pas collectés devant nos portes, telles que les peintures, solvants, ou appareils électriques ou électroniques) peuvent être apportés, une fois par mois, à Viroflay, en des lieux clairement

indiqués tant sur le site Internet de la ville que sur la documentation largement diffusée ?

Peut-on comprendre ce geste de déposer « en cachette » ses ordures en un endroit qui souille la ville, ou de dissimuler ses déchets spéciaux dans un tas d’encombrants (de préférence pas devant chez soi !) alors qu’il est facile de s’en débarrasser proprement ? Il est clair qu’un ramassage quotidien de tous les déchets éparpillés dans la ville représenterait un coût considérable. Un petit effort de civisme, pour chacun, permettrait simplement de ne pas dépenser de l’argent inutilement et de préserver ce cadre de vie qui nous est cher.

Les 27 élus de l'Union Pour Viroflayunionpourviroflay.fret sur Facebook

Solidaires à ViroflayListe de gauche soutenue par le parti socialisteAprès 8 ans passés au sein du conseil municipal de Viroflay, ma vie personnelle m'amène à quitter la ville. En conséquence, je renonce à mon mandat de d’élu local.

Ce fut un grand honneur de conduire la liste de SOLIDAIRES A VIROFLAY à l'occasion des dernières élections municipales. Je tiens à remercier une nouvelle fois les 1419 Viroflaysiens qui nous avaient apporté leur soutien. J'ai toujours cherché à me montrer à la hauteur de la confiance qui nous était alors témoignée. Mon engagement s'est constamment traduit par le plus grand sérieux, la plus sincère détermination, dans un esprit en permanence constructif pour améliorer concrètement la vie de mes concitoyens.

La problématique du logement a été l'axe principal de mon action au sein du conseil municipal. Notre pays, notre région, mais aussi notre ville ont besoin de plus de logements, plus abordables, plus accessibles, plus

économes en énergie. L'élaboration du dernier Plan Local d'Urbanisme (PLU) a constitué un moment fort de travail d'élu et je regretterai toujours que le résultat soit loin des ambitions qui auraient dû être celles de notre ville.

Suite à mon départ, Suzanne EGAL rejoindra prochainement au conseil municipal mes colistiers Sabine BESNARD et Jean-Marie LEBRETON. J'ai la certitude qu'elle occupera ses fonctions avec le sens de l'engagement qui a toujours caractérisé SOLIDAIRES A VIROFLAY. Elle mettra son énergie et sa compétence au service de tous les Viroflaysiens. N'hésitez pas à venir la soutenir en nous rejoignant dans notre combat pour un Viroflay plus ouvert et définitivement tourné vers le XXIème siècle

Groupe Solidaires à ViroflayJulien Bouffartigue, (06 13 16 82 05), Sabine Besnard (01 30 24 35 45),Jean-Marie Lebreton (01 30 24 45 26)

Courriel : contact@solidairesaviroflay.frwww.solidairesaviroflay.frwww.facebook.com/solidairesaviroflay

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Ensemble pour Viroflay

BIENVENUE à tous les nouveaux habitants de Viroflay ! Nous espérons que la rentrée des classes s’est bien déroulée pour les petits Viroflaysiens malgré quelques classes surchargées.

FORET-RD : La buse endommagée par les travaux en 2015 est toujours dans le même état !POURQUOI REFUSER LE COMPTEUR LINKY ? Malgré une action auprès de Mr le Maire fin juin pour l’arrêt des installations de ce compteur pendant les vacances (analyses en cours) de nombreux Viroflaysiens ont trouvé leur compteur changé, sans être prévenus, et pour certains malgré l’envoi de lettres de refus.Les ondes électro magnétiques : portables, wifi, antennes relais, Linky… présentent de réels dangers pour la santé. Des milliers d’habitants s’insurgent contre leur installation abusive. Les compteurs actuels fonctionnent bien et nous pouvons déjà communiquer nos relevés :

l’argument pour le changement est donc faux ! En plus des problèmes de santé, les assurances ont exclu des garanties les dommages causés par ces ondes et d’importantes augmentations des factures sont avérées dans certaines villes.Scientifiques et cancérologues en France et à l’étranger, dénoncent leur nocivité mais les lobbies des fournisseurs et fabricants représentent un tel pouvoir financier que certains préfèrent entendre leurs arguments… au mépris des Citoyens qui essaient de convaincre leurs Elus que « nous sommes tous des électro-sensibles qui s’ignorent ».

Ils peuvent refuser ce compteur : 240 communes en France (sur 400 sollicitées) l’ont déjà fait. Des pays ont catégoriquement refusé : l’Allemagne, la Belgique, l’Autriche. Conscients de la dangerosité, il est possible de le faire retirer au Canada et en Californie. Nos dirigeants Français pensent-ils être

imperméables aux ondes ? Leurs installations électriques sont-elles blindées ? Sont-ils prêts à s’engager en attestant que ces compteurs sont inoffensifs, qu’ils ne porteront pas atteinte à notre vie privée, qu’ils n’augmenteront pas nos factures, que nous ne déclarerons pas une maladie induite par ces ondes ? Leur responsabilité sera engagée pour tous les dommages causés par les compteurs Linky dits « intelligents ».

Aucune hésitation ? Aucun doute ? Car face au doute, il est sage d’invoquer le principe de précaution au nom des Citoyens que nous représentons ! DH

Groupe Ensemble pour ViroflayFanny Ruph, Danièle Haran et Antonin Grêlé

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Etat civil du 18 mai au 13 septembre 2016BIENVENUENaissances de Maxime Roze, Lucile de Cagny, Maximilian Noguès, Matthieu Dionne, Léopold Rocheron, Philippine Ogden, Stanislaw Bouquillon, Marius Boin Brulard, Camille Portaz, Adam Merad, Elisabeth Conort, Raphaël Launay Termeau, Fatim Souare, Belen Le Marec, Léno Tripier, Morgan Allerhand, Petronella Spodniewski, Ezéchiel Laurenti, Gustave Schlauder, Mélisse Menu Voyeau, Perrine Dégardin, Diane Batiste, Arsène Hoang, Kai Renquin, Kinsley Desartine, Clémence Denaison, Kevin Stan, Suzy Henriques Gameiro, Katell Keravel, Jules Conwerth-Culot, Raphaël Grapin, Élise Lelionnais, Naïm Ben Hadj Ahmed Mouelhi, Johan Charrier, Elsa Veen, Alban Danielou, Alice Carles, Chloé Tabaries, Elsa Devloies, Thiago Laboureau Baudet, Célia Arbadji, Maysane Borja Feuerstoss, Guilhem Saliba, Noémie Bai, Axel Dib, Emilie Laplace, Sedki Hadj Ali, Victoire Pillet-Will, Léo Ben Abdeladhim, Énora Cormery, Louise et Timothée de la Barre de Nanteuil, Clara Dacquay Beaufils, Baptiste Menant, Capucine Vaudour, Lucie Scheffler

TOUS NOS VŒUX DE BONHEURMariages de Charles-Henri Mikes et Chunyan Yu, Pierre Corbel et Apolline Berthod, Alexandre Midoux et Mélanie Bateman, Jean Sartre et Laëtitia Pardessus, Adel Tounekti et Marion Lindas, Pierre Le François des Courtis et Maylis Mouton, Rafic Younes et Jihan Khoder, Yann Odabachian et Claire Demilecamps, Fabien Le Bouille et Audrey Leheurteur, Olivier Chemin et Bernadette Hongnat, Kaluarachchige Perera et Madhushini Gunaratne, Joseph Biais et Betsy Johnson, Guillaume Zeau et Elodie Rochoux, Mohamed Hassani et Bruna Farinha, Denis Raynaud et Marion Ceppini, Romain Bourgois et Caroline de Heaulme de Boutsocq

NOS CONDOLÉANCES AUX FAMILLESDécès de Georges Jamet - 89 ans, Georgette Ruyet ép Gueuziec - 83 ans, Nicole Sfarti veuve Millier - 89 ans, Jean-Claude Kirschner - 80 ans, Ginette Langanay ép Bercovici - 71 ans, Stanko Zovko - 78 ans, Jacques Boutault - 80 ans, Nicole Frossard ép Cluzet - 73 ans, Joanna de Novais - 18 ans, Raymonde Guenée veuve Frères - 103 ans, Christiane Boyer veuve Ribeyrolles - 91 ans, René Grit - 89 ans, Anne Degirmencia veuve Becard - 91 ans, Stanislas Ustal - 89 ans, Gérard Lestienne - 69 ans, Jeanne Croguennec ép Pagès - 91 ans, Marie Commault ép Autin - 73 ans, Monique Dransard veuve Collin - 90 ans, Alain Goujon - 83 ans, Christiane Bougi – 64 ans, Nikokay Solodovnik – 73 ans, Ménélaos Tzimakas - 59 ans

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