RESUMES DE CONFERENCES • Mme Yolande KASEKA TUMBA (Beijing Chine) L'impact de l’indépendance d’esprit de la femme congolaise dans sa société.

Résumé : « Éduquer une femme, c’est éduquer une nation », dit-on. La femme étant en effet, l’éducatrice de la nation, c’est à elle qu’incombe la tache de poser une base solide pour le développement durable de sa société. Ainsi, l’on n’osera jamais parler de ladite base solide, aussi longtemps que (qu’) : • elle restera consciemment ou inconsciemment captive d’une culture étrangère a ses souches : d’où, l’importance de l’appeler à une Indépendance Culturelle ; • elle s’identifiera par ce qu’elle lira dans le regard des uns et des autres et non par ces propres valeurs (qu’elle ignore d’ailleurs), cette femme dite « noire », en général et cette femme congolaise en particulier ne participera qu’a l’effondrement de sa société et elle devra en rendre des comptes un jour. D’où, l’importance de connaitre sa vraie identité : qui est-elle ? d’où vient-elle ? ou est-elle ? ou va-t-elle ? que fait-elle ? que devrait-elle faire ? …

• Prof. Nicole NTUMBA BWATSHIA (Bruxelles, Kinshasa) Le leadership féminin congolais à l’épreuve des comportements croisés au sujet de la parité homme-femme dans la sphère publique ».

Résumé : Il n’est pas aisé de cogiter sur la question du « leadership féminin » en République démocratique du Congo tant cette notion semble avoir été évidée de tout son sens, lorsqu’on remarque les comportements ahurissants, humiliants et discriminants de la part des hommes sur les femmes ; attitudes largement appuyés par un environnement à la fois juridique et socioculturel qui leur est favorable et qui les exonère de toute justification par rapport auxdits comportements. Celles des femmes qui ont compris cette misogynie et son non sens, ont constitué alors des mouvements appelés très vite « féministes ». Devenant de plus en plus nombreux, ceux-ci rivalisent d’ardeur pour réclamer l’égalité des chances entre les sexes.

Leurs mouvements de libération et d’épanouissement sont relayés, dans cette lutte, par les efforts de la communauté internationale à travers plusieurs instruments juridiques internationaux propre aux femmes sous l’égide de l’institution onusienne.

Aujourd’hui, cette notion du leadership féminin en général et congolais en particulier reste une question, mieux, un grand problème social et même politique du monde contemporain. Si le problème était résolu et que les résultats étaient satisfaisants pour les femmes, ce genre de colloque n’aurait pas raison d’être. C’est justement parce que, après une observation in situ cette problématique continue à faire couler tellement d’encres et de salives que la conscience universelle s’impose de s’interroger sur les raisons pour lesquelles la société masculine congolaise s’évertue encore, en plein vingt et unième siècle, à marginaliser ses femmes simplement parce qu’elles sont « femmes » surtout dans le domaine politique. Lorsque l’on examine sérieusement la configuration de la scène politique de la RDC, l’on constatera avec amertume que dans la mise en place de la nouvelle Cour constitutionnelle composée de neuf membres, il n’y a aucune femme ; il n’y a jamais eu de femme nommée Procureur général de la république, encore moins Président de la Cour suprême de justice. Le précieux code de la famille de 1987 renferme des dispositions discriminatoires insupportables confinant ainsi, les femmes dans une situation de dépendance totale vis-à-vis des hommes. Grâce à cet instrument juridique interne, la femme congolaise est déclarée « incapable juridiquement » alors que la réalité démontre le contraire. En effet, à l’heure actuelle, la femme congolaise tient le ménage à cause du taux de chômage élevé des hommes.

• Maitre Marie Thérèse NLANDU MPOLO (Londres, UK) Leadership féminin: de la naissance à son exercice au plus haut sommet" • Mme Ursule AKATSHI (Bruxelles, Belgique) La participation des femmes de la diaspora congolaise au sein des sociétés occidentales, La dynamique entre ces femmes et les associations féminines et les femmes du pays d'origine en vue de renforcement des capacités.

• LOUISE NGANDU LUKUSA, (Bruxelles, Belgique) Promouvoir le leadership féminin : Quels mécanismes et dispositions institutionnelles pour l’émergence du leadership féminin dans la vie sociale, politique et économique de la RDC ?

Résumé: Les femmes congolaises sont très peu concertées et/ou associées aux prises de décisions qui déterminent le devenir de la République Démocratique du Congo. En témoignent les statistiques de leur représentation en politique soit 14,6 % de femmes dans le gouvernement actuel et 8 % au parlement alors que la Constitution de 2006 consacre la parité entre les hommes et les femmes. Cependant, bien que victimes de l’extrême paupérisation et victimes des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité dans les provinces où sévissent des groupes armés, c’est sur leurs épaules que reposent l’économie familiale et diverses initiatives qui tendent à maintenir la cohésion sociale. Représentant 52% soit plus de la moitié de la population congolaise, les femmes constituent un solide capital social qui va peser lourdement sur la renaissance de la RDC. Pour cela, il faut relever les défis de leur sous-représentation aux niveaux décisionnels en travaillant à la base sur l’émergence du Leadership féminin, en activant les instruments juridiques existants et en poussant à la mise en œuvre des politiques d’égalité des chances pour accroître la participation des femmes à tous les niveaux. A la veille des élections provinciales, municipales, locales, législatives et présidentielle, ce colloque offre une opportunité aux femmes congolaises de réfléchir sur l’émergence d’un leadership alternatif et responsable.

• Mr. Roger N’kulu N. KABEYA TSHIMBUNDU (CERED-GL Kinshasa) De la solution à la grande énigme du leadership féminin au véritable équilibre du Genre pour un nouvel ordre humain. Résumé: Dans la plupart des réunions organisées sur le thème similaire à celui-ci aussi bien en RDC qu’ailleurs, il s’observe une certaine confusion entre le leadership féminin en général et le leadership politique féminin qui n’implique qu’une participation politique accrue des femmes dans les instances de prise des décisions. Ce leadership politique était déjà connu dans une certaine mesure dans quelques sociétés congolaises précoloniales qui ont été dirigées par des reines comme ce fut le cas du royaume Kongo, de l’Empire

Lunda… Le rôle joué par KIMPA VITA Ndona Béatrice, Madame MWILU épouse du Prophète Simon KIMBANGU pendant l’emprisonnement du Prophète, ont démontré que la femme congolaise était politiquement en avance par rapport aux femmes d’autres pays y compris celles de certains pays occidentaux. Le mouvement associatif féminin congolais qui est l’un de plus actifs en Afrique, mène un grand combat aussi bien au pays que dans la diaspora…

• Mme Philomène MUKENDI MANGABU (Kinshasa, RDC) Comment définit-on le leadership féminin et transformationnel ? • Mme Juliette BINYUNGU (Bruxelles, Belgique) Quels sont les défies et limites qui freinent la participation citoyenne des femmes… quelles stratégies pour l’autonomisation des femmes en RDC.

Résumé: La discrimination faite aux femmes et leur exclusion totale constituent l’obstacle de taille qui ne favorise pas du tout leur participation a la vie et la gestion de la société, et qu’il faut absolument démanteler. Exiger la parité hommes-femmes comme moyen d’intégrer la femme dans la gestion du pays. • Dr. Julienne KATOMBE MBUYI (Gauteng, South Africa) 2011 - 2020, La Décennie de la Femme. Appel aux femmes congolaises de se lever pour voler au secours de notre peuple et changer le cours de l’histoire de notre nation, de notre continent et du monde.

Résumé: Depuis le 20 octobre 2011, un phénomène nouveau attire l’attention de plus d’un observateur. C’est pour la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’un si grand nombre de femmes (21) se retrouvent hissées en position d’autorité à travers le globe en même temps, même en Afrique noire. Certaines ont émergée à la faveur des élections démocratiques, cas de la Présidente Ellen Johnson Sirleaf au Libéria, d’autres furent promues par le parti au pouvoir dans leur nation, cas de la Présidente Micheline Calmy - Rey en Suisse ; d’autres encore ont même monté des coups d’état avec succès, cas de la Présidente Rosa Otunbayeva de Kyrgyzstan. 2011 - 2020 est en effet une saison de faveur imméritée pour la gente féminine. Une grâce particulière du créateur est sur toute femme en cette saison. Les femmes congolaises qui en sont conscientes se préparent en conséquence et se positionnent afin de participer activement à cette dispensation dans tous les 7 domaines piliers de

chaque société ou sphères d’influence qui sont : - La Famille - L’Education, la Science et la Technologie) - Les Médias et le Loisirs - Les Affaires et Economie - La Politique - L’Eglise. Les hommes qui équipent, stimulent et guident les femmes vers leur destinée en ce temps de visitation divine pour elle, résistant à constituer un blocage sur leur chemin, vont ainsi accélérer leur propre promotion. • Mme Sylvie NKOLOMONI MFUMBI (Kinshasa, R.D.C) La prise en charge communautaire des violations graves de l’environnement en RDC.

• Mme Elsa VUMI Momanda (Paris, France) Numérique et Éducation, outils pour le développement de la femme

Résumé: Nous défendons la position selon laquelle, on ne peut construire le congo sans se pencher en premier sur notre ressource naturelle essentielle : l’être humain, la population congolaise dont nous sommes. Reconnaissance, valorisation, protection, défense, dans tous les domaines. Et dans notre secteur d’activité, le défi sera de répondre aux besoins d’information, connaissance et consolider, établir avec tous les citoyens des canaux de communication, horizontaux pour une cohésion sociale et verticaux pour une participation effective a la gestion de la chose publique. Dans l’exigence légitime des droits humains élémentaires. en commençant par reconnaitre la résistance du terrain, en tant que faisant partie de la diaspora. l’utilisation « emblématique » de cette nouvelle technologie, qui contient toutes les possibilités d’une restauration identitaire « rapide », doit représenter pour les congolais, les experts en particulier, un devoir sacré • Mme Gertrude MIANDA Genre et leadership des femmes en RDC: Défis et perspectives

Résumé : Depuis la conférence de Beijing tenue en 1995, une attention particulière est accordée, à travers le monde, au leadership des femmes. La déclaration de Beijing, en son paragraphe 13, met l’accent sur la nécessité de faire participer les femmes au développement dans des conditions d’égalité dans toutes les sphères de la société. Il convient cependant de souligner que les femmes congolaises, à l’instar des femmes d’ailleurs, exercent depuis

toujours du leadership; mais celui-ci a été longtemps confiné dans la sphère domestique, la famille, la communauté, sans qu’il ne soit formellement reconnu. Ainsi, le problème fondamental est celui de la reconnaissance effective du leadership des femmes qui les placerait dans des positions de pouvoir dans la sphère publique comme le souligne C. Bunch. Les congolaises ont été formellement mises à la marge de la sphère publique, depuis la colonisation en passant par le gouvernement de salut public de Moise Tshombe de la première République aux différentes Républiques successives jusqu’à ces jours. Les tentatives de reconnaissance de leur leadership comme leur intégration dans les instances de pouvoir n’est qu’ostentatoire, sans une remise en question des rapports de genre à la source de leur exclusion. Mon analyse repose sur une lecture féministe postcoloniale pour mettre en lumière dans une perspective historique les défis auxquels les congolaises sont encore confrontées, tout en tentant d’identifier des pistes pour un leadership des femmes congolaises qui s’inscrit dans le respect des droits humains.

• Mme Joséphine NGALULA KABEYA Problématique de la participation citoyenne des femmes et du leadership féminin dans la gestion et le développement, stratégies pour l’autonomisation des femmes et le leadership féminin en R.D.C. : expression des femmes à travers les ateliers organisés à Kinshasa et Bukavu.

Résumé: Le leadership féminin et l’autonomisation de la femme en RDC est fonction de la volonté politique insuffisante des dirigeants. Pour rappel, la RDC a ratifié les instruments juridiques régionaux, internationaux, notamment la convention sur l’élimination des toutes formes de discrimination avec les femmes, le protocole a la charte africaine des droits de l’homme et des peuples relatif aux des femmes. En outre la loi fondamentale, la constitution dispose dans son article 14 de la participation des femmes et d’élimination des violences à l’égard de la femme. La RDC est également partie aux résolutions des nations unies sur les femmes telles que les résolutions 1325 sur femmes, paix et sécurités et sur celles l’autonomisation de la femme. Le document de la politique nationale genre et plan d’action validé en octobre 2010 ; le plan d’action du gouvernement de la république démocratique du Congo pour l’application de la résolution 1325 du conseil de sécurité des nations finalisé et adopté en octobre 2010.

Ces résolutions et instruments juridiques, cimentés par la loi fondamentale, constituent un arsenal non moins solide pour assurer le leadership féminin et l’autonomisation. Seulement voilà, la mise en œuvre des différents plan d’action et convention sur les droits des femmes ne sont pas suffisamment mise en œuvre par manque d’un budget conséquent d’où souffrance financière pour réaliser les activités à même de promouvoir le leadership féminin. Le budget étant l’expression du miroir politique , il sied d’observer qu’il s’agisse des postes nominatifs ou des instances de décision issues des élections, les femmes n’atteignent pas 20%. La situation socioéconomique, caractérisée par la pauvreté de la femme, l’analphabétisme, l’application des coutumes humiliantes à l’égard de la femme et l’accès difficile aux services sociaux de base, ne favorise pas l’autonomisation de la femme.

• Prof Simon Kabuya Kazenga, PhD (Neuchâtel Suisse) Industrialisation du secteur des exportations en RD Congo et son affranchissement par rapport à l'exportation des minerais bruts comme clé du développement et de la réduction de la pauvreté.

Résumé: Il est maintenant de notoriété publique que le gouvernement de la RD Congo ne lésine pas sur les moyens pour communiquer sur des soi-disant bonnes performances économiques que produirait notre pays en ce moment. Pourtant, il existe certaines voix discordantes en RD Congo qu'on essaye d'étouffer et qui pointent du doigt le fait que les performances économiques congolaises affichées en terme de taux impressionnants de croissance du PIB constituent de la poudre aux yeux et que ces performances sont à des années lumières des soucis des congolais (et surtout des femmes congolaises) qui sont: la persistance de la pauvreté de masse et de l'absence totale de l'amélioration de leurs conditions sociales. Pour aborder ces questions, il faut se placer du point de vue de la RD Congo et s'interroger sur ce qui concourt aux intérêts du pays. Actuellement l'intérêt fondamental du pays et la nécessité impérieuse pour le social de ce même pays est la diversification de nos exportations qui sont trop colorées de la couleur des matières premières brutes qu'exportent des sociétés imposées par « l’occupation », sociétés dont la production maintient artificiellement le chiffre de la croissance du PIB à des niveaux très élevés, niveaux pourtant sans aucune retombée ou presque sur la vie sociale de nos concitoyennes et

concitoyens. D'ailleurs, dans ce contexte, des taux de croissance du PIB élevés en RD Congo sont synonymes de course à l'épuisement de nos matières premières. Les acteurs protagonistes de cette course ne sont pas des congolais pour le moment. Ce sont des sociétés imposées par des intérêts dont nous ne connaissons pas bien les contours. Nous ne sommes pas contre ces intérêts mais la moindre des choses c'est de connaître clairement leur identité et de traiter d'égal à égal avec eux, nous femmes congolaises et hommes congolais (représentés par nos institutions) avec eux les intéressés par les ressources minières de la RD Congo. Il est néanmoins important de ne pas trop se focaliser sur ce secteur minier pour se concentrer sur ce qui doit remplacer les exportations congolaises des minerais bruts dans le futur! • Mme Cecile Esele Gbia T (Nagoya, Japon) Titre : Les clés du succès et orchestrez votre réussite. Des outils pour développer une stratégie professionnelle gagnante.

SAMEDI 19 SEPTEMBRE 2015

9h00’→9H30’ Accueil des participants et annonces

9h30’� 9h40’ Mots d’ouverture et discours d’introduction

9h40’� 9h50’

Présentation de Cogedia

9h50’� 10h10’

Messages des participants

10h10’� 10h20’

Film documentaire (Leadership féminin congolais) Mr Claude Kazadi Lubatshi

10h20’� 11h00’

Comment définit-on le leadership féminin

et transformationnel ? Mme Philomène M. Mangabu (Kinshasa)

Quels sont les défis et les limites qui

freinent la participation citoyenne de

femmes. Quelles stratégies pour

autonomisation des femmes en RDC. Mme Juliette Binyungu (Huldenberg)

5MIN PAUSE

11h05’� 11h45’

Leadership féminin: de la naissance à son

exercice au plus haut sommet.

Mme Marie T. NLandu Mpolo (Londres)

Promouvoir le leadership féminin : Quels mécanismes et dispositions institutionnelles pour l’émergence du leadership féminin dans la vie sociale, politique et économique de la RDC ? Mme Louise Ngandu (Bruxelles)

5MIN PAUSE

11h50’� 12h30

Le leadership féminin congolais à

l’épreuve des comportements croisés au

sujet de la parité homme-femme dans la

sphère publique Prof Nicole Ntumba Bwatshia (Bruxelles)

Genre et leadership des femmes en RDC:

Défis et perspectives. Prof. Gertrude Mianda (Toronto

12h30’� 13h30’ DINER

13H30’� 14H10’

2011 - 2020, La Décennie de la Femme. Appel aux femmes congolaises de se lever pour voler au secours de notre peuple et changer le cours de l’histoire de notre nation, de notre continent et du monde. Dr. Julienne M. Katombe (Gauteng Afr. Sud)

La participation des femmes de la diaspora congolaise au sein des sociétés occidentales. La dynamique entre ces femmes et les associations féminines et les femmes du pays d'origine en vue de renforcement des capacités. Mme Ursule Akatshi (Bruxelles)

5MIN PAUSE

14h15’� 14h55’

De la solution à la grande énigme du

leadership féminin au véritable équilibre du

Genre pour un nouvel ordre humain. Mr Roger T. N’kulu N. Kabeya (Kinshasa)

La prise en charge communautaire des

violations graves de l’environnement en

RDC. Mme Sylvie Nkolomoni Mfumbi (Kinshasa)

5MIN PAUSE

15h00’� 15h40’

L'impact de l’indépendance d’esprit de la

femme congolaise dans sa société. Mme Yolande Kaseka Tumba (Beijing)

Leadership avec l’Institut Kimpavita Mr Patrick Kingole (Bridgeport)

5MIN PAUSE

15h45’� 16h25

Les clés du succès et orchestrez votre

réussite. Des outils pour développer une

stratégie professionnelle gagnante Dr Cecile Essele Gbia T. (Nagoya, Japon)

Problématique de la participation citoyenne des femmes et du leadership féminin dans la gestion et le développement, stratégies pour l’autonomisation des femmes et le leadership féminin en R.D.C. : expression des femmes à travers les ateliers organisés à Kinshasa et Bukavu. Mme Joséphine Ngalula Kabeya (Suisse)

FIN DE LA PREMIERE JOURNEE

SAMEDI 20 SEPTEMBRE 2015

13h30’ → 14h40’ Accueil des participants et annonces

Numérique et Éducation Mme Elza Vumi

Le leadership féminin au service de la culture Lea Mpambula

5MIN PAUSE

14h45’ → 15h25’

Résumé des présentations Mr. Benoit Awazi Mr Martin Kalombo Mlle Melissa Decady

Débat en plénière Mr Franciss Nsoki Mr Patrick Kingole

5MIN PAUSE

15h30’ → 16h10’

Resolution Mr Franciss Nsoki Mr Benoit Awazi Mlle Melissa Decady Mr Patrick Kingola Mr Martin Kalombo

Discours de clôture Mr Kantal Muana