Praxéologies de reprise de l'étude et leur écologie … « Prouver qu’une image donnée ne...
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AIX-MARSEILLE UNIVERSITÉ
MÉMOIRE DE MASTER MATHÉMATIQUES ET APPLICATIONS
SPÉCIALITÉ ENSEIGNEMENT ET FORMATION EN MATHÉMATIQUES
PARCOURS DIDACTIQUE
Praxéologies de reprise de l'étude et leur
écologie dans l'enseignement secondaire
Annexes
Karine SAADA
Sous la direction de Michèle ARTAUD
Jury :
Pierre ARNOUX, professeur des universités, Aix-Marseille Université
Michèle ARTAUD, maitre de conférences, Aix-Marseille Université
Teresa ASSUDE, professeur des universités, Aix-Marseille Université
Yves CHEVALLARD, professeur des universités émérite, Aix-Marseille Université
Yves MATHERON, professeur des universités, Institut Français de l’Éducation – ENS Lyon
Septembre 2015
1
Sommaire
Annexe 2.2.2 : Évaluations diagnostiques proposées sur les fonctions en classe de 2
de
(Académie d’Orléans-Tours, 2011) p. 3
Annexe 2.4.1 : Analyse de huit manuels utilisés dans les classes de 6e sur la symétrie axiale
p. 7
Annexe 2.4.2 : Analyse de ce que dit le programme de 3e au sujet du théorème de Thalès
(MEN, 2008, pp. 37-38) suivie d’une analyse de quatre manuels utilisés dans les classes de 3e
sur ce sujet p. 13
Annexe 3.1a : Extrait de compte rendu d’observation portant sur l’étude de la proportionnalité
en classe de 5e (Artaud, 2014, pp. 7-8) p. 17
Annexe 3.1b : Repérer le tracé de la « frontière » entre ce qui a été antérieurement étudié et ce
qui est enjeu de l’étude de la classe considérée : un exemple relatif au domaine des fonctions
en seconde (Artaud, 2014, pp. 9-17) p. 19
Annexe 3.2 : Enquête sur la mise en place d'un test d'entrée (M2 2013-2014), novembre 2013
p. 31
Annexe 4.1 : Questionnaires diffusés auprès des stagiaires, de tuteurs et de professeurs p. 35
Annexe 4.2a : Tableaux synthétiques des réponses aux questionnaires p. 39
Annexe 4.2b : Tableaux synthétiques des résultats obtenus à l’aide de Wordle et Online-
Utility p. 59
3
Annexe 2.2.2 : Évaluations diagnostiques proposées sur les fonctions en classe de 2de
(Académie d’Orléans-Tours, 2011)
Test F21 NOM : …………………………………………… Classe : …...
Dans un repère orthonormé, on considère les représentations graphiques de quatre fonctions f,
g, h et k :
1. Quelle est la nature de chaque fonction ? (entourer la ou les bonnes réponses)
f est une fonction : linéaire affine ni linéaire, ni affine
g est une fonction : linéaire affine ni linéaire, ni affine
h est une fonction : linéaire affine ni linéaire, ni affine
k est une fonction : linéaire affine ni linéaire, ni affine
2. Compléter les phrases suivantes :
L’image de 2 par h est ……
L’image de 2 par g est ……
L’antécédent de 3 par f est ……
3. Reconnaître l’expression de f (entourer la bonne réponse) :
f : x 1,5x f : x x 2 f : x 3x
4
Test F22 NOM : …………………………………………… Classe : …...
Pour chacune des questions ci-dessous répondre par vrai ou faux aux diverses affirmations
proposées.
1. Chez le chocolatier.
On suppose que x kilogrammes de chocolats coûtent (emballage compris) un prix P (en €)
suivant la formule :
P = 32 x + 3
Alors :
a. P est une fonction linéaire de x
Réponse : ………
b. P est une fonction affine de x
Réponse : ………
c. l'emballage coûte 3 €, et le chocolat 32 € / Kg
Réponse : ………
d. l'emballage coûte 32 €, et le chocolat 3 € / Kg
Réponse : ………
2. En géométrie.
Un carré a pour côté x cm.
On rappelle que : son aire A est donnée par A = x2
son périmètre P est donné par P = 4 x
sa diagonale d est donnée par d = x 2 .
Alors :
a. Son aire A est une fonction linéaire de x.
Réponse : ………
b. Son périmètre P est une fonction linéaire de x.
Réponse : ………
c. Son périmètre P est une fonction affine de x.
Réponse : ………
d. Sa diagonale d est une fonction linéaire de x.
Réponse : ………
5
Test F23 NOM : …………………………………… Classe : …...
On donne deux expressions :
f(x) = 2x² + 3x + 4 et g(x) (2x3)(4x)
a) Calculer f(2)
b) Calculer g(1)
c) Résoudre l’équation g(x) 0
7
Annexe 2.4.1 : Analyse de huit manuels utilisés dans les classes de 6e sur la symétrie
axiale
Duranthon, A., Joly, M.-E., Roux, A., Testard, F. & Gaucher, B. (2014). Odyssée 6e. Livre
pour l’enseignant. Paris : Hatier.
Chaque chapitre débute par une rubrique « Tremplin : quiz élève pour bien commencer le
chapitre ». Le livre du professeur ne fait aucune référence à cette rubrique. Pour le chapitre 8
« Axes de symétrie. Symétrie axiale », trois exercices permettent d’évaluer les types de tâches
suivants :
T1 : Prouver qu’une image donnée ne possède pas d’axe de symétrie (4 spécimens) ;
T2 : Déterminer le nombre d’axes de symétrie d’une figure donnée (3 spécimens) ;
T3 : Construire, à partir d’une image donnée, un dessin ayant pour axe de symétrie une droite
verticale.
Nous voyons que, même si ce dernier type de tâches précise l’orientation de l’axe de symétrie
et que la consigne donnée à l’élève apporte un ingrédient de technique en précisant « à l’aide
d’un papier calque », ces trois types de tâches ne relèvent pas de l’étude faite à l’école
élémentaire et ne peuvent ainsi prétendre à une reprise de l’étude.
Chapiron, G., Mante, M., Mullet-Marquis, R. & Pérotin, C. (2009). Triangle 6e. Livre
pour l’enseignant. Paris : Hatier.
Chaque chapitre débute par une rubrique « Je fais le point sur mes connaissances » considérée
par les auteurs comme les « indispensables pour aborder le chapitre », complétée d’une
rubrique « pour réactiver mes connaissances », « si nécessaire ». Pour le chapitre 10
« Symétrie axiale », la première rubrique est constituée d’un seul exercice permettant
d’évaluer le type de tâches suivant :
T : Déterminer si deux figures données sont symétriques par rapport à une droite donnée.
Cinq spécimens sont proposés sur papier blanc. Ils représentent des figures usuelles : trois cas
de triangle (isocèle, rectangle, quelconque), un trapèze, un rectangle. Aucune ne touche, ni ne
coupe l’axe. Aucun instrument de dessin et aucune technique ne sont précisés dans la
consigne élève. Un spécimen présente un axe vertical (cas du triangle isocèle) ; deux
spécimens ont un axe oblique de pente positive (cas du triangle quelconque et du rectangle) ;
dans ce dernier cas, les rectangles possèdent deux côtés ayant les mêmes droites support, les
deux autres côtés étant parallèles ; les deux autres spécimens ont un axe oblique de pente
négative (cas du trapèze et du triangle rectangle) ; dans ce dernier cas, les côtés sont deux à
deux parallèles.
Il apparait que ni le type de tâches, ni le support papier ne sont pas conformes au programme
de l’école élémentaire.
La rubrique « pour réactiver mes connaissances » est composée de huit exercices ; les sept
premiers relèvent tous du même type de tâches T ; le dernier présente un type de tâche coche
« Les deux dessins devraient être symétriques par rapport à (d). Retrouver les cinq erreurs de
ce dessin » qui nécessite l’accomplissement du type de tâches T1 donné précédemment
8
« Prouver qu’une image donnée ne possède pas d’axe de symétrie », qui comme nous l’avons
vu ne figure pas au programme de l’école élémentaire.
Les exercices 4 et 6 présentent six figures sur papier blanc : un trapèze, axe horizontal, ne
touchant, ni ne coupant la figure ; une étoile à six branches, axe oblique de pente positive, les
côtés des étoiles sont deux à deux parallèles ; un triangle quelconque coupé par un axe
vertical ; un triangle quelconque surmonté d’un secteur angulaire dont le sommet libre
appartient à l’axe oblique de pente négative, les triangles possèdent deux côtés ayant les
mêmes droites support ; un carré surmonté d’un demi-disque, axe oblique de pente positive,
ne touchant, ni ne coupant la figure, les carrés possèdent deux côtés ayant les mêmes droites
support, les deux autres côtés étant parallèles ; un carré surmonté d’un demi-disque, axe
vertical, ne touchant, ni ne coupant la figure. Ces exercices reprennent le type de tâches et le
support papier présents dans l’évaluation diagnostique mais certains des spécimens présentent
des variables didactiques bien différentes selon la position relative des deux figures et leur
intersection avec l’axe.
Les exercices 5 et 7 présentent des figures sur papier quadrillé à maille carrée. Dans l’exercice
5, nous retrouvons le même pentagone possédant deux côtés parallèles ne touchant, ni ne
coupant l’axe ; un cas où l’axe est vertical et les côtés parallèles du pentagone sont
perpendiculaires à l’axe ; un cas où l’axe est horizontal, les côtés parallèles du pentagone sont
parallèles à l’axe et les côtés des pentagones sont deux à deux parallèles ; un cas où l’axe est
oblique de pente 3. Dans l’exercice 7, nous retrouvons la même figure représentant la lettre F
en position prototypique (deux segments portés par des droites perpendiculaires confondues
avec les lignes du quadrillage, et un segment porté par la médiatrice d’un côté du carré de
quadrillage) ne touchant, ni ne coupant l’axe, ce dernier étant oblique de pente 1 (diagonale
du carré de quadrillage) ; deux cas où les figures possèdent deux segments ayant les mêmes
droites support et les troisièmes segments étant parallèles (un cas translaté et un cas
retourné) ; deux cas où les figures possèdent des segments portés par des droites
perpendiculaires. Ces exercices utilisent un support papier conforme au programme de l’école
élémentaire alors que le type de tâches reste inadapté, support papier qui n’a pas été rencontré
dans l’évaluation diagnostique.
Brault, R., Daro, I., Ferrero, C., Perbos-Raimbourg, D. & Telmon, C. (2009). Phare 6e.
Livre élève. Paris : Hachette Éducation.
Le dispositif de reprise de l’étude est réalisé par un exercice à chaque début de chapitre. Pour
le chapitre 11 « Symétrie axiale », il s’agit de « Reproduire le dessin sur une feuille de papier
calque », le spécimen proposé étant la figure d’un demi cœur touchant un axe vertical, puis de
« Compléter le dessin afin que son reflet apparaisse de l’autre côté du miroir ». Nous voyons
dans cette deuxième partie de consigne un type de tâche coche qui nécessite
l’accomplissement du type de tâches « Construire une figure symétrique » au travers d’un
spécimen où l’axe donné est vertical et la figure touche l’axe. La première partie de la
consigne donne un ingrédient de technique, au programme de l’école élémentaire. Ce
dispositif de reprise de l’étude reste très succinct.
9
Beltramone, J.-P., Candeloro, A., Henry, F., Paulou, F. & Tabourin, D. (2009). Déclic 6e.
Livre élève. Paris : Hachette Éducation.
Chaque chapitre débute par une rubrique « Pour s’y remettre » constituée d’un questionnaire à
choix multiples qui selon les auteurs est « appuyé sur des connaissances et compétences
travaillées dans les classes antérieures ». Pour le chapitre 9 « Symétrie axiale », ce
questionnaire à choix multiples est composé de cinq questions avec trois réponses possibles
pour chacune d’elles. La première question relève du type de tâches « Déterminer si deux
figures données sont symétriques par rapport à une droite donnée ». Les trois propositions
sont des figures tracées sur papier quadrillé. Pour la réponse A, il s’agit d’un losange dont
l’une des diagonales est parallèle à un axe vertical ; pour la réponse B, c’est un triangle
rectangle isocèle dont l’hypoténuse est parallèle à un axe vertical ; dans la réponse C, la figure
peut être assimilée à la lettre T dont l’une des « barres » est horizontale et touche un axe
oblique de pente 1. Le support papier proposé correspond à celui mentionné dans le
programme de l’école élémentaire, mais le type de tâches ne relève pas de ce programme.
Dans les trois questions qui suivent, il s’agit de « Déterminer les axes de symétrie d’une
figure donnée », type de tâches que nous pouvons rapprocher du type de problèmes lié à la
reconnaissance des axes de symétrie d’une figure. Les figures proposées sur papier blanc sont
un trapèze isocèle, un triangle quelconque, un disque. La dernière question propose de
« déterminer si des droites données sont axes de symétrie d’une figure donnée », relevant
aussi du type de problèmes lié à la reconnaissance des axes de symétrie d’une figure. La
figure est un rectangle sur papier blanc et les droites proposées sont ses diagonales et les
médiatrices de ses côtés. Ces questions de l’évaluation diagnostique restent ainsi centrées sur
un seul type de problèmes rencontré à l’école élémentaire.
Jacob, N., Sitbon, A. & Vissio, J. (2009). Nouveau prisme 6e. Livre élève. Paris : Belin.
Chaque chapitre débute par une rubrique « Je révise » constituée d’un questionnaire à choix
multiples « pour réviser les connaissances nécessaires pour aborder le nouveau chapitre »,
selon les auteurs. Pour le chapitre 13 « Symétrie axiale », ce questionnaire à choix multiples
est composé de trois questions avec trois réponses possibles pour chacune d’elles. Les deux
premières questions relèvent du type de tâches « Déterminer si deux figures données sont
symétriques par rapport à une droite donnée ». Les propositions sont des figures géométriques
non usuelles, l’une comportant un demi-cercle, tracées sur papier quadrillé, l’axe est
horizontal, et la question donne un ingrédient de technique « par pliage », ce qui peut paraitre
étonnant compte tenu du type de papier support. Là encore, le type de tâches ne figure pas au
programme de l’école élémentaire. La troisième question demande de « Déterminer le nombre
d’axes de symétrie d’une figure donnée » qui relève du type de problèmes lié à la
reconnaissance des axes de symétrie d’une figure. Les trois propositions correspondent aux
configurations usuelles 2, 3 et 4 du dé.
10
Brotreaud, L., Fort, M., Fourton, J.-L. & Perrinaud, J.-C. (2009). Zénius 6e. Livre pour
l’enseignant. Paris : Magnard.
Chaque chapitre débute par deux rubriques « Je me rappelle » et « J’utilise un vocabulaire
précis » permettant de « vérifier ses connaissances et entrer dans le chapitre », selon les
auteurs. Pour chacune de ces rubriques, le manuel pour l’enseignant précise les pré requis
testés et les erreurs fréquentes des élèves. Pour le chapitre 12 « Symétrie axiale », aucune des
questions posées n’est en lien direct avec la symétrie axiale ; elles font appel à des questions
jugées utiles pour aborder le nouveau chapitre. Un questionnaire à choix multiples constitué
de trois questions avec pour chacune trois réponses possibles teste « si l’élève sait qu’un
compas sert aussi à reporter des longueurs » et s’il connait les notions de droites
perpendiculaires et de médiatrice. Il s’avère que le compas comme outil pour reporter une
longueur n’est pas au programme de l’école élémentaire (c’est un outil pour comparer des
longueurs). Il en est de même de la notion de médiatrice. La rubrique « Je me rappelle » se
poursuit par un « vrai ou faux » où trois affirmations permettent de revenir sur les notions
d’aire et de périmètre ainsi que les unités dans lesquelles ces deux grandeurs sont mesurées.
Dans la rubrique « J’utilise un vocabulaire précis », il s’agit de compléter quatre phrases par
l’une des quatre étiquettes proposées. Le vocabulaire testé concerne les points alignés, les
segments de même longueur, les angles de même mesure et les figures superposables.
Malaval, J., Courbon, D., Carlod, V., Fundakowski, M., Maze, M., Métais, M.-F.,
Plantiveau, A. & Puigredo, F. (2009). Transmath 6e. Livre pour l’enseignant. Paris :
Nathan.
Chaque chapitre débute par une rubrique « Vérifier mes acquis du CM2 » qualifiée de « test »
par les auteurs. Pour le chapitre 11 « Symétrie axiale. Axes de symétrie », trois questions ont
chacune pour intitulé un type de tâches à l’étude de l’école élémentaire. La première intitulée
« Tracer par un point la perpendiculaire à une droite donnée » demande de déterminer sur
laquelle des trois figures proposées on a des droites perpendiculaires. Les figures comportent
des représentations des instruments utilisés : une règle pour deux d’entre elles et une équerre
pour la troisième. La deuxième question intitulée « Reconnaitre un axe de symétrie d’une
figure » demande de déterminer celle des trois figures proposées qui admet un axe de
symétrie. Les figures sont des ennéagones représentés sur papier blanc. La troisième question
intitulée « Tracer le symétrique d’une figure sur papier quadrillé » demande en réalité de
« déterminer si deux figures données sont symétriques par rapport à un axe donné », type de
tâches qui, lui, ne figure pas au programme de l’école élémentaire. Ici, la figure représente
une maison tracée sur papier quadrillé et l’axe est vertical.
Chesné, J.-F., Coulange, L., Grapin, N. & Le Yaouanq, M.-H. (2009). Hélice 6e. Livre
élève. Paris : Didier.
Dans ce manuel, les chapitres sont nommés « Leçons » et chacune débute par un « QCM pour
commencer » considéré comme « test diagnostique » selon les auteurs. Le thème de la
11
symétrie axiale est découpé en deux leçons : la leçon 11 « Symétrie axiale et médiatrice d’un
segment » et la leçon 17 « Axes de symétrie ».
Pour la leçon 11, le QCM teste les types de tâches « Déterminer si deux figures données sont
symétriques » sur huit spécimens tracés sur papier quadrillé (deux axes horizontaux, deux
axes verticaux, quatre axes obliques de pente – 1, six figures touchent l’axe et une est coupée
par l’axe) et « Déterminer si une droite donnée est médiatrice d’un segment donné » (un
spécimen sur papier blanc, la figure étant codée). Là encore, nous relevons deux types de
tâches qui ne figurent pas au programme de l’école élémentaire, ainsi que la notion elle-même
de médiatrice et le codage de figures.
Pour la leçon 17, le QCM teste trois types de tâches : « Déterminer si une figure donnée
possède un axe de symétrie » qui relève comme nous l’avons déjà vu du type de problème lié
à la reconnaissance des axes de symétrie d’une figure au programme de l’école élémentaire,
proposé sur quatre figures du registre social (un as de cœur, une rose des vents, une feuille de
chêne, un terrain de basket) ; « Déterminer si une droite donnée est axe de symétrie d’une
figure donnée » qui relève du même type de problèmes que précédemment, sur quatre
spécimens tracés sur papier quadrillé (trois axes verticaux et un axe horizontal, un des côtés
de chacune des figures étant porté par l’axe) ; « Déterminer si une droite donnée est
bissectrice d’un angle donné » sur quatre spécimens, les figures étant codées, tracées sur
papier blanc. Nous voyons à nouveau apparaitre un type de tâches et une notion elle-même,
celle de bissectrice, non mentionnée au programme de l’école élémentaire.
13
Annexe 2.4.2 : Analyse de ce que dit le programme de 3e au sujet du théorème de Thalès
(MEN, 2008, pp. 37-38) suivie d’une analyse de quatre manuels utilisés dans les classes
de 3e sur ce sujet
Il y est fait ainsi clairement référence à la reprise du thème vu en classe de 4e dont nous
reproduisons l’extrait de programme correspondant (MEN, 2008, p. 30).
14
Le programme met donc en avant un élément technologique, le théorème de Thalès,
permettant de produire, justifier, rendre intelligible des techniques de réalisations de types de
tâches relatifs à la configuration de Thalès. Les techniques ne figurent pas dans le programme
et des indices de types de tâches apparaissent dans l’agrandissement ou la réduction d’une
figure. Nous pouvons relever quatre types de tâches :
- T1 Déterminer la mesure d’une longueur ;
- T2 Déterminer si deux droites sont parallèles ;
- T3 Agrandir ou réduire une figure ;
- T4 Déterminer l’aire d’une figure obtenue par agrandissement ou réduction.
T1 et T3 sont des prolongements de l’étude faite en classe de 4e au cas de la configuration
croisée de Thalès. T2 et T4 sont nouveaux en classe de 3e.
Chapiron, G., Mante, M., Mullet-Marquis, R. & Pérotin, C. (2008). Triangle 3e. Livre
pour l’enseignant. Paris : Hatier.
Cette édition réservée au professeur est complétée d’un « Guide des activités ´´Franchir les
obstacles ´´ pour le professeur » dans lequel un paragraphe « Prérequis » précise les objectifs
de la rubrique « Je fais le point sur mes connaissances ». Trois types de tâches y figurent :
démontrer que deux droites sont parallèles (3 spécimens), démontrer qu’un point est le milieu
d’un segment (2 spécimens), calculer la mesure d’une longueur (9 spécimens dont 2 utilisent
le théorème de Thalès dans le triangle et 2 autres sont impossibles à réaliser, l’un en raison du
non parallélisme des droites, l’autre en raison d’une donnée numérique manquante). Aucune
technique n’est précisée, mais les éléments technologiques utilisés sont donnés. Deux autres
types de tâches apparaissent : contrôler la rédaction d’une démonstration et conjecturer à
l’aide d’un logiciel de géométrie dynamique. Nous voyons ainsi une reprise de l’étude très
large sur le type de tâches T1. Il n’y a aucune référence à T3, qui, avec T4, ne sera pas traité
dans le chapitre. On n’en trouve pas de trace dans les autres chapitres du manuel.
La rubrique « Réactiver les connaissances » comporte 11 exercices qui reprennent les mêmes
compétences que celles reprises dans la précédente. On a donc ici un support pouvant aider
l’enseignant à mettre en place un travail transitionnel.
Brault, R., Cipolin, M.-C., Cuq, S., Daro, I., Ferrero, C., Marfaing, I. & Ripaud, B.
(2012). Phare 3e. Livre élève. Paris : Hachette Éducation.
L’exercice de début de chapitre relève du type de tâches T1 sur un spécimen dans une
configuration triangulaire. La reprise de l’étude sur le type de tâches T3 se fera dans un autre
chapitre concernant les aires et volumes pour lequel l’exercice du début demande de
déterminer un lien entre les dimensions de deux statues.
Du Roy, A., Jacob, N., Le Bourgeois, D., Martin, A., Sitbon, A., Vissio, J. & Xoual, I.
(2009). Nouveau prisme 3e. Livre élève. Paris : Belin
15
La rubrique « Je prends un bon départ » est constituée d’un QCM de six questions et trois
réponses pour chacune au choix et quatre exercices. On y retrouve les types de tâches T1
(cinq spécimens : quatre dont la réalisation utilise le théorème de Thalès dans un triangle, et
un le théorème des milieux) et T2 (un spécimen mettant en œuvre le théorème des milieux).
On trouve aussi un spécimen de chacun des types de tâches « démontrer qu’un point est le
milieu d’un segment » et « démontrer que trois points sont alignés ». Apparait aussi un type
de tâches du domaine « Nombres et Calculs » : résoudre une équation quotient ; qui met en
œuvre le produit en croix (quatre spécimens). Comme pour le manuel précédent, le type de
tâches T3 sera repris dans un autre chapitre intitulé « Grandeurs composées – Aires et
volumes » au travers d’un exercice de la rubrique « Je prends un bon départ » dans lequel,
après une section d’un cône par un plan parallèle à la base, on demande le facteur de
réduction.
Aleixandre, D., Andrieu, X., Bernioz, C., Brotreaud, L. & Perrinaud, J.-C. (2014).
Zénius 3e. Livre élève. Paris : Magnard.
La reprise de l’étude est réalisée dans une rubrique « Pour commencer » dans laquelle quatre
phrases sont à compléter en s’appuyant sur un schéma d’une configuration triangulaire de
Thalès, une sur l’égalité de quotients obtenue, une autre sur le traitement de cette égalité, et
les deux autres sur agrandissement et réduction. Il n’y a donc pas de question relative aux
types de tâches relevés dans le programme, même si dans ce manuel les quatre seront traités
dans un seul chapitre.
17
Annexe 3.1a : Extrait de compte rendu d’observation portant sur l’étude de la
proportionnalité en classe de 5e (Artaud, 2014, pp. 7-8)
Il est 15 h 20. P écrit au tableau Chapitre 13. Proportionnalité et pourcentages.
Elle rend les tests d’entrée en demandant à un élève de les distribuer puis distribue l’énoncé
d’une activité (activité 1 ci-après) « vous la lisez ; vous la collez partie exercices, on essaie de
voir ensemble cette activité.
(...) C’est bon ? Vous avez lu ? »
La professeure poursuit : « Qu’est-ce que vous pensez du premier tableau ? (...) De quoi
s’agit-il dans cette activité ? Dans chaque cas vous devez dire s’il s’agit ou pas d’un tableau
de proportionnalité ».
La classe est bruyante et agitée ; malgré les injonctions au calme de P et sa reprise nominative
de certains élèves, l’agitation perdure.
Un élève qui est interrogé et donne la réponse : « à chaque fois on a multiplié par 3 » en
justifiant l’assertion. Le travail se poursuit, toujours de façon discursive. Un élève explique
que « pour le tableau 2, il n’y a pas proportionnalité parce que les 2 premières cases de la
première ligne sont multipliées par 2, la troisième non. Donc ça ne marche pas ». Et le tableau
3 est traité de la même façon, un élève expliquant que « Chaque nombre de la première ligne
est divisé par 4 ».
P : « Qu’est- ce qu’on peut tirer de cette activité ? Je récapitule, puis je fais le bilan ».
La professeur écrit au tableau en oralisant :
Bilan : Dans un tableau, il y a proportionnalité
(…) « quand ? »
Une élève répond : « si on multiplie ou on divise » ; « par quoi ? » demande P. Des élèves des
deux premiers rangs tentent une réponse, inaudible du fond, et P complète :
Il y a proportionnalité dans un tableau lorsque les termes d’une ligne sont obtenus en
multipliant ou en divisant par un même nombre, ceux de l’autre ligne. Ce nombre est appelé
le coefficient de proportionnalité.
18
Un élève commente « on a fait ça depuis le CP ».
Il est 15 h 41. P : « Vous prenez le cahier partie cours ».
Un élève est réprimandé et P lui demande de sortir son carnet. Elle poursuit ensuite : « Sur la
partie cours, vous écrivez » puis s’interrompt : « Je vais dicter si vous continuez ce chahut ! ».
Elle écrit au tableau en oralisant :
I) Tableau de proportionnalité.
Voir Activité 1, partie exercices.
Définition :
Un tableau de proportionnalité est un tableau tel que les termes d’une ligne s’obtiennent en
multipliant ou en divisant par un même nombre ceux de l’autre ligne.
Un élève revient sur le fait « qu’on le fait depuis le CE1 » et demande pourquoi.
P répond en expliquant que « ça, à la limite, c’est des rappels » mais qu’après il « verra des
choses nouvelles ».
Elle poursuit.
Ce nombre est appelé le coefficient de proportionnalité.
P : « Vous avez compris ce qu’on vient d’écrire là ? » Elle n’obtient pas de réponse, la classe
est toujours assez agitée et pendant que les élèves finissent de noter ce qui figure au tableau,
la professeure demande à « ceux qui n’ont pas eu la fiche que le professeur de français a
distribuée » de « lever la main ». Elle leur donne à chacun une fiche et une élève s’inquiète du
fait que c’est à faire pour lundi.
19
Annexe 3.1b : Repérer le tracé de la « frontière » entre ce qui a été antérieurement
étudié et ce qui est enjeu de l’étude de la classe considérée : un exemple relatif au
domaine des fonctions en seconde (Artaud, 2014, pp. 9-17)
Voici d’abord ce qui figure au programme de la classe de 3e.
1. Organisation et gestion de données, fonctions
L’un des objectifs est de faire émerger progressivement, sur des exemples, la notion de fonction en tant que
processus faisant correspondre, à un nombre, un autre nombre. Les exemples mettant en jeu des fonctions sont
issus de situations concrètes ou de thèmes interdisciplinaires. Les fonctions linéaires et affines apparaissent alors
comme des exemples particuliers de tels processus. L’utilisation des expressions « est fonction de » ou « varie en
fonction de », amorcée dans les classes précédentes, est poursuivie et est associée à l’introduction de la notation
f(x). L’usage du tableur grapheur contribue aussi à la mise en place du concept, dans ses aspects numériques
comme dans ses aspects graphiques. La notion d’équation de droite n’est pas au programme de la classe de
Troisième. (...) 1
Objectifs
La résolution de problèmes a pour objectifs
- de synthétiser le travail conduit sur la proportionnalité dans les classes antérieures, d’approcher la notion de fonction et
d’acquérir une première connaissance des fonctions linéaires et affines,
(...) Connaissances Capacités Commentaires
1.1. Notion de fonction
Image, antécédent, notations f (x), x f (x).
[Thèmes de convergence]
- Déterminer l’image d’un nombre par
une fonction déterminée par une courbe,
un tableau de données ou une formule.
- Déterminer un antécédent par lecture directe dans un tableau ou sur une
représentation graphique.
Toute définition générale de la notion
de fonction et la notion d’ensemble
de définition sont hors programme.
La détermination d’un antécédent à partir de l’expression algébrique
d’une fonction n’est exigible que
dans le cas des fonctions linéaires ou
affines.
1.2 Fonction linéaire, fonction affine
Proportionnalité.
En classe de Troisième, il s’agit de
compléter l’étude de la
proportionnalité par une synthèse
d’un apprentissage commencé à l’école primaire.
Fonction linéaire.
Coefficient directeur de la droite
représentant une fonction linéaire.
- Déterminer par le calcul l’image d’un
nombre donné et l’antécédent d’un
nombre donné.
- Déterminer l’expression algébrique
d’une fonction linéaire à partir de la
donnée d’un nombre non nul et de son
image.
- Représenter graphiquement une
fonction linéaire.
- Connaître et utiliser la relation y = ax
L’utilisation de tableaux de
proportionnalité permet de mettre en
place le fait que le processus de correspondance est décrit par une
formulation du type « je multiplie par
a ». Cette formulation est reliée à
x ax.
Pour des pourcentages d’augmentation ou de diminution, le
fait que, par exemple, augmenter de
5 % c’est multiplier par 1,05 et
diminuer de 5 % c’est multiplier par 0,95 est établi.
20
entre les coordonnées (x,y) d’un point M
qui est caractéristique de son appartenance à la droite représentative
de la fonction linéaire x ax.
- Lire et interpréter graphiquement le
coefficient d’une fonction linéaire
représentée par une droite.
Certains traitements des situations de
proportionnalité utilisés dans les classes précédentes sont reliés aux
propriétés d’additivité et
d’homogénéité de la fonction
linéaire.
Fonction affine.
Coefficient directeur et ordonnée à
l’origine d’une droite représentant une
fonction affine.
[Thèmes de convergence]
- Déterminer par le calcul l’image d’un nombre donné et l’antécédent d’un
nombre donné.
- Connaître et utiliser la relation
y = ax + b entre les coordonnées (x,y) d’un point M qui est caractéristique de
son appartenance à la droite
représentative de la fonction linéaire
x ax + b.
- Déterminer une fonction affine à partir de la donnée de deux nombres et de leurs
images.
- Représenter graphiquement une
fonction affine.
- Lire et interpréter graphiquement les
coefficients d’une fonction affine
représentée par une droite.
- Déterminer la fonction affine associée à une droite donnée dans un repère.
Parmi les situations qui ne relèvent pas de la proportionnalité, certaines
sont cependant modélisables par une
fonction dont la représentation
graphique est une droite. Cette remarque peut constituer un point de
départ à l’étude des fonctions affines.
Pour les fonctions affines, la
proportionnalité des accroissements de x et y est mise en évidence.
1.3. Statistique
1.4. Notion de probabilité
1On ne reproduit pas ce qui concerne la statistique et les probabilités.
Voici maintenant ce que contient le programme de seconde :
1. Fonctions
L’objectif est de rendre les élèves capables d’étudier :
• un problème se ramenant à une équation du type f(x) = k et de le résoudre dans le cas où la fonction est donnée
(définie par une courbe, un tableau de données, une formule) et aussi lorsque toute autonomie est laissée pour
associer au problème divers aspects d’une fonction ;
• un problème d’optimisation ou un problème du type f(x) > k et de le résoudre, selon les cas, en exploitant les
potentialités de logiciels, graphiquement ou algébriquement, toute autonomie pouvant être laissée pour associer
au problème une fonction.
Les situations proposées dans ce cadre sont issues de domaines très variés : géométrie plane ou dans l’espace,
biologie, économie, physique, actualité etc. Les logiciels mis à la disposition des élèves (tableur, traceur de
courbes, logiciels de géométrie dynamique, de calcul numérique, de calcul formel, etc.) peuvent être utilement
exploités.
Par ailleurs, la résolution de problèmes vise aussi à progresser dans la maîtrise du calcul algébrique et à
approfondir la connaissance des différents types de nombres, en particulier pour la distinction d’un nombre de
ses valeurs approchées.
Il s’agit également d’apprendre aux élèves à distinguer la courbe représentative d’une fonction des dessins
obtenus avec un traceur de courbe ou comme représentation de quelques données. Autrement dit, il s’agit de
faire comprendre que des dessins peuvent suffire pour répondre de façon satisfaisante à un problème concret
mais qu’ils ne suffisent pas à démontrer des propriétés de la fonction.
21
CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES
Fonctions
Image, antécédent, courbe
représentative.
•Traduire le lien entre deux quantités par
une formule.
Pour une fonction définie par une
courbe, un tableau de données ou une
formule :
• identifier la variable et,
éventuellement, l’ensemble de
définition ;
• déterminer l’image d’un nombre ;
• rechercher des antécédents d’un
nombre.
Les fonctions abordées sont
généralement des fonctions
numériques d’une variable réelle pour
lesquelles l’ensemble de définition est
donné.
Quelques exemples de fonctions
définies sur un ensemble fini ou sur
N, (aire en fonction des dimensions)
sont à donner.
Étude qualitative de fonctions
Fonction croissante, fonction
décroissante, maximum, minimum
d’une fonction sur un intervalle.
• Décrire avec un vocabulaire adapté ou
un tableau de variations, le
comportement d’une fonction définie par
une courbe.
• Dessiner une représentation graphique
compatible avec un tableau de variations.
Lorsque le sens de variation est donné,
par une phrase ou un tableau de
variations.
• comparer les images de deux nombres
d’un intervalle ;
• déterminer tous les nombres dont
l’image est supérieure ou inférieure à une
image donnée.
Les élèves doivent distinguer les
courbes pour lesquelles l’information
sur les variations est exhaustive, de
celles obtenues sur un écran
graphique.
Les définitions formelles d’une
fonction croissante, d’une fonction
décroissante, sont progressivement
dégagées. Leur maîtrise est un
objectif de fin d’année.
Même si les logiciels traceurs de
courbes permettent d’obtenir
rapidement la représentation
graphique d’une fonction définie par
une formule algébrique, il est
intéressant, notamment pour les
fonctions définies par morceaux, de
faire écrire aux élèves un algorithme
de tracé de courbe.
Expressions algébriques
Transformations d’expressions
algébriques en vue d’une
résolution de problème.
• Associer à un problème une expression
algébrique.
• Identifier la forme la plus adéquate
(développée, factorisée) d’une
expression en vue de la résolution du
problème donné.
• Développer, factoriser des expressions
polynomiales simples ;
transformer des expressions rationnelles
simples.
Les activités de calcul nécessitent une
certaine maîtrise technique et doivent
être l’occasion de raisonner.
Les élèves apprennent à développer
des stratégies s’appuyant sur
l’observation de courbes,
l’anticipation et l’intelligence du
calcul. Le cas échéant cela
s’accompagne d’une mobilisation
éclairée et pertinente des logiciels de
calcul formel.
22
Équations
Résolution graphique et algébrique
d’équations
• Mettre un problème en équation.
• Résoudre une équation se ramenant au
premier degré.
Encadrer une racine d’une équation
grâce à un algorithme de dichotomie.
Pour un même problème combiner
résolution graphique et contrôle
algébrique.
Utiliser, en particulier, les
représentations graphiques données
sur un écran par une calculatrice, un
logiciel.
Fonctions de référence
Fonctions linéaires et fonctions
affines
Variations de la fonction carré, de
la fonction inverse.
• Donner le sens de variation d’une
fonction affine.
• Donner le tableau de signes de pour
des valeurs numériques données de a et
de b.
• Connaître les variations des fonctions
carré et inverse.
Représenter graphiquement les fonctions
carré et inverse.
On fait le lien entre le signe de , le
sens de variation de la fonction et sa
courbe représentative.
Exemples de non linéarité. En
particulier, faire remarquer que les
fonctions carré et inverse ne sont pas
linéaires.
Études de fonctions
Fonctions polynômes de degré 2.
Fonctions homographiques.
• Connaître les variations des fonctions
polynômes de degré 2 (monotonie,
extremum) et la propriété de symétrie de
leurs courbes.
• Identifier l’ensemble de définition
d’une fonction homographique.
Les résultats concernant les variations
des fonctions polynômes de degré 2
(monotonie, extremum) et la
propriété de symétrie de leurs
courbes, sont données en classe et
connus des élèves , mais peuvent être
partiellement ou totalement admis.
Savoir mettre sous forme canonique
un polynômes de degré 2 n’est pas un
attendu du programme.
Hormis le cas de la fonction inverse,
la connaissance générale des
variations d’une fonction
homographique et sa mise sous forme
réduite ne sont pas des attendus du
programme.
Inéquations
Résolution graphique et algébrique
d’inéquations.
• Modéliser un problème par une
inéquation.
• Résoudre graphiquement des
inéquations de la forme :
f(x) < k ; f(x) < g(x).
• Résoudre une inéquation à partir de
Pour un même problème, il s’agit de :
• combiner les apports de l’utilisation
d’un graphique et d’une résolution
algébrique ;
• mettre en relief les limites de
l’information donnée par une
représentation graphique.
23
l’étude du signe d’une expression produit
ou quotient de facteurs du premier degré.
• Résoudre algébriquement les
inéquations nécessaires à la résolution
d’un problème.
Les fonctions utilisables sont les
fonctions polynômes de degré 2 ou
homographiques.
Trigonométrie
« Enroulement de la droite
numérique » sur le cercle
trigonométrique et définition du
sinus et du cosinus d’un nombre
réel.
•On fait le lien avec les valeurs des sinus
et cosinus des angles de 0°, 30°, 45°,
60°, 90°.
On fait le lien avec la trigonométrie
du triangle rectangle vue au collège.
La notion de radian n’est pas
exigible.
NB : on n’a pas vu les équations et inéquations mentionnées dans l’extrait du programme de
troisième précédent parce que ces thèmes relèvent d’un autre domaine, celui des « Nombres et
Calculs ».
Commentaires développés oralement : on a mis en évidence que si la notion de fonction et
d’image, et de façon plus limitée celle d’antécédent, ont été travaillées dans le cadre du
programme de troisième, le sens de variation des fonctions relève clairement du programme
de seconde, y compris en ce qui concerne les fonctions linéaires et affines.
On complétera cette étude en explorant le document « Ressources pour les classes de 6e, 5
e, 4
e
et 3e » du collège portant sur la proportionnalité et les fonctions, les ouvrages de la classe de
3e et l’épreuve du brevet (DNB). Nous donnerons ici seulement une amorce de cette
exploration en considérant trois documents que nous commenterons rapidement. Voici
d’abord un extrait du document « Ressources » cité plus haut :
24
Examinons ensuite un extrait d’un ouvrage de Troisième (collection Transmath, Nathan,
2008 ; pp. 108-111 et collection Prisme, Belin, 2008, pp. 120-125). Voir Annexe à la fin des
notes de la séance.
Considérons enfin l’énoncé du sujet de 2009 donné en métropole.
On examinera d’abord l’exercice 3 de la rubrique Activités numériques, dont voici l’énoncé.
25
Commentaires oraux
On y voit notamment des spécimens des types de tâches suivant :
Lire les coordonnées d’un point de la courbe représentative d’une fonction (fonction affine et
non affine) ;
Identifier la courbe représentative d’une fonction affine et d’une fonction linéaire ;
Déterminer l’antécédent d’un nombre par une fonction affine ;
Déterminer si un point donné par ses coordonnées appartient à la courbe représentative d’une
fonction (fonction affine).
Considérons maintenant le problème.
27
La deuxième partie met en œuvre trois types de tâches relatives aux fonctions, dans le
contexte d’un problème de modélisation. Il s’agit déterminer l’image d’un nombre par une
fonction dont on a la représentation graphique ; la valeur où une fonction admet un maximum
ainsi que celle du maximum. On notera que ces deux derniers types de tâches peuvent paraître
excéder le programme de troisième : ce serait le cas s’ils apparaissaient en tant que tels. Mais
c’est le maximum de l’aire qu’il s’agit de déterminer par lecture graphique, sans
véritablement donner de justification, et c’est donc la situation qui permet de donner du sens
et d’obtenir la mise en œuvre d’une technique.
La considération d’ouvrages pour la classe de 3e, notamment à travers leurs corpus
d’exercices, confirmerait qu’on a là les principaux types de tâches relatifs aux fonctions en
classe de 3e, exception faite de types de tâches spécifiques des fonctions linéaires et affines :
Déterminer si un point appartient à la courbe représentative d’une fonction,
ce qui suppose de Déterminer l’image d’un nombre par une fonction ;
Déterminer l’antécédent d’un nombre par une fonction (technique graphique ou via un
tableau de valeurs si la fonction n’est pas affine) ;
Déterminer les coordonnées d’un point d’une courbe représentative ;
28
auxquels il faudrait ajouter la modélisation d’une situation par une fonction et la
représentation graphique d’une fonction donnée par son expression algébrique.
Tout cela confirme, en le précisant quelque peu, que la ligne de démarcation entre le collège
et le lycée se fait sur les variations d’une fonction ; on a également une différence liée à la
formalisation qui a davantage de place en seconde qu’elle n’en a eu en 3e où si certaines
notations sont introduites, elles le sont généralement sur des spécimens.
Annexe
Malaval J. et al. 2008. Transmath 3e. Paris : Nathan. pp. 108-111 ;
Maths 3e, collection Prisme, Belin, 2008, pp. 120-125.
31
Annexe 3.2 : Enquête sur la mise en place d'un test d'entrée (M2 2013-2014), novembre
2013
1. Quel est le thème dont vous dirigez l'étude actuellement ?
Karim : Statistique (3e)
Céline : Comparaison des nombres (6e)
Florent : Vecteurs (2de) et Fonctions de référence (1re STL)
Asma : Addition et soustraction (6e)
Camille : Angles et triangles (5e)
Julien : 1. Addition et soustraction et 2. Cercle et triangle (6e)
Johanna : Statistique (2de
)
Lucie : Cercle et triangle (6e)
Lauriane : Fonctions affines (2de
)
Charlie : Opérations (6e)
2. Avez-vous effectué un test d'entrée ?
Karim : Non, je n'ai pas fait de test d'entrée, par contre je leur ai demandé de faire un travail
de recherche sur la définition de certains mots sur ce thème. La séance d'après, j'ai contrôlé le
travail fait à la maison, j'ai posé oralement certaines questions et je leur ai demandé de me
donner des exemples.
Céline : Non, pas de test d'entrée mais dès le début, je leur ai donné des exercices à faire pour
voir s'ils savaient faire certains types de tâches.
Florent : Je n'ai pas fait de test d'entrée pour aucune des deux classes. Pour les secondes car je
suis très satisfait de leur niveau en géométrie, bien supérieur à celui d'algèbre et d'analyse.
Pour les premières, car nous sommes deux professeurs à prendre en charge la classe, ce qui
laisse moins de liberté, nous nous accordons donc sur des séquences de forme plus
traditionnelle.
Asma : Non, je n'ai pas fait de test d'entrée. En fait, j'ai commencé ce thème à la rentrée et
avant les vacances je n'ai pas eu le temps de le faire. Et j'ai trouvé que cela n'avait aucun
intérêt de le faire à la rentrée. J'aurais dû le faire bien avant. Mais par contre, j'ai repris
quelques notions de l'école primaire avec eux.
Camille : Pas de test d'entrée mais exercices hors classe qui consistait à reproduire un angle
avec le matériel et la méthode qu'ils voulaient. Je ne l'ai pas fait pour des raisons de temps et
d'organisation : si je l'avais fait, j'aurais dû le faire avant les vacances et j'aurais dû avoir mon
AER prête, ce qui n'était pas le cas.
Julien : 1. Oui, OM testée : savoir poser et effectuer une soustraction. 2. Non, ce dont nous
avions besoin avait été vu et avait fait l'objet d'un bilan [notation, codage, construction de
triangles remarquables].
Johanna : Oui j'ai testé : les calculs de moyenne / moyenne pondérée, l'étendue ; déterminer la
médiane et les premier et troisième quartiles ; calculer une fréquence et la mettre sous forme
32
de pourcentage ; donner la signification de la moyenne / médiane et des premier et troisième
quartiles pour la série étudiée. En fait c'est l'étude d'une série statistique pour pouvoir étudier
cette année deux séries statistiques.
Lucie : Oui. À partir d'une figure, il devait donner le rayon, le diamètre, le centre ; quel
instrument utilisent-ils pour construire un cercle et quelle était la particularité du triangle
rectangle. Ce test avait pour but de voir s'ils maitrisaient le vocabulaire car j'avais déjà fait en
début d'année un test sur la construction.
La figure : à faire
Lauriane : Oui, test sur l'OM généralités sur les fonctions (image / antécédent, ensemble de
définition, tableau de variations)
Charlie : Les tests d'entrée sont faits en plusieurs étapes sous forme d'interrogation en début
d'heure depuis le début de l'année (1 par jour soit 3 par semaine de 5 à 10 minutes sur
plusieurs thèmes). J'ai fait tester du calcul mental et un peu de calcul posé sur les quatre
opérations. Avec le rattrapage de la journée du lundi (pré-rentrée), j'ai commencé la séquence
plus tôt que prévu (3 h ce mercredi) et n'ai donc pas pu faire un test d'entrée complet une
semaine avant de commencer la séance.
3. Donnez les raisons d'être principales de la mise en place d'un test d'entrée.
Karim : Le test d'entrée permet d'avoir une information sur le niveau des élèves sur un thème
déjà abordé lors des années précédentes. Les informations récupérées permettront au
professeur de faire la transition nécessaire pour la poursuite du thème.
Céline : les principales raisons d'être du test d'entrée sont de vérifier et d'identifier les acquis,
mais également de voir les types de tâches à travailler davantage, les difficultés dans un type
de tâches précis, et de pouvoir organiser son travail, son étude en fonction des résultats de ce
test.
Florent : Un test d'entrée sert à vérifier le degré d'acquisition des prérequis du thème d'étude
ainsi que de raviver chez les élèves les connaissances qu'ils devront réutiliser lors de la
séquence à venir.
Asma : voir les notions non acquises par les élèves ; faire des révisions si c'est le cas.
Camille : Le test d'entrée sert au professeur pour savoir sur quoi il doit insister / revoir au
travers d'exercices. Il peut servir à gérer l'hétérogénéité de la classe en demandant par
exemple aux élèves ayant des difficultés sur un thème de retravailler dessus avant de l'étudier.
Le test d'entrée permet aussi de mieux appréhender les questions que poseront les élèves lors
de l'AER du thème d'étude.
Julien : voir si les prérequis nécessaires à l'organisation de l'étude sont acquis par la classe (ou
s'il faut insister rapidement sur quelques points particuliers) ; mettre les élèves devant leur
responsabilité en leur montrant ce qu'ils sont censés maitriser ; prévenir la classe d'une
nouvelle organisation mathématique.
33
Johanna : Les raisons d'être du dispositif « test d'entrée » sont : vérifier les acquis sur les
notions qui vont être réutilisées pour ce chapitre ; si besoin, prévoir des exercices de
« rappels ».
Lucie : Le test d'entrée a pour but de voir si les points abordés au primaire sont acquis ou bien
s'il faut revenir sur certains (dans le cas où une majorité d'élèves n'ont pas assimilé une
notion) à travers des exercices introduisant les nouvelles notions et les « acquis du primaire ».
Lauriane : Il permet de voir si les notions en rapport avec cette OM ont été acquises ;
consacrer (prévoir) du temps dans la séquence pour en reprendre si certaines ne le sont pas ;
permet aux élèves de faire un lien entre les nouvelles notions et ce qu'ils connaissent déjà.
Charlie : Il permet d'effectuer un contrôle des techniques et savoirs supposés acquis. Ce qui
permet de savoir ce qui doit être retravaillé et ce qui peut être considéré comme effectivement
acquis au début de l'étude. Éventuellement, cela permet aussi de former le groupe de soutien
pour cette séquence.
35
Annexe 4.1 : Questionnaires diffusés auprès des stagiaires, de tuteurs et de professeurs
Questionnaire 1 Pratiques d’enseignement
Questionnaire à l’attention des enseignants de mathématiques
Dans le cadre d’une enquête sur les pratiques des enseignants de mathématiques, nous avons relevé les propos
de quatre professeurs, désignés ci-après par Professeur A, Professeur B, Professeur C, Professeur D. Nous vous
invitons à examiner dans ce questionnaire les pratiques qu'ils décrivent.
Professeur A :
« En début d’année scolaire, je fais des révisions sur ce que les élèves doivent savoir des années antérieures afin
de stabiliser les acquis avant de commencer l’année ; et il m’arrive de redonner des exercices de révision sur
une notion précise au début d’un nouveau chapitre. »
1) Avez-vous déjà observé ou entendu mentionner cette pratique (ou une pratique très voisine) ?
2) a) Avez-vous déjà mis en œuvre cette pratique ?
b) Selon vous, y a-t-il des éléments contraires ou favorables à la mise en œuvre d'une telle
pratique ?
Votre réponse :
3) Comment situez-vous cette pratique du point de vue de son efficacité pédagogique et didactique sur
une échelle allant de 1 (efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Professeur B :
« J’utilise le manuel de la classe et je demande aux élèves de faire les exercices de la rubrique Vérifier ses
acquis au début de chaque chapitre. Au moment de la correction en classe, j’en profite pour faire des rappels
sur les notions oubliées. »
1) Avez-vous déjà observé ou entendu mentionner cette pratique (ou une pratique très voisine) ?
2) a) Avez-vous déjà mis en œuvre cette pratique ?
b) Selon vous, y a-t-il des éléments contraires ou favorables à la mise en œuvre d'une telle
pratique ?
Votre réponse :
3) Comment situez-vous cette pratique du point de vue de son efficacité pédagogique et didactique sur
une échelle allant de 1 (efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Professeur C :
« Avant de commencer un chapitre, je fais une évaluation diagnostique afin de vérifier les acquis des élèves sur
les notions utiles au chapitre. Au moment de la correction en classe, j’en profite pour faire des rappels sur les
notions oubliées ; et je donne des exercices à faire à la maison pour s’entrainer. »
1) Avez-vous déjà observé ou entendu mentionner cette pratique (ou une pratique très voisine) ?
36
2) a) Avez-vous déjà mis en œuvre cette pratique ?
b) Selon vous, y a-t-il des éléments contraires ou favorables à la mise en œuvre d'une telle
pratique ?
Votre réponse :
3) Comment situez-vous cette pratique du point de vue de son efficacité pédagogique et didactique sur
une échelle allant de 1 (efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Professeur D :
« Au fur et à mesure du chapitre, si je vois que les élèves ont oublié une notion vue les années antérieures, je fais
un rappel en classe. »
1) Avez-vous déjà observé ou entendu mentionner cette pratique (ou une pratique très voisine) ?
2) a) Avez-vous déjà mis en œuvre cette pratique ?
b) Selon vous, y a-t-il des éléments contraires ou favorables à la mise en œuvre d'une telle
pratique ?
Votre réponse :
3) Comment situez-vous cette pratique du point de vue de son efficacité pédagogique et didactique sur
une échelle allant de 1 (efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Afin de pouvoir classer vos réponses selon le contexte d’enseignement, merci de bien vouloir répondre à ces
dernières questions personnelles.
Enseignez-vous en collège ou en lycée ?
Quels sont les niveaux de classes dans lesquels vous enseignez cette année ?
6e 5
e 4
e 3
e
2de
1re T
le
Êtes-vous fonctionnaire stagiaire
Êtes-vous tuteur d’un fonctionnaire stagiaire
Commentaires personnels :
Sachant que toutes vos réponses resteront confidentielles et anonymes, vous pouvez, si vous le souhaitez, nous
laisser votre nom pour que nous puissions éventuellement vous recontacter.
Nom Prénom
37
Questionnaire 2 Révisions, rappels, reprises
Questionnaire à l’attention des enseignants de mathématiques
Il arrive couramment qu’une notion qui a déjà fait l’objet d’un enseignement (dans une classe antérieure par
exemple) soit à reprendre partiellement, afin d’avancer ensuite de façon plus sûre. Ce questionnaire envisage la
manière de gérer de telles « reprises », en vous invitant à examiner brièvement quatre façons de faire.
Technique de reprise A :
- Procéder en début d’année à des révisions portant sur les principales notions jugées classiquement mal
connues mais qui seront indispensables au cours de l’année qui démarre.
- Au début de chaque chapitre, donner éventuellement des exercices de révision pour renforcer la
maîtrise des connaissances à utiliser dans le chapitre.
1) Avez-vous connaissance de professeurs utilisant cette technique (ou une technique très voisine) ?
2) a) L’avez-vous utilisée ou l’utilisez-vous vous-même ?
b) Pour quelles raisons positives ou négatives en est-il ainsi ?
Votre réponse :
3) Comment situeriez-vous son efficacité en termes d’apprentissage sur une échelle allant de 1
(efficacité trè
Technique de reprise B :
- Au début de chaque chapitre, donner à faire des exercices de la rubrique «Vérifier ses acquis» du
manuel de la classe.
- Lors de la correction en classe, rappel éventuel sur les notions mal maîtrisées.
1) Avez-vous connaissance de professeurs utilisant cette technique (ou une technique très voisine) ?
2) a) L’avez-vous utilisée ou l’utilisez-vous vous-même ?
b) Pour quelles raisons positives ou négatives en est-il ainsi ?
Votre réponse :
3) Comment situeriez-vous son efficacité en termes d’apprentissage sur une échelle allant de 1
(efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Technique de reprise C :
- Au début de chaque chapitre, procéder à une évaluation diagnostique sur les notions utiles au chapitre.
- Lors de la correction en classe, faire éventuellement un rappel sur les notions mal maîtrisées.
- Donner des exercices d’entraînement à faire à la maison.
1) Avez-vous connaissance de professeurs utilisant cette technique (ou une technique très voisine) ?
2) a) L’avez-vous utilisée ou l’utilisez-vous vous-même ?
b) Pour quelles raisons positives ou négatives en est-il ainsi ?
38
Votre réponse :
3) Comment situeriez-vous son efficacité en termes d’apprentissage sur une échelle allant de 1
(efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Technique de reprise D :
- Au cours de chaque chapitre, rappels éventuels sur les notions mal maîtrisées.
1) Avez-vous connaissance de professeurs utilisant cette technique (ou une technique très voisine) ?
2) a) L’avez-vous utilisée ou l’utilisez-vous vous-même ?
b) Pour quelles raisons positives ou négatives en est-il ainsi ?
Votre réponse :
3) Comment situeriez-vous son efficacité en termes d’apprentissage sur une échelle allant de 1
(efficacité très faible) à 5 (très efficace) ?
Afin de pouvoir classer vos réponses selon le contexte d’enseignement, merci de bien vouloir répondre à ces
dernières questions personnelles.
Enseignez-vous en collège ou en lycée ?
Quels sont les niveaux de classes dans lesquels vous enseignez cette année ?
6e 5
e 4
e 3
e
2de
1re T
le
Êtes-vous fonctionnaire stagiaire
Êtes-vous tuteur d’un fonctionnaire stagiaire
Commentaires personnels :
Sachant que toutes vos réponses resteront confidentielles et anonymes, vous pouvez, si vous le souhaitez, nous
laisser votre nom pour que nous puissions éventuellement vous recontacter.
Nom Prénom
39
Annexe 4.2a : Tableaux synthétiques des réponses aux questionnaires
Pratique/Reprise A Connue Mise en
œuvre
Efficacité
moyenne
(arrondie au
centième)
Environnement explicatif
Tuteurs quest. 1 Oui 5
Non 1
Oui 1
Non 5
8 6 = 1,33 T1) Pas le temps de revoir toute une année
en deux semaines !
Les exercices de révisions en début de
chapitre sont plus ciblés et pertinent.
T2) Contraire : Remettre les élèves en
difficulté face à leur difficulté
Perdre son temps
Faire croire que l’on n’avance pas
T3) Favorable : faire un point de révision
des notions antérieures
Contraire : le systématisme n’aide pas, il
n’est pas sur que ces notions soient
« utilisables » 3 ou 4 mois après
T4) À mon avis il vaut mieux faire des
révisions lorsque le chapitre étudié le
demande plutôt qu’en début d’année
seulement.
T5) Tous les éléments sont contraires !
Mais le bloc d’étude par année (réussie ou
pas) est propice à cette pratique.
T6) pas de réponse
Tuteurs quest. 2 Oui 3
Non 1
Oui 3
Non 1 14 4 = 3,5 T’1) Temps perdu
Techniques mobilisées à bon escient pour
des problèmes adaptés
Sensation pour les élèves de « ne pas
avancer »
T’2) pas de réponse
T’3) pas de réponse
T’4) Les élèves oublient et certaines
notions ont besoin d’être remises
correctement « à plat » régulièrement.
Tuteurs total Oui 8
Non 2
Oui 4
Non 6 22 10 = 2,2
Profs quest. 1 Oui 9
Non 2
Oui 5 dont 1
avec « en
partie »
Non 6
21 10 = 2,1 P1) Contraire : peu efficace, ça ennuie les
élèves qui maitrisent et replace en situation
d’échec les autres, pas constructif.
P2) Avantage faire le point sur les pré
requis
Inconvénient la « perte de temps
P3) Difficile de répondre car il y a 2 choses
différentes
des révisions en début de chapitres, ce
qui peut m’arriver, plutôt dans le sens du
professeur B
Des révisions en début d’année. Je
répondrais surtout sur ce point. Ce n’est pas
très efficace car extrêmement chronophage
tout en faisant travailler des élèves sur des
notions qu’ils connaissent pour la plupart et
qui seront de toute façon revue dans
l’année.
P4) Perte de temps au détriment du
programme. Stigmatise les élèves faibles.
P5) Commencer l’année par des révisions
40
est souvent peu productif pour les bons
comme pour les mauvais élèves. Par contre,
il est souvent utile, en début de chapitre, de
rappeler quelques prérequis.
P6) Inconvénient : une certaine lourdeur, en
termes de temps
P7) Cela peut être favorable pour des
élèves moyens mais les meilleurs élèves
vont s’ennuyer. De plus, cela génère une
perte de temps sur la progression.
P8) Les programmes sont si denses qu’il
me parait malvenu d’entamer de telles
révisions.
P9) J’y suis plutôt défavorable, estimant
qu’il vaut mieux réactiver des compétences
anciennes à travers de nouvelles tâches.
P10) pas de réponse
P11) éléments contraires ; improductif /
perte de temps
Profs quest. 2 Oui 9
Non 6
+ 1 sans
réponse
+ 1 ?
Oui 6
Non 10
+ 1 sans
réponse
32 14 = 2,29 P’1) Problème d’efficacité : les élèves « au
niveau » n’en ont aucun besoin ; les élèves
totalement perdus non plus.
Problème de raison d’être : travail de
techniques uniquement.
P’2) Les notions des années précédentes
devraient être acquises.
P’3) Ceci peut parfois faire catalogue
(parfois ennuyeux pour les élèves (manque
de sens et de lisibilité)).
Ceci rassure parfois les élèves sur leur
niveau en début d’année.
P’4) Quand les notions ont été vues en fin
d’année par ex (élèves moins mobilisés)
Quand l’acquisition de ces notions est
nécessaire pour continuer
P’5) – c’est long ; il vaut mieux le faire au
fur et à mesure de l’année. Les élèves
aiment la nouveauté, ils ont l’impression
d’être resté dans la classe précédente.
P’6) début d’année → oublis quand besoin
Exercices : non considérés comme
important par E
P’7) Révisions, rappels en début d’année ;
très légers à pas car les notions revues sont
oubliées de toute façon quand le besoin
s’en fait sentir, sauf si retravaillées
régulièrement (d’où le très léger).
Exercices en début de cours : statut trop
flou pour les élèves, faisant appel à des
connaissances lointaines donc oubliées en
grande partie, ce qui entraine un sentiment
d’incompréhension dès le début de la leçon
pour les élèves moyens qui plongent ainsi
trop vite.
P’8) pas de réponse
P’9) Erreur de débutant.
P’10) Une nouvelle année « doit » démarrer
avec des notions nouvelles même si à
travers elles des notions antérieures sont
presque obligatoirement réinvesties.
41
P’11) Les révisions de début d’année ne
servent à rein !
Nouveauté ! Nouveauté !
P’12) Dans l’ensemble, les professeurs
préfèrent faire les « rappels » au fur et à
mesure, au moment de leur utilisation.
P’13) Pas de révision. Remédiation
éventuelle.
P’14) pas de réponse
P’15) pas de réponse
P’16) pas de réponse
P’17) Faire des révisions en bloc en début
d’année ne me parait pas intéressant. En
aide math en 6ième
par contre je prépare le
futur chapitre avec les élèves les plus
fragiles.
Profs total Oui 18
Non 8
Oui 11
Non 16 53 24 = 2,21
Stagiaires quest. 1 Oui 10
Non 3
Oui 4 dont 1
avec « en
début
d’année »
Non 9
24 13 = 1,8 S1) Contraire : ce qui n’a pas été compris
ne le sera pas plus ; perte de temps ;
contraire à ce que disent les textes ; il existe
des alternatives pour refixer les savoirs.
S2) Révisions en début d’année c’est une
perte de temps inutil. On ne peut pas faire
réviser aux élèves en quelques heures le
programme de toute une année. Des petits
rappels au moment opportuns sont
préférables.
S3) Eléments contraires : mentionner ou
faire des exos de révisions mettent les
élèves face à leurs difficultés antérieures et
peuvent entrainer un blocage.
Eléments favorables : ne pas le faire sous
forme de révisions mais sous forme de
rituels de début de classe.
S4) Les élèves qui ont eu des difficultés sur
une notion l’année précédente vont avoir
du mal à entrer dans une activité de
révision qui va les mettre face à leur échec.
S5) Redonner des exercices peut être utile
pour certains élèves en grande difficultés.
Mais pour tous, cela ne présente pas
d’intérêt.
S6) D’après les textes institutionnels on ne
doit pas réaliser de révisions mais mettre en
place des tests d’entrée pour connaitre
l’état de connaissances des élèves.
S7) L’institution interdit formellement les
révisions systématiques. Mais certains cas
nécessitent des révisions.
S8) pas de réponse
S9) Il me semble que c’est déconseillé par
l’institution. Cependant il est nécessaire de
réactiver certaines connaissances dans les
exercices.
S10) J’ai été obligé de part la progression
commune à suivre cette pratique. Je trouve
que cette pratique est une perte de temps.
Les élèves ayant déjà compris tout ceci
s’ennuient et nous n’avons pas le temps de
42
vraiment aider les élèves en difficulté à
comprendre ces notions.
S11) Souvent une perte de temps ; peu
efficace ; contraire aux textes officiels ; met
en péril la réalisation complète de la
progression annuelle ; il est plus pertinent
de faire une reprise d’étude intégrée aux
nouvelles séquences.
S12) Pour : lorsque les éléments sont
indispensables et non connus des élèves.
Contre : de manière systématique et non
différenciée car les élèves en position de
révision systématique ne sont pas motivés.
S13) Eléments contraires : les révisions
demandent du temps et le programme
risque de ne pas être bouclé. De plus, cela
ne concerne pas la totalité des élèves.
Eléments favorables : les « exercices de
révisions » sont pour moi un test d’entrée
au chapitre, ce qui est indispensable pour
nous.
Stagiaires quest. 2 Oui 5
Non 8
+ 1 sans
réponse
Oui 2
Non 12
23 11 = 2,09 S’1) Inefficacité (travail de la technique) ;
perte de temps
S’2) Négatifs : perte de temps en classe,
retard sur la progression ; ennui de certains
élèves ; surcharge en début d’année.
S’3) Hors programme ; retard dans les
progressions ; élèves pour lesquels la
notion est acquise.
S’4) Il est déconseillé par l’institution de
procéder à des révisions systématiques en
début d’année.
S’5) Manque de temps et d’expérience
S’6) pas de réponse
S’7) Désintérêt et démotivation des élèves.
En lycée pro, il ne faut surtout pas rappeler
aux élèves qu’il y avait un collège avant.
S’8) On nous a déconseillé. Ne connaissant
pas la classe comment choisir bien les
révisions à faire.
S’9) Car très souvent ces notions qui ont
déjà mis en échec des élèves ne seront pas
mieux comprises si elles sont vues comme
chapitre de « rappel ».
S’10) J’ai banni les séances de révisions,
même si pour certain thème, beaucoup de
notions manquent.
S’11) Les révisions sont proscrites dans les
textes. Rébarbatif, peu attractif.
S’12) Parce que des tests d’entrée
remplissent ce rôle et que les exercices du
chapitre feront appel à des connaissances
antérieurs de toute façon.
S’13) Cette méthode permet de réactiver
certaines connaissances lors de la
correction des exercices, ce ne sont donc
pas des rappels et ils n’apparaissent pas
dans le cours.
S’14) Sur le calcul algébrique en début
d’année, de nombreux élèves été en
43
difficulté. J’ai donc consacré une séance
d’AP sur le sujet.
Stagiaires total Oui 15
Non 11
Oui 6
Non 21 42 24 = 1,75
Tuteurs + Profs Oui 26
Non 10
Oui 15
Non 22 75 34 = 2,21
Ensemble Oui 41
Non 21
Oui 21
Non 43 117 58 = 2,02
44
Pratique/Reprise B Connue Mise en œuvre Efficacité
moyenne
(arrondie au
centième)
Environnement explicatif
Tuteurs quest. 1 Oui 4
Non 2
Oui 2 dont 1 avec
« rarement »
Non 4
13 6 = 2,17 T1) Le côté systématique est
chronophage.
Mais en général, ces exercices sont
pertinents pour les notions qui seront
abordées dans le chapitre.
T2) pas de réponse
T3) Contraires : comment savoir si
l’élève a réellement acquis la notion
sans évaluation diagnostique
T4) Cette pratique peut permettre aux
élèves de se rendre compte de leurs
lacunes mais cela risque de les
effrayer et de les bloquer sur le reste
du chapitre.
T5) Beaucoup d’el contraires encore :
ces acquis doivent être partie
intégrante des nouvelles parties.
T6) pas de réponse
Tuteurs quest. 2 Oui 2
Non 2
Oui 1
Non 2
+ Oui & Non 1
11 4 = 2,75 T’1) Temps perdu
Sensation pour les élèves de « ne pas
avancer »
Motivation nulle sur de tels ex.
T’2) pas de réponse
T’3) pas de réponse
T’4) Technique utilisée à partir du
travail mental car cela remobilise les
connaissances de façon récursive.
Tuteurs total Oui 6
Non 4
Oui 3
Non 6 24 10 = 2,4
Profs quest. 1 Oui 10
Non 1
Oui 4 dont 1 avec « en
partie »
Non 7
27 10 = 2,7 P1) Cette rubrique n’est pas toujours
présente, et souvent les exos sont
purement techniques et sans
fondements. Je ne pense pas qu’on
puisse éveiller la curiosité des élèves
sur une notion en commençant ainsi.
P2) Pour moi pas d’éléments
contraires, il FAUT le faire
P3) Pratique chronophage et qui n’est
pas forcément efficace : on passe du
temps sur des notions pas forcément
oubliées et qui seront peut être revues
dans le chapitre, voire sur des notions
peu utilisées dans le chapitre. Peut
cependant être utile soit sur certaines
notions fondamentales, soit sur des
notions pas faites par les élèves
l’année précédente (chapitres de fin
d’année) il faut cibler les
exercices.
P4) Indique les prérequis à connaitre
ce qui guide l’enseignement. Prévoir
les problèmes des élèves en amont.
P5) En général, je n’utilise pas le
livre sauf au moment des révisions.
En ce qui concerne la vérification des
acquis, il me semble préférable de
45
l’accompagner d’une explication
orale.
P6) ça dépend des livres
P7) même commentaire qu’au dessus.
Il faut que ce soit bref.
P8) Les élèves peuvent vérifier leur
acquis dans le cadre du travail
personnel.
P9) Peut être favorable, sans être
systématique
P10) pas de réponse
P11) Pour des élèves conscients des
savoirs en jeu, ça peut être favorable
Profs quest. 2 Oui 9
Non 4
+ 1 Oui
& Non
+ 1 sans
réponse
+ 1 ?
Oui 9
Non 7 dont 1
avec « pas
systématiquement »
+ 1 sans réponse
30 14 = 2,14 P’1) Problème de raison d’être, les
techniques ne répondent pas à une
question mais dans l’optique de
répondre à des questions futures.
P’2) Vérifier ses acquis en début de
chapitre permet un meilleur
rendement.
Insister sur les notions mal maitrisées
permet de faire comme un
« rattrapage » ou « contre bilan »
P’3) Permet de cibler les difficultés
des élèves sur telle ou telle notion …
mais fait aussi émerger parfois
d’autres difficultés ou lacunes.
P’4) Cela dépend des besoins des
élèves.
Appliquée systématiquement, cette
technique peut ennuyer certains
élèves.
P’5) Beaucoup d’élèves sont habitués
à l’ordre suivant : une leçon, puis un
exercice … j’entends souvent :
« Madame, on n’a pas fait la leçon,
on ne peut pas répondre » même si en
début d’année je n’appelle pas cela
exercice mais activité et cela me
permet de construire de nouvelles
notions.
P’6) pas de réponse
P’7) Statut de l’exercice, cf plus haut
Notions mal maitrisées : inutile de
passer par le biais d’une évaluation
diagnostique, quelle que soit sa forme
(exercices à faire et évaluation à la
volée ou type contrôle) pour anticiper
les difficultés des élèves, 1 mois de
cours me suffit pour savoir assez
précisément les points sur lesquels
insister dans l’année (ce qui
n’empêche pas des surprises, bonnes
ou mauvaises mais très rares).
P’8) pas de réponse
P’9) pas de réponse
P’10) Rapide et souvent sous forme
de QCM, cela motive assez les élèves
et entraine souvent des débats sur un
grand nombre de notions censément
46
acquises.
P’11) Oui selon chapitre
Non si chapitre « facile »
Fonctions algèbre : calcul
Stats proba : « problèmes » ouverts
P’12) Cela permet à tous les élèves
de partir d’un bon pied et de travailler
de manière autonome
P’13) idem
P’14) pas de réponse
P’15) pas de réponse
P’16) pas de réponse
P’17) J’ai utilisé ces rubriques mais
cela ne me semble pas suffisant pour
cibler les erreurs de chaque élèves.
Ça reste trop général.
Profs total Oui 19
Non 5
Oui 13
Non 14 57 24 = 2,375
Stagiaires quest. 1 Oui 5
Non 8
Oui 5 dont 1 avec
« pas à chaque
chapitre » et 1 avec
« partiellement »
Non 8
40 13 = 3,08 S1) Contraire : il y a des façons plus
pertinentes de refixer les
connaissances.
Facilité …
S2) Pourquoi pas mais il faut pas le
faire systématiquement. Plutôt faire
une évaluation diagnostique avant un
chapitre.
S3) Cela permet aux élèves de
connaitre clairement les forces et les
faiblesses dans le domaine d’étude.
Et ainsi viser les axes de progrès à
travailler. Le souci pouvant se situer
du point de vue d’élèves se
décourageant facilement si trop de
difficultés sont pointées.
S4) L’idée du test d’entrée est
correcte, mais il faut adapter,
améliorer ce l’on trouve sur le livre.
Le rappel à postériori, en se basant
sur les difficultés rencontrées est plus
efficace que la méthode du professeur
A. En revanche, la correction en
classe est chronophage.
S5) Le professeur ne peut pas savoir
ce que les élèves ont comme acquis
avec cette méthode. Les élèves, eux,
en ont une première idée.
S6) Favorable aux tests d’entrée.
S7) Elle peut servir de test d’entrée
dans le chapitre (à voir en fonction du
contenu de ces exercices). Les
rappels sont une remédiation pour
que tous les élèves puissent suivre la
séquence.
S8) pas de réponse
S9) En pratique les manuels sont
souvent vieux, et ce type d’exercice
adaptés aux anciens programmes. Par
contre, cela peut permettre à
l’enseignant de repérer les points
faibles des acquis.
47
S10) Cela peut aider le professeur à
savoir quelles sont les difficultés de
ses élèves sur les notions antérieures.
S11) Un test diagnostic permet
d’identifier la maîtrise par les élèves
des prérequis de la séquence. Une
correction formelle me parait une
perte de temps. Peut être utile pour
différencier le travail demandé aux
élèves en fonction de leurs résultats
sur chaque type de tâche.
S12) Il est nécessaire d’adapter ces
exercices pour ne pas « dévoiler » le
sujet d’étude avant l’AER. Il permet
un diagnostique rapide.
S13) Contraires : tout dépend du
manuel (il n’est pas obligatoirement
raccord avec les programmes la
plupart du temps (sa date ?)) ; rappels
prennent du temps
Favorables : les rappels peuvent être
nécessaires.
Stagiaires quest. 2 Oui 7
Non 6
+ 1 sans
réponse
Oui 6
Non 8
26 10 = 2,6 S’1) Travail inefficace de la
technique ; mauvaise organisation
math.
S’2) Positifs : tous les élèves entrent
dans le chap ; éviter de faire des
rappels systématiques ; garantir
acquisition du socle.
Négatifs : ennui de certains élèves ;
chronophage.
S’3) + vérification individuelle des
acquis : possibilité de remédiation
pour les élèves en difficulté (après la
correction)
- la qualité des exercices proposés
par le manuel ne vérifie pas toujours
les acquis
S’4) Les élèves ne maitrisant pas les
concepts clés se retrouvent d’entrée
en situation d’échec.
S’5) Manque de temps et
d’expérience.
S’6) pas de réponse
S’7) Pas d’opinion, ça peut peut-être
marcher au lycée. Au lycée pro, les
élèves ne font pas ce genre
d’exercice, sauf avec un fusil dans le
dos.
S’8) On nous a conseillé pour savoir
les acquis des élèves. En négatives :
je n’est pas toujours le temps.
S’9) Car il semble plus efficace de
faire face aux difficultés déjà
rencontrées en travaillant sur ces
dernières mais pas de manière
systématique.
S’10) Ses exercices ne sont pas à
faire en classe (pas de séance de
révision), la correction est rapide et
48
fait office de « rappel ». L’élève va
de lui-même à la maison se replonger
dans l’enseignement.
S’11) Je l’ai fait une fois (fonction
inverse). C’était assez ludique et les
élèves ont accroché, semble-t-il.
Comme il y a des questions très
basiques, cela permet aux faibles de
participer facilement.
S’12) Parce que les notions
retravaillées perdent tout leur sens
avec ce procédé.
S’13) Même réponse qu’en A
S’14) On ne nous a pas enseigné à
gérer les reprises de l’étude de la
sorte. Les corrections se mènent de
manière plus constructive
(projections d’erreurs classiques par
ex).
Stagiaires total Oui 12
Non 14
Oui 11
Non 16 66 23 = 2,87
Tuteurs + Profs Oui 25
Non 9
Oui 16
Non 20 81 34 = 2,38
Ensemble Oui 37
Non 23
Oui 27
Non 36 147 57 = 2,58
49
Pratique/Reprise C Connue Mise en œuvre Efficacité
moyenne
(arrondie au
centième)
Environnement explicatif
Tuteurs quest. 1 Oui 5
Non 1
Oui 5 dont 1
avec
« rarement »
Non 1
14 6 = 2,33 T1) Je suis contre l’évaluation
diagnostique qui suppose des rappels
préliminaires.
Les exos de révisions et la correction en
classe sont plus judicieux.
T2) Permettre de diagnostiquer et de
remédier de manière active
T3) Favorable : pouvoir apporter une aide
individualisée
Contraire : pour être à 100% efficace cela
nécessite des « heures supplémentaires »
pour les élèves qui en ont besoin.
T4) Les élèves ont obligatoirement oublié
beaucoup de notions et de techniques
d’une année sur l’autre. Cette évaluation
ne va faire que confirmer cette
affirmation et fait perdre du temps
précieux.
T5) Attitude catastrophique qui mènerait
à un sentiment d’échec d’entrée
T6) Contraire : c’est lourd à organiser,
pour moi il faut avoir averti les élèves au
préalable pour que l’évaluation puisse
être utile.
Favorable : Si c’est fait les élèves
peuvent se sentir davantage
responsabiliser.
Tuteurs quest. 2 Oui 2
Non 2
Oui 1
Non 1
+ Oui & Non 1
+ pas de réponse
1
7 3 = 2,33 T’1) Réactiver d’éventuelles difficultés
avant même d’engager l’apprentissage de
nouvelles notions peut bloquer les élèves
en difficulté
T’2) pas de réponse
T’3) pas de réponse
T’4) Moins utilisée peut-être par manque
de temps, peut-être parce que mal perçue
par les élèves.
Tuteurs total Oui 7
Non 3
Oui 6
Non 2 21 9 = 2,33
Profs quest. 1 Oui 10
Non 1
Oui 7
Non 4 dont 1
avec
« rarement »
34 10 = 3,4 P1) La partie technique fait partie de mon
rituel de mise au travail. J’en profite pour
identifier des points techniques qui
posent problèmes et dont j’aurai besoin
ultérieurement.
P2) Le temps …
P3) Là encore, c’est chronophage et pas
toujours efficace pour les mêmes raisons
que pour le professeur B. En revanche,
cela peut être ponctuellement efficace
lorsqu’un chapitre utilise les notions déjà
vues dans l’année, en « obligeant » les
élèves à réviser. De plus la perte de temps
est limitée et cela permet de cibler les
notions à revoir.
P4) idem que professeur B
P5) Je fais une interro le premier jour de
l’année, pour avoir une idée générale du
50
niveau de la classe.
P6) pas de réponse
P7) C’est une bonne façon de cibler les
difficultés du plus grand nombre.
P8) Les évaluations devraient, selon moi,
porter sur des notions de l’année en
cours.
P9) Plutôt favorable sur certains chapitres
P10) pas de réponse
P11) Évaluation diagnostique qui permet
un repérage plus fin des lacunes des
élèves.
Profs quest. 2 Oui 10
Non 5
+ 1 sans
réponse
+ 1 ?
Oui 9
Non 7
+ 1 sans réponse
32 11 = 2,91 P’1) En général, nous évaluons la
mémorisation de techniques. Celles-ci
peuvent aussi avoir été oubliées sans faire
l’objet d’un problème profond.
P’2) Vérification des acquis meilleur
productivité
Bilan lors des corrections.
Exercice de renfort et d’entrainement
grace aux bilan lors des corrections.
P’3) Assez utile sur certains chapitres
pour une majorité d’élèves (entrainement,
acquisition de savoir faire …)
P’4) Cela multiplie les évaluations.
moins de temps pour le cours …
P’5) – évaluation = notation = stress …
J’évite en début de chapitre.
+ facilite le repérage individuel des
lacunes.
P’6) pas de réponse
P’7) Statut de l’exercice, cf plus haut
Notions mal maitrisées : inutile de passer
par le biais d’une évaluation
diagnostique, quelle que soit sa forme
(exercices à faire et évaluation à la volée
ou type contrôle) pour anticiper les
difficultés des élèves, 1 mois de cours me
suffit pour savoir assez précisément les
points sur lesquels insister dans l’année
(ce qui n’empêche pas des surprises,
bonnes ou mauvaises mais très rares).
P’8) pas de réponse
P’9) Après 20 ans d’expérience, on
connait bien déjà les erreurs usuelles,
leçon par leçon, calcul par calcul. Très
grande surcharge de travail pour un
rendement pas toujours bien meilleur que
la technique D.
P’10) Je n’ai pas de raisons négatives,
mais je ne le fais pas.
P’11) ? Je ne comprends pas ??
P’12) En théorie ce serait une bonne
méthode mais elle demande d’y consacrer
beaucoup trop de temps.
P’13) Utilise partiellement
Diagnostic + analyse + construction de
séquences intégrant des exercices avec
remédiation.
P’14) pas de réponse
51
P’15) pas de réponse
P’16) pas de réponse
P’17) Cela permet de cibler les difficultés
des élèves et d’y remédier de façon plus
« individuelle »
Profs total Oui 20
Non 6
Oui 16
Non 11 66 21 = 3,14
Stagiaires quest. 1 Oui 10
Non 3
Oui 10 dont 1
avec
« partiellement »
Non 3
52 12 = 4,33 S1) Réactivation intelligente des notions.
Diagnostic en amont qui permettra à
d’adapter ses cours.
S2) Une évaluation diagnostique est une
bonne chose pour l’enseignant car ça va
lui permettre de savoir comment
construire et orienter la séquence qui va
suivre. Mais le moment de correction en
classe est inutile d’après moi, ainsi que
les exos à faire à la maison.
S3) Favorables : adapter sa séquence aux
besoins réels de la classe. Si telle notion
est mal sue, insister dessus. Si telle
notion est bien sue, passer rapidement
dessus.
S4) Cette pratique ressemble à la
précédente, mais elle en est une version
améliorée. Le sujet est conçu par le
professeur et les exercices à faire servent
de remédiation.
S5) C’est la pratique la plus utile pour les
élèves et l’enseignant.
S6) Le travail donné doit être fait en
classe pour évaluer correctement l’état de
connaissance de l’élève. Mais on peut
également utiliser LABOMEP pour
donner des exercices différenciés.
S7) La recherche en didactique
encourage cette pratique.
S8) Si la notion n’est pas compris, faire
les exercices à la maison va être
compliqué.
S9) L’évaluation diagnostique est
souvent conseillée. Une correction
complète ne semble pas judicieuse. Le
but est de cibler les lacunes et les acquis.
S10) Même remarque que pour la
question précédente (Cela peut aider le
professeur à savoir quelles sont les
difficultés de ses élèves sur les notions
antérieures.), cependant les élèves en
difficulté sur ces notions ne pourront pas
réussir les exercices.
S11) Voir question précédente …
Efficacité dépend des modalités de mise
en œuvre ; chronophage pour le prof et le
temps passé en classe ; dispositif plus
évolué et mieux adapté que le précédent.
S12) (Ce dispositif rejoint le précédent
pour moi.) Le terme « d’évaluation »
bloquant certains élèves, je l’inclus aux
rituels.
S13) Contraires : pas de devoirs à la
52
maison sur les révisions.
Favorables : permet de voir où en sont
les élèves.
Stagiaires quest. 2 Oui 9
Non 4
+ 1 sans
réponse
Oui 9
Non 4
+ 1 sans
réponse
48 12 = 4 S’1) Évaluation permet de connaitre les
notions mal maitrisées. Exercice
technique en DM donc gain de temps.
S’2) Idem réponse 2 sauf pas d’ennui des
élèves et moins de perte de temps.
S’3) + permet à l’élève de savoir où il en
est dans son apprentissage ; remédiation ;
différentiation
S’4) Idem précédent
S’5) Manque de temps et d’expérience.
Mais je la mettrais en place l’année
prochaine au vu de son efficacité.
S’6) Positive : permet d’aborder plus
surement le chapitre
Négative : ne remobilise pas l’élève en
grande difficulté
S’7) On nous a appris à faire ainsi, et en
plus ça a l’air de marcher. Pourquoi aller
voir ailleurs alors qu’on est déjà débordé
de travail ?
S’8) On nous a conseillé pour connaitre
les acquis des élèves. Manque de temps.
S’9) Cela permet de cibler les difficultés
des élèves pour apporter des
remédiations plus ciblées et plus
efficaces, ceci en exercice à la maison
pour ne pas « perdre » du temps en
cours.
S’10) L’évaluation diagnostique peut
être intéressante en veillant à bien
expliquer le rôle et le but de cette
évaluation.
S’11) Freiné par le travail
supplémentaire … préparer le sujet +
correction. En revanche, j’ai donné un
problème à résoudre en classe (proba).
S’12) Il s’agit du procédé le moins
couteux en temps et le plus efficace pour
le prof en terme de prise d’information.
S’13) Trop compliqué à mettre en œuvre
à mon niveau d’expérience même si je
pense que cette technique est la
meilleure. J’ai réalisé une évaluation
diagnostique que je n’ai pas exploitée
faute de temps et d’organisation.
S’14) Cibler les difficultés et tenter d’y
remédier.
Stagiaires total Oui 19
Non 7
Oui 19
Non 7 100 24 = 4,17
Tuteurs + Profs Oui 27
Non 9
Oui 22
Non 13 87 30 = 2,9
Ensemble Oui 46
Non 16
Oui 41
Non 20 187 54 = 3,47
53
Pratique/Reprise D Connue Mise en œuvre Efficacité
moyenne
(arrondie au
centième)
Environnement explicatif
Tuteurs quest. 1 Oui 6
Non 0
Oui 6
Non 0
21 6 = 3,5 T1) Cela interromp le déroulement
du cours et hâche le discours. Mais
c’est parfois nécessaire et inévitable.
T2) pas de réponse
T3) Contraires : peut être très
chronophage quand les difficultés
des élèves sont disparates. Là aussi
nécessite des « heures
supplémentaires » pour ceux qui en
ont besoin
Favorable : répond aux besoins
quand ils apparaissent
T4) On ne peut pas négliger les
lacunes de nos élèves si on veut
pouvoir les faire progresser. Il faut
leur apporter de l’aide afin de suivre
le plus possible le chapitre en cours
(des petites révisions à plusieurs
reprises permet en général une
meilleure mémorisation)
T5) C’est une pratique beaucoup
plus positive, mais non obligatoire.
On peut aussi le faire à partir de
certains exercices adaptés.
T6) La nécessité du savoir étant
devenue évidente aux élèves, le
rappel a du sens et de l’utilité
Tuteurs quest. 2 Oui 4
Non 0
Oui 4
Non 0
16 4 = 4 T’1) Explications « déjà entendues »
nécessaires au moment opportun
(éventuellement qques ex de
« révision » à ce moment)
T’2) pas de réponse
T’3) pas de réponse
T’4) Toujours besoin de reprendre
les notions basiques à de
nombreuses reprises et dans des
conditions aussi variées que
possible.
Tuteurs total Oui 10
Non 0
Oui 10
Non 0 37 10 = 3,7
Profs quest. 1 Oui 11
Non 0
Oui 11
Non 0
40 11 = 3,64 P1) Je trouve le procédé utile
uniquement s’il est succint et si ça
ne transgresse pas trop avec la tenue
du cours.
P2) encore et toujours le temps mais
ce n’est pas forcément du temps
perdu ce coup ci, le mieux étant une
fiche que les élèves peuvent lire
chez eux ou encore mieux un lien
vidéo …
P3) * on ne peut pas laisser une
notion méconnue par une majorité
d’élèves et il est important de revoir
les différentes notions au cours de la
scolarité.
* c’est beaucoup plus rentable, en
54
terme de temps, que les autres
méthodes : seules les notions
oubliées sont revues.
P4) Il faut s’adapter en temps réel
aux difficultés de sa classe et ne pas
laisser les élèves bloqués. Pour les
plus faibles, on peut fournir des
fiches de révisions.
P5) Parfois il est nécessaire de
maitriser certaines notions avant
d’en aborder de nouvelles. Par ex, je
distribue un résumé du cours sur les
parallélogrammes en début de 4e.
P6) rappels utiles pour faire le cours
P7) j’utilise cette méthode quand la
notion manquante est vraiment
nécessaire pour l’avancée.
P8) C’est la seule solution viable
selon moi.
P9) Oui, les élèves sentent alors le
besoin de maitriser ces
compétences, il est alors plus facile
de les motiver sur ces tâches.
P10) pas de réponse
P11) valable ponctuellement pour
avancer dans le cours
Profs quest. 2 Oui 13
Non 1
+ 2 sans
réponse
+ 1 ?
Oui 13 dont 1 avec
« pas
systématiquement »
Non 3
+ 1 sans réponse
45 16 = 2,81 P’1) Évite les problèmes cités plus
haut. Par contre il est plus difficile
d’évaluer s’il s’agit d’un problème
de la classe ou de quelques élèves
qui se seraient manifestés.
P’2) Rester toujours sur les mêmes
notions, je pense qu’il est préférable
d’opter pour des approches
différentes (trop de tps perdu).
P’3) Les difficultés sont souvent
redondantes pour les élèves et sont
communs à la plupart des chapitres
(sauf peut être constructions sur
quadrillage) et en particulier dans la
résolution de pbs.
P’4) En fonction des besoin des
élèves ; ils sont donc plus intéressés
et demandeurs.
P’5) + gain de temps par rapport à
l’évaluation « diagnostique »
P’6) pas de réponse
P’7) Permet un ciblage ponctuel des
notions à revoir, personnalisable au
niveau de la classe, voire de l’élève
si besoin.
Permet une valorisation des
souvenirs des élèves par le biais de
questions orales, leurs réponses
composant la trace écrite du rappel
(avec les modifications nécessaires).
Le côté « écrit dans le cours »
permet aux élèves de chercher la
référence rapidement en cas de
besoin.
55
Remarque : le statut de rappel n’est
pas toujours explicite, il peut être
caché dans un premier chapitre,
voire une leçon complète, par
exemple la leçon sur les identités
remarquables de 3e est précédée chez
moi par une leçon sur le calcul
littéral qui commence à 2x+3x = 5x
et se finit au double développement.
Enfin, les rappels dépendent aussi
des niveaux de classe et des attendus
à ce niveau ; en 5e pour les
parallélogrammes, on commence par
se demander comment on trace 2
droites parallèles. En 3e
pour le
théorème de Thalès, on considère
que c’est acquis.
P’8) pas de réponse
P’9) le plus adapté pour moi
Faire des rappels selon le contexte,
lorsqu’on en a besoin uniquement.
P’10) Il semble nécessaire de
réinvestir les notions mal maitrisées
sans pour autant les intituler
« rappels » dans la partie cours, mais
plutôt à travers des exercices.
P’11) en début de chaque séance (1
fois/semaine)
P’12) Cette méthode permet au
professeur de s’assurer que tous les
élèves disposent des notions utiles à
la bonne compréhension du chapitre.
P’13) Pas de cours ni d’exercice à
proprement parler mais intégration
dans la progression, en insistant sur
des aspects (démonstrations, calculs)
faisant appel à ces notions.
P’14) pas de réponse
P’15) pas de réponse
P’16) révision en début d’année
inutile. À faire au moment du
chapitre.
Au moment où on voit que « ça
coince », on reprend les notions non
acquises.
P’17) Je pense que les rappels
peuvent servir pour les élèves qui
maitrisent déjà la notion mais pas
pour les élèves les plus en
difficultés.
Profs total Oui 24
Non 1
Oui 24
Non 3 85 27 = 3,15
Stagiaires quest. 1 Oui 12
Non 1
Oui 11
Non 2
45 13 = 3,46 S1) Permet de palier aux lacunes au
fur et à mesure ce qui a plus de sens
pour les élèves. Adaptation aux
besoins des élèves.
S2) Il faut que ce rappel soit bref
mais efficace.
S3) Cette pratique permet de
rassembler la classe et ne pas faire
56
que certains élèves en difficulté se
sentent démunis face à une reprise
de l’étude.
S4) Le rappel doit être court et utile
à la progression dans le niveau
concerné.
S5) Cela peut être utile si le rappel
est bref. Il ne faut pas que cela
prenne toute la séance.
S6) Il faut anticiper les notions utiles
pour les élèves. On en revient au test
d’entrée.
S7) Je pense malgré tout que c’est
une pratique peu efficace car elle
favorise l’aspect passif chez l’élève.
S8) Il faut que ce soit bref et
ponctuel sinon c’est laborieux.
S9) Il faut introduire les notions
antérieures le long de la séquence,
cela permet aux élèves de voir la
nécessité d’acquérir celles-ci sans
leur mettre en tête qu’ils ont déjà du
retard avant le début de la leçon.
S10) pas de réponse
S11) Une parenthèse sur un point de
connaissances et/ou compétences
des niveau antérieurs peut être utile
si il est réalisé au moment où il est
utile pour l’étude en cours.
S12) Si la poursuite de l’étude est
remise en question par des lacunes,
on ne peut les ignorer.
S13) Cela ne doit prendre trop de
temps.
Stagiaires quest. 2 Oui 7
Non 6
+ 1 sans
réponse
Oui 6
Non 8
26 9 = 2,89 S’1) Positif à condition d’être bref.
Pas toujours possible selon le
chapitre abordé.
S’2) Mélange ce que les élèves
savent / ce que les élèves doivent
acquérir. Problèmes des révisions
systématiques.
S’3) - si c’est une classe avec
beaucoup de lacunes
S’4) C’est une méthode qui permet
de s’adapter dans le feu de l’action
au niveau de la classe, et qui
n’enferme pas les élèves dans une
impression d’incapacité à priori.
S’5) pas de réponse
S’6) pas de réponse
S’7) Lorsqu’il apparait que je me
suis planté dans l’évaluation des
prérequis, il faut bien rattraper le
coup (mais ça bouffe du temps).
S’8) pas de réponse
S’9) Il arrive qu’une notion non
maitrisée soit fait appel dans un
chapitre sans s’y être préparé donc
on y revient rapidement en
proposant par la suite des exercices à
57
faire à la maison.
S’10) Un rappel rapide sur les
notions mal maitrisées ne sera pas
vu et assimilé par l’ensemble et sa
portée sera limitée.
S’11) pas de réponse
S’12) Lorsque des difficultés sur des
notions passées se présentent, il faut
y remédier malgré la « perte » de
temps effective.
S’13) Seulement en cas d’extrême
nécessité, oralement.
S’14) Trop chronophage et on ne
peut connaitre les notions mal
maitrisées si on ne les teste pas dans
la classe.
Stagiaires total Oui 19
Non 7
Oui 17
Non 9 71 22 = 3,23
Tuteurs + Profs Oui 34
Non 1
Oui 34
Non 3 122 37 = 3,30
Ensemble Oui 53
Non 8
Oui 51
Non 12 193 59 = 3,27
58
A Q1 M Q3 étendue
tuteurs 1 1,5 4 4
profs 1 2 3 4
stagiaires 1 2 2,75 3
B Q1 M Q3 étendue
tuteurs 2 2 3,25 3
profs 2 2 3 4
stagiaires 2 3 4 3
C Q1 M Q3 étendue
tuteurs 1 2 3,5 3
profs 2 3 4 4
stagiaires 4 4 5 3
D Q1 M Q3 étendue
tuteurs 3 4 4 2
profs 2 3 4 4
stagiaires 2,75 3 4 4
59
Annexe 4.2b : Tableaux synthétiques des résultats obtenus à l’aide de Wordle et Online-
Utility
1 Q1 professeurs stagiaires tuteurs
A
B
61
Occurrences des mots les plus fréquents relevées sur Online-Utility
Q1 Professeurs (11) Stagiaires (13) Tuteurs (6)
A élèves 6
temps 5
révisions 4
perte 4
année 3
inconvénient 2
efficace 2
élèves 10
révision(s) 10
temps 6
contraire(s) 5
éléments 4
perte 4
exercices 3
difficultés 3
textes 3
année 3
année 3
révision(s) 3
contraire(s) 3
chapitre 2
temps 2
notions 2
début 2
difficulté 2
B élèves 5
notions 4
acquis 2
chapitre 2
favorable 2
élèves 7
rappel(s) 4
permet 3
temps 3
test 3
professeur 3
entrée 3
difficultés 3
diagnostic(que) 3
acquis 2
chapitre 2
contraires 2
partie(s) 2
notion(s) 2
C année 3
notions 3
temps 2
cibler 2
efficace 2
élèves 2
professeur 2
élèves 5
précédent(e) 5
exercices 4
classe 4
notion(s) 4
maison 3
pratique 3
évaluation 3
diagnostic(que) 3
élèves 4
évaluation 3
favorable 2
contraire 2
D cours 5
notion(s) 5
temps 4
élèves 3
maîtriser 2
nécessaire 2
élèves 6
utile 4
étude 3
rappel 3
bref 3
pratique 2
efficace 2
lacunes 2
notions 2
niveau 2
élèves 3
cours 2