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DOSSIER DE PRESSE MUSÉE CANTONAL DES BEAUX-ARTS DE LAUSANNE P A R I S A NOU S D E U X ! 0 5 . 02– 2 6 . 04 2 0 15 TH.-A. STEINLEN, INVITATION AU 312 DÎNER DU BON BOCK, 1906 (DÉTAIL). COLLECTION MCB-A. / GRAPHISME : ATELIER COCCHI / IMPRESSION : ULDRY AG Artistes de la collection à l’assaut de la capitale

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DOSSIER DE PRESSE MUSÉE CANTONAL DES BEAUX-ARTS DE LAUSANNE

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INFORMATIONSPRATIQUES

Vernissage

Commissaires de l’exposition

Contact presse

Adresse

Horaires

Tarifs

Accès

Mercredi 4 février 2015 à 18h30

Catherine Lepdor, conservatrice en chef Camille Lévêque-Claudet, conservateur

Loïse Cuendet, [email protected]él. direct: +41 (0)21 316 34 48

Téléchargement des images presse sous www.mcba.ch, rubrique presse:Nom d’utilisateur: mcba-presse / Mot de passe: gpresse

Musée cantonal des Beaux-Arts, LausannePalais de Rumine, place de la Riponne 6CH-1014 LausanneTél.: +41 (0)21 316 34 45Fax.: +41 (0)21 316 34 [email protected]

Mardi – vendredi: 11h – 18hSamedi – dimanche: 11h – 17hFermé le lundi

Samedi 7 février: 11h – 20hDimanche 8 février: 11h – 19hVendredi 3 avril (Vendredi Saint) et lundi 6 avril (Lundi de Pâques): 11h – 17h

Adultes: CHF 10.–Retraités, étudiants, apprentis: CHF 8.–Jeunes jusqu’à 16 ans: gratuitPremier samedi du mois: gratuit

Métro M2: station Riponne – Maurice BéjartBus 1, 2: arrêt Rue NeuveBus 7, 8: arrêt Riponne – Maurice Béjart

Lausanne, janvier 2015

Paris, à nous deux!Artistes de la collection à l’assaut de la capitale

5 février – 26 avril 2015

Vous êtes cordialement invités à participer à la conférence de pressele mercredi 4 février à 11h

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Le musée des Beaux-Arts consacre une exposition à la présentation de pièces majeures de ses collections, en dialogue avec des œuvres prêtées par des institutions publiques et des collectionneurs privés. Paris, à nous deux! retrace les relations des artistes suisses romands avec la métropole française, du XIXe au milieu du XXe siècle. C’est à Paris que les peintres et les sculpteurs montés de la province accomplissent leur formation académique; c’est dans la capitale des arts qu’ils établissent leur réputation en présentant des œuvres au Salon, aux Expo-sitions universelles puis, dès le tournant du XIXe siècle, dans les nouveaux Salons (des Indépendants, d’Automne) et dans les galeries. Certains choisissent de s’établir temporairement ou définitivement à Paris, dont ils sont désormais des observateurs particuliers. Désastres de la Grande Guerre, foules et individus, mode, scènes d’intérieur, spectacles, vues citadines arrêtent leurs regards scrutateurs et frappent leurs imaginaires.

Entre la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle, la formation artistique est pauvre en Suisse romande. C’est principalement à Paris qu’on va l’acquérir, comme le montrent les parcours académiques des frères Jacques et François Sablet, élèves de Joseph-Marie Vien, de Charles Gleyre qui étudie auprès de Louis Hersent, ou encore de Léopold Robert inscrit à l’Académie impériale. Cette formation est complétée par l’étude des œuvres au Louvre, puis par un séjour à Rome, au contact de l’héritage antique. Enfin, la consécration se reçoit aux expositions, la plus prestigieuse étant celle du Salon de Paris. Jacques Sablet s’impose grâce à ses scènes de genre italiennes contemporaines. Charles Gleyre, rentré à Paris après un séjour à Rome puis en Orient, triomphe au Salon de 1843 à 1849. Léopold Robert enfin, bien qu’établi durablement à Rome, envoie régulièrement ses peintures au Salon, où ses portraits de brigands remporteront un immense succès.

Les Expositions universelles parisiennes présentent les produits des arts et de l’industrie à des millions de visiteurs. Dans ces compétitions internationales, les pays sont sollicités pour envoyer à Paris les œuvres les plus représentatives de leurs écoles nationales. En l’absence d’une direction centralisée, les artistes suisses, formés à l’étranger, peinent à se singulariser par une identité propre. L’édition de 1855 ancre dans l’esprit du public l’idée d’une école suisse spécialisée dans la peinture de paysage alpestre telle qu’elle a été définie par François Diday et Alexandre Calame. En 1867, les scènes de genre d’Albert Anker et les paysages de François Bocion ou d’Émile David sont au diapason du grand courant réa-liste. Le naturalisme permet à Ernest Biéler, Édouard Ravel, Eugène Burnand ou encore Auguste Baud-Bovy de créer aux Universelles de 1889 et 1900 les prémisses de cet art helvétique tant attendu en misant sur le pittoresque des cos-tumes ruraux et des paysages de montagne.

À la fin du XIXe siècle, le monopole des expositions échappe au Salon officiel. Les Salons se multiplient. Partout c’est la tutelle et l’arbitraire du jury académique qui sont remis en question. Les Suisses sont nombreux à rejoindre le mouvement de contestation, par idéologie, mais aussi pour augmenter leur visibilité. Le Salon des Indépendants (1884) et le Salon d’Automne (1903) permettent à de nombreux

PARIS, À NOUS DEUX! Artistes de la collection à l’assaut de la capitale5 février – 26 avril 2015

LE PARCOURS EN DIX SALLES

SALLE 1:SALON

SALLE 2:EXPOSITIONS

UNIVERSELLES

SALLE 3:NOUVEAUX SALONS,

GALERIES

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Helvètes, parmi lesquels Félix Vallotton, Alice Bailly, Marius Borgeaud, René Auberjonois et Gustave Buchet de soumettre leurs œuvres à la critique et au public parisiens, sans diktat d’orientation stylistique. Désormais les galeries privées elles aussi jouent un rôle important dans la promotion des artistes vivants. Leurs expositions, relayées par la presse, stimulent la vivacité des débats. Les peintres suisses tirent profit de ce nouveau marché.

Face aux désastres de la Première Guerre mondiale, la question se pose de la responsabilité des artistes, partagés entre refus de s’engager et coopération à la propagande. Autre interrogation cruciale: comment représenter la guerre moderne dans les formes classiques de la peinture et de la sculpture, déjà mises à mal par les avant-gardes et l’avènement de la photographie et du cinéma. Félix Vallotton tente la gravure sur bois descriptive, le grand décor allégorique et le paysage de guerre. Comme Vallotton, Théophile-Alexandre Steinlen se déplace sur le terrain dans le cadre des Missions artistiques aux armées. À partir de ses croquis, mais aussi des photographies de presse, il grave ses visions de l’épouvante des tranchées, il dessine le chagrin des familles accompagnant les soldats dans les gares. Louise Breslau et Eugène Burnand choisissent quant à eux la forme classique du portrait. Dans leurs ateliers défilent les soldats dont les effigies forment l’interminable galerie de l’humanité emportée dans la tourmente.

Débarqués de leurs petites villes de province, les artistes suisses sont confrontés au phénomène nouveau des foules. La population de Paris atteint près de trois millions d’habitants à la veille de la Première Guerre mondiale. Théophile-Alexandre Steinlen et Félix Vallotton se passionnent pour l’observa-tion de ce spectacle moderne. Ils montrent la marée humaine comme une force incoercible dirigée par un psychisme collectif. Dans leurs estampes, l’élan et l’énergie du peuple sont croqués en masses dispersées ou compressées, agitées ou ordonnées. Avec Patinage au Bois de Boulogne (1914), Alice Bailly traite la foule comme un motif dynamique qu’elle soumet à une construction géométrique audacieuse, révélant l’influence du futurisme. Les Masques de Vallotton (1896-1898) s’attachent au contraire à la singularité individuelle. Portraits de personnalités du monde culturel, ces figures synthétiques restituent en quelques traits la physionomie des modèles, jouant du contraste entre l’obscurité de l’encre et la lumière du papier.

Le grand magasin fait son apparition au cœur du Paris haussmannien dans les années 1860-1880. Son essor est lié aux progrès dans la production des textiles, aux nouveaux modes de fabrication des vêtements et au développement de pratiques commerciales novatrices. C’est l’âge d’or de la décoration des vitrines éclairées électriquement, dont Théophile-Alexandre Steinlen montre l’attrait irrésistible sur les midinettes. Félix Vallotton décrit avec une ironie mordante la passion effrénée des femmes pour l’achat. Les artistes collaborent à la publicité. C’est le triomphe de l’affiche et du calendrier, à l’instar de celui de La Belle Jardinière illustré par Eugène Grasset. En contrepoint des grands magasins s’affirment les maisons de couture. Les artistes apportent leur tribut à ces laboratoires de la mode de demain. Ils dessinent des modèles, comme Gustave Buchet. Ils s’inspirent pour leurs tableaux des créateurs d’avant-garde, ainsi Ernest Biéler, dans L’Eau mystérieuse ou Buchet dans le paravent Six Grâces au bord de l’eau.

Au XIXe siècle, l’art et la littérature s’attaquent au modèle bourgeois du couple. Sacrement indissoluble, le mariage est dénoncé comme une convention hypocrite, comme un frein aux passions du cœur et du corps. Le drame couve dans la repré-

SALLE 4:C’EST LA GUERRE!

SALLE 5:FOULE ET INDIVIDUS

SALLE 6:MODE

SALLE 7:DRAME INTÉRIEUR

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sentation des intérieurs, vases clos où les hommes et les femmes sont montrés en quête d’espaces d’évasion, qu’ils se réfugient dans l’adultère, affichent leur homo-sexualité ou s’adonnent à la consommation de drogues. Félix Vallotton est l’observateur attentif des dérives du couple. Dans la série gravée des Intimités, dix scènes de la vie du couple moderne, et dans La Chambre rouge, scène de théâtre au chromatisme virulent où chaque objet exprime une sourde tension, l’artiste déploie son art de la synthèse pour exprimer la duplicité qui préside aux rapports entre les sexes. Théophile-Alexandre Steinlen associe la femme au chat symbolisant son désir de liberté et de volupté. Louise Breslau dépeint l’ennui du couple homosexuel embourgeoisé.

La capitale offre une variété incomparable de divertissements. Se côtoient les répertoires classiques prisés par la bourgeoisie, les distractions dont raffolent les classes moyennes et les propositions de l’avant-garde. Les récréations populaires, tels le cirque, le bal ou la fête foraine, font l’unanimité. Les Suisses de Paris sont à la fois les spectateurs et les acteurs de cette effer-vescence. Félix Vallotton et Théophile-Alexandre Steinlen mettent leur talent au service des cafés-concerts et des ballets ; ils créent des affiches, observent les mœurs des spectateurs. Alice Bailly fréquente le Cirque de Paris et passe ses nuits au Bal Bullier, lieu mythique des années folles. C’est toutefois dans la colla-boration avec les créateurs de l’avant-garde que se tissent les liens les plus forts. Au Théâtre de l’Œuvre, dès 1893, Lugné-Poe renouvelle le répertoire et la mise en scène. Les décors, les affiches et les programmes sont confiés à ses amis artistes, parmi lesquels les Nabis Vallotton et Édouard Vuillard.

Paris se transforme en capitale moderne. Les rues tortueuses font place à un réseau de larges artères plantées d’arbres. Les avenues et les ronds-points s’illu-minent grâce à l’éclairage électrique qui remplace peu à peu le bec à gaz. Le chemin de fer et les nouvelles grandes gares rallient les principales préfectures de province à la métropole. Théophile-Alexandre Steinlen plonge au cœur d’un chantier de construction, observant les attitudes des ouvriers et leur équipement. Félix Vallotton dépeint les tas de sable, alluvions du fleuve chargés sur une embarcation. Les deux artistes observent la ville tentaculaire depuis la fenêtre de leurs ateliers. L’heure est désor-mais au goudron, au béton, au fer et au verre. Alors que les grands travaux font disparaître le Paris historique, Vallotton et Steinlen, tout comme Eugène Grasset et Alice Bailly, s’attachent aux vues pittoresques, aux ponts de pierre, aux jardins publics et aux fortifs, dernières zones préservées par l’urbanisation et la moderni-sation galopantes.

Au XIXe siècle, le développement de la fonte au sable et la technique de réduction mécanique permettent l’édition en série de sculptures et la diminution du coût de production. L’œuvre d’art est désormais à la portée de l’amateur bourgeois. Rares sont pourtant les collectionneurs suisses qui, à l’instar du médecin Henri-Auguste Widmer, osent s’aventurer avec passion dans l’acquisition de sculptures d’artistes contemporains. Né en 1853, le Lausannois montre une prédilection pour l’expres-sionnisme romantique d’Auguste Rodin et le retour au classicisme incarné par Charles Despiau et Albert Bartholomé. Afin d’acquérir des œuvres françaises, le collectionneur suisse se rend à Paris où sont rassemblés la plupart des artistes, fondeurs et marchands. Widmer visite les galeries et les ateliers des sculpteurs, traite avec le fondeur ou s’adresse directe-ment à l’artiste.

SALLE 8:SPECTACLES

SALLE 9:VUES URBAINES

SALLE 10:UN COLLECTIONNEUR

SUISSE À PARIS

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AUTOUR DE L’EXPOSITION

Anne van de Sandt, Les frères Jacques et François Sablet. Collections du Musée des Beaux-Arts de Lausanne.Préfacé par Catherine Lepdor. Les Cahiers du Musée des Beaux-Arts de Lausanne n° 19, 2015Prix: CHF 20.–

je 5 mars à 18h30Une diaspora artistique. Peintres et sculpteurs suisses à Paris (1793-1863), par Pascal Griener, professeur d’histoire de l’art et de muséologie, Université de Neuchâtel

je 26 mars à 12h30Julien Renevier, l’intégrité d’un regard, par Magali Junet, historienne de l’art

je 23 avril à 18h30L’art et la Grande Guerre. Steinlen, Vallotton, Burnand, par Philippe Kaenel, professeur titulaire d’histoire de l’art à l’Université de Lausanne, Katia Poletti, conservatrice de la Fondation Félix Vallotton à Lausanne et Frédérique Burnand, directrice du Musée Eugène Burnand à Moudon

sa 7 mars à 15h Œuvres de Debussy, Stravinsky, Honegger, Poulenc et D’Alessandroavec Héléna Macherel (flûte), Davide Bandieri et Curzio Petraglio (clarinettes)

je 12 février à 18h30je 19 février à 12h30je 26 février à 12h30je 12 mars à 18h30sa 21 mars à 15hlu 6 avril (Lundi de Pâques) à 15hje 16 avril à 12h30di 26 avril (finissage) à 15h

Activités dans l’exposition dès 7 ans, gratuit

Visites complices pour les enfants dès 6 ans et leur famillemer 11 mars et mer 1er avril à 15h

PâkomuzéDessin de mode et stylismeje 16 avril et ve 17 avrilde 10h à 12h30 (6-9 ans)et de 14h à 17h (10-13 ans)CHF 10.– (sur inscription)

PUBLICATION

CONFÉRENCES entrée libre

CONCERTentrée libre

VISITES COMMENTÉES

PUBLIQUES

JEUNE PUBLIC

LIVRET-DÉCOUVERTE

EN FAMILLE AU MUSÉE

ATELIERS

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IMAGES PRESSE

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Jacques SabletBord de mer au crépuscule avec paysans napolitains dansant la Tarantella, 1799Huile sur toile, 212 x 155 cmCollection particulièrePrésenté au Salon de Paris de 1799Photo: DR

2

Félix VallottonLa Pépinière, 1893Lithographie, 130 x 94 cmLausanne, Musée cantonal des Beaux-ArtsPhoto: Musée cantonal des Beaux-Arts

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Eugène GrassetFemme à la rose, vers 1900Aquarelle, 65 x 50 cmLausanne, Musée cantonal des Beaux-ArtsPhoto: Musée cantonal des Beaux-Arts

Eugène BurnandTaureau dans les Alpes, 1884Huile sur toile, 200 x 270 cmLausanne, Musée cantonal des Beaux-Arts, en dépôt au Musée Eugène Burnand, MoudonPrésenté à l’Exposition universelle de Paris de 1889Photo: Musée cantonal des Beaux-Arts

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IMAGES PRESSE

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Félix VallottonLes toits, rue Mérimée, vers 1903Huile sur toile, 60 x 42 cmLausanne, Musée cantonal des Beaux-Arts, dépôt à long terme de la Collection du Dr. M. BahroPhoto: Musée cantonal des Beaux-Arts

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Alice BaillyMarval au Bal van Dongen, 1914Huile sur toile, 100 x 81 cmCollection particulièrePhoto: DR

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Gustave BuchetL’Esprit nouveau, 1925 / 1928Huile sur toile, 81 x 116 cmLausanne, Musée cantonal des Beaux-ArtsPhoto: Musée cantonal des Beaux-Arts

Théophile-Alexandre SteinlenLes échappés de l’enfer, 1917Eau-forte et aquatinte en noir, 55 x 72 cmLausanne, Musée cantonal des Beaux-ArtsPhoto: Musée cantonal des Beaux-Arts

Affiche de l’exposition Paris, à nous deux ! Th.-A. Steinlen, Invitation au 312ème dîner du Bon Bock, 1906 (détail). Collection Musée cantonal des Beaux-Arts / atelier CocchiCf. page de couverture

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