Nexus 17 - Armes Bactériologiques

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    sante

    Mycoplasme,I'agent pathogenelie aux maladiesdu systeme neuroJogique

    Par Donald W. Scott, MA, MSc, President de 'The Common Cause Medical Research Foundation,190 Mountain Street, Suite 405, Sudbury, Ontario, Canada P38 402, tel/fax : +1 (705) 6700180.Desagents. pathogenes appe-les mycoplasmes sont le. produit de laboratoires derecherche dans Ie domainede la guerre bacteriologique et biolo-

    gique.Plusieurs souches de mycoplasmes ante t e "developpees" dans l'optique de lesrendre plus dangereuses,Elles sont aujourd'hui accusees d'Stre al'origine du SIDA, du cancer, du syn-drome de fatigue chronique, de 1a scle-rose en plaques, de la maladie deKroesfeld-Jacob et d'autres maladies dusysteme nerveux.

    1~Le Mycoplasme :un banal agentpathogenetransformeen arme biologique

    11 existe 200 especes differentes demycoplasmes, La plupart sont inoffen-sives ; seules quatre ou cinq d'entreelles sont pathogenes, Le MycoplasmeFermentans (variete inconnue) provientprobablement de la bacterie de la bru-cellose. Cet agent n' est ni une bacterie,ni un virus; c'est une forme mutante dela bacterie de la brucellose, combinee

    avec le virus visna du mouton.L'agent pathogene qu'est Ie myco-:plasme etait auparavant anodin, maisles recherches dans Ie domaine de laguerre bactertefogtqee 'condultesdepuis 1942 ont aboutl a la creationde formes plus infectieuses et mor-telles. Les chercheurs ont ex trait cemycoplasme de 1abacterie de la brucel-lose et ant en fait reduit la maladie sousune forme cristalline, Us l'ont "anne" etl'ont teste sur Ie public candided'Amerique duNord.Le docteur Maurice Hilleman, virolo-giste en chef pour les laboratoires phar-

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    maceutiques Merck Sharp & Dolune, aaffirme que cet agent pathogene estmaintenant present chez tout le mondeen Amerique du Nord et vraisemblable-ment dans la majeure partie de la popu-lation mondiale, 'A l'inverse de ce qui est rapporte, lafrequence de toutes les maladies neuro-degenerescentes s'est accrue depuis laseconde guerre mondiale et speciale-ment depuis les annees soixante-dixavec l'apparition de maladies incon-nues jusqu'alors comme le syndromede fatigue chronique et le SIDA.Le docteur Shyh-Ching Lo est diplomede grade superieur a I'lnstitut de patho-logie des forces armees et est un cher-cheur de pointe dans le domaine desmycoplasmes en Amerique. Selon lui,cet agent pathogene provoque de nom-breuses maladies dont le SIDA, Ie can-cer, Ie syndrome de fatigue chronique,la maladie de Crohn, Ie diabete de type1, la sclerose en plaques, la maladie deParkinson, la maladie de Wegener, etles maladies vasculaires liees au colla-gene comme I' arthrite rhumatoide et lamaladie d' Alzheimer.Le docteur Charles Engel, qui travaillepour les National Institutes of Healthamericains (Instituts nationaux de lasante) a Bethesda dans le Maryland,lors d'un de leurs congres le 7 fevrier2000, a affirm e :''Je suis enpossession de tous les docu-ments qui prouvent que le mycoplasmeest I'agentpathogene du syndrome defatigue chronique, de la fibromalgieamsi que du SIDA, de la sclerose enplaques, et de nombreuses autres affec-tions. Parmi ceux-ci, 80 % sont despieces emanant des gouvernementsamericains et canadiens, 20 % issuesd 'articles de revues specialisees tellesque le "Journal of the American

    Medical Association ", le "NewEngland Journal of Medecine'' ou Ie"Canadian Medical AssociationJournal ". Les articles de presse et lesdocuments gouvernementaux se com-pletent les uns les autres ".

    COMMENT FONCTIONNELE MYCOPLASME ?Le mycoplasme agit en penetrant dansles cellules du corps, son activite varieen fonction des predispositions gene-tiques du sujet.Il se peut que vous developpiez unemaladie neurologique si I'agent detruitcertaines cellules de votre cerveau, oubien une maladie de Crohn s 'i l envah is -sait et detruisait des cellules du grosintestin.Le mycoplasme, une fois dans 1a cellu-le, peut y sejoumer de facon inactivependant parfois 10, 20 ou 30 ans, jus-qu'a ce qu'un traumatisme ait lieu,comme un accident ou une vaccinationqui ne prend 'pas, d ec le nc ha nt a lo rs laphase active. Parce qu'il n'est constitueque de l' ADN de la bacterie, ilne peuttraiter ses propres nutriments et croitdonc en les prelevant a Ia cellule hate,ce qui la tue litteralement ; elle se romptet les dechets sont rejetes dans Ie fluxsanguin.

    2 - La creation duMycoplasme:un agent p~tho9fmefabrjqu~en laboratoire

    Beaucoup de medeelns ne connais-sent pas l'agent mycoplasme parcequ'il fut cree de toutes pieces parI'armee amerlcalne lors d'expe-riences dans le domaine de "arme-

    P A R . . Co0.1 , I \ . ' " I ;' A - ,c,",of9 lA 1"111.'.:'

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    mentale du Senat a recherche dans lesarchives de Washington et ailleurs Iedocument intitule "The Special VirusCancer Program: Progress report N8"et ne pu Ie trouver. D'une facon aud'une autre, ils apprirent que fen dete-nais une copie, m'appelerent et medemanderent de leur envoyer. Imaginezun peu : un professeur d'ecole a Iaretraite, contacte par le Senat americainqui lui demande un de leur documentsecret! L e S en at, par l'entremise de saCommission sur la reforme gouveme-mentale, essaie d'empecher ce type derecherche.BRUCELLOSE "CRISTALLINE"La premiere page d'une etude authen-tique du Senat, declassifiee Ie 24 fevrier1977, montre que George Merck, desIaboratoires pharmaceutiques MerckSharp & Dohme (qui commercialisentaujourd'hui les moyens de soigner lesmaladies qu'ils ont auparavant creees),stipulait dans un rapport adresse auMinistre americain de la guerre que seschercheurs avaient ''pour la premierefois" reussi a "isoler l'agent pathogenesous une forme cristalline".'lls avaient extrait une toxine bacteriolo-gique de la bacterie de la brucellose. Latoxine pouvait 8tre transformee sousune fo rme cristalline et e t r e stockee,transportee et relachee sans deteriora-tion. Ene pouvait e t r e vehiculee pardivers vecteurs comme des insectes, desaerosols ou des maillons de la chaineaIimentaire (dans la nature c'est la bac-rerie qui assurait cette fonction). Mais lefacteur actif reuvrant dans la brucelloseetait Ie mycoplasme.La brucellose est un agent pathogenequi ne tue pas ; ilmet les malades horsd'etat de nuire. Mais selon Ie docteurDonald Mc Arthur du Pentagone, Iond'une allocution devant une commis-sion du Congres americain en 19694,"les chercheurs ont decouvert que s'ilsdisposaient d'un mycoplasme d'unecertaine puissance, en fait de lOa lapuissance 10 (10'"), ilse transformeraiten SIDA dont le malade mourrait dansun intervalle de temps raisonnable carses defenses immunitaires seraientcourt-circuitees, Si la puissance etait delOS,Ie malade manifesterait un syndro-me de fatigue chronique ou une fibro-malgie. A 107, la personne s'affaiblirait; elle ne mourrait pas et pourrait conti-nuer de vivre, mais elle ne serait plus

    stimulee par la vie ; elle deperirait,La majeure partie d'entre nous n'ajamais entendu parler de la brueelloseparce qu'elle a disparu depuis que I'onpasteurise largement Ie lait qui en est Ieporteur. Une saliere qui contiendraitI'agent pur de la brucellose sous saforme cristalline pourrait a elle seulecontaminer toue la population duCanada. Celui-ci est radicalement mor-tel, non en Ie tuant Ie corps directementmais en le mettant hors d'etat de fonc-tionnement.Dans la mesure ou I'agent se solutionnedans le sang, Ies examens sanguins ordi-naires ou de tissus ne peuvent menre enevidence sa presence. Le mycoplasmecristallise seulement au-dessus d'un PHde 8,1 alors que Ie sang a un PH de 7,4.Le medecin VOllSdira alan au sujet desmaux dont vous V9US plaigniez : "C'estdans votre tete."LA BRUCELLOSE"CRISTALLINE" ET LASCLEROSE EN PLAQUES, En 1998 it Rochester dans l'B ta t d e NewYork, j'ai re nc on tre u n ancien rnilitairenomme PFX Donald Bentley, qui, enme remettant un document, m'a dit :"J'ai ete entralne 3 la guerre biologique.NOllSpossedions une bombe chargee de1a brucellose ; seulement c'etait de Iabrucellose sans en etre ; n s'agissaitd' une toxine de la brucellose sous saforme cristalline, Nous l' epandions surIa Chine et la Coree du Nord."II me montra son certificat de servicedecrivant sa formation aux conflits chi-miques, biologiques et radiologiques etun document de 16 pages que lui don-nerent les services de l'armee americai-ne lorsqu'il fut libere de ses fonctions. IIetablissait le lien entre la brucellose et lasclerose en plaques, et une partie preci-sait : "Les veterans de l'armee atteintsde sclerose en plaques, une sorte paraly-sie rampantese developpant a un stadede 10 %, ou plus d'incapacite physiquedans les deux ans qui suivent la fin deleur service actif, pourraient faire preva-loir leur droit a nne pension d'invalidite.Celle-ci est payable aux veterans adrnis-sibles dont les incapacites sont dues aleurs etats de service." En d' autres mots: "Si vous tombez malade de la scleroseen plaques, c'est parce que vous mani-puliez cette brucellose, et nous vousdonnerons une pension. Ne vous avisezpas de faire de I'agitation a ce sujet,"

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    Dans ces documents, Ie gouvemementamericain revelait la cause reelle de lasclerose en plaques, mais ilne Ie fit paspubliquement, ni aupres de votre doc-teur.Dans un rapport de 1 94 9, le s docteursKyger et Haden s ug g er aie n t " la po ss ib i-lite que la sclerose en plaques soit Iamanifestation de la brucellose chro-nique' au niveau cerebral." Ayant teste113 malades, ils decouvrirent que 95 %etaient porteurs de la brucellose. ' Nousdisposons d'un article de journal del'epoque qui concluait qu'un cas sur50 0 d ev e lo ppe ra it u n e n eu ro -b ru c el lo se ,en d'autres termes la brucellose dans Iecerveau, dans les ventricules lateraux,precisement 1 3 ou se localise 1ascleroseen plaques:LA CONTAMINATIONDES TRAVAILLEURS DULABORATOIREDE CAMP DETRICKEn 1948, un article du "New EnglandJournal of Medeci ne " i nti tu le " S e ri eu secontamination de la brucellose parmi lepersonnel des laboratoires" nous montrea quel point cet agent e ta it d an ge re ux .' I Is'agissait des travaiIleurs du laboratoirede Camp Detrick it Frederick dans IeMaryland, ou l'on mettait au point desannes biologiques. Ceux-ci avaientmeme etevaccines, portaient des com-binaisons etanches et des masques ettravaiIlaient a travers les trous pratiquesdans des caissons isoles, et malgre cela,ils contracterent la terrible rnaladie, tel-lement celle-ci est infectieuse.L'article est signe par le lieutenantCalderone Howell, du corps desMarines, Emilie Kelly, reserviste de laMarine americaine, et Ie capitaineHenry Bookman, tous trois militairesimpliques dans la transformation duvirus de la brucellose en une arme bio-logique plus efficace.

    iijj

    3- Les tests clandestinsdu Mycoplasme :des tests dedissemination

    Les documents prouvent que cette armebiologique fut testee sur Ie public dediverses communautes a son insu etsans son consentement,Le gouvemement savait que 1abrucello-

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    se "cristaIline" rendait les humainsmalades mais ilavait besoin de savoiedans queUe mesure 1'affection s'eten-drait et comment la disseminer, II testaces methodes de dispersion pour la"brucellose suis" et la "brucellose meli-tensis" a Dugway Proving Ground dansl'Utah en juin et en septembre 1952, sibien que probablement 100 % d'entrenous sommes aujourd'hui infectes parces deux souches.'Un autre document gouvernementalrecommandait la mise en ceuvre de testsde vulnerabilite en terrain decouvert, deprogrammes de recherche et de deve-loppement c la nd es tin s m e ne s par l'ar-mee avec Ie concours de la CIA.A cette epoque, le gouvemement ameri-cain demanda au gouvernement cana-dien de cooperer aux tests, ce que cedernier fit totalement. Les Ame ric a in scherchaient a determiner si les mous-tiques pouvaient servir de vecteur itl'agent pathogene et aussi si c'etait Iecas de I'air. A ce sujet, un rapport dugouvemement statuait que "les tests surles agents infectieux en plein air sontconsideres comme essentiels a la com-prehension ultime des potentialites del'armementbiologique a cause de lamultitude des facteurs entrant en jeulors de la degradation des micro-orga-nismes dans l'atmosphere."

    TESTS SUR LES MOUSTIQUESEN TANT QUE VECTEURA PUNTA GORDA EN FLORIDEUn article du "New England Journal ofMedecine" revele que l'une des pre-mieres eruptions du syndrome defatigue chronique eut lieu it Punta Gordaen 1957.10 Et par une etrange comciden-ce, il y avait un tees important afflux demoustiques la semaine precedant l' ap-parition de la ma1adie.L'Institut National de Sante affinna queI'arrivee des moustiques etait due a unfeu de for8t a 50 kms de lao La verite,c' est 1'infection de ces moustiques auCanada par les soins .du docteurGuilford B. Reed a la Queen'sUniversity. On les fit se multiplier aBelleville, en Ontario, puis transportee aPunta Gorda pour y etre laches.En moins d'une semaine, Les cas pre-miers cas de fatigue chroniques furentobserves par la Clinique locale. Lamaladie progressa jusqu'a un total de450 personnes qui la contracterent,

    TESTS SUR LES MOUSTIQUESEN ONTARIOLe gouvemement canadien avait etabliun laboratoire (le "Dominion ParasiteLaboratory") a Belleville, dans l'Etat de1'0ntario, oil etaient eleves 100 millionsde moustiques par mois. Ils etaientensuite conduits it la Queen'sUniversity, et en d'autres installations,pour y etres infectes par I'agent patho-gene sous sa forrne cristalline. Lesmoustiques etaient alors relaches ausein de certaines communautes en plei-ne nuit, pour que les chercheurs puis-sent mesurer Ie taux de contaminationde la population it partir du nombre decas de syndromes de fatigue chroniqueet de fibromalgies, qui etaient les deuxpremieres affections a se declarer.Une des communautes qu' its testerentfut celIe de la vallee de St LawrenceSeaway Valley, entre Kingston etCornwall, en 1984. Des centaines demillions de rnoustiques y furent laches.Plus de 70 0 personnes developperentdes myalgies encephalomyeli t iques oudes syndromes de fatigue chronique,

    4 ..Tests cia ndes tin 5avec d'autremaladies

    MALADIE DE LA VACHE FOLLEKURU - MALADIE DEKREUTZFELDT~ACOBAvant et au cours de la seconde guerremondiale, les militaires japonais conta-minerent les prisonniers de guerre duCamp 731, en Mandchourie, avec plu-sieurs souches de maladie.lis demarrerent d' autres recherches, en1942, dans un camp en Nouvelle-Guinee ou ils prirent pour cobayes lesmembres de la tribu des "AnciensIndiens" en leur inoculant une solution

    tiree de cervelles de moutons contami-nes par le virus visna qui cause la mala-die de la vache folIe et son equivalentchez l'homme, celle de Kreuztfeldt-Jacob.Les Japonais partis, cinq ou six ans plustard, les membres de la communauteindigene developperent une maladie'qu'ils nommaient "Kuru", ce qui signi-fie dans leur langue "deperissement", ilsfinirent par trembler, perdre leur appetitet mourir. Les autopsies revelerent queleur cerveau etait litteralement enbouillie.Lorsque s'acheva cette meme guerre, ledocteur Ishii-Shiro, Medecin Generaldans l'armee japonaise,et done suscep-tible de diriger Ie developpernent del'armement biologique, etait prisonnierdes Americains, On lui donna le c ho ixentre la possibilite de travailler pourI'armee americaine ou celie d'Btre exe-cute comme criminel de guerre. Bienentendu, il choisit la seconde, et aida lesAmericains a etablir comment lesJaponais avaient inocule la maladie deKreuztfeldt-Jacob a.cette tribu.En 1957, alors que le virus etait en plei-ne expansion, Ie docteur CarletonGadjusek, du NHI americain se renditen Nouvelle-Guinee pour determinercomment les cerveaux des moutonsmalades avaient pu les contaminer. II ypassa deux annees, etudiant le peupleindigene, et ecrivit un rapport detaille, Ilrecut un Prix Nobel pour avoir "decou-vert" la maladie "kuru" au sein de cettepopulation,TESTS D'AGENTCANCERIGENES A WINNIPEGDANS LE MANITOBA - CANADAEn 1953, le gouvemement americaindemanda au Canada de tester les effetsd'un produit chimique sur la ville deWinnipeg, possedant 500 000 habitantset isolee du monde. Les militaires arne-

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    ricains repandirent ce produit canceri-gene SQUS une forme attenuee un millierde fois, si diluee, d'apres eux, que per-sonne ne tomberait tres malade ;, maisles gens consulteraient en hepital pourun simple rhume au de petites lesions,ce qui leur permettrait de determiner lepourcentage de la population qui auraitdeveloppe un cancer si le produit avaite16dose normalement.Nous possedons la preuve que lesAmericains ont effectivement effectuece test sur Winnipeg en 1953 en epan-dant du sulfure de zinc-cadmium. Nous

    si Ie produit avait et employe a sonplein potentiel.Le professeur Hugh Fudenberg, titulairede deux prix Nobel, affirma dans lescolonnes d'un magazine que IePentagone avait reussi il . sortir blanchide cette histoire grace a deux cher-cheurs, Don Scott et son fils Bill Scottqui avaient r ev el e c es c hif fr es au public.Cependant les vraies etudes sur les testsavaient e 1 6 faites par d'autres cher-cheurs ! Les Americains menerent enfait une sene de tests de simulation d'ar-mement bacteriologique sur Winnipeg.

    avons ecrit au gouvernement canadienpour l'en informer et lui demander d'ou,dans les spheres de I'E tat, etait partiel'autorisation pour ce test. Nousn'avons recu aucune reponse,Peu apres, Ie 14 mai 1997, Ie Pentagonedonna une conference de presse aucours de laquelle ilreconnut la realite dece test. Robert Russo, correspondant il .Washington pour le Toronto Star", rap-porta que le Pentagone admettait qu'ilavait recu du gouvemement canadien en1953 l' autorisation de survolerWinnipeg afin de repandre un produitchimique, - qui retomba sur les enfantsqui allaient a l'ecole, les femmes quietendaient leur tinge et le s gens se ren-dant au travail. Les axions et lescamions de l'a rm e e am eric ain e r ep an di-rent ce produit 36 fois de juillet il . aodti953. Les statistiques recueillies par lePentagone indiquerent qu'environ untiers de la population aurait developpeun cancer dans les cinq annees suivantes

    Le Pentagone avaient menti au rnaire,lui disant qu'ils testaient un brouillardchimique sense proteger sa ville en casd' attaque nucleaire.Le rapport d'une commission duCong re s am er ic ain , p re sid ee par Ie doc-teur Rogene Henderson, etablit une listede 32 villes americaines qui furent ega-lement utili sees pour des experimenta-tions de ce type.

    5-Mycoplasmede la Brucelloseet SIDA

    Le SIDA fut cree il . partir d'une bacteriede brucellose combinee au virus visnadont on extrait l'ADN pour en tirer laparticule appelee mycoplasme. Lamsme souche de mycoplasme futemploye pour Ie developpement desmaladies de deperissement comme lasclerose en plaques, la oolite de Crohn,

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    la maladie de lyme, etc.Dans Ie document du Congres mention-ne ci-dessus, issu d'une reunion du 9juin 1969,1) le Pentagone livra un rap-port au sujet de I'armement biologique.Ilystatuait : "Nous continuons de pro-duire des armes biologiques." Le doc-teur MacArthur qui etait responsable decette recherche declarait : " Nous pro.duisons une nouvelle anne mortelle, unagent biologique de synthese qui n'exis-te pas a l'etat naturel, et contre lequelaucune immunite ne peut avoir e t eacquise."Pensez-y, En fait, si vous avez une defi-cience de I 'I mmun ite a cq uis e, v ou s avezune immunite deficiente acquise. C'estaussi simple que cela , C 'est le SIDA.Dans se s laboratoires imp la n te s p ar to u taux USA et dans certains au Canadacomme celui de l'universite d' Alberta,le gouvemement americain fit aboutir lacreation du SIDA dans un dessein decontrele demographique. Apres que lesscientifiques I'eurent perfectionne, de1969 A 1971, Ie gouvernement envoyases e qu ip es medi ca le s des "centres decontrole de la maladie" (Centers ofDisease Control), sous la direction dudocteur Donald A. Anderson, et ancienresponsable de l'experimentation dePunta Gonia, en Afrique et dans despays comme I'Inde, le Nepal et IePakistan, dont ilestimait la populationtrop importante", II leur fournit unecampagne de vaccination contre lavariole ; et cinq annees plus tard, 60 %de ceux qui I'avait recu e a va ien t d ev e-lo ppe le SIDA. I ls e ss aye ren t d'accuserun singe, ce qui est une absurdite.Un professeur de l'universite del'Arkansas declara qu'elle avait observedes traces du virus HIV en etudiant destissus de chimpanze, Le chimpanze enquestion etait ne aux USA 23 ans plust6t et avai t passe toute sa vie dans unlaboratoire de l'armee au servit decobaye aux experimentations sur l'ar-mement biologique. Lorsqu'il mourut,son corps fut conserve f1 tres basse tem-perature pour une eventuelle analyseulterieure, Comme on n'avait plus deplace pour l'entreposer, on demanda A l aronde "est-ce quelqu'un veut u n ch im -panze ?" et cette chercheuse reponditaffirmativement. "Envoyez-Ie nous Al 'universite de I'Arkansas, nous prenonstout ce qu'il est possible d'avoir," Ainsielle decouvrit le virus qui lui avait etelnocule dans les laboratoires durant les

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    tests. I.SYNDROME DE FATIGUECHRONIQUE ET MYALGIEENCE PHALOMvELITI QUELe syndrome de fatigue chronique(SFC) est ce que ron nomme plus pre-cisement la myalgie encephalomyeli-tique (ME). La nomenclature du SFCfut etablie par Ies autorites sanitairesamericaines (NHI) afin d' amoindrircette maladie aux yeux du public.Un examen au scanner IRM: du cerveaud'une adolescente souffrant du syndro-me pennet d'observer un grand nombrede lesions ponctuelles et de cicatricesdans 1a zone du lobe frontal gauche O Ud'entieres portions du cerveau avaientlitt6ra1ement 616dissoutes et remplaceespar du tissu cicatriciel. Cela provoquaitune diminution des capacites cogni-tives, de memoire, etc. C'est Ie myco-plasme qui cause ces lesions. Ainsi il

    ..'~.

    existe des preuves concretes et phy-siques de l'origine de ces terribles mala-dies, meme S 1 les medecins continuentd'affinner leur ignorance et leur incapa-cite ales soigner,Beaucoup de personnes atteintes deSFC, de ME ou 'de fibrornyalgie,demandeuses aupres du tribunal despensions canadien se retrouvent debou-tees de leurs pretentious car elle ne peu-vent prouver leur maladie. En 1999,j 'aimene p1usieurs procedures d'appel deces decisions pour Ie compte de cesmalades. J'ai fourni les preuves de leursaffections, leur obtenant l'octroi d'unepension.En mars 1999, par exemple, je defendisles interets d'une femme atteinte defibromyalgie qui s'etait vue refuser Iedroit a une pension en 1993. Je demon-trai, documents a l'appui, qu'elle etaltbien atteinte de cette maladie et qu' elle

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    etait victime de dommages physiquesevidents, causes par le mycoplasme, Undes presidents du tribunal avait specia-Iement fait Ie deplacernent pourentendre rna plaidoirie. Apres m' avoir .ecoute pendant trois heures, il medemanda: "M. Scott, comment se fait-ilque je n' ai jamais entendu parler de ceciauparavant ?" Je repondis : "it nous estarrive de faire des conferences avec despointures en 1amatiere a Sudbury a cesujet, mais pas Ie moindre rnedecin n'yest venu."

    6 ~Test du Mycoplasmedans votre corps

    LE TEST DE LA REACTION DESCHAINES DE POLYMERASESConnaitre 1a presence de cet agent

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    ~-.._ .-= --------.....-------pathogene est generalement impossibleen premier lieu a cause de la tame extre-mement reduite du mycoplasme. n y aun siecle que certains theoriciens de lamedecine imaginent qu' it doit exister unacteur de la inaladie plus petit que lesvirus au les bacteries, La tame dumycoplasme est si faible que lee. testsordinaires de sang ou de tissus ne per-mettent pas de reveler son r61e dansl'apparitiov de la maladie.Votre docteur pourrait diagnostiquerchez vous la maladie d'Alzheimer etdeclarer : "Man ami, nous ne savonspas o u vous I 'avez contractee, tout ceque nous pouvons dire, c'est que votrecerveau commence d se deteriorer; rup-ture des cellules, la couche de myelineentourant les nerfs se dissout .. ."Ou bien si vous etes atteint du SFC,votre medecin n' en trouvera pas lacause dans vos examens sanguins.Le mycoplasme ne pouvai t Stre detectejusqu'a l 'invention du test a reaction dechaine de polymerases (RCP). Celui-ciconsiste a separer dans le sang les eel-lules endommagees et ales soumettre aune reaction brisant leur chaine ADN.C e s cellules sont alors placeesdans unmilieu nourrissant et l'ADN se reconsti-me. Si 1'on produit suffisamment decette souche, on peut determiner si labrucellose ou un autre agent est a l'ori-gine du mycoplasme.

    TEST SANGUINSi vous, ou un membre de votre famillesouffre de myalgie encephalomyeli-tique, de fibromyalgie, de sclerose enplaques, ou de la maladie d' Alzheimer,vous pouvez envoyer un echantillon desang au docteur L. Simpson enNouvelle-zelande afin d'effeetuer untest.Si vous etes atteint d'une de ces mala-dies, les globules rouges de votre sangn'auront pas une forme normale de bei-gnet qui leur pennet habituellementd'etre compresse dans les vaisseauxcapillaires, mais seront trop enfles pourcela, C'est Ie cas ca r le seul moyen pourIe myooplasme de vivre est de soutirerles steroides preexistants a la cellule quil'heberge, L'une des meilleures sourcesde sterorde est Ie cholesterol, or Ie cho-lesterol est I'element qui donne a la cel-lule sa souplesse, S'il est utilise par Iemycoplasme, Ia cellule enfle et ne peutplus se mouvoir. Le maIade commence

    alors a ressentir des douleurs causeespar les dommages occasionnes au cer-veau, a l'estomac, aux pieds et a tout Iecorps par le manque d' oxygene.Voici pourquoi ceux qui sont atteintspassent des moments tres difficiles. Lesang ne vehiculant plus nonnalementl'oxygene au eerveau, des lesions pone-tuelles apparaissent dans ces parties quimeurent. Le mycoplasme se loge danscertaines zones du muscle cardiaque,specialement dans son ventriculegauche dont les cellules deperissent.Les cellules des ventricules lateraux decertaines personnes presentent une pre-disposition genetique a admettre lemycoplasme, causant la mort rapide dece s zones, C'est la sclerose en plaques,qui progresse jusqu' a Ia paralysie totalede la personne, ou, frequemment a samort prematuree, Lorsquele mycoplas-me elit domicile dans le gros intestin,eela conduit aux colites. Toutes ce smaladies sont provoquees par les pro-prietes degeneratives du mycoplasme .Au debut de l'an 2000, un habitant deSudbury me telephona et m'apprit qu'iletait atteintde fibromyalgie. n avaitpostule pour l'attribution d'une pensionqu'on lui avait refusee parce son doc-teur affirmait que c'etait psychologiqueet qu'il ne presentait pas de tracesextemes de la maladie, Je lui procuraiun fonnulaire de demande et une fiole etil envoya, avec l'accord de son medecinde famille, un echantillon sanguin audocteur Simpson pour qu'Il I'examine,Ce dernier demontra que seuls 4 % deses globules rouges fonctionnaient nor-malement, apportant la quantite appro-priee d' oxygene a son pauvre corps,alors que 83 % d'entre elles etant dila-tees, enflees et endurcies, ne pouvaientplus passer dans le s capillaires sans unetension sanguine terrible et avec degrosses difficultes, Void la preuve phy-sique des dommages causes a l'organis-me.TEST DEL'ELECTROCARDIOGRAMMEVous pouvez aussi demander a votremedecin de vous foumir de quoi faireun electrocardiogramme de 24 heures,Comme vous le savez, ce type d'exa-men me sure lesbattements du cceur etpermet de voir ce qui se passe dans lesventricules droits et gauches. Les testsont demontre que 100 % des personnesatteintes de fibromyalgie ou de SFC

    presentent un rythme de battement irre-gulier, A tout moment, au COUTS des 24heures dutest, au lieu d'un battementfaisant "poum-POUM, pourn-POUM",Ie coeur affiche un battement "pouh-pouhpouhpouhpouhpouhpouhpouh" .L'onde-T (les ondes sont a pp elees P , Q ,R, S et T) figure normalement un pic,l' onde chute alors pour recommenceravec l ' onde P.Avec une fibromyalgie auun SFC, le pic T s'aplatit et meme s'in-verse. Cela signifie que le sang dans leventricu1e gauche n' est pas pompe it tra-vers l'aorte pour alimenter Ie corps.Man client de Sudbury fit ce test pour Ieresultat suivant : "la forme de T et de S-T su ggere un modele d'effort du ventrl-cule, bien que le voltage et Iereste appa-raissent normaux." Le docteur ne posse-dait pas d'indice permettant d'expliquerpourquoi ce ventricule ne fonctionnaitpas normalement, J'analysai Ie dossierde ce patient qui avait e 1 6 prive de pen-sion et Ie renvoyait aux autorites concer-nees, lis me repondirent en disant "Ilsemblerait que nous pourrions avoir faitune erreur. Nous allons vous offrir uneaudience et vous pourrez nous expliquertout cela avec plus de details,"Ainsi, ilne s'agissait pas que de sonimagination. 11 existe bien des dom-mages physiques occasionnes au creur.Les muscles du ventricule gauche mon-trent une sclerose. VoilA pourquoi denombreux malades se voient diagnosti-ques victimes de troubles cardiaquesalors qu'ils sont atteints d'abord defibromyalgie, alors qu'il s'agit d'un desnombreux dommages causes par Iemycoplasme.TEST DE VOLUME DU SANGVous pouvez encore demander A votremedecin d' effectuer un test de volumedu sang. Chaque e t r e humain exige unecertaine proportion de sang par kilo depoids, et il a e16 observe que les per-sonnes atteintes de l'une des maladiescausees par le mycoplasme de la brucel-lose ne possedent pas nne quantite suffi-sante de sang pour que leur organismefonctionne normalement. Les mede cin sne sont habituellement pas au courantde ce fait.Ce test fonctionne en prelevant 5 cc desang que l'on reinjecte apres y avoir,ajoute un marqueur chimique. Moins laproportion de sang est importante etplus le traceur est apparent.

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  • 8/7/2019 Nexus 17 - Armes Bactriologiques

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    Cette analyse donna sur l'un de mesclients : "Ce malade con suite pour uneetude de la masse sanguine. Le volumede globules rouges est de 16,9 m l par kgdu poids du corps; Le ta ux n orm a l estde 25 a 35 m1Ik:g.Cette personne posse-de une carence de 36 % par rapport a laquantite demandee par Ie corps pourfonctionner normalement." Et Ie doc-teur ne savait meme pas que ce type detest existai t.Si vous perdez 36 % de votre sang dansun accident, pensez-vous que le mede-cin vous dirait que tout va bien etqu'apres un peu d'exercice tout iraitbien? n vous enverrait d'urgence dansIe plus proche hopital pour recevoir unetransfusion. Ces pauvres gens victimesde ces terribles maladies fonctionnentavec un taux de sang inferieur de 7 it 50% ala normale.

    I 7 - Reparer/es dommagesLe corps repare les dommages par lui-meme, Les scleroses du cerveau despatients atteints de fibromyalgie ou deSFC peuvent se soigner. II est un pro-cessus permanent d'auto-regenerescen-ceoMais Ie mycoplasme s'est propage aIa cellule suivante.Pendant les stades precoces de la mala-die, la doxycycline peut inverser Ie pro-cessus de la maladie, II s'agit de l'undes antibiotiques tetracycliques, maisce n'est pas un bactericide, c'est unbacteriostatique, bloquant la croissancedu mycoplasme. Et si cette croissancepeut etre jugulee suffisamment long-temps, le systeme immunitaire semeten marche.Un expert des mycoplasmes, le profes-seur Garth Nicholson, de l'institut demedecine moleculaire de Philadelphiefait l'examen de ce traitement dans unarticle. IS n travaille sur un programmede recherche sur Ie mycoplasme financepar l 'armee americaine a hauteur de 8millions de dollars et dirige par Ie doc-teur Charles Engel du NIH. Cette etudeporte sur 450 veterans de la guerre duGolfe, parce que Ie syndrome quenombre d'entre eux presente, semblebien etre une autre manifestation dumycoplasme.

    Traduction: David Deunery

    NOTES;'1. "Pahogenic Myco pla sm a ", B reVe t.USAn 5242820, du 7 sept 1993. Le docteur Lo ya pp ar ait c omm e " I'in ven teu r' e t l' Am e rlca n R eg istr er y of Pa th o lo g y d e Washi ng to n -DCcomme cessionnaire. , ," " " " , " " . "" " " ,2. " Sp ecia l V ir usC an cer P ro gr am : Piog~8f