Newsletter N° 11

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Offrir un avenir aux enfants Newsletter de Mission & Développement Foi en action N° 11 – nov. 2011

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Offrir un avenir aux enfants

ImpressumEdition FondationArméeduSalutSuisse,Mission&Développement Laupenstrasse5,3008Berne,Suisse Téléphone0313880591,[email protected]édaction MarkusMuntwiler,DorisDroz,ThomasMartinPhotos archivesMission&DéveloppementLayout/Concept ThomasMartin/MartinStuckiGrafik,Heimenschwand,msgrafik.chImpression JordiAG,Belp

Cettenewsletterparaît3foisparan.Comptepostal:30-6709-1(avecmentiond’affectationdudon)www.armeedusalut.ch/mission

NewsletterdeMission&Développement

Foi en actionN°11–nov.2011

Des cadeaux qui font doublement plaisir

Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?

Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.

En offrant de nouvelles toilettes, un cours de couture, un morceau de terre ou un puits, vous ne faites pas seulement plaisir à vos proches et à vos amis, mais également aux personnes qui vivent dans les pays du Sud.

Informations et cadeaux sous : www.armeedusalut.ch/mission

Ce produit est imprimé climatiquement neutre sur papier FSC-Sources mixtes.

Offrir un avenir aux enfantsDans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse.

Larissa,uneBrésiliennede17ans,Peterson,ungarçonde8ansoriginairedeHaïti,Christine,uneKényanede10ansetNirojan,unjeunede16ansoriginaireduSri Lanka,viventdansdifférentesrégionsdumondeetontmalgrétoutquelquechoseencommun.Cesjeunesontgrandidanslapauvretéetlamisèreetontdéjàdûfairefaceàdenombreusesdifficultésaucoursdeleurcourtevie.Ilspartagentcependantuneexpériencecommune:ilsonttrouvéaideetréconfortdanslesinstitutionsdel’ArméeduSalut.

LarissaavécudurantuneannéedanslesruesdeSãoPauloavantdetrouver,auprèsdescollaborateursduCentredejour«Troiscœurs»del’ArméeduSalut,desper-sonnesquisesontoccupéesd’elle,nel’ontjamaisabandonnéeetl’ontaidéeàrejoindresafamille.Peterson,provenantd’unvillagedemontagneenHaïti,apu

apprendreàlireetàécriredansuneécoledel’ArméeduSalut.ChristineetNirojansontdesorphelinsquionttrouvéamour,protectionetunnouveauchez-soidanslesfoyerspourenfantsdel’ArméeduSalut.

Al’imagedescesquatreenfants,desmilliersd’enfantsdeparlemondebénéfi-cientd’unaccueil,desoutienetdeformationdanslecadredesinstitutionsdel’Ar-méeduSalut.Denombreuxcollaborateursdel’ArméeduSaluts’engagentcorpsetâmepoursortirlesenfantsdelapauvretéetdeladétresseetlesaccompagnentdansleurcheminementverslemondeadulteetversunavenirmeilleur.

Grâceàdesparrainages,l’ArméeduSalutSuissesoutientfinancièrementl’impor-tanttravailaccompliàlongtermedanslesinstitutionsdel’ArméeduSalutdansdifférentspays.Depuisdenombreusesannées,àl’ArméeduSalutcommedanslaplupartdesœuvresd’entraide,lesoutiennesefaitplusaumoyendeparrainagesindividuelsmaisplutôtaumoyendeparrainagesd’institutions.

Leparrainoulamarrainenesoutientplusunenfantenparticuliermaisuneécoleouunfoyerpourenfants.Ainsi,cesonttouslesenfantsdel’établissement

concernéquibénéficientdesbienfaitsduparrainage.Celapermetd’éviterlefavoritisme,lajalousie,lesfauxespoirsoulesattentesirréalisablestoutenréduisantlecoûtdeschargesadministratives.

Lesoutienpermanentdesparrainsetdesmarrainespermetd’aiderlesenfantsdemanièredurable.Lesparrainsetmarrainessontrégulièrementinformés;ilspeuventainsisuivrelesprogrèsréalisésetserendrecomptedurésultatdeleursoutien.

Larissa,Peterson,ChristineetNirojan,commebonnombred’autresenfants,ontprofitédecesparrainagesprovenantdeSuisse.L’ArméeduSalutlesaépau-lésetaccompagnés.Leuravenirestdésormaisprometteur.Beaucoupd’autresenfantssonttoutefoistoujoursencoreprisonniersdelamisère,deladétresseetdudésespoir.L’ArméeduSalutcontinueàlutterafind’offrirauxenfantsunavenirmeilleur.

Thomas Martin

EditorialRécemment,jesuistombésurlesstatistiquesdel’ArméeduSalutinternationaleetj’aiététrèsétonné.Onpeutnotammentylirequel’ArméeduSalutdirige:

•209foyerspourenfants,accueillant8500pensionnaires

•31programmeset10centres,encadrantquotidiennement1589enfants

•732jardinsd’enfantset934écolesprimaires

Lamajoritédecesoffressetrouventdanslespaysendéveloppementetdépendentdenotresoutienfinancier.Lesenfantsetlesjeunesreprésententplusdelamoitiédelapopulationmondiale.Ungrandnombred’entreeuxn’ontcependantpaslapossibilitédes’épanouir.Jesuisfierquel’ArméeduSalut,grâceàsesoffresdestinéesauxenfants,joueunrôleprimordialdanslaluttecontrelapauvreté.Etbiendavantage:fortsdenosvaleurschrétiennesetmotivésparlesexemplesbibliques,nousprêchonsl’amourduprochainauxenfantsetfavorisonsainsileurdéveloppement,demanièreglobaleetàlongterme.Seriez-vousdisposéànoussoutenirdanscettevoie?

Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement

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Des cadeaux qui font doublement plaisir

Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?

Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.

En offrant de nouvelles toilettes, un cours de couture, un morceau de terre ou un puits, vous ne faites pas seulement plaisir à vos proches et à vos amis, mais également aux personnes qui vivent dans les pays du Sud.

Informations et cadeaux sous : www.armeedusalut.ch/mission

Ce produit est imprimé climatiquement neutre sur papier FSC-Sources mixtes.

Offrir un avenir aux enfantsDans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse.

Larissa,uneBrésiliennede17ans,Peterson,ungarçonde8ansoriginairedeHaïti,Christine,uneKényanede10ansetNirojan,unjeunede16ansoriginaireduSri Lanka,viventdansdifférentesrégionsdumondeetontmalgrétoutquelquechoseencommun.Cesjeunesontgrandidanslapauvretéetlamisèreetontdéjàdûfairefaceàdenombreusesdifficultésaucoursdeleurcourtevie.Ilspartagentcependantuneexpériencecommune:ilsonttrouvéaideetréconfortdanslesinstitutionsdel’ArméeduSalut.

LarissaavécudurantuneannéedanslesruesdeSãoPauloavantdetrouver,auprèsdescollaborateursduCentredejour«Troiscœurs»del’ArméeduSalut,desper-sonnesquisesontoccupéesd’elle,nel’ontjamaisabandonnéeetl’ontaidéeàrejoindresafamille.Peterson,provenantd’unvillagedemontagneenHaïti,apu

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Larissa,Peterson,ChristineetNirojan,commebonnombred’autresenfants,ontprofitédecesparrainagesprovenantdeSuisse.L’ArméeduSalutlesaépau-lésetaccompagnés.Leuravenirestdésormaisprometteur.Beaucoupd’autresenfantssonttoutefoistoujoursencoreprisonniersdelamisère,deladétresseetdudésespoir.L’ArméeduSalutcontinueàlutterafind’offrirauxenfantsunavenirmeilleur.

Thomas Martin

EditorialRécemment,jesuistombésurlesstatistiquesdel’ArméeduSalutinternationaleetj’aiététrèsétonné.Onpeutnotammentylirequel’ArméeduSalutdirige:

•209foyerspourenfants,accueillant8500pensionnaires

•31programmeset10centres,encadrantquotidiennement1589enfants

•732jardinsd’enfantset934écolesprimaires

Lamajoritédecesoffressetrouventdanslespaysendéveloppementetdépendentdenotresoutienfinancier.Lesenfantsetlesjeunesreprésententplusdelamoitiédelapopulationmondiale.Ungrandnombred’entreeuxn’ontcependantpaslapossibilitédes’épanouir.Jesuisfierquel’ArméeduSalut,grâceàsesoffresdestinéesauxenfants,joueunrôleprimordialdanslaluttecontrelapauvreté.Etbiendavantage:fortsdenosvaleurschrétiennesetmotivésparlesexemplesbibliques,nousprêchonsl’amourduprochainauxenfantsetfavorisonsainsileurdéveloppement,demanièreglobaleetàlongterme.Seriez-vousdisposéànoussoutenirdanscettevoie?

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Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?

Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.

En offrant de nouvelles toilettes, un cours de couture, un morceau de terre ou un puits, vous ne faites pas seulement plaisir à vos proches et à vos amis, mais également aux personnes qui vivent dans les pays du Sud.

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Offrir un avenir aux enfantsDans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse.

Larissa,uneBrésiliennede17ans,Peterson,ungarçonde8ansoriginairedeHaïti,Christine,uneKényanede10ansetNirojan,unjeunede16ansoriginaireduSri Lanka,viventdansdifférentesrégionsdumondeetontmalgrétoutquelquechoseencommun.Cesjeunesontgrandidanslapauvretéetlamisèreetontdéjàdûfairefaceàdenombreusesdifficultésaucoursdeleurcourtevie.Ilspartagentcependantuneexpériencecommune:ilsonttrouvéaideetréconfortdanslesinstitutionsdel’ArméeduSalut.

LarissaavécudurantuneannéedanslesruesdeSãoPauloavantdetrouver,auprèsdescollaborateursduCentredejour«Troiscœurs»del’ArméeduSalut,desper-sonnesquisesontoccupéesd’elle,nel’ontjamaisabandonnéeetl’ontaidéeàrejoindresafamille.Peterson,provenantd’unvillagedemontagneenHaïti,apu

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Leparrainoulamarrainenesoutientplusunenfantenparticuliermaisuneécoleouunfoyerpourenfants.Ainsi,cesonttouslesenfantsdel’établissement

concernéquibénéficientdesbienfaitsduparrainage.Celapermetd’éviterlefavoritisme,lajalousie,lesfauxespoirsoulesattentesirréalisablestoutenréduisantlecoûtdeschargesadministratives.

Lesoutienpermanentdesparrainsetdesmarrainespermetd’aiderlesenfantsdemanièredurable.Lesparrainsetmarrainessontrégulièrementinformés;ilspeuventainsisuivrelesprogrèsréalisésetserendrecomptedurésultatdeleursoutien.

Larissa,Peterson,ChristineetNirojan,commebonnombred’autresenfants,ontprofitédecesparrainagesprovenantdeSuisse.L’ArméeduSalutlesaépau-lésetaccompagnés.Leuravenirestdésormaisprometteur.Beaucoupd’autresenfantssonttoutefoistoujoursencoreprisonniersdelamisère,deladétresseetdudésespoir.L’ArméeduSalutcontinueàlutterafind’offrirauxenfantsunavenirmeilleur.

Thomas Martin

EditorialRécemment,jesuistombésurlesstatistiquesdel’ArméeduSalutinternationaleetj’aiététrèsétonné.Onpeutnotammentylirequel’ArméeduSalutdirige:

•209foyerspourenfants,accueillant8500pensionnaires

•31programmeset10centres,encadrantquotidiennement1589enfants

•732jardinsd’enfantset934écolesprimaires

Lamajoritédecesoffressetrouventdanslespaysendéveloppementetdépendentdenotresoutienfinancier.Lesenfantsetlesjeunesreprésententplusdelamoitiédelapopulationmondiale.Ungrandnombred’entreeuxn’ontcependantpaslapossibilitédes’épanouir.Jesuisfierquel’ArméeduSalut,grâceàsesoffresdestinéesauxenfants,joueunrôleprimordialdanslaluttecontrelapauvreté.Etbiendavantage:fortsdenosvaleurschrétiennesetmotivésparlesexemplesbibliques,nousprêchonsl’amourduprochainauxenfantsetfavorisonsainsileurdéveloppement,demanièreglobaleetàlongterme.Seriez-vousdisposéànoussoutenirdanscettevoie?

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Des cadeaux qui font doublement plaisir

Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?

Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.

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Offrir un avenir aux enfantsDans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse.

Larissa,uneBrésiliennede17ans,Peterson,ungarçonde8ansoriginairedeHaïti,Christine,uneKényanede10ansetNirojan,unjeunede16ansoriginaireduSri Lanka,viventdansdifférentesrégionsdumondeetontmalgrétoutquelquechoseencommun.Cesjeunesontgrandidanslapauvretéetlamisèreetontdéjàdûfairefaceàdenombreusesdifficultésaucoursdeleurcourtevie.Ilspartagentcependantuneexpériencecommune:ilsonttrouvéaideetréconfortdanslesinstitutionsdel’ArméeduSalut.

LarissaavécudurantuneannéedanslesruesdeSãoPauloavantdetrouver,auprèsdescollaborateursduCentredejour«Troiscœurs»del’ArméeduSalut,desper-sonnesquisesontoccupéesd’elle,nel’ontjamaisabandonnéeetl’ontaidéeàrejoindresafamille.Peterson,provenantd’unvillagedemontagneenHaïti,apu

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Al’imagedescesquatreenfants,desmilliersd’enfantsdeparlemondebénéfi-cientd’unaccueil,desoutienetdeformationdanslecadredesinstitutionsdel’Ar-méeduSalut.Denombreuxcollaborateursdel’ArméeduSaluts’engagentcorpsetâmepoursortirlesenfantsdelapauvretéetdeladétresseetlesaccompagnentdansleurcheminementverslemondeadulteetversunavenirmeilleur.

Grâceàdesparrainages,l’ArméeduSalutSuissesoutientfinancièrementl’impor-tanttravailaccompliàlongtermedanslesinstitutionsdel’ArméeduSalutdansdifférentspays.Depuisdenombreusesannées,àl’ArméeduSalutcommedanslaplupartdesœuvresd’entraide,lesoutiennesefaitplusaumoyendeparrainagesindividuelsmaisplutôtaumoyendeparrainagesd’institutions.

Leparrainoulamarrainenesoutientplusunenfantenparticuliermaisuneécoleouunfoyerpourenfants.Ainsi,cesonttouslesenfantsdel’établissement

concernéquibénéficientdesbienfaitsduparrainage.Celapermetd’éviterlefavoritisme,lajalousie,lesfauxespoirsoulesattentesirréalisablestoutenréduisantlecoûtdeschargesadministratives.

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Larissa,Peterson,ChristineetNirojan,commebonnombred’autresenfants,ontprofitédecesparrainagesprovenantdeSuisse.L’ArméeduSalutlesaépau-lésetaccompagnés.Leuravenirestdésormaisprometteur.Beaucoupd’autresenfantssonttoutefoistoujoursencoreprisonniersdelamisère,deladétresseetdudésespoir.L’ArméeduSalutcontinueàlutterafind’offrirauxenfantsunavenirmeilleur.

Thomas Martin

EditorialRécemment,jesuistombésurlesstatistiquesdel’ArméeduSalutinternationaleetj’aiététrèsétonné.Onpeutnotammentylirequel’ArméeduSalutdirige:

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•31programmeset10centres,encadrantquotidiennement1589enfants

•732jardinsd’enfantset934écolesprimaires

Lamajoritédecesoffressetrouventdanslespaysendéveloppementetdépendentdenotresoutienfinancier.Lesenfantsetlesjeunesreprésententplusdelamoitiédelapopulationmondiale.Ungrandnombred’entreeuxn’ontcependantpaslapossibilitédes’épanouir.Jesuisfierquel’ArméeduSalut,grâceàsesoffresdestinéesauxenfants,joueunrôleprimordialdanslaluttecontrelapauvreté.Etbiendavantage:fortsdenosvaleurschrétiennesetmotivésparlesexemplesbibliques,nousprêchonsl’amourduprochainauxenfantsetfavorisonsainsileurdéveloppement,demanièreglobaleetàlongterme.Seriez-vousdisposéànoussoutenirdanscettevoie?

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Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.

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Informations et cadeaux sous : www.armeedusalut.ch/mission

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Offrir un avenir aux enfantsDans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse.

Larissa,uneBrésiliennede17ans,Peterson,ungarçonde8ansoriginairedeHaïti,Christine,uneKényanede10ansetNirojan,unjeunede16ansoriginaireduSri Lanka,viventdansdifférentesrégionsdumondeetontmalgrétoutquelquechoseencommun.Cesjeunesontgrandidanslapauvretéetlamisèreetontdéjàdûfairefaceàdenombreusesdifficultésaucoursdeleurcourtevie.Ilspartagentcependantuneexpériencecommune:ilsonttrouvéaideetréconfortdanslesinstitutionsdel’ArméeduSalut.

LarissaavécudurantuneannéedanslesruesdeSãoPauloavantdetrouver,auprèsdescollaborateursduCentredejour«Troiscœurs»del’ArméeduSalut,desper-sonnesquisesontoccupéesd’elle,nel’ontjamaisabandonnéeetl’ontaidéeàrejoindresafamille.Peterson,provenantd’unvillagedemontagneenHaïti,apu

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Al’imagedescesquatreenfants,desmilliersd’enfantsdeparlemondebénéfi-cientd’unaccueil,desoutienetdeformationdanslecadredesinstitutionsdel’Ar-méeduSalut.Denombreuxcollaborateursdel’ArméeduSaluts’engagentcorpsetâmepoursortirlesenfantsdelapauvretéetdeladétresseetlesaccompagnentdansleurcheminementverslemondeadulteetversunavenirmeilleur.

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Leparrainoulamarrainenesoutientplusunenfantenparticuliermaisuneécoleouunfoyerpourenfants.Ainsi,cesonttouslesenfantsdel’établissement

concernéquibénéficientdesbienfaitsduparrainage.Celapermetd’éviterlefavoritisme,lajalousie,lesfauxespoirsoulesattentesirréalisablestoutenréduisantlecoûtdeschargesadministratives.

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Larissa,Peterson,ChristineetNirojan,commebonnombred’autresenfants,ontprofitédecesparrainagesprovenantdeSuisse.L’ArméeduSalutlesaépau-lésetaccompagnés.Leuravenirestdésormaisprometteur.Beaucoupd’autresenfantssonttoutefoistoujoursencoreprisonniersdelamisère,deladétresseetdudésespoir.L’ArméeduSalutcontinueàlutterafind’offrirauxenfantsunavenirmeilleur.

Thomas Martin

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•732jardinsd’enfantset934écolesprimaires

Lamajoritédecesoffressetrouventdanslespaysendéveloppementetdépendentdenotresoutienfinancier.Lesenfantsetlesjeunesreprésententplusdelamoitiédelapopulationmondiale.Ungrandnombred’entreeuxn’ontcependantpaslapossibilitédes’épanouir.Jesuisfierquel’ArméeduSalut,grâceàsesoffresdestinéesauxenfants,joueunrôleprimordialdanslaluttecontrelapauvreté.Etbiendavantage:fortsdenosvaleurschrétiennesetmotivésparlesexemplesbibliques,nousprêchonsl’amourduprochainauxenfantsetfavorisonsainsileurdéveloppement,demanièreglobaleetàlongterme.Seriez-vousdisposéànoussoutenirdanscettevoie?

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Naw Mya YadanaMyanmar

Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.

Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. »

C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je tra-vaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. »

Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu.

« Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! »

Destin OlingouCongo-Brazzaville

Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont aban-donné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger.

C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fré-quente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.

Christine, Teresia et PriscillaKenya

« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur compor-tement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.

Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est égale-ment modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnais-sants à Dieu. »

Ruth C. Vincent ResponsabledesparrainagesKenya

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Date, signature :

NPA / Lieu:

Rue:

Prénom: Nom:

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A envoyer à :Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne

Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant :

Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire par-venir des informations concernant le parrainage suivant :

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A l’essai

10 francs par mois (durée : une année)Mini 20 francs par mois (pour les petits budgets)Standard 40 francs par moisIndividuel francs par mois (plus de 40 francs)

Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :

Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.

Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission

Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.

« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. »

Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’es-time primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient.

Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilli-ser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représen-tent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le mon-tant qui lui est supportable.

Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ».

Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent.

Yvonne Burkhard, Gwatt

« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. »

Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance.

Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beau-coup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi.

A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir finan-cièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants.

Simon Pfister, Vienne

« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? »Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publica-tion de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut.

Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres per-sonnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre.

Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrai-nage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée.

Cornelia Zürrer Ritter, Zurich

De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tubercu-lose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cepen-dant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.

Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pion-niers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les pou-belles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir.

Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.

Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.

Brésil• Foyer de jour pour les

enfants de la rue• Crèche• Centre d’intégration• Centre Communautaire

Haïti• 18 écoles primaires

Inde• Ecole• Soutien aux familles

Kenya• Foyer pour enfants

Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles

Congo-Kinshasa• Foyer pour enfants• Ecole primaire

Zimbabwe• Aide à la formation• Enfants touchés par le

virus du sida

Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants

Panama• Foyer pour filles

Philippines• Foyer pour enfants

Sri Lanka• Foyer pour enfants• Soutien aux familles

Page 7: Newsletter N° 11

Naw Mya YadanaMyanmar

Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.

Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. »

C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je tra-vaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. »

Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu.

« Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! »

Destin OlingouCongo-Brazzaville

Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont aban-donné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger.

C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fré-quente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.

Christine, Teresia et PriscillaKenya

« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur compor-tement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.

Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est égale-ment modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnais-sants à Dieu. »

Ruth C. Vincent ResponsabledesparrainagesKenya

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Prénom: Nom:

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A envoyer à :Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne

Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant :

Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire par-venir des informations concernant le parrainage suivant :

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10 francs par mois (durée : une année)Mini 20 francs par mois (pour les petits budgets)Standard 40 francs par moisIndividuel francs par mois (plus de 40 francs)

Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :

Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.

Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission

Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.

« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. »

Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’es-time primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient.

Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilli-ser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représen-tent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le mon-tant qui lui est supportable.

Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ».

Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent.

Yvonne Burkhard, Gwatt

« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. »

Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance.

Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beau-coup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi.

A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir finan-cièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants.

Simon Pfister, Vienne

« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? »Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publica-tion de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut.

Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres per-sonnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre.

Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrai-nage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée.

Cornelia Zürrer Ritter, Zurich

De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tubercu-lose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cepen-dant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.

Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pion-niers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les pou-belles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir.

Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.

Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.

Brésil• Foyer de jour pour les

enfants de la rue• Crèche• Centre d’intégration• Centre Communautaire

Haïti• 18 écoles primaires

Inde• Ecole• Soutien aux familles

Kenya• Foyer pour enfants

Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles

Congo-Kinshasa• Foyer pour enfants• Ecole primaire

Zimbabwe• Aide à la formation• Enfants touchés par le

virus du sida

Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants

Panama• Foyer pour filles

Philippines• Foyer pour enfants

Sri Lanka• Foyer pour enfants• Soutien aux familles

Page 8: Newsletter N° 11

Naw Mya YadanaMyanmar

Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.

Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. »

C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je tra-vaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. »

Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu.

« Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! »

Destin OlingouCongo-Brazzaville

Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont aban-donné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger.

C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fré-quente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.

Christine, Teresia et PriscillaKenya

« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur compor-tement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.

Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est égale-ment modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnais-sants à Dieu. »

Ruth C. Vincent ResponsabledesparrainagesKenya

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Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant :

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Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission

Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.

« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. »

Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’es-time primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient.

Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilli-ser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représen-tent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le mon-tant qui lui est supportable.

Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ».

Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent.

Yvonne Burkhard, Gwatt

« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. »

Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance.

Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beau-coup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi.

A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir finan-cièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants.

Simon Pfister, Vienne

« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? »Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publica-tion de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut.

Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres per-sonnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre.

Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrai-nage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée.

Cornelia Zürrer Ritter, Zurich

De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tubercu-lose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cepen-dant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.

Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pion-niers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les pou-belles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir.

Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.

Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.

Brésil• Foyer de jour pour les

enfants de la rue• Crèche• Centre d’intégration• Centre Communautaire

Haïti• 18 écoles primaires

Inde• Ecole• Soutien aux familles

Kenya• Foyer pour enfants

Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles

Congo-Kinshasa• Foyer pour enfants• Ecole primaire

Zimbabwe• Aide à la formation• Enfants touchés par le

virus du sida

Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants

Panama• Foyer pour filles

Philippines• Foyer pour enfants

Sri Lanka• Foyer pour enfants• Soutien aux familles

Page 9: Newsletter N° 11

Naw Mya YadanaMyanmar

Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.

Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. »

C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je tra-vaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. »

Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu.

« Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! »

Destin OlingouCongo-Brazzaville

Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont aban-donné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger.

C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fré-quente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.

Christine, Teresia et PriscillaKenya

« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur compor-tement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.

Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est égale-ment modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnais-sants à Dieu. »

Ruth C. Vincent ResponsabledesparrainagesKenya

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10 francs par mois (durée : une année)Mini 20 francs par mois (pour les petits budgets)Standard 40 francs par moisIndividuel francs par mois (plus de 40 francs)

Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :

Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.

Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission

Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.

« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. »

Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’es-time primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient.

Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilli-ser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représen-tent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le mon-tant qui lui est supportable.

Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ».

Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent.

Yvonne Burkhard, Gwatt

« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. »

Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance.

Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beau-coup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi.

A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir finan-cièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants.

Simon Pfister, Vienne

« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? »Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publica-tion de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut.

Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres per-sonnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre.

Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrai-nage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée.

Cornelia Zürrer Ritter, Zurich

De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tubercu-lose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cepen-dant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.

Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pion-niers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les pou-belles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir.

Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.

Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.

Brésil• Foyer de jour pour les

enfants de la rue• Crèche• Centre d’intégration• Centre Communautaire

Haïti• 18 écoles primaires

Inde• Ecole• Soutien aux familles

Kenya• Foyer pour enfants

Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles

Congo-Kinshasa• Foyer pour enfants• Ecole primaire

Zimbabwe• Aide à la formation• Enfants touchés par le

virus du sida

Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants

Panama• Foyer pour filles

Philippines• Foyer pour enfants

Sri Lanka• Foyer pour enfants• Soutien aux familles

Page 10: Newsletter N° 11

Naw Mya YadanaMyanmar

Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.

Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. »

C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je tra-vaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. »

Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu.

« Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! »

Destin OlingouCongo-Brazzaville

Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont aban-donné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger.

C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fré-quente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.

Christine, Teresia et PriscillaKenya

« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur compor-tement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.

Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est égale-ment modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnais-sants à Dieu. »

Ruth C. Vincent ResponsabledesparrainagesKenya

Inscription pour un parrainageCoupon-réponse

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Date, signature :

NPA / Lieu:

Rue:

Prénom: Nom:

E-mail:

A envoyer à :Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne

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« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. »

Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’es-time primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient.

Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilli-ser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représen-tent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le mon-tant qui lui est supportable.

Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ».

Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent.

Yvonne Burkhard, Gwatt

« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. »

Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance.

Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beau-coup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi.

A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir finan-cièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants.

Simon Pfister, Vienne

« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? »Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publica-tion de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut.

Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres per-sonnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre.

Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrai-nage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée.

Cornelia Zürrer Ritter, Zurich

De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tubercu-lose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cepen-dant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.

Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pion-niers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les pou-belles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir.

Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.

Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.

Brésil• Foyer de jour pour les

enfants de la rue• Crèche• Centre d’intégration• Centre Communautaire

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Naw Mya YadanaMyanmar

Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.

Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. »

C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je tra-vaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. »

Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu.

« Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! »

Destin OlingouCongo-Brazzaville

Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont aban-donné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger.

C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fré-quente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.

Christine, Teresia et PriscillaKenya

« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur compor-tement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.

Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est égale-ment modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnais-sants à Dieu. »

Ruth C. Vincent ResponsabledesparrainagesKenya

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« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. »

Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’es-time primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient.

Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilli-ser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représen-tent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le mon-tant qui lui est supportable.

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Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent.

Yvonne Burkhard, Gwatt

« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. »

Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance.

Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beau-coup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi.

A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir finan-cièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants.

Simon Pfister, Vienne

« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? »Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publica-tion de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut.

Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres per-sonnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre.

Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrai-nage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée.

Cornelia Zürrer Ritter, Zurich

De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tubercu-lose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cepen-dant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.

Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pion-niers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les pou-belles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir.

Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.

Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.

Brésil• Foyer de jour pour les

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Offrir un avenir aux enfants

ImpressumEdition FondationArméeduSalutSuisse,Mission&Développement Laupenstrasse5,3008Berne,Suisse Téléphone0313880591,[email protected]édaction MarkusMuntwiler,DorisDroz,ThomasMartinPhotos archivesMission&DéveloppementLayout/Concept ThomasMartin/MartinStuckiGrafik,Heimenschwand,msgrafik.chImpression JordiAG,Belp

Cettenewsletterparaît3foisparan.Comptepostal:30-6709-1(avecmentiond’affectationdudon)www.armeedusalut.ch/mission

NewsletterdeMission&Développement

Foi en actionN°11–nov.2011

Des cadeaux qui font doublement plaisir

Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?

Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.

En offrant de nouvelles toilettes, un cours de couture, un morceau de terre ou un puits, vous ne faites pas seulement plaisir à vos proches et à vos amis, mais également aux personnes qui vivent dans les pays du Sud.

Informations et cadeaux sous : www.armeedusalut.ch/mission

Ce produit est imprimé climatiquement neutre sur papier FSC-Sources mixtes.

Offrir un avenir aux enfantsDans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse.

Larissa,uneBrésiliennede17ans,Peterson,ungarçonde8ansoriginairedeHaïti,Christine,uneKényanede10ansetNirojan,unjeunede16ansoriginaireduSri Lanka,viventdansdifférentesrégionsdumondeetontmalgrétoutquelquechoseencommun.Cesjeunesontgrandidanslapauvretéetlamisèreetontdéjàdûfairefaceàdenombreusesdifficultésaucoursdeleurcourtevie.Ilspartagentcependantuneexpériencecommune:ilsonttrouvéaideetréconfortdanslesinstitutionsdel’ArméeduSalut.

LarissaavécudurantuneannéedanslesruesdeSãoPauloavantdetrouver,auprèsdescollaborateursduCentredejour«Troiscœurs»del’ArméeduSalut,desper-sonnesquisesontoccupéesd’elle,nel’ontjamaisabandonnéeetl’ontaidéeàrejoindresafamille.Peterson,provenantd’unvillagedemontagneenHaïti,apu

apprendreàlireetàécriredansuneécoledel’ArméeduSalut.ChristineetNirojansontdesorphelinsquionttrouvéamour,protectionetunnouveauchez-soidanslesfoyerspourenfantsdel’ArméeduSalut.

Al’imagedescesquatreenfants,desmilliersd’enfantsdeparlemondebénéfi-cientd’unaccueil,desoutienetdeformationdanslecadredesinstitutionsdel’Ar-méeduSalut.Denombreuxcollaborateursdel’ArméeduSaluts’engagentcorpsetâmepoursortirlesenfantsdelapauvretéetdeladétresseetlesaccompagnentdansleurcheminementverslemondeadulteetversunavenirmeilleur.

Grâceàdesparrainages,l’ArméeduSalutSuissesoutientfinancièrementl’impor-tanttravailaccompliàlongtermedanslesinstitutionsdel’ArméeduSalutdansdifférentspays.Depuisdenombreusesannées,àl’ArméeduSalutcommedanslaplupartdesœuvresd’entraide,lesoutiennesefaitplusaumoyendeparrainagesindividuelsmaisplutôtaumoyendeparrainagesd’institutions.

Leparrainoulamarrainenesoutientplusunenfantenparticuliermaisuneécoleouunfoyerpourenfants.Ainsi,cesonttouslesenfantsdel’établissement

concernéquibénéficientdesbienfaitsduparrainage.Celapermetd’éviterlefavoritisme,lajalousie,lesfauxespoirsoulesattentesirréalisablestoutenréduisantlecoûtdeschargesadministratives.

Lesoutienpermanentdesparrainsetdesmarrainespermetd’aiderlesenfantsdemanièredurable.Lesparrainsetmarrainessontrégulièrementinformés;ilspeuventainsisuivrelesprogrèsréalisésetserendrecomptedurésultatdeleursoutien.

Larissa,Peterson,ChristineetNirojan,commebonnombred’autresenfants,ontprofitédecesparrainagesprovenantdeSuisse.L’ArméeduSalutlesaépau-lésetaccompagnés.Leuravenirestdésormaisprometteur.Beaucoupd’autresenfantssonttoutefoistoujoursencoreprisonniersdelamisère,deladétresseetdudésespoir.L’ArméeduSalutcontinueàlutterafind’offrirauxenfantsunavenirmeilleur.

Thomas Martin

EditorialRécemment,jesuistombésurlesstatistiquesdel’ArméeduSalutinternationaleetj’aiététrèsétonné.Onpeutnotammentylirequel’ArméeduSalutdirige:

•209foyerspourenfants,accueillant8500pensionnaires

•31programmeset10centres,encadrantquotidiennement1589enfants

•732jardinsd’enfantset934écolesprimaires

Lamajoritédecesoffressetrouventdanslespaysendéveloppementetdépendentdenotresoutienfinancier.Lesenfantsetlesjeunesreprésententplusdelamoitiédelapopulationmondiale.Ungrandnombred’entreeuxn’ontcependantpaslapossibilitédes’épanouir.Jesuisfierquel’ArméeduSalut,grâceàsesoffresdestinéesauxenfants,joueunrôleprimordialdanslaluttecontrelapauvreté.Etbiendavantage:fortsdenosvaleurschrétiennesetmotivésparlesexemplesbibliques,nousprêchonsl’amourduprochainauxenfantsetfavorisonsainsileurdéveloppement,demanièreglobaleetàlongterme.Seriez-vousdisposéànoussoutenirdanscettevoie?

Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement