Newsletter n°204

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Chabbat Parachat Vayikra - Hebdomadaire édité par le Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - [email protected] Bonnes Nouvelles Photo de la semaine Travaux d’impression numérique logos, graphisme Demandez John pour service en français 072-2424245 [email protected] Jérusalem Beit Machia’h Centre Ville 6, rue Yavets Rav Doron Oren - Vente de ‘Hametz - Seder public 052-3618770 Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout et Ala’hot le mardi soir à 20h15 - 19/5 rue Chalom Yehuda - Vente de ‘Hametz 058-4770055 Beit Machia’h Har ‘Homa 34, rue Rav Its’hak Nissim Rav Shlomo Yossef Tsion Vente de ‘Hametz 050-4147725 Minyane ‘Habad à Baka le Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Dan à Baka synagogue «Tefila LeDavid» 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv Vente de ‘Hametz 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad franco- phone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv - Vente de ‘Hametz 054-4833764 Sortie du recueil des Dvar Mal’hout en français Pour nous aider à la publication télephoner au 08-6717466 ou 054-9204594 - POB 246 Kyriat Mala’hie Rav Mena’hem Volica 204 Editorial Nissan 5773 : Le mois de la Guéoula Les miracles du mois de Nissan sont déjà là, le mois de la Guéoula entre dans notre vie plein de vitalité nouvelle et plein d’un nouvel espoir pour cette année 5773 qui, gorgée de tous les mérites de toutes les générations précé- dentes, et de notre génération méritante qui progresse chaque jour de plus en plus sur la voie de la Torah et des Mitsvot, doit selon toutes les attentes nous apporter la délivrance finale de manière dévoilée et immédiate… Après un mois de Adar exceptionnel, plein de joie, de danses et de chants, nous entrons dans une nouvelle dimension pour laquelle nous avons besoin de toute notre attention et de toute notre concen- tration afin de percevoir les miracles et les prodiges qu’Hachem nous a promis tout d’abord parce que c’est le mois de Nissan qui débute, mais surtout parce que c’est la délivrance qui se fait jour de plus en plus. Le Dvar Mal’hout nous parle de ce jour extraordinaire de Roch ‘Hodech Nissan qui tombe Chabbat en nous faisant remar- quer qu’il y a lors de cette occasion, à la synagogue, la sortie de trois Sifré Torah. L’un pour la Paracha Vaykra, le second pour la Parachat Ha’hodech, et le troi- sième pour Roch ‘Hodech. Et ce fait ne se produit qu’une fois en plusieurs années lors de Roch ‘Hodech Nissan et à cette occasion nous sortons trois Sifré Torah, et le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous fait remarquer que nous ne sortons trois Sifré Torah qu’une fois par an, et ce pour la fête de Sim’hat Torah. Ce lien entre ces deux occasions nous montre l’importance de Roch ‘Hodech, jour pendant lequel la lune se renouvelle à l’image d’Israël qui se renouvellera totalement lors de la déli- vrance. Il nous montre l’importance de Chabbat Vayikra pendant lequel nous entamons un nouveau livre de la Torah. Mais surtout, il nous montre l’importance du mois de Nissan pendant lequel le Sanctuaire a été inauguré et D.ieu s’est dévoilé aux yeux de tout le Peuple, lors de Roch ‘Hodech Nissan. Puis a lieu le sacri- fice de tous les princes, chefs des tribus d’Israël jusqu’au 12 Nissan. Puis, le 13 Nissan nous nous préparons à offrir le sacrifice de Pessa’h et enfin le 14 Nissan, dans l’après-midi, a lieu le Korban Pessa’h dans le Temple. Toute cette pro- cédure est détaillée dans certains Siddourim et notamment dans le Siddour de ‘Habad. Et toute l’effervescence qui tourne autour de ce sacrifice et de cette fête qui commence, augmente chez cha- cun le désir de voir le Beit HaMikdach descendre du ciel, s’installer à Jérusalem aux yeux de toutes les nations du monde et le Roi Machia’h orchestrer le service qui doit y prendre place. Dans le discours du 2 Nissan 5748-1988, le Rabbi Roi Machia’h Chlita prend comme base de départ la Hilloula du Rabbi Rachab, cinquième Rabbi de ‘Habad, afin de nous dessiner le rôle d’un Nassi, d’un dirigeant du Peuple Juif. Un Nassi est comme le coeur du peuple. Il insuffle une vitalité dans chacun des membres de cette nation car le coeur (à l’encontre du cerveau qui donne des ordres à chaque organe) répand de la vita- lité dans tous les membres du corps de manière égale. Et donc le Nassi, le roi, qui inspire crainte et respect doit, certes, don- ner de la force à tout le peuple, mais d’un autre côté, celui-ci doit lui donner le pou- voir et la force de régner car il n’y a pas de roi sans peuple. C’est pour cela, qu’il faut que chacun et tous ensemble, nous lui clamions la déclaration de : «Vive le roi!», car c’est grâce à elle qu’il peut régner sur Israël comme tous les rois de la maison de David. Et c’est pour cette raison que le Rabbi Roi Machia’h Chlita doit être accepté en tant que roi sur toute la maison d’Israel par la trois fois sainte déclaration : «Vive le Roi Machia’h !»... Par le mérite de tout le Peuple Juif de tou- tes les générations, par le mérite de notre génération qui est la génération de la Guéoula, nous demandons, nous exigeons d’Hachem, qu’Il accomplisse, qu’Il concrétise Sa promesse et qu’Il dévoile pour nous la délivrance véritable et com- plète et au même moment qu’ait lieu la résurrection et que nous voyons tous les Juifs de toutes les générations. Et nous nous écrierons tous en coeur, comme à l’époque du roi David, dans le bonheur sans mélange et la joie la plus pure : «Vive le Roi Machia’h Now Mamach !»… Mazal Tov Pour la Brit Mila de Eytan Ben Yaël Pour ‘Hanna Sarah Tordjman et Noam Wolf qui sont ‘Hatan-Kalla Le Beit Machia’h de Arnona Talpiot organise un Seder pour célibataires Inscription au 058-4770055

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Spécial Mois de Nissan 5773 - Mois de Guéoula

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Minyane ‘Habad à Bakale Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Danà Baka synagogue «TefilaLeDavid» 058-4770055

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Sortie du recueil des DvarMal’hout en français Pournous aider à la publicationtélephoner au08-6717466 ou054-9204594 - POB 246Kyriat Mala’hieRav Mena’hem Volica

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Editorial

Nissan 5773: Le mois de la GuéoulaLes miracles du mois de Nissan sont déjà là, le mois de la Guéoula entre dans notre vie plein de vitalité nouvelleet plein d’un nouvel espoirpour cette année 5773 qui, gorgée de tous les mérites de toutes les générations précé-dentes, et de notre génération méritante qui progresse chaque jourde plus en plus surla voie de la Torah et desMitsvot, doit selon toutes les attentes nous apporter la délivrance finale de manière dévoilée et immédiate…Après un mois de Adar exceptionnel,plein de joie, de danses et de chants, nousentrons dans une nouvelle dimensionpour laquelle nous avons besoin de toutenotre attention et de toute notre concen-tration afin de percevoir les miracles et lesprodiges qu’Hachem nous a promis toutd’abord parce que c’est le mois de Nissanqui débute, mais surtout parce que c’est ladélivrance qui se fait jour de plus en plus.Le Dvar Mal’hout nous parle de ce jourextraordinaire de Roch ‘Hodech Nissanqui tombe Chabbat en nous faisant remar-quer qu’il y a lors de cette occasion, à lasynagogue, la sortie de trois Sifré Torah.L’un pour la Paracha Vaykra, le secondpour la Parachat Ha’hodech, et le troi-sième pour Roch ‘Hodech. Et ce fait ne seproduit qu’une fois en plusieurs annéeslors de Roch ‘Hodech Nissan et à cetteoccasion nous sortons trois Sifré Torah, etle Rabbi Roi Machia’h Chlita nous faitremarquer que nous ne sortons trois SifréTorah qu’une fois par an, et ce pour la fêtede Sim’hat Torah. Ce lien entre ces deuxoccasions nous montre l’importance deRoch ‘Hodech, jour pendant lequel lalune se renouvelle à l’image d’Israël quise renouvellera totalement lors de la déli-vrance. Il nous montre l’importance deChabbat Vayikra pendant lequel nousentamons un nouveau livre de la Torah.Mais surtout, il nous montre l’importancedu mois de Nissan pendant lequel leSanctuaire a été inauguré et D.ieu s’estdévoilé aux yeux de tout le Peuple, lors deRoch ‘Hodech Nissan. Puis a lieu le sacri-fice de tous les princes, chefs des tribusd’Israël jusqu’au 12 Nissan. Puis, le 13Nissan nous nous préparons à offrir lesacrifice de Pessa’h et enfin le 14 Nissan,dans l’après-midi, a lieu le KorbanPessa’h dans le Temple. Toute cette pro-cédure est détaillée dans certainsSiddourim et notamment dans le Siddourde ‘Habad. Et toute l’effervescence qui

tourne autour de ce sacrifice et de cettefête qui commence, augmente chez cha-cun le désir de voir le Beit HaMikdachdescendre du ciel, s’installer à Jérusalemaux yeux de toutes les nations du mondeet le Roi Machia’h orchestrer le servicequi doit y prendre place. Dans le discours du 2 Nissan 5748-1988,le Rabbi Roi Machia’h Chlita prendcomme base de départ la Hilloula duRabbi Rachab, cinquième Rabbi de‘Habad, afin de nous dessiner le rôle d’unNassi, d’un dirigeant du Peuple Juif. UnNassi est comme le coeur du peuple. Ilinsuffle une vitalité dans chacun desmembres de cette nation car le coeur (àl’encontre du cerveau qui donne desordres à chaque organe) répand de la vita-lité dans tous les membres du corps demanière égale. Et donc le Nassi, le roi, quiinspire crainte et respect doit, certes, don-ner de la force à tout le peuple, mais d’unautre côté, celui-ci doit lui donner le pou-voir et la force de régner car il n’y a pasde roi sans peuple. C’est pour cela, qu’il

faut que chacun et tous ensemble, nouslui clamions la déclaration de : «Vive leroi!», car c’est grâce à elle qu’il peutrégnersur Israël comme tous les rois dela maison de David. Et c’est pour cette raison que le Rabbi RoiMachia’h Chlita doit être accepté en tantque roi sur toute la maison d’Israel par latrois fois sainte déclaration : «Vive le RoiMachia’h !»...Par le mérite de tout le Peuple Juif de tou-tes les générations, par le mérite de notregénération qui est la génération de laGuéoula, nous demandons, nous exigeonsd’Hachem, qu’Il accomplisse, qu’Ilconcrétise Sa promesse et qu’Il dévoilepour nous la délivrance véritable et com-plète et au même moment qu’ait lieu larésurrection et que nous voyons tous lesJuifs de toutes les générations. Et nous nous écrierons tous en cœur,comme à l’époque du roi David, dans lebonheur sans mélange et la joie la pluspure : «Vive le Roi Machia’h NowMamach !»…

Mazal TovPour la Brit Mila de

Eytan Ben YaëlPour ‘Hanna Sarah Tordjman

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Le comportement du Juif dans lemonde par le biais de la premièreMitsva est un comportement sur-naturel, miraculeux, car la Mitsvaest une action qui entre dans lescritères du monde et implique uneélévation car le mot «Nissi »(Elevé) vient de la racine «Ness» (Miracle) et signifie «élévation» au-dessus de notre nature, au-dessus de nos habitudes.Puis, sur le verset «Ce mois-ciest pour vous», nos Sages ontexpliqué que: « Depuisqu’Hachem a choisi Yaacov et sesenfants, Il leur a fixé un RochHodech de Guéoula». Et qu’estce que ce niveau de Guéoula, dedélivrance, nous apporte-il dansnotre service de D.ieu? Grâce àlui, on atteint une élévation totale-ment miraculeuse car de notre tra-vail habituel, on passe à un travaild’un niveau élevé et miraculeux.Et la suite de notre travail sera àl’image du sacrifice de Pessa’h,qui vient du langage de «Pessi’ha», un bond, un saut au-dessus de toute mesure, de toutelimite ; un comportement tout àfait miraculeux.

Se projeter dans le futur« Et Il appela Moché, et D.ieu luiparla depuis la Tente d’assigna-tion (3) », le Likoutei Torah surnotre Paracha explique que cet «Appel » est une influence et unéclairage céleste qui donne àMoché la force de se tenir et des’élever jusqu’au niveau de la«Tente d’assignation» afin depouvoir y accéder. Et cette appli-cation au niveau de chacun (puis-que la Torah est éternelle et que

ces niveaux sont encore présentsaujourd’hui) est qu’il existe uneparcelle de Moché en chaquehomme, le niveau de «Daat »,qui permet l’unification entre leOr Ein Sof (béni soit-Il), laLumière Infinie Divine et l’âmede l’homme ici-bas, afin derecréer ici et maintenant le niveaude « Ohel Moèd», de Tente durendez-vous entre D.ieu etl’homme. Ceci, afin que la divinité réside ets’unisse à l’homme, même si leniveau du dévoilement de D.ieuappartient au futur, mais, sil’homme se concentre d’unemanière particulièrement forte,alors il arrivera à se projeter à ceniveau dès maintenant.

La voie des enfants d’AharonEt c’est ce que l’on peut constaterau sujet de Roch Hodech Nissan(la section que l’on lit quandRoch Hodech Nissan tombe unChabbat). C’est à ce moment-làque se passa le «Vayikra ElMoché, Il appela Moché», lors-que «Un feu sortit de devantl’Eternel… et le peuple prit peur,et il se mit à prier… (4)», la rési-dence, puis l’apparition de laPrésence divine, la Che’hina,après que Moché ait béni lepeuple en disant : «Que laPrésence divine réside dansl’œuvre de vos mains…(5)».A l’exemple des enfantsd’Aharon, Nadav et Avihou, quisont arrivés au niveau du «KlothHaNefech», la fusion totale entrel’âme et D.ieu. Chaque Juif doitdevenir un enfant, un discipled’Aharon, qui aime la paix et la

recherche, qui aime les créatureset les rapproche de la Torah (6).Et c’est ce que nous apporte l’en-seignement des enfants d’Aharon,la fusion totale de l’âme avecD.ieu, mais tout en restant uneâme dans un corps sur terre.

Le mois de Nissan, mois deGuéoula, mois des miraclesEn ce qui concerne «Ce mois-ciest pour vous», il s’agit du RochHodech de la Guéoula, et parmi«les noms de tous les mois sontmonté avec eux de Babylonie(7)», ce mois-ci a été nomméNissan qui comporte deux«Noun» et qui fait allusion aux«Nisseï Nissim, miracles desMiracles» et qui relève de la chutede l’exil vers l’élévation suprêmede la Délivrance, les«miraclesdes miracles» de la Guéoula.Et cette section s’achève par«Dans toutes vos demeures, vousmangerez des Matsot (8)» s’an-nule alors toute réalité de Hamets(levain) qui représente le mauvaispenchant jusqu’à que dans «vosdemeures», ne restent que desMatsot, comme il est écrit «Et

J’ôterai l’esprit d’impureté de laterre (9)».Et «Ils apporteront une Kapara(contrepartie) pour Moi parce queJ’ai diminué la lune(10)»jusqu’à en atteindre le niveau de«Transformer ses fautes inten-tionnelles en mérites(11)» et laréparation pour s’accomplir «Etla lumière de la lune sera équiva-lente à celle du soleil(12)».

Se diriger vers Pessa’hL’on se doit de réviser les lois dePessa’h, trente jours avant la fête,et étudier toutes ces lois pendantles deux Chabbat qui précèdent lafête. Et s’éveiller aux dons pour lafête, « Maot ‘Hittin », afin depermettre aux nécessiteux de pas-ser de bonnes fêtes, et ceci doitêtre accompli de la manière laplus miraculeuse, en sortant desa nature et de son habitude.C’est de cela dont on parle lors-que nous mentionnons un com-portement miraculeux.Et l’on doit se poser la question:« Est-ce que ceci est digne demoi ? » jusqu’à faire un compteavec soi-même, doit-on se limiterau Maasser, la dîme, ou alors,doit-on donner le ‘Homech, le un-cinquième?Lorsque l’on rajoutera à son habi-tude, de même, D.ieu rajoutera desa bénédiction jusqu’à nous enri-chir de la manière la plus large.L’on peut donc, dès à présentrajouter au Masser, au ‘Homechjusqu’à dépasser toutes les limites(13)… Et grâce à la Tseddaka,«Son cerveau et son cœur serontpurifiés mille fois plus (14)».

L’exemple de Na’hchonA partir de Roch Hodech Nissan,nous lisons le sacrifice des prin-ces d’Israël. Le premier sacrifice,lors de Roch Hodech Nissan est

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Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hemMendel Israël Ben Gabriel, Noa Bat Menou’ha Ra’hel et Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel pour la famille Liraz Touval, pour Gary ChlomoBen Tserouya et David Ben Tserouya Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine Réfoua immédiate Leilouï Nichmat de ‘HaïmYeochoua Ben Choulamite, Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et RachelPessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham, Yossef Abitbol Ben Clara, ‘Hanna Bat Ra’hel, Ruth Sarah Isska Bat Gabi et Sarah Bat ‘Haya Dona

L’Edit Royal - Dvar Mal’houtRésumé du discours de

Chabbat Parachat Vayikra - Roch ‘Hodech Nissan 5751-1991du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita

Un comportement tout à fait miraculeux

Essayons de comprendre la finesse de la parole de nos Sages lorsqu’ils affirment : « Ce mois-ci estpour vous (la Mitsva de Roch Hodech, la néoménie – 1), c’est la première Mitsva ordonnée à Israël»,une Mitsva et non une Torah (2). Il y a une différence essentielle entre la« Mitsva » et la « Torah ».La Torah est au-dessus du monde, alors que la Mitsva indique le comportement à adopterà l’intérieurdu monde afin d’attacher(Mitsva vient du mot Tsavta, l’union) l’homme et le monde à D.ieu.

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w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mcelui de Na’hchon BenAminadav, prince de la tribu deYehuda. Or, n’est pas mentionnéedans cette section l’expression«Prince des fils de Yehuda», mais«Na’hchon Ben Aminadav, de latribu de Yehuda(15)». Pourquoi? Parce que la principale qualité deNa’hchon n’était pas celle d’êtreun prince mais celle d’être celuiqui donne sa vie pour le PeupleJuif (lorsqu’on se souvient qu’ils’est jeté dans la mer pour donnerl’exemple à tous qu’il fallait avoirfoi en les paroles de Moché –Ndt). C’est ce que l’on appelle:« De tous tes moyens», au-des-sus de toute limite, de toutemesure, c’est cela, le «compor-tement miraculeux» et c’est ce

que l’on attend de chaque Juif, desuivre l’exemple de «Na’hchonBen Aminadav», Nadav signifie« généreux» .

La valeur de La Tseddaka«Grande est la Tseddaka qui rap-proche la Guéoula, la délivrance(16)», car elle a la propriété d’an-nuler tous les sujets indésirables,comme celle d’annuler l’exil, laGalout, jusqu’à la transformer enGuéoula. Et que soit «La Volonté», que labonne décision prise par chacunce Chabbat, de rajouter en tout cequi concerne le travail, et plus par-ticulièrement, en ce qui concernela fête de Pessa’h, de réviser leslois de Pessa’h, de donner les

besoins de la fête à tous les néces-siteux en adoptant un comporte-ment surnaturel, miraculeux. Toutceci va activer, va dépêcher lecomportement surnaturel et mira-culeux de D.ieu Lui-même, qui vadonner la récompense et le salairede tout cela, à commencer par lemiracle de la Guéoula, la déli-vrance véritable et complète quinous permettra d’accomplir de lamanière la plus parfaite, toutes leslois de Pessa’h. A commencer parle sacrifice de Pessa’h que nousferons le 14 Nissan et que nousconsommerons la veille du 15Nissan, pendant la nuit, demanière accoudée. Tous serontaccoudés à la table de leur Père, leRoi, Roi des rois, le Saint béni

soit-Il dans la capitale, Jérusalem,ville Sainte, dans le palais du Roi,le troisième Temple.

Et ainsi, le 14 Nissan, nous seronstous, tous les enfants d’Israël detoutes les générations, dans le troi-sième Temple, heureux et joyeuxde consommer les sacrifices, lesPessa’him, et «Nous Te remer-cierons par un chant nouveau, deTa délivrance, parce que Tu asdélivré nos âmes, béni sois-TuHachem, qui nous a sauvé (17)».

Notes1/ Bo 12.2 - 2/ Rachi sur le premier verset deBérechit - 3/ Vayikra 1.1 - 4/ Chemini 9.24 - 5/Rachi - 6/ Avoth 1-12 - 7/ Yerouchalmi RochHachana - 8/ Bo 12.20 - 9/ Zacharie 13.2 - 10/Houline 60.2 - 11/ Yoma 86.2 - 12/ Isaïe 30.26 -13/ Tanya, Iguereth HaTechouva Ch.3 - 14/Torah Or - 15/ Nasso 7.12 - 16/ Baba Batra 10a- 17/ Haggada de Pessa’h (dans Pessa’him)

Humour

Pessa’h : Y a t-il bien une délivrance après cet esclavage ?!Ca y est, l’heure approche, nous voguons littéralement vers le temps de notre Delivrance…mais sans vraiment savoirpourquoi, la plu-part des femmes que l’on rencontre en cette période, partagent cette impression pourtant très contradictoire, que plus le temps se rétré-cit, reliant Pourim (et ses gâteaux, ses bonbons collants, etc.) à Pessa’h, plus elles ont la conviction qu’on les emmène en esclavage…

Que se passe-t-il? N’est-ce pas ici la période la plusemplie de promesses, d’horizons nouveaux, de la merqui s’ouvre en deux? Non, pas du tout! C’est lemoment de transformer nos enfants en citrouilles desqu’ils commettent l’irréparable erreur d’entrer dansleur chambre les mains pleines de ‘crakers’, c’estcelui ou nous nous transformons nous, mais là c’estbien réel, en guerrières du ménage, en soldates de lapropreté, bref, c’est le genre de moment ou noussommes follement aimées par notre entourage.Chaque soir, le mari passe sa tête discrètement dansl’entrebâillement de la porte avant d’entrer, il vou-drait bien se faufiler l’air de rien dans sa chambredirectement, l’estomac qui gargouille, et la peur auventre, mais déjà il se fait attraper… «Attention !!!enlèeeves tes chaussures, y a des miettes, et le man-teau ! ». Charmantes scènes….Les enfants, ces merveilleux présents de l’existence,ces espoirs de la vie, deviennent soit apathiques, soitspécialement agités, selon le degré de paranoïa anti-Hamets de la maison…Tout cela est magnifique!Sans vouloir absolument tomber dans toutes sortes dedescriptions absolument vécues, il faut tout de mêmesavoir que se divisent ici toutes sortes de catégoriesde femmes, et c’est la que l’on constate que chaqueêtre humain porte en lui des forces bien diverses.Les categories de femmes sont les suivantes, on lesdistingue bien précisément durant cette période pré-Seder.Il y a les super rigoureuses, option ultra rapides, quiont déjà commencé à nettoyer trois pièces deuxsemaines avant Pourim et qui ont fait rentrer Pessahhuit jours avant la fête (elles sont fortes…nous pou-vons aisément les imaginer, sortant d’Egypte, déjàprêtes avant tout le monde, disant a Myriam la pro-phétesse «alors, on y va oui ?»).Il y a les angoissées : elles bougent pas, elles avancentpas, mais disent «c’est trop dur, comment j’vaism’en sortir ?!» Elles vont s’en sortir, ne vous inquié-tez pas.Il y a les sûres d’elles: le ménage? Aucun problème,

on peut le faire trois jours avant la fête, tchic tchac,Pessah c’est pas la poussière, c’est juste les miettes…(il faudra informer le reste des femmes juives, quimettent tout dans le même sac, lepain, les miettes, lapoussière du plafond, tout…)Il y a une catégorie à part : les très zeeeen… ce sontcelles qui partent à l’hôtel, ou bien chez leur mère, oubien elles ont commandé trois femmes de ménage leschanceuses ; et tous les enfants participent et le mariaussi (c’est ça le miracle véritable non?)Et puis, toutes affairées que l’on est dans cette agita-tion, nous rencontrons chacune une amie au super-marché, qui nous demande, les yeux hagards et légè-rement tremblante: «Alors….? » « Alors quoi ?»« Ben...alors, ou tu en es, toi?». La question est iné-vitable, et la réponse décisive. Lorsqu’on vous lapose, vous préférez répondre subitement a votre télé-phone portable (que vous bénissez de sonner juste àce moment). Mais Pessah ce n’est pas uniquement leménage, ce sont toutes les dépenses frénétiques quil’entourent et qui sont dignes d’être narrées.A peine sortis de Pourim et sesconcours deMichloa’h Manot, (à qui mieux-mieux) que l’onpense à refaire toute la garde robe des enfants, de lamère (incontournable), des tissus, des nappes, et bienentendu, la nourriture… à chacune selon la coutumede la maisonnée, c’est chez chaque famille la foliedes grandeurs. Vingt kilos de pommes de terres,

trente kilos de bananes, dix paquets de viandes dechaque numéro, tous les poissons fraichement sortisde la mer, vingt briques de lait, trente plaquettesd’œufs, nous jetons aussi, pétries d’espoir, un petitregard en coin vers le nouveau robot Kenwood, quivrombit à l’idée de se retrouver dans notre cuisineextraterrestre (la faute à cet aluminium…). Cette fois-ci, et pour la première fois depuis le début des prépa-ratifs, vous jetez un regard doux à votre époux….Comme on dit bien souvent, D.ieu est Grand ! Et deSa main pleine et large, Il nous bénira en tout ce quenous entreprendrons. Et nous entreprenons à outrance! Entre nous, si les enfants d’Israël avaient pris toutcela avec eux, dans le désert, on se serait bien vite faitrattraper par Pharaon et ses troupes ! Enfin… Tout ceque nous achetons (le robot Kenwood donc) etemportons dans nos maisons nous ravit le cœur, nousréjouit l’esprit, c’est cela l’essentiel…!Enfin arrivées au Séder, nous regrettons de ne pasavoir pris soin d’écouter les conseils de nos Sages(car bien sur, tout ce ménage enragé et ces coursesincessantes n’auraient pas values grand chose si nousne les avions pas agrémentées de cours de Torah surles lois Pessah, histoire de se reposer le corps etl’âme…) et de suivre leur sagesse, nous préconisantde savoir aller a l’essentiel, d’être positives (!) etreposées (!?), calmes et heureuses (!!!), et d’envisa-ger la fête de la seule manière qu’elle doit être…familiale et libératrice, génératrice de modestie inté-rieure et d’espoirs messianiques… Au lieu de cela,vous vous pincez les lèvres pour ne pas pleurer defatigue et de nerfs et tenir jusqu’à la dernière coupe,mais au fond de vous, vous vous dites, en voyanttoute la famille réunie, et cette table remplie de miet-tes (de Matsot, pas de panique !) et de merveilleuxmets, que tout cela valait vraiment la peine. Et main-tenant, sortons d’Egypte ! C’est grâce au mérite desfemmes vertueuses tout cela et rien que par cette idée,vous vous sentez parées de tous les plus beaux bijoux,qu’ils soient matériels ou bien hautement spirituels…Pessa’h Cacher etSamea’h! ‘Hanna Halimi

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Il avait un programme chargé ce jour-là et allait mettre son téléphone sursilencieux pour ne répondre qu’après laprière, mais celui-ci sonna encore, tou-jours le même numéro inconnu. Ildécida de répondre: le jeune homme,à l’autre bout du fil, semblait déses-péré. Il avait obtenu le numéro de RavNir d’un ami et il attendait devant laporte, encore close, du Beth ‘Habad,l’arrivée du Rav. Celui-ci pressa le paset arriva quelques instants plus tardpour trouver un jeune homme presqueen pleurs. Il se présenta, invita le visi-teur à entrer à l’intérieur et l’écouta:ce jeune homme s’était marié quelquessemaines plus tôt et maintenant sonépouse devait subir une grave opéra-tion. Elle s’était plainte de maux degorge mais les médecins avaient diag-nostiqué… une tumeur maligne! Ilsavaient accepté de repousser l’opéra-tion pour un mois après le mariagemais le délai était maintenant expiré.Attendre plus longtemps pourrait êtrefatal. L’opération était prévue pour lelundi suivant.Que fait un Juif quand il entend unehistoire aussi poignante? Rav Niroffrit ses vœux de bon rétablissement,reprit le numéro de téléphone du jeunehomme, lui prodigua conseils, récon-fort et encouragement, l’assura qu’ilprierait pour lui et enverrait un fax chezle Rabbi, à New York. Mais il avait lecœur lourd… «Oui, certainements’écria-t-il à ce moment. Le Rabbi vavous aider! »Rav Nir pria avec encore davantage deconcentration, puis entreprit sa «tour-née » habituelle. Tout autour du Beth‘Habad, se trouvaient une cinquantainede magasins dans lesquels il entraitchaque matin pour demander si onn’avait pas besoin de lui pour un quel-conque sujet religieux. Mais ce matin-là, il remarqua qu’un nouveau magasinavait ouvert. Il entra, se présenta aupropriétaire, une dame d’une cinquan-taine d’années et demanda s’il pouvaitlui être utile.La femme sourit et affirma qu’elle étaitheureuse de faire la connaissance del’émissaire du Rabbi, de plus le jour del’ouverture. Et elle raconta qu’elleavait connu le Rabbi à New York vingtans plus tôt. A l’époque, elle étaitencore célibataire.Elle avait trente ans et ne parvenait pasà trouver celui qu’il fallait. «Parhasard», elle rencontra alors un‘Hassid de Loubavitch qui lui suggérade se présenter le dimanche matin au770 Eastern Parkway: là le Rabbi dis-tribuait à chacun un dollar à remettre àla Tsedaka (charité) et nombreux

étaient ceux qui profitaient de l’occa-sion pour demander conseils et béné-dictions.Le dimanche suivant, elle se renditdonc à Brooklyn, dans le quartier deCrown Heights et fit la queue pendantplusieurs heures. Mais à sa grande sur-prise, quand elle arriva devant le Rabbiet lui demanda sa bénédiction afin detrouver enfin un mari, le Rabbi lui ten-dit un dollar en lui recommandant de ledonner à quelqu’un qui en aurait besoinet il la bénit en lui souhaitant… unprompt rétablissement et une bonnesanté!Interloquée, elle n’eut pas le temps deprotester qu’on la poussait déjà vers lasortie. Elle était persuadée que le Rabbin’avait pas entendu sa requête: tout cequ’elle demandait, c’était un mari!Alors elle décida de retourner ledimanche suivant: cette fois-ci, elleparla d’une voix très forte mais, à sagrande surprise, le Rabbi lui recom-manda à nouveau de donner le dollar àcelui qui en aurait besoin et lui souhaitaun prompt rétablissement!Un mois plus tard, elle comprit la rai-son de cette étrange bénédiction. Ellese réveilla un matin avec une douleurau cou. Après plusieurs mois de dou-leurs de plus en plus pénibles, elle serendit chez le médecin qui effectuaanalyses et prélèvements pour établir lediagnostic tant redouté: une tumeurmaligne qui devait être retirée.Quand elle entra dans le bloc opéra-toire quelques jours plus tard, elle pritavec elle le dollar du Rabbi, son seulespoir. Mais apparemment, cela ne luifut d’aucune aide! Son cœur cessa de

battre en plein milieu de l’opération et,bien que les médecins réussirent à lefaire repartir, ils durent arrêter l’opéra-tion en toute hâte et recoudre la plaiealors qu’ils n’avaient enlevé que lamoitié de la tumeur. Ils demandèrentmême à sa famille de ne pas lui racon-ter la vérité afin que ses «dernièressemaines» se passent dans uneambiance positive. Mais miraculeuse-ment, quand elle retourna à l’hôpitalpour vérifier les résultats de l’opéra-tion, la tumeur maligne était devenuebénine. La patiente s’était complète-ment et rapidement rétablie, conformé-ment à la bénédiction du Rabbi RoiMachia’h Chlita.De plus, elle rencontra celui qui devintson mari peu de temps après.« C’est une histoire exemplaire, s’ex-tasia Rav Nir. Mais, au fait, possédez-vous encore le dollar que le Rabbi vousavait remis ?»Oui, elle l’avait encore. Rav Nir luiexpliqua alors que, le matin même, unjeune homme était venu le voir pour sajeune épouse diagnostiquée justementavec le même problème.Ravie de pouvoir enfin accomplir lamission que le Rabbi Roi Machia’hChlita lui avait confiée tant d’annéesauparavant, la dame demanda à RavNir de garder le magasin pendantqu’elle se rendrait chez elle pour luiapporter le précieux dollar.Effectivement, une demi-heure plustard, Rav Nir pouvait déjà téléphonerau jeune homme qui se précipita pourvenir chercher le dollar qu’il promit derendre dès que possible.La jeune mariée prit avec elle le dollardurant l’opération, qui réussit mais, deplus, quand on examina la tumeur pré-levée, celle-ci s’avéra mystérieusementinoffensive…La guérison de la jeune femme fut célé-brée avec faste par un grand Kiddouchdans le Beth ‘Habad du quartier deFlorentine à Tel Aviv.

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o m

Allumage desBougies

Chabbat Parachat Vayikra

Jérusalem Entrée : 17h11Sortie : 18h24

Récit

Le dollar avait été donné vingt ans à l’avance

Quand le Rav Nir Gavriel, Chalia’h, r eprésentant du Rabbi Roi Machia’h Chlita, dans le quar-tier Florentine de Tel-Aviv, se dirigea vers sa synagogue ce jeudi-là, il remarqua surson téléphoneportable qu’il avait r eçu plusieurs appels en absence, provenant du même numéro inconnu.

Guéoula

Vive le Roi !

On trouve deux idées opposéesdans le rapport entre le peuple et leroi. D’une part le Roi doit êtreséparé du peuple, qui est tenu de lecraindre. Mais d’autre part, unegrande proximité existe entre eux,à l’image du cœur qui irrigue tousles membres du corps. Bien plus,l’existence du Roi dépend du peu-ple, car, disent nos sages «il n’y apas de roi sans peuple». (Il est clairqu’un home ne peut régner sur safamille). Lors de son couronne-ment, le peuple crie «Vive leRoi!» et lui apporte ainsi la vie.

C’est en l’occurrence soixante huitans, «Haïm, du règne du Rabbi etle peuple peut alors ajouter de lavie au Roi. En criant «vive leroi», celui-ci signifie qu’est déjàvenue le moment de réaliserlapromesse selon laquelle «ils seréveilleront et se réjouiront ceuxqui gisent sous terre», en parti -culier le Rabbi précédent etDavid le roi Machia’h. C’est pourcela qu’il faut crier «Ad Mataï» etrapprocher effectivement la déli-vrance, de sorte que l’on puissedésigner du doigt le Machia’h quirassemblera les exilés. C’est encriant «vive le roi» que l’on feravenir le Machia’h.Machia’h est lié à chaque Juif etchacun peut donc crier«vive leroi», possède en lui une parcelledu Machia’h, de la Ye’hida géné-rale de tout Israël. Il est doncencore plus clair qu’ «il n’est pasde roi sans peuple» s’appliqueégalement au Machia’h. ChaqueJuif doit, pour l’obtenir , dévoilerla Ye’hida qu’il por te en lui.(Extrait du discours du 2 Nissan 5748-1988)

Le Rav Nir Gavriel prend la parole lors d’un rassemblement