N° 36 - Décembre 2010
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es biens chers amis, ce n’est pas un hasard si ce dimanche de Gaudete, ce
dimanche en rose, signe de la joie anticipée de la Nativité, se passe au désert. Aujourd’hui la liturgie de l’Avent entrevoit les mystères qui viennent. Elle nous conduit cependant au désert car la Ré-demption opérée par Jésus re-prend les choses où l’homme les a laissées. Le désert, c’est le monde sans le jardin. L’homme a été créé par Dieu le sixième jour, il a été conduit par Lui dans un jardin merveilleux. Ce jardin premier où Dieu prenait le frais à la brise du soir, c’est le jardin de la grâce, le jardin de l’âme où le Père aime à se promener. Mais, depuis la catastrophe de leur désobéissance, Adam et Eve ont été chassés à jamais du jardin et la terre a été changée en désert. Mais, comme tout paysage déser-tifié, elle porte la trace de ce qui lui manque. Dans l’Ecriture sainte le désert apparaît d’abord comme un lieu stratégique, tour à tour lieu de solitude, lieu de la présence de Dieu, discrète ou bien majestueu-se, lieu de combat mais aussi de conversion. Saint Jean-Baptiste est dans le désert, il proclame un baptême de repentir pour la ré-mission des péchés, il est le plus grand des prophètes, il est aussi le dernier. Il réoccupe le désert et il annonce la bénédiction qui vient. Il baptise dans l’eau, son baptême irrigue le champ de caillasses de l’humanité déshydratée. Il est vêtu d’une peau de chameau car, après le premier péché, Adam et Eve se couvrent de feuilles de figuier puis Dieu lui-même leur
« Voici l’agneau de Dieu. » Voilà le désert irrigué, notre conversion finalisée et notre intelli-gence instruite par le fin mot de l’histoire : le Verbe qui parle au cœur. Le Verbe qui plante sa tente parmi nous, comme dit Saint Jean. Il va le faire, il va planter sa tente parmi nous. Serons-nous là, à Noël, pour le rece-voir, pour lui porter un peu sa tente ou bien serons-nous en vacances spirituelles ? Il y a en effet une conversion de l’intelligence, une soif de la vérité, laquelle n’est étanchée que par l’eau de la Vie. Il y a aussi une sainteté de l’intelli-gence, laquelle n’est l’œuvre que du Verbe de Dieu venant illuminer notre esprit, venant littéralement naître comme un bébé dans la paille de notre cœur. Nous penserons aussi à notre très cher Père Perrero qui fêtait Noël parmi nous l’année dernière. Le mystère de Noël est le mystère préféré de Saint François de Sales. Nous avons la religion de l’incarnation, pendant le temps de vacances scolaires, prenons le temps de nous reposer et de passer du temps en famille. La Crèche, c’est aussi cela : intimité, joie simple, charité rayonnante. Je vous souhaite à tous une sainte année liturgique. Je me permet de vous recommander une neuvaine pour la France afin que cette fête de la nativité soit aussi pour elle une renaissance spirituelle. Saint Noël à tous et que Dieu vous bénisse.
Chanoine Gwenaël Cristofoli
de l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, votre chapelain
ÉDITORIAL Par M. le chanoine G. Cristofoli
SEPTIÈME ANNÉE - N° 36 Décembre 2010
Lettre d’information de la chapellenie Saint François de Sales de Rennes
M
MESSES A
10H30 et 18H30 les Dimanches et jours de Fête.
19H le premier Vendredi du mois, adoration de 20H à
minuit.
Éditorial, par M. le chanoine G. Cristofoli. page 1
Les Vierges couronnées de Rennes - 2/2 - Notre Dame de Bonne Nouvelle page 2
« Te ígitur, clemen-tísime Pater » page 3
Le livre du mois : « Pour l’humour de Dieu »
page 4 Et aussi : Ordo liturgique, agenda... renseignements...
« Préparez le chemin du Seigneur,
rendez droit ses sentiers »
Le Carillon de Saint François
Directeur de publication : Chanoine Gwenaël Cristofoli
www.saintfrancois.over-blog.fr [email protected]
fait des pagnes de fortune pour revêtir la première misère de leur amour déchu. Saint Jean Baptiste mange des sauterelles, plaies d’Egypte, et du miel signe de l’abondance de la terre promise. Par toute sa vie, il est à la jointure entre l’ancien monde, le monde perdu, et le nou-veau monde, le monde sauvé. Durant l’Avent, l’âme chrétienne entre dans le désert car devant Dieu on est seul, toujours seul. Et devant Dieu on est sans mas-que. Mais ce dépouillement est néces-saire, car le Seigneur, qui n’a ja-mais cessé de nous traiter comme des princes, veut nous voir nu devant Lui pour nous revêtir de vêtements princiers. « Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers. » Tous s’en vont vers Jean : ils sont venus de partout et ne sont pas au désert pour se faire bronzer mais pour se faire laver. Et, si l’eau du baptême est le signe de cette conversion, la réalité, c’est un cœur humilié et broyé. Aujourd’hui, repentir, pénitence, conversion on n’en parle plus guè-re. Chacun se fait sa religion à la carte. Il s’agit pourtant d’être sauvé, d’être tiré d’affaire et cela par un autre que soi, le Christ, lequel a ses exigences. Quand on reçoit quelqu’un chez soit, on se prépare. Le repentir, c’est le premier coup de ménage. Faire le ménage est un chose, fleurir la maison en est une autre. En vie chrétienne, se préparer est encore œuvre humaine. Mais lais-ser le Seigneur faire le travail est une œuvre divine. C’est cela qui est nouveau, d’une nouveauté que même Saint Jean-Baptiste ne saurait réaliser. Il sait que ce qu’il annonce n’est pas le dernier mot. Seul a le dernier mot Celui qui a eu le premier mot : le Verbe de Dieu.
page 4
- Le Carillon de Saint François n°36 - Décembre 2010 -
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1er et 2 novembre : Nous recevons pour la Toussaint et la commémoraison des fidè-
les défunts M. l’abbé Herman, chapelain
du sanctuaire de Bauraing (Belgique). M.
l‘abbé nous conforte par sa parole
tonique et la beauté de la liturgie.
Mercredi 3 novembre : Notre chapelain est de retour de Terre Sainte. Il ne man-
quera pas de nous inviter pour une
séance diapos.
Jeudi 11 novembre : A la messe du soir, se pressent quelques uniformes aux décora-
tions chatoyantes. Le deuxième ordre du
royaume est bien représenté.
Dimanche 14 novembre : Nous avons la joie de recevoir M. le chanoine Direz, qui
est habituellement le desservant de nos
apostolats dans le diocèse de Coutances.
M. le chanoine est un des membres de la
première heure de l’ICRSP. Il en est
même un des premiers prêtres ordonnés
pour l’Institut.
Du 15 au 17 novembre : Notre chapelain fait une visite éclair au séminaire de
Gricigliano pour les directions spirituel-
les, ce qui lui donne la joie de servir à
l’autel de T.R.P. abbé du Barroux, Dom
Louis Marie, venu commémorer le dixiè-
me anniversaire de la première visite de
don Gérard à Gricigliano. Dans un
sermon plein d’humour, le Père Abbé
nous rappelle que dans cette fondation
difficile les séminaristes dormaient à la
dure et que don Gérard nous fit la charité
d’offrir literie et matelas.
Samedi 20 novembre : Une équipe de jeunes passe la journée à la chapelle.
Objectif : rafraichir et embellir la chapel-
le de Notre Dame du Bel Amour. A midi,
une pause Pique Nique s’improvise : des
trésors sortent des paniers. Des moments
de saine amitié autour du saucisson et
des rillettes : Catholique et Français
toujours !
Mardi 23 novembre : Au presbytère rue Saint Louis, un dîner pour les nouveaux
arrivants. Nous avons cette année de
nombreuses et sympathiques nouvelles
familles.
Vendredi 26 novembre : Œuvre Saint
François : dans la rue, café à la main,
nous partons la rencontre de Jésus
Christ à travers nos frères pauvres.
Samedi 27 novembre : Veillée pour la vie à la cathédrale. Un prêtre du diocèse qui
connaît bien tout le monde regarde
l’assemblée et s’exclame : « il y a Saint
Germain et Saint François ! »
La petite chronique... � HISTOIREHISTOIREHISTOIREHISTOIRE �
Les Vierges couronnées de Rennes Seconde partie : Notre Dame de Bonne Nouvelle
Moins connue que sa sœur des Miracles et des Vertus de la basi-lique Saint Sauveur, Notre Dame de Bonne Nouvelle est vénérée à l’église Saint Aubin, située au beau milieu de la célèbre place Sainte Anne à Rennes. Bien que cette église néo gothique, restée inachevée, ne datât que de la fin du XIXème siècle, l’icône qu’elle abrite remonte au XVème siècle.
C’est au milieu du XVème siècle,
donc que l’on retrouve la premiè-
re recension de cette icône,
conservée alors dans une
chapelle du couvent des Jacobins
(Dominicains) situé à l’angle de
la Place Sainte Anne et de la rue
de Saint Malo (futur centre des
congrès). Vénérée avec une
grande dévotion par les foules de
pèlerins, elle accomplit son pre-
mier miracle notoire au XVIIè-
me siècle. Le 12 octobre 1632,
alors que la ville était frappée
depuis de nombreuses semaines
par une épidémie de peste, un
membre notable du clergé suggè-
re l’idée d’un vœu à Notre Dame
de Bonne Nouvelle, pour obtenir
la fin de l’épidémie. Ce souhait
ayant été exhaussé, un ex voto
constitué d’une maquette de la
ville en argent massif sera offert
à la Madone protectrice des Ren-
nais. Mgr Cornullier, évêque de
Rennes, annonça en 1634 qe la
fête du vœu serait célébrée le 8
septembre de chaque année, jour
de la nativité de Notre Dame.
Pendant les troubles de la révo-
lution, les dominicains sont
chassés et le couvent est réqui-
sitionné par l’armée (qui en
restera propriétaire jusqu’aux
années 1980 avant que la ville
ne s’en porte acquéreur). Heu-
reusement, un jardinier du nom
de Garel, cachera le tableau
marial jusqu’en 1803 où il le
restituera au nouveau curé de
la paroisse Saint Aubin. L’ex
voto de 1632 n’aura pas cette
chance. Saisit par les révolu-
tionnaires , puis vendu, il finira
fondu en 1794. Au début du
XIXème siècle, le tableau est
alors conservé dans l’ancienne
église Saint Aubin. En 1849,
une épidémie de choléra frappa
la ville et un nouveau vœu fut
reconstitué. Réalisé en métal
argenté par l’orfèvre de Napo-
léon III, il représentait les prin-
cipaux monuments de la ville.
En 1871, c’est de nouveau vers
elle que se tournent les habi-
tants de Rennes lorsque la Bre-
Icône de Notre Dame de Bonne
Nouvelle. Bois peint. XVème siècle.
tagne est menacée par l’avan-
cée des troupes prussiennes. A
l’initiative de Mgr Brossais
Saint Marc, les rennais vien-
nent offrir des cierges à Notre
Dame de Bonne Nouvelle. Une
prière qui sera une fois de plus
exaucée. Située plus à l’Ouest
de la place Sainte Anne, la
vieille église Saint Aubin se
révéla rapidement vétuste et
trop petite pour à la fois
répondre aux besoins de la
paroisse et accueillir les pèlerins
qui continuaient à affluer. La
municipalité décide donc la
construction d’une nouvelle
église quelques mètres plus
loin. Les travaux de cette der-
nière, commencés en 1884
furent stoppés net par la sépa-
ration de l’Eglise et de l’Etat.
On construisit une façade
provisoire (toujours en place)
afin de pouvoir utiliser l’église
qui fut livrée au culte en 1904.
Quatre ans plus tard, Saint Pie
X accorda le couronnement des
deux madones rennaises. Cette
madone était notamment chère
au Bienheureux Marcel Callo
(1921-1945) enfant de la
paroisse.
G.M. Bibliographie : . Notice sur le sanctuaire de Bonne
Nouvelle à Rennes - Paul Philouze,
Ed. Marie Simon, Rennes, 1896 . La Semaine Religieuse du Diocèse
de Rennes, n°27, du 28 mars 1908
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- Le Carillon de Saint François n°36 - Décembre 2010 -
« Te ígitur, clementísime Pater »
� ENTRETIENENTRETIENENTRETIENENTRETIEN �
Monsieur le chanoine Antoine Landais, prêtre de l’Institut du Christ Roi Souverain prêtre , vicaire à la cathédrale de Laval, poursuit sa série d’entretiens avec le Carillon de Saint François sur la symbolique, l’histoire et la pratique de certains rites de la messe.
Monsieur le chanoine, nous voici maintenant au cœur du mystère : le mois dernier, nous avons étudié avec vous la Préface et le Sanc-tus, j’imagine que vous allez nous parler du Canon de la messe ? C’est une matière dense et je pense qu’elle nous occupera pendant quelques Carillons. Dans le Motu Proprio Summorum Pontificum, le Saint Père a insisté pour que les fidèles soient formés à la significa-tion des mystères divins. Mais le Canon n’est pas un catéchisme en tant que tel ? Non. Ne vous attendez pas dans le Canon à avoir une définition ou une explication de la Messe, de la transsubstanciation, de la présen-ce réelle, mais vous y trouverez comme dans l’ensemble de la mes-se des gestes, des paroles, qui constituent un tout, exprimant à la fois notre adoration et notre foi. Pour nous, fidèles, ce qui marque dans le Canon, ce sont les cloches du Sanctus et le silence qui se fait dans toute la chapelle, les fidèles qui s’agenouillent. On voit aussi l’arrivée des céroféraires ou bien à la messe basse, un cierge posé sur l’autel par le servant.
Ce sont là quelques uns des signes
extérieurs les plus marquants,
mais nous en verrons beaucoup
d’autres qui nous lient au culte de
l’ancien testament, dont le sacrifi-
ce rédempteur du Christ est un
accomplissement. On a parfois
entendu des attaques contre la
Forme Extraordinaire du Rite
Romain en taxant ce missel d’an-
tisémitisme. Ce genre d’affirma-
tions démontre plutôt l’ignorance
liturgique de leurs auteurs. Et
nous verrons ensemble combien de
gestes et de prières sont directe-
ment tirées de la liturgie du
temple.
Tout d’abord, pouvez vous nous dire quelle est l’origine du mot Canon ?
Volontiers, faisons un peu
d’étymologie. Le mot Canon
signifie règle. En effet, à l’origine,
ce terme désignait un bâton droit
ou un petit roseau qui servait à
mesurer ou à tracer. Ce terme a
pris par la suite un sens figuré et a
pu désigner la loi, la règle ou un
règlement.
Dans le langage ecclésiastique, le mot Canon a plusieurs sens, je pense par exemple au droit canon.
Remarque perspicace ! Le mot
Canonicus (qui a d’ailleurs donné
chanoine, c'est-à-dire prêtres
vivant ensemble avec une règle
commune) peut désigner à la fois
le Canon des écritures (collection
authentique des écritures inspi-
rées) le droit canon, qui est l’en-
semble des lois ecclésiastiques, les
définitions des conciles dogmati-
ques, qui portent le nom de
Canon, mais aussi le Canon des
saints, d’où l’expression canoniser
et enfin… cela n’est pas directe-
ment ecclésiastique, mais dérivé
de la même origine, l’instrument
de guerre qui est la raison dernière
des souverains et qui sert à régler
définitivement le droit des
nations… !
Quand commence et s’achève le Canon romain ?
On l’applique à toute la partie de
l’ordinaire qui suit le Sanctus,
jusqu’à l’Amen qui précède le
Pater.
Depuis quand désigne-t-on cette partie sous le nom de Canon ?
Pas avant le IXème siècle. Saint
Augustin, Saint Cyprien appellent
cette partie de la messe la Prière.
Saint Léon l’appelle l’Action. En
raison du silence qui entoure cette
prière, le Canon a parfois été
appelé Secrète.
Le Canon a-t-il connu des évolutions ?
Oui, mais nous le trouvons dans
sa forme définitive dans des
documents remontant au moins
au VIIème siècle. La partie
centrale (quam oblationem jus-
qu’au memento des morts) est
attestée depuis le IVème siècle.
L’ensemble est donc de tradition
apostolique. Le bienheureux Jean
XXIII y a fait ajouter en 1962 le
nom de Saint Joseph dans le
Communicantes. En 1969, une
équipe de professeurs et d’obser-
vateurs ont proposé pour la Forme
Ordinaire un choix de différents
Canons qu’on appelle aujourd’hui
communément prière eucharisti-
que. Le vénérable Canon romain
est donc devenu une des possibili-
tés de célébration pour les prêtres
qui célèbrent la Forme Ordinaire.
Avant le Bienheureux Jean XXIII, avait-on modifié le Canon ?
Oui… Le dernier à l’avoir fait est
le Pape Saint Grégoire (590+604)
qui ajouta à la prière Hanc Igitur
les paroles suivantes : « Diesque
nostros in tua pace disponas¹ ». On
sent dans cette fidélité de l’Eglise
le grand attachement à l’inspira-
tion du Saint Esprit pour le
Canon romain et d’ailleurs, les
hérétiques et les novateurs ne s’y
sont pas trompés avec virulence,
je pense par exemple à Luther,
dont les attaques contre la Canon
romain sont parfois ordurières.
Quelle doit-être notre attitude pour bien comprendre le canon ?
Le Canon de la messe développe
une seule idée. Mais elle est com-
plexe. Il y a le sacrifice du Christ,
dont la messe est le renouvelle-
ment non sanglant, et le notre. Ils
ne font qu’un. Nous offrons le
Christ et nous nous offrons.
Sacrifice : nous offrons à Dieu le
Père son Fils, victime d’amour
pour nous réintroduire dans l’or-
dre de la grâce. Sacrement : le
Père nous donne le fils en nourri-
ture afin que nous ayons la vie.
Le mot de la fin, M. le chanoine ?
Au début du Canon, essayons de
rentrer dans cette grande prière de
l’Eglise en trouvant un juste équi-
libre entre suivre le missel et re-
garder l’Action : c’est la pédagogie
de l’Eglise. Silence et contempla-
tion.
Photo : ICRSP 2010
POUR JOINDRE NOS
PRÊTRES
RENSEIGNEMENTS
Monsieur le chanoine Gwenaël Cristofoli Institut du Christ
Roi Souverain Prêtre 20 rue Saint Louis
35000 - RENNES � 02 99 31 74 92 � 06 88 25 31 23
ORDO LITURGIQUE
4
LE LIVRE DU MOIS
INTENTIONS DE PRIÈRES
SONT DEVENUS ENFANTS DE DIEU PAR LE BAPTÊME
Edouard Mallard Tanguy Desjars Rose Boucly
IL Y A PROJET DE MARIAGE
ENTRE
Mademoiselle Marguerite-Marie de Pluvier et Monsieur Marc Thomas de La Pintière
Mademoiselle Sybille du Plessis et Monsieur Vianney du Boislouveau
Mademoiselle Agnès de Couasnon et Monsieur Geoffroy de L’Aestourviller
Mademoiselle Lucie Sanzey et le Lieutenant André-Vianney Espinass
Mademoiselle Mathilde Audureau et Monsieur Ludovic Bertrand
Mademoiselle Marthe et Monsieur Jean Ducret
Mademoiselle Anne-Emmanuelle Crochu et Monsieur Eric Lair
Mademoiselle Anne-Sophie Renoul et Monsieur Gilbert Voisin
Mademoiselle Anne-Cécile Chaladey et le Maréchal des Logis
François-Xavier Schmitt
Mademoiselle Elise Naturel et Monsieur Nils Payel
� Vendredi 24 décembre : De 10h à 12h et de 16h à 18h : Confessions. 23h00 : Veillée de Noël
� Samedi 25 Décembre : Minuit : Messe de la Nativité 7h30 : Messe de l’aurore 10h30 : Messe du jour
� Vendredi 31 décembre : De 22h à minuit, adoration du Saint Sacrement. A minuit pré-c i s e s , b é n é d i c t i o n d u Saint Sacrement et petite colla-tion.
� Samedi 1er janvier : 10h30 : Messe de l’Octave de la Nativité
� Dimanche 2 janvier : Fête du Saint Nom de Jésus. Présence de séminaristes de l’Institut du Christ Roi Souve-rain Prêtre à la messe de 10h30. A la fin de la messe, vente de produits du séminaire (huile d’olive, vin blanc et vin rouge, miel de Gricigliano. 17h30 : Vêpres solennelles et Salut du Saint Sacrement.
� Vendredi 7 janvier : Premier vendredi du mois. 19h00 : Messe 20h - minuit : Adorations et confessions.
HORAIRES DES OFFICES
• LUNDI et MARDI 8h30 : Adoration et confessions 9h15 : Messe
• MERCREDI 7h00 : Messe
• JEUDI et VENDREDI 18h30 : Adoration et confessions 19h00 : Messe
• SAMEDI 11h00 :Messe
• DIMANCHE 10h30 : Messe chantée 17h30 : Prière du Rosaire (Octobre) 18h30 : Messe basse 19h30 : Office des Complies
• Chaque 1er vendredi du mois : Messe du Sacré Cœur à 19h00, suivie le l’adoration du Saint-Sacrement jusqu’à minuit.
• Chaque 1er samedi du mois : Messe de la Sainte Vierge à 11h00. Les confessions sont entendues à partir de 10h00.
Offrandes de messe dans l’Archidiocèse de Rennes :
Messe : 18 € Neuvaine : 180 € Trentain : 630 €
Plus d’informations sur le site Internet de la chapelle :
www.saintfrancois.over-blog.fr
Décembre 2010
Me 1er St Eloi Ste Florence Je 2 Sainte Bibiane Ve 3 Saint François-Xavier Sa 4 Saint Pierre Chrysologue Di 5 2ème Dimanche de l’Avent Lu 6 Saint Nicolas Ma 7 Saint Ambroise Me 8 Immaculée Conception Je 9 Sainte Valérie Ve 10 Saint Melchiade Sa 11 Saint Damase Di 12 3ème Dimanche de l’Avent Lu 13 Sainte Lucie Sainte Odile Ma 14 Saint Arsène Me 15 Quatre-Temps de l’Avent Je 16 Saint Eusèbe Ve 17 Quatre-Temps de l’Avent Sa 18 Quatre-Temps de l’Avent Di 19 4ème Dimanche de l’Avent Lu 20 Saint Jules Ma 21 Saint Thomas Me 22 Saint Flavien Je 23 Sainte Victoire Ve 24 Vigile de la nativité de NSJC Sa 25 Nativité de NSJC Di 26 Dimanche dans l’octave de Noël Lu 27 Saint Jean évangéliste Ma 28 Saints Innocents Me 29 Saint Thomas de Cantorbéry Je 30 Saint Roger Ve 31 Saint Sylvestre
Pour l’humour de Dieu
Père Benjamin Boisson
Ce prêtre de la
communauté
des Béatitudes
a réuni une
série de perles
de catéchisme
ou de fiorettis
de la vie des
saints qui nous démontre bien
qu’un saint triste est un triste
saint. Pour aborder Noël dans une
sainte joie et rire saintement au
coin de la cheminée. Attention : ce
livre peut provoquer des fous-rires
incontrôlés !
_______________________
Pour l’humour de Dieu
Père Benjamin Boisson
Ed. des Béatitudes - 2010 - 13 €
Annonces paroissiales...
A NOTER... CITATION DU MOIS
Saint Thomas
d’Aquin
(1224 + 1274)
docteur de l’Eglise
«Il faut un minimum de confort pour pratiquer la vertu...»
- Le Carillon de Saint François n°36 - Décembre 2010 -
FIORETTI DE SAINT FRANÇOIS
Procession de l’Immaculée Conception Mercredi 8 décembre dernier, dans les rues bordant la chapelle Saint François.
LA PHOTO DU MOIS
Photo : E
ric Bourges
Voici pour clore cette année quelques perles d’annonces dominicales véridiques, glanées dans des bulletins paroissiaux de notre cher pays…
. Le prix du cours sur « Prière et jeûne » inclus les repas
. S’il vous plaît, placez vos oboles dans l’enveloppe, avec les défunts dont vous voulez qu’on fasse mémoire. . Sujet de la catéchèse d’aujourd’hui : « Jésus marche sur les eaux » Sujet de la catéchèse de de-main : « A la recherche de Jésus ». . Vendredi à 19h, les enfants de l’oratoire feront une représentation de l’œuvre « Hamlet » de Sha-kespeare dans la salle paroissiale. Toute la com-munauté est invitée à prendre part à cette tragédie. . Chères dames, n’oubliez-pas la prochaine vente pour nos œuvres de charité. C’est une bonne occa-sion pour vous débarrasser des choses inutiles que vous avez chez vous. Amenez vos maris !
Le Sacristain, les rédacteurs du site Internet de la chapelle et du Carillon de Saint François vous souhaitent de joyeuses fêtes !