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Le module treize du CURRICULUM D’APPRENTISSAGE POUR LA PRODUCTION ET POST-

PRODUCTION DU RIZ est consacré sur la récolte et les opérations post récolte du riz. Il

comprend deux séances de facilitation :

Séance de facilitation 1: Le riz en maturité et disposition pratiques et techniques

d’une bonne de récolte

Séance de facilitation 2: Les opérations de récolte et post récolte du riz

Chaque séance de facilitation comprend les éléments suivants :

Objectifs d’apprentissage

Démarche d’animation

Temps nécessaire

Matériels, appareils et outillages

La récolte et les opérations post récolte du riz représente le dernier maillon de la chaîne

des opérations culturales de l’itinéraire technique du riz.

La récolte commence par reconnaître le champ en maturité, à réaliser la fauche des plants

de riz mature et se termine par préparer les plants fauchés au battage. Cette une des

étapes de la culture du riz les plus importantes où le producteur peut éventuellement

perdre une partie de sa production soit en quantité soit en qualité.

Il importe à cet effet que les producteurs connaissent les bonnes dispositions pratiques et

techniques des opérations de récolte et post récolte du riz.

L’objectif général du module consiste à doter les apprenants de compétence pour les aider

à mieux encadrer les producteurs sur la conduite des opérations de récolte et post récolte

du riz de l’IP.

Au terme de ce module ils seront capables de :

Identifier un champ de riz en maturité,

Décrire les différentes techniques de récolte et de post récolte du riz.

MODULE 13 : RECOLTE ET POST

RECOLTE DU RIZ

I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION

II. OBJECTIFS DU MODULE

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Les formateurs sélectionnés et les intermédiaires techniques au niveau des services techniques (Etat et privés). Les DRA, Agents techniques des ONG et bureaux d’études.

8 heures

Ouverture officielle du module

Présentation des participants, facilitateurs

Elaboration des normes de conduite

Formation des attentes des participants

Identifier un champ prêt à être récolté,

Identifier les bonnes dispositions pratiques et techniques pour les

opérations de récolte et post récolte du riz,

Présenter les techniques de récolte et post récolte du riz,

Apprécier le rendement obtenu (au champ et au battage)

i. Elaboration des normes de conduite. Il s’agira de lister un certain nombre de normes applicables à tout le monde pendant toute la durée du module. Le participant utilisera à cet effet la case ci-dessous.

LES NORMES

ii. Formation des attentes des participants. Le participant écrit dans ce cadre ses attentes et les porte à la connaissance du facilitateur :

iii. Carnet de route des apprentissages

Carnet de route des apprentissages

Les bonnes idées que je retiens en vue de les mettre en pratique dès mon retour au travail

Cette page est réservée aux bonnes idées véhiculées pendant la formation dont

1.

2.

3.

Voici ce que je veux apprendre par ordre décroissant

1.

2.

3.

III. PUBLIC CIBLE

IV. DUREE DU MODULE

V. DEROULEMENT

3

l’application serait utile dans votre travail. Au moment où cette bonne idée vous arrive, prenez la peine de revenir au carnet et la noter. A la fin de chaque jour prenez le temps de réfléchir à ce que vous venez d’apprendre, ce qui vous a semblé intéressant et ce que vous aimeriez utiliser une fois que vous serez de retour au travail. 1.

2.

3.

4.

5.

5.1 Séance de facilitation 1 : Le riz en

maturité et dispositions pratiques et

techniques d’une bonne de récolte

5.1.1 Objectifs d’apprentissage

Au terme de cette séance le participant doit être capable de :

Identifier un champ de riz en maturité,

Décrire les dispositions pratiques et techniques d’une bonne récolte du riz

5.1.2 Démarche d’animation

iv. Le facilitateur introduit ce chapitre en posant des questions comme : Comment reconnaître un champ de riz en maturité ? Quelles sont les conditions idéales de récolte et post récolte du riz ? Quelles sont les bonnes dispositions techniques à observer pour la récolte du riz ?

v. Il expliquera à travers des situations illustrant les différentes phases de la maturation les indicateurs de la période idéale de récolte.

Ø

COMMENT FAIRE ?

Une récolte faite au moment opportun assurera un rendement optimal du produit et un

paddy de grande qualité pour la transformation en :

• Evitant le séchage excessif des grains, les brisures, les attaques des insectes et les moisissures lorsque les panicules touchent le sol. Tout ceci est la conséquence d’une moisson tardive.

• Evitant d’avoir des grains immatures et décolorés comme conséquence d’une récolte anticipée.

Identification du stade de maturité du riz

II est considéré que la parcelle est arrivée à maturité pour la récolte lorsque sur les

panicules, les 2/3 de l'axe de la panicule ont une couleur paille.

Toutefois, il convient de ne pas attendre ce moment pour se préparer à la récolte car la

parcelle doit être asséchée bien avant pour pouvoir être praticable lors de la moisson.

4

Une récolte à point nommé (éviter la récolte précoce ou tardive) est très importante

pour contrôler la qualité du paddy récolté. On reconnaît le temps approprié pour la

récolte lorsque :

• 80% des panicules ont atteint la maturité totale. • La teneur en eau des grains est comprise entre 20 et 22 % • Le grain a une couleur de grain entièrement mûr (notamment le jaune) • Le grain est blanc et dur une fois la coque enlevée

Comment observer le champ de paddy pour déterminer le temps d’une récolte

optimale ? - Observer votre champ pour voir si les panicules (et non les plants de riz) sont devenus

jaunâtres. Ne pas confondre la couleur de la paille et l’aspect jaunâtre des panicules. La couleur jaunâtre de la paille peut entraîner une sénescence précoce des feuilles.

- Surveiller et observer à quel moment les panicules individuelles, à divers endroits du champ, ont atteint jusqu’à 80% de maturation au niveau de la partie supérieure de la panicule.

- La récolte doit être entreprise immédiatement. - Si vous attendez que les 20% restants mûrissent, cela peut entraîner la brisure des grains

supérieurs, lesquels sont très souvent bien pleins, avec une diminution conséquente de la

productivité.

Les bonnes dispositions pratiques et techniques à observer pour la récolte :

1. Bien conduire les opérations antérieures (travail du sol, semi, repiquage, fertilisation,

irrigation, etc. ),

2. Protéger le champ en maturité contre les déprédateurs,

3. Assécher/drainer la parcelle de champ en maturité (15 à 25 jour avant l’opération de

récolte),

4. Exécuter le chantier de récolte

Epis de champ précoce pour

la récolte

Epis de champ optimal pour

la récolte

Epis de champ tardif pour

la récolte

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i. le facilitateur explique les conditions idéales de récolte et post récolte du riz en illustrant chaque les conditions anti idéales par des images :

ii. A la fin de cette séance les participants seront capables de : Distinguer un champ prêt à être récolté d’un champ dont la maturité n’est

pas encore à terme,

Expliquer les bonnes dispositions pratiques et techniques de récolte et

post récolte du riz,

5.1.3 Durée

2 heures

5.1.4. Matériels, appareils et outillages

Tableaux, craies de différentes couleurs, papier kraft, marqueurs, Bic, crayons, cahiers,

Vidéoprojecteur, échantillons d’épis, les images des conditions de récolte.

5.2 Séance de facilitation 2: Les opérations

de récolte et post récolte du riz

5.2.1 Objectif d’apprentissage

Au terme de cette séance les participants seront capables de :

Décrire les pratiques paysannes et innovantes de récolte et post récolte du riz dans

les PIV et bas-fonds

Apprécier le rendement du riz au champ et au battage

5.2.2 Démarche d’animation

vi. Le formateur stimule le débat en demandant aux apprenants :

Quelles sont les différentes opérations de récolte et post récolte du riz?

Ø

Moisson dans l’eau ou conditions humides

La récolte dans l’eau ou dans les

conditions de drainage non effectif est i)

laborieuse pour les opérateurs, ii) coûte

chère, iii) difficile d’éviter que certains épis

ne soient trempés.

La qualité du riz au décorticage sera

fortement entamée.

Beaucoup de brisures, perte de blancheur,

mauvais rendement au décorticage.

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Comment apprécier le rendement au champ et au battage?

vii. Il donne des explications sur les opérations de récolte et pos récolte du riz.

RECOLTE MANUELLE : La moissonneuse manuelle la plus connue est la faucille Essayer, dans la mesure du possible, de ne pas disposer le paddy récolté à même le sol pour éviter de le mélanger avec la boue et les petites pierres. Le paddy moissonné doit être étalé sur : • Des nappes en plastique • Des bâches

• Des nattes traditionnelles etc.

LA MISE EN TAS:

La mise en tas est une opération qui

facilite le processus de battage et

protège le produit contre les

moisissures et les attaques d’insectes.

Une bonne mise en tas aboutit à une

réduction de la teneur en eau du riz

récolté, ce qui constitue une protection

contre un remouillage soudain de la

pluie et contre d’autres facteurs

environnementaux susceptibles

d’affecter la qualité du riz. Si le paddy

est pré-séché et qu’on constate une

diminution de l’humidité de 20 à

environ 16%, il est encore séché

progressivement jusqu’à 14% après la

mise en tas.

A ce pourcentage d’humidité, le battage devient plus aisé.

Un bon tas doit être :

Conique avec des panicules qui penchent vers l’intérieur ;

Les pailles doivent être à l’extérieur, de sorte qu’en cas de pluie soudaine,

l’écoulement de l’eau se fasse au niveau de la paille ;

L’espace environnant doit être nettoyé et surtout débarrassé d’herbes, afin d’éviter

tout risque d’incendie et de tenir à l’écart d’autres agents susceptibles de

contaminer le riz.

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LE BATTAGE :

Le battage est une opération post-

récolte qui consiste à séparer les

grains de paddy des pailles de riz.

C’est une opération très importante

dans la production du riz en ce

sens que si elle est mal faite, elle

peut aboutir à des brisures, des

grains endommagés ou à un

mélange avec d’autres choses telles

que le sable, les petites pierres et

d’autres variétés de riz, ce qui va

occasionner des problèmes lors de

la transformation Le battage est

habituellement fait soit

manuellement, soit

mécaniquement.

Le battage manuel :

En ce qui concerne le battage

manuel, plusieurs méthodes sont

disponibles. Dans certaines zones,

on se sert des pieds pour fouler sur

les pailles, certains battent les

pailles contre des tonneaux,

d’autres enfouissent les pailles dans

des sacs et les battent contre des

troncs d’arbre etc. Dans d’autres

zones, on utilise des bâtons pour

battre le tas de pailles de riz.

Le battage motorisé :

La batteuse motorisée est une

machine reliée à un moteur portant

un tambour perforé avec des roues

en métal ou en plastique sous

lesquelles se trouve un système de

tamisage. Le tambour fait tourner

les roues tout en libérant les grains

de la paille. Par une méthode

d’aspiration, les pailles et autres

saletés sont rejetées par le tuyau

d’échappement et les grains tombent

sous le tambour à travers le tamis.

La batteuse fournit des grains de paddy propres sans les endommager à cause de son

système de flux axial.

Il existe plusieurs modèles de batteuses motorisées. La seule différence entre ces

batteuses est que certaines ont la capacité de vanner en même temps qu’elles battent le

riz. D’autres peuvent battre jusqu’à huit (8) tonnes par jour.

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LE VANNAGE : Le vannage est le processus

d’enlèvement des pailles de riz, du sable, des

cailloux, des mauvaises herbes et d’autres

matériaux externes du paddy récolté. Le

vannage représente une phase importante

pour obtenir un paddy apte au stockage et

pour une transformation ultérieure. Il est

nécessaire pour éviter la contamination du

produit moulu par les insectes, les cailloux et

les mauvaises herbes. Le vannage protège

aussi la machine de la poussière et prolonge

sa durée de vie. Il peut être réalisé par

aspiration, manuellement et mécaniquement.

Un bon vannage comprend :

nattes traditionnelles / bâches etc.

-

contaminer les grains vannés avec de la

poussière, du sable etc.

LE SECHAGE : C’est l’une des opérations essentielles, nécessaires en ce qui concerne la

qualité du stockage du paddy et du riz moulu. Il est réalisé dans le but de diminuer la

teneur en eau de 14 à 12% en fonction de la durée de stockage envisagé. Une humidité

élevée du paddy favorisera la croissance de moisissures qui affectent ainsi la qualité du

paddy moulu.

Il existe plusieurs méthodes de séchage.

LE STOCKAGE : COMMENT STOCKER ? Le riz paddy est emballé dans des sacs de 50-

100 kg, placés sur des palettes et stocké dans des entrepôts. Le paddy peut être aussi

stocké en vrac dans des entrepôts ou des silos. L’entrepôt doit être bien aéré avec des

fenêtres qui font face au nord et au sud (pour éviter la pénétration de la lumière solaire).

Toutefois, il convient de noter que beaucoup de cultivateurs n’étalent pas le paddy sur des

palettes, ni l’entreposent dans des endroits aérés. Pour un bon stockage du paddy pour la

mouture et pour l’étuvage, il est nécessaire que:

- l’entrepôt soit propre et désinfecté avant l’introduction du paddy.

- le paddy soit étalé sur des palettes propres et désinfectées

- le paddy soit stocké à une distance de 50 cm du mur, et de 50 cm à 1 m du toit, avec

50cm entre les palettes et à 1m du passage.

LA MOUTURE : C’est une opération technique qui implique le décorticage et le polissage.

Le décorticage consiste à enlever les coques du paddy en prenant soin d’endommager les

grains le moins possible en vue d’obtenir un “riz doré” (Little et al. 2002).

Le polissage consiste à enlever le son afin d’obtenir un grain entier. La mouture combine

toutes sortes d’équipements mécaniques pouvant permettre de retirer les coques, les

couches externes et les embryons de grains de riz. Le polissage, d’autre part, concerne le

processus qui permet de retirer les couches de “Subaleurone “ après avoir blanchi les

grains pour leur donner un bon aspect

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viii. Le formateur présente les techniques d’appréciation du rendement au champ et au battage.

ix. Le formateur évalue les connaissances en posant les questions suivantes :

Citer les opérations de récolte et post récolte du riz ?

Décrire les techniques d’appréciation du rendement du riz au champ et au battage ?

5.2.3 Durée

3 heures

5.2.4 Matériels, appareils et outillages

Tableaux, craies de différentes couleurs, Bic, crayons, cahiers, Vidéoprojecteur,

échantillons d’épis, les images la fiche de test de typologie.

L’APPRECIATION DU RENDEMENT :

Le rendement s’apprécie à travers des carrés de sondage. Un carré de sondage est une ou

délimitation faite dans un champ pour prélever la production afin de déterminer le

rendement au champ. Cette partie est soigneusement récoltée et battue à part de façon

spécifique et contrôlée. Le paddy qui en sort est asséché à 14% d’humidité. Il est ensuite pesé

et ramené à tonne/hectare.

Le rendement au battage consiste à peser la quantité de paddy qui sort du battage rapportée

en tonne/ha. Pour le battage mécanique il est difficile d’apprécier les fonds de gerbier et la

perte récupérée par glanage.

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x. Le formateur utilisera deux fiches pour évaluer le module :

Fiche 1 : Questionnaire d'évaluation par les participants à la

fin de la formation (30 minutes)

1. Le cadre de la formation

Comment évaluez-vous les conditions de séjour pour la formation ?

La salle de formation Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

La restauration

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

L'hébergement

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

2. Par rapport aux des objectifs réalisés à la fin de la formation. Les participants sont

capables de:

D’identifier un champ en maturité

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

D'expliquer les dispositions pratiques et techniques d’une bonne conduite des opérations de récolte

et post récolte du riz Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

Citer les techniques de récolte et post récolte du riz

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

3. Comment évaluez-vous la démarche utilisée durant cette formation ?

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

4. Comment évaluez-vous les outils utilisés (travaux pratiques, visualisation,

démonstrations, etc.) ?

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

5. Qu'avez-vous appris durant cette formation ? 6. Cette formation vous permettra t- elle de mieux former des acteurs intermédiaires de

l'IP ? 7. Comment évaluez vous la formatrice/le formateur ?

Très mauvais Mauvais Moyen Bon Très bon

8. Quelles sont vos remarques générales sur la formation?

VI. EVALUATION FINALE DU MODULE

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Fiche 2 : Questionnaire d'évaluation à chaud (30 minutes)

1. Etiez-vous désireux de suivre ce module ?

Très Oui Assez peu Non

2. Le module suivi correspondait-il

2.1 A votre attente ?

Oui Pas tout à fait Assez peu Non

2.2 Au programme annoncé

Oui Pas tout à fait Assez peu Non

3. Dans le cas - c’est une hypothèse – où il correspondait à votre attente, estimez-vous que ce

module a été profitable ?

Très Oui Assez peu Nullement

4. Le niveau de votre stage, comparé à votre information, était-il

Supérieur Adapté Inférieur

5. La durée de la session, compte tenu du programme, était-elle

Trop longue Adaptée Trop courte

6. Estimez-vous satisfaisantes ou non satisfaisantes les relations qui se sont établies entre :

. Le formateur et le groupe

Satisfaisantes Non satisfaisantes

. Vous-même et le groupe

Satisfaisantes Non satisfaisantes

. Vous-même et le formateur

Satisfaisantes Non satisfaisantes

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7. Les MAO utilisés par le formateur vous ont paru

Excellents Adaptés Acceptables Mauvaises

8. Les méthodes utilisées par le formateur vous ont paru

Excellentes Adaptées Acceptables Mauvaises

9. Pensez-vous que le groupe ait évolué sensiblement du début à la fin du module ?

Oui Non

Précisez

Comment……..……………………………………………………………..………………………………………………..

……………………………………..…………………………………………………………………………………………..

10. Qu’est ce qu’il aurait été intéressant de faire pendant ce module ?

En plus

……………….……………………………………………………………..…………………………………………………

…………………………………………………………………………………………………………………………………

En moins……………….…………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………..

11. Que pensez-vous de la visite de terrain ?

Excellente Utile Acceptable Mauvaise

12. Prenez autant de place que vous voulez pour inscrire toutes les remarques et observations

que vous souhaitez formuler.

……………….……………………………………………………………..…………………………………………………

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