L’homoparentalité

Introduction

L’association des parents et futurs parents gays et lesbiens (APGL) affirme qu’une centaine de milliers de foyer seraient en situation d’homoparentalité en France. Le débats sur l’autorisation ou l’interdiction de l’homoparentalité comporte différents arguments, certains favorables d’autres non.

Une société favorable

Certaines personnes pensent que les couples homosexuels donneraient autant d’amour à leurs enfants que des couples hétérosexuels. Aussi, l’attirance sexuelle des parents n’influencerait pas celle des enfants comme on peut le lire dans un article du Monde publié le 10 février 2011 : « selon […]des enquêtes (aux Etats-Unis surtout) démontreraient que les enfants élevés par des couples de même sexe n'ont pas plus de problèmes psychologiques que ceux qui sont élevés par des couples de sexes différents. »

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De nombreuses associations ont été créées comme l’APGL (Associations des parents gays et lesbiens) qui existe depuis 1986 et est destinée à toutes personnes ou tous couples homosexuels qui désirent avoir des enfants et qui veulent en parler. Ses associations ont permis de faire évoluer certaines mentalités, de combattre certains préjugés ou même certaines appréhensions.

Pour, défendre les droits des homosexuels il existe des manifestations dont la plus grandes et la plus connue est la Gay-pride, organisée chaque années au mois de juin à Paris et dans toutes les villes de France. Elle est reconnu comme une « manifestation pacifique ». Elle permet de faire progresser la reconnaissance de leurs droits a être parents. La gay-pride est née à New York dans les années 60 et apparait en Europe en 71.

Les médias, eux aussi, lutte pour banaliser l’homoparentalité en réalisant des films portants sur le sujet. Ici Comme les autres évoque la difficulté d’un couple homosexuel d’être parent.

Enfin, la question de l’homoparentalité se pose aussi en politique. Certains partis comme la gauche sont favorable à l’homoparentalité : ils disent que c’est une avancée dans la société. Un exemple, Lionel Jospin, membre du PS.

Une société défavorable

D’après les psychanalystes, un enfant est « stable » lorsqu’il a la présence d’une mère et d’un père car trois mouvements dans son développement sont nécessaires : 1. Il devrait connaitre les conditions de ca naissance.2. Le complexe d’Œdipe : période ou l’enfant est attiré par le parent de sexe opposé3. Ainsi que la phase de fusion avec la mère.

L’enfant exprimerait des besoins vitaux auxquels les parents doivent répondre. Mais sans la présence des deux sexes opposés il pourrait connaitre des difficultés à se construire. Aussi, l’enfant devrait pouvoir différencier hommes et femmes or, s’il est élevé par un couple homosexuel, il ne serait pas confronté aux deux sexes au quotidien.

Malgré l’existence d’une association chrétienne « David & Jonathan » (fondée en 1972) regroupant des homosexuels, l’Eglise est attachée aux valeurs de la famille traditionnelle et n’acceptent pas vraiment l’homosexualité. Tout comme les partis de droite qui estiment que cela ferait une mauvaise image de la famille dans la société. Un exemple, Nicolas Sarkozy membre de l’UMP.

Conclusion

La société est très partagée sur la question de l’homoparentalité. Et les militants ne sont pas au bout de leurs peines.

Source

• www.tpehomo.canalblog.com• www.lemonde.fr• www.adfh.net • www.dailymotion.fr