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I SEIZIEME ASSISE. --.N. 4.90Z ABONNEMENTS n'aie. 12 fr. 6 mois 23 fr. 1 su 45 fr, traction. Ne. croyons- savoir qua de con- de la sa e, anc une dm eand au e en torisaonti LADERNIÈRE CHANCE veaux mandats d'arrêt vont Otte mis h de poursuite contre Cachin au sujet, de ses execution. moudra antifranaaises co Allemagne accu- POURQUOI ON LES ARRETE Fée. Aue dernières norrocres on apprend Paris, 10 janvier. Nous avions dit qUe Etant donné les faits reprimh. ii Car nia que tirs organisations mithomes a optent curtatus Ratera soctabstee frange., no- et les circonstances actuamos, il parait an Allernagae. Le AiMulernement de Ber- tamment Marcel Cachin députe de la vraisemblable sine, conta:mn...nt à lamaae. lin voudra-t-il les contenir ? Et s'il le veut Sei.: Mormsoussoma Lamadan, Trent et ette commission se pasannocra pàllr .:4 te pourra-i-il ? Semant, seorMaine des ale/ninas entré- va0 immédiate de l'intnsua ta ct autorisera Maris de concert avec les communistes allemands lltriaaléP.leurel'ill' 'eelll'e le dee'''. eellrlalu- ks./.. de 0, Bolet 6, ,k cor. uniates, étaient, cm j05- un1.nli. à Essen La, En admcik'ni q''' font Cc P''''' '''''' ,re..r.,, ne ,,,v,,,;.-out, lors' de 1000v-pu- UN COMMUNIQUE Die ',INTERIEUR ice,/.?.isré,..' eigess'',/en/Zsga/''Ps dP/V-37,-,f l'a7t/:11'.. aas-ms00-n''-'ea/r./lastP0Poletc//I0c,P;Zaern,nm,,,,e ade, Lo ministre de ltériem nuus renne.' nique la note survente . ni. Et, de fait, mal ne peut savoir ce que et dans la Ruhr et en France. . le Trésor français tirera de celte aventure Sur les ordres de la C. G. T. U.. les Ica,. . Le ministère de l'intérieur avait eté avisé que deS communistes qu'accompa- Il n'a a que les dépenses qui soient ace' dom rentraient en France afin d'organiser 0.sin sa agotan, aapspg 0/0 is 80,0, 5.4_ am certains grands centrm tels quo Lyon, 3- tomes._ Saint-Etienne, Le Havre, Bordeaux, Mar- tarent rendus en Allemagne pour conférer Et encore I Un publiciéte allemand très ama les membres d'un comité d'antion con. cor... et Utri Wed pas un/neer-eux Pau' ;alli'asa./'-x-j;aniaa`/PIP',.:t " r',, .t r e .sa [ L''' ' potion., , , .do. tre l'occupation de la Ruhr. germaniste, M. Georges Bernlacedt, nous! ire i..,,n._âilâmâe.i. Les agitatoms se disposaient à . rendre p.évird, dune na dal'n,Ie d° Id 11 L'.1..ette j Mennmuamart, ou le sait, déjh aven ate âne 51 ami sur am mot d'orde de Voss », que no. acins. naos nitcn- expulse d'Essen par la poli.. allenuamie. Imm parvint on ne sait d'ou, ils reprirent dee d aller Ela. /Mn .ln. n... n. Penserm. Il était de retour, hier , à Paris, ainsi que prnelpittunrnent M train pour Paria. ora ils n prévoit que notre occeffation devra dire ses Compagnons. arriVarent hier motivé fi heures. ,r,,,,,,,,, mobiliser si,. ts0.0;s00 p000 I COMMENT ILS ONT ETE ARRETES ..ni la Sûreté Onkel, apprit, à 3 hourra Leur pasenge à la gare demeura inaperçu étendue d une façon illimitée, qu'il no. i "polo pl,.. gr,A ..,i,. A r A11,,,,, Ca sOnt /es commissaires à la police J Leui- .....1 de l'après-midi, leur -retour et leur intem gna. t cia ra .1, aux délegatione jadiciatam, 11,i,rs1.. aUs'ran.Bedeles.rt0l'Ullert.cietateueueli-e'rttiGtuarel'all'1e1; Q'e on 005 cette 'menu" a Ch.je.g. "''' l'iéer, 91%ij 0n' ' i'''''1';'...'',' '''S cl'. olriroce,,,d1,6 - -- - allaient permise â la suite des résultats de Core am le gnuanneinent franç.,. ' Cnst tin ICIS .11iil'Ir«.....''',,Tiie.e. ilICIIIPIn'ti, froc ""e' poasibre. Péril intaffirmire Pour lm.. .m-8- crime contre la sûreté de l'Etat. Le Parquet fol immadiatement prao,cri ner non pas d renoncer <I nos projets sur Rh Guillaume s'est rendu rue En-ele-ZoM, et les deux fiolie.. combinée, prvineent. la Ruhr, mens cecener les propose-trona a Samt-Oden, .chez Monmoumeau, qui ha- muelnues heures a êtablir un dossier qui notwelles ,i...1,7 peut-êtee on prépare à Ber- bite 1,00143 adressa chez sa femme, dire.- "naYan catteacce "01' aux I accc'at'ca lin ? C'est assez orerisemb trice d'ion° crche municipale. labe. de- m.mplot rant, la sûreté intérieure et a c0,/, cas, bes gn nos/0,s,, 00antna est revenu hier d'Essen et se diapo- c attie, ,,,..,,7niff.% 1,7, talti. , a0,../0,0 ch0, sa,0000 /sons sait â q uittr Paris quanti il a êté ap f100 le soin à 11 heures, à lantElte assiataient le garda des Mea., çne, si elle Peut o 'c'e. N''''. ''''''iik". c'''''" q"' I A lkiiyin ' é ''' t tai,i chez m. ceci con_ te m-,,10,0 ,le l'intérieur, ', Pr.nrêTof 56' ll,,, d /0 F881'.8 1k-. sides rarns l'acoltl'nmm, étant, cons graa'to yaiens, néral M. Lescot/va, /a prmairesur clet,11,B4o-- atneetages tentébles, hésitera elq.tant l' oc- D'autre part. M. Aurelio., cormisissolne de nre1Wine ca cha'aciece dec la û' a' mipation militaire q,d n're,,ece . Prouffme police, s'est rendu chez Semart, cheminot ialc,",,,,,,8,,,g ags six 00,,,0.ssistas ab p , pho riche, tele gut nourrit toute /a rayon., scrataire géneral du Syndiee dm '. i'-'',1,-1-'''sxâssx0s. piein.T,1 onarriona Et lns si, romotion arernande. demeurant, MM. boulevard de la nam vouo croire cheminots, de aus qu'en pré- Villett e. T e't, tartier, fut dachl ea, a elle a eu delt,,,, ggnsfa/,,,,,,a de r An,,,,,_ Semart était absent de .. do.,çi!,, . 1..i,..'u._'...." I. nuun'' d'''"'''''''hul e''' i'. . femme a déclaré uart «ait emore eh Mie- saamnm. .slin ls, lis,/ a, ign, dg- , g !;sell -,P./70:". "a c "ccea a "a Pm./ q ' I L i e h il m, Des Pern,nil, n" " 1nagne, .17. a, con rd remcm. ce e a - ,, ,, ,,... , ,,,,,,,,,,,é r,- ,, ,,,,,, ' ination on suppose at l'on a omit. cela T1,19 "1 an a'''''' '1'ams,,. //sas de d'a" tacic"ca dit erse tore s- des ,nffices assez serieux qu'a cd sa m le hlTaan 'le 'M. e" " r; G" de ta P"Ii'' P..i''''''t eb., eld'.. les . tel à Paris cl qu'il se cadi-Je/1m des amis. Pinaien, ,a a''' ''lla'11";a,,'.:ca,-,0, a, ssi. mea,' .0 anmerneemnt français, une .Cht Semart, l'oparation fut nulle, On a Des documents intéress Falavanfe anne de care.=t, a I. condi: ' saisi une correspondante établissant <pieu sia. tien marras, Plle C'er,ff8 arme cm. an r9te..mbre a en novernb, drnim, M semé- Cinq mandats d'amener 11 10 exécu_ framemo ,re- r,-.., menace hart torrionra taire geneural du Syndicat. des chminota se . ter.» plus d'effet tneeresée ente réalisée. L'Al. trouvait a Museau, apras être passé par j an lemeene redoute r,,..,,,i, d, k R,,h,.. lam/in, ou il était rest4 ri 'ri jeun. Et ' Ce etti se rasse taus la Ruhr Si el"e doit la se.bir eVe fera en sosie de 18147a a'aci. f,n 'o,,',' ,b7:.''''''''?" en Pae"t te mc4" rend Carou. 3, rue Carducci, chez Albert Treint, M. n conerniasaire 4e p0100 cent ' ue tex-instituteur, capitaine pendant la guerre, Si ae".n, "ennn't'n mi de-ne duit aoars, av. propagandiate de la Section fram i'`.,'""ré 5.'"`a ''''''','''"I'r I. `111"1.`-`"n .nin. çaise do l'Internationale munneeniste. Il a n'1'aT''', ha Tmmém én dsm'ff ffee frchrma ..été arrêté <d .voy.a au dépht. gantoises, il an,' hien kué son tenon Ni. Pols, commGsaire da poilce, a ppm nom aerrusst Rn premiers à le aire. nuislionnri â l'Union des Syndicats. rue de ferai" s'il enbradit ing Ruh, sena csesp la Grange-aux-Bellea, <fana le bureau da ffars °Mem, rama petsieq,,, à land Monnmusseau. Il a saisi caca afftchoe de cramdre, e'eaaa_jr- ,,..,., itrotestation dentre l'occupation de la ell.l glilelq"' ' g'i ccpcccchacc Rtlfia, M. Faraling, eoarmaisatre de Pa- l j ice udiciaire. a perquisitionn a da m les humaux de « L'Humanité o. Tous les militants errata, sont inculpas d'attentat contre la sûreté intérieure et extérieure do l'Etat. &gammes, trace une nauve'da calception Voici qui est plus rammer r M. Poincaré commence à agir nomme site peos était en état de gnerre. Il orocéde à des or- ',stations sensationnclles Il fait le dicta. tem, certain qu'il est rie l'approbation de le mairelté de la Chambre. Qtrealc que sait la eravité de rogués' m lion n'incube, ronémdion Politique irae rin, ,eel tende notre attention. Elle est tord .ssi inquiétante. Mono marehona au fascisme. None g ccaromt. Tard pis pour mus qui ne eiicrçoivent pas. L. H. ARRESTATION DES COMMUNISTES L'..49.-ven.t.u.re se corse trrestation des Leaders Communistes français Les Américains s'en vont nan1r 1.'enelei qui s'est tanne cetto suit .100v-or.-or. A la aune dune ' saiaistere de la justice 41,Crolrat, garda. djea 1,ss0ogna. lelfeûterffl-elffelaa'ji:///S=a,earar Î:f ' ''Rillgrlelanefeare';';et, Nansen prédet ,detro. âce, il a été décinc da do. 'da rler,c10a. l'aerestation d'un certain no mae qui s'étalent rendue. it 1% 1ttE les territolres risenapa cl 110 Ion potall. ?,:' .â.tâ t troupes u.- .strolter et à tirer sur boa â9paraion f. le tes contre ces est done d'attentat contre la ma te a L'inculpatio n relaver, :Pree11801.% PERI ao Partie de ma mesurm a êtê mise à v0 matin et, vers 7 h. M. on a BJTMaa- 8"ml 1,1' nunn18 al de DnalffeS, .1- itviron a Parretation de Morimotiosnan, MinIstrateur du journal communtste. meretalres de la Fédération corn- A midi 20. ho commisaalre et ses aaents secretaire don Satanas ire, sortaient du bureau directorial thore.ls s; Qoudeau, du SvadtcaL dru P. trois nouveaux et valuentaeux Paques de eint el Lartigues. 'Ces personnes/ doonments scellés de rouge. 51401101umndiatetnent oonduitea au par- j Lm commorist,ea appréhendas oa été créera. mes les roma, do la police , 19.1ér raga 0 Part, des pennuisitions sont am claire, quart de l'Horloge. ana a...nt en cours au journal a L'Huma Aeras tua ha, latermanto1re d'identité, Ts,''set nos siàge 4111 Parti communiste de r Il sont dté dirigée sur le Dapôt. .1,48 Graege-aux-Belles. 1 par qchrtze I LE CAS MAIFICEL CACHIN 0.,olseeataana ont dé faites tatsmasaires mea Les manade rrà, Demain, b la raquate du procureur gé- , 'sidniksrie àl. Jouesolin, juge d'hm- aérai, Io gouvernement dapeera, au <>but CE QU'ON DIT A LA C. G. T. /CET A e L'HUNIANTrE a Co /natio, des 7 heureg M. Farageg se présentait, muni d'on mandat de M. Joas- Berlin, 10 tunvier. Le tnumonl cat.' solin, et accompagné d, cinq de ore agents, munIste a La Bote Fahne reeelt d'Essen 'rue de la Grange-aux-Bellm, aa siège de le traeggaffame mtivant In C. G. T. II. Il en ressortit après une nt- e Les machines et les autos sont rejore- pige perquisition. tees des grandes usinas Krupp. Quant a la Le magistrat s'est rendu muge â population bourgeoise, elle attend l'arrivée « 1:Nur/mai% a, d'ail il a été téléphoné à des Français avec caltne, espérant wente Amédée nuamis, secrétaire, génaral. la qu'ils rétabliront l'ordre et qu'Lls mettront priant de hien youlOir assister aux perglai fln aux grèves; ella canarderait, es 01alr., sitions qu'il olisil °parer. Amshlan Dunois arrivait h g h. 30. faire des affaires avec les occupants. Les ouvriers, au contraire, seraient Les rlogaectaum avaient delà Monilia /te haas excitée. mao non par patriotisme. eourrier, qui mulet/ait mata/am/mi des Cette excitation serait moins contre Poin- mandats d'abonnement pour imo somme de care que contre Stinnes. Krupp et les es ellViren, gros entrepreneurs qui n'accèdent pas aux Tous 'es bureaux furent visita. Pour tlnir demandes des ouvriers et dee ...n'a. M. Faralteq pria Dunois de ln. condUire à n I/ faudrait compter d'id. imar avec no. eatni Marcel Cachin, dont la tmm etait mère générale. fermée à ale. Commentant cette dépêche, Forme coin Dunois se refusa â ouvrir d proteste an moniste daolare eue la hglérécgiolc deamer mana de l'immolât parlementaire de Ca- de, comme en 1914, que la mame des all- ah.. vrers sauvegande ses intérêts et fasse la M. Farajicq et ses aides, avant enregtstrit grève générale contre Proincare. ente protestation, quittèrent alnes 1,1111- LE SYNDKIAT CHAR R BONNIE rmoité ale mou/Raient trois pagne'. en, dom, DE LA RUHR monts. TRANSFERE A HAMBOURG Mais, à tt honora, le eommf,,,h, nnn Ber/in, 10 janvier. Une assemblée du dRinettnno judiciaires Rait lie retour rue aVudicat du charbon de la Ruhr, Munie Montmartre. Ilvenait de eoaffrar hier, a Mate/ Kaieserhof, à leasen, a dé- tn esselin. Reneontrard ,Amédée //sua., aidé de transférer le siage social 'du Syn- dana lite prla de remonfor, Ravi_ dicat Hambourg. sent cette toia que. de gel ou de force Les rePrésénicilto deo gmcie,o, qai ago- il en/mitait perquisitionner dann le bureau talent t l'assemblée, ont alTrouvé cette de Cachn. mesure. Sur musante refus d'ouvrir do ceeeirepe Les employés du Syndicat ont consenti dte L'Humanita n, un serrurier fut requis (+gaiement et se sont déd.ra7 Vêt' a' ce- ci 311. Farallon put <man panda, dam la fuser leur concours aux ingénieurs effan- er., qui ont rompu le traité de Versait . lest ils ne veulent pas mettre a leur dis- position le Syndicat du charbon qui est un instrument prao-feux de distreraton. EN ANGLETERRE LE PAMNET BRITANNIQUE SE REPAIRA DEMAIN Londres, 10 janvier. On attache beau- coup d'importance a une réunion qui ne tiendra demain matin, du cabinet britan- Moue. Cf. admet généralement qu'il délitera de SOCIALISTE Réciacti. et Aelmiulete0e5e0 s *8, Rue Requeluine - TOULOUSE Tél. o-45, - Compte Chiques /muraux 55s-yy BUREAUX A MILS 46, Rue <le TIMM..., 45 (/"X` Aneadis.antt) Teliplsons 30es ara 35-ao LA CONCENTRATION DE NOS TROL1PES Paris, 10 janvier. mande de Co- blence au a Matin s a Tm. As mouvements de concentration se sont apées sans incident et dans ?noire le plus partait. Non snulement ;aucune dif- ficulté n'a été soulevée pal- les autorités utilitaires britanniques de la zone de Colo- gne, qu'il a fallu traverser, mais elles ont prêté Papote le plus empressé, faisant gar- der toutes lee voles ferrées et détachant nec postes rem endroits utiles. a RETRAIT DES TROUPES AME.RICAINES Washington, 10 LE PRESI- DENT HARDING A ()ADONNE LE RE- TOUR DEI TROUPES .5/MEA/GAINES QUI SE TROUVENT EN PMENANIE. LES USINES KRUPP EMPORTENT LEURS MACHINES D'ESSEN IL ELOTZ Etontineeemeoeeenee laisser les détachements militaires anglala mir le ntld,n. tant que leur présence dans cette zone ne les exposera pas à atre am- pliequés dans les conflits. Il autorisera sir John Bradbury et conti- nuer sens certains conditions, sa partici- pation MM travaux de la C. D. R.; mais il renouvellera son regret de ne pouvoir Sui- vre le gouvernement français dans une politique qu'il juge dangereuse. Le cabinet déclarera ne pouvoir accep- ter aucune reeponsabilite à ce sujet- EN ALLEMAGNE LES ALLEMANDS Km. na man OFFICIELLE:SIEN-a Paria, 10 janvier. Oct aprês-midi, â quaMe Marsa, un attache du miniatère des affaires étrangères a remis à Cam/masa.le d'Allemagne, à Paris, une note de M. Peine nord, notifiant au gouvernement allemand Ion mesures que compte prendre le mye, nement français/ à /a M. heure, l'am- bassadeur de France 10 Bertin faisait une comunication identique Ans Wattman- stras.. truntre part, le gouvernmas mare, sa- hdaire du gouvernement français, "pour l'exécution de ces mesures, a fait faire au même moment e ent u double communicâtion analogue à Emelles et à Berlin La note du gouvernement français per- ciao mordqu'en raison du manquement constaté na. /a <omission des réparations dans les livraisons de charbon et da bois, U omit deveir envoyer une nuamen d'ive:Mus do-s /a Ruhr pour exercer un contrôle sur ira livraisons do charbon à recevoir de l'Allemagne. Aucune p7énIslon n'est donnae quant aux endroits où devra salonnier cette memion. La note indique que cette mission d'ingé- nieurs eat accompagnée de troupes dans un but abelniument pacifique. A savoir i en vue de garantir /a sécurité de la mission et d'assurer I ordre sur les peints où elle devra exercer son activité. Le gouvernement français a fait connaî- tre à Londres, dés hier soir, par l'intermé- diaire de notre ambassadeur, les mesures qu'il comptait prendre dans la Ruhr, ainsi que les raisons qui t'ont amené à cette dé- terminataon. Dans l'esprit du gouveine- ment français, le pian soumis à la confé- rence de Paris ne devait pas comporter l'entréo de trou,pea dans la Ruhr. Coites ramon du toit que la larande-Bretagne n pas cru devoir s'associer aux mesures envi- sagées que le gouvernemeat français et le geamernement belga out cru devoir faire accumpagner la mission d'ingénieurs de usines aillés d'un envoi de Mmes qui veilleront à leur nacurite. Une caummunication analogue ci été faite à Borne auprès du gouvernement italien. D'ailleurs, deux ingénieurs italiens sont au nombre des ingéraient, qui font partie de la miSsion qui se rendra I Essen, QUE VONT-ELS FAIRE /terlin, 10 lenvier. Le chancelier a donné â la fin de l'après-midi à la.0011/1/al, sien des affaires étrangèree des indications sur Ra mesures que le gouvernement alle- mand envisage. Nous croyoussavoir que ces meemes seraient d'abord une protestation auprès des puissances signataires du traite de Ver- sailles, ensuite une reatriction des relations diplanatiquee, en prenant ce mot dans un serra très étendu. I. ambassadeur d'Alterna- gna ne sera orle rappelé, mais il serait possible qu'il obtienne un congé. Les re/ations avec /a commission des ré- parations et avec le milite de contrôle militaire interallia seraient pratiquement suspendues. Tmtes ces mesures n'ont Meilleurs pas un caractere ferme, cor elles dépendent essentiellement de l'étendue de l'occupa- tien et de la nature des mesures qui am ront prises du côté franco-belge. Le gouvernement déclarera eoneideer cette occupation comme un acte isolé et ne vouloir entrer d'auoune façon en négocia- tions saparées mec la Prame ou la Bels gigue. Il est exact, comme l'annonce ce matin lu ti Gazette génégare d'Allemagne t>, et damne nous le disons taus haat, ouete syndleat des charbons se transporte à Hambourg, mais on sait trie M. qu'il ne pearth pas y exercer son activité. Tirages Financiers COMMUNALE -0900 Paris, 10 janvier. Le rf' 1.164.867 ed remboursé 200 000 fr.; le n° 115.34t est rembourse 100.000 fr.; le n. 100.259 ed rem_ boumé 51.001 fr.; te n° 548.861 est rem- beurea 10.000 fr. Les deux numéres suivants sont rem- boursés par 5.000 francs chacun 1.195.921 15a7.02f FONCIERES /9/7 Le numéros 386.676 est rem/ourse par 200.000 fa, le n° 15mattrat est renthear<6 par 55.000 fr.; le ra 1556.411 est refaboarse par 25.000 francs. PARLONS CLAIR Quelqu'un qui doit trouver que je ne vous f ait pas réfléchir ? Appelle- ; rets bien longtemps à lui répondre, rea-vous défaillance co qui fut le plUS e est le citoyen qui m eenvalt au len- clair des actes politiques et qui donna demain sic monarticle qui date déjà au socialisme dans toute la France as commencement de décembre une autorité morale qu'il ne tenait s Pariez clair ! » r Vous nous dites qu'in toi de ne pas laisser protester ? qu'i/ faut se renouveler, que les par- Non, cent fois non. Il y eut de leur in, et même le Parti socialiste, qui part et de la part de tous, à la lueur est le plus jeune de tous, ont une tragique, une vision nette de nos el.- tendance déplorable à remâcher les tins qui étaient, puisque c'était la vieilles formules d'avant - guerre, guerre, de /a mener a. son terme et Mais encore que faut-il faire ? Ex- de lui donner sa signification. pliquez-vous ! u Et alors, puisqu'au moment crut- Mais fichtre ! il me semble que que, au moment de l'action, et c'est k je ne fais que cela citoyen ! l'action et sur l'heure, non dans les C'est à propos de chaque événe- pa/abres ultérieurs qu'on juge leer ment, de chaque fait particulier que partis, le socialisme a été â fond je m'emploie, comme c'est le devoir dans la défense nationale, est-il ad- et la joie du journaliste à dire com- mumble colt en perde le benefice ment je l'envisage, et comment, sui- moral. qu'il ne dise pas à ce pays, vont moi, devrait l'envisager, s'en nui tirant la conséquence de son acte, sir, le grand parti que jr voudrais animeIn l'avoir sauvé du inilitaris- voir mieux se renouveler pour mieux me allemand. il est prêt à le défen- remplir sa tâche, qui n'est rien moins dre encore, autant qu'à l'arracher à que de reconstruire le monde, tel que I sa propre réaction. Pa fait la guerre, à la fois plein de Mais la guerre est finie I périls et de possibilité,s, de dé,astres J Oui et mal finie, parce (m'au lient et d'espoirs, mais dans l'ensemble pret a recevoir notre marque si nous savons l'y mettre. Un programme ? Pensez-vous I Nous sommes saouls de formules. de déclarations, de mo- tions et de l'ingéniosité stérile à con- cilier des contraires. Non, des actes. Et à défaut, si notre impuissance nu- mérinue nous prive d'en accomp du moins une critique claire et vi- goureuse de,s fautes qui nous en éloi- gnent. Ln exemple ? C'eut bien facile: Des sociatistes viennret de quitter Ma, d n'ont Das mort et meme il tuej le communisme. Ils en ont mare de les soniété0 secrètes, les mobilisations Moscou et de ses ukas.. Parfait I oéenlles, ion onousstssafn d'Erzher'en de Rathenau de tant d'autres, /e sent assez. clairement. Un autre mili- tarisme s'organise dans la Russie roege, jetée aux aventures guerrières par /a faillite même du bolchevisme, ainsi nue Grumbach l'a démontre au congres de La Haye. dans un dis- cours saisissant que le parti devrait Iode à honneur de répandre, pour ouvrir les yeux des niais qui hèlent In paix, sans vouloir prendre les me- sures positives pour la sauvegarder et dont la prétention est de ne pas tendre le cou. L'Italie de Mussolini peut nous réserver des surprises. Et l'Angleterre est là, que le travail- lisme n'a pas enrere tout à fait con- quise, et qui est jusque-là vouée à. l'impérialisme par son histoire et son économie. Le problème c'est de faire une po- litique extérieure qui, en pacifiant l'Europe, enlève à tous ces militaris- mes leurs prétextes et pour ainsi dire leur milieu de culture, en même temps qu'une politique de défense nationale, qui ne nous offre pas comme une proie trop facile. Et cela le pays le sent, le sent pro. fondément jusque dans ses fibres secrètes, jusque dans ses assisrn ébranléeu par cinq invasions en moins d'un siècle et demi. Je parle du vrai pays, profond, pas de la clientèle ordinaire de tontes les sur, enchères. Il est las du militarisme et veut souffler ; il rejette le bloc national qui l'écrase sousda cuirasse. Mais il veut être défendu par des( moyens apprepriés, et vomira tout parti qui ne lui garantira pas la sé. carné de ses frontières et l'indépens de rester susou au bout dans la dé- fense nationale, au pouvoir, on in- fluant sur lui. nous avons été ab- sents des délibérations de la paix. Pendant quelque temps encore, peu mie temnn si nolen savons agir, les menaces de guerre sont à peu ores aussi nornierettsev qu'avant, t'urémie moins terribles du fait que le mili- tarisme allemand le mieux outille", le ut. puissant, en a pour nuelques années avant de reprendre haleine. Ils sondent h se réunir h nous. Encore mieux ! Ils s'appellent Se/lier, Auray. Ponard, Barabant, d'excellents esprits dont cruelques-uns, sans doute, sont fort près de moi quand ils nulle cou- rage d'être simplement ce qu'ils sont. I Mais ils chargent Brizon, l'un don trois socialistes qui ont refusé les cré- I dits de enserre pendant la guerre, de rédiger le manifeste et Verfeuil, l'homme s boulet de la victoire a, est leur secrétaire général A/ors na- turellement Verfeui/ et Briren, logi- ques, placent au fronton de leur mai- 1 son nouvelle, qu'ils prétendent assez I grande pour y abriter l'unité s Pas de défense nationale I L'insurrection plutôt que la guerre 1 a Grand merci I Cette unité-/à se- rait mortelle oui mettrait le socialis. nie hors la Patrie. Je connais quel- qu'un qui n'en sera jamais. Mais croy.-vous que ceux qui se prétendent l'axe de l'unité nouvelle et qui dans le moment même où ils la prérenisent prononcent des paroles qui équivalent à une exclusive contre ceux qui ne sont pas prêts à renier leur position pendant la guerre et depuis, auraient autant d'audace, s'ils ne savaient à quel point sont encore empêtrés dans les sophismes d'avant- guerre nombre de militants sincères niais dont' l'esprit n'a pas fah l'effort de s'adapter à des leçons cmi auraient dû être. qui sont par elles-mêmes le plus grand d. renouvellements. Que Guesde, l'adversaire irréducti- ble de le participation ont pouvoir, y ait participé quand la Patrie était en danger, Mie Vaillant, le vieux révo- lutionnaire impénitent, ait été tell, ment engrossé pour la defense natio- da,,nce de se polit que nale, qu'il soit MOrt dans le chagrin r-sj-re clair, citoyen'. ? de la voir méconnue par quelques J. PAUL-BONcomt 116 da Parie échauffés de section, est-ce que cela .16 - PREMIER Ei_E L'AN tClicfié du t Cana d Eacharné .1. C'est lu concierge, qui oient pour l'étrannA I egnette I Ppset-là d000 sous le paillasson, 16 CENT. JEUDI /1 JANVIER 192,i Les Alliés ont au moins trois plans sur l'art et la manière de faire payer les Boches. Pour ne point payer, les Boches n'en ont qu'un. Mais il est bon. onageaMegaMmagaugmoreMelagatammentMAMMIMMBIBItar EfieEmémarmagruneataimull11111 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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n'aie. 12 fr. 6 mois 23 fr. 1 su 45 fr,

traction. Ne. croyons- savoir qua de con- de la sa e,anc une dmeand aue en torisaontiLADERNIÈRE CHANCE veaux mandats d'arrêt vont Otte mis h de poursuite contre Cachin au sujet, de ses

execution. moudra antifranaaises co Allemagne accu-POURQUOI ON LES ARRETE Fée.

Aue dernières norrocres on apprend Paris, 10 janvier. Nous avions dit qUe Etant donné les faits reprimh. ii Car niaque tirs organisations mithomes a optent curtatus Ratera soctabstee frange., no- et les circonstances actuamos, il parait

an Allernagae. Le AiMulernement de Ber- tamment Marcel Cachin députe de la vraisemblable sine, conta:mn...nt à lamaae.

lin voudra-t-il les contenir ? Et s'il le veut Sei.: Mormsoussoma Lamadan, Trent et ette commission se pasannocra pàllr .:4

te pourra-i-il ? Semant, seorMaine des ale/ninas entré- va0 immédiate de l'intnsua ta ct autorisera

Maris de concert avec les communistes allemands lltriaaléP.leurel'ill' 'eelll'e le dee'''. eellrlalu-ks./.. de 0, Bolet6, ,k cor. uniates, étaient, cm j05-un1.nli. à Essen La,

En admcik'ni q''' font Cc P''''' '''''' ,re..r.,, ne ,,,v,,,;.-out, lors' de 1000v-pu- UN COMMUNIQUE Die ',INTERIEUR

ice,/.?.isré,..' eigess'',/en/Zsga/''Ps dP/V-37,-,f l'a7t/:11'.. aas-ms00-n''-'ea/r./lastP0Poletc//I0c,P;Zaern,nm,,,,e ade, Lo ministre de ltériem nuus renne.'nique la note survente .

ni. Et, de fait, mal ne peut savoir ce que et dans la Ruhr et en France. .

le Trésor français tirera de celte aventure Sur les ordres de la C. G. T. U.. les Ica,. . Le ministère de l'intérieur avait etéavisé que deS communistes qu'accompa-

Il n'a a que les dépenses qui soient ace' dom rentraient en France afin d'organiser 0.sin sa agotan, aapspg 0/0 is 80,0, 5.4_am certains grands centrm tels quo Lyon, 3-

tomes._ Saint-Etienne, Le Havre, Bordeaux, Mar- tarent rendus en Allemagne pour conférerEt encore I Un publiciéte allemand très ama les membres d'un comité d'antion con.

cor... et Utri Wed pas un/neer-eux Pau' ;alli'asa./'-x-j;aniaa`/PIP',.:t " r',, .t re .sa [ L''' ' potion.,, , .do. tre l'occupation de la Ruhr.germaniste, M. Georges Bernlacedt, nous! ire i..,,n._âilâmâe.i. Les agitatoms se disposaient à . rendre

p.évird, dune na dal'n,Ie d° Id 11 L'.1..ette j Mennmuamart, ou le sait, déjh aven ate âne 51 ami sur am mot d'ordede Voss », que no. acins. naos nitcn- expulse d'Essen par la poli.. allenuamie.

Imm parvint on ne sait d'ou, ils reprirent

dee d aller Ela. /Mn .ln. n... n. Penserm. Il était de retour, hier , à Paris, ainsi que prnelpittunrnent M train pour Paria. ora ils

n prévoit que notre occeffation devra dire ses Compagnons.arriVarent hier motivé fi heures.

,r,,,,,,,,, mobiliser si,. ts0.0;s00 p000 I COMMENT ILS ONT ETE ARRETES ..ni la Sûreté Onkel, apprit, à 3 hourraLeur pasenge à la gare demeura inaperçu

étendue d une façon illimitée, qu'il no. i"polo pl,.. gr,A ..,i,. A rA11,,,,, Ca sOnt /es commissaires à la police J Leui-.....1 de l'après-midi, leur -retour et leur intem

gna.t cia ra .1, aux délegatione jadiciatam, 11,i,rs1..

aUs'ran.Bedeles.rt0l'Ullert.cietateueueli-e'rttiGtuarel'all'1e1;

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cette 'menu" a Ch.je.g. "'''l'iéer,

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'''S cl'. olriroce,,,d1,6 - -- - allaient permise â la suite des résultats deCore am le gnuanneinent franç.,. ' Cnst tin ICIS .11iil'Ir«.....''',,Tiie.e. ilICIIIPIn'ti, froc ""e'poasibre. Péril intaffirmire Pour lm.. .m-8- crime contre la sûreté de l'Etat. Le Parquet fol immadiatement prao,criner non pas d renoncer <I nos projets sur Rh Guillaume s'est rendu rue En-ele-ZoM, et les deux fiolie.. combinée, prvineent.la Ruhr, mens cecener les propose-trona a Samt-Oden, .chez Monmoumeau, qui ha- muelnues heures a êtablir un dossier quinotwelles ,i...1,7 peut-êtee on prépare à Ber- bite 1,00143 adressa chez sa femme, dire.- "naYan catteacce "01' aux I accc'at'calin ? C'est assez orerisemb trice d'ion° crche municipale.labe. de- m.mplot rant, la sûreté intérieure eta

c0,/, cas, bes gn nos/0,s,, 00antna est revenu hier d'Essen et se diapo- c attie, ,,,..,,7niff.% 1,7, talti.

, a0,../0,0 ch0, sa,0000 /sons sait â q uittr Paris quanti il a êté ap f100 le soin à 11 heures,à lantElte assiataient le garda des Mea.,

çne, si elle Peut o'c'e. N''''. ''''''iik". c'''''" q"' I A lkiiyin ' é '''t tai,i chez m. ceci con_ te m-,,10,0 ,le l'intérieur, ', Pr.nrêTof 56'

ll,,, d /0 F881'.8 1k-. sidesrarns l'acoltl'nmm, étant, cons graa'to yaiens, néral M. Lescot/va, /a prmairesur clet,11,B4o--atneetages tentébles, hésitera elq.tant l' oc- D'autre part. M. Aurelio., cormisissolne de nre1Wine ca cha'aciece dec la û' a'mipation militaire q,d n're,,ece . Prouffme police, s'est rendu chez Semart, cheminot ialc,",,,,,,8,,,g ags six 00,,,0.ssistas ab

p

,pho riche, tele gut nourrit toute /a rayon., scrataire géneral du Syndiee dm '. i'-'',1,-1-'''sxâssx0s. piein.T,1 onarriona

Et lns si,romotion arernande. demeurant, MM. boulevard de lanam vouo croire

cheminots, deaus qu'en pré- Villett e. T e't, tartier, fut dachl ea, a elle a eu

delt,,,, ggnsfa/,,,,,,a de r An,,,,,_ Semart était absent de .. do.,çi!,, . 1..i,..'u._'...." I. nuun'' d'''"'''''''hul e''' i'.. femme a déclaré uart «ait emore eh Mie- saamnm.

.slinls, lis,/ a, ign, dg-

, g !;sell -,P./70:". "a c "ccea a "a Pm./q

' I L i e h il m, Des Pern,nil, n" "1nagne, .17. a, con rd remcm. ce e a - ,, ,, ,,... ,,,,,,,,,,,,é r,- ,, ,,,,,,' ination on suppose at l'on a omit. cela T1,19 "1 an a'''''' '1'ams,,. //sas ded'a" tacic"ca dit erse tore s- des ,nffices assez serieux qu'a cd sa m le hlTaan 'le 'M. e" " r;G" de ta P"Ii'' P..i''''''t eb., eld'.. les . tel à Paris cl qu'il se cadi-Je/1m des amis. Pinaien, ,a a''' ''lla'11";a,,'.:ca,-,0, a, ssi.

mea,' .0 anmerneemnt français, une .Cht Semart, l'oparation fut nulle, On a Des documents intéressFalavanfe anne de care.=t, a I. condi: ' saisi une correspondante établissant <pieu sia.tien marras, Plle C'er,ff8 arme cm. an r9te..mbre a en novernb, drnim, M semé- Cinq mandats d'amener 11 10 exécu_framemo ,re- r,-.., menace hart torrionra taire geneural du Syndicat. des chminota se . ter.»plus d'effet tneeresée ente réalisée. L'Al. trouvait a Museau, apras être passé par j

anlemeene redoute r,,..,,,i, d, k R,,h,.. lam/in, ou il était rest4 ri 'ri jeun. Et ' Ce etti se rasse taus la RuhrSi el"e doit la se.bir eVe fera en sosie de 18147a a'aci.

f,n 'o,,',' ,b7:.''''''''?" en Pae"t te mc4" rend Carou.3, rue Carducci, chez Albert Treint,M. n conerniasaire 4e p0100 cent'

ue tex-instituteur, capitaine pendant la guerre,Si ae".n, "ennn't'n mi de-ne duit aoars, av. propagandiate de la Section fram

i'`.,'""ré 5.'"`a ''''''','''"I'r I. `111"1.`-`"n .nin. çaise do l'Internationale munneeniste. Il a

n'1'aT''', ha Tmmém én dsm'ff ffee frchrma ..été arrêté <d .voy.a au dépht.gantoises, il an,' hien kué son tenon Ni. Pols, commGsaire da poilce, a ppmnom aerrusst Rn premiers à le aire. nuislionnri â l'Union des Syndicats. rue de

ferai" s'il enbradit ing Ruh, sena csesp la Grange-aux-Bellea, <fana le bureau daffars °Mem, rama petsieq,,, à land Monnmusseau. Il a saisi caca afftchoe decramdre, e'eaaa_jr- ,,..,., itrotestation dentre l'occupation de la

ell.l glilelq"' ' g'i ccpcccchacc Rtlfia, M. Faraling, eoarmaisatre de Pa-l jice udiciaire. a perquisitionn a da m leshumaux de « L'Humanité o.

Tous les militants errata, sont inculpasd'attentat contre la sûreté intérieure etextérieure do l'Etat.

&gammes, trace une nauve'da calception

Voici qui est plus rammer r M. Poincarécommence à agir nomme site peos étaiten état de gnerre. Il orocéde à des or-',stations sensationnclles Il fait le dicta.tem, certain qu'il est rie l'approbationde le mairelté de la Chambre.

Qtrealc que sait la eravité de rogués' mlion n'incube, ronémdion Politique iraerin, ,eel tende notre attention.Elle est tord .ssi inquiétante.

Mono marehona au fascisme. None gccaromt. Tard pis pour mus qui neeiicrçoivent pas. L. H.

ARRESTATIONDES COMMUNISTES

L'..49.-ven.t.u.re se corsetrrestation des Leaders Communistes français

Les Américains s'en vont

nan1r1.'enelei qui s'est tanne cetto suit.100v-or.-or. A la aune dune'

saiaistere de la justice41,Crolrat, garda. djea

1,ss0ogna.

lelfeûterffl-elffelaa'ji:///S=a,earar Î:f'''Rillgrlelanefeare';';et, Nansen prédet ,detro.âce, il a été

décinc

da do. 'da rler,c10a.l'aerestation d'un certain nomae qui s'étalent rendue. it 1%1ttE les territolres risenapa cl110 Ion potall. ?,:'

.â.tâ ttroupes u.-.strolter et à tirer sur boa â9paraionf. le

tes contre cesest done d'attentat contre la ma te a

L'inculpatio n relaver,:Pree11801.%

PERIao Partie de ma mesurm a êtê mise à

v0 matin et, vers 7 h. M. on a BJTMaa- 8"ml 1,1' nunn18 al de DnalffeS, .1-itviron a Parretation de Morimotiosnan, MinIstrateur du journal communtste.

meretalres de la Fédération corn- A midi 20. ho commisaalre et ses aaentssecretaire don Satanas ire, sortaient du bureau directorial thore.ls

s; Qoudeau, du SvadtcaL dru P. trois nouveaux et valuentaeux Paques deeint el Lartigues. 'Ces personnes/ doonments scellés de rouge.

51401101umndiatetnent oonduitea au par- j Lm commorist,ea appréhendas oa étécréera. mes les roma, do la police

, 19.1érraga 0 Part, des pennuisitions sont am claire, quart de l'Horloge.ana a...nt en cours au journal a L'Huma Aeras tua ha, latermanto1re d'identité,

Ts,''set nos siàge 4111 Parti communiste de r Il sont dté dirigée sur le Dapôt..1,48 Graege-aux-Belles. 1

par qchrtze I LE CAS MAIFICEL CACHIN0.,olseeataana ont dé faitestatsmasaires mea Les manade rrà, Demain, b la raquate du procureur gé-

, 'sidniksrie àl. Jouesolin, juge d'hm- aérai, Io gouvernement dapeera, au <>but

CE QU'ON DITA LA C. G. T. /CET A e L'HUNIANTrE a

Co /natio, des 7 heureg M. Farageg seprésentait, muni d'on mandat de M. Joas- Berlin, 10 tunvier. Le tnumonl cat.'solin, et accompagné d, cinq de ore agents, munIste a La Bote Fahne reeelt d'Essen'rue de la Grange-aux-Bellm, aa siège de le traeggaffame mtivantIn C. G. T. II. Il en ressortit après une nt- e Les machines et les autos sont rejore-pige perquisition. tees des grandes usinas Krupp. Quant a la

Le magistrat s'est rendu muge â population bourgeoise, elle attend l'arrivée« 1:Nur/mai% a, d'ail il a été téléphoné à des Français avec caltne, espérant wenteAmédée nuamis, secrétaire, génaral. la qu'ils rétabliront l'ordre et qu'Lls mettrontpriant de hien youlOir assister aux perglai fln aux grèves; ella canarderait, es 01alr.,sitions qu'il olisil °parer.

Amshlan Dunois arrivait h g h. 30.faire des affaires avec les occupants.

Les ouvriers, au contraire, seraientLes rlogaectaum avaient delà Monilia /te haas excitée. mao non par patriotisme.

eourrier, qui mulet/ait mata/am/mi des Cette excitation serait moins contre Poin-mandats d'abonnement pour imo somme de care que contre Stinnes. Krupp et les

es ellViren, gros entrepreneurs qui n'accèdent pas auxTous 'es bureaux furent visita. Pour tlnir demandes des ouvriers et dee ...n'a.

M. Faralteq pria Dunois de ln. condUire à n I/ faudrait compter d'id. imar avec no.eatni Marcel Cachin, dont la tmm etait mère générale.fermée à ale. Commentant cette dépêche, Forme coin

Dunois se refusa â ouvrir d proteste an moniste daolare eue la hglérécgiolc deamermana de l'immolât parlementaire de Ca- de, comme en 1914, que la mame des all-ah.. vrers sauvegande ses intérêts et fasse la

M. Farajicq et ses aides, avant enregtstrit grève générale contre Proincare.ente protestation, quittèrent alnes 1,1111- LE SYNDKIAT CHAR RBONNIErmoité

ale mou/Raient trois pagne'. en, dom, DE LA RUHRmonts.

TRANSFERE A HAMBOURGMais, à tt honora, le eommf,,,h, nnn Ber/in, 10 janvier. Une assemblée du

dRinettnno judiciaires Rait lie retour rue aVudicat du charbon de la Ruhr, MunieMontmartre. Ilvenait de eoaffrar hier, a Mate/ Kaieserhof, à leasen, a dé-

tnesselin. Reneontrard ,Amédée //sua., aidé de transférer le siage social 'du Syn-dana lite prla de remonfor, Ravi_ dicat Hambourg.sent cette toia que. de gel ou de force Les rePrésénicilto deo gmcie,o, qai ago-il en/mitait perquisitionner dann le bureau talent t l'assemblée, ont alTrouvé cettede Cachn. mesure.

Sur musante refus d'ouvrir do ceeeirepe Les employés du Syndicat ont consentidte L'Humanita n, un serrurier fut requis (+gaiement et se sont déd.ra7 Vêt' a' ce-ci 311. Farallon put <man panda, dam la fuser leur concours aux ingénieurs effan-

er., qui ont rompu le traité de Versait .lest ils ne veulent pas mettre a leur dis-position le Syndicat du charbon qui est uninstrument prao-feux de distreraton.

EN ANGLETERRE

LE PAMNET BRITANNIQUESE REPAIRA DEMAIN

Londres, 10 janvier. On attache beau-coup d'importance a une réunion qui netiendra demain matin, du cabinet britan-Moue.

Cf. admet généralement qu'il délitera de

SOCIALISTERéciacti. et Aelmiulete0e5e0 s *8, Rue Requeluine - TOULOUSE Tél. o-45, - Compte Chiques /muraux 55s-yy

BUREAUX A MILS 46, Rue <le TIMM..., 45 (/"X` Aneadis.antt) Teliplsons 30es ara 35-ao

LA CONCENTRATION DE NOS TROL1PES

Paris, 10 janvier. mande de Co-blence au a Matin s

a Tm. As mouvements de concentrationse sont apées sans incident et dans ?noirele plus partait. Non snulement ;aucune dif-ficulté n'a été soulevée pal- les autoritésutilitaires britanniques de la zone de Colo-gne, qu'il a fallu traverser, mais elles ontprêté Papote le plus empressé, faisant gar-der toutes lee voles ferrées et détachant necpostes rem endroits utiles. aRETRAIT DES TROUPES AME.RICAINES

Washington, 10 LE PRESI-DENT HARDING A ()ADONNE LE RE-TOUR DEI TROUPES .5/MEA/GAINESQUI SE TROUVENT EN PMENANIE.

LES USINES KRUPP EMPORTENTLEURS MACHINES D'ESSEN

IL ELOTZ

Etontineeemeoeeeneelaisser les détachements militaires anglalamir le ntld,n. tant que leur présence danscette zone ne les exposera pas à atre am-pliequés dans les conflits.

Il autorisera sir John Bradbury et conti-nuer sens certains conditions, sa partici-pation MM travaux de la C. D. R.; mais ilrenouvellera son regret de ne pouvoir Sui-vre le gouvernement français dans unepolitique qu'il juge dangereuse.

Le cabinet déclarera ne pouvoir accep-ter aucune reeponsabilite à ce sujet-

EN ALLEMAGNE

LES ALLEMANDS Km. na manOFFICIELLE:SIEN-a

Paria, 10 janvier. Oct aprês-midi, âquaMe Marsa, un attache du miniatère desaffaires étrangères a remis à Cam/masa.led'Allemagne, à Paris, une note de M. Peinenord, notifiant au gouvernement allemandIon mesures que compte prendre le mye,nement français/ à /a M. heure, l'am-bassadeur de France 10 Bertin faisait unecomunication identique Ans Wattman-stras..

truntre part, le gouvernmas mare, sa-hdaire du gouvernement français, "pourl'exécution de ces mesures, a fait faire aumême moment eent u double communicâtionanalogue à Emelles et à Berlin

La note du gouvernement français per-ciao mordqu'en raison du manquement constaténa. /a <omission des réparations dans leslivraisons de charbon et da bois, U omitdeveir envoyer une nuamen d'ive:Musdo-s /a Ruhr pour exercer un contrôle surira livraisons do charbon à recevoir del'Allemagne.

Aucune p7énIslon n'est donnae quant auxendroits où devra salonnier cette memion.La note indique que cette mission d'ingé-nieurs eat accompagnée de troupes dansun but abelniument pacifique. A savoir i envue de garantir /a sécurité de la missionet d'assurer I ordre sur les peints où elledevra exercer son activité.

Le gouvernement français a fait connaî-tre à Londres, dés hier soir, par l'intermé-diaire de notre ambassadeur, les mesuresqu'il comptait prendre dans la Ruhr, ainsique les raisons qui t'ont amené à cette dé-terminataon. Dans l'esprit du gouveine-ment français, le pian soumis à la confé-rence de Paris ne devait pas comporterl'entréo de trou,pea dans la Ruhr. Coitesramon du toit que la larande-Bretagne npas cru devoir s'associer aux mesures envi-sagées que le gouvernemeat français et legeamernement belga out cru devoir faireaccumpagner la mission d'ingénieurs deusines aillés d'un envoi de Mmes quiveilleront à leur nacurite.

Une caummunication analogue ci été faiteà Borne auprès du gouvernement italien.D'ailleurs, deux ingénieurs italiens sont aunombre des ingéraient, qui font partie dela miSsion qui se rendra I Essen,

QUE VONT-ELS FAIRE/terlin, 10 lenvier. Le chancelier a

donné â la fin de l'après-midi à la.0011/1/al,sien des affaires étrangèree des indicationssur Ra mesures que le gouvernement alle-mand envisage.

Nous croyoussavoir que ces meemesseraient d'abord une protestation auprèsdes puissances signataires du traite de Ver-sailles, ensuite une reatriction des relationsdiplanatiquee, en prenant ce mot dans unserra très étendu. I. ambassadeur d'Alterna-gna ne sera orle rappelé, mais il seraitpossible qu'il obtienne un congé.

Les re/ations avec /a commission des ré-parations et avec le milite de contrôlemilitaire interallia seraient pratiquementsuspendues.

Tmtes ces mesures n'ont Meilleurs pasun caractere ferme, cor elles dépendentessentiellement de l'étendue de l'occupa-tien et de la nature des mesures qui amront prises du côté franco-belge.

Le gouvernement déclarera eoneideercette occupation comme un acte isolé et nevouloir entrer d'auoune façon en négocia-tions saparées mec la Prame ou la Belsgigue.

Il est exact, comme l'annonce ce matinlu ti Gazette génégare d'Allemagne t>, etdamne nous le disons taus haat, ouetesyndleat des charbons se transporte àHambourg, mais on sait trie M. qu'il nepearth pas y exercer son activité.

Tirages FinanciersCOMMUNALE -0900

Paris, 10 janvier. Le rf' 1.164.867 edremboursé 200 000 fr.; le n° 115.34t estrembourse 100.000 fr.; le n. 100.259 ed rem_boumé 51.001 fr.; te n° 548.861 est rem-beurea 10.000 fr.

Les deux numéres suivants sont rem-boursés par 5.000 francs chacun

1.195.921 15a7.02f

FONCIERES /9/7Le numéros 386.676 est rem/ourse par

200.000 fa, le n° 15mattrat est renthear<6par 55.000 fr.; le ra 1556.411 est refaboarsepar 25.000 francs.

PARLONS CLAIRQuelqu'un qui doit trouver que je ne vous f ait pas réfléchir ? Appelle-

; rets bien longtemps à lui répondre, rea-vous défaillance co qui fut le plUSe est le citoyen qui m eenvalt au len- clair des actes politiques et qui donnademain sic monarticle qui date déjà au socialisme dans toute la Franceas commencement de décembre une autorité morale qu'il ne tenaits Pariez clair ! » r Vous nous dites qu'in toi de ne pas laisser protester ?qu'i/ faut se renouveler, que les par- Non, cent fois non. Il y eut de leurin, et même le Parti socialiste, qui part et de la part de tous, à la lueurest le plus jeune de tous, ont une tragique, une vision nette de nos el.-tendance déplorable à remâcher les tins qui étaient, puisque c'était lavieilles formules d'avant - guerre, guerre, de /a mener a. son terme etMais encore que faut-il faire ? Ex- de lui donner sa signification.pliquez-vous ! u Et alors, puisqu'au moment crut-

Mais fichtre ! il me semble que que, au moment de l'action, et c'est kje ne fais que cela citoyen ! l'action et sur l'heure, non dans les

C'est à propos de chaque événe- pa/abres ultérieurs qu'on juge leerment, de chaque fait particulier que partis, le socialisme a été â fondje m'emploie, comme c'est le devoir dans la défense nationale, est-il ad-et la joie du journaliste à dire com- mumble colt en perde le beneficement je l'envisage, et comment, sui- moral. qu'il ne dise pas à ce pays,vont moi, devrait l'envisager, s'en nui tirant la conséquence de son acte,sir, le grand parti que jr voudrais animeIn l'avoir sauvé du inilitaris-voir mieux se renouveler pour mieux me allemand. il est prêt à le défen-remplir sa tâche, qui n'est rien moins dre encore, autant qu'à l'arracher àque de reconstruire le monde, tel que I sa propre réaction.Pa fait la guerre, à la fois plein de Mais la guerre est finie I

périls et de possibilité,s, de dé,astres J Oui et mal finie, parce (m'au lientet d'espoirs, mais dans l'ensemblepret a recevoir notre marque si noussavons l'y mettre. Un programme ?Pensez-vous I Nous sommes saoulsde formules. de déclarations, de mo-tions et de l'ingéniosité stérile à con-cilier des contraires. Non, des actes.Et à défaut, si notre impuissance nu-mérinue nous prive d'en accompdu moins une critique claire et vi-goureuse de,s fautes qui nous en éloi-gnent. Ln exemple ? C'eut bien facile:

Des sociatistes viennret de quitter Ma, d n'ont Das mort et meme il tuejle communisme. Ils en ont mare de les soniété0 secrètes, les mobilisationsMoscou et de ses ukas.. Parfait I oéenlles, ion onousstssafn d'Erzher'en

de Rathenau de tant d'autres, /esent assez. clairement. Un autre mili-tarisme s'organise dans la Russieroege, jetée aux aventures guerrièrespar /a faillite même du bolchevisme,ainsi nue Grumbach l'a démontre aucongres de La Haye. dans un dis-cours saisissant que le parti devraitIode à honneur de répandre, pourouvrir les yeux des niais qui hèlentIn paix, sans vouloir prendre les me-sures positives pour la sauvegarderet dont la prétention est de ne pastendre le cou. L'Italie de Mussolinipeut nous réserver des surprises. Etl'Angleterre est là, que le travail-lisme n'a pas enrere tout à fait con-quise, et qui est jusque-là vouée à.l'impérialisme par son histoire et sonéconomie.

Le problème c'est de faire une po-litique extérieure qui, en pacifiantl'Europe, enlève à tous ces militaris-mes leurs prétextes et pour ainsi direleur milieu de culture, en mêmetemps qu'une politique de défensenationale, qui ne nous offre pascomme une proie trop facile.

Et cela le pays le sent, le sent pro.fondément jusque dans ses fibres

secrètes, jusque dans ses assisrnébranléeu par cinq invasions enmoins d'un siècle et demi. Je parledu vrai pays, profond, pas de la

clientèle ordinaire de tontes les sur,enchères. Il est las du militarismeet veut souffler ; il rejette le blocnational qui l'écrase sousda cuirasse.Mais il veut être défendu par des(moyens apprepriés, et vomira toutparti qui ne lui garantira pas la sé.carné de ses frontières et l'indépens

de rester susou au bout dans la dé-fense nationale, au pouvoir, on in-fluant sur lui. nous avons été ab-sents des délibérations de la paix.

Pendant quelque temps encore,peu mie temnn si nolen savons agir, lesmenaces de guerre sont à peu oresaussi nornierettsev qu'avant, t'urémiemoins terribles du fait que le mili-tarisme allemand le mieux outille",le ut. puissant, en a pour nuelquesannées avant de reprendre haleine.

Ils sondent h se réunir h nous. Encoremieux ! Ils s'appellent Se/lier, Auray.Ponard, Barabant, d'excellents espritsdont cruelques-uns, sans doute, sontfort près de moi quand ils nulle cou-rage d'être simplement ce qu'ils sont.

I Mais ils chargent Brizon, l'un dontrois socialistes qui ont refusé les cré-

I dits de enserre pendant la guerre, derédiger le manifeste et Verfeuil,l'homme s boulet de la victoire a,est leur secrétaire général A/ors na-turellement Verfeui/ et Briren, logi-ques, placent au fronton de leur mai-

1 son nouvelle, qu'ils prétendent assezI grande pour y abriter l'unité s Pas

de défense nationale I L'insurrectionplutôt que la guerre 1 a

Grand merci I Cette unité-/à se-rait mortelle oui mettrait le socialis.nie hors la Patrie. Je connais quel-qu'un qui n'en sera jamais.

Mais croy.-vous que ceux qui seprétendent l'axe de l'unité nouvelleet qui dans le moment même où ilsla prérenisent prononcent des parolesqui équivalent à une exclusive contreceux qui ne sont pas prêts à renierleur position pendant la guerre etdepuis, auraient autant d'audace, s'ilsne savaient à quel point sont encoreempêtrés dans les sophismes d'avant-guerre nombre de militants sincèresniais dont' l'esprit n'a pas fah l'effortde s'adapter à des leçons cmi auraientdû être. qui sont par elles-mêmes leplus grand d. renouvellements.

Que Guesde, l'adversaire irréducti-ble de le participation ont pouvoir, yait participé quand la Patrie était endanger, Mie Vaillant, le vieux révo-lutionnaire impénitent, ait été tell,ment engrossé pour la defense natio- da,,nce de se polit quenale, qu'il soit MOrt dans le chagrin r-sj-re clair, citoyen'. ?

de la voir méconnue par quelques J. PAUL-BONcomt116 da Parieéchauffés de section, est-ce que cela .16

- PREMIER Ei_E L'AN

tClicfié du t Cana d Eacharné .1.

C'est lu concierge, qui oient pour l'étrannAI egnette I Ppset-là d000 sous le paillasson,

16 CENT.JEUDI /1 JANVIER 192,i

Les Alliés ont au moins trois planssur l'art et la manière de faire payerles Boches.

Pour ne point payer, les Boches n'en

ont qu'un. Mais il est bon.onageaMegaMmagaugmoreMelagatammentMAMMIMMBIBItar

EfieEmémarmagruneataimull11111

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

UN COUP D'IL

SUR LES AFFAIRES D'ITALIEtee ,eoe*

Les projets de Mussolini.La débâcle des Moscovistes

LÈ... PARTI MAXIMALISTE ITALIENEN PLEINE DISSOLUTION

Après les partis communistes de Fran-ceet de Norvège, c est au tour du parti

socialiste (maximaliste) italien de pâtir dela manie dictatoriale de ildomou. C21,11Dal'Internationale communiste aura fini deaeg,b.rd, par ses décrets mégalommnes, ses partis adhérents run après Pautre, il ne restera plus grand 'chose à fairepour les adversaires... de ceux-ci.

On se souvient encore du congrès deRome du parti socialiste italien. La frac,Lion maximaliste y ayant, sur Ion ordresde Moscou, provoqué la scission du par,ti, elle envoya ses déléguée au 4e congiède l'Internationale communiste, quivient de se terminer à Moscou. Pour Yrecevoir sa récompense sous forme d'ad.mission au sein de l'Intrmationalecheviste, hors de laquelle il n'y a pointde calot

Les dictateurs de Moscou les ont sescueillis à leur manière. Le fait d'avoirdétruit l'unité socialiste en Italie ne futpas reconnu comme preuve suffisante deleur soumission. On leur présenta les famenses 21 conditions, qui ont causé larume du parti communiste français ell'on y en mouta 14 entrez,

Voici quelques-unes de ces conditions:Le citoyen Velte qui, au congrès de Ro,me, avait fait des réserves au sujet del'adhésion à la troisième internationale,doit, ainsi que ses adhérents, être excludu parti. Le Parti socialiste doit immé,diatement fusionner evec le parti runemoniste et adopter /e nom dc ce dernier.L'Internationale de Moscou désigne lecomité chargé do réaliser la fusion_ Uncomité, syndical, présidé par un déléguéde Moscou doit organiser la lutte contreles it traitree Ametmelem n.

ti Les journmro socialistes et commitlistes doivent fusienner incessamment.

e La rédaction de l'organe central duparti sera déeignee pour l'année prochai,ne, par l'Exécutif de l'Internationale deMoscau.

Le comité directeur a voté àmité moim l'abstention du secrétaire

une résolution approuvant le projet deMenem, tout en ajoutant certaines timi-des réserves destinées à faoiliter des mu-difications de l'ordre de Mes.u.

Mein si le corne dimcteur o obéi à lacravache de Moscou, il n'en est pas d,mari, ris., les autres militants du

aximalistrure directeur de

est un des serviternis les plusdévoués deMoscou. Il /miliu aros sen murmel, endate de 3 janvier, un article justifiant labeim immédiate des deux partis.

Male é ec voit obligé de Publier, damle même numéro une article de Nenni,secrétaire de Paoli oui n'élève avec entregin contre l'ukase de Moscou.

s Je p,en,se, one si notre daé-nation, à Moscou, en la direction de partienti en a nemrouve le travail, avam reçul'ordre de procéder à le liquidation àtout nrix du paidi socialiste, sans aucunbénéfice ni pour l'internationale, ri pourle prolétariat, vile navrait pas agi amtrememe

s funi0i, ;médiate des deux partisqui se :sont constamment et violemmentcombattus est une impossibilité.

n Lin drapeau ne se jette pas commeune chose inutile Si encore on baissaitpavillon avec honneur, avec dignité, perun processus epontané de sentiments t»

VIE SPORTIVELES NOUVEAUX 29TERNAT/ONAUX

DE RUGBY.1-lesumpe de Franee comprend trois ...veaux

internatiorism Latande, Dosnont, Bayard. Vcicipireinum notes sar chacun d'em r

LALANDE aaà do 22 ana, est onilitoi,u à Pa-ris, au 5. génie. Il est originaire de Château°uaeh 01 oua ses prerniers marches toujours eameneallier. Venu à Per., il lit des slébme très terme-anda au OEUF il y a drissm, Sa vireqe,nelsemee on.fesesient un bon maquent. inci, sa-orge ne savart pas ionar L'an dernier il pues

Crun-erni Sancilh au .0 A 5,G. Enfin, est.année, a suivi Benmier Racing. et en clue,miss Omis, O a réalisé d'inc.testables progresTrès redoutable par son rentrant. jouent eau: unecene roDlIatfiatle, d est erre dl' u' axé.,rr esà embases, M'on peur dise. Manque peut-etre unpea de messe po. un ailier internerions/, maiss.l... ce làgee elgeat par de nombreuses

quslités sien bien en attaque qu'en dé-fense.

DAYARD, nui mt âgé de 26 ans. est . Teslousain ear sang. A ton.., joué, ainsi que -ne.hère, dans les &mines du Stade Touloumin. Ilceensis tour étui! le poste de pilier, de talon,nec.. mdane de contre noie.. àsne. Spécialisédepuis une mien» dans le tslon.ge u /sit montsrire pope de ...és d'énergie et de connalemnsedu ier rqu cemarnimes. Su. également tris biendans le ie. ouvert Bayard a été chempion deboxe amsta. des Pyrénées, mtégorie des Poidsmoyens

DUPONT, Sgé de 27 ans Originaire dee the.tes-Pyrénées. A débuté à Pans dons l'étoles del'A S.E., en 1918, mate il mrsit in. Précéd.,.ment à Tarbes et à Toulouse. Dupont p, del'Équipe de VA.S.F. à lo.e du Racing oit il fit.il e a deux ma, une fin de mie. aue,llnnie. SeaPID/ltèe ommimenment déjà à ennemi, O.vt àson courage. 1 état légendaire En fi. "de ssison,Duenun fut sérieusement toccUé et il dut attendre/a mison sutrams po. rejouer, Démobilisé,reinignit Lomdes air il a joué les deus demiuresmisons Dur.. n'a cessé de demsomer ses neogrès jumreen loir où il est devenu le meilleurdemi de mec français.

Parmi les serneknants, Dournac et André Bd.hoffauy joueront cens duste dans Pennine doPrimo si, eorrun. en est ouest... imarèscr stBorde ne peuvent se déplacer à Dublin

DOURNAC 27 ans. Il est le file d'a.n gros né-gociant ris Tordeuse. Cies un rem vie et adroit,race oui n'a pas de chences, It eet rarement serri,ou dons ele mamalees condamna

Amibe fitEHOFECJM, âgé de Il ans, est .Remuer>. eau, Employé de banque à Bayorme,il Mus truie alsone à l'Ave. Savormats. auxtLe de son f Mre Hem. aujourd'hui au Ricins.'Adroit, rapide (il est recordman d« Ca. &mem.ale mut en longue.). i/ e k sens de Persaneàleatiner, de la feinte. du erochet, h:guettent coup

SERRATI DEM1SSIONNEDE LA DIRECTION DU AVANTI

Et voilà que nous parvient une déné-l'

rire de Rome selon laquelle un conflit ou-vert a éclaté au min même de la rédac-tion de u Avand

La majorité des rédacteurs, blessés àvif sana doute par la condition qui veutrésereer à Moscou la nomination de lared.tion, se sont insurgés. Ils ont prisPcssession des bureaux du journal et for-cé Serratti f, donner sa démission.

La crise ne tardera pas '2, se trampor-ter don la direction meme du parti.

COMMENT M. MUSSOLINICOMPREND LES EcoNorvnEs

M. Mussolini s'est flatte à diverses se-prises de vouloir amsinir les finances del'Italie. Il envisage à cette fin toute uneteérie de réformes administratives quis'inspirent des trois directives suivanteseue/armer le personnel en auunomfuce,réaliser des économise et, en mêmetemps, donner une allure plus commer-ciale et Moins bureaucratique à toutes lesadministrations.

Les agences à la discrétion du dicta-teur annoncent que les ministres, sansrection, siègent en permanence depuisPlusieurs jours et que leur activité s'étendà toutes les questions.

Cependant, jusqu'à présent, on ne voitpas bien quelles économies appréciablesmet sorties de ces important. délibéra- Ifions. Au contraire l Tandis que, d'unmâté, le ministre des vides ferrées an.:nonce la suppression dis conseil d'admie jnistration des chemins de fer et la'sedum I

fion prochaine du nombre de couponsgratuits accordés aux cheminots, une dé- jpêche de Renie nous apprend que le l

conseil dec ministres a approuve Fang-mentation de la durée du nervice militai-ré, qui est maintenant de dix-huit mois.Nous pensons que cette mesure, quie à 300.000 hommes l'armée immanente 'de l'Italie, est capable d'oheorber JPUI

moine dix fois les économies réaliséesr l'administration des ehemins de fer.'autant plus que le nombre de fascistes

Voyageant à reed doit s'Entre accru dansd'irrepre-Xonneentee proportions. Mais cen'est pes tout

eait que les erditi. légionnaires quieffectuèrent avec d'Arimirmio le fameuxcoup d'Etat de Fiume, ent censerve uneattitude hostile à l'écerd des tem:etre.DD/all le but de s'assurer leur complai-sance, sinon leur appui, M. Mussolini aprix Initiative de constituer aux muti-les et aux familles des velontairm tuéspendent la prise de Fiume les niâmesavantages en cs., qui concerne les Pen-sions latte ceux core pomment /es soldatsde l'armée régulière st leurs familles.L'effet rie cette lergesse aura été', pa-yait-il. immédiat.

On armee, eue le directoire des lé-gionnaires fiumeins a aussitôt approuvérenvoi,ii M. Mussolini d'un message quimarquerait ranprochement ccesidera.ble avec le chef du goevernement italien.

Cette morose de M. Mumelini est peutêtre très habile, mois encore une foisde n'a, rien de co,,ommr avec la pottictuedes économies. Les ameuses ri.formeefinancières du dictateur paraissent se ré-duire à cette double °es/mafiosimies sur le dos des adverseires, dénoncesan profit dee amie,. // serait sans doutebien intéressant de connaître la balancede ce bilan de dictateur.

rond en tombe LIn d, phis mermiSaneego français du :mener.

DELLO, CRIQU1

Criard a une bonne preese lux EtatsUnis. 1.-

07.-7,e'ril'S'in.rm00si1e challenger que Kilhuncait jamais reiremaré voilà l'extrema,. dont sesert, dons le Nem-Tseh Sun, Joe Vils, le Pl.

de à Nes-York, le a Desman.. Di, r.Un mare journal«Cricsmiest le meilleur homme deo ca casés..

en Europe st aune esse/len. chance de rennes.ter le chsenciamme du monde en ba.us Kitherre.tic muon,. il est le plue femnideble challenger nueKilbene air immis sencertré. Il est jeune, et. endép. de se, grandes blessures de guerre, d rotvie, vigoureux et agile C'est un bossui sidmitren non midenent peut 'donner des canne nifilffenmais peut rend les ergaisser sana broncher.

« Criard environ 29 St. et bene depuis quinzea.. Avant la guerre. on le considétait comme unboueur quekonnue, parce que, bien nue acre..filme, il ou pas Mn, sans doute parcequ'il n'était pes encora mut à Lit tonné. Quermans à so battre cour son nu, l'ont endurci et do.vdkepé ii n appris à cogner dur. Le résultas eutmie. depuis l'aiimimce, tous ms combats ont étécané, es: Lice/soie,

Per.catnement de la guerre!

Un peu de toutJe vais commeneer ce, ;QUI., men maaie.

a déclaré Merneyml, ataàs une visite am dunesde Veuville. ie voudrais smarer le sel Furbone..., je foret mes tentauves sur lu plagede Vauville à marée hs.e.

Le capitaine Amundsen mamie proche,.Tiennent merum m tentative de vol en séroplanesmdessue d. PZ/. Nos/. Ce sera PDtlt b.

C'est vers le milieu de cete semaine miesem terminé le rennort de l'enuuétnier. Peut -erre auronammis te verdict lundi pur'

ARMEE ET MARINE

LA SUPPRESSION DU 21 CORPSEpinal, 10 jattIler. A ta Unie do rat-

tachement tlu 21e corps au 200 Corp., lesreerutenrents StrasboUrg d'Heine/ deSaverne et de Selestat, QUI lassaient partiedu 21e corps, seraient rattachés au 20egoiim à Marey, tandis _que les recrutementsde Colmar, de Mulhouse et, en général,ceux Mt Haut-Rhin et de la parfie Suddu 21c corp. seraient joints au 7e corps.

UN PRÉFET DE POLICEarrêté par ses agents

Berlin 10 janvier. Suivant un lotir.,de HalM, le nouveau préfet de police de

cette ville a été arrêté par ses piofficagents. Rencontré à deux heures du matindans un café au milieu de joyeux convivepur un agent de police, m -venu pour fat eeXectuter une ordonnance du même préfet,axant A une heure la fermeture des débits,au lieu de donner raison à mn agent, lepréJet l'injuria et le mil dehors. Un peuplus tard, il lut arrêté et désarmé par unagent demandé téléphaniq.ment à la Pi C-feeture de police.

Une enquéte est ouverte sur cet inci-dent.

- LA 'MODE

Les immeubles

achetés par les étrangers

L'ANGLETERRE S'INQUMTE In UNE VitRECEMZIifiNT

VOTEE PAR LA CHAMBRELes milieux d'affaires britanniques con-

tinuent, dit une dépêche de l'agence }Win,S se montrer très inquiets au sujet de hiloi rimerntnent votée par la Chambre de.députés françaises, loi qui abrogerldt,elle était appliquée, les droits obtenus enFranre par certaines maisons anglaises quis'y étaient installées, en se confornant auxtermes du troué anglo-français du 13 ami//862.

Un article de cette loi, dont l'effet estrétrospectif. Al que les étrangers eifil [mn-sèdent actuellement des propriétés eFrance, sont lois maintenant dans l'obligi-tion d'obtenir tm leur faveur un dem,stipula,: que leurs droits sc trouvent maintenus. Et, dans le cas où ce décret seraitrefusé, cela signifierait, ou bien une venteforcée ou P100 000 depossesSion

Les milieux d affaires brilanniques es-

micro pou tu bol votre nu PaIriE erorn.,etant donné ruse, dans le cas' contraire, ur,grand nombre de maisons :merises.. irs-teillées en France depuis plus- Muesiècle subiraient des pertes considérable..

Le Semétaire général (Pour iAngleteeimde l'Association France-Grande-Bretagneaurait déclaré hier è un jar nahrste quel'Association avait déjà reçu, er, renon,une protestation envemée b M. t'Okett.'êau Sénat, un eau dnombre de lettressénateurs qui exprimaient nettement lemdention de ne pas inPlanYer. de lem vole mwellet dv /Mi cosidemant que sore applica-tion étéverait un offstacie de plus devantlu consolidation des bonnes relations entrela France et l'Angleterre.

PETITS FAITSEXPLOSION D'UNE MINE

Baisas ,Pyresiées-Oriontales/. 10 janvier.Co matin, vers 9 homes, 50 01,. I Itoen

rigé eOP 29 rn,,19'argyr one, une Stitn.rdlo eec.produdo par M barre de fer et la fit eitiztO r asmii l'heur, Cet ouvrier a reçu degraves coutuisions sur M corps, a la viaet aux mains. /é a été tramporte à l'hôpi-tal edam un etat désimpéré.

NIOLE/NTS INCIDENTSA L'AC.ADEMIE PE

Paris, IO janvier. Des Messes de guerregazée étaient venus, hier, assister asseznombreux h la séance de l'Académie desmielocine. 110 prétendaient manifester enfaveur d'une nifittode de trtaitement quel'Académie ne sent pas mon.fire.

Devant le bruit. le prés'dent, a levé isMann, et fait éteindre I'Mectricité, croyantavoir raison des permtrateurs.e A la reprise, 1ut manifestants étaie.toujours là, st Pin deux se mit à distri-bues gai triai. Un membre de l'Académieayant demandd l'expulsion deti gméseseux-ei crièrent ra Assené/lm I e

Cette scène ee termina quand les !lemagents rCuisiterteirs apparurent. Elle s

calmé e certaine émotion dans les mi-lieux médicaux.

SAISIE D'UNE CARGAISON D'OPIUMElle valait 18 millions de mark

La police de port de Hambourg a seieià band d'un vapeur hollandais une énormequantité iroifium, dont In valeur petit êtreestimée à i8 usinions de mark-papler.LE CALME EST RF,TARLI SUR L'OCE,

Alors que de non lorries transatlantiquesont dû fuir ces jours derniers d' vertviolentes tempetes. I a Olympie » setrlad hier h SoUthamplon, après un vessesi Mime et par un ternps si Iman ri qu'oneût dit un voyage Metp s, O déclaré sencapitaine.

I3N FOSSOYEUR ENSEVELISOUS DES CERCEUILS

Après l'inhumation de Mile Deluy, aumotiére de la Poqued'antbéron, le foi-...your Solvader avait disparu. On le rtrouva au fond du camant Il avait été en-seveli sous 'plusieurs remue ils, par suitde la rupttlre des poutreS gui im sun/mstel. g.

Ce n'est qu'une hem, pins tard qu'unas VI Mores. entendit ses appels,

fossoyeur ne s'était pas blessé dans sachute, mais il atUlta Qtell m'ait en bienpeur.

UNE EXPULSION AVOIPIT.EMarseille, 10 janvier. LA fait que setei

s'ent. déroule, hier matin, rue de la Fare.Dpuis une dizaine teannien, le vieux roi-

litmt eonnu et estimé dmis notre ville. t.père. Nobili, âgé aujourd'hoi de 75 ans, logerue de la Fars, 7. Peur des raisons qu'il nenous sied pas d'approfondir. Nobili reçut,derniimment, signification d'avoir à viderles lieUX.

A son ftge et ear tette celer de loyer, ilPI 0, que bien d'autres auraient Rit' il at-tendit, croyant et es.erant ffinz ingmrreviendrait eur on d'union. Le l'O'IttrUlte EDproduisit. Fort, en effet, d'une Ordonnancedo réfere, le propriétaire dépêcha commis-saire .1i2. police, huissier et asimts qui, hiermatin, se préseentsnt h Parlisse, avalentpour mission de tare jeter à la rue lesvieilles bardes eit vieux militant. Et il avaitcompté pour cela Dete la loi, sans sena.' àMmes les sympathies qui se manifeste-raient en faveur du péris Nobili. Celuimi,devançant les événements, ovait averti dufait ses Smits, et ceux-là, répondant pré-sent. s d l'appel, apparurent hier matin de-vant l'autorité. tel un bataillon de volon-taires cones, déridés à tont.

Ils firent tant et si hien que. les embat-Imart cpanord et les pelleters enenite durents'incliner deVant le volonté de la foule.

Et voilà eenffnent, très heureusementd'ail/MM., la vieil. Père Nobili, réintégrasa misérable mansarde.

LISEZ ET FAITES LIRELE « MIDI SOCIALISTE s

LE MIDI SOCIALISTE

VIE AU FOYERLe prix ne réclame aucun exercice. On

ne vend pas des étoffes de mauvaise qua-lité à des prix exhorhitants. On ne donnepas non phss pour rien des étoffes de prix.SI/ y a une ocemion h faire, la main ctroll sont les menteurs guides.

Line étofTe pauvre parait mince sous lesdoigts et rude au toucher. Une belle étatTeest doute, ferme et soupde. Il y a naturel-lement des tissus lourds et des tissus lé-l'ers r sur ,é1po u,r.srsto000,, Huiletes us de même catégorie.

N'ouilliez jamais de regarder l'étoffe Purtransparence. Vous en verrez la texture, sih' as., ro est Mgr OU Serré, SUI y apeu de fils ou incaucouP par centimètrecarré. Là encore, il y a de beaux tissusqu'on a fait murés de IiIDDD large, lests lefil en est solide et qela donne à l'étoffe,outre sa souplesse, une fermeté une lesdoigts s'habituent vite à reconnaltro.

Conseils Pratiques

CLARIFICATION DES EAUX TERREUSES

Dans certaMs sols argileux, l'eau prendune teinte jaunatre. 11 est souvent difficilede filtrer cette eau.

Voici un procédé pour rétamer t 1100-100 00 gramme d'a/un pour 10 litrm d'eau;Lien remuer et laisser reposer.

L'argile contenue dan, /e liquide formeun démit compaet oh tombe au fond.

Transvaser doucement le liquide dam unautre récipient. Cette recette ne tue pastous /es microbes, mais elle en épure cer-tains.

SIROP DE BANANES

Couper les bananes en tranche, les pla-cer dans un récipient. Les saupoudrer de

c st les mettre dans un vase clos qu'OPentoure de paille et que /Mn met daiml'eau froide. On fait chauffer rolsi.ii 100-qu'au point d'ébullition.

On le retire et on met le sirop en boueteille.CRISTALLISATION DES CONFITURES

Les confitures dormes comme certainescerises un peu mcrées, le raisin, les poires,les mirabellesiont endânee à se cristalliser;c'est-à-dire que le ucre se réunit en petitsfidsmeaux à la surface du pat.

La raison est bien simple t c'est Mie 1e3coofitures ne coutienuent pas asse.

Pour emter cela, on peut métanger damIcs confitures une petite partie de gro-seilles, fruits acides, ou un jus de citron.

Gomme remède, faire recuire /es confitu-res et alculer deux cuillerées de vinaigre.

LE TRAITEMENT DES EPONGES

tren0prVeté,"=7' 0,,n,7,°:;' '"::éponggs naturelles, celles qui n'ont piesubi la transformation du blanchiment etuni ont une couleur variant entre le s caféau /ait e elle marron s robe de bure a et/es éponges d'un beau jaune clair, il grostrous ou fines que nous adoptons plus fa-cilement pour Ica mins ge toilette, me,l'usage est moins long que celui des ému,ges naturelles.

L'inconvénient des SPI lutS est qu'elless'encrassent vite, il est donc mrhspensable

les nettoyer souvent. Voici pl.:leursprocédés

Les faire tremper dans rin Mre d'eauadditionnée de 50 grammes de Ussive.

Fttre une solution aqueuse de carbo-nate sodique à 5 pour cent, puis dans unbain de lait.

Saupoudre lépenrge de borax prilvé_risé. Le faire bieà pénétrer, verser de PeauboUdiante de fason S l'immerger complè-tement. Laisser tiédir et presser à chaquereprt.. -

S. Faire 1 gramme de.sourle caustique pardix li.es d'eau preeser les éponges plu-sieurs fois, les laisser tremper 14 minutesseu/ement.

E Faire une eau alcaline entre V/ à 100grammes par litre.

Pour les Gourmandes

Alors que la température nous fait en'cour seule°. 10.11' la 'igueut de le man,

vaise ssisore, les modistes ont préteur-é

quelques créations subt.ant clegaEssence de lu tUrni-snisore qiis sont d..

A a:morse/signer, en fin d'hiver dreensemble. plus Segni,. tek Min le.icure Pi lei! robes-manteaux.

CU o compegé dens ce genre ries to-ques fort neyantea de charmantes petitescloches et beaucoup phis rarement quel-ques grande chopeaux. Lm mouvementsde piees Ibooslulce. riperposées, se re.maremont times fréquemment.

Li' crève maroenin a trouvé pour cesmodèles encore la plus large utilisation:

os partage les préférences avec leratin rime l'on mélange souvent de ve-loutr. Un peu de dentelle est égalementemployée soit en tendu sur la passe quireste °Mei. ajourée avec fond de crée,soit au volimt souple retombant <lutinasd'une petite forme d'étofie.

Obtenant un regain de mveur le rubanerm grain meus epparait pour des cirsepeaux entiers on pour de simples gar-nitures: plus tord il cédera la place autaffeta vs,irorri en prédit déjà une vogueimmense. Avec fie9 petite rubans gétien-salement en faille, cousus lm uns PeMdes mitres, cm a imaginé des modèlestout à foie intéressants.

Queltmes chnpenux entièrement bro-dés méritent de ne pas atm oublié. lenttortu est largement couvert par un tra-vail de petites ganses de scie romanesdebout comme on coud la soutache avectaus les dessins ainsi formés, magnéspar des peints de soie d'une teinte viveen centriste. Parfois co sort des brode-ries plus fuies où la soie se méLinge aumétal paitné, qui agrémentent ces mo-dèles de crêpe très mat.

La toque croquée ici est garnie d'unebroderie en ganse de soie mordorée re-tenue per den pointe brie t ter:moise, le.tout mir fond de crêpe dans la tonalitéde la grener, mois en peu plus foncé, Lemême modèle pinterait être mmbiné touton lamé, oc obtiendrait ainsi inc volé-1frire très éléramnte.

Pour le rom les étoffes de métal sonttrès recherchée, mais pour le jour oncominue à choisir les tom beige. mor-doré, marron, nègre ou des verts ne,tome, réséda et vert de gris. Le secondchapeau accerroagnr.ri ces lignes est ensatin tête de nègre, la plume d'autruchede ruerme nuance retombant gracieuse-,11,,,nt sur un Mité orne à merveille lerevers do ce gentil modèle, formant tri-eorne et oui complètera très gentimentune robe d'après-midi.

t_e Chapitredes Frhrohtes

UNE REVOLZeriLleiS LA MODE

Les Anglais s'intéressent au phis hautpoint, en ee moment, à celle Moyettesden grand tailleur de Londres, qui lancele inspireriez/in-homme.

Jusqu'a présent, les tailleurs pour da-mes avaient seuls le privilège de présenterleurs dernières créations sur un modèleviv.t. Ce privilège ne leur appartient plusdepnis Saliques jours, et bientôt, lei commeA Londres, Ms messietsrs iront, eux aussi,chez Irlm tailleur pour y voir défilers leurs u mannequins.

Et que portent-ils done de si neuf, cesmannequins 1 Un tas de choses étonnantes:dry smoking pourpres, des habits bien deroi, des jaquettes mauves, avec gllet ca-ari et pantalon à sous-pieds.

C'est une vernal,lv révolution dans lamode masculine.

Quelle importance pourrait-ou encoreattacher, après cela, à /a conférence deParis 7

LES SOULIERS POINTUSVous n'imaginez Foin,, nous disait cette

jeune femme, comitien il est sujourrPhuidifficile de marcher avec les souliers po._tus que la mode nouvelle nom impose. Cen'est pris qu'ils soient endentent incom-modes, niais nous n'en avions plus nen-Iode et c'est toute une éducation à refaire.

Le soulier pointu s'accroche partout, scprend partout. Il faut lever /e pied benn-e. ri plus haut quand on rent 11000100 un

Eget cst fait pour les gons quine marchant point.

Mais nous nous y faisons peu à peu. Etpuis, avec ces caprices nom avons telle-ment le sentiment de l'éphémère

LE CHOIX D'UN TISSUII

ytiss'utriinti pe?"lee lyre 1c:soi'

searjemegitereettsesseMatemmeatateireassarems

1

Pjlaff de volailte tà la turque, li'Mre re-venir deux oignons hachés dans du beurre,prendre 500 grammes do riz de Piénienthies, lavé, le Pare revenir si/miment pen-dant quelques minutes . Io mouillant arecun peu do bouillon de façon qUe /a rirbaiffno bien ded.s. Ajouter aire tematofraiche un oignon piqué de trois ohms degirofle, Stel et poivre de Cayenne. Fermerhermetimiement la casserole avec un cou-verdie. Misse: nuire 20 minutes au four,ensnite retirer et peiner r Ie riz aver DI,

i fourchette et eitleDef loignon et la tomate.I On a fait rôtir d'antre part un demi poulet' plidant environ une demi Inure en ayantsoin l'enlever le foie qu'on fait sauter àpoelo rt gnon metange dans le riz cuit.Déterrer le poulet cogne, dés en en/evantIon ire, Faire uno bonne sa, e tome., ,,,,,,trol/ ll'alfliete, la me:angor avec te riz, ieputSet, et /servir &Me Un léanniter . dansun, berne à soufflé en porcelaine. Servirtrès chaud.

Tourte do viande. Prendre 200 gram-mes de relu et 50 grammes de jambongras. liatifir le tout et y ajoicter deuxel site laitue de pain trompee dans du lait,literdco le hachis dans ,u., plat que l'untont cuire au four, enviifin trente minutaiServir avec rime sanjg pia,,ts

Tonne. an macaroni, Préparez unbon macaroni avec autant de fromage quede pàlel i trois quarts do grityèse et unquart. de parmesan. AMI/ter-y de très po-iits morceaux de langue à l'écarlate, deschamp...ms sautés au beurre eti coupésmenus. qmelrifies pt tits mereetna de 10.-bru fumé et cuit. Creusez les tomMes choi-sies saines et d'égale grande., remplis-sez-les de mimeront garni. Saupoudrez dechapelure mêlée tir fromage do parmesaneu de gruyère. Couvrez d'une noisette debenrre. Fados gratiner à four doua ontfalts-les cuire doms One prelei/b,eeieree.Fal-18,s ipoa,r,tir 0, feu mis,dotax, Ne Dat, ,,DD

Petites tartines aux ufs. Mettez dansune peele un peu. d'huile. Plavez-y dentartines minces de pairs rassis, mg._1,et. retournez-les dis façon à les dorer deSdons eM4s. Quand elles seront bien jaunes,

Ivous

les sortirez.. Tremper, Oas tartines grillée, dons deeufs hatlua et .mlés : mn mati environ peurtrois tartines. Reinettes-1es dams la poêle

trâ

Sou voue placerez à feu vif et dorez te,tartine, à nouveau.

hi vous ajoutez quelques monceaux eojambon roupés très finement vous MirezID. un plat, très nourrissant..ifirtmertune. 1.5 choucroute

"allétruffemamies,. il faut la laver à graeg,eau et bien la preaser entre les mains. Inni,niciter-la dans une cocotte dont le fondcet garni de emsennes de Moili zen Mill,des choux. mettez un snoree. do ln.maigre, un sanereme et la viande quasi.,voulez seer, avec, mit jambon, oie, as.nard, etc.. ajoutez les condensent,sanies oignons, carottes, obuqeel,grains de poivre. Illt.QVUZ le tout as..reste de chantre/ne, mouillez aveCgrand verre de bouillon ou bien de tea,,et renierez forienallt 5001, ILVCD du ntir,.1.x. dc II bonne graisse de rôti em de larraisse d'ale, Couvrez durs papier grainé,comma hermétiquement et faites braiserale four pendant trois ou Mu/b'd heure, trés doucement. Servez avec la viande eides .poisint u tin terro à l'anglaiSe.

Travaux FémininsDRAP ET TAIE D'OREILLER

GARNIS D'ENTRE DEUX EN FiLEIET DE JOURS

A côté des draps ordinaires simpl,ment gamis d'un ourlet à jou. plus onmoins large, combien il est apiabled'orner phis finement quelques bellea

pièces de toile fine si appréciées d. 10,tes les femmes d'intérieur.

Une broderie, une dentelle, des bau.dru de jours à la main eifioliven, dansla perfection cc /inge relus élégant. maisfort ceifitentor hélas I fl serait bien désslant, en vérité, peur cette raison d'êtreobligé de sen passer, fort heureusementurne bonne ménagère sait remédier I

bien des inconvements, Disponool de

quelques loisirs, elle peut endenteler ouModer à son gré les beaux tissus queachète au mètre, et qui permettent dittablir ces travaux à des pie relative,ment raisonnables

Aire du filet on fait de larges entredeux d'un effet très décoratif and, teenous le prouvent le drap et la trie d euvillcr croques lvi, Cet entrmdeux se faitsur filet à moines de trois à quatre cenetimètres 6 bande a dix-huit maille,large. Ces bandes de fond de filet prêtêtre brodé se treuvent dans le pornmercece qui supprime 6 partie la plus en/mye.° du travail: la broderie aimez us.pide est plus attrayante et donne fenils,ment un heureux résultat, a bande defilet doit être tendue sur un cadre de ferbien rigide recouvert d'étoffe: on remPlit cmeite les carreaux Plein', avec un

u point de toile or qui se fait en P.M1des file dans un sens d'abord, /luis de!l'autre, en glismnt sous un fil et enmnt sur le suivant comme dans le tissaede la toile.

On entourera d'abord le reversedrap. d'un ourlet à jours de quatre a ci,a;

eentrrtifibes, à trois centimètres dei d',taece on incrustera l'entre-deux,trois centimètres on fera un nouveauéchelle et un jour fantaisie si l'on pmi ru

varier. Il vnut mieux éviter leg coedans la dentelle, c'est pour cette eQUe l'an a laissé libre les angles dedrap et que l'on a rempli les coies,.;moyen de petits carrés de jours deffet charmant d'ailleurs.

Si l'on désire exécuter un travail.important on pourra à trois centin;de distance temeure un autre entre,,e7,lde dentelle et après un interval/e d erygrandeur un autre rang de jonm. 900,10garniture indiquée ici noit.fort suffisantes

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

r

line hisloire abracadabrante

ou le Vaudeville au Palais

L'audience correctionnelle a été miseen hilarité par le cas du Breton Treguer,originaire des environs de Qinsperlé,qu'on trimballe de tribunaux en tribusnana, qu'on a relaxé à Marseille et qu'ona conduit à Toulouse où il est prévenud'avoir fait une banqueroute de plu-eieurs centaines de mille francs et où ila écopé de ce fait une condamnation pardéfaut il y a un an

Relaxé! à Marseille, il a été conduit àToulouse pour un débet contradictoiresur cette banqueroute.

Mais il répond très sirnplement et avectut calme imperturbable, avec quelquechose de naïf et de déconcertant, qu il netait pas du tout ce qu'on peut bien luireprocher et qu'il se demande pourquoian k fait pucier en correctionnelle.

Le ministère public donne Lecture denote casier judiciaire émaillé de treizecondamnations. L'inculpé serait un es-croc de haute envergure qui aurait réus-si de grosses affaires d'escroquerie.

Treguer répond qu'il ne comprend rienà tout cela et il a, dans toutes ses reps,.tes, un accent de mneente un] impres-Monne l'auditoire et le fait rire d'un riresympathique pour le prévenu. On devineque cet homme ne joue pas la comédieet qu'il est victime d'une inexplicable ersmur. Contre cette erreur il ne s insurgemême pas, il ne dit pas un mot de révo/-te, il no rns un, geste d'indignations oncroirait qu'il ne se rend même pas exac-serinent compte de l'injustice du sort quiloi est fait.

Cs prévenu serait-il un minas bubonsse demandent les uns ; arnait-il reçu uncollo de fouet 1 interroge le ministère

Me Vincent, le défenseur, expliquequ'il ,y a une confusion de noms et queSe prevenu n'est pas le Terguer en ban-queroute. Le mévenu s'appellerait Toc'gare et non Terguer.

Urt huissier audiencier demande la na-sale pour décimer, qu'en effet, il a con-nu le banqueroressr Terguer et que leprévenu n est par Terguer. Il est invité àdéporier comme témoin et affirme quele Terguer qu'il a connu n'est pas leneutrec qui est à l'audience.

Le tribunal se retire dans la salle desdélibérations, fait appeler Me Vincent etansés une ne,ep longue interruption d'a.dience, au cours de laque/le l'affaire aeto.teleinme, rentre en séance.

Le prévenu est relaxé, des fins de lapoursuite et reçoit l'expression des re-grets de la Jmtice.

Des inforrnssione complémentaires quenous avons prises i/ résulterait n yamait pas eu seulement eneur de nom,mais userration d'état civil par le vérit.Ide Terme! à la faveur de la ressemblan-ce des noms.

Après le Vaudeville:La tragédie.

LES RAVAGES DE L'ALCOOLIl avait brutalisé" sa mère

Jean Mignonne, âgé de 20 ans, a com-paru hier devant le tribunes/ correction-nel pour avoir volontairement porte descoups et fait des blessures ou commistoute autre violence ou voie ditailMarfajoemonse de sa ese.

Le prévenu mprétendu. gril était enétat de légitime, défense et prétexte qu'ilaurait ventis surtout défendre sa leurresceur et la séparer de sa mère qui lui don-

'rimait de mauvais exemples et L soigne-rait mal.

1i n prétendu aussi que son père, ar-tuelement en prison, se plaint de ce quesa femme ne lui écrit pas, ne s'occupeplus de lui et se livre à la boisson et àl'inconduite. 1/ aurait chargé le fils decorriger la mère.

Le prévene se pose donc en justicier etet affirme, d'autre part, qu'il a agi dansun moment de colère.

Mcio Jeon Mignonac a de très man-vais antécédents, Bien que jeune encore,il possède un casier judiciaire qui pro,.met s 48 heures de prison pour vagabon-dage, un an de prison pour vol et deuxeus de prison peur tentative de vol smali-

Son père est en primons sa mère boit etsa jeans sur remit maltraitée ou en toutcas mel eUrignée. Quelle farnille I Cellequi mérite le plus de pitié dans ce mi-lieu est la petite fille qui, évidemment,n'a pas une atmosphère bien favorable àson éducation

Jean Mignonne sursit voulu, dit-il, er-kaches cette enfant à son entourage et laconduire chez une parent, mais ce n'étaitpas une raison pour frapper sa mère àcause de couteau et la renverser en labousculant.

La mère a eu la jambe cassée en tomelaant et poste des traces de blessures gra-ves.

Le passé du prévenu est chargé.Son avocat, Me Estingoy, a une omis-

sion difficile II plaide coupable, maisdemande green raison de la mauvaiseconduite de la mère et en Prison des upBusses du milieu qui ont corrompu sonclient on veuille bien être indulgent pourlui. Ce garçon n'a pas vingt ans; il pous-sait se refaire une vie nouvelle au race'ment; qu'on lui pardonne, essieuTriPins on ne le condamne qu'à une peinemitigée par les cireme.tances atténuantes.

La plaidoirie de Me Eùingoy n'erra:ré-cIte pas le tribunal de considérer la gra-

gtedes faits et la récidive pemietente

seaspresensgseatagramegereneve aemm LE MIDI SOCIALISTE

Il avait brutalisé son pèreJustin Filliom 27 ans, charcutier, a

comparu hier devant le tribunal correc-tionnel, mas l'inculpation de coups etblessures sur la personne de son père.

Cet inculpé fait défaut, Irmis il a pré-tendului aussimmand les gendarmes l'ontinterrogâ, qu'il avait frappé son pèrepour se défendre.

Il s'était rendu chez son père, maçon àFenouillet, le 7 octobre dernier, pour tra-résilier avec lui. Il Pausait trouvé en étatd'ivresse et pendant cinq joms censée.-tifs, l'aurait va toujours pris de boisson.

Un jour son père serait entré à la moi-mn après avoir bu un coup de trop, luiaurait cherché querelle, l'aurait menacéet obligé de se défendre.

Le garde champêtre de la communedépose qu'en effet n'ion père était as-sez souvent dans le vin et que lorsqu'ilétait dans le vin il était d'un abord diffi-cile, surtout pour les fournimeurs qui neréussissaient pas à or faire payer leursrournizures.

Mais le fils a une réputation de vio-Teno° aussi et il a. une condamnation an-térieur pour recel d'objets volés.

Il est donc condamné par défaut à unan de prison.

VAGABONDAGEGarcia Balthasar, de nationalité espa-

gnole, est inculpé de vagabondage et in-fraction à un arrêté d'expuision.

arma Bsltl,utoe a été expulse deFrance deux fois et cheque fois y est re-Velltt.

Il préend qu'il ne peut gagner sa viequ'en France, mais il y gagne sa vie envagabondant un peu trop.

Il est condamné à un mois de prison.

LA VALISE REMPLIE DE POCHETTESDE SOIE

Louis Lemme, 19 ans, représentant riocommerce, est prévenu d'avoir fraudulemsonnent soustrait uno valise. remplie de po-chettes de soie, d'une valeur do 5,000 fr.,On prèjudicie de M. Maurice Blaue, négo-O api a Marseille.

M. Blme «ait de passage à. Phelte/ Sa'peut, à Toulouse, et avait déposé sa valieedans 100011e des bagages.

Louis Lauergne, qui le filait et était àPaefût rion coup à faine, entra après luidans la salle des bagages de l'hôtel Capoulet profita de l'absence dus garçon pour en-laver la valise et se diriger tranquillementvers la gare, on il prit le Premier train PDpnetaamuri

Le leng iemain écodait, à Bordeaux,Une eertaino quantité tie peehettes et, quel-

11./uC37oriton,La liorei;écoulait

elle et Nantes, non sanss op rie, lie reste à

avoir eu la -précaution d'eranyer quelquespochettes aux membres de sa famille,titre de souvenir

Peu de temps après, M. Blanc, de pas.sage à Bordeaux, reeonnaissait, parmi lespochettes exposé. à une vitrine, celles-là qui étaient daoo la mallette volée. I/déposa une plainte. On arrêta Louis Lacer.for. Il reconnut les faits.

A l'audience, il rondiavelle ses aveux etexprime des regrets. Il invoque sa misere,le malheur des siens, /es exigences de lavie. Il demandee eu tribunal de so montrerclément.

M. Estringoy p/aide les cire.onstanous atté-nuantes. C'est une -lamentai/ie affaire defamille qui trouve son dénennyint devantle tribunal correctionnel. Lave cire a cinqcelants dont Peiné a été mobilisa commelui-nene. Avant la Fresno, la famille LU-vergno avait mn sommerce de Hm, à Vichy.Ce commerce était prospère La guerre 10fait pericaer. Après la gueire, Lavergnea repris son commerce, mai slos affairesallaient ma/ maintenant et la lentille asurgi. Lavergne a fait tout ce qu'il a p'pour desinter.ser scc iereamiers, qui luiont accurde un concordat 'honorable, Maisles r.sources du foyer avalent disparu,car il n'y avait là que la revenu du tra-yait de Lavergne. go femme est mal., rincapable de travailler. 11 faut pourtantnourrir lbs mariale. Et Lavergne s'est misà voler pour Patineur Ma siens. Le produitde ses vols, il l'envoyait à sa femme et 4ono de ses filles dont il a payé l'aecoucheruent. Donc, /a jUstice ne mentrera géné-reuse et fera biné/leirrt le prévenu d'unelarge hienveillanao.

Le ministère public soutient au contraireque Lavergue ne mérite pas la pitié et quele vo/ n'est pas un moyen de nourrir une

D'ailleum, Lavergne n'en est pas

à sortç'ràCàr'ePt vendu frauduleuse-cent une collection de .nnes, une colle,lion d'articles de maroquinerie et un mat'lichais d'articles de toilette, au préjudice,de diversue maisons qui led avaient envoyéces marchandises b titres d'échantillons.

Il est condamné à dix mois de prison.Une discussion s'engage au sujet de tette

affaire entre le ministère public elle tri-bunal. sur le point de savoir dans quellesmodalités les objets voles qui ont été saisisehou les tiers, acihelecers de bonne foi, se.sent restitués au légitime propriétaire. Litribunal, uniquement saisi de l'action pé-nale, statue simplement que le légitimepropriétaire aura h eo pourvoir par lesvoies de droit.

Cà et 1LààILS AVAIENT VOLE DES cAsauErrEs

Le service de la Sèreté a conduit devantM11. le commissaire de po/ide du le Jason-dinsement les nommée

1. Samara Jean Marie, egé de 28 ans,manuvre;

2, Montant 7e:us-Marie, âgé de 29 ans,nuelrettaMPi

3. Porte Constant, ;âgé de 30 ans, électri-cien, demomant toue trois rue Colette, 2.sous l'inculpation de vol et complicité devo/ peu' rece/ d'un colis renfermant descaequettes, commis hier soir, vers /8 /km-res, sur un camion, rue Peyrolièresmétudiee de M11. Tailiefer, camionneur,, rueMalcousinats

EXPOSITION PHOTOGRAPRIQUE

Le r Photo-Club Tou/.sain organiseune exposition concours dc photographie.

, réservée aux aninieura de /a région Tou.leen Mignenar est condamné à de=Sud-Ouest de la France.

me de prison, ilee"lur es t'eu du 4 au 18 murs Mx

Pour tous renexignements, écrire à M. lePrItliclent, 26, rue des Couteliers, Tou-louse.PREFECTURE DE LA HAUTE-GARONNE

CBlé du pt'; ds, due 1-1119 Mrancs les100 ki/os.

Farines, 112 (mn. los 100 kilos.CHEZ NOS CONFREDES

Notre confréne habdernadaire s. Le MidiSportif r, qui paraissait jusquPici chaquesamedi, nous prie d'anneneer qu'il Paraitdésormais un jour ploc ted, c'est-à-dire Parconséquent le jeudi soir à Toulouse, et levendredi matin dans la région.

LA GRANDE FAMILLE TOULOUSAINEAssociation des Pèr. et Mères de famille

Dimanche prochain H janvier, h 14 b. 30,dans le grand amphithéâtre de l'ancienneFaeoltd des Lettres, rue de RéMusal auralori FaSsenibléss générale de la Grande Fa-mille Toulon/saine.

Nous y invitons 1.011e los adhérents del'Association, tous les pèsera et mères defamilia do trois enfants au moiooa qui, com_prenant la neenasité do se grouper pourfaire valoir leurs droits, désirent entrerdans l'Association.

Nous serons heureux d'y voir égarementtous les amie et les défenseurs de la fa-mille et de ta fanuilta noinbreuse, t011s lesvrais Français qui. soucieux de l'avenir denotre pays, savent que son salut dépenduniquement de la famille niumbreme orga-nisée, défendue ci protégée par is Nation.

L'assemblée aura M1. se prononcer surl'adhésion d, PAsseciation û /a Fédérationdes Associations d, Familles nombreusesdo Toulouse et des Pyrénées, qui vient dese fonder à Toutous,.

Elle entendra les rapports sur la gestionet les progrès de l'Association; divers ores.Ume l'entretiendront des question sdessant la famille qui se-nt se débattre de-vant. le Parlement contribution nationaleaux familles .nonahreuscs, vole familial,lois inilitaires. etc.

untummuculamsfflaso.aueue I

A partir de demainVENTE DE

fIN D[ SAISON

Bonneterie - CaliDchets

Rubans- Dentelles- Cravates

Chemises d'hommes - haets

Le règlemeht général du /4 février 1872stiptde (

Art. 190. - La Imuteur des lmies nedevra jamais excéder 1 m. 50, sauf lesexceptions exigém par des /circonstancespartie/ibères et pour lesquelles il seradonné des autorise.n.a spieiales.

o Art. 192. - Les arbres, /es braiehes,les haies et les racines qui avanceraientsur le sol des chemins vicinaux serontmtps,éàfil!'nertiee esn,d,dollmpit,eos lpocIs clip

fermiers.y Art. 193. - Si le propriétaire ou le

ferntier négligeait . refusait de se con-former aux prescriptions ritti Précèdent, ilen serait dressé procès-verlel pour êtrestatué par rantnité compétente. a

T'ans le mois qui suivra la présente pu-blication, les riverains des chemins vici-naux seront tenues de procéder, en te con-formant amt dispositions rappelées

I. A lie/agape des arbres et à In hontedes haies plantés 3e long desdits che-mins;

2. Au recepage de tout mime et à /atonte de toute haie dont les racines aven-ceront soit sur les fossés, soit sur le soldes chemins.

Aprés l'expiration dudit délai d'un mois;si les opérations prescrites n'ont pas ététerminées, il sera fait appli.tion des dis-positions de l'article 193 du règlement sasvisé,

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ACADEMIE rens .1EI1E FLORAUXSéance du 22 décembre 1922

M. de Célis rend eompte de la réédition duCansereatem Insérai, t. par M. Massan.Il était nCuessaire de endeei oe elusmdioue d"

venu. trè6 mre et dont il e été Iseemous, rads âP.Pos des origines du romantisme

La t Conservateur hué.ine est la prentière re-vue perles/igue où les vers de Met, Hugo mie,iii in-errasa eue, le s Recueil des JeunTio,max ». vs du H décembre 1819 eu men demos t8.21; testa cette date, il se fond ev. lace Annales de la littérature et drsssirs En juillet1823, les e Annales a sont elleymames remplaséespar ln a Muse Franceise

Le x Conserva,. littéraire s ou préoend d'unetrès inter..ta introduction où M. Mies. aréuni tons les ren.ignements Prames à guider lelecteur. Que/oues peges particulièrenem curieu-ses sont coneerries are signaturee de V., Maso

Cl.cun des urtule. du s Conservateur s, estacecenpegné de no,s et de commentairesà Ic coterai...sen et à l'étude du document. Onrouas pour chenue pièce de prés, les variantes

fournies per les différentes éditions.Après ra résumé, M. de Las continue la lec-

ture ae son a Vieux Tordo.e n, plus particuliè-rement en ce oui concerne l'histoire dee Jeux-Flo-roux.

Parti Socialiste (S.F.I.O.)

tiens e,erses.

ta ASSEMBLEE GENERALE

ECHENILLAGE Le' membres ée la Section Toidoussine sontè ae.tr, A l'assembiqe génértle qui ema

'fous propriétaires, fermiers °cataires ne, srmedi pr.hain 13 innvier, à 9 h. préci.a,ou métayers sont tenus d'écheniller ou de su siège rale Chabsud. arondes ar Capitole,Mire Sel/enfler les arbres, haies ou buis- sous la présidence du citoyen Berl..sons sur les propriétés qu'ils exploitent ord.a du iom edhoions; comte renée fion,eu occurrent. cies de là Seetie. discusairin des questions à

Ils sont également tenus de détruire ou l'ordre du noir cb, Cengrès fédéralde faire détruire les chardons et l'épine- N -B - Le corgrtfie sem fait à l'entrée de lavinette existant sur ces mêmes terrai.. .11; par les trisoners cantons..

L'Etat, 1m communes ét tes établisse- i.e Seoréteire Paul Vicroa,inents public eont agir.nmu aux mémésobligations sur les propriétés leur amer. COMMISSION rts CONTROLS DES FINANCES

tenant. Les ...labres de is Commission de contraleLes beurs., les toiles, les chardons et deo fesser, de I, section (de, par cont.) et

l'épine-vinette q si seront tir. des arbres, les P.oriers ...no. et canto,. sont Priéshaies ou huiscAns, seront brû/és sur-le- de se réunir jeudi 11 consent, 9 h. du Mu, aschamp avec les précautions convembles mué Chassai!.pour qu'll n'en puisse insulter aucun Meen_ Cidre du iOUT situation financière de la ase.

tien.A la fin du mois de février, les tnaires Le secrétsfie de la C. A. s P. VrC2011,

et adjoints visiteront ou prescriront aux CANTON 015ESTgardes-ch./pitres de visiter tous /es ter-rais garnis d'arbres, haies ou buissons Vons étes invi1é à émissar 9 G résuran t4nI'919pour s'assure r si l'échenillage a été exacte- du easee coi /c seudredi /2 janvier, à

ment fait. 9 herrmct pr&ises du soir, e, si4eLes gendarmes exerceront une surveil. Cirrhe du iour RePPorts sur les nearece â

lance particuliiee sac l'échenillage dans roll, da Ga, d9 MGrI991 I"re'r!!! 1!!!"'/mirs tournées.

Les prescriptions des deux premiers pa-ragraphes de l'article pressier seront éga-lement applicables à /a destruction deschenil/es dort /es dégâts sont apparentsdans le murant de l'année sur Hs arbresIrnitiers.

Les moyens de ele4ruction à emp/oser,dans ee cas, seront h.sés au choix desintéressés.d,/,;cipnietiftrinàe,11cumen,,tinizteigrlits,,ei

I,,enlla,chasse

evementdes nids et couvées.

L'arrêté prefectoral du 5 décembre 1902relatif 3 l'échenillage, est et demeure rap-porté.

EIAGAGE DES 'ARBRES ET TONTEDES RAIES SUR LES CHEMINS

VICINAUX

CANTON NORDLes militants do emton et menines La Salade

rafe p5,== cr.sd,. 5 99,s- Dermere munieMinime. L de/an. sont priés d'essiater à la rén-union oui aura lieu es soi, 11 astiv.ii, sari do

ovtia da Oen Adhésions( dtscussion sur /el,questions soumises à la délibération dons grèsfédéia1,

Autres arrestations imminentes'Vie Ouvrier eSoedr,cb si,, Paris, 11 ..gmair. ir- dehors des six a,

hl restali.us apodes, on rée/tele.» actuellir-som,, ment Initt1 sutras meneurs communisies

qui sont également Pobjet riSum mandatd'arrêt.

mec des cairn 1923 Loi y.nuerades desimnc sesyndiquer sont priés 'd'oscars 5 cette réunie.

Sandlost dee maniere bsulanpare. - li est ren.suie am mansardes mitrons que le si..., riear

Mur disposition des timl,res 1922 pour mettrelem mem à itou. mem de prendre s t, de 1923.tous les finms, de 4 à 5 heures, Bene, du Tra.veil, Las.entifiée générale eorponarre eu, heule lundi 15 courant à 4 heures, Présence ioda.ncoseble.

'Vie eporstilreLE 11i.00/NC.CLUE1 DE FRANCE

A TOULOUSEL'éqMpe do R.ing-Club d, Fiance qui nec-

dimarehe I Teulouse po. y rencontrer té-suri, ciemière do Stade Toul..is se- déplacera.ou .und complet afin d'essayer de prendre unerevanche sur les dr...Mons de Fre., Après onmovsic dénie de :acon, ie Rireing revient trèsfoc actuellement et il esi errera qu'il figuresaeneere cette année dose les toutes dernières remcontrea de championnats Son équipe comprendune ligne devants pertienlièrement atMétirmefigurent les nternationanx Bignet. Berrern, les ..lentionnés Lerou, Lou. linternetional mfiitaireBerrutier. Il sera partieulièremen intéresmnt devoir cette ligne aux mises avec oelles des Sterne.ToulouGins qui ...ellen,tsi ru mieux de mformc. Les ligne. arrière, se le cad. eu rieu ala liane clavants car collevei ...an,oi é.,ment q.tre internam,.

La leostion pour les places numérotées com-mence. a...11G jeudi an secrémriat di, SodaToulissoio de IO heures à midi et de 17 à 19 hen-.. Elle se eentintiera aux marnes heures vendrediet srmedi.

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la Chorale sont priés d'au,. à la répétition, cesoir, à 9 heures, au siège. Nouveau bureau enfonctions( étude nouveaux ehenuts

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fie2Lortion Cotoodsrphrie de Toulouse et de latGrde-Garonne. - Rés,. générale de le Féd.

, iée I 1 d' II a 9 heuresenté as. Renouvellement du Imre.; modification

Les .5...teur. solenisime de la Gessuprie -...a société réunie en assemblée géntiele a rom',déle samedi 6 janvier au renouvellera., de son

bureoulikunialM f,austisia- Lee membres parti-

:leen. sort priés de pas,r ehea leur ...vett,avont dtmanehe !4 cour., avant midi port onecommunie...on très usera.

AMI., des osoien, éléves de laLe Iiore. de l'Amicale vient d'émue reneuvelérem germes 1923.

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Jeanne Osserniesce, tricoteuse. rue dnBrogne.Syls,stie Bernnid, rime., eue Cutette, et Jus.

ine Lassus, ménagère, rue de la République, 4.5.limonières Fumeri, propriétaire à CorrieilloGiel-

Ver,/ (Pyr .0i.) et Jeanne de Pelentiny, a. p..,Roullisi,e, 3,su

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Nais..ncesD. 8 janvier 1923

Andrée Dubois, avenue des Minimes. 88; Re.tzbonne. rue Durenti, Os Lot:erres Fere., ruedo h Balance, 14, Jeanine Pou/oulayst, allée doCimetière, H ( Andrée Bers-ais, alliée d. Zé,phis. 25; Yo. Lama. boule,rd de le C.re. 19;Reymonde Tainefer. à Lard..., maison Moliniea.

DéfiésDu" 8 jar.. 1923

Fouet Antoineue, 21 ans, me de le Belence. 2.2;Gélie Berthinléeny. 82 ans. quartier du peoh, routede St-Sim,i; Paris Matie, veuve Le/mile. 72Ose Samt.Cloules, lis D., Franç., veuve Vi-stis. 68 anu. r.m du ;,dn,trIIs Deibriss Ca-therine. veuve Roux, 61 on, allée du Cimetière.19( Alexandre Raymond. 6 mois, à CroixDau-rade; Borr, Rose, ver. Rign./, 73 ans, (ma..Pavée( Marie Peel. veuve D.leb 72 ans, medu 'faim ils R.roend Marie, veuve Maso., 74ens. Jardin-Royal. 9: Releva/ Jacquet., née Fer-ri.. 79 ans, me clanzar, 3; Craroo Blaue 07 oricehemio, de lu Charbon,bei I.,,giont Catherine,43 ana me du Canal, 22( Beese Raymond*, 14Do., boulevard Largrosses, 1, Cirence Jeanne,9 a, ellée de Brienne, /29( Megdehine Jean,69 ans, tue Momoulies-VElime, 02. - Hospi-ces 2.

IIAUTE-GARONNESAINT-GAUDENS

PARTI SOCIALISTE (S.F.I.O.). - Sec-tion de Saint-Gaudens. - tes membreslotit priés de v.loir bien assister à latricanion qui aura lieu le dimanche 14janvier, à 2 heures précises, 7, rue Victor-Hugo.

ordre du jour t renouvalement du bu-reau; discussion des questions à Perdredu jour du Congrès Fédéral; nominationdes délégués; questions divers..

CONSEIL MUNICIPAL. - Le Conseilmunicipal est convoque- en session extra-ordinaire pour vendredi douze janvier Canacent, à huit heures du soir.

eeesoeezeeDeee,..-=-"Gxzea

L'occupation de la MurMISAIT DES TROUPES AMEMCAINES

New-York, 11 janvier. - Cettoi elPaiiii011a et4 prisc la suite rein entretien quo M.Hughes, secrétnire du, Département d'Etat,

avec G président Harding. En sor-tant de Oct entretien. M. Hughes a &Maré

in I, moment .t venu pour nms de per-rer nos troupes treempatien sur le, filas, s

Après avoir conféré avec M11. Hughes, lePrésident Harding a reçu à/. Weele, minis-tre de la guerre, avec lequel il a «Aie teedétaiM du plan d'évacuation dot trodpesaméricain..

On annonce dès présent qu'un certainnombre nie bateaux affectés ass tramp°rldos troupes vont Cire immédiatement en-silés pour embargo. les contingents ar,-a (coins et les ranumer aux Etatc-Unis.

Lictribarquernent dis soldats américainsemnxicticera au cours de la semaine plu.

Des ordres ont été envoyés ou généraAllen pour diriger ces troupes sur An-

Les miiienx politiques rommentant ladiacision que vient de prendre M. Hughes,décision qui était tllailleurs préVue commesuite au vote par le Sana, de la motion

o Le Sénat estinte gue le président ne-senti rappeler les détachent..us de troupesaméricaines restées en Europe et faisantpartie des troupes d'occuration eo 11E599-nie

La motion Recul avait été votée le 7 jan-vier par 57 voix contre 8.

ia même temps, uo amendementrode motion allmtait que le retrait des

troupes américaines ne devrait pas étrcconsidéré renon,o un biaise imriicite adres-sé à aucune des puisasnces qui entretien-nent des troupes st., Rhin.

LE DOCTEUR MATER RAPPELEA BERLIN

Hyslin, 11 janvier. - l.a docteur Mayer,'ambassadeur d'Allemagne à Paris, a étéavisé télégraphiquement de remettre lesaffaires de l'Arr.bamadE .1 Conseillerd'Andia.ade de Paris es de quitter Paris.Le mémé ordre a été envoyé au docteurLansherg, ministre d'Allemagne à Bessel..les.

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

MM.. 4 MMIIRMOnonearer LE MIDI SOCIALISTE

leur moyen de le punir était de recevoiren grâce son rival. Sous l'influence d'unsecret cealrrouse He établit entre sesdeux amants un parallèle qui selon in.angetourna au désavantage de absent,Auprès de trois brigands vaincus, quoi-que armés jusqu'aux, dents, quel explogvulgaire, en effet u un loup étrangléServian manquait au rendez-vous.nayrion redevint un héros comme de-vmt.

Vous m'avez sauvé /a vie I lui dit.elle en t'appuyant sur son bras avec unabandon où le penchant avait moins de

17 FEUILLETON DU r M/DI

La peau du LionPar Charles De BERNARD

En ce moment, une homme que laprovidence semblait amener là tout ex.1,gés pour empêcher ce rapt odieux.Igaoul Tonayrion en personne, sortit dutaillia et accourut, fier comme le cheuMars. Quoiqu'il fût Bans armes, et qutre leurs bâtons. les brigands. à sa vue.eussent tiré des poignards, il se jeta sueeux avec une admirable furie, arracha lee.ourrlin du premier qui lui tomba sousla main, et mul, contre trois, engageaune lutte que l'inégalité rendait héroïque.Pendant quelques instants la forêt ieteretoi du cliquetis des bâtons qui s'entrecho-quaient, frappalent, se relevaient, remm-Laient dru et menu comme la grêle; maisbientôt les malfaiteura, roués de coupeen apparence, commencèrent à reculerdevant leur terrible adversaire: Pula kurretraite se changea en déroute; ils lâché-ret pied honteusement en rengainantiront poignards.

Dernière HeureLes fonctionnaires mobilisés

Le citoyen Itic/mrd Georges, député duPas-de-Calais, vient de déposer une'propo-sltion dn résolution invitant I. gouverne-ment à faire hâter devant le Senat lePute du p, ojet de loi adopté par la Cham-bre des députés, le 30 mars 1922, accor-dant aux fonctionaires et candidats fonc-tbmnaires mobilisés pendant la guerre, cer-tains avantages da carrière.

Le Communisme norvélen

et Moscou

Chri.stania. 10 janvier. La Conférencenationale du parti én/nuit/ciste norvégien

repoussé, après trois jours de débats se-crets, ln decision prise le 21 décentbre der-nier, par le Comité Central; et elle à dé-cidé de rompre avec l'Internationale deMoscou. Toutefois, cette décision n'entreraen vigueur qu'après la ratification par uneassemblée générale, qui doit avoir lieu euavril prochain.

Une fabrique saule

Tut-lu, 10 janvier. -- Près de Naples,une fabrique de feu d'artifice a saute.

Sous les décombres on a trouvé jusqu'àprésent, sept grands blessés et un mot

Les recherches continuent, car les antrespersonnes qui travaillaient dans In fabri-que n'ont pas été ranimées.

La tempêteBrest, 10 janvier. Une violente tenu.

pète de Nord-Ouest s'est dèche:née ennier.

La Manche est déornetée. 1.e vapeur an-glais u lluIIirgltum uupro,ju son gouver_nail et a signalé uni étuis en détresse âl'entrée du canal Saint-Georges, par 52.45Nord et 11154 Ouest.

Nantes. IO janvier..- Ce maths, à 3 lou-res, trois /skieurs rentraient a 'Hase7-Jce-dre en canot, lorsque 'par suite den coupOr vent, l'embarcation n chaviré et /es troishommes ont été précipités en Loire.

gL Louis Malsoneuve, lb ans et PierreDentes, lé ans, ont été noyés. Le troisièmepêcheur, Henri Marchais, a pu être sauvé. I

Après les avoir un instant poursuivis,Tonayrion revint près de Mme Causeade,ut, pendant le combat, était demeuréesans mouvement, sans voix et presquesana haleine.

Na craignez rien, trader-ne, lui dit-il, en s'essuyant le front par up geste fortnoble; ces misérables ne reviendront pas.oral moi qui vous le jure. Si vous n'étiezpas là, je les aurai châtiés un peu plusvertement. Mais cette scène vons a et.frayée; vous êtes pâle et tremblante,souffrez que je vous ramène chez vous.

Estelle accepta machinalement le brasde Raoul, qui reprit d'un air d'exhalta.fion

-- Ah I cc jour est le plus beau de mavie 1 i/ y a longtemps que je brûle dudésir d'affronter un péril qui vous prouvemos amom I Non que je fasse à cesbrigands l'honneur de les compter pourun danger né.inton ! Pourquoi n'étaient-ils que truie I pourquoi n'avaient-ils quedes bâtoneet des poignais:1s lutte n'ai-jeété blessé, tué cmu vos yeux I peut-êtrealors regretterieevous do m'avoir sicruellement traitd. l'autre jour I

Le courage de Tonavxion vemit d'é-clater d'une mainère manif.te queMem Cousu-do fut forcée de reconnaî-tre lu elle avait Me //sieste à son égard.Offensée d'ailleurs de rinexplicable con-duite de Servian, elle sentit que le meil-

SériatLE BENFLOMAIENT DE LA B. L C.

Le séance est ouverte à O. heurs. sousI aprésinende de M. Bienvenu-Martin, vice.président. MM. Po.ocaré et de Lasteyrisera assis au banc dm gouvernement.

Le Sénat reprend la discussion du -projcfie bai Concernant lu reffloineenont de aDafique industrielle de Chine.

On entend d'abord un Ion", discours siM. Delahaye. cei dectaro qu'Il ne croit pasque le gouvernement chinais air intérêtrompe: les conventions signées, car il /trouve tout avantage.

Eu /*lig rail, ce sent les coupablodes malversations que j'ai signalées qespèrent se voir innocenter par La conclu-sion de la nouvelle comentien.

J'espère bien que M. le ministre rIe'justico saura cependant peuralliVela las au-teurs de l'escroquer de 108 millions quo-j'ai dénoncée dans la sème du 31 démonbre.

M. POINCMHE. Je fais remarquer quela dette chinereera toujours 4/21 payabieor. mais, pendant la guerre, en a accefle payement en papier.

La aine prétend que ee régime specia/'devait loi être maintenu ju.pfiè ce eftsles accords en discussion soient raidiesOn a insère dans cos accords Pobligatbnte paiement en francs-or. C'est une raison

plEs pour voter le projet.M. J. DELAHAYE. II y a un fait au

rend superflues ces discussions t au 31 dé,cambra dernier, la Chine a refuses'agents de payer en' francs l'indemnité desBravera

m. DE LASTHYDIE. Il importe do re-' s esite l'erreur de M. De-Inhayer. Ise protocole de 1901 est forme/la sens de la Chine est me dette en ve.Le ro 00vdo l'obligation remise aux Eialsupéciflie des franes-Or jusgiOon 1914. Ilaé6,2, arienne différence entre le franc -oret 1c franmpapier; telul.oi faisait meltema'queleis une légéra Prime sfir le L'an,000'j. arends aricarj sde 1922, je roisque les an.oultée sent spécifiées on francs.

M. Delahayes revient à la charge.Su nmins. sèlerie-t-ii, qu'on établisse le

dallan réel de la B. I. C. Une enquête s'im-pose, Je la réclame.

Je n'absous pas les faits dénoncés parM. Delahaye, déclare M. Jeneuvrier, amisje crois non ie gouvernement a raison de

mdever le prestige de la France enBillait, Qu'on.

Apr.: une brève interventlen de M. daSeves, la suite do la discussion sol- le Itou.

55

Le Sergent Belle-Epéetuai Par aul FÉVAL. Fils mine]

PEIJILLETnNnte t17113

LE FILS DE LAGIRRDÈRE--...----

PRESURUSI PARTIE

Le service que j'espère de vousn'est pas de ceux qui se devinent, mer-

- et je ne rai confié à âmequi vive sinon à Mme de Cheverny et ào è

M. Hélouiu répondit aur un ton évasifC'est mon métier d'apprendre ce

qu'on ne dit pas.., et jonc suis pas bienpuisse être accompli par un homme res-pectueux des lors.

Alors vous me refusez votre con-cerna ? balbutia la comtesse avec unedouloureuse anxiété.

Tout au contraire, madame. je vo.

A cette etupéfianto déclaration qu'elleattendait ci peu une légère teintcaux joues décOlarées d'Aurore et une1,,aur btillo dans ses grands yeux d'unHeu acmbre que foirait énormes la mai-greur dr eon visage

Elle ellen avoir trenteusix ans et reale,eait ce type à la fois délicat et robustede la beauté des femmes françaises. quigerbe si souvent une force héroime

sous de frêles aparences et qui prolongeparfois jusqu'au miracle l'enchantementd'une immortel/8 jeunesse.

En cm femmes victmieuses de l'âge,à de certaines heures, le charme juvé-nile remit, comme par magie, soit quele saure-, ce rayon du eget, vienneéclairer leurs lèvres, soit que la passion,cette chaleur bénie qui est la jeunmemême, rallgane mut à coup la flaenme de

Certes, Aurare avait depuis trop long-terne, dé, appris à sourire pour que cetteétincelle des joies humaines vint pren-dre placa sur son visasse, mais une tannue trertiblatt srrn cils soyeux de sa peut-mère et M. Helomn felmmir d. avoirpu obtenir cette transformation.

C'était un assez singulier personnage,ce M. Hemin. et noua n'aven:, ras en-core po donner de lui un signalementcomolet. esdon les cirrenetances, lafigure des hommes très habiles na chan-ge. M. 1-14.1oein ne pouvait pas passerpour un homme froid, non plue pour un

Pt Utnd:/..5,P'rtiroarlir Raoul d'un tonle plus pathétique, après un pareil mot.c'est ma vie qu'il faut prendre sl vousne me permettez pas de sous la coma.croc

Je donnerais tout au monde, se ditEstoile, pour qu'il nous vit noce mo-ment. Et, sur cette réboxion charitable,elle mit dans sa démarche un redouble.mont do coquetterie propre à désespérer.

cas de rencontre, le coeur de son an-cien adorateur.

Il, c'est-à-dire Servian, était beaucouppiles près que ne croyait Mare Caussade.Il étau 21/TIV1 à l'entré, de la clairière aumoment où finissait le conaliat. En voyantrevenir Tonaynon pree d'Estelle, pourqui le danger n'exiatait plus, il se mit à

Nt de loi relatif à la B. L C. est renvoyéea-endsodi.La prochaine séance vol fixée à demain.:La séance est levée à 1711. lit

Les Âméricaines prennentdes métiers manuels

len /ivre vient de paraitro à Nmv-Yrarkam l'invasion par les femmes Oct métiers'

mime des professions libérale.Des femmes rempasmint avec sucera les

netters de forgerons, machinistes, char-pentiers, menuisiers, rte...; il y en a gniont marins. d'autres s'activent dans losSentiers maritimes; on en trouve char.etiers, cordonniers, valet d'écurie, etc...A côté de l'augmentation ponsiderahie

la nombre de ferma00 dans les travaux-rimmels, il y a eu depuis la guerre dg..25 professimm libérales uno 3-6r/table in.,-asion. Actuellement, il existe 1.738 fem-nes avocats, juge, ou magistrat; 1.757 ,'c-Iésiastlques; 14.617 artistes; 7.219 made-fins, 1.829 dentistes, 1.117 architectes etIl ingénieurs.

Aux Etats-Unis, sur un totrd de 678 gen-d'occupation, il n'y en a plus 'que 33

mo les femmes n'ont pas abordés.--Des rebelles font dérailler

des trains en IrlandeDublin, 10 janvier. Les rebelles ont

fait dérailler te train-poste entre 00h luet Belfast. 11 n'y a pas eu d'ai:cid:nit de

Un PIPPO train a été nerété prês de Li-merick et lancé par les rebelles sur la

Fire de Lbuorick-jonction, où il est venuheurter des wagons vides.

Les démIts matériels sont importants.

Les Proscrits libanais

ILS ENTRENT EN SYRIEP/usieurs notablm libanais, condamnés

ats bermissement par le conseil de guerreni- Ourga-orner, avaient été déportés enCorse.

Or, le seul reproche qu'on eût à leurfaire était d'avoir tenté de venir en Earesce polar u exposer oux-mêmres les doléamces da leurs concitovem.

La Ligna des Dur!, de l'Homme inter-vint à différentea reprises pour sollici-ter leur grâce. PlUsieurs d'entre eux fu-rent effectivemerg libérés. La Ligue ro-noevele ses dérnerches.

Nous pOrr,O,1 informés que les Je,

homme expansif. bien que lm gem leemseus remeignée s'accordent pour direqu on doit êtro l'un co rautre.

Lui, était en être de milieu, énergiqueet tranchent dam se modération même.

Il ne devait pae avoir un atome, d'hé-roïsnue, mais était plus capable quo totgautre peut-être d'acomerplir dee actes dehéros.

Adroit, prudent, réservé, et pué parna.firre, loyal par réflaxion bon creurignorant les tachetés de la faiblesse, gé-néreux à ses lemmes et aussi défiant desautres que stir de lui-même.

Sa figure était celle d'un travailleurobstiné oui pensa quand il a le ternes;mais c'était dans see yeux qu'il fallaitchercher le symptôme do ru remumot,s.b.a nature, car ces veux-ta, erune clair-voyance peu commune, possédaient unvouloir et un pouvoir.

Pour compléter co portrait, nona de.vers aiouter que, suivent le cm sevotrsnoant M. Héfon,10 ou baron de Posen,ainsi nue l'avait appris Mme de Chever-ny à In comtesse, et jouissait de la rie..imitation, vis-à-vis des gens du métier,d'err-e un des plus habiles policiers dor émeu,.

Policier non officiel, maki amateur,comme on dirait do nos loues, frouailin9t.seelernent pour son comme et parfcésami pour celui des particidiers quand iljugeait mie l'affaire pour loquolle on ré-alarmait ses cary/cos en valait ia -minaUn instant Aurore mua silencieuse,et comme elle avait à lopor, relu nevoyait, une terrible partie, elle voulut es.rayer de pénétrer celui qui allait tenirtoutes ses cartes.

h Leil or se trouvait le p501leur coterait bien, mais Servian couraitmieux. Sur le point d'être atteint, le pre-mier se retourna tout à coup et levantaon gourdin

pas de plus, je t'assemlue Icria-t-il d'une voix emoull6c.

Au lieu de tenir compte de cette me-nace, Servian fondit eu Io brigand et lui

porta en plein viaage On ceula do poingsi rudement appliqué qu'il l'envoya tom-ber à six pus en arrière. Som lei laisserle tempe de se relever il lui anacha sonbâton empara d'un poignard qui sortaità demi d'on' roche de blouse et pours'n.urez de sa personne le saisit par la

jtcpréots I rvttebarbe rouese et touffue lui resta dans laMain et il alsofefit nn' 6'6complètement imberbe sans une mincervxvIetaehe rougie mg le 0,UR oui entaitdes narines et de la bouche du voleur

Sacrebleu I dit celui-ci en revenantde son étourdissement, voua auriez pufrapper moine fort. Me prenez-vom pourun ?

Lèvetoi, aépendit Servian, qui Mtdere sa poche comme pièce de convivetion le poignard et la barbe postiche.

L'homme en blouse obéit.

iront. L,vup

niers Isennis t MM. Haye , Amlan, Pare-teni, Hussein et Narrent, viennent d'êtreautorisés à rentrer en Syrie.

Les chauffeurs et le permisde conduire

Paris, 10 janvier. L'Académie do mé-decine a adopté cet après-midi, nn certainnombre de VOCUX relatifs Uri% permis deschauffeurs, los vo es .

/. 11 ne sera didivré de permis de con-duire qu'aux mfiets âgés de pies do 20 anset sans aucune dérogation.

Le permis de conduire sera refusé âtout candidat atteint de (ranimes mertaux,de lesions du enfle et des vaisseaux, detroubies visnels ou auriculaires par unecommission spéciale, le metatnt hors d'étatde conduire une voitu, auternotaile.

Un mutilé n'aura drag ou permis quesl les appareils prothétiques dant II est rapossession lui donnent l'amie:ale. néces-saire la conduite d'une au,,emblio.

Le permis ne sera valable que pour Boans. Au bout de cette période, lu chauffeurdevra subir un nouvel examen. Tenterais,si la eorrunission le juge à propos le per.milnt sten accordé nue Pour trois a13.

I n permis sema retiré en cas efireresoeou récidive d'Ormets,

Tout chauffeur ayant pas sa faute pro-voqué un accident sera soumis à unvolnou-examen médical.

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Madame I, comtesse. prononça M.Helouin. qui s était bravement preté àcet examen mieux vaudrait szna denteque vous m'interrogiez, ai je puia serusrépondre devant mademoiselle.

Son regard désignait Olympe de Cho.vernY. qui ne comprenait rien à cetteétrange entrée en matière.

Aurore rougit.filleule ,eent tout entendre, dit-

elle. Et vous, nrensiem, peuvez,vomMS fere savon. potiriternt Irons acceptezde faire ce qui, selon vo., ne peut etreaccompli par un hornrao respectueux deslois ?

Volontiers répliqua M. HélouinII y a des proies:doras privilégiées; ainsilee médecins et les prêtres vont partout.rems, mut dire et tout faire.

E,tes.roos donc 1111 o, / autreL'un et l'autre. Jo sonde les cens-

çiemes et je amok lm ce ms Au vrai) étudie avec passian unle de notre or;commune et j'espère nouvel, bientôr lirela page que vous allez tourner.

Aurore frissonneEteavoun certain, demanda-telle,

de connaître l'acte que je veux accom-plir ?

Otti. Pourquoi voue mentImi-ie&son vous, est-ce une Pmfanetien?Non pas, je considère plutôt cm

c'est une épreuve, ou inleux un devoir IAurore eut un geate de p/aisir de ee

voir nrourottorlo CI tendit sa main émaciéeà M. Héleuin mn la prit ma foi fort ga-lemme, et l'effleura d't ses lèvres.

Os rn, a dg, fit-elle avec émotion,que vous étiez r honneur même.

N'exagérons rien, madame, ct n'en-

Ale ça 1 expliquons-noue, dit le vo-leur en tirant de sa blouse un foularddont il eseuya le sang qui inondait sonmenton; pour qui me prenez-vorre, s'ilvous lais?_ pour un brigand dont les prochai-nes assises feront justice.

L,r:e,sirml rien que ço b merci, Sa.chez que le ne ems pas plus voleur queV ous.

C'eet bon. Tu t'ex-piqueras devantIr juge d'instruction; en attendant, mar-elle I

Man cher mol/sien, vrai. gemméester l'erreur la plus déplorable. Faites-moi le plaisir de me regardee, et dites si ;j ai l'air d'un voleu

En p r.arlantda la sorte, le jeune hem

me en blouse mit sous les yeux deinterlocuteur deux nt rive dont ln remueattestelt -rit, soins de tolette que dada>gnent nosne généralement los détrous-eallre ele grand chemin. Loin demes Serviez, c. mode de justification al-loues son courroux.

vous n'êtes. pas un voleur, il s'a-gissait donc d'un rapt. répondigil enfronçant le sourcil; joue crois pas qu'unenneeille mem, amédiore votre posifiondevant la justice.

Ni rapt, ni vol, je von, jure; maisIran do ces plaisantenes qu entre hom-

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flez pas la bonne opinion Mor t'ai demoi-même.

Que vous étim patient votant quehardi et habile par dessus tour-

- Défiez-vous les flatteurs I made,.la comtesee, inmemnpit M. :lamie ,ansdéguism un petit mouvement d'Impa-tience. Comme en tuut Lomme iiiO ers moi du bon et du ennuyais le pro'sobre 'herche à dominer le emend, voilàtout, Co dont je lois énonlre, c'est demon dévouement eue que je me nulsdonné.

vous ilanneregyous à nPi ? s'é,cria Aurore,

Je no me donne j. rouis eux person-nes, nmis 0:10 uvres.. la afitre filait

Merci Vous s'avez qua remp oides moyens autorisée par la loi mentinterdit ?

Mes paroles de mut à r heure ontdû vom faire commendre que j'en suisinstruit. Je Ga+S de plus beaucoup dechoses que vous ne aortmonnez pasvous-même, car il y a déeis un certaintoren., que vos malheurs ont futé monattention.

La comtes, l'arrêta d'un geste.savez-vous donc ? demanda-t-

ellePardonnez-moi de ne pas vous ré-

uni-Are, madame. A certaines questionsie suis obligé d'opposer le ilence, carInn eourçons que je puis avoir re repo-sent men. sur aucune mem, De plus.000e n'ignorez pas que chaque métier ase' recors,, erIrtout le mieo.

Aurore bigla reterreber 'n tete et fmrnalee yeux, après avele pris dans lee sien.nes la main de Mlle de Chavern.y qui

ACCORDÉONS

A.sm. je ne mus pas votremais votée gardiens Vole., ou non, te,chez

An mnee instent file reniait au colletet le poussa en avant. L homme à I.blouse esaaya de résistre, mais une solcopêêp yirUrett,0 qui le renversa netune second- fois lé fit comprendre quesous In man de 4, rude adversaire ilétait l'étourneau sous lu griffe de l'éPer,vies.

nu'aromrterz p., gendarme quevous êtes I s écria-t-il à la vue du I.,gto,

sur lail puisqu'il est clair que vousêtes le p us fort. e m'exécute: mais, fuid'homme d'honneur. vous paierez chernette nenni, Si jeutrlairt in nom> rencontresur le trottoir de boulevard, ie v.usmeto une paire de soufflets de première

Au lieu cle répondre à cette menace.Servisse 6/da lu. voleur .6Milvenfie à se realever, et le tirant d'une.mnin ferme, /econtraignit de prendre, fort à contre-crem. le chemin de la maison du rom.nel.

fel suivre).

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écoutait mutes ces choses avec l'étonnesruent que durent égrouvertems de la tour de abel, au moment doIn cenfmion dru langues.

ri vous novez plus rien à me de,mander, fit M. fiélouin, perreézd'interroger à mon tour ?

D'un aimee, Aurore consentit.le voudrais savoir si vont étiez à

Paris lorsqu'arriva le nieheuraux échec-

- J'étais à Paris, répliqua la corntemed'une voix profondément altérée.. Avez-vous été présente à la mis, enbière ?

Non, le praticien avait rlésiré êtreseul.Quel praticien èL'embaumeur.

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