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23* ANNEE. 11245 ABONNEMENTS 1 S nom 23 le., 0 10011% 43 Ir.: I an 52 tr. MEMENTO QUIA PUVIS... 0 n Nous avons donc un minis- tère. Mieux encore une véri- table troupe. Avant la guerre, un Cabinet comprenait, au plus, une dou- zaine de secrétaires d'Etat. Le réalisme d'après - guerre en exige, paraît-il, trois douzai- nes. C'est le rythme de l'infia- tion monétaire, peut-être aussi de la dévalorisation politique. Mais à. quel coefficient stabili- sera-ton les Excellences ? La presse réactionnaire qui, pourtant, ne cesse de mener campagne contre le Parletnent pour des économies de bouts de chandelle, s'extasie devant ce plantureux étalage. Elle prédit au gouvernement un brillant avenir, II est pos- sible que, conformant sa vie nUX prières lithurgiques, M. Georges Pernot ait imposé le nouveau C-biset du fameux e nuement° quia palois... sou- viens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en pous- sière o. 11 est vraisemblable que ce signe de circonstance aura trou.blé l'orgueil de quel- ques ministres trop heureux. Mais même ainsi frappé, le gouvernement a passé son mer- credi des Cendres, ce jour d'humilité I Pour vivre, il lui suffisait seulement d'un dépla- cement de quinze suffrages. On a fabriqué, en supp/ément, six portefeuilles. Et puis, le soleil s'est approché du « jardin d'ac- climatation politique à que Frossard a décrit l'autre jour, et les collections se sont, pour le moment, assoupies. Tardieu n'a pas été dévoré. Cette fois, du moins; car son erreur est de croire qu'a ce ra- jeunissement, à ce t élargisse- ment du vieux jeu politicien des dosages, la nation se laisse prendre. Non. L'arrivisme, l'in- fidélité, même camouflée en sa- crifice national, le peuple les a toujours en horreur. Et sajou, d'hui le peuple est, malgré l'ap- parence, plus sensible que ja- mais à. de tels affronts. Il souf- fre encore de la guerre. Et en même temps qu'il s'inquiète de la crise économique, il est tou- jours sous le coup d'une grande crise morale. Pendant la guerre, il a cru à. la Paix définitive, au Désarme- ment général, à la réconcilia- tion des peuples et des travail- leurs dans la justice. On le lui «van dit, solennellement, sur les champs de babille. Pour cette grande cause humaine, on exigeait son sacrifice; innom- brables sont ceux qui sont morts; d'outres ont souffert... d'autres se sont enrichis. Et ce sont neux-ci qui, aux .yeux des simples, semblent avoir eu rai- son. Pourtant les braves gens ne croyaient pas que les Diri- geants pussent, devant la mort, commettre cet abus de con- fiance. En vérité, les partis de réac- tion, soutenus par l'éternelle cohorte des Profiteurs de guerre et des Fournisseurs aux ar- mées, ont abusé de l'Union sa- crée et du nationalisme étroit des vieilles générations politi- ques. L'égoïsme des classes di- rigeantes a trouvé refuge dans les illusions de la e victoire qui paie s et du a Boche qui ré- pare. Ce furent ensuite Panes- , thésie des emprunts et au temps de la Ruhr, les consolations du prestige. Mais ce fut bientôt le réveil i l'Allemagne ne payait pas; les Riches de l'Intérieur non plus. Ce fut le franc qui paya, et les petits rentiers, et la classe moyenne, et tous les petits producteurs et ceux qui avaient fait la guerre, et qui en avaient souffert. Il en fut ainsi partout. Sous les nécessités éco- nomiques, les peuples se divi- sèrent. La peur s'empara d'eux. Cette peur, la Réaction l'a ex- ploitée partout à son profit... Et la démocratie se croyant impuissante oit dupée était fa- tiguée et utquiète. Peu à peu elle se ressaisit. A nous, en France, de hàter, d'animer son réveil. La crise économique qui vient lui dévoile ses propres fontes, qui sont seulement cellas de son propre abandon, La démocratie se rend compte aujourd'hui que Ri les lourds st iniques impôts dont on l'a aeeabk, ont inspiré confiance à ceux qui en étaient déchar- gés et ont ainsi contribué à la stabilité, psychologique d'abord légale ensuite, de la monnaie sacrifiée, ces impôts contri- buent aujourd'hui au déséqui- libre économique, à la faiblesse de nos échanges commerciaux à la paralysie progressive de la production. Elle constate encore que ce qui contribue à l'instabilité des prix ce sont ces innombrables billets en circulation, émis en représentation de devises étran- gères. Et elle remarque en mê- me temps que ces devises re- présentent à leur tour les trente milliards que j'appelai no jour, à la tribune, l'armée de Condé et qui, en effet, fuyant en 1925- 192G le devoir financier, entraî- nèrent l'inflation, la chute du franc et des douloureux sacri- fices de sa stabilisation. Elle conclut que si elle avait eu à la Chambre, alors une majorité homogène et fidèle, elle aurait pu résister à la souveraineté d'une p/outocratie de trahison, au lieu de se soumettre à sa loi. Aujourd'hui, le problème se pose à nouveau. H faut favoriser l'activité économique du pays. Et les gens de Bourse et de Finance, sous prétexte d'encourager l'épar- gne, réclament une exonération des revenus du capital. Cédera- t-on? Les producteurs exigent avec raison un allégement des char- ges pesant sur la consomma- tion et la production. Faute de plus-values déjà dispersées en dégrèvements sans effet, on ne le peut qu'en réorganisant le système fiscal dans /e sens de l'équité fiscale. Le fers-t-on ? Dam ce cas, il faudra lutter à nouveau contre l'oligarchie financière ses mensonges, ses moyens de pression, et ses re- présailles... Ce n'est pas ce gouverne- ment qui peut le faire. Mais le dilemne est pressant conser- vation sociale et réaction poli- tique, ou Démocratie orientée vers le socialisme. Ce n'est pas par des accou- plements de personnes, ni par des jeux de trahison qu'on le dénoncera. C'est la démocratie sociale qui doit finalement l'emporter, parce qu'elle lutte dans le sens de la justice et se développe dans le sens de l'évolution écu- nomique. C'est pourquoi, bien qu'il puisse passer carême, le gou- vernement Tardieu et sa majo- rité feront bien de se rappeler F la leçon d'humilité que, par Georges Pecnot, l'officiant leur a répété mercredi dernier cillement° quict VINCENT AURIOL A LONDRES REPRISE DES TRAVAUX Par, il mars. La retour à Lon- dres de /a délégation française sem- ble bien devoir marquer le début d'une phase nouvelle. Il faut bien avouer que les conversations enga- gén depuis la fin de jmvier n'ont pas donné jusqu'ici beaucoup de résultats. Pour parler franc, es a seulement .abouti cette démons- traites qu'Il est impossible de réa- liser une entente sur la limitation des armements, chacune des puis- sances intéressées ayant de bonnes raisons pour ne pas faire, pour son propre compta cette Imitation Si l'on reste dans cette voie, on ne peut songer à aboutir. Il faut donc trouver un biais. L'établissement d'un pacte de garantie D fournira- tell Souhaitons-le, mais sans trop d'espoir. M. Aristide Briand a invité, ce matin, b déjeuner, son coll4me bri- tannique, Si. Headerson. Ces conversations porteront évi- demment sur la possibilité de con- clure un parte de garantie mutuelle entre les Etats-Unis, la Grande- Bretagne, la Franco, BROM et le Japon. La signature d'un tel accord serait, eu effet, considérée par la délégation française comme étant de .tum à permettre une limitation générate des armements navals plus importante que celle qui a été envi sagée jusqu'a présent par la confé- rence. Lire demain UN MOT A L'ADRESSE DE M. MANAUT A PROPOS DE LA DEFENSE DU VIN SOCIALISTE -m-1 Rédaction et Administration s 38, Rue Roquelaine - TOULOUSE - TH. 0.03 - C. C. postaux I 5.277 BUREAUX A PARIS 28. rue Feydeau 12. Arrondissement) - Téléolmne iSefenhera 70-58 111-.21 Visions d'horreur et sî..:ènes de désespoir I La Politique Socialiste LES NOCES D'ARGENT DU SOCIALISME FRANÇAIS En haut de gauche 5 droite e Gomme pendant la guerre, on alertas» des Poules de petn eus sinistres l'aspic tementel, d'une rue de CahorS aprés le passage de, eaux. En bas, de gauche à droite Liatenue vernis 4 Per- ptrurs ; dans te I.nree, len viens puys.) akar( derme sa Maison umulée. - Apres te désagre 'Toulouse. le 8 mars. C'était jusqu'à présent Une vision supertimelle. De l'eau, des bouts de murs, des toits à moitié submergés, des arbres dont les branches seules s, échappaient du gouffre i des dé- bris charriés, amoncelés premiers symptcenes de devastatron. En réalité; ce spectacle de sur- face laissait Ibre cours à Fiume- natiom mais ne donnait pas la si. smn exacm et complète des mrsè. les du dessous, de la destruction que ms eaux toperaient so.derrient enta recouvrant de boue et de li. C'est maintenant que l'on voit tout. C'est maintenant que, les eaux retirées laissent apercevoir leur ceu- vre. Pauvres hères en désarroi, échap. pas par miracle, et grâce à la ra- pidité d'une fuite soudaine et qui reviennent chercher non pas leur maison, qu'ils savent emportée vers l'Océan, mais quelques vestiges de ce qu'ils y laissèrent e Ustensiles de cuisine, linge et armoires, bes- tiaux bruitas ou tiroirs renfermant les econ.rnes. Ils cherchent comme un détective cherche les traces d'un bandit échappé. S'ils trouvent un objet quelconque, fut-il sans valeur, le regard s echauffe comme silo fortune revenait. comme s'ils re- trouvaient un morce-au de leur chair. ls ne trouvent rien que débris et miettes de lem avoir lot de leun sourvenrs, le regard demeure mort, et ils t'en vont, sans un mot, com- me le combattant, pendant la guer- re, laissant, après l'avoir cherché vainement à terre, autom de lui, le bras qu'un obus venait de lui en. lever, quittait le champ de bataille sans se plaindre, sans indignation, presque sans douleur tellement l'excès de souffrance et de misère nous enlève au bout dun temps In faculté de sentir. Jamais comparaison plus exacte. Le pays inondé et le pays dé- vasté par la guerre sont rigoureuse. ment assumables. Et le bilan ne peut s'établir qu'a- près le retrait de l'ennemi. Nous sera-t-il permis donnas api- toyer ici plus particulièrement sue les plue humbles des victimes, et de dire à quel point elles sont plus in- téressantes, plus dignes d'une sol- licitude immédiate que les autres? Certes, les usines emportées re- présentent de grosms pertes. Mais tout le monde sait, ou que ces per- tes sont déjà couvertes par des as- surances 05 010» la générosité offi. nielle les atténuera presque entière. ment. Au surplus, les propriétaires ne sont pas à la me, et c est Pun» eux que l'adage est vrai t Plaie d'argent n'est pas mortelle. s. Mais les ouvriers de cm mines Les voici réduits au chômage. Lorsqu'on indemnisera les pu. tons usirners, indenanisera-t-on de MÉMO dans les mémos proportions les ouvriers g Et si oui, à quelle date i Dans deux ans On a le temps de mourir de faim si l'on n'a ni de l'argent ni du cré- dit. Et un oUVrier sans travail ne saurait espérer, ni crédit, mi argent liquide. 4:l4 Terne situation poux le MM.., sui a me partir vers la mer toi, rar- gent de sa récoke, soit sa récolte encore entassée dans ses celliers, sa grallige UU Sa CaVe. Rien qu'à Narbonne, rien que pour le personnel ouvrier domicilié à Narbonne et cette ville n'est pas la plus éprouvée la mairie a calcule ou 'il faut 4o.000 francs par tom si ('on veuf peu, son salaire à chaque chômeur forcé. Ce cluffre donne une Ide° appro- ximative de ce qu'il faudrait pour assurer à la classe ouvrière frappe» ses moyens d'existence quomhen- sont îz.eriexp,r(luio.,nleorrt sincroît. sont Nous avons pu voir des sinistrés de Mantauban, du quartier de Vil- lebourbon, du ouartier Toulo.ain. Tous cheminots. Interrogés, choyés ils ne répondent nen. Ils mnt sam voix. On /es croirait presque sans raison. Hébétés, ils vous regardent. On ne. sait s'ils vous comprennent. On craint qu'ils soient incapables de penser. Sans abris, ignorant de quoi sera fait demain, ils ressemblent à des automates qui vrvent, marchent, font certains gestes nui la seule force de l'habitude, mais sans que la volonté ni l'esprit y soient pom quelque chose. Ce spectacle plus affligeant qu'on ne murait l'exprimer, partout, sans doute, 8ft renouvelle à travers cette plaine du Tarn-et-Caronne, la plus éprouvée -de toutes, au cours de ces journées nagiques. On le retrouve à Castres, dont l'Agout a surtout happé les famil- les laborieuses. Entre les deux ponts, les maisons emportées étaient des mais°m de traysillems, vénérables et déjà aguerries contre lés asmuts des on. des grondantes par des épreuves antérieures. Mals là aussi les dieux fluviaux, plus emagés qu'ils ne le furent jamais, cnt réduit le coeur même de la vile, le quartier le plus popirleint, e plus commerçant en un amas fidornie, rot sien de bon ne peut phs etre muté; Anisé de ces tmastrophes, les inondations de l'Aude aPParaissont plus "a/radines-, ii l'on excepte celles dont l'Orbeel s'est rendu coupable dans le Vallon du Cabardes, n pros. pèm, si induftrel, se moderne. Patrie de Ferroul, qui avait ré- sisté à l'autres tourmentes, qui se' guidais au.dessus des rnonts éter. nellement verts, planer sur tes ver- gers un ciel promue toujours sou- riant et clair, au mihet, desquels le tombeau de notre narine étendait son ombre tutieure et glorie.c patrie des 11,11,11,â 'indomptables, obstmemeent acmé...es t ,eles a l'idéal révolutionnaire musai rem- vant triomphalement Léon Blum, il y a quelques semaines tirets.. le declannent avec solennne digne du même amour que celui dont ils gardent la dépouille, parmi les fleurs cites fruits; une heure a suffi pour emporter la moitié de tes biens. Châtaignier séculaire, à l'ombrage gigamesque,- impénétrable au se- leil, mus lequel tant de foules s'as- semblèrent pour écouter et applau- dit tant d'éloquence socialiste, dont es murs do la maison nata/e de Fanonl répertutwent les échos an loin dam, le vallon, to n entends plus à tes pieds que le bruit des larmes, et tu dissineums farouche- ment au firmament, dans tes bras innombrables. la misère des petit- fils de ceux mu te ment nartre dans la joie. Ainsi, dam une région réputée parmi les plus prospères,. le déses- poir vient 'rentrer pour. plusieurs mois, et la gêne, sans doute pona plusieurs années. Çà et là môme. pour toujours, la misère et l'obligation à l'exil. Devant pareille calamité, l'insuf- fisanm de nos institutinns aide apparaît. La légitimité des critiques soda- listes devient évidente. L'Etat ne sen de rien,' l'Etat n'est qu'un organisme nuisible et atter!. tatoire à nos droits individuels, s'il n'est pas capable, noce, heures-là d'indemniser les victimes, tout de suite et en totalité. L'Etat est fait pour cela. Du moins nous le croyons. nous soda- listes. Il n'est pas fait Pour noue presmrer, nous étrangler, et em- ployer notre argent à PréPmer la nouvelle guerre. Il est fait pour préparer l'entr*- aide en cm de malheur. Le nouvel-. nement actuel, le P.lement, l'api. nion publique le comprendront- ils ? L. H. L'activité de Léon Eaumn au service des sinistrés, de nosmalheureuxcompatriotes et des infortunés chômeurs Il faut que nos amis ...eut et disent partout autour d'eux qu'il a été expressément convenu entre tous le parlementaires, sans dis tinetion de Parti des régions Mais- trées que, tandis que les uns se ren- daient dans les départements rava- gés, les outras mstaient b Paris en contsot'yermainent axec la gouverne- ment afin de faire auprès de ce der- nier toutes demandes utiles. Or, par- mi ceux qui sent restés à Paris il y a Léon Blum, député de l'Aude. fa pré.senco lui a permis de multi- plier des interventions pour obtenir des crédits d'abord 20 millions jugés ensuite insuffisants et portée à 80 et 100 Avec Vincent Auriol et les mem- bres du groupe meialiste, Léon Blum a déposé mi Proie gui Von- mottes une remise en état de nos régions et ce faut. surtout re- tenir c'est que à chaque ...eu Léon Blum a tenu préciber qu'il fallait eomprendre les chômeurs, les ouvriers sans travail dans la répar- tition des secoue. On peut compte» sur le dévouement, sur l'autorité et l'activité du député Léon Blum r j'os inetane latfe'On rele IcL.Pnat,sersuleui=ogaZdloueansges.P De tels procédés lui répugnent. S'il Pek feegjo71: malheur qui noustrappe, nous le re. grefions bien. Léon Blum remplit dignement, scrupuleusement son mandat. sans charlatanisme, sans vain hruat. Il est à Paris avec d'autres édentés des régions inondées pour toutes les demandes et le interventions néces. mires. Et noue ajoutons que noue /Wons no. estimer heureux d'Avoir LES MILLIARDS VOTES POUR LA a FORTIFICATION DES FRONTIERES NE SERAIENT-ILS ' A S MIEUX EMPLOYES A 14 RESTAURATION DES REGIONS INONDEFS ? L. Parti socialiste de notre pay Os fêter ses noces d'argentl fi a, en efiet, vingt-cinq ans que, ré pondant à l'appel de l'International et MISSI sue aspirations profondes de masses ouvrières, les diverses organi salions se réclamant du sociadsme s fondirent en une seule et que l'Unit Oit le jour. Ce fut le 23 avril 1905, au Con grès de la salle du Globe. Que.ques mors plus tut, à Amster dam, en août 1904, Vandervelde mai terminé son rapport sur les discorde qui séparaient les groupes français par ces émouvantes paroles ot Camarade Guesde, camarade Jaurès, je vous ad- jure, dans une pensée de paix socia liste internationale, de mus tendre la Ce sont là de grands souvenirs pou ceux qui ont vécu ces heures et cette époque. Les yeuses générations, ce nues depuis il l'action, eleicent y psi 1913. L'an passé, sous wons dépassé 120.000. C'est sens doute un chifire. Mais où en srionsmous si m Congrès de Tours, Noël 1920, l'imbécile et criminelle scission n'avait failli dé.- trime «ohm Parti ancrants- me édifiée au prix de tant de peines et de sacrifices? De nouveau, nous nous retrouvâmes me point de départ, avec 30-5 35.000 fidèles, mais avee des diff ;caltés me les hommes de 1905 ne connurent pas. Un parti communiste, agressif et in- »lent, emportant plus des quatre-cin- quièms des adhérents, possédant un s bourgeoisie encouragés et rass.és par ces querelles dont ils tiraient mous les - profits. Naturellement nos caisses de propagande étaient vides pour vaincre I ces obstacles. Notre résurrection vraiment tient du miracle. ê Après bientôt dix ans et alors que mentenmt tout est sauvé et qm test - paraît facile, que nos sections se peu- plent, que tous les départements ban- , yens, voire les emonres, possèdent des fédérations, que les succès électoraux s nous viennent, que l'horizon s'illumine je me demande encore comment nous nous y sommes pot pour ne pas être emportés par la bourrasque. Obi je sais bien en partie ce qui s'est passé et je devine le reste. Des hommes ont vouas sauver le socialisme e et le Parti sise sont jetés tête baisée dans la mêlée. Après le travail du , jour, is parlaient pour une banlieue lointaine pour un village perdu où on ser de précieux enseignements e d'utiles leçons. Il n'y a qu'un prolétariat, il n'y a qu'un socialisme, il ne saurait y avoi plusieurs partis socialistes. C'est cette idée.jorce de l'unité né- cessaire de tout le prolétariat qui a mime notre action Dom le long de ce quart de sièc e. Nous partîmes 38.000 de la salle du Globe. Nous étions 73,000 en leur Malt signalé une réunion à faire, quelques consciences à gagner. Le train, les autos, Ms vélos tout servait. On parlait quelque pas dans une ar- e Hère-boutique, me salle d'auberge, h.é. 9a dans l'indifférence. Quand on abait l'impression d'une sey'rée per- due, sans résultat, on rentrait plue bal relep3art«a'pital,u Plein'elecerioelb,éesp,arEcet qu'on a la loi, parce qu'on dme le socialisme et qu'on y croit, parce que sans propagande la vie non, parait incomplète... C'mt tout cela qu'il nous faut fêter au vingt-cinquième anniversaire de l'Unité o la grandeur et les vérités du socialisme ; les nrillies elle, milliers de dévouements obscurs, les sacrifices ig,rermab1es ,,,bri,,,r,ondonnci t msz nas !rero16:err/te7/ér Zulecenti-laess ,uictoires en me sur le chemin!... PAUL FAURE. /mune( lapai les masses, dispoams do Lire demain - . moyeu financiers inépurtables; une LA CESURE - dusse °muré', syndicale divisée en deux C. G. T.; m mouvement coo- par Alen, RAII2v pératif neutre; un patronat et une député di- l'Arigor A CAHORS. 1144 usine él.rigne en44h,, par les un tel représentant, car, sans lui, nous serions dans un total état d'abandon. E, M. PASSAGE PRESIDENTIEL Le cortège officiel du présidmt do la République, en visite aux ré- gions navagées traversera Narbonne dimanche à li II. te Conseils aux inondés - COMMUNES INONDEES. SINFECTION. INSTRUCTIONS DE LA DIRECTION DES SERVI-. eus DEPARTEMENTAUX Les Inondations récentes soute- ve:,,,l plusi,i,,,,eaurs,:i.cordres de (Mettons m point de vue de la protection de (: A. Assainissement des habitation.. a) Souillées par une vase plus ou moins chargée d'engrais organiques, fumiers, etc., c'est-à-aire par de,, matières fermentescibles et pins ou moins dangereuses e Enlever le dépôt et l'éloigner des habitations. Poue cette op6ration veiller b la protmeté rigoureuse des mains (ongles taillés courts, savon- nage soigné avant de toucher aux aliments). Les oigarettes faites ou touchées avee des mains sales peu- vent être très dangereuses. Ensuite retirer le mobilie,r,,,,met sinmeter le sol, les murs à 0 m. no-dotons du Sri. nive. teint par Item et le mouilla,' d. pulvérisateurs (utiliser I. p se- risateme pour vigu.es), pour lesquel- les on emploiera de préférence one des préparations ci-après Crésyl 40 grammes par litre (rem Sulfate de cigare 1 50 grammes par Hire d'eau; lait de chau.x (vive), 2091, Cas particulier.. Locaux conte. sont des denrées alimentaires non protégées t absorption possible des odeurs; donc pas de -crésyl. Recou-' fric tres soigneusement /es denrée. La pulvérisation, tout comme Pour In vigne n'agit bien que si elle évita . le ruissellement, donc l'arrêter dés l'apparition de fines gouttelettes sur la surfaoe désinfectée. Id Rendues malsaines par hume- dite r, L'humidité crée une prédisposi- tion ans maladies. Assécher s.,locaux par li'nsola- lion, raération aussi large (courants d'air) et continuo que possible, de grands feux, etc. Autour de la maison u Assurer un bon ecoulement des eaux de pluie qui viendraient, oit en était ourlet' ment, entretenir tette .14maidiL4. Dans chaque agglomératio.n veil- ler soigneusamant b Pen.tretien à la réparation des caniveaux, bm. ses etc. e) Exécuter les prescriptions da règlement smaaire municipal par l'enlèvement des fnmiers(artiele ta). d) Latrines et fosses fixes inendées Les vidanger comma d'habituels dl mena les préasutions les lutas 25 CENT. DIMANCHE 9 MARS 1930 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ABONNEMENTS 1S nom 23 le., 0 10011% 43 Ir.: I an 52 tr.

MEMENTO QUIA PUVIS...0 n

Nous avons donc un minis-tère. Mieux encore une véri-table troupe.

Avant la guerre, un Cabinetcomprenait, au plus, une dou-zaine de secrétaires d'Etat. Leréalisme d'après - guerre enexige, paraît-il, trois douzai-nes. C'est le rythme de l'infia-tion monétaire, peut-être ausside la dévalorisation politique.Mais à. quel coefficient stabili-sera-ton les Excellences ?

La presse réactionnaire qui,pourtant, ne cesse de menercampagne contre le Parletnentpour des économies de bouts dechandelle, s'extasie devant ceplantureux étalage.

Elle prédit au gouvernementun brillant avenir, II est pos-sible que, conformant sa vienUX prières lithurgiques, M.Georges Pernot ait imposé lenouveau C-biset du fameuxe nuement° quia palois... sou-viens-toi que tu es poussière etque tu retourneras en pous-sière o. 11 est vraisemblableque ce signe de circonstanceaura trou.blé l'orgueil de quel-ques ministres trop heureux.Mais même ainsi frappé, legouvernement a passé son mer-credi des Cendres, ce jourd'humilité I Pour vivre, il luisuffisait seulement d'un dépla-cement de quinze suffrages. Ona fabriqué, en supp/ément, sixportefeuilles. Et puis, le soleils'est approché du « jardin d'ac-climatation politique à queFrossard a décrit l'autre jour,et les collections se sont, pourle moment, assoupies. Tardieun'a pas été dévoré.

Cette fois, du moins; car sonerreur est de croire qu'a ce ra-jeunissement, à ce t élargisse-ment du vieux jeu politiciendes dosages, la nation se laisseprendre. Non. L'arrivisme, l'in-fidélité, même camouflée en sa-crifice national, le peuple les atoujours en horreur. Et sajou,d'hui le peuple est, malgré l'ap-parence, plus sensible que ja-mais à. de tels affronts. Il souf-fre encore de la guerre. Et enmême temps qu'il s'inquiète dela crise économique, il est tou-jours sous le coup d'une grandecrise morale.

Pendant la guerre, il a cru à.la Paix définitive, au Désarme-ment général, à la réconcilia-tion des peuples et des travail-leurs dans la justice. On le lui«van dit, solennellement, surles champs de babille. Pourcette grande cause humaine, onexigeait son sacrifice; innom-brables sont ceux qui sontmorts; d'outres ont souffert...d'autres se sont enrichis. Et cesont neux-ci qui, aux .yeux dessimples, semblent avoir eu rai-son. Pourtant les braves gensne croyaient pas que les Diri-geants pussent, devant la mort,commettre cet abus de con-fiance.

En vérité, les partis de réac-tion, soutenus par l'éternellecohorte des Profiteurs de guerreet des Fournisseurs aux ar-mées, ont abusé de l'Union sa-crée et du nationalisme étroitdes vieilles générations politi-ques. L'égoïsme des classes di-rigeantes a trouvé refuge dansles illusions de la e victoire quipaie s et du a Boche qui ré-pare. Ce furent ensuite Panes-

,

thésie des emprunts et au tempsde la Ruhr, les consolations duprestige. Mais ce fut bientôt leréveil i l'Allemagne ne payaitpas; les Riches de l'Intérieurnon plus. Ce fut le franc quipaya, et les petits rentiers, etla classe moyenne, et tous lespetits producteurs et ceux quiavaient fait la guerre, et qui enavaient souffert. Il en fut ainsipartout. Sous les nécessités éco-nomiques, les peuples se divi-sèrent. La peur s'empara d'eux.Cette peur, la Réaction l'a ex-ploitée partout à son profit...

Et la démocratie se croyantimpuissante oit dupée était fa-tiguée et utquiète.

Peu à peu elle se ressaisit.A nous, en France, de hàter,d'animer son réveil.

La crise économique qui vientlui dévoile ses propres fontes,qui sont seulement cellas de

son propre abandon,La démocratie se rend compte

aujourd'hui que Ri les lourdsst iniques impôts dont on l'aaeeabk, ont inspiré confiance

à ceux qui en étaient déchar-gés et ont ainsi contribué à lastabilité, psychologique d'abordlégale ensuite, de la monnaie

sacrifiée, ces impôts contri-buent aujourd'hui au déséqui-libre économique, à la faiblessede nos échanges commerciauxà la paralysie progressive de laproduction.

Elle constate encore que cequi contribue à l'instabilité desprix ce sont ces innombrablesbillets en circulation, émis enreprésentation de devises étran-gères. Et elle remarque en mê-me temps que ces devises re-présentent à leur tour les trentemilliards que j'appelai no jour,à la tribune, l'armée de Condéet qui, en effet, fuyant en 1925-192G le devoir financier, entraî-nèrent l'inflation, la chute dufranc et des douloureux sacri-fices de sa stabilisation. Elleconclut que si elle avait eu à laChambre, alors une majoritéhomogène et fidèle, elle auraitpu résister à la souverainetéd'une p/outocratie de trahison,au lieu de se soumettre à sa loi.

Aujourd'hui, le problème sepose à nouveau.

H faut favoriser l'activitééconomique du pays. Et les gensde Bourse et de Finance, sousprétexte d'encourager l'épar-gne, réclament une exonérationdes revenus du capital. Cédera-t-on?

Les producteurs exigent avecraison un allégement des char-ges pesant sur la consomma-tion et la production. Faute deplus-values déjà dispersées endégrèvements sans effet, on nele peut qu'en réorganisant lesystème fiscal dans /e sens del'équité fiscale. Le fers-t-on ?Dam ce cas, il faudra lutter ànouveau contre l'oligarchiefinancière ses mensonges, sesmoyens de pression, et ses re-présailles...

Ce n'est pas ce gouverne-ment qui peut le faire. Mais ledilemne est pressant conser-vation sociale et réaction poli-tique, ou Démocratie orientéevers le socialisme.

Ce n'est pas par des accou-plements de personnes, ni pardes jeux de trahison qu'on ledénoncera.

C'est la démocratie socialequi doit finalement l'emporter,parce qu'elle lutte dans le sensde la justice et se développedans le sens de l'évolution écu-nomique.

C'est pourquoi, bien qu'ilpuisse passer carême, le gou-vernement Tardieu et sa majo-rité feront bien de se rappeler

F la leçon d'humilité que, parGeorges Pecnot, l'officiant leura répété mercredi derniercillement° quict

VINCENT AURIOL

A LONDRESREPRISE DES TRAVAUX

Par, il mars. La retour à Lon-dres de /a délégation française sem-ble bien devoir marquer le débutd'une phase nouvelle. Il faut bienavouer que les conversations enga-gén depuis la fin de jmvier n'ontpas donné jusqu'ici beaucoup derésultats. Pour parler franc, es aseulement .abouti cette démons-traites qu'Il est impossible de réa-liser une entente sur la limitationdes armements, chacune des puis-sances intéressées ayant de bonnesraisons pour ne pas faire, pour sonpropre compta cette Imitation Sil'on reste dans cette voie, on nepeut songer à aboutir. Il faut donctrouver un biais. L'établissementd'un pacte de garantie D fournira-tell Souhaitons-le, mais sans tropd'espoir.

M. Aristide Briand a invité, cematin, b déjeuner, son coll4me bri-tannique, Si. Headerson.

Ces conversations porteront évi-demment sur la possibilité de con-clure un parte de garantie mutuelleentre les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Franco, BROM et le

Japon. La signature d'un tel accordserait, eu effet, considérée par ladélégation française comme étant de.tum à permettre une limitationgénérate des armements navals plusimportante que celle qui a été envisagée jusqu'a présent par la confé-rence.

Lire demainUN MOT A L'ADRESSE

DE M. MANAUT A PROPOSDE LA DEFENSE DU VIN

SOCIALISTE -m-1Rédaction et Administration s 38, Rue Roquelaine - TOULOUSE - TH. 0.03 - C. C. postaux I 5.277BUREAUX A PARIS 28. rue Feydeau 12. Arrondissement) - Téléolmne iSefenhera 70-58 111-.21

Visions d'horreur et sî..:ènes de désespoir I La Politique Socialiste

LES NOCES D'ARGENTDU SOCIALISME FRANÇAIS

En haut de gauche 5 droite e Gomme pendant la guerre, on alertas» des Poules de petn eus sinistres l'aspictementel, d'une rue de CahorS aprés le passage de, eaux. En bas, de gauche à droite Liatenue vernis 4 Per-

ptrurs ; dans te I.nree, len viens puys.) akar( derme sa Maison umulée. -

Apres te désagre'Toulouse. le 8 mars.

C'était jusqu'à présent Une visionsupertimelle. De l'eau, des bouts demurs, des toits à moitié submergés,des arbres dont les branches seuless, échappaient du gouffre i des dé-bris charriés, amoncelés premierssymptcenes de devastatron.

En réalité; ce spectacle de sur-face laissait Ibre cours à Fiume-natiom mais ne donnait pas la si.smn exacm et complète des mrsè.les du dessous, de la destructionque ms eaux toperaient so.derriententa recouvrant de boue et de li.

C'est maintenant que l'on voittout. C'est maintenant que, les eauxretirées laissent apercevoir leur ceu-vre.

Pauvres hères en désarroi, échap.pas par miracle, et grâce à la ra-pidité d'une fuite soudaine et quireviennent chercher non pas leurmaison, qu'ils savent emportée versl'Océan, mais quelques vestiges dece qu'ils y laissèrent e Ustensilesde cuisine, linge et armoires, bes-tiaux bruitas ou tiroirs renfermantles econ.rnes. Ils cherchent commeun détective cherche les traces d'unbandit échappé. S'ils trouvent unobjet quelconque, fut-il sans valeur,le regard s echauffe comme silofortune revenait. comme s'ils re-trouvaient un morce-au de leurchair.

ls ne trouvent rien que débriset miettes de lem avoir lot de leunsourvenrs, le regard demeure mort,et ils t'en vont, sans un mot, com-me le combattant, pendant la guer-re, laissant, après l'avoir cherchévainement à terre, autom de lui, lebras qu'un obus venait de lui en.lever, quittait le champ de bataillesans se plaindre, sans indignation,presque sans douleur tellementl'excès de souffrance et de misèrenous enlève au bout dun tempsIn faculté de sentir.

Jamais comparaison plus exacte.Le pays inondé et le pays dé-

vasté par la guerre sont rigoureuse.ment assumables.

Et le bilan ne peut s'établir qu'a-près le retrait de l'ennemi.

Nous sera-t-il permis donnas api-toyer ici plus particulièrement sueles plue humbles des victimes, et dedire à quel point elles sont plus in-téressantes, plus dignes d'une sol-licitude immédiate que les autres?

Certes, les usines emportées re-présentent de grosms pertes. Maistout le monde sait, ou que ces per-tes sont déjà couvertes par des as-surances 05 010» la générosité offi.nielle les atténuera presque entière.ment. Au surplus, les propriétairesne sont pas à la me, et c est Pun»eux que l'adage est vrai t Plaied'argent n'est pas mortelle. s.

Mais les ouvriers de cm minesLes voici réduits au chômage.Lorsqu'on indemnisera les pu.

tons usirners, indenanisera-t-on deMÉMO dans les mémos proportionsles ouvriers g

Et si oui, à quelle date i Dansdeux ans

On a le temps de mourir de faimsi l'on n'a ni de l'argent ni du cré-dit. Et un oUVrier sans travail nesaurait espérer, ni crédit, mi argentliquide. 4:l4

Terne situation poux le MM..,sui a me partir vers la mer toi, rar-

gent de sa récoke, soit sa récolteencore entassée dans ses celliers, sagrallige UU Sa CaVe.

Rien qu'à Narbonne, rien quepour le personnel ouvrier domiciliéà Narbonne et cette ville n'estpas la plus éprouvée la mairie acalcule ou 'il faut 4o.000 francs partom si ('on veuf peu, son salaire àchaque chômeur forcé.

Ce cluffre donne une Ide° appro-ximative de ce qu'il faudrait pourassurer à la classe ouvrière frappe»ses moyens d'existence quomhen-

sontîz.eriexp,r(luio.,nleorrt sincroît. sont

Nous avons pu voir des sinistrésde Mantauban, du quartier de Vil-lebourbon, du ouartier Toulo.ain.Tous cheminots. Interrogés, choyésils ne répondent nen. Ils mnt samvoix. On /es croirait presque sansraison. Hébétés, ils vous regardent.On ne. sait s'ils vous comprennent.On craint qu'ils soient incapablesde penser.

Sans abris, ignorant de quoi serafait demain, ils ressemblent à desautomates qui vrvent, marchent,font certains gestes nui la seuleforce de l'habitude, mais sans quela volonté ni l'esprit y soient pomquelque chose.

Ce spectacle plus affligeant qu'onne murait l'exprimer, partout, sansdoute, 8ft renouvelle à travers cetteplaine du Tarn-et-Caronne, la pluséprouvée -de toutes, au cours de cesjournées nagiques.

On le retrouve à Castres, dontl'Agout a surtout happé les famil-les laborieuses.

Entre les deux ponts, les maisonsemportées étaient des mais°m detraysillems, vénérables et déjàaguerries contre lés asmuts des on.des grondantes par des épreuvesantérieures. Mals là aussi les dieuxfluviaux, plus emagés qu'ils ne lefurent jamais, cnt réduit le coeurmême de la vile, le quartier le pluspopirleint, e plus commerçant enun amas fidornie, rot sien de bonne peut phs etre muté;

Anisé de ces tmastrophes, lesinondations de l'Aude aPParaissontplus "a/radines-, ii l'on excepte cellesdont l'Orbeel s'est rendu coupabledans le Vallon du Cabardes, n pros.pèm, si induftrel, se moderne.

Patrie de Ferroul, qui avait ré-sisté à l'autres tourmentes, qui se'guidais au.dessus des rnonts éter.nellement verts, planer sur tes ver-gers un ciel promue toujours sou-riant et clair, au mihet, desquels letombeau de notre narine étendaitson ombre tutieure et glorie.cpatrie des 11,11,11,â 'indomptables,obstmemeent acmé...es t ,eles al'idéal révolutionnaire musai rem-vant triomphalement Léon Blum, ily a quelques semaines tirets.. ledeclannent avec solennne digne dumême amour que celui dont ilsgardent la dépouille, parmi lesfleurs cites fruits; une heure a suffipour emporter la moitié de tesbiens.

Châtaignier séculaire, à l'ombragegigamesque,- impénétrable au se-leil, mus lequel tant de foules s'as-semblèrent pour écouter et applau-dit tant d'éloquence socialiste, dontes murs do la maison nata/e deFanonl répertutwent les échos anloin dam, le vallon, to n entends

plus à tes pieds que le bruit deslarmes, et tu dissineums farouche-ment au firmament, dans tes brasinnombrables. la misère des petit-fils de ceux mu te ment nartre dansla joie.

Ainsi, dam une région réputéeparmi les plus prospères,. le déses-poir vient 'rentrer pour. plusieursmois, et la gêne, sans doute ponaplusieurs années.

Çà et là môme. pour toujours, lamisère et l'obligation à l'exil.

Devant pareille calamité, l'insuf-fisanm de nos institutinnsaide apparaît.

La légitimité des critiques soda-listes devient évidente.

L'Etat ne sen de rien,' l'Etat n'estqu'un organisme nuisible et atter!.tatoire à nos droits individuels, s'iln'est pas capable, noce, heures-làd'indemniser les victimes, tout desuite et en totalité.

L'Etat est fait pour cela. Dumoins nous le croyons. nous soda-listes. Il n'est pas fait Pour nouepresmrer, nous étrangler, et em-ployer notre argent à PréPmer lanouvelle guerre.

Il est fait pour préparer l'entr*-aide en cm de malheur. Le nouvel-.nement actuel, le P.lement, l'api.nion publique le comprendront-ils ?

L. H.

L'activité de Léon Eaumn

au service des sinistrés,

de nosmalheureuxcompatriotes

et des infortunés chômeursIl faut que nos amis ...eut et

disent partout autour d'eux qu'ila été expressément convenu entretous le parlementaires, sans distinetion de Parti des régions Mais-trées que, tandis que les uns se ren-daient dans les départements rava-gés, les outras mstaient b Paris encontsot'yermainent axec la gouverne-ment afin de faire auprès de ce der-nier toutes demandes utiles. Or, par-mi ceux qui sent restés à Paris ily a Léon Blum, député de l'Aude.

fa pré.senco lui a permis de multi-plier des interventions pour obtenirdes crédits d'abord 20 millionsjugés ensuite insuffisants et portéeà 80 et 100

Avec Vincent Auriol et les mem-bres du groupe meialiste, LéonBlum a déposé mi Proie gui Von-mottes une remise en état de nosrégions et ce faut. surtout re-tenir c'est que à chaque ...euLéon Blum a tenu préciber qu'ilfallait eomprendre les chômeurs, lesouvriers sans travail dans la répar-tition des secoue. On peut compte»sur le dévouement, sur l'autorité etl'activité du député Léon Blum

r j'os inetanelatfe'On releIcL.Pnat,sersuleui=ogaZdloueansges.P Detels procédés lui répugnent. S'il

Pek feegjo71:

malheur qui noustrappe, nous le re.grefions bien.

Léon Blum remplit dignement,scrupuleusement son mandat. sanscharlatanisme, sans vain hruat. Ilest à Paris avec d'autres édentésdes régions inondées pour toutes lesdemandes et le interventions néces.

mires. Et noue ajoutons que noue/Wons no. estimer heureuxd'Avoir

LES MILLIARDS VOTES POUR LA a FORTIFICATION

DES FRONTIERES NE SERAIENT-ILS ' A S

MIEUX EMPLOYES A 14 RESTAURATION DES

REGIONS INONDEFS ?

L. Parti socialiste de notre payOs fêter ses noces d'argentl fi

a, en efiet, vingt-cinq ans que, répondant à l'appel de l'Internationalet MISSI sue aspirations profondes demasses ouvrières, les diverses organisalions se réclamant du sociadsme sfondirent en une seule et que l'UnitOit le jour.

Ce fut le 23 avril 1905, au Congrès de la salle du Globe.

Que.ques mors plus tut, à Amsterdam, en août 1904, Vandervelde maiterminé son rapport sur les discordequi séparaient les groupes français parces émouvantes paroles ot CamaradeGuesde, camarade Jaurès, je vous ad-jure, dans une pensée de paix socialiste internationale, de mus tendre la

Ce sont là de grands souvenirs pouceux qui ont vécu ces heures et cetteépoque. Les yeuses générations, cenues depuis il l'action, eleicent y psi

1913.L'an passé, sous wons dépassé

120.000. C'est sens doute un chifire.Mais où en srionsmous si m Congrèsde Tours, Noël 1920, l'imbécile etcriminelle scission n'avait failli dé.-trime «ohm Parti ancrants- meédifiée au prix de tant de peines etde sacrifices?

De nouveau, nous nous retrouvâmesme point de départ, avec 30-5 35.000fidèles, mais avee des diff ;caltés meles hommes de 1905 ne connurentpas.

Un parti communiste, agressif et in-»lent, emportant plus des quatre-cin-quièms des adhérents, possédant un

s bourgeoisie encouragés et rass.és parces querelles dont ils tiraient mous les

- profits. Naturellement nos caisses depropagande étaient vides pour vaincre

I ces obstacles.Notre résurrection vraiment tient du

miracle.ê Après bientôt dix ans et alors que

mentenmt tout est sauvé et qm test- paraît facile, que nos sections se peu-

plent, que tous les départements ban-, yens, voire les emonres, possèdent des

fédérations, que les succès électorauxs nous viennent, que l'horizon s'illumine

je me demande encore comment nousnous y sommes pot pour ne pas êtreemportés par la bourrasque.

Obi je sais bien en partie ce quis'est passé et je devine le reste. Deshommes ont vouas sauver le socialisme

e et le Parti sise sont jetés tête baiséedans la mêlée. Après le travail du

, jour, is parlaient pour une banlieuelointaine pour un village perdu où on

ser de précieux enseignements e

d'utiles leçons.Il n'y a qu'un prolétariat, il n'y a

qu'un socialisme, il ne saurait y avoiplusieurs partis socialistes.

C'est cette idée.jorce de l'unité né-cessaire de tout le prolétariat qui amime notre action Dom le long de cequart de sièc e.

Nous partîmes 38.000 de la salledu Globe. Nous étions 73,000 en

leur Malt signalé une réunion à faire,quelques consciences à gagner. Letrain, les autos, Ms vélos tout servait.On parlait quelque pas dans une ar-

e Hère-boutique, me salle d'auberge,

h.é. 9a dans l'indifférence. Quandon abait l'impression d'une sey'rée per-due, sans résultat, on rentrait plue bal

relep3art«a'pital,u Plein'elecerioelb,éesp,arEcet

qu'on a la loi, parce qu'on dme lesocialisme et qu'on y croit, parce quesans propagande la vie non, paraitincomplète...

C'mt tout cela qu'il nous faut fêterau vingt-cinquième anniversaire del'Unité o la grandeur et les vérités dusocialisme ; les nrillies elle, milliersde dévouements obscurs, les sacrificesig,rermab1es,,,bri,,,r,ondonnci tmsz nas

!rero16:err/te7/ér Zulecenti-laess,uictoires en me sur le chemin!...

PAUL FAURE.

/mune( lapai les masses, dispoams do Lire demain- .

moyeu financiers inépurtables; une LA CESURE -dusse °muré', syndicale divisée endeux C. G. T.; m mouvement coo- par Alen, RAII2vpératif neutre; un patronat et une député di- l'Arigor

A CAHORS. 1144 usine él.rigne en44h,, par les

un tel représentant, car, sans lui,nous serions dans un total étatd'abandon. E, M.

PASSAGE PRESIDENTIELLe cortège officiel du présidmt

do la République, en visite aux ré-gions navagées traversera Narbonnedimanche à li II. te

Conseils aux inondés -

COMMUNES INONDEES.SINFECTION. INSTRUCTIONSDE LA DIRECTION DES SERVI-.eus DEPARTEMENTAUX

Les Inondations récentes soute-ve:,,,l plusi,i,,,,eaurs,:i.cordres de (Mettonsm point de vue de la protection de(:A. Assainissement des habitation..

a) Souillées par une vase plus oumoins chargée d'engrais organiques,fumiers, etc., c'est-à-aire par de,,matières fermentescibles et pins oumoins dangereuses e

Enlever le dépôt et l'éloigner deshabitations. Poue cette op6rationveiller b la protmeté rigoureuse desmains (ongles taillés courts, savon-nage soigné avant de toucher auxaliments). Les oigarettes faites outouchées avee des mains sales peu-vent être très dangereuses.

Ensuite retirer le mobilie,r,,,,metsinmeter le sol, les murs à 0 m.no-dotons du Sri.nive.teint par Item et le mouilla,'d. pulvérisateurs (utiliser I. p se-

risateme pour vigu.es), pour lesquel-les on emploiera de préférence onedes préparations ci-après

Crésyl 40 grammes par litre(rem

Sulfate de cigare 1 50 grammespar Hire d'eau;

lait de chau.x (vive), 2091,Cas particulier.. Locaux conte.

sont des denrées alimentaires nonprotégées t absorption possible desodeurs; donc pas de -crésyl. Recou-'fric tres soigneusement /es denrée.

La pulvérisation, tout comme PourIn vigne n'agit bien que si elle évita .le ruissellement, donc l'arrêter désl'apparition de fines gouttelettessur la surfaoe désinfectée.

Id Rendues malsaines par hume-dite r,

L'humidité crée une prédisposi-tion ans maladies.

Assécher s.,locaux par li'nsola-lion, raération aussi large (courantsd'air) et continuo que possible, degrands feux, etc.

Autour de la maison u Assurer unbon ecoulement des eaux de pluiequi viendraient, oit en était ourlet'ment, entretenir tette .14maidiL4.

Dans chaque agglomératio.n veil-ler soigneusamant b Pen.tretienà la réparation des caniveaux, bm.ses etc.

e) Exécuter les prescriptions darèglement smaaire municipal parl'enlèvement des fnmiers(artiele ta).

d) Latrines et fosses fixes inendéesLes vidanger comma d'habituels dlmena les préasutions les lutas

25 CENT.DIMANCHE 9 MARS 1930

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: e ce jour Apres te désagre - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930... · viens-toi que tu es poussière et que tu retourneras

on!MI_M MF.MU_

tau ru Désinfecter les aborda au de 14 et 15 mitre, au-d.sue dei UN APPEL DE M. MALLARME

osésyl, au mlfaee de cuivre ou au l'étiage. Le ministre des P. T. T. a liane.lait de chaux.

Mais ils se sont rendus e reo- mis au personnel des départemeetedence 'inondée télégramme suivant

B. - Cadavres d'anima..enfouir aussi rapidement sme

poseible loin ries haluttatioeth., dee

edrldr anUede'eliltsu=en'inr: oleere enleVer par une entreprise du-quargiesage. Désinfecter ensulte ré,dixie, avec du crésyl et blanchir aulait de chaux (an pulvériesteur pouralke plus vite).

C. - Eau potable.Toute contamination expose à la

fièvre typhoïde, dysenterie, entéritenAvaries am captas. et ananli...Mons t Les rex:hercher aussi anise.:miment que possible. Toute eau muse trouble après les pluies peut-êtreoontaannée et doit être oonmdéréeedam, suspecte ou dangereuse.eae de doute ne consommer l'eau

' ' /hiPuits Tout puits envahi par les

inondations c'est-à-dire contaminé,devra être désinfecté d'après la tee),nique suivante

Vider le putts et enlever toute lava.. Cette dernière ne devra pasêtre laissée au voisinage du puits, luseaux de pluie pouvant en ramener1us dertres dans le puits.

Après enlèvement de la vase, vi-der le puits de nouveau à plusieursreluises, ce qui assure déjà un ex-sellent lavage.

Désinfecter alors avec du perman-ganate de potasse, à raison de cinqgrammes par métre cube d'eau cor-tenue dans le puits. Laisser agir troisou quatre jours. Pomper ensuite jus-qu'à ce que l'eau redevienne incolore.

N. B. Le crésyl en bonbonnes etle permanganate eu paquets de cinqgrammes seront fourme gratuitementpar l'administration préfectorale, sursimple demande de MM. les maireedut, le' préfet de l'Aude, en ayant soind' d' Imurex d t ans ort âutiliser pour l'expédition, les quan-tilde exactes, etc.

.Du haut d'un avionM. André Horuseas, da Matin, à bon/

'd'un avion pilerai par J'aviateur Rousse! -an us de l'aviation Postale 7 « toiooM loft

.

trios panoramique, votei vu extrait rDa. le dernier cercle que nous

avons trace au-dessus de Moissac,nous avons mi sortir des ruineslie citent, où ils s'accrochent, où ilsespèrent encore, de pauvr. êtres/amentah/. . ., dues et tragiques.Et leurs mains se tmdaient vers

o en. mer tlPrière. Nens avons, à

,tire-d'aile,

continué la dure randonnée. Nousavons, presque au ras de Mursponts, croise les vedettes affairéesse hâtant vcus les p0 pis encore me-nacés. Un ont. grisâtre et blanc depierres, de °insane, de ferrures quetire l fit t

c'est tout ce qui r.te de la digueale Couthuses. Panure qui fut laplaine par où l'on gagnait Mar-mande, des fermes abandonne.dont on n'aperçnit plus que le faitePnte... Nous 10/011S repris, le muraffrètement étreint, la roufs duretour. De coupa d'ailes en coupsd'afles, combien avons-no. vu decos peints villages dont on ne devineplue dere le présence qu'à la pointeadlilt:g. d'un clocher qui par dessusle flot mente dans l'azur de ce cielcomme une prière qui se sait d'.vance inexaucées Dans cette terre,qui fut riche et heureuse, les toits,fi pneusner ta Onlitemité du désastre. Rentrons.Roesert I Rentrons an plus vite, carle conte humain se brise â de

telsuflspectacles. Au ras dots dan....rosoulable et cruelle acrobatie, monpilote a voulu Me donner une der-nière vision de mite épouvante. 11nPeht village dOnt ignore le nom,niais dont Tee maisons se pressaient,à Scouts sûr, heureuses l'ombre duclocher. un petit village où il ne,rode rien 00e des sue. ! Le flota nivelé jusqu'aux dénombre.. Ilberce do son demies insouciantcette immmse détresse. Il lèche en-core de ses de limmenses lesmure .isâtres de l'église. 11 se P..dans l'humble cimetière villageois.F iasse plue de vivants à roulerdans ses tourbillons, il a fait, dans,le champ repns, éclater les de-1meures des more. Alors mainte-nant, famées. harquee, libérés dela terre, /0s cascatelle Sien vent en.

lentemert au Ill de Peau.

Toulouse, 8 ma..M. le présIdent do la République

et M. te président du Conseil sontarrivés à Aden, ce matin, par trainspécial, à 07 hmres, accompagnéenaturel/ment d'une escorte ino.sen p

ils sont salués non molri pinte-eoutieernent, pu, s'embarquent enauto pour la Velte des pays danes-

Une douzaine de voiturer cousu-Input le cortege, qui, à petite allu-re, dans le brouillard, après avoirkiyigaglié dans les quartiers eprou-V. d'Agen, se dirige vers Moissac.La route est jalonnée de gendar-mes et do soldats 00111M0 Si onétait dans la zone des armées enplèbe guerre.

A Moissac, le maire sénateur, /d.Delibil, conduit I. visiteurs à l'si-glise où sont alignes plusieurs dou-naines de cercueils, entmuls detonte la population en deuil. amaiSspectacle plus PelgeWit.

De Moissac) le cortège continuesur Montauban ofi le maire présen-te et signale à l'attention Officiellequelques sauveteurs héreiqUes par-mi lesquels le Secrétaire général dela PréfectUre.MM. Doumergue et Tardiett ru--neuvellent, partout les mêmes paro-les Gasset. de consolation et lusuffenm promes.s de sollicilnde.

Ils continuent leur randonndeVers Yillemur, où les autorités dela Haute-Garonne les reçoivent etnul 01. Ourgaut, e priaidu conseil général explique et ré-tendue du dûsaetre, et ses causesgenllques.

aoamidi trente, rentrée générale à

Toulouse. Déjeuner rapide à la Pré-fecture et départ derechef â ln 55

sûr St-Solpice, sans tranhour ni

Lm:nette.La tournée s'achèvera demnin par

l'Aude et l'Hérault.éntent que nous soins nn

Itt:r. les pute/dents ont °té galon..d tant de catastrophes.

Ile n'y enraient pas LI à fripe

qu'ils le telent. El Ils lant re teimplicitement remanie est avettae

qu'ils n'avaient cru â des monté

Ln visites officielles

Cotte visite toute naturelle a por-té un réconfort apparent aux vie-bat..

Mals le passage des autorités Parlisier:nes n'a provoque mille Partde

l'unNouvellés listes noiresA MOISSAC

'itnee 4il? lIes 'el'8?Z en r'Sè mireCrett, p''â:permis d'acander au quartier Saint-Gemnain, Li, da. cinq métairies,se trouvent mue eadavr.. Les ha-bilants, surpris dans leur lit, ant étéentoures par les eaux et ont péri.

Ce sont les familles Case, Moruo,Dessau, Doumer°, Amiral.

FOUT Molseao, en additionnant oesseize cade,. à ee. qui ont étéretrouvée hier et aujourd'hui,nous

sommesdéjà la soixantaine. Elledoit être dépassée à l'heure Pe-retront ces lignes.

A ABER

Dans l'irniherhant 011itlitêt. deSem.' où S'est noyée Mme Marce-fine Lafargue, 72 ans, épouse Richt.fort, l'on a découvert aumi les ca-davres de MM. Edmond Lacoste, 55ans, charretier, originaire de Cu-hors; Louis Noget, 70 ans, chiffon-nier, rue Montaigne, et FerdinandDeloste.

PREMIER BILAN

53 vietimes identifié.Voici une ',te de viotimes qui ont

pu etre identifiéesMontauban. - Adelpho Poult,

/daube Gustave Gay, Fran ois Bee-sies., Julien Dubroca,

Vietorineid, A dré 1,1 G '

0100101, Pierre Galas, GuillemetteAnsé, Jean Artel.

Saint-Antonin. - Bessières, Bayé.Albias. - Louise Nègre, Henriette

jousselain.Valence. - Lacoste père et filmMoissac. - Yves Bourrières Bo-

mat (veuve Thouet), Antetnette Co_' perh Simonne Durand Mme La-marenie, François Sorgo, Jean Mu-guets Joseph Jay, Antoine Loubatig-no, Jean Saint-Martin, Lucie Bois.fi Gère, abriel .Saint-Martin, AlfredBetoltière, Jean Moussue, Guillau-me Martinet, Barbe Meuve Dabet).

Reynie..., Maria Cogoreux, Gni!.leur. Foutes, Marguerite Verdier,Angelo Verdier, Antoinette Fayet,Antonm Laing., Jules Massai, An-toinette Gibert, Marius Rigel, Fran-çoise 1/arcadies, Mme d'hAzéinard doCornélie, Bernard Vicouroux, FeriaRomnag.nan, Rose Roumaemc.

On signale également cinq victi-mes à Barry-seleemnde et une àLamagistère.

COIPHENICATIONSTELEGRAPFLIQUES

' ès mant du i

nislire dus r, T, T., 1m rrloti000 tP-fégraphiques dans lesvrégions inon-dées s'améliorent d'heure en heur.

Les liaisons avec Paris sant main-tenant rétablies ; Moissac etCastelsarrasin ne disposent pas en-Pore do communications télégraphi-ques avec le réseau.

Le trate de ces villes est. écoulépar téléphone par l'Intermédiaired'Auch.

de tel,13millaux-Lefont, viee-Présirdent.

M. Germain Merlin est au banc dugeuvernement.

On reprend à l'artel° 67 la dis-cussion de la loi de finances.

Cet article établit la gratuité del'enseignement et de l'entre.dans les Ecol. Polytechnique,spécial. militaires et services desanté militaires, PEco, des élèvesingénieurs mécaniciens de la mari-ne et l'Ecole prindpale du serdceda santé de la Marine. SOng réserveerse est eiêv. redurent eu moinsde années dans les MI,"OMO sin eless le amine Eddie cl-vil dans lequel Ils seront eté Mmed'aprés leur rang de clameMent desortie. A défaut de quel ils Seetantmua renanceirsomeol Trésordes frais supportés par 'Etat leur

L'aras], est adopté.On adopte également l'article 67

A, qui Portmx l'allocation attachée à laitednitle d'argent des inalittltegra.

Nous vo. à l'article 67 D, quiménade un gros débat

Cet article nuage, en effet, laquestion de la gratuité des études del'enseignement secondaire.

e Je demande, dit M M. alot,président de la eammission, mannl'absence de Président d. C....hl,cet artiele soit réservé Bises mar-di. r

Il panel ainsi ordonné.L'artiste 67 C élève de 00 à 90 ne

du mondant de la dépense le maximum la subYention de l'Ela( auxvilles pour leurs constructions san-lames.

Pour la détermination de la sub-vention, les centimes nouveaux vo-lIales palC.Onterlr'elf:Vosnide'denSOMple Mémo litre alite 155 Can-tim. additionnels antérieurement

MM. Quenille, Chaqsaing, Leseenefont observer qu'il seeeit Ci...f-iable, pour le calcul des su ven-tions, de faire entrer en ligne decompte, non seulement les cent: els,;suai, souIps 10e

roson0000ntninime.

Si subventions sont calculéesseulement sur des centimes, si ellessont proportionnelles à lunportam

cees-el, les connote. aurontor dointérêt. désormais, à voter duo een-times ptutett eue des droits de Ides.

AulnePeserit de cette observa-tion, le nuiront no enneut dans leleste à M eubstitution des none

PentilPe, nenveeirs <MIN de.4.0111<04 nouvelles Y.

Nos Amis Spin:lime et MuSenn 51.gnatmtt robstade que Met trop sou-vent e la frèrm rûentetion senirelaignement de l'éculé pot, certains

« Le ministre ftut appel euvouement de toue pour la remise ¢nMat du réseau dans 1¢ moindre dé-lai

oposel.ceeer ttlagrtititeecehadcau':ors'n'Irmeus de faire Plus iliwdevom et â 'avance 11 remercie toutle ,iirerisseneeel >d)

couXs immédiats devaient etre re-mis aux adents sinistrés qui se-rment ano e o .

DEMANDES DE CONGO«14114.111RLES

Paris, 8 mars.Le mune radical-mcialiste

nonçait hier soir qu'il va demanderà la Chambean des permissions pourI. soldate des familles éprouvésaml ta, libération anticipée pour ceuxqui appartiennent au conUngentprocheonement libérant.

SOUSCRIPT/ONS PUBLIQUESParis, I mars.

La Banque de Franco d'accordavec la Fédération nationale don

journaux français a pris l'initiatived'organiser une SouScriptIen pnbli-

e au profit des sinistres du Midi,

art effet va être constitué uncomité dont nous publblerms inces-samment leg noms.

CE QUE SERA LA TOURNEED.S DEUIL NATIONAL

Le Sanat ayant, comme on le saitvote la proposition de M. Sols,sénateur, rature de henM. Tardieu a pris mi décret déci-dant que le dimanche 9 mare 1930est déclaré jour de deuil national.Le ministre do l'intérieur a donstransmis aux préfets de tous les dé-

artements ses instructions afin queles drapeaux soient mis enrnemain eue tous les bâtiments publics.

Toutes les fêtes publiques et lesmanifestations nffionnllus sont sup-primks a Paris et en pronoms', demeute les natidetres, les poidotsdivers. autorités ne se rendront00 auX ieeenoSic:"V.'reuf:

titre ulliOisl.ALTCUN BILAN NE POURRAETRE PUBLIE AVANT QUARAN,

TE-HUIT HEURESParis, 8 mars. - Les renseigne-

ni nous 'teeti=i'eldrinM's oumi'mnen atour

perz.ttent pas encore d'évaluerdans son muent te, et re e

approAgmatiye, 1 étendue deealistrophe.

31. Permit, ministre des travauxpublies, a fait parvenir, hier so.ir,au Ministère de l'Intérieur une no-, indiquant que ni le nombre des

m'Ire: 'nilelue pourr=' dt coe"uepubliés avant quarante:huit heu-

res Alors seeleMent les services dé-partementaux auront Pu dresse,tessaberdilLnsadpgrércoiuSpreinasermoint aizeresitôt

DES QUETES DANS LESTHEATRES- SUBVENTIONNESDans l'intérêt même du Pereonnel,

la direction des heaumarts a décidéque les représentations annoncéesauraient lieu demain dans les théâ-tres mbrentionnés. Au cours des ce-p:Cam:teigne, en matinée et en soi-rée, des tend. seront faites, dontle montant mra versé intégralementa la souscription natinnak.

Paris, 8 mars. - La séance est hameaux. lls réclament des mesuresouverte à 910. 30, sous la Préside.. aPPreiffiéeS.

Une controverse s'engage sur Par-tiels 67 D, qui tend à transférer dla direction de Penseignemeut tech-nique et sous k nom de section .pro-fess:annelle les sections eeee,meedes écales primair. supérieures.

M, CAZALS. - Je demande le ren-voi, d'autant que la comm./mioo del'enseignement n'en a pas délibéré.

Le renvoi de Parilele est pronon-ce.

Une rédaetion nouvelle de Parti-de, proposée par M. Ernest Latent,de manière réserver le principe

. .

stiprincipale, donne lieu à Point,ge.

Tandis qu'it y est procédé, la dis-cussion se poursuit pas l'article 21.

La prime d'al/alternent de 15frau., servie aux femmes en cou-,gtz:eprnarntl.itniaxn,preosLeelre:èmeolit,.4.0

Le renvoi est repoussé et l'articleadopté tel met.

L'article 72 fixe à 2.50 et 1.50 seMen de 0.50 et de 1.60 le minimum etle maximum de l'allocation losenu. n0ième aox froumut ria n000hrO,renvoi est réolemé. On voudrait pro-longer el délai pendant loquet elleeét 8ervie.

M. Germain MARTIN. - Je prendst'engagement formel de faire eppelaux avances de la Trésorerie en Pasveut- des conernenes pauvres pendantla période transitaire.

Par 430 TOiat contre 131, le renneque s'obstine I réclamer M. Rattzeest repoussé. Quant à l'amendementde Ernest Latent, il es/ adoptépar 303 voix contre 248, n est remvoyé à la commission pour qu'ellefixe la Majoration du principal de

Le suite est rimaré à mardi 9 h. 30.

same. vae Verre. es noueses ALGER/E, en EMME, ito MAROC

as. A, D. F. et eu AMERIQUE DU SUD

pas AVION.

mosans. «NÉ.. aft000000LIEAenus. der CéaervrEiytées, 92

Ta/aphone e Elysées 62-0311.....terteamst damna ter amuses 0. 55.

A nos SouscripteursLa SOUgeription d'obligations de

la « Société Méridionale d'Impres-sion o est toujours ouverte pourceux do nos amis qui désir.",

Nous rappelons gau pmr facili-ter toutes les bourses ors oblige.tirons se composent do titres deCINQ CENTS FRANCS et de titresde CENTS FRANCS.

Les plus modestes klinonlICS peu-vent donc y participer.

Les ohlinalsons rapportent 4INQPOUR LENT, net telinants présentset futurs.

Aux obliantions de rent francssont attachés don coupons annuelsde cinq Iran.

Aux obligations de cinq centsfrancs sent attachés des couponsannuels de vingt-cinq lianes.

Pote ehaeune d'elles, le premiercroupon est payable le 31 décembreProolusin

Au Pur et à MeSure qu'approcherale paiement du presnier mupon at-taché am Rens, ceux-ci seront en

aUsse.C'est ainsi quo pendant le mole

de ma., Inc souscriptions conti-nueront délire reçumq aux condi-tions suivantes s

502 fr. 50, pour un titre de ringcents fraises',

100 fr. 50, pour un titre de centfrancs.

Les museriptions mist toujoursremues à notre melon, rue 1101111,laine, 38 à Toulouse, à notre compte

et acesde plldqneeguichets de /a banque Pritsie et dela banque Courtois.

A nos AbonnésNos abonnée peuvent situer les

raisde reeouvrement des quitta.

es, doyen. très onéreux.leur suffit d'effectuer le paie-

ment de leur aboanement par ver-muleta A notre compte de ehèquespostaux t ee 5277 4 Ton/Duse, aumoyen de ht formule qui leur acrede/Ivrée par la Poste.

Il ne leur en coulera que t te. 40.

Les VinsCe...ponde:me de Piui»SercySur les marchés du Midi, /es tran-

sactions relient toujours peu im-portant..

Perpignan a établi sa cote de7 fr. 50 à 0 fr. 50 le degré, pour lesvins rouges de 8 â 11 degrés.

A Carcassonne, on a Patte le" vinsde 8 è 10 fr. 50 le degré.

A Olonsac, les vins du Minervoisont été notée de 0 b 10 fr. 50 le de-e,-

Ntrnes a coté I. vine d'Aramon âMontagne de 7 fr. 25 a 9 fr. 25 ledegré.

A l'Arguas, les prix indiqués sontdo 7 fr. 50 à 10 fr. 50 l'hecto pourIon vins roug. de 8 â 11 degrés.

Peu de transactions eirectuéeségalement en Touraine, quoiqu'onpuisvr y trouver de bons vim rou-ges à 90 fr. l'hecto â la propriétés

En Bourgogne, c'est également lemarasme mot régne dans /es offai-

"1%na hi Var, on a pape les vinsfaimnt 10 h 10 d, 5 de 8 fr. 50 a

P. 25 10 duyeé.En Algérie, il si.t t.ifé un peu

Dans E mmmencement de l'après-

A LA CHAMBRE Fr5r:ED,rmr.715:A Bercy et entrepôts, en dehorsdes petites demandes courant., lesaffales de gras à âgeou n'ont pas re-pris d'animation; les prix pratiquessont plutôt fandement tenus. On avu offrir des tins roug. do Midio degrés do 120 â 125 fr., des 9 de-grés de 130 h 135 fr., des 10 deanesdo 140 â 150 f r. Des vins d'A/gémieont été proposés à 150 fr. pneu desIl degrés et de 115 h 165 fr. Pourd. 12 Med... En vins blancs, des11 dur' és auraient été payé. 170 fr.,dos VMs Manas d'Espagne 12 degrébattraient été â 200 fr.

Tous ces prix pour l'hecto nu etsur gares ou guets de Paris.

VALLOCATiONAUX FAMILLES NECEBSITEUSES Le

On passe à Parbele 70 A qui fineà 3 fren.cê pour le premier enfant,3 fr. 50 pour /e second, 4 franc5.imerb trolilème et 4 fr. 50 Per eu-foot à Perltt de MIStrierne, la MajO.ratina peur tennis de rallchntionservie am familles nécessiteuses desimmee gens appelés ; mals il laissesape ebaggement le taux de l'allo..tion elle-même.

LA mues D'ALLAITEMENT

midi, on sera peu surpris de en'Svietenom préparé. depuis diman-che et qui tomeeront, espéromle,dans le sans-froid des modérée, cer-tains d'étre Ins plus forts.. Combienils seraient sages do laiescr dire etde voler vite I

Da113 La République M. JacquesXeeer argumente contre la trêvepoldique, bien médiocre.

Devant rurdenns des problèmes hrésoudre, Pee concevoir usetrêve dans les débats parlementai-res, comme ce fut MD, h maintesreprises, le sas - mals pourquoiressusciter défunte Union natio-nale ?

Aussi bien In trios eût-elle aup-psi n anglais posé l'arrêt de /a vie peditique

il oléMettlilttalt plue que ça I11 parait g« la France, pays du 1

be et de la bonne farine, ne Sait:

Pb(?e ?oinq es'eptrngeaetinIrs qui le disentet aussi s'efforeent-ils dtint.duireen 00 moment eh. 0005 du pain deobes eul.

A e devanture de nombreuses,boula gle parisiennes, On <Oit ep.Ieffet sete/er de grands calicots di-sant

paM N.- au germe de blé estI I e

Mals ce pain, dont la matière Pre-mière nous vient d'Angleterre - nedit_on pes que les Anglais no sontpas grands amateurs de Pain -possède peut-être beaucoup de qua-lités, Mals coûte eher, beaueoupaber que notre bon pain blanc ordiantre, ce qui n'est p. de cirera/S-

esamedi. à la via toujours plus lchère.

11 est on d'ajouter que ce pain de 1sera peut-être un jour vende à

metpeur prix. in comme I espeeent/es fritéreses, /es droits de datenesue la fleur de farine Su trouventerdults.

Chrenivue deRAM-TOULOUSE

EN 13 heures à 13 h. 30, emeett. Or-chestre seurboniqUe

. Le songe d'une unit dé, s (Mendel-sehn): Carnaval romain (Bethe.).

MusiquereligieusesA es vorem «dom.); ir 0 salutaire y

Neheidi Improvisation (Vierne), ri An.dantino (Vierne).

De 13 h, SI à 13 h, 45, foires et mer,ehéss communiqué de /a Itshm Ainteerfroneidiei Informations

De 18 keliteii à 10h. 15, mosioue de:tee.De 18 h. 15 à 18 h 000,e00 pheto.

amphi,. par le Belieedaehe.De 18 h. as à il k. 15. en,elne-.. nne.-

tee d'histoire de rhece,De h 35 11h 50. orchestre a,

sent thDe_ 1.9 hutee à 19 1,1e. omet

nem cl amour. (Limir/

f heurt (Kcielbealu Tom.. s''e ads

lee." 45 » eit17) 30. information.iSe la dernière heure.

the: Air de belle; Angrlus: nt.J5Le.t,,; des Poules de trois

De 10 h. 30 2 Oheures, orehestre sym-ehonique

Scèees pittoresques (Massenet): Mar.

inueiluehunrme. a sor

du feu: Pantomime.De 20 hem. 5 20 h. 30, soli« Petite erandheère (Lange); Le

carillon La corrid,a (Stlerkamp); Dan, (Granedes); ri Une pro-cession de no., en Tees » (Glisse»: Ga-votte) (Lem), e Prelude (Corelli).

f)e 20 h. 30 à 21 heu., chaneormettes :

« Famême iDenidorff); paysdu mimosa (Dadderff); C'est teleetuollnlin); e Dam tee graeds reesbleus e (Rico): Les rêvee sont des bitIleede muon n (Erni.); Quand l'entour nous</Mena.. M(BerlI: sLe environs deParis (Scotto): e Sous les lanternes al-lumées (Zimmermann).

A 21 brome, concert, CobleA/ quines noies n (Ventura) T.-

Che colloque e (Ventels); La Pr...ionde Saint.Rorthélémy (Catha/a) « Dansle bois dliglyal): « Floride e (Pum1):

simili. moine. s Menem).Trormies de des. sâmIndles

Le Me Mme s (Dean, Querumen s tanin): Romsnes d'Ariodant n(Matit); . Cimetière de campes:te o

dialu)it « Colomhitutta (Delabrett Si

tu le veux (Coechlin): L'heure douce,(Eaclavitt).

TOULOUSEP RENEESA 20 heures, dernières noevees:

Ou métémelegique: résulte. desinformations commomottis eiliciels.

A 20 h. 45, eauseUe sm . L'Eeffm desParente e, tom Ms jean Camus, de Pans.

Ce nue dit la PresseL'INTRANSIGEANCE

EDS MODEBESLu discours de M. Louas Marin,

prononcé dimanche dernier, L'EreNouvelle reproche d Justs

titred'avoirsoufflé le vent de la dis-corde et de la haine »

Le grand maitre de l'U. R. D. afélicite ses amis d'avoir ramena ungouvernement d'Union nationaleconsolidé par, l'élimination d. radi-

. tonusd'avoir opéré ainsi un redressementqui, selon lui, deviendrait lire liti I

Quelles t'item:Mes oes pue hou no,vontelles pas, juste titre, éveil-ler QI. de difficultéu ne vont-ellesPaS su

Ilseitersurs les pas du gou-

vernement !no suffit pas de développer des

lieux communs sur /e thème de laconciliation, il faudrait que la remlité do la unes. se trouvât dans lesactes quotidiens de ceux qui por-tons les responsalubtde du pouvoir,de ceux aussi pu prétendent se cou-vrir do l'autorie dit gouvernementore/1151e s'agitent devant l'opinion

Toute la pee.sse Coty emboite leen luge Pur oui extraits

de ar0L'opposition est dans l'étal d'imli-

dtatione de gens sur qui s'est refer-mée une porte entriouverto.eaux et collectivistes fusent desTantales invités au festie ministé-riel et gni se mettaient àtablequand la majorité a fait demervir.Cumne on comprend oh. les vain-c. .liellistes cet excès des colt.-nos, ces menaces de poursuivre les

Fpe/qt %7Eder, des bue'

achve. Les partis auraient eanepoulinonsleurs ptls face a Fan'

d. luttes Mise. et des luttestures, attendant, en séipiant, le jour

et l'heure If deys flates pour la

rqU011180 tdreuvo'c'ffbeûef, pàr ex nature 1

mênm, profité itnigtOr partis de On-servation. Elle aurait coopd toutPlan, tout dynamisme à ces partisde progrès quoi s'adaptent au ryth-me des mouvemsnts populair..

A l'heure oh de toue côtés on si-gnale une atonie dangereuSe dosmuse., la trêve, loin de StimulorUne ardeur meve/le, ant consenteet légitimé l'assoupi...et duimes.

M. Jean Piot d L'uvre convientque l'attitude de Léon Bluter est

fie, si l'on ee Plaee 7,0,u0 déparfaitement roisonnahle et jouet,

de Io S. F. J. O. u, Fuis, a judo ors

Ce qui nous importe, à nonm, enn'est pas le SU.is d'In, parti : d'estoelui d. gauches. C'est suriOut Ce-lui d'une prhltmrbOu MEA.ro quidomine tout, et à laquelle nous en-tendons dmneurer Mêles.

Dit lPetielerPeP''rnoteher tans qu'ou dee,dra â M. Aristide Briand d'étre desmeurt dans le nouveau cabinet Tar-dieu. Si l'on veut bien aller au fmddes ohosos, on eapercowa qtr toue1m assauts, dirigés par oertainvafractions de la droite contre tous

goonoroommlu pmioédrnle,l'ontété, on réalité, contre la poliliquedu ministre dos affaires etranseres.Supposes que 11. Tardieu ait faitson cabinet sue M. Briand, al que,

.

In-orM majorité.'

Te 40. genDtuis ou nous allions.Poutettre à Pireiparable.

- Opinion purement personnelle I

- Sans doute. Mais bien accore,,Pei bleu les jours de Cannes, en0922 Je ne crois pas qu'il soit de'Intérêt de la France de les revivre.Pont-être voudra-bon bien renon-

nuite, que, &unis 10 eringrèa. d'An-ger«, no. YVO118 donnés let, aux

épargné bien des vicissitudes. dontrbei,intbliertints des conseils 001, s'ils

toutes ne no. Dirent pas fano.-avaient été, suivis, mils euSsent

La Vie sportive

POULE AA COGNAC. - Stede franges ce.,

F. C. loutdds.Le rude et puissante âme bordais, due

les Heu,. Duc., Henri Bordee est eli,ekonnem capable de mn, tete et mêmeparfoie de secouer bu hacha moisie.s umce:reprend lm Heremitch. Majérus et au.tes Salem, mate en tout étot de came lesg:trières .des enedémiciens do Povele, lesJaméguy. les Houdet, ks OIi,ipn, les D...dieem sont supérieurs à ceux des enfantsde Bernadette.

Ile doivent nkver let décieion.A moi.. d'un mintele...Or. 1es miracles a notre époque,

POULE 13A VILLENEUVE. - F. C. apparnéen

contre S. A. U. de Limes....Lexpliemiort ne sacs pas facile, lm sen

dols porcelaine peefédest une équipe ré,0lés 50 us, deunu 10e l'siu nu

'1°10, I:.10000srace à teyd'rl cran. àleur éneraie, mendmi un petit avantage

lauseront pus loin,. Mois ensuite, tl eousappard: que les Lascombes, les Duché, lesNeulmnd !mes par Casserons. doieeetêtre dus effiesees que les trois quarts eln.

DM 10,8, meilleurs dons l'abrasive c'esteus Limomin. que vont nos préfére,ma

POULE DA NARBONNE. - r. C. de Creeehle

mitre C. A. bénNis.Les jardiniers sont gens curium. Cama-

duat, nous erevoss de d /es Creenelme,l'instar des Bistros, se sunetrent mure.

men.. et envient dmore rssurr: l'occesion vu, Wired...7. semer ?arca que plus Mme que

anversages.Suon. s'Ils tombent dans le jeu del jar.

ken case:tee ...I mitesPOULE F

A - F. C. lésfeemeek pen-ne Quins.

Si les Quine paressent reprendse do milde la bête (leur excellente tenue &vent lesPalme le prouve), d eet bien diffieile desavoir exactement coile est la forme d.Famball.Clut, lézignon,s, qui depuis unmos u',, mime pris eu seneux lm matchesamicaux gn'il a displuês.

Quoi qu'il eu eoit, deux lianes d'avatuseliremement ardente. et accrocheuse. vonts'en...ger, d'un mité les Boiter. b Wis.sel, les Ciadv, de bautre, les Chammin, lesSoumis, ke Tithle sans rtell ne sen ALetspeesible de dMlarer laquelle prendrabovamege, lb trots-qemte, il est PrOhalleMie les LézignanMs avec Bès, Cane, Releart ne rnongenent un tantinet meilleursqua lenic vis-h-vis {encore que no. n'ensoy pas r

Maia. en scerune,'hisqu

" "'a'set Qui. paraissent dhigar velem ; per

contre Fexcenent tandem Lary-Amila estcertainement meilteue mie celui uni luisera citimoaé, et de de voit', de Tedipeefyipm.i., c'est lui qui en définitive,croyons,nouà fera pencher faiblement laba/ance du cate des Audois.-

POULE CA TOULON. -. U. S.perpignanaise con.

tre A. S. biterroise.Dee deux

côté%' m "oyc enatmque, meilieursenrdéfersret; avaeespluscie.ifig., à Béziers, Plus urdu.. à Per-

tt «gagnera ?

iL.esa,DzaLaz, souvent v.orirs en mbil-

iarrois elééeedreet'reU ieln'ar:er'parnous troyens vue les ayants Pilera à jules',épaules par rexcellent Serm, prendront lemeilleur trèès difficilemem, sans doute,mais marqueront me de même une cer-taine supériorité sur letmo adversaires un

ell brouillons, par leur jeu raison. etmieux coordonné.

Et qu'en définitive, ils arracheront uvotoute petite etoire.

Maintenant, vous savez, nous n'y parie-riOne pay notre part du parasite.

Cm .1 y a aussi le nista nul. qui suetteles deux équipas.

DEUX MATCHES A REJOUERSi le tem, le permet, le C. A. villenep

'ors et I, R. C. toulonnais se mesureront

t '&22:).'neaciste, taUherent de iiespliqUer à la Pépl-um, heoute r).

Nom no reviendron p.s, longuement, ausujet de ces denu rencontres. eur su cilienous avons émit dimanche dernier. Noueopinion na [lange pas en huit jours... etles équipes non pins,

Redisons donc sosla R. C. tovionnal9partira favori. car il nous pare 1,P,O.ment meilleur dans muas sem Himes MM

advemslto, mais m victoire colontremement difficile, car il ya heurter àune éqUipe /1G,, qui en veut, et dont lesquoi-ris son tara...

Quant à la deuxièMe remontre, il esteeeible et même Probable que Ira chant,

pipn8 de France soleil, quelque peu elecOnê0en avants, par randenr et le cran des T..cistes, rI. .rtircnt vainqueurs de ce ehoe,d'abord pstce que lem uttime conUent desItionarries de grande cisme, aptes a Mut-blir une situation campromise, ensuite perI, sepériorné de leurs lignes arrières. maisce ne mra pan sans s'employer à fond.

MATCHES DE BARRAGE .

A TARBES. - e, C. mammétain con.Se Stade hendayais,

Fayot{ rldandaos.A LINICGES. U, A da Gujan contre

RoaeueA AC.EN. - U. S. montalbanaise con.

nue S. B. U. C.Favori S. B. U.III est fort sechable que ee ',set, ne

tem s )A BOURG, A. S. Bétoiee centre

C. A. S. G.Favori C A. O. G.A BEZIERS. U. S. daequoise centre

C. b.terrain de Sauclières eat à l'heure

actuelle en trop mamain état Peur Cd.0amtch puisse s Y ion.<

A CA1-1088. - U. 9 Muria* tortuete. A. libournatse.

Favori r Lame:,A AVIGNON. - F. C. de Saint-Claude

`°P;C:CÀeCw,'.

1-0 =rira=AUX PONT-JUMEAUX- Montferrand

(n) contre Stade toulousain dl).Doua brises rencontres se joueront eu.

doeureei à Toulon..

VO<

Le second tour D'abord, eux Ponts-Jumeaux, le SteinreteeeL!:,,:enes nstre.;1,',1 0..

une Equipe. robuste en avants. vite en li.

LlrezreiLrea,:r.siedeuour,c1Lessit.iu.scy.up'r

toueà celui de lem c'est.à.direar,1:,et tout de jeu ouvert.

Le Stade mettre en ligne uee C dles Puis, les Matheiv. 1, s:

CarresrI"eiamene en aven, et de trèa bonqumts Fauré. remue, Malmena,' "rh

de, une très belle partie en ne,.°AI2 PARCaaeDEaSe,SPs 00,12TS. - U.S.P. (16

Irisa n, .att Pa, dee Spore, rU. s

ou'LP:17.7117:o'ol a4b7t1':T:tb eUt)ote. Se liane d'avanie est emmené, eées-avenO montelbanais Voyel. Derrière:teillent le demi Capot, L.'Prielté,terLte,,i.r. est ./Pouallut.ael

...dm et Toulon, eet coneidétéeslanuncep tréma le favori chmeleat

côté des Pateui!,,,d,evs.Hszrite,,,,,te,s,Ear...1

'1071-.quadu.sts rpei1, Amantes. Ranet stotout /e (enfeux tandem de demi L.

Mess s des Catalans nos f:prvorte:e<

Zuereiaq:dtlezas lo ett, rem,. am

A POITERS. - Stade fiançai

"eACCI-1. AALON'"'.1fRllo)NIAR' NE. -R)

CFrance 1111 comre &emboues dg. *

boires,,,,,, A,c.ppon4rtmhsery. de France connu

A BIARRITZ. -,Vilienenee annue

MARMANDE.- Com. renne Stade

C'A'R'CASSONNE. - Romans contreA. S. mtreassonnalse.

A AVIGNON. - Nice centre A S mue

A LYON. - 19, C. de Emme eontesF. C. de L n

A ROCZ.ORT, - Stade nanntie mustee C. A. issielede.

A AUCH. - Stade 'toulousmn commSegion

C. DUMENS-

DERNIERE. HEUREAimi qu'il était iodle de k prévoir. aa

certain ...bre de renCOntresnouées on ,,,,ornme de la joernée d'an-iourane penment se dimumr

C'es: einsi en% Urie. °tonna. contreU. O, Dacquoise ne joueront paa, amei queBègles eget., Greneble, à Naehinme.

A Léeisham Pas de rea,h.D'. nui part, Mazamet a déclaré forfait

Manu Hendaye.

WponigLedesDisiples

L'ingatigable activité des studi.dmregistrement ne me Permet pasde signaler sens omission tous lesdisques intéressants ; neü:montï

d'allPecier les natal uesnt le ne veux pas, ol merliste des nouvemtés de fin lévrier,p..e sons silence que, chez e PasObi r, André Bau., dms le Moeretça'ialZ 1elit,s4

.

:a;iiedoile.lci'Oeiiette frofoot.

C'estuit:14°,11e/sires et CouVentu Lou

(VaD103r/ < Gris, suis-le fris 1. note,

'

donne, serd Per sa belle voix, unelatine. Mme Ritter Giulini se Euedes

a es'il'e 0Le 'Lu Vie de Bohème st (Pue-

b) de « Mireales (Gounod) tomimrs affrontée avec crainte par leschanteuses de théâtre et souventtransposée.

e La Compagnie Prmçaise duGminephone r ue Leii..i Voussen Maitre non pésdisques la « Tragédie de atome edo Florz

d'octSeli ttelplinte ,koyieder_Kors.rs,

bvnrst) Introduction

cx.ce° re: do ornez/es Prientmurs s .eon a dans le rêve de desGrime, de Manou (Massenet) et leJardin (lestai de Marone (Rabmd)nous fait revivre de belles minutesthéâtral..

DhP/ 4 Columbia r Pair du lersete de l'Ornhée de Dinel, enteItimtré par NI. Rogatshewsky ; ee belartiste ne chante jamaD inutilementen form, P.leçant au premier rangla e e respect de lapensée dma maltres i/ s'affirme nome

0o des interprètes les plus indi-qués mer fixer sur la mire les chefsd'oeuvree chtssiquos. Ensuite 2 tan-gos indemne.' nythmtlinrlpiens de caractère

idem,. yo geler° un novloh) Memqui, exécutés par Porches-

tr ergentin do linhando du Perroue VOUS recommande tout spécim

lement les petits disques d' e Edisonbeil s de 20 chu touant aussi JonasImm. que ceux moyens de 25 clind'an prix très modeste et d'untransport non Moi. facile, de elleparMi les melltmes dans la maisnue légère s 4 Se t'emmène d hicampagne e et e Dites-mol Ma mê-ro e de M. Yvain une valse e Sé-duction n qui voisine avec à Cous.MUSS Y, fox-trott oriental et Panonsbilante « l Temps des Cerisesv%otaltsémeld.,,e1,0che:m, ,anit psr es ouï.

jours te passé. C'était un soi r...T'en sende00-11: I II faisait doux:vinôt ans delà? 0mo II mie letennis passe inexorable. Et c'est unpeu triste, et doux aussi, et Pon sesent meilleur ; mais dernain et tau-jours petit disque arni apporles.nous encore le rire, les bonheursperdes, les regrets, Pianin du pageinutil. et dl:elles et après ta der-Offre note nons penser°. Peut-lire b 5 Tanit._ à

Légn B. DESPAGNE.

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setions des votes urinairescl de /a prostate

é 178. 16 11,, Anne minera And is It.

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.<1111.111elpleereligen LE. MIDI SOCIALISTE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: e ce jour Apres te désagre - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930... · viens-toi que tu es poussière et que tu retourneras

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...relata', damnée e earde es toc ho. la un. ta Itol POISE NEE 0,1

el""ie

eat.3313.110S VETRANGER:g Comité Officiel Toulousain a

yeti des télégramme de doulou-reuse syMpathie de M. T'entend",Debassadeur de HoUrnanie à Parede M. Léon Denae, directeur de1E0516 d'Anvers, de plusieurs GR-tolus espagnole de Barcel.e, dontIre file sont db.:liante do notre oui-ecesité.

ATTEN'TION AUX ESCROCSLe Comité officiel Toulousain de

Secours aux Sinistrée, a l'honneurde prévenir la population, que cer-taines personnes sans mandat niqualité, so présentent à domicilepoice recueillir des souscriptions.

or éviter ce véritable marauda-, I,00 secours destines aux mal.ho nome, il est recommandé de neverser des fonds qu'ex Peemesou organismes qualifiée et nantisdes feuille, officie/le de souscrip-tion.

2- LISTE DE SOUSCRIPTION'Anie:roux Frères 10.0e0Office National de l'ente

Direction et Personnel 10.000Otterière Etat (M. Al.'

Isolé Directeur). .. .*gens des P.T.T. (2e

versement)Amiree do Prévoyartu e

la Police Toutou-aine 0.000

Mine Anna Pnadellea 10Direction et Personnel

Caisse Es.mpte duMidi

La garde à St-VineentConne. (DoPlogne-

Mmo Gouges! 8. Croix-Daurade

Mme Belley à. DenainPatronage 'Mem de M-

erle de Garçon des Mi.aimes (ter vers.)

Mme P. Dufot, allée Alphone° Pend

aule Meng. Veys./Mme MauxSyndicat dee Concierges

gamone de bureau etveilleurs de nuit de laManufactuce des tabses

Ut, rue Raymond-IVSyndicat des Mémiciens

dentistes de Toulo.e.Mali, Notaire à TlemcenSeeiSon Gestener à Tou-louseSauveteurs Toulousains.Rigaud eta de GriffouletPersonnel Mais. ArgeleAr-gelas, carrossierSaloons, astronome à

l'ObcervatolrePersonnel Civil de le

lire Municipalefl .50 Pacheurs à la

m de Toulouse1 ition des Soriétés

lecke (Hte-Gne.)D 1' 'mou, président, Fée

don Société Ptehe

P de la rue Retine

le, rue Alsace-Lor-

COMITÉ ;OFFICIEL TOULOUSAIN--e-r-*1-POS

1.010 r.

250 »

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2.00 aoh PhilauthroPhigePélican

Pr -nnnel d. Etablicee-nicnts 1211. Berne, PIOStdliOofao

Personnel Munimpalservi. des Jardins etPromenades ...... 1,943---

Total 29.481 a

Meurt de la 1" lige 107.500

Total général 136.981 e

CERCLE DUPLOYENDES 00TIES0S-DVGIVLOGRAP11E13

DE TOULOUSE-La Ruceau du st Cercle Duployen

omit de »On devoir de faire anprorrunt appel k toua ses membres,a-suris honoraire,, pour leur ran-i Venir en aide dans la me-

(05m s esprimbildés, tant ena qu'en allure, a l'occasion de

,dotable dasastre gai a Or/1F-,, Midi et qui réclame m

de tonte les home 'yodr tant que Pos81-

OS'j0 c5,1trim 'srlare'ncrasu d'une telle na-

1

smeriptions, versernets ouLaient reg. sol Sie. social,Mme Barbeau vice-présidente,

I Ste-Ursule.

1112 LOCAL DE SECOURSdANTON OUEST (SAINT-elltIEN ET BANLIEUE)'mité local de secours qui vaalce son affiliation au Corne!

1 iol Toulousain s'est matit.pesa:h:drame à Saint-CYPrien.

Boa siège a n la bic dc La rueusane. La constitution défini-du Comité et de son bureau estau lundi 10 mars à 21 heureanombreux groupementa et

ours personnalités du rammer-« de l'industrie ont déjà répom

1 à notre appel.30les groupements' artistiques,

sol

..... AU BON LINOLEUM G. sEvers

One° et dr.

Chronique éz Toîtiouse

POUR LES INONDÉS

sportife, politique, religieux, phi.losopitiquee et autres, les membresde l'Eneeimment publia et privé,

ruiler,lesnssaiet ce decfaçon géneiale tous muas 'ri. pues:vent noua aider dans notre oeuvre desecoure aux sinistrés. sont instam-ment pries d'assister ou de se Onereprésenter à la dite séance du 10mars, 1,11 heures, YB bis, rue

élu.gnationdéfinitive du bureau.ne permanence fonctIonnen au

ange, tous les jours, es lundi 11mars, de 9 à 12 heures et de 14 a 18heures pour recevoir les doal en ar-gent et en nature. '-Le Bureau pro-vieoirse

SYNDICATDES MARC1HANDS-TAILLEURS

Les membres du syndics. des mar-chande-tailleurs, les membrce hono-raires et les membres sympathieentsqui seraient désireux d'envoyer dulm., des vêtements, d. goiffures.des objets de literie et tout ce quopourrait être utile aux sitistres,sont priés de centralicer tous leursenvoie eh. M. G. Picard, cecrétai-re élu Syndicat, 10, rue du Poids-de-Pflaile, à Toulouse, nui 1re feraparvenir au nom du syndicat, auComité officiel chargé de la répar-tition.

Le Syndicat lies marehands-tail:leurs qui squat,» en outre pour mspremier versement de 500 francs,;

prie chacun de ses membres de felre arvenir sa .ntebution person-asile b M. Pellet, trésorier, 15,boulevard de Strasbourg, à Tou-

louse. - Le président.

COMMERÇANTS DETAILLANTSProfondément ému du cataclime

qui vient de dévaster plusieurs dé-1partementa du Midid ; l'Union des,Syndica.ts des Commerçante détail-1lards de Toulouse et de la HauteGaronne, a décidé de contribuer ausecours dea victimes de cette terri-ble catastrophe.

Elle prie tous les munerents dé-,taillants de faire aces d'une leu-,ternelle solidarité en donnant cha-ut a aetunma murent

Faire parvenir les dons au tréso-rier de l'Union des Syndicats. M.Félix Pezet, membre do la chambre,de Commerce de Toulouse, 21, place,Victordlugo qui transmettra belfonds au Cmlee forme par Io. Cham-bru dde commerce. - Le seerétaiee,flow, al.

LE REVEIL DE BONNEFOY I

La chorale La Réveil deBonnefors,, dans sa réunion du 7 mars:

cours moral et financier aux sinis-e., a décidé d'apporter son con-1

Me des miondaboce: PePoe de dl-1Bd r aux travailleurs atteint,par'le nfléan, de confier leurs e-I

fente à leurs camarades toulousains'pendant le temps née.saire à la ce-1prise de lours travaux. Le «Se Bonnefoy n, pour sa part, selchargera 'de Pentcetien d'un certainnombre de c. enfanta, et espère quo Iecete initiative sera bien aceueillrelet aura une heureuee repereumen

La somme de 250 francs a éa m-suie,à 31 Billeras, maire de Tou-

prsusidoese,

L'UNION SPORTIVETOULOUSAINE

Le Comité de l'Union SportiveToulousaine a RODO la somme de 100francs au profit des sinistrés.

Daus sa, soirée du 8 rua. une quê-te faite à t', profit a produit la som-nie de 101 francs somme totale 291

La 'Société Union Sportive Toulou-saine donnera dans le courant dumois une soirée au profit des ...s-t és

Cr soir a mars, grande soirée dan-sante.

UNION DES SYNDICATSOUVRIERS

L'Union des Syndicats ouvriersconfédérés de la Elaute-Garenne.réunis le vendredi 7 mare 1930,prend une part émue aux deuils etruines aocumuhla par les ravagesconsidérables, résultant des inonda-.

t°°ortIun1

respectueusement devant 1/es victimes QUI ont trouvé la mort'dans d'aussi tragique eirconstana 1-008.

Assure leur famille de sa vive etpar'onde sYmPalgie.

Lovant les misères et bas douteursengendrées par ne cataMsme, ru-)nion des syndicats estime qu'il rot'du devoir du gouvernenient d'am 1carder à toutes les victime, Inc se-Icours d'urgence et de prend. à seloharge les justes réparations des ra-vages causée par /es inondations,pour l'ensemble des sinistrés.

Appliquant les principes de soli--dardé qui sont h la banc rgMalien ouvrière elle engage toutesces organisations à faire leur devoirde solearité.

L'Uni. vote une somme de 1000trames.

Noue prévenons les cerreaire ettrésoriers dru syndicats que les

Toilos Cirée. No-mn, 7551,

Do'as

de Li, Broshrie, se.

TWeeale 11.21

fends devront être centralisée d'ur-gente à le Houes dul Travail,

LA SOUSG/UPTION DISVOYAGEURS DIC COMMERCE

Doukas...nént areue par he .-..Nu terrifiant qui Mn en deuilmitre t'agi., et Syndiodt des Venu-tours et ReptbsenlanLo de Comm.-Ma et d'Industrie de Toulouse et duStid.Dudst, Ponton syndfeale natio-nale des vougeurs de Mimer.eila=e eh'eleit lade"ree dne'sdeshbageurs de commence de Tou-Met et du Sud-Oneat, m'aplatitl'expression de hm Prof.de sen-potes aux Inalheureuse popula-tIons Dinietténé RE décident d'ouvr..,lâne plue tarit., en, souserlptIonen leur faveur.

Ile font appel, rion sou/minent àiode adhérents, mals encore à toueles membres de la corporation desautrm régions de la France.

Ils eadrusont particulièrement àtoutes les organisations syndloaleaau assoeirtIons mutuelles de voya--grues et représentt.nte en leur de-mandant de vouloir bien partielper,par le versement iminadlat d'uneganttreuse obole, au soulagementurgent des effroyables 'misères cau-zées par les inondations.

Les souscriptions sont reçuee austage du Syndicat des Voyageurs deMense, 3, Place du Caphole, obus'ga de /se oentrallser, où aras peu-vent être envo es par cheque pos-tal n. 4.9 adresse du tros.mergeneval

Le montant des sommes recued-P. Sera versé entre /es 111/008 deM. le Préfet de /a Haute-Garunnepour km reparties entes le sinis-tres des Mens Inondées

Lee nones des euecripteurs BenepUbliee da50 lea organes repenti.de chemin des groupements prel-tés.

Chen. de ses omnisationaS'itistrit d'orou et déjk pour la som-me de 500 franco

AVIS DE CONVOCATIONLes porteurs de parte de fondateur

de la Société Anonyme des Trans-ports !économiques Départementauxde la Ilaute-Garonne, sont convo-gués par le Conseil d'Administra-

, tion a l'Assemblée Générale spécialequi aura lieu au auge social, rusBonrepos, Ir 20, le 00 mare 1040, à17 hou.s.

Ordre du jourRachat des parts de fondateur

à un taux déterminé et adjonctionaux statuts d'un nouvel article 6 bisen cone... de ce rachat.

Ir Amortissements impie:moere-res, constitution de fonds de réser-ves extraordmarre et comme .nsé-gym° adjonction d'un param auheexième à l'article 44 des statuts.

Lou poetuuea de part, de fonda-teur devront déposer a usiège socialde la société, 20, rue BonreposToulouse, cinq jours francs avant laréunion de I Assemplée Generaleepéaiale, sait leurs parte, enit uncertificet de dépôt de ces titres dé-livrés par un établiscement de cré-dit.

Pour combien de jours?

miy.arilmirjele

a eu :lieLunau ertte-frojabosn.' M. Er:est Bé-luel est devenu radical. Radical bonteint. ear il a voté, par dee foie, .

em,,ire le eabinnt Toedien.Ce qui donne à eetto .nyersion 1

un prix particulier, m'est geelles'est mandestée dans le momentmême où les natioeux » toulou-saine eignifiaient en termes impésratte au député de la deuxièmeque, faute par lui de soutenir mor.doras le emelt °admet, il ermt

à tout jamaia discrédité, ce quiveut dire proprement lâché par /a 1réaction.

1Je ne sais pesos rm,avatitpcul.te'menace, et je doute q relie iêtre prise tout a fait sartrien,,car les réaetionnaires et les modérésde la Ville Rom ressemblent beau-coup aux radicaux de la rue de Valois, qui blâment, maudissent et rejettent de leur sem, comme indignes,les adhérents oui leur Soda la bla-gue de narguer la disepline, maisles ameilleat eere grâce quekluetemps après.

Nous avons vu cette petite entré.die se jouer ici plos d'une fois, sansque al. Beluel en ait autrement pâti,et le Midi Socialiste e a fait étatdes rappels et des admonestationsplus Ou moins sévères qui ont étéadressés au volage députe sans qu'ilen tint autrement compte et sansoue tes menacer et les avis fussentjamaia auivis les moindre am-i/0

-ms na .sommes cependant passénés pour reconnaître que M. Bé-tel semble, en ce moment, ee mo-quer des .invites impérieuses qui luisont faite.

D'apparence. il refuge de se re-plonger dans la droite et de se re-classer parmi les saxo,

Qu'on ne renne donc Plus 1M ré:clamer lee arrières d'une dette qu'ilestime avoir payée, ayant fait à cesmessieurs Iouler les coneessiona com-patibles avec sa, dignité et quelquesautres encore et, I par ailleurs,mesure l'impossibilité de servir à la fois dans le camp radical etdans le nationaliste.

- C'est, affirmait mercredi der-nier, un de ses partisans, d'unemain énergique et résolue qu'il agratté le vernis réandonnaire donton prétendait lui Peler mie temvelle couche. Assez de tractations I

Assez de complaicences 1 Assez decompromission. Il avons-nous dit.Et nous lui avons fait toucher dudoigt que les alliances avec la rés.tins se payant obligatoirement encapitulations, une aussi misérablepolitique le conduirait à l'abattoirsous le mépris publie et que Meuxvalait succomber noblement sous labannière radicale o

Voilà dune pourquoi M. Béluel atournê le dos h, me erreinents etpourquoi il et en train de deveniran des piliers du parti présidé par

Mais qui oserait affirmer okva durer longtemps 7

Stemms.

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CONCOURSDU

"BON GOUT

RÈGLEMENT

Pendant la quintaine du 10su 22 MM, il sera remis à toutAcheteur une feuille permettantde p.randre part notre Concoursdu BON GOUT".

Cette feuille imprimée devraêtre ITU exactement remplie etdéposee dam une boite placée àcet effet Ils Caisse ng 2.

Ce concours consiste à damerpremier, et suivant votre préfeerenue, un des étalages qui se

trouvent dans les vitrines en façadede noua Magasin, et degnés parles lettres A. B. C. D. E.

Le gagnant sera Je concurrentqui, ayant désigné n° I le premierdu eleeeement général,outre indigné pour ce méme éta-lage un nombre de suffrages serapprochant le plus du chiffre totalde voix obtenues.

En cas des aga, le gagnantdéfinitif sera etigné pas tirage autort.

Les concurrente classée /es Soiepremiers auront chacen droit

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dames ou jeunes tilles,d'une valeur de 1.000 fr.

Avis OfficiesMAIRIE DE TOULOUSE

ADJUDICATIONLe Maire de Toulouse a Phonneur

d'Informer le Mule qu'il sera pro-cede lemercrear 19 mars prtieba.,à 16 heures, dans /a sade des séan-ces da Conseil Municipal, au Capi-tole, à l'adjudication d'une entre.prise ayant pour Met ;

1- La tourniture des tuyaux deplomb de tous dinnètres dont laVille pourra avoir besoin pour descanalisations d'eau, branchementsde bornes-fontaines, de hOutiliesd arrosages, d unnoce, de prisceparticulieres

Le fourniture du plomb en sau-mon

La fourni., de soudure decommerce dite de Mailer.

La durée de oeite entreprise serad'une année, à compter de l'appro-belon da procesxerbal d'adjudica-tion par M. le Préfet de la Elaute-

.onne.Cette entreprise sera adjugée sur

soumission timbrée et cachetée, enfaveur de cm qui fera les offres /esplus avantageuses pour la Vil/e.

Elle ne cera adjugée qu'a unfouira:mur patenté et agréé par laCommiseuu d'adjudication; les souemissions seront conformes au mo-dèle annexé au cahier des charge.

L'importance de la fourniture estévaluée, pour la durée du marelle,a 201000 kilogs detuyaux de plomb,2.500 kilogs de Planda eumaea et1.090 kiloas de soudure.

Cautionnement à fournir : 1.000frette.

Le dossier de l'entreprise est dé-posé I la Mairie (Bureau; de M. l'In-génieur de la Ville), re les m'étai,dantc poarrant en prendre connms-sam. tous les leurs cuvrahtes de 9heures à midi et de 14 h. ad à 17heures,

Toute personne qui entraverait laliberté de Eadiudieetiort serait Pas-sible des peines édactes à l'article412 du Code pénal.

Fait à Toulouse, au Capitole, /e 3mals 1939.

Le Maire, E. BILLIERES,

MAIRIE DE TOULOUSEADJUDICATION

Le Maire de Toulouse ri l'honneurd'informer le publie qu'il sera pro-cede lemercredi 19 mars Prdebam.à 16 heures, dans la salie des séan-ces du Conseil Municipal,- e, Capi-tole, à l'adjudication d'une entr.prise ayant peur objet la fOUrnitetrependant une année, à dater de l'ap-probation de Padjudiralsoo pal M.le Préfet, des tuyaux et pièces defonte (le tous diamètres 001211Inté en-tre 0,040 et 0,800, nécessaires auService des Eamt de la Ville de Tou.

Cette entreprise sera adjagée sursoumissMn timbrée et mhetée, enfaveur de eut qui fera les offres lesplus avantageuses pour La Ville.

Elle ne sera adjugée qu'a unfournisseur patente et tegrêS Par laCommission d'adiadleation; ies s'ag-onissions seront .nrormes au mo-dale annexe au calmer des charges.

L'importance de la fourniture est

dvenet'e '111 O'1 rrat dee eo ne'::revén130,000 kilos).

Cautionnement à fournir 1.000

francs.Le dmier de l'entreprise est dé-

posé à la Mairie (Bureau de ki. Pla-génieur de le Ville), où les préten-dants pourront en prendre .nnels-saure, tous les jours osivralikS, de 9heures à midi et de 14 h. 30 à 17heures.

Toute pers.ne qui entraverait laliberté de l'adju.dication serait pas-elle des peines édictées à l'article412 du Code pénal.

Fait à T.louse, au Capitole, le 3mus 1930.

Le Maire, E. MIASMES.

AVIS 110 CONVOCATIONA LA DEUXIEME ASSEMBLEE

CONSTITUTIVEIcer1 actionnaire de la Soeiété and

arme en voie de formation dite'Mâté.

d'El..Thermessont convoqués, par léfondateur on amende aseemblée,,e.aénale constitutive au futur magesocial, à Toulouse, rue Ronron'.n° 20, pour le MI mars eme0, d. 77 boa-

Ordredu jase+

P Lecture du rapport du commis-saire sur les apporte en nature deM. Joeeph Legrand, et sur les am-.., particules stipulée par lesstatuts ; ro. sur les eintaleseruaroi, etre LM à la diirposiù. dosactionnaires au futur lege social,cinq jours a- moine avant l'assem-blée.

2. NominatiOn des administra-teurs.

Nomination d'un ou plusieurscommiaceirea chargée de faire nnrapport eur 1m compter' du premierexemice.-40 Modification à apporter à l'as

Sole as des statuts relatif à la du.rée de la Société ; approbatiot,pour tout le surplus des Me statutset déclaration de la constitution dé,finit.° de la société.

Le jundateur s LERRAND,

esdikeesede.sua 55 eurnnoreA:am

Patereerdemcamoincer.

riaMZereja. caronSeas

NiNttRUDIENtettERNMEt...peste= Immunes trate011111

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UNS & CdNfEBENCESSOCIETE D'ASTRONOMIEL'Obesrvatoire de Tananarive

et lea cyclones de l'Océan IndienSur ce sujet. M. le commandant

Pilla, capitaine de frégate en re-traite, m.-président Ale la Sceiétéd'Astronomie, fera pour les mem.brus de cette someté une causerie àson siège, eue .0ce00e, 9, le di-

manche 9 mars. à 17 heures (tempsdécimal 70 cès 8).

Les membres de la section .ulon-saine de la Ligue maritim.e et aolo-Mule, dont le distingre conféren-cier est président, sont aimablementinvités à cette réunion.

LUNDIS LITTERAIRESDemain lundi, aura lieu, aux

Lundis littéraires, organiséa pa.1 Assomatton generale des Etudiantela conférence do M. le docteur Du.by, sur « Le Theatre de la Peur a.(l'est toute une partie - la plus pit-toresque sans doute la plus étrangeà cep sûr - de la production druemataque contemporaine, que le con-férencier présentera à non auditoire:drames de Fente..., habilementconstruits, curieusement imaginés,d'une psychologie souvent tre finerêpertoue du Grand Guignol, nis'épanouissent lee uvres d'Andréde Lorde, Lenormand. Mée,toine.

ertiturl"alié, comme d'uss.e.

CENTENAIRE DE MISTRALC'est demain dimanche b 17 heu-

ras. que M. Armand Praviel don-nera, salle du Sénéchal, La quatriè-me conférence dusslrsor tt Lapoésie de Frédéric Mistral ». Cetteconférence du plus vif intérêt serae.ecompagnée d'auditions des prin-cipaux poemes de Mtetral sur devieux arra provençaux, par la

Schola Coocilia eet prudentde retenir ses billete à l'avance. soita la librairie Richard, 20, rue I.fayotte, soit chez le concierge de lasalle, 17, rue de Rémusat.

FACULTE DE DROITM. Amines, pro-recteur et pro-

fesseur à l'Université libre de leu-xellesdésigné par le gouvernementbelge comrns professeur d'échangeauprès de l'Université: de Toulouse,a fait, à la Faculté de Droit, sam'entière conférence publique le ven-dredi, 7 mars courant.

Les prie:aines auront lieu le sa-medi, 8, le lundi 10 et mercredi /2mare, à 17 h. 30.

Elles goderont respectiviment sur1m sujets suivants

Samedi 8 mars a Le rythme duProgrès éceneanee ; Essors et dé-pressioLuns ».ndi 10 futurs te Les cau.e descrises e.

Mercredi 12 mais : Estil com-ble de régulariser le mouvement éco-

COURRIER ARMSTICUE

UN EVENE101ENT MUSICALUe érbement mirai mas précédant

aura lis'. au Theatre du Cree. b mer.credi 12 mare en soirée, où noue aurons leplaisir d'applaudir k céRbre Orchestre'Symphonique Os Facs, v, compose do, ranimeilleure artuos.s d. O capimle, mus ladirection 'du indue Pierre Monteux, quiest, à Pheure actuelle, un des meilleurechefs d'emhestra du monde.

couss de cette soirée, nous auronsécelamete la 'Ge dratendre k pianisteJosé Imrip uni couvert de laurkrii, de satournée d'Amérique et que toute la preemd'outre-Atlantique a coneacré comme lepremier pianiste vie notre époque.

Spectacles de ToulouseCIRQUE HAGENBECK (Alléee des

Zéphire) Aujourd'hui, matinée à14 h. 30: roide de gala 110 h. 30.

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Grande féerie Chine., avec te mn-coure de 16 Pyrina Gide: les 8 Volum; desDel Pnom des 12 Praia-H.1ml et des ar-tiste. Chin., Japonais Arabes dee Com-te., de Cosaques dee celdbrce dom,murs 300 artistee en piete et 190 fauvesdressés

Pendant la journée, viene de la ce,br° .50e.rieLocation de 10 heure. à 18 heures.

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THEATRE DU CAPITOLE. - Aujoue--dl., en matinée à 14 heures : Thaïs eav. Mmes Jeanne AlvrRle, Hormières,Brocum,CMIlandeaui MM. Ramette. Alo-ne, Mouchez Nicolas

Le &Net s e Les Deux Pigeon./ s

demé pat Mlles Davin, Teeheney, Dolehon et tee dames del bedlet.

En mirée, à 20h. 30 s e Sigurd s avsele ténor Veceani, MII. Barram Gélard,Mare., MM, Valmoral, Triby, Pauke,Meure, Ma/Met, Caecaux, Parayre.

Mardi, A 10 h. 30 Leuiee avecMmes Jeanne Monde, Strickler, Gétard:MM, Vamermi, Rome., Mouches, Alba-

Mercredi, Concert Ordhestre Sympho.nique de Parie, soue la direction de M.Pierre Monteux, avec le concoure du pia-niste José Iturbi. -

Jeudi. à 20 h. 30 HérodiadeLest,so ouverte pour dimanche.Pour mardi et mercredi, lundi matin, à

10 heures.Pour jeudi, mardi.

THEATRE DES VARIETES. - C'.maeli 18 mars que eknivrira au Théâtredes Variété,' la série dee .grand gales decomédie que la direction aesuré avecles plus mandes vedette, du théâtre et del'écran.

Ce premier gala aura lieu pas la célèbrepièce de is Comédie Françaiee i Mo-loch D, de M. Brousee de StAlars, musiquede Maurice Lévy dietave), inte.rété par lecréateur. M. Le Barge, de la ComédieFrançaise. dans te sole de David Chahlet, Mlle Catherine Fonteney, sociémirede le oCmédie Française, et M. CharlesBerteaux, de la'Comédic Française

En temps utile il perdue la dietribmiencomp/ète de ce grand gaie de comédie.

Aujourdlid 9 mars, en matinéeà 2 heures 30, reprise de Poupéeavec k concours de Mad-Well (La Poupée),M Gérardy (Lancelot), André, (Maxienim)Mme André Moreau (Mme Hilarius) M.Henry-Roy CM. Hilmi,/ et M. Saint-Geor-ges IL Chanterelle).

En évitée, à 8 h. 30 r Bayadèreavec Germaine de Ré./ (Odette). And,G«ard (Radia,/ et Davray (Naoaléon).

Location ouverte.

THEATRE DES NOUVEAUTES.Aui rd'hui deux représenmtions, matinéeà 14 h. 30, .irée à 20 h. 45, de la granderevue Ça c'est Fouyais e.

Aprè, la spectacle. à « La Pergola e.dancing, grand ga/a de minuit à deux key.res et de %mires 4-7 Lure, avec /esamie. (le /a revue.

Très bientôt s MonneOr e repérerMarseillaise . 3 actes.

L'OIE DU CAPITOLE. - A I5 heureset à 9 heures Le Noces d'Or s, opé-mue Alsacien.. Partie concert et unecomédie. .

PARAMOUNT. - A 04h. 15, 16 LAOet 21 heu. o s Le Myetère de la VilleRom s. Attractions.'GAUMONT-PALACE. - A 14 h. 15,

Id h. 00 et à 21 hem, s Papillond'Or 1. Attractions.

LE TRIANON. -- A 14h, /5, 16 61. 30et à 21 heures Les Rome blanches deGilmore Attractions,

LE ROYAL. - A 14 h. 15. h. 30et à 21 heures quatrième serseine

La Nuit est à Nous e.

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De /0 à 18 heureslocation ouverte au Cirque

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Bus., 13 h. 30; Rich. 14 heu'ruaisLe ballet «te me..ser

< LES DEUX PIGEONS nChel d...heure M. Lament

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Bureau, 20 heures: Rideau, 20 h. 30

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TOULOUSE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: e ce jour Apres te désagre - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930... · viens-toi que tu es poussière et que tu retourneras

COTTES. 25, rue de

DANS LA RUELES ETRANGERS

Procès-verbal pour infraetion S laRi sur le séjour des étrangers enFrance a été dr.sé au 3e arrond.-mese., coutre les nommés

Anton Deaff, 27 ans, sujet beleare,demeurant rue Lanceioc, 27

Saturnin Larnarca, 20 ans, sujetespagnol, chauffeur d'auto, demeu-rant rue Godehn, 5.

AUTO CONTRE TRAMIller, vers 15 heures, une collision

.sent produite à hauteur du n. 3 dubouleverd Remet, entre l'automobileconduite par le sieur Joseph Gerba-rien, 23 ans, demeurant allées SI-A.gne, 3, au service de la CoopérativeToulousaine, houlevattl Piquet eu tretram de /a hene 5, faisant le /raiegare Malublan-La "Cépière.

Drgets matériels seulement.AUTOS EN COLLISION

Avant-hier, vers 14 h. 30, une col-lision s'est produite en face le nu-méro 13 de la rue d'Alsace entrel'automobile de M. Menton, dente.rant a Lech. Gieute-Geronne), et.1Ie de M. Lascanal, demeurant éLahmtide-sure'llers (Ariège).

Degels matériel, smlementAU PARQUET

Le brigadier Maries et l'agent Sal-les, de la Sûreté, ont conduit un ser-vi. le 110Millé Ca.mello earralsée, 24ans, manoeuvre, sans domicile fine.

Après essquête de M. le chef de laSinn., le susnommé a été déféré auParquet pourvoi d'un sac à main etinfraction à un arrête d'expulsion.

RENVERSER PAR UNEAUTOMOBILE

Hier, vers 8 h, 10, M. Albert Dar-dier, Initier. denmumut rue du4-Septembre, a renversé, pla. duPont-Nene avec l'automobile qu'ilconduisait, la demoiselle Seval An-toinette, demeurant quai de Tennis,100.

Cette demoiselle s'est relevéeseule, déclarant n'avoir' immun mal.

Une enquête est néanmoins ou-verte au ler arrondi...st.

TROC ;AILLES

-.clamer : 4 M. Au lue, rue deColombette, 8, un stylo ; es Mme

Sentine rue Carama. II, un tem-pou. ; la M. Casai., débit de ta-baes, place du Pont, un trousseaude clés ; l'agent Lassalle, le ar-rendissommt. un trousseau de troisole,a k lille Esplen, avenue dePaPris, 37, un imperméable d'en-fant ; M. Delhom, employé à laPréfecture, le division, une montre;

Mme Cassaing, rue des Tourneurs41, un tablier en talle ; au bureaudes Epaves, des obligations du Cré-dit aNtional, 2 paraplie.; à l'admi-nistration des Trams, un paquet,une paire rte gants.

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CERCLE LeBellE BU CANTONOUEST

Répétition générale 4m grimeomusical du Cercle lalque, le mardiII mars, 4 21 heures, au Mega 75 bisrue

Présence indispensable.Préparation du concert prochain

Organise au profit des Pelieletionesinietrées.

ASSOCIATION GENERALEDES ETUDIANTS

Le Bureau de l'A. G. a l'honneurd'informer ses membres Qu'en rai-son du demil national prévu pour ledimanche 9 mars, la matne..e dansaute qu'il organisait peser ce doueest supprimée.

AVIS AU PUBLICLa edeciéte, du TrsOtpOrlarO

corognun de la Région Toulousaine al'honneur d'informer le publie queles communes de Flourens et deQuint seront desservies par aulObush partir du dimambe 9 mars 1930.

Consulter les horaires et tarifsaffiehes dans la voiture effectuantle service de la ligue N Bequirol-L.berdes-Fmseerives.UNION SPORTIVE TOULOUSAPIE

Aujourd'hui dimanche 9 MUS à 21

heures, deux grands bele .rontdonnés au bénéfice des .sinistrés desinondations dont le produit sera re-mis entre les mains de M. le Mairede la Ville de Toulouse.

Nous comptons sur une assistancenombre.° il seule fin que notregeste ne soit Pee vain.

MARCHE OU 7 MARSBlés fins, bladette, 108 fr. les 100

kilos ; Orge, 40 R. les 60 kil.;Avoine, 40 fr. les 50 hiles; Maisblanc, 75 fr. les 75 kilos ; Farine,185 fr. les 100 kilos ; Remoulage,192 fr. les 100 kilos ; Rep.se, 50 fr.les 100 kilos ; Son, 55 fr. les 1e0 ki-los ; Tréfiles, 475 à 500 fr. les 100kilos ; Luzerne, 425 à 475 fr. les 100

kilos.PHARMACIE DE GARDERisme.° 9 mare 1930

Abadie, pl. inter. St-Michel 3;Barrue rue de Metz 52; Duffour, rueSt-Panteléon 5; Neeher, bonleverdCarnot 71 ; Passaret, rue CompenseSemence, boulevard de Strasbourg38 ; Sobre. av. de Parle 1 ; 'Verdie,rue de la République 59,

ASSURANCES SOCIALESAvis aux retardatairee

Le Maire de /a Ville de Toulousea l'horineue d'informer 14M. les em-ployeurs qui n'ont pas satisfait auxprescriptione de M. le Ministre duTravail, qu'ils ont e, retirer sans re-tard les formules devant servir à.erminatheulabon de leurs salers.,en vue de l'application de la loi sur-ies Assurances nodales, it l'annexedu Bureau du Travail, rueRemuent, ancienne Inculte des Let-tres, tous les jours de 9 k 12 heureset de 14 k 17 heures.

DISTRIBUTION D'ENERGIEELECTRIQUE

Par mite de travaux urgents à

exécuter sur /e réseau le eour.tsera interrompu aujourrd'hui h Par-tir de 8 heures dans la zone délimi-tée par les rues ei-après

L'Allée des &impies, le Game duMidi, le Cours Peeteur, le Chemin deSammo-Leng, l'Avenue Gramme leChemin du Boude, l'Avenue Frira,,,l'Allée elistral.BAL DE L'EMULATION NAUTIQUE

Le grand bal de PErnidation Nau-tique, dont nous avions dejà faitcerne:fere la dete l 15 mars, dans lessalons du Grand tif lei, mra donnéau profit dm sinistres des dernièresinondations.

Noue ne doutons pas que Inc nom-breux amis-de notre Club Nautiquesauront apprécier ce geste et qu'ilsviendront en foule à. ne .bal dont lesuccès éclatant s'annonçait déjà.

Les cartes peuvent lire retirdescentre invitation is La Marquise deSévigné rue Alsace, aux Chausser.Laites 22 rue Lafayette,

cosicroli,..2.?;e.rumeordelém.sat

le Chevalier de Maison - Rouge

En ce rrnment, un homme, qu'onreconnut pour un municipal à sonécharpe triee/ore, entra l esuiementcet homme était inconnu du capi-taluv et du chasseur, a.. leurs

. yeux se fixerentels sur lui.Citoyen général, dit le nouveau

venu en s'adressant à S'enterre,te prie de m'accepter en place du'Citoyen elaurice Lindey, qui Mi ma-lad.e; voici te Certificat du médecin:mon tour de garde arrivait eanehuit jeun, je Peemute eveeelare huit jours, il fera mon service,eornme je vais faire aujourd'hui le

Men.Si, toutefoie, les Capet et les

Capettes vivent encore huit jours,dit se, des munieipaux.

Santeere I fer ue' Petit'OdUrire i ce zélé;

ÇA ET LA 'La vie sociaiiste

par AleXandre DUMAS

--MO«puis, se tournant v.e le manda-taire de Meuei.

C'est bien, dit-11; va signer surla registre à la place de MauriceLindey, et consigne, is la colonnedes observations, le. Causes de cettemutation.

Cependant, le capitaine et lechasseur s'êtaient regardés are°une surprise joyeuse.

Dans huit jours, se dirent-ils.Capitaine Diemen ena Sue.

broie, prenez position dans le jardinavec votre eempagnie.

Venee, Morand, dit le capitaineau ehasseur son compagnon.

Le tambour retentit et la menpaegaie, conduite par le maître tan-neur, :déteigne dans la directionprescrite.

On mit les armes en faisceaux, etla compagniè se sépara par grom

COMITE FEDERALDE LA HAUTE-GARONNE

Le Comité fédéral de la Haute-Garonne ee réunira la diManche lnmare, â ? hcures très p. me« dumatvu,. d Autan«, salle du Coneeileuunsrieat.

Ordre du jour

Crssennot' fera3dle".:dus)l'aSelo"r's'qui78 MrieennZ'plie.e:

Réorganasation de te M'el,.garde de la délégation permanente;

e)Ordre du jour du 27e CongréeNational.

2. La prochaine journée fédéralede masse.

3° Questions diverses.Le Secrétaire fédéral

J. 1411:11/1111

SECTION TOULOUSAINELee membres de sa commiseion

eont eriés d'assister à la réunioneui eura lieu aujourd'hui dimanche 9 mar.à 10 h. 30, su cale Bon..

Le Se...ire i A. Curvale.L'EMANCIPATRICE

Aujourdend dimanche 9 nees les &mimeIl st 21 de easkethell rencontreront leséquipes correspondantes du T. U. C.

Les deux mueis aermt ks cer-mies de Parc Toulouse» et comme.-rom dès 8 heures.

Presenee indimen.ble des équipiers,ainai que dee remplaçants.0-La vie syndicale

Syndicat des Menuisier. en Bâtiment.Réunion einérele es matin dimanche, à10 heeres. à I. &erse duTeneailenemsolidarité eue ainistrés. Aesurene. ..-.les et Mires.

Syndicat de. Marbriers. Planes gé-nérale. ce mmie à 10 heures, à L. Be..de Trevail, po. Mime et Assurance.sociales. '

Li VIE DES SOCIÉTÉSFédération de. Chasser... Nous sone

mes ieformé. qe. le Bureau et le Conseild'Admimeration d. le Fédération des Sccieté de Chase... de 1. 1-1....Caronneet du Sud-Oue.t, mont remis en es..blé. extraordirraire à la date du mercredi12 mars courant.

Un vehemem appel sera adressé auxchasseuse fédérée de la Heute-Caremsepo. rune participation à une souscriptionouverte au siàge mciel de la Fédération.3, place du Capitole, à Toulouse.

ilm.monie de la Patte-d'Oie. Cettesociété a l'honneur d. feim Ravoir à tousses enis que c'est dManche 9 man, à21 heures, dan. la salle de l'Eldorado,qu'aura lieu la moirée dansante.

Le traxesti sera facultatif. Cotillon.Son orchestre composé ed 65 musiciens

mécutera les danses lem plue en vogue.Service de trams à /a sortie.Les Amis Co/on... Le bal travesti

de 5 avril recelai, oreanise eer s So-eleté de Secou. Mutuels Les Ami. Co-tomme s sera donné au béeéfice dessieisvg, dusItrée 's"ont venms dl.ce jour

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La Vie SportiveSOCIETE D'EDUCATION PHYSIQUE

DE LA HAUFEGARONNECotte smiété fondée m 1903 retoit le3

jou. d. Mme. le. inscription. des jeu-nes ee. dés«ent se présen.r auxexamens du B. ,M. E. de /a session deJuillet 1910.

Les cours ont couines lieu le jeudi, à20 h. 45. gymnase rue Melbee et I. diman-che à 8 h. 45, caserne Calerai. boule-vard Lemrosses, sore le direction de mo.-murs de choir.

Puer tous renseimements comlémenmems, reedreeer su préside.. ree des Les.32 bis, de 12 heures à 14 heures.

MATCH DE CLASSEMENTET QUART DE FINALE AU T.O.E.C.

Nuis raepelons que c'est aulourd'euique sera donné au Parc des Seom du Toecle coue d'envoi de deux belles rencontresde ehemplonnat.

Chlte,meeacdltlmesve).eesmeens0semekh de barra. au C. O. Péri:mei:-Ouest (Prornotron).

Fe geart ds fine/a du chempionee deFraece (éeuipe. demièmes) les rEeervee d.

S. !emmenaise et rie ru. S. /Ve-rmis te...et de corstimer leur route ver,

champirmat d. Franee.L'U. S. Aeenais compte dans ses renga

quelques équesiers d. valeur .18 que Vo.eel, ex-montalbenais. Pradié e

S. Per:sien..m mettra me piedI 'équipe mem. e

Arrière r Radendr;Trois-mem Beremie Charma, Am:

gees, Serre en Capettet

(32) pue, qui .menemèrent ta se prame-Peu en long et en large, selon leurfantaisie.

Le lieu de /eue promenade 40511 1e'.die même, 05 du temps deLouis XVI, la famille royale venait,quelquefois, prendre l'air. Ce jar-din Malt nu, aride, désolé, complè-tement dépouillé de fleurs, d'arbreset de verdure.

A vingt-cinq pas, à PM Pr., dela portion du mur qui donnait surla rue Porte-Foin, s'élevait uneespèce de cabutte, que la prévoyancede la municipaEté avait permis'd'établir, pour la plua grande com-modité des gardes nationaux quistationnaient au emplis et qui trou-vaien Llà, dans tee jours d'émeute,ise il était défendu de sorter,boire et k manger. La direction decette petite guineuette intérieureavait Olé fort ambitionnée; enfle, laconcession en avait Me faite à uneexcellente patriote, veuve d'un tau.beurion tué au 10 août, et qui .-..lait au nom de femme flue...

Cette petite °abonne, bâtie es;

planehes et en torchés, éte4 situéeau milieu d'une plate-bais., donton reconnaissait épée. /es limitesà une hale epine en buis. Elte seromposei% ahme seule Chambre

LE MIDI SOCIALISTEDone r Cmberum I.. Geai ohAve. Psaeil. Videl, Prades, Idenr/c,

Sinthe. Cedine, Al.lou. Serins.La public toulousain est done m'usé

d essimer a deux rencontres trèe disputée.et ns nara gsser pz de venir apte..ces 1,,e,lee coulpes.

A. S. MONTFERRANDA1SECONTAE .SIADE TOULOUSA.N

Aujourde.u, à le heures. sur le terrainde Sud. Toelousem le. feue.. seceedesde 'IA, S. Montierrandei. sida StadeToulou.in rencomeront sa eeert definale du Chempionne d. France deléquipe. seconde..

L'éoMpe madiete se preeentera eu sun-pies et le nmtels eammce des Plus Mté-

fdoese la population do deus-Gan-..

Comité local de secoure ana sinistrésde la Hante-Garonne

MM. le Sous-préfet de Saint-Gau-dens ; le mai. de Saint-Gaudem etle conseil municipal Aeemar, con.sabler gênerai ; Loles, comeillerd'arrondissement ; Abadie. prési-dent du tribunal civil ; Bellanger,président de l'Orphéon ; ;Bénadet,nehiipeot

.l're;,e1.1.aislevin, président

l:-'ll^lue 'llillrle-(e'udl''noie Bouche, ineéeieur pr n al d o.Service vicinal : Caneras, ;prési-dent de l'Association des 0 ...ese réserve ; Castex,. mee-préaldent

du Stade Saintelaudinois ; Cotte,. inspecteur primaire ; Couzi di-

Prix desplaces 1 Entrée générek, 3 fr.; recteur de le Banque de Ereel:Enceinte tribmes. g bene. DM fau, receveur des post: l

Le meol, des équipe. troisièm,s qui de- Fouina., Contrôleur des Contri-e. avoir lieu à Maemmde ...nt été re- belon. directee; Gares, vice-prés.mi. à une date ultérieure les éeuipiers dent du Syndicat d'Initiative.troisième. de S.d. Teelounem sues priée Mlle Gine direotrios de l'kete eocinees.de .. rendre an tem. à 13 heure. pour P mei. e s

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es.MM. Jufiien, directeur de la Ban- sitlfollseert islaésdthllyea'nletele adlleret ens. ""eueussll:remesinemet. que privée; Laggeleue président umuent cons:mue :

FOOTBALL-CLUB TOULOUSAIN du Comice agricole; de Larrard, di- remises., ire. Aster ; vice.presi.1°

..e,. dinf,,e).,,nn nez dden grueeerradee,,IledanesquieDualscle.re Meer- Lence, ;Ise.. 41zp,rts, e.ame,,,,.11,,r.

Mlle

lme ran

eogues, directrice de Plieole yes, Baas..leEPnetédiemerml'ent !Ialhie'l l Ze ms

c. (q deva. de Prim/aire Supérieure de Runes Fil. ,,,,,.Le.i,,,s,,, pecourro,,,,,spelpeoer

mach d hnapi eeConiiteecael d. Feert lesstel, Oriel, directeur de l'école II- joramon . 0 te. glu Par lùace a sousfineIe). qui doit s. dim.., le 16 mer.. bre de garçons ; Dr 011e, président ses apeeteems donnes dans le coneLES JEUNES CLUES TOULOUSAINS du Cercle ; De Payne, vice-presi- rem. uutunt la son.. ; à" nu an

REMERCIENT APRES LES JOURNEES dent de la Société des Etudes du neetee a eue Me organesan av. leDU MARDI,GRAS Comminges ; Peu, directeur de ré- euueeure ms eumetes ue musique. ne

. e. oole des garçons ; Pellegrin, prési- cream, ue eyamosteque et em eemeeLee `lideeenI° des el'''. er'ire.e°,,`..:- dent de la 'chorale ; Peyrière, une- un mivm : et es seusmsphons pro.

merde' tmee`emeeI 'e seuilP'""' --. taine de gendarmerie'. Porte Au- mat st0e pallie...imb cuê... y=.,.. <-..,......r...' ^° guste, préside. du syndicat dee 4 On eace, uen personnes dévouées

pere de. Sem., k jour de Meldj-Gre'' contribue-Mes ; Porte Fernand, pré- °et me meesem et emeruerent reereeme reeleée, à eertains dub. qui mees

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DAMS LE OEPARTEMENT

ARBORICULTURE FRUITIEREL'Office Agricole de /a liauG-

Garonne a l'honneur d'informer lèsme/price/Leurs, cultivateurs et ama-leurs que d. conferenees publiquesseront faites par MM. Mayne, pro-fesseur régional d'Horticulture etd'Arboriculture; Genieys, professeurà. l'Institut aerscole et MM.., pro-fesseur d'Agnon/Lure. .

Veld l'horaire de DU conféras-°.Dimanebe 9 mars h. 30 à Cou-

ret ohm Sie Dufour applioatienspratiques, seins â donner aux ar-bres; treitement .vire 1. maladiesparasibires.

Dimanche 9 mars à 14 heures àArims plantation et soi. donneraux arbr. fruitiers ; moyens delutte employés centre leu. mala-durs . . .

qousLundi 10 mars à 9 h. 30 à Fr- vver les lép ti mes protestations de

sao taille et conduite d. arbres êeeef

Des films cinématographiques du 'erie el'èè"°"' P. Per'. i"rMinistère de l'Agriculture sur la lit ne leue devez.vous p. lestaille et Me traitements des arbres meimeemente d'une jnsgie

t Peeeae 0de la conférer,. de Laeitte-Veg.- Jlee efruitiers seront projeté

'teri-2s â la suite P.

compter sur l'action neffilve l'et sa-dune d..'A. lutaare d'une politique agraire dl-. MURET mocratique, laissez-leur dune le droit

AMICALE SPORTIVE .MUeETAINE. de se défendre et de s'organiser,sous,.. la politique n'est

faitcloison,,Ayant cloison,, dais, libres, l'Arnica/s que de calcula, .nbitions et basses'eeeereiI le' 23 vengeances I Si vous n'êtes pes bon

à autre châtie et ne pouvez faire sem. déplacereit les 16 mars, 6 avril;4 mai.

vre reetez h jamais dans l'am-

POUR LES SINISTRES. leadminis- 'intanlliedureeseszlePs"tlrePveerieleuresellPI'estration municipale fait actuellement erocee uns coetre les entres. Le est votre de-der à la emeerietion à domeile emencée plerable et traditionnelle habitude,Mer k Hee. dènertereeeiele. M.'s c'est une maladie dont vous êtes in-

17ellal'esalsteiteé 'ose' scrolu:',7e M'Ire% n'y avait pas de politique ;de lai. ...et let ...ie.., dm Jec seulement des interête â défendre. EtPrepriétés, fermes et misa. éloienee. de si eeee eche ee eeeiee me,reeReeeedieu. elie la,de' fois da. votre vie, faire preuve deeieeeelfie.ere 1,,,,e,e7e. .ejteet Re' le.. bonne foi, vous auriez commence par

vous taire, au lieu da donner libree Y ° de ie.. e Pen'. Jee!" cours à votre « yhobis » de la vesie

'ède es. erde ceerret,eeedeent,ee, deeteeee/,,deeLee..searb." democratie. Mues voilà.., vous êtesdeee detree. l'homme de l'ordre tout en semant le

désordre à profusion.La démocratie agricole de Saint-

Gaudinois, émue et reeennaiasante detout l'amour que vous lui témoigne,vous prie teks humblement de muta-nuer a l'ignorer comme vous le laitessi volontiers en temps ordinaire, carchaque fois que vous vous rappelez.qu'elle existe, ce n'est que Imerdesservir et compromette sa cause anprofit de la reactien. Au revoirP. Dumese

BAL DE CHARITE. L'annonce dubel que l'Harmonie d. Salet-Oaudees domnues re mir dimancee 9 mars, se benéfice

SAINT-GAUDENSCOMITE DE SECOURS AUX

INONDES DE LA HAUTE-GA-BONNE. Le conseil municipalvient de voter une subvention de6.000 francs destinée à venir en ai-de aux sinistrés du département.D'un autre côté il a pria l'initie..d'organiser ne large comité dont 1.membres sont choisis sans distine.lies de parti ou de croyance et geisera chargé de diriger le mouvementde genereuse solidarité qui eutra1ne

d'upa domaine de ploie carrés, an-d,,ssous de laquelle s'étendait unecave où On descendait par des Meu-t.. grossierement taillés dans laterre même. C'était que la veuvePlumeau enfermait ses lieuse. etcomestibles, sur lesquels, elle et saElle, .fant de douee Mi.. mie,yeAillapieenntebintrtàdêts rkellee.m,

buveuse,les gardes nationaux se mirent donc,comme noua Pavons dit, les uns âsa promener dans le jardin, les am

que.

àtelog.auser avec les concierges;ceux-cl le regarder les d.sins tra-ces sur la Muraille, et qui représemlaient tous quelque dessin patrioti-

le roi pendu, evee cetteinscription « Monsieur Veto pre-nant un bain d'air ou le roiguillotine, av., nette autre « MM,sieur Veto crachant dans le Sae g;ce.-là à faire dut ouvertures àMme Plut-coati sur les desseins gas-

leur plus pue -nioluc d'eppRBLAu membre de ces derniers étaient

avons déjà remarque.eepitaine et In ChrISSOUr eue .0.

Ah capitaine Diemer, dit lacantinière, j'al du fameux Yin deSaumur, ellm I

citoyenne Piumeau, malsle yin de f.11111111, à Ma avBrin,ie

de Be, répondit le capitaine queavant d'emettre ee système, avaitregarde avec sein autour de lui etavait remarqué parmi les différentscornestisleb qu'étalaient orgueilleu-sement les rayors de la cantine l'ab-sence de ce comestible apprécie parlui.

Ah I mon capitaine, c'est com.me un fait eepree. mais le derniermorceau vient d'être enlevé.

legs4.44 1.n.

de. ds notre depertemeet, eiotheeedee récentes Inondations, a obtenu I emèremerobehon de toute solespopeleme.Aessi. estne es erand nombre,

tionatz2ensz.n,,,,d,it.,ver une auréoble.onée. reel. euse et suete. peer apporter leur °bele à eceuvre de

fraternité entreprise us, us, m.'

Le bis.. de l'Hermon. fi .ent à Pré..,que le produit iméeral de la recette de est-. soirée, se. adm.é av. emeré, dès

lundi proche..

pesas..tee reg... 1.1.0110.1 ta

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Ise M. ....s.l.. geuerai,ni. le lUdtre, hg. le troyen lerasette ea., 111, dec

eriee, dernier, eeee peeede t, La Coing,, les mreemeee et ses aire.Tribu. », où tout le monde a re. teere erse amies et luePraties,menu notre illustre représentant au ee:lueuerueuubdurbuoununeduourglaunzutiuoldntadeds

polyte... pour les dames.Parlement, le distingué egrége Rip. mem Memel..

Je tiens personnellement préci.r erteleeeeeier vrevisi...i.ldrgenoenreuf xour1,,aque .

d,uPdiirer.re,,Duruceauessr,,khiourmticouldteueur eduSustê- lu sali, du Ssuaia-Uiaé,Gaud caems, ndidat le la Chambre e

de travailleur terrien, que nul ne

.ka deee ,des représentationa sera

eut lui contester. Il se reconnaît le

baol'ullirgeorse'dnar;a'rtenneirrllaull'pPaurbtli'lldlleesNEOROLOGIE. Nous avons letravaileure et sans prétention, an- regret seeppeeedee la mort de Mlleeunecroitpouvoir défendre les mtée Leejelieu,e l'âge de Re ans,'êta de use derniers avec .tant de e eme Prmee M. Cflapac, directeurt.t et de foi que certains agrieul- eee There. mu, et sa flle, si cruel-tours de haute fantaisie, dont les lem.. freespee dosa leurs affectionscompetenees et l'action se traduisent les pins chères de trouver ici s'expies-.. de, magnifiques discours 1 sion de nos condeleancm atrmetées.

deEntes*lclIalesell: d'an'? NOUVEAUTESje suis fier d'appartenir, malgré vos Dimanche. aux heures hrabituelleslrigueurs et vus foudres, ei franche- Adrienne Lecouvreur » avecmuot Ri

vei:tser d'lér flee-uPrd'e lalecIPasosies uBplileillpule,e'ePe

que

E slc coc.ArlolCHASSE.

Nora;

mus d en faire autant enconcerne., sans risquer de seule-Pcm

mrieurs va faire revivre une société detrempes de chasse. Nous souhaitonsaux nouveaux piqueurs le même -suecès quo mnnurent leurs einem des

Echos de la Pique ».FOOTBALL (championnat divi-

eion d'honneur).) Aujourd'hui di-manche au pare des Sports, le B. Lu-ohon Sparts disputera 10 derniermatch de chan:mime:te do sa peuhcontre l'Avanteearde de la Save.

Netrs adver.ire nous vient p.-.. d'une bonne réputation n'a-Laipas tenu en échec les meilleures équi-pes de notre Ligue.

C'est à. un match capital pour no-tre club que nous ...ne notre pu-blic, nos Gprésentants voulant con-semer leur classement pour accéderaux demefinales du ehampionnee di-vision d'honneur,

Noua sommes doue sem.és d'assis-ter à une belle rencontre sur notreground, notre club alignant et cetteoccasion sa meilleure équipe, où nousreverrons avec joie de vieilles gloiresgus fuent le eenom du ILS.

Le coup d'envei sera donné à 14 h.30, par M. Feue l'excellent arbitrede la Ligue du Midi.

DAVINECROLOGIE. Nous avons ap-

ris aveu tristes que le père de nosbons sommades Limbert était dé-cédé cette semaine TM Deux, aprèsune langue et implacable maladie.

Cette mort prématurée a inter-rumpo

duemettiton'tcrlaits

notre regretté ami la sympathie detoue.

Que Me. Limbert et sa famille trou-vent ici, en oette douloureuse cir-constance, les condoléances sincèèreaet émues da la s.tion soeialiste etdu groupe des jeunesses de Daum

trappe et descendaient dans la cave.Bon, dit Morand après un ins-

tant d'examen; la cave s'avancedans la direction de b rue Porte.Soin. Elle est profonde de neuf itdix pieds, et il n'y a aucune maçon-nerie.

Quelle est la nature du sol Idumonda Duemer.

Tout crayeux. Ce sont dus ter-- Alors, dit le eapstal., pas de nec rePPortees; tous ces jardine ont

fromage de Brie, pas de vin de Sam étê bouleversés â plusieurs repri.mur; et remarque, citoyenne, que ses, il n'y a de roche nulle part.la consommation en valait la Vite, s'écria fermer. 'entendsattendu que je comptais en offrir hbote 15 vompsguie.

Mau capitaine, de te demandeCinq mismtes et je cours en cher-cher chez le citoyen concierge, quime fait coneurrenee et qui en a tou-jours; je le paierai plus oher, maistu es trop ben patriote POer as pasme dédommager.

Oct. eue va, répondit Diemenet nous, pendant ce temps, nousallons descendre à. la ouvert Obolesir nous-mérnes notre vin.

Fais comme oh« toi, capiteine,fais.

Et /a veuve Plumeau se mit horsurit de toutes ses forces vers la

Ire sabots de notre vivendi re; Phenez deux bouteilles de vin et re-montons.

Ils apparaimaient toue deux àl'oriftee de la trappe, quand la Plu-rneau rmtra, portant le fameux fr.rn.age de Brie demande aven tantd'insistance.

Derriere elle venaient plusieurschasseurs allechés par la bonne ap-par.. du susdit fromage.

Dix.er fit les honneur.', il of-frit une vingtaine de bouteilles devin à sa .mpagnie, taudis quecitoyen Morand racontait le dlvet.ment de Curtis., le desintéresse-ment de FabeiCius et le pateiotismede Brutus et de Oasiens, tentea hie-..

ment de ta Haute-Germur et sa région

que 'Isetereelrse,

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Des régions, la veilleprospère, ente goudainernprose des eaux en furieimpétueux passage MorkMisère, la désolation et I

Les efforts de plusi

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sur relrealliVer' enllos mesdinnnlisit.rés marquée per le e

maCtleeriesIZenicle'rnuYeelr.isenitedirllirneon tpzron.d a Mn r2aurnablim. E

neusermet aevant le ne'cas malheureuses virément arrachées à.verra nous, que ce fléaunous montrar plein dede honte .pour mus donMime, qua restent dans Idétresse. Notre petite ohéple de bien d'autres, neinsensible devant une ans,tristesse. Que chacun, selonmoyens réponde à l'appel

A. cette heure... tout près': nuls"'fait.

fts, den ef Ipl orrdnen noeut 'nfl'a,,,Ï

PlxVllellugsullserez génereux et vousreg aux mains qui setendriantvera

Zo.sioslatipts..d'rgheranysoettér.sepassion à 1 egard des matheureursi.

rdEetll,'Par une vieille tradition, àIe

quel/e vous resterez fisteles, nus voi;gdereell doue dna'rlirteii,e'nteltedeP e%lneesprit de charité devant la souffre°ce et le malheur. Le meusA. Labem

CARBONNECONSEIL MUN/CIPAL. Le Coesel

nemeipel est convoqué d'ureence pour ai.rnmehe 9 mes, à 16 heures. en Imevote d'une neeemion en faveur deset commune. du Midi dévestées perinondatione.

FOOTBALL ASSOCIATION. Ce me9 murent Fée... A du Réveil Sport CaEohm,. recevra sur son terrain de F.M.,.Péeuipe correspondante de l'Am/cela Me

Tou. les amateurs du Milon rond su mu.vieridroet de oette sympathique meiétéjusqu'en 1923 éteit clessé, comm. one deomeilleure de la ligue.

Espérant que le. Mme feront Dere.sible,

pouhrsoie ker. veleureux «dee.i,

ras m éeec.Coup d'envoi à M E 30.Peedant ce temps, l'équipe B do Réveil

Sport se déplecer, à tevelmet du Conemines pour donner fa réplique à la touteiens équipe de cette tocante dont on ditle plu. erand bimr nous accordons romfiance aux noues, ayant un peu plus demétier.

Départ de Caelsonne à 13h. 30.RUGBY. Le Jeunesse Sportive

Gerhon.lee recevra aujourd'hui surson terrain Pequipe première de

,Spertive Portesienne. LeClub vissteur possede un Qu....d'excellente valeur dont le Jeuscientifique et rapide a été remiseque au cou. du Championnat d.pyr6ndeS.

'Cette partie Sera un exeel/enttraînement pour /es joueurs de Gar-bo.. et leur servira de mise et:Maint en vue des proohaines rase.ntr. importantes. Tous les ameMurs de rugby de la région voe-M'ait assister à cette belle partie.

Coup d'envoi Tt 2 b. 30.

VILLE/RieLA CRUE 1)11 TARN. Le Tans

est toujours en baisse et on craintque la digue qui donne la foroe mo-trice aux Etablissements BrossesJeune et au vieux moelle ne soitsérieusement endommagée.

Le pont set au fond de la rivière.On aperçoit les cailles qui semblentle retenir. Des maieons crenleutencore sur la rive gauehe. d'autressont bien menaçantes et par cesbelles journées, chacun fouille se

demeure pour essayer de retro.«quelques meubles, du linge. Soeheetons que s beau temps contient° eequi rend /e deblaiement plus aisé.

Pour- rejoind-re la rive droite eapasse par Villebrumier.-

GOURDAN-POLIGNANSECTION SOCIALISTE.

-Mon de la Section le jeudi 1320 heures 30 au siese Café

loup.Ordre de deue jCauserie' par hs camarade Dite

sues, secrétaire cantonal; souscrite .tem peur les sinistrés du Medi; emmité fédéral du 16 courant; veremment des cotisations; sdrdssion7 nouveaux menebees.

gus

eo.

eue

moins us veut rien gens le fromage capitaine et te chaeseur, munie Rires qui furent presti. mite'd'une chandelle soulevaient /a appréciées que o fromage de Be.

et le vin d'Anjou offerts par Tees

mer, ce me n'est pas àOnze heures sounèren C'était

onze heures et demie qu'on relevaitles sentinelles.

N'est-ce point d'ordinaire de

midi à une heure que l'Autrichiennese promena .1 demanda Deaner et

Tison qui passait devant la cabanOs midi ii. une heure, juste'

ment.Et il se mit à chanter :

Made., monte à se tour...Mironton, tonton, mireemim.

Cette nuvelle facétie fut accueil-lie par les rires universels dee fier-des nationaux.

Aussitet Dixmer 111 l'appel lehommes de sa compagnie <lel e,Raient monter leur garde de ;Je,heures ot demie h une h,eurr

ie ,e

adrerreeeemiseauu e et fit es

Morand pour le pian., mienneetait convenu, au dernier éteige.eeete tour, da. cette meme eeeederrière laquelle eleurima e'êten'

ee,

ehl le jour où II avait intercePeeInc signes qui avaient été fattle4reine dee( eleeselel,4-e 'S. ne-Felee

11/...11P/10 OLT larliC12'1°

t__Obtenu

per ellstenstionI".'ANIS FLORA"... 1,1.1. 1. .1.. 1111

Courrier des iheatresTHEATIVE DU CAPITOLE

LE CONCERT DE L'ORCHESTRESYMPHONIQUE De. PARIS

La fol dation de r Orense. Sieneheeque de Paris s a es6 .aluée unammer

rens ep 928 comme un evèneesee ers

pies Ir...aRS. I e cése éeei,cl a1

/menteurs do créer enfin à Paris sciecheere du type des Jrands orme..uraaascsIFIelhaenenieue de Perm. de

NeveYork, de Boom. Concert gehe.d'Amterd.n).

Le eksie mieutieue fait <etre 600 cm.aide. d'en ensemble homegene de 80 man

eicienslla hardiesse avec keuelle étaie.

éteblia les programmes, tout celà attira lacunosité du monde parisien et étranger.

Or. cet orchestre, d'un type amimie àp.ru, pnisgu'il est le geai à réPéteg rffigùgsmatin. et le seul dm les membreu miens,

peu ne mitement men.ual lixe, exemptsOutil sone metériel, devait, en travsel.lent ....deux arme., sous la direction

de vedette. comm. Pierre Mme.. Erned,Ansermet (de Genevée elerbelbere(d'Âme..., Otto Klemperer (d. But.lie). Von Khoesslin (de Beyreuth( nA de

lèbres compositeurs mime le. Sm..esky, Chenu.. st Arther Homme!. et.teiedre à des nome d'exécutim que est

lare de retroever, mue à COuennes.Rappelles goure mncert domé ear cet-

te phelange d'ertistes m'a lieu le mer.

cet 12 mars.CREATION D'UNE ECOLE

0E CHOEURS

Une &el. d. Oh... est créée au Te.tre du Cmitole.

Les cour. -.rammer.. I. 15 mare, à20 heures et se poursuivront toute I'mméx

Les ...slides (hommes et dames) sontpriés de se hire inscrire au secrétariat dutee.. jmereres 12 mars inclus.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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La grâce de vieillir · 1 La grâce de vieillir « Quand tu étais jeune, tu nouais ta ceinture et tu allais où tu voulais ; lorsque tu seras devenu vieux, tu éten-dras les mains

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Allons au café ! Tu as faim ? Tu veux un/une …. Quest-ce que tu veux ?

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Scrum Master, qui es-tu ? Que fais-tu ?

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