L'Écho du réseau_septembre 2011

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SEPTEMBRE 2011 - VOL. 2, NO 5 CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX RICHELIEU-YAMASKA L’HÔTEL-DIEU FÊTE 12 CENTENAIRES Madame Gisèle Allard était l’une des 12 centenaires qui ont été fêtés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu, le 23 septembre dernier. Une messe a été célébrée dans la chapelle du centre pour souligner ces 12 siècles de vie. pages 5 à 8 SPÉCIAL AGRÉMENT page 9 LEAN EN CLSC : LE SOUTIEN À DOMICILE EN ACTION page 13 SEMAINE MONDIALE DE L’ALLAITEMENT page 15 SEMAINE DE L'HYGIÈNE DES MAINS RENOUVELLEMENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION : UN IMPORTANT PROCESSUS EN COURS Page 2 Page 16

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Journal interne du CSSS

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SEPTEMBRE 2011 - VOL. 2, NO 5

L’Écho du réseau est une réalisation de la Direction descommunications et des relationspubliques. Si vous avez des nouvelles ou descommentaires, n’hésitez pas à les transmettreà Martine Lesage, conseillère encommunication, par courriel :[email protected] ou partéléphone : 450 771-3333, poste 3354www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska

InfographieDenis Kiopini

ImpressionImprimerie Maska

3 octobre Mois du seinJournée

ruban rose : portezvotre ruban!

Du 2 au 16 octobreAffichage des postes

Du 17 au

21 octobre

Semaine

de l’hygiène

des mains

28 octobre25e édition du

Souper spaghetti duCentre d'hébergement

Andrée-Perrault Collège Saint-Maurice

18 h

12 octobre

Midi-branché avec la

Société québécoise

de la schizophrénie

De 12 h à 13 h à

l’auditorium de

l’hôpital

13 octobreJournée

provinciale des préposés en hygiènesalubrité

2 novembreDébut de la

campagne de

vaccination grippe

(détails à venir dans votre

prochain numéro)

2 novembreDate limite pour faire unchangement dedisponibilité

9 décembre

Party de Noël

du CSSS

La croisière

s’amuse!

Du 1er au 7 octobre

Semaine mondiale

de l’allaitement

6 octobre

Midi-branché sur

la dépression

post-partumCLSC d’Acton :

10 hCLSC des Patriotes :

12 h

5 octobreDate limite pour faire unchangement dedisponibilitéMidi-branché post-partumhôpital

8 h 15, 12 h et 15 h

: dates importantes à noter concernant les ressources humaines. RH

RH

RH

RH

Prochaine parution du magazine : Septembre 2011

Date limite pour suggestion de sujets : Lundi 15 août 2011

Date limite pour activités à inscrire aucalendrier des activités :Mardi 6 septembre 2011

CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX RICHELIEU-YAMASKA

L’HÔTEL-DIEU FÊTE12 CENTENAIRES Madame Gisèle Allard était l’une des 12 centenaires qui ont étéfêtés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu, le 23 septembredernier. Une messe a été célébrée dans la chapelle du centrepour souligner ces 12 siècles de vie. Page 8

pages 5 à 8

SPÉCIAL AGRÉMENT

page 9

LEAN EN CLSC : LE SOUTIEN ÀDOMICILE ENACTION

page 13

SEMAINEMONDIALE DEL’ALLAITEMENT

page 15

SEMAINE DEL'HYGIÈNE DES MAINS

RENOUVELLEMENT DU CONSEILD'ADMINISTRATION :

UNIMPORTANTPROCESSUSEN COURS

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M. Léopold St-Laurent (100 ans) Mme Jeannette Bienvenue (107 ans) Mme Simonne (Benoit) Provost (100 ans) Mme Marguerite Gaucher (102 ans) Mme Thérèse Côté (100 ans) Mme Julie Rioux (McDuff) (100 ans) Mme Gisèle Allard (100 ans) Mme Ida Mealey (Boulay) (100 ans) Mme Jeanne Messier (100 ans) Mme Angelina Benoit (Lamontagne) (102 ans) Mme Armandine Marchessault (Lecours) (102 ans ) Mme Ernestine Toupin (Lafrance) (100 ans )

Douze centenaires du Centre d'hébergement de l'Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe ont étéhonorés lors d'une célébration enleur honneur, en compagnie desmembres de leur famille, le 23septembre dernier.

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UNE BELLERÉUSSITE POUR LAJOURNÉE DESFAMILLES 2011À ACTON VALE

La Journée desfamilles avait lieu le

10 septembre dernier à Acton Vale.Organisé par les tables 0-5 ans et À toute jeunesse,l'événement a rassemblé plus de 1200 personnes, qui ontcélébré en famille et rencontré diverses ressources dumilieu. Un grand MERCI à tous ceux qui ont contribué àcette belle réussite.

2 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

Le 4 août dernier se tenait, au Club de Golf Saint-Hyacinthe, la 6e éditionde la Journée de golf Germain Larivière au profit de la Fondation Aline-Letendre. En cette journée exceptionnelle, où la température étaitexcellente, plus de 156 golfeurs ont répondu à l’appel de Monsieur JeanLarivière et de la Fondation, permettant d’amasser plus de 27 500 $ enprofit net pour la poursuite de la mission de la Fondation Aline-Letendre qui est de rehausser la qualité de vie de tous les résidents del’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe.

L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 15

TOURNOI DE GOLF GERMAIN LARIVIÈRE

Notre CSSS a de quoi être fier!Mme Manon Desjourdy,stomothérapeute, est devenue lapremière francophone àremporter les grands honneurslors de la conférence del’Association canadienne desstomothérapeutes, qui s’esttenue à Montréal en mai dernier.Elle s’est démarquée enremportant deux prixacadémiques prestigieux duProgramme de formation desinfirmières stomothérapeutes :

1) Prix pour la plus haute note pour le cours « Gestion de la continence » (programmes anglophones et francophones combinés);

2) Prix « Bill Carcary Award » pour la plus haute notecombinée pour les trois cours du programme, à égalitéavec une étudiante du programme anglophone.

Nos félicitations pour ce bel accomplissement!

LES HONNEURS POUR MANON DESJOURDY,INFIRMIÈRE SPÉCIALISÉEEN SOINS DE PLAIES

L e ministre de la Santé et des Services sociaux a déclenchécet été le processus de renouvellement des conseilsd’administration des centres de santé et de services

sociaux. Il s’agit d’une opération majeure pour notre CSSS qui sedéroulera d’ici janvier. Le nouveau conseil comptera au total 18administrateurs, soit 17 personnes élues, désignées et nommées,plus le directeur général.

De ce fait, la date du 18 octobre 2011 a été fixée pour finaliser ladésignation des quatre membres du personnel et des professionnelsqui siègeront au sein du conseil d’administration de notreétablissement. Les avis de désignation ont été affichés dans toutesles installations le 12 septembre dernier.

Pour l’administrateur désigné par le personnel non clinique, unscrutin par la poste se tient actuellement. Sept employés ontsoumis leur candidature :

Nom Milieu de pratique

Stéphane Bouchard Agent administratif #2

Joanne Fortin Préposée salubrité (soir)

Marlène Gagnon Agente administrative

Martine Laplante Préposée aux bénéficiaires

Sylvain Ledoux Salubrité

Serge Lussier Ouvrier d’entretien général

Mathieu Savard Préposé entretien ménager

L’ensemble du personnel non clinique inscrit sur la liste desélecteurs a reçu un bulletin de vote par la poste et a jusqu’au 17 octobre, 17 heures, pour retourner le tout avec leur choix.

Pour la personne désignée par le Conseil des médecins, dentisteset pharmaciens (CMDP), Dr Robert Duranceau, actuellementadministrateur, a été désigné sans opposition. Pour la désignationdu Conseil multidisciplinaire, incluant les membres du personnelinfirmier auxiliaire, Mme Louise Larrivée a été désignée sansopposition.

Lors d’une assemblée de ses membres, tenue le 26 septembredernier, le Conseil des infirmières et infirmiers (CII) a eu à choisirentre deux candidats intéressés : Mme Manon Gauthier, infirmière etchef d’unité à l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe et M. Luc Pellerin,infirmier et conseiller en soins infirmiers pour le Service deprévention et contrôle des infections. Mme Manon Gauthier aofficiellement été désignée à la suite du scrutin tenu lors de cetteassemblée.

Par ailleurs, d’ici le 18 octobre également, le Comité des usagersdu CSSS procèdera à la désignation de deux de ses membres quisiègeront au conseil d’administration.

Les quatre fondations reconnues du CSSS, la Fondation Honoré-Mercier, la Fondation Aline-Letendre, la Fondation du CLSC-CHSLDdes Patriotes et la Fondation Santé Daigneault-Gauthier, doiventconjointement désigner un représentant au conseil d’administrationdu CSSS.

Élection de la population

Il y aura élection de deux personnes provenant de la populationpour siéger au conseil d’administration du CSSS Richelieu-Yamaska.Les personnes intéressées à participer à l’administration desservices de santé et des services sociaux sont invitées à poser leurcandidature aux sièges réservés à la population. La date limite demise en candidature a été fixée au 3 octobre 2011, à 17 heures. S’ily a plus de candidats que de postes à combler, un avis sera émis etindiquera la liste des candidats ainsi que le lieu et l’heure duscrutin qui se tiendra le 1er novembre 2011.

D’ici le 1er février, date d’entrée du nouveau conseil, huit autresadministrateurs se joindront au groupe : deux personnes nomméespar l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie etsix personnes qui seront nommées par cooptation par lesadministrateurs élus et désignés. Des six personnes cooptées, aumoins une devra provenir de recommandations faites par lesorganismes communautaires de notre territoire.

Plus de 175 participants auront emprunté, le 11 septembre dernier, lesquatre parcours offerts. L’objectif financier de 20 000 $ de profit net a étéatteint. Des grands-parents jusqu’aux petits enfants, les familles étaientprésentes à cette grande activité familiale. Merci à tous nos bénévoles et à nos précieux commanditaires qui ont permis d'assurer le succès de cettejournée.

5e ÉDITION DU DÉFI VÉLO SANTÉ DE LA FONDATION ALINE-LETENDRE :UN AUTRE ÉCLATANT SUCCÈS

Fondation Aline-Letendre

Mme Desjourdy travaille à la DPSPSIPP,

au Service de la prévention et du contrôle des infections

Mme Josée Filiatrault, pharmacienne au Département de pharmacie,a vu un article sur la thromboprophylaxie, auquel elle a collaboré,publié dans le Journal of Thrombosis and Thrombolysis, " Implementation and evaluation of a pharmacy-ledthromboprophylaxis campaign in a community hospital". Mme Marie-Ève B. Dufresne, pharmacienne, et Dre Diane Poirier,

directrice des affaires médicales, ont collaboré à la revuePharmactuel : La revue internationale francophone de la pratiquepharmaceutique en établissement de santé (numéro de juillet-août-septembre 2011). Leur article se nomme Insuffisance rénale aiguëchez un patient adulte secondaire à une interaction possible entre laceftriaxone et le calcium. Pour lire cet article, visitez le lien suivant :http://www.pharmactuel.com/article.asp?article=473 Nous tenons à les féliciter.

Collaboration à des publications :du rayonnement pour deux de nos pharmaciennes

Fondation Honoré-Mercier Fondation Aline-Letendre Fondation CLSC-CHSLD des Patriotes Fondation Santé Daigneault-Gauthier

Toutes nos fondations ont maintenant leur site Internet. Pour les visiter :

santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska

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C ette édition de la rentrée de notremagazine Écho du réseau vousoffre un spécial Agrément. Nous

vous présentons en détails les élémentsimportants à retenir à quelques semainesseulement de l’arrivée des visiteurs quiviendront évaluer notre conformité auxstandards de qualité. Cette étape nouspermettra, j’en suis convaincu, derenouveler l’agrément obtenu en 2009. Ils’agit assurément du dossier majeur denotre organisation pour l’automne. Mais,notre CSSS poursuivra également la miseen œuvre de plusieurs travaux importantspour améliorer à la fois notre offre et laqualité de nos services. Je suis toujoursfier de constater comment toutes noséquipes sont à pied d’œuvre.

Un projet majeur d’optimisationdans nos CLSC

Nous débuterons au sein de nos équipesen CLSC un premier projet Lean pouroptimiser les services de soutien àdomicile. Cette approche Lean, appeléesouvent Approche Toyota, se déploieactuellement dans réseau de la santé. Il s’agit de revoir l’ensemble des processusde travail pour réduire autant que possibleles tâches ou les étapes qui n’ont pas devaleur directe pour les clients que nousavons à desservir. Cette approche est baséesur un travail étroit avec les équipes debase des services concernés afind’identifier et mettre en place lesaméliorations. Un premier projet Lean aété appliqué l’an dernier pour l’urgence del’hôpital, avec des résultats marquants.L’objectif du projet dans nos CLSC sera

d’augmenter le temps de service direct auxclients desservis à domicile, en revoyantles temps de déplacement, de procéduresadministratives, compilation de données,etc.

L’optimisation de nos services complèterabien nos travaux pour le continuumPersonnes âgées qui implique directementnos équipes en CLSC. Nous poursuivrons eneffet nos efforts pour améliorerl’intégration et la continuité de nosservices qui, en CLSC, ont un rôle très actifpour le maintien des personnes dans leurmilieu de vie naturel. Ils assurent la bonneliaison entre nos services lors du congé del’urgence ou de l’hospitalisation et,surtout, ils sont au centre de l’action pourla prise en charge rapide lorsque nosrepérons une personne en perted’autonomie ou à risque de perted’autonomie. Nos travaux pour améliorerl’arrimage des services, jumelés à une plusgrande optimisation de nos ressources,nous placeront en bonne position pourrépondre aux besoins croissants de notrepopulation de personnes âgées. Bonnenouvelle aussi pour ces secteurs! Nous avons reçu la confirmation,récemment, que notre établissementrecevra une enveloppe budgétaire de 1,2 millions $ pour améliorer l’accès auxservices SAD.

Vers le milieu de vie en centresd’hébergement et en ressourcesintermédiaires d’hébergement

Bien que nos efforts doivent porterprioritairement sur l’objectif de soutenirles personnes en perte d’autonomie à leur

domicile, nous sommes souvent placésdevant la nécessité d’accompagner lespersonnes vers un milieu d’hébergement.Dans ce cheminement vers l’hébergementen établissement, je me dois de soulignerle travail quotidien réalisé par l’équipe detravail social de notre CSSS, que ce soit enCLSC, en milieu hospitalier ou en centred’hébergement. Ces équipes verrontcertainement comme une très bonnenouvelle la confirmation par l’Agence de laMontérégie que notre territoire a droit à 60 nouvelles places en ressourcesintermédiaires. Nous sommes d’ailleursactuellement en processus d’appel depropositions pour le développement de cesnouveaux services. Ces projets seréaliseront dans les prochains mois.

Toujours pour nos centres d’hébergement,l’automne sera l’occasion de démarrer leplan d’action organisationnel pour ledéveloppement du concept milieu de vie,l’une des grandes priorités de notreplanification stratégique 2011-2015. Il s’agit d’un grand défi pour tous noscentres d’hébergement que de trouver le moyen de questionner de manièrecontinue les pratiques institutionnelles.Les recommandations d’amélioration quenous avons reçues en juin dernier, à lasuite de la visite de l’équipe ministérielled’appréciation en CHSLD, seront des levierspour aborder ce changement majeur dansnos milieux. Ce sujet fera d’ailleurs l’objetd’un échange particulier avec notrepersonnel des centres d’hébergement dansle cadre de la tournée du directeur général.

Bon automne à tous!

L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 3

MOT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL

Le Service nutrition et alimentation souhaite informer lepersonnel de plusieurs changements apportés concernant lesrequêtes d’aliments et les commandes au service traiteur, etce, afin d’offrir une réponse optimale à vos besoins.

1. Afin de faciliter l'envoi des requêtes d'aliments et autresfournitures, deux nouvelles adresses Lotus Notes ont étécréées. Par conséquent, vous devrez adresser vos requêtesd’aliments aux adresses suivantes : • Hôpital Honoré-Mercier : 16 CSSS RY Service traiteur HMTélécopieur : 450 771-3793

• C.H. de l’Hôtel-Dieu : 16 CSSS RY Service traiteur HD Télécopieur : 450 771-3749

2. Le dossier Service alimentaire disponible sur le P/publicsous DRTSH/Nutrition se nomme maintenant « menu et service traiteur ». Vous y trouverez lesdocuments suivants :

• Requête d'aliments et autres fournitures • Procédure abrégée • Liste des produits offerts • Menus de la cafétéria

3. La livraison et le retour des commandes sont maintenantassurés par le service alimentaire à l'endroit et à l'heuredemandés.

4. Sur la liste des produits offerts, trois nouvelles variétésde boîtes à lunch ont été ajoutées.

5. Le délai pour faire parvenir vos commandes de buffets etboîtes à lunch a été modifié; trois jours ouvrables pourune commande de moins de 25 personnes et sept joursouvrables pour 26 personnes et plus.

6. Le formulaire « requête d'aliments et autres fournitures »a été modifié (Bien vouloir utiliser SVP le nouveauformulaire).

Le Service nutrition et alimentation espère que ceschangements répondront davantage à vos besoins.

CHANGEMENTPOUR LESREQUÊTES AU SERVICE DETRAITEUR

M. Daniel Castonguay, directeur général

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CAFÉTÉRIA

Nouveaux tarifs À COMPTER DE LUNDI, LE 20 JUIN 2011, le nouveau prix du repas conventionné sera appliqué dans toutes les cafétérias du CSSS Richelieu-Yamaska.

PRIX ACTUELLEMENT EN VIGUEUR : 4,00 $ (4,55 $ avec taxes)

NOUVEAU PRIX :

+ de 2011 (0.75 %) + les taxes provinciale et fédérale

Le repas complet conventionné sera donc de 4,85 $ taxes incluses.

De plus, le prix de certains autres mets sera modifié afin de

Service alimentaire doit absorber.

Le Service alimentaire a le souci de continuer à améliorer la qualité du service et des produits nous faire part de vos commentaires et suggestions en utilisant la boîte à suggestions située près des caisses.

LES ÉQUIPES EN ACTIONÀ l’hôpital, lors d’une requête adressée aux services techniquespar téléphone, au poste 4449, veuillez vous assurer de donnerune information précise quant à vos besoins. Par exemple, pourune demande d’intervention lors d’un dégât dans un escalier, ilest important de mentionner le pavillon, l’escalier et l’étageconcernés. Vous avez une chaise à faire réparer? SVP,mentionnez le pavillon et le numéro du local où le réparateurdoit se rendre. En tout temps, laissez votre nom et numéro detéléphone.

Ce principe vaut aussi pour les autres installations. Lorsquevous interpellez votre responsable des ressources techniques etdes installations matérielles, facilitez-lui le travail. Uneinformation précise permettra d’assurer une réponse adéquate àvotre besoin, en plus de le faire dans le délai souhaité.

Merci!

Plus de précision s.v.p.

AIDEZ-NOUS ÀVOUS AIDER!

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4 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 13

Dans le cadre de la Semainemondiale de l’allaitement, qui sedéroule du 1er au 7 octobre, le

CSSS Richelieu-Yamaska procède à ladiffusion de sa Politique en allaitementmaternelle. Celle-ci a été adoptée dans lafoulée de la démarche de l’organisationpour obtenir l’accréditation Amis desbébés, une reconnaissance de l’OMS quiexige des établissements de santé qui lesouhaitent, d’adhérer à des conditionspour promouvoir, protéger et soutenirl’allaitement maternel. Vous la verrezdonc affichée à différents endroits dansnos installations (CLSC et hôpital).

Cette année, la Semaine mondiale del’allaitement a pour thème Parle-moi :L’allaitement maternel, une expérience3D! Nos trois CLSC et l’hôpital soulignentl’événement de différentes façons :

• Diffusion de la Politique en allaitement;

• Réalisation en cours d’une vidéoprésentant les services en périnatalitéde notre CSSS;

• Affichage de la Politique en allaitementmaternel du CSSS Richelieu-Yamaska;

• Participation à la vidéo Allaiterpartout… simplement, réalisée par unregroupement de partenaires de larégion;

• Conférences Midis-branchés ayantcomme thème La dépression chez lesnouvelles mères.

• Honoré-Mercier : Auditorium, le 5 octobre à 8 h 15, 12 h et 15 h.

• CLSC de la MRC-d’Acton :le 6 octobre à 10 h, au local A et B.

• CLSC des Patriotes à Beloeil :le 6 octobre à 12 h, au local 1103.

Conférencières : Mme Nancy Lavoieinfirmière clinicienne, consultanteen lactation au CLSC desMaskoutains, en petite enfance, etMme Claude Bonneau infirmièreclinicienne, consultante enlactation à l'Hôpital Honoré-Mercier. Elles vous invitent à venirassister à leur conférence afin devous faire profiter de leursconnaissances sur les causes, lesconséquences et les traitementsalternatifs lors de la dépressionpost-partum. De plus cetteprésentation vous sensibilisera àl'importance de l'allaitementmaternel.

LA CIVILITÉ EN MILIEUDE TRAVAIL

Engagé pour une accréditation Initiative Amis des bébés

LE CSSS PRÉSENTE SA POLITIQUE ENALLAITEMENT

L e terme « civilité » peut semblerune évidence pour chacun. Maisquand on y réfléchit, est-elle

réellement toujours présente dans noséchanges professionnels et à l’intérieur denos équipes de travail ? À l’ère où tout vavite, où nous prônons la liberté d’expressionet où la pression en milieu de travail peutparfois être forte, prenons-nous toujours letemps d’avoir des rapports cordiaux, de nepas oublier l’essentiel, soit de prendre letemps de dire « bonjour », « merci » ou « s’il vous plaît » ? Pourtant, la civilité estbien plus que ces règles de baseessentielles.

Qu’est-ce que la civilité en milieude travail ?

La civilité peut être décrite comme étantun ensemble de règles de conduite qu’ungroupe de personne se donne et qui vise lebien-être de la majorité. En milieu de

travail, la littérature cite cinq critèresdevant être respectés, pour que l’on puisseprétendre adopter des comportements decivilité avec les gens qui nous entourent :RESPECT – COLLABORATION – POLITESSE –COURTOISIE – SAVOIR VIVRE. En somme, Lacivilité est l'affichage du caractère pacifiqued'une personne dans ses relations avecautrui, notamment dans la façon d'entrer encontact, et du respect que l'on a pour soninterlocuteur.

En milieu de travail, le droit à la libertéd’expression ne nous permet pas de diretout ce que l’on pense, sans filtre et sans

retenue. Il importe de communiquer avecassertivité, c’est-à-dire d’adopter uneattitude dans laquelle on est capable des'affirmer tout en respectant autrui. Il s'agitde se respecter soi-même en s'exprimantdirectement et clairement par rapport auxévénements et à ce que l’on considèrecomme acceptable ou non, mais avecconsidération pour l’autre.

La civilité en milieu de travail, c’est aussitenter de faciliter le travail d’autrui. Parexemple, si nous savons qu’un collègue abesoin d’une réponse rapidement de notrepart, évitons de le faire patienter indûment.

Ou si nous savons qu’un collègue estdébordé et que de notre côté nous sommesà jour dans nos tâches, pourquoi ne pas luioffrir notre aide ?

Nous nous devons également d’avoir unregard critique sur nos proprescomportements, en s’assurant d’intégrer defaçon systématique, dans nos relations avecla clientèle, nos collègues et collaborateurs,les cinq notions de la civilité. Si nous avonsun inconfort face à une situation ou unefaçon d’agir d’un de nos collaborateurs, ilnous importe rapidement de faire connaîtreclairement sa position à cette personne de

façon respectueuse, en précisant lescomportements et les attitudes en cause, enlui indiquant le malaise provoqué par soncomportement et en lui demandantclairement de mettre un terme à cetteconduite. Si ce premier niveaud’intervention ne fonctionne pas, nous nousdevons d’aller chercher du soutien, tel qued’en parler à son supérieur immédiat, afinqu’il intervienne ou qu’il nous accompagnepour faire cesser la situation.

Ne pas banaliser la civilité enmilieu de travail – les risques : effet spiralMalheureusement, l’incivilité est

contaminante, puisque trop souvent, l’êtrehumain a tendance à répondre à celle-ci dela même façon. Ainsi, un processusd’escalade ou un effet de spiral risque des’enclencher. Lorsque l’incivilité estbanalisée ou non gérée, elle peut amener àdes conflits importants entre des membresd’une équipe. Tôt ou tard, elle finit mêmepar affecter le climat et la qualité de vie autravail de l’ensemble des membres del’équipe.

Une nouvelle politique bientôtdiffusée… incluant l’obligation decivilité

En ce sens, nous avons révisé la Politiquevisant à contrer la violence et leharcèlement en milieu de travailactuellement en vigueur. Celle-ci seraremplacée par une nouvelle politiquevenant d’être adoptée au comité dedirection. Compte tenu de l’importance quenotre organisation porte à la notion decivilité, nous y avons, entre autres, ajoutécette notion. La nouvelle Politique portantsur l’obligation de civilité, sur la préventionet la gestion de conflits, de violence et deharcèlement en milieu de travail vous seradiffusée prochainement.

La civilité en milieu detravail, c’est aussi tenter

de faciliter le travaild’autrui.

Jacinthe Bouchard, agente de sécurité à l’accueil de l’hôpital, se souviendralongtemps de son début de journée du 14 juillet dernier. Ce matin là, madameAndrée Déry, accompagnée de son mari, se présente à l’entrée principale. Enceinte,

les contractions ont commencé. À peinequelques pas sont faits devant le posted’accueil de Mme Bouchard que bébé estbel et bien prêt à faire son entrée dans lemonde. En quelques secondes, notreagente de sécurité attrape une chaiseroulante, aide le père à retirer lespantalons de la mère et attrape lenouveau-né. Un beau bébé en pleineforme finalement. Quelques semainesplus tard, la petite famille est venuedire un bonjour à Jacinthe Bouchard qui

tient une nouvelle fois le petit Lambert dans ses bras.Sur la photo : Andrée Déry, mère de Lambert avec son fils Théo, Jacinthe Bouchardavec Lambert, et Gervais Pouliot avec Noha.

« Selon les cultures, 10 à 20 % des nouvelles mères présenteront unedépression plus ou moins importante (Kendall-Tackett); certains auteurs

estiment même que cela concerne jusqu’à 40 à 50 % des femmes. »

ACCOUCHEMENT INUSITÉ Lorsque l’incivilité est banalisée ou non gérée,

elle peut amener à des conflits importants entre desmembres d’une équipe. Tôt ou tard, elle finit même par

affecter le climat et la qualité de vie au travail del’ensemble des membres de l’équipe.

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AGRÉMENT – HORIZON 2011

12 L ’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

CADRE DE RÉFÉRENCE EN NUTRITION ENTÉRALE À DOMICILE

UN PROCESSUS DECONTINUITÉ DESERVICE POURL’USAGER

Le CSSS Richelieu-Yamaska a adopté récemment un toutnouveau Cadre de référence en nutrition entérale à domicile.Son but premier? Permettre d’identifier le type de suivi

requis pour un usager devant recevoir une nutrition entérale àdomicile afin de lui permettre de maintenir sa qualité de vie. Letout, bien sûr, en permettant l’optimisation des ressources du CSSS.

D’ailleurs, cette démarche s’inscrit parfaitement dans les objectifsde la planification stratégique du CSSS en permettant l’implantationd’un processus assurant la continuité des soins et servicesspécifiques à un certain type de clientèle.

Ainsi, les objectifs poursuivis par ce cadre de référencepermettront :

- d’assurer la continuité et la qualité des soins et services offerts àl’usager devant recevoir une nutrition entérale, selon ses besoins;

- de promouvoir, développer et offrir une gamme de soins etservices requis à domicile, afin d’assurer le soutien et la sécuritéde l’usager nourri par voie entérale;

- de favoriser la collaboration entre le réseau local de services ettous les autres partenaires impliqués, en harmonisant lesdifférentes façons de faire;

- d’optimiser le potentiel et l’autonomie de l’usager en favorisant saparticipation ainsi que celle de ses aidants;

- d’assurer la meilleure utilisation des ressources humaines,matérielles et financières dans le but d’éviter tout dédoublementou bris dans la continuité des services, grâce à la transmissionsystématique et rapide de l’information;

- de s’assurer de la satisfaction de la clientèle quant aux soins etservices reçus.

Ce document présentera donc les interventions relatives au soutiendes usagers devant recevoir une nutrition entérale à domicile. Ladiffusion du document se fera au cours des prochaines semainesdans le cadre de séances de formation et d’information selon lesdifférents groupes d’intervenants utilisateurs.

C’est grâce à un comité de travail composé de divers intervenantset à la concertation des différentes installations du CSSS que cecadre de référence a pu voir le jour. Un grand merci à tous les gensqui ont collaboré au projet : Marie-Claude Allard, chef des cliniquesspécialisées ambulatoires, Unité de médecine de jour, oncologie etdu Service de l’électrophysiologie médicale; Martine Brochu,infirmière clinicienne au Service de gastroentérologie; AnnieGosselin, infirmière clinicienne, ASI-SAD, CLSC des Maskoutains,Pierrette Létourneau et Martin Gaudette, conseillers en gestion deprogrammes, DPSPSIPP; Louise Larivée, chef de secteur Nutrition etcontrôle de qualité; Diane Pelletier, nutritionniste SAD, CLSC desMaskoutains, aidée du Comité de pairs en nutrition clientèle adulte.

Prochainement, vous recevrez un message courriel ou sousformat papier de votre Conseil multidisciplinaire (CM).

Dans le cadre de son mandat, ce dernier doit mettre en placeun comité pour le maintien et la promotion de la compétence. Ce message vous parviendra donc d’un collègue « représentant »auquel nous avons fait appel pour assurer un lien entre lecomité de maintien et de promotion des compétences (CMPC)et vous.

La première tâche de votre représentant sera de s’assurer quetous les professionnels qui se retrouvent sur sa liste ont reçu cemessage. Pour ce faire, nous vous demandons de confirmer àvotre représentant la réception de ce message, dès quepossible. Le but de cet exercice est d’établir un moyen decommunication efficace pour échanger rapidement lesinformations dont le CMPC et le CM ont besoin pour remplir leurmandat.

Le conseil multidisciplinaire est une instance consultative quirelève du conseil d’administration et qui est responsable, envers le directeur général, de donner son avis sur diverses questionstouchant les pratiques professionnelles au sein del’établissement. Ces avis concernent notamment les moyens àprendre pour évaluer et maintenir la compétence de sesmembres.

Pour sa part, le CMPC a pour mandat :

a) d’évaluer les besoins de formation des membres du conseilmultidisciplinaire;

b) de proposer des activités de formation visant à maintenir la compétence des membres du conseil;

c) d’étudier le plan d'action pour le développement dupersonnel quant aux aspects reliés au maintien de lacompétence des membres du conseil et de formuler les avisnécessaires à l’exécutif du CM;

d) de recommander à l’exécutif du CM divers moyens visant àmaintenir et à promouvoir la compétence des membres duconseil;

e) de faire des recommandations à cet exécutif concernant lespolitiques d'évaluation en vigueur dans l'établissement etapplicables aux membres du conseil.

Ce comité est très important pour le développement desprofessionnels de notre établissement et le Comité exécutif duconseil multidisciplinaire est heureux de vous annoncer sa miseen place. Les membres qui le constituent sont : NathalieBeauchemin, éducatrice spécialisée, Linda Gagnon,audiologiste, Sandra Rioux, inhalothérapeute et Dany Dumont,travailleur social et conseiller clinique aux pratiquespsychosociales.

Merci de votre collaboration.L’équipe du CMPC

Bon à savoir!

L ’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 5

L a fébrilité se fait sentir dans tousles secteurs de soins et services del’organisation puisque très bientôt,

du 6 au 11 novembre prochain, les visiteursd’agrément seront parmi nous pour procéderà l’évaluation de notre organisation. Uneévaluation attendue, et pour laquellenombre d’efforts ont été déployés de part etd’autre dans l’actualisation des plansd’action.

Pour bien comprendre la grandeétape qui arrive, voici un rappel dece qu’est l’agrément.

L’agrément est une reconnaissancedécernée par un organisme indépendant,Agrément Canada, qui vient attester de laqualité des services que nous dispensons.

L’agrément est un processus d’évaluationexterne obligatoire pour tous qu’utilisentles établissements de santé au Québec. Onpourrait simplifier la démarche en lacomparant avec les examens du ministèrede l’Éducation en fin d’année scolaire, où onévalue les acquis et la compréhension desélèves et des étudiants par matière. Saufque pour nous, l’évaluation se fait à tous lesquatre ans et représente beaucoup plusqu’un examen. L’agrément exige unerévision en profondeur de nos façons defaire et de nos processus ainsi qu’une miseà jour de nos pratiques.

Rentrée automnaleUne évaluation nommée Agrément

Étape 1 : Autoévaluation à l’aide des normesÀ l’automne 2010, à partir des normes d’excellence du programme d’Agrément Canada,englobant les meilleures pratiques de gestion et les meilleures pratiques cliniques, 1105 questionnaires en ligne ont été remplis par le personnel des divers services denotre CSSS. Les résultats de ces questionnaires ont été compilés de manièreconfidentielle par Agrément Canada et un bilan par secteur a été produit.

Étape 2 : Mise en œuvre de plans d’améliorationDix-sept équipes qualité et trois comités dits transversaux ont été mis en place

avec le mandat d’assurer un suivi aux pistes d’amélioration identifiées en suivi àl’autoévaluation. Vous trouverez ci-après la liste des équipes et comités ainsi que le nomdu responsable :

Santé mentale (Maryse Hébert) Soins ambulatoires (Marie-Claude Allard) Oncologie (Marie-Claude Allard) Services de santé communautaires (Lise Langlois) Obstétrique et périnatalité (Viviane Major) Médecine (Myriam Fagnant) Soins intensifs (Lyne Beauregard) Urgence (Carine Sauvé) Chirurgie (Claudine Desmarais), incluant le Bloc opératoire et le secteur de stérilisation (Sylvie Paradis)

Hébergement – milieu de vie (Lyne St-Pierre) Réadaptation physique (Carole Dupuis) Imagerie (Réjean Goulet) Laboratoire (Vanessa Laflamme) Gestion des médicaments (Diane Pelletier) Prévention et contrôle des infections (Rachelle Vallée) Efficacité organisationnelle (Réjeanne Boudreau) Comité transversal clinique (Sylvie Provost) Comité transversal médical (Josée Fournier) Comité transversal ressources humaines (Manon Beaudet) Soins et services à domicile (Sylvie Dumont)

Chaque équipe et comité ont élaboré et mis en œuvre un plan visant une améliorationde la qualité de nos soins et services et une plus grande conformité aux normes duprogramme d’agrément.

Le comité de maintien et de promotion des compétences, une nouveauté duConseil multidisciplinaire

Le décompte est commencé.

35 joursavant la

grande visite!

Page 6: L'Écho du réseau_septembre 2011

L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 11

E n juillet, nos résidents II nous ontquitté pour faire leur pratiquemédicale. Deux de ces résidentes en

médecine familiale sont restées parmi nous :Dre Joannie Boudreault qui fait maintenantpartie de l’équipe des médecins du CLSC ensoins à domicile, et Dre Émilie Boisvert quifera partie de l’équipe des médecins defamille en obstétrique, urgence ethospitalisation. Nous leur souhaitons tousbonne chance dans leur pratique médicale.

Nos finissantes RII tiennent par ailleurs àremercier toute l’équipe du CSSS Richelieu-Yamaska pour leurs deux années derésidence dans notre milieu; milieu qu’ellesconseillent fortement d’ailleurs aux futursrésidents.

Avec leur départ, nos résidents I sontdevenus des résidents II. Nous avonsmaintenant neuf résidents II et neufnouveaux résidents I sont arrivés pour faireleurs deux années de résidence (les voici sur la photo).

MERCI à tous! Notre milieu affilié àl’Université de Sherbrooke est un milieu trèsrecommandé pour y faire sa résidence en

médecine familiale grâce au sourire et àl’esprit d’équipe professionnel y régnant!

Depuis les dernières années, le CSSSRichelieu-Yamaska met en placeune activité visant à préparer nos

candidates infirmières à leur futur examenprofessionnel afin de les familiariser avec lecontenu et la forme de l’examen. Cetteannée, à l’instar de l’examen provincial, laversion locale se composait de quatrestations cliniques de type « ECOS »(examens cliniques à objectifs structurés) etd’un examen théorique.

Un ECOS est composé d’une situationcourante simulée de la pratique infirmière.La candidate doit intervenir auprès d’unclient fictif, dont le rôle est joué par unacteur, et ce, en présence d’un évaluateur.Les situations choisies reflètent le champ depratique actuel de l’infirmière. L’expérience,coordonnée par la Direction des programmesde santé publique, des soins infirmiers etdes pratiques professionnelles, a nécessité

l’importante et généreuse participationd’une quinzaine de personnes que noustenons à remercier chaleureusement puisquesans elles, la tenue de cette activitén’aurait pas été possible.

Nos candidates infirmières ont répondu àl’appel en grand nombre puisqu’un total de27 d’entre elles ont participévolontairement à l’activité. L’expérience futdes plus stimulantes autant pour lescandidates que pour les organisateurs. Cetteactivité, appréciée de toutes, a étél’occasion pour nos candidates de vivrel’expérience de l’examen professionnel etdes émotions qu’il suscite afin qu’elles enretirent une idée plus réaliste de ce qui lesattend.

L’exercice de la profession exige, de la partdes futures infirmières, d’intégrer desconnaissances, de développer des habiletés,de manifester des attitudes spécifiques et

d’être capable de raisonnement et dejugement.

Toute étudiante infirmière ayant terminéet réussi une formation de niveau collégialou universitaire se doit d’acquérir un droitde pratique décerné par l’Ordre desinfirmières et infirmiers du Québec (OIIQ)avant de pouvoir exercer sa profession àtitre d’infirmière. Pour obtenir ce droit depratique, les candidates à l’exercice de laprofession infirmière (CEPI) doivent réussirun examen professionnel comportant deuxvolets. Le premier volet, de naturethéorique, est composé d’un examen écritalors que le second volet, de naturepratique, est composé de plusieurs ECOS.

En espérant que cette expérience puissecontribuer à la réussite subséquente denotre relève infirmière au prochain examenprofessionnel, nous leur souhaitons lameilleure des chances.

Expérience préparatoire à l’examen professionnel del’OIIQ pour nos candidates infirmières

Étape 3 :Sondages et entrevuesAu printemps 2011, afin de mesurer la perception de tous les membres du personnel et médecins, en ce qui concerne le sentiment deréalisation au travail, le travail en équipe et la collaboration, le soutien de la direction, la circulation de l’information, etc., un sondagea été effectué par le Conseil québécois d’agrément. 1541 personnes ont retourné leur questionnaire complété.

D’autre part, une vaste enquête de satisfaction de la clientèle a été réalisée par le Conseil québécois d’agrément, par sondagetéléphonique et entrevues, auprès des résidents et de leurs familles de nos centres d’hébergement. Finalement, un sondage en lignepermettant de mesurer notre culture en matière de sécurité a été réalisé.

Satisfaction de la clientèle

La dimension Relation avec le clientobtient la meilleure note

Le sondage de satisfaction réalisé auprèsde 825 usagers du CSSS Richelieu-Yamaska(excluant les clientèles hébergées qui ontfait l’objet d’un sondage spécifique),montre que c’est encore une fois lesdimensions en lien avec les relations avecle client qui recueillent les meilleurs tauxde satisfaction, à 87 %. La prestationprofessionnelle recueille pour sa part 84 %.On ne constate toutefois pas deprogression par rapport aux résultats de2008.

La dimension de l’organisation desservices qui réfère à l’accessibilité, lasimplicité, la continuité, la rapidité et auconfort, demeure toujours en retrait avec80 % de satisfaction. Pour cette dimensionégalement, nous constatons une légèrebaisse par rapport à 2008.

Pour évaluer la satisfaction de la clientèlede nos cinq centres d’hébergement, unsondage a été réalisé auprès de 361 personnes, soit 66 résidents et 295 proches.

Pour les trois grandes dimensions desatisfaction, la relation avec le client, laprestation professionnelle et l’organisation,nos centres d’hébergement recueillent destaux variant entre 83 et 85 % desatisfaction. Il s’agit de taux desatisfaction sensiblement les mêmes queceux obtenus en 2008. Pour le comparatifavec les autres établissementsd’hébergement du Québec, on ne disposepas malheureusement de données à jour duConseil québécois d’agrément (CQA). Àtitre de comparatif, nous vous présentonsles données québécoises de 2008.

Tout comme le sondage de mobilisation,les données des sondages auprès de laclientèle font l’objet d’une présentation

plus détaillée par installation dans le cadrela tournée du directeur généralactuellement en cours.

Satisfaction à l’égard des servicesCentres d’hébergement

Satisfaction à l’égard des servicesCSSS Richelieu-Yamaska

6 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

AGRÉMENT – HORIZON 2011DES ARRIVÉES ET DES DÉPARTS À L’UMF RICHELIEU-YAMASKA

Première rangée : Meggie-Anne Roy, Nancy Marcotte, Chantal Gallou, Anne-Andrée Martin-Fortier, Fannie PetitDeuxième rangée : Philippe Imbeault, Laurence Bigras-Dunberry, Amélie Sauvé, Jean-François Simard

Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-17 4:21 PM Page 6

Page 7: L'Écho du réseau_septembre 2011

1 0 L ’ É C H O D U R É S E AU S E P T E M B R E 2 0 1 1

La direction du CSSS procèdeactuellement à une consultation auprès desrésidents et des proches répondants duCentre Andrée-Perrault concernant un projetd’amélioration du service alimentaire. Cetteconsultation est organisée conjointementavec le comité des usagers, qui a acceptéd’en assurer la logistique.

Le projet proposé vise à offrir des menusplus variés et appétissants aux résidents,notamment en permettant aux résidentsd’avoir deux choix de mets par repas, parcycle de trois semaines, soit 84 metscomparativement aux 42 actuellement

offerts. Concrètement, les plats seraientpréparés ou assemblés au Centred’hébergement de l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe, et par la suite, la préparation oula cuisson de ceux-ci seraient complétées auCentre d’hébergement Andrée-Perrault. Lesrésidents du Centre Andrée-Perraultprofiteraient ainsi de repas produits lajournée même par le service alimentaire del’Hôtel-Dieu soit, les mêmes que ceux servisaux résidents de ce centre.

Les améliorations proposées concernentuniquement la préparation des mets et nemodifieraient en rien l’activité des repas ou

l’organisation lors de la prise du repas parles résidents, que ce soit à la salle à mangerou à l’unité de vie. Le projet se réaliseraiten transformant les postes de cuisinières enaide-cuisinières.

Pour expliquer la nature des changementsproposés, la direction du CSSS Richelieu-Yamaska a tenu une série de rencontres enaoût dernier auprès des résidents, desfamilles, des employés, ainsi que du comitédes usagers.

La fin de la consultation et la décisionfinale sont attendues dans les prochainessemaines.

Le rôle principal du laboratoire est deréaliser et transmettre des résultatsd’analyses avec le plus d’exactitude

et de précision possible, dans les délais lesplus courts, et ce, en respectant les plushauts standards de qualité.

Afin de répondre à l’augmentation dunombre d’analyses, le laboratoire implantede nouveaux équipements plus performantset automatisera au cours des prochains moisla banque de sang pour les groupessanguins, recherche d’anticorps et lacompatibilité électronique.

Toujours dans le but d’améliorer notretemps de réponse, certains instrumentsseront remplacés, dont le système derobotique pré-analytique. Celui-ci permettra:

• d’enregistrer la date et l’heure deréception des spécimens au laboratoire;

• de centrifuger les tubes;

• d’aliquoter et classer les spécimens sur lesplateformes de dosage.

Ce système permettra égalementd’identifier rapidement les demandes stat eturgente ainsi que les demandes internes afin

de prioriser le traitement de celles-ci. Unsystème de caméra identifiera les spécimenshémolysés afin de faire reprendre leprélèvement dans les plus brefs délais.

Toutes les étapes de l’implantationdevront être finalisées d’ici la fin du mois deseptembre 2011.

Josée Archambault, Assistante cheftechnologiste

Centre Andrée-Perrault

UN PROJET D’AMÉLIORATION DU SERVICE ALIMENTAIREEN CONSULTATION

De nouveaux équipements plus perfornmants au laboratoire

L ’ É C H O D U R É S E AU S E P T E M B R E 2 0 1 1 7

LA MOBILISATION EN NETTEPROGRESSION PAR RAPPORT À 2008

LA RÉALISATION

• La réalisation fait référence aux besoinschez les personnes de relever des défisprofessionnels et d’y retirer un certainplaisir.

L’IMPLICATION

• L’implication est constituée d’unensemble de motivations propres àl’individu. Une organisation n’impliquepas une personne, c’est elle-même quis’implique. Une personne sera impliquéedans une organisation dans la mesure oùelle tendra à agir dans le sens des buts etdes valeurs poursuivis par celle-ci.

LA COLLABORATION

• La collaboration témoigne de la présenced’un esprit d’équipe ou d’une capacité à

travailler en équipe. Elle résulte d’undéveloppement d’attitudes et decomportements spécifiques, permettantaux individus d’œuvrer de façon continueen situation d’interdépendance.

LE SOUTIEN

• Le facteur de soutien fait référence auxnotions de « coaching » et de supervisionpar les gestionnaires auprès des employéset des membres des équipes.

LA COMMUNICATION

• La communication et l’informationconstituent d’importants facteurs demobilisation au sein d’une organisation.Un employé sera mobilisé dans la mesureoù il comprend ce qu’on attend de lui ets’il sent que l’organisation est à l’écoute

de ses préoccupations et s’efforce d’yrépondre.

LE LEADERSHIP

• Les fondements du leadership peuventêtre compris à partir des quatre élémentssuivants sur lesquels peut se reposer l’ensemble du personnel de l’organisation :

– une vision en laquelle il peut croire;

– une culture axée sur l’accomplissementdes tâches, le poussant à donner lemeilleur de lui-même;

– un esprit d’équipe qui le soutient etl’enrichit;

– des modèles de comportement qui luimontrent le chemin à suivre.

Le sondage sur la mobilisationmontre une nette amélioration parrapport aux résultats obtenus en

2008 par notre CSSS. Entre juin et aoûtderniers, 1541 employés et médecins ontrépondu au sondage administré par le CQA,soit plus de 46 % de notre personnel,comparativement aux 40 % qui ont réponduen 2008.

Comme on peut le voir dans le graphiqueci-joint, ce sont toutes les dimensionsévaluées qui ont progressé en comparaisonde 2008, ce qui nous permet de montrerdes niveaux de mobilisation supérieurs ouégaux à ceux des autres établissements duQuébec. En 2008, toutes nos évaluationsétaient inférieures au reste du Québec. Ils’agit d’un bilan qui est tout à l’honneur denos équipes.

Ce sont les dimensions « Réalisation » et« Collaboration » qui montrent les taux lesplus élevés. C’est trois répondants surquatre qui ressentent qu’ils peuvent releverdes défis professionnels, retirer un certainplaisir dans nos milieux, ou encore qu’ilprofite d’un esprit d’équipe. Pour lesdimensions « Implication », « Soutien »,

« Communication » et « Leadership », lestaux varient entre 63 et 67 %, en netteprogression par rapport à 2008 et à destaux équivalents au reste du Québec.

Tous les détails des données de ce sondagepar installation sont présentés dans lecadre de la tournée du directeur général.

CSSS richelieu-Yamaska

AGRÉMENT – HORIZON 2011

LES DIMENSIONS ÉVALUÉES

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AGRÉMENT – HORIZON 2011

8 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 9

L a Planification stratégique2011-2015 de notre CSSScomporte plusieurs

objectifs d’optimisation de servicesdans des services clés de notreorganisation. L’an dernier,l’urgence de l’hôpital a fait l’objetd’une démarche d’optimisation. Cetautomne, ce sont les services desoutien à domicile (SAD) de nostrois CLSC ont été ciblés pour untel projet. L’équipe du SAD doitaugmenter de 10 % les heuresdirectes consacrées aux usagers.Plusieurs méthodes existent afinde relever ce type de défi. NotreCSSS a choisi d’utiliser l’approcheLean puisque l’usager est au cœurde la démarche.

Un objectif d’intégration,d’optimisation,d’accessibilité, de continuitéet de qualité

Par définition, cette approchevise à éliminer tout ce qui necontribue pas à ajouter une valeuraux services pour l’usager ou quientrave la fluidité du processus deréalisation. Concrètement, ellecible tous les interrupteurs dans lachaîne de services (bris decontinuité) rencontrés par l’usager.Ces bris s’expriment sous plusieursformes : de l’attente pour accéderà des soins ou dans la prestationde ces soins, de la confusion dansles communications (l’usager nesait pas à qui s’adresser) ou de laredondance dans les interventions(plusieurs intervenants faisant lesmêmes vérifications auprès del’usager faute de moyen efficace departage d’information). L’approcheLean fait le lien entre ces impactsaux usagers et nos processus enciblant les pertes d’efficacité.

Depuis mai, de concert avec uneconseillère en améliorationcontinue des processus, une équipe

travaille à identifier sur le terraindes opportunités d’amélioration viades rencontres informelles ou pardes accompagnements aux visitesà domicile. En effet, lesinefficacités peuvent s’observer dedifférentes façons dans nosprocessus. Citons par exemple, desdéplacements inutiles (usagerhospitalisé lors d’une visiteplanifiée), de la recherched’information (demandes de serviceincomplètes), des compétencessous-utilisées (tâches cléricaleseffectuées par du personnelsoignant), des inventaires ettoutes les formes de « re » : refaireune évaluation (une évaluationfaite par le service précédent quin’est pas accessible) ouretranscrire des informations.

À la suite de cette identification,une approche d’amélioration rapideet intensive permet de mettre enœuvre les concepts du Lean. Cetatelier, appelé « Kaizen », réunitdes personnes de disciplines et deCLSC différents afin de mettre enplace leurs solutions auxproblèmes qui les concernent etqui sont sous leur contrôle.

Dès septembre, les premiersateliers d’optimisation (Kaizen) setiendront. Plusieurs membres del’équipe SAD et leurs partenairesseront donc sollicités pour yparticiper. N’oublions pas que cetexercice vise à dégager du tempspour que les intervenants aientplus de disponibilité pouraccomplir les tâches à valeurajoutée relevant de leurscompétences et dans lesquelles ilsexcellent. Cette activité ne peutqu’être stimulante, n’hésitez pas ày participer !

LE LEAN EN CLSCLE SOUTIEN ÀDOMICILE EN ACTION

Étape 4 :Visite d’Agrément Canada

Du 6 au 11 novembre 2011, on accueille les visiteurs d’Agrément Canada. C’est le moment de connaître nos zones d’excellence et derecevoir leur appréciation sur de nouvelles pistes d’amélioration.

Les visiteurs d’Agrément Canada sont des professionnels de la santé provenant d’une grande variété de disciplines qui donnent de leurtemps pour effectuer des visites d’agrément. Ces médecins, infirmières, administrateurs, inhalothérapeutes, ergothérapeutes,psychologues, travailleurs sociaux et technologistes médicaux, à l’aide de traceurs, évaluent les programmes et services de l’établissementen mettant l’accent sur la qualité et la sécurité des soins et services dispensés à la clientèle et émettent des commentaires sur les nonconformités aux normes observées au cours de la visite.

Étape 5 :L’après visite

L’heure est à l’actualisation de nouveaux plans d’amélioration issus des commentaires des visiteurs. Les 17 équipes qualité et les 3comités transversaux poursuivent leurs travaux afin d’augmenter le niveau de conformité aux normes jusqu’au prochain cycle prévu en2014-2015.

Qu’est-ce qu’un traceur ?Dans le jargon d’Agrément Canada, le traceur est une technique utilisée par les visiteurs pour leur permettre de suivre une série deprocessus en vue de recueillir des preuves sur la qualité et la sécurité des soins et services offerts. Un processus, par exemple, pourraitêtre le cheminement à travers lequel évolue un client de l’admission à la fin d’un service. Les visiteurs tracent des processus cliniques etadministratifs.

Vous êtes des personnes clés pour le travail que les visiteurs ont à accomplir et c’est à ce titre que vous pourriez être interpellées par lesvisiteurs. Votre collaboration est essentielle pour assurer le succès de la visite.

Voici un schéma du déroulement des activités liées aux traceurs.

Magazine-SEPTEMBRE 16 pages_Layout 1 11-09-24 8:02 PM Page 8

Page 9: L'Écho du réseau_septembre 2011

Les chutes surviennent au moins une fois paran chez 30 % des personnes aînées vivant àdomicile.

Les chutes sont à l’origine de :

- 57 % des hospitalisations liées auxblessures.

- 90 % des fractures de la hanche chez lespersonnes aînées.

- 75 % des mortalités intrahospitalières chezles usagers admis pour blessure.

- 40 % des admissions en centred’hébergement.

Qu’en est-il chez nous ?Les accidents liés aux chutes sont déclarés

par le formulaire de déclaration desaccidents-incidents (formulaire AH-223) etsuivis en gestion des risques. Pour l’année2009-2010, 30 % de l’ensemble desdéclarations effectuées avaient pour objet lachute d’un usager.

Ensemble, on peut prévenir les chutes !Pour les personnes aînées présentant un

risque de chute important, que ce soit enraison d’une condition aiguë ou de la perted’autonomie liée au vieillissement, le choixdes interventions préventives doit se réaliseren concertation avec la personne elle-même

et ses proches, afin de préserver au maximumson autonomie fonctionnelle. Un travaild’équipe est essentiel pour mettre à l’essaides solutions alternatives aux mesures decontrôle.

La stratégie que s’est donné notre CSSS en matière de prévention des chutes comprend :1) l’évaluation des risques de l’usager;

2) la mise en œuvre d’interventions de base visant l’ensemble des personnessusceptibles de faire des chutes (intervention individuelles et organisationnelles);

3) la personnalisation des interventions pour les personnes les plus à risques de subirdes blessures dues aux chutes;

4) la communication et la sensibilisation au risque de chute, visant le personnel, l’usageret ses proches.

« «

Straté

gie de

préventio

n

des chute

s

au CSSS :

du nouveau!

Les chutes sont à l’origine de 57 % des hospitalisations liéesaux blessures et de plus des trois quarts des mortalités

Le risque de chute :

on l’évalueon le communique

Évaluer le risque de chute

Les chutes, un enjeu prioritaire pour la sécurité des usagers

EN COURTE DURÉEQUOI : Débuter avec la grille d’estimation du risque.

PAR QUI : Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.

QUAND : Dès l’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé de l’usager.

Lorsque le score indique un risque de chute. (valeur de 10 ou plus), ou selon le jugement clinique de l’infirmière, l’évaluation se poursuit par :

• la mesure de la tension artérielle couchée-debout.• l’observation des transferts et de la marche.

POURQUOI : Identifier rapidement les facteurs de risque spécifiques de l’usager permet de mettre en place des stratégies appropriéespour prévenir les chutes ou leurs conséquences.

EN LONGUE DURÉE QUOI : Les grilles d’estimation et d’évaluation sont complétées dans une même démarche.

PAR QUI : Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.

QUAND : Dans le processus d’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé du résident, ou minimalement auxtrois mois.

POURQUOI : Identifier les facteurs de risque spécifiques du résident permet de mettre en place des stratégies appropriées pour prévenir les chutes ou leurs conséquences.

EN SOUTIEN À DOMICILEQUOI : Identifier la présence ou l’absence de chute dans la dernière année sur le formulaire « Outil d’évaluation multiclientèles »,

et documenter l’histoire de chute, s’il y a lieu.

PAR QUI : L’intervenant qui réalise l’OEMC (infirmière, ergothérapeute, physiothérapeute, inhalothérapeute ou travailleur social).

QUAND : Lors des premières visites du suivi à domicile, puis lors de toute réévaluation de l’OEMC.

POURQUOI : Identifier les facteurs de risques spécifiques de l’usager pour référer rapidement aux professionnels concernés et mettre enplace les mesures préventives appropriées.

Références :

Gagnon C., Lafrance M. (2011) Prévention des chutes auprès des personnes âgées vivant à domicile. Analyse des données scientifiques et recommandations préliminaires à l’élaboration d’un guide depratique clinique. Institut national de santé publique du Québec, juin 2011.

Des soins de santé plus sécuritaires maintenant! (2010). Trousse de départ : prévention des chutes et des blessures causées par les chutes. www.soinsdesantéplussécuritairesmaintenant.ca

Notre objectif : minimiser les risques de blessures en maximisant l’autonomie

fonctionnelle de l’usager.

Page 10: L'Écho du réseau_septembre 2011

Communauté

(soutien à domicile)

Dépistage etévaluation

Interventions de base

Interventionspersonnalisées

• Documenter les facteurs derisque de chute via l’outild’évaluation multiclientèles(OEMC).

• Documenter l’histoire dechute, s’il y a lieu.

• Donnez des conseils de sécurité àl’usagers en lui remettant ledocument de soutient : « La prévention des chutes, à votre domicile ».

• Référence vers le service professionnel requis à la suitede l’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travailsocial, médecin, etc.).

• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier(PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.

• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il y a lieu.

• Référence vers le service professionnel requis à la suite del’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travail social,médecin, etc.).

• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier (PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.

• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il ya lieu.

• Remise des dépliants :« La prévention des chutes, à votre domicile » et « La prévention des chutes : en tout temps ».

• Utilisation de pictogrammes au chevet pour le repéragerapide du niveau d’assistance requis pour lamobilisation et les déplacements.

• Documenter le risque de chute et le niveau d’assistancerequis lors de tout transfert et déplacement hors del’unité (formulaire départ transfert).

• Mesures préventives en regard del’environnement et l’organisation(Fiche synthèse selon le secteur).

• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, en tout temps ! ».

• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, à mon centre d’hébergement ».

• Utilisation de l’outil SMAF au chevet,permettant notamment d’identifier leniveau d’assistance requis pour lamobilisation et les déplacements.

• Estimation du risque de chute à l’admission par le personnel infirmier.

• Évaluation par l’infirmière pour les usagers ayantun risque ≥ 10.

• Évaluation des facteurs de risque de chute durésident à l’admission, par le personnel infirmier.

Hospitalisation cou

rte durée

Unités de médecine, d

e chirurgie,

de gériatrie et de p

sychiatrieServices

ambulatoiressecteurs mère-enfant-famille Centre d’h

ébergement –

milieu de vie

Stratégie de prévention des chutes au CSSS

• Référence vers le serviceprofessionnel requis à la suitede l’évaluation (soins infirmier,ergothérapie, physiothérapie,travail social, médecin, etc.).

• Rédaction d’un pland’intervention disciplinaire,par exemple un planthérapeutique infirmier (PTI),ou interdisciplinaire.

Des programmes de prévention

Volet médical Volet soutien à domicile Volet communautairePratiques cliniques Intervention multifactorielle Programme intégré préventives (PCP) personnalisée (IMP) d’équilibre dynamique (PIED)

Pour agir en amont

Page 11: L'Écho du réseau_septembre 2011

Communauté

(soutien à domicile)

Dépistage etévaluation

Interventions de base

Interventionspersonnalisées

• Documenter les facteurs derisque de chute via l’outild’évaluation multiclientèles(OEMC).

• Documenter l’histoire dechute, s’il y a lieu.

• Donnez des conseils de sécurité àl’usagers en lui remettant ledocument de soutient : « La prévention des chutes, à votre domicile ».

• Référence vers le service professionnel requis à la suitede l’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travailsocial, médecin, etc.).

• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier(PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.

• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il y a lieu.

• Référence vers le service professionnel requis à la suite del’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travail social,médecin, etc.).

• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier (PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.

• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il ya lieu.

• Remise des dépliants :« La prévention des chutes, à votre domicile » et « La prévention des chutes : en tout temps ».

• Utilisation de pictogrammes au chevet pour le repéragerapide du niveau d’assistance requis pour lamobilisation et les déplacements.

• Documenter le risque de chute et le niveau d’assistancerequis lors de tout transfert et déplacement hors del’unité (formulaire départ transfert).

• Mesures préventives en regard del’environnement et l’organisation(Fiche synthèse selon le secteur).

• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, en tout temps ! ».

• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, à mon centre d’hébergement ».

• Utilisation de l’outil SMAF au chevet,permettant notamment d’identifier leniveau d’assistance requis pour lamobilisation et les déplacements.

• Estimation du risque de chute à l’admission par le personnel infirmier.

• Évaluation par l’infirmière pour les usagers ayantun risque ≥ 10.

• Évaluation des facteurs de risque de chute durésident à l’admission, par le personnel infirmier.

Hospitalisation cou

rte durée

Unités de médecine, d

e chirurgie,

de gériatrie et de p

sychiatrieServices

ambulatoiressecteurs mère-enfant-famille Centre d’h

ébergement –

milieu de vie

Stratégie de prévention des chutes au CSSS

• Référence vers le serviceprofessionnel requis à la suitede l’évaluation (soins infirmier,ergothérapie, physiothérapie,travail social, médecin, etc.).

• Rédaction d’un pland’intervention disciplinaire,par exemple un planthérapeutique infirmier (PTI),ou interdisciplinaire.

Des programmes de prévention

Volet médical Volet soutien à domicile Volet communautairePratiques cliniques Intervention multifactorielle Programme intégré préventives (PCP) personnalisée (IMP) d’équilibre dynamique (PIED)

Pour agir en amont

Page 12: L'Écho du réseau_septembre 2011

Les chutes surviennent au moins une fois paran chez 30 % des personnes aînées vivant àdomicile.

Les chutes sont à l’origine de :

- 57 % des hospitalisations liées auxblessures.

- 90 % des fractures de la hanche chez lespersonnes aînées.

- 75 % des mortalités intrahospitalières chezles usagers admis pour blessure.

- 40 % des admissions en centred’hébergement.

Qu’en est-il chez nous ?Les accidents liés aux chutes sont déclarés

par le formulaire de déclaration desaccidents-incidents (formulaire AH-223) etsuivis en gestion des risques. Pour l’année2009-2010, 30 % de l’ensemble desdéclarations effectuées avaient pour objet lachute d’un usager.

Ensemble, on peut prévenir les chutes !Pour les personnes aînées présentant un

risque de chute important, que ce soit enraison d’une condition aiguë ou de la perted’autonomie liée au vieillissement, le choixdes interventions préventives doit se réaliseren concertation avec la personne elle-même

et ses proches, afin de préserver au maximumson autonomie fonctionnelle. Un travaild’équipe est essentiel pour mettre à l’essaides solutions alternatives aux mesures decontrôle.

La stratégie que s’est donné notre CSSS en matière de prévention des chutes comprend :1) l’évaluation des risques de l’usager;

2) la mise en œuvre d’interventions de base visant l’ensemble des personnessusceptibles de faire des chutes (intervention individuelles et organisationnelles);

3) la personnalisation des interventions pour les personnes les plus à risques de subirdes blessures dues aux chutes;

4) la communication et la sensibilisation au risque de chute, visant le personnel, l’usageret ses proches.

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au CSSS :

du nouveau!

Les chutes sont à l’origine de 57 % des hospitalisations liéesaux blessures et de plus des trois quarts des mortalités

Le risque de chute :

on l’évalueon le communique

Évaluer le risque de chute

Les chutes, un enjeu prioritaire pour la sécurité des usagers

EN COURTE DURÉEQUOI : Débuter avec la grille d’estimation du risque.

PAR QUI : Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.

QUAND : Dès l’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé de l’usager.

Lorsque le score indique un risque de chute. (valeur de 10 ou plus), ou selon le jugement clinique de l’infirmière, l’évaluation se poursuit par :

• la mesure de la tension artérielle couchée-debout.• l’observation des transferts et de la marche.

POURQUOI : Identifier rapidement les facteurs de risque spécifiques de l’usager permet de mettre en place des stratégies appropriéespour prévenir les chutes ou leurs conséquences.

EN LONGUE DURÉE QUOI : Les grilles d’estimation et d’évaluation sont complétées dans une même démarche.

PAR QUI : Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.

QUAND : Dans le processus d’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé du résident, ou minimalement auxtrois mois.

POURQUOI : Identifier les facteurs de risque spécifiques du résident permet de mettre en place des stratégies appropriées pour prévenir les chutes ou leurs conséquences.

EN SOUTIEN À DOMICILEQUOI : Identifier la présence ou l’absence de chute dans la dernière année sur le formulaire « Outil d’évaluation multiclientèles »,

et documenter l’histoire de chute, s’il y a lieu.

PAR QUI : L’intervenant qui réalise l’OEMC (infirmière, ergothérapeute, physiothérapeute, inhalothérapeute ou travailleur social).

QUAND : Lors des premières visites du suivi à domicile, puis lors de toute réévaluation de l’OEMC.

POURQUOI : Identifier les facteurs de risques spécifiques de l’usager pour référer rapidement aux professionnels concernés et mettre enplace les mesures préventives appropriées.

Références :

Gagnon C., Lafrance M. (2011) Prévention des chutes auprès des personnes âgées vivant à domicile. Analyse des données scientifiques et recommandations préliminaires à l’élaboration d’un guide depratique clinique. Institut national de santé publique du Québec, juin 2011.

Des soins de santé plus sécuritaires maintenant! (2010). Trousse de départ : prévention des chutes et des blessures causées par les chutes. www.soinsdesantéplussécuritairesmaintenant.ca

Notre objectif : minimiser les risques de blessures en maximisant l’autonomie

fonctionnelle de l’usager.

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AGRÉMENT – HORIZON 2011

8 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 9

L a Planification stratégique2011-2015 de notre CSSScomporte plusieurs

objectifs d’optimisation de servicesdans des services clés de notreorganisation. L’an dernier,l’urgence de l’hôpital a fait l’objetd’une démarche d’optimisation. Cetautomne, ce sont les services desoutien à domicile (SAD) de nostrois CLSC qui ont été ciblés pourun tel projet. L’équipe du SAD doitaugmenter de 10 % les heuresdirectes consacrées aux usagers.Plusieurs méthodes existent afinde relever ce type de défi. NotreCSSS a choisi d’utiliser l’approcheLean puisque l’usager est au cœurde la démarche.

Un objectif d’intégration,d’optimisation,d’accessibilité, de continuitéet de qualité

Par définition, cette approchevise à éliminer tout ce qui necontribue pas à ajouter une valeuraux services pour l’usager ou quientrave la fluidité du processus deréalisation. Concrètement, ellecible tous les interrupteurs dans lachaîne de services (bris decontinuité) rencontrés par l’usager.Ces bris s’expriment sous plusieursformes : de l’attente pour accéderà des soins ou dans la prestationde ces soins, de la confusion dansles communications (l’usager nesait pas à qui s’adresser) ou de laredondance dans les interventions(plusieurs intervenants faisant lesmêmes vérifications auprès del’usager faute de moyen efficace departage d’information). L’approcheLean fait le lien entre ces impactsaux usagers et nos processus enciblant les pertes d’efficacité.

Depuis mai, de concert avec uneconseillère en améliorationcontinue des processus, une équipe

travaille à identifier sur le terraindes opportunités d’amélioration viades rencontres informelles ou pardes accompagnements aux visitesà domicile. En effet, lesinefficacités peuvent s’observer dedifférentes façons dans nosprocessus. Citons par exemple, desdéplacements inutiles (usagerhospitalisé lors d’une visiteplanifiée), de la recherched’information (demandes de serviceincomplètes), des compétencessous-utilisées (tâches cléricaleseffectuées par du personnelsoignant), des inventaires ettoutes les formes de « re » : refaireune évaluation (une évaluationfaite par le service précédent quin’est pas accessible) ouretranscrire des informations.

À la suite de cette identification,une approche d’amélioration rapideet intensive permet de mettre enœuvre les concepts du Lean. Cetatelier, appelé « Kaizen », réunitdes personnes de disciplines et deCLSC différents afin de mettre enplace leurs solutions auxproblèmes qui les concernent etqui sont sous leur contrôle.

Dès septembre, les premiersateliers d’optimisation (Kaizen) setiendront. Plusieurs membres del’équipe SAD et leurs partenairesseront donc sollicités pour yparticiper. N’oublions pas que cetexercice vise à dégager du tempspour que les intervenants aientplus de disponibilité pouraccomplir les tâches à valeurajoutée relevant de leurscompétences et dans lesquelles ilsexcellent. Cette activité ne peutqu’être stimulante, n’hésitez pas ày participer!

Le LEAN en CLSC

LE SOUTIEN ÀDOMICILE EN ACTION

Étape 4 :Visite d’Agrément Canada

Du 6 au 11 novembre 2011, on accueillera les visiteurs d’Agrément Canada. C’est le moment de connaître nos zones d’excellence et derecevoir leur appréciation sur de nouvelles pistes d’amélioration.

Les visiteurs d’Agrément Canada sont des professionnels de la santé provenant d’une grande variété de disciplines qui donnent de leurtemps pour effectuer des visites d’agrément. Ces médecins, infirmières, administrateurs, inhalothérapeutes, ergothérapeutes,psychologues, travailleurs sociaux et technologistes médicaux, évaluent les programmes et services de l’établissement en mettant l’accentsur la qualité et la sécurité des soins et services dispensés à la clientèle et émettent des commentaires sur les non conformités aux normesobservées au cours de la visite. La technique utilisée pour faire leur évaluation se nomme un traceur.

Qu’est-ce qu’un traceur ?Dans le jargon d’Agrément Canada, le traceur est une technique utilisée par les visiteurs pour leur permettre de suivre une série deprocessus en vue de recueillir des preuves sur la qualité et la sécurité des soins et services offerts. Un processus, par exemple, pourraitêtre le cheminement à travers lequel évolue un client de l’admission à la fin d’un service. Les visiteurs tracent des processus cliniques etadministratifs.

Vous êtes des personnes clés pour le travail que les visiteurs ont à accomplir et c’est à ce titre que vous pourriez être interpellées par lesvisiteurs. Votre collaboration est essentielle pour assurer le succès de la visite. Afin de vous y préparé vous êtes fortement invité àvisionné une vidéo présentant la technique des traceurs, en allant sur le lien suivant :

Étape 5 :L’après visite

L’heure est à l’actualisation de nouveaux plans d’amélioration issus des commentaires des visiteurs. Les 17 équipes qualité et les trois comités transversaux poursuivent leurs travaux afin d’augmenter le niveau de conformité aux normes jusqu’au prochain cycleprévu en 2014-2015.

Voici un schéma du déroulement des activités liées aux traceurs.

Le CSSS Richelieu-Yamaska procèdeactuellement à un appel d’offres depréqualification pour solliciter des

soumissionnaires intéressés à opérer desressources d’hébergement de type intermédiairesur les territoires de la MRC des Maskoutains etde la Vallée-du-Richelieu. Ces ressourcesaccueilleront des personnes présentant desproblèmes cognitifs (territoire Vallée-du-Richelieu), une perte d’autonomie physique(territoire Maskoutains), des problèmes desanté mentale (territoire Maskoutains) ou destroubles cranio-cérébraux. Les placesnécessaires pour répondre à l’ensemble de nosbesoins sont au nombre de 54, dont 43 pour lespersonnes âgées et 11 pour la santé mentale.Les personnes intéressées peuvent postulerpour l’une ou l’autre de ces types de clientèle.

Le cadre de référence pour les ressourcesintermédiaires et les normes requises parl’établissement déterminent l’ensemble desexigences demandées. Pour dispenser cesservices, les personnes retenues recevront uneallocation budgétaire basée selon les règles envigueur prévues au cadre de référence. De plus,elles recevront un support et encadrement de lapart de l’établissement pour les servicesprofessionnels requis par les résidents. Lescandidats auront la responsabilité de fournir lesservices de présence et surveillance 24 h sur24, gîte et couvert, soutien, encadrement etassistance.

Pour de plus amples informations, n’hésitezpas à consulter notre site Internet auwww.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska.

DE NOUVELLESRESSOURCESINTERMÉDIAIRESSUR NOTRETERRITOIRE!

Changer(KAI)

pour devenirmeilleur(ZEN)

Page 14: L'Écho du réseau_septembre 2011

10 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

L a direction du CSSS procèdeactuellement à une consultationauprès des résidents et des proches

répondants du Centre d’hébergementAndrée-Perrault concernant un projetd’amélioration du Service alimentaire. Cetteconsultation est organisée conjointementavec le Comité des usagers, qui a acceptéd’en assurer la logistique.

Le projet proposé vise à offrir des menusplus variés et appétissants aux résidents,notamment en permettant aux résidentsd’avoir deux choix de mets par repas, parcycle de trois semaines, soit 84 metscomparativement aux 42 actuellement

offerts. Concrètement, les plats seraientpréparés ou assemblés au Centred’hébergement de l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe, et par la suite, la préparation oula cuisson de ceux-ci seraient complétéesau Centre Andrée-Perrault. Les résidents duCentre Andrée-Perrault profiteraient ainsi derepas produits la journée même par leService alimentaire de l’Hôtel-Dieu soit, lesmêmes que ceux servis aux résidents de cecentre.

Les améliorations proposées concernentuniquement la préparation des mets et nemodifieraient en rien l’activité des repas oul’organisation lors de la prise du repas par

les résidents, que ce soit à la salle à mangerou à l’unité de vie. Le projet se réaliseraiten transformant les postes de cuisinières enaide-cuisinières.

Pour expliquer la nature des changementsproposés, la direction du CSSS Richelieu-Yamaska a tenu une série de rencontres enaoût dernier auprès des résidents, desfamilles, des employés, ainsi que du comitédes usagers.

La fin de la consultation et la décisionfinale sont attendues dans les prochainessemaines.

A fin de répondre à l’augmentationdu nombre d’analyses réalisées, lelaboratoire de l’Hôpital Honoré-

Mercier implante de nouveaux équipementsplus performants et automatisera au coursdes prochains mois la banque de sang pourles groupes sanguins, la recherched’anticorps et la compatibilité électronique.

Toujours dans le but d’améliorer le tempsde réponse aux requêtes, certainsinstruments seront remplacés, dont lesystème de robotique pré-analytique. Celui-ci permettra :

• d’enregistrer la date et l’heure deréception des spécimens au laboratoire;

• de centrifuger les tubes; • d’aliquoter et classer les spécimens sur lesplateformes de dosage. Ce système permettra également

d’identifier rapidement les demandes « stat » et urgentes ainsi que les demandesinternes afin de prioriser le traitement decelles-ci. Un système de caméra identifierales spécimens hémolysés afin de faire

reprendre le prélèvement dans les plus brefsdélais.

Le rôle principal du laboratoire est deréaliser et transmettre des résultatsd’analyses avec le plus d’exactitude et deprécision possible, dans les délais les plus

courts, et ce, en respectant les plus hautsstandards de qualité.

Toutes les étapes de l’implantation aurontété finalisées d’ici la fin du mois deseptembre 2011.

Centre d’hébergement Andrée-Perrault

UN PROJET D’AMÉLIORATION DU SERVICEALIMENTAIRE EN CONSULTATION

DE NOUVEAUX ÉQUIPEMENTS PLUSPERFORMANTS AU LABORATOIRE

L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 7

LA MOBILISATION EN NETTEPROGRESSION PAR RAPPORT À 2008

LA RÉALISATION

• La réalisation fait référence aux besoinschez les personnes de relever des défisprofessionnels et d’y retirer un certainplaisir.

L’IMPLICATION

• L’implication est constituée d’unensemble de motivations propres àl’individu. Une organisation n’impliquepas une personne, c’est elle-même quis’implique. Une personne sera impliquéedans une organisation dans la mesure oùelle tendra à agir dans le sens des buts etdes valeurs poursuivis par celle-ci.

LA COLLABORATION

• La collaboration témoigne de la présenced’un esprit d’équipe ou d’une capacité à

travailler en équipe. Elle résulte d’undéveloppement d’attitudes et decomportements spécifiques, permettantaux individus d’œuvrer de façon continueen situation d’interdépendance.

LE SOUTIEN

• Le facteur de soutien fait référence auxnotions de « coaching » et de supervisionpar les gestionnaires auprès des employéset des membres des équipes.

LA COMMUNICATION

• La communication et l’informationconstituent d’importants facteurs demobilisation au sein d’une organisation.Un employé sera mobilisé dans la mesureoù il comprend ce qu’on attend de lui ets’il sent que l’organisation est à l’écoute

de ses préoccupations et s’efforce d’yrépondre.

LE LEADERSHIP

• Les fondements du leadership peuventêtre compris à partir des quatre élémentssuivants sur lesquels peut se reposer l’ensemble du personnel de l’organisation :

– une vision en laquelle il peut croire;

– une culture axée sur l’accomplissementdes tâches, le poussant à donner lemeilleur de lui-même;

– un esprit d’équipe qui le soutient etl’enrichit;

– des modèles de comportement qui luimontrent le chemin à suivre.

Le sondage sur la mobilisationmontre une nette amélioration parrapport aux résultats obtenus en

2008 par notre CSSS. Entre juin et aoûtderniers, 1541 employés et médecins ontrépondu au sondage administré par le CQA,soit plus de 46 % de notre personnel,comparativement aux 40 % qui ont réponduen 2008.

Comme on peut le voir dans le graphiqueci-joint, ce sont toutes les dimensionsévaluées qui ont progressé en comparaisonà 2008, ce qui nous permet de montrer desniveaux de mobilisation supérieurs ouégaux à ceux des autres établissements duQuébec. En 2008, toutes nos évaluationsétaient inférieures au reste du Québec. Ils’agit d’un bilan qui est tout à l’honneur denos équipes.

Ce sont les dimensions Réalisation etCollaboration qui montrent les taux les plusélevés. C’est trois répondants sur quatre quiressentent qu’ils peuvent relever des défisprofessionnels, retirer un certain plaisirdans nos milieux, ou encore qu’ils profitentd’un esprit d’équipe. Pour les dimensionsImplication, Soutien, Communication et

Leadership, les taux varient entre 63 et 67 %, en nette progression par rapport à2008 et à des taux équivalents au reste duQuébec.

Tous les détails des données de ce sondagepar installation sont présentés dans lecadre de la tournée du directeur général.

MobilisationCSSS Richelieu-Yamaska

AGRÉMENT – HORIZON 2011

LES DIMENSIONS ÉVALUÉES

Sur la phoTo : Johanne Lussier, chef des services de biologie médicale et Josée Archambault, assistante chef technologiste.

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L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 11

E n juillet, nos résidents II nous ontquitté pour faire leur pratiquemédicale. Deux de ces résidentes en

médecine familiale sont restées parmi nous :Dre Joannie Boudreault qui fait maintenantpartie de l’équipe des médecins du CLSC ensoins à domicile, et Dre Émilie Boisvert quifera partie de l’équipe des médecins defamille en obstétrique, urgence ethospitalisation. Nous leur souhaitons tousbonne chance dans leur pratique médicale.

Nos finissantes RII tiennent par ailleurs àremercier toute l’équipe du CSSS Richelieu-Yamaska pour leurs deux années derésidence dans notre milieu; milieu qu’ellesconseillent fortement d’ailleurs aux futursrésidents.

Avec leur départ, nos résidents I sontdevenus des résidents II. Nous avonsmaintenant neuf résidents II et neufnouveaux résidents I sont arrivés pour faireleurs deux années de résidence (les voici sur la photo).

MERCI à tous! Notre milieu affilié àl’Université de Sherbrooke est un milieu trèsrecommandé pour y faire sa résidence en

médecine familiale grâce au sourire et àl’esprit d’équipe professionnel y régnant!

Depuis les dernières années, le CSSSRichelieu-Yamaska met en placeune activité visant à préparer nos

candidates infirmières à leur futur examenprofessionnel afin de les familiariser avec lecontenu et la forme de l’examen. Cetteannée, à l’instar de l’examen provincial, laversion locale se composait de quatrestations cliniques de type « ECOS »(examens cliniques à objectifs structurés) etd’un examen théorique.

Un ECOS est composé d’une situationcourante simulée de la pratique infirmière.La candidate doit intervenir auprès d’unclient fictif, dont le rôle est joué par unacteur, et ce, en présence d’un évaluateur.Les situations choisies reflètent le champ depratique actuel de l’infirmière. L’expérience,coordonnée par la Direction des programmesde santé publique, des soins infirmiers etdes pratiques professionnelles, a nécessité

l’importante et généreuse participationd’une quinzaines de personnes que noustenons à remercier chaleureusement puisquesans elles, la tenue de cette activitén’aurait pas été possible.

Nos candidates infirmières ont répondu àl’appel en grand nombre puisqu’un total de27 d’entre elles ont participéesvolontairement à l’activité. L’expérience futdes plus stimulantes autant pour lescandidates que pour les organisateurs. Cetteactivité, appréciée de toutes, a étél’occasion pour nos candidates de vivrel’expérience de l’examen professionnel etdes émotions qu’il suscite afin qu’elles enretirent une idée plus réaliste de ce qui lesattend.

L’exercice de la profession exige, de la partdes futures infirmières, d’intégrer desconnaissances, de développer des habiletés,de manifester des attitudes spécifiques et

d’être capable de raisonnement et dejugement.

Toute étudiante infirmière ayant terminéet réussi une formation de niveau collégialou universitaire se doit d’acquérir un droitde pratique décerné par l’Ordre desinfirmières et infirmiers du Québec (OIIQ)avant de pouvoir exercer sa profession àtitre d’infirmière. Pour obtenir ce droit depratique, les candidates à l’exercice de laprofession infirmière (CEPI) doivent réussirun examen professionnel comportant deuxvolets. Le premier volet, de naturethéorique, est composé d’un examen écritalors que le second volet, de naturepratique, est composé de plusieurs ECOS.

En espérant que cette expérience puissecontribuer à la réussite subséquente denotre relève infirmière au prochain examenprofessionnel, nous leur souhaitons lameilleure des chances.

Expérience préparatoire à l’examen professionnel del’OIIQ pour nos candidates infirmières

Étape 3 :Sondages et entrevuesAu printemps 2011, afin de mesurer la perception de tous les membres du personnel et médecins, en ce qui concerne le sentiment deréalisation au travail, le travail en équipe et la collaboration, le soutien de la direction, la circulation de l’information, etc., un sondagea été effectué par le Conseil québécois d’agrément. 1541 personnes ont retourné leur questionnaire complété.

D’autre part, une vaste enquête de satisfaction de la clientèle a été réalisée par le Conseil québécois d’agrément, par sondagetéléphonique et entrevues, auprès des résidents et de leurs famille de nos centres d’hébergement. Finalement, un sondage en lignepermettant de mesurer notre culture en matière de sécurité a été réalisé.

Satisfaction de la clientèle

La dimension Relation avec le clientobtient la meilleure note

Le sondage de satisfaction réalisé auprèsde 825 usagers du CSSS Richelieu-Yamaska(excluant les clientèles hébergées qui ontfait l’objet d’un sondage spécifique),montre que c’est encore une fois lesdimensions en lien avec les relations avecle client qui recueillent les meilleurs tauxde satisfaction, à 87 %. La prestationprofessionnelle recueille pour sa part 84 %.On ne constate toutefois pas deprogression par rapport aux résultats de2008.

La dimension de l’organisation desservices qui réfère à l’accessibilité, lasimplicité, la continuité, la rapidité et auconfort, demeure toujours en retrait avec80 % de satisfaction. Pour cette dimensionégalement, nous constatons une légèrebaisse par rapport à 2008.

Pour évaluer la satisfaction de la clientèlede nos cinq centres d’hébergement, unsondage a été réalisé auprès de 361 personnes, soit 66 résidents et 295 proches.

Pour les trois grandes dimensions desatisfaction, la relation avec le client, laprestation professionnelle et l’organisation,nos centres d’hébergement recueillent destaux variant entre 83 et 85 % desatisfaction. Il s’agit de taux desatisfaction sensiblement les mêmes queceux obtenus en 2008. Pour le comparatifavec les autres établissementsd’hébergement du Québec, on ne disposepas malheureusement de données à jour duConseil québécois d’agrément (CQA). Àtitre de comparatif, nous vous présentonsles données québécoises de 2008.

Tout comme le sondage de mobilisation,les données des sondages auprès de laclientèle font l’objet d’une présentation

plus détaillée par installation dans le cadrela tournée du directeur généralactuellement en cours.

Satisfaction à l’égard des servicesCentres d’hébergement

Satisfaction à l’égard des servicesCSSS Richelieu-Yamaska

6 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

AGRÉMENT – HORIZON 2011DES ARRIVÉES ET DES DÉPARTS À L’UMF RICHELIEU-YAMASKA

Première rangée : Meggie-Anne Roy, Nancy Marcotte, Chantal Gallou, Anne-Andrée Martin-Fortier, Fannie PetitDeuxième rangée : Philippe Imbeault, Laurence Bigras-Dunberry, Amélie Sauvé, Jean-François Simard

Page 16: L'Écho du réseau_septembre 2011

AGRÉMENT – HORIZON 2011

12 L ’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

CADRE DE RÉFÉRENCE EN NUTRITION ENTÉRALE À DOMICILE

UN PROCESSUS DECONTINUITÉ DESERVICE POURL’USAGER

Le CSSS Richelieu-Yamaska a adopté récemment un toutnouveau Cadre de référence en nutrition entérale à domicile.Son but premier? Permettre d’identifier le type de suivi

requis pour un usager devant recevoir une nutrition entérale àdomicile afin de lui permettre de maintenir sa qualité de vie. Letout, bien sûr, en permettant l’optimisation des ressources du CSSS.

D’ailleurs, cette démarche s’inscrit parfaitement dans les objectifsde la planification stratégique du CSSS en permettant l’implantationd’un processus assurant la continuité des soins et servicesspécifiques à un certain type de clientèle.

Ainsi, les objectifs poursuivis par ce cadre de référencepermettront :

- d’assurer la continuité et la qualité des soins et services offerts àl’usager devant recevoir une nutrition entérale, selon ses besoins;

- de promouvoir, développer et offrir une gamme de soins etservices requis à domicile, afin d’assurer le soutien et la sécuritéde l’usager nourri par voie entérale;

- de favoriser la collaboration entre le réseau local de services ettous les autres partenaires impliqués, en harmonisant lesdifférentes façons de faire;

- d’optimiser le potentiel et l’autonomie de l’usager en favorisant saparticipation ainsi que celle de ses aidants;

- d’assurer la meilleure utilisation des ressources humaines,matérielles et financières dans le but d’éviter tout dédoublementou bris dans la continuité des services, grâce à la transmissionsystématique et rapide de l’information;

- de s’assurer de la satisfaction de la clientèle quant aux soins etservices reçus.

Ce document présentera donc les interventions relatives au soutiendes usagers devant recevoir une nutrition entérale à domicile. Ladiffusion du document se fera au cours des prochaines semainesdans le cadre de séances de formation et d’information selon lesdifférents groupes d’intervenants utilisateurs.

C’est grâce à un comité de travail composé de divers intervenantset à la concertation des différentes installations du CSSS que cecadre de référence a pu voir le jour. Un grand merci à tous les gensqui ont collaboré au projet : Marie-Claude Allard, chef des cliniquesspécialisées ambulatoires, Unité de médecine de jour, oncologie etdu Service de l’électrophysiologie médicale; Martine Brochu,infirmière clinicienne au Service de gastroentérologie; AnnieGosselin, infirmière clinicienne, ASI-SAD, CLSC des Maskoutains,Pierrette Létourneau et Martin Gaudette, conseillers en gestion deprogrammes, DPSPSIPP; Louise Larivée, chef de secteur Nutrition etcontrôle de qualité; Diane Pelletier, nutritionniste SAD, CLSC desMaskoutains, aidée du Comité de pairs en nutrition clientèle adulte.

Prochainement, vous recevrez un message courriel ou sousformat papier de votre Conseil multidisciplinaire (CM).

Dans le cadre de son mandat, ce dernier doit mettre en placeun comité pour le maintien et la promotion de la compétence. Ce message vous parviendra donc d’un collègue « représentant »auquel nous avons fait appel pour assurer un lien entre lecomité de maintien et de promotion des compétences (CMPC)et vous.

La première tâche de votre représentant sera de s’assurer quetous les professionnels qui se retrouvent sur sa liste ont reçu cemessage. Pour ce faire, nous vous demandons de confirmer àvotre représentant la réception de ce message, dès quepossible. Le but de cet exercice est d’établir un moyen decommunication efficace pour échanger rapidement lesinformations dont le CMPC et le CM ont besoin pour remplir leurmandat.

Le conseil multidisciplinaire est une instance consultative quirelève du conseil d’administration et qui est responsable, envers le directeur général, de donner son avis sur diverses questionstouchant les pratiques professionnelles au sein del’établissement. Ces avis concernent notamment les moyens àprendre pour évaluer et maintenir la compétence de sesmembres.

Pour sa part, le CMPC a pour mandat :

a) d’évaluer les besoins de formation des membres du conseilmultidisciplinaire;

b) de proposer des activités de formation visant à maintenir la compétence des membres du conseil;

c) d’étudier le plan d'action pour le développement dupersonnel quant aux aspects reliés au maintien de lacompétence des membres du conseil et de formuler les avisnécessaires à l’exécutif du CM;

d) de recommander à l’exécutif du CM divers moyens visant àmaintenir et à promouvoir la compétence des membres duconseil;

e) de faire des recommandations à cet exécutif concernant lespolitiques d'évaluation en vigueur dans l'établissement etapplicables aux membres du conseil.

Ce comité est très important pour le développement desprofessionnels de notre établissement et le Comité exécutif duconseil multidisciplinaire est heureux de vous annoncer sa miseen place. Les membres qui le constituent sont : NathalieBeauchemin, éducatrice spécialisée, Linda Gagnon,audiologiste, Sandra Rioux, inhalothérapeute et Dany Dumont,travailleur social et conseiller clinique aux pratiquespsychosociales.

Merci de votre collaboration.L’équipe du CMPC

Bon à savoir!

L ’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 5

L a fébrilité se fait sentir dans tousles secteurs de soins et services del’organisation puisque très bientôt,

du 6 au 11 novembre prochain, les visiteursd’agrément seront parmi nous pour procéderà l’évaluation de notre organisation. Uneévaluation attendue, et pour laquellenombre d’efforts ont été déployés de part etd’autre dans l’actualisation des plansd’action.

Pour bien comprendre la grandeétape qui arrive, voici un rappel dece qu’est l’agrément.

L’agrément est une reconnaissancedécernée par un organisme indépendant,Agrément Canada, qui vient attester de laqualité des services que nous dispensons.

L’agrément est un processus d’évaluationexterne obligatoire pour tous qu’utilisentles établissements de santé au Québec. Onpourrait simplifier la démarche en lacomparant avec les examens du ministèrede l’Éducation en fin d’année scolaire, où onévalue les acquis et la compréhension desélèves et des étudiants par matière. Saufque pour nous, l’évaluation se fait à tous lesquatre ans et représente beaucoup plusqu’un examen. L’agrément exige unerévision en profondeur de nos façons defaire et de nos processus ainsi qu’une miseà jour de nos pratiques.

Rentrée automnaleUne évaluation nommée Agrément

Étape 1 : Autoévaluation à l’aide des normesÀ l’automne 2010, à partir des normes d’excellence du programme d’Agrément Canada,englobant les meilleures pratiques de gestion et les meilleures pratiques cliniques, 1105 questionnaires en ligne ont été remplis par le personnel des divers services denotre CSSS. Les résultats de ces questionnaires ont été compilés de manièreconfidentielle par Agrément Canada et un bilan par secteur a été produit.

Étape 2 : Mise en œuvre de plans d’améliorationDix-sept équipes qualité et trois comités dits transversaux ont été mis en place

avec le mandat d’assurer un suivi aux pistes d’amélioration identifiées en suivi àl’autoévaluation. Vous trouverez ci-après la liste des équipes et comités ainsi que le nomdu responsable :

Santé mentale (Maryse Hébert) Soins ambulatoires (Marie-Claude Allard) Oncologie (Marie-Claude Allard) Services de santé communautaires (Lise Langlois) Obstétrique et périnatalité (Viviane Major) Médecine (Myriam Fagnant) Soins intensifs (Lyne Beauregard) Urgence (Carine Sauvé) Chirurgie (Claudine Desmarais), incluant le Bloc opératoire et le secteur de stérilisation (Sylvie Paradis)

Hébergement – milieu de vie (Lyne St-Pierre) Réadaptation physique (Carole Dupuis) Imagerie (Réjean Goulet) Laboratoire (Vanessa Laflamme) Gestion des médicaments (Diane Pelletier) Prévention et contrôle des infections (Rachelle Vallée) Efficacité organisationnelle (Réjeanne Boudreau) Comité transversal clinique (Sylvie Provost) Comité transversal médical (Josée Fournier) Comité transversal ressources humaines (Manon Beaudet) Soins et services à domicile (Sylvie Dumont)

Chaque équipe et comité ont élaboré et mis en œuvre un plan visant une améliorationde la qualité de nos soins et services et une plus grande conformité aux normes duprogramme d’agrément.

Le comité de maintien et de promotion des compétences, une nouveauté duConseil multidisciplinaire

Le décompte est commencé.

35 joursavant la

grande visite!

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Page 17: L'Écho du réseau_septembre 2011

4 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 13

Dans le cadre de la Semainemondiale de l’allaitement, qui sedéroule du 1er au 7 octobre, le

CSSS Richelieu-Yamaska procède à ladiffusion de sa Politique en allaitementmaternelle. Celle-ci a été adoptée dans lafoulée de la démarche de l’organisationpour obtenir l’accréditation Amis desbébés, une reconnaissance de l’OMS quiexige des établissements de santé qui lesouhaitent, d’adhérer à des conditionspour promouvoir, protéger et soutenirl’allaitement maternel. Vous la verrezdonc affichée à différents endroits dansnos installations (CLSC et hôpital).

Cette année, la Semaine mondiale del’allaitement a pour thème Parle-moi :L’allaitement maternel, une expérience3D! Nos trois CLSC et l’hôpital soulignentl’événement de différentes façons :

• Diffusion de la Politique en allaitement;

• Réalisation en cours d’une vidéoprésentant les services en périnatalitéde notre CSSS;

• Affichage de la Politique en allaitementmaternel du CSSS Richelieu-Yamaska;

• Participation à la vidéo Allaiterpartout… simplement, réalisée par unregroupement de partenaires de larégion;

• Conférences Midis-branchés ayantcomme thème La dépression chez lesnouvelles mères.

• Honoré-Mercier : Auditorium, le 5 octobre à 8 h 15, 12 h et 15 h.

• CLSC de la MRC-d’Acton :le 6 octobre à 10 h, au local A et B.

• CLSC des Patriotes à Beloeil :le 6 octobre à 12 h, au local 1103.

Conférencières : Mme Nancy Lavoieinfirmière clinicienne, consultanteen lactation au CLSC desMaskoutains, en petite enfance, etMme Claude Bonneau infirmièreclinicienne, consultante enlactation à l'Hôpital Honoré-Mercier. Elles vous invitent à venirassister à leur conférence afin devous faire profiter de leursconnaissances sur les causes, lesconséquences et les traitementsalternatifs lors de la dépressionpost-partum. De plus cetteprésentation vous sensibilisera àl'importance de l'allaitementmaternel.

LA CIVILITÉ EN MILIEUDE TRAVAIL

Engagé pour une accréditation Initiative Amis des bébés

LE CSSS PRÉSENTE SA POLITIQUE ENALLAITEMENT

L e terme « civilité » peut semblerune évidence pour chacun. Maisquand on y réfléchit, est-elle

réellement toujours présente dans noséchanges professionnels et à l’intérieur denos équipes de travail ? À l’ère où tout vavite, où nous prônons la liberté d’expressionet où la pression en milieu de travail peutparfois être forte, prenons-nous toujours letemps d’avoir des rapports cordiaux, de nepas oublier l’essentiel, soit de prendre letemps de dire « bonjour », « merci » ou « s’il vous plaît » ? Pourtant, la civilité estbien plus que ces règles de baseessentielles.

Qu’est-ce que la civilité en milieude travail ?

La civilité peut être décrite comme étantun ensemble de règles de conduite qu’ungroupe de personne se donne et qui vise lebien-être de la majorité. En milieu de

travail, la littérature cite cinq critèresdevant être respectés, pour que l’on puisseprétendre adopter des comportements decivilité avec les gens qui nous entourent :RESPECT – COLLABORATION – POLITESSE –COURTOISIE – SAVOIR VIVRE. En somme, Lacivilité est l'affichage du caractère pacifiqued'une personne dans ses relations avecautrui, notamment dans la façon d'entrer encontact, et du respect que l'on a pour soninterlocuteur.

En milieu de travail, le droit à la libertéd’expression ne nous permet pas de diretout ce que l’on pense, sans filtre et sans

retenue. Il importe de communiquer avecassertivité, c’est-à-dire d’adopter uneattitude dans laquelle on est capable des'affirmer tout en respectant autrui. Il s'agitde se respecter soi-même en s'exprimantdirectement et clairement par rapport auxévénements et à ce que l’on considèrecomme acceptable ou non, mais avecconsidération pour l’autre.

La civilité en milieu de travail, c’est aussitenter de faciliter le travail d’autrui. Parexemple, si nous savons qu’un collègue abesoin d’une réponse rapidement de notrepart, évitons de le faire patienter indûment.

Ou si nous savons qu’un collègue estdébordé et que de notre côté nous sommesà jour dans nos tâches, pourquoi ne pas luioffrir notre aide ?

Nous nous devons également d’avoir unregard critique sur nos proprescomportements, en s’assurant d’intégrer defaçon systématique, dans nos relations avecla clientèle, nos collègues et collaborateurs,les cinq notions de la civilité. Si nous avonsun inconfort face à une situation ou unefaçon d’agir d’un de nos collaborateurs, ilnous importe rapidement de faire connaîtreclairement sa position à cette personne de

façon respectueuse, en précisant lescomportements et les attitudes en cause, enlui indiquant le malaise provoqué par soncomportement et en lui demandantclairement de mettre un terme à cetteconduite. Si ce premier niveaud’intervention ne fonctionne pas, nous nousdevons d’aller chercher du soutien, tel qued’en parler à son supérieur immédiat, afinqu’il intervienne ou qu’il nous accompagnepour faire cesser la situation.

Ne pas banaliser la civilité enmilieu de travail – les risques : effet spiralMalheureusement, l’incivilité est

contaminante, puisque trop souvent, l’êtrehumain a tendance à répondre à celle-ci dela même façon. Ainsi, un processusd’escalade ou un effet de spiral risque des’enclencher. Lorsque l’incivilité estbanalisée ou non gérée, elle peut amener àdes conflits importants entre des membresd’une équipe. Tôt ou tard, elle finit mêmepar affecter le climat et la qualité de vie autravail de l’ensemble des membres del’équipe.

Une nouvelle politique bientôtdiffusée… incluant l’obligation decivilité

En ce sens, nous avons révisé la Politiquevisant à contrer la violence et leharcèlement en milieu de travailactuellement en vigueur. Celle-ci seraremplacée par une nouvelle politiquevenant d’être adoptée au comité dedirection. Compte tenu de l’importance quenotre organisation porte à la notion decivilité, nous y avons, entre autres, ajoutécette notion. La nouvelle Politique portantsur l’obligation de civilité, sur la préventionet la gestion de conflits, de violence et deharcèlement en milieu de travail vous seradiffusée prochainement.

La civilité en milieu detravail, c’est aussi tenter

de faciliter le travaild’autrui.

Jacinthe Bouchard, agente de sécurité à l’accueil de l’hôpital, se souviendralongtemps de son début de journée du 14 juillet dernier. Ce matin là, madameAndrée Déry, accompagnée de son mari, se présente à l’entrée principale. Enceinte,

les contractions ont commencé. À peinequelques pas sont faits devant le posted’accueil de Mme Bouchard que bébé estbel et bien prêt à faire son entrée dans lemonde. En quelques secondes, notreagente de sécurité attrape une chaiseroulante, aide le père à retirer lespantalons de la mère et attrape lenouveau-né. Un beau bébé en pleineforme finalement. Quelques semainesplus tard, la petite famille est venuedire un bonjour à Jacinthe Bouchard qui

tient une nouvelle fois le petit Lambert dans ses bras.Sur la photo : Andrée Déry, mère de Lambert avec son fils Théo, Jacinthe Bouchardavec Lambert, et Gervais Pouliot avec Noha.

« Selon les cultures, 10 à 20 % des nouvelles mères présenteront unedépression plus ou moins importante (Kendall-Tackett); certains auteurs

estiment même que cela concerne jusqu’à 40 à 50 % des femmes. »

ACCOUCHEMENT INUSITÉ Lorsque l’incivilité est banalisée ou non gérée,

elle peut amener à des conflits importants entre desmembres d’une équipe. Tôt ou tard, elle finit même par

affecter le climat et la qualité de vie au travail del’ensemble des membres de l’équipe.

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C ette édition de la rentrée de notremagazine L’Écho du réseau vousoffre un spécial Agrément. Nous

vous présentons en détails les élémentsimportants à retenir à quelques semainesseulement de l’arrivée des visiteurs quiviendront évaluer notre conformité auxstandards de qualité. Cette étape nouspermettra, j’en suis convaincu, derenouveler l’agrément obtenu en 2009. Ils’agit assurément du dossier majeur denotre organisation pour l’automne. Mais,notre CSSS poursuivra également la miseen œuvre de plusieurs travaux importantspour améliorer à la fois notre offre et laqualité de nos services. Je suis toujoursfier de constater comment toutes noséquipes sont à pied d’œuvre.

Un projet majeur d’optimisationdans nos CLSC

Nous débuterons au sein de nos équipesen CLSC un premier projet Lean pouroptimiser les services de soutien àdomicile. Cette approche Lean, appeléesouvent Approche Toyota, se déploieactuellement dans le réseau de la santé. Il s’agit de revoir l’ensemble des processusde travail pour réduire autant que possibleles tâches ou les étapes qui n’ont pas devaleur directe pour les clients que nousavons à desservir. Cette approche est baséesur un travail étroit avec les équipes debase des services concernés afind’identifier et mettre en place lesaméliorations. Un premier projet Lean aété appliqué l’an dernier pour l’urgence del’hôpital, avec des résultats marquants.L’objectif du projet dans nos CLSC sera

d’augmenter le temps de service direct auxclients desservis à domicile, en revoyantles temps de déplacement, les procéduresadministratives, la compilation dedonnées, etc.

L’optimisation de nos services complèterabien nos travaux pour le continuumPersonnes âgées qui implique directementnos équipes en CLSC. Nous poursuivrons eneffet nos efforts pour améliorerl’intégration et la continuité de nosservices qui, en CLSC, ont un rôle très actifpour le maintien des personnes dans leurmilieu de vie naturel. Ils assurent la bonneliaison entre nos services lors du congé del’urgence ou de l’hospitalisation et,surtout, ils sont au centre de l’action pourla prise en charge rapide lorsque nousrepérons une personne en perted’autonomie ou à risque de perted’autonomie. Nos travaux pour améliorerl’arrimage des services, jumelés à une plusgrande optimisation de nos ressources,nous placeront en bonne position pourrépondre aux besoins croissants de notrepopulation de personnes âgées. Bonnenouvelle aussi pour ces secteurs! Nous avons reçu la confirmation,récemment, que notre établissementrecevra une enveloppe budgétaire de 1,2 millions $ pour améliorer l’accès auxservices en soins à domicile.

Vers le milieu de vie en centred’hébergement et en ressourceintermédiaire d’hébergement

Bien que nos efforts doivent porterprioritairement sur l’objectif de soutenirles personnes en perte d’autonomie à leur

domicile, nous sommes souvent placésdevant la nécessité d’accompagner lespersonnes vers un milieu d’hébergement.Dans ce cheminement vers l’hébergementen établissement, je me dois de soulignerle travail quotidien réalisé par l’équipe detravail social de notre CSSS, que ce soit enCLSC, en milieu hospitalier ou en centred’hébergement. Ces équipes verrontcertainement comme une très bonnenouvelle la confirmation par l’Agence de laMontérégie que notre territoire a droit à 60 nouvelles places en ressourcesintermédiaires. Nous sommes d’ailleursactuellement en processus d’appel depropositions pour le développement de cesnouveaux services. Ces projets seréaliseront dans les prochains mois.

Toujours pour nos centres d’hébergement,l’automne sera l’occasion de démarrer leplan d’action organisationnel pour ledéveloppement du concept milieu de vie,l’une des grandes priorités de notreplanification stratégique 2011-2015. Il s’agit d’un grand défi pour tous noscentres d’hébergement que de trouver le moyen de questionner de manièrecontinue les pratiques institutionnelles.Les recommandations d’amélioration quenous avons reçues en juin dernier, à lasuite de la visite de l’équipe ministérielled’appréciation en CHSLD, seront des levierspour aborder ce changement majeur dansnos milieux. Ce sujet fera d’ailleurs l’objetd’un échange particulier avec notrepersonnel des centres d’hébergement dansle cadre de la tournée du directeur général.

Bon automne à tous!

L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 3

MOT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL

M. Daniel Castonguay, directeur général

14 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

LES ÉQUIPES EN ACTION

Embarquez avec nous à bord du bateau decroisière du CSSS… venez vous amuser et danserau rythme des musiques latines et

internationales. Cette année, le Party de Noël sedéroulera sous la thématique « La Croisière s’amuse! », à l’Hôtel des Seigneurs de St-Hyacinthe. Que vous soyezemployé, gestionnaire ou médecin, faites de cette soiréeVOTRE party!

Déjà, le comité organisateur met tout en œuvre pourque cette activité s’avère un succès mais, sans vous, iln’en n’est rien ! Alors, si vous avez aimé y participerl’année passée, réservez tout de suite cette date à votreagenda et invitez vos collègues à faire de même. Si vousn’avez pu y participer l’an dernier, organisez-vous dèsmaintenant pour y être cette année.

Comme la reconnaissance de nos employés occupe uneplace très importante pour l’organisation, nousrelancerons le concours des mises en candidature dupersonnel. Aussi, un service de garderie sera, encore unefois, mis à votre disposition pour accueillir les tout-petitsâgés entre 2 et 12 ans, sous la supervision d’animateursqualifiés.

De magnifiques prix de présence seront offerts dont,entre autres, une location de deux ans d’une toutenouvelle Versa berline 2012, d’une valeur approximativede 6 000 $, offerte par les Galeries Nissan de Saint-Hyacinthe.

Venez vivre avec nous cette aventure animée par uneéquipe fort dynamique, sous la direction des « Productions Éric Quentin ».

On souhaite sincèrement vous retrouver en grandnombre… Surveillez nos prochaines communications surle sujet afin de connaître tous les détails de cette soirée.

9 décembre à mettre à l’agenda!

BILLET D’EMBARQUEMENTNÉCESSAIRE POUR LEPARTY DE NOËL 2011

PRÉVENT IO

N

HYGIÈ

NEDES MAIN

S

Plus tôt, cette année, l’organisation vous a présenté laSemaine de la sécurité. Cet automne, vous serez encore misau défi dans le cadre de la Semaine de l’hygiène des mains

ayant lieu du 17 au 21 octobre 2011.

Le CSSS Richelieu-Yamaska fait de la sécurité une priorité, tantcelle des usagers que celle des employés. Comme le lavage desmains est la première mesure en prévention et contrôle desinfections, vos connaissances et votre perception en matièred’hygiène des mains seront donc testées dans le cadre de deuxactivités.

Êtes-vous bon joueur?

Parmi les activités proposées, vous serez invité à choisir votretype de lavage de mains. Êtes-vous du type félin,perfectionniste, écologique, rock’n’roll, positif ou chanceux?Votre gestionnaire vous offrira six cartes, une pour chaque type delavage de mains, incluant une description de celui-ci. Vous devrezchoisir une carte.

À l’endos de chaque carte se trouvent quatre questions sur leshabitudes de lavage des mains, que vous devrez remplir et déposerà l’un des kiosques qui se tiendra durant la Semaine de l’hygiènedes mains. Un résultat de 100 % au questionnaire vous permettrade courir la chance de gagner un des six prix offerts.

Participez avec vos collègues et venez nous voir aux kiosques. Nosneuf installations seront visitées. La programmation vous seraannoncée sous peu. Surveillez les babillards.

C’est un rendez-vous! Êtes-vous bon joueur?

Le comité organisateur

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UNE BELLERÉUSSITE POUR LAJOURNÉE DESFAMILLES 2011À ACTON VALE

La Journée desfamilles avait lieu le

10 septembre dernier à Acton Vale.Organisé par les tables 0-5 ans et À toute jeunesse,l'événement a rassemblé plus de 1200 personnes, qui ontcélébré en famille et rencontré diverses ressources dumilieu. Un grand MERCI à tous ceux qui ont contribué àcette belle réussite.

2 L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011

Le 4 août dernier se tenait, au Club de Golf Saint-Hyacinthe, la 6e éditionde la Journée de golf Germain Larivière au profit de la Fondation Aline-Letendre. En cette journée exceptionnelle, où la température étaitexcellente, plus de 156 golfeurs ont répondu à l’appel de Monsieur JeanLarivière et de la Fondation, permettant d’amasser plus de 27 500 $ enprofit net pour la poursuite de la mission de la Fondation Aline-Letendre qui est de rehausser la qualité de vie de tous les résidents del’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe.

L ’ ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 15

TOURNOI DE GOLF GERMAIN LARIVIÈRE

Notre CSSS a de quoi être fier!Mme Manon Desjourdy,stomothérapeute, est devenue lapremière francophone àremporter les grands honneurslors de la conférence del’Association canadienne desstomothérapeutes, qui s’esttenue à Montréal en mai dernier.Elle s’est démarquée enremportant deux prixacadémiques prestigieux duProgramme de formation desinfirmières stomothérapeutes :

1) Prix pour la plus haute note pour le cours « Gestion de la continence » (programmes anglophones et francophones combinés);

2) Prix « Bill Carcary Award » pour la plus haute notecombinée pour les trois cours du programme, à égalitéavec une étudiante du programme anglophone.

Nos félicitations pour ce bel accomplissement!

LES HONNEURS POUR MANON DESJOURDY,INFIRMIÈRE SPÉCIALISÉEEN SOINS DE PLAIES

L e ministre de la Santé et des Services sociaux a déclenchécet été le processus de renouvellement des conseilsd’administration des centres de santé et de services

sociaux. Il s’agit d’une opération majeure pour notre CSSS qui sedéroulera d’ici janvier. Le nouveau conseil comptera au total 18administrateurs, soit 17 personnes élues, désignées et nommées,plus le directeur général.

De ce fait, la date du 18 octobre 2011 a été fixée pour finaliser ladésignation des quatre membres du personnel et des professionnelsqui siègeront au sein du conseil d’administration de notreétablissement. Les avis de désignation ont été affichés dans toutesles installations le 12 septembre dernier.

Pour l’administrateur désigné par le personnel non clinique, unscrutin par la poste se tient actuellement. Sept employés ontsoumis leur candidature :

Nom Milieu de pratique

Stéphane Bouchard Agent administratif #2

Joanne Fortin Préposée salubrité (soir)

Marlène Gagnon Agente administrative

Martine Laplante Préposée aux bénéficiaires

Sylvain Ledoux Salubrité

Serge Lussier Ouvrier d’entretien général

Mathieu Savard Préposé entretien ménager

L’ensemble du personnel non clinique inscrit sur la liste desélecteurs a reçu un bulletin de vote par la poste et a jusqu’au 17 octobre, 17 heures, pour retourner le tout avec leur choix.

Pour la personne désignée par le Conseil des médecins, dentisteset pharmaciens (CMDP), Dr Robert Duranceau, actuellementadministrateur, a été désigné sans opposition. Pour la désignationdu Conseil multidisciplinaire, incluant les membres du personnelinfirmier auxiliaire, Mme Louise Larrivée a été désignée sansopposition.

Lors d’une assemblée de ses membres, tenue le 26 septembredernier, le Conseil des infirmières et infirmiers (CII) a eu à choisirentre deux candidats intéressés : Mme Manon Gauthier, infirmière etchef d’unité à l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe et M. Luc Pellerin,infirmier et conseiller en soins infirmiers pour le Service deprévention et contrôle des infections. Mme Manon Gauthier aofficiellement été désignée à la suite du scrutin tenu lors de cetteassemblée.

Par ailleurs, d’ici le 18 octobre également, le Comité des usagersdu CSSS procèdera à la désignation de deux de ses membres quisiègeront au conseil d’administration.

Les quatre fondations reconnues du CSSS, la Fondation Honoré-Mercier, la Fondation Aline-Letendre, la Fondation du CLSC-CHSLDdes Patriotes et la Fondation Santé Daigneault-Gauthier, doiventconjointement désigner un représentant au conseil d’administrationdu CSSS.

Élection de la population

Il y aura élection de deux personnes provenant de la populationpour siéger au conseil d’administration du CSSS Richelieu-Yamaska.Les personnes intéressées à participer à l’administration desservices de santé et des services sociaux sont invitées à poser leurcandidature aux sièges réservés à la population. La date limite demise en candidature a été fixée au 3 octobre 2011, à 17 heures. S’ily a plus de candidats que de postes à combler, un avis sera émis etindiquera la liste des candidats ainsi que le lieu et l’heure duscrutin qui se tiendra le 1er novembre 2011.

D’ici le 1er février, date d’entrée du nouveau conseil, huit autresadministrateurs se joindront au groupe : deux personnes nomméespar l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie etsix personnes qui seront nommées par cooptation par lesadministrateurs élus et désignés. Des six personnes cooptées, aumoins une devra provenir de recommandations faites par lesorganismes communautaires de notre territoire.

Plus de 175 participants auront emprunté, le 11 septembre dernier, lesquatre parcours offerts. L’objectif financier de 20 000 $ de profit net a étéatteint. Des grands-parents jusqu’aux petits enfants, les familles étaientprésentes à cette grande activité familiale. Merci à tous nos bénévoles et à nos précieux commanditaires qui ont permis d'assurer le succès de cettejournée.

5e ÉDITION DU DÉFI VÉLO SANTÉ DE LA FONDATION ALINE-LETENDRE :UN AUTRE ÉCLATANT SUCCÈS

Fondation Aline-Letendre

Mme Desjourdy travaille à la DPSPSIPP,

au Service de la prévention et du contrôle des infections

Mme Josée Filiatrault, pharmacienne au Département de pharmacie,a vu un article sur la thromboprophylaxie, auquel elle a collaboré,publié dans le Journal of Thrombosis and Thrombolysis, " Implementation and evaluation of a pharmacy-ledthromboprophylaxis campaign in a community hospital". Mme Marie-Ève B. Dufresne, pharmacienne, et Dre Diane Poirier,

directrice des affaires médicales, ont collaboré à la revuePharmactuel : La revue internationale francophone de la pratiquepharmaceutique en établissement de santé (numéro de juillet-août-septembre 2011). Leur article se nomme Insuffisance rénale aiguëchez un patient adulte secondaire à une interaction possible entre laceftriaxone et le calcium. Pour lire cet article, visitez le lien suivant :http://www.pharmactuel.com/article.asp?article=473 Nous tenons à les féliciter.

Collaboration à des publications :du rayonnement pour deux de nos pharmaciennes

Fondation Honoré-Mercier Fondation Aline-Letendre Fondation CLSC-CHSLD des Patriotes Fondation Santé Daigneault-Gauthier

Toutes nos fondations ont maintenant leur site Internet. Pour les visiter :

santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska

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SEPTEMBRE 2011 - VOL. 2, NO 5

L’Écho du réseau est une réalisation de la Direction descommunications et des relationspubliques. Si vous avez des nouvelles ou descommentaires, n’hésitez pas à les transmettreà Martine Lesage, conseillère encommunication, par courriel :[email protected] ou partéléphone : 450 771-3333, poste 3354www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska

InfographieDenis Kiopini

ImpressionImprimerie Maska

3 octobre Mois du seinJournée

ruban rose : portezvotre ruban!

Du 2 au 16 octobreAffichage des postes

Du 17 au

21 octobre

Semaine

de l’hygiène

des mains

28 octobre25e édition du

Souper spaghetti duCentre d'hébergement

Andrée-Perrault Collège Saint-Maurice

18 h

12 octobre

Midi-branché avec la

Société québécoise

de la schizophrénie

De 12 h à 13 h à

l’auditorium de

l’hôpital

13 octobreJournée

provinciale des préposés en hygiènesalubrité

2 novembreDébut de la

campagne de

vaccination grippe

(détails à venir dans votre

prochain numéro)

2 novembreDate limite pour faire unchangement dedisponibilité

9 décembre

Party de Noël

du CSSS

La croisière

s’amuse!

Du 1er au 7 octobre

Semaine mondiale

de l’allaitement

6 octobre

Midi-branché sur

la dépression

post-partumCLSC d’Acton :

10 hCLSC des Patriotes :

12 h

5 octobreDate limite pour faire unchangement dedisponibilitéMidi-branché post-partumhôpital

8 h 15, 12 h et 15 h

: dates importantes à noter concernant les ressources humaines. RH

RH

RH

RH

Prochaine parution du magazine : Novembre 2011

Date limite pour suggestion de sujets : Vendredi 7 octobre 2011

Date limite pour activités à inscrire aucalendrier des activités :Vendredi 7 octobre 2011

CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX RICHELIEU-YAMASKA

L’HÔTEL-DIEU FÊTE12 CENTENAIRES Madame Gisèle Allard était l’une des 12 centenaires qui ont étéfêtés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu, le 23 septembredernier. Une messe a été célébrée dans la chapelle du centrepour souligner ces 12 siècles de vie. Page 8

pages 5 à 8

SPÉCIAL AGRÉMENT

page 9

LEAN EN CLSC : LE SOUTIEN ÀDOMICILE ENACTION

page 13

SEMAINEMONDIALE DEL’ALLAITEMENT

page 15

SEMAINE DEL'HYGIÈNE DES MAINS

RENOUVELLEMENT DU CONSEILD'ADMINISTRATION :

UNIMPORTANTPROCESSUSEN COURS

Page 2

Page 16

M. Léopold St-Laurent (100 ans) Mme Jeannette Bienvenue (107 ans) Mme Simonne (Benoit) Provost (100 ans) Mme Marguerite Gaucher (102 ans) Mme Thérèse Côté (100 ans) Mme Julie Rioux (McDuff) (100 ans) Mme Gisèle Allard (100 ans) Mme Ida Mealey (Boulay) (100 ans) Mme Jeanne Messier (100 ans) Mme Angelina Benoit (Lamontagne) (102 ans) Mme Armandine Marchessault (Lecours) (102 ans ) Mme Ernestine Toupin (Lafrance) (100 ans )

Douze centenaires du Centre d'hébergement de l'Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe ont étéhonorés lors d'une célébration enleur honneur, en compagnie desmembres de leur famille, le 23septembre dernier.