Le Courrier économique n° 110 -Octobre 2008

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L’ESSENTIEL TRANSMISSION D’ENTREPRISE P. 34 DES OUTILS POUR FACILITER LA REPRISE ACTUALITÉ PME P. 7 UN RÉSEAU POUR LES JEUNES POUSSES ACTUS COMMERCE CHARTE QUALITÉ P. 15 LE MYSTÈRE AU SERVICE DE L’ACCUEIL ACTUS INDUSTRIE 20 CONFÉRENCES P. 22 TOUT SAVOIR SUR L’INNOVATION ET L’INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE 3 – numéro 110 – octobre 2008 Magazine de la Chambre de commerce et d’industrie de Versailles Val-d’Oise/Yvelines ACCOMPAGNEMENT À L’INTERNATIONAL DES PILOTES POUR BIEN DÉCOLLER

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Magazine de la Chambre de commerce et d'industrie de Versailles diffusé aux chefs d'entreprises et décideurs des Yvelines et du Val d'Oise

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L’ESSENTIELTRANSMISSION D’ENTREPRISE P. 34

DES OUTILS POURFACILITER LA REPRISE

ACTUALITÉPME P. 7

UN RÉSEAU POUR LESJEUNES POUSSES

ACTUS COMMERCECHARTE QUALITÉ P. 15

LE MYSTÈRE AUSERVICE DE L’ACCUEIL

ACTUS INDUSTRIE20 CONFÉRENCES P. 22

TOUT SAVOIR SURL’INNOVATION ETL’INTELLIGENCEÉCONOMIQUE

3 € – numéro 110 – octobre 2008

Magazine de la Chambre de commerce et d’industrie de Versailles Val-d’Oise/Yvelines

ACCOMPAGNEMENT À L’INTERNATIONAL

DES PILOTES POURBIEN DÉCOLLER

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L e capital humain est la première richesse desentreprises. Orienter, former, faire émergerles talents, c’est le rôle mais aussi le devoirdes Chambres de commerce et d’industrie

pour construire l’avenir de nos entreprises et celuide nos jeunes.

Leader de l’apprentissage, la Chambre de commerceet d’industrie de Versailles Val-d’Oise/Yvelinespropose une offre de 160 formations, du CAP aumaster et au diplôme d’ingénieur. Aujourd’hui,6 000 jeunes bénéficient de ces formations au sein de nos écoles. En 2012, ils seront 8 000.

Afin de répondre à vos besoins de personnelsqualifiés, nous mettons en œuvre des cursusinnovants qui s’adaptent aux évolutions de chacunedes filières, à chacun des métiers, et se font, pour l’essentiel, par la voie de l’apprentissage. Nous insistons sur le dialogue, le partage et latransmission d’expériences pour que nos formationscollent au plus près des attentes.

Mais le monde de la formation, comme celui del’entreprise, est un monde mouvant où il faut sanscesse innover pour rester compétitif et proposer la meilleure offre possible.C’est pour cette raison que le 23 octobre à Deauville,les Chambres de commerce et d’industrie organisentune journée d’échanges sur les nouveaux enjeux de la formation et de la gestion des compétences.Évolution démographique, rapport des jeunes au travail, attractivité des entreprises, émergenced’un espace européen des compétences et de laformation : sur tous ces sujets, experts et chefsd’entreprise apporteront leurs témoignages.

Ce rendez-vous constitue l’une des nombreusesétapes des États généraux des CCI dont le pointd’orgue aura lieu à Paris au Palais des congrès le 9 décembre. À l’occasion de cette grandemanifestation, nous pourrons rendre compte des travaux communs réalisés et fixer un nouveaucap pour, d’ici à 2020, mieux servir encore les intérêts des entreprises et des territoires.

3ÉDITO

JEAN-FRANÇOIS BERNARDINPrésident de la CCI de Versailles Val-d’Oise/YvelinesE-mail : [email protected]

Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

CONSTRUIRE L’AVENIRDE NOS ENTREPRISESET CELUI DE NOS JEUNES

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SOMMAIRE

N°110 OCTOBRE 2008

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Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

Le Courrier économique,journal bimestrield’information et d’action de l’opinion socio-économique• Chambre de commerce et d’industrie de VersaillesVal-d’Oise/Yvelines• 21, avenue de Paris,78021 Versailles Cedex(Tél. : 01 30 84 78 78)

• Directeur de la publication :Michel Delamaire

• Directeur de la rédaction :Marie-Pierre Coursat

• Rédacteur en chef : Frédéric Gaudichon

• Rédaction : Nicolas Démare,Martine Bousquet, StéphaneMarcovik, Agnès Noël, Bénédicte Rogulski

• Publicité : HSP (Tél. : 01 55 69 31 00). Contact : Guilaine Antoni au 06 88 58 38 13

• Conception, réalisation :

Tél. : 01 53 23 35 00• Impression : Gutenberg on line

2, rue Kléber, 92309 Levallois-Perret CedexTél. : 01 41 05 88 00

• Commission paritaire :0507B073 22

• N° ISSN : 0752-1855

• Crédits photos : Getty Images,Corbis, Midest, Vincent Collin,ADP.

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L’ESSENTIELTRANSMISSION D’ENTREPRISE P. 34

DES OUTILS POURFACILITER LA REPRISE

ACTUALITÉPME P. 7

UN RÉSEAU POUR LESJEUNES POUSSES

ACTUS COMMERCECHARTE QUALITÉ P. 15

LE MYSTÈRE AUSERVICE DE L’ACCUEIL

ACTUS INDUSTRIE20 CONFÉRENCES P. 22

TOUT SAVOIR SURL’INNOVATION ETL’INTELLIGENCEÉCONOMIQUE

3 € – numéro 110 – octobre 2008

Magazine de la Chambre de commerce et d’industrie de Versailles Val-d’Oise/Yvelines

ACCOMPAGNEMENT À L’INTERNATIONAL

DES PILOTES POURBIEN DÉCOLLER

La CCIV propose aux entreprises de lesaccompagner pourévaluer et prévenir lesrisques professionnels,formaliser le «documentunique» obligatoire et former les salariés à la sécurité.

ACTUS6/ PROJET SEPADes instruments depaiement communs pour tous les Européens

7/ PMEUn réseau pour les jeunespousses

8/ RENCONTRE AVECBRUNO BOUNIOL8 000 apprentis en 2012dans les écoles de la CCIV

ACTUSCOMMERCE12/ CHRAvec la Chambre, ils se mettent à table !

15/ CHARTE QUALITÉLe mystère au service de l’accueil

ACTUSINDUSTRIE ET SERVICES16/ ACCOMPAGNEMENTÀ L’INTERNATIONALDes pilotes pour biendécoller

20/ RÉDUIRE LES RISQUESPROFESSIONNELSUne démarche de progrès

22/ CONFÉRENCESTout savoir surl’innovation etl’intelligence économique

BAROMÈTRE24/ TABLEAU DE BORDÉCONOMIQUE

ACTIONTERRITORIALE ET RÉSEAUX26/ AUTOMOBILERencontres du 2e type

JURI-INFOS28/ EMPLOYEURSAttention, les règles ont changé !

L’ESSENTIEL32/ FORMATIONCONTINUEApprendre à manager

34/ TRANSMISSIOND’ENTREPRISEDes outils pour faciliterla reprise

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Se développer àl’international? Un défi pour denombreux dirigeants de PME-PMI. Grâce àl’accompagnement dela CCIV, les obstacless’aplanissent et l’exportdevient une réalité.

Une bonne transmission d’entreprise ne s’improvisepas. La CCIV propose une série d’outils performants au service des cédants et des repreneurs.

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6 ACTUS

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PROJET SEPA

DES INSTRUMENTS DE PAIEMENT COMMUNS POUR TOUS LES EUROPÉENS

Pièces et billets en euros sont une réalité enEurope depuis 2002 : au 1er janvier 2009, ils cir-culeront dans 16 pays avec l’adoption de lamonnaie unique par la Slovaquie. Mais le pay-

sage européen demeure fragmenté pour ce quiconcerne les paiements scripturaux : paiements parcarte, prélèvements, virements, chèques… En effet,« d’un pays à l’autre, l’utilisation des différents moyensde paiement varie fortement », analyse ClémentineVilcocq, de la direction des systèmes de paiement etdes infrastructures de marché de la Banque de France.Par exemple, l’importance de l’usage du chèque estune spécificité française. L’hétérogénéité des stan-dards techniques, des usages mais aussi des cadresjuridiques constitue ainsi un obstacle aux transac-tions transfrontalières, qui ne représentent que 2 %de l’ensemble des transactions en Europe.

Migrer vers de nouveaux standardsThème d’une rencontre organisée par la Banque deFrance et la CCI de Versailles Val-d’Oise/Yvelines, le7 octobre dernier à Pontoise, le projet Sepa, espaceunique de paiement en euros (Single Euro PaymentsArea), a pour ambition de créer une gamme d’instru-ments communs (virement, prélèvement, paiementpar carte), afin que les utilisateurs puissent effectuerdes paiements en euros partout dans l’espace euro-péen aussi facilement que dans leur pays. Les entre-prises, aujourd’hui contraintes de gérer un comptebancaire dans chacun des pays où elles réalisent destransactions, pourront ainsi centraliser leurs opéra-tions sur un seul compte, localisé où elles le souhai-tent au sein de l’espace Sepa. La gestion de leur tré-sorerie et leurs relations avec leurs partenaires serontalors simplifiées. La généralisation des cartes à pucesécurisées par un code confidentiel, norme acquise enFrance depuis plusieurs années, permettra aux com-

merçants de bénéficier de la même sécurité pour despaiements réalisés par des porteurs européens quepour des porteurs français. En outre, la standardisa-tion de l’offre entraînera une concurrence accrue entreprestataires de services de paiement, ce qui pourraitconduire à une diminution du coût de ces services.

Depuis janvier dernier est ainsi disponible le vire-ment Sepa qui permet de transférer des fonds, d’uncompte à un autre dans l’espace Sepa, dans un délaimaximum garanti de trois jours ouvrés dans lesmêmes conditions que pour les opérations domes-tiques. Il est également prévu que le prélèvement soitprogressivement remplacé par son équivalent Sepa àpartir de 2010. « Nous entrons dans une phase decoexistence entre instruments nationaux et européens,mais ces derniers se substitueront, d’ici quelquesannées, aux instruments nationaux », indique Clé-mentine Vilcocq. Or la migration vers ces nouveauxstandards nécessite des investissements de la partdes utilisateurs que sont les entreprises. Celles-ci sontnotamment amenées à adapter leurs systèmes d’in-formation aux nouvelles normes pour les virementset les prélèvements et à intégrer les coordonnées ban-caires européennes, l’IBAN (International BankAccount Number) et le BIC (Bank Identifier Code)dans leurs bases de données clients, fournisseurs etsalariés. « Les entreprises doivent analyser l’impact del’espace unique de paiement sur leur organisation,planifier ce projet dans leur cycle d’investissement etne surtout pas attendre le dernier moment, conseilleClémentine Vilcocq, mais Sepa est aussi une opportu-nité de rationaliser leurs activités de paiement et dedévelopper leurs échanges en Europe. »

Plus d’informations sur :www.sepafrance.fr

L’espace unique de paiement en euros (Sepa) se met progressivement en place et les entreprises sont appelées à adopter de nouveaux standards pour leurs ordres de paiement.

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Romprel’isolement,partager desexpériences avec le Réseaudes jeunesentreprises.

PME

UN RÉSEAU POUR LES JEUNES POUSSESSortir de l’isolement, partager des expériences, c’est ce que propose le Réseau desjeunes entreprises du Val-d’Oise et des Yvelines lancé au printemps dernier par la CCIV.

«Il ne suffit pas de créer, il faut durer, progresser,passer le cap des trois premières années, cellesoù l’on est le plus fragile, où l’on a besoin d’être

le plus entouré, aidé », expliquait Frédéric Vernhes, pré-sident de la délégation du Val-d’Oise, en annonçanten mai 2008, lors du concours de la jeune entreprise enVal-d’Oise, la création du Réseau des jeunes entre-prises. « Nous voulons permettre aux chefs de ces entre-prises, qui se débattent dans les difficultés des débuts,de se rencontrer, de s’informer, de développer leur savoir-faire, de partager les expériences, de ne plus être seulsenfin face aux grandes décisions. »Basé sur un territoire représentant un tiers de l’Ile-de-France, le réseau s’est organisé autour de troisgrands pôles – Pontoise, Les Mureaux et Versailles –,pour que ses 30 membres puissent développer leurscontacts et leur activité tant au niveau local que surl’ensemble du territoire. «L’idée est d’élargir les horizonsgéographiques et économiques de l’entreprise et de créerdes liens forts entre les dirigeants, affirme Gérard Bache-lier, membre élu de la CCIV. Les thèmes de réflexion etles actions sont définis par les membres du réseau.Chaque mois, des rencontres de partage et d’échangesont organisées. Un espace collaboratif est spécialementdédié au nouveau réseau sur la plate-forme Ecobiz(www.versailles-ecobiz.fr) pour favoriser la circulationde l’information et les relations entre les pôles. »

S’impliquer pour avancerPour adhérer au réseau, les conditions sont simples :l’entreprise doit être âgée de moins de trois ans, ins-crite au registre du commerce et des sociétés du Val-d’Oise ou des Yvelines, et signer la charte d’adhésionau réseau en s’engageant à en respecter les règles.« Nous sommes petits et souvent confrontés à des ques-tions dont nous n’avons pas toujours les réponses. Grâceau réseau nous pouvons partager nos interrogations et,parfois, y répondre. Mais tout le monde doit jouer le jeupour que cela fonctionne. Il faut s’impliquer. Sinon, celane rime à rien », souligne Frédéric Purgal, repreneur ily a un an de la société Kamivolt, entreprise de négocede matériel audiovisuel à Sannois (95).Un postulat que ne démentira pas François Thiret,gérant de MID Conseil, créée fin 2007 à Saint- Germain-en-Laye (78). En participant activement augroupe de travail « Échange et partage », il souhaites’ouvrir sur le monde et faire profiter les autres de sonexpérience par rapport à des sujets très spécifiquesaux PME.

Contact CCIV :

Arnaud Bisig, animateur du réseau, au 01 30 75 35 54 [email protected]

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8 ACTUS

RENCONTRE AVEC BRUNO BOUNIOL,PRÉSIDENT DE LA COMMISSION FORMATIONINITIALE À LA CCIV

8 000 APPRENTIS EN 2012DANS LES ÉCOLES DE LA CCIVLe plan stratégique à cinq ans de la CCIV comprend unvolet des plus ambitieux en matière de formation initiale.

Noussouhaitons tirerl’apprentissagevers le haut etpermettre à unjeune d’aller duBEP à bac+5.

Quelles évolutionscaractérisent cette rentrée2008 ?Bruno Bouniol : Cette année,nous accueillons 503 élèves deplus, ce qui porte le total deseffectifs de nos 16 établissementsà 6 077. Nous participons ainsilargement à l’effort voulu par le Conseil régional visant àatteindre les 100 000 apprentis en Ile-de-France. Cette politiquesera poursuivie dans les années à venir et nous attendons8 000 apprentis en 2012. D’autrepart, notre offre se caractérise par son adaptation constante aux besoins des entreprises. Lesformations offrant désormais peude débouchés sont abandonnéeset de nouvelles sont créées. Par exemple, l’IFABTP propose,en cette rentrée, des formationsprofessionnalisantes axées sur les métiers de l’expertise enmatière d’efficacité énergétiquerépondant aux exigencesnouvelles de la profession. Sansjamais négliger les formationscourtes, nous souhaitons enfintirer l’apprentissage vers le haut,c’est-à-dire rendre concevablel’hypothèse pour un jeune quis’inscrit en BEP de poursuivre son cycle de formation jusqu’àbac + 5. Ainsi, pour surmonterl’obstacle fréquemment observé

lors du passage du bac Pro, quiest certes un diplôme d’insertionmais pas seulement, versl’enseignement supérieur, nous avons mis en place dansdeux écoles des unités de mise àniveau assorties d’une pédagogieproche du sur-mesure. Si les vertus de l’alternance ne sont plus à démontrer,épanouissement et valorisationde l’élève, acquisition de savoir-faire mais aussi de savoir être…,cette voie doit aussi êtreconsidérée comme celle del’excellence. Les entreprises ont besoin de diplômés réactifs,curieux, imaginatifs etopérationnels, dont les profilssont moins formatés.L’apprentissage leur offrejustement la possibilité dediversifier leur recrutement.

Aider les apprentis à trouverleur entreprise d’accueiln’est-il pas une des valeursajoutées du dispositif deformation de la CCIV ?B. B. : Absolument. C’estpourquoi nous avons organisé, en juin dernier, un forum emploi-études commun aux 16 écoles de la CCIV afin de permettre aux jeunes préinscrits dans lesdifférents établissements deprendre avec les recruteurs

des contacts pouvant déboucher sur un contrat de professionnalisation oud’apprentissage. 170 entreprisesont ainsi pu rencontrer chacuneune dizaine de jeunes parmi les 1 000 présents. Cette forteparticipation témoigne de toutl’intérêt porté à une tellemanifestation.

Un mot sur le challenge« Demain mon entreprise » ?B. B. : Il s’agit d’un élément depédagogie moderne qui donne le goût du travail en équipe et en mode projet et qui réunitdes jeunes de tous niveaux autour de l’entrepreneuriat. Cette opération, qui mobilisefortement professeurs etencadrement, connaît un vraisuccès puisque 600 projets decréation d’entreprise ont étélancés en 2008 dans l’ensemblede nos écoles, dont certains sontparticulièrement innovants.Nous voulons éveiller chez lesjeunes une âme de créateur et depuis la naissance de cechallenge, il y a dix ans, certainsprojets se sont effectivementconcrétisés.

Contact :Centre d’information et d’orientationprofessionnelle au 01 30 75 36 92

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10 ACTUS LOCALES

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ASSURANCE MALADIEDES YVELINESUN NUMÉRO UNIQUEPOUR LESEMPLOYEURSLes employeurs des Yvelinesdisposent désormais d’un numéro de téléphone unique pour joindre laCaisse primaire d’assurance maladiede leur département, le 0 821 202 726.Ce service, accessible du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 17 h 30,permet aux employeurs d’obtenir des réponses claires et fiables àtoutes leurs demandes. La création de ce service s’inscrit dans unedémarche globale de l’assurancemaladie visant à développer etdiversifier l’offre de services vers ses différents publics. Dans ce cadre,elle propose également des servicesen ligne sur le site www.ameli.frpermettant aux employeurs desimplifier leurs démarches(attestations de salaire, déclarationsd’accident du travail, courriels…).

A près le succès des éditions précédentes,le Carrefour enseignement supérieurentreprises du Val-d’Oise (CESE 95) et

dix établissements d’enseignement supérieurpartenaires* organiseront le jeudi 6 novembre2008, de 10 h à 18 h, le 5e Forum Entreprise &Étudiants du Val-d’Oise dans les locaux del’université de Cergy-Pontoise.Les étudiants, au travers de leurs rencontresavec les recruteurs de grands groupes et dePME-PMI, auront l’opportunité de trouverun stage ou un emploi dans les domainesd’activités qui les intéressent, mais égale-ment de prendre connaissance des métierset des secteurs d’avenir. Les entreprises par-ticipantes pourront rencontrer de jeunesdiplômés prêts à s’engager au sein de leurséquipes et pourront ainsi identifier de nou-veaux collaborateurs qualifiés, parmi près de28 000 étudiants du bac +2 au doctorat, issus

de dix établissements d’enseignement supé-rieur correspondant à plus de 26 secteursd’activités.Tout au long de la journée, des tables rondessensibiliseront les étudiants et jeunes diplô-més à divers thèmes: les métiers de la banque,de l’assurance et de la finance, l’environne-ment, les études en apprentissage ou la créa-tion d’entreprise.Des ateliers assurés par l’Apec et la JeuneChambre économique de Cergy-Pontoisepermettront enfin aux étudiants de bénéfi-cier de simulations d’entretiens, de conseilspour la rédaction de CV et de lettres de moti-vation.

*Université de Cergy-Pontoise, Ensea, Eisti, Itin-Escia, IPSL (Ebi, Istom, EPMI, Ileps), Cnam.

Contact :

CESE 95 – Kelly Fevrin au 01 34 25 32 45 [email protected] – Internet : www.forum-valdoise.fr

VAL-D’OISE

5e FORUMENTREPRISES& ÉTUDIANTS

ABB REGROUPE SON ACTIVITÉROBOTIQUE À SAINT-OUEN-L’AUMÔNE

Le 27 juin dernier, ABB posait la première pierre de son nouveaubâtiment en présence de nombreuses personnalités etd’officiels de la région. 7 000 m² sur cinq niveaux, voici lescaractéristiques du nouveau bâtiment qu’ABB, fournisseurleader de robotique industrielle (plus de 160 000 systèmesinstallés dans le monde) construit sur son site de Saint-Ouen-l’Aumône. « Prévue pour le premier trimestre 2009, sa livraisonpermettra de réunir sur un seul site l’ensemble des équipesd’ingénierie de l’activité robotique d’ABB France basées en région parisienne », explique Hubert Labourdette, directeur de la division robotique d’ABB France.

Le développement du site de Saint-Ouen-l’Aumône (650 salariés, CA de 174 M€ en 2007, dont50 % à l’export) s’inscrit dans le plan de regroupement des activités robotiques d’ABB France,qui prévoit l’intégration des équipes de la division actuellement basées à Beauchamp.

UNE ÉTUDE SURL’INTELLIGENCEEMBARQUÉELe Comité d’expansion économiquedu Val-d’Oise (Ceevo) vient de publierune nouvelle étude sur « La situationet les perspectives de développementde la filière de l’intelligenceembarquée dans le Val-d’Oise ».Cette étude présente le domaine deslogiciels et des systèmes embarquésainsi que les secteurs d’activitésconcernés par ces technologies, les principaux acteurs de la filière(entreprises, formations, laboratoires de recherche) et les résultats d’uneenquête réalisée auprès des sociétéset laboratoires du secteur implantésdans le département.

Contact :Comité d’expansion économique duVal-d’Oise (Ceevo) au 01 34 25 32 95ou [email protected]

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YVELINES : SOYONS PLUS MOBILES

L e Medef Yvelines Sud organise le23 octobre prochain, dans les locauxde l’université de Versailles Saint-

Quentin-en-Yvelines, un forum portant surla problématique de la mobilité au traversde ses aspects écologiques, économiqueset politiques. Un thème ô combien d’ac-tualité dans un département où l’oncherche à concilier qualité de l’environ-nement et des espaces verts (80 % du ter-ritoire) et développement économique.Un thème également fédérateur puisquela question de la mobilité interpelle aussibien les décideurs politiques (transportsurbains, fluidité des circulations, accessi-bilité à certaines zones d’activités, fisca-lité, etc.), le monde des constructeurs etéquipementiers automobiles (voitures

propres, éco-conduite, transports et éner-gies alternatifs, innovations et recherches,etc.), les chefs d’entreprise (gestion et opti-misation de l’entretien de la flotte de véhi-cules, covoiturage, transports « verts » etalternatifs, meilleure gestion du transportdes marchandises, télétravail, plageshoraires variables, vidéoconférence, etc.),les partenaires sociaux et les usagers.Ce forum sera l’occasion de faire le pointsur les pratiques, les enjeux stratégiques,les expériences concrètes réalisées dansnotre département et de découvrir les solu-tions et produits alternatifs de l’avenir.

Contact :

Chantal Duval au 01 39 50 61 12 [email protected]

DÉVELOPPEMENT DU PÔLE DE ROISSY : LES CCI OUVRENT DES PISTESLe 19 septembre dernier, uneréunion exceptionnelle se tenait àParis. Les membres des bureaux detrois CCI – Paris, Seine-et-Marne et Versailles Val-d’Oise/Yvelines –étaient réunis afin d’approuver un document commun : « Roissy-Plaine de France, une ambitionpartagée pour un territoired’exception ». Ce rapport quipourrait faire date dans l’histoirecommune des CCI vise – au-delàd’un diagnostic précis et détaillé duvaste territoire couvert (des portesde Paris au nord de Roissy-CDG) – à formuler un ensemble cohérentde propositions concrètes àdestination des pouvoirs publics. Il est complété par 18 initiativesqu’entendent prendre les trois CCIde manière commune afind’apporter concrètement leurparticipation à la construction d’unvéritable projet pour ce territoire.Un dossier complet sur ce sujetsera publié en décembre prochaindans les colonnes du Courrieréconomique.

Les élus des trois CCI en charge de ce dossier: Gilbert Diépois et WilliamZerbib de la Chambre de commerce etd’industrie de Paris, Bertrand Boissierde la CCI de Seine-et-Marne et FrédéricVerhnes, vice-président de la CCI deVersailles Val-d’Oise Yvelines, présidentde la délégation du Val-d’Oise.

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CHR

AVEC LA CHAMBRE,ILS SE METTENT À TABLE !

Traiteurs, débitants de boissons, restaurateursou hôteliers et parfois même les deux…, ils sontprès d’une cinquantaine de professionnels desYvelines et du Val-d’Oise à avoir rejoint le réseau

CHR lancé au début de l’année par la CCIV. En favori-sant le rapprochement des entrepreneurs du secteur,ce réseau vise à défendre leurs intérêts auprès des ins-titutions et à améliorer l’image de leur profession auprèsdu grand public. Il leur permet aussi de participer parleur développement au rayonnement du territoire.Dès avril dernier, les adhérents définissaient un modede fonctionnement avec, au menu: des rencontres régu-lières (fixées à 6 par an), des conférences sur des sujetsliés à leur profession et l’utilisation d’un extranet pouréchanger des informations (www.versailles-ecobiz.fr).« Le réseau nous donne la possibilité de confronter nosexpériences et de chercher ensemble des solutions à desdifficultés qui sont spécifiques à notre profession et quenous rencontrons tous individuellement », expliqueMarie-Françoise Claro, directrice de La Ferme d’Ar-genteuil, à Argenteuil (95). Répartis au sein de troisgroupes de travail thématiques (« Faciliter le recrute-ment», «Valoriser l’image de la profession» et «Recher-cher de nouveaux clients »), les adhérents multiplientles initiatives : utilisation du forum Ecobiz pour échan-ger leurs offres d’emploi, organisation d’un exposé surle temps partagé avec le Geyvo* (en septembre der-nier), présentation du régime social des indépendants(RSI), organisation de deux « Éductours » en novembreprochain (voir encadré).Autres projets : créer des « journées des restaurants» surle modèle des « journées du cinéma », participer acti-

vement aux forums des métiers dans les écoles, pro-fiter de la nouvelle grille de la classification des hôtelsmise en place par le secrétariat d’État au Tourismepour faire des Yvelines et du Val-d’Oise des départe-ments tests. « C’est par nos actions que nous démon-trerons notre efficacité et que nous renforcerons nosliens. À nous aussi de les faire connaître auprès de noscollègues pour leur donner envie de nous rejoindre etnous permettre ainsi d’avoir plus de poids pour faireremonter nos attentes », conclut Thierry Frisse, gérantde l’auberge du Clos Saint-Pierre à Gambais (78).Pour faire partie du réseau, c’est simple et gratuit. Impli-cation et signature de la charte d’adhésion suffisent.

* Groupement d’employeurs des Yvelines et du Val-d’Oise.

Pour en savoir plus:Philippe Taillard, animateur du réseau, au 01 30 84 78 23 ouCatherine Stéphant, assistante, au 01 30 84 79 56

Présenté en janvier dernier aux professionnels du secteur dans les Yvelines et le Val-d’Oise, le réseau des cafés, hôtels, restaurants (CHR) multiplie les actions et les projets.

Unecinquantaine deprofessionnelsont déjà rejointle réseau CHRde la CCIV.

ACTUS COMMERCE

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ÉDUCTOURSOrganisés les 13 et 25 novembre prochains, les Éductours proposent aux proviseurs de lycées, principauxde collèges, conseillers d’orientation, professeurs, mais aussi aux parents d’élèves de découvrir la diversité et la richesse des métiers de l’hôtellerie-restauration.De Roissy à Rambouillet, visites d’établissements etdéjeuner dans un centre de formation leur permettront de rencontrer sur leur terrain les professionnels dusecteur, des étudiants dans l’exercice de leur formation et leurs équipes pédagogiques.

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Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

Après un voyage dereconnaissance aux États-Unis, Audrey Canal crée, en

2002, SID, une société d’imprimerienumérique. «J’ai tout de suite vu lesformidables possibilités offertes enmatière d’impression, de tirages et de délais», explique la jeune chefd’entreprise. Portée par le succès de cette première expérience, ellelance cinq ans plus tard avec HervéBloch, consultant dans le domainede la photo argentique, numériqueet expert du e-business, Best-Moment. «Nous proposons un

service en ligne complet dontl’album numérique personnalisédestiné aux particuliers. L’internaute le crée à son idée, nous l’imprimons.»Tout se fait à partir du site Internetwww.domalbum.com qui permetde commander des produits«boutique» et de télécharger lelogiciel Domalbumbook, édité en partenariat avec Kodak.Après 18 mois d’existence, lescommandes sont quotidiennes.Mais pas question de s’arrêter en sibon chemin. «Pour avancer, il n’y a

pas de secret, il faut régulièrement se renouveler. Nous sommes sanscesse à la recherche de nouveauxproduits, de nouvelles cibles.Institutions, communes,entreprises… qui pourraient par exemple exploiter ce logicielpour leur propre enseigne.»Bénéficiaire d’un prêt Aface pources deux entreprises, Audrey Canala reçu le prix de l’Agglomération de Cergy-Pontoise en 2007 pourBest-Moment au Concours dujeune créateur en Val-d’Oise.

Contact : www.domalbum.com

À l’origine de cette entreprise créée en décem -bre 2007, Jean-Baptiste Giraud, fondateur dupremier hebdo gratuit Économie Matin, Flore

Ozanne, responsable d’un cabinet de recrutement, etFrançois-Hugues de Vaumas, dirigeant d’une sociétéde production audiovisuelle.« Nous proposons aux touristes français comme étran-gers lors de leur séjour à Versailles, ainsi qu’aux entre-

prises pour leurs congrès ou séminaires et aux tour-opérateurs, une offre complète d’animations et d’acti-vités touristiques centrées sur Versailles, son château etson histoire, et plus largement sur la culture et l’art devivre à la française », détaille Jean-Baptiste Giraud.Promenades dans les allées du parc ou les rues de Ver-sailles en Segway (un drôle d’engin électrique sur deuxroues), courses au trésor sur le thème du collier de lareine, cours de cuisine ou de savoir-vivre à la fran-çaise, anniversaires surprises ou enterrements de viede jeune fille…, des produits « maison » ou distribuésdans le cadre d’offres packagées.Accompagnée par la CCIV et soutenue par le Conseilgénéral des Yvelines, cette jeune entreprise versaillaisea bénéficié d’un prêt Aface de 45 000 euros et d’unesubvention de 16 000 euros pour lancer son nouveausite Internet dans le cadre du dispositif Yvelines Entre-prises Numériques. Elle a également reçu en avril leprix de l’entrepreneur de la Chambre, sous forme d’unabonnement de six mois à SVP.

Contact : www.versaillesevents.fr/

PORTRAIT

ILS ROULENT POUR VERSAILLESPlusieurs millions de visiteurs déferlent chaque année sur la «capitale du Roi-Soleil»,mais ils ne s’y attardent guère. En proposant des produits touristiques qui sortent dessentiers battus, Versailles Events cherche à inverser la tendance.

PORTRAIT

UN ALBUM À VOTRE IMAGEC’est ce que propose la nouvelle entreprise d’Audrey Canal, invitéed’honneur de la CCIV en juillet dernier.

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Le commerçantdoit obtenir une moyenne de 8/10 surl’ensemble des critères.

CHARTE QUALITÉ

LE MYSTÈREAU SERVICEDE L’ACCUEIL

Depuis plus de cinq ans, la Charte qualité de l’accueil dynamise la relation client dansle commerce de détail. Pilier de l’opération: un audit basé sur une visite mystère.

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ACTUS COMMERCE

«C et audit constitue une base concrète d’éva-luation, analyse Antoine Guichard, con -seiller commerce de la CCIV. Le commer-çant obtient une photographie précise de

la façon dont il reçoit ses clients dans son magasin, com-ment il répond à leurs attentes. Il peut ainsi connaîtreles points forts de son établissement et les aspects à amé-liorer. Il peut être très performant sur l’aménagementintérieur, par exemple, mais avoir des progrès à faireau niveau de l’accueil téléphonique. Il n’a pas forcé-ment le temps de prendre du recul pour juger de la qua-lité de son accueil. La Charte lui permet de bénéficierd’un œil extérieur sur sa relation avec sa clientèle. »Cette démarche, lancée à l’origine par la CCI de Poi-tiers, est conduite depuis 2003 par la Chambre, enpartenariat avec des associations de commerçants,des communes des Yvelines et du Val-d’Oise et avec lesoutien de grandes entreprises.Basé sur 83 critères, l’audit s’appuie sur une visitemystère dans l’établissement ainsi que sur deuxappels téléphoniques. Sont ainsi contrôlés : l’aspectintérieur et extérieur de l’établissement, la relationen face à face avec le client et l’accueil téléphonique.Pour obtenir son sésame et faire partie des lauréatsde la Charte qualité de l’accueil, le commerçant doitobtenir une moyenne de 8/10 sur l’ensemble des cri-tères. La fin des audits donne lieu chaque année à unecérémonie de remise des prix. « L’utilité de la démarchen’est plus à démontrer, poursuit Antoine Guichard.C’est un vecteur de promotion pour le lieu de ventemais aussi un véritable outil de management du per-sonnel pour le dirigeant de l’entreprise. Certains com-merçants s’y soumettent d’ailleurs chaque année depuis2003 pour constater qu’ils sont toujours dans la courseet progresser continuellement. »

Mesures homogènesLe dispositif fonctionne bien dans toutes les CCI etde plus en plus de commerçants comprennentl’intérêt qu’ils ont à voir la Charte se développer.« La Charte qualité de l’accueil est nationale, souligneDelphine Jacquet, qui préside la société Quidam àRueil-Malmaison, chargée d’organiser les visites etles appels mystères. Le questionnaire que nous utili-sons est un référentiel commun à toutes les Chambres.Les mesures sont donc homogènes. Notre rôle consistesurtout à bien choisir les enquêteurs et à soigner le brie-fing. Nous auditons l’accueil mais nous ne rentronspas dans l’évaluation du cœur de métier ou de la pres-tation fournie. Les scénarios préétablis sur mesure parcommerce sont donc relativement simples. Ce quicompte avant tout, c’est que le client mystère soit le plusnaturel possible pour ne pas se faire repérer. »Bien évidemment, les enquêteurs s’adaptent à la réa-lité du terrain. Pas question donc d’aborder de lamême façon une boutique de prêt-à-porter et un éta-blissement de pompes funèbres. Les conditions danslesquelles se déroule la visite sont également impor-tantes. Celle-ci a lieu généralement en fin d’année.Un commerce peut ainsi se retrouver dans un état depropreté douteux après une journée pluvieuse aucours de laquelle des centaines de clients sont pas-sées dans le magasin. « Cela ne reflète pas la réalité dureste de l’année. Nous devons bien sûr le prendre encompte dans nos observations, les commentaires sontdonc primordiaux », précise Delphine Jacquet.

Contact : pour adhérer à la Charte qualité de l’accueil, contactezDamaris Miller au 01 30 84 73 06 ou sur [email protected]

NB : Un dispositif particulier s’applique au secteur del’hôtellerie-restauration avec une grille différente.

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ACCOMPAGNEMENT À L’INTERNATIONAL

DES PILOTES POUR BIEN DÉCOLLERSe développer à l’international? Un défi pour de nombreux dirigeants de PME-PMI.Grâce à l’accompagnement de la CCIV, les obstacles s’aplanissent et l’export devient une réalité.

En cinq mois, que de chemin parcouru pourBruno Courtois, dirigeant de l’entreprise épo-nyme à Bezons : le voilà qui s’apprête à ouvrirun bureau au Mexique et à y recruter son pre-

mier collaborateur. « Sans l’accompagnement de laCCIV, je ne pense pas que j’aurais sauté le pas. L’aideapportée par la conseillère a permis de rompre mon iso-lement et de dépasser le stade des intuitions pour concré-tiser mon projet d’export », souligne ce chef d’entreprise.Ce constat, Michel Jonquères, élu de la CCIV en chargede l’international, le connaît bien : « Souvent, les entre-preneurs songent à l’export mais ne savent pas comments’y prendre ou ne s’en donnent ni le temps ni les moyens.Dans le cadre du programme d’accompa gnement, nousleur apprenons à aborder de nouveaux marchés, à mettreen place les outils et les méthodologies nécessaires, touten leur évitant les faux pas et le gaspillage d’énergie. »

Un diagnostic et des préconisationsConçu sur une durée de 24 mois, le programmes’adresse à des entreprises bien ciblées. Certaines PMEont été détectées sur le terrain par les conseillers endéveloppement des entreprises de la CCIV, d’autres

se sont manifestées spontanément. La plupart n’ontpas ou peu d’expérience à l’export. Dans tous les cas,un premier échange d’une trentaine de minutes per-met d’évaluer la capacité, les besoins et la motivationdes candidats. Si les résultats sont concluants, un dia-gnostic approfondi est effectué par le conseiller inter-national, qui se déplace alors au sein de l’entrepriseet procède à une véritable radiographie de la société,depuis les ressources humaines jusqu’à l’organisa-tion financière, en passant par le marketing, la R&D,etc. « Les forces et les faiblesses de l’entreprise sont ana-lysées et les risques humains ou financiers exposés dansun rapport complet, explique Christelle Cadeau,conseiller international. Celui-ci propose aussi un pland’action avec des préconisations sur une hiérarchied’objectifs à atteindre et les moyens à mettre en œuvre. »Le diagnostic a été vécu comme un « choc salutaire »par Bruno Courtois : « J’avais des idées préconçuessur mon entreprise, certaines d’entre elles m’empê-chaient d’agir. J’ai pris conscience que mon projetexport était bien orienté mais que pour devenir viable,il lui manquait certaines ressources, en particulierhumaines. » Même son de cloche pour Vincent

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Un accès rapideà des partenairesindispensablespourl’international.

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Benoît, dirigeant d’ACB Engineering à Herblay, quise lance sur le marché chinois : « Le diagnostic per-met d’appuyer là où ça fait mal… Les contrats avecnos distributeurs chinois, par exemple, étaient malficelés. Cela venait du fait que j’étais un peu tropenclin à me placer de leur point de vue. Dans lesmilieux d’affaires chinois, il y a une tradi tion qui favo-rise l’engagement verbal plutôt que l’écrit. »Très appréciée aussi des entrepreneurs, la mise enplace d’un échéancier des actions à mener et des ren-contres à intervalles réguliers avec le conseiller inter-national, souligne Agnès Oliveau, responsable du Pôleinternational à la CCIV : « Au début, nous travaillonsavec eux pour leur montrer les réflexes à acquérir. Petità petit, ils prennent la main et avancent sur leur projetavec de plus en plus d’autonomie. C’est l’objectif visé. »Le champ des actions à mener peut être très large,depuis le lancement d’une étude de marché jusqu’aurecrutement de collaborateurs spécialisés. DominiqueSarrazin, directeur général de l’entreprise Stratos àCergy-Pontoise, a pris le problème à bras-le-corps enrecrutant un cadre spécialisé export et bientôt unjeune diplômé en commerce international. « Adap-ter mes ressources humaines a été la priorité et un inves-tissement pour le futur. Je vais enfin avoir la possibilitéde lancer des opérations de “phoning” et de visites surplusieurs pays européens », commente le chef d’en-tre prise qui espère des retombées importantes de sonplan d’action.

Accéder rapidement aux bonsinterlocuteursL’accompagnement personnalisé de la CCIV, c’estaussi un accès rapide à des partenaires indispensablestels que Ubifrance, la Coface, Oseo… ou des réseauxà l’étranger. « Nous avons été mis en relation avec uneconseillère de la Chambre de commerce et d’industriede Barcelone, raconte Béatrice Herrant, gérante deATS à Plaisir, avec elle, nous avons signé une conven-tion de coaching pour aborder le marché espagnol :elle va nous aider à cibler de futurs prospects et à peau-finer la présentation des activités de la société. »Quant à Vincent Benoît d’ACB Engineering, il a euaccès à des financements inespérés : « Nous avonsdépensé 75 000 euros en prospection, 50 000 euros ontété pris en charge par la Coface, 10 000 euros par desorganismes régionaux (AREX, CRITT, etc.) que nousn’aurions pas pensé à solliciter sans l’aide de la CCIV. »Enfin, les entrepreneurs bénéficient du parrainagedes conseillers du commerce extérieur, cadres de hautniveau qui ont tous l’expérience de l’international etapportent leurs connaissances géographiques etsectorielles aux entrepreneurs. Ils n’hésitent pas non

plus à ouvrir leur carnet d’adresses lorsque cela s’avèrenécessaire !« Le développement à l’export démultiplie par ailleurscertaines problématiques que le dirigeant doit mener defront (recrutement, locaux, informatique, adminis -tration, finance, gestion…) souligne Dominique Sar-razin. Grâce au conseiller en développement interna-tional, nous avons été mis en relation avec les autres

France Expo Maroc 2008du 12 au 15 novembre àCasablanca

Pavillon collectif au sein dupavillon francilienSalon multisectoriel depromotion de l’image et dusavoir faire de la FrancePossibilité de stand individuel àpartir de 9 m2, stand pépinièrede 3 m2, programmes de RDVpersonnalisés avec prospectspré-identifiés

Forum PME Brésildu 10 au 14 novembre à São Paulo, Rio + possibilitéd’extension dans une 3e ville

– Programme de RDVindividuels B to B avecprospects préalablementidentifiés– Séminaire sur le cadre des affaires au Brésil– Visites de sites industriels…

– Un entretien préalable avec le chef d’entreprise pourévaluer son projet

– Un diagnostic approfondi de l’entreprise– Un rapport de synthèse comprenant une

recommandation de plan d’action avec hiérarchisationet planification des actions à engager

– Un suivi individualisé et personnalisé par un conseillerinternational pendant la mise en œuvre du projet pendantune période de 24 mois

– Un parrainage de l’entreprise par un conseillerdu Commerce extérieur de la France

PROCHAINES MISSIONSET STANDS COLLECTIFS

LE PLAN D’ACTIONINTERNATIONAL EN 5 POINTS

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conseillers en développement de la CCI pour bénéficierd’un accompagnement sur ce type de problématique…»

Favoriser l’éclosion de nouveauxexportateursÀ ce jour, une trentaine d’entreprises ont déjà béné-ficié du plan d’action international de la CCIV. À par-tir de 2009, 50 entreprises nouvelles pourront bénéfi-cier du programme chaque année.« Cette montée en charge vise à répondre aux attentesde nombreuses entreprises à potentiel. Une conventionde partenariat, signée entre les Chambres de commerceet d’industrie d’Ile-de-France et Ubifrance le 8 sep-tembre dernier (dans la foulée d’un accord-cadre natio-nal) prévoit l’éclosion de 3 000 nouveaux exportateurs

en Ile-de-France d’ici à trois ans », souligne MichelJonquères. Outre ce programme d’accompagnement,la CCIV organise des actions ponctuelles : zoom surdes pays tels que le Brésil, la Chine ou la Russie à l’oc-casion des soirées de l’international, réunions thé-matiques sur les outils d’aide à l’export, missions deprospection en partenariat avec Ubifrance ou encoremise en place de stands collectifs lors de salons pro-fessionnels à l’étranger (voir encadré page 17).

Qui contacter :Agnès Oliveau, responsable Pôle international au 01 30 75 35 74

L’équipe des conseillers internationaux• Val-d’Oise : Christelle Cadeau au 01 30 75 63 40• Yvelines Sud : Isabelle Trouillet au 01 72 03 29 70• Yvelines Nord : Cécile Dabernat au 01 72 03 29 50

T oute substance mise sur le marché européen àplus d’une tonne par an doit faire l’objet d’unenregistrement par son fabricant ou importa-

teur auprès de l’Agence européenne des produits chimiques.Le principal objectif est d’inventorier les substanceschimiques afin d’assurer une meilleure gestion desrisques liés à leur production et à leur utilisation.

Des délais d’enregistrement (2010, 2013 ou 2018 selonle tonnage et la dangerosité) sont accordés aux sub-stances qui auront fait l’objet d’un préenregistrement.Attention ! Une substance non préenregistrée devraêtre directement enregistrée auprès de l’Agence euro-péenne. À défaut, sa mise sur le marché sera interdite.Ne pas rater la date limite de préenregistrement dessubstances : 1er décembre 2008.

Pour plus d’informations, contacts et outils :Réseau entreprise Europe de la CCIV au 01 72 03 29 65/67 [email protected]

REACH

DERNIÈRE LIGNE DROITEPOUR LE PRÉENREGISTREMENT !Le règlement européen (CE) n° 1907/2006 concernant l’enregistrement, l’évaluation,l’autorisation et la restriction des substances chimiques (REACH) est entré en vigueurle 1er juin 2007.

• Guides, FAQ, outils d’aidedisponibles sur les sites del’Agence européenne desproduits chimiques (ECHA) :www.echa.europa.eu etwww.reach.jrc.it• Actualités, guides et FAQen français sur le site duBureau d’assistance français

(BERPC) : www.reach-info.fr• Notamment en ligne surces sites : fiches sur lesobligations des fabricants,importateurs, distributeursou utilisateurs en aval de substances ; guides du préenregistrement et de l’enregistrement.

OÙ TROUVER L’INFORMATIONUTILE ?

Suite de l’article de la page 17…

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Rencontrer de nouveauxprospects etdiversifier sesmarchés.MIDEST 2008

LES ENTREPRISES DE LA FILIÈRE MÉCANIQUED’ILE-DE-FRANCE S’EXPOSENTPlus de 40 PME mécaniciennes exposeront en novembre leur savoir-fairesous le pavillon du Comité mécanique Ile-de-France.

Le Comité mécanique Ile-de-France mobilise,pour la première fois, plus de 40 PME mécani-ciennes pour participer au Midest 2008, au seind’un îlot spécifiquement dédié à la mécanique

et accueilli sur l’espace régional. Avec l’appui financierdu Conseil régional, pour qui le développement de lafilière mécanique francilienne est une priorité affir-mée, le Comité mécanique Ile-de-France va ainsi per-mettre à des PME et même des TPE, qui pour certainesd’entre elles n’avaient jamais participé à une telle mani-festation, d’acquérir une visibilité remarquable dansdes conditions financières négociées au plus juste.L’événement est d’importance. Le Midest, dont l’édi-tion 2008 se tiendra du 4 au 7 novembre prochain, esten effet un grand salon international exclusivementconsacré à la sous-traitance industrielle et où la méca-nique tient une place prépondérante aux côtés d’autressecteurs comme la plasturgie, l’électronique ou l’in-génierie. En 2007, 1 800 exposants issus de 33 pays ontpu y présenter et valoriser leurs réponses innovanteset efficaces aux représentants des donneurs d’ordres,fabricants, équipementiers, assembleurs, venus dumonde entier rechercher sur le salon des solutions etdes technologies compétitives. Outre les rencontresen face-à-face, la participation au salon offre égale-ment une vitrine sur un site Internet fréquemmentconsulté par ces mêmes donneurs d’ordres.

« Il faut participer »« Exposer sous le pavillon du Comité mécanique Ile-de-France offre plusieurs avantages, estime BrunoDidier, vice-président de la CCIV et dirigeant de lasociété Promofiltres, fabricant d’éléments filtrantsmécaniques sur plans à Sarcelles. D’abord, le Comité

mécanique Ile-de-France dispose d’une réelle notoriétéauprès des donneurs d’ordres que sont les grandsgroupes, ce qui n’est pas toujours le cas des petites entre-prises que nous sommes. Ensuite, sous pavillon com-mun, nous pouvons mutualiser nos moyens logistiques,nous entraider et, in fine, mobiliser moins de person-nel sur le salon. Enfin, le tarif raisonnable qui nous estproposé permet à tous de participer. »Cet important salon représente bien sûr l’opportu-nité de rencontrer de nouveaux prospects et de diver-sifier ses marchés. C’est aussi l’occasion pour les don-neurs d’ordres et leurs sous-traitants de faire le pointsur les évolutions de leurs marchés et de constituerdes réseaux relationnels. « C’est un peu le tour deFrance de sa clientèle en quatre jours, s’amuse BrunoDidier. La possibilité aussi de découvrir ce que fait laconcurrence. C’est au Midest que j’ai décroché, lorsd’une précédente édition, un gros contrat qui a repré-senté 15 % de mon chiffre d’affaires l’année sui-vante. Certaines petites entreprises hésitent, pourtantil faut participer et peu importe si l’on ne dispose qued’un stand modeste. »Le Comité mécanique Ile-de-France, dont les mis-sions sont de valoriser l’image de la mécanique, defavoriser les partenariats industriels et d’accompa-gner le développement des entreprises, démontre parcette initiative forte que ce regroupement de chefsd’entreprise est bien l’interlocuteur reconnu et légi-time pour fédérer les acteurs d’une filière, transversalepar définition.

Contact :Céline Verdier, coordinateur du Comité mécanique Ile-de-France,au 01 30 75 35 56 ou 06 21 05 43 41 ou [email protected]

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Le documentunique estobligatoire dèsle premiersalarié.

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RÉDUIRE LES RISQUES PROFESSIONNELS

UNE DÉMARCHE DE PROGRÈSLa CCIV propose aux entreprises de les accompagner pour évaluer et prévenir les risques professionnels, formaliser le «document unique» obligatoire et former les salariés à la sécurité.

L’ employeur est tenu de protéger la santé dessalariés sur leur lieu de travail. Sa respon-sabilité pénale et civile est d’ailleurs enga-gée en cas de manquements à ses obliga-

tions. Pour ce faire, il doit se conformer aux principesde prévention énumérés par le code du travail : com-battre les risques à la source, évaluer ceux qui ne peu-vent être évités, adapter postes de travail, équipe-ments, méthodes de production, tenir compte del’évolution des techniques et planifier la prévention,notamment en donnant des instructions appropriéesaux salariés. Le chef d’entreprise doit donc analyserles dangers ainsi que les facteurs de risques auxquelssont exposés les salariés et consigner les résultats decette évaluation dans un document unique, obliga-toire dès le premier salarié.

Si aucune forme n’est imposée, le document uniqueest supposé être transparent, lisible et fiable. « Beau-coup de PME ignorent encore que ce document doitcomporter un inventaire des risques identifiés pourchaque unité de travail. En outre, il doit être mis à jourau moins une fois par an mais aussi lorsque survientun accident et dès que la vie de l’entreprise est affectéepar des transformations relatives aux équipements,aux procédés de fabrication, aux locaux ou aux postesde travail », remarque Lucile Lallié, conseiller en sys-tèmes de management à la CCIV. Le défaut de pré-sentation du document unique ou de sa mise à jourest pénalement sanctionné et des amendes sont par-fois infligées. Et « en cas d’accident, certaines compa-gnies d’assurance exigent le document unique avanttoute indemnisation », précise Lucile Lallié.

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Prévention et évaluationPour accompagner les chefs d’entreprise dans leurpolitique de sécurité et de prévention des risques, laCCIV propose la démarche «Valid’Action Risques pro-fessionnels ». Un consultant, sélectionné pour sonexpérience en matière de sécurité et d’organisation,se rend dans l’entreprise, étudie son fonctionnement,évalue les moyens mis en place pour garantir la sécu-rité, s’assure du respect de la législation et identifie,pour chaque poste de travail, les risques associés, leurgravité et leur récurrence. Une fois son rapport rédigé,l’expert remet le document unique personnalisé à ladirection et commente le plan d’action préconisé pouraméliorer les conditions de travail et de sécurité.Une démarche similaire est proposée à l’occasion dela première actualisation annuelle du documentunique, laquelle valide les actions correctives actéesprécédemment, intègre les nouveaux processus etoutils de production et tient compte de l’actualisa-tion de la réglementation.À l’instar de 150 autres PME et TPE, la Société d’ex-ploitation du golf de l’île Fleurie à Carrières-sur-Seinea opté pour cet accompagnement. Son responsablequalité sécurité environnement, Guénola Dangin,souligne que la formalisation du document uniquelui est apparue un exercice difficile à réaliser eninterne. « Le consultant nous a apporté une aide pré-cieuse pour hiérarchiser les risques et mettre au pointun plan d’action cohérent s’inscrivant dans notre stra-tégie de prévention des risques », précise-t-elle.

Une offre exhaustive de formationssécuritéLe document unique fixe une liste de mesures àprendre au cours de l’année à venir. Celles-ci peuventconsister en un affichage plus clair des consignes, lerenouvellement d’équipements, l’aménagement despostes ou encore la sensibilisation des salariés à lasécurité routière. « Pour notre part, actions préven-tives et correctives se sont inscrites dans un projet derénovation des locaux. Nous avons amélioré l’ergono-mie de certains postes, déplacé la banque d’accueil parexemple. Nous avons aussi décidé de rédiger des pro-cédures relatives à l’utilisation des produits phytosa-nitaires nécessaires à l’entretien du terrain », poursuitGuénola Dangin.Information des salariés et formations à la sécuritésont bien souvent préconisées dans le documentunique. «Les entreprises optent en priorité pour les for-mations à caractère obligatoire, comme les stages sécu-rité incendie, afin de respecter un cadre réglementaireplutôt contraignant, détaille Bruno Pascal, respon-sable ingénierie formation continue à la CCIV. Mais

certaines vont au-delà de leurs obligations et propo-sent, par exemple, le stage sauveteur secouriste du tra-vail à l’ensemble du personnel. » À cet effet, le serviceformation continue de la CCIV offre aux entreprisesdes solutions pour l’ensemble des problématiquessécurité, depuis les formations réglementées jusqu’aumanagement de la sécurité.

Contacts :

• Diagnostic Valid’Action Risques professionnels : Lucile Lallié au 01 30 17 43 42 ou [email protected]

• Formations «Sécurité» : 0810078095 ou [email protected]

• Service assistance juridique: Claire Champotray au 01 30 75 35 31 ou [email protected]

ACCIDENTS DU TRAVAIL :35 MILLIONS DE JOURNÉESPERDUES !

En 2006, plus de 700 000 salariés ont été victimes d’un accident du travail et 537 décès ont été déplorés.Le BTP est le secteur d’activités où sont constatés les accidents les plus graves et les plus fréquents.Cependant, les employeurs prennent conscience de la notion de risque professionnel, ce qui a permis de faire baisser la courbe des accidents du travail,– 14 % en une décennie selon la Caisse nationaled’assurance-maladie des travailleurs salariés. En revanche, la tendance pour les maladiesprofessionnelles n’est pas satisfaisante, + 25 % par an depuis dix ans. Les 42 000 cas ont été, pour lapremière fois, atteints en 2006. Les troubles musculo-squelettiques représentent les 3/4 d’entre eux et les affections liées à l’amiante sont particulièrementinvalidantes. De nouveaux risques apparaissent. Le stress est ainsi devenu, depuis une quinzained’années, un problème majeur auquel les entreprisesdoivent faire face. Les accidents du travail, lesaccidents de trajet et les maladies professionnelles ont un coût élevé : 7 milliards d’euros versés aux victimes, 35 millions de journées de travailperdues chaque année. Et les conséquences sur lefonctionnement ne sont pas anodines : augmentationde l’absentéisme et du turnover, dégradation de laproductivité et du climat social.

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Stratégiesd’innovation: la CCIVaccompagne les entreprisestout au long de l’année.

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20 CONFÉRENCES

TOUT SAVOIR SUR L’INNOVATIONET L’INTELLIGENCE ÉCONOMIQUELes journées de l’innovation et de l’intelligence économique, qui se déroulent du 13 au 24 octobre, seront pour les PME-PMI une occasion unique de s’informer sur un ensemble de thématiques essentielles à la réussite d’une stratégie d’entreprise.

«Les PME de notre région sont conscientes deleurs besoins croissants en innovation et enintelligence économique. Mais l’exigence duquotidien, leurs moyens souvent contraints

et leur constante obsession du chiffre d’affaires face à laconcurrence ne leur permettent pas toujours d’utiliser cesressources pour devenir plus compétitives et gagner desparts de marché», estime Pierre Simon, président de laChambre régionale de commerce et d’industrie Paris-Ile-de-France (CRCI). Les CCI franciliennes ont donc,sous la coordination de la CRCI, entrepris d’organiser unévénement de dimension régionale où les chefs d’entre-prise recevront, en optimisant leur temps, une informa-tion complète et les réponses concrètes pour s’engagerdans une stratégie de compétitivité. Ils bénéficieront, eneffet, de l’intervention des meilleurs experts en la matièreau cours de 20conférences, réalisées en partenariat avecOséo Ile-de-France, soutenues par Enterprise EuropeNetwork* et placées sous le double parrainage de l’Étatet du Conseil régional d’Ile-de-France.

Maîtriser son environnementLes cinq conférences qui se tiendront dans les locauxde la CCIV, à Versailles et Pontoise, sont révélatricesde la richesse des questions relatives à l’innovation età l’intelligence économique. Le 14 octobre, il sera ainsiquestion de protection des logiciels, sujet complexedans notre pays où le brevet ne s’impose pas toujourscomme la solution idoine. Sera ensuite abordée la pro-blématique délicate du régime des inventions des sala-riés, soit la gratification de l’esprit d’innovation dansle respect des droits de l’entreprise. Ce même jour, unsecond atelier s’intéressera aux enjeux, méthodes etbonnes pratiques de veille technologique et concur-rentielle, ainsi qu’aux nouveaux outils de la recherched’information sur Internet dans un contexte où la maî-trise de son environnement réglementaire, technolo-gique et concurrentiel est devenue déterminante.L’assistance devrait être nombreuse, le 16 octobre, oùsera dressé un panorama complet des mécanismes definancement de l’innovation. Trouver un financement

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adapté est, il est vrai, une tâche ardue tant les aides finan-cières à l’innovation sont diverses, qu’elles soient régio-nales, nationales ou européennes. Le financement privéne sera pas oublié avec l’interven tion d’un business angelet d’un consultant expert. Un second atelier présentera,au travers d’exemples concrets, les outils disponibles ausein du réseau Entreprise Europe pour aider les entre-prises à valoriser leur savoir-faire, innover, gagner enparts de marché, en nouant des partenariats à l’échelleeuropéenne. Des spécialistes aborderont notammentles principes de négociation et les points de vigilanceindispensables pour aboutir à un accord performant.Le 21 octobre, enfin, seront évoquées trois questionsayant trait à l’intelligence économique :– la sécurisation des systèmes d’information ou

comment diffuser au sein de ses équipes de bonsréflexes et mettre en œuvre des solutions adaptéestrès accessibles,

– les précautions à prendre pour tirer le meilleur partide ses déplacements à l’étranger, minimiser lesrisques et adopter les attitudes adéquates,

– enfin, car nombreuses sont désormais les entre-prises amenées à travailler au sein d’un réseaucomme les pôles de compétitivité, des conseilssimples et concrets seront prodigués pour échan-ger avec ses partenaires en toute sécurité.

Centre de ressourcesTout au long de l’année, le pôle innovation et intelli-gence économique de la CCIV accompagne les entre-prises et les porteurs de projets qui souhaitent s’en-

gager dans une stratégie d’innovation. Par exemple, ilpropose des pré-recherches d’antériorité, qui per-mettent d’obtenir un premier éclairage sur la libertéd’exploitation de nouvelles inventions. Pour les entre-prises soucieuses de maîtriser leur environnementsont réalisées des prestations de veille alimentées àpartir de banques de données internationales. Parailleurs, à l’automne, sera signée une convention departenariat formalisant les relations entretenues avecl’Institut national de la propriété industrielle (INPI),qui assurera désormais des permanences régulièresdans les locaux de la CCIV. « Nous souhaitons ainsinous rapprocher au plus près des PME innovantes,explique Jean-Pierre Cardon, délégué régional del’INPI, car 40 % d’entre elles renoncent encore au bre-vet, bien souvent en raison d’idées préconçues. Or, l’in-novation en France doit être protégée comme elle l’estailleurs. » Pour atteindre cet objectif, l’INPI offre uneprestation gratuite, un pré-diagnostic de l’état deslieux des pratiques innovantes dans l’entrepriseassorti de préconisations concernant la stratégie deprotection de la propriété industrielle, l’indispensableveille ou la résolution de problèmes contractuels.

*Lancé en février 2008 par la Commission européenne, le réseauEntreprise Europe constitue le plus vaste réseau européen desoutien aux petites et moyennes entreprises en Europe, soit prèsde 600 organisations actives dans près de 40 pays.

Pour en savoir plus :Le programme complet des conférences sur le site www.j2ie.fr

Contact CCIV :Régine Castagnet au 01 30 75 35 84 ou [email protected]

LA PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE, UN OUTIL AU SERVICE DE L’INNOVATION

«Le brevet est une armeéconomique qui encouragel’innovation, affirme Jean-Pierre Cardon, déléguérégional de l’INPI. En effet, le brevet accorde unmonopole provisoire afinque l’innovateur exploite oufasse exploiter son produit etrécupère son investissementen recherche etdéveloppement.» Touteentreprise qui conçoit desinnovations technologiquesa donc besoin d’unestratégie de protection de lapropriété industrielle pour se

protéger des contrefacteurs.Toutefois, la plupart desinventions ne signifient pasrupture mais concernent des perfectionnements de procédés techniquesexistants. Un brevet permetde protéger une solutiontechnique à un problèmetechnique. Pour être brevetable, une invention doit :– être nouvelle, c’est-à-diren’avoir fait l’objet d’aucunepublication ou divulgationpréalable… alors soyezdiscret et gardez le secret ;

– impliquer une activitéinventive, c’est-à-direqu’elle ne doit pas découlerde manière évidente de latechnique connue par« l’homme du métier» ;– être susceptibled’application industrielle.La rédaction d’un brevet,document technique àportée juridique, est unexercice délicat car elleconditionne la solidité dubrevet, essentielle pourdéfendre ultérieurement ses droits ou négocier desaccords de licences. C’est

pourquoi, il est fortementrecommandé de confiercette étape à un Conseil enpropriété industrielle qui,outre la rédaction du brevetproprement dite, vous aideraà préciser votre stratégie dedéveloppement commercialet de propriété industrielle.

Pour toute informationcomplémentaire, notreéquipe de spécialistes est à votre service pour vousguider dans vos démarches,au 01 30 75 35 82 [email protected]

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24 BAROMÈTRE

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ROISSY :TOUJOURS PLUS HAUTL’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, dont le trafic a augmenté de 5,4 % en un an, passe de la 7e

à la 6e place au classement mondial2007, réalisé par Airport ConcilInternational. Roissy-CDG aaccueilli l’année dernière près de 60 millions de passagers.

NEUVILLE-SUR-OISE :« VAL-D’OISEINCUBATION » FÊTESON 1ER ANNIVERSAIRECréé en septembre 2007, au sein de la pépinière d’entreprises Accet-Neuvitec 95, l’incubateur « Val-d’Oise Incubation » accueillaitson premier projet. Un an plus tard, ce sont six « incubés » qui bénéficientdes services de la structure. De plus chaque créateur de projet est aidé dans ses réflexions et sesdécisions par un comité d’expertscomposé d’environ cinq personnesdont un dirigeant d’entreprise. Les membres des comités sont desreprésentants de la Chambre decommerce et d’industrie de VersaillesVal-d’Oise/Yvelines (CCIV), du Comitéd’expansion économique du Val-d’Oise(CEEVO), de Val-d’Oise BusinessAngels, l’ACCET Val-d’Oise…

Indice du coût de la construction(publié par l’Insee – base 100 en 1953)

1er trim. 2e trim. 3e trim. 4e trim.

1991 972 992 996 10021992 1 006 1 002 1 008 1 0051993 1 022 1 012 1 017 1 0161994 1 016 1 018 1 020 1 019

1995 1 011 1 023 1 024 1 0131996 1 038 1 029 1 030 1 0461997 1 047 1 060 1 067 1 0681998 1 058 1 058 1 057 1 0741999 1 071 1 074 1 080 1 065

2000 1 083 1 089 1 093 1 1272001 1 125 1 139 1 145 1 1402002 1 159 1 163 1 170 1 1722003 1 183 1 202 1 203 1 2142004 1 225 1 267 1 272 1 2692005 1 270 1 276 1 278 1 3322006 1 362 1 366 1 381 1 406

2007 1 385 1 435 1 443 1 4742008 1 497

EN CHIFFRES

Variation de l’indice du coût de la constructionTrimestre Sur 1 an Sur 3 ans

(révision)

2002 1er 3,02 % 8,22 %2e 2,11 % 8,29 %3e 2,18 % 8,33 %4e 2,81 % 10,05 %

2003 1er 2,07 % 9,23 %2e 3,35 % 10,38 %3e 2,82 % 10,06 %4e 3,58 % 7,72 %

2004 1er 3,55 % 8,89 %2e 5,40 % 11,24 %3e 5,73 % 11,09 %4e 4,53 % 11,31 %

2005 1er 3,67 % 9,58 %2e 0,71 % 9,72 %3e 0,47 % 9,23 %4e 4,96 % 13,65 %

2006 1er 7,24 % 15,13 %2e 7,05 % 13,64 %3e 8,06 % 14,80 %4e 5,56 % 15,82 %

2007 1er 1,69 % 13,06 %2e 5,05 % 13,26 %3e 4,49 % 13,44 %4e 4,84 % 16,15 %

2008 1er 8,09 % 17,87 %

Rappel : calcul d’un loyer commercial par la variation de l’indice Insee du coût de la construction :

Ancien loyer x nouvel indice = nouveau loyerancien indice

Évaluation kilométrique des frais de voiturePrix de revient kilométrique 2008Applicable pour la déclaration des revenus perçus en 2007

Puissance fiscale Jusqu’à De 5 001 à Au-delà de 5 000 km 20 000 km 20 000 km

3 CV et moins 0,376€ x d (0,225€ x d) + 758€ 0,263€ x d

4 CV 0,453€ x d (0,254€ x d) + 998€ 0,304€ x d

5 CV 0,498€ x d (0,278€ x d) + 1 100€ 0,333€ x d

6 CV 0,521€ x d (0,293€ x d) + 1 140€ 0,350€ x d

7 CV 0,545€ x d (0,309€ x d) + 1 180€ 0,368€ x d

8 CV 0,575€ x d (0,328€ x d) + 1 238€ 0,390€ x d

9 CV 0,590€ x d (0,342€ x d) + 1 240€ 0,404€ x d

10 CV 0,621€ x d (0,364€ x d) + 1 283€ 0,428€ x d

11 CV 0,633€ x d (0,381€ x d) + 1 260€ 0,444€ x d

12 CV 0,666€ x d (0,397€ x d) + 1 343€ 0,464€ x d

13 CV et plus 0,677€ x d (0,412€ x d) + 1 323€ 0,478€ x d

d = distance parcourue dans l’année 2007, à titre professionnel.

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SOCIAL

Intérêts des comptes courants d’associés(Taux maximum des intérêts déductibles pour les exercices de 12 mois)

Dates de clôture taux déductibles

À partir du 31/05/08 . . . . . . . . . .À partir du 30/06/08 . . . . . . . . . .À partir du 31/07/08 . . . . . . . . . .À partir du 31/08/08 . . . . . . . . . .

Taux d’intérêt légal : 3,99 % pour l’année 2008Taux REFI (ou REPO) : 4,25 % au 3 juillet 2008

5,62 %

5,62 %

5,63 %

5,58 %

2008

Janvier 776,8Février 780,6Mars 787,0

Plafond de la Sécurité sociale 2008Plafond annuel : . . . . . . . . . . .33 276 €Plafond trimestriel : . . . . . . . .8 319 €Plafond mensuel : . . . . . . . . . .2 773 €

SMICÀ compter du 1er juillet 2008 : SMIC horaire : 8,71 €

SMIC mensuel (entreprises employant plus de 20 salariés)

Horaire hebdo SMIC mensuel

35 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 321,05 €

36 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 368,20 €

37 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 415,36 €

38 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 462,62 €

39 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 509,77 €

40 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 556,93 €

41 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 604,19 €

42 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 651,34 €

43 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 698,50 €

44 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 755,22 €

Minimum garantiÀ compter du 1er juillet 2008 = 3,31 €

Régime complémentaire de retraite des cadresPlafond mensuel 2008

Tranche A . . . . . . . de 0 à 2 773 €Tranche B . . . . . . . de 2 773 à 11 092 €Tranche C . . . . . . . de 11 092 à 22 184 €

Indice national bt01

Taux d’usureLa réglementation de l’usure n’est plus applicable aux prêts consentis aux sociétés et aux entreprisesindividuelles.

1er trim. 2008 2e trim. 2008 3e trim. 2008

Découverts en compte 14,71 14,29 14,25

Crédit gratuit. 2e semestre 2008 : 6,81 %. Taux de base bancaire 2008 : 6,60 %

Sources : Service des affaires juridiques et consulaires de la CCIV.

Sur les 3 derniers mois

012008

022008

032008

790

780

770

760

750

Frais professionnelsLimite d’exonération de charges sociales et fiscales 2008Frais de nourritureSur le lieu de travail 5,50 €En cas de déplacement 16,40 € par repasHors locaux 8 €

Indemnités forfaitaires de grand déplacementNourriture 16,40 € par repasLogement région IDF 58,70 €Logement autres départements 43,50 €

Indemnités de grand déplacement

De 4 à 24 mois De 25 à 72 moisNourriture 13,90 € par repas Nourriture 11,50 € par repasLogement région IDF 49,90 € Logement région IDF 41,50 € par jourLogement autres départements 37 € Logement autres départements 30,50 € par jour

Indemnité logement et nourriture durée > 9 mois 65,20 € par jourIndemnité pour frais d’installationdans un nouveau logement limite de 1 305 € majorée de

108,80 € par enfant à chargedans la limite de 3 enfants

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Agir ensemblepour la pérennitéde la filièreautomobile.

Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

AUTOMOBILE

RENCONTRES DU 2e TYPEQuelles solutions face aux mutations économiques de la filière auto dans les Yvelines et le Val-d’Oise? En partenariat avec Mov’eo, le Ravy ouvre le débat lors de sesdeuxièmes rencontres territoriales. Rendez-vous le 4 décembre à l’Essec, à 14 heures.

Animé par la CCIV depuisjanvier 2005, le Ravy,Réseau automobile du Val-d’Oise et des

Yvelines, réunit les principauxacteurs de la filière automobilesur les départements du Val-d’Oise et des Yvelines, soit80 établissements (constructeurs,ingénierie, équipementiers, sous-traitants/fournisseurs etdistributeurs) représentant prèsde 35 000 emplois.Son objectif : être un lieu deréflexion et d’actions collectivesconcrètes pour la pérennité de lafilière automobile sur le territoire.

Rendez-vous le4 décembre à l’EssecÉvénement phare de son pland’actions, ces deuxièmesrencontres territoriales ont pourambition d’impliquer les PME-PMI et grands groupes de lafilière, les acteurs territoriaux et les élus locaux dans uneréflexion commune etconstructive à la mesure desévolutions techniques,économiques et sociales de lafilière. « Les rencontres du Ravy

sont une occasion unique deconcentrer efficacement et defaçon pragmatique les esprits et les imaginations afin deconstruire l’avenir d’une filièrequi aborde un tournantimportant dans son évolution.C’est pourquoi nous insistons surla présence de tous à cetévénement, institutionnels et éluslocaux, en plus des entreprises,quelle que soit leur taille », noteYves Fouchet, premier vice-président de la CCIV, président de la commission « appui auxentreprises ».

Au programmePendant plusieurs mois, lors de réunions de travail, les acteursdu réseau ont planché en amontsur différentes problématiques de la filière et émis un certainnombre de propositions quiseront débattues lors des troisateliers organisés à l’occasion deces rencontres territoriales :• «Quel avenir pour l’industrieautomobile dans les Yvelines et le Val-d’Oise? Implantation et prospérité du territoire» ;• «Construire, fabriquer et

recycler proprement: un atoutpour la compétitivité de la filièreautomobile du Val-d’Oise et des Yvelines» ;• « Les mutations automobiles et leurs impacts sur les métiers du futur ».Le fruit de cette réflexion et de cesdébats organisés le 4 décembrepermettra au Ravy de définir et de valider un plan d’actions pourles deux prochaines années.«L’objectif pour le territoire est sacompétitivité dans les différentesactivités de l’industrieautomobile», explique JacquesLacambre, président de Mov’eo,le pôle de compétitivité, dédié à l’automobile et aux transportscollectifs, sur les régions Basse-Normandie, Haute-Normandie etIle-de-France. «Complémentairesdans leurs organisations et leursplans d’actions, les deux acteurs de poids que sont le Ravy et Mov’eose devaient d’agir ensemble pour la pérennité de la filière.»

ContactCCIV :Estelle Duflot, animatrice du Ravy, au

01 30 75 35 43 ou [email protected]

26 ACTION TERRITORIALE & RÉSEAUX

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Pour savoir si le PLU de votrecommuned’implantationest en révision:contactez laCCIV.

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GEYVO : COMPÉTENCES EN TEMPS PARTAGÉ

PME, SAISISSEZ L’OPPORTUNITÉ !Deux salariés répartis entre neuf entreprises, six postes en attente de candidats.Après dix mois d’existence, le groupement d’employeurs Yvelines/Val-d’Oiseconfirme son utilité, et son succès.

C réé fin 2007, le Geyvo permet à des PMEd’intégrer des compétences nouvelles, indis-pensables pour leur développement, en les

partageant avec d’autres sociétés. Une façon depallier l’impossibilité de ces entreprises, dont lesbesoins se limitent parfois à quelques heures parsemaine, d’offrir de tels postes à temps plein.Lors de sa première assemblée générale, tenue àPoissy le 24 juin dernier, le groupement a fait lecompte : 18 entreprises adhérentes, deux salariés :un coordinateur environnement hygiène sécurité(cinq entreprises), une responsable RH (quatreentreprises) et six postes ouverts (un managerqualité, deux assistantes de gestion-comptabilité,deux assistantes commerciales, un acheteur defrais généraux).

« Tout va beaucoup plus vite avec le soutien des par-tenaires qui ont permis la mise en place rapide de cedispositif », tient à souligner Joël Sahler, son prési-dent, qui cite, en plus de la CCIV, le Conseil régionald’Ile-de-France, les directions départementales dutravail, de l’emploi et de la formation profession-nelle et la société EADS Développement.À cette occasion, l’extranet du Geyvo a égalementété lancé. Hébergé sur www.versailles-ecobiz.fr, ilpermet aujourd’hui aux entreprises tout à la fois dedéposer en ligne leurs besoins et de consulter lescompétences disponibles, les candidats pouvantde leur côté y déposer leur curriculum vitae. À faire,sans hésitation !

Contact : au 01 30 06 70 02

PLAN LOCAL D’URBANISME

GARDEZ L’ŒIL !Outil d’aménagement du territoire par excellence, le PLU conditionnel’implantation des activités économiques.La CCIV participe à son élaboration.

A utrefois appelé plan d’occupation des sols (POS),le plan local d’urbanisme (PLU)* planifie lesconstructions et implantations sur le territoire

d’une commune et en définit les règles. Avec ce docu-ment, la commune délimite notamment les terrainsdestinés aux entreprises, détermine les activitésqu’elle veut ou peut recevoir dans son périmètre,impose ses exigences en matière de construction, etc.Autant dire qu’un chef d’entreprise a tout intérêt à setenir informé des projets et des plans de sa commune,surtout s’il a vent d’une révision du PLU.En effet, le PLU ne porte pas seulement sur lesconstructions nouvelles et ne conditionne pas uni-quement la venue d’activités et la nature de cesactivités. Sont également concernés les projets

d’extension d’implantations existantes. De tels pro-jets peuvent très bien être remis en question dèslors que le PLU déclasse le terrain sur lequel l’entre-prise est installée ou projette de s’étendre.La CCI participe aux groupes de travail du PLU. À cetitre, il lui revient de défendre les intérêts et les besoinsdes entreprises et de s’en faire le porte-parole. Il estdonc important que les chefs d’entreprise concernésfassent valoir leurs intérêts auprès de la Chambre,particulièrement en cas de révision.Pour en savoir plus : www.plu.versailles.cci.fr

Contact : Jean-Philippe Porte, au 0624344125 ou

[email protected]

* Créé par la loi 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solida-

rité et au renouvellement urbains, dite loi SRU.

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28 JURI-INFOS

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EmbaucherLe contrat nouvelle embauche a disparu depuis le20 août. La forme normale d’un contrat de travail estle CDI (contrat à durée indéterminée). Le chef d’en-treprise peut toujours utiliser le CDD (contrat à duréedéterminée) dans les mêmes cas d’exception que pré-cédemment (remplacement d’un salarié, accroisse-ment temporaire d’activité…) auxquels la loi ajoute àtitre d’essai le CDD à objet défini, réservé aux ingé-nieurs et aux cadres. L’échéance du contrat est la réa-lisation de l’objet défini et sa durée minimale est de18 mois, 36 mois maximum. Ce contrat ne peut pasêtre renouvelé.Mais revenons aux principes qui gouvernent le CDI,notamment en matière de période d’essai. Celle-ciest désormais fixée par le code du travail à un maxi-mum de 2 mois pour les ouvriers et les employés,

3 mois pour les agents de maîtrise et les techniciens,4 mois pour les cadres.Cette période d’essai peut être renouvelée si un accordcollectif le prévoit mais seulement une fois, sans pou-voir dépasser au total 4, 6 ou 8 mois selon la catégoriede salarié. Lorsque vous embauchez un salarié, com-mencez par vérifier les dispositions de votre brancheprofessionnelle et mentionnez la durée de la périoded’essai et son éventuel renouvellement dans le contrat.En cas de rupture de cette période d’essai, vous devezprévenir le salarié 24 h à l’avance si celui-ci fait partiede l’effectif depuis moins de 8 jours, 48 h s’il est pré-sent depuis moins d’un mois, 2 semaines après 1 moisde présence et 1 mois après 3 mois de présence.Le salarié, lui, peut mettre fin à la période d’essaimoyennant un délai de prévenance de 48 h, ou 24 hs’il est dans l’entreprise depuis moins de 8 jours.

Contrat detravail, heuressupplémentaireset procédures de licenciement:du nouveaudans laréglementation.

EMPLOYEURS

ATTENTION,LES RÈGLES ONT CHANGÉ !Les lois du 25 juin 2008 et du 20 août 2008* apportent de nombreuses modificationsen matière d’embauche des salariés, en passant par l’organisation du temps de travailet la rupture de la relation salariale.

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Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

Organiser le temps de travailMême si la durée du travail reste fixée à 35 heures heb-domadaires, la détermination du contingent d’heuressupplémentaires pouvant être réalisées au-delà de ceseuil est désormais fixée par accord collectif ouconvention. En l’absence d’un tel accord le contin-gent devra respecter un maximum fixé par décret.Vous pouvez donc demander à vos salariés d’effec-tuer des heures supplémentaires dans la limite de cecontingent sans informer au préalable l’inspecteurdu travail comme auparavant. Pour les heures effec-tuées au-delà du contingent, une contrepartie enrepos est due et c’est à l’accord collectif d’en déter-miner les conditions. Ces heures supplémentairesdemeurent rémunérées de façon majorée (25 % pourles 8 premières heures supplémentaires et 50 % pourles heures suivantes), par contre le repos compensa-teur légal n’existe plus : la contrepartie obligatoire enrepos n’est prévue que pour les heures supplémen-taires effectuées au-delà du contingent annueld’heures supplémentaires. Pour les salariés au forfaitjours ou heures, c’est aussi un accord collectif qui enfixe les conditions (volume maximal 218 jours par an,rachat de jours de repos jusqu’à 235 jours travaillés…)

Rompre un contrat de travailRappelons que tout licenciement doit être justifié parune cause réelle et sérieuse. Et hormis la démission,rien n’était légalement prévu pour rompre un contratde travail sans risque de litiges.La rupture d’un contrat de travail par convention entreemployeur et salarié est désormais prévue par le codedu travail. Reposant bien sûr sur le consentement librede chacun, cette nouvelle procédure doit être homo-loguée par le directeur du travail, de l’emploi et de laformation professionnelle (DDTEFP) dont relève l’éta-blissement du salarié concerné. S’il justifie d’uneancienneté d’un an dans l’entreprise, le salarié pourrapercevoir une indemnité au moins égale à l’indem-nité légale de licenciement.À l’issue de la rupture, le salarié est admis au régimed’assurance chômage.La procédure s’ouvre sur un entretien au cours duquelchacun peut se faire assister par un tiers (représen-tant du personnel, autre salarié…). Mais attention,l’assistant d’une ou des parties ne peut pas être un

avocat et l’employeur ne peut se faire assister que sile salarié a choisi de l’être. La convention de ruptureest rédigée et signée manuscritement par les parties :elle doit comprendre leur identité, les éléments rela-tifs à leur libre consentement, l’ancienneté du sala-rié, la mention de ses 12 derniers salaires bruts, lesconditions de la tenue de l’entretien, l’identité desassistants, la signature de la convention, le montantde l’indemnité que recevra le salarié, la date envisa-gée de la rupture du contrat (celle-ci ne peut en aucuncas être antérieure au délai d’expiration d’instructionpar le DDTEFP).Chaque signataire dispose alors d’un délai de 15 jourscalendaires (sont comptés tous les jours de la semaine)pour dénoncer la convention. Passé ce délai, laconvention sera transmise pour homologation audirecteur du travail, de préférence par lettre recom-mandée avec avis de réception, accompagnée d’unimprimé spécifique (www.travail-solidarite.gouv.fr).Le directeur du travail dispose ensuite d’un délai de15 jours ouvrables (sont comptés tous les jours de lasemaine sauf dimanche et jours fériés) pour se pro-noncer sur l’homologation à compter de la réceptiondu dossier complet. Au-delà et sans notification d’unrefus, l’homologation est réputée acquise.Le contrat peut être rompu le lendemain du jour de lanotification de l’acceptation de l’homologation.En cas de rejet par le directeur du travail, le contratde travail n’est pas rompu et se poursuit. Tout litigelié à une rupture conventionnelle est du ressort duconseil des prud’hommes et l’action doit être enta-mée dans les 12 mois.Dernière étape de la séparation employeur-salarié : lesolde de tout compte. Celui-ci est libératoire pour l’em-ployeur si le salarié ne conteste pas les sommes men-tionnées dans le délai de 6 mois qui suit sa signature.En cas de licenciement, le salarié doit avoir uneancienneté d’un an pour prétendre aux indemnitésde licenciement. Et celles-ci sont calculées sur un tauxunique, quel que soit le motif du licenciement (éco-nomique ou personnel).

Contact : Agnès Noël au 01 30 84 79 01 ou

[email protected]

*Lois du 25 juin 2008 sur la modernisation du marché du travail et du

20 août 2008 sur la démocratie sociale et réforme du temps de travail.

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Achat / Logistique• Conduire une négociation d’achat : les 8, 16,

17 décembre à Poissy.• Maîtriser les techniques d’achat : les 2, 3,

15 décembre à Poissy.

Communication / Efficacitéprofessionnelle• Classez avec efficacité : le 17 décembre à Poissy.• Communication non verbale : les 25, 26 novembre

à Poissy.• De la prise de notes au compte rendu de réunion :

les 18, 19 décembre à Montigny.• Gérer les conflits : les 8, 9 décembre à Poissy.• Gérer son stress : les 8, 9, 15 décembre à Pontoise.• Organiser ses idées avec méthode : les 1er,

2 décembre à Poissy.• Prise de parole en public : les 1er, 2, 8 décembre

à Roissy PN2.

Comptabilité / Gestion / Finance /Fiscalité• Contrôle de gestion : Déterminer et maîtriser les

coûts les 1er, 2, 3 décembre à Pontoise et Gestionbudgétaire et tableaux de bord les 17, 18,19 décembre à Pontoise.

• Contrôle de gestion social le 10 décembre à Pontoise.• Élaboration de la liasse fiscale les 19, 20, 21 novembre

à Pontoise.• L’essentiel de la gestion les 2, 3, 11 décembre

à Pontoise.

Export / Commerce international• Documents d’accompagnement des marchandises

le 3 décembre à Roissy PN2.• Gestion d’une commande export les 15, 16,

17 décembre à Poissy.• Les incoterms le 22 octobre à Roissy PN2, le

12 novembre à Montigny.• Crédit documentaire : les 4, 5 décembre à Poissy.• Pratiques douanières : les 9, 10 décembre à Poissy.• Les paiements à l’international : le 9 décembre à

Roissy PN2.

Direction d’entreprise et management• Agir avec son intelligence émotionnelle : les 19, 20,

21 novembre à Pontoise.• Animer et diriger une équipe : les 8, 9, 19 décembre

à Pontoise.

• Conduire une réunion: les 8, 9 décembre à Montigny.• Élaborer un cahier des charges : le 6 novembre

à Roissy PN2.• Fondamentaux de la conduite de projet : les 10,

11 décembre à Montigny.• Management intergénérationnel : les 4, 5 décembre

à Montigny.• Management pour agent de maîtrise : les 25,

26 novembre et 10, 11, 12 décembre à Roissy PN2.

Gestion des ressources humaineset des compétences• Entretien professionnel et entretien d’évaluation :

les 19, 20 novembre à Montigny.• La gestion du personnel au quotidien : les 24,

25 novembre à Poissy.• L’essentiel du droit social : les 17, 18, 24 novembre

à Pontoise.• Mieux recruter : les 17, 18 novembre à Pontoise.

Qualité / Sécurité / Environnement• Audit qualité interne : les 17, 18 novembre à

Roissy PN2.• Gestes et postures : le 1er décembre à Poissy,

le 18 décembre à Pontoise.• Manager la sécurité : les 4, 5 décembre à Roissy PN2.• Pratique et fonctionnement du CHSCT : les 1er, 2,

3 décembre à Montigny, les 17, 18, 19 décembre à Roissy PN2.

• Sécurité incendie : le 27 novembre à Pontoise.

Vente / Relations clients / Téléphone• Accueillir des publics difficiles : les 27, 28 novembre

à Pontoise.• Maîtriser les techniques de vente : les 6, 7, 19,

26 novembre à Poissy.• Prospecter et vendre par téléphone : les 13,

14 novembre et 5 décembre à Pontoise.• Se perfectionner aux techniques de vente : les 13, 14,

28 novembre à Pontoise.

Vie pratique• Associations, bénévolat : mode d’emploi : les 17, 18,

27 novembre à Poissy.• Préparation à la retraite: les 4, 5 décembre à Montigny.

Renseignements et inscriptions :[email protected]

ZOOM SUR CERTAINES FORMATIONS À VENIR

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Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

M. / Mme / Mlle Fonction

Société Siret

Effectif Naf (Ape)

Adresse Ville

Code postal E-mail

Téléphone Fax

FORMATION 2009PLAN

Vous pouvez recevoir dès maintenant et gratuitement le Guide formation continue 2009, en retournant lecoupon ci-dessous.– par fax au 01 30 17 19 67 ou– par courrier à CCIV – DDEFC Domaine de Marcouville 2, rue des Pâtis 95300 PONTOISE.

L’offre formation de la CCIV, constamment renouvelée, couvre tous les métiers de l’entreprise. Nouspouvons également vous accompagner dans la mise en place et l’optimisation de votre plan de formation.

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La CCIVpropose unevingtaine deprogrammes de formation enmanagement.

L’ESSENTIEL32

Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

«B ien diriger nécessite le respect d’un certainnombre de règles et de processus. » PourBruno Pascal, responsable de l’ingénierie

formation à la CCIV, certaines compétences peuvents’avérer essentielles : « Souvent, les dirigeants des TPEont créé leur entreprise grâce à des connaissancestechniques ou scientifiques importantes. Cela nesignifie pas qu’ils maîtrisent les compétences de base enmatière commerciale, juridique, comptable ou deressources humaines. On l’a vu au début des années2000 avec les fameuses “start-up”. Seules les mieuxstructurées ont survécu. Le management est une notiontrès vaste. Cela va de questions purement juridiques ou

fiscales à la valorisation des collaborateurs, la gestiondes carrières… »La CCIV propose une vingtaine de programmes de for-mation au management, dispensés par une trentainede consultants-formateurs. « Les formations concer-nent des salariés qui ont déjà une expérience et qui sou-haitent se perfectionner sur un thème précis, expliqueBrigitte Perrad, conseillère en formation dans le Val-d’Oise, mais aussi des agents de maîtrise qui n’ontaucune expérience dans ce domaine. Bien souvent, cespersonnes ont gravi les échelons en interne au cours deleur carrière. Ils se voient confier la gestion d’équipes etont donc besoin d’outils pour les guider. »

Les formations proposées sedéroulent en interentreprises ouintra-entreprise. Les premières,proposées sur catalogue,s’adressent principalement auxpetites entreprises qui n’ontqu’une ou deux personnes àformer à la fois. Les sessions se déroulent sur 2 à 5 jours enmoyenne, à des dates fixes et surun des sites de formation de laCCIV. «Notre offre évolue enfonction des informations quiremontent du terrain, signaleBrigitte Perrad. Nous avons parexemple organisé des sessions sur la responsabilité pénale du dirigeant. En ce moment, on nous pose aussi beaucoup

de questions sur le managementintergénérationnel.»Pour les plus grandes structures,la Chambre met en place desformules sur mesure. Les thèmesde ces formations intra-entreprisesont définis en amont avec le chefd’entreprise ou le responsable de la formation. «Le conseiller en formation se déplace dansl’entreprise et élabore unprogramme en fonction de lademande, poursuit BrigittePerrad. Nous pouvons égalementfaire intervenir des consultantsindépendants. La durée de laformation varie selon les besoins.Les évaluations réalisées à la findes formations nous permettent

d’améliorer en permanence nosprestations. Nous proposons aussiun suivi post-formation en groupeou sous forme de coachingindividuel.»

Renseignements :Vous pouvez demander le catalogue deformation de la CCIV au 0810078095ou sur [email protected]. Vous pouvezégalement contacter directement lesconseillers formation de la CCIV.

Val-d’Oise :

– Pontoise, Bouchra Assaoui au 0130307140– Roissy, Brigitte Perrad au 0149381820

Yvelines :

– Poissy, Andréa Fallourd au 0130067000– Saint-Quentin-en-Yvelines, Sylvie Santos

au 0130488000

FORMATION CONTINUE

APPRENDRE À MANAGERFormation collective ou sur mesure? La CCIV a les réponses adaptées aux questionsque vous vous posez sur le management.

DES FORMATIONS SUR CATALOGUE OU SUR MESURE

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Accompagnercédants etrepreneurs toutau long de leurparcourscommun.

34 L’ESSENTIEL

Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

La démographie française est formelle. Un grandnombre de chefs d’entreprise vont devoir pas-ser la main dans les cinq années qui viennent.Cette phase délicate dans la vie d’une société

doit être bien préparée. « Nous constatons qu’il y a unvéritable manque d’anticipation, constate ChristophePerrot, conseiller transmission, cession, reprise à laCCIV. Les dirigeants connaissent bien leur activité,mais omettent trop souvent de se dégager de l’opéra-tionnel pour trouver une personne capable de les rem-placer. Beaucoup de cédants ont déjà dépassé l’âgeprévu de départ en retraite. De plus, en France, la cul-ture d’entreprise ne se partage pas en famille ou eninterne. Dans notre pays, 6 % seulement des entreprisessont transmises dans le cadre de la famille ou à un col-laborateur. C’est beaucoup moins que chez tous nosvoisins européens. »

Deux à trois ans pour se préparerClaude Basset, trésorier adjoint de la Chambre, aréussi à transmettre son cabinet d’expertise comp-table de Saint-Ouen-l’Aumône dans de bonnesconditions. « Mon frère, expert-comptable et com-missaire au compte, était déjà dans l’entreprise, ainsi

que mon fils. De plus, nous avons fait entrer un colla-borateur dans l’optique de mon départ, explique-t-il.D’une façon générale, une transmission prend dutemps. Cela ne se fait pas en trois mois. À mon avis, ilfaut entre deux et trois ans pour analyser les pointsforts et les points faibles de l’entreprise sur tous lesplans : stocks, clients, trésorerie, état des bâtiments…Tout doit être en bon ordre de marche. Il est tempsensuite de se préoccuper du profil du repreneur et des’assurer que son cursus est en adéquation avec l’en-treprise. Il doit connaître son cœur de métier, bien sûr,mais aussi savoir manager une équipe, faire attentionà la pyramide des âges dans l’entreprise. »Le cédant, lui, doit penser à la transmission elle-même, mais aussi à la suite. « Il doit envisager tous lesaspects, poursuit Claude Basset, les questions fami-liales, fiscales (plus-values, ISF, etc.). Une fois vendu,le produit de la vente de l’outil de travail rentre dans lepatrimoine à déclarer au titre de l’impôt de solidaritésur la fortune. C’est au cédant de proposer un prix pourson entreprise, en fonction de sa rentabilité… Il doitdonc être très entouré. Pour moi, les trois personnesindispensables pour le guider dans ses choix sont l’ex-pert-comptable, l’avocat et le notaire. »

TRANSMISSION D’ENTREPRISE

DES OUTILSPOUR FACILITER LA REPRISEUne bonne transmission d’entreprise ne s’improvise pas. La CCIV propose une séried’outils performants au service des cédants et des repreneurs.

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Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

Des outils pour informeret aider le cédantEn plus des questions qu’il doit résoudre lui-même,le cédant est de plus en plus confronté aux difficultésdes repreneurs pour obtenir des prêts bancaires. Lasolution passe souvent par le « crédit-vendeur », unaccord conclu entre le cédant et le repreneur pourque le paiement s’effectue sur une certaine durée.« La problématique de l’entreprise est territoriale, ana-lyse Christophe Perrot. Si on ne garde pas nos entre-prises, on perdra des emplois. La préoccupation prin-cipale de la CCIV est d’aider les entreprises à rester surplace et à se développer. » La Chambre a donc mis toute son expertise au servicedes cédants et des repreneurs. Elle a notamment déve-loppé une série d’outils pour accompagner les repre-neurs tout au long de leur parcours commun. «Cela com-mence par des demi-journées mensuelles d’informationen alternance à Versailles et à Pontoise, souligne Chris-tophe Ludovic, responsable du service création, cession,reprise d’entreprises à la CCIV. C’est une première étape.Au cours de ces sessions, le repreneur bénéficie d’uneinformation généraliste sur l’état du marché de la repriseen Val-d’Oise et dans les Yvelines. Nous lui présentons éga-lement la méthodologie à suivre pour une reprise réus-sie ainsi que l’offre de la Chambre. Quant aux cédants,nous les rencontrons tous au sein de leur entreprise quenous essayons de connaître au maximum, ce qui consti-tue une vraie valeur ajoutée pour un repreneur qui sol-licite des informations complémentaires aux bilans.»

Une formation pour mieux réussirsa repriseC’est, entre autres, par le biais de ces réunions queles repreneurs optent pour les formations de la CCIV.« Nous proposons deux formules de 5 et 16 jours,

détaille Christophe Ludovic. La première est uneremise à niveau des connaissances, une initiation à lareprise avec des intervenants extérieurs comme desexperts-comptables, des avocats. Cette formation s’ins-crit dans le cadre de l’opération “Passer le relais” (lireci-dessous). La formation de 16 jours s’adresse auxrepreneurs qui ont envie d’aller plus loin avec parfoisdes cibles bien identifiées. On est à la limite entre l’ap-profondissement et l’accompagnement à la reprise.Elle peut être subventionnée par la région via le pro-gramme Cap entreprise. »Encore plus complète, l’École des managers s’adresseaux repreneurs internes à l’entreprise. La formationse déroule sur 52 jours et devrait bientôt être homo-loguée par l’Éducation nationale comme un cursusuniversitaire. Pendant un an et demi, le repreneur vautiliser l’entreprise comme un terrain d’apprentis-sage. « C’est un produit qui existe au niveau national,rappelle Christophe Ludovic. Nous accueillons unedizaine de stagiaires au maximum et nous allons bien-tôt accueillir notre 5e promotion. Le contenu pédago-gique, de très haute qualité, comporte un socle com-mun et se décline ensuite à la carte en fonction despoints à améliorer dans l’entreprise. »

La transmission figure également en bonne placedans le contrat d’objectif signé au printemps dernierentre la CCIV et l’Essec. Celui-ci prévoit entre autresune chaire sur la création/reprise et une bourse auxrepreneurs.

Contacts:Christophe Perrot (journées d’informations et «Passer le relais»)

au 01 30 75 35 60 ou [email protected]

Philippe de Silans (École des managers, formations 5 et 16 jours)au 01 72 03 29 61 ou [email protected]

PASSER LE RELAIS

Un des outils de l’offre de la CCIV est communà toutes les Chambres consulaires d’Ile-de-France.« Passer le relais » regroupe une bourse d’opportunitésd’affaires, mais aussi des réunions d’information,des formations, des rendez-vous avec des experts.« Cédants et repreneurs potentiels s’inscrivent et ontaccès à une base de données qui est une des plusperformantes au niveau de la mise en relation, expliqueChristophe Perrot. Une fois qu’un repreneur a adhéré,il bénéficie du soutien d’un conseiller de la CCIV pour monter son dossier et cibler une entreprise. Le tout, bien sûr, dans la plus grande confidentialité. »www.passerlerelais.fr

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Un guichetunique pourfaciliter lesdémarchesdouanières.

36 L’ESSENTIEL

nement centralisé, dispense de garantie). Tout opéra-teur, et de fait toute entreprise, quelle que soit sa taille,peut demander à bénéficier du statut d’OEA (via leportail Pro-douane) sous réserve de se conformer àun certain nombre de critères : respect des législationsdouanière et fiscale, solvabilité financière, système degestion des écritures de transport permettant d’effec-tuer des contrôles douaniers, respect de normes desécurité et de sûreté.

Contacts CCIV : Pour ce qui concerne la réglementation

douanière : Réseau Entreprise Europe de la CCIV au

01 72 03 29 65/67 ou [email protected] ce qui concerne les formalités douanières à accomplir : Service des visas ou 01 30 84 79 76/75

Le courrier économique • N° 107 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

Face aux défis de la mondialisation, la douaneeuropéenne est engagée aujourd’hui dans uneprofonde mutation. En ce qui concerne plus par-ticulièrement les entreprises, le code des douanes

communautaire modernisé, publié au Journal officiel del’Union européenne le 4 juin 2008, introduit le principede guichet unique qui permet aux entreprises d’effec-tuer les déclarations de marchandises par voie électro-nique et d’acquitter leurs droits de douane à l’endroit deleur choix, quel que soit l’État membre à partir duquelces marchandises entreront ou sortiront de l’Unioneuropéenne, transiteront ou y seront consommées. Ceprincipe est rendu d’autant plus nécessaire avec lesnouvelles règles douanières communautaires relativesà la sécurité/sûreté qui entreront en vigueur à comp-ter du 1er juillet 2009. Dans le cadre de cette nouvelleréglementation, les entreprises devront transmettreélectroniquement à l’administration douanière, et demanière anticipée, une déclaration sommaire d’entréeet de sortie de leurs marchandises comprenant desdonnées jugées nécessaires à l’établissement d’uneanalyse du risque « sécuritaire ».

Un label qualité douanier pour facilitervos démarchesEn contrepartie des nouvelles contraintes de sécuritéqui pèseront sur les entreprises, le nouveau code aintroduit le statut d’opérateur économique agréé(OEA) entré en vigueur depuis le 1er janvier 2008. Cestatut d’OEA valable dans l’ensemble de l’Union euro-péenne permet de distinguer les opérateurs les plusfiables dans une logique de labellisation qualité.Le titulaire de ce statut bénéficie d’un traitement personnalisé et allégé côté contrôles et accède à desfacilités douanières (statut d’expéditeur agréé, dédoua-

DÉMATÉRIALISATION DESPROCÉDURES DOUANIÈRES EN FRANCE

Conformément au plan stratégique européen Electronic-customs (E-customs) qui prévoit la dématérialisationdes procédures douanières d’ici à 2013, chaque Étatmembre est en train de mettre en œuvre de nouveauxsystèmes informatiques douaniers.En France, le système Delta (dédouanement en ligne partraitement automatisé) est d’ores et déjà opérationnel etaccessible sur Pro-douane (www.pro.douane.gouv.fr), leportail internet de la douane destiné aux professionnels.

DOUANE EUROPÉENNE

VERS UNEDÉMATÉRIALISATION DES FORMALITÉSPlus de sécurité dans les échanges, de nouvellesdispositions pour simplifier les formalités desentreprises… L’Europe, qui célèbre cette année le 40e anniversaire de l’Union douanière, franchit une nouvelle étape.

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CREATEURRENCONTRES

DU

LES

5 jours pour entreprendreInitiation à la création d’entreprise*• Pontoise: du 3 au 7 novembre et du 15 au19 décembre 2008• Versailles : du 24 au 28 novembre 2008

2 jours pour tout savoirStage spécial café-hôtel-restaurant (CHR)• Versailles : les 1er et 2 décembre 2008.

17 jours pour réussirSéminaire de création et de direction d’entrepriseen partenariat avec le Conseil régional Ile-de-France (CRIF)• Pontoise: du 5 novembre au 17 décembre 2008

5 jours pour reprendreFormation spéciale repreneur dans le cadre du dispositif «Passer le relais».• Versailles : du 8 au 12 décembre 2008

16 jours pour reprendreFormation spéciale repreneur en partenariat avec le Conseil régional Ile-de-France (CRIF)• Versailles : du 24 novembre au 18 décembre 2008

Contact : [email protected] [email protected] ou au 01 72 03 29 62

Soirées de la création / reprised’entreprise• Versailles : le 14 octobre et le 2 décembre 2008• Pontoise: le 18 novembre 2008

Après-midi d’information• Versailles: les 13 et 27 novembre, 18 décembre 2008• Pontoise: 6 novembre, 4 et 18 décembre 2008

Contact : L’Espace Entreprendre • Val-d’Oise au 01 30 75 35 98 ou [email protected]• Yvelines au 01 30 84 73 90 ou [email protected]

Information spéciale repreneurs« Comment et pourquoi reprendre une PME-PMI? »• Versailles : le 21 novembre 2008• Pontoise: le 12 décembre 2008

Contact : Luce Aouad au 01 30 75 35 61 [email protected]

* Dans le cadre du réseau «CCI Entreprendre en France» et en

partenariat avec la Direction du commerce de l’artisanat des services

et des professions libérales (DCASPL).

EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE DES PROCÉDÉS INDUSTRIELS ET DES BÂTIMENTSCet atelier est le premier des quatre ateliers collectifsproposés par la CCIV dans le cadre des parcours thématiquessur la performance énergie dans l’industrie et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.Il se déroulera le mardi 18 novembre prochain, de 14 h à 18 h,dans les locaux de la CCI, à Versailles (salle Bamberger).

Contact : Pôle environnement au 01 30 84 79 67

PERMANENCES « PROPRIÉTÉINDUSTRIELLE »Organisées gratuitement par la CCIV en partenariat avec la Compagnie nationale des conseils en propriété industrielle(Cncpi) et l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi),elles permettent lors d’un entretien individuel de 45 minutesde s’informer sur les enjeux et les démarches de la propriétéindustrielle.Prochaines dates :• Versailles : les 29 octobre, 20 et 27 novembre, 10 et 18 décembre 2008• Pontoise : les 6 novembre et 4 décembre 2008

Inscription au 01 30 75 35 82 ou [email protected]

RÉUNIONS EXTÉRIEURESApéritifs contacts (CEEVO)Prochaines rencontres 2008 : « Le temps partagé : quels atoutspour les PME, quels acteurs, quelles méthodes, quelsrésultats ? », le 26 novembre 2008 ; « Réseaux d’entreprises :quels atouts pour les PME-PMI ? », le 17 décembre 2008.

Contact et inscription au 01 34 25 32 43 ou [email protected](inscription au plus tard une semaine avant la date)

Cafés contacts (Aéropôle Roissy CDG)Prochaines rencontres : « Comment vendre et valoriser sesproduits à l’étranger ? », le 26 novembre ; « Les contrats :nécessités et pièges à éviter », le 17 décembre.

Renseignements et inscriptions sur www.aeropole-roissy.com/rubrique « Cafés-Contacts » ou au 01 74 37 27 27

Les ateliers de l’AccetCes ateliers sont organisés par l’Association pour la créationde centres d’entreprises tertiaires (Accet) qui anime le réseaudes pépinières d’entreprises du Val-d’Oise. Ils proposentchaque mois, généralement le vendredi, de 8 h 30 à 10 h, de se pencher sur des thèmes intéressant les entreprises.Prochains ateliers à la pépinière le 14 novembre, à Accet-Neuvitec, sur le thème « Les mesures fiscales en faveur desentreprises innovantes », et le 5 décembre, à Accet-Sannois,sur le thème « Optimiser vos méthodes de vente ».

Contact Accet, Jean-Claude Celectin au 01 34 10 97 97 [email protected]

La Chambre decommerce etd’industrie deVersailles Val-d’Oise/Yvelinesaccompagne les créateurs et repreneursd’entreprise surl’ensemble deleur parcours.Rencontresd’information,formationscourtes(initiation) ou plusapprofondies(longues), cesinterventionsconstituent labase de travailpour tous lesporteurs deprojet.

Le courrier économique • N° 110 octobre 2008 • www.versailles.cci.fr

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