laGazettedufoyer n°13

laGazetteduFoyerJuin 2012 n° 12

La revue du Foyer Résidence Tolosane - CCAS Ramonville St-Agne

Un jeudi dans l’Aude

Moulin de Mas Saintes Puelles.

La Rumeur

Les Jeux Olympiques

Foyer Résidence Tolosane83 ter Avenue Tolosane31520 Ramonville St-Agne

SommaireUn jeudi dans l’Aude

Page. 3, 4 et 5

Les vendanges, et le vin

Page. 4

La Rumeur

Page. 6

Donner er Recevoir

Collage

Page. 7

Les jeux Olympiques

Pages. 8 et 9

La musique

Des éléphants trompés

Page. 9

Programme Fête d’été

2012

Pages. 10

Les échos des Fontenelles

Page. 11

Jeux et Passe temps

Page. 12L’équipe de rédaction

Renée BEAUDONYvonne SOULETDenise DUCOS

Giorgina CHASTELPierre FERAUT

Suzanne DUPRATAndrée VAISSIE

2. La gazette du foyer

CANICULEles recommandations en cas des fortes chaleurs

BUVEZ DE L’EAUfréquemment etabondamment(1,5 litres par jour mêmesi vous n’avez pas soif)1

2ÉVITEZ DE SORTIRaux heures les plus chaudes et de pratiquer une activité physique, maintenez votre logement frais(fermez portes et volets la journée, ouvrez-les le soir ou la nuit s’il fait plus frais, en RDC vous pouvez ouvrir les fenêtres la nuit tout en gardant le volet fermé)

RAFRAÎCHISSEZ-VOUSET MOUILLEZ-VOUSle corps plusieurs fois par jour(douches, bains, brumisateur ou gant de toilette mouillé, sans vous sécher)

34 PASSEZ SI POSSIBLE 2

À 3 HEURES PAR JOURdans un endroit frais et climatisé(bibliothèque, salle restaurant...)

La gazette du foyer. 3

Un jeudi dans l’Aude

Le jeudi 24 du mois dernier,trois résidentes du foyer Tolosane, dont moi même, avons participé avec « Couleurs et rencontres », le centre social d’animation de Ramonville, à une journée organisée par Madame Jamet (professeur au centre culturel) et ayant pour thème ‘’La Poterie’’.

Accompagnées de Méledi et Fernando, nous partons tous ensemble vers le village de Mas Saintes Puelles, dans l’Aude, où nous attendent dans leur atelier les frères Not.

La poterie et le canal, d’un siècle plus vieux, font bon voisinage depuis près de deux cents

ans. Ils ont traversé les ans au rythme des saisons comme des miraculés de l’appétit destructeur des hommes. La grande céramique du secteur, la poterie Bouat, a fermé ses portes en 1994. Ainsi, la petite poterie Not fait-elle aujourd’hui figure d’espèce en voie de disparition et résiste tant bien que mal aux intempéries de la consommation et de l’évolution des techniques et des mentalités.

Mais comment fait-elle? «On s’est maintenu parce que c’est familial», telle est la réponse. Et c’est vrai que depuis sa fondation en 1830, par le sieur Perrutel, plusieurs familles s’y succédèrent jusqu’à aujourd’hui avec les frères Not, qui anciens ouvriers, rachetèrent l’affaire.

Ainsi chevauche-t-on les tours en famille. Aimé est à la retraite, mais il n’arrive pas à se séparer de son travail, il est vrai qu’il fait des pots depuis son plus jeune âge et que l’argile, ça vous colle à la peau et ça vous passe aussi dans le sang. «Laisse faire le potier car il sait ce qu’il doit faire» et c’est vrai qu’ils le savent, de père en fils.

Dans l’atelier tout est harmonie, pas la peine de se perdre dans de grandes discussions, la seule musique, ce sont les bruits du travail et le silence entre ces bruits. Il y a dans ces quatre potiers une certaine gravité, un sérieux dû à la concentration permanente.

A force de centrer l’argile sur la girelle de métal, (la girelle est le plateau tournant où le

potier façonne la terre), avec puissance et souplesse, la forme s’emplit de densité, de grâce et d’humanité. De la même manière que l’on respecte et honore un patrimoine, il y a chez les potiers du Mas-Saintes-Puelles une attitude qui fait d’eux les légataires d’une pratique et d’un savoir-faire mais aussi les témoins actifs et engagés dans la défense de ce

qui est leur vérité, leur travail, leur vie d’hommes libres, leur fierté d’affirmer leur différence dans un monde qui a basculé, qui n’a plus de repères solides, un monde qui les dévore tous les jours un peu plus. Chez les Not on vous accueille chaleureusement.

Parlons maintenant cuisson, elle durera 36 heures après un

préchauffage de 6 heures. On utilisera des bois légers tel que le pin. Il n’y a qu’un seul alandier (foyer d’un four de céramiste) ce four est toujours le même depuis 1830, une dizaine de m² au sol pour 2 mètres de hauteur. Après cuisson on n’accélère jamais le refroidissement qui dure une quinzaine de jours Robert nous explique: «il faut monter à 1000 degrés, et c’est à la couleur qu’on sait vraiment où en est la cuisson».

Autant l’enfournement a été long et précis, autant la sortie des produits est rapide. La porte descellée, c’est un éclat de couleur général puis, un après l’autre, les pots sont alignés par modèles sur l’herbe du canal. Et de voir toutes ces formes allongées en plein air, on se dit qu’elles complètent si bien la nature et donnent raison au potier tenace et modeste, sûr de son art. Des formes sont inchangées et remontent à des époques très anciennes. Il y a les terrines ou cassoles, les cruches à eau, les culs pointus, les pots à graisse, les grands vases pour les lauriers, ramassés avec deux anses et un pied ou bien élancés évoquant les orangeries des riches demeures. Il y a aussi l’angine, cet ancien pot de chambre, le godron, vase avec un ornement saillant, le cruchon des voisins catalans et une série de vases de jardin progressant par cinq centimètres.

Une des plus belles est sans doute la grésale ou grasale, grand récipient évasé à oreillettes, dans laquelle on pétrissait la saucisse ou la pâte et qui servait de bassine en des temps où le métal et le plastique n’étaient pas omniprésents;



entre le mot Graal et le mot graisse, la grasale était indispensable à la cuisine du sacro saint cochon. La fabrication du plat à cassoulet en terre réfractaire a été mise au point par la poterie Not, qui introduisit ainsi à Castelnaudary une technique jusque-là propre au village voisin d’Issel et de Saint-Papoul, aux terres alumineuses. La poterie Not à la demande d’un charcutier Toulousain, a créé récemment une forme plus ample, en terre réfractaire, mais entièrement vernissée jaune paille. De même est apparu un très beau vire-omelette, à la glaçure marbrée, jusque-là inconnu en Lauraguais.

Après notre pause repas, au pied du seuil de Naurouze, et de quelques instants de repos, nous repartons vers le village pour boire un café. Nous apprenons en parlant avec la serveuse que deux moulins se trouvent sur la colline près du village. Ni une ni deux, nous voilà repartis en minibus pour un bout de chemin et le reste

à pied. A mi-chemin nous nous arrêtons pour visiter un petit musée sur la poterie et tout ce que l’on peut faire avec de la terre. Nous arrivons enfin au bas des moulins, dont je vais vous raconter l’histoire.

Au siècle dernier, la commune possédait pas moins de six moulins fariniers. Ils étaient tous perchés deux par deux sur les hauteurs du village et sur les fameuses collines du vent. Restaurés extérieurement il y a quelques années, les deux moulins dits «de Laffon» campaient depuis fièrement sur leur colline. Hélas la tempête des 7 et 8 Mai 2011 a mis à bas les ailes de l’un deux et déparé le site. Grâce à l’indemnité de l’assurance, ce moulin a retrouvé ses ailes pour le plus grand plaisir des Massogiens et des visiteurs qui, par beau temps, et ce fut notre cas, sont assez nombreux à grimper le «rampaillou».

Cette montée très raide qui conduit aux moulins, nous offrit une vue magnifique sur

Castelnaudary, une partie du Lauraguais et de la montagne Noire jusqu’au Pic de Nore. Je ne peux m’empêcher de vous donner quelques renseignements sur le seuil de Naurouze. C’est un seuil géographique de 189 mètres d’altitude Sud-ouest de la France situé à la frontière du département de la Haute-Garonne et du département de l’Aude sur la ligne du partage des eaux entre l’Atlantique et la Méditerranée et il est le point le plus élevé du canal du Midi.

Après avoir quitté les moulins, nous repartons vers Ramonville, nous nous arrêtons en route pour faire quelques achats, dans une autre poterie, industrielle celle-là. Retour à l’heure prévue et très heureuses de notre journée.

Ce jour-là, nous avons eu du pot ! (au sens propre comme au sens figuré).

D. D.

Certes la langue française apporte des nuances dans la définition de ces trois termes: le délateur étant la personne qui dénonce pour des motifs indignes, le calomniateur, celui qui par des accusations mensongères attaque la réputation et l’honneur de quelqu’un, le médisant disant le mal qu’il sait ou croit savoir sur autrui ou révélant ses défauts avec l’intention de lui nuire. Ces légères distinctions étant faites, ces trois catégories d’individus méritent la réprobation générale, pour le danger qu’ils font courir aux personnes et au corps social, pour leur hypocrisie, enfin pour les motifs qui les poussent. Ce sont des personnes dangereuses car leurs accusations risquent de nuire gravement à la personne ou à personnes visées, que ce soit dans leur vie professionnelle, familiale ou intime. Combien d’individus ont été détruits par des rumeurs plus ou moins fausses que l’on a fait courir sur eux! Car la rumeur est comme une plante : à partir du moment où elle a été semée, elle grandit, se développe, comme l’affirme le personnage de Basile dans la pièce de Beaumarchais, «le barbier de Séville» à propos de la calomnie. «D’abord un bruit léger murmure et file et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille et vous le glisse en l’oreille le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine rinforzando de bouche en bouche; puis, tout à coup, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s’enfler grandir à vue d’œil. Qui diable y résisterait « Ces propos révélant bien le danger de ce fléau pour l’individu victime, pouvant même le pousser au suicide. Ainsi il y a quelques mois, une jeune fille profondément perturbée par les ragots colportés sur elle par des internautes s’est donné la mort. Rappelons que le suicide en 1936 du

maire de Lille, Salengro, calomnié par les milieux d’extrême droite, l’accusant de désertion en 1915. Il fut reconnu non coupable, mais profondément affecté se tua. De plus la calomnie et la médisance sont aussi une menace pour la vie en société, en collectivité. Quand commence à se répandre des rumeurs, dont on ignore l’auteur ou les auteurs, la méfiance, le soupçon s’installent et sont une menace pour la cohésion du groupe et sa bonne entente. Ceux qui médisent, calomnient, méritent aussi d’être dénoncés pour leur hypocrisie. Ils

poignardent dans le dos la victime, se dissimulent derrière la rumeur qu’ils ont créée, d i s p a r a i s s a n t dans l’anonymat, car si la rumeur c o m m e n c e parfois par «un tel m’a dit que» elle devient vite impersonnelle «on dit que» enrichie au passage par certain, soucieux d’apporter leur, c o n t r i b u t i o n , leur marque

de fabrique. Le monde des calomniateurs et autres débiteurs est, aussi, méprisable par les motivations qui l’inspirent et qui sont diverses: le profit, l’intérêt matériel (récompense, élimination d’un concurrent), la jalousie (certains ne peuvent supporter que d’autres réussissent mieux qu’eux), la rancœur et le dépit « si vous entendez une femme médire de l’amour et un homme de lettres déprécier la considération publique, dites de l’une que ses charmes passent, de l’autre que son talent se perd « écrivait Diderot. N’oublions pas, parmi les causes, la perversité, le désir gratuit de nuire, un sadisme psychique, comme il existe un sadisme physique. Il est vrai que derrière les mots «délateur», «médisant», «calomniateur», se détache une face bien sombre de la nature humaine. P.F.


La Rumeur


Donner et Recevoir

J’ai longtemps cru que la solitude était un problème de vieux, mais je réalise qu’en réalité elle accompagne toute personne de la vie à la mort. Ce qui est difficile à vivre c’est l’isolement, la mise à l’écart. Or, je constate que les générations sont cloisonnées. Chacun a son

langage, ses codes, et chacune pratique l’exclusion. Au milieu d’une réunion on ne vient pas vous demander ce que vous faites, ce que vous allez faire; de fait on n’intéresse plus personne. De mon côté, j’essaie de mettre en valeur ce qu’il y a de beau dans la personne que

je rencontre... Mais parfois, j’ai l’impression que c’est à sens unique. Ce sont toujours les mêmes qui font un pas vers les autres; qui donnent. Pourquoi? Vous allez me dire qu’il faut savoir recevoir.

S.D.

Collage

Vous connaissez déjà notre atelier collage. Nous y participons avec assiduité, car Béatrice a toujours beaucoup d’idées. En ce moment, nous travaillons sur les « femmes

du monde « pour faire une exposition de nos «chefs-d’œuvre», lors de la fête du foyer. Nous espérons que ces tableaux vous plairont.

G C


Les Jeux Olympiques

Cette année 2012 est une année olympique. Comme vous le savez, ces jeux se dérouleront à Londres. Car nous eûmes la malchance de ne pas être élus pour organiser cette grande manifestation du sport mondial. Du 19 juillet au 15 août 1980, j’ai enfin réalisé le rêve de ma vie. Après avoir vu les éditions précédentes des jeux olympiques à la télé, j’allais les voir de mes yeux, les entendre, et admirer toute cette jeunesse. Mon propos ici n’est pas de vous raconter tout ce que j’ai vu (il faudrait plusieurs gazettes) mais je vais vous apprendre- si vous ne les connaissez pas- ou vous remémorer, les trois symboles olympiques très importants pour les jeux.

La devise olympique La devise des jeux olympiques modernes, est composée de trois mots latins «Citius, Altius, Fortius» qui signifient « Plus

vite, plus haut, plus fort». Cette m a x i m e à été p r o p o s é e par le

baron Pierre de Coubertin, à la création du comité international olympique en 1894 à la Sorbonne. La paternité de l’expression revient à Henri Didon, prêtre dominicain qui en 1891, alors qu’il était proviseur au lycée Albert le Grand, exhorte ses élèves à cultiver leur jeunesse dans la pratique sportive. Les deux hommes devinrent très amis. Le prêtre était présent à Athènes aux jeux olympiques d’été de 1896 à la tête d’une délégation d’élèves où il célébra la première messe olympique de l’histoire devant 4000 personnes. Il faut rapprocher la devise olympique de cette autre phrase «L’essentiel n’est pas

de gagner, mais de participer» reprise à son compte par le baron Pierre de Coubertin.

Le drapeau olympique.Les cinq anneaux entrelacés représentent les cinq continents unis par l’olympisme, et les six couleurs (en comptant le blanc en arrière plan) représentent toutes les nations, car au moins l’une de ces couleurs était présente dans le drapeau de chaque pays, du moins, à sa création en 1896. Ainsi, ce drapeau est le symbole de l’universalité de l’esprit olympique. L’interprétation courante est associée à chaque couleur des anneaux est, le bleu représenterait l’Europe; le noir l’Afrique; le jaune l’Asie; le rouge l’Amérique et le vert l’Océanie. Cependant, le musée olympique indique explicitement qu’il est faux de croire que les couleurs utilisées pour la représentation des anneaux soient associées à un continent particulier. Durant la cérémonie d’ouverture, le drapeau fait son entrée dans le stade, porté horizontalement par des athlètes, avant d’être hissé à un mât. Comme la flamme olympique qui brûle durant toute la durée des jeux, le drapeau flotte dans le stade jusqu’à la cérémonie de clôture, au cours de laquelle il est abaissé et remis au maire de la ville organisatrice des jeux suivants (en l’occurrence une ville du Brésil).

La flamme olympique.La flamme olympique est un symbole qui nous vient des jeux olympiques de l’antiquité au cours desquels une flamme sacrée brûlait en permanence

sur l’autel de Zeus. La flamme a été allumée pour la première fois aux jeux de la IXe olympiade en 1928 à Amsterdam, et à la Xe olympiade en 1932 à Los Angeles. En 1936 il a été proposé d’allumer la flamme en ancienne Olympie et de la transporter jusqu’a Berlin (XIe olympiade) via un relais du flambeau traditionnel qui se perpétue depuis lors. La flamme est allumée dans l’antique stade olympique à Olympie, dans la région grecque du Péloponnèse, au cours d’une cérémonie, par des femmes vêtues de tuniques similaires à celles portées par les grecs de l’antiquité. La flamme est allumée naturellement par les rayons du soleil à Olympe, réfléchis à l’aide d’un miroir parabolique, et la grande prêtresse remet ensuite le flambeau au premier relayeur.

En 1980, la mascotte officielle était l’ours Misha. Elle fut

imaginée par un auteur de livres pour enfants.

Le défilé est traditionnellement ouvert par la délégation grecque et le pays qui accueille les jeux ferme la marche.

Les langues en usage pendant les jeux, sont dans cet ordre: le français, en mémoire du baron Pierre de Coubertin et l’anglais, qui est la langue locale.

L’anglais est privilégié dans les discours des cérémonies d’ouverture et de clôture. C’est pourtant, bien en français, que débute la cérémonie de remise des médailles, comme le prévoit le protocole olympique.

L’extinction de la flamme olympique marque la fin de la parenthèse olympique.

Les jeux paralympiques se dérouleront à Londres du 29 Août au 9 septembre 2012.

D D


La musique

« La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent. »

Pablo CasalsMusicien espagnol

Des éléphants trompés

Les éléphants ont extrêmement peur des abeilles. Ce constat a donné l’idée à des fermiers africains de protéger leurs récoltes grâce à un dispositif ingénieux: des ruches sont installées sur des poteaux et reliées entre elles. L’arrivée d’un éléphant exerce une pression sur le fil qui met les abeilles en alerte et les éléphants en fuite.

Article du journal Humain & Terre


du 19 au 23 Juin 2012

FÊTE D’ÉTÉ DUFOYER RÉSIDENCE TOLOSANE

Samedi 23 Juin 2012KERMESSEdu Foyer Résidence Tolosane

MenuApéritif

offert par la municipalité~~~~~~

Brochettes et Terrinesdu Pêcheur~~~~~~

Farandole Charcutièreet son

Défilé de Fraîcheur~~~~~~

Trio du Maraîcher Coloré~~~~~~

Chèvre à cheval~~~~~~

Ribambelle du Pâtissier~~~~~~Blanquette

~~~~~~Vin et Café

CHAMBOULETOUT

AUBOUTDUFIL

TIR D’EAU

Animation musicale:

Le Moulin à Paroles

Orgue de Barbarie

Accordéon

Jouez et gagnez des cadeaux!...

SURPRISES SUCRÉES

12 H

MARDI 19 MERCREDI 20 JEUDI 21 VENDREDI 2214 heures 30Salle Restaurant

L’association «Mille et une découvertes» vous permet de découvrir les monuments célèbres dans le monde à travers de magnifiques photos et des commentaires.

Nous reconnaissons aisément la Tour de Pise, la Grande Muraille de Chine, le Machu Picchu mais savons-nous dans quel pays ils sont situés ? de quelle période ils datent ?

Des lieux à redécouvrir pour le plaisir des yeux…

15 heuresSalle Cheminée

Les membres de la compagnie«Le Boustrophédon»

nous rendent viste pour partager le goûter et passer un moment jovial et convivial.

Une surprise attend les participants du spectacle, «Camelia et son Pianiste»

15 heuresSalle Restaurant

9 heures 30Rendez-vous à l’accueil pour une

Sortie repas croisière

Au programme:

« Belle Ville »,

« Croisière été canal »

Repas avec:apéritif, entrée,

plat, dessert,

vin et café

« Croisière été Garonne »

Cout réel: 35€Participation: 20€

Retour au foyer vers 17 heures 30

LOTOdu

FOYER

De beaux lots à

gagner...

Venez

nombreux!!!

1 carton = 2€3 cartons = 5€

PROGRAMME DE LA SEMAINE - FÊTE D’ÉTÉ 2012

Fête de l’EHPAD


La sortie du dimanche

La fiesta, la fiesta eut lieu le 2 juin. Et quelle fête !La journée a commencé le matin avec une

promenade sur les hauteurs de Ramonville organisée par l’Amicale.A midi, tout était prêt. A ce moment-là, le Maire et les notables ont fait leur discours.

Puis est venu le moment du repas ; celui-ci

a débuté par un petit apéritif au

choix : punch ou muscat, suivi du repas : une copieuse paella, suivi du fromage et dessert.

L’après-midi s’est prolongée par un spectacle de danses brésiliennes, bien apprécié des résidents et des invités.La fête s’est terminée par un karaoké improvisé par les soignants.

Il y eut une bonne ambiance, à refaire ! D’ailleurs nous y réfléchissons !! …

En ce dimanche de Pentecôte, nous avons sorti le minibus: direction l’Eglise St Jean à Ramonville. La messe fut appréciée dans cette belle église moderne. (petit bémol: le crucifix en a surpris certains).L’organiste, de surcroît aveugle, en a épaté plus d’un par son talent. Pas le temps de la digestion, direction le zoo de Plaisance du Touch. Une visite fort agréable, en deux temps : un tour en voiture dans une partie du parc; et une visite pédestre dans le village.Malgré une forte chaleur, nous avons pu apprécier la faune et la flore. Quelques animaux tels que des gnous, autruches,

gazelles, zèbres et lions dans la première partie.Dans le village, en 2ème partie, nous avons pu voir entre autres fauves, boas, singes, loups, panthères, hippopotame,

oiseaux exotiques,etc.La journée fut bien apprécié de tous ; et croyez nous, nous avons dormi comme des bébés !!


MOTS FLÉCHÉS

Infos Énigmes de chiffres

Par quelle opération est-il possible d’obtenir le chiffre 100 en utilisant 5 fois le chiffre 5?

Comment obtenir le chiffre 1000 au moyen d’une addition comportant 8 fois le chiffre 8?

Réponse 8+8+8+88+888 =1000

Réponse 5 x 5 x 5 = 125 5 x 5 = 25 125 - 25 = 100

Il n’y en a qu’un seul dans une minute, et il y en deux dans une heure. Mais il n’y en a aucun dans un jour. Qu’est-ce ?

Réponse Il s’agit de la lettre E

Lundi 25 Juin 2012FÊTE D’ÉTÉ DECOULEURS ET RENCONTRES

de 11:30 à 16 heures àLA FERME DE 50

JOIGNEZ-VOUS À NOUS POUR UNE JOURNÉE DE DÉTENTE ET CONVIVIALITÉ.

APPORTEZ UN PLAT À PARTAGER: SALADE, TABOULÉ, QUICHE...NOUS NOUS OCCUPONS DU BARBECUE ET DES BOISSONS...

L’INSCRIPTION, OUVERTE JUSQU’AU MERCREDI 20 JUIN, EST OBLIGATOIRE. VENEZ NOMBREUX!!!

Le transport du Foyer à la Ferme de 50 sera assuré avec la navette municipale

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