LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd....

7
La Compagnie de Jean-Claude Berutti LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche) Mis en scène par Jean-Claude Berutti, avec la collaboration artistique d’Yves Bombay au Château de Saint-Marcel de Félines Spectacle réalisé avec les comédiens amateurs : Céline et JeanLouis Aurelle, Marie Bourg, Patrick Chevreton, Dominique Lespinasse, Janine Mariani, Dominique Patient, Pascale Perichon, Guillaume Peyrache, Nicole Pfefferkorn. Vendredi 12 septembre 2014 à19H lors des RENCONTRES RESOLIS DE LA SOLIDARITE AU CHATEAU DE SAINTMARCELDEFELINES Samedi 20 septembre 2014 à 14h au Théâtre de Roanne Production la Compagnie JeanClaude Berutti et l’association des amis de SaintMarcel La Compagnie Jean-Claude Berutti est conventionnée avec le Ministère de la culture et de la communication Contacts : La Gestion des spectacles - Tél. : +33.1.43.38.60.85 – [email protected] - www.lagds.fr

Transcript of LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd....

Page 1: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

La Compagnie de Jean-Claude Berutti

LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)

Mis en scène par Jean-Claude Berutti,

avec la collaboration artistique d’Yves Bombay

au Château de Saint-Marcel de Félines Spectacle  réalisé  avec  les  comédiens  amateurs  :    

Céline  et  Jean-­‐Louis  Aurelle,  Marie  Bourg,  Patrick  Chevreton,    Dominique  Lespinasse,  Janine  Mariani,  Dominique  Patient,  Pascale  Perichon,    

Guillaume  Peyrache,  Nicole  Pfefferkorn.    

Vendredi  12  septembre  2014  à19H    lors  des  RENCONTRES  RESOLIS  DE  LA  SOLIDARITE  AU  CHATEAU  DE  SAINT-­‐MARCEL-­‐DE-­‐FELINES  

Samedi  20  septembre  2014  à  14h  au  Théâtre  de  Roanne  Production  la  Compagnie  Jean-­‐Claude  Berutti  et  l’association  des  amis  de  Saint-­‐Marcel    

La Compagnie Jean-Claude Berutti est conventionnée avec le Ministère de la culture et de la communication

Contacts : La Gestion des spectacles - Tél. : +33.1.43.38.60.85 – [email protected] - www.lagds.fr

Page 2: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

PRESENTATION Le Domaine de Saint-Marcel de Félines est propice aux expériences et Daniel Hurstel, le maître des lieux, l’a déjà amplement démontré au travers de trois spectacles théâtraux ambitieux et réussis, qu’il a mis-en-scène lui-même… Ce qui est en jeu dans l’atelier théâtral qu’il est proposé de conduire est d’une autre sorte, puisqu’il ne débouchera pas sur un spectacle à proprement parler mais qu’il permettra de mettre en perspective le travail déjà accompli à Saint Marcel avec des équipes amateurs encadrées par des professionnels. La pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure un voyage dans la rencontre avec l’autre, avec les autres. On y rencontre des gens d’âge, de milieu, de formation et de culture différents, et ce mélange nous rappelle (au cas où la solitude du monde d’aujourd’hui nous le ferait oublier) la joie du partage. Mais pour que cette expérience en tant que telle soit totalement efficiente, il est important qu’elle se fasse sous le regard d’un (ou deux) professionnels. Plutôt que de se concentrer sur la réalisation d’un « vrai » spectacle, notre horizon se portera cette année sur la rencontre même, ses étapes, ses impasses, le dépassement des difficultés. Et comme cet atelier doit trouver son aboutissement au cours d’un colloque qui traitera de la question de la solidarité, nous nous sommes dit avec son commanditaire qu’il serait bon de rêver, de s’exercer, de concentrer ses forces sur « La bonne âme de Sé-Tchouan » de Bertolt Brecht qui traite justement de l’impossibilité d’être bon dans le monde comme il va… Ce que chacun amène dans un atelier réunissant professionnels (minoritaires) et amateurs (majoritaires) est l’expertise d’une technique d’un côté et celle du quotidien de l’autre. Le mélange des outils de chacun ne manque jamais de donner à l’atelier un caractère polymorphe et… philosophique. Regarder, observer, interpréter, dessiner les gestes intérieurs et extérieurs de chacun, comparer les régimes d’activité de chacun de manière bienveillante tout en les confrontant à la mise en jeu d’un texte donne du grain à moudre sur les questions brûlantes de la société, sans perdre de temps dans des discours… L’avantage du texte que nous avons choisi tient en ceci que le personnage principal (que chacun devra interpréter, ne serait-ce que quelques minutes) doit se masquer, se transformer pour réaliser son vœu : le jeu même est au cœur de sa démarche, et comme en ceci, il est accompagné d’un grand nombre de « petits personnages », chacun pourra y trouver à tour de rôle du travail d’interprétation … Car une des formes théâtrales qui permet le mieux de mettre à l’épreuve l’idée même de solidarité est la pratique régulière du chœur (qu’il soit parlé ou chanté). Elle sera la base de cet atelier. Je propose que l’atelier se développe par « week-ends » de deux journées chacun, étalés sur quatre mois. Afin de prendre le temps de découvrir, de développer et d’épanouir un groupe il faut environ huit « week-ends », le dernier pouvant se clore par une présentation « publique » du travail de l’atelier. Dans le cas présent il s’agirait de présenter l’ensemble en même temps devant un public d’amis du voisinage et de participants au colloque « Solidarité ». Et cette présentation devra être suivie d’une discussion entre les participants, le public et les divers « experts » présents. Jean-Claude Berutti , metteur en scène

Page 3: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

La pièce de Bertolt Brecht.  Elle se présente comme un conte chinois et se déroule généreusement tel un fleuve gorgé d’eau pour nous présenter quasiment toute une ville pauvre du Sé Tchouan, dont le personnage principal est finalement une boutique de tabac : « Shen Té : Ma jolie boutique ! Tous mes espoirs ! A peine ouverte, ce n’est déjà plus une boutique ! Le frêle canot de sauvetage Aussitôt est tiré vers le fond : Trop de naufragés avidement se sont agrippée. » Mais Brecht utilise dans ce conte moral chinois aussi beaucoup d’éléments de la philosophie taoïste et à aucun moment on ne peut le taxer d’écrire une pièce seulement exotique. Il étudie en particulier sur le mode taoïste les divers régimes de l’activité humaine de ses personnages, chacun par rapport à la place qu’il occupe dans la société des hommes : « Shen Té : Monsieur Lin To, ne soyez pas si dur. Je ne peux pas honorer toutes mes dettes tout de suite. Un peu d’indulgence, et les forces redoublent. Vois, le vieux cheval s’est arrêté pour une touffe d’herbe : Ferme les yeux sur ce méfait, il n’en tirera que mieux la charrette. C’est parce que c’est le mois de juin mais, patience, Août viendra et les pêches feront ployer ton arbre. Comment, sans patience, pourrait-on vivre les uns avec les autres ? Avec un petit délai Les buts les plus lointains sont atteints. » Je cite ici principalement la protagoniste de la pièce, la jeune Shen Té, mais l’ensemble de cette parabole théâtrale est une merveille de choralité détaillée, comme si l’on regardait un dessin à l’encre de chine où chacun des personnages est parfaitement dessiné jusqu’au moindre détail de son sourire, du chapeau qu’il porte, de la fatigue de ses épaules. Tout ce « classicisme détaillé » d’où est absent la moindre référence au marasme européen du milieu du vingtième siècle est étonnant lorsqu’on pense que la pièce est écrite en 1939 par un poète contraint à l’exil… C’est que Brecht désire se tenir clairvoyant au dessus de la mêlée et revenir aux questions éthiques fondamentales de la solidarité humaine. A travers les mésaventures d’un personnage qui n’arrive pas en même temps à faire le bien et à faire prospérer son commerce, Brecht décrie bien la réalité de l’égoïsme de la grande ville. Voici, pour finir cette présentation, un petit dialogue entre la protagoniste et un jeune aviateur au chômage qu’elle sauve du suicide : « Sun : Parle-moi de toi. Shen té : De quoi ? J’ai une petite boutique. Sun : Ah ! Tu ne fais pas le trottoir, tu as une boutique ! Shen Té : J’ai une boutique, mais avant j’arpentais la rue. Sun : Et la boutique, c’est évidemment un cadeau des Dieux ? Shen té : Oui. Sun : Un beau soir, ils étaient là et ils ont dit : « Tiens, voilà de l’argent. » Shen té : C’était un matin. Sun : Tu n’es pas très causante. Shen Té : je vais jouer de la cithare. Et je vais imiter les gens. (Elle imite la voix grave d’un bourgeois) « Ah, non, vraiment, c’est incroyable, j’ai du oublier mon porte monnaie ! ». Et puis j’ai reçu la boutique. Et la première chose que j’ai faite, c’est de donner ma cithare. » Comment Shen Té va-t-elle arriver à résoudre son problème, être bonne et faire de bonnes affaires ?

Page 4: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

JOURNAL DE TRAVAIL – EXTRAIT Ce qui me frappe après un troisième week-end avec « Les comédiens du Sé Tchouan » dans le domaine de Saint-Marcel de Félines n’a plus grand chose à voir avec Brecht… Je veux dire simplement qu’il me semble y avoir une adéquation remarquable entre la pratique du théâtre et ces lieux. Des espaces divers, une grange aménagée en salle de spectacle (ou d’exposition) protégée de la trop grande chaleur et dont la profondeur cadre idéalement le travail des comédiens, un théâtre de verdure aux proportions idéales pour jouer tous les répertoires, un grand parc pour « hurler » son texte, et finalement, mais surtout, beaucoup d’espace à franchir pour aller de l’un à l’autre de ces lieux tant le domaine est vaste, ce qui permet de jouer à Socrate sur les chemins… Cela est moins futile qu’il n’y paraît : les comédiens ont besoin de grand air et la discussion dramaturgique trouve un apport important dans la marche collective au grand air. Il faudrait ajouter à ces considérations que le travail du théâtre, de la technique du jeu, de l’imagination demande un certain retrait du monde. Nous savons cela depuis jacques Copeau. Hé bien, dans le domaine de Saint-Marcel, nous sommes chacun relativement près de nos lieux de vie et pourtant la sensation de faire un grand voyage pour y rentrer ou pour le quitter est patente. Les stagiaires me le faisaient remarquer aujourd’hui. Et nous nous étonnons de travailler si rapidement, intensément et de manière si détendue : c’est que l’air que nous respirons est propice à la réflexion et à l’élaboration artistique. A cela s’ajoute la sensation, pour mon collaborateur Yves Bombay comme pour moi-même, de créer un « nouveau Bussang »… Nous y avons animé ensemble des ateliers pour comédiens amateurs six années durant : ces ateliers sont passées grâce à un travail continu, d’une douzaine de personnes lorsque nous sommes arrivés à parfois plus de quatre vingt personnes qui venaient des quatre coins de France six ans plus tard… Et voilà que nous reprenons notre « bâton de pèlerin » quelques douze années plus tard. Mêmes questions, mêmes envies de la part des stagiaires de construire ensemble un objet que ne ressemble pas vraiment au théâtre que l’on voit, même volonté de poser sa marque particulière sur une façon de bouger, de parler, tout en travaillant avec le plus grand respect possible sur l’œuvre abordée. Les miens, venus pour une courte visite et assistant à une répétition, me demandaient hier si je préférais enseigner dans une école supérieure ou former des amateurs. Je répondais sans hésiter que la formation m’était plus proche que l’enseignement, sans pouvoir expliquer pourquoi… Peut-être justement à cause de ce mot d’ « atelier » avec des gens qui sont le reste du temps dans des ateliers qui n’ont rien à voir avec le théâtre et qui viennent mettre leur connaissance du monde au service de la poésie. Jean-Claude Berutti

Page 5: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

JEAN-CLAUDE BERUTTI

Le metteur en scène français Jean-Claude Berutti a monté Brecht, Ionesco, Molière, Tchékhov, Tabori, Dvorak, Martin du Gard, Mann, Verdi, Sbrjanovic, Goldoni, Sciarrino, Berio, Pinter, Bruni-Tedeschi, Gorki, Akakpo, Shakespeare, Wagner, Schnitzler et quelques autres à Bruxelles, Paris, Francfort, Moscou, Gand, Nicosie, Leipzig, Lyon, Bad Hersfeld, Tel Aviv, Tunis et Lomé… En 2007, il a reçu le Lionceau d’or de Venise pour sa trilogie goldonienne « Zelinda et Lindoro ». En 2008, il a dirigé la Troupe de la Comédie Française dans « Les Temps difficiles » de Edouard Bourdet. Entre 1997 et 2011, il a dirigé deux des théâtres français les plus emblématiques : le Théâtre du Peuple de Bussang

et La Comédie de Saint-Etienne. Parallèlement, il a présidé la Convention Théâtrale Européenne (2004/2010) et développé ce réseau pour en faire le premier réseau européen de théâtre public. De 2011 à 2013, il est metteur en scène indépendant associé à la scène nationale de Martigues où a été créé « Super heureux ! » de Silke Hassler et « Je pense à Yu » de Carole Fréchette, deux spectacles repris à Paris à la saison 12/13. Par ailleurs au cours de la même saison, il met en scène « Cabale et amour » de Schiller à Dortmund, « Le retour de Saturne » de Noah Haidle à Nuremberg et « Les femmes de Bergman » de Nikolaï Rudkowski à Zagreb et au Théâtre des Salins – Scène nationale de Martigues. En 2013 – 2014, il sera sur scène avec Christian Crahay au Théâtre du Lucernaire avec la reprise de « Confidence africaine » de Roger Martin du Gard, puis au Théâtre Le Public à Bruxelles. Il monte « Ernani » de Verdi à l’Opéra de Vilnius (Lituanie) et « Don Quichotte » de Tariq Ali au Stadttheater de Essen en Allemagne.

Page 6: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

LES RENCONTRES RESOLIS DE LA SOLIDARITE A SAINT-MARCEL 12, 13 et 14 septembre 2014 Solidarité et Territoires

Un événement Espace interactif et dynamique de confrontation d’idées, de partage d’expériences et d’animations, les Rencontres RESOLIS ont pour vocation de rassembler monde associatif, intellectuels, experts et acteurs locaux autour du thème central de la Solidarité. Les organisateurs souhaitent donner aux participants l’occasion de vivre pendant près de trois jours de vrais moments de solidarité, à travers une double approche de réflexion et de mise en pratique. Le programme développé à partir de cette idée forte alterne débats, ateliers, démonstrations de savoir-faire local, expérimentations ludiques et manifestation culturelle. Ouvertes vers l’extérieur grâce à des témoignages de pratiques françaises et européennes, les Rencontres mettent également en avant un volet local comprenant des retours d’expériences de (ré)animations du territoire reposant sur la solidarité. Afin de concrétiser cette dimension de proximité, les Rencontres ont décidé de mettre en place le parrainage d’une activité locale. Un concours portant sur le savoir-faire et l’artisanat sera organisé, dont le gagnant bénéficiera d’une bourse lui permettant de développer son activité pendant l’année. Les Rencontres seront également l’occasion de récompenser un porteur d’action sociale innovante par l’attribution d’un Prix RESOLIS de l’innovation. Un thème : Pour leur première édition, les Rencontres RESOLIS ont choisi de développer le thème ‘Solidarité et Territoires’. Solidarité dans les territoires, solidarité entre les territoires, solidarité territoriale et solidarité nationale… Les territoires, véritables creusets d’idées et d’échange, constituent une bonne échelle de mesure et d’expérimentation d’actions de solidarité. Les territoire ne se substituent pas à l’Etat à sa politique de solidarité nationale, mais agissent en complémentarité. Ils composent un formidable levier de création et de mise en œuvre de projets d’auto-organisation, soutenus par la société et non par l’Etat. Les territoires ne se dessinent pas seulement avec des frontières géographiques, mais aussi avec des caractéristiques de développement industriel, économique, social et culturel qui leur sont propres. Leur niveau de ressources les différencie, mais la solidarité les rapproche. Un lieu Les Rencontres trouvent dans le château de Saint-Marcel-de-Félines une parfaite résonnance à leur philosophie. Situé dans le département de la Loire, sa construction remonte au XIème siècle. Emblème du territoire, témoin vaillant de l’histoire locale, le château de Saint Marcel, classé Monument Historique depuis plus de quarante ans, est devenu par la volonté de ses propriétaires un lieu d’ouverture et de vie sociale, idéal pour débattre de thématiques autour de la solidarité. Une association Les Rencontres sont portées par l’association Loi 1901 RESOLIS, fondée en 2010 par Philippe Kourilsky, Professeur émérite au Collège de France. Contribuer au développement du progrès social par la connaissance constitue l’axe fondateur de RESOLIS. Les actions de terrain à visée sociale sont nombreuses, souvent innovantes, mais les savoirs et les bonnes pratiques ne sont pas suffisamment structurés ni partagés, ce qui nuit à leur efficacité et à leur visibilité. RESOLIS a mis en place un observatoire afin de repérer, d’évaluer et de valoriser selon une démarche scientifique les actions de terrain menées par des associations, des ONG, des fondations d’entreprise ou encore des structures publiques et parapubliques. RESOLIS poursuit ainsi plusieurs objectifs : accroître la reconnaissance des acteurs de terrain, augmenter l’efficacité de leurs initiatives par un meilleur partage des savoirs et des bonnes pratiques et renforcer leur coopération. Les membres de l’association sont issus d’univers complémentaires (scientifique, public, universitaire, entrepreneurial). Ils forment une communauté de réflexion unie par leur volonté de trouver de

Page 7: LA BONNE AME DE SE-TCHOUAN Bertolt Brecht (éd. L’Arche)docsapp.cccommunication.biz/users/134175/docs/stage_v6.pdfLa pratique du théâtre en amateur est à chaque nouvelle aventure

nouvelles façons de porter et d’appliquer la solidarité dans des projets de lutte contre les grands problèmes sociétaux de notre temps. Ils participent activement au pilotage des programmes de RESOLIS. Les Rencontres RESOLIS de la Solidarité à Saint-Marcel représentent un rendez-vous phare dans l’activité annuelle de l’association. Mêlant apport intellectuel, paroles d’acteurs, ateliers de démonstration, spectacle culturel et moments de convivialité, elles instaurent une réflexion à long terme tout en étant l’occasion de lancer des initiatives solidaires. Les Membres du comité d’organisation Hervé Defalvard, Professeur d’économie sociale et solidaire à l’université de Marnes la Vallée Jacques Glowinski, Professeur émérite au Collège de France, administrateur honoraire Daniel Hurstel, Avocat Philippe Kourilsky, Professeur émérite au Collège de France Carlo Ossola, Professeur au Collège de France Sophie Dupraz, Directrice Déléguée de RESOLIS

Contacts : La Gestion des spectacles - Tél. : +33.1.43.38.60.85 – [email protected] - www.lagds.fr