L A c t u E c o - La Banque Postale · Cela donne un acquis de croissance pour le 4ème trimestre...
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Act uEcoL’actualité économique et financière
Du 9 au 15 décembre 2019
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C1 - Interne
Vers un monde un peu moins incertain en 2020 ?
L’essentiel – Deux grands facteurs d’incertitude qui ont pesé sur la croissance mondiale tout au long
de l’année 2019 semblent en passe de s’atténuer. Tout d’abord, B. Johnson a gagné son pari et les conservateurs ont désormais la majorité absolue au Parlement britannique après les élections législatives du 12 décembre. Le Royaume-Uni va donc très probablement sortir de l’Union européenne (UE) le 31 janvier mais il s’agira d’un Brexit ordonné. Commencera alors une longue période de négociations avec l’UE pour fixer les futures relations entre les deux parties. Par ailleurs, les tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine semblent en voie de s’apaiser. Les deux pays auraient trouvé un accord. Les Etats-Unis ont renoncé à augmenter les droits de douane sur de nouveaux produits en provenance de Chine le 15 décembre et ils réduiraient une partie des taxes mises en œuvre ces derniers mois. De leur côté, les Chinois seraient prêts à augmenter considérablement leurs importations en provenance des Etats-Unis. Cet accord serait signé début janvier. Même si tout ne sera pas réglé pour autant, ce serait un facteur d’incertitude en moins pour l’environnement international, ce qui devrait soutenir le redressement de l’activité. Récemment, les enquêtes de conjoncture semblent signaler qu’un point bas de l’activité industrielle a été touché cet été. En France, la production manufacturière s’est ainsi un peu redressée en septembre et en octobre. En revanche, l’enquête japonaise Tankan a déçu, suggérant qu’après le redressement de la croissance du PIB au 3ème trimestre la fin de l’année a été plus difficile. Des indicateurs économiques un peu plus positifs et un peu moins d’incertitude sur l’environnement international constituent un contexte favorable à une pause de la Fed et de la BCE après l’assouplissement de la politique monétaire intervenu depuis l’été dernier (cf. notre Focus). Même si une petite accélération a été observée en novembre aux Etats-Unis, l’inflation reste par ailleurs sous contrôle de part et d’autre de l’Atlantique. D’une manière générale, les investisseurs ont apprécié les signes de détente des facteurs d’incertitude mentionnés plus haut. Mais ils se sont montrés malgré tout prudents en fin de semaine, faute d’une signature formelle de l’accord sino-américain.
Alain Henriot
Niveau le
13/12/2019
Taux refi BCE (%) 0,00 Stable
Taux des Fed Funds US (%) 1,5 - 1,75 Stable
Euribor 3 mois (%) -0,40 Stable
OAT 10 ans (%) 0,00 Baisse
CAC 40 (points) 5 919,0 Hausse
Euro (1 € = …$) 1,11 Hausse
Pétrole (baril de Brent en $) 64,9 Hausse
Variation sur
la semaine
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L’équipe des Etudes économiques vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année. Nous vous donnons rendez-vous le 6 janvier.
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À RETENIR CETTE SEMAINE
C1 - Interne
ETATS-UNIS – Léger ressaut de l’inflation
L’indice des prix à la consommation a progressé plus vivement qu’attendu au mois de novembre, porté notamment par les prix de l’énergie. D’un mois sur l’autre, son avance a atteint 0,3 % après +0,4 % en octobre. En glissement annuel, l’inflation est ressortie en hausse de 2,1 % en novembre (+0,3 point par rapport à octobre).
En novembre, les prix de l’essence ont de nouveau augmenté (+1,1 % après +3,7 % en octobre). A l’inverse, le prix des voitures neuves a chuté pour le 5ème mois consécutif en raison d’importants rabais consentis par les concessionnaires dans le but d’écouler les stocks de modèles anciens.
L’inflation sous-jacente (hors alimentation et énergie) s’est maintenue à +2,3 % sur un an. Elle est notamment soutenue par une hausse des loyers et des prix dans le secteur de la santé. Ces derniers ont notablement accéléré au cours des derniers mois en raison de la hausse des salaires dans les hôpitaux et de la baisse des remboursements de certains frais médicaux.
Le déflateur de la consommation des ménages (indicateur privilégié par la Fed dans le suivi de l’inflation, 1,6 % sur un an en octobre) demeure assez nettement en deçà de la cible d’inflation de la Fed (2 %). Pour mémoire, l’écart entre cette mesure de l’inflation et l’indice sous-jacent des prix à la consommation s’explique par des différences de pondération notamment pour les secteurs de la santé et du logement.
Romain Sarron
FRANCE – Petite hausse de la production industrielle
En octobre, la production manufacturière augmente de 0,5 % après 0,8 % le mois précédent. Cela donne un acquis de croissance pour le 4ème trimestre plutôt favorable, qui pourrait se traduire par une croissance du PIB un peu raffermie en fin d’année. Parmi les secteurs les plus dynamiques au cours des deux derniers mois on trouve notamment la pharmacie et les industries de biens d’équipement. Cette évolution de la production manufacturière française peut être rapprochée d’une amélioration récente du climat des affaires dans l’industrie qui est observée dans plusieurs pays.
Alain Henriot
JAPON – Dégradation de la confiance des industriels dans le secteur manufacturier
D’après l’enquête Tankan de la Banque du Japon pour le 4ème trimestre, la confiance des dirigeants des grandes entreprises industrielles japonaises s’est à nouveau dégradée, notamment dans le secteur manufacturier. Les entreprises nippones ont été particulièrement affectées par les tensions commerciales sino-américaines et le ralentissement de la demande mondiale. Au sein du secteur non manufacturier, la confiance des dirigeants des grandes entreprises est en légère baisse. La hausse de la taxe sur la consommation a eu des effets sur la consommation des ménages.
Les grandes entreprises prévoient d’augmenter leurs dépenses d’investissement de 6,8 % sur l’ensemble de l’année fiscale (i.e. jusqu’en mars 2020). Ce chiffre est en hausse par rapport à la dernière enquête.
Flore Deschard
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FOCUS
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Banques centrales – La Fed et la BCE confirment vouloir marquer une pause
Après avoir assoupli leur politique monétaire depuis l’été dernier, la Fed et la BCE marquent une pause.
La Fed ne compte pas modifier son taux directeur en 2020
La dernière réunion du Comité de politique monétaire (FOMC) de la Réserve fédérale (Fed) pour l’année 2019 a eu lieu les 10 et 11 décembre.
Comparée aux trois précédentes, celle-ci s’est tenue dans un contexte politique et économique en notable amélioration. En particulier, les indicateurs les plus récents suggèrent que le PIB continuerait de croître aux Etats-Unis sur une tendance proche de 2 % en rythme annualisé, ce qui soutient le rythme des créations nettes d’emploi (+266 000 en novembre) et l’érosion du taux de chômage. En outre, des signes de redressement de l’activité sont perceptibles au niveau international, notamment dans les enquêtes de conjoncture. Cela devrait progressivement se traduire par une reprise de la production industrielle et par un regain des échanges commerciaux. Sur le plan géopolitique, la question du Brexit semble devoir trouver une issue rapide compte-tenu des nouvelles marges de manœuvre dont dispose désormais B. Johnson. Par ailleurs, la signature d’un accord commercial partiel sino-américain semble désormais très proche.
Après le traitement de choc pour lequel les autorités monétaires américaines avaient opté depuis l’été (trois baisses successives de 25 points de base) et les discours intervenus ces dernières semaines, aucun changement n’était attendu dans la conduite de la politique monétaire américaine. Après un vote unanime (une première depuis le mois de mai dernier), le taux des fonds fédéraux a bien été maintenu dans une fourchette comprise entre 1,50 et 1,75 %.
Fed : prévisions économiques des membres du FOMC (déc. 2019)
2019 2020 2021
Long terme
Croissance du PIB1
2,2 (2,2) 2,0 (2,0) 1,9 (1,9) 1,9 (1,9)
Inflation1
(Déflateur conso.)
1,5 (1,5) 1,9 (1,9) 2,0 (2,0) 2,0 (2,0)
Taux
Fed Funds 1,6 (1,9) 1,6 (1,9) 1,9 (2,1) 2,5 (2,5)
Entre parenthèses prévisions de septembre 2019 1 : au 4ème trimestre de l’année
L’intérêt de cette réunion résidait donc surtout dans le discours et la publication des projections économiques des membres du FOMC. La teneur du discours qui a accompagné la décision suggère qu’en l’absence de changement significatif sur le plan politique ou économique, aucun mouvement de taux n’est anticipé pour 2020. Cela placera ainsi l’institution dans une position de neutralité pendant la campagne électorale qui s’annonce. A posteriori, c’est peut-être un élément qui a pesé dans la volonté de la Fed de baisser très vite les taux. Selon les économistes de la Fed, la croissance économique devrait ralentir de manière très graduelle et légère. L’institution a par ailleurs réaffirmé
qu’elle continuerait d’agir si besoin pour juguler les tensions sur le marché monétaire.
BCE : baptême du feu pour Christine Lagarde
Lors du Conseil des gouverneurs du 13 décembre, la BCE n’a modifié ni ses taux directeurs ni son programme d’achats d’actifs. Ce Conseil était surtout attendu car il était le premier présidé par C. Lagarde. Cette dernière s’est dite ni faucon (c’est-à-dire adepte d’une politique monétaire très rigoureuse) ni colombe (c’est-à-dire en faveur d’une politique monétaire plutôt un peu laxiste). Elle a aussi indiqué que la revue stratégique de la BCE se déroulera tout au long de l’année 2020. Le mandat de stabilité des prix ne sera pas discuté mais la cible d’inflation (un peu moins de 2 % l’an aujourd’hui) fera l’objet d’un examen attentif. La revue stratégique sera étendue à d’autres sujets comme les questions relatives au changement climatique et la montée des inégalités.
Concernant le diagnostic sur la situation économique, C. Lagarde s’est montrée prudente, notant tout de même que des signes de stabilisation de la croissance étaient apparus récemment. Par ailleurs, selon elle, l’inflation reste très en deçà de la cible mais l’inflation sous-jacente s’est légèrement raffermie. Les prévisions des économistes de la BCE n’ont été que très peu revues par rapport à l’exercice de septembre. La croissance du PIB est attendue à 1,2 % cette année puis à 1,1 % en 2020 et 1,4 % en 2021. Selon la BCE, l’inflation atteindrait 1,2 % en 2019, puis 1,1 % en 2020 et 1,4 % en 2021
Sur le strict plan de la politique monétaire, C. Lagarde a repris à son compte les éléments de langage de son prédécesseur : les taux resteront à leur niveau actuel ou plus bas tant que l’inflation ne sera pas proche de 2 % l’an. Les achats d’actifs seront poursuivis aussi longtemps que nécessaire et ne seront interrompus que peu de temps avant la hausse des taux directeurs.
Tous ces éléments plaident pour un statu quo de la BCE pendant plusieurs mois, sauf évolution très significative de l’environnement international.
Alain Henriot et Romain Sarron
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L’ACTUALITÉ DES MARCHÉS
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PETROLE – Hausse modérée du cours du baril
Le cours du baril de Brent de la mer du Nord a légèrement augmenté d’un vendredi à l’autre (+0,6 $) à 64,9 $. Le prix du pétrole a bénéficié de plusieurs facteurs de soutien. Du côté de l’offre, l’OPEP et ses alliés ont annoncé la semaine dernière de nouvelles baisses de leur production. Du côté de la demande, l’annonce d’un accord partiel entre la Chine et les Etats-Unis, et dans une moindre mesure la perspective d’un Brexit avec accord, ont éclairci les perspectives de demande mondiale d’énergie. La hausse du cours du baril a été modérée au regard de ces éléments. Un rapport a en effet de nouveau fait état de stocks américains en hausse, à contre-courant des anticipations des analystes.
BOURSE – Progression des cours généralisée
L’annonce d’un accord provisoire entre la Chine et les Etats-Unis ainsi que la victoire du Parti conservateur aux élections générales britanniques ont entraîné une progression généralisée des cours. Les investisseurs sont cependant restés prudents, dans l’attente de détails concrets quant au contenu de l’accord sino-américain. Aux Etats-Unis, le S&P 500 a gagné 0,7 % d’un vendredi à l’autre. En Europe, l’Euro Stoxx 50 et le Dax ont respectivement augmenté de 1,0 % et 0,9 %. Le CAC 40 a gagné 0,8 %, à 5 919 points. L’indice britannique FT 100 a clôturé la semaine en hausse de 1,6 %. Au Japon, le Nikkei, indice principal de la Bourse de Tokyo, a gagné 2,9 % d’un vendredi à l’autre.
TAUX A LONG TERME – Légère baisse des taux longs
La semaine a été marquée par la confirmation d’un accord entre Pékin et Washington ainsi que la confirmation que le Brexit aurait bien lieu. De plus, les réunions de la Fed et de la BCE ont confirmé que le statu quo monétaire était de mise aux Etats-Unis et en zone euro (cf. Focus). Malgré ces éléments, les taux longs sont restés stables d’un vendredi à l’autre ou ont baissé, reflétant la prudence des investisseurs. Aux Etats-Unis, le taux des T-Notes a perdu 2 points de base (pb) et s’établissait vendredi à 1,82 %. En Europe, le rendement des obligations allemandes est resté stable d’un vendredi à l’autre et a terminé la semaine à -0,29 %. Le taux de l’OAT 10 ans a perdu 3pb et s’établissait vendredi à 0 %.
CHANGE – Appréciation de l’euro et de la livre
L’euro s’est apprécié face au dollar, terminant la semaine à 1,11 $/€ (+0,6 %). La poursuite de la politique accommodante de la Fed a pesé sur le billet vert. Le dollar s’est apprécié face au yen d’un vendredi à l’autre (+0,7 % à 109,4 yens/$), perdant son statut de valeur refuge dans une période d’apaisement des tensions. Le yuan s’est apprécié face au dollar suite à la conclusion d’un accord partiel entre Pékin et Washington (+0,7 % à 6,98 yuans/$). La livre profite de la victoire du Parti conservateur et s’est de nouveau appréciée face à l’euro (+0,9 %) à 0,83 £/€, et surtout face au dollar (+1,4 %, à 1,33 $/£).
Flore Deschard
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REPERES
C1 - Interne
BOURSE
Plus bas Plus haut 13/12/19 En Depuis le En Depuis le
ETATS-UNIS en 2019 en 2019 2018 1/1/2019 2018 1/1/2019
Dow Jones 22 686,22 28 164,00 28 135,38 -5,6% 20,6% -1,3% 24,4%
S&P 500 2 447,89 3 168,80 3 168,80 -6,2% 26,4% -1,9% 30,4%
Nasdaq Composite 6 463,50 8 734,88 8 734,88 -3,9% 31,6% 0,5% 35,8%
JAPON
Nikkei 225 19 561,96 24 023,10 24 023,10 -12,1% 20,0% -5,2% 23,7%
ZONE EURO
Euro Stoxx 50 2 954,67 3 731,07 3 731,07 -14,3% 24,3%
France (CAC 40) 4 611,49 5 939,27 5 919,02 -11,0% 25,1%
Allemagne (Dax 30) 10 416,66 13 289,46 13 282,72 -18,3% 25,8%
Espagne (IBEX 35) 8 519,00 9 581,90 9 563,70 -15,0% 12,0%
Italie (FTSE MIB) 18 218,40 23 782,15 23 329,33 -16,1% 27,3%
EUROPE
FTSE 100 (RU) 6 692,66 7 686,61 7 353,44 -12,5% 9,3% -13,6% 17,7%
Stoxx 333,92 412,02 412,02 -13,2% 22,0%
MONDE
MSCI-Monde 1 853,18 2 319,73 2 319,73 -10,4% 23,1% -6,3% 27,0%
MSCI-Emerging Markets 949,57 1 096,39 1 086,91 -16,6% 12,5% -12,8% 16,1%
NIVEAUX PERFORMANCE
en monnaie locale en euros
TAUX À LONG TERME
Taux à 10 ans déc-18 nov-19 06-déc 13-déc
Allemagne 0,25 -0,33 -0,29 -0,29
France 0,70 -0,02 0,03 0,00
Italie 2,95 1,27 1,45 1,26
Espagne 1,43 0,40 0,50 0,42
Etats-Unis 2,83 1,81 1,84 1,82
Japon 0,04 -0,09 -0,01 -0,02
Royaume-Uni 1,27 0,73 0,77 0,79
TAUX DE CHANGE
Taux de change déc-18 nov-19 06-déc 13-déc
1 euro = ... dollars 1,14 1,10 1,11 1,11
1 euro = ... yens 127,54 120,30 120,03 121,65
1 euro = ... sterling 0,90 0,86 0,84 0,83
1 dollar = ... yens 112,15 108,90 108,59 109,36
1 sterling = ... dollars 1,27 1,29 1,31 1,33
1 dollar = ... yuans 6,88 7,02 7,03 6,98
COURBE DES TAUX FRANÇAIS
déc-18 nov-19 06-déc 13-déc
Zone euro - taux
interbancairesdéc-14 janv-19 févr-19 févr-19
EONIA -0,36 -0,45 -0,46 -0,46
Euribor 3 mois -0,31 -0,40 -0,39 -0,40
France - taux des
emprunts d'Etat*déc-14 janv-19 févr-19 févr-19
3 mois -0,81 -0,60 -0,63 -0,64
6 mois -0,71 -0,61 -0,63 -0,62
1 an -0,61 -0,58 -0,59 -0,58
2 ans -0,45 -0,61 -0,61 -0,63
3 ans -0,29 -0,59 -0,58 -0,60
4 ans -0,13 -0,54 -0,52 -0,53
5 ans 0,03 -0,42 -0,40 -0,41
7 ans 0,26 -0,26 -0,22 -0,24
10 ans 0,70 -0,02 0,03 0,00
-1,2
-0,8
-0,4
0,0
0,4
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-1,2
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Déc-17
Déc-18
13/12/2019
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NOS PUBLICATIONS
C1 - Interne
Direction de la Stratégie et de l’Innovation – Études économiques :
Alain Henriot, Responsable des études économiques
Romain Sarron, Adjoint au responsable des études économiques
Flore Deschard, Économiste
Ranto Rabeantoandro, Chargé d’études statistiques sur les marchés de l’épargne, du crédit et de l’immobilier
Les analyses et prévisions qui figurent dans ce document sont celles du service des Etudes Economiques de La Banque Postale. Bien que ces informations soient établies à partir de sources considérées comme fiables, elles ne sont toutefois communiquées qu’à titre indicatif. La Banque Postale ne saurait donc encourir aucune responsabilité du fait de l’utilisation de ces informations ou des décisions qui pourraient être prises sur la base de celles-ci. Il vous appartient de vérifier la pertinence de ces informations et d’en faire un usage adéquat.
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