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GÉOGRAPHIES : Syrie

• Syrie - Pourquoi l’Occident s’est trompé

• Les enfants syriens : une génération perdue ? Rapport sur la crise : mars 2011 - mars 2013

• Communautarisme en Syrie : lorsque le mythe devient réalité

DÉBATS SUR L’AIDE

• Les transformations dans le système de la coopération pour le développement

• Répartition géographique des ressources financières allouées aux pays en développement - 2014

• Les défis de l’aide au développement

A NE PAS MANQUER

• Le décollage économique de l’Afrique

• La francophonie et la francophilie : moteurs de croissance durable

• Globaliser n’est pas sans risques pour les populations les plus pauvres du monde - Émergence de la « Global Health » en Afrique subsaharienne

OCTOBRE 2014

125n u m é r o

Du 10 au 12 octobre 2014 ont eu lieu les Assemblées annuelles du

Fonds monétaire international et du Groupe Banque mondiale. Cet évènement médiatique a, cette année encore, rassemblé de nombreux dirigeants de divers horizons (gouverneurs de banques centrales, ministres responsables des finances et du développement, cadres du secteur privé, représentants de la société civile, universitaires) qui ont été amenés à débattre de questions d’intérêt planétaire telles que les pe rspec t i ves économiques mondiales, la stabilité financière dans le monde, la lutte contre la pauvreté, l’emploi et la croissance, le développement économique et l’efficacité de l’aide.

Parmi les évènements phares, « Bâtir la prospérité dans un monde inégal », « Les enjeux d’une croissance inclusive et porteuse d’emploi », « La transformation des économies au profit des pauvres » figuraient au programme de cette année.

10 - 12 octobre 2014 Assemblées annuelles FMI - Banque mondiale

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E V E N E M E N T

DÉFIS MONDIAUX : Développementurbain

• Métropoles aux Suds, le défi des périphéries ?

• Are Cities the New Growth Escalator ?

• Energie et villes des pays émergents : des transitions en question

7 oCToBrE 2014Innovation and Technological Learning in ASEAN’s Manufacturing Sector Asian Development Bank (ADB) Tokyo (Japon) 7 - 8 oCToBrE 2014Forum Nouveau Monde OCDE, Paris (France) 10 - 18 oCToBrE 2014Women’s Forum 2014 Deauville (France) 14 - 17 oCToBrE 20142e forum ministériel sur la science, la technologie et l’innovation en Afrique Banque africaine de développement (BAD) Rabat (Maroc) 16 oCToBrE 2014Journée mondiale de l’alimentation Nations unies

24 oCToBrE 2014Journée des Nations unies 24 oCToBrE 2014Journée mondiale d’information sur le développement 30 - 31 oCToBrE 2014Education pour tous en Amérique latine et Caraïbes : évaluation et défis pour l’agenda post-2015 UNESCO, Lima (Pérou) 1Er - 3 NoVEMBrE 2014Conférence économique africaine 2014 : « Savoir et innovation pour la transformation de l’Afrique » Banque africaine de développement (BAD) Abidjan (Côte d’Ivoire)

R E V U E M E N S U E L L E D E S P U B L I C A T I O N S S U R L E D E V E L O P P E M E N T

AFD-ERS/GDC•KAléiDoSCopEn°125•oCToBRE2014<Retourausommaire pagesuivante>

Métropoles aux Suds, le défi des périphéries ?

CHAlEARD,J.-l.,KARTHAlA,2014,441pCoteE3.320

Les grandes villes des Suds se recomposent aujourd’hui dans leur

tissu social, leur structure économique et leur organisation spatiale, en fonction de processus généraux liés à la mondialisation. Leurs mutations s’inscrivent dans un mouvement général de métropolisation engagé depuis les dernières décennies du XXe siècle. Pour autant, elles ne peuvent pas être assimilées aux seules logiques observées dans les pays du Nord. Les trajectoires historiques des métropoles, la brutalité de phénomènes comme l’explosion démographique des Suds depuis les années 1950 et les niveaux inégaux d’émergence économique atteints par leurs économies nationales leur donnent une réelle spécificité par rapport au Nord.

Développement urbainL’OuvRAGE

A LiRE ÉGALEMEnt

Analyzing urban systems : Have megacities become too large ?

DESMET,K.,RoSSi-HAnSBERG.E.,BAnQUEMonDiAlE,2014,27ppourtélécharger,cliquerici

LA REvuELE RAPPORt WEBLE RAPPORt WEB

Davantage que les zones rurales, les zones urbaines ont tendance à avoir

une main-d’œuvre plus productive et à offrir des salaires plus élevés. Il y a toutefois de grandes différences entre les zones urbaines. Par ailleurs, les zones où la productivité et les salaires sont élevés ont tendance à regrouper des employeurs qui investissent beaucoup plus dans la Recherche et Développement que les zones à faible productivité et à bas salaires. Ce document de la Banque mondiale traite des deux enjeux suivants : i) les causes de ces grandes différences, sur le plan géographique, dans les salaires, le capital humain et l’innovation ; ii) les politiques de développement économique régional.

Are Cities the New Growth Escalator ?

MoRETTi,E.,BAnQUEMonDiAlE,2013pourtélécharger,cliquerici

Energie et villes des pays émergents : des transitions en question

La revue présente les différents flux d’énergie puis évoque la transition

énergétique dans les villes des pays émergents. Sont ensuite déclinés plusieurs exemples : i) « Buenos Aires : l’introuvable transition énergétique d’une métropole fragmentée » ; ii) « Le déploiement des énergies propres à Delhi aux prises avec la défiance de la société urbaine » ; iii) « À propos d’une initiative municipale verte au Cap (Afrique du Sud) : les leçons du Solar Water Heater Advanced Programme » ; iv) « Chronique d’une transition énergétique en tension : l’universalisation inachevée du réseau de gaz naturel à Istanbul - La gouvernance énergétique dans les villes turques : un état des lieux » ; v) « Transitions énergétiques multiples et contradictoires à Sfax (Tunisie) ».

RevueFlUX,n°93-94,METRopoliS,2013,20ppourtélécharger,cliquerici

A LiRE ÉGALEMEnt

Le monde de demain sera-t-il gouverné par les métropoles ?

DAMon,J.,2014,2ppourtélécharger,cliquerici

Vousêtesunagentdel’AFD,pouremprunterunouvrage,cliquezici

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Syrie

AFD-ERS/GDC•KAléiDoSCopEn°125-oCToBRE2014

Syrie - Pourquoi l’Occident s’est trompé

L’OuvRAGE

Au printemps 2011, la Syrie bascule dans une crise politique qui se mue

très vite en une atroce guerre civile. En trois ans, ce conflit a fait 150 000 morts, des millions de réfugiés et causé des dégâts irréversibles au patrimoine culturel. Pourquoi ne pas l’écrire ? Sur le dossier syrien, l’Occident s’est trompé. D’erreurs d’appréciation en déclarations intempestives, les grandes puissances ont donné la pénible impression d’une diplomatie de l’improvisation. Les envolées martiales peinent à cacher l’indigence tragique d’une politique parfois menée par des hommes que la complexité du dossier syrien rebute. Aujourd’hui, la Syrie est un sanctuaire pour le Djihad mondial. Comment en est-on arrivé là ? Cet essai répond en tentant d’analyser les simplifications qui ont coûté si cher à tout un peuple.

piCHon,F.,EDiTionSDURoCHER,2014,131pCotepSY.013

LE RAPPORt

Alors que commence la troisième année de la crise tragique que connaît

la Syrie, les affrontements militaires et les tentatives de règlement politique ne doivent pas faire oublier la réalité sur le terrain. Le risque de perdre une génération augmente à mesure que la situation se détériore et que les progrès accomplis en faveur des enfants syriens ces dernières années sont annulés. Les rêves et possibilités d’avenir de ces enfants sont en train de disparaître. Alors même qu’ils perdent leurs années d’enfance… quand le droit d’être enfant leur est refusé… l’opinion qu’ils se font de leurs voisins est marquée d’influences qui risquent de créer un engrenage de la violence pour les futures générations, avec tout ce que cela implique pour l’ensemble de la région. Les enfants font face à d’immenses dangers dans leur vie quotidienne. Ils sont tués, blessés ou rendus orphelins par le conflit.

Plus le conflit se prolonge et plus la population syrienne se replie sur les

structures traditionnelles que sont le clan et la communauté. La défense de la communauté et du clan prime sur les idéologies et les revendications politiques. Les minorités confessionnelles (20 % de la population) soutiennent globalement le régime car leur survie est menacée, en particulier la communauté alaouite qui a beaucoup à perdre. L’opposition armée au régime provient des classes populaires arabes sunnites (65 % de la population), quand la bourgeoisie demeure fidèle au régime. Quant aux Kurdes (15 % de la population), ils travaillent à la construction d’une région autonome, préférant un Bachar el Assad affaibli à une domination arabe sunnite forte. Les minorités confessionnelles et les Kurdes ne croient pas aux promesses de l’opposition de garantir leurs droits. Certes, les minorités, comme tous les Syriens, souhaitent des réformes démocratiques en Syrie, mais pas au prix de leur marginalisation, voire de leur élimination.

Les enfants syriens : une génération perdue ? Rapport sur la crise : mars 2011 - mars 2013

UniCEF,2013pourtélécharger,cliquerici

Communautarisme en Syrie : lorsque le mythe devient réalité

BAlAnCHE,F.,iREMMo,l’HARMATTAn,ConFlUEnCESMEDiTERRAnEE,n°89,printemps2014,p.29-44pourtélécharger,cliquerici

L’ARtiCLE

© IrD - Vincent Simonneaux

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Un nouveau regard sur la coopération pour le développement économique,

le rôle des entreprises et des fondations privées dans la gouvernance mondiale et alimentaire, les paradoxes du régime de l’aide entre injonctions internationales et logiques nationales (le cas d’une enclave bureaucratique au Mozambique), la recherche liée au sysème d’aide publique au développement et le partenariat public-privé : une alternative à l’aide publique au développement ?

Fondée sur une idéologie du rattrapage, l’aide publique au développement a

largement échoué. La réduction de la pauvreté résulte d’abord de la mondialisation des échanges. Mais bien d’autres défis (emploi, migrations, climat...) attendent l’aide au développement.

Cette publication s’inscrit dans la série des ouvrages publiés depuis 1977 et

précédemment sous le titre « Répartition géographique des ressources financières allouées aux pays bénéficiaires de l’aide ». Les données portent sur les éléments suivants : – versements nets et bruts ; – engagements ; – conditions financières ; et – ventilation par secteur/objet des engagements bilatéraux d’aide publique au développement (APD). Elles couvrent environ 150 pays et territoires en développement et concernent les années 2008 à 2012. Elles sont complétées par des indicateurs essentiels pour remettre en perspective les informations sur les apports de ressources à chaque pays. L’objectif poursuivi ici est de présenter un tableau complet du financement externe de chacun des pays considérés. Les données retracent les opérations entre chaque pays bénéficiaire.

Les transformations dans le système de la coopération pour le développement

DEBoECK,MonDESEnDEVEloppEMEnT,2014,n°165,164pCoteE2.349

LA REvuE

Répartition géographique des ressources financières allouées aux pays en développement - 2014

oCDE,2014,282ppourtélécharger,cliquerici

LE RAPPORt

Les défis de l’aide au développement

GRiFFon,M.,CERAS,2014,REVUEpRoJET,n°338,p.54-61pourtélécharger,cliquerici

L’ARtiCLE

<Retourausommaire pagesuivante><pageprécédenteAFD-ERS/GDC•KAléiDoSCopEn°125•oCToBRE2014

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Rapport annuel 2013-2014 : de nouveaux partenariats pour le développement

pnUD,2014,42ppourtélécharger,cliquerici

A LiRE ÉGALEMEnt

L’aide au développement : entre économie, culture et relations internationales

CAlAnDRi,E.,RElATionSinTERnATionAlES,n°157,p.71-95pourtélécharger,cliquerici

A LiRE ÉGALEMEnt

La Banque Mondiale dans la réduction de la faim et de l’extrême pauvreté

FoFAnA,A.-A.,lESpoinTSSURlESi,2014,250pCoteF3.089

A LiRE ÉGALEMEnt

Ausommaireduprochainnuméro

EConoMiEinFoRMEllE

oUTRE-MER

La notion de « Global Health » est la résultante de trois mouvements : i)

historique, à partir de la publication aux États-Unis en 1997 du rapport de l’Institute of Medicine sur « America’s Vital Interest in Global Health », ii) institutionnel, avec l’émergence dans les années 2000 des initiatives mondiales (partenariats publics mondiaux) comme nouvelle modalité de financement de l’aide au développement, iii) académique, dans le prolongement de la santé publique, puis de la santé internationale. En étant choisie par l’OCDE comme secteur marqueur de la réalisation des principes de la Déclaration de Paris, la santé devient un terrain d’expérimentation de nouvelles formes de financement de la réduction de la pauvreté. Comme toute notion globalisante, le risque est de ne pas tenir compte des priorités spécifiques des populations notamment pauvres et des situations de pays notamment en conflits armés.

Le potentiel économique de la francophonie est énorme et

insuffisamment exploité par la France. L’effacement progressif des frontières nationales impose d’autres critères d’appartenance identitaire : la langue et la culture constituent la nouvelle géographie. L’espace géolinguistique économique de la francophonie va au-delà des frontières institutionnelles de la francophonie et recouvre les cinq continents. Il inclut les pays francophones non membres de l’OIF (Algérie), les pays où une proportion de la population parle le français (Israël), les pays dits ici « francophiles » qui ont un intérêt économique à apprendre le français (Nigéria). Il inclut les diasporas francophones, les réseaux d’anciens élèves de l’enseignement français. A cela s’ajoutent les 50 millions d’apprenants du français comme langue étrangère à travers le monde, ainsi qu’une élite de plusieurs milliers d’« influenceurs francophilophones » qui occupent des postes économiques, culturels et politiques stratégiques dans des pays non francophones. La « francophilophonie » regroupe donc les pays francophones, les pays francophiles et les francophones et francophiles du reste du monde. La francophonie est le 6e espace géopolitique par sa population et peut devenir le 4e à horizon 2050. 230 millions de gens parlent français aujourd’hui.

Le décollage économique de l’Afrique s’adresse à tous ceux qui, en lecteurs

avertis ou non, spécialistes des questions de développement ou simples curieux, souhaitent mieux comprendre les transformations économiques qui s’opèrent en Afrique. L’originalité de l’auteur tient à l’analyse des causes passées des échecs, des réformes économiques entreprises au cours des trente dernières années pour restaurer la croissance, mais aussi des défis et des atouts qui pointent à l’horizon et surtout des quatre étapes de l’émergence économique. Le décollage économique de l’Afrique nous laisse entrevoir une Afrique qui bouge et se développe. Des sociétés africaines qui se modifient. De nouvelles technologies qui se répandent comme une trainée de poudre. Et d’immenses villes qui s’élèvent. L’Afrique subsaharienne dispose aujourd’hui d’un potentiel économique exceptionnel qui devrait faire d’elle un pôle majeur de l’économie mondiale d’ici à 2035.

Le décollage économique de l’Afrique

TCHATCHoUAnG,J.-C.,2014,l’HARMATTAn,212pCoteE3.321

L’OuvRAGE

La francophonie et la francophilie : moteurs de croissance durable

ATTAli,J.,2014,246ppourtélécharger,cliquerici

LE RAPPORt WEB

Globaliser n’est pas sans risques pour les populations les plus pauvres du monde - Émergence de la « Global Health » en Afrique subsaharienne

KERoUEDAn,D.,2013,ARMAnDColin,REVUETiERSMonDE,n°215,18ppourtélécharger,cliquerici

L’ARtiCLE

<Retourausommaire pagesuivante><pageprécédenteAFD-ERS/GDC•KAléiDoSCopEn°125•oCToBRE2014

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L’apprentissage technologique dans les pays émergents - Au-delà de l’atelier et de l’entreprise

ARVAniTiS,R.,VillAViCEnCio,D.,WEi,Z.,2014,S.A.C.,REVUED’AnTHRopoloGiEDESConnAiSSAnCES,vol.8,n°3,p.495-521pourtélécharger,cliquerici

A LiRE ÉGALEMEnt

Rapport sur le développement humain 2014. Pérenniser le progrès humain : réduire les vulnérabilités et renforcer la résilience

pnUD,2014,259ppourtélécharger,cliquerici

A LiRE ÉGALEMEnt

Ramses 2015 : le défi des émergents

iFRi,2014,DUnoD,372pCoteiFR.15

A LiRE ÉGALEMEnt

Africa confidential African business magazine African re-view of money finance and banking Afrique agriculture Afrique éducation Aghrymet Bulletin Alter-agri Alternatives économiques Alternatives internationales Arabies Ar-chimède et Léonard Les carnets de l’Aitec Ashgate As-sexport Autrepart Aventure au XXème siècle Banque magazine Bois et forêts des tropiques Bulletin de l’Union européenne Bulletin d’informations économiques et commer-ciales Nigéria Bulletin du club du Sahel Bulletin du Conseil général du Gref Bulletin du Fmi Bulletin du Parlement eu-ropéen Bulletin économie solidaire Ires Bulletin Medcoop

Bulletin mensuel de la Commission des opérations de bourse Bulletin objectif Terre Bulletin officiel de la Banque de

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Directricedelapublication:ANNE PAUGAMResponsabledelarédaction: GUILLAUME DE SAINT PHALLE

Coordination:réGINE rENNESSoNRéalisation: réGINE rENNESSoN,

JACQUELINE MATTIoLI, HADJ LAKHALGraphisme: F. TUAL / FErrArI CorPorATE

Saisie/miseenpage: DENISE PErrIN

ISSN 1639-044X

pourcontacterERS/GDC: PATrICE NICoLAS - 01 53 44 36 43

C etterevuemensuelledespublicationssurledéveloppementapourambitiondedonnerchaquemois,defaçonsynthétique,unéchoparticulierauxcontenusscientifiquesettechniquesdesprincipalesrevueset

publicationsmondialestraitantlesdifférentesdimensionsdudéveloppement.Cetterevues’attachenotammentàlarestitutiondescontenuspubliésparleséditeursetrevuessuivantesetn’engagedoncpaslaresponsabilitédel’AFD.

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