L E JOURNAL IN T ERNE DE LA CENTRA L E THERM IQUE DU HAVRE

n°25FEV. 2011

FOCUSUne pierre,trois coups !

LA CENTRALE.. .Médailles dutravail

LA CENTRALE.. .Visite de HervéMachenaud etPatrick Chardonnal

QSECertificationOHSAS 18001

RENCONTRELa centrale etle Téléthon

24H AVEC...L’équipe commune UP/CIT

A LACROISÉE DESCHANTIERS

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011

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BILAN 2010 / PERSPECTIVES 201102

SOMMAIRE

LES FAITS MARQUANTS• Bonne réactivité sur les incidents

techniques

• Des incidents liés à la rigueurd’exploitation et à la qualité desinterventions = des progrèssignificatifs à obtenir en 2011

• Réussite de l’arrêt de tranche 2et des ADP

• Prolongation de l’arrêtdécennal de la tranche 1

• Respect budgétaire• Reconnaissance du Service

Inspection

• Renouvellement de lacertification CE EN 450

• Obtention du permis deconstruire du démonstrateur decaptage de CO2

• Acquisition par EDF desinstallations du quai minéralier

• Conflit social du 3ème trimestre

• Problématique de gestion du Fioul :21S -> FOD

ENVIRONNEMENT• Renouvellement de lacertification CE EN 450

• Fortuit sur nos installations dedépollution qui ne remettent pasen cause nos résultats d’émission

• Mise en place du programme3RSDE (Recherche de Réductiondes Rejets des SubstancesDangereuses dans l’Eau) avecsuccès

• Obtention du permis deconstruire du démonstrateur decaptage de CO2

VIVRE ENSEMBLE• Application de l’accord“Maintenir la flamme”

• Attribution du tauxd’avancements prévu

• Signature de l’intéressement• Signature de l’accord sur lacrèche

• Amélioration de la propreté du site -Journée “Propreté”

• Journée “Produire ensemble”(30 novembre)

• Journée des familles (9 octobre)

Réussir nos arrêts de tranche Kipr = 0

Réussir nos arrêts de Week-end etmaîtriser nos arrêts fortuits

En garantissant notre performancesécurité : Tfg < 6

TEM• Intégration du préventif,• Mise en place de l’analyse de risques

(préparation et diagnostic).

TEA• Anticipation des prestations et des volumes

de maintenance,• Respect du référentiel de préparation des

arrêts,• Améliorer la circulation de l’information.

Compétences• Pilotage dans chaque métier,• Formation / Compagnonnage,• Intégration du REX.

Achats• Respect strict du processus,• Anticipation

Qualité d’intervention• Analyse de risque / parade,• Suivi de nos prestataires - renforcement de

nos exigences,• Pilotage de l’activité - pour sa maîtrise

complète,• Détection, traitement des écarts

Rigueur d’exploitation• Surveillance des matériels / relèves de

qualité,• Maîtrise des transitoires difficiles,• Pilotage / vision des priorités.

Cible Kinp 2011

Tranche 1 Tranche 2 Tranche 4

14 12 7+3 (depollution)

Éléments TR 1 TR 2 TR 4

Disponibilité (KD) 39,18% 72,30% 64,51%Objectif : 39,93% Objectif : 80,1% Objectif : 70,27%

Indisponibilité 23,84% 22,77% 25,59%(KINP) Objectif : 13,5% Objectif : 12,5% Objectif : 10,0%

Prolongation 18,37% 0 0,33%d’arret (KIPR)

Production KINP

Bonus / Malus

Environnement

Sécurité

Budget

RH / SocialEmbauche – Engagements - Reconnaissance

Vivre ensemble

Externe

MAÎTRISER LES AUTRES DOMAINES : ENVIRONNEMENT -BUDGET - RH/SOCIAL - VIVRE ENSEMBLE - EXTERNE

2010LE BILAN

Perspectives 2011RESTAURER NOTRE PERFORMANCE TECHNIQUE

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Je souhaite d’abord rendre un hommage à JackyDaurelle qui vient de nous quitter. Il a été uncollaborateur efficace et agréable. Toutes mes

pensées vont à sa famille et à ses proches.

L’année 2010 est derrière nous, 2011 est déjà bien engagée avec desactualités techniques qui continuent à nous mobiliser avec le démarrage dela tranche 1 et le contrôle des vannes intermédiaires de la tranche 2. Nousdevons franchir cette étape.

Un bref retour sur l’année 2010, avecdes résultats en demi-teinte comme jel’ai souligné lors de mes vœux le 13janvier à la cantine. En terme deperformance (coefficient d’indisponibilité),nous sommes en dessous de l’objectiffixé. Si nos ADP et l’arrêt sur la tranche2 ont été réussis, la décennale de latranche 1 n’a pas été au rendez-vous.Les raisons qui l’expliquent : les aléastechniques et les retards pris cette find’année sur le chantier GTA et sur celuide l’alternateur.

Plus généralement, d’autres facteurs impactent nos écarts de production :des erreurs humaines soit par manque de rigueur d’exploitation, soit parmanque de qualité d’intervention, nous ont conduit à des écarts de productionsignificatifs.

En parallèle nos objectifs dans les domaines sécurité, environnement, budget,communication, ressources humaines sont atteints.

Notre performance d’exploitant, tant sur les arrêts programmés que sur nosarrêts deweek-end, doit être retrouvée. Améliorer notre performance aujourd'huiest notre seul gage d'avenir.

Pour cela, nous devrons travailler ensemble pour progresser sur notre fiabilitétechnique. Nous avons deux axes de travail majeurs : qualité d’intervention etrigueur d’exploitation. Cela passe aussi par un meilleur suivi de nos prestataires.L’activité doit être anticipée et pilotée par nous afin de détecter puis traiter lesécarts dans les meilleurs délais. Notre présence sur le terrain est donc àrenforcer.

Nous avons à travailler à l’unisson autour d’un seul et même chef d’orchestre,la mission TEM-TEA. Les métiers avec TEM-TEA doivent continuer leur implicationdans l’intégration du préventif, la mise en place de l’analyse de risques,l’anticipation des prestations et des volumes d’activités de maintenance, pourgarantir les échéances.

2011 sera l’année où nous devons retrouver notre performance. Il en va denotre fierté. Nous devons montrer que l’on peut avoir confiance en nous. Jesais pouvoir compter sur chacun d’entre vous pour y parvenir. Elle sera aussil’année qui j’espère verra vos ambitions personnelles et professionnelless’accomplir. Une année, je vous le souhaite pleine de bonheurs et de joiespour vous et vos proches.

Thomas HETSCHDirecteur

03Thomas HETSCH, Directeur de la centrale du Havre

ÉDITO

SOMMAIRE

LignageJournal trimestriel d’information internetiré à 550 exemplaires • Directeur de lapublication : Thomas Hetsch • Rédacteur enchef : Déborah Prigent • Rédacteur en chefadjoint : Jean-Baptiste Leservot • Comitééditorial : Ludovic Béquet, Alain Cahoreau,Philippe Cornu, Béatrice Cresson, Gilles Dufrene,Lucien Germe, Jérôme Lecointre, Eric Lemercier,Véronique Le Sausse, Eric Piedagnel, Jean-YvesRenault, Eric Vargoz • Rédaction :Marie Héron•Conception&réalisation :Bingo0231397060• Crédits photos : D. R., Médiathèque EDF,Marie Héron, © Vincent Rustuel • Pourcontacter la rédaction : 02 35 11 30 61 -deborah.prigent@edf.fr / jean-baptiste.leservot@edf.fr

24H AVEC . . .

L’équipe commune UP/CIT

FOCUS

Une pierre, trois coups !

LA CENTRALE S ’A F F ICHE

Médailles du travail

Visite de HervéMachenaud et PatrickChardonnal

EDF partenaire duTourisme de découverteéconomique au Havre

Une délégation du Paysde Honfleur en visite

QSE - MÉT I E RS

Certification OHSAS 18001

Cendres :100% conformes !

Nos sols observés à laloupe

RENCONTRE

La centrale et le Téléthon

MOUVEMENTS

Ils arrivent...

L’ IMAGE DU MO I S

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Améliorer notreperformanceaujourd’hui estnotre seul gaged’avenir

FEVRIER 2010

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0424HAVEC...

ZOOM SUR LE RÔLEDE CES FEMMES ETCES HOMMES QUICOMPOSENT UNEENTITÉ PAS TOUT ÀFAIT COMME LESAUTRES.

24 H AVEC L'EQUIPE COMMUNE UP/CIT

DES CHANTIERSA LA CROISÉE

Présente sur un grand nombre de chantiers de l'UP, l'Equipe commune représente le Centred'Ingénierie Technique (CIT) d'EDF basé à Paris (La Défense). “Un de nos rôles, expliqueGuillaume Caron, chef de l'Equipe commune, est d'assurer le suivi des chantiers des projetspilotés par le CIT-siège, sous les angles techniques mais également sécurité, santé etenvironnement.” Répondant aux besoins de la centrale, l'équipe pilote également en local desprojets que l'UP ne prend pas en charge par ses propres équipes. Les affaires qui leur sontconfiées sont variées. Certaines sont complexes et peuvent porter sur plusieurs années. Toutesont un point commun : “elles reposent sur la plus-value apportée par les agents du CIT, qu'ilssoient localisés au Havre ou à La Défense.” Lorsqu'il s'agit de travaux neufs ou d'opérationssusceptibles de modifier les installations, les compétences de l'Equipe commune sont égalementrequises, telle la livraison des nouvelles chaudières auxiliaires XCB et XCC, dont la mise enservice est prévue en 2013.

Pour comprendre le rôle de l'Equipe commune, une visite de chantiers s'impose.Piloté par Jean-Claude Cherruault(*), le remplacement du Resurchauffeurs BasseTempérature (RBT) est le parfait exemple d'un dossier qui n'aurait su se passer du savoir-faire duCIT : “cette opération réalisée en 2009 s'est déroulée sur huit mois, rappelle Guillaume Caron ;elle exigeait une maintenance complexe et inhabituelle pour l'UP mais pour laquelle le CIT estarmé”. De même, ladégradation du canal derejet des eaux derefroidissement a nécessitél'intervention du CIT : “enpoursuivant un travail initiépar l’UP, les expertises desingénieurs du CIT vontpermettre de définir, vis-à-vis du Grand Port Maritimedu Havre, les interventionset les travaux de génie civilnécessaires sur les quais etpalplanches.” Le remplacement du RBT pendant l’arrêt de la tranche 4 en 2009.

Guillaume Caron, responsable de l'équipecommune et Denis Ternon chargé

d'affaires sur l'emplacement du futurdémonstrateur de captage de CO2.

Denis Ternon assurera le suivi du chantierdu démonstrateur dont les fondations

devraient être coulées en mars.

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24HAVEC...

S

MÉCANIQUE HUILÉE

Autonome, l'Equipe commune l'est sur un certain nombre dedossiers. Ainsi en 2011, la rénovation du silo de cendres nonconformes S4 est programmée : Denis Ternon, chargéd'affaires au sein de l'Equipe commune, pilote le projet sansavoir besoin de “passer par la case CIT” basée à La Défense.Même autonomie pour Didier Caudart et Olivier Le Moal lorsdu chantier de sécurisation de la tranche 3 mené en continusur plusieurs années ; ou pour Serge Defrance sur la réalisationdes travaux de modification de la pomperie incendie. Enrevanche, des opérations comme l’installation d’unetroisième couche de catalyseurs sur la DeNox (exigée parles normes environnementales) ou le chantier-phare dedémonstrateur de captage de CO2 sont pilotées depuis lesiège du CIT : “l'Equipe commune a alors la responsabilitéd'assurer le relai entre le chef de projet situé au siège du CITet l'UP du Havre.”

Placée sous l'autorité de Guillaume Caron depuis l'été dernier,l'équipe fonctionne autour d'un noyau dur constitué par lacellule administrative (Laetitia Garnier), la cellule QSE(Geneviève Marchi) et les pôles Réalisation et Etudes. Deschargés d'affaires et des chargés de surveillance sont nommésen fonction des chantiers et des projets. Ces postes sont tousoccupés par des membres du CIT, par des agents de l'UP oupar des prestataires extérieurs selon les besoins et pour ladurée nécessaire à chaque opération. Cette organisation bienhuilée permet, au coup par coup, de disposer de systèmesd'assistance technique ad hoc.

L'EQUIPE COMMUNE, LA BIEN-NOMMÉE ?

Outre leur sens aigu de l'anticipation tant sur les besoins del'UP que sur les attentes du CIT, les membres de l'Equipecommune ont en permanence le souci de travailler en bonneintelligence avec les agents du site havrais. Ainsi, la rénovationdu silo n°4 -silo qu'il faudra retirer de l'exploitation pendantplusieurs mois- ne pourrait avoir lieu sans une parfaitecoordination entre tous, agents de l'UP et du CIT ; des réunionsmensuelles sont ainsi organisées en phase préparation, quipermettent une bonne communication et l'ajustement descalendriers et des contraintes. C'est à ce prix que les travauxde l'Equipe commune portent leurs fruits et profitent à tous.Pour Guillaume Caron, chacun est désormais convaincu deson utilité : “l'UP et le CIT trouvent tous deux un intérêt à cetteorganisation qui permet de maintenir en permanence sur lesite du Havre une équipe capable de réactivité et de proximitésur des chantiers que l'UP ne peut assumer seule.”

L'Equipe commune porte-t-elle bien son nom ? Doublement,si l'on en juge par sa composition puisqu'elle est constituéed'agents du CIT et de l'UP ; mais également par l'engagementqu'ont ses troupes à veiller, sur le site havrais, à l'intérêtcommun de tous.

(*) qui a rejoint le site de Cordemais au 1er janvier 2011.

AGENTS DE L'UP, DU CIT ETPRESTATAIRES EXTÉRIEURS :même combat !Les effectifs de l'Equipe commune varient selon les projetsen cours et à venir. Jusqu'au 1er janvier 2011, ils étaient dix.Deux d'entre eux, Guillaume Caron et Jean-Claude Cherruault,sont agents EDF-CIT. Denis Ternon est agent de l'UP. Les septautres membres sont des prestataires extérieurs salariés desentreprises SPIE, AGERE, OCE, ASSYSTEM, SOM ou SOFREN. Tousforment cette équipe dont la mission est d'assurer des suivis dechantiers au service de la Centrale.

Parmi les chantiers 2011 figure la déconstruction de l'ancien bacfioul n°4. Jean-Philippe Prince (SOFREN) a intégré l'Equipe communeen septembre pour la gestion en local de ce projet.Le chantier a débuté le 4 février dernier et devrait durer deux mois.

De gauche à droite : Serge Defrance, Jean-Philippe Prince, GenevièveMerchi, Jean-Claude Cherruault, Olivier Le-Moal, Eric Caudron, LaëtitiaGarnier, Guillaume Caron, Didier Caudart. Absent : Denis Ternon.

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06FOCUS

AINSI PEUT-ON RÉSUMER LARÉNOVATION RÉALISÉE SURL'ALIMENTATION ÉLECTRIQUE DELA MANUTENTION CHARBON.VISITE DE CHANTIER.

Acheminer le charbon jusqu'en tranche, c'est tout une histoirequi remonte à 1967 (lire Lignage n°20). A cette époque,l’architecture des alimentations électriques place les deuxchaînes d'approvisionnement sur un seul et même tableauélectrique. Mais ce qui était adapté voici 30 ans ne l'est plusaujourd'hui. “Nous devons remplacer un système devenuobsolète pour améliorer la sécurité des personnes et des biens,explique Julien Freychet, pilote stratégique. Par ailleurs, leprincipe de modes communs rend difficile la tenue de nosengagements de disponibilité de tranches et impossible touteopération de maintenance des alimentations, sauf à placer lestrois tranches à l’arrêt, ce qui est inacceptable”.

La décision a donc été prise de revoir l'ensemble de l'installation.Une rénovation qui, pour aller au bout des attentes, prendl'aspect d'une fusée à trois étages. Elle porte en effet sur troispoints. La chaîne demontée charbon sera désormais équipéede deux voies électriquement indépendantes : “ce systèmeassurera l'alimentation charbon et la maintenance préventiveet curative en toutes circonstances, sans gêner l'approvisionnementdes autres tranches” précise Jean-Paul Burel, pilote stratégiquecôté contrôle-commande. “Le relayage sera, quant à lui,déplacé dans un vaste local remis à neuf à la Manutention etcentralisé par deux automates, poursuit Gilles Taillanter, piloteopérationnel pour la partie contrôle-commande. L'ancienpupitre de commande sera remplacé par des écrans desupervision. Ils présenteront des vues de conduite qui serontdéveloppées en étroite collaboration avec les exploitants de laManutention. Cette parfaite interface homme-machine offriraaux agents de la Manutention, étroitement associés à cechantier, davantage de confort d'intervention, une plusgrande autonomie et une meilleure réactivité”. Enfin, côtéalimentation électrique, la rénovation est l'occasion de fairedisparaître le 5,5KV d'origine des tranches 1 et 2 au profit du6,6KV qui est la tension de fonctionnement de la tranche 4,pour être pérenne jusqu'en 2030.

Pour Jean-Claude Charpentier, consultant et ancien agent EDFde l'UP, ce lifting de fond - de près de 2 M€ - est le fruit d'untravail de groupe doublé d'un sens aigu de l'anticipation : “lapréparation du chantier a eu son lot de surprises ! Mais riend'étonnant sur des installations plus que trentenaires. Certainsfourreaux ont demandé plusieurs semaines d'interventionpour être débouchés, mais les 5000 points de connexionseront assurés à temps. Grâce à nos efforts communs,l'approvisionnement en charbon et l'exploitation des tranchesn'ont pas été interrompus”. Sans doute chacun est-il motivépar tous les perspectives qu'offrent ces chantiers parallèles :“ces modifications renforceront la fiabilité de la fonction“approvisionnement de charbon” du site ainsi que la sécuritédes personnes et des biens, conclut l'équipe. Quant au retoursur investissement, il sera quasi immédiat au regard de ce quecoûterait une perte de production des trois tranches par larupture de leur alimentation en charbon”.

Thierry Lemonnier devant lesécrans de supervision qui

remplaceront l'ancien pupitrede commandes.

MANUTENTION

UNE PIERRE,TROIS COUPS !

De gauche à droite : Jean-Claude Charpentier, consultant ; JulienFreychet, pilote stratégique ; Jean-Paul Burel, pilote stratégique ;Gilles Taillanter, pilote opérationnel (côté contrôle commande).

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L'événement est suffisamment rare pourque l'on s'y arrête : un membre du COMEXdu Groupe EDF est venu en visite surnotre site, le 19 janvier dernier.

C’est à la suite de la cérémonie des vœux du Directeur que la remisedes médailles a débutée. Ils étaient 65 à se voir remettre, des mains deleur chef de service ou de mission, leur médaille du travail ce 13 janvier2011, au restaurant CMCAS de la rue Cuvier.

65 car trois d'entre eux (Bruno Lhermitte et Dominique Lor du service CLI etAlain Rioual, retraité du service MAE) ont cumulé leur médailles EDF à lamédaille d'honneur de travail.

Ce sont 23 médailles EDF Vermeil, 7 médailles EDF Bronze, 8 médailles EDFargent, 1 médaille EDF 2ème Or et 7 1ère Or ainsi que 22 médailles d'honneurdu travail qui ont été remises au total.

La cérémonie s'est terminée autour d'un repas conclu lui-même par latraditionnelle galette des rois.

Mardi 21 septembre, la centraleEDF a signé une convention avecl'officedetourismedel'agglomérationhavraise et trois partenaires de lazone industrielle.

Cette convention lance officiellementdes nouvelles offres de visitesdédiées au grand public.

Prochainement, ce dernier profiterade packages intitulés “tourisme dedécouverte économique”.

Ces formules associeront la découverteculturelle et gastronomique de laville ainsi que des visites guidées dela centrale EDF, de la raffinerieTOTAL, de Renault Sandouville ouencore des installations du GrandPort Maritime.

Contact

Office du tourisme de l’AgglomérationHavraise au 02 32 74 04 08

Mardi 9 novembre 2010, unedélégation de la Communautéde communes du Pays deHonfleur est venue découvrirla centrale. Au fil de la visite,nombreuses ont été les questionssur le contenu des fumées visiblesaussi “de l'autre côté de l'eau”.Monsieur Lamarre, Président etmaire de Honfleur, a soulignél'intérêt des échanges avec leDirecteur de la centrale, Thomas

Hetsch, notamment sur les investissements qui permettent de traiter lesfumées et d'en limiter l'impact sur l'environnement.

La communauté de communes du pays de Honfleur est composée descommunes de : Ablon, Barneville-la-Bertran, Cricqueboeuf, Equemauville,Fourneville, Genneville, Gonneville-sur-Honfleur, Honfleur, Pennedepie,Quetteville, La Rivière St Sauveur, Saint Gatien des Bois, Le Theil-en-Auge.

07

LACENTRALES’AFFICHE

“Hervé Machenaud et Patrick Chardonnal ont apprécié notre

accueil et la façon dont nous avons présenté notre unité de

production et les actions engagées. Les témoignages et les

échanges lors de la visite (exploitation, MCR, MAE) ont été

particulièrement remarqués.”Thomas Hetsch

MÉDAILLES DU TRAVAIL

LE 13 JANVIER,AUX SALARIÉSET RETRAITÉSDE LA CENTRALE

68 MÉDAILLESREMISES

UNE DÉLÉGATION DU PAYSDE HONFLEUR EN VISITE

PARTENAIREDU TOURISMEDE DÉCOUVERTEÉCONOMIQUEAU HAVRE

EDF

Hervé Machenaud,membre du COMEXen charge de laProduction et del’Ingénierie, étaitaccompagnédePatrickChardonnal, DirecteurDélégué de la DPIT.

Aprèsuneprésentationdu rôle et des enjeuxde la DPIT et plusparticulièrement dela centrale du Havrepar le Comité deDirection de la centrale, la délégation s'est rendue envisite sur le site. Sous la conduite de Thomas Hetsch,Hervé Machenaud a rencontré les équipes en salle decommande tranche 4 et celles des services MCR et MAEdans leurs ateliers. Les sujets abordés furentprincipalement la performance et le renouvellement descompétences. La cellule “transfert de compétences” miseen place à la conduite a été présentée avec l'interventionde Jean-Paul Burel et le témoignage de Caroline Quiec.

Hervé Machenaud s'est ensuite entretenu avec lesorganisations syndicales avant de reprendre la route pour Paris.

HERVÉ MACHENAUD,DIRECTEUR EXÉCUTIFGROUPE EN CHARGE DELA PRODUCTION ET DEL’INGÉNIERIE ET PATRICKCHARDONNAL, DIRECTEURDÉLÉGUÉ DE LA DPITEN VISITE À LA CENTRALEDU HAVRE LE 19 JANVIERDERNIER

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08QSE

L'œil averti d'Elodie Desgardin, auditrice auprès de

Bureau Veritas, a été une opportunité, pour les

responsables QSE, d'évaluer dans le détail le respect des

exigences du référentiel OHSAS 18001. Passant au crible

chacune des activités du site, l'experte a en effet passé

de longues heures à interroger, à écouter, à compulser

les documents, à identifier les risques et à analyser les

procédures. “L'objectif est d'observer les maillons de la

chaîne particulièrement impliqués dans la santé au

travail, explique-t-elle, pour mieux définir les pistes

d'amélioration.” L'enjeu est de taille : “il s'agit pour

nous de tester notre capacité à obtenir la précieuse

certification OHSAS 18001 dès 2011”, rappelle Eric

Piedagnel, cadre prévention des risques à QSE.

“JE N'AI JAMAIS VU CELA PARAILLEURS !”Poussant les portes des équipes Documentation, Formation,Médical, Exploitation, CLI, MCR, MAE, TEM-TEA, ainsi que desmissions QSE, Communication et de la Direction, ElodieDesgardin a dressé un bilan précis de la situation. “J'ai noté denombreux points forts” a-t-elle confié lors de la séance declôture. Citons ainsi l'implication des acteurs, la cohérence desengagements et la volonté d'associer les entreprises prestataires: sur ce dernier point, l'auditrice a souligné l'absence d'unsystème à deux vitesses : “je trouve cela remarquable.” Ontété soulignés la bonne évaluation des risques professionnelsdans l'enceinte de l'UP, le travail de veille réglementaire, laqualité du logiciel de gestion des habilitations (“je n'ai jamaisvu cela par ailleurs !”) et les actions de communication interne.Des écarts, des points sensibles et des “opportunitésd'amélioration” ont également été observés, sur lesquels lesresponsables QSE travaillent déjà.

Bilan ?Tous les feux sont au vert pour prétendre à la certification mi2011, “mais pour plus de sûreté, note Stéphanie Delaunay,responsable le la Mission QSE, nous avons prévu début 2011un second audit à blanc qui nous permettra de finaliser cespoints et de vérifier sur le terrain la compréhension et l'applicationdes dispositions prises pour l'audit de certification.”

LES 7 ET 8 DÉCEMBRE S'EST DÉROULÉ SUR LE SITE DE

L'UP UN AUDIT À BLANC SUR LE MANAGEMENT DE

LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ AU TRAVAIL. OÙ EN

EST-ON ? UNE CERTIFICATION OHSAS 18001 EST-ELLE

ENVISAGEABLE EN 2011 ? BILAN DE CE QU'IL FAUT

RETENIR DE DEUX JOURS D'OBSERVATION AUPRÈS

DU MANAGEMENT.

INDICATEURSAU VERT !

CERTIFICATION OHSAS 18001

D'OÙ VIENNENTces 5 lettres ?NÉ VOICI UNE DIZAINE D'ANNÉES EN ANGLETERRE, LE RÉFÉRENTIEL

OHSAS 18001 SIGNIFIE OCCUPATIONAL HEALTH AND SAFETY

ASSESSMENT SERIES. SON OBJECTIF EST DE FOURNIR AUX

ENTREPRISES UN SUPPORT D'ÉVALUATION ET DE CERTIFICATION DE

LEUR SYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ AU

TRAVAIL.

Séances d'audit auprès des services médical et MAE.

Séance de clôture : “L'UP a pris le temps de réfléchir à des outils efficaces”.

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QSE

100% de réussite pour le renouvellement de la certificationdes cendres EN 450 ! C'est en effet avec une impression“extrêmement positive sur l'évolution du système qualité dela Centrale” que StéphaneWirgot, du CRIC (Centre de recherchedes industries cimentières), a achevé son audit de surveillancele 24 novembre dernier. “Je sens le personnel motivé et sérieux,a confié l'auditeur à l'issue de sa journée d'écoute et d'observationsur le site havrais, et je n'ai aucune réserve à apporter aurenouvellement de la certification”.

Guidé par Véronique Duboc, chargée de mission QSE, AlainCahoreau, adjoint au chef de service Exploitation etaccompagné de François Thierry, correspondant cendres auniveau national, l'auditeur a repris le cheminement completdu traitement des cendres, vérifiant chaque étape duprocessus depuis la salle de commande tranche 4 jusqu'auxsilos de stockage, en passant par le service Appui-Exploitationet le laboratoire. Stéphane Wirgot a par ailleurs tenu àsouligner les efforts effectués au regard du système qualitéaprès deux récents incidents de non conformité : “lessituations ont été reconnues, analysées et parfaitementgérées.” De leur côté, formations, audits internes et autrescampagnes de sensibilisation contribuent à faire de la Centraleun site modèle en terme de traitement des cendresconformes.

Chaque trimestre, un suivi réglementaire d’analyses est effectuésur les sols de la Centrale, qui permet de contrôler les éventuelsrisques de pollution. Ces campagnes peuvent conduire à desinvestigations plus lourdes en termes de recherche depollution : “des suivis piézométriques réalisés en 2008, expliqueJean-Marc Chanteau, animateur environnement, ont permisd'observer des dépassements d'hydrocarbures et de métaux,notamment au niveau du parc à fuel, du parc à charbon et dela déchetterie. Nous avons l’obligation de répondre à cesproblèmatiques.”Dès 2009, une étude approfondie a donc été lancée sur lesite, afin d'identifier les sources (incidents, accidents, gestesquotidiens) pouvant conduire à la pollution de nos sols et eauxsouterraines. En novembre, avec l'aide des spécialistes enmatière de sols pollués d’EDF-TEGG(1) et CIT(2), une cinquantaine

de sondages ontété effectués surles zonesconcernées. Lesforages réalisésdans le cadre decette étude hydrogéologique ont permis de prélever parcarrotages des extraits de terre actuellement en coursd'analyse et dont les résultats seront rendus début 2011.“Nous sommes responsables de toutes activités d’exploitationet de maintenance qui pourraient avoir un impact dans ledomaine de l’environnement, notamment sur la qualité dessols et sous-sols, ainsi que des eaux souterraines”, rappelleJacky Lecacheleux, maître d'ouvrage à I2P. D’où la nécessité deces investigations.

CENDRES : 100% CONFORMES !

NOS SOLS OBSERVÉSÀ LA LOUPE

(1) Topographie-Exécution-Géologie-Géotechnique(2) Centre d'ingénierie Thermique

Alain Cahoreau, Stephane Wirgot et François Thierry dans la sallede commande de la tranche 4.

Une cinquantaine de sondages ont étéeffectués sur les zones concernées

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10RENCONTRE

Les 24 h du donC'est une épreuve sportive pas tout à faitcomme les autres qui se déroule tous les ansdepuis 2002 du côté de Jumièges. Quinze joursavant la date officielle du Téléthon, le tempss'arrête sur le terrain de golfmunicipal : pendant24 heures non stop, le site respire au rythmedu Téléthon. Bravant le froid, la nuit, parfois lapluie voire la neige et la glace, une trentained'équipes se rencontre autour d'une compétitiondont les bénéfices sont intégralement remisà l'AFM. De 16 heures le samedi, jusqu'à 16heures le lendemain, ils étaient à l'origine en2002 une centaine de joueurs à se succéderautour des dix trous qui constituent le parcours.Mais les années passent et les chiffresgrimpent : ce 19 novembre 2010, 220 joueursrépartis en 30 équipes ont pris le départ,parcouru 940 kilomètres, tapé 16 787 fousdans la balle... et permis à l'association“24heures de golf pour le téléthon” de remettreun chèque de près de 15 000 € à l'AMF !

On s'en doute : de nombreux sponsors et unesolide équipe de bénévoles sont à l'origine dece succès chaque année renouvelé. Parmieux, Aurélie de Bosschère, Eric Tréguier etPatrick Fontaine, tous trois agents de laCentrale du Havre, donnent de leur temps etplacent leurs compétences au service de lacause. C'est d'ailleurs un peu grâce à eux età l'aide technique apportée par la Centraleque “la lumière fût” dès la première éditionsur l'ensemble du parcours. “Cette année,précise Eric Tréguier, afin de limiter les 3 600mètres de câbles nécessaires à l'éclairage,l'UP a acquis une trentaine de lampes ledspour chaque départ de trous”.

L'édition 2011 est déjà en préparation.Joueurs de golfe débutants et confirmés,amateurs des boucles de la Seine ou simplessympathisants du Téléthon, ces “24 heurs dudon” sont à noter sur vos agendas.

POUR LA HUITIÈMEANNÉE CONSÉCUTIVE,LES “24 H DU GOLFPOUR LE TÉLÉTHON”ONT RENCONTRÉ UNVRAI SUCCÈS GRÂCE

NOTAMMENT ÀL'AIDE DE L'UP ET DE

QUELQUES UNS DE SESAGENTS.

ET LE TÉLÉTHONLA CENTRALE

LA CENTRALE DUHAVRE A ACCUEILLILA “Boucle cyclopour le téléthon”,le 3 décembre 2010.Laurent Lacroix, directeuradjoint de la centrale, aremis un chèque de 2000euros à l'ordre de l'AFM, àcette occasion, abondantainsi les 1836 euros verséspar les agents du site endons d'heures.

L'organisation n'oublie pas les 1500repas, les 1000 sandwiches, les 500litres de boissons... et la tente spécial-repos pour les sportifs qui souhaitentfaire une pause au cœur de la nuit.

Plus d'info sur www.24heures-de-golf-pour-le-telethon.over.bog.com

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MOUVEMENTS

Alexandre Chicot,21 ans, MCR“Après différentes expériences professionnelles auprès d'uneentreprise de motoculture puis au Grand Port Maritime du Havre(GPMH) et chez Exxon Mobil, c'est à la centrale EDF que jepoursuis ma formation Bac Pro' en maintenance des systèmesmécaniques automatisés. Très bien accueilli par mes collègues,j'effectue en tant qu'agent de robinetterie des interventions surle matériel du site ; je participe également au suivi des prestatairesextérieurs, aspect du métier qui est totalement nouveau pour moi.”

Andrés Sanchez Roa,26 ans, I2P“D'origine colombienne, je suis arrivé en France à 18 ans pour ypoursuivre mes études. Titulaire d'un DUT "Mécanique etProductique" (Lyon) et d'un diplôme d'ingénieur "Mécanique,filière Fiabilité et Qualité industrielle" (Compiègne), j'ai effectuéplusieurs stages dans l'automobile en Allemagne, ainsi que dansl'aéronautique au sein du groupe Safran près de Pau. A la centraledu Havre, je remplace Michaël Vittoz au poste de référentmatériel machines tournantes. Ma mission consiste à assurer la

maintenance pluriannuelle des turbines à vapeur et des machines tournantes auxiliaires. Cettefonction s'inscrit dans la recherche de l'amélioration continue : l'objectif est bien d'identifier lescauses d'indisponibilités et d'apporter des solutions pour éviter que ces incidents ne sereproduisent.”

Nicolas Lemaistre, 24 ans,technicien d'exploitation“Titulaire d'un BTS Systèmes électriques et d'un brevetd'opérateur obtenu en alternance avec l'entreprise Exxon Mobil,j'ai bénéficié de deux années de formation dans la pétrochimie.Ainsi ai-je pu me familiariser avec le fonctionnement de lachaudière qui, chez Exxon, fournit de la vapeur pour l'ensemblede la plateforme. A la Centrale EDF, où j'ai été embauché ennovembre dernier en tant que technicien à l'Exploitation, jeretrouve un métier comparable, à la nuance près que leschaudières sont, ici, d'une puissance nettement supérieure...”

Nicolas Panel, 20 ans,technicien de maintenance,MAE“Entre 2008 et 2010, j'ai eu la chance de pouvoir suivre enalternance ma formation BTS Maintenance industrielle sur le sitede la Centrale EDF du Havre. Voici donc plus de deux ans que jetravaille quotidiennement à la Centrale dans le cadre d'uneformation qui m'a permis d'aborder en même temps pratique etthéorie. En tant que technicien de maintenance à la section TOR,

je participe aux interventions sur les automatismes de l'ensemble des installations. Il y a de quoifaire et de quoi apprendre ! Aussi suis-je heureux d'avoir intégré une entreprise dans laquelleles technologies sont tellement différentes qu'il y aura toujours quelque chose à découvrir.”

ILS/ELLES ARRIVENT... ILS REJOIGNENTUN AUTRE SITE

Contratsen alternance

JonathanVasselin,30 ans,animateurQSE

“Titulaire d'un BTS Chimie, j'aitravaillé 4 ans dans la pharma-ceutique en région rouennaise.Ma participation à un projet QSEau sein de cette entreprise m'adonné envie d'aller plus loin surles sujets qualité, sécurité etenvironnement. C'est donc auprèsdu CESI de Rouen que j'ai choiside poursuivre, en alternance, uneformation “animateur QSE”. Jepasse ainsi les 2/3 de mon tempsau sein de la Mission QSE de laCentrale où j'assure la mise àjour et le suivi du plan d'actionQSE, du POI et de la veilleréglementaire”.

Ophélie YOA,24 ans,assistante àla MissionRH

“C'est dans le cadre de ma formationd'assistante gestion des ressourceshumaines à l'IFA de Rouen (Institutde formation par Alternance) quej'ai intégré la Centrale du Havreen alternance jusqu'en novembre2011. Aux côtés de NathalieMontaudoin, ma tutrice, j'apprendsà travailler sur les bilans sociaux,les déclarations de travailleurshandicapés, la gestion prévisionnelledes emplois et compétences etdivers tableaux de bord utiliséspar l'entreprise.L'accompagnement de matutrice est aussi précieuxqu'indispensable : il m'aide àconnaître cet univers industrieldans lequel je suis immergée3 jours par semaine.”

• Samuel Algay a quittéla centrale du Havre endécembre pour rejoindrele CNPE Saint Alban.

• Philippe Marcotte a étéaffecté à la DPIT.

ILS PARTENTEN RETRAITE• Alain Dessailly (CLI)• Laurent Metterie (MAE)• Johannes Mahdi

(Exploitation)

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L’IMAGEDUMOIS

01/2011

Imprimésurunepâteàpapierissuedefibresrecycléeset

d’unepâteàpapierissuedeforêtsgéréesdurablement

Le photographeHavrais VincentRustuel, qui acouvert les

métiers de ladécennale dela tranche 1,a réalisé une

série dephotographiesde la centrale“vue du ciel”.Une sélection

de cesphotographies

viendrontprochainement

enrichir lamédiathèquedu Groupe

EDF.

©www.vincent.rustuel.com

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