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Bien plus qu’un élève

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Edito p. 3

Présentation de l’école p. 4-5

Pésentation de la campagne «Talents» p. 6-7

Gédéon, 21 ans p. 8-9

David, 20 ans p. 10-11

Issa Vincent, 18 ans p.12-13

Nicolas, 19 ans p. 14-15

Klaudjo, 19 ans p. 16-17

Ricardo, 19 ans p. 18-19

Conception, rédaction et mise en page: Service de l’Information.

Sommaire

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Comment, en quelques mots, dire toute ma fierté d’être échevin de l’Instruction publique et de pouvoir compter l’Institut René Cartigny dans la palette des écoles ixelloises!

Si ce «bateau» flottait un peu entre deux eaux…il fend désormais les flots avec une vigueur nouvelle…& Nouveau capitaine& Ouverture d’une classe: les assistants en déco peu-

vent continuer à se former en 5PA& Formation des enseignants et des élèves à la gestion

des relations humaines& Plus grande ouverture vers le monde culturel& Mise en phase avec le monde professionnel

Une école où la direction et l’équipe éducative, en-semble, ouvrent à chaque élève les portes de l’avenir…

Avec eux, je relèverai ce double défi:Faire résonner le mot «RESPECT» à l’IRC et per-mettre que tous y ressentent cette phrase de Michelet:

«L’EnSEignEmEnT EST unE amiTié»

Marinette De CloedtEchevin de l’Instruction publique et de la Santé à Ixelles

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S itué sur la Place de la Petite Suisse, dans le haut de la commune d’Ixelles, l’Institut René Cartigny forme des générations de techniciens spécialisés

depuis plus de 50 ans.

C’est un établissement à taille humaine qui, fort de cette expérience et de ce savoir-faire, accueille tous les jours environ 270 élèves dans des options techniques et professionnelles relevant des secteurs «industrie» et «arts appliqués».

A l’inscription, les élèves doivent motiver leur choix et démontrer leur envie de réussir dans des filières aussi diverses que l’infographie, la mécanique automobile, l’in-formatique, l’électricité ou l’électromécanique. Lors la rentrée 2010, une nouvelle option, en section professionnelle, la 5e «assistant en décoration», viendra parfaire cette offre de formation. Une équipe solide de 55 professeurs met toute son énergie au service des jeunes qui leur sont confiés afin de les rendre aptes à affronter au sortir de leurs études le monde du travail dans les meilleures conditions.

L’Institut René Cartigny se distingue non seulement par la qualité des ses formations, le dévouement de ses enseignants, mais aussi par son dynamisme.

Ainsi, de nombreux projets ont été initiés avec les élèves afin de mettre en valeur concrètement les com-pétences acquises durant leur cursus scolaire. Citons, par exemple la mise en place d’un mini-garage, un pro-jet théâtre, la participation au concours «Robocode», ou encore la collaboration avec une ONG pour la-quelle les élèves se sont engagés dans la construction de prothèses orthopédiques, etc…

A Cartigny, l’accent est mis sur une pédagogie dyna-mique, centrée sur une forte coordination entre les dif-férentes matières.

Les élèves qui auraient un peu plus de difficultés à suivre le programme ne sont pas oubliés. Depuis quelques années, un programme de tutorat a été mis en place avec l’Université libre de Bruxelles afin de venir en aide à tous ceux qui traversent des difficultés d’apprentissage.

L’école

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pour déboucher sur l’acquisition des compétences: tel est notre objectif!

Nous savons qu’en dehors des heures de cours, de nombreux élèves de l’IRC se plient à la discipline rigou-reuse d’un sport ou d’un art. Certains ont remporté des championnats ou décroché des contrats pour des concerts, envisagent de sortir leur propre disque, ou d’améliorer leurs performances physiques. Cette multi-plicité de talents enrichit aussi l’école et nous sommes fiers de dire qu’à Cartigny, les élèves ne sont pas que des élèves, ils sont bien plus que cela. Nous voulons vous en présenter quelques uns.

La campagne «Talents»

C e que nous voulons, c’est que l’école devienne une référence dans la manière d’aborder chaque jeune. L’école est un lieu qui offre à chacun, se-

lon sa propre personnalité, les meilleures conditions pour apprendre à mieux être, à mieux faire et à deve-nir, outre un technicien de qualité, une personne fière d’elle-même, respectable et respectée.

L’éducation ne s’arrête pas à des cours: l’Institut Cartigny veut prendre en compte chez chacun ce que la vie peut apporter d’apprentissages et de décou-vertes. Partir de l’élève, de ses talents, de ses émotions, prendre en compte sa personnalité dans sa globalité

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Gédeon, 21 ans

Etudiant en 6e année technique de qualification «technicien en informatique» et chanteur de gospel.

Je fais de la musique depuis que je suis tout petit. Quand je vivais à Kinshasa, je jouais de la batterie. Je suis arrivé en Belgique vers l’âge de douze ans et comme il fallait choisir entre le foot et la musique, j’ai choisi de faire du sport. Mais un samedi, ma mère m’a demandé de l’ac-compagner à l’église et m’a proposé de participer aux répétitions de la chorale. «Pour essayer» m’a-t-elle dit. Ca m’a plu tout de suite! Depuis, je n’ai pas arrêté: tous les vendredis et les samedis, je chante du gospel, ce qui signifie «la parole de Dieu».

Je me sens vraiment bien, vraiment moi-même quand je chante. On me fait souvent des compliments: c’est mo-tivant, même si je sais que je dois encore progresser. Je chante aussi en dehors de l’église et je continue la batterie. J’adore le gospel, mais aussi le R&B, les slows et le zouk, mon style de musique préféré.

A l’école, il n’y a pas beaucoup de personnes qui sont au courant de cette passion, mais c’est vrai que certains me posent parfois des questions, parce que le vendredi, après les cours, je file aux répétitions jusque tard le soir et le samedi aussi, dans l’après-midi.

Pour moi, c’est une sacrée motivation d’apprendre et de progresser. Je suppose que ça m’aide aussi un peu pour l’école, parce que si tu veux progresser, tu es obligé de t’appliquer et d’être patient.

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réseau de talents et on reste en contact grâce à MSN. On arrive même à faire des titres ensemble: il suffit que quelqu’un au Chili fasse les voix a capella et nous, en Bel-gique, on ajoute les instruments. Avec le groupe, on a déjà donné pas mal de concerts. Mon rêve ce serait de réaliser un vrai clip, mais ce n’est pas facile de trouver un finan-cement pour ça. Il faudrait un producteur qui croie en ce qu’on fait. J’aimerais voyager aux Etats-Unis pour essayer de percer dans ce domaine, parce que la musique, c’est ce qui m’aide, ça canalise mon énergie. Quand j’ai besoin de me défouler, je prends un carnet, un stylo, et je mets mes émotions sur le papier. Un des derniers titres que j’ai écrits c’est «Ne lâche pas ta vie». Quand tu as des problèmes, quand tout va mal, tu es parfois tenté de faire des bêtises. Mais il faut s’accrocher à ses rêves, pas lâcher…

David, 20 ans

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Etudiant en 5e année professionnelle «électricité» et rappeur Latino.

Avant, je vivais en Equateur. Je suis arrivé en Belgique à l’âge de dix ans. C’est difficile de changer de pays. Le rap, c’est ce qui m’a aidé à vivre ici. J’écris mes textes et je chante depuis que j’ai onze, douze ans. Ça me permet de dire ce que je pense, de parler de mon vécu et de ma vie aujourd’hui. En fait, j’ai écrit énormément de chansons, peut-être des centaines, mais il y en a une vingtaine dont je suis vraiment fier. Ce qui m’inspire, c’est ma vie, ma copine; je vais aussi écrire une chanson sur mon école, Cartigny. Avec mon groupe El Gremio Hip Hop, on a une page sur My Space. On est sept ou huit à Bruxelles, mais El Gremio Hip Hop existe aussi en France et au Chili. On est un

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Etudiant en 4e année technique de transition «électronique informatique» et boxeur.

Ça ne fait pas très longtemps que j’ai commencé la boxe. Avant, j’avais essayé le foot, le karaté ou encore le kick-boxing, mais ce n’était pas trop mon truc, trop répétitif à mon goût. Puis, j’ai suivi un copain au cours de boxe et là, j’ai tout de suite accroché. J’en fais cinq à six heures par semaine depuis le mois de septembre et ce qui me plaît, c’est que c’est très varié et j’ai le sentiment d’apprendre chaque semaine et de progresser. On travaille un peu les muscles aussi, entre les entraînements et les combats. Mais ça reste un loisir, un sport qui me permet de me défouler, de me vider la tête.

Je n’envisage pas du tout de devenir professionnel en boxe un jour. Evidemment, ma mère ne voulait pas trop que je fasse un sport de combat; elle avait peur que je me fasse casser le nez. Mais en réalité, on se fait beaucoup d’idées sur la boxe. C’est un sport où l’on apprend à parer les coups, à protéger sa garde. Et puis, on porte un casque, des protège-dents…On n’est pas là pour se faire du mal.

Moi je préfère m’entraîner, me dépenser physiquement plutôt que de rester chez moi ou dans la rue à ne rien faire. Ça permet non seulement d’évacuer les tensions mais aussi de faire des rencontres. Il y a même des filles qui font de la boxe avec nous. Et puis, les entraînements, ça nous apprend aussi la discipline: pas question de parler quand le prof. donne des explications et il faut être rigoureux.

Vous avez déjà essayé de frapper dans un sac? C’est vrai-ment idéal quand on est trop nerveux, qu’on a besoin de se déstresser. Ils devraient peut-être en installer un à l’école…

Issa Vincent, 18 ans

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Etudiant en 5e année technique de qualification «technicien de l’automobile» et chanteur.

J’ai plein de passions. Je suis parolier, écrivain, chanteur et je commence aussi à faire de la photo de concert. Depuis que j’ai huit ans, je suis dans cet univers de musique et d’écriture. J’ai essayé la guitare, mais l’instrument que je préfère travailler, c’est ma voix! Depuis cinq ans, je ne fais plus que la voix. C’est un peu particulier : je suis chanteur de métal-hardcore.

Nicolas, 19 ans

Comme c’est puissant, c’est important de bien s’échauffer pendant une demi-heure pour ne pas se blesser les cordes vocales. Ceux qui ne connaissent pas cet univers l’igno-rent, mais c’est très physique d’être chanteur de métal. En concert, il m’arrive d’avoir jusqu’à 40 kilos de chaînes sur le corps. J’ai écrit 17 chansons.

Dans mes textes, j’essaie de résumer les émotions; dans ma vie aussi, j’essaie d’éviter de me prendre la tête avec des problèmes à rallonges. Ce n’est pas pour rien que le groupe que j’essaie de remonter s’appelle «Synopsys» qui veut dire «résumé» en grec, mais je l’ai écrit avec deux «Y» pour avoir une harmonie dans le mot. Un de mes derniers titres, «Obligeance macabre», parle de tout ce qu’on fait par obligation, des situations où l’on n’a pas le choix. Dès que l’on est un peu différent, ça crée des problèmes: on vit dans une société où l’on est obligé de se fondre dans la masse.

Dans le métal-hardcore, les thèmes sont assez sombres mais je ne m’imagine pas chanter «la vie en rose» avec cette voix et ce style! Au niveau de l’écriture, je me suis aussi lancé dans un roman d’heroic fantasy. Ce n’est pas facile, mais je fais ça pour mon plaisir, je ne pense pas que ce sera publié un jour. C’est comme pour la photo de concert: j’ai acheté du bon maté-riel et les groupes commencent à me demander de les suivre pour des reportages photos, mais je ne me vois pas en faire une profession. Dans ma vie, tout est un peu lié. J’adore la décomposition-recomposition…

Je crois que ça m’aurait plu d’être psy. Mais finalement, travailler dans un garage, avec toutes les pièces à remonter, c’est un peu la même logique. Et c’est ce qui me plaît.

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Klaudjo, 19 ans

5e année technique de qualification «technicien en informatique» et boxeur Thaï.

J’ai choisi une activité qui prend du temps, qui demande beaucoup. Quand j’aime quelque chose, je me donne à fond! Tous les soirs, directement après les cours, et encore le sa-medi, je prends des cours de boxe thaï.

La particularité de cette discipline, c’est qu’on utilise à la fois les mains, les coudes et les pieds dans les combats. Il ne faut pas y voir que le côté agressif; d’ailleurs, là où je vais, c’est plus strict, certains coups sont interdits. Bon, avec une telle intensité, c’est certain qu’on n’évite pas les blessures: j’ai déjà eu le nez cassé. Mais si on veut éviter les bleus et les bosses, on ne choisit pas un tel sport. C’est quand même très intensif de faire deux heures d’entraînement par jour: je n’ai que le dimanche pour me reposer. Alors bien sûr, ça peut avoir des répercussions sur mon travail à l’école. Ce n’est pas toujours facile d’arriver à l’heure le ma-tin quand on rentre tard tous les soirs de l’entraînement…

Sur le plan sportif, ça marche plutôt bien pour moi, je progresse, je commence à monter en puissance, je fais des championnats et j’ai déjà remporté pas mal de combats. Mais je sais aussi que c’est aléatoire de compter sur le sport de combat pour gagner sa vie. Ce n’est pas pour rien que j’ai choisi des études en in-formatique: je veux avoir un bon diplôme en sortant de l’école, même si je ne me vois pas travailler derrière un ordi toute la journée: je vise un boulot plus physique. J’ai besoin de me dépenser. Les entraînements que je fais toutes les semaines, me permettent d’être beaucoup plus calme, plus serein. Certains font du yoga, moi, c’est de la boxe.

Et pour tous ceux qui pensent que c’est un sport dan-gereux, je dirais que le danger, il est dans la rue, pas sur un ring où il y a une discipline, des règles et le respect de l’adversaire.

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Ricardo, 19 ans

Etudiant en 5e année technique de qualification «technicien en informatique» et joueur de plusieurs instruments (musique portugaise).

La musique, je suis dedans depuis toujours. Quand j’avais trois ou quatre ans, on m’a mis un petit piano entre les mains pour me divertir et je n’ai plus voulu m’en passer.

Pour moi, ce n’était pas seulement un jouet: j’ai éprouvé toute suite l’envie d’apprendre la musique. Petit, je dansais aussi dans des troupes folkloriques.

J’ai d’abord commencé à apprendre la musique par moi-même avec le piano, puis j’ai suivi des cours de solfège pendant quatre ans. En fait, je m’ennuyais en classe parce que tout ce qu’on apprenait, je le savais déjà…

J’ai alors commencé la guitare, vers onze ans, c’était plus maniable que le piano. Je suis parvenu à une assez bonne maîtrise de l’instrument, mais ce n’était pas trop mon truc non plus. C’est comme ça que j’ai décidé de passer à l’ac-cordéon: j’ai pris des cours particuliers avec un artiste très réputé, pendant quatre ans. A partir de ce moment-là, je suis rentré dans un groupe folklorique portugais à Saint-Gilles. Ils recherchaient un accordéoniste. Et puis il y a eu pas mal de mouvements, le groupe s’est arrêté, a repris…

J’ai donc aussi créé ma propre troupe de musiques po-pulaires portugaises. Depuis, on signe régulièrement des contrats pour des concerts, ce qui nous permet d’acheter du bon matériel. Récemment, nous avons même été invités à donner un concert au Portugal. Ça ne marche pas trop mal pour nous.

Moi, je m’amuse beaucoup plus dans les fêtes populaires portugaises que dans les discothèques. Ce qui plaît sur-tout au pays, c’est ce qu’on appelle la musique Pimba. Ça marche très très fort.

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IRC - Institut technique René Cartigny

A l’initiative de Willy Decourty, Bourgmestre;

de Marinette De Cloedt, Echevin de l’Instruction publique,

et des membres du Collège des Bourgmestre et Echevins d’Ixelles.

CLOS DU PARNASSE

SQ. DE LA RÉSIDENCESQ. DE LA RÉSIDENCE

SQ. CHATEL-LAILLON PLAGESQ. CHATEL-LAILLON PLAGE

GALERIE DE LA TOISON D’ORGALERIE DE LA TOISON D’OR

CLOS DU PARNASSE

SQ. DE LA RÉSIDENCESQ. DE LA RÉSIDENCE

SQ. CHATEL-LAILLON PLAGESQ. CHATEL-LAILLON PLAGE

GALERIE DE LA TOISON D’ORGALERIE DE LA TOISON D’OR

RUE DE LA CRECHE

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IRC - Institut technique René CartignyPlace de la petite suisse 4 - 1050 ixelles02 515 75 71 • www.ircxl.beDirection: Mme Straus

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