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Imagerie Médicale et oncologie
Dominique ROTA BETAINCadre du pôle imagerie
CHRU Besançon
Oncolie - Vendredi 23 janvier 2015
Plan
• Histoire– Découvertes scientifiques
• Imagerie médicale, radiologie– Échographie– Scanner– IRM
• Médecine Nucléaire• Scintigraphies• TEP TDM• Radiothérapie interne vectorisée
• Quelques notions de radioprotection
Oncolie 23/01/2015
Utilisation desrayonnements en médecine
• Imagerie Médicale– Radiologie :générale, interventionnelle, scanner (TDM), écho, IRM
– Médecine Nucléaire scintigraphies, TEP TDM, radiothérapie métabolique
• Radiothérapie interne vectorisée (RIV)= traitement des pathologies cancéreuses par irradiation
externe et/ou interne
• Biologie et recherche
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Scanographie• Un scanner (tomodensitométrie) est un
appareil d'imagerie à rayons X qui permet l'étude de structures anatomiques en 3D
• L’apport de l’informatique et du traitement numérisé des images a abouti à la mise au point de la tomodensitométrie (ou scanner) en 1972.
• Le scanner permet d’obtenir des images tridimensionnelles des organes ou des tissus (os, muscles ou vaisseaux) sous forme d’un ensemble de coupes.
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Scanographie
Système de référence en anatomie
Plan médian ou plan sagittal
Plan axial ou transversal
Plan coronal ou frontal
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ScanographieApplications :
• Scanner thoracique, abdominal, pelvien• Lésions osseuses, pathologies vasculaires• Réalisé également avec injection de produit de contraste
Avantages • Bonne résolution spatiale• Examen rapide, non invasif
Inconvénients• Examen irradiant (la dose efficace de radiation pour cette procédure est d’environ 10 mSv, ce qui correspond à ce qu’une personne reçoit en moyenne par le rayonnement naturel en trois ans )• La multiplication d'examens peut-être néfaste• Précaution pour la femme en âge de procréer
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Coupe tomodensitométrique du cerveau effectuée sans injection intraveineuse de produit de contraste iodé: Le sang est spontanément hyperdense (saignement aigu) :
Hématome extra-dural.
Flèche : Il s'agit d'une accumulation traumatique de sang entre l'os crânien et la dure-mère (une des composantes des méninges).
1, Cavité orbitaire droite. 2, Sinus frontal. 3, Cavité orbitaire gauche. 4, Lobe temporal gauche.
Scanographie Oncolie 23/01/2015
Scanographie
En jouant sur les niveaux de gris (fenêtre) des images fournies par le scanner,
l'hématome extra-dural devient encore plus visible ( flèches ).
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Échographie• Réalisation de l’examen
▫ L'échographie abdominale � Conseiller un régime sans résidus afin de limiter les gaz
coliques qui peuvent gêner la propagation des ultrasons. � A jeun au moins 6 heures avant l'examen, en particulier
pour obtenir une réplétion de la vésicule. ▫ L'échographie pelvienne
� Boire 1 litre d'eau une heure avant l'examen : vessie pleine pour la femme ; vessie en semi-réplétion pour l'homme.
� Ne pas uriner avant l'examen. � Patient porteur d'une sonde urinaire : clamper la sonde une
heure avant l'examen. ▫ Les autres échographies
� Pas de préparations spécifiques.
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IRM
• L'Imagerie par résonnance magnétique permet d'avoir une vue en 2D ou 3D d'une partie du corps, notamment du cerveau. Elle est basée sur le principe de la Résonnance magnétique nucléaire (RMN).
• Contrairement à d'autres techniques d'imagerie médicale, l'IRM n'est pas invasive (quelques indications d'injection de produit de contraste -Gadolinium) et n'irradie pas.
• Contre-indications : pacemaker, corps étrangers métalliques.
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IRMIRM du cerveau, coupe axiale
1, Troisième ventricule. 2, Scissure latérale (de Sylvius). 3, Commissure antérieure. 4, Epiphyse (glande pinéale). 5, Plexus choroïde (dans atrium). 6, Sillon calcarin.
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IRM IRM du cerveau, coupe coronale,
1, Pédoncule cérébelleux moyen. 2, Sillon latéral de Sylvius. 3, Insula. 4, Fornix. 5, Pédoncule cérébral.
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Scintigraphie
• Radioélément : élément radioactif que l’onpeut administrer soit seul, ou fixer sur unemolécule
• Molécule vectrice : molécule chimique ouhumaine qui est métabolisée par l’organe ciblé
• Traceur : couple radioélément + moléculevectrice spécifique de l’organe et permetd’étudier son devenir dans cet organe
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La scintigraphiedes cavités cardiaques
▫ Permet de mesurer la fraction d’éjectionventriculaire gauche (FEVG)
▫ Indications principales :� Bilan initial, surveillance des cardiopathies
dilatées (primitives ou secondaires)� Suivi des chimiothérapies cardiotoxiques
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� Base physiologique :– La FEVG est le reflet de la « fonction pompe »
= calcul de la fraction d’éjection ventriculairegauche (FEVG) au repos.
Traceur : Sérum albumine Humaine 99mTc
20 mCi soit 740 MBq
Aspects techniques : l’acquisition des images se réalise en oblique antérieur gauche pour bien dégager les 2 ventricules, elle se réalisesynchronisé à ECG et sur de nombreux cycles cardiaques.
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Pour le patient :
• Inutile d’être à jeun• Durée de l’examen : 30 à 45 mn• Aucune précaution, ni préparation• Contre indication : la femme enceinte• Eviter de prévoir cet examen avant un examen
radiologique (Radioprotection des personnels)• Voir les fiches de radioprotection pour les
personnels de soins si le patient est dépendant
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La scintigraphie osseuse
• En cancérologie, la scintigraphieosseuse est le premier examen prescrit à la recherche de métastases osseuses(prostate, sein, bronches…)
• En rhumatologie et orthopédie, elle estle plus souvent prescrite en cas de douleurs inexpliquées par la radiologie
• Infections ostéoarticulaires
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La scintigraphie osseuse
• Bases physiopathologiques : le traceurest un phosphonate marqué au 99m Tc,▫ IVD, circulation dans le sang▫ captation par les ostéoblastes en fonction du
débit sanguin et du métabolisme osseux.
• Traceur : Phosphonate de 99mTc▫ 20 mCi pour 70 kg soit 740 MBq pour 70 kg
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Pour le patient
• Inutile d’être à jeun• Durée totale de l’examen : 3 h• Acquisition d’images longues (20 à 30mn)• Examen en plusieurs phases :
▫ IV▫ Clichés précoces si besoin▫ Clichés tardifs
• Contre indication : la femme enceinte• Eviter de prévoir cet examen avant un
examen radiologique (Radioprotection des personnels)
• Voir les fiches de radioprotection pour les personnels de soins si le patient estdépendant
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Fixations multiples
Au niveau du genou gauche : réaction osseuse du à la pose d’une prothèse
Hyperfixation du bassin : atteintepagettique
Fixation anormale sur le myocarde(Infarctus ?, calcifications péricardiques
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Cas de la technique duganglion sentinelle
But : • Permettre une étude anatomopathologique plus
fine sur un petit nombre de ganglions prélevés lors d’une chirurgie.
• Limite la pratique du curage ganglionnaire élargi (invalidant).
• Meilleure prise en charge des faibles envahissements ganglionnaires.
• Pas d’allergie (par rapport au bleu de méthylène)
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Cas de la technique duganglion sentinelle
• Le ganglion sentinelle = 1er ganglion drainant le territoire lymphatique d’une tumeur▫ EOA sein▫ Mélanome malin▫ K ORL
• Injection sous cutané du MRP (traceur technétiélipophile, capté par le système lymphatique) en péri-tumoral
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Cas de la recherche duganglion sentinelle
• Recherche du 1er ganglion visible• Cliché et repérage à la peau à l’aide d’un
feutre dermatologique.• chirurgie du lendemain : exérèse guidée à
l’aide d’une sonde de comptage externe
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TEP-TDM• Le TEP fait partie au même titre que la
scintigraphie des explorations fonctionnelles de médecine nucléaire
• Signification du sigle : - TEP pour tomographie par émission de positons-TDM pour tomodensitométrie (scanner)- Autres appellations : TEP-SCAN, PET-SCAN
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• Traceur : ▫ 18 FDG = 18 fluoro désoxy glucose▫ 10 mCi pour 60kg de poids soit 370 MBqC’est un sucre marqué au fluorBase physiologique :
Surconsommation de glucose par les cellules malignes,
A la différence du sucre, le FDG restera bloqué à l’intérieur de la cellule.
c’est, cette surconsommation que la tomographiepar émission de positons tentera de détecter.
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Pour le patient
• Impératif d’être à jeun depuis 6h00 avant l’examen• Arrêt de perfusion de glucosé 24 h00 avant l’examen• Durée totale de l’examen : 3 h
▫ Injection + isolement 1h▫ Acquisition 25 mn▫ Reconstruction des images : 15 mn
• Contre indication : la femme enceinte• Eviter de prévoir cet examen avant un examen radiologique
(Radioprotection des personnels)• Voir les fiches de radioprotection pour les personnels de
soins si le patient est dépendant
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Radiothérapie métabolique• La radiothérapie métabolique est une
discipline de la Médecine Nucléaire, elleutilise des radioéléments à des fins de destruction cellulaire
• Base physiologique : utilisation du tropisme de la molécule vectrice pour l’organeà traité, associé à un radioélément dont le rayonnement et de faible parcours
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Zévalin©• Zévalin© est un anticorps monoclonal
marqué à l’Ytrium 90• Utilisation : préconisé dans le traitement des
patients adultes atteints d’un LymphomeNon Hodgkinien, à cellule B CD20+, de type folliculaire, en rechute ou réfractaire au traitement par rituximab.
• Produit : ▫ 15 MBq/Kg de poids si plaquettes > 150000▫ 11 MBq/Kg de poids si plaquettes < 150000
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Déroulement du traitement
• 1 ° phase : en Hématologie▫ Perfusion de MABTHERA
• 2ème phase : en Médecine Nucléaire▫ Injection lente▫ Moins 1 heure après la fin de l’injection de
MABTHERA• Suite du traitement :
▫ Possibilité de frissons et augmentation de la température
▫ Faire une NF régulièrement▫ Aucune restriction de radioprotection
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Cancer différencié de la thyroïde
• Nodule solide à l’écho, froid à la scintigraphie 99mTc
• Suspicion de K : ponction sous écho ou :• Chirurgie : examen extemporané � si positif• Thyroïdectomie + analyse anatomo-pathologie• � caractérisation histologique et stadification• Traitement du reliquat thyroïdien par
radiothérapie métabolique par 131 iode
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Radiopharmaceutique• Spécialité radiopharmaceutique
commercialisée par un laboratoire privé• Iode 131, activité : 100 mCi (3700 MBq)• Sous la forme d’une gélule prête à l’emploi,
commandée spécialement pour un patient donné à un jour donné (n° de lot pour traçabilité)
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Résultats de la scintigraphiepost-traitement
• La fixation n’est pas spécifique• Fixations physiologiques :- reins et appareil urinaire- bruit de fond sur tout l’organisme• Artéfacts : fixations intestinales• Résultats pathologiques : sous forme
d’hyperfixations cervicales ou diffuses
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Nouveau traitement
• XOFIGO : 223 RaCl2 (di-chlorure de radium 223)
• Traitement des métastases osseuses
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LES BASES REGLEMENTAIRES
DE LA RADIOPROTECTION
Recommandations internationales (AIEA, CIPR,…)
Directives Européennes (EURATOM) :-CE 96/29 de 1996: directive générale de RP-CE 97/43 de 1997: protection des patients
Protection des patients :Décret du 24 mars 2003
Protection des travailleurs :Décret du 31 mars 2003
Code du travail
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Radioprotection
�ALARA: As Low As Reasonable Achievable (« aussi bas qu’il est raisonnablement possible »)
�Applicable aux travailleurs et au public
�Valeurs limites des doses efficaces:
�Travailleurs: 20 mSv/an catégorie A, 6mSv catégorie B (corps entier)
�Femme enceinte 1 mSv au cours de la grossesse
�Public : 1 mSv/an
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Oncolie 23/01/2015Suivi des personnels• Dosimétrie passive :
▫ Dosimètres
TLD Bagues
RPL Poitrine
TLD Poignet
Oncolie 23/01/2015Suivi des personnels� Dosimétrie opérationnelle :
Dosimètre poitrine
Borne ACT 5
Borne ACT 3
La radioprotection en pratique
• 2 cas :▫ La radioprotection au bloc opératoire, en salle de
cardiologie interventionnelle, lors de la réalisation d’une radiographie « au lit », en service de soins,
▫ La prise en charge d’un patient qui vient de bénéficier d’une scintigraphie
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Radioprotection au bloc opératoire : Consignes de travail
• Anticiper, prévoir le matériel (tablier plombé, dosimétrie passive et opérationnelle)
• Lors d’un « tir » (radioscopie, radiographie) :▫ Distance (le plus loin possible)▫ Jamais dans le faisceau primaire▫ Limiter le temps d’exposition : temps de scopie,
nombre de radiographies, temps de présence auprès du patient pendant les tirs
▫ Utiliser les écrans et les moyens de protection individuels (tablier, cache thyroïde, lunette)
▫ Porter les dosimètres sous le tablier
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Oncolie 23/01/2015Équipement des personnels :
Dosimétrie d’extrémité
Dosimétrie poitrine sous tablier plombé
Cache thyroïde
Lunette plombée
Tablier plombé
CAS : le patient « sort » de Médecine Nucléaire
Bientraitance, continuité des soins et soins
d’urgence priment.Le temps : minimiser son temps d’exposition : organisation, La distance : s’éloigner si possible, reculer d’un pas
Le confinement des sources : (non dispersion), gestion des déchets (urines : tirer 2 fois la chasse d’eau).
Limiter les contacts avec les femmes enceintes et les enfants en bas âge
Utilisation de gants vinyle à usage unique, lavage des mains.
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Réalisation de l’examen
1 Administration au patient du produit radioactif
2 a : Attente pour permettre la fixation du produit
2 b: boire mini 1,5l d’eau2 c : passer aux toilettes2 d : bien se laver les mains
� 3 a : Acquisition des images
� 3 b : Résultats (médecins)
4 Après examen le patient doit :
4 a: boire mini 1,5l d’eau
4 b : passer aux toilettes régulièrement
4d : bien se laver les mains
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Protection de l’environnement :gestion des déchets radioactifs -1 -
� Suivre les consignes, si question : téléphoner en médecine nucléaire (CHRUB : 68 986)
� Problème : contamination par les liquides biologiques
� Manipulation avec gants « vinyles » à usage unique� Protections hygiéniques, changes complets,
protections urinaires, Vomi Pack®, sacs à urines vides
� Sac DASRI « à part », à l'écart en salle de toilette, minimiser le volume (en vue du stockage ultérieur)
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Protection de l’environnement :gestion des déchets radioactifs -2 -
�Respect de la durée de collecte
� élimination directe sur la zone extérieure de gestion des déchets radioactifs
� J Minjoz : étage – 3, chariot jaune vers atelier agencement
�Extérieur « CHRUB » : respecter la durée de stockage communiquée
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Le patient et les visiteurs
• Juste après la scintigraphie :▫ le patient évitera le contact
prolongé avec les enfants en bas âge et les femmes enceintes
▫ Se tenir au pied du lit ….▫ Mais …
Vu par le patient
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Bibliographie• AFPPE : http://www.afppe.net• CHU BREST : https://www.chu-brest.fr/medecine-nucleaire-in-vivo
• ZIMMERMAN Richard. La médecine nucléaire, La radioactivité au service du diagnostic et de la thérapie. Les Ulis : EDP SCIENCES, 2006, 166 p.
• RUBINSTEIN Michel, LAURENT Éric, STEGEN Marc. Médecine nucléaire, manuel pratique. Bruxelles : DE BOECK UNIVERSITE,2000, 182 p.
• DILLENSEGER Jean-Philippe, MOERSCHEL Élisabeth. Guide des technologies de l’imagerie médicale et de la radiothérapie, Quand la théorie éclaire la pratique. Issy-les-Moulineaux : Masson, 2010, 389 p.
• JIMONET Christine, METIVIER Henri, coordonateurs. Personne compétente en radioprotection : Principes de radioprotection - réglementation . Deuxième édition. CEA INSTN . Les Ulis : EDP SCIENCES, 2009, 370 p.
• ROTA BETAIN Dominique. Cadre supérieur Pôle imagerie, PCR, responsable radioprotection CHRU Besançon (parties radiologie et radioprotection)
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