Marie­Aude Rappenne, Coordinatrice du GiBUs

Cette question semble être le lot de l’étudiant alors qu’ilentre dans la vie adulte : « Vais­je trouver le travail qui meplaît ? » ; « Où vais­je m’installer ? » ; « Avec qui vais­je memarier ? ». Ces réflexions sont parfois polluées par des idéesreçues. En voici quelques­unes :

« Ce n’est peut­être pas le plan de Dieu pour moi. »Dieu aurait­il pour nous un chemin tout tracé qu’il faudrait

deviner ? Dieu a bien un plan pour nous qu’on peut lire enÉphésiens 1.5­6 (voir le canevas biblique p.7) : « Dans sonamour, [Dieu] nous a prédestinés à être ses enfants adoptifspar Jésus­Christ. C’est ce qu’il a voulu, dans sabienveillance, pour que nous célébrions la gloire de sa grâce[…]» Mais en dehors de ce plan­ci, nous sommes assezlibres dans nos choix !

Une suggestion pour apprendre à mieux « célébrer lagloire de sa grâce » : lisez le livre de l’été (p.6).

« Si je me trompais, les conséquences seraientdramatiques. »

C’est vrai si notre choix est en opposition avec les valeursprônées par Dieu.

Ce serait aussi vrai si notre avenir ne dépendait que denous. Mais comme Dieu est souverain (l'apôtre Paul parle de« l’infinie grandeur de sa puissance » en Éphésiens 1.19),nous n’avons plus qu’à lui faire confiance !

ET APRÈS ?EDITO

SOMMAIRE

GiBUsJJ oouurrnnaa ll ddee ppaarrttaaggee eett dd ''eennccoouurraaggeemmeenntt ddeess GGrroouuppeess BBiibbll ii qquueess UUnn iivveerrss ii ttaa ii rreess ddee FFrraannccee // AAvvrrii ll 220011 44

« Travailler dans le séculier, c’est mal ! »On sépare souvent « vie chrétienne » (l’église, les GBU =

bien !) et « vie séculière » (les cours, le bar avec les potesde la fac = pas bien !) Mais la Bible affirme que le statutd’« enfants adoptifs » est ce qui définit AVANT TOUT leschrétiens. Dans n’importe quelle activité, notre foichrétienne mise en pratique nous permet de glorifier Dieu.

Et si vous pensez avoir besoin d’aide pour mieuxtémoigner dans le domaine séculier, rendez­vous en bas despages 2 et 3.

« Dieu doit me montrer ce qu’il attend de moi. »On aimerait parfois que Dieu nous donne des ordres

comme dans l’Ancien Testament. En réalité, c’est plutôtqu’on est trop paresseux pour prendre des décisions ! Dieunous fait cadeau d’un cerveau et de gens sages dans notreentourage… sachons en faire bon usage. Éphésiens 1affirme aussi que nous avons « été marqués de l’empreintedu Saint­Esprit ». Prions donc afin que Dieu nous aide, parson Esprit, dans nos réflexions (parce que la prière, c’estimportant ! Voir p.2).

Et après ? « Un glorieux héritage » (Éphésiens 1.19) nousattend… Gardons en perspective l’après­après.

Edito • 1Les GBU en mouvement • 2

S’encourager à prier et à témoignerSi on priait

Camp A Fond La Form'Semaines « ADN » et « Nouveau Départ »

Vis ma vie... • 5d'Ami des GBU

GBUssien en action • 6Je soutiens mon SIR

GBUssien en formation • 6Le livre de l'été

Creusons la Bible • 7Ephésiens 1.1­14

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Ces dernières années, le CEE a produit de bons outils pour aiderles groupes à témoigner (Luc­Actes, « s’intéresser aux autres » ,etc.) et ces outils sont toujours disponibles*. En réfléchissant à lapartie « témoigner » cette année, le CEE n’a donc pas voulufournir de nouveaux outils pour le témoignage mais plutôt vousaccompagner dans une réflexion sur le témoignage, encommençant par la base, l’Évangile. Le but est que vous soyezconvaincus de la puissance de l’Évangile dans vos vies et assurésque vous êtes capables et appelés à témoigner autour de vous.

Ainsi, vous aurez à votre disposition :1. Des formationsUne formation sur l’Évangile : qu’est­ce que l’Évangile et

comment le résumer de manière simple ? Qu’est­ce que témoigneret qui peut le faire ?

Une formation sur letémoignage : commentdonner son témoignage ?Des canevas de discussion

sur les témoignages de Paul sont aussiproposés pour des réunions en interne,afin de nous faire réfléchir à lamanière dont nous présentons notretémoignage.

Des formations à réclamer à vosSIR, vos équipiers locaux et vos DR

dès la rentrée.2. Un livret­ressources

Il contient des outils pour réfléchir à l’œuvreque l’Évangile opère dans votre vie depuis votre

conversion : votre identité en Christ, la question du pardondans la vie chrétienne. Le CEE a souhaité que vous puissiez yréfléchir individuellement (par des discussions autour de la Bible,des recommandations de lecture) et en groupe (par l’organisationde conférences). Une liste d’orateurs potentiels vous sera fournie.

3. Des sketchesComment nos choix de vie (induits par notre foi chrétienne) et

notre vision du monde peuvent être une base pour l’annonce del’Évangile ? Le CEE vous propose de réfléchir à ces questions. Àcet effet nous vous proposons des scénarii de sketches à jouer lorsdes week­ends régionaux qui pourront servir de base à uneréflexion et des discussions.

Le livret sera prêt pendant l’été et distribué aux participants ducamp A Fond La Form’ (une bonne raison de venir) puis aux SIRet aux DR pour une diffusion en région auprès des responsables degroupes et des GBUssiens qui en feront la demande.

LES GBU EN MOUVEMENT

LA PRIÈRE ESTUN PRIVILÈGEMarion Poujol,SIR en Ile­de­France

S’ENCOURAGER À PRIER ET À TÉMOIGNER :DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE

La prière est un privilège énorme : dire à notre Pèretout ce qui nous pèse, demander à notre créateur desbénédictions pour nous et ceux qui nous entourent,cela est très précieux ... Mais, parce que nous avonstous tendance à nous priver des bonnes choses, leComité Exécutif Étudiant (CEE) a pensé et produitquelques outils pour vous aider à vivre en privilégiésdans votre GBU.

1. Comment prier si l’on n’est pas convaincu del'importance de la prière ?

Pour assurer chaque membre de votre groupe de lanécessité de prier, le CEE est en train de travailler surune vidéo d'animation qui présentera, en quelquestableaux, que la prièreest l'expressionnormale d'une relationavec Dieu, possiblepar le Christ et aidéepar le Saint­Esprit et quenous avons d'excellentesraisons de prier !

2. Oui mais commentprier correctement ?

« Au GBU on ne priepas », voici une des idéesreçues qui circulent parfois dansnos groupes. Pour lutter contre celale CEE propose une série de 3 vidéos quirappellent que la prière n'est pas une invocationmagique, qu’elle n'est pas réservée aux seulsresponsables et que nous sommes très libres dans laforme de notre prière. Vous pouvez les regarder ici :http://youtu.be/c1i4­10vEWk

3. D'accord mais comment organiser une réunionde prière ?

Un PowerPoint vous permettra de réfléchir à ce quiest adapté comme forme de réunion de prière pourvotre groupe et vous donnera des idées créatives pourorganiser ces réunions dans votre GBU. Demandez lePowerPoint à votre délégué régional (DR), il se feraune joie de vous l'envoyer.

Les étudiants et les équipiers ont essayé de créer desoutils utiles mais nous savons bien que ce ne sont pasdes recettes magiques. Il faut que vous vouliez prier !Que vous soyez convaincus que cela va aider votregroupe et que Dieu veut vous donner des bénédictionsen réponse à vos prières.

La prière est un privilège, vivez en privilégiés !

Emmanuelle Maignial,SIR en Méditerranée

S’ENCOURAGER ÀTÉMOIGNER :ENCORE DES AIDES

*Outils à demander à vos SIR et DR. Le projet « s’intéresser auxautres » (2010­2011) proposait entre autres des fiches pour vous aider àtémoigner auprès de différents types de personnes. De même des Luc­Actes sont toujours à votre disposition si vous voulez en offrir à vosamis et contacts non­chrétiens.

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Si on priait……pour renforcer l’équipe :Les GBU cherchent à recruter

un responsable du secteur lycéen,indispensable pour développer lesGroupes Bibliques Lycéens (il y aactuellement 5 groupes), et unresponsable du secteur Amis, seconsacrant aux réseauxprofessionnels et aidant lesanciens GBUssiens à continuer àfaire le lien entre leur travail et laParole de Dieu. Prions afin quedes pistes aboutissent et que lescandidats et le Conseil Nationalfassent les bons choix, avecsagesse et foi.….pour l’ouverture de la BarmeLa Barme, notre chalet, est

pratiquement prêt à rouvrir.Remercions le Seigneur pour lesAmis et étudiants qui se sontdépensés sans compter pour lerénover, sur près de 10 ans, enpensant particulièrement à JeanFourmont, gestionnaire du chalet,et Greg Bastian, conducteur detravaux. Prions que le Seigneur lesrenouvelle de la même manière etleur (nous) donne la joie de voircette maison des GBU recevoir denouvelles générations d’étudiants.….pour nos autoritésLe débat sur la place de la foi

dans notre vie sociale est vif en cemoment dans notre pays. Cela ades conséquences concrètes pournous : certains groupes locaux sesont vu refuser des salles ou ledroit d’afficher par des universitésse réclamant de la défense de lalaïcité. Prions pour les étudiantsconfrontés actuellement à cettesituation, qu’ils agissent avecsagesse mais sans se laisserdétourner de l’objectif de faireconnaître Jésus­Christ àl’université. Prions aussi leSeigneur afin qu'il aide notremouvement à discerner quelleligne de conduite adopter. Etprions pour nos autoritéspolitiques et universitaires, afinqu’elles agissent avec bon sens,pour préserver l’ordre public et laliberté d’expression et deconscience.

Aux GBU, le but principal est de faire connaître la Bible aux étudiants des campusfrançais. Tout au long de l’année, que ce soit à travers les discussions autour de la Bibleou d’autres activités organisées par les différents groupes, nous pouvons prendrel’initiative d’inviter de nouvelles personnes et de leur faire découvrir la Parole de Dieu.Dit ainsi, cela semble très simple… Pourtant, nous manquons parfois de motivationpour nous rendre sur les campus et inviter les étudiants.

C’est dans ce but que les GBU organisent des semaines de stands : « ADN »(Annonce De la Nouvelle) et « Nouveau Départ ». « ADN » a lieu en juin, à la fin del’année scolaire, et « Nouveau Départ » en septembre, peu avant la rentrée.

Ces semaines sont menées à bien par une équipe composée d’étudiants français etparfois étrangers, dont le but est d’aller à la rencontre des étudiants sur leur campus etde les inviter à des soirées traitant de différents thèmes, comme « Dieu, pourquoi lasouffrance ? ».

Voici à quoi peut ressembler une journée typique pour l’équipe : nous commençonspar un moment de méditation biblique, de louange et de prière. De 11h30 à 14h, nousnous rendons en petits groupes sur les universités pour inviter les étudiants aux soiréeset discuter avec eux.

Dans l’après­midi, nous avons un moment de temps libre puis nous nous réunissonspour partager les conversations que nous avons eues et prier tous ensemble. Vientensuite le repas et la préparation de la salle pour la soirée.

Ces soirées sont non seulement l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes maisaussi de les faire réfléchir sur divers sujets et surtout de leur donner envie d’assister àune discussion autour de la Bible « ordinaire ».

Mais après ces semaines, que se passe­t­il ? Arrive­t­il que les personnes rencontréesremettent les pieds au GBU ?

Eh bien, oui ! L’an dernier, le GBU d’été à Paris comptait chaque semaine unevingtaine de personnes et nous avons pu voir l’impact de ces soirées : la majorité desnon­chrétiens présents avaient entendu parler des GBU pendant « ADN » et ont euenvie d’en apprendre plus !

Alors, si vous avez envie de partager votre foi avec les étudiants français, d’êtreencouragés et de passer une semaine intense en équipe, lancez­vous ! Vous ne leregretterez pas !

Célia Evenson, membredu Conseil Nationaldes GBU

Sophie Ginolin, GBUssienne en Ile­de­France exilée enAngleterre

LES SEMAINES « ADN » ET « NOUVEAU DÉPART » : DEBONS TREMPLINS

SI ON PRIAIT...

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Une GBUssienne du Sud­Ouest

« Je ne voulais pas faire le camp« AFLF » parce que cela me semblaittrop théologique. C’est vrai quoi : jen’allais tout de même pas "gâcher"UNE semaine de mes précieusesvacances d’été pour… m’enfermer etmourir assommée par des tonnes decours de théologie matin, midi, soir.

FAUX !Le camp « AFLF » n’est pas « trop

théologique » – la preuve, j’aisurvécu ! J’ai même remis ça l’annéesuivante, c’est pour dire. Ceci dit, pourêtre tout à fait honnête avec vous, mespetits neurones n’étaient pas vraimentinactifs lors de ce camp. Oui, à« AFLF » on utilise son cerveau ! Ilfaut savoir que la formationthéologique représente la plus grandepartie du programme. Mais attentionaux idées reçues : contrairement à ceque moi, petite GBUssienne moyennepensais jusque­là, il existe bien desfaçons d’aborder la théologie quisoient dynamiques, accessibles etintéressantes. Vous n’imaginez pas lafierté que l’on ressent à pouvoir utiliserdes mots savants (tout en sachant leursignification, bien sûr) et surtout : àcomprendre des vérités bibliques quel’on tenait pour acquises sans pourautant les avoir creusées. Bref, uneformation captivante, sans prises detête ! Et si certains matins devaient êtreplus durs que d’autres, pas de panique :le café coule à flot à « AFLF » !

Une GBUssienne d’Ile­de­France

« Je ne voulais pas faire le camp« AFLF » parce que le contenuavait l’air trop basique. Je doisavouer que la découverte de« niveaux » à faire dans l'ordre aucamp « AFLF » m'a assez surprise.En voyant le programme du niveau1, une « introduction à la doctrinechrétienne », je me suis dit« sérieusement ? Pourquoi pasl'école du dimanche tant qu'on yest ! ». Moi qui suis issue d'unefamille chrétienne, j'aiimmédiatement pensé que jeconnaissais déjà ça et que jem'ennuierais... J'y suis pourtant allée: j'en avais tellement entendu parler !Eh bien devinez quoi ? J'ai apprisdes choses ! Et pas qu'un peu. Cequi m'a le plus marqué furent « lescours » sur la régénération et lasanctification et celui sur larésurrection. J'ai constaté quecertaines idées auxquelles je croyaisdepuis toujours n'étaient pas fondéesbibliquement : par exemple, croireque seul notre esprit ressuscite etnon notre corps. J'ai vraimentcompris l'intérêt de ce genred'enseignements. Pour un chrétien,la vérité ne devrait pas êtreapproximative ou optionnelle : c'estelle qui nous rend libres ! Le camp« AFLF » est l'occasion de lachercher en profondeur... dans laBible ! C'est un temps vraimentriche en édification et enconvivialité. Vous comprenezpourquoi j'y retournerai pour latroisième fois cette année... »

J'AI SAUTÉ LE PAS...DE PARTICIPER AU CAMP « À FOND LA FORM’ » (AFLF)

Le camp « À Fond La Form’ »,c’est LE camp à ne pas manquercet été. Une semaine de formationbiblique, théologique et pratique,dans un cadre magnifique (près deGrenoble en Isère), avec des genssupers…

Comme les GBUssiennes quitémoignent ci­après, vous avezpeut­être vos raisons de ne pas yaller. Mais on vous assure quevous aurez même envie d’yretourner !

Une GBUssienne d’Ile­de­France

« Je ne voulais pas faire le camp« AFLF » parce que je ne connaissaisque très peu les GBU et que j'étais surmes gardes. Je commençais à peine àfréquenter un groupe local et c’est là qu’onm’a parlé du camp : une semaine entièreavec les membres des GBU et desmembres d’autres églises que je neconnaissais pas. Qu’est­ce qu’on allait bienpouvoir m’enseigner là­bas ? Et s’ilss’éloignaient de la Bible et qu’ils semettaient à nous enseigner n’importe quoi? Autant dire que je connaissais bien malles GBU ! Ne sachant pas si je devaisassister au camp, j’ai décidé de prier. Dieua alors commencé à ouvrir toutes les portessur mon chemin pour me permettre de m’yrendre.

Une fois là­bas j’ai été agréablementsurprise. C’était la 1ère fois que je voyais enFrance autant de jeunes chrétiens dévouésau Seigneur ! J’ai constaté avec plaisir quela doctrine des GBU était fondéeentièrement et uniquement sur la Bible. Cen’était pas un groupe qui avait interprété laBible à sa façon. Non, il s’agissait d’allerchercher la vérité à sa source.

J’ai été très encouragée de voir tant depersonnes différentes, venant d’églisesdiverses et variées, se retrouver autourd’une même foi. Preuve que la Bible estLA vérité et qu’elle parle d’elle­même àtoute personne qui a soif de la Parole.

Aujourd’hui je peux dire que le camp« AFLF » a été un moment important pourma vie chrétienne. Il m’a amenée à prendredes décisions déterminantes pour monengagement dans le service du Seigneur.

Pour plus de renseignements,rendez­vous sur

www.gbu.fr/evenements/camps­et­sejours/afondlaform

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VIS MA VIE... D'AMI DU GBUElisabeth Richardson, Amie des GBU à Besançon

1963 : Contrairement à bien des lecteurs de cetarticle, je n’ai pas fait d’études universitaires mais unapprentissage de comptabilité et de secrétariat enSuisse. Pouvais­je vraiment assumer le rôle d’Amiedes GBU ? Oui, car tout chrétien peut apporter unsoutien spirituel à ceux que le Seigneur met sur saroute. C’est ce que montreront les années suivantes.

2006 : Notre fils Samuel nous encourage, mon mariet moi, à tenter l’expérience d’être Amis des GBU.

Stimulés ensuite par un appel de David Brown lors du Congrès des GBU à Marseille,nous nous sommes jetés à l’eau.

Avril 2009 : Nous aidons à la préparation du premier Dialogue Veritas à Besançonet accueillons l’un des intervenants.

Juin 2011 : Entre le pique­nique de fin d’année du groupe local et la relecture dethèse de certains GBUssiens, on trouve toujours de quoi faire pour filer un coup demain !

Septembre 2012 : Arrivée de la nouvelle SIR de notre région. Nous la recevonslors de ses venues à Besançon, tout comme nous recevons les autres visiteurs desGBU.

Octobre 2013 : Nous aidons modestement à l’organisation du « Dialogue Veritas ».Janvier 2014 : Soirée de partage de sujets de prière avec les Amis et les

responsables des GBU (une parmi tant d’autres…).Et tout au long de ces années : Des cœurs remplis d’amour et d’intérêt pour nos

jeunes étudiants – que nous recevons avec plaisir à notre table – qui nous édifientbien souvent par leur sérieux, leur enthousiasme, leur zèle et leur spontanéité. Etbeaucoup de joie à participer à cette magnifique entreprise d’évangélisation. Je vousassure que les boxeurs ne sont pas les seuls à apprécier le verset d’Actes 20.35 « Il ya plus de bonheur à donner qu’à recevoir » !Emilie Kœchlin, Amie des GBU à Strasbourg (responsable dela mise en page du GiBUs)

Mardi 14/01 : Le GiBUs arrive dans les temps entre vos mainset sur vos écrans. L'équipe chargée de sa réalisation a donc ànouveau assuré entre fêtes, boulot, famille, déplacements etaccouchement (pour moi !).

Jeudi 16/01 : Un week­end GBU s'organise en Alsace pour les8­9 février. Je sollicite l'ensemble des Amis de Strasbourg pour leservice de cuisine. Les premières réponses sont négatives...

Vendredi 18/01 : Je reçois un mail indiquant avec pertinenceque le dernier numéro du GiBUs vient tout juste de paraître mais qu’il s'agit déjà deprévoir le suivant. Je note bien les dates prévues dans le planning pour la mise enpage et la dernière relecture après laquelle j'apporterai les corrections finales.

Dimanche 19/01 : Participation au goûter de soutien pour Joël (stagiaire relais).Cela fait plaisir de voir des personnes animées par le service pour Christ, d'autantplus lorsqu'elles ont l'opportunité d'y consacrer un temps important de leur vie.Pouvoir les rencontrer, prendre part à leurs joies et à leurs difficultés constitue pourmoi un privilège. Ce faisant, elles se sentent soutenues et sont portées par nos prières.

Jeudi 30/01 : Ce soir a lieu notre réunion mensuelle des Amis du GBU deStrasbourg. Thérèse a invité Cynthia, responsable du GBU Conservatoire ; un groupetout récent pour lequel nous sommes très reconnaissants. Nous faisons connaissance,prenons des nouvelles du groupe, prions ensemble puis partageons un repas.

Mercredi 5/02 : Un étudiant m'informe du besoin de 440€ pour le Dialogue Veritas.Je transmets sa demande aux Amis.

Samedi 8/02 : Finalement, Seb (mon mari) et moi nous chargeons d'un repas tandisque Sandra s'occupe des 2 autres. Tous les étudiants sont rassasiés !

Samedi 15/02 : Il est temps de penser à l'organisation de l'été. Serons­nous de lapartie à la rénovation du chalet des GBU en Haute­Savoie ?

Nathalie Veldhuizen, Amiedes GBU à Poitiers

Après avoirétéGBUssienne àPoitiers, je mesuis impliquéeà un autreniveau lorsquej'ai trouvé untravail danscette même

ville. Ma vie d'Amie des GBU estrythmée par les 4 saisons :

Automne : C'est la rentrée du GBUlocal. J'essaie de participer auxpremières rencontres de préparationou aux premières discussions autourde la Bible. Je me rends disponiblepour les responsables, qui sont mesinterlocuteurs privilégiés pour suivrela vie du groupe. Je prends aussi desnouvelles du démarrage des autresgroupes de France via les lettres denouvelles des SIR que je soutiens.

L’événement de l'hiver est le week­end régional de la région Centre­Ouest, qui a généralement lieu àPoitiers. Comment vais­je participer ?Aide aux courses, à la préparation desrepas, taxi, guide touristique dansPoitiers... les choix ne manquent pas !C'est un plaisir de permettre auxGBUssiens de profiter pleinement duweek­end et j'en sors encouragée parleur enthousiasme et leur amour pourle Seigneur.

Printemps rime avec Congrès !Quand je peux y aller, c'est toujoursun moment stimulant de partage entreanciens et nouveaux GBUssiens. LeCongrès permet de suivre la situationglobale de l'association, de mieuxidentifier les besoins (financiers ouautres) et ainsi d’ajuster mon soutien.La fin de l'année scolaire approchant,j'essaie d'assister aux dernièresactivités du groupe local et de faire lepoint pour l'année suivante.

Quant à l'été, c'est la période descamps : participation aux activitésestivales du groupe local quand il y ena, à la rénovation du chalet des GBUou encore à la bourse d’aide auxétudiants pour le camp « À Fond LaForm' », il n'y a décidément jamais depériode creuse pour un(e) Ami(e) desGBU ! Et je profite de mes congés…pour finir les livres « QuestionSuivante » de l'année !

Qui sont les Ami(e)s des GBU ? Vous, quandvous aurez fini vos études et que vous aiderez lesGBU ! Concrètement, ça peut ressembler à ça…

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GBU PRATIQUE

DONNER LE SOURIRE À SON SIRMarielle Catelin, GBUssienne à Bordeaux

Rien de mieux que de donner le sourire à quelqu’un... surtoutquand cette personne se donne du mal tous les jours pour quenous, chers GBUssiens, puissions vivre des momentsinoubliables et uniques. Comment faire pour soutenir noséquipiers ? Ecrire un petit mot gentil (mail, texto, carte…),s’abonner à leurs lettres de nouvelles… Les choses les plussimples sont parfois celles qui donnent le plus de baume au cœur.

Le GBU de Bordeaux va vous faire part de quelques­unes deses idées.

Pour situer le contexte, nous étions au milieu de l’hiver et ence début d’année, les soutiens financiers se faisaient rares pournotre SIR préférée, « Mlle Julie Delacôte ». Je ne sais pas si vousêtes au courant mais les SIR et les équipiers doivent trouver desdonateurs pour soutenir leur mission. Après avoir prié pour sasituation, nous avons, d’un commun accord, décidé de faire unecollecte auprès de tous les GBUssiens. Eh oui, 1€ par semaine enmoins c’est quoi ? Un demi­paquet de chips, un brocoli ?Multiplié par 4 semaines, ça fait 4€, multipliés par le nombre deGBUssiens, ça fait une vraie bouffée d’air pour notre SIR !

VOTRE LIVRE DE L’ÉTÉ : FIDJI ET SAM, ÉTUDIANTSFidji et Sam Path­Laplagne, étudiants à Lyon

Dès que l'on nous a contactés pour faire la promotion de notre livre Fidji et Sam,étudiants (aux éditions Clé) dans le GiBUs, nous avons pensé à Proverbes 27.2,que l'on pourrait modifier ainsi : « Que ta bouche ne chante pas [les] louanges [deton livre], laisse aux autres le soin de le faire ». Alors plutôt que de vous dire nous­mêmes pourquoi vous devriez absolument lire notre livre, nous préférons laisser laparole à d'autres : un étudiant, un SIR, le président des GBU et un théologien.

Ricardo Da Silva, étudiant en M2 Marketing à Grenoble:« Fidji et Sam nous invitent à prendre une pause­café avec eux pour partager à

cœur ouvert des erreurs qu'ils ont commises, des conseils précieux et des histoiresd'amis qui les ont inspirés ! J'ai pris cette pause avec eux... et franchement je nepeux que les remercier ! Ce livre m'a encouragé à réfléchir à mes priorités afin devivre une vie qui a un impact pour l'éternité ! »

Paul King, SIR en Alsace:« Centré sur l'Évangile, ni moraliste, ni axé sur l'épanouissement personnel, ce

livre fixe les priorités d'un étudiant chrétien qui veut glorifier Dieu dans sa vie. Sij'osais rêver d'une soirée idéale des GBU, j'écouterais un sermon de Jésus, place del'Université (selon Matthieu 5 à 7), suivi d'un débat dans une cafétéria autour destémoignages donnés dans ce livre. Oui, ce livre est un très bon point de départ pourl'étudiant chrétien qui veut mettre en pratique les principes d'une vie de disciple. »

David Brown, président des GBU:« Comment vivre sa vie d'étudiant en tant que chrétien, pas seulement en théorie

mais très concrètement ? Ce livre réunit toute une gamme de réflexions bibliques,de bons conseils, de témoignages personnels. Les années d'études universitairesouvrent beaucoup d'horizons, offrent des possibilités d'expériences et de rencontresinsoupçonnées mais comportent beaucoup de pièges et de défis. Ce livre va aiderles chrétiens à naviguer dans ce contexte. Il ne s'agit pas de recettes à appliquermais d'un but à rechercher : glorifier Dieu par sa vie tout entière. »

Dominique Angers, professeur à l'Institut Biblique de Genève (IBG):« Je trouve ce livre excellent ! Il est clair, va droit au but et est fondé

théologiquement. Je souhaite bon vent à ce livre qui, je l'espère, sera diffusélargement. »

Il manque un avis : le vôtre. Alors profitez de cet été pour lire le livre !

Cette récolte accompagnée de mots sympas dans unecarte a aidé Julie à continuer son job, à faire ce qu’elleaime. Durant cette année elle nous a, à chacun, beaucoupapporté.

Dans le même style, vous pouvez organiser une vente degâteaux ou de plats dans vos églises après avoir fait uneprésentation des GBU.

Vous voulez une autre idée ? Lors de notre dernier week­end de sortie, une GBUssienne a préparé le plat préféré denotre SIR pour son anniversaire. Et cette dernière a eu lesourire jusqu’aux oreilles !

Pensez­vous que sans les conseils, le temps, l’aide,l’organisation et les idées de votre SIR, les groupes GBUde votre ville ou de votre région se porteraient aussi bien ?

Alors faites le bon choix mes amis !Que Dieu Vous Bénisse.

GBU EN FORMATION

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Équipe GiBUsCoordination : Marie­Aude RappenneRelecture : Mélanie Tourne,Yohann Tourne, Isabelle VeldhuizenMise en page : Émilie KœchlinN°ISSN : 1631­9184

CANEVAS DE DISCUSSION AUTOUR DE LA BIBLEÉPHÉSIENS 1.1­14

Questions d’introductionDe nos jours, est­ce que les gens croient à l’idée que

l’histoire du monde mène à un but ? Sinon, pourquoi ?Si oui, lequel ?

À votre avis, les gens sont­ils sûrs de leur place dansl’histoire ? Pourquoi/pourquoi pas ?

Lire Éphésiens 1.1­14

A/ Qu’est­ce que Dieu a fait ?Faire une liste de tous les verbes décrivant

les actions de Dieu.Noter le temps de ces verbes : qu’est­ce que

Dieu a déjà fait/va faire ?B/ Comment Dieu l’a­t­il fait ?Combien y a­t­il de références au Christ dans ce passage?Quel est le contexte à chaque fois ?Qu’est­ce que nous apprenons sur la relation entre le Père et Jésus­

Christ ? Et sur le rôle du Saint Esprit ?Pouvons­nous être sûrs de notre salut ? Comment ?Quand nous pensons à notre salut, quelle devrait être notre attitude ?Faire une liste de tous les mots de plénitude dans le passage (par ex.

comblé, tout, surabondance, pleine).Quelles sont les implications de cette plénitude pour nous ?Comment réagir face aux gens (chrétiens ou non) qui nous disent que

nous avons besoin de quelque chose de plus pour être épanouis dansnotre relation avec Dieu ?

C/ Pourquoi Dieu l’a­t­il fait ?Ce passage présente une vision de l’histoire du monde, d’avant la

création jusqu’à son accomplissement.Quelle est cette vision ?En quoi cette vision diffère­t­elle de la vision de notre société ?Pourquoi cette vision biblique vaut­elle la peine d’être partagée ?

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