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République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière Institut National de Santé Publique Evaluation du Système National d’Information Sanitaire Rapport final Algérie 2011 Health Metrics Network (HMN) Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS)

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République Algérienne Démocratique et PopulaireMinistère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière

Institut National de Santé Publique

Evaluation du SystèmeNational d’Information Sanitaire

Rapport finalAlgérie 2011

Health Metrics Network (HMN)Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS)

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Groupe de coordination du projet- Dr Samira TOUAMI Médecin Spécialiste en Epidémiologie - INSP : Point focal / Coordinatrice - Dr Hakim BRAHIMI Maitre assistant en Epidémiologie - INSP : Collaborateur- Dr Fatiha CHERF-BOUZIDA Médecin de Santé Publique - INSP : Collaboratrice

Groupe de travail élargi- Mme Rachida ABERKANE Sous Directrice - Direction de la Planification et du Développement MSPRH- Mr Faouzi AMOKRANE Chef de Division - Ministère de la Prospective et des Statistiques- Mr Omar BENBELLA Chef d’Etudes - Office National des Statistiques- Pr Jean Paul GRANGAUD Professeur en Pédiatrie-Expert - Faculté de Médecine d’Alger- Dr Salima MAGUEMOUN Chef de programme - Direction des Services de Santé MSPRH- Dr Ghania MERBOUT Sous Directrice Maladies Transmissibles - Direction de la Prévention MSPRH - Dr Kenza ZEBBOUDJ Chef de programme - Direction de la Prévention MSPRH

Analyse et rédaction du rapport- Dr Samira TOUAMI- Dr Hakim BRAHIMI- Dr Fatiha CHERF-BOUZIDA

Contribution et lecture du rapport- Mr Faouzi AMOKRANE- Pr Jean Paul GRANGAUD

Secrétariat - Mme Leila KHELOUF- Mr Karim CHEROUATI

Institut National de Santé Publique, 04 Chemin El Bakr, El Biar, 16030-Alger-AlgérieTéléphone : (+213) 23 37 50 37 - Fax : (+213) 23 37 50 15

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L’information sanitaire est essentielle pour le bon fonctionnement de tout système de santé. Le Système d’Information Sanitaire joue un rôle prépondérant dans la prise de décisions et la planification en matière de santé dans le but de garantir une meilleure santé et un accès équitable à des soins de qualité à la population.

L’Algérie a consenti des efforts considérables en matière d’information sanitaire depuis son indépendance et a adopté les résolutions de l’OMS concernant les renforcements des Systèmes Nationaux d’Information Sanitaire (SNIS).

Un outil standard le « Health Metrics » a été développé par l’OMS en collaboration avec le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) permettant l’évaluation des Systèmes Nationaux d’Information Sanitaire en vue de leur renforcement et offrant la possibilité de comparaison des résultats entre pays.

L’Institut National de Santé Publique, avec l’appui de l’OMS Algérie, a procédé à l’évaluation du SNIS à l’aide de cet outil.

Ce travail a été enrichi par la participation des représentants de différents ministères et institutions en charge de l’information sanitaire. Qu’ils trouvent ici l’expression de nos remerciements pour leur contribution.

Les résultats de cette évaluation fournissent des informations très intéressantes sur les six composantes de notre système d’information sanitaire. Elles doivent être exploitées à bon escient.

Pour des raisons logistiques, ce rapport n’a pas pu être publié après sa finalisation. Le Directeur Général de l’Institut National de Santé Publique, Monsieur le Professeur Lyes RAHAL, a permis son édition en facilitant les procédures.

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Préface

Rapport Final - Algérie 2011

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Nos vifs remerciements s'adressent au Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière pour leur soutien permanent et leur aide qui nous ont permis de mener à terme ce projet.

Nos remerciements vont également à l’Organisation Mondiale de la Santé et au bureau de l’OMS Algérie qui nous a permis d’approcher un sujet aussi important que le système d’information sanitaire et d’avoir assuré un appui �nancier et technique.

Nous remercions aussi les Dr. Mohamed El Kamel KELLOU et Dr Zahia CHERFI ex Directeurs Généraux de l’Institut National de Santé Publique pour leurs encouragements constants et leurs indéfectibles soutiens de même que le Pr. Lyes RAHAL, Directeur Général de l’Institut National de Santé Publique, pour avoir facilité la publication de ce rapport.

Nous tenons à remercier toutes les institutions nationales et onusiennes qui ont apporté leur contribution à travers leurs représentants.

Nous remercions chaleureusement tous les participants pour leurs apports lors de l’évaluation du Système National d’Information Sanitaire dans ses di�érentes phases.

Que toutes les personnes qui nous ont soutenu et encouragé trouvent ici l’expression de notre gratitude.

Remerciements

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5Rapport Final - Algérie 2011

Sigles et abréviations 07Résumé 09Introduction 10

I. PRÉSENTATION DE L’ALGÉRIE 13 1.1 Géographie 13 1.2 Situation socio-économique et démographique 14 1.2.1 Economie 14 1.2.2 Social 14 1.2.3 Démographie 15 1.2.3.1 Etat Civil 15 1.2.3.2 Indicateurs démographiques 17

II. SYSTÈME NATIONAL DE SANTÉ 21 2.1 Organisation 21 2.2 Financement 25 2.2.1 Dépenses de santé 25 2.2.2 Sources de financement 25 2.3 Indicateurs de santé 27 2.3.1 Sources d’information 27 2.3.2 Indicateurs épidémiologiques 27 2.3.3 Ressources humaines 29

III. SYSTÈME NATIONAL D’INFORMATION SANITAIRE 30 3.1 Présentation du SNIS en Algérie 31 3.2 Organisation et circuit de l’information 32 3.3 Forces et faiblesses du SNIS 34

IV. OBJECTIFS ET MÉTHODOLOGIE DE L’ÉVALUATION 35 4.1 Objectifs 35 4.2 Méthodologie 35 4.2.1 Outil de l’évaluation 35 4.2.2 Préparation et étapes de l’évaluation 38

V. RÉSULTATS DE L’ÉVALUATION 41 5.1 Ressources 42 5.1.1 Coordination, planification et politiques 43 5.1.2 Ressources humaines et financement du SIS 44 5.1.3 Infrastructures du SIS 45

Sommaire

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5.2 INDICATEURS 46

5.3 SOURCES DES DONNÉES 47 5.3.1 Recensement 48 5.3.2 Statistiques de l’état civil 50 5.3.3 Enquêtes auprès de la population 52 5.3.4 Dossiers de santé et de maladies 54 5.3.5 Banqe des services de santé 56 5.3.6 Banque des ressources 58

5.4 GESTION DES DONNÉES 65

5.5 PRODUITS DE L’INFORMATION 67 5.5.1 Indicateurs de l’état de santé 68 5.5.1.1 Mortalité 69 - Mortalité chez les moins de 5 ans 69 - Mortalité maternelle 70

5.5.1.2 Morbidité 71 - Prévalence du VIH 71 5.5.2 Indicateurs du système de santé 72

5.5.2.1 Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge 73

5.5.2.2 Accouchements assistés par des personnels de santé qualifiés 74

5.5.2.3 Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS) 75

5.5.2.4 Dépenses générales de l’état en matière de santé par habitant 76

5.5.2.5 Dépenses privées de santé par habitant 77

5.5.2.6 Densité du personnel sanitaire pour 1000 Habitants 78

5.5.2.7 Tendance à fumer chez les 15 ans et plus 79

5.6 DIFFUSION ET UTILISATION DES PRODUITS DE L’INFORMATION 80

5.6.1 Analyse et utilisation de l’information 81

5.6.2 Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer 81

5.6.3 Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités 82

5.6.4 Utilisation des informations pour l’allocation des ressources 82

5.6.5 Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action 83

VI. RECOMMANDATIONS 85

Conclusion 90 Annexes 91 Références bibliographiques 162 Liste des tableaux 165 Liste des figures 167

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ANDRS Agence Nationale de la Documentation et de la Recherche en SantéANDS Agence Nationale de Documentation de la SantéANS Agence Nationale du SangCENEAP Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le DéveloppementCHU Centre Hospitalier UniversitaireCITP Classification Internationale par Type de Profession CNES Conseil National Economique et SocialCNS Comptes Nationaux de la SantéCNT Centre National de ToxicologieCREAD Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le DéveloppementDFM Direction des Finances et des MoyensDP Direction de la PréventionDPD Direction de la Planification et du DéveloppementDPop Direction de la PopulationDRH Direction des Ressources HumainesDSP Direction de la Santé et de la PopulationDSS Direction des Services de SantéEASF Enquête Algérienne sur la Santé de la FamilleEASME Enquête Algérienne sur la Santé de la Mère et de l’EnfantEDG End Decade GoalsEH Etablissement HospitalierEHS Etablissement Hospitalier SpécialiséEHU Etablissement Hospitalier UniversitaireENMAS Ecole Nationale de Management et de l’Administration de la SantéEPH Etablissement Public HospitalierEPSP Etablissement Public de Santé de ProximitéFNUAP Fonds des Nations Unies pour la Population GATS Global Adult Tobacco SurveyGSHS Global school-based student health survey GYTS Global Youth Tobacco Survey HMN Health Metrics NetworkINSP Institut National de Santé PubliqueIPA Institut Pasteur d’AlgérieMDG Mid-Decade GoalsMDO Maladies à Déclaration ObligatoireMICS Multi Clusters Indicators Survey

Sigles & Abréviations

7Rapport Final - Algérie 2011

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire8

MPS Ministère de la Prospective et des StatistiquesMSPRH Ministère de la Santé, de la Population, et de la Réforme HospitalièreNTIC Nouvelles Technologies de l’Information et de la CommunicationOMD Objectifs du Millénaire pour le Développement OMS Organisation Mondiale de la Santé ONS Office National des StatistiquesONUSIDA Organisation des Nations Unis chargée du SidaOS Objectif StratégiquePAPFAM Pan Arab Family Health SurveyRMS Réseau de Métrologie SanitaireRSI Règlement Sanitaire InternationalSEMEP Service d’Epidémiologie et de Médecine PréventiveSI Système d’InformationSIG Système d’Information Géographique SIS Système d’Information Sanitaire SNIS Système National d’Information SanitaireSSE Système de Surveillance Epidémiologique UDS Unité de Dépistage et de SuiviUNFPA United Nations Population FundUNICEF Fonds des Nations Unies pour l’Enfance

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Résumé

Un système de santé doit disposer d’un bon Système d’Information Sanitaire (SIS) qui nécessite pour son fonctionnement optimal un cadre de référence, des ressources humaines et matérielles ainsi qu’un financement. Le SIS garantit la production, l’analyse, la diffusion et l’utilisation d’informations fiables et actualisées sur les déterminants sanitaires, la performance des systèmes de santé et l’état sanitaire dans le but d’aider à la planification et la gestion des activités du secteur de la santé.

L’évaluation du Système National d’Information Sanitaire (SNIS) s’est avérée nécessaire pour établir un état des lieux en vue de son renforcement. Cette évaluation d’ordre qualitatif entre dans le cadre d’un projet de coopération Algérie-OMS et a été réalisée à l’aide de l’outil « Health Metrics » développé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) en collaboration avec l’OMS.

La coordination et la réalisation du projet ont été confiées à l’Institut National de Santé Publique. L’évaluation s’est faite avec les professionnels de la santé en collaboration avec des représentants d’autres institutions en charge de l’information sanitaire.

Elle a porté sur les six (06) composantes du SNIS telles que définies par le RMS que sont : les ressources, les indicateurs, les sources de données, la gestion des données, les produits de l’information et la diffusion et utilisation.

Les résultats de cette évaluation classent le Système National d’Information Sanitaire dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » selon la grille fournie par l’outil de l’OMS avec un score global de 48,3 %. Les six composantes du SNIS ont été différemment appréciées par les évaluateurs avec des scores respectifs de 59,1 % pour les produits de l’information, de 53 % pour les sources de données et de 50,7 % pour les indicateurs, classant ces trois composantes dans la catégorie « satisfaisant ». Les trois composantes restantes sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec des scores respectifs de 49,4 % pour les ressources, de 45,7 % pour la diffusion et utilisation et de 32 % pour la gestion des données.

Des recommandations portant sur l’ensemble des composantes ont été formulées et serviront d’éléments de réflexion en vue du renforcement de l’actuel système d’information sanitaire.

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Introduction

Une information sanitaire fiable, communiquée en temps opportun revêt une importance cruciale car elle constitue le fondement de toute décision et action de santé publique tant au niveau national, régional que mondial. Elle est essentielle aux décideurs pour leur permettre d’opérer des choix judicieux en matière de politique de santé, et de s’assurer que les objectifs des différents programmes de santé ont été atteints à des coûts efficients, que des stratégies ont été mises en place et enfin, que ces différents programmes sont régulièrement évalués notamment en vue de la détermination des besoins et d’une allocation équitable des ressources.

Le Système d’Information Sanitaire (SIS) constitue la pierre angulaire de tout système de santé. Il peut être défini comme « un processus intégré de collecte, de notification, d’analyse et d’utilisation de l’information et des connaissances sur la santé pour l’élaboration des politiques, l’exécution des programmes et la promotion de la recherche ». Le SIS nécessite un cadre de référence, des ressources humaines et matérielles, des indicateurs de base et des stratégies pour la collecte, l’analyse et la diffusion de données.

L’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans les systèmes d’information sanitaire permet d’améliorer efficacement la collecte de données fiables en temps réel ; celles-ci doivent faciliter leur disponibilité et la diffusion des informations pour une surveillance intégrée de la santé des populations et une riposte appropriée.

Ce processus d’organisation de l’information trouve toute son importance dans sa contribution dans la planification et l’aide à la prise de décision. A cet effet, il est recommandé qu’il soit régulièrement révisé et adapté aux exigences nationales, régionales et internationales.

D’ailleurs, le Règlement Sanitaire International (RSI) impose aux états membres l’obligation de notifier rapidement à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) les évènements susceptibles de constituer une urgence de santé publique de portée internationale et de renforcer leurs capacités de surveillance et d’action en faveur de la santé publique. C’est pour cela que le RSI a fait l’objet d’un processus de révision adopté par l’Assemblée Mondiale de la Santé lors de sa réunion du 16 juin 2005 et que cette nouvelle règlementation est entrée en vigueur en juin 2007.

La réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) constitue également l’un des grands défis du siècle et nécessite entre autre la modernisation et l’adaptation des systèmes d’information sanitaire aux normes internationales afin de disposer d’une base de données fiable.

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Les engagements internationaux de l’Algérie œuvrent au renforcement du SNIS dans le but de le rendre plus performant, plus dynamique et en conformité avec les normes mondiales.

Le Système National d’Information Sanitaire (SNIS) a toujours été une préoccupa-tion majeure des dirigeants et des politiques vu son importance et des efforts considérables ont été entrepris dans ce domaine.

L’Algérie a adopté les résolutions de l’OMS relatives aux renforcements des systèmes d’information sanitaires (WH60.27 ; Genève 23 mai 2007) et aux interven-tions prioritaires pour renforcer les Systèmes Nationaux d’Information Sanitaire (AF/RC54/R3).

La déclaration d’Alger adoptée lors de la conférence ministérielle sur la recherche pour la santé dans la région africaine tenue en juin 2008 a mis l’accent sur la nécessité de « développer le SNIS par la mise en place de procédures permettant de garantir la production et la disponibilité d’informations conformes aux normes internationales et par la définition de relations claires entre les différents sous systèmes ainsi que des mécanismes nécessaires pour leur évaluation régulière. D’identifier et intégrer les différentes sources d’information dans les systèmes nationaux en tenant compte du secteur privé, afin de disposer d’une information fiable et sure, d’acquérir les technologies de l’information et de la communication et de les rendre accessibles à toutes les sources et à tous les utilisateurs potentiels de l’information, afin de disposer de bases factuelles actualisées pour le développement de la recherche pour la santé1 ».

Le SNIS dispose d’atouts considérables en termes de ressources humaines, financières et matérielles. Il est composé de plusieurs sous systèmes dont le système de surveillance épidémiologique des Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO), des registres de certaines maladies chroniques et les données d’enquêtes de santé de population...

Bien que n’ayant pas fait l’objet de travaux de recherche pour son renforcement et son développement, le SNIS a constitué un axe de coopération avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). L’Institut National de Santé Publique (INSP), dont l’une des missions essentielles est la gestion de l’information sanitaire pour l’aide à la décision, a contribué à la révision du SNIS dans le cadre de la coopération avec l’OMS.

Une première intervention a porté sur la révision du système d’information épidémi-ologique en 1997 (OMS AFRO/POC 96-97), la seconde a concerné les indicateurs essentiels et a eu lieu en avril 1999 à Taghit dans la wilaya de Béchar (OMS/bienni-um 1998-1999).

Dans le cadre de la coopération Algérie-OMS pour le biennium 2010-2011, l’INSP a été chargé de la coordination et de la réalisation du projet portant sur l’évaluation du SNIS.

1 Référence : Déclaration d’Alger : conférence ministérielle sur la recherche pour la santé dans la région Africaine (réduire le déficit des connaissances pour améliorer la santé en Afrique 23-26 juin 2008)

11Rapport Final - Algérie 2011

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Cette évaluation qualitative du SNIS a été réalisée à l’aide de l’outil « Health Metrics » développé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) en collaboration avec l’OMS.

Le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ou Health Metrics Network (HMN) est un partenariat mondial bénéficiant de l’appui financier de plusieurs institutions. Il a été officiellement lancé en mai 2005 lors de la 58ème Session de l’Assemblée Mondiale de la Santé en vue d’aider les pays et les autres partenaires à améliorer la santé mondiale en aidant aux renforcements des systèmes d’information sanitaires.

Le RMS vise à accroitre la disponibilité et l'utilisation de l'information sanitaire en temps opportun, en favorisant le financement conjoint et le développement de systèmes nationaux d'information sanitaire de base.

Les objectifs stratégiques du RMS sont de :

◘ Créer un cadre harmonisé pour la mise en place de systèmes d’information sanitaires nationaux (Cadre HMN).

◘ Renforcer les systèmes nationaux d’information sanitaire par une assistance technique.

◘ Améliorer l’accès à l’information sanitaire et à son utilisation.

Le présent rapport a pour objet de présenter le Système d’information sanitaire en Algérie, la méthode de travail adoptée pour la réalisation de l’évaluation à l’aide de l’outil Health Metrics et les résultats de cette évaluation.

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PRESENTATION DE L’ALGERIE

1.1- GÉOGRAPHIE

Pays sud méditerranéen situé au nord-ouest du continent africain et au centre du Maghreb, l’Algérie avec un territoire de 2.381.741 km2 est le premier pays d’Afrique en superficie, et le neuvième du monde. Bordée au nord par la Méditerranée avec près de 1200 km de côtes, l’Algérie est située entre sept pays : le Maroc et le Sahara Occidental à l’ouest, la Mauritanie, le Mali et le Niger au sud, la Libye et la Tunisie à l’est.

Selon le découpage administratif, l’Algérie compte 48 Wilayas, 547 Daïras et 1541 Communes. La Wilaya est la plus grande entité administrative. Elle est constituée par un ensemble de Daïras dont chacune se compose d’un groupe de communes. La commune constitue ainsi l’entité de base dans l’organisation administrative du pays.

Les principales villes d’Algérie sont : Alger, capitale de l’Algérie, située au nord du pays sur la mer Méditerranée, elle est également chef-lieu de wilaya et regroupe 28 communes. La deuxième ville est Oran : Au nord-ouest du pays, sur la mer Méditerranée, à 423 km d’Alger. La troisième ville est Constantine, située au nord-est de l’Algérie, à 424 km d’Alger et en léger retrait du littoral méditerranéen. Annaba, située au nord-est de l’Algérie est la quatrième ville du pays.

Les wilayas du sud occupent les plus grandes superficies et sont : la wilaya de Tamanrasset, Adrar et Illizi.

Codes des Wilayas d’Algérie01. Adrar 08 .Béchar 15. Tizi Ouzou 22. Sidi Bel Abbes 29. Mascara 36. El Tarf 43. Mila02. Chlef 09. Blida 16. Alger 23. Annaba 30. Ouargla 37. Tindouf 44. Ain Defla03.Laghouat 10. Bouira 17. Djelfa 24. Guelma 31. Oran 38. Tissemsilt 45. Naama04. Oum El Bouaghi 11. Tamanrasset 18. Jijel 25. Constantine 32. El Bayadh 39. El Oued 46. Ain Temouchent05. Batna 12. Tebessa 19. Setif 26. Médéa 33. Illizi 40. Khenchela 47. Ghardaia06 .Bejaia 13. Tlemcen 20. Saida 27. Tlemcen 34. Bordj Bou Arreridj 41. Souk Ahras 48. Relizane07. Biskra 14. Tiaret 21. Skikda 28. M’Sila 35. Boumerdes 42. Tipaza

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1.2- SITUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE ET DÉMOGRAPHIQUE

1.2.1- ECONOMIE L’Algérie est un important producteur et exportateur d’hydrocarbures. Ses principales recettes proviennent de la rente pétrolière. Aujourd’hui, la situation économique du pays est extrêmement favorable tant sur le plan interne qu’au niveau externe, suite à une politique de développement visant la modernisation des infrastructures économiques et sociales et l’encouragement de l’investissement privé, aussi bien national qu’étranger et soutenue par l’augmentation importante des prix des hydrocarbures sur le marché mondial. La croissance économique du pays a suivi une progression constante et stable, passant de 2,1% en 2001 à 5,3% en 2005, avec un pic de 6,1% en 2008. Sur le plan externe, l'Algérie est considérée comme la quatrième puissance économique du continent africain. L’indice du Produit Intérieur Brut par habitant est en nette augmentation d’année en année et particulièrement à partir de l’an 2000, ce qui place l’Algérie désormais confortablement parmi le groupe des pays au revenu moyen.

1.2.2- Social

L'analphabétisme, dans la population âgée de 10 ans et plus, a fortement reculé depuis l'indépendance. Il est passé de 74,6% en 1966 à 31,9% en 1998 pour atteindre 22,1% en 2008. Le taux de chômage a régressé, il est passé de 15,3% à la fin 2005 à 10,0% en 2010, selon les chiffres de l’Office National des Statistiques.

Selon les rapports mondiaux sur le Développement Humain du Programme des Nations Unies pour le Développement, l’Indice de Développement Humain (IDH) est en augmentation constante. Il était de 0,551 en 1990 et a atteint 0,698 en 2011, classant l’Algérie au 96ème rang selon le classement de l’IDH.

Tab.1- Evolution du Produit Intérieur Brut (PIB) en dollars US, par habitant, de 1990 à 2008, en Algérie

Tab.2- Evolution de l’Indice de Développement Humain (IDH) de 1990 à 2011, en Algérie

Année 1990 1995 2000 2005 2007 2008 2009

Source : Ministère des Finances

PIB 1636 1470 1790 2993,3 3909,4 4922,8 3873,6

2010 2011

4494,2 5365,8

Source : Rapports PNUD

Année 1990 2000 2005

IDH 0,551 0,624 0,667

2009

0,691

2010

0,697

2011

0,698

L’Indice de pauvreté humaine est en net recul, passant de 23,5% en 1990 à 17,16% en 2008. Le pourcentage de la population vivant avec moins de 1 US $ est en régression aussi, passant de 1,7% en 1990 à 0,5% en 2009.

En 2005, l’Algérie a présenté son premier rapport national, sur la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), suivi par un deuxième rapport en 2010.

Dans le dernier rapport des Nations Unies sur le Développement Humain, l’Algérie est comptée parmi les top 15 pays au monde à avoir réduit sur les 20 dernières années leur déficit en développement humain de manière significative.

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1.2.3- DÉMOGRAPHIE

Comme il est admis chez les utilisateurs des données démographiques, trois sources de données sont réputées pour être les principales pourvoyeuses d’informations statistiques, à savoir les recensements généraux de population, les enquêtes par sondage et les registres de l’Etat civil.

L’Algérie a fortement investi dans le développement de ses canaux d’informations statistiques, d’abord en capitalisant les données collectées en continue par les bureaux d’Etat Civil disséminés à travers le territoire national, ensuite en reconduisant tous les dix (10) ans l’opération de recensement général de sa population. A côté de ces deux opérations, plusieurs enquêtes thématiques par sondage ont été menées depuis l’indépendance et qui ont souvent éclairé la prise de décision.

1.2.3.1- Etat civil

L'Algérie dispose d’un Etat Civil depuis très longtemps ; ce dernier a été mis en place en 1882 pour le Nord du pays et en 1905 pour le Sud. Aujourd’hui, l'Etat Civil est régi par l’ordonnance du 19 février 1970 qui attribue les fonctions d'Officier d’Etat Civil au Président, aux Vices Présidents de l'Assemblée Communale (APC) et à l'étranger, aux Chefs de Missions Diplomatiques.

Les données de cette source d’information sont gérées par l’Office National des Statistiques (ONS), l’institution centrale des statistiques. Cet office a intégré depuis 1981 une nouvelle méthode de collecte annuelle des données basée sur deux enquêtes : une enquête exhaustive et une par sondage qui concernent quatre évènements démographiques (naissances, décès, mort-nés et mariages).

La déclaration des évènements démographiques est faite sur des actes de l'Etat Civil qui sont inscrits, dans chaque commune, sur trois (03) registres tenus en double :

◘ un registre des actes de naissances,

◘ un registre des actes de mariage, et

◘ un registre des actes de décès.

L'enregistrement des mort-nés est effectué sur le registre des décès.

L’enregistrement des faits de l'Etat Civil s'effectue gratuitement et couvre l'ensemble des 1541 communes.

a) Acte de naissances

La déclaration des naissances doit se faire dans les cinq (05) jours suivant l'accouchement, sont exclus les jours de repos hebdomadaire et les jours fériés. La déclaration est faite par jugement quand ces délais sont dépassés. Dans les wilayas du sud, le délai règlementaire pour la déclaration est de 60 jours, alors que dans les pays étrangers il est fixé à 10 jours. L'Acte de naissance énonce :

◘ le jour, l'heure et le lieu de naissance,◘ le sexe de l'enfant et les prénoms qui sont donnés,◘ les prénoms et noms, âge, profession et domicile des père et mère.

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Rapport Final - Algérie 2011

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4 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire16

b) Acte de décès

La déclaration d’un décès s’effectue dans les vingt quatre (24) heures à compter du décès pour les wilayas du Nord. Cette durée est prolongée pour les wilayas du Sud. L'Acte de décès énonce :

◘ le jour, l'heure et le lieu de décès,

◘ les prénoms, nom et lieu de naissance,

◘ profession et domicile de la personne décédée,

◘ les prénoms, noms, professions et domiciles de ses père et mère,

◘ les prénoms, nom, âge, profession et domicile du déclarant,

◘ et les nom et prénoms de l’autre époux, si la personne décédée était mariée, veuve ou divorcée.

c) Acte de mariage

L'enregistrement du mariage est effectué sur le champ, lorsque le mariage est conclu devant l'Officier d'Etat Civil ou le juge. Dans le cas où l’enregistrement est fait par ce dernier, celui-ci est chargé de transmettre l'Acte à l'Officier d'Etat Civil dans un délai de trois (03) jours. Avant la déclaration du contrat de mariage, le notaire ou l’officier de l’état civil doit constater que les deux parties se sont soumises aux examens médicaux et ont eu connaissance des maladies ou des facteurs de risque qui peuvent contre-indiquer le mariage.

d) Acte de divorce

Le divorce prononcé par le tribunal est notifié juste après sa prononciation à l’officier de l’état civil qui procède à son inscription en mention marginale sur l’acte du mariage et sur les extraits de naissances. Aucun délai n’est fixé pour la notification du jugement de divorce.

e) Couverture des évènements démographiques

Les efforts déployés pour la couverture des évènements démographiques depuis l'indépen- dance, en 1962 ont permis d'atteindre des taux d'enregistrement de plus de 90 % pour les naissances et de 70 % pour les décès durant les années 70.

Les corrections des sous-déclarations étaient effectuées sur la base d’enquêtes annuelles réalisées par l’ONS. En 1981, les taux de couverture des évènements démographiques portés à la connaissance des chercheurs et des divers utilisateurs des données étaient : pour les naissances de 98,2 %, pour les décès de 82 % et pour les morts nés de 77,5 %, dont 32 % étaient constitués par des faux mort-nés qui interviennent dans la rectification des taux de couverture des déclarations des naissances et des décès.

En 1989, une enquête réalisée par le Ministère de la Santé (MMI) sur un échantillon de 22 422 ménages, confirmait quelque peu ce niveau de couverture et donnait des taux pour les naissances et les décès infantiles à respectivement de 96,5% et 81%. Ces taux variaient en

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17

fonction du milieu (urbain, rural) puisque le taux de couverture des naissances était de l’ordre de 97,2% pour les zones agglomérées et de 93,06% pour les zones éparses.

En 2002, une autre enquête a été réalisée par le Ministère de la santé en collaboration avec l'Office National des Statistiques (Papfam) sur un échantillon de 20 000 ménages avait permis d'actualiser la correction de la mortalité infantile. En effet, de nouveaux taux de correction des naissances et des décès ont désormais été appliqués aux données de l'état civil, avec pour les naissances de 100 % et pour les décès de 91%.

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Rapport Final - Algérie 2011

1.2.3.2- Indicateurs démographiques

En Algérie, la natalité et la mortalité font l’objet d’une observation continue à travers l’enregis-trement des naissances et des décès. De 1966 à 2008, la population algérienne a pratiquement triplé, passant de 12 à 35 millions d’habitants. Au 1er juillet 2010, la population résidente totale est estimée à 36 millions d’habitants et l’accroissement naturel vient de franchir le seuil de 2 %, soit 731 000 personnes.

Tab.4- Evolution de la population résidente (en milliers d’habitants) de 1966 à 2010, en Algérie

* : Recensement général de la population et de l’habitatSource : ONS

Tab.3- Taux de corrections issues d'enquêtes 1970-1981 et 2002

Sources : Annuaire statistique 1990, ONS PAPFAM-2002, ONS/Ministère de la Santé de la Population et de la Réforme Hospitalière

86,8

92,892,8

93,298,7

99,9

EnsembleAnnées

Femme

-

Homme

99,09

60,6

63,864,3

64,881,1

91,0

Ensemble

66,4

69,0

69,3-

88,4

-

Homme

Taux de couverture des naissances

54,9

58,8

59,3

-71,0

-

Femme

Taux de couverture des décès

1970

19771978

19801981

200298,34

29272

14801

14171

Population totale

2010

Masculine

Féminine

12096

2006 2007 2008* 20091966* 1987* 1998*

6073

6023

1977*

16064

7992

8072

22881

11574

11308

33481

16915

16566

34096

17225

16871

34745

17577

17168

35268

17846

17422

35278

18205

17773

2011

36717

18579

18138

2012

37495

Année

18972

18723

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire18

Bien que la population algérienne ait augmenté de façon importante au fil du temps, son taux d’accroissement naturel (TAN) s’est progressivement réduit. Cette réduction du taux d’accroisse-ment naturel est interrompue depuis 2001, année à partir de laquelle le nombre des naissances, qui était en régression pendant les années quatre-vingt-dix, a ré-augmenté. Actuellement, avec près de 2% d’accroissement annuel moyen, la population connait de nouveau un rythme d’évolu-tion relativement soutenu.

556

1,69

Accroissementnaturel (en milliers)

2010

TAN (%)

-

2006 2007 2008 200966-76 2004 2005

3,21

77-86

-

3,08

528

1,63

595

1,78

634

1,86

663

1,92

690

1,96

731

2,03

2011

748

2,04

2012

808

2,16

Année

Tab.6- Evolution de l’accroissement naturel (en milliers) et du TAN (en pourcentage)

En 2010, l’Algérie a enregistré 887 810 naissances vivantes. Ce volume est passé en 2012 à 978 000 naissances vivantes. Cette augmentation continue du nombre de naissances est liée, entre autres, au fait que le nombre de mariages a, lui aussi, considérablement augmenté passant de 158 298 mariages en 1998 à 331 190 mariages en 2008, atteignant 371 280 en 2012.

Tab.7- Evolution des naissances vivantes et du taux brut de natalité en Algérie

703

21,36

Naissances(en milliers)

2010

TAN (%)

775

2006 2007 2008 20091990 2000 2005

30,94

1995

711

25,33

600

19,36

739

22,07

783

22,98

817

23,62

849

24,07

888

24,68

2011

910

24,78

2012

978

26,08

Année

Source : ONS

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gérie Selon les recensements de la population algérienne, la part de la population jeune âgée de moins

de 20 ans est en nette diminution, passant de 58,25 % en 1966 à 38,84 % en 2008. Ce constat est à relativiser dans les années à venir puisqu’à la faveur de la flambée des naissances depuis pratiquement 2005, la frange de la population d’âge inférieur à 20 ans est appelée à se renforcer davantage dans l’avenir.

Tab.5- Répartition de la population algérienne par tranche d’âge (%) à travers les RGPH de 1966 à 2008

54,74

41,31

3,95

0-19 ans

20-64 ans

65 et plus

199819871966

58,25

38,75

3,00

48,24

47,30

4,46

2008

38,84

55,83

5,33

Année

100,0Total 100,0 100,0 100,0

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19

34,6

30,3

Garçons

2010

Filles

49,2

2004 2007 2008 20091990 2001 2003

45,8

2000

38,4

35,3

38,9

35,9

32,2

28,0

27,9

24,4

26,9

23,9

26,6

22,9

25,2

22,2

2011

24,6

21,6

2012

23,9

21,2

Année 2002

36,1

33,1

Source : ONS

La mortalité infantile, qui constitue un des indicateurs phares qui traduit l’efficacité d’un système de santé, a nettement baissé depuis l’indépendance (1962). De 142 pour mille naissances vivantes en 1970, le taux de mortalité infantile (TMI) passe à 46,8 ‰ en 1990 pour atteindre 34,7 ‰ en 2002 et 25,5 ‰ en 2008. Ce taux poursuit toujours son même rythme de diminution pour enregistrer 23,7 ‰ en 2010 et 22,6‰ en 2012.

Tab. 9- Evolution du Taux de Mortalité Infantile par sexe (pour mille naissances vivantes)

2005

32,4

28,2

2006

28,3

25,3

23,730,4 26,2 25,5 24,846,8 37,5 32,536,9 23,1 22,6Total 34,7 30,4 26,9

73,9

75,8

Hommes

2011

Femmes

52,6

2005 2009 20101970 1990 2004

52,8

1980

55,9

58,8

66,3

67,3

73,6

75,6

74,7

76,3

75,6

77,0

75,6

77,4

Année 2000

71,5

73,4

Source : ONS

L’espérance de vie à la naissance s’est considérablement améliorée depuis 1970, due essentielle-ment à la diminution de la mortalité infantile et de la mortalité générale. Elle est passée de 52,6 années en 1970 à 76,3 années en 2010, avec respectivement 75,6 années pour les hommes et 77 années pour les femmes. En 2012, l’espérance de vie à la naissance est de 76,4 ans.

Tab. 10- Evolution de l’espérance de vie à la naissance (en années)

2006

74,7

76,8

76,574,6

2008

74,8

76,4

75,6 75,5 76,352,6 66,9 74,857,4

2012

75,8

77,1

76,4Total 72,5 75,7

2007

74,7

76,8

75,7

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Rapport Final - Algérie 2011

Le taux brut de mortalité (TBM) qui dépassait les 15‰ dans les années soixante, se stabilise actuellement autour de 4,5‰. Cependant, si le nombre de décès enregistrés depuis les années 70 n’a pas varié de façon importante, malgré le fait que la population ait pratiquement triplé, la structure des décès a été sensiblement modifiée puisque l’on enregistre un recul de la part des décès des enfants et on recense désormais davantage de décès aux âges avancés.

Tab. 8- Evolution des décès et du taux brut de mortalité en Algérie

149

4,38

Décès (en milliers)

2012

Taux brut de mortalité (‰)

2008 2009 2010 20112006 20072005

147

4,47

144

4,30

153

4,42

159

4,51

157

4,37

162

4,41

170

4,53

Année

Source : ONS

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire20

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gérie En 2008, le taux de mortalité maternelle (TMM) était estimé à 86,6 pour 100 000 naissances

vivantes contre 230 pour 100 000 naissances vivantes en 1989 et 117 pour 100 000 naissances vivantes en 1999.

Tab. 11- Evolution du Taux de Mortalité Maternelle (pour 100 000 naissances vivantes)

TMM

Année

Sources : Rapport OMD 2010 ; MSPRH

85-89

230

1992

215 117,4

1999 2007

88,9

2008

86,2

2010

76,9

2011

73,9

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21

SYSTEME NATIONAL DE SANTE

2.1- ORGANISATION

Le droit de tous les citoyens à la santé est consacré par les Constitutions de 1989 et de 1996, qui consacrent le champ de responsabilité dévolu à l'Etat, à travers l’article 54 qui stipule que : " Tous les citoyens ont droit à la protection de leur santé. L'Etat assure la prévention et la lutte contre les maladies épidémiques et endémiques ".

En 2008, le Gouvernement Algérien a adopté le Schéma National d’Aménagement du Territoire (SNAT horizon 2030), qui s’est traduit par une loi publiée en 2010, auquel le Schéma Directeur Sectoriel de la Santé (SDSS) a été intégré. Ce programme appuie le développement et le renforcement des capacités du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH), de ses institutions sous tutelle et de ses niveaux opérationnels, pour garantir une meilleure santé et un accès équitable à des soins de qualité à la population algérienne, tels que définis par les axes d’intervention de la Politique Nationale de Santé :

◘ Rapprocher la santé du citoyen ;

◘ Améliorer la qualité des prestations ;

◘ Prendre en charge la transition démographique et épidémiologique ;

◘ Atteindre les Objectifs du Millénaire ;

◘ Rationaliser la gestion du secteur.

Le Système National de Santé Algérien est structuré selon une forme pyramidale et est constitué de trois échelons :

Echelon central

1. Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH) : Le MSPRH gère l’ensemble du système de santé public et règlemente l'offre de soins privée. Dans l’organigramme modifié de l’année 2011, le MSPRH est constitué de dix (10) Directions : la Direction Générale de la Prévention et de la Promotion de la Santé, la Direction Générale des Services de la Santé et de la Réforme Hospitalière, la Direction Générale de la Pharmacie et des Equipements de Santé, la Direction de la Population, la Direction des Etudes et de la Planification, la Direction de la Règlementation, du Contentieux et de la Coopération, la Direction des Ressources Humaines, la Direction de la Formation, la Direction des Finances et des Moyens, la Direction des Systèmes d’Information et de l’Informatique.

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire22

Le MSPRH est chargé dans le domaine de la santé selon le journal officiel N° 63 du 23 novembre 2011 :

- d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer la stratégie et la politique nationale dans le domaine de la protection et de la promotion de la santé ;

- d’organiser la prévention, la sauvegarde de la santé, de la population et la lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles ;

- d’initier les programmes d’action de santé spécifiques aux populations vulnérables ou en difficulté ;

- d’élaborer les programmes de santé de proximité ;

- de veiller à la lutte contre la toxicomanie et les pratiques additives ;

- d’élaborer et de proposer l’organisation du système national de santé, notamment l’établissement de la carte sanitaire ;

- d’organiser les soins médicaux dans les structures de santé ;

- de règlementer l’exercice des professions de santé ;

- d’élaborer la politique nationale des produits pharmaceutiques, des dispositifs médicaux et des équipements de santé à usage de la médecine humaine ;

- de veiller à l’approvisionnement en produits pharmaceutiques, dispositifs médicaux et équipements de santé et à leur qualité ;

- de veiller à la protection sanitaire en milieux spécifiques ;

- d’impulser les activités liées à la prévention et à la lutte contre les maladies épidémiques, endémiques et non transmissibles et de proposer les mesures de dépistage y afférentes ;

- d’initier et de mettre en œuvre les mesures de lutte contre les nuisances et pollutions ayant un impact sur la santé de la population.

Dans le domaine de la population, le MSPRH est chargé également:

- d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer la stratégie et la politique nationale en matière de population ;

- de définir les priorités en matière de maitrise de la croissance démographique et de la planification familiale ;

- de procéder à des analyses et d’entreprendre toute étude prospective en matière de démographie.

2. Structures d'Appui : Que sont l'Institut National de Santé Publique (INSP), l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA), la Pharmacie Centrale des Hôpitaux (PCH), l'Agence Nationale du Sang (ANS), l'Ecole Nationale de Management et de l’Administration de la Santé (ENMAS), le Laboratoire National de Contrôle des Produits Pharmaceutiques (LNCPP), le Centre National de Toxicologie (CNT) et l'Agence Nationale de Documentation de la Santé (ANDS).

3. Organes consultatifs : Représentés par les 24 Comités Médicaux Nationaux et les comités ou Groupes ad hoc.

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234

Echelon intermédiaire

1. Conseil Régional de la Santé : Créé par arrêté interministériel N° 22 le 11 avril 1995, est un organe consultatif ayant pour mission de développer la coordination et la concertation intersectorielles et d'assurer de manière rationnelle et efficiente, la protection, la promotion et la réhabilitation de la santé des populations. Il est chargé, en relation avec les organismes et structures concernés: de veiller à la collecte, au traitement et à la diffusion de l'information sanitaire, d'orienter l'action sanitaire en fonction de la situation épidémiologique, des ressources disponibles et des priorités arrêtées, de proposer des programmes régionaux de santé et de procéder à leur suivi et à leur évaluation périodique.

L’Algérie comprend cinq (05) régions sanitaires regroupant chacune un certain nombre de wilayas. Il s'agit des régions : Centre - Est - Ouest - Sud Est et Sud Ouest avec pour chef lieu, respectivement, les wilayas d’Alger - Constantine - Oran - Ouargla et Béchar.

2. Observatoire Régional de la Santé (ORS) : Les ORS ont été crées par l’arrêté N°43 du 22 juin 1995 et sont des annexes de l'Institut National de Santé Publique. Ils sont au nombre de cinq, un par région sanitaire, ayant pour siège la wilaya chef lieu de la région sanitaire. Ils constituent la structure pivot de la région sanitaire en matière d'information sanitaire, de protection et de promotion de la santé, de lutte contre la maladie, de formation et de recherche en santé publique.

3. Directions de la Santé et de la Population de Wilaya (DSP) : Elles sont au nombre de 48, une par wilaya et sont chargées de la mise en œuvre de la politique de santé du MSPRH. (Offres de soins, gestion des infrastructures sanitaires, collecte et analyse de l'information sanitaire, gestion des programmes de santé).

Echelon local

Le système de santé Algérien repose sur un ensemble de structures médicales, techniques et administratives. L’offre de soins est repartie en trois secteurs d’inégale importance: un secteur public dominant, un secteur privé en expansion rapide et un secteur parapublic.

1. Le Secteur public : L’organisation et le fonctionnement des Secteurs Sanitaires crées par le décret 97- 466 du 2 décembre 1997 constituaient la base de la pyramide des soins. Chaque Secteur Sanitaire desservait en moyenne un bassin de population de 100 000 à 300 000 habitants et comprenait: un hôpital général, un Service d’Epidémiologie et de Médecine Préventive (SEMEP), des structures légères (polycliniques, centres de santé, salles de soins) organisées en sous secteurs et d’Unités de Dépistage et Soins Scolaires (UDSS), reparties par groupements d’écoles.

Cette organisation a été modifiée par le décret exécutif 07-140 du 19 mai 2007 et son application depuis janvier 2008 a transformé les 185 Secteurs Sanitaires en 191 Etablissements Publics Hospitaliers (EPH) et 271 Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP).

Le secteur public compte aussi 68 Etablissements Hospitaliers Spécialisés (EHS) crées par le décret 97-465 du 2 décembre 1997 couvrant plusieurs spécialités telles que :

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Rapport Final - Algérie 2011

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire24

la cancérologie, la cardiologie, la chirurgie cardiaque, la psychiatrie, la rééducation, la traumatologie, la neurochirurgie et les maladies infectieuses…, 13 Centres Hospitalo- universitaires (CHU) crées par le décret 97-467 du 2 décembre 1997, implantés dans 10 wilayas du pays. Ils sont sous la double tutelle du Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière (MSPRH) et du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS). Leur personnel médical de rang magistral assure des activités de soin, de formation et de recherche.

Le secteur public compte également quatre (04) Etablissements Hospitaliers (EH) et un (01) Etablissement Hospitalier Universitaire (EHU).

Le secteur public a pour rôle d’assurer les soins primaires et les urgences, les soins spécialisés et la prévention.

Tab. 12- Répartition des structures publiques selon le type d’infrastructure

Infrastructures extra-hospitalières

Etablissement Public de Santé de Proximité (EPSP)

Regroupant :

- Polycliniques

- Salles de soins

- Maternités publiques

271

1419

5077

271

1436

5258

427419

20092008Structures 2010

Infrastructures d’hospitalisation

Centre Hospitalo-universitaire (CHU) 13

Etablissement Hospitalo-universitaire (EHU)

Etablissement Public Hospitalier (EPH) 190

Etablissement Hospitalier (EH) 04

01

Etablissement Hospitalier Spécialisé (EHS) 57

01

13

192

04

61

13

194

04

01

64

271

1491

5350

431

2. Le Secteur privé : Le secteur privé est en pleine expansion depuis 1988. Il compte des cabinets médicaux, dentaires, des centres d’imagerie, des laboratoires d’analyses médicales, des officines pharmaceutiques et des cliniques médicochirurgicales.

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Tab. 13- Composition du secteur privé par type d’infrastructures

20092008Structures 2010

Infrastructures privées

Cabinet de spécialistes

Cabinet de généralistes

Cabinet dentaire

Cabinet de groupe

Maternités privées

5621

4717

301

6202

85

6206

5904

4909

335

94

6208

5105

376

6315

97

Page 25: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

25

3. Le Secteur parapublic : On dénombre aujourd’hui environ 600 centres médicaux sociaux (CMS) crées et financés par des entreprises et 23 par des institutions publiques.

MSPRHStructures d’appui

Echelon Central

Echelon Intermédiaire

Echelon Local

DSP

Conseils Régionaux de la Santé

Observatoires Régionaux de la Santé

Secteurs Public, Privés et Para public

Pyramide sanitaire en Algérie

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Rapport Final - Algérie 2011

2.2- FINANCEMENT 2.2.1- DÉPENSES DE SANTÉ

Les dépenses de santé sont passées de 106 milliards de dinars en 1998 à 192 milliards de dinars en 2002 atteignant 535 milliards de dinars ce qui représente environ 7% du budget de l’état pour l’année 2012.

Tab. 14- Evolution des dépenses de santé (en pourcentage du PIB)

Année 1998 1999 2000 2001 2002 2011 2012

Dépenses de santé totale (%) 3,8 3,7 3,6 3,9 4,3 - -

Dépenses publiques de santé (%) 2,5 2,5 2,5 2,9 3,2 6,05 6,96

PIB (milliards de dinars) 2 782 3 168 4 023 4 236 4 455 13 849 15 256

Dépenses privées de santé (%) 1,3 1,2 1,1 1 1,1 - -

Dépenses de santé (milliards de dinars) 106 117 145 165 192 - -

* *

* Sources : MSPRH

2.2.2- SOURCES DE FINANCEMENT

La répartition du financement de la santé révèle un pourcentage élevé de dépenses publiques (État et Sécurité Sociale) et un très faible pourcentage de dépenses privées. Une estimation a été effectuée lors de la préparation des comptes nationaux de la santé (CNS) pour l’année 2001 et publiée pour la première fois en mai 2003. Les dépenses publiques représentaient 74% des dépenses totales de santé, contre 26% pour les dépenses privées. Le système de sécurité sociale est la principale source de financement public. Il a contribué à 41,6% des ressources du secteur de la santé et l'Etat en a financé 33%.

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire26

La plus grande partie du financement budgétaire du secteur de la santé, soit 87% en 2001, provient du Ministère de la Santé. D’autres départements ministériels apportent également leurs contributions : le Ministère de la Défense finance les hôpitaux militaires ; le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche prend en charge les salaires des médecins des CHU ; d’autres ministères financent les établissements de santé destinés à des groupes sociaux bien précis.

Les dépenses privées finançant des prestations dans le secteur privé sont de trois ordres : Il s'agit tout d'abord des dépenses des mutuelles. Celles-ci sont au nombre de 35 et elles comptent 1,6 million d'adhérents. Elles complètent les prestations des caisses de sécurité sociale dans la limite de 100% du tarif règlementaire. Viennent ensuite les dépenses de santé de certaines grandes entreprises au profit de leurs salariés (financement de centres médicosociaux et de centres de médecine du travail), puis les dépenses des ménages pris en charge par le secteur privé.

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Dépenses totales d’investissement

Tab. 15- Sources de financement du système de santé, 2001 (Dépenses en milliards de dinars)

Dépenses % Total % PIB % PIB HH

Budget 43,9 25,2 1,0 1,56

Dépenses totales de fonctionnement 50,8 29,2 1,2 1,80

5,95 3,4 0,14 0,21

Autres Ministères (budget de fonctionnement) 6,9 4,0 0,2 0,24

1- Dépenses publiques

Source : Comptes Nationaux de la Santé, mai 2003

Ministère de la santé (budget fonctionnement)

0,6 0,3 0,01 0,02Autres Ministères (budget d’investissement)

6,6 3,8 0,15 0,23

Ministère de la santé (budget d’investissement)

Dépenses publiques totales

57,37 32,9 1,35 2,04

72,4 41,6 1,7 2,57Sécurité sociale

129,75 74,5 0,00 4,61

Budget Total

Coopération internationale

1,96 1,1 0,05 0,07

Investissement du secteur privé 5,25 3,0 0,1 0,18

35,15 20,2 0,8 1,25

Entreprises 1,90 1,1 0,04 0,07

2- Dépenses privées

Mutuelles (coopérative d’assurance)

44,22 25,4 1,04 1,57Dépenses privées totales

0,2 0,1 0 0

Ménages

174,18 100 4,09 6Sources Totales

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27

2.3- INDICATEURS DE SANTÉ

2.3.1- SOURCES D’INFORMATION

Les informations recueillies et utilisées dans le système national d’information sanitaire sont classées en deux groupes selon les méthodes de collecte des données:

a) Informations de routine : Elles sont produites à intervalles réguliers à partir des :

◘ Statistiques des services de santé portant sur les programmes de santé et les prestations de soins.

◘ Données administratives portant sur les finances, les ressources humaines et matérielles,…

◘ Données épidémiologiques et de surveillance.

◘ Données sur les interventions sanitaires au niveau des collectivités.

◘ Données d’évènements naturels tels que les naissances, les décès, mariages,…

b) Informations non systématiques : Elles proviennent généralement à partir de :

◘ Enquêtes démographiques et de santé.

◘ Enquêtes d’établissements.

◘ Recensements de population.

◘ Comptes nationaux de santé.

2.3.2- INDICATEURS ÉPIDÉMIOLOGIQUES

L’Algérie subit depuis le début des années 80 une « transition épidémiologique », marquée par une diminution nette des maladies transmissibles endémiques, des maladies contrôlables par la vaccination et des anthropozoonoses avec une augmentation notable des maladies non transmissibles.

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Rapport Final - Algérie 2011

Tab. 16- Evolution des Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO) contrôlables par la vaccination, en Algérie

63Tétanos 136 37 28 5 10 9 7 6 7

9Diphtérie 496 73 57 3 0 0 0 0 0

18Poliomyélite 228 72 0 0 0 0 0 0 0

22Coqueluche 1201 81 13 17 47 80 117 33 27

-Hépatite B - - - 1264 1583 1802 1985 1783 2003

4162Rougeole

58

381

75

591

-

902 3733 14973 3132 932 823 1547 2248 1486 1899

20091998 2006 2007 20081963 1979 19891969 2010 2011Année

Source : MSPRH - INSP

Les autres maladies à déclaration obligatoire (MDO) sont en nette diminution grâce aux différents programmes de prévention mis en place par le Ministère de la Santé pour réduire l’incidence et la prévalence de celles-ci.

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire28

L’incidence des tuberculoses toutes formes confondues est stable.

Tab. 17- Evolution des incidences de la tuberculose de 2003 à 2011

Année

Source : MSPRH - INSP

2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011

Tuberculose toutes formes confondues nb de cas

14 187 19 713 20 090 20 590 19 375 18 526 21786 2190219 364

Tuberculose toutes formes confondues incidence /100.000 hbts

44,23 60,62 60,94 61,62 57,24 53,99 61 59,9061,19

2003

TP incidence /100.000 hbts 23,9 32 31,6 30,5 28,58 26,33 28,9 27,5133,51

19,6 26,17 26,02 25,6 24,68 22,1 24,04TPM+ incidence/100 000 hbts 22,8027,28

L’Algérie n’étant pas un pays endémique en matière de paludisme, la majorité des cas notifiés sont des cas importés.

Tab. 18- Evolution du nombre de cas de paludisme de 2003 à 2011

Année

Source : MSPRH - INSP

2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010

163 299 117 288 196 94 408427

141 289 112 245 192 90 400394

2003

Nombre de cas de paludisme autochtone 2 1 1 26 3 0 1

2011

191

187

15

Nombre de cas de paludisme importé

Nombre de cas de paludisme

Pour le VIH-SIDA, la séroprévalence est de l’ordre de 0,1%, ce qui classe l’Algérie parmi les pays à profil épidémiologique bas.

Tab. 19- Evolution du nombre de nouveaux cas de sida et du nombre de nouveaux cas de séropositifs au VIH de 2004 à 2012

Source : MSPRH - INSP

Année 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

58 46 91 60 131 142 10228

187 267 735 585 684 688 658

93

619266

2004

Nombre de nouveaux cas de séropositifs auVIH

Nombre de nouveaux cas de sida

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29

La vaccination anti-rougeoleuse a été rendu obligatoire en 1985. Le vaccin anti Hépatite B, dès l’âge d’un mois, a été introduit en 2003. Le vaccin contre l’Hémophilus Influenza a été introduit en 2008 en vue de consolider le programme national de lutte contre les Infections Respiratoires Aigues (IRA).

Tab. 20- Evolution des taux de couverture vaccinale chez les enfants âgés de 12 à 23 mois en %

Source : Rapport OMD 2010 ; MICS 4* : Données provisoires

Vaccination complète

BCG

Anti-rougeoleux

DTCP3

Vaccin Hépatite B

1992EASME

83,3

97

85,7

89

-

1995MDG

84

93

77

83

-

2000EDG

87

93

83

89

-

2002EASF

88,6

97,9

90,6

92,3

-

2006MICS3

88

99

90,5

94,8

80

2011MICS4*

82,7

98,4

90,2

90,7

97,6

Selon l’enquête TAHINA réalisée par l’INSP en 2003, sur l’analyse des causes de décès pour l’année 2002 menée dans 12 wilayas, les quatre premières causes de décès selon la CIM 10, sont les maladies cardio-vasculaires (26,1 %), les affections périnatales (13,5 %), les cancers (9,5 %) et les traumatismes (8,6 %). La répartition des décès par groupes de maladies selon GBD (Global Burden Disease) est comme suit : Maladies Transmissibles, maternelles et périnatales (22,7%), Maladies Non Transmissibles (58,6%) et les traumatismes (10,6%).

Les données sur l’incidence et la prévalence des maladies non transmissibles (HTA, diabète, maladies cardiovasculaires, cancers,…) sont fournies par les données d’enquêtes de santé, par les données de registres, ...

2.3.3- RESSOURCES HUMAINES

Selon l’annuaire des statistiques sanitaires du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH), les effectifs des personnels médicaux et paramédicaux et la densité médicale par habitant est en nette augmentation d’année en année.

Tab. 21- Densité des personnels médicaux et paramédicaux par habitants

Généralistes

Médecins

Chirurgiens dentistes

Spécialistes

Paramédicaux

Pharmaciens

Source : Annuaire statistique MSPRH

-

1/8112

1/64327

-

1/2276

1/50926

1966

1/1750

1/1177

1/3752

1/3594

1/346

1/6134

1999

1/1708

1/969

1/3646

1/2240

1/367

1/5389

2005

1/1567

1/918

1/3141

1/2218

3/352

1/5388

2006

1/1373

1/830

1/3191

1/2081

1/341

1/4571

2007

-

1/721

-

-

-

1/3414

2008

1/1457

1/677

1/3167

1/2052

1/370

1/4148

2009

1/1314

1/640

1/3093

1/2305

1/350

1/3962

2010

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Rapport Final - Algérie 2011

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire30

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Système National d’Information Sanitaire

Le Système d’Information (SI) est un ensemble organisé de ressources matérielles, de logiciels, de personnels, de données et de procédures qui permet de regrouper, de classer, de traiter et de diffuser de l’information sur un phénomène donné.

Le Système National d’Information Sanitaire (SNIS) est un ensemble organisé de structures, d’institutions, de personnels, de procédures, de méthodes et d’équipements permettant de fournir l’information nécessaire à la prise de décision, à la gestion des programmes sanitaires et au développement du système de santé. Il englobe aussi bien le secteur public que le secteur privé du système national de santé.

Le SNIS a pour but d’accroitre la disponibilité en temps voulu d’une information sanitaire sure à tous les niveaux du système de santé (Réf : Déclaration de Ouagadougou, 30 avril 2008 sur les soins de santé de base).

Les objectifs des SNIS se déclinent à travers les points suivants :

1. Fournir aux décideurs un outil d’aide à la prise de décision.

2. Fournir à tous les acteurs et utilisateurs du système de santé ainsi qu’aux partenaires potentiels de la santé l’information utile.

3. Soutenir le processus de planification, de gestion, et d’évaluation des programmes et des services de santé.

4. Promouvoir et soutenir la recherche.

5. Appuyer les échanges internationaux en matière d’information sanitaire.

En général, un SNIS est composé d’un ensemble de sous systèmes dont :

◘ la surveillance épidémiologique qui est axée essentiellement sur les Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO),

◘ la surveillance et l’évaluation des activités des services de santé,

◘ la gestion des programmes de santé,

◘ la gestion des ressources (finances, personnel, infrastructures, équipements, etc…),

◘ les enquêtes de santé,

◘ le système d’information à assises communautaires,

◘ l’état civil (naissances, décès, mariages…).

Chaque sous système est défini par des objectifs opérationnels, des outils, des procédures, une organisation et des ressources qui lui sont propres.

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Rapport Final - Algérie 2011

3.1- PRESENTATION DU SYSTEME NATIONAL D’INFORMATION SANITAIRE EN ALGERIE

Au lendemain de l’indépendance, le SNIS a fait l’objet d’une attention particulière puisque dès décembre 1962 un texte règlementaire portant déclaration des maladies transmissibles a été promulgué. Le système d’information sanitaire était basé essentiellement sur le système de surveillance épidémiologique des MDO qui a fait l’objet de révisions continues et sur le suivi des programmes nationaux de santé mis en place.

En mai 1998, les assises nationales de la santé recommandaient : «la nécessité de développer le SNIS qui constituait une urgence afin de permettre l'aide à la prise de décision à tous les niveaux d'une part et d'élaborer la programmation sanitaire d'autre part. Le système d'information exige l'identification des producteurs de données, le circuit et doit permettre l'analyse et le traitement des données, l'archivage, la rétro information et l'évaluation ».

Des dates importantes ont marqué le système d’information sanitaire parmi elles :

1964 Création de l’Institut National de Santé Publique.

1965 Mise en place des programmes nationaux de lutte contre le paludisme, le trachome et la tuberculose avec l’appui de l’OMS.

1975 Programmation sanitaire du pays avec l’adoption de normes et la formulation d’un certain nombre de programmes nationaux de santé (Protection Maternelle et Infantile, Programme Elargi de Vaccination...).

1979 Mise en place du Système de Surveillance Epidémiologique (SSE) des maladies transmissibles et édition du Bulletin Epidémiologique National jusqu’en 1987, par l’INSP.

1979 Création des secteurs sanitaires et des services de prévention chargés de la production de l’information sanitaire et du suivi des programmes nationaux de santé.

1984 Elaboration et mise en place du programme national de lutte contre la mortalité infanto-juvénile avec l’appui de l’Unicef.

1985 Création des Services d’Epidémiologie et de Médecine Préventive (SEMEP).

1989 Publication de l’annuaire « Statistiques Sanitaires » par la Direction de la Planification du Ministère de la Santé.

1989 Publication du 1er numéro du Relevé Epidémiologique Mensuel (REM) par l’INSP.

1995 Création de deux agences nationales, la première du Développement de la Recherche en Santé (ANDRS) et la seconde de Documentation de la Santé (ANDS).

1996 Création de 5 Régions Sanitaires (Est, Centre, Ouest, Sud Est et Sud Ouest), de 5 Conseils Régionaux et de 5 Observatoires Régionaux de la Santé.

2002 Publication d’un document intitulé « La santé des Algériennes et des Algériens » par la Direction de la Population du Ministère de la Santé.

2006 Mise en place d’un système de surveillance électronique « intranet » au niveau du MSPRH.

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gérie 2002 Publication d’un document intitulé « La santé des Algériennes et des Algériens » par

la Direction de la Population du Ministère de la Santé.

2006 Mise en place d’un système de surveillance électronique « intranet » au niveau du MSPRH.

2007 Promulgation du décret portant réorganisation des structures de santé et création des Etablissements Publics Hospitaliers (EPH) et des Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP).

2011 Création de la Direction des Systèmes d’Information et de l’Informatique (DSII) au niveau du MSPRH par Décret exécutif n°11-380 du 21 novembre 2011 portant organisation de l’administration centrale du MSPRH, inexistante lors de l’évaluation du SNIS.

Des efforts considérables ont été consentis en matière d’information sanitaire et se sont traduits par la mise en place de certains registres tels que : les registres régionaux des cancers, les registres du diabète de l’enfant, le registre national de l’hémophilie etc…, ainsi que par la mise en place d’une base de données sur les causes médicales de décès, par la réalisation d’enquêtes de santé nationales et/ou régionales (1ère Enquête Nationale Santé 1990, enquête nationale sur la mortalité maternelle 1999, enquête nationale sur la santé de la famille PAP FAM 2002, enquête nationale sur les cancers 2002, enquête nationales sur les Urgences Médico-chirurgicales 2003, enquête nationale santé TAHINA 2005, enquêtes à indicateurs multiples sur la santé de la mère et des enfants (MICS) 1995, 2000, 2006, 2010, enquête sur les facteurs de risques des MNT Steps 2003, enquêtes sur le tabagisme (enquête mondiale sur la consommation de tabac chez les adultes GATS 2010, enquête mondiale sur la consommation de tabac chez les jeunes âgés de 13 à 15 ans GYTS 2007, … ), enquête nationale GSHS 2010 (Global School-based Student Health Survey) et d’autres…

3.2- ORGANISATION ET CIRCUIT DE L’INFORMATION

Le système de surveillance épidémiologique (SSE) est de type pyramidal, vertical allant de la base représentée par les structures sanitaires vers la centrale. Il est organisé en trois niveaux :

Périphérique : Les données sanitaires sont notifiées et adressées aux Services d’Epidémiologie et de Médecine Préventive (SEMEP) territorialement compétents, à partir de l’ensemble des structures sanitaires de base. Les médecins des SEMEP établissent un bilan de situation hebdomadaire, mensuel ou trimestriel selon la périodicité requise et adressent les déclarations au MSPRH, aux Directions de Santé et de Population (DSP) de leurs wilaya respectives et à l’INSP.

Intermédiaire : Les Directions de Santé et de Population (DSP) des wilayas assurent le contrôle quantitatif et qualitatif des déclarations et dressent les bilans de situation épidémiologique de leurs wilayas respectives et les transmettent au MSPRH et à l’INSP.

Central : Les services du MSPRH colligent l’ensemble des données émanant des SEMEP, des DSP les analysent et veillent à la mise à jour des statistiques sanitaires nationales.

et 2004

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Rapport Final - Algérie 2011

Les services de l’INSP, sur la base des déclarations hebdomadaires, mensuelles et trimestrielles traitent (saisie, contrôle), analysent et diffusent les informations relatives à la situation épidémiologique nationale par le biais de rapports. Le relevé épidémiologique mensuel (REM) édité en est un exemple.

Les données concernant les ressources humaines, les infrastructures, le financement, les activités des structures de santé obéissent à un circuit de déclaration de type vertical allant des structures de base (niveau périphérique), aux DSP de wilaya (niveau intermédiaire) puis aux Directions Centrales du MSPRH.

Structures d’appuiMinistère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière

- INSP- ANDS- IPA- ANS- CNT- ...

ORS

Directions CentralesDP - DSS - DPop - Dplanif - ...

Organes Consultatifs

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Nive

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Secteur Public Secteur Para PublicSecteur Privé

Structures Hospitalières Structures Extra Hospitalières

- CHU- EHU- EH- EPH- EHS

EPSP- Polycliniques- Centres de soins- UDS- Laboratoires d’hygiène communaux- SEMEP- DAT

- Cliniques- Cabinets- Officines

Schéma organisationnel

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gérie 3.3- FORCES ET FAIBLESSES DU SNIS

De nombreux acquis ont enrichi l’actuel SNIS qui dispose indéniablement d’atouts considérables, néanmoins des insuffisances et des incohérences sont constatées et ont d’ailleurs été relevées lors de la Conférence Nationale sur la Santé en 2011 : « le morcèlement et le cloisonnement de l’information sont pour l’essentiel la source du dysfonctionnement de l’actuel SNIS».

Parmi les nombreux atouts dont dispose l’actuel SNIS :

◘ L’existence d’une volonté des autorités sanitaires du pays pour un SNIS performant prenant en compte les différents niveaux de la pyramide sanitaire.

◘ La couverture géographique relativement homogène en termes d’infrastructures permet-tant un accès de proximité satisfaisant.

◘ La présence à chaque niveau de la pyramide sanitaire de personnels chargés de la collecte, de l’analyse, de la gestion et de la diffusion des données du SNIS.

◘ L’existence de structures nationales chargées de certaines composantes des sous systèmes du SNIS tels que les laboratoires de référence, les structures d’appui…

Des faiblesses sont à souligner pour le SNIS en cours et qui sont représentées essentiellement par :

◘ Le manque de fiabilité et d’exhaustivité des données collectées ;

◘ Les retards enregistrés dans la transmission des données ;

◘ Les limites et la lenteur dans l’analyse des données ;

◘ La répartition inégale du personnel en charge du SNIS aux différents niveaux de la pyramide sanitaire ;

◘ La faible adhésion du secteur privé et parapublic au système de notification du SNIS ;

◘ L’insuffisance des moyens techniques ;

◘ La faible informatisation du SNIS, bien qu’un réseau informatique ou intranet ait été mis en place par le MSPRH ;

◘ Le manque, parfois même, l’absence de rétro information ;

◘ Le manque de collaboration et de coordination dans la gestion des données entre les différents intervenants en charge du SIS aux différents niveaux de la pyramide sanitaire et avec les autres secteurs (Statistiques, Planification) ;

◘ Le manque de sensibilisation de certains praticiens et gestionnaires à l’information sanitaire ;

◘ Le retard dans la mise en place du Système d’Information Hospitalier (SIH) au niveau hospitalier.

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35Rapport Final - Algérie 2011

Objectifs et Méthodologie de l’Evaluation

L’évaluation du SNIS entre dans le cadre du projet de coopération entre l’Algérie et l’OMS comptant pour le biennium 2010-2011 et répond à l’Objectif Stratégique OS10 de l’OMS intitulé « systèmes et services de santé ».

Selon l’OMS, « Le résultat escompté par pays porte sur l’évaluation et la consolidation des capacités du SNIS pour l’amélioration et le suivi de la situation sanitaire dans le temps et selon les régions ainsi que sur la gestion des programmes et des services de santé ».

4.1- OBJECTIFS

■ Objectif principal

Evaluer le SNIS à travers l’ensemble de ses composantes, à l’aide de l’outil «Health Metrics» fourni par l’OMS.

■ Objectifs spécifiques

◘ Présenter le cadre et les normes du RMS. ◘ Appliquer l’outil d’évaluation standard de l’OMS « Health Metrics». ◘ Identifier les forces du SNIS.◘ Identifier les faiblesses du SNIS.

◘ Formuler des recommandations en vue du renforcement du SNIS.

■ Résultats attendusLe Système National d’Information Sanitaire est évalué et les recommandations sont formulées.

4.2- MÉTHODOLOGIE

4.2.1- Outil de l’évaluation L’outil d’évaluation Health Metrics (HM) est un instrument standardisé qui a été développé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ou Health Metrics Network (HMN) de l’Organisation Mondiale de la Santé. Il s’agit d’une application Excel dans sa version 4.00, portant sur les six (06) composantes du SNIS que sont :

◘ Les ressources.◘ Les indicateurs.

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gérie ◘ Les sources de données.

◘ La gestion des données.

◘ Les produits de l’information.

◘ La diffusion et l’utilisation.

Chaque composante comporte un ensemble d’items ou de questions auxquels les évaluateurs doivent attribuer des scores.

L’outil Health Metrics est doté d’un utilitaire qui génère de façon automatique les résultats de l’évaluation, sous forme de tableaux et de graphiques.

Il est constitué d’un questionnaire comportant cent quatre vingt dix sept (197) items, structurés autour des six (06) composantes indiquées dans le tableau ci-après.

I. Ressources

II. Indicateurs

III. Sources des données

VI. Gestion des données

V. Produits de l’Information

Entrée des Scores

Résumé des résultats

Résultats des commentaires

VI. Diffusion et Utilisation des résultats

Graphiques et scores

Graphiques Tout le SIS Ressources Sources des données

Entrée des Résultats

Abréviations

Glossaire

A propos de l’Outil d’Evaluation du RMS du SIS

Outil d’évaluation et de suivi du renforcement des systèmesnationaux d’information sanitaire

Draft version 4.00 010808

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Rapport Final - Algérie 2011

Tab. 22- Nombre de questions par composante de l’outil d’évaluation « Health Metrics »

F. Enregistrement des ressources

E. Enregistrement des services de santé

ii. Ressources humaines

i. Infrastructures et services de santé

iii. Financement et dépenses pour services de santé

II. Indicateurs

A. Recensement

11

13D. Enregistrement des maladies et surveillance

C. Enquêtes auprès des populations

11

25

6

4

8

7iv. Equipement, consommables, biens et services

Rubriques

25

7

Nombre de questions

A. Coordination, Politiques et Planification

I. Ressources

C. Infrastructures du SIS

B. Ressources humaines et financement

III. Sources de données

13

5

5

83

10

13B. Statistiques démographiques

V. Produits de l’information

IV. Gestion des données 5

69

10

197

VI. Diffusion et utilisation

Total

Le score théorique maximal pour chacune des questions des différentes rubriques de l’outil d’évaluation est de trois (03) points. L’évaluateur ou participant attribue une note à chacune des questions ce qui correspond au score observé. Une moyenne est calculée à partir des scores observés de tous les participants pour chaque question et chaque rubrique. Ce score moyen observé est divisé par le score théorique afin de le convertir en un pourcentage.

Les scores observés, exprimés en pourcentage, qui ont été attribués à chacune des six composantes du SIS évaluée sont interprétés en quartiles et en catégories.

Tab. 23- Interprétation des scores observés

Quartiles

2ème quartile (Q2)

1er quartile (Q1)

4ème quartile (Q4)

3ème quartile (Q3)

Scores observés (%) Catégories (niveau de satisfaction)

Moins de 25%

De 25% à moins de 50%

De 50% à moins de 75%

De 75% à 100%

Pas du tout satisfaisant

Existe mais pas satisfaisant

Satisfaisant

Très satisfaisant

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gérie 4.2.2- PRÉPARATION ET ÉTAPES DE L’ÉVALUATION

L’Institut National de Santé Publique a été chargé de la réalisation du projet d’évaluation du SNIS et du suivi de tout le processus depuis la phase de préparation, en passant par la collecte des informations, jusqu’à la production du rapport. Un groupe de coordination du projet, de trois (03) personnes, a été mis en place au niveau de l’INSP. Il s’agit du :

- Dr Samira TOUAMI : Médecin Spécialiste en Epidémiologie - INSP : Point focal/ Coordinatrice

- Dr Hakim BRAHIMI : Maitre assistant en Epidémiologie - INSP : Collaborateur

- Dr Fatiha CHERF-BOUZIDA : Médecin Santé Publique - INSP : Collaboratrice

Le groupe de coordination a été élargi à des représentants du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH) et à d’autres ministères et institutions comme le Ministère de la Prospective et des Statistiques (MPS), l’Office National des Statistiques (ONS) et à un expert en santé publique (Annexe 1). Le groupe de travail s’est réuni à plusieurs reprises pour discuter de l’outil Health Metrics, du calendrier des activités et de l’organisation de l’évaluation.

Etapes de l’évaluation

Avant d’entamer l’évaluation, le groupe de coordination a procédé à une recherche bibliographique sur les Systèmes d’Information Sanitaires (SIS) dans le monde et en Algérie, sur le cadre du Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ainsi que sur l’outil d’évaluation « Health Metrics » de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Le travail d’évaluation du SNIS s’est déroulé en six (06) étapes essentielles :

a. Information et sensibilisation du groupe élargi

Une première réunion de travail s’est tenue en janvier 2011 à l’INSP pour informer le groupe élargi sur le projet d’évaluation du SNIS et sur l’intérêt de la collaboration de toutes les institutions impliquées dans le Système d’Information Sanitaire (SIS) qu’ils soient produc-teurs, utilisateurs ou décideurs. Durant cette journée, deux communications ont été présentées, l’une portant sur le projet d’évaluation, ses objectifs et les résultats attendus, l’autre sur le Réseau de Métrologie Sanitaire et l’outil d’évaluation « Health Metrics ».

Cette évaluation est de type qualitatif. Il s’agit de l’une des techniques utilisées dans différents domaines permettant le calcul d’indices composites. Le groupe élargi a procédé à la lecture et à la critique des six questionnaires composant l’outil Health Metrics durant quatre (04) séances de travail. Il a également proposé de rédiger un guide d’utilisation des questionnaires et de compléter le glossaire des termes utilisés. D’autres séances de travail ont permis au groupe élargi de cibler les institutions, de dresser la liste des participants au séminaire national d’information et d’élaborer le programme de ce dernier.

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Rapport Final - Algérie 2011

b. Organisation d’un séminaire national d’information

Le séminaire national d’information du lancement du projet d’évaluation du SNIS s’est tenu le 18 avril 2011 au niveau de l’INSP et a réuni prés de 120 participants. Ont pris part au sémi-naire des représentants des Directions Centrales du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (Direction de la Prévention, Direction de la Population, Direc-tion des Services de Santé, Direction de la Planification et du Développement, Direction des Ressources Humaines, Direction des Finances et des Moyens, etc ), des institutions sous tutelle (Institut Pasteur d’Algérie, Agence Nationale du Sang, etc), des représentants de Directions de Santé et de Population des wilayas, des Centres Hospitalo-universitaires, (CHU), d’Etablissements Publics Hospitaliers (EPH), d’Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP), des représentants d’autres ministères tels que le Ministère de la Prospec-tive et des Statistiques (MPS), de l’Office National des Statistiques (ONS), des centres de recherche tels que le Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement (CREAD), le Conseil National Economique et Social (CNES), le Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le Développement (CENEAP…) et des représentants d’organismes internationaux tels que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’Organisa-tion des Nations Unis chargée du Sida (ONUSIDA), le Fonds des Nations Unies pour la Popu-lation (FNUAP), etc.

Les travaux se sont déroulés en session plénière, les communications ont porté sur la présentation du projet d’évaluation du SNIS, sur les Systèmes d’Information Sanitaires (SIS) dans le monde et en Algérie, sur le cadre du Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ainsi que sur l’outil d’évaluation « Health Metrics » (Annexe 2).

c. Organisation des ateliers

Deux (02) ateliers ont été organisé pour procéder à l’évaluation du Système National d’Infor-mation Sanitaire (SNIS) à l’aide de l’outil «Health Metrics » de l’OMS. Le premier atelier s’est tenu les 3 et 4 mai 2011 et le deuxième les 10 et 11 mai 2011, au niveau de l’INSP (Annexe 3). Chaque atelier comportait deux (02) groupes de 20 participants. La répartition des groupes a été faite sur la base de la liste des présents au séminaire national d’informa-tion qui s’est tenu le 18 avril 2011 tout en respectant la représentativité des différents secteurs (Annexe 4). Les questionnaires au nombre de six (06) ont été distribué aux partici-pants afin de les renseigner (Annexe 5). Un guide et un glossaire ont également été fournis (Annexes 6 et 7).

Un participant a été désigné dans chaque groupe pour lire les questionnaires portant sur les six composantes du SNIS. Les travaux se sont déroulés de manière interactive et ont suscité à chaque fois des échanges d’information et de connaissances. Les débats étaient animés et les participants ont adhéré pleinement aux travaux.

Au total, 70 participants ont assisté aux deux (02) ateliers ; Parmi eux : 44 médecins (épidémiologistes et autres), 09 statisticiens, 03 économistes, 02 gestionnaires,

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gérie 02 démographes, 04 chargés de programme dans des institutions internationales (OMS,

ONUSIDA, UNICEF, FNUAP) et 06 autres profils. Les participants ont représenté 17 wilayas du pays.

Tab. 24- Nombre de questionnaires renseignés par groupe et par atelier

Total

Atelier 2

Groupe 2

-

16

Groupe 4

18

18

Groupe 1

16

-

Groupe 3

20

20

Total

Atelier 1 16 -16 - 32

38

70

d. Saisie et analyse des données

Les questionnaires renseignés ont été contrôlés puis saisis sur une application Excel fournie par le RMS. Une base de données a été constituée. Cette application permet de calculer les scores observés en pourcentage, d’éditer les tableaux et les graphes des résul-tats de l’évaluation par composante. Une synthèse globale des résultats des quatre groupes a été réalisée.

e. Consolidation des résultats

Un atelier de consolidation des résultats a été organisé les 13 et 14 décembre 2011 à l’Institut National de Santé Publique en vue de la validation des résultats de l’évaluation et la formulation des recommandations (Annexe 8). Cet atelier a réuni le groupe de coordination de l’INSP, les membres du groupe élargi et des personnes ressources d’autres secteurs ayant participé aux ateliers d’évaluation (Annexe 9). Les travaux se sont déroulés en session plénière durant deux (02) jours. Le groupe de coordination de l’INSP a présenté les résultats de l’évaluation du SNIS composante par composante. Chaque présentation était suivie d’un débat permettant des échanges riches et fructueux et la formulation de recommandations. Une synthèse des recommandations a été présentée aux participants pour leur validation et elles figurent dans ce rapport.

f. Rédaction du rapport de l’évaluation Un rapport détaillé de l’évaluation du SNIS comportant la méthodologie appliquée, les résultats obtenus ainsi que les recommandations formulées a été rédigé par le groupe de coordination du projet.

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41Rapport Final - Algérie 2011

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Résultats de l’Evaluation

L’évaluation du SNIS à l’aide de l’outil Health Metrics est de type qualitatif et a été réalisée par des professionnels de profils et de secteurs divers.

Le résultat global de l’évaluation des six composantes du SNIS est de 48,3 %, le classant dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » correspondant au deuxième quartile de la grille proposée par l’outil Health Metrics de l’OMS.

Le score le plus faible qui est de 32 % est attribué à la composante « Gestion des données », suivie de la composante « Diffusion et utilisation » avec un score de 45,7 % puis de la composante « Ressources » avec un score de 49,4 %, les classant toutes les trois dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ».

Le score limite de 50,7% est attribué à la composante « Indicateurs », suivie de la composante « Sources des données » avec un score de 53% puis de la composante « Produits de l’information » avec un score de 59,1%, les classant dans la catégorie « satisfaisant » correspondant au troisième quartile.

Il en résulte tout de même un élément très pertinent qui consiste à dire que le principal reproche que le panel consulté fait au système d’information sanitaire actuel est inhérent à la manière dont les masses de données, que fournit le système de santé et autres organes statistiques, sont gérées et mises à la disposition des utilisateurs, notamment ceux qui doivent prendre des décisions sur les programmes de santé à mettre en œuvre.

Existe maispas satisfaisant

Très satisfaisant

32 %

Pas du toutsatisfaisant

Score total

Ressources

Indicateurs

Sources des données

Gestion des données

Produits de l’information

Diffusion et utilisation

Satisfaisant

48,3 %

49,4 %

50,7 %

53 %

59,1 %

45,7 %

Clé :

Fig. 1 - Scores de l’évaluation des six composantes du SNIS, Algérie 2011

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gérie Il s’agit donc d’un résultat agrégé à ce stade de l’analyse mais qui relève pratiquement de la

gouvernance institutionnelle en matière d’information statistique que d’un aveu de carence dans la disponibilité de structures spécialisées à même de produire les données requises.

La suite de l’analyse des résultats se penchera, composante par composante, sur des éléments encore plus précis afin de mettre le doigt sur les véritables motivations de ce constat global.

Il convient de signaler que même dans les composantes jugées globalement satisfaisantes, à l’image de celle traitant de la « production », il peut exister en leur sein des éléments désavantageux, qui n’ont certes pas trop pesés dans le score mais qui requièrent tout de même une attention particulière. La suite de l’analyse va également aborder cet aspect.

5.1- RESSOURCES

Le résultat de l’évaluation de la composante relative aux Ressources est de 49,4%, elle est dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » et correspond au 2ème quartile, selon la grille de l’outil Health Metrics de l’OMS.

Cette composante comprend trois sous composantes qui sont différemment appréciées.

La sous composante Infrastructures du SNIS est jugée « satisfaisante » avec un score de 67,3% suivie de la sous composante Ressources humaines et financement avec 47,4% et de la sous composante Coordination, Planification et Politiques avec un score de 33,3%. Ces deux dernières sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ». C’est donc cette dernière sous composante qui représente un élément hautement stratégique notamment aux dossiers transversaux, qui a le plus tiré les résultats vers le bas.

Existe maispas satisfaisant

Très satisfaisant

Pas du toutsatisfaisant

Ressources

Coordination,Planification et Politique

Ressources Humaines et financement du SIS

Infrasttucturesdu SIS

Satisfaisant

33,3 %

47,4%

67,3 %

Clé :

Fig. 2 - Scores de l’évaluation de la composante “ RESSOURCES ” du SNIS, Algérie 2011

49,4 %

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43

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Rapport Final - Algérie 2011

Existe mais pas satisfaisant

5.1.1- COORDINATION, PLANIFICATION ET POLITIQUES

Selon les répondants, le SNIS dispose d’une législation révisée, offrant un cadre d’information sanitaire couvrant certaines composantes spécifiques telles que les registres de l’état civil, les Maladies à Déclaration Obligatoire et autres avec un score de 66,7% la classant dans la catégorie «satisfaisant ».

Les faiblesses de cette sous composante peuvent être liées à l’absence d’un plan stratégique écrit du SIS (10%), à l’absence d’un comité national chargé de la coordination (13,3%) et à l’absence d’un système d’évaluation permanent (16,6%), ces rubriques ont été jugées « pas du tout satisfaisant ».

Il semblerait que le manque de certains mécanismes de coordination et de planification aux différents niveaux de la pyramide sanitaire et entre les institutions en charge de l’information sanitaire peuvent expliquer le faible score de cette sous composante qui est de 33,3%, la classant dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ».

Tab. 25- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Coordination, planification et politiques”, Algérie 2011

I.A.1 66,7

Score moyenobservé %

Rubriques

La législation est à jour et offre un cadre d’information sanitaire couvrant : les registres de l’état civil, MDO secteur privé, l’assurance sociale, confidentialité et principes fondamentaux des statistiques officielles.

I.A.2

50,0

Les règles et les procédures sont à jour pour appliquer les principes fondamentaux des statistiques officielles sous forme de bonnes pratiques et garantir que les services nationaux de la statistique restent intègres (professionnalisme, objectivité, transparence et respect des normes éthiques dans la collecte, le traitement et la diffusion des données sanitaires).

I.A.3 10,0

Plan stratégique du SIS écrit utilisé pour renforcer les principales sources de données, et exécuté au niveau national.

Signification

Satisfaisant

Satisfaisant

Pas du toutsatisfaisant

I.A.4 Pas du toutsatisfaisant

13,3Comité national représentatif chargé de la coordination du SIS, il fonctionne

I.A.5 40,0

L'institut national de la statistique et le ministère de la santé ont mis en place des mécanismes de coordination, mécanisme multisectoriel.

Existe mais pas satisfaisant

I.A.6 16,6Système permanent de contrôle du rendement du SIS et de ses divers sous-systèmes.

Pas du tout satisfaisant

36,6

La politique officielle est d’organiser régulièrement des réunions dans les formations sanitaires et les bureaux de l’administration sanitaire (par ex.au niveau national, régional/provincial, de district) pour analyser l’information du SIS et agir sur la base de cette information.

Existe mais pas satisfaisant33,3Total

I.A.7

Page 44: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire44

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gérie 5.1.2- RESSOURCES HUMAINES ET FINANCEMENT DU SIS

Les résultats relatifs à l’évaluation des Ressources humaines et financement du SIS sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec un score de 47,4%.

Les ressources humaines en charge de l’information sanitaire sont disponibles et jugées satisfaisantes avec un score de 53,3% pour le Ministère de la Santé et de 60% pour l’Institut National de la Statistique correspondant à l’Office National des Statistiques avec un taux de roulement du personnel de 53,3%.

Les différentes activités (conception, élaboration, gestion, analyse, diffusion et utilisation des données) de la cellule administrative centrale du SIS sont réduites et celles relatives au renforcement des capacités du personnel en charge de l’information sanitaire sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ».

Le financement de toutes les sources de données importantes du SIS est dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec un score de 40%.

Tab. 26- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Ressources humaines et financement du SIS”, Algérie 2011

I.B.1 53,3

Score moyenobservé %

Rubriques

I.B.2 60,0

I.B.3

40,0

Signification

Satisfaisant

Satisfaisant

Existe mais pas satisfaisant

I.B.4 Existe mais pas satisfaisant33,3

I.B.5 60,0

I.B.6

46,6

Satisfaisant

Existe mais pas satisfaisant

Existe mais pas satisfaisant

I.B.7 56,6

Le ministère de la santé dispose de suffisamment de compétences dans les sciences de l’information sanitaire pures (épidémiologiste, démographe, TIC…etc)

L'institut national de la statistique dispose de suffisamment de compétences en statistiques (démographie, statistiques, technologies de l’information et de la communication (TIC).

Il existe une cellule administrative centrale fonctionnelle du SIS au ministère de la santé ; elle est chargée de concevoir, élaborer et appuyer la collecte d’information sanitaire, la gestion, l’analyse, la diffusion et l’utilisation des données en vue de la planification et de la gestion.

Il existe une cellule administrative centrale fonctionnelle du SIS chargée du recensement de la population et des enquêtes auprès des ménages dans le but de concevoir, élaborer et appuyer la collecte d’information sanitaire

Au niveau infranational (par ex. Régions/provinces, districts), il existe des postes à plein temps d’agents chargés de l’information sanitaire, et ces postes sont occupés.

Des activités de renforcement des capacités ont été organisées au cours des années passées pour le personnel du SIS du ministère de la santé (statistiques, maintenance des logiciels et des bases de données et/ou épidémiologie) aux niveaux national et infranational.

Des activités de renforcement des capacités ont été organisées au cours des années passées pour le personnel de l'institut national de la statistique (statistiques, maintenance des logiciels et des bases de données) aux niveaux national et infranational.

Satisfaisant

I.B.8 40,0

Des activités de renforcement des capacités du SIS ont été organisées au cours des années passées pour le personnel des structures sanitaires (sur la collecte, l’autoévaluation, l’analyse et la présentation des données).

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Rapport Final - Algérie 2011

Satisfaisant

I.B.9 33,3

Score moyenobservé %

Rubriques

I.B.10 53,3

I.B.11 56,6

Signification

Satisfaisant

Existe mais pas satisfaisant

I.B.12 Existe mais pas satisfaisant40,0

I.B.13

53,3 Satisfaisant

Disponibilité de l’assistance au personnel de la santé et du SIS en vue de la conception, de la gestion et du soutien des bases de données et des logiciels aux niveaux national et infranational.

Taux de roulement acceptable du personnel d’information sanitaire au niveau national dans les services du ministère de la santé.

Taux de roulement acceptable du personnel d’information sanitaire au niveau national dans l'institut national de la statistique.

Le budget national prévoit des lignes budgétaires spécifiques pour les divers secteurs afin de garantir un financement suffisant pour un SIS performant pour toutes les sources de données importantes du ministère de la santé.

Le budget national prévoit des lignes budgétaires spécifiques pour les divers secteurs afin de garantir un financement suffisant pour le fonctionnement du système statistique pour toutes les sources de données importantes de l'institut national de la statistique.

47,4 Existe mais pas satisfaisant

Total

5.1.3- INFRASTRUCTURES DU SIS

La sous composante Infrastructures du SIS est jugée satisfaisante avec un score de 67,3% vu la disponibilité des infrastructures notamment les infrastructures de base des Technologies de l’Information et des Communications (TIC) tels que les téléphones, l’accès Internet, les courriels… Sa faiblesse réside dans la mauvaise planification des services de maintenance et d’entretien des équipements des TIC ainsi que leur disponibilité et le score est de 40 %.

Satisfaisant

I.C.1 86,7

Score moyenobservé %

Rubriques

I.C.2 86,7

I.C.3 63,3

Signification

Très satisfaisant

Très satisfaisant

I.C.4 Satisfaisant60,0

I.C.540,0 Existe mais

pas satisfaisant

Les formulaires, papier, crayons et fournitures nécessaires pour enregistrer les données des services sanitaires et sur les maladies sont disponibles.

Les formulaires, papier, crayons et fournitures nécessaires pour enregistrer l’information sur les statistiques démographiques sont disponibles.

Les ordinateurs sont disponibles dans les principaux bureaux aux niveaux national, régional/provincial, et de district pour une compilation rapide de données infranationales

Les infrastructures de base des technologies de l’information et des communications (TIC (téléphones, accès Internet, courriels)) existent aux niveaux national, régional/provincial et de district.

Les services de maintenance des équipements des technologies de l’information et des communications (TIC) sont disponibles au niveau national, régional/provincial et de district.

67,3 SatisfaisantTotal

Tab. 27- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures du SIS”, Algérie 2011

Page 46: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire46

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gérie 5.2- INDICATEURS

L’évaluation de la composante portant sur les Indicateurs est jugée satisfaisante, avec un score de 50,7% correspondant au 3ème quartile.

Existe maispas satisfaisant

Très satisfaisant

Pas du toutsatisfaisant

Indicateurs

Satisfaisant

50,7 %

Clé :

Fig. 3 - Score de l’évaluation de la composante “ INDICATEURS ” du SNIS, Algérie 2011

Les forces de cette composante résident d’abord dans la mesure des indicateurs sanitaires des OMD avec un score de 73,3%, mesure sanctionnée par des rapports périodiques et également par l’existence d’indicateurs minimum de base définis mais ne couvrant pas tous les types d’indicateurs avec un score de 60%.

Les faiblesses de cette composante sont probablement dues au fait que les indicateurs ne sont pas définis en concertation avec les partenaires des différentes institutions en charge de l’information sanitaire avec un score de 33,3% et que la diffusion de l’information sur le nombre minimum d’indicateurs de base ne se fait pas de manière périodique et le score est de 36,7%.

II.A.1 60,0

Score moyenobservé %

Rubriques

II.A.2 73,3

II.A.3

33,3

Signification

Très satisfaisant

Satisfaisant

II.A.4 50,0

36,7 Existe mais pas satisfaisant

À l'échelon national et infranational, on a défini des indicateurs minimums de base du pays, qui couvrent tous les types d'indicateurs de santé (les déterminants de santé, les données relatives aux investissements, au processus et aux résultats du système de santé, et à l'état sanitaire).

Il existe une stratégie officielle claire et explicite visant à mesurer chacun des OMD fixés par le pays concerné dans le domaine de la santé.

Les indicateurs de base sont définis en partenariat avec toutes les principales parties prenantes, par exemple le ministère de la Santé, l'institut national de la statistique (INS), d'autres ministères concernés, les organisations profession-nelles, les spécialistes au niveau infranational, les principaux programmes centrés sur les principales maladies.

Les indicateurs de base ont été choisis selon des critères clairement définis, notamment leur utilité, leur pertinence scientifique, la fiabilité de leur représentativité, leur caractère pratique et leur accessibilité.

II.A.5 La diffusion de l'information sur le nombre minimum d'indicateurs de base se fait périodiquement.

50,7 SatisfaisantTotal

Tab. 28- Résultats de l’évaluation de la composante “Indicateurs ”, Algérie 2011

Existe mais pas satisfaisant

Satisfaisant

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Rapport Final - Algérie 2011

5.3- SOURCES DES DONNEES

Il ressort des résultats de l’évaluation que le score global pour les Sources des données est de 53 %, appartenant au 3ème quartile et jugé « satisfaisant ». Ce score est de 57 % pour le recensement de la population (satisfaisant), de 52 % pour les statistiques de l’Etat Civil (satisfaisant), de 62,1 % pour les enquêtes auprès de la population (satisfaisant), de 55,9 % pour les dossiers de maladies et surveillance (satisfaisant), de 44,3 % pour la banque des services de santé (existe mais pas satisfaisant) et de 50,3 % pour la banque des ressources (satisfaisant).

Fig. 4 - Scores de l’évaluation de la composante “ SOURCES DES DONNEES ” du SNIS, Algérie 2011

Existe maispas satisfaisant

Très satisfaisant

55,9 %

Pas du toutsatisfaisant

Recensement

Statistiques de l’état civil

Enquêtes auprès de la population

Dossiers de santé, maladies, surveillance

Banque des services de santé

Banque des ressources

Satisfaisant

53 %

52 %

62,1 %

44,3 %

50,3 %

Clé :

Sources des données

57 %

Pour chaque source, une appréciation d’ensemble a été établie pendant l’évaluation de la qualité de son contenu, de ses capacités et pratiques dans la collecte, la gestion et l’analyse des résultats, la diffusion-dissémination, l’intégration et l’utilisation des données.

Tab. 29- Scores des différentes sources des données selon les composantes essentielles (%), Algérie 2011

ContenuCapacité

& Pratiques DiffusionIntégration

et utilisation Total

Recensement Satisfaisant67 %

Satisfaisant59 %

Satisfaisant54 %

Satisfaisant50 %

Satisfaisant57 %

Statistiques de l’Etat Civil Satisfaisant73 %

Existe mais passatisfaisant 41 %

Satisfaisant67 %

Satisfaisant53 %

Satisfaisant52 %

Enquête basées sur la Population

Satisfaisant69 %

Très satisfaisant80 %

Existe mais passatisfaisant 43 %

Existe mais passatisfaisant 32 %

Satisfaisant62 %

Enregistrement desmaladies (incl. Surveillance)

Satisfaisant54 %

Satisfaisant61 %

Existe mais passatisfaisant 40 %

Existe mais passatisfaisant 48 %

Satisfaisant56 %

Enregistrement desservices de santé

Pas du tout Satisfaisant 23 %

Existe mais passatisfaisant 43 %

Satisfaisant62 %

Satisfaisant52 %

Existe mais passatisfaisant 44 %

Satisfaisant58 %

Existe mais passatisfaisant 48 %

Existe mais passatisfaisant 44 %

Existe mais passatisfaisant 41 %

Existe mais passatisfaisant 50 %

Enregistrement des Ressources

- - - - Satisfaisant53 %

Sourcesde données

Total

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire48

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gérie 5.3.1- RECENSEMENT

L’évaluation de la sous composante Recensement enregistre un score de 57%, classant cette source des données dans la catégorie « satisfaisant » correspondant au 3ème quartile.

Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 66,6 % pour le contenu, de 59,2% pour les capacités et pratiques, de 54,2 % pour la diffusion et de 50% pour l’intégration et utilisation.

Fig.5- Scores en % des composantes essentielles du Recensement, Algérie 2011

66,6

59,2

54,2 50

0

25

50

75

100Contenu

Capacités etpratiques

DiffusionIntégration-utilisation

Cette évaluation a révélé les points forts suivant :

◘ Des questions portant sur la mortalité ont été introduites lors du dernier recensement.

◘ Le pays dispose de capacités satisfaisantes pour réaliser la collecte, le traitement et l’analyse des données le score étant de 83,3 % jugé « très satisfaisant ».

◘ Un recensement a été réalisé au cours des dix dernières années (RGPH 2008).

◘ Un rapport contenant des statistiques descriptives (âge, sexe, résidence par unité administrative la plus petite) tirées du recensement le plus récent est disponible et largement diffusé.

◘ Les projections démographiques précises par âge et par sexe sont disponibles pour de petites zones (districts ou en dessous) pour l'année en cours.

Comme points faibles, on note que :

◘ L'évaluation de l'exhaustivité des données sur la mortalité adulte, tirées du dernier recensement, n’a pas été mise en chantier et les résultats n’ont pas été publiés, le score est de 20 % jugé « pas du tout satisfaisant ».

◘ Les micro-données n’ont pas été mises à la disposition du public, le score est de 20 % jugé « pas du tout satisfaisant ».

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Rapport Final - Algérie 2011

50 SatisfaisantIII.A.4Intégration & utilisation

4.1- Les projections démographiques permettent de faire une estimation du domaine d'application et une planification des services de santé

57 SatisfaisantTotal

III.A.1Contenu 66,6

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques

III.A.2Capacité& pratiques

83,3

100

Signification

Très satisfaisant

Satisfaisant

63,3 Satisfaisant

1.1- Des questions portant sur la mortalité ont été introduites dans le dernier recensement

2.1- Le pays dispose de capacités satisfaisantes pour 1) réaliser la collecte des données ; 2) traiter les données ; et 3) analyser les données

2.2- Un recensement a été réalisé au cours des dix dernières années

2.3- Une enquête post censitaire (EP) a été achevée et un rapport écrit est disponible et largement diffusé

III.A.3Diffusion

3.1- Le rapport contenant des statistiques descriptives (âge, sexe, résidence par unité administrative la plus petite) tirées du recensement le plus récent est disponibles et largement diffusé

Tab. 30- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Recensement », Algérie 2011

Très satisfaisant

33,3 Existe mais pas satisfaisant

2.4- L'évaluation de l'exhaustivité des données sur la mortalité adulte, tirées du dernier recensement, a été mise en chantier, et les résultants ont été publiés

20 Pas du toutsatisfaisant

80 Très satisfaisant3.2- Décalage temporel entre le moment où les statistiques descriptives (âge,

sexe, lieu de résidence par zone de dénombrement) ont été publiées pour la dernière fois et le moment où ces données ont été collectées

53,3 Satisfaisant3.3- Des projections démographiques précises par âge et par sexe sont

disponibles pour de petites zones (districts ou en dessous) pour l'année en cours

20 Pas du toutsatisfaisant

3.4- Les micro données sont mises à la disposition du public.

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire50

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gérie 5.3.2- STATISTIQUES DE L’ETAT CIVIL

Le score de l’évaluation de la sous composante Statistiques de l’état civil est de 52%, jugé « satisfaisant ».

Les scores par composantes essentielles sont de 73,3% pour le contenu, de 41,2% pour les capacités et pratiques, de 66,7% pour la diffusion et de 53,3% pour l’intégration et l’utilisation.

Fig.6- Scores en % des composantes essentielles des statistiques de l'Etat Civil, Algérie 2011

73,3

41,2

66,7 53,3

0

25

50

75

100

Contenu

DiffusionIntégration-utilisation

Capacitéset pratiques

Les points forts notés dans l’évaluation de cette sous composante sont :

◘ L’existence dans tout le pays d’une source fiable de statistiques de l'état civil qui est l’enregistrement à l'état civil et le score est de 96,7%.

◘ Le taux de couverture des décès enregistrés grâce à l'enregistrement à l'état civil est très satisfaisant et le score est de 93,3%.

◘ Les statistiques publiées à partir de l'enregistrement à l'état civil sont ventilées par sexe, par âge et par région géographique ou administrative (ou zone urbaine/rurale) et le score est de 90%.

Parmi les points faibles de cette sous composante :

◘ La proportion élevée des causes de décès mal définies et le score est 16,7%.

◘ L’outil d'autopsie verbale (AV) n’est pas utilisé et le score est de 3,3%.

◘ Les renseignements sur la cause du décès enregistrés sur une fiche d'enregistrement des décès à l’état civil ne sont ni complètes, ni de bonne qualité et le score est de 30%.

Il faut remarquer également que les pratiques du Système d’Enregistrement par l’Echantillon (SEE) et du Système de Surveillance de la Démographie (SSD) ne sont pas utilisées en Algérie.

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Rapport Final - Algérie 2011

III.B.1Contenu 96,7

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques

93,3

30

Signification

Très satisfaisant

Très satisfaisant

66,7 Satisfaisant

1.1- Il existe dans tout le pays une source fiable de statistiques de l'état civil : enregistrement à l'état civil, Système d'enregistrement de l'échantillon SEE) ; ou Systèmes de surveillance de la démographie (SSD)

1.2- Taux de couverture des décès enregistrés grâce à l'enregistrement à l'état civil

1.3- Les renseignements sur la cause du décès sont enregistrés sur une fiche d'enregistrement des décès, si l'enregistrement à l'état civil est en place

2.1- Le pays dispose de capacités suffisantes pour : 1) réaliser la collecte de données ; 2) traiter les données ; et 3) analyser les données tirées de l'enregistrement à l'état civil, du SEE ou des SSD

III.B.2Capacité & pratiques

2.3- La classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (CIM) est actuellement utilisée pour enregistrer les causes des décès

Tab. 31- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Statistiques de l’état civil », Algérie 2011

Existe maispas satisfaisant

70 Satisfaisant

2.2- Fréquence de l'évaluation de l'exhaustivité de l'enregistrement à l'état civil

36,7 Existe maispas satisfaisant

16,7 Pas du toutsatisfaisant

2.4- Proportion de tous les décès attribués à des causes mal définies (%) (codes superflus)

90 Très satisfaisant2.5- Les statistiques publiées à partir de l'enregistrement à l'état civil ou du

SEE sont ventilées par 1) sexe, 2) âge et 3) région géographique ou administrative (ou zone urbaine/rurale)

33,3 Existe maispas satisfaisant

2.6- Le Système d'enregistrement de l'échantillon (SEE) est conçu, et il produit des données précises au bon moment

13,32.7- Les sites du Système de surveillance de la démographie (SSD) ont été

conçus, et ils produisent des données exactes au bon moment

3,3 Pas du toutsatisfaisant

Pas du toutsatisfaisant

2.8- Outil d'autopsie verbale (AV)

52 SatisfaisantTotal

53,3 SatisfaisantIII.B.4Intégration & utilisation

4.1- Les renseignements provenant de l'enregistrement à l'état civil, du SEE ou des SSD sur 1) les taux de mortalité et 2) les causes de décès, sont utilisés pour l'analyse à l'échelon national et infranational

66,7 SatisfaisantIII.B.3Diffusion

3.1- Décalage temporel entre le moment où les statistiques tirées de l'enregistrement à l'état civil, du SEE ou des SSD ont été publiées pour la dernière fois et le moment où ces données ont été collectées

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire52

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gérie 5.3.3- ENQUÊTES AUPRES DE LA POPULATION

Les enquêtes réalisées auprès de la population atteignent un niveau satisfaisant avec un score de 62,1% et fournissent des indicateurs essentiels de base notamment en rapport avec l’accès aux principaux services de santé maternelle et infantile (soins prénataux, accouchements assistés par un personnel qualifié, couverture vaccinale et état nutritionnel). Les scores par sous composante essentielle sont de 68,9% pour le contenu, de 80,8% pour les capacités et pratiques, de 43,3% pour la diffusion et de 31,7% pour l’intégration et l’utilisation.

Fig. 7- Scores en % des composantes essentielles des Enquêtes de Populatio , Algérie 2011

68,9

80,8

43,3 31,7

0

25

50

75

100Contenu

Capacités et pratiques

DiffusionIntégration-utilisation

Des points forts ont été notés :

◘ Le pays dispose de capacités suffisantes pour organiser des enquêtes auprès des ménages (notamment les plans de sondage et le travail de terrain), traiter et analyser les données et le score est de 93,3%.

◘ Au cours des cinq dernières années, une enquête auprès d'un échantillon national représentatif a mesuré le pourcentage de la population visée qui reçoit les principaux services de santé maternelle et infantile (planning familial, soins prénataux, accouchements et vaccinations) et le score est de 90 %.

Toutefois, des lacunes non négligeables ont été notées comme :

◘ L’absence au cours des cinq dernières années, d’une(des) enquête(s) auprès d'un échantillon national représentatif de la population qui a(ont) mesuré la prévalence de quelques maladies prioritaires non transmissibles et des principaux facteurs de risque.

◘ L’absence de métadonnées des enquêtes récentes (conception, mise en œuvre de l'échantillon, questionnaire) ainsi que leur diffusion.

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53

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gérie

Rapport Final - Algérie 2011

43,3 Existe maispas satisfaisant

43,3 Existe maispas satisfaisant

◘ L’insuffisance de micro-données des enquêtes récentes ainsi que leur diffusion.

◘ Les circonscriptions sanitaires et statistiques du pays ne collaborent pas suffisament dans les domaines de la conception des enquêtes, de leur mise en œuvre, de l'analyse et de l'utilisation des données.

Le score de 43,3% est attribué à chacune de ces composantes essentielles.

◘ L’insuffisance de coordination et de planification à long terme des enquêtes démographiques mesurant les indicateurs de santé et le score est de 20 %.

III.C.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques

73,3

Signification

Satisfaisant

90 Très satisfaisant

1.1- Au cours des cinq dernières années, une enquête auprès d'un échantillon national représentatif a mesuré le pourcentage de la population visée qui reçoit les principaux services de santé maternelle et infantile (planning familial, soins prénataux, accouchements, vaccinations).

1.2- Au cours des cinq dernières années, une enquête auprès d'un échantillon national représentatif a fourni des estimations suffisamment précises et exactes de la mortalité infantile et celle des moins de cinq ans.

1.3- Au cours des cinq dernières années, une (des) enquêtes(s) auprès d'un échantillon national représentatif auprès de la population a (ont) mesuré la prévalence de quelques maladies prioritaires non transmissi-bles/problèmes de santé.

Tab. 32- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Enquêtes auprès de la population », Algérie 2011

43,3 Existe maispas satisfaisant

III.C.2Capacité & pratiques

93,3 Très satisfaisant2.1- Le pays dispose de capacités suffisantes pour : 1) organiser des enquêtes

auprès des ménages (notamment les plans de sondage et le travail de terrain) ; 2) traiter les données ; et 3) analyser les données.

2.2- Les enquêtes respectent les normes internationales en matière de consentement, de confidentialité et d'accès aux données personnelles.

2.3- Les données permettent de faire une ventilation par âge, sexe et localité (par exemple zone urbaine/rurale, principales régions géographiques ou administratives)

96,7 Très satisfaisant

70 Satisfaisant

2.4- Les données permettent de faire une ventilation par statut socioéconomique : a) revenus et b) niveau d'instruction 63,3 Satisfaisant

III.C.3Diffusion

3.1- Des enquêtes récentes fournissent des métadonnées (conception, mise en œuvre de l'échantillon, questionnaire)

3.2- Des enquêtes récentes fournissent des micro données

4.1- Il y a des réunions et un plan pluriannuel visant à coordonner la synchroni-sation, les principales variables mesurées et le financement des enquêtes démographiques auprès d'un échantillon national représentatif, qui mesurent les indicateurs de santé

20 Pas du toutsatisfaisant

III.C.4Intégration & utilisation

4.2- Les circonscriptions sanitaires et statistiques du pays collaborent étroitement dans les domaines de la conception de l'enquête, de la mise en œuvre, de l'analyse et de l'utilisation des données

43,3 Existe maispas satisfaisant

62,1 SatisfaisantTotal

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire54

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gérie 5.3.4- DOSSIERS DE SANTE ET DE MALADIES (notamment les systèmes de surveillance des

maladies)

La surveillance et l’enregistrement des maladies est satisfaisante avec un score de 55,9%.

Les scores par composante essentielle sont de 54,4% pour le contenu, de 61% pour les capacités et pratiques, de 40% pour la diffusion et de 48,3% pour l’intégration et l’utilisation.

Fig. 8- Scores en % des composantes essentielles de la Surveillance des maladies , Algérie 2011

Contenu

Diffusion

Capacitéset pratiques

Intégration-utilisation

54,4

0

25

50

100

75

48,3

61

40

Les points forts notés pour cette sous composante sont :

◘ L’existence de définitions appropriées de cas pour chacune des principales maladies sujettes à épidémie et le score est de 73,3%.

◘ L’existence d’une stratégie de surveillance pour les états de santé d'un grand intérêt pour la santé publique et le score est de 60%.

◘ L’existence de moyens suffisants pour diagnostiquer et enregistrer les cas de Maladies à Déclaration Obligatoire ; signaler et transmettre en temps opportun des informations sur ces maladies et analyser les données et le score est de 76,7%.

◘ Le nombre des personnels de santé en charge des diagnostiques primaires, qui connaissent les définitions des cas des Maladies à Déclaration Obligatoire est important et le score est de 50%.

◘ Pourcentage satisfaisant des formations sanitaires présentant, en temps opportun, des rapports de surveillance hebdomadaires et/ou mensuels et le score est de 53,3%.

◘ La proportion satisfaisante des poussées épidémiques ayant fait l'objet d'enquêtes et donné lieu à des investigations de laboratoires et le score est de 70%.

Certains points faibles ont été noté pour cette sous composante, dont :

◘ L'absence d’une carte de la population exposée à un risque (malnutrition, pauvreté) et à des risques spécifiques (vecteurs, pollution) et le score est de 30%.

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gérie

Rapport Final - Algérie 2011

III.D.2Capacité & pratiques

76,7 Très satisfaisant

2.1 Le pays dispose de capacités suffisantes pour : 1) diagnostiquer et enregistrer les cas de maladies de déclaration obligatoire ; 2) signaler et transmettre en temps opportun des informations sur ces maladies ; 3) analyser les données.

2.2- Pourcentage des personnels de santé en charge des diagnostiques primaires, qui peuvent correctement citer les définitions de cas de la majorité des maladies à déclaration obligatoire.

2.3- Pourcentage des formations sanitaires présentant, en temps opportun, des rapports de surveillance hebdomadaires ou mensuels au niveau du district.

53,3 Satisfaisant

50 Satisfaisant

2.4- Pourcentage des districts présentant à leur hiérarchie directe, des rapports de surveillance hebdomadaires ou mensuels en temps. 53,3 Satisfaisant

73,3 SatisfaisantIII.D.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques Signification

60 Satisfaisant

1.1- Pour chacune des principales maladies sujettes à épidémie des définitions appropriées de cas ont été mises en place.

1.2- Pour les états de santé d'un grand intérêt pour la santé publique, qui diffèrent de ceux énoncés à la section 1.1 ci-dessus (il existe une stratégie de surveillance.

1.3- L'établissement d'une carte de la population exposée à un risque (par exemple une population souffrant de malnutrition et de pauvreté, l'ethni cité) et de la population exposée à des risques spécifiques.

Tab. 33- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Dossiers des maladies-surveillance», Algérie 2011

30 Existe maispas satisfaisant

55,9 SatisfaisantTotal

◘ Les dossiers médicaux des patients conservés par la formation sanitaire ne préservent pas la qualité et la continuité des soins et le score est de 46,7 %.

◘ Les renseignements sur la surveillance des maladies sujettes à épidémie ne sont pas diffusés et répercutés par le biais de bulletins publiés périodiquement et le score est de 40 %.

2.5- Proportion des poussées épidémiques ayant fait l'objet d'une enquête et donné lieu à des résultats de laboratoire.

70 Satisfaisant

2.7- La classification statistique internationale des maladies (CIM) est actuellement utilisée pour les diagnostics de sortie d'hôpital. 76,7 Très satisfaisant

2.6- Les dossiers médicaux des patients conservés par la formation sanitaire préservent la qualité et la continuité des soins.

46,7 Existe maispas satisfaisant

III.D.3Diffusion

III.D.4Intégration & utilisation

3.1- Les renseignements sur la surveillance des maladies sujettes à épidémie sont diffusés et répercutés par le biais de bulletins publiés périodiquement.

4.1- Intégration de la transmission des données sur la surveillance des maladies et d'autres programmes de santé publique en point de mire.

4.2- Proportion des épidémies décelées à l'échelon régional/provincial ou national par le biais d'un examen des données de la surveillance qui proviennent des districts.

80 Très satisfaisant

16,7 Pas du toutsatisfaisant

40 Existe maispas satisfaisant

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire56

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gérie 5.3.5- BANQUE DES SERVICES DE SANTE

Le score de l’enregistrement des données au niveau des services de santé est de 44,3%, jugé « existe mais pas satisfaisant ».

Les scores par composante essentielle sont de 23,3% pour le contenu, de 42,5% pour les capacités et les pratiques, de 61,7% pour la diffusion et de 51,7% pour l’intégration et utilisation.

Parmi les points satisfaisants qui ont été notés au cours de l’évaluation de cette composante :

◘ L’existence d’un corps de professionnels de santé qualifiés ayant suivi une formation spécialisée dans le domaine des systèmes d'information sanitaire et le score est de 60%.

Parmi les points faibles, on note :

◘ L’absence d’approche méthodique (supervision, enquête sur l’ensemble des formations sanitaires ou sur un échantillon national représentatif) permettant d'évaluer la qualité des services fournis par les formations sanitaires au moins une fois tous les cinq ans et le score est de 10%.

◘ L’absence d’un système d'information sur les services de santé, regroupant l’ensemble des données provenant des formations sanitaires publiques et privées et le score est de 36,7%.

◘ La formation régulière et continue du personnel de santé en service dans les formations sanitaires du secteur public (cliniques et hôpitaux) dans le domaine de l'information sanitaire n’est pas satisfaisante et le score est de 43,3%.

Fig. 9- Scores en % des composantes essentielles de la banque des services de santé, Algérie 2011

Intégration-utilisation

Contenu

Capacitéset pratiques

Diffusion

0

25

50

75

100

23,3

42,5

61,751,7

Page 57: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Rapport Final - Algérie 2011

70 Satisfaisant

53,3 Satisfaisant

III.E.2Capacité & pratiques

60 Satisfaisant2.1- Un corps de professionnels de santé qualifiés qui ont suivi une formation

spécialisée d'au moins deux ans et qui sont en poste au niveau du district se consacre au système d'information sanitaire.

2.2- Les personnels de santé en service dans les formations sanitaires du secteur public (cliniques et hôpitaux) reçoivent, dans le domaine de l'information sanitaire, une formation régulière.

2.3- Des mécanismes ont été mis en place à l'échelon national et infranational pour la supervision et la rétroaction des pratiques d'information dans le secteur public.

43,3 Existe maispas satisfaisant

2.4- Du niveau du district à l'échelon national, des mécanismes sont mis en place pour vérifier l'exhaustivité et la cohérence des informations émanant des formations sanitaires.

III.E.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques Signification

1.1- Il existe un système d'information basé sur les services de santé, qui met ensemble les données provenant de l'ensemble de formations sanitaires publiques et privées

1.2- Il existe une approche méthodique permettant d'évaluer la qualité des services fournis par les formations sanitaires Ladite approche comprend : a) une supervision méthodique et b) une enquête sur l'ensemble des formations sanitaires ou sur un échantillon national représentatif au moins une fois tous les cinq ans.

Tab. 34- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Banque des services de santé “, Algérie 2011

43,3Total

3.1- Dernière fois qu'un résumé annuel des statistiques des services de santé a été publié, ces statistiques étant désagrégées par principale région géographique ou administrative.

3.2- Les districts ou des unités administratives similaires établissent leurs propres rapports sommaires mensuels/trimestriels et annuels, désagrégés par formation sanitaire.

III.E.3Diffusion

III.E.4Intégration & utilisation

4.1- Les systèmes de déclaration verticale semblables à ceux de la tuberculose et des vaccinations communiquent bien avec le système général d'établissement de rapports sur les services de santé.

4.2- Les dirigeants et les analystes à l'échelon national et infranational recourent fréquemment aux résultats des enquêtes, de l'enregistrement à l'état civil (ou à d'autres systèmes de statistiques démographiques) afin d'évaluer la validité des données cliniques.

60 Satisfaisant

36,7 Existe maispas satisfaisant

10 Pas du toutsatisfaisant

36,7 Existe maispas satisfaisant

30 Existe maispas satisfaisant

43,3 Existe maispas satisfaisant

Existe maispas satisfaisant

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire58

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gérie 5.3.6- BANQUE DES RESSOURCES

La banque de données des ressources sanitaires regroupe les données sur les infrastructures et les services de santé, les ressources humaines, le financement et les dépenses de santé ainsi que sur les équipements. Le score enregistré pour cette sous composante est de 50,3% et jugé « satisfaisant ».

Les scores par composantes essentielles sont de 58,3% pour le contenu, de 48,2% pour les capacités et les pratiques, de 43,3% pour la diffusion et de 41,2% pour l’intégration et l’utilisation.

Les scores attribués aux sous composantes infrastructures et services de santé, aux ressources humaines, et aux équipements sont respectivement de 51,7%, de 64,6 % et de 61,7% jugés satisfaisants.

Concernant le financement et les dépenses de santé, le mécanisme de collecte de données existe mais n’est pas jugé satisfaisant et le score est de 33,7%.

Fig. 10 -Scores de l’évaluation de la sous composante “ BANQUE DES RESSOURCES ” du SNIS, Algérie 2011

Existe maispas satisfaisant

Très satisfaisant

Pas du toutsatisfaisant

Infrastructures et Services de santé

Ressources Humaines

Financement et Dépenses de santé

Equipements, fournitures et produits

Satisfaisant

50,3 %

64,2 %

33,7 %

61,7 %

Clé :

Banque des resources

51,7 %

Page 59: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Rapport Final - Algérie 2011

5.3.6.1- INFRASTRUCTURES ET SERVICES DE SANTÉ

Le score enregistré pour la sous composante Infrastructures et services de santé est de 51,7% jugé « satisfaisant ».

Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 41,7% pour le contenu, de 61,7% pour les capacités et les pratiques, de 66,7% pour la diffusion et de 36,7 % pour l’intégration et l’utilisation.

Fig. 11- Scores en % des composantes essentielles des infrastructures et services de santé, Algérie 2011

Parmi les points forts relevés au cours de l’évaluation :

◘ La base de données nationale des formations sanitaires est mise à jour régulièrement et le score est de 83,3%.

◘ L’existence, au niveau de certaines wilayas, de cartes indiquant la localisation des infrastructures sanitaires, des personnels de santé et des principaux services de santé et le score est de 66,7%.

◘ L’existence d’un fichier national des structures sanitaires des secteurs public et privé doté d’un code identificateur unique et le score est de 56,7%.

Parmi les points faibles notés :

◘ Pour la majorité des formations sanitaires, les coordonnées du Système mondial de localisation par satellite (GPS) ne sont pas incluses dans la base de données consacrée aux formations et le score est de 26,7%.

◘ L’insuffisance des ressources humaines et des équipements pour la gestion et la mise à jour de la base de données et des cartes sur les formations sanitaires et les services de santé et le score est de 40%.

41,7

61,7

66,7

36,7

0

25

50

75

100

Intégration-utilisation

Contenu

Capacitéset pratiques

Diffusion

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire60

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66,7 Satisfaisant

83,3 Très satisfaisant

◘ À l'échelon national et au niveau des districts, les dirigeants et les analystes ne font pas d’évaluation de l'accès direct aux services, en établissant un lien entre les données concernant la localisation des formations sanitaires et des services de santé d'une part, et la répartition de la population d'autre part et le score est de 36,7%.

III.F.2Capacité & pratiques

2.2- La base de données nationale des formations sanitaires a été mise à jour.

3.1- Dans la plupart de districts, on dispose de cartes indiquant la localisation des infrastructures sanitaires, des personnels de santé et des principaux services de santé.

4.1- À l'échelon national et au niveau des districts, les dirigeants et les analystes font fréquemment une évaluation de l'accès direct aux services, en établissant un lien entre les données concernant la localisation des formations sanitaires et des services de santé d'une part, et la répartition de la population d'autre part.

36,7 Existe maispas satisfaisant

56,7 SatisfaisantIII.F.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques Signification

1.1- Il existe un fichier national des formations sanitaires des secteurs tant public que privé. Il a été attribué à chaque formation sanitaire un code identificateur unique qui permet de réaliser la fusion des données sur les formations.

1.2- Pour la majorité des formations sanitaires, les coordonnées du Système mondial de localisation par satellite (GPS) sont incluses dans la base de données consacrée aux formations .

2.1- Il existe des ressources humaines et l'équipement pour la gestion et la mise à jour de la base de données et des cartes sur les formations sanitaires et les services de santé.

Tab. 35- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures et services de santé”, Algérie 2011

40 Existe maispas satisfaisant

III.F.3Diffusion

III.F.4Intégration & utilisation

51,7 SatisfaisantTotal

26,7 Existe maispas satisfaisant

Page 61: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Rapport Final - Algérie 2011

5.3.6.2- RESSOURCES HUMAINES

L’évaluation de la sous composante Ressources Humaines est jugée « satisfaisante » avec un score de 64,2%. Les scores par sous composante essentielle sont de 60% pour le contenu et de 68,3% pour les capacités et les pratiques.

60

68,30

25

50

75

100

Intégration-utilisation

Contenu

Capacitéset pratiques

Diffusion

Fig. 12- Scores en % des composantes essentielles des ressources humaines, Algérie 2011

Ces résultats sont liés essentiellement à :

◘ L’existence d’une base de données nationale et de statistiques sur les ressources humaines tant dans le secteur public que privé et le score est de 63,3%.

◘ L’existence d’une base de données sur les diplômés sortant des facultés de médecine et le score est de 56,7%.

◘ La disponibilité de ressources humaines pour la gestion et la mise à jour de la base des données des ressources humaines et le score est de 53,3%.

53,3 Satisfaisant

83,3 Très satisfaisant

III.F.2Capacité & pratiques 2.4- Les statistiques de la base de données nationale des RH sur le nombre

des professionnels de la santé en service dans le secteur public ont été mises à jour pour la dernière fois.

63,3 SatisfaisantIII.F.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques Signification

1.3- Il existe une base de données nationale des ressources humaines (RH) qui permet de suivre à la trace le nombre, par principales catégories professionnelles, des personnels techniques de la santé en service tant dans le secteur public que dans le secteur privé.

1.4- On dispose d'une base de données nationale qui permet de suivre à la trace le nombre de diplômés sortant chaque année des établissements de formation en médecine.

2.3- On dispose de ressources humaines pour la gestion et la mise à jour de la base de données nationale des RH.

56,7 Satisfaisant

Tab. 36- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Ressources Humaines », Algérie 2011

64,2 SatisfaisantTotal

Page 62: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire62

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Parmi les points faibles notés pour cette sous composante :

◘ Carences du système permettant aux spécialistes des finances de suivre à la trace les budgets et les dépenses de santé du secteur privé.

◘ Il n’y a pas de personnel qualifié sur contrat à long terme et régulièrement affecté aux travaux sur les Comptes Nationaux de la Santé (CNS) et le score et de 26,7%.

◘ Absence de périodicité et de rapidité d'exécution des travaux sur les Comptes Nationaux de la Santé.

◘ Difficulté d’accès aux données sur les Comptes Nationaux de la Santé et le score est de 20%.

5.3.6.3- FINANCEMENT ET DÉPENSES DE SANTÉ

Le score enregistré pour la sous composante financement et dépenses consacrées aux services de santé est de 33,7% jugé « existe mais pas satisfaisant ». Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 45% pour le contenu, de 32,5% pour les capacités et les pratiques, de 20% pour la diffusion et de 30 % pour l’intégration et l’utilisation.

Fig. 13- Scores en % des composantes essentielles du Financement et des Dépenses de Santé, Algérie 2011

45

32,5

2030

0

25

50

75

100

Intégration-utilisation

Contenu

Capacitéset pratiques

Diffusion

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63

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gérie

Rapport Final - Algérie 2011

33,7Total Existe maispas satisfaisant

20 Pas du tout satisfaisant

46,7 Existe maispas satisfaisant

26,7 Existe maispas satisfaisant

III.F.2Capacité & pratiques

2.1-Un nombre suffisant de personnels qualifiés sur contrat à long terme est régulièrement affecté aux travaux sur les comptes nationaux de la santé (CNS), que ces personnels soient ou nom employés par le ministère de la Santé).

2.2- Périodicité et rapidité d'exécution des travaux sur les Comptes nationaux de la santé.

2.3- Les CNS fournissent périodiquement des renseignements sur les quatre classifications suivantes des flux financiers : les sources de financement, les spécialistes des finances, les prestataires et les fonctions.

Existe maispas satisfaisant

2.4- Les CNS fournissent des données sur les dépenses de santé par principales maladies, champ d'application des programmes de santé, région géographique/administrative et/ou populations cible (selon les grandes préoccupations en matière de politique).

III.F.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques Signification

1.5- Il existe des dossiers financiers sur les dépenses publiques de santé auxquelles fait face l'État et ses composantes (le ministère de la Santé, d'autre départements ministériels, la sécurité sociale, les administrations publiques régionales et locales, les entités extrabudgétaires) et sur les dépenses de santé encourues par le secteur privé et ses composantes.

1.6- On dispose d'un système permettant aux spécialistes des finances de suivre à la trace les budgets et les dépenses (dépenses du gouvernement central et de ses composantes et les dépenses de santé du secteur privé et ses composantes ventilées par niveau infranational ou par district .

Tab. 37- Résultats de l’évaluation de la composante “Financement et dépenses de santé”, Algérie 2011

3.2- Les données recueillies des CNS sont largement et facilement accessibles.

III.F.3Diffusion

III.F.4Intégration & utilisation

4.2- Les CNS ont permis l'élaboration de politiques et l'affectation des ressources. 30

50 Satisfaisant

40

30 Existe maispas satisfaisant

26,7 Existe maispas satisfaisant

Existe maispas satisfaisant

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire64

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gérie 5.3.6.4- EQUIPEMENTS, FOURNITURES ET PRODUITS

L’évaluation de la sous composante équipements, fournitures et produits est jugée « satisfaisante » avec un score de 61,7%. Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 86,6% pour le contenu, de 46,6% pour les capacités et les pratiques et de 56,7% pour l’intégration et l’utilisation.

Fig. 14- Scores en % des composantes essentielles des équipements, fournitures et produits, Algérie 2011

Les rapports d’inventaire sont édités au moins une fois par an par chacune des formations sanitaires (construction, entretien, alimentation en eau, …) et le score est de 93,3%. Il n’existe pas de ressources humaines suffisamment qualifiées pour gérer les infrastructures, les matériels et les équipements et le score est de 43,3%.

43,3 Existe mais pas satisfaisant

53,3 Satisfaisant

III.F.2Capacité & pratiques

2.2- Périodicité et exhaustivité des rapports sur les équipements et les infrastructures matérielles du secteur public.

93,3 Très satisfaisant

III.F.1Contenu

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques Signification

1.1- Chacune des formations sanitaires doit, une fois au moins par an, présenter un rapport sur l'inventaire et l'état des équipements et des infrastructures matérielles du secteur publique (par exemple la construction, l'entretien, l'alimentation en eau, le système électrique, le système d'évacuation des eaux usées).

1.3- Chaque formation sanitaire du secteur public doit, une fois au moins par trimestre, présenter un rapport sur son stock de fournitures et de produits (les médicaments, les vaccins, les contraceptifs et d'autres fournitures).

2.1- Dans le secteur public, on dispose d'assez de ressources humaines suffisamment qualifiées pour gérer les infrastructures matérielles et la logistique liée à l'équipement, aux fournitures et aux produits.

80 Très satisfaisant

Tab. 38- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Equipements, fournitures et produits”, Algérie 2011

61,7 SatisfaisantTotal

56,7 Satisfaisant

2.3- Périodicité et exhaustivité des rapports sur les fournitures et les produits dans le secteur public.

Intégration-utilisation

Contenu

Capacitéset pratiques

Diffusion

86,7

56,7

0

25

50

75

100

46,7

4.1- Les systèmes d'information pour différents produits et fournitures sont pris en compte dans le secteur public.

III.F.4Intégration & utilisation

43,3 Existe mais pas satisfaisant

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Rapport Final - Algérie 2011

5.4- GESTION DES DONNEES

L’évaluation de la composante Gestion des données existe mais n’a pas été jugée satisfaisante et le score est de 32%.

Fig. 15 -Score de l’évaluation de la composante “ GESTION DES DONNEES ” du SNIS, Algérie 2011

Existe maispas satisfaisant

Très satisfaisant

Pas du toutsatisfaisant Satisfaisant

32%

Clé :

Gestion des données

Parmi les points faibles :

◘ Insuffisance de mise en œuvre des procédures écrites existantes permettant la gestion des données, notamment la collecte, le stockage, le nettoyage, la maitrise de la qualité, l'analyse et la présentation des données et le score est de 43,3%.

◘ Absence à l'échelon national d’une unité du Système d'Information Sanitaire (SIS) qui fait fonctionner une banque de données contenant des informations provenant de diverses sources et dotée d’un utilitaire de transmission de données accessible au public et le score est de 36,7%.

◘ Absence d’un dictionnaire de métadonnées qui fournit la définition des variables ainsi que leur emploi dans les indicateurs, les caractéristiques de la méthode de collecte des données, la périodicité, les désignations géographiques et les techniques d'analyse et le score est de 6,7%.

◘ Existance de codes identificateurs pour les unités géographiques ou administratives mais ne sont pas utilisés afin de faciliter la fusion des nombreuses bases de données provenant de différentes sources et le score est de 40%.

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire66

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6,7

IV.A.3

Il existe un dictionnaire de métadonnées qui fournit la définition des variables ainsi que leur emploi dans les indicateurs, les caractéristiques de la méthode de collecte des données, la périodicité, les désignations géographiques, les techniques d'analyse utilisées et les éventuelles erreurs systématiques

Des codes identificateurs existent pour les unités géographiques ou administratives (par exemple les régions/provinces, les districts, les municipalités, etc.), dans le but de faciliter la fusion des nombreuses bases de données provenant de différentes sources.

36,7

IV.A.1

Score moyenobservé %

Composantesessentielles

Rubriques

Il existe un ensemble de procédures écrites permettant la gestion des données, notamment la collecte, le stockage, le nettoyage, la maîtrise de la qualité, l'analyse et la présentation des données pour le public visé. Ces procédures sont mises en œuvre sur tout le territoire.

À l'échelon national, l'unité du Système d'information sanitaire (SIS) fait fonctionner une banque de données contenant des informations provenant de toutes les sources (aussi bien les sources axées sur la population que celles reposant sur les formations sanitaires, y compris tous les principaux programmes de santé), et est dotée d'un utilitaire convivial de transmission de données auquel divers publics utilisateurs ont accès.

À l'échelon infranational, il existe une banque de données similaire à celle que l'on trouve au niveau national, et un utilitaire de production de rapports auquel divers publics visés ont accès.

Tab. 39- Résultats de l’évaluation de la composante “Gestion des données ”, Algérie 2011

33,3

IV.A.4

IV.A.5

Total

36,7

43,3

Pas du toutsatisfaisant

Existe maispas satisfaisant

Signification

Existe maispas satisfaisant

Existe maispas satisfaisant

Existe maispas satisfaisant

IV.A.2

32 Existe maispas satisfaisant

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Rapport Final - Algérie 2011

5.5- PRODUITS DE L’INFORMATION

La cinquième composante du Système d’Information Sanitaire représentée par les Produits de l’information évalue la qualité des indicateurs générés par le système que sont :

◘ Les indicateurs de l’état de santé (ex : mortalité, morbidité).

◘ Les indicateurs du système de santé (ex : taux couverture vaccinale, traitement DOTS de la tuberculose).

◘ Le nombre de médecins pour 1000 habitants etc.

◘ Les indicateurs des facteurs de risque (% de fumeurs dans la population âgée de 15 ans et plus).

L’évaluation de cette composante se fonde sur un certain nombre de critères que sont :

◘ La méthode de collecte des données.

◘ La rapidité de publication (délai).

◘ La périodicité.

◘ La cohérence et l’exhaustivité.

◘ La représentativité.

◘ La désagrégation et

◘ Les méthodes d’estimation.

La composante Produits de l’information a été jugée satisfaisante avec un score global de 59,1%.

Elle est respectivement de 72,2% pour les facteurs de risque, de 60% pour les indicateurs se rapportant à l’état de santé et de 56,8% pour les indicateurs du système de santé.

Fig. 16- Scores de l’évaluation de la composante “ PRODUITS DE L’INFORMATION ” du SNIS, Algérie 2011

60%

Clé :

Indicateurs de l’état de santé

56,8%Indicateurs du systèmede santé

59,1%Produits de l’information

Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très

satisfaisantPas du toutsatisfaisant

72,2%Facteurs de risque

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gérie Le tableau ci-dessous résume les résultats de l’évaluation de cette composante par type

d’indicateurs et selon les critères d’évaluation prédéfinis.

5.5.1- INDICATEURS DE L’ÉTAT DE SANTÉ

L’évaluation des indicateurs de l’état de santé porte sur les indicateurs de mortalité, essentiellement la mortalité des enfants âgés de moins de cinq ans et sur la mortalité maternelle ainsi que sur les indicateurs de morbidité se rapportant à l’infection par le VIH.

Les indicateurs de mortalité et de morbidité sont jugés satisfaisants avec des scores respectifs de 59,3% et de 61,7%.

Tab. 40- Tableau récapitulatif des résultats (en %) de la composante“Produits de l’information ”du SNIS, Algérie 2011

TOTAL

Indicateurs de l’état de santé Facteursde risque

Très satisfaisant90 %

Satisfaisant67 %

Satisfaisant53 %

Satisfaisant70 %

Très satisfaisant80%

--------

Satisfaisant56 %

Satisfaisant70 %

Satisfaisant 59 %

Satisfaisant70 %

Satisfaisant54 %

Satisfaisant58 %

CatégoriesContenu

Indicateurs duSystème de Santé

TotalGénéral

Collecte de données

Opportunité

Périodicité

Représentativité

Existe mais passatisfaisant 38 %

Désagrégation

Méthode d’estimation

Satisfaisant68 %

Satisfaisant62 %

Satisfaisant68 %

Satisfaisant50%

Satisfaisant53%

Morbidité Total

Très satisfaisant87 %

Satisfaisant65 %

Très satisfaisant80 %

Cohérence Satisfaisant50 %

Satisfaisant63 %

Satisfaisant67 %

-------- Satisfaisant50%

Satisfaisant 63 %

Satisfaisant 58 %

Satisfaisant 58 %

Satisfaisant 55 %

Satisfaisant 69 %

Satisfaisant 51 %

Existe mais passatisfaisant 25 %

Satisfaisant73 %

Satisfaisant64%

Satisfaisant63 %

Satisfaisant55 %

Satisfaisant65 %

Satisfaisant55%

Satisfaisant63 %

Satisfaisant59 %

Satisfaisant59 %

Satisfaisant60%

Satisfaisant57 %

Existe mais passatisfaisant 30 %

Satisfaisant62 %

Satisfaisant72 %

Fig. 17- Scores de l’évaluation de la sous composante “INDICATEURS DE L’ETAT DE SANTE ”

du SNIS, Algérie 2011

59,3%

Clé :

Mortalité

77%Mortalité des enfantsâgés de < 5 ans

60%Indicateurs de l’état de santé

Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très

satisfaisantPas du toutsatisfaisant

41,4%Mortalité maternelle

61,7%Morbidité

Existe mais passatisfaisant 43 %

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Rapport Final - Algérie 2011

77,1 Très satisfaisant

96,7 Très satisfaisant

5.5.1.1- MORTALITÉ

- Mortalité chez les moins de cinq ans

L’évaluation de l’indicateur se rapportant à la Mortalité chez les moins de cinq ans est jugée très satisfaisante avec un score de 77,1%, ceci est lié à l’enregistrement à l’état civil d’au moins 90 % des décès des moins de 5 ans. Le délai écoulé entre la collecte des données et la publication des derniers résultats est très satisfaisant et il est inférieur à 2 ans. Pour ce qui est de la cohérence des données, quelques écarts sont rapportés entre les différentes sources de données.

La désagrégation est faite selon les caractéristiques géographiques et par localité (wilaya) mais pas selon le statut socioéconomique et le score est de 56,7% la classant dans la catégorie satisfaisant.

Les méthodes d’estimation ont été jugées satisfaisantes avec un score de 66,7%.

V.A.1.3Périodicité

Cohérence des révisions dans le temps et l'ensemble des données entre les principales sources au cours des dix dernières années.

Le champ d'application des données.

V.A.1.1Méthode de collecte des données

Score moyenobservé %Rubriques

Méthode de collecte de données utilisée pour les données les plus récentes.

Délai écoulé entre collecte des données et la publication des estimations les plus récentes.

Nombre de fois que la périodicité a été mesurée au cours des dix dernières années.

Tab. 41- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité chez les moins de cinq ans”, Algérie 2011

V.A.1.4Cohérence

V.A.1.5Représen-tativité

Total

63,3 Satisfaisant

Signification

86,7 Très satisfaisant

86,7 Très satisfaisantV.A.1.2Rapidité de publication

83,3 Très satisfaisant

Prévisions les plus récentes, ventilées par caractéristiques géographiques, par statut socioéconomique et par localité.

Les prévisions nationales recourent à des méthodes d'estimation transparentes et éprouvées.

V.A.1.6Désagrégation

V.A.1.7Méthodesd'estimation

56,7 Satisfaisant

66,7 Satisfaisant

Critèresd’évaluation de la qualité

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gérie - Mortalité maternelle

L’évaluation de l’indicateur se rapportant à la mortalité maternelle existe mais n’a pas été jugé satisfaisant par les participants et le score est de 41,4%.

La méthode de collecte utilisée pour les prévisions ou les données publiées existe mais n’est pas jugée satisfaisante (36,7%). Elle repose essentiellement sur les méthodes directes à partir d’enquêtes auprès des ménages et des recensements plutôt que sur l’enregistrement à l’état civil. Le délai écoulé entre la collecte des données et la dernière estimation est long, il varie entre 6 et 9 ans et porte sur un échantillon de décès, le score est de 36,7% la classant dans la catégorie existe mais pas satisfaisant.

La périodicité de recueil des données est longue et de nombreux écarts sont notés entre les différentes sources de données, le score étant de 43,3%. Les données publiées sont désagrégées selon les caractéristiques géographiques et par localité mais pas selon le statut socioéconomique et le score est de 50,0%. Les méthodes d’estimation existent mais ne sont pas jugées satisfaisantes, le score étant de 33,3%.

41,4 Existe maispas satisfaisant

36,7Existe mais

pas satisfaisant

V.2.3Périodicité

Données cohérentes au cours des dix dernières années.

Champ d'application sur lequel reposent les prévisions les plus récentes.

V.2.1Méthode de collecte desdonnées

Score moyenobservé %

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Utilisées pour les prévisions qui ont été publiées très récemment ou qui seront publiées.

Délai écoulé entre la collecte des données et les prévisions publiées le plus récemment.

Nombre de fois que la périodicité a été mesurée au cours des dix dernières années.

Tab. 42- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité Maternelle”, Algérie 2011

V.2.4Cohérence

V.2.5Représen-tativité

Total

36,7

Signification

43,3 Existe maispas satisfaisant

36,7 Existe maispas satisfaisant

V.2.2Rapidité de la publication

53,3 Satisfaisant

Les prévisions qui ont été publiées le plus récemment, ou qui seront publiées, sont ventilées par caractéristiques géographiques, par statut socioéconomique et par localité.

Les prévisions nationales recourent à des méthodes transparentes et éprouvées.

V.2.6Désagrégation

V.2.7Méthodesd'estimation

50,0 Satisfaisant

33,3 Existe maispas satisfaisant

Existe maispas satisfaisant

Page 71: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Rapport Final - Algérie 2011

5.5.1.2- MORBIDITÉ

- Prévalence du VIH

L’évaluation de l’indicateur se rapportant à la prévalence du VIH est jugée satisfaisante avec un score de 61,7%. Néanmoins, des insuffisances sont notées et se rapportent à la méthode de collecte des données qui est axée essentiellement sur la déclaration des cas de VIH plutôt que sur la surveillance des populations à haut risque et le score est de 43,3%.

S’agissant d’une épidémie concentrée, la représentativité est limitée à une population à haut risque d’une localité et le score est de 30% la classant dans la catégorie existe mais pas satisfaisant.

Les estimations récentes sont jugées satisfaisantes avec un score de 66,7% et sont désagrégées selon les caractéristiques démographiques et par wilaya mais pas selon le statut socioéconomique.

61,7 Satisfaisant

43,3 Existe maispas satisfaisant

V.3.3Périodicité

Points de données et tendances cohérents au cours des 5 dernières années.

1. S’agissant d’une épidémie généralisée 2. S’agissant d’une épidémie concentrée

V.3.1Méthode de collecte de données

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Les points de données les plus récents :1. S’agissant d’une épidémie généralisée 2. S’agissant d’une épidémie concentrée

Délai écoulé entre la collecte des données et les estimations publiées le plus récemment.

Nombre de fois qu’a été mesurée la prévalence du VIH au cours des 5 dernières années.

Tab. 43- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Prévalence du VIH”, Algérie 2011

V.3.4Cohérence

V.3.5Représen-tativité

Total

63,3

Signification

80 Très satisfaisant

86,7 Très satisfaisantV.3.2Opportunité

30,0 Existe maispas satisfaisant

Les estimations récentes sont classées par caractéristique démographique, statut socioéconomique et par localité.

V.3.6Désagrégation 66,7 Satisfaisant

Satisfaisant

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire72

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gérie 5.5.2- INDICATEURS DU SYSTÈME DE SANTÉ

L’évaluation des Indicateurs du Système de Santé est jugée satisfaisante avec un score de 56,8%. Cette évaluation a porté sur le taux de couverture vaccinale de la rougeole, les accouchements assistés par du personnel de santé qualifié, le taux de réussite du traitement DOTS, les dépenses de santé par habitant ainsi que sur la densité du personnel de santé.

Fig. 18- Scores de l’évaluation de la sous-composante “INDICATEURS DU SYSTEME DE SANTE ”

du SNIS, Algérie 2011

72,9 %

Clé :

Taux de couverturevaccinale rougeole

71,4 %Accouchements

en milieu assisté

56,8 %Indicateurs du système

de santé

Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très

satisfaisantPas du toutsatisfaisant

82,4 %Taux de réussite

DOTS

41,7 %Dépenses publics de santépar habitant

19,2%Dépenses publics de santé

par habitant

61,7 %Densité de personnel de santé

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Rapport Final - Algérie 2011

5.5.2.1- TAUX DE COUVERTURE DE LA ROUGEOLE PAR 12 MOIS D’ÂGE

L’évaluation de l’indicateur relatif au taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge est jugée satisfaisante avec un score de 72,9%. Le score le plus faible se rapporte à la périodicité de publication des estimations annuelles basées sur les statistiques administratives au cours des 5 dernières années avec un score de 46,7%.

Tab. 44- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge ”, Algérie 2011

66,7 Satisfaisant

86,7 Très satisfaisant

72,9 Satisfaisant

V.4.3Opportunité

Nombre d’estimations annuelles publiées, au cours des cinq dernières années sur la base de statistiques administratives.

Concordance des données avec les enquêtes récentes et les rapports

V.4.1 Méthode de collectedes informations - statistiques adminis-tratives

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Estimation grâce aux statistiques administratives soumises par au moins 90% des centres de vaccination, contrôlées et corrigée à chaque niveau. Calcul de la couverture grâce aux estimations fiables de la population.

Fréquence de mesure du taux de couverture de la rougeole au cours des 5 dernières années par au moins 2 enquêtes nationales menées auprès des ménages et à chaque enquête, présentation les cartes de vaccination des 2/3 des enfants au moins ont été présentées

Délai écoulé entre la collecte des données et les estimations les plus récentes (mois).

V.4.4Périodicité

V.4.5Cohérence

Total

46,7

Signification

80 Très satisfaisant

V.4.2 Méthode de collecte des informations - statistiques fournies par les enquêtesauprès des ménages

73,3 Satisfaisant

Couverture des données sur lesquelles se fondent les toutes dernières estimations

V.4.6Représentativité 90,0 Très satisfaisant

Existe maispas satisfaisant

Les estimations qui ont été publiées très récemment ou qui vont l’être sont désagrégées par les facteurs démographiques, les facteurs socio économiques et la localité.

V.4.7Désagrégation 66,7 Satisfaisant

Page 74: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire74

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gérie 5.5.2.2- ACCOUCHEMENTS ASSISTÉS PAR DES PERSONNELS DE LA SANTÉ QUALIFIÉS

L’évaluation de l’indicateur portant sur les accouchements assistés par des personnels de santé qualifiés est jugée satisfaisante avec un score de 71,4%. En ce qui concerne la méthode de collecte des informations, la périodicité de la mesure au cours des 10 dernières années et la représentativité, elles sont jugées très satisfaisantes avec des scores respectifs de 86,7% et 80% pour les deux dernières.

Tab. 45- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Accouchements assistés par des personnels de la santé qualifiés”, Algérie 2011

63,3 Satisfaisant

86,7 Très satisfaisant

71,4 Satisfaisant

V.5.3Opportunité

Nombre de fois mesurée au cours des 10 dernières années.

Concordance entre les données d’enquêtes récentes et les rapports.

V.5.1 Méthode de collectedes informations - statistiques adminis-tratives

Score moyenobservé %

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Données soumises par au moins 90% des installations sanitaires compétentes. - Statistiques contrôlées à chaque niveau (intégralité, cohérence et correction des discordances). Des estimations fiables de la population permettent de calculer ce taux de couverture.

Fréquence de mesure du pourcentage des accouchements assistés par un personnel sanitaire qualifié, par au moins 2 enquêtes nationales menées auprès des ménages.

Délai écoulé entre la collecte des données fiables et le calcul du taux de couverture (en mois).

V.5.4Périodicité

V.5.5Cohérence

Total

80,0

Signification

60,0 Satisfaisant

V.5.2 Méthode de collecte des informations - statistiques fournies par les enquêtesauprès des ménages

66,7 Satisfaisant

Couverture des données sur lesquelles se fondent les toutes dernières estimations.

V.5.6Représentativité 80,0 Très satisfaisant

Très satisfaisant

Les estimations les plus récentes sont désagrégées par les facteurs démographiques, le statut socioéconomique et la localité.

V.5.7Désagrégation 63,3 Satisfaisant

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Rapport Final - Algérie 2011

96,7 Très satisfaisant

5.5.2.3- TAUX DE RÉUSSITE DU TRAITEMENT DE LA TUBERCULOSE DANS LE CADRE DU TRAITEMENT DE BRÈVE DURÉE SOUS SURVEILLANCE DIRECTE (DOTS)

L’évaluation de l’indicateur portant sur le taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS) a été jugée très satisfaisante avec un score de 82,3% la classant dans le 4ème quartile.

Les résultats enregistrés témoignent de la réussite du programme national de lutte contre la tuberculose.

Tab. 46- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS)”, Algérie 2011

80,0 Très satisfaisant

82,3 Très satisfaisant

V.6.3Périodicité

Cohérence des taux de réussite du traitement au cours des 10 dernières années (fluctuations due à la procédure de collecte des données non harmonisées, définitions, etc.).

% des rapports trimestriels régionaux sur le traitement DOTS, qui ont été reçus au cours de la toute dernière année par le programme national de lutte contre la tuberculose.

V.6.1 Méthode de collectedes informations

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Sources d’informations et méthode utilisée pour les données les plus récentes.

Délai écoulé entre la collecte des données et le calcul des estimations les plus récentes.

Fréquence de mesure au cours de la dernière année (doit se faire tous les trois mois).

V.6.4Cohérence

V.6.5Représentativité

Total

83,3

Signification

93,3 Très satisfaisant

V.6.2Opportunité

93,3 Très satisfaisant

Les estimations désagrégées par les facteurs démographiques, le statut socioéconomique et la localité.

V.6.6Désagrégation - 1 70,0 Satisfaisant

Très satisfaisant

Les toutes dernières estimations sont désagrégées par le statut sérologique et la résistance aux médicaments.

V.6.7Désagrégation - 2 60,0 Satisfaisant

Page 76: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire76

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56,7 Satisfaisant

30,0 Existe maispas satisfaisant

5.5.2.4- DÉPENSES GÉNÉRALES DE L’ETAT EN MATIÈRE DE SANTÉ PAR HABITANT

L’indicateur portant sur les dépenses publiques de santé par habitant existe mais n’a pas été jugé satisfaisant par les évaluateurs et le score est de 41,7% correspondant au 2ème quartile. Il est à noter que pour environ ¾ des critères d’évaluation de la qualité des données, à savoir la méthode de collecte des données, l’opportunité, la périodicité, la cohérence, la désagrégation et la méthode d’estimation existent mais n’ont pas été jugés satisfaisantes avec des scores variant de 26,7% à 46,7%. Il faut noter également le manque de cohérence des définitions sur les dépenses en santé entre les différents intervenants (Ministère de la Santé, autres ministères, Sécurité Sociale …).

Les scores les plus faibles se rapportent aux méthodes d’estimation et plus particulièrement à la disponibilité d’informations détaillées sur les sources ainsi que sur les méthodes utilisées pour la production de statistiques, il est de 26,7% suivi de celui portant sur la désagrégation des dépenses gouvernementales financées de l’extérieure et la disponibilité des données selon les sources de financement qui est de 30,0%.

43,3 Existe maispas satisfaisant

41,7 Existe maispas satisfaisant

V.7.3Périodicité

Cohérence des définitions des dépenses de santé entre les composantes (ministère de la santé, autres ministères et sécurité sociale, administrations régionales et locales, autres organismes extrabudgétaires) et pendant la période.

Composante représentées.

V.7.1 Méthode de collectedes informations

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Méthode de collecte des informations utilisées pour les données les plus récentes.

Pour les toutes dernières estimations publiées, nombre d’années depuis la collecte des informations

Périodicité.

V.7.4Cohérence

V.7.5Représentativité

Total

Signification

43,3 Existe maispas satisfaisant

V.7.2Opportunité

53,3 Satisfaisant

Estimations désagrégées des dépenses générales du gouvernement disponibles (toutes les composantes: ministère de la santé, autres ministères et sécurité sociale, administrations régionales et locales, organismes extrabudgétaires) aux niveaux de la région ou du district.

V.7.6Désagrégation - 1

33,3 Existe maispas satisfaisant

Estimations désagrégées des dépenses gouvernementales financées de l’extérieur et disponibles par source de financement (c’est-à-dire sources multilatérales, bilatérales, fondations privées, ONG et autres).

V.7.7Désagrégation - 2

Tab. 47- Résultats de l’évaluation de l’indicateur du système de santé “Dépenses générales de l’Etat en matière de santé par habitant”, Algérie 2011

46,7 Existe maispas satisfaisant

Disponibilité, pour toutes les estimations produites, d’informations détaillées sur les sources et les méthodes utilisées pour les statistiques, ainsi que sur le compte rendu de tout écart des normes internationales.

V.7.8Méthodes d’estimation 26,7 Existe mais

pas satisfaisant

Page 77: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Rapport Final - Algérie 2011

Total 19,2 Pas du toutsatisfaisant

16,7 Pas du toutsatisfaisant

26,7 Existe maispas satisfaisant

13,3 Pas du toutsatisfaisant

13,3 Pas du toutsatisfaisant

23,3 Pas du toutsatisfaisant

5.5.2.5- DÉPENSES PRIVÉES DE SANTÉ PAR HABITANT

L’indicateur mesurant les dépenses privées de santé par habitant sur la base des dépenses des ménages, des assurances de santé privée, des ONG, des firmes et sociétés na pas été jugé satisfaisant par les évaluateurs, le score global étant de 19,2% correspondant au 1er quartile.

Les scores les plus faibles de 13,3% sont enregistrés pour les rubriques se rapportant à la périodicité de collecte des données, à la cohérence des dépenses de santé entre les différentes composantes, au niveau de désagrégation et de disponibilité des données à l’échelle régionale ou de district.

V.8.4Cohérence

Taux de couverture de la population.

Estimations désagrégées des dépenses privées (toutes composantes: dépenses des ménages, assurance-santé privée, ONG, firmes et sociétés) disponible aux niveaux régional et du district.

V.8.1Méthode de collectedes informations

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Méthode de collecte des informations utilisées pour les données les plus récentes.

Pour les toutes dernières estimations, nombre d’années depuis la collecte des informations.

Cohérence des libellés des dépenses sur la santé entre les composantes (dépenses des ménages, assurance-santé privée, ONG, firmes et sociétés) et pendant la période.

V.8.5Représentativité

V.8.6Désagrégation - 1

Signification

V.8.2Opportunité

Estimations de dépenses privées désagrégées par source de financement (sources multilatérales et bilatérales, fondations privées, ONG et autres).

V.8.7Désagrégation - 2

30,0 Existe maispas satisfaisant

Disponibilité, pour toutes les estimations produites, d’informations détaillées sur les sources et les méthodes utilisées pour les statistiques, ainsi que sur le compte rendu de tout écart des normes internationales.

V.8.8Méthodes d’estimation

Tab. 48- Résultats de l’évaluation de l’indicateur du système de santé“Dépenses privées de santé par habitant”, Algérie 2011

16,7 Pas du toutsatisfaisant

Périodicité.V.8.3Périodicité 13,3 Pas du tout

satisfaisant

Page 78: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire78

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53,3 Satisfaisant

60,0 Satisfaisant

80,0 Très satisfaisant

5.5.2.6- DENSITÉ DU PERSONNEL SANITAIRE POUR 1000 HABITANTS

L’indicateur mesurant la densité du personnel sanitaire pour 1000 habitants a été jugé satisfaisant avec un score de 61,7% correspondant au 3ème quartile.

La méthode de collecte des données est jugée satisfaisante avec un score de 53,3%. Les statistiques administratives sont validées par des enquêtes menées par les structures sanitaires sur les effectifs du personnel et par les données du recensement de la population.

Pour les estimations les plus récentes, le nombre de mois depuis la collecte des données est compris entre 6 et 11 mois la classant dans la catégorie satisfaisante avec un score de 50%.

La désagrégation du personnel sanitaire est faite selon la Classification Internationale par Type de Profession (CITP) à 03 chiffres et le score est de 53,3%.

V.9.4Cohérence

Catégories de travailleurs sanitaires.

CITP : Classification Internationale Type de Professions.

Les estimations qui ont été publiées très récemment ou qui seront publiées sont désagrégées par (1) le sexe, (2) la zone urbaine ou rurale, (3) la principale région géographique ou administrative et (4) le secteur public ou privé.

V.9.1Méthode de collecte des données

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Les statistiques administratives courantes sont validées par les résultats d’une enquête ou d’un recensement régulièrement mené par les installations sanitaires, d’une enquête sur les effectifs du personnel, et d’un recensement de la population.

Pour les estimations les plus récentes, nombre de mois depuis la collecte des informations.

Variables et définitions des données concordantes pendant la période) à travers différentes sources.

V.9.5Désagrégation - 1

V.9.6Désagrégation - 2

Signification

V.9.2Opportunité

53,3 Satisfaisant

Tab. 49- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Densité du personnel sanitaire pour 1000 habitants”, Algérie 2011

50,0 Satisfaisant

Total 61,7 Satisfaisant

Nombre de fois mesurée au cours des 5 dernières années.V.9.3Périodicité 73,3 Satisfaisant

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Rapport Final - Algérie 2011

90,0 Très satisfaisant

53,3 Satisfaisant

80,0 Très satisfaisant

5.5.2.7- TENDANCE À FUMER CHEZ LES 15 ANS ET PLUS

L’indicateur mesurant la tendance à fumer chez les sujets âgés de 15 ans et plus est jugée satisfaisante par les évaluateurs avec un score de 72,2% correspondant au 3ème quartile. Les rubriques ayant enregistrées les scores les plus élevés, jugés très satisfaisant, sont celles ayant trait à la méthode de collecte et à la désagrégation des données les plus récentes avec respectivement 90% et 80%.

Les rubriques ayant enregistré des scores plus faibles mais qui sont jugés satisfaisants sont celles relatives à la cohérence (53,3%), à la périodicité (66,7%), à la représentativité (70%) et à l’opportunité de la collecte des données (73,3%).

V.10.4Cohérence

Type d’échantillon sur lequel se fondent les estimations les plus récentes.

Les estimations qui ont été publiées très récemment ou qui seront publiées sont désagrégées par les facteurs démographiques (comme le sexe et l’âge) le statut socioéconomique (le revenu, la profession, l’éducation), et la localité (zone rurale ou urbaine, principale région géographique ou administrative)

V.10.1Méthode de collectedes informations

Score moyenobservé

%

Critèresd’évaluation de la qualité

Rubriques

Méthode de collecte des informations utilisée pour les données les plus récentes.

Pour les estimations les plus récentes, nombre d’années depuis la collecte des informations.

Données concordantes au cours de la période.

V.10.5Représentativité

V.10.6Désagrégation

Signification

V.10.2Opportunité

70,0 Satisfaisant

Tab. 50- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Tendance à fumer chez les sujets âgés de 15 ans”, Algérie 2011

73,3 Satisfaisant

Total 72,2 Satisfaisant

Nombre de fois mesurée au cours des 10 dernières années. V.10.3Périodicité 66,7 Satisfaisant

Page 80: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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gérie 5.6- DIFFUSION ET UTILISATION DES PRODUITS DE L’INFORMATION

La Diffusion et l’Utilisation des produits de l’information est la sixième composante du SIS. Elle comprend cinq sous composantes représentées par :

◘ l’analyse et l’utilisation de l’information,

◘ l’utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer,

◘ l’utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités,

◘ l’utilisation des informations pour l’allocation des ressources,

◘ l’utilisation de l’information pour la mise en application et l’action.

Cette composante est dans la catégorie existe mais pas satisfaisante selon la grille d’évaluation, avec un score de 45,7% correspondant au 2ème quartile. Le score le plus élevé qui est de 50% a été enregistré pour la sous composante « action et plaidoyer ». Les autres sous composantes sont dans la catégorie «existe mais pas satisfaisant » avec des scores respectifs décroissants de : 48,9% pour l’analyse et l’utilisation de l’information, 47,8% pour la mise en application et l’action, 40% pour l’allocation des ressources et 36,7% pour la planification et la fixation des priorités.

Fig. 19- Scores de l’évaluation de la composante “DIFFUSION ET UTILISATION DES PRODUITS DE

L’INFORMATION” , Algérie 2011

Clé :

48,9 %Analyse et utilisation

de l’information

45,7 %Diffusion et utilisation

de l’information

Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très

satisfaisantPas du toutsatisfaisant

50,0 %Action et plaidoyer

36,7 %Planification et fixationdes priorités

40,0 %Allocation des ressources

47,8 %Mise en alpplicationet action

Page 81: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Rapport Final - Algérie 2011

5.6.1- ANALYSE ET UTILISATION DE L’INFORMATION

La sous composante portant sur l’analyse et l’utilisation de l’information existe mais n’a pas été jugée satisfaisante par les évaluateurs et le score est de 48,9% correspondant au 2ème quartile.

Il faut noter que les deux premières rubriques jugées satisfaisantes avec des scores de 53,3% chacune, portant sur les exigences des décideurs de disposer d’informations sanitaires complètes, opportunes, précises, utiles et validées ne sont pas toujours bien comprises et les représentations graphiques ne sont pas largement utilisées au niveau des administrations sanitaires pour présenter les informations.

Le score le plus faible qui est de 40% concerne les représentations cartographiques qui ne sont pas largement utilisées pour représenter les informations sanitaires surtout aux niveaux périphériques et même quand elles existent, elles ne sont pas toujours à jour et bien comprises.

Tab. 51- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Analyse et utilisation de l’information ”, Algérie 2011

53,3 SatisfaisantVI.A.1

Score moyenobservé %

Rubriques

Les gestionnaires et décideurs haut placés exigent des informations SIS complètes, opportunes, précises, utiles et validées.

Utilisation large de graphiques, à tous les niveaux et au niveau des installations sanitaires pour présenter les informations. Ils sont à jour et parfaitement compris.

Signification

VI.A.2

53,3 Satisfaisant

Représentations cartographiques largement utilisées pour présenter les informations et au niveau des installations sanitaires. Elles sont à jour et parfaitement comprises.

VI.A.3

Total

Composantesessentielles

40,0 Existe maispas satisfaisant

48,9 Existe maispas satisfaisant

5.6.2- UTILISATION DE L’INFORMATION POUR L’ACTION ET LE PLAIDOYER

L’évaluation de la sous composante Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer a été jugée satisfaisante avec un score de 50%, ceci est lié au fait que les rapports analytiques du SIS produits couvrent effectivement un minimum des principaux indicateurs y compris ceux des OMD et ils sont distribués au moins une fois par an au ministère de la santé.

Tab. 52- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer ”, Algérie 2011

50,0 Satisfaisant

VI.B.1

Score moyenobservé %

Rubriques

Les rapports analytiques SIS intégrés couvrent un minimum de principaux indicateurs y compris ceux des OMD et des partenaires mondiaux de la santé, sont régulièrement distribués à toutes les parties concernées.

SignificationComposantesessentielles

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire82

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gérie 5.6.3- UTILISATION DE L’INFORMATION POUR LA PLANIFICATION ET LA FIXATION

DES PRIORITÉS

L’Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités existe mais n’est pas jugée satisfaisante avec un score de 36,7%, ceci est lié au fait que l’utilisation de l’information sanitaire reste limitée au niveau central et est utilisée occasionnellement et/ou pas convenablement aux autres niveaux de la pyramide sanitaire.

Tab. 53- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités”, Algérie 2011

VI.C.1

Score moyenobservé %

Rubriques

Les informations sanitaires sont utilisées dans le planning (plans annuels de fonctionnement et de développement intégré, cadres des dépenses à moyen terme, plans stratégiques à long terme et les études périodiques du secteur sanitaire) à tous les niveaux (central, régional ou provincial et de district).

SignificationComposantesessentielles

36,7 Existe maispas satisfaisant

43,3 Existe maispas satisfaisant

VI.D.1

Score moyenobservé %

Rubriques

Les informations du SIS sont largement utilisées par les équipes de gestion au niveau local et de district pour intégrer l’allocation des ressources dans les processus budgétaires annuels.

Les informations du SIS sont utilisées pour plaider en faveur de l’équité et de l’accroissement des ressources octroyées aux communautés et aux groupes défavorisés, par exemple en attestant leur maladie et leur accès limité aux services.

Signification

VI.D.2

Tab. 54- Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation des informations pour l’allocation des ressources ”, Algérie 2011

36,7 Existe maispas satisfaisant

Total

Composantesessentielles

40,0 Existe maispas satisfaisant

5.6.4- UTILISATION DES INFORMATIONS POUR L’ALLOCATION DES RESSOURCES

La sous composante Utilisation des informations pour l’allocation des ressources est dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec un score global de 40% correspondant au 2ème quartile. Ceci est lié au fait que les allocations budgétaires annuelles s’appuient rarement sur les informations du SIS, le score est de 43,3% et que les informations du SIS sont utilisées de façon ad hoc pour plaider en faveur de l’équité, le score étant de 36,7%.

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Rapport Final - Algérie 2011

5.6.5- UTILISATION DE L’INFORMATION POUR SA MISE EN APPLICATION ET POUR L’ACTION

L’évaluation de la sous composante Utilisation de l’information pour sa mise en application et l’action existe mais n’a pas été jugée satisfaisante par les évaluateurs et le score global est de 47,8% correspondant au 2ème quartile.

La rubrique qui a enregistrée le score le plus faible qui est de 43,3% est du au fait que l’information sanitaire n’est pas utilisée par les gestionnaires au niveau régional et périphérique pour la gestion des services de santé, le suivi et l’évaluation périodique des activités mais que les principales décisions sont prises au niveau central.

Les deux dernières rubriques enregistrent des scores de 50% chacune, les classant dans la catégorie satisfaisant. La première concerne l’utilisation de l’information sanitaire par les fournisseurs de soins à différents niveaux de la pyramide sanitaire sauf au niveau périphérique représenté par les centres de santé. La seconde porte sur les informations relatives aux facteurs de risque pour la santé qui sont régulièrement utilisées pour un plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque mais qui ne sont pas toujours adaptées à chaque groupe vulnérable.

Tab. 55- Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action ”, Algérie 2011

VI.E.1

Score moyenobservé %

Rubriques

Utilisation des IS pour la gestion de la prestation de services sanitaires, le suivi et l’évaluation périodique par les gestionnairesdes bureaux administratifs de la santé à tous les niveaux.

Utilisation des IS pour la gestion de la prestation de services, le suivi et l’évaluation périodique par les fournisseurs de soins à tous les niveaux.

Signification

VI.E.2

50,0 Satisfaisant

Utilisation des informations sur les facteurs de risques pour la santé pour un plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque du grand public et des groupes vulnérables visés

VI.E.3

Total

Composantesessentielles

50,0 Satisfaisant

47,8 Existe maispas satisfaisant

43,3 Existe maispas satisfaisant

Page 84: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

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Recommandations

Sur la base des résultats obtenus lors de l’évaluation du SNIS, des recommandations ont été formulées et validées lors d’un séminaire atelier. Ce dernier a regroupé différents intervenants ayant pris part aux ateliers d’évaluation, parmi eux des décideurs, des gestionnaires, des praticiens médicaux et paramédicaux, des statisticiens, des démographes, des informaticiens, des analystes, des économistes, ….

Les recommandations ont été formulées pour les six composantes du SNIS et essentiellement pour les rubriques nécessitant soit un renforcement soit l’élaboration de nouvelles stratégies.

1. RESSOURCES

Coordination, planification et politiques◘ Elaborer un plan stratégique écrit du SNIS.

◘ Réviser et renforcer le cadre législatif et règlementaire régissant le SNIS.

◘ Créer un comité national représentatif de plusieurs secteurs chargé de la coordination du SNIS.

◘ Renforcer les mécanismes de coordination intra sectoriels et intersectoriels.

◘ Mettre en place un système de suivi - évaluation du SNIS.

Ressources humaines et financement◘ Budgétiser le SNIS et allouer des lignes spécifiques aux différentes composantes

(enquêtes, audits,...).

◘ Renforcer les capacités de la cellule administrative en charge du SNIS en moyens humains et matériels.

◘ Mettre à niveau les connaissances du personnel en charge du SNIS en insistant sur la formation continue.

◘ Pérenniser et valoriser les ressources humaines en charge du SNIS en prenant en charge leur plan de carrière.

Infrastructures◘ Renforcer les services de maintenance des équipements des Nouvelles Technologies de

l’Information et de la Communication (NTIC) du SNIS.

2. INDICATEURS◘ Etablir une liste d’indicateurs nationaux de santé (indicateurs essentiels) aux différents

niveaux de la pyramide sanitaire.

◘ Elaborer un dictionnaire de métadonnées.

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Recensement

◘ Procéder à l’évaluation de l’exhaustivité des données sur la mortalité adulte à partir des données du recensement.

◘ Faciliter l’accès du public aux micro-données des recensements.

Statistiques de l’état civil

◘ Règlementer et assurer la disponibilité des supports de déclaration des causes de décès (certificat médical de décès) dans les secteurs public et privé.

◘ Assurer la formation des médecins praticiens au renseignement du certificat médical de décès et à la codification des causes médicales de décès.

◘ Initier les professionnels de la santé à l’autopsie verbale.

Enquêtes auprès de la population

◘ Planifier et réaliser des enquêtes de santé sur les Maladies Non Transmissibles (MNT) et les facteurs de risque en respectant la périodicité (par exemple tous les 05 ans).

◘ Réaliser des enquêtes épidémiologiques sur les décès maternels.

◘ Mettre en place un système d’audit des décès maternels.

◘ Créer une base de données des résultats des enquêtes de santé réalisées et en faciliter l’accès (rapports, micro données, métadonnées …).

◘ Renforcer la coordination entre le secteur de la santé et les organismes chargés des statistiques dans la réalisation des enquêtes de santé.

Dossiers de santé et de maladies notamment les systèmes de surveillance des maladies

◘ Etablir des cartes des populations exposées à des risques sanitaires chimiques, vectoriels et industriels.

◘ Mettre en place un système de conservation et d’archivage des dossiers médicaux des patients.

◘ Assurer la production et la diffusion régulière des bulletins de surveillance des maladies épidémiques.

Banque des Services de Santé◘ Instaurer une évaluation périodique de la qualité des services fournis par les structures

sanitaires (supervision, enquêtes…).

◘ Harmoniser la codification administrative des structures sanitaires.

Banque de ressourcesInfrastructures et services de santé◘ Généraliser l’utilisation du Système d’Information Géographique (SIG) pour la localisation

des structures sanitaires.

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gérie◘ Renforcer en moyens humains et matériels le personnel en charge du Système

d’Information Géographique (SIG).

◘ Evaluer périodiquement l’accessibilité de la population aux services de santé.

Ressources humainesLes résultats de l’évaluation pour la sous composante Ressources Humaines ont été jugés satisfaisants, aucune recommandation n’a été formulée.

Financement et dépenses consacrés aux services de santé ◘ Elaborer régulièrement les Comptes Nationaux de Santé (CNS) et assurer une large

diffusion des rapports produits.

◘ Utiliser les rapports sur les Comptes Nationaux de Santé (CNS) dans l’élaboration des politiques de santé et l’affectation des ressources.

Equipements, fournitures et produits◘ Assurer une production périodique des rapports sur les fournitures et les produits

(médicaments, vaccins et autres) dans le secteur public.

4. GESTION DE DONNÉES

◘ Elaborer un dictionnaire de métadonnées pour la gestion des données.

◘ Mettre en place, au niveau national, des procédures écrites pour la gestion des données (collecte, stockage, analyse, présentation des résultats).

◘ Créer une unité chargée du SIS alimentée par diverses sources (population, structures sanitaires, programmes de santé…).

◘ Rendre accessible la banque de données du SIS ainsi que les rapports produits au niveau régional et national.

◘ Harmoniser les codes identificateurs des unités géographiques et administratives des bases de données du SIS.

5. PRODUITS DE L’INFORMATIONIndicateurs de l’état de santé Mortalité chez les moins de cinq ans◘ Désagréger les données de mortalité chez les enfants de mois de cinq ans par niveau

socio économique et par localité (commune).

Mortalité maternelle ◘ Réaliser des enquêtes nationales exhaustives et périodiques sur la mortalité maternelle

et assurer une large diffusion des rapports produits.

Prévalence du VIH◘ Réviser le système de déclaration des cas de VIH.

◘ Réaliser des enquêtes sérologiques périodiques auprès des populations à risque.

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gérie Indicateurs du système de santé

Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge◘ Assurer une large diffusion des rapports annuels produits sur la couverture vaccinale

anti rougeoleuse.

Accouchements assistés par des personnels de la santé qualifiés◘ Les résultats de l’évaluation ont été jugés satisfaisants, aucune recommandation n’a été

formulée.

Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS)◘ Les résultats de l’évaluation ont été jugés très satisfaisants, aucune recommandation n’a

été formulée.

Dépenses générales de l’état en matière de sante par habitant ◘ Elaborer annuellement les comptes nationaux de la santé (CNS) et assurer la publication

et une large diffusion des rapports produits.◘ Réaliser périodiquement des enquêtes de consommation pour évaluer les dépenses des

ménages en matière de santé.

6. DIFFUSION ET UTILISATION DES DONNÉES

Analyse et utilisation de l’information◘ Développer la cartographie sanitaire au niveau local, régional et national.

◘ Elaborer périodiquement les rapports analytiques du SIS comprenant les principaux indicateurs y compris ceux des OMD.

Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités ◘ Utiliser les informations sanitaires à chaque niveau de la pyramide sanitaire pour la

planification et la fixation des priorités.

Utilisation des informations pour l’allocation des ressources ◘ Utiliser les informations du SIS pour l’allocation de ressources budgétaires au niveau

local.

◘ Utiliser les informations du SIS pour assurer l’équité en matière d’accès aux soins des populations vulnérables.

Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action ◘ Utiliser les informations sanitaires pour la gestion des prestations des structures

sanitaires, leur suivi et leur évaluation.

◘ Utiliser les informations sur les facteurs de risque pour le plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque destiné au grand public et aux groupes à risque.

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RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES

Sur la base de l’ensemble des recommandations formulées, des recommandations générales ont été identifiées de part leur importance et l’urgence de leur mise en œuvre, elles se résument comme suit :

Elaborer un plan stratégique écrit du SNIS.

Créer un comité national représentatif de plusieurs secteurs chargé de la coordination du SNIS.

Etablir une liste d’indicateurs nationaux de santé à différents niveaux ainsi qu’un dictionnaire de métadonnées.

Mettre en place une base de données concernant les décès maternels axée sur les enquêtes épidémiologiques et la mise en place d’un système d’audit des décès maternels.

Elaborer régulièrement les Comptes Nationaux de Santé (CNS) et assurer une large diffusion des rapports produits pour permettre leur utilisation dans l’élaboration des politiques de santé et l’affectation des ressources.

Utiliser les informations sur les facteurs de risque pour le plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque destiné au grand public et aux groupes à risque.

Harmoniser la codification administrative des structures sanitaires.

Instaurer une évaluation périodique de la qualité des services fournis par les structures sanitaires (supervisions, enquêtes…).

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gérie CONCLUSION

L’évaluation du Système National d’Information Sanitaire réalisée à l’aide de l’outil Health Metrics de l’Organisation Mondiale de la Santé, a permis de mettre en évidence les nombreux atouts dont jouit l’actuel SNIS tels que la bonne couverture des structures en charge de l’information sanitaire dotées des nouvelles technologies de l’information et de la communication, la disponibilité des ressources humaines, un système de notification des maladies bien organisé, l’existence de registres de maladies, la réalisation d’enquêtes de santé et de populations…De plus un état civil performant et des institutions en charge des statistiques telles que l’Office National des Statistiques viennent renforcer le SNIS.

Néanmoins, des insuffisances sont constatées et semblent liées à un manque d’organisation et de coordination des activités à différents niveaux de la pyramide sanitaire.

Les recommandations formulées par les professionnels constituent des éléments de réflexion et ouvrent des pistes de travail sur des dossiers constituant des priorités en matière de Santé Publique tels que l’audit des décès maternels, les Comptes Nationaux de la Santé, les causes médicales de décès, le Dossier Electronique du Malade (DEM)…..

Ce rapport représente une première expérience du genre qui, tout en suivant rigoureusement les consignes méthodologiques développés par l’OMS, s’est attelé à rapporter fidèlement les avis tels qu’ils ont été exprimés par les participants, après des échanges non moins animés dans les ateliers. Il constitue une richesse que le secteur de la santé se doit de conserver et de capitaliser, en ce sens qu’il offre un point de repère à toute évaluation prospective du système d’information sanitaire.

Le principe de la gouvernance dans le domaine de l’information et notamment de l’information statistique revient incessamment dans les débats. Aussi, l’élaboration d’un plan stratégique en vue du renforcement du SNIS se présente comme une nécessité absolue et un préalable à tout effort visant une meilleure gestion des ressources en santé et une prise en charge efficace et efficiente des besoins sanitaires de la population. Ces deux points doivent constituer un socle d’interventions prioritaires au secteur en charge de la santé.

De plus, il convient de rappeler que s’agissant d’avis exprimés par un panel de professionnels qui sont confrontés quotidiennement à la prise en charge sanitaire des citoyens aux différents échelons de la pyramide du système de santé, il se pourrait que certains aspects du SNIS aient été majorés ou minorés. Ceci pourrait représenter en soi l’image que se font ces professionnels de leur propre système de santé et traduit, par conséquent, le degré de la démocratisation d’accès aux informations utiles pour une meilleure compréhension de l’environnement professionnel dans lequel ils évoluent.

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Rapport Final - Algérie 2011 91

Annexes

ANNEXE 1

Liste du groupe élargi

Nom - Prénom Fonction InstitutionMme Rachida ABERKANE Direction de la Planification et du Développement

MSPRHSous Directrice

Mr Faouzi AMOKRANE Ministère de la Prospective et des StatistiquesChef de Division

Mr Omar BENBELLA Office National des StatistiquesChef d’Etudes

Pr Jean Paul GRANGAUD Faculté de Médecine d’AlgerProfesseur en Pédiatrie-Expert

Dr Salima MAGUEMOUN Direction des Services de Santé-MSPRHChef de programme

Dr Ghania MERBOUT Direction de la Prévention- MSPRHSous Directrice Maladies Transmissibles

Dr Kenza ZEBBOUDJ Direction de la Prévention- MSPRH Chef de programme

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gérie ANNEXE 2

Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme HospitalièreInstitut National de Santé Publique

Séminaire national d’information sur le projet« Evaluation du Système National d’Information Sanitaire »

INSP, 18 avril 2011

Programme

08.30 Accueil des participants

09.00 Séance inaugurale - Dr Z. Cherfi, Directrice Générale INSP

Séance 1 : Séance plénière

09:30 Objectifs du projet Dr. Touami, INSP09:45 Modélisation du Système d’Information Sanitaire dans le monde Mr. Amokrane, MPS10:00 Système National d’Information Sanitaire en Algérie Pr. Grangaud 10:15 Statistiques Sanitaires en Algérie Dr. Zerrouki, DP-MSPRH 10:30 Système d’Information Sanitaire et TIC Mr. Benkaci, MSPRH10:45 Statistiques Démographiques en Algérie Mr. Benbella, ONS11:00 Débat 11:15 Pause café

Séance 2 : Séance plénière

11:30 Cadre du Réseau de Métrologie Sanitaire de l’OMS Dr. Belamri,INSP11:45 Ressources du SNIS Dr. Cherf-Bouzida, INSP12:10 Indicateurs et sources des données du SNIS Dr. Brahimi, INSP12:25 Gestion des données et produits de l’information du SNIS Dr. Touami, INSP12:40 Diffusion et utilisation des données du SNIS Dr. Belamri, INSP12:55 Débat 13:15 Déjeuner

Séance 3 : Séance plénière

14:00 Outil d’évaluation «Health Metrics » de l’OMS Dr. Brahimi, INSP 15:00 Débat 15:30 Diffusion des documents et préparation des ateliers 16:30 Clôture du séminaire

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gérieANNEXE 3

Programme des ateliers d’évaluation

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMINISTERE DE LA SANTE, DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE

INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE

Atelier de travail sur Evaluation du Système National d’Information Sanitaire par l’Outil Health Metrics

Projet de coopération Algérie/ OMSBiennium 2010 – 2011,

N° : 10.04.30 DZA

INSP, Alger03-04 mai 2011

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gérie Première journée : 03 mai 2011

08h30 Accueil des participants Remise de la documentation09h00 Séance inaugurale - Dr Z. Cherfi, Directrice Générale INSP09h30 Rappels des objectifs de l’atelier

09h30 - 11h00 QUESTIONNAIRE N°1 : RESSOURCES • Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat

11h00-11h15 Pause Café

11h15 - 13h00 QUESTIONNAIRE N° 2 : INDICATEURS• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat

13h00 - 14h00 Dejeuner

14h00 - 15h30 QUESTIONNAIRE N°3: SOURCES DES DONNEES• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat

15h30 - 15h45 Pause Café

15h45 - 17h30 QUESTIONNAIRE N°3: SOURCES DES DONNEES (SUITE)

• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat

17h30 Clôture de la journée

Deuxième journée : 04 mai 2011

09h00 - 11h00 QUESTIONNAIRE N°4 : GESTION DES DONNEES

• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat11h00 - 11h15 Pause Café

11h15 - 13h00 QUESTIONNAIRE N°5 : PRODUITS DE L’INFORMATION• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat

13h00 - 14h00 Dejeuner

14h00 - 15h30 QUESTIONNAIRE N°5 : PRODUITS DE L’INFORMATION (SUITE)

• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat15h30 - 15h45 Pause Café

15h45 - 17h30 QUESTIONNAIRE N°6 : DIFFUSION ET UTILISATION DES DONNEES • Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat

17h30 Clôture de l’atelier

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gérieANNEXE 4

Listes des participants aux ateliers d’évaluation du SNIS

Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire INSP, les 03 et 04 mai 2011

Groupe A

Nom - Prénom(s) InstitutionABERKANE Rachida Direction de la Planification et du Développement

MSPRHSous Directrice

EPSP BouzaréahALLAM Farida Epidémiologiste - Médecin Chef SEMEP

BENBELLA Omar Office National des StatistiquesChef d’Etudes

BENHABYLES Nadjia INSPEpidémiologiste - Chef de service MDO

BENKACI Youcef MSPRHConseiller

BERKANE Aicha Office National des Statistiques Chargée des programmes statistiques

BOURKICHE Ahmed Direction de la Population - MSPRHSous Directeur

INSPBOUTEKDJIRET Leila Médecin Santé Publique

CHERF-BOUZIDA Fatiha INSPMédecin Santé Publique

KELLOU Med El Kamel INSPEpidémiologiste

KITOUS Nadia CHU Tizi OuzouEpidémiologiste

MAGUEMOUN Salima Direction des Services de Santé - MSPRHChef de programme de santé

MAZOUZ Hassane

Fonction

Médecin Généraliste - Chef de service-SEMEP

MERBOUT Ghania Direction de la Prévention-MSPRHEpidémiologiste - Sous Directrice Maladies Transmissibles

TCHICHA Boualem

INSP

Médecin Santé Publique

TOUAMI Samira Epidémiologiste

ZANTAR Akila Fariza INSPIngénieur en statistiques

INSP

ENMASCHAOUCHE Ali Enseignant

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gérie Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire

INSP, les 03 et 04 mai 2011

Groupe B

Nom - Prénom(s) InstitutionAIT OUBELLI Kamel Direction de la Prévention-MSPRHEpidémiologiste

ENMASAKSA Kahina Administrateur

ALIANE Zazou ENMASAdministrateur

AMOKRANE Fawzi Ministère de la Prospective et des StatistiquesChef de Division

BENGUERGOURA Fouzia Agence Nationale du SangPharmacienne Spécialiste

BRAHIMI Hakim INSPEpidémiologiste

BRAHMA Nassima Direction des Services de Santé - MSPRHIngénieur en statistiques

Office National des StatistiquesCHEMINI Boujemaa Ingénieur d’état en Statistiques

DAMERDJI Djamel Eddine Etablissement Public Hospitalier BoufarikMédecin

GRANGAUD Jean-Paul Faculté de Médecine d’AlgerSpécialiste en Pédiatre - Expert

HADDAB Abdallah Ministère de la Solidarité Nationale et de la FamilleSous Directeur

HAMMOUDA Doudja Professeur en EpidémiologieChef de département Contrôle des Maladies

HEMAIDI ZOURGUI Ahmed INSP

Fonction

Secrétaire Général

KHEDDACHI Rachid INSPEpidémiologisteResponsable du PEV

SOUAMI Kahina Agence Nationale du SangDirectrice de la Formation

SOULIMANE Abdelkrim Professeur en EpidémiologieMédecin Chef du SEMEP

Centre Hospitalo-Universitaire Sidi Bel Abbes

INSP

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Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire INSP, les 10 et 11 mai 2011

Groupe C

Nom - Prénom(s) InstitutionABI AYAD Fatima DSP de la wilaya d’Alger Médecin Santé Publique

INSPABROUK Samira Médecin SpécialisteChef de Département Méthodologie

BEDRANI Abdelkader Ministère de la Prospective et des StatistiquesDirecteur des Etudes

BELKACEMI Daoud CENEAPChef de Département Informatique

BERKANI Amina Office National des StatistiquesIngénieur en Statisticienne Chargée de l’état civil

BOUDAA Nasser DSP de la wilaya de ChlefDirecteur de la Santé et de la Population

BOUGHOUFALAH Amel INSPMédecin Santé Publique

EPSP Bordj Menaiel CERBAH Hamid Médecin coordinateur du SEMEP

CHERF-BOUZIDA Fatiha INSPMédecin Santé Publique

CHERID Chahira INSPEpidémiologiste

CHOUGRANI Saada EHU d’OranProfesseur en Epidémiologie

DAAS Mohamed Adil Chef de Service

DJELLATO Salima EPH Jijel

Fonction

Epidémiologiste

DRALI Tassadit Institut Pasteur d’AlgérieBiologiste

GHARBI Mohamed CHU Annaba Professeur en EpidémiologieChef de Service SEMEP

GUERGUIT Mohamed Médecin - Chef de Service DSP de la wilaya deTamanrasset

DSP de la wilaya de Constantine

HAMCHAOUI Farida CHU Bab El OuedEpidémiologiste

Direction des Services de Santé - MSPRH MAGUEMOUN Salima Chef Programme

MECHOUMA Yacine EPSP BatnaMédecin Santé Publique

MERBOUT Ghania Direction de la Prévention - MSPRHSous Directrice

OUALI Amar Direction de la Population - MSPRH Sous Directeur

STITI Amel Analyste principale en Economie

TEBBAL Mohamed Rédha DSP de la wilaya de MédéaMédecin Santé Publique

TOUAMI Samira INSPEpidémiologiste

Conseil National Economique et Social

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eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire

INSP, les 10 et 11 mai 2011

Groupe D

Nom - Prénom(s) InstitutionATOUI Naziha SEMEP CHU Constantine Epidémiologiste / Unité de contrôle

et de surveillance - SIG

INSPBRAHIMI Hakim Epidémiologiste

BELAMRI Belkacem EPH Metlili GhardaiaEpidémiologiste

BENAHMOUD Mohamed DSP de la wilaya de MostaganemEpidémiologiste

BENCHEIBLI Abdelghani SEMEP EPSP El Hadjar AnnabaEpidémiologiste

CHIBOUT Leila OMSChargée de la Promotion de la Santé

Centre National de Toxicologie DJOUDAD Malika Responsable Qualité

GRANGAUD Jean-Paul Faculté de Médecine d’AlgerProfesseur en Pédiatrie-Expert

GUEMAZ Nacera Direction de la Planification et du Développement-MSPRH

Chef de bureau

HALIL Kouider DSP de la wilaya de TiaretChargé de la Population (I.D.E)

HAMMOUDA Nacer Eddine Directeur de Recherche

HANNOUN Djohar INSP

Fonction

Epidémiologiste

KHELIFI Houria Direction de la Prévention - MSPRHChargée de Programme

NACHET Farouk DSP de la wilaya de TiaretMédecin de Santé Publique

OKBA Leila Chef de bureau Ministère de l’Intérieur et des CollectivitésLocales

CREAD

OUBRAHAM Lylia UNICEFSpécialiste en Santé et Nutrition

EPSP Larbaâ Nath Irathen Tizi OuzouRAHEM Hocine Médecin de Santé Publique Sous Directeur des Services Santé

SALMI Younès DSP de la wilaya de TipazaChef de Service

YAHIA OUAHMED Lamia EPH Djillali RahmouniEpidémiologiste

ZEBBOUDJ Kenza Direction de la Prévention - MSPRH Epidémiologiste

ZEDDAM Adel Coordonnateur National ONUSIDA

BOUNECER Hocine CHU BatnaProfesseur en EpidémiologieMédecin Chef

Page 99: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

99

ANNEXE 5

Outil d’évaluation des systèmes d’information sanitaire nationaux Health Metrics

Version 4.00

Page 100: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire100

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répu

bliq

ue A

lgér

ienn

e Dé

moc

ratiq

ue e

t Pop

ulai

re

Min

istè

re d

e la

San

té, d

e la

Pop

ulat

ion

et d

e la

Réf

orm

e Ho

spita

lière

Inst

itut N

atio

nal d

e Sa

nté

Publ

ique

Eval

uatio

n du

Sys

tèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ire

Ques

tionn

aire

1 : R

esso

urce

s

Code

Form

atio

n de

bas

e

Fonc

tion

Inst

itutio

n

Date

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

Page 101: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rubriques Signification

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

101

I.A.5

L'in

stitu

t nat

iona

l de

la s

tatis

tique

et l

e m

inis

tère

de

la s

anté

ont

mis

en

pla

ce d

es m

écan

ism

es d

e co

ordi

natio

n (p

ar e

x. u

n gr

oupe

de

trava

il su

r le

s st

atis

tique

s sa

nita

ires)

; ce

m

écan

ism

e pe

ut

être

m

ultis

ecto

riel

Oui e

n th

éorie

, mai

s ce

s m

écan

ism

es n

e so

nt p

as o

péra

tion-

nels

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

Coor

dina

tion,

pla

nific

atio

n et

pol

itiqu

es

I.A.1

La l

égis

latio

n du

pay

s es

t à

jour

et

offre

un

cadr

e d’

info

rmat

ion

sani

taire

cou

vran

t les

com

posa

ntes

spé

cifiq

ues

suiv

ante

s : r

egis

tres

de l

’éta

t ci

vil

; m

alad

ies

à dé

clar

atio

n ob

ligat

oire

; s

ecte

ur p

rivé

y co

mpr

is

l’ass

uran

ce

soci

ale

; co

nfide

ntia

lité

et

prin

cipe

s fo

ndam

enta

ux d

es s

tatis

tique

s of

ficie

lles.

Exis

tenc

e et

app

licat

ion

d’un

e lé

gisl

atio

n co

uvra

nt to

us le

s as

pect

s év

oqué

s

Exis

tenc

e et

app

licat

ion

d’un

e lé

gisl

atio

n co

uvra

nt c

erta

ins

aspe

cts

évoq

ués

Exis

tenc

e d’

une

légi

slat

ion,

mai

s el

le

n’es

t pas

app

liqué

e

I.A.2

Les

règl

es e

t les

pro

cédu

res

du p

ays

sont

à jo

ur p

our

appl

ique

r le

s pr

inci

pes

fond

amen

taux

des

sta

tistiq

ues

offic

ielle

s so

us f

orm

e de

bo

nnes

pr

atiq

ues

et

gara

ntir

que

les

serv

ices

na

tiona

ux

de

la

stat

istiq

ue r

este

nt in

tègr

es (

prof

essi

onna

lism

e, o

bjec

tivité

, tra

nspa

r-en

ce e

t res

pect

des

nor

mes

éth

ique

s da

ns la

col

lect

e, le

trai

tem

ent e

t la

diff

usio

n de

s do

nnée

s sa

nita

ires)

Oui,

les

règl

es e

t pr

océd

ures

exi

sten

t et

sont

bie

n ap

pliq

uées

. L’

inté

grité

des

ser

vice

s na

tiona

ux d

e la

st

atis

tique

est

éva

luée

guliè

rem

ent

Les

règl

es e

t pr

océd

ures

exi

sten

t et

sont

larg

emen

t di

ffusé

es, m

ais

il n’

y a

pas

d’év

alua

tion

régu

lière

de

l’int

égrit

é de

s se

rvic

es n

atio

naux

Les

règl

es e

t pr

océd

ures

exi

sten

t so

us fo

rme

écrit

e,

mai

s ne

son

t enc

ore

ni d

iffus

ées,

ni

appl

iqué

es

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Il y

a un

com

ité n

atio

nal r

epré

sent

atif

char

gé d

e la

coo

rdin

atio

n du

SI

S, e

t il f

onct

ionn

eOu

i, il

exis

te u

n co

mité

na

tiona

l fon

ctio

nnel

Il y

a un

com

ité n

atio

nal

du S

IS fo

nctio

nnel

, m

ais

il ne

dis

pose

pas

de

ress

ourc

es

I.A.4

Il y

a un

com

ité

natio

nal d

u SI

S, m

ais

il n’

est p

as fo

nctio

nnel

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eJu

stifi

catio

n/co

mm

enta

ires

Répo

nses

A.

Oui, e

ntiè

rem

ent

opér

atio

nnel

, se

réun

it ré

guliè

rem

ent e

t sat

isfa

it le

s cr

itère

s d'

une

bonn

e co

ordi

natio

n

Oui,

mai

s se

réun

it oc

casi

onne

llem

ent (

ad

hoc)

ou

le c

alen

drie

r es

t tro

p su

rcha

rgé

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Pas

de lé

gisl

atio

n

Non,

il n

’y a

pas

de

règl

es e

t pro

cédu

res

écrit

es p

our

l’int

égrit

é de

s se

rvic

es n

atio

naux

de

la s

tatis

tique

Il n’

y a

pas

de c

omité

na

tiona

l du

SIS

Non

I.A.3

Il y

a un

pla

n st

raté

giqu

e du

SIS

écr

it qu

i est

util

isé

pour

ren

forc

er

tout

es le

s pr

inci

pale

s so

urce

s de

don

nées

com

me

décr

ites

dans

le

Cadr

e RM

S (r

ecen

sem

ent,

donn

ées

d'ét

at c

ivil,

enq

uête

s da

ns l

es

mén

ages

, don

nées

indi

vidu

elle

s, d

onné

es s

ur le

s se

rvic

es, d

onné

es

sur l

es re

ssou

rces

) et i

l est

exé

cuté

au

nive

au n

atio

nal

Oui,

il ex

iste

un

plan

st

raté

giqu

e dé

taill

é du

SI

S et

il e

st e

xécu

Le p

lan

stra

tégi

que

déta

illé

exis

te, m

ais

il n’

y a

pas

de re

ssou

rces

po

ur l'

exéc

uter

Le p

lan

stra

tégi

que

exis

te, m

ais

il n’

est

pas

utili

sé o

u n’

insi

ste

pas

sur l

’inté

grat

ion

Il n’

y a

pas

de p

lan

stra

tégi

que

du S

IS

écrit

I.A.6

Il ex

iste

un

syst

ème

perm

anen

t de

cont

rôle

du

rend

emen

t du

SIS

et d

e se

s di

vers

sou

s-sy

stèm

esOu

i, il

exis

te e

t l’o

n s’

en

sert

régu

lière

men

tOu

i, m

ais

il es

t ra

rem

ent a

ppliq

uéOu

i, m

ais

il n’

est

jam

ais

utili

Non

I.A.7

La p

oliti

que

offic

ielle

est

d’o

rgan

iser

régu

lière

men

t des

réun

ions

dan

s le

s fo

rmat

ions

san

itaire

s et

les

bure

aux

de l’

adm

inis

tratio

n sa

nita

ire

(par

ex.

au n

ivea

u na

tiona

l, ré

gion

al/p

rovi

ncia

l, de

dis

trict

) po

ur

anal

yser

l’in

form

atio

n du

SIS

et a

gir s

ur la

bas

e de

cet

te in

form

atio

n

Oui,

la p

oliti

que

exis

te e

t es

t app

liqué

e La

pol

itiqu

e ex

iste

, m

ais

les

réun

ions

ne

sont

pas

régu

lière

s

La p

oliti

que

exis

te,

mai

s n’

est p

as

appl

iqué

e

Il n’

y a

pas

de

polit

ique

Page 102: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire102

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

I.B.5

Au n

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u in

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tiona

l (pa

r ex.

Rég

ions

/pro

vinc

es, d

istri

cts)

, il e

xist

e de

s po

stes

à p

lein

tem

ps d

’age

nts

char

gés

de l’

info

rmat

ion

sani

taire

, et

ces

pos

tes

sont

occ

upés

Moi

ns d

e 50

% d

es

bure

aux

de s

anté

au

nive

au in

frana

tiona

l so

nt o

ccup

és p

ar d

es

agen

ts à

ple

in te

mps

ch

argé

s de

l’in

form

a-tio

n sa

nita

ire

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

Ress

ourc

es h

umai

nes

et fi

nanc

emen

t du

SIS

I.B.1

Le m

inis

tère

de

la s

anté

dis

pose

de

suffi

sam

men

t de

com

péte

nces

da

ns l

es s

cien

ces

de l

’info

rmat

ion

sani

taire

pur

es (

épid

émio

logi

e,

dém

ogra

phie

, st

atis

tique

, te

chno

logi

es d

e l’i

nfor

mat

ion

et d

e la

co

mm

unic

atio

n (T

IC))

Très

sat

isfa

isan

tSa

tisfa

isan

tPa

rtiel

lem

ent

satis

fais

ant

I.B.2

L'in

stitu

t na

tiona

l de

la

stat

istiq

ue d

ispo

se d

e su

ffisa

mm

ent

de

com

péte

nces

en

stat

istiq

ues

(dém

ogra

phie

, sta

tistiq

ues,

tech

nolo

gies

de

l’in

form

atio

n et

de

la c

omm

unic

atio

n (T

IC))

Très

sat

isfa

isan

tSa

tisfa

isan

tPa

rtiel

lem

ent

satis

fais

ant1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eJu

stifi

catio

n/co

mm

enta

ires

Répo

nses

B.

Oui,

100%

des

bur

eaux

de

san

té o

nt é

té c

réés

au

nive

au in

frana

tiona

l et

sont

occ

upés

par

des

ag

ents

à p

lein

tem

ps

char

gés

de l’

info

rmat

ion

sani

taire

Oui,

plus

de

50%

des

bu

reau

x de

san

té a

u ni

veau

infra

natio

nal

sont

occ

upés

par

des

ag

ents

à p

lein

tem

ps

char

gés

de l’

info

rmat

ion

sani

taire

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Pas

satis

fais

ant

Pas

satis

fais

ant

Pas

de p

oste

I.B.3

Il ex

iste

une

cel

lule

adm

inis

trativ

e ce

ntra

le f

onct

ionn

elle

du

SIS

au

min

istè

re d

e la

san

té ;

elle

est

cha

rgée

de

conc

evoi

r, él

abor

er e

t ap

puye

r la

col

lect

e d’

info

rmat

ion

sani

taire

, la

ges

tion,

l’a

naly

se,

la

diffu

sion

et l

’util

isat

ion

des

donn

ées

en v

ue d

e la

pla

nific

atio

n et

de

la

gest

ion

La c

ellu

le c

entra

le d

u SI

S es

t fon

ctio

nnel

le e

t di

spos

e de

ress

ourc

es

suffi

sant

es

La c

ellu

le c

entra

le d

u SI

S es

t fon

ctio

nnel

le,

mai

s ne

dis

pose

pas

de

ress

ourc

es s

uffis

ante

s

La c

apac

ité fo

nctio

n-ne

lle d

e la

cel

lule

ce

ntra

le d

u SI

S es

t trè

s lim

itée

et

entre

pren

d pe

u d’

activ

ités

en v

ue d

u re

nfor

cem

ent d

u SI

S

Il n’

exis

te p

as d

e ce

llule

adm

inis

trativ

e ce

ntra

le fo

nctio

nnel

le

du S

IS a

u m

inis

tère

de

la s

anté

Il ex

iste

une

cel

lule

adm

inis

trativ

e ce

ntra

le f

onct

ionn

elle

du

SIS

char

gée

du re

cens

emen

t de

la p

opul

atio

n et

des

enq

uête

s au

près

des

m

énag

es d

ans

le b

ut d

e co

ncev

oir,

élab

orer

et

appu

yer

la c

olle

cte

d’in

form

atio

n sa

nita

ire, l

a ge

stio

n, l’

anal

yse,

la d

iffus

ion

et l’

utili

satio

n de

s do

nnée

s en

vue

de

la p

lani

ficat

ion

et d

e la

ges

tion

La c

ellu

le c

entra

le e

st

fonc

tionn

elle

et d

ispo

se

de re

ssou

rces

su

ffisa

ntes

La c

ellu

le c

entra

le e

st

fonc

tionn

elle

, mai

s ne

di

spos

e pa

s de

re

ssou

rces

suf

fisan

tes

I.B.4

La c

apac

ité fo

nctio

n-ne

lle d

e la

cel

lule

ce

ntra

le e

st tr

ès

limité

e et

ent

repr

end

peu

d’ac

tivité

s en

vue

du

renf

orce

men

t du

SIS

Il n’

exis

te p

as d

e ce

llule

adm

inis

trativ

e ce

ntra

le fo

nctio

nnel

le

au m

inis

tère

de

la

sant

é

I.A.6

Des

activ

ités

de r

enfo

rcem

ent

des

capa

cité

s on

t ét

é or

gani

sées

au

cour

s de

s an

nées

pas

sées

pou

r le

pers

onne

l du

SIS

du m

inis

tère

de

la

sant

é (s

tatis

tique

s,

mai

nten

ance

de

s lo

gici

els

et

des

base

s de

do

nnée

s et

/ou

épid

émio

logi

e) a

ux n

ivea

ux n

atio

nal e

t inf

rana

tiona

l

Le re

nfor

cem

ent d

es

capa

cité

s fa

it pa

rtie

d’un

pl

an à

long

term

e de

velo

ppem

ent d

es

ress

ourc

es h

umai

nes

à l’i

nitia

tive

du g

ouve

rne-

men

t

Renf

orce

men

t des

ca

paci

tés

satis

fais

ant,

mai

s la

rgem

ent

dépe

ndan

t de

l’app

ui e

t de

s ap

ports

ext

erne

s (p

ar e

x. b

aille

urs

de

fond

s)

Renf

orce

men

t des

ca

paci

tés

limité

Non

Page 103: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

103

I.B.1

0Ta

ux

de

roul

emen

t ac

cept

able

du

pe

rson

nel

d’in

form

atio

n sa

nita

ire a

u ni

veau

nat

iona

l dan

s le

s se

rvic

es d

u m

inis

tère

de

la

sant

é

Le ta

ux d

e ro

ulem

ent

est c

ritiq

ue

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

Ress

ourc

es h

umai

nes

et fi

nanc

emen

t du

SIS

I.B.7

Des

activ

ités

de re

nfor

cem

ent d

es c

apac

ités

ont é

té o

rgan

isée

s au

co

urs

des

anné

es p

assé

es p

our

le p

erso

nnel

de

l'ins

titut

nat

iona

l de

la

stat

istiq

ue (

stat

istiq

ues,

mai

nten

ance

des

log

icie

ls e

t de

s ba

ses

de d

onné

es) a

ux n

ivea

ux n

atio

nal e

t inf

rana

tiona

l

Le re

nfor

cem

ent d

es

capa

cité

s fa

it pa

rtie

d’un

pla

n à

long

term

e de

dév

elop

pe-

men

t des

ress

ourc

es

hum

aine

s à

l’ini

tiativ

e du

go

uver

nem

ent

Renf

orce

men

t des

ca

paci

tés

satis

fais

ant,

mai

s la

rgem

ent

dépe

ndan

t de

l’app

ui e

t de

s ap

ports

ext

erne

s (p

ar e

x. b

aille

urs

de

fond

s)

Renf

orce

men

t des

ca

paci

tés

limité

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eJu

stifi

catio

n/co

mm

enta

ires

Répo

nses

B.

Taux

de

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emen

t fai

ble,

m

ais

ne p

ose

pas

de

prob

lèm

es

Taux

de

roul

emen

t m

oyen

, mai

s gé

rabl

e

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Non

Le ta

ux d

e ro

ulem

ent

est

bien

tro

p él

evé

pour

être

acc

epta

ble

I.B.8

Des

activ

ités

de r

enfo

rcem

ent

des

capa

cité

s du

SIS

ont

été

or

gani

sées

au

cour

s de

s an

nées

pas

sées

pou

r le

per

sonn

el d

es

stru

ctur

es s

anita

ires

(sur

la c

olle

cte,

l’au

toév

alua

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l’an

alys

e et

la

pré

sent

atio

n de

s do

nnée

s)

Le re

nfor

cem

ent d

es

capa

cité

s fa

it pa

rtie

d’un

pl

an à

long

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e de

velo

ppem

ent d

es

ress

ourc

es h

umai

nes

à l’i

nitia

tive

du g

ouve

rnem

ent

Renf

orce

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t des

ca

paci

tés

satis

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ant,

mai

s la

rgem

ent

dépe

ndan

t de

l’app

ui e

t de

s ap

ports

ext

erne

s (p

ar e

x. b

aille

urs

de

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s)

Renf

orce

men

t des

ca

paci

tés

limité

Non

Disp

onib

ilité

de

l’ass

ista

nce

au p

erso

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de

la s

anté

et d

u SI

S en

vu

e de

la c

once

ptio

n, d

e la

ges

tion

et d

u so

utie

n de

s ba

ses

de

donn

ées

et d

es lo

gici

els

aux

nive

aux

natio

nal e

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rana

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l

Exce

llent

Satis

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ant,

géné

rale

-m

ent d

ispo

nibl

e po

ur

une

assi

stan

ce e

t un

appu

i

I.B.9

Lim

ité, n

e sa

tisfa

it pa

s le

s be

soin

s du

pe

rson

nel e

n te

rmes

d’

assi

stan

ce e

t de

sout

ien

Pas

disp

onib

le

I.B.1

1Ta

ux

de

roul

emen

t ac

cept

able

du

pe

rson

nel

d’in

form

atio

n sa

nita

ire a

u ni

veau

nat

iona

l dan

s l'i

nstit

ut n

atio

nal d

e la

sta

tistiq

ueLe

taux

de

roul

emen

t es

t crit

ique

Taux

de

roul

emen

t fai

ble,

m

ais

ne p

ose

pas

de

prob

lèm

es

Taux

de

roul

emen

t m

oyen

, mai

s pr

atiq

ueLe

taux

de

roul

emen

t es

t bi

en

trop

élev

é po

ur ê

tre a

ccep

tabl

e

I.B.1

2Le

bud

get n

atio

nal p

révo

it de

s lig

nes

budg

étai

res

spéc

ifiqu

es p

our

les

dive

rs s

ecte

urs

afin

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aran

tir u

n fin

ance

men

t suf

fisan

t pou

r un

SI

S pe

rform

ant

pour

to

utes

le

s so

urce

s de

do

nnée

s im

porta

ntes

du

min

istè

re d

e la

san

Les

ligne

s bu

dgét

aire

s du

SIS

nat

iona

l son

t lim

itées

, et n

e pe

rmet

tent

pas

un

fonc

tionn

emen

t sa

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isan

t de

tout

es

les

impo

rtant

es

sour

ces

de d

onné

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Oui,

le b

udge

t nat

iona

l pr

évoi

t des

lign

es

budg

étai

res

spéc

ifiqu

es p

our

les

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rs s

ecte

urs

afin

de

gara

ntir

un fi

nanc

emen

t su

ffisa

nt p

our u

n SI

S pe

rform

ant p

our t

oute

s le

s im

porta

ntes

sou

rces

de

donn

ées

Les

ligne

s bu

dgét

aire

s du

SIS

nat

iona

l son

t lim

itées

, mai

s pe

rmet

tent

un

fonc

tionn

emen

t sa

tisfa

isan

t de

tout

es

les

impo

rtant

es s

ourc

es

de d

onné

es

Il n’

y a

pas

de li

gnes

bu

dgét

aire

s du

SI

S na

tiona

l et l

e fon

ctio

n-ne

men

t de

tou

tes

les

impo

rtant

es

sour

ces

n’es

t pas

sat

isfa

isan

t

Page 104: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire104

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

Ress

ourc

es h

umai

nes

et fi

nanc

emen

t du

SIS

I.B.1

3Le

bud

get n

atio

nal p

révo

it de

s lig

nes

budg

étai

res

spéc

ifiqu

es p

our

les

dive

rs s

ecte

urs

afin

de g

aran

tir u

n fin

ance

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t suf

fisan

t pou

r le

fonc

tionn

emen

t du

syst

ème

stat

istiq

ue p

our t

oute

s le

s so

urce

s de

don

nées

impo

rtant

es d

e l'i

nstit

ut n

atio

nal d

e la

sta

tistiq

ue

Oui,

le b

udge

t nat

iona

l pr

évoi

t des

lign

es

budg

étai

res

spéc

ifiqu

es p

our

les

dive

rs s

ecte

urs

afin

de

gara

ntir

un fi

nanc

emen

t su

ffisa

nt d

u sy

stèm

e st

atis

tique

Les

ligne

s bu

dgét

aire

s du

sys

tèm

e st

atis

tique

na

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l son

t lim

itées

, m

ais

perm

ette

nt u

n fo

nctio

nnem

ent

satis

fais

ant

Les

ligne

s bu

dgét

aire

s du

sys

tèm

e st

atis

tique

na

tiona

l son

t lim

itées

, et

ne

perm

ette

nt p

as

un fo

nctio

nnem

ent

satis

fais

ant d

e to

utes

le

s im

porta

ntes

so

urce

s de

don

nées

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eJu

stifi

catio

n/co

mm

enta

ires

Répo

nses

B.

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Il n’

y a

pas

de li

gnes

bu

dgét

aire

s du

sy

stèm

e st

atis

tique

na

tiona

l et l

e fo

nctio

nnem

ent d

e to

utes

les

impo

rtant

es s

ourc

es

n’es

t pas

sat

isfa

isan

t

I.C.2

Les

form

ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et f

ourn

iture

s né

cess

aire

s po

ur

enre

gist

rer l

’info

rmat

ion

sur l

es s

tatis

tique

s dé

mog

raph

ique

s so

nt

disp

onib

les

Il y

a de

s ru

ptur

es

épis

odiq

ues

du s

tock

de

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ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et fo

urni

ture

s,

et c

ela

affe

cte

la

capa

cité

d’e

nreg

is-

trem

ent d

e l’i

nfor

ma-

tion

requ

ise

Oui,

les

form

ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et fo

urni

ture

s so

nt

touj

ours

dis

poni

bles

pou

r en

regi

stre

r l’in

form

atio

n né

cess

aire

Il y

a de

s ru

ptur

es

épis

odiq

ues

du s

tock

de

form

ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et fo

urni

ture

s,

mai

s ce

la n

’affe

cte

pas

la c

apac

ité d

’enr

egis

-tre

men

t de

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orm

atio

n re

quis

e

Il y

a un

man

que

tota

l de

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ulai

res,

pa

pier

, cra

yons

et

four

nitu

res

pour

l'e

nreg

istre

men

t de

l'inf

orm

atio

n re

quis

e

Répo

nse d

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pers

onne

inter

rogé

e

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

Infra

stru

ctur

es d

u SI

S

I.C.1

Les

form

ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et f

ourn

iture

s né

cess

aire

s po

ur

enre

gist

rer l

es d

onné

es d

es s

ervi

ces

sani

taire

s et

sur

les

mal

adie

s so

nt d

ispo

nibl

es

Oui,

les

form

ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et fo

urni

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s so

nt

touj

ours

dis

poni

bles

pou

r en

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stre

r l’in

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atio

n né

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aire

Il y

a de

s ru

ptur

es

épis

odiq

ues

du s

tock

de

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ulai

res,

pap

ier,

cray

ons

et fo

urni

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s,

mai

s ce

la n

’affe

cte

pas

la c

apac

ité d

’enr

egis

-tre

men

t de

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orm

a-tio

n re

quis

e

Il y

a de

s ru

ptur

es

épis

odiq

ues

du s

tock

de

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res,

pap

ier,

cray

ons

et fo

urni

ture

s,

et c

ela

affe

cte

la

capa

cité

d’e

nreg

is-

trem

ent d

e l’i

nfor

ma-

tion

requ

ise1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eJu

stifi

catio

n/co

mm

enta

ires

Répo

nses

C.

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Il y

a un

man

que

tota

l de

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ulai

res,

pa

pier

, cra

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et

four

nitu

res

pour

l'e

nreg

istre

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t de

l'inf

orm

atio

n re

quis

e

I.C.3

Les

ordi

nate

urs

sont

dis

poni

bles

dan

s le

s pr

inci

paux

bur

eaux

aux

ni

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x na

tiona

l, ré

gion

al/p

rovi

ncia

l, et

de

dist

rict

pour

une

co

mpi

latio

n ra

pide

de

donn

ées

infra

natio

nale

s

Oui,

quel

ques

pr

inci

paux

bur

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au

nive

au ré

gion

al/p

rovi

n-ci

al e

t la

maj

orité

de

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aux

au n

ivea

u na

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l dis

pose

nt

d’or

dina

teur

s po

ur le

SI

S

Oui,

tous

les

prin

cipa

ux

bure

aux

aux

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aux

de

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rict,

régi

onal

/pro

vinc

ial

et n

atio

nal d

ispo

sent

d’

ordi

nate

urs

pour

le S

IS

Oui,

quel

ques

pr

inci

paux

bur

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de

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rict,

et p

resq

ue to

us

les

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aux

aux

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aux

natio

nal e

t rég

iona

l/pro

-vi

ncia

l dis

pose

nt

d’or

dina

teur

s po

ur le

SI

S

Non,

seu

ls le

s pr

inci

paux

bur

eaux

na

tiona

ux d

ispo

sent

d’

ordi

nate

urs

pour

le

SIS

Page 105: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

105

I.C.5

Les

serv

ices

de

mai

nten

ance

des

équ

ipem

ents

des

tec

hnol

ogie

s de

l’in

form

atio

n et

des

com

mun

icat

ions

(TIC

) son

t dis

poni

bles

au

nive

au n

atio

nal,

régi

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/pro

vinc

ial e

t de

dist

rict

Les

serv

ices

de

mai

nten

ance

des

éq

uipe

men

ts d

es T

IC

sont

dis

poni

bles

au

nive

au n

atio

nal,

mai

s m

oins

de

50%

aux

ni

veau

x rég

iona

l/pro

vin-

cial

et d

e di

stric

t

Oui,

les

serv

ices

de

mai

nten

ance

des

éq

uipe

men

ts d

es T

IC s

ont

disp

onib

les

au n

ivea

u na

tiona

l, ré

gion

al/p

rovi

ncia

l et

de

dist

rict

Les

serv

ices

de

mai

nten

ance

des

éq

uipe

men

ts d

es T

IC

sont

dis

poni

bles

au

nive

au n

atio

nal,

plus

de

50%

au

nive

au

régi

onal

/pro

vinc

ial,

mai

s m

oins

de

50%

au

nive

au d

u di

stric

t

Les

serv

ices

de

mai

nten

ance

des

éq

uipe

men

ts d

es T

IC

ne s

ont d

ispo

nibl

es

qu’a

u ni

veau

nat

iona

l

Répo

nse d

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pers

onne

inter

rogé

e

Just

ifica

tion/

com

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taire

sRu

briq

ues

Infra

stru

ctur

es d

u SI

S

I.C.4

Le

s in

frast

ruct

ures

de

base

des

tec

hnol

ogie

s de

l’in

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n et

de

s co

mm

unic

atio

ns (

TIC

(télé

phon

es, a

ccès

Inte

rnet

, cou

rrie

ls))

ex

iste

nt a

ux n

ivea

ux n

atio

nal,

régi

onal

/ pro

vinc

ial e

t de

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rict

Les

infra

stru

ctur

es d

e ba

se

des

TIC

exis

tent

aux

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eaux

na

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ux, r

égio

nal/p

rovi

n-ci

al e

t de

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Les

infra

stru

ctur

es d

e ba

se d

es T

IC e

xist

ent

au n

ivea

u na

tiona

l, pl

us

de 5

0% a

u ni

veau

gion

al/p

rovi

ncia

l, m

ais

moi

ns d

e 50

% a

u ni

veau

du

dist

rict

Les

infra

stru

ctur

es d

e ba

se d

es T

IC e

xist

ent

au n

ivea

u na

tiona

l, m

ais

moi

ns d

e 50

%

aux

nive

aux

régi

onal

/pro

vinc

ial e

t de

dis

trict

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eJu

stifi

catio

n/co

mm

enta

ires

Répo

nses

C.

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Les

infra

stru

ctur

es

de b

ase

des

TIC

n’ex

iste

nt q

u’au

ni

veau

nat

iona

l

Page 106: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire106

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répu

bliq

ue A

lgér

ienn

e Dé

moc

ratiq

ue e

t Pop

ulai

re

Min

istè

re d

e la

San

té, d

e la

Pop

ulat

ion

et d

e la

Réf

orm

e Ho

spita

lière

Inst

itut N

atio

nal d

e Sa

nté

Publ

ique

Eval

uatio

n du

Sys

tèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ire

Ques

tionn

aire

2 : I

ndic

ateu

rs

Code

Form

atio

n de

bas

e

Fonc

tion

Inst

itutio

n

Date

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

Page 107: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

107

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

II. In

dica

teur

s

II.A.

l'éch

elon

natio

nal e

t in

frana

tiona

l, on

a d

éfini

des

indi

cate

urs

min

imum

s de

ba

se

du

pays

, qu

i co

uvre

nt

tous

les

ty

pes

d'in

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teur

s de

san

té (

les d

éter

min

ants

de

sant

é, l

es d

onné

es

relat

ives

aux

inve

stiss

emen

ts,

au p

roce

ssus

et

aux

résu

ltats

du

syst

ème

de s

anté

, et à

l'ét

at s

anita

ire)

Les

indi

cate

urs

min

imum

s de

bas

e so

nt d

éfini

s à

l'éch

elon

nat

iona

l et

infra

natio

nal,

mai

s ne

co

uvre

nt p

as to

us le

s ty

pes

d'in

dica

teur

s

Les

disc

ussi

ons

se

pour

suiv

ent p

our p

arve

nir

à dé

finir

les

indi

cate

urs

esse

ntie

ls

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Ni le

pro

cess

us

d'id

entifi

catio

n de

s in

dica

teur

s m

inim

ums,

ni

l'en

sem

ble

de

donn

ées

ne s

ont d

éfini

s

Oui,

les

indi

cate

urs

min

imum

s de

bas

e so

nt

défin

is à

l'éc

helo

n na

tiona

l et

infra

natio

nal,

et

couv

rent

tous

les

type

s d'

indi

cate

urs

Très

sat

isfa

isan

t

3

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Il ex

iste

une

stra

tégi

e of

ficiel

le cla

ire e

t exp

licite

visa

nt à

mes

urer

ch

acun

de

s in

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teur

s de

s Ob

jectif

s du

m

illéna

ire

pour

le

déve

lopp

emen

t (OM

D) fi

xés

par l

e pa

ys c

once

rné

dans

le d

omain

e de

la s

anté

Ce n

e so

nt p

as to

us le

s in

dica

teur

s de

s OM

D en

m

atiè

re d

e sa

nté,

mai

s 50

% d

'ent

re e

ux q

ui fo

nt

parti

e de

la p

anop

lie

d'in

dica

teur

s m

inim

ums

de b

ase

Entre

un

pour

cent

au

moi

ns e

t 50

% a

u pl

us

des

indi

cate

urs

perti

nent

s de

s OM

D fo

nt p

artie

de

la

pano

plie

d'in

dica

teur

s m

inim

ums

de b

ase

Aucu

n de

s in

dica

teur

s de

s OM

D en

mat

ière

de

sant

é ne

fait

parti

e de

la

pano

plie

d'in

dica

teur

s m

inim

ums

de b

ase

Oui,

tous

les

indi

cate

urs

perti

nent

s de

s OM

D en

m

atiè

re d

e sa

nté

font

pa

rtie

de la

pan

oplie

d'

indi

cate

urs

min

imum

s de

bas

e

II.A.

2

Les

indi

cate

urs

de b

ase

sont

défi

nis

en p

arte

naria

t ave

c to

utes

les

prin

cipale

s pa

rties

pre

nant

es, p

ar e

xem

ple

le m

inist

ère

de la

San

té,

l'ins

titut

nat

iona

l de

la

stat

istiq

ue (

INS)

, d'

autre

s m

inist

ères

co

ncer

nés,

les

orga

nisa

tions

pro

fess

ionn

elles

, les

spé

cialis

tes

au

nive

au in

frana

tiona

l, les

prin

cipau

x pr

ogra

mm

es c

entré

s su

r les

pr

incip

ales

mala

dies

Les

min

istè

res

conc

erné

s et

l'IN

S so

nt im

pliq

ués,

m

ais

une

plus

gra

nde

cont

ribut

ion

exté

rieur

e se

rait

souh

aita

ble

Parte

naria

t au

nive

au

infra

natio

nal a

vec

l'ens

embl

e du

min

istè

re d

e la

San

té, l

es p

rogr

amm

es

de lu

tte c

ontre

cer

tain

es

mal

adie

s, m

ais

pas

d'im

plic

atio

n de

l'IN

S

Non,

cha

que

prog

ram

me

dem

ande

de

s do

nnée

s se

lon

ses

prop

res

critè

res

Oui,

tout

es le

s pa

rties

pr

enan

tes

conc

erné

es o

nt

colla

boré

au

choi

x de

s in

dica

teur

s de

bas

e

II.A.

3

Les

indi

cate

urs

de

base

on

t ét

é ch

oisis

se

lon

des

critè

res

claire

men

t dé

finis,

no

tam

men

t leu

r ut

ilité,

leu

r pe

rtine

nce

scien

tifiqu

e, l

a fia

bilit

é de

leu

r re

prés

enta

tivité

, leu

r ca

ract

ère

prat

ique

et l

eur a

cces

sibilit

é

La p

lupa

rt de

s cr

itère

s,

mai

s pa

s to

us, s

ont c

lairs

et

exp

licite

s

Il ex

iste

des

dire

ctiv

es,

mai

s el

les

ne c

ompr

enne

nt

pas

des

critè

res

expl

icite

s po

ur le

cho

ix d

es

indi

cate

urs

Il n'

exis

te p

as d

e di

rect

ives

ou

de c

ritèr

es

expl

icite

s po

ur le

cho

ix

des

indi

cate

urs

Oui,

les

indi

cate

urs

de

base

ont

été

cho

isis

sel

on

des

critè

res

clai

rem

ent

défin

is, n

otam

men

t leu

r ut

ilité

, leu

r per

tinen

ce

scie

ntifi

que,

la fi

abili

té d

e le

ur re

prés

enta

tivité

, leu

r ca

ract

ère

prat

ique

et l

eur

acce

ssib

ilité

II.A.

4

La d

iffus

ion

de l'

info

rmat

ion

sur l

e no

mbr

e m

inim

um d

'indi

cate

urs

de b

ase

se fa

it pé

riodi

quem

ent

La d

iffus

ion

de l'

info

rma-

tion

se fa

it de

man

ière

irr

égul

ière

et i

ncom

plèt

e

La d

iffus

ion

de

l'inf

orm

atio

n se

fait

de

man

ière

très

lim

itée

Diffu

sion

de

l'inf

orm

atio

n de

man

ière

pér

iodi

que

(par

exe

mpl

e ch

aque

an

née,

cha

que

sem

estre

)

II.A.

5

Page 108: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire108

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répu

bliq

ue A

lgér

ienn

e Dé

moc

ratiq

ue e

t Pop

ulai

re

Min

istè

re d

e la

San

té, d

e la

Pop

ulat

ion

et d

e la

Réf

orm

e Ho

spita

lière

Inst

itut N

atio

nal d

e Sa

nté

Publ

ique

Eval

uatio

n du

Sys

tèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ire

Ques

tionn

aire

3 : S

ourc

es d

e do

nnée

s

Code

Form

atio

n de

bas

e

Fonc

tion

Inst

itutio

n

Date

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

Page 109: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

109

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

III. S

OURC

ES D

ES D

ONNÉ

ES

A. L

e Re

cens

emen

t

III.A

.11.

1 De

s qu

estio

ns p

orta

nt s

ur la

mor

talit

é on

t été

intro

duite

s da

ns

le de

rnier

rece

nsem

ent

- Qu

estio

ns p

erm

etta

nt d

'avo

ir un

e es

timat

ion

de l

a m

orta

lité

infa

ntile

: en

fant

s né

s viv

ants

et e

nfan

ts e

ncor

e en

vie

- Qu

estio

ns p

erm

etta

nt d

'avo

ir un

e es

timat

ion

de l

a m

orta

lité

adul

te: d

écès

sur

venu

s da

ns la

fam

ille a

u co

urs

des

12 (

ou 2

4)

dern

iers

moi

s, e

n pr

enan

t en

com

pte

le se

xe d

e la

pers

onne

cédé

e et

son

âge

au

mom

ent d

u dé

cès

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

te q

uest

ion

si l'e

nreg

istre

men

t à l'

état

civi

l co

uvre

au

moi

ns 9

0 %

des

déc

ès

Ques

tions

per

met

tant

d'

avoi

r une

est

imat

ion

de

la m

orta

lité

infa

ntile

et d

es

ques

tions

per

met

tant

d'

avoi

r une

est

imat

ion

de

la m

orta

lité

adul

te

Uniq

uem

ent d

es q

uest

ions

pe

rmet

tant

d'a

voir

une

estim

atio

n de

la m

orta

lité

infa

ntile

, ou

des

ques

tions

pe

rmet

tant

d'a

voir

une

estim

atio

n de

la m

orta

lité

adul

te

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Pas

de q

uest

ions

sur

la

mor

talit

éQu

estio

ns p

erm

etta

nt

d'av

oir u

ne e

stim

atio

n de

la m

orta

lité

infa

ntile

et

que

stio

ns p

erm

etta

nt

d'av

oir u

ne e

stim

atio

n de

la m

orta

lité

adul

te,

coup

lées

ave

c de

s qu

estio

ns c

once

rnan

t le

s dé

cès

des

suite

s d'

une

lési

on e

t ceu

x lié

s à

la g

ross

esse

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Cont

enu

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

III.A

.22.

1 Le

pay

s di

spos

e de

cap

acité

s sa

tisfa

isant

es p

our 1

) réa

liser

la

colle

cte

des

donn

ées

; 2)

traite

r les

don

nées

; et

3)

analy

ser

les

donn

ées

Capa

cité

s sa

tisfa

isan

tes

pour

deu

x de

s tro

isCa

paci

tés

satis

fais

ante

s po

ur l'

un d

es tr

ois

Capa

cité

s sa

tisfa

isan

tes

pour

auc

un d

es tr

ois

Capa

cité

s sa

tisfa

isan

tes

pour

les

trois

Capa

cité

&pr

atiq

ues

2.2

Un re

cens

emen

t a é

té ré

alisé

au

cour

s de

s di

x de

rnièr

es a

nnée

sNo

nOu

i

2.3

Une

enqu

ête

post

cen

sitair

e (E

P) a

été

ach

evée

et u

n ra

ppor

t éc

rit e

st d

ispon

ible

et la

rgem

ent d

iffus

éUn

e EP

a é

té m

ise

en

chan

tier e

t un

rapp

ort é

crit

est d

ispo

nibl

e

Une

EP a

été

mis

e en

ch

antie

r, m

ais

aucu

n ra

ppor

t n'e

st d

ispo

nibl

e

Aucu

ne E

P n'

a ét

é m

ise

en c

hant

ier

Une

EP a

été

mis

e en

ch

antie

r et l

e ra

ppor

t est

di

spon

ible

sur

la to

ile

2.4

L'év

aluat

ion

de l

'exh

aust

ivité

des

don

nées

sur

la

mor

talit

é ad

ulte

, tiré

es d

u de

rnier

rece

nsem

ent,

a ét

é m

ise e

n ch

antie

r, et

les

résu

ltant

s on

t ét

é pu

bliés

en

mêm

e te

mps

que

les

sta

tistiq

ues

publ

iées

sur l

a m

orta

lité

Rem

arqu

e :

Saut

er c

ette

que

stio

n si

le de

rnier

rec

ense

men

t ne

co

mpo

rtait

pas

des

ques

tions

sur

la

mor

talit

é ad

ulte

(dé

cès

surv

enus

dan

s les

fam

illes)

L'év

alua

tion

a ét

é m

ise

en

chan

tier,

mai

s le

s ré

sulta

ts

n'on

t pas

été

pub

liés

Pas

d'év

alua

tion

L'év

alua

tion

a ét

é m

ise

en c

hant

ier,

et le

s ré

sulta

ts o

nt é

té p

ublié

s,

en m

ême

tem

ps q

ue le

s st

atis

tique

s pu

blié

es s

ur

la m

orta

lité

III.A

.33.

1 Le

rap

port

cont

enan

t des

sta

tistiq

ues

desc

riptiv

es (

âge,

sex

e,

résid

ence

pa

r un

ité

adm

inist

rativ

e la

plus

pe

tite)

tir

ées

du

rece

nsem

ent l

e pl

us ré

cent

est

disp

onib

les e

t lar

gem

ent d

iffus

é (e

n lig

ne o

u su

r sup

port

papi

er)

Tout

es le

s rég

ions

/pro

vinc

-es

(bur

eaux

de

sant

é de

s un

ités

adm

inis

trativ

es

inte

rméd

iaire

s) y

acc

èden

t di

rect

emen

t

Les

resp

onsa

bles

de

sant

é au

niv

eau

cent

ral/n

atio

nal

y ac

cède

nt d

irect

emen

t

Tous

les

dist

ricts

(les

bu

reau

x de

san

té d

es

plus

pet

ites

unité

s ad

min

istra

tives

) y

accè

dent

dire

ctem

ent

Diffu

sion

Non

disp

onib

le

Page 110: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire110

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

A. L

e Re

cens

emen

t

III.A

.33.

2 Dé

calag

e te

mpo

rel

entre

le

mom

ent

les

stat

istiq

ues

desc

riptiv

es

(âge

, se

xe,

lieu

de

résid

ence

pa

r zo

ne

de

déno

mbr

emen

t) on

t été

pub

liées

pou

r la

dern

ière

fois

et le

mom

ent

où c

es d

onné

es o

nt é

té c

ollec

tées

Deux

ou

trois

ans

Quat

re o

u ci

nq a

ns

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Aucu

n ré

sulta

t de

rece

nsem

ent n

'est

di

spon

ible

dep

uis

dix

ans

au m

oins

Moi

ns d

e de

ux a

ns

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Diffu

sion

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

3.3

Des

proj

ectio

ns d

émog

raph

ique

s pr

écise

s pa

r âge

et p

ar s

exe

sont

disp

onib

les p

our

de p

etite

s zo

nes

(dist

ricts

ou

en d

esso

us)

pour

l'an

née

en c

ours

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

te q

uest

ion

si au

cun

résu

ltat d

e rec

ense

men

t n'

est d

ispon

ible

depu

is pl

us d

e di

x an

s

Des

proj

ectio

ns p

réci

ses

sont

dis

poni

bles

pou

r les

di

stric

ts

Des

proj

ectio

ns p

réci

ses

sont

dis

poni

bles

pou

r les

gion

s/pr

ovin

ces

Soit

il n'

exis

te p

as d

e pr

ojec

tions

pou

r l'a

nnée

en

cou

rs, s

oit l

es

proj

ectio

ns n

e so

nt p

as

jugé

es p

réci

ses

Des

proj

ectio

ns p

réci

ses

sont

dis

poni

bles

pou

r la

plus

pet

ite u

nité

ad

min

istra

tive

3.4

Les

micr

o do

nnée

s so

nt m

ises

à la

disp

ositi

on d

u pu

blic.

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

te q

uest

ion

si au

cun

résu

ltat d

e rec

ense

men

t n'

est d

ispon

ible

depu

is pl

us d

e di

x an

s

Disp

onib

les

sur d

eman

de,

avec

rest

rictio

nNo

n di

spon

ible

Disp

onib

les

sur

dem

ande

III.A

.44.

1 Le

s pr

ojec

tions

dém

ogra

phiq

ues

perm

ette

nt d

e fa

ire u

ne

estim

atio

n du

dom

aine

d'ap

plica

tion

et u

ne p

lanifi

catio

n de

s se

rvice

s de

san

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

te q

uest

ion

si au

cun

résu

ltat d

e rec

ense

men

t n'

est d

ispon

ible

depu

is pl

us d

e di

x an

s

Proj

ectio

ns u

tilis

ées

par l

a pl

upar

t des

dis

trict

sPr

ojec

tions

util

isée

s à

l'éch

elon

nat

iona

l et/o

u ré

gion

al/p

rovi

ncia

l

Les

proj

ectio

ns

dém

ogra

phiq

ues

ne

sont

pas

util

isée

s po

ur

la s

anté

Proj

ectio

ns u

tilis

ées

par

la p

lupa

rt de

s so

us-d

is-

trict

sIn

tégr

atio

n &

util

isat

ion

Page 111: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

111

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

B. L

es s

tatis

tique

s de

l'ét

at c

ivil

III.B

.1Co

nten

u1.

1 Il

exist

e da

ns to

ut le

pay

s un

e so

urce

fiab

le de

sta

tistiq

ues

de

l'éta

t civi

l : e

nreg

istre

men

t à l'

état

civi

l, Sy

stèm

e d'

enre

gist

rem

ent

de

l'éch

antil

lon

SEE)

;

ou

Syst

èmes

de

su

rveil

lance

de

la

dém

ogra

phie

(SSD

)

Syst

ème

d'en

regi

stre

men

t de

l'éc

hant

illon

Syst

èmes

de

surv

eilla

nce

de la

dém

ogra

phie

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Il n'

exis

te p

as d

e so

urce

fia

ble

Enre

gist

rem

ent à

l'ét

at

civi

l dan

s to

ut le

pay

s

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

1.2

Taux

de

co

uver

ture

de

s dé

cès

enre

gist

rés

grâc

e à

l'enr

egist

rem

ent à

l'ét

at c

ivil

70 %

- 89

%50

% -

69 %

< 50

%90

% o

u pl

us

1.3

Les

rens

eigne

men

ts s

ur la

cau

se d

u dé

cès

sont

enr

egist

rés

sur

une

fiche

d'e

nreg

istre

men

t des

déc

ès, s

i l'e

nreg

istre

men

t à l'

état

civ

il es

t en

plac

e

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

élém

ent s

i l'en

regi

stre

men

t à l'

état

civil

n'e

st

pas

en p

lace

70 %

- 89

%

50 %

- 69

%<

50 %

90 %

ou

plus

III.B

.2Ca

paci

& p

ratiq

ues

2.1

Le p

ays

disp

ose

de c

apac

ités

suffi

sant

es p

our

: 1)

réali

ser

la co

llect

e de

don

nées

; 2)

tra

iter

les d

onné

es ;

et 3

) an

alyse

r les

do

nnée

s tir

ées

de l'

enre

gist

rem

ent à

l'ét

at c

ivil,

du S

EE o

u de

s SS

D

Capa

cité

s ap

prop

riées

po

ur d

eux

sur t

rois

Capa

cité

s ap

prop

riées

po

ur u

n su

r tro

isCa

paci

tés

appr

oprié

es

pour

auc

un d

es tr

ois

Capa

cité

s ap

prop

riées

po

ur to

us le

s tro

is

2.2

Fréq

uenc

e de l

'éva

luat

ion

de l'

exha

ustiv

ité d

e l'e

nreg

istre

men

t à

l'éta

t civi

lCh

aque

fois

que

le

rece

nsem

ent e

st o

rgan

isé

Moi

ns p

ério

diqu

emen

t que

le

rece

nsem

ent

Soit

jam

ais

orga

nisé

, so

it je

ne

sais

pas

Chaq

ue fo

is q

ue le

re

cens

emen

t est

or

gani

sé (t

ous

les

cinq

à

dix

ans)

2.3

La c

lassifi

catio

n st

atist

ique

inte

rnat

iona

le de

s m

aladi

es e

t des

pr

oblèm

es d

e sa

nté

conn

exes

(CIM

) est

act

uelle

men

t util

isée

pour

en

regi

stre

r les

cau

ses

des

décè

s

Rem

arqu

e : D

onne

r la

note

0 s

'il n

'exis

te p

as d

e do

nnée

s su

r les

ca

uses

des

déc

ès

List

e de

tabu

latio

n CI

M-1

0CI

M-9

Aucu

ne C

IM n

'est

ut

ilisé

e, o

u CI

M-8

, ou

vers

ion

anté

rieur

e, o

u pa

s de

don

nées

sur

les

caus

es d

es d

écès

CIM

-10

déta

illée

2.4

Prop

ortio

n de

tous

les d

écès

attri

bués

à de

s cau

ses m

al dé

finies

(%

) (co

des

supe

rflus

)

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

élém

ent s

'il n

'exis

te a

ucun

enr

egist

rem

ent

sur l

es c

ause

s de

s dé

cès

5%

- 10

%11

% -

19%

20%

ou

plus

< 5%

2.5

Les s

tatis

tique

s pub

liées

à pa

rtir d

e l'e

nreg

istre

men

t à l'

état

civil

ou

du

SEE

sont

ven

tilée

s pa

r 1)

sex

e, 2

) âg

e et

3)

régi

on

géog

raph

ique

ou

adm

inist

rativ

e (o

u zo

ne u

rbain

e/ru

rale)

Rem

arqu

e : D

onne

r la

note

0 s

i auc

un e

nreg

istre

men

t à l'

état

civi

l ou

auc

un S

EE n

'exis

te

Deux

sur

troi

sUn

sur

troi

s S

oit

aucu

n de

s 3,

soi

t il

n'ex

iste

auc

un

enre

gist

rem

ent

à l'é

tat

civi

l et

aucu

n S

EE

Tous

les

trois

Page 112: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire112

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

B. L

es s

tatis

tique

s de

l'ét

at c

ivil

III.B

.2Ca

paci

& p

ratiq

ues

2.6

Le S

ystè

me

d'en

regi

stre

men

t de

l'éch

antil

lon

(SEE

) est

con

çu,

et il

pro

duit

des

donn

ées

préc

ises

au b

on m

omen

t

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

élém

ent s

'il n

'exis

te p

as d

e SE

E

Parti

elle

men

t rep

rése

ntat

if

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Néan

tRe

prés

enta

tif à

l'éc

helo

n na

tiona

l

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

2.7

Les

sites

du

Syst

ème

de s

urve

illanc

e de

la d

émog

raph

ie (S

SD)

ont

été

conç

us,

et i

ls pr

odui

sent

des

don

nées

exa

ctes

au

bon

mom

ent

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

élém

ent s

'il n

'exis

te p

as d

e SS

D

Parti

elle

men

t rep

rése

ntat

if (a

u m

oins

un

site

urb

ain

et d

eux

site

s ru

raux

)

Pas

repr

ésen

tatif

Néan

t

2.8

Outil

d'a

utop

sie v

erba

le (A

V)

Rem

arqu

e : S

aute

r cet

élém

ent s

'il n

'exis

te p

as d

e SS

D ou

de

SEE

L'ou

til d

'AV

a ét

é va

lidé

L'ou

til d

'AV

n'es

t pas

va

lidé

Aucu

ne a

utop

sie

verb

ale

n'es

t util

isée

pa

r le

SEE

et/o

u le

s SS

D

L'ou

til d

'AV

a ét

é va

lidé

; le

que

stio

nnai

re e

st

disp

onib

le a

u vu

de

tous

et

con

form

e au

x no

rmes

in

tern

atio

nale

s

3.1

Déca

lage

tem

pore

l ent

re le

mom

ent o

ù les

sta

tistiq

ues

tirée

s de

l'e

nreg

istre

men

t à l'

état

civi

l, du

SEE

ou

des

SSD

ont é

té p

ublié

es

pour

la d

erni

ère f

ois e

t le m

omen

t où

ces d

onné

es o

nt ét

é col

lecté

es

Rem

arqu

e : D

onne

r la

note

0 s

'il n

'exis

te p

as d

'enr

egist

rem

ent à

l'é

tat c

ivil,

de S

EE o

u de

s SS

D

3 an

nées

Quat

re o

u ci

nq a

nsSo

it pl

us d

e ci

nq a

ns,

soit

les

stat

istiq

ues

ne

sont

pas

pub

liées

, soi

t il

n'ex

iste

pas

un

syst

ème

de s

tatis

tique

s de

l'ét

at c

ivil

(enr

egis

-tre

men

t à l'

état

civ

il,

SEE,

SSD

)

Moi

ns d

e tro

is a

nsIII

.B.3

Diffu

sion

4.1

Les

rens

eigne

men

ts p

rove

nant

de

l'enr

egist

rem

ent à

l'ét

at c

ivil,

du S

EE o

u de

s SS

D su

r 1) l

es ta

ux d

e m

orta

lité

et 2

) les

cau

ses

de

décè

s,

sont

ut

ilisés

po

ur

l'ana

lyse

à l'é

chelo

n na

tiona

l et

in

frana

tiona

l

Rem

arqu

e : D

onne

r la

note

0 s

'il n

'exis

te p

as d

'enr

egist

rem

ent à

l'é

tat c

ivil,

de S

EE o

u de

SSD

Un s

ur d

eux

est u

tilis

é So

it in

utili

sé, s

oit l

es

stat

istiq

ues

ne s

ont p

as

publ

iées

, soi

t il n

'exi

ste

pas

un s

ystè

me

stat

istiq

ue s

ur l'

état

ci

vil (

enre

gist

rem

ent à

l'é

tat c

ivil,

SEE

, SSD

)

Les

donn

ées

porta

nt

auss

i bie

n su

r les

taux

de

mor

talit

é qu

e su

r les

in

form

atio

ns s

ur le

s ca

uses

de

décè

s so

nt

utili

sées

III.B

.4In

tégr

atio

n&

util

isat

ion

Page 113: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

113

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

C. L

es e

nquê

tes

aupr

ès d

e la

pop

ulat

ion

III.C

.1Co

nten

u1.

1 Au

cou

rs d

es c

inq

dern

ières

ann

ées,

une

enq

uête

aup

rès

d'un

éc

hant

illon

natio

nal r

epré

sent

atif

a m

esur

é le

pour

cent

age

de la

po

pulat

ion

visée

qui

reç

oit

les p

rincip

aux

serv

ices

de s

anté

m

ater

nelle

et

in

fant

ile

(plan

ning

fa

milia

l, so

ins

prén

atau

x,

acco

uche

men

ts a

vec

l'aid

e de

pro

fess

ionn

els, v

accin

atio

ns)

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Non

Oui

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

1.2

Au c

ours

des

cin

q de

rnièr

es a

nnée

s, u

ne e

nquê

te a

uprè

s d'

un

écha

ntillo

n na

tiona

l re

prés

enta

tif

a fo

urni

de

s es

timat

ions

su

ffisa

mm

ent p

récis

es e

t exa

ctes

de

la m

orta

lité

infa

ntile

et c

elle

des

moi

ns d

e cin

q an

s

Non

Oui

III.C

.2Ca

paci

& p

ratiq

ues

1.3

Au c

ours

des

cin

q de

rnièr

es a

nnée

s, u

ne (

des)

enq

uête

s(s)

au

près

d'

un

écha

ntillo

n na

tiona

l re

prés

enta

tif

aupr

ès

de

la po

pulat

ion

a (o

nt)

mes

uré

la pr

évale

nce

de q

uelq

ues

mala

dies

pr

iorit

aires

non

tra

nsm

issib

les/p

robl

èmes

de

sant

é (p

ar e

xem

ple

l'inv

alidi

té,

les m

aladi

es m

enta

les,

l'hyp

erte

nsio

n, le

diab

ète,

les

accid

ents

, la

violen

ce)

et d

es p

rincip

aux

fact

eurs

de

risqu

e (p

ar

exem

ple

le ta

bagi

sme,

la c

onso

mm

atio

n de

dro

gues

, les

rég

imes

ali

men

taire

s, le

man

que

d'ex

ercic

es p

hysiq

ues)

Les

bio

mar

queu

rs

sont

de

s su

bsta

nces

ut

ilisée

s co

mm

e in

dica

teur

s de

l'é

tat

biol

ogiq

ue.

Il s'

agit

des

subs

tanc

es e

t de

s an

ticor

ps q

ue l'

on tr

ouve

dan

s un

pré

lèvem

ent d

e sa

ng o

u d'

urin

e.

Les

enqu

êtes

aup

rès

d'un

éc

hant

illon

nat

iona

l re

prés

enta

tif n

'ont

mes

uré

aucu

n bi

o m

arqu

eur

supp

lém

enta

ire, m

ais

plut

ôt la

pré

vale

nce

d'au

m

oins

1 m

alad

ie n

on

trans

mis

sibl

e/pr

oblè

me

de

sant

é ou

fact

eur d

e ris

que

prio

ritai

re

Au c

ours

des

cin

q de

rniè

res

anné

es, l

es

enqu

êtes

axé

es s

ur la

po

pula

tion

n'on

t mes

uré

la

prév

alen

ce d

'auc

une

mal

adie

non

tran

smis

sibl

e,

d'au

cun

prob

lèm

e de

san

ou d

'auc

un fa

cteu

r de

risqu

e pr

iorit

aire

Capa

cité

s su

ffisa

ntes

po

ur u

n su

r tro

is

Aucu

ne e

nquê

te a

uprè

s de

la p

opul

atio

n n'

a ét

é or

gani

sée

au c

ours

des

ci

nq d

erni

ères

ann

ées

Oui,

des

enqu

êtes

au

près

d'u

n éc

hant

illon

na

tiona

l rep

rése

ntat

if on

t mes

uré

des

bio

mar

queu

rs e

t au

moi

ns

trois

mal

adie

s no

n tra

nsm

issi

bles

/éta

t de

sant

é ou

fact

eurs

de

risqu

e pr

iorit

aire

s

2.1

Le p

ays d

ispos

e de c

apac

ités s

uffis

ante

s pou

r : 1

) org

anise

r des

en

quêt

es a

uprè

s de

s m

énag

es (n

otam

men

t les

plan

s de

son

dage

et

le tra

vail

de t

erra

in)

; 2)

traite

r les

don

nées

; et

3)

analy

ser

les

donn

ées.

Capa

cité

s su

ffisa

ntes

pou

r de

ux s

ur tr

ois

Capa

cité

s su

ffisa

ntes

po

ur a

ucun

des

troi

sCa

paci

tés

suffi

sant

es

pour

tous

les

trois

2.2

Les

enqu

êtes

resp

ecte

nt le

s no

rmes

inte

rnat

iona

les e

n m

atièr

e de

co

nsen

tem

ent,

de

confi

dent

ialité

et

d'

accè

s au

x do

nnée

s pe

rson

nelle

s (v

oir

Dire

ctive

s de

l'O

CDE

sur

la pr

otec

tion

des

rens

eigne

men

ts p

erso

nnels

)

Non

Oui

Un2.

3 Le

s do

nnée

s pe

rmet

tent

de

faire

une

ven

tilat

ion

par â

ge, s

exe

et

loca

lité

(par

exe

mpl

e zo

ne u

rbain

e/ru

rale,

prin

cipale

s ré

gion

s gé

ogra

phiq

ues

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dmin

istra

tives

)

Deux

Néan

tTo

us le

s tro

is

Uniq

uem

ent p

ar n

ivea

u d'

inst

ruct

ion

2.4

Les

donn

ées

perm

ette

nt d

e fa

ire u

ne v

entil

atio

n pa

r st

atut

so

cioéc

onom

ique

: a)

reve

nus

et b

) nive

au d

'inst

ruct

ion

Non

Oui,

les

deux

Page 114: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire114

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

C. L

ES E

NQUÊ

TES

AUPR

ÈS D

E LA

POP

ULAT

ION

III.C

.3Di

ffusi

on3.

1 De

s en

quêt

es

réce

ntes

fo

urni

ssen

t de

s m

étad

onné

es

(con

cept

ion,

mise

en

œuv

re d

e l'é

chan

tillo

n, q

uest

ionn

aire)

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Non

disp

onib

leAc

cess

ible

au

publ

ic

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

3.2

Des

enqu

êtes

réce

ntes

four

niss

ent d

es m

icro

donn

ées.

Disp

onib

les

sur d

eman

de,

avec

des

rest

rictio

ns

Non

disp

onib

leDi

spon

ible

s su

r de

man

de

III.C

.4In

tégr

atio

n&

util

isat

ion

4.1

Il y

a de

s ré

unio

ns e

t un

plan

plu

riann

uel v

isant

à c

oord

onne

r la

sync

hron

isatio

n,

les

prin

cipale

s va

riabl

es

mes

urée

s et

le

finan

cem

ent d

es en

quêt

es d

émog

raph

ique

s aup

rès d

'un

écha

ntillo

n na

tiona

l rep

rése

ntat

if, q

ui m

esur

ent l

es in

dica

teur

s de

san

Il n'

exis

te n

i un

grou

pe

de c

oord

inat

ion,

ni u

ne

plan

ifica

tion

à lo

ng

term

e

Oui,

le m

écan

ism

e de

co

ordi

natio

n et

de

plan

ifica

tion

coor

donn

e to

utes

les

enqu

êtes

au

près

d'u

n éc

hant

illon

na

tiona

l rep

rése

ntat

if

Le g

roup

e ch

argé

de

la

coor

dina

tion

et d

e la

pl

anifi

catio

n à

long

term

e co

ordo

nne

moi

ns d

e 75

%

des

enqu

êtes

aup

rès

d'un

éc

hant

illon

nat

iona

l re

prés

enta

tif

Il ex

iste

un

cale

ndrie

r, m

alhe

ureu

sem

ent

inco

mpl

et e

t/ou

le g

roup

e ch

argé

de

la c

oord

inat

ion

ne p

eut p

as c

oord

onne

r le

s en

quêt

es d

e fa

çon

effic

ace

4.2

Les

circo

nscr

iptio

ns

sani

taire

s et

st

atist

ique

s du

pa

ys

colla

bore

nt é

troite

men

t da

ns l

es d

omain

es d

e la

conc

eptio

n de

l'e

nquê

te, d

e la

mise

en

œuv

re, d

e l'a

nalys

e et

de

l'util

isatio

n de

s do

nnée

s

Tota

lem

ent i

napp

ro-

prié

esTr

ès a

ppro

prié

esAp

prop

riées

Exis

tent

, mai

s in

appr

o-pr

iées

Page 115: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

115

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

D. L

ES D

OSSI

ERS

DE S

ANTÉ

ET

DE M

ALAD

IES

(not

amm

ent l

es s

ystè

mes

de

surv

eilla

nce

des

mal

adie

s)

III.D

.1Co

nten

u1.

1 Po

ur c

hacu

ne d

es p

rincip

ales

mala

dies

suj

ette

s à

épid

émie

(par

ex

empl

e le

chol

éra,

la

diar

rhée

san

guin

olen

te,

la ro

ugeo

le, l

a m

énin

gite

, la

pest

e, l

es fi

èvre

s hé

mor

ragi

ques

vira

les,

la fiè

vre

jaune

, le

synd

rom

e re

spira

toire

aig

u sé

vère

, la

grip

pe a

viaire

) et l

es

mala

dies

don

t on

préc

onise

l'ér

adica

tion/

élim

inat

ion

à te

rme

(par

ex

empl

e la

polio

myé

lite,

le

téta

nos

néon

atal,

la

lèpre

), de

s dé

finiti

ons

appr

oprié

es d

e ca

s on

t été

mise

s en

plac

e et

des

cas

pe

uven

t être

sig

nalés

sur

des

mod

èles

de d

éclar

atio

n co

uran

ts.

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Soit

il n'

exis

te p

as d

e sy

stèm

e de

not

ifica

tion,

so

it il

exis

te u

n sy

stèm

e qu

i ne

sign

ale

pas

la

plup

art d

es p

rinci

pale

s m

alad

ies

Vrai

pou

r tou

tes

les

prin

cipa

les

mal

adie

s su

jette

s à

épid

émie

et

les

mal

adie

s do

nt o

n pr

écon

ise

l'éra

dica

-tio

n/él

imin

atio

n

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

1.2

Pour

les

éta

ts d

e sa

nté

d'un

gra

nd i

ntér

êt p

our

la sa

nté

publ

ique

, qui

diff

èren

t de

ceux

éno

ncés

à la

sec

tion

1.1

ci-de

ssus

(p

ar e

xem

ple

les p

rincip

ales

caus

es d

e m

orta

lité,

de

mor

bidi

té e

t d'

inva

lidité

, tell

es q

ue la

pne

umon

ie et

la d

iarrh

ée a

ccom

pagn

ée d

e dé

shyd

rata

tion

chez

les e

nfan

ts d

e moi

ns d

e cin

q an

s, le

palu

dism

e,

la tu

berc

ulos

e,

le VI

H/SI

DA,

les

mala

dies

se

xuell

emen

t tra

nsm

issib

les,

les m

aladi

es n

on t

rans

miss

ibles

), il

exist

e un

e st

raté

gie

de s

urve

illanc

e.

Vrai

pou

r la

plup

art d

es

prin

cipa

les

caus

es d

e m

orbi

dité

, de

mor

talit

é et

d'

inva

lidité

Vrai

pou

r que

lque

s-un

es

des

prin

cipa

les

caus

es d

e m

orbi

dité

, de

mor

talit

é et

d'

inva

lidité

Inex

iste

nce

d'un

bon

sy

stèm

e de

su

rvei

llanc

e, à

l'e

xcep

tion

de c

elui

des

m

alad

ies

suje

ttes

à en

dém

ie

Vrai

pou

r tou

tes

les

prin

cipa

les

caus

es d

e m

orbi

dité

, de

mor

talit

é et

d'in

valid

ité

Vrai

pou

r tou

tes

les

prin

cipa

les

mal

adie

s su

jette

s à

épid

émie

et l

es

mal

adie

s do

nt o

n pr

écon

ise

l'éra

dica

-tio

n/él

imin

atio

n, à

l'e

xcep

tion

d'un

e ou

deu

x

Il ex

iste

au

moi

ns tr

ois

prin

cipa

les

mal

adie

s po

ur

lesq

uelle

s on

n'a

pas

en

core

mis

au

poin

t des

finiti

ons

de c

as o

u po

ur

lesq

uelle

s le

mod

èle

de

décl

arat

ion

est i

napp

ro-

prié

1.3

L'ét

ablis

sem

ent

d'un

e ca

rte d

e la

popu

latio

n ex

posé

e à

un

risqu

e (p

ar e

xem

ple

une

popu

latio

n so

uffra

nt d

e m

alnut

ritio

n et

de

pauv

reté

, l'e

thni

cité)

et

de l

a po

pulat

ion

expo

sée

à de

s ris

ques

sp

écifi

ques

en

géné

ral (

par

exem

ple

les v

ecte

urs,

la p

ollu

tion

de

l'env

ironn

emen

t et l

a po

llutio

n in

dust

rielle

).

Les

carte

s so

nt

actu

alis

ées e

t rai

sonn

able

-m

ent d

étai

llées

Une

carte

est

éta

blie

un

ique

men

t pou

r un

petit

no

mbr

e de

risq

ues

sani

taire

s

Pas

de c

arte

éta

blie

po

ur d

es ri

sque

s sa

nita

ires

Les

carte

s so

nt

actu

alis

ées

et d

étai

llées

et

il e

xist

e de

s co

mpé

tenc

es c

apab

les

d'y

ajou

ter d

e no

uvea

ux

élém

ents

dan

s le

s m

oind

res

déla

is

III.D

.2Ca

paci

& p

ratiq

ues

2.1

Le p

ays d

ispos

e de c

apac

ités s

uffis

ante

s pou

r : 1

) diag

nost

ique

r et

enr

egist

rer

les c

as d

e m

aladi

es d

e dé

clara

tion

oblig

atoi

re ;

2)

sig

naler

et

trans

met

tre e

n te

mps

opp

ortu

n de

s in

form

atio

ns

com

plèt

es r

elativ

es à

ces

mala

dies

; 3)

ana

lyser

les

donn

ées

et y

do

nner

sui

te e

n fa

isant

fac

e au

x po

ussé

es e

ndém

ique

s et

en

plan

ifian

t les

inte

rven

tions

en

mat

ière

de s

anté

pub

lique

.

Capa

cités

suf

fisan

tes

pour

au

cun

des

trois

Capa

cités

suf

fisan

tes

pour

to

us le

s tro

isCa

pacit

és s

uffis

ante

s po

ur

deux

sur

troi

sCa

pacit

és

suffi

sant

es

pour

un

sur

troi

s

2.2

Pour

cent

age

des

pers

onne

ls de

sa

nté

en

char

ge

des

diag

nost

ique

s pr

imair

es,

qui

peuv

ent

corre

ctem

ent

citer

les

finiti

ons

de c

as d

e la

majo

rité

des

mala

dies

à d

éclar

atio

n ob

ligat

oire

.

< 25

%90

% o

u pl

us75

% -

89 %

25 %

- 74

%

Page 116: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire116

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

D. L

ES D

OSSI

ERS

DE S

ANTÉ

ET

DE M

ALAD

IES

(not

amm

ent l

es s

ystè

mes

de

surv

eilla

nce

des

mal

adie

s)

III.D

.2Ca

paci

& p

ratiq

ues

2.3

Pour

cent

age

des

form

atio

ns s

anita

ires

prés

enta

nt, e

n te

mps

op

portu

n,

des

rapp

orts

de

su

rveil

lance

he

bdom

adair

es

ou

men

suels

au

nive

au d

u di

stric

t.

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

< 25

%90

% o

u pl

us

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

2.4

Pour

cent

age

des

dist

ricts

pré

sent

ant à

leur

hiér

arch

ie di

rect

e,

des r

appo

rts d

e sur

veilla

nce h

ebdo

mad

aires

ou

men

suels

en te

mps

op

portu

n.

75 %

- 89

%25

% -

74 %

< 25

%90

% o

u pl

us

75 %

- 89

%25

% -

74 %

2.5

Prop

ortio

n de

s po

ussé

es é

pidé

miq

ues

ayan

t fait

l'ob

jet d

'une

en

quêt

e et

don

né li

eu à

des

résu

ltats

de

labor

atoi

re.

75 %

- 89

%25

% -

74 %

< 25

%90

% o

u pl

us

III.D

.3Di

ffusi

on3.

1 Le

s re

nseig

nem

ents

sur

la s

urve

illanc

e de

s m

aladi

es s

ujet

tes

à ép

idém

ie so

nt d

iffus

és e

t ré

perc

utés

par

le

biais

de

bulle

tins

hebd

omad

aires

, men

suels

ou

trim

estri

els p

ublié

s pé

riodi

quem

ent

Aucu

n bu

lletin

n'

a ét

é pr

odui

tLe

bu

lletin

a

été

régu

lière

men

t pr

odui

t au

co

urs

de l'

anné

e de

rnièr

e,

et e

st d

ispon

ible

au n

iveau

de

tou

s les

bur

eaux

de

sant

é du

dist

rict

Soit

le bu

lletin

n'a

pas

été

guliè

rem

ent

prod

uit

au

cour

s de

l'a

nnée

der

nièr

e,

soit

il n'

a pa

s ét

é di

strib

aux

dist

ricts

2.6

Les

doss

iers

méd

icaux

des

pat

ients

con

serv

és p

ar la

form

atio

n sa

nita

ire p

rése

rven

t la

quali

té e

t la

cont

inui

té d

es s

oins

Les

doss

iers

méd

icau

x so

nt h

abitu

elle

men

t co

nven

able

men

t rem

plis

et

peu

vent

être

retro

uvés

en

tem

ps o

ppor

tun

pour

la

maj

orité

des

pat

ient

s,

afin

de re

nsei

gner

dan

s le

s m

oind

res

déla

is s

ur le

pr

oces

sus

déci

sion

nel

d'or

dre

clin

ique

Les

donn

ées

esse

ntie

lles

sur l

e pa

tient

ne

sont

pas

ha

bitu

elle

men

t enr

egis

-tré

es e

t/ou

on n

e pe

ut p

as

retro

uver

les

doss

iers

de

la

plup

art d

es p

atie

nts

Pas

de s

ystè

me

de

cons

erva

tion

des

doss

iers

méd

icau

x de

pa

tient

s da

ns la

plu

part

des

form

atio

ns

sani

taire

s

Au m

oins

90

% d

es

doss

iers

méd

icau

x de

s pa

tient

s so

nt c

onve

na-

blem

ent r

empl

is e

t pe

uven

t être

retro

uvés

en

tem

ps o

ppor

tun

pour

90

% a

u m

oins

des

pa

tient

s, a

fin d

e re

nsei

gner

dan

s le

s m

oind

res

déla

is s

ur le

pr

oces

sus

déci

sion

nel

2.7

La c

lassifi

catio

n st

atist

ique

inte

rnat

iona

le de

s m

aladi

es e

t des

pr

oblèm

es d

e sa

nté

conn

exes

(CIM

) est

act

uelle

men

t util

isée

pour

re

ndre

com

pte

des

diag

nost

ics d

e so

rtie

d'hô

pita

l

Rem

arqu

e : S

ans

objet

s'il

n'e

xiste

pas

de

code

CIM

de

diag

nost

ic de

sor

tie d

'hôp

ital

List

e de

tabu

latio

n CI

M-1

0CI

M-9

Soit

aucu

ne C

IM n

'est

ut

ilisé

e, s

oit C

IM-8

, soi

t ve

rsio

n an

térie

ure

CIM

-10

déta

illée

Page 117: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

117

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

D. L

ES D

OSSI

ERS

DE S

ANTÉ

ET

DE M

ALAD

IES

(not

amm

ent l

es s

ystè

mes

de

surv

eilla

nce

des

mal

adie

s)

III.D

.4In

tégr

atio

n &

util

isat

ion

4.1

Inté

grat

ion

de la

tran

smiss

ion

des

donn

ées

sur l

a su

rveil

lance

de

s mala

dies

et d

'aut

res p

rogr

amm

es d

e san

té p

ubliq

ue en

poi

nt d

e m

ire (p

ar e

xem

ple

la pr

otec

tion

mat

erne

lle, l

e pl

anni

ng fa

milia

l, la

surv

eillan

ce d

e la

croi

ssan

ce)

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Les

pers

onne

ls d

e sa

nté

et le

s di

rigea

nts

supp

orte

nt u

n lo

urd

fard

eau

pour

ach

ever

et

exam

iner

les

rapp

orts

di

stin

cts

de n

ombr

eux

prog

ram

mes

de

sant

é pu

bliq

ue

Un s

eul f

orm

ulai

re e

st

utili

sé p

our l

e si

gnal

e-m

ent d

es p

rinci

pale

s m

alad

ies

L'ét

ablis

se-

men

t de

rapp

orts

sur

d'

autre

s pr

ogra

mm

es d

e sa

nté

publ

ique

est

ég

alem

ent p

ris e

n co

mpt

e de

man

ière

sa

tisfa

isan

te

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

En d

épit

de la

dis

poni

bilit

é d'

un c

erta

in n

ombr

e de

fo

rmul

aire

s de

rapp

ort,

on

s'em

ploi

e de

man

ière

ha

rmon

isée

à p

rend

re e

n co

mpt

e le

s ex

igen

ces

en

mat

ière

de

rapp

ort s

ur le

s pr

ogra

mm

es d

e sa

nté

publ

ique

4.2

Prop

ortio

n de

s ép

idém

ies

déce

lées

à l'é

chelo

n ré

gion

al/pr

ovin

cial

ou n

atio

nal

par

le bi

ais d

'un

exam

en d

es

donn

ées

de la

sur

veilla

nce

qui p

rovie

nnen

t des

dist

ricts

et q

ui n

'ont

pa

s ét

é re

trouv

ées

par l

es p

répo

sés

au n

iveau

du

dist

rict

75 %

au

moi

ns d

es

épid

émie

s en

regi

stré

es à

l'é

chel

on ré

gion

al/p

rovi

n-ci

al o

u na

tiona

l son

t d'

abor

d co

nsta

tées

au

nive

au d

u di

stric

t

Moi

ns d

e 75

% d

es

épid

émie

s en

regi

stré

es

à l'é

chel

on ré

gion

al/p

ro-

vinc

ial o

u na

tiona

l son

t d'

abor

d co

nsta

tées

au

nive

au d

u di

stric

t

90 %

au

moi

ns d

es

épid

émie

s en

regi

stré

es

à l'é

chel

on ré

gion

al/p

ro-

vinc

ial o

u na

tiona

l son

t d'

abor

d co

nsta

tées

au

nive

au d

u di

stric

t

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

E. L

A BA

NQUE

DES

SER

VICE

S DE

SAN

III.E

.1Co

nten

u1.

1 Il

exist

e un

sys

tèm

e d'

info

rmat

ion

basé

sur

les

serv

ices

de

sant

é, q

ui m

et e

nsem

ble

les d

onné

es p

rove

nant

de

l'ens

embl

e de

fo

rmat

ions

san

itaire

s pu

bliq

ues

et p

rivée

s

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Il n'

exis

te p

as d

e do

nnée

s pr

oven

ant d

es

form

atio

ns s

anita

ires

priv

ées

Oui,

ce s

ystè

me

pren

d en

com

pte

les

form

atio

ns s

anita

ires

publ

ique

s et

priv

ées

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

Syst

ème

inté

gré,

mai

s il

pren

d en

com

pte

quel

ques

fo

rmat

ions

san

itaire

s pr

ivée

s (p

ar e

xem

ple

à bu

t lu

crat

if ou

non

lucr

atif)

1.2

Il ex

iste

une

appr

oche

mét

hodi

que

perm

etta

nt d

'éva

luer

la

quali

té d

es s

ervic

es f

ourn

is pa

r les

for

mat

ions

san

itaire

s La

dite

ap

proc

he c

ompr

end

: a) u

ne s

uper

visio

n m

étho

diqu

e ha

rmon

isée,

av

ec c

omm

unica

tion

des

conc

lusio

ns à

l'éc

helo

n du

dist

rict e

t de

la na

tion

; et b

) une

enq

uête

sur

l'en

sem

ble

des

form

atio

ns s

anita

ires

ou s

ur u

n éc

hant

illon

natio

nal r

epré

sent

atif

au m

oins

une

fois

tous

les

cin

q an

s

Soit

il ex

iste

des

do

ssie

rs s

ur le

s co

nclu

sion

s tir

ées

d'un

e su

perv

isio

n st

ruct

urée

, so

it le

s en

quêt

es a

uprè

s de

s fo

rmat

ions

ne

sont

pa

s di

spon

ible

s

Il ex

iste

à la

fois

une

su

perv

isio

n m

étho

diqu

e ha

rmon

isée

de

l'éta

blis

sem

ent d

e ra

ppor

ts e

t une

enq

uête

na

tiona

le a

uprè

s d'

un

écha

ntill

on re

prés

enta

tif

des

form

atio

ns

sani

taire

s

Il a

été

orga

nisé

au

moi

ns

une

enqu

ête

aupr

ès d

'un

écha

ntill

on n

atio

nal

repr

ésen

tatif

des

fo

rmat

ions

san

itaire

s au

co

urs

des

cinq

der

nièr

es

anné

es

Il ex

iste

des

don

nées

sur

la

qua

lité

des

serv

ices

qui

n'

éman

ent q

ue d

'un

écha

ntill

on d

e co

mm

odité

de

s fo

rmat

ions

san

itaire

s

Syst

ème

pren

ant e

n co

mpt

e qu

elqu

es

form

atio

ns s

anita

ires

priv

ées

(par

exe

mpl

e ce

lles

à bu

t non

lucr

atif

uniq

uem

ent)

Page 118: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire118

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

E. L

A BA

NQUE

DES

SER

VICE

S DE

SAN

III.E

.2

Capa

cité

& p

ratiq

ues

2.1

Un c

orps

de

prof

essio

nnels

de

sant

é qu

alifié

s qu

i ont

sui

vi un

e fo

rmat

ion

spéc

ialisé

e d'

au m

oins

deu

x an

s et

qui

son

t en

post

e au

ni

veau

du

dist

rict s

e co

nsac

re a

u sy

stèm

e d'

info

rmat

ion

sani

taire

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Dans

auc

un d

istri

ctAu

moi

ns 7

5 %

de

dist

ricts

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

De 1

0 à

74 %

de

dist

ricts

2.2

Les

pers

onne

ls de

san

té e

n se

rvice

dan

s les

for

mat

ions

sa

nita

ires

du s

ecte

ur p

ublic

(clin

ique

s et

hôp

itaux

) reç

oive

nt, d

ans

le do

main

e de

l'in

form

atio

n sa

nita

ire, u

ne fo

rmat

ion

régu

lière

au

titre

soi

t de

la fo

rmat

ion

cont

inue

, soi

t de

la fo

rmat

ion

en c

ours

d'

empl

oi

Moi

ns d

e 5

% d

es

pers

onne

ls o

nt s

uivi

un

e fo

rmat

ion

La p

lupa

rt de

s pe

rson

nels

de

sant

é on

t su

ivi u

ne fo

rmat

ion

au

cour

s de

s ci

nq d

erni

ères

an

nées

Entre

25

et 4

9 %

des

pe

rson

nels

de

sant

é on

t su

ivi u

ne fo

rmat

ion

au

cour

s de

s ci

nq d

erni

ères

an

nées

Entre

5 e

t 24

% d

es

pers

onne

ls d

e sa

nté

ont

suiv

i une

form

atio

n au

co

urs

des

cinq

der

nièr

es

anné

es

De 1

à 9

% d

e di

stric

ts

2.3

Des

méc

anism

es o

nt é

té m

is en

plac

e à

l'éch

elon

natio

nal e

t in

frana

tiona

l po

ur l

a su

perv

ision

et

la ré

troac

tion

des

prat

ique

s d'

info

rmat

ion

dans

le s

ecte

ur p

ublic

Tota

lem

ent i

napp

ropr

iés

Très

app

ropr

iés

Appr

oprié

sEx

iste

nt, m

ais

inap

pro-

prié

s

2.4

Du n

iveau

du

dist

rict à

l'éc

helo

n na

tiona

l, de

s m

écan

ismes

son

t m

is en

plac

e po

ur v

érifi

er l

'exh

aust

ivité

et

la co

hére

nce

des

info

rmat

ions

ém

anan

t des

form

atio

ns s

anita

ires

Tota

lem

ent i

napp

ropr

iés

Très

app

ropr

iés

Appr

oprié

sEx

iste

nt, m

ais

inap

pro-

prié

s

III.E

.3

Diffu

sion

3.1

Dern

ière f

ois q

u'un

résu

mé a

nnue

l des

stat

istiq

ues d

es se

rvice

s de

san

té a

été

pub

lié,

ces

stat

istiq

ues

étan

t dé

sagr

égée

s pa

r pr

incip

ale ré

gion

géo

grap

hiqu

e ou

adm

inist

rativ

e

Il y

a si

x an

s ou

plu

sIl

y a

moi

ns d

e de

ux a

ns Il

y a

deu

x à

trois

ans

3.2

Les d

istric

ts o

u de

s uni

tés a

dmin

istra

tives

sim

ilaire

s éta

bliss

ent

leurs

pr

opre

s ra

ppor

ts

som

mair

es

men

suels

/trim

estri

els

et

annu

els, d

ésag

régé

s pa

r for

mat

ion

sani

taire

Pas

satis

fais

ants

du

tout

Très

sat

isfa

isan

tsSa

tisfa

isan

tsPr

ésen

ts m

ais

pas

satis

fais

ants

Il y

a qu

atre

à c

inq

ans

III.E

.4

Inté

grat

ion

& u

tilis

atio

n

4.1

Les

syst

èmes

de

décla

ratio

n ve

rtica

le se

mbl

ables

à c

eux

de la

tu

berc

ulos

e et

des

vac

cinat

ions

com

mun

ique

nt b

ien a

vec

le sy

stèm

e gé

néra

l d'é

tabl

issem

ent

de r

appo

rts s

ur le

s se

rvice

s de

sa

nté

Pas

du to

ut

satis

fais

ants

Tr

ès s

atis

fais

ants

Satis

fais

ants

4.2

Les

dirig

eant

s et

les

an

alyst

es

à l'é

chelo

n na

tiona

l et

in

frana

tiona

l rec

oure

nt fr

éque

mm

ent a

ux ré

sulta

ts d

es en

quêt

es, d

e l'e

nreg

istre

men

t à l'

état

civil

(ou

à d'a

utre

s sys

tèm

es d

e sta

tistiq

ues

dém

ogra

phiq

ues)

afin

d'é

valu

er la

vali

dité

des

don

nées

clin

ique

s

Pas

du to

ut

satis

fais

ants

Tr

ès s

atis

fais

ants

Satis

fais

ants

Exis

tent

mai

s pa

s sa

tisfa

isan

ts

Exis

tent

mai

s pa

s sa

tisfa

isan

ts

Page 119: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

119

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

1. L

ES IN

FRAS

TRUC

TURE

S ET

LES

SER

VICE

S DE

SAN

III.F

.1

Cont

enu

1.1

Il ex

iste

un fi

chier

nat

iona

l de

s fo

rmat

ions

san

itaire

s de

s se

cteu

rs ta

nt p

ublic

que

priv

é. Il

a é

té a

ttrib

ué à

cha

que

form

atio

n sa

nita

ire u

n co

de id

entifi

cate

ur u

niqu

e qu

i per

met

de

réali

ser

la fu

sion

des

donn

ées

sur l

es fo

rmat

ions

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Non

Oui

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

Il ex

iste

une

bas

e de

do

nnée

s su

r les

fo

rmat

ions

san

itaire

s pu

bliq

ues,

dot

ée d

'un

syst

ème

de c

odifi

catio

n qu

i per

met

une

ges

tion

inté

grée

des

don

nées

1.2

Pour

la m

ajorit

é de

s fo

rmat

ions

san

itaire

s, le

s co

ordo

nnée

s du

Sy

stèm

e m

ondi

al de

loca

lisat

ion

par

sate

llite

(GPS

) so

nt in

cluse

s da

ns la

bas

e de

don

nées

con

sacr

ée a

ux fo

rmat

ions

Tota

lem

ent

inap

prop

riés

Vrai

pou

r 90

% a

u m

oins

des

form

atio

ns

sani

taire

s pu

bliq

ues

et

priv

ées

Vrai

pou

r 90

% a

u m

oins

de

s fo

rmat

ions

san

itaire

s pu

bliq

ues

Vrai

pou

r moi

ns d

e 90

%

des

form

atio

ns s

anita

ires

publ

ique

s

F. L

A BA

NQUE

DE

RESS

OURC

ES

III.F

.2

Capa

cité

&

pra

tique

s

2.1

Il ex

iste

des

ress

ourc

es h

umain

es e

t l'é

quip

emen

t po

ur l

a ge

stio

n et

la m

ise à

jour

de

la ba

se d

e do

nnée

s et

des

car

tes

sur l

es

form

atio

ns s

anita

ires

et le

s se

rvice

s de

san

Pas

du to

ut

satis

fais

ante

sTr

ès s

atis

fais

ante

sSa

tisfa

isan

tes

2.2

La b

ase

de d

onné

es n

atio

nale

des

form

atio

ns s

anita

ires

a ét

é m

ise à

jour

Il

n'ex

iste

pas

de

base

de

don

nées

nat

iona

leIl

y a

moi

ns d

e de

ux a

nsIl

y a

deux

ou

trois

ans

Il y

a pl

us d

e tro

is a

ns

Exis

tent

, mai

s ne

son

t pas

sa

tisfa

isan

tes

III.F

.3

Diffu

sion

3.1

Dans

la p

lupa

rt de

dist

ricts

, on

disp

ose

de c

arte

s in

diqu

ant l

a lo

calis

atio

n de

s in

frast

ruct

ures

san

itaire

s, d

es p

erso

nnels

de

sant

é et

des

prin

cipau

x se

rvice

s de

san

Tota

lem

ent i

napp

ro-

prié

esTr

ès a

ppro

prié

esAp

prop

riées

Exis

tent

, mai

s so

nt

inap

prop

riées

4.1

À l'é

chelo

n na

tiona

l et a

u ni

veau

des

dist

ricts

, les

diri

gean

ts e

t les

ana

lyste

s fo

nt fr

éque

mm

ent u

ne é

valu

atio

n de

l'ac

cès

dire

ct a

ux

serv

ices,

en

étab

lissa

nt u

n lie

n en

tre le

s do

nnée

s co

ncer

nant

la

loca

lisat

ion

des f

orm

atio

ns sa

nita

ires e

t des

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ices d

e san

té d

'une

pa

rt, e

t la

répa

rtitio

n de

la p

opul

atio

n d'

autre

par

t

Pas

du to

ut

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ante

Très

sat

isfa

isan

teSa

tisfa

isan

teEx

iste

mai

s pa

s sa

tisfa

isan

teIII

.F.4

Inté

grat

ion

& u

tilis

atio

n

Page 120: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire120

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

2. R

ESSO

URCE

S HU

MAI

NES

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

III.F

.1

Cont

enu

1.3

Il ex

iste

une

base

de

donn

ées

natio

nale

des

ress

ourc

es

hum

aines

(RH

) qu

i pe

rmet

de

suivr

e à

la tra

ce l

e no

mbr

e, p

ar

prin

cipale

s ca

tégo

ries

prof

essio

nnell

es, d

es p

erso

nnels

tech

niqu

es

de la

sant

é en

serv

ice ta

nt d

ans l

e sec

teur

pub

lic q

ue d

ans l

e sec

teur

pr

ivé

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Il n'

exis

te p

as d

e ba

se

de d

onné

es n

atio

nale

su

r les

RH

Oui,

la b

ase

de d

onné

es

natio

nale

des

RH

perm

et

de s

uivr

e à

la tr

ace

le

nom

bre,

par

cat

égor

ies

prof

essi

onne

lles,

des

pe

rson

nels

tech

niqu

es

de la

san

té e

n se

rvic

e da

ns le

s se

cteu

rs ta

nt

publ

ic q

ue p

rivé

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

La b

ase

de d

onné

es

natio

nale

des

RH

perm

et

de s

uivr

e à

la tr

ace

le

nom

bre,

par

cat

égor

ies

prof

essi

onne

lles,

un

ique

men

t les

per

son-

nels

tech

niqu

es d

e la

sa

nté

en s

ervi

ce d

ans

le

sect

eur p

ublic

1.4

On d

ispos

e d'

une

base

de

donn

ées

natio

nale

qui p

erm

et d

e su

ivre

à la

trace

le n

ombr

e de

dip

lôm

és s

orta

nt c

haqu

e an

née

des

étab

lisse

men

ts d

e fo

rmat

ion

en m

édec

ine

Non

Oui

Le n

ombr

e de

dip

lôm

és

sorta

nt d

e ce

rtain

s ét

ablis

sem

ents

de

form

atio

n en

méd

ecin

e (p

ar e

xem

ple

en s

oins

in

firm

iers

; ét

ablis

sem

ents

pr

ivés

) ne

fait

pas

l'obj

et

d'un

sui

vi

La b

ase

de d

onné

es

natio

nale

des

RH

ne

four

nit p

as d

es

stat

istiq

ues

vent

ilées

par

ca

tégo

rie p

rofe

ssio

nnel

le

III.F

.2

Capa

cité

&

pra

tique

s

2.3

On d

ispos

e de r

esso

urce

s hum

aines

pou

r la g

estio

n et

la m

ise à

jour

de

la ba

se d

e do

nnée

s na

tiona

le de

s RH

Tota

lem

ent

insu

ffisa

ntes

Très

suf

fisan

tes

Suffi

sant

esEx

iste

nt, m

ais

sont

in

suffi

sant

es

2.4

Les

stat

istiq

ues

de la

bas

e de

don

nées

nat

iona

le de

s RH

sur

le

nom

bre

des

prof

essio

nnels

de

la sa

nté

en s

ervic

e da

ns le

sec

teur

pu

blic

ont é

té m

ises

à jo

ur p

our l

a de

rnièr

e fo

is.

Il y

a au

moi

ns s

ix a

nsIl

y a

moi

ns d

'un

anIl

y a

deux

ou

trois

ans

Il y

a qu

atre

ou

cinq

ans

Page 121: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

121

3. L

E FI

NANC

EMEN

T ET

LES

DÉP

ENSE

S CO

NSAC

RÉES

AUX

SER

VICE

S DE

SAN

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

III.F

.1

Cont

enu

1.5

Il ex

iste

des

doss

iers

finan

ciers

sur

les

dépe

nses

pub

lique

s de

sa

nté

auxq

uelle

s fa

it fa

ce l'

État

et s

es c

ompo

sant

es (l

e m

inist

ère

de

la Sa

nté,

d'a

utre

dép

arte

men

ts m

inist

ériel

s, la

séc

urité

soc

iale,

les

adm

inist

ratio

ns

publ

ique

s ré

gion

ales

et

loca

les,

les

entit

és

extra

budg

étair

es)

et s

ur le

s dé

pens

es d

e sa

nté

enco

urue

s pa

r le

sect

eur

privé

et

ses

com

posa

ntes

(les

fra

is ac

cess

oire

s de

s m

énag

es,

l'ass

uran

ce

mala

die

par

des

privé

s,

les

ONG,

les

en

trepr

ises

et le

s so

ciété

s)

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Soit

il n'

exis

te p

as d

e sy

stèm

e, s

oit l

e sy

stèm

e es

t inc

ompl

et

Tout

es le

s co

mpo

sant

es, p

ubliq

ues

et p

rivée

s

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Uniq

uem

ent l

es d

épen

ses

publ

ique

s et

cel

les

liés

aux

faux

frai

s de

s m

énag

es

Sour

ces

autre

s qu

e le

s fra

is a

cces

soire

s (l'

État

, no

tam

men

t la

sécu

rité

soci

ale

et le

s ad

min

istra

-tio

ns p

ubliq

ues

loca

les,

le

s ba

illeu

rs d

e fo

nds,

l'a

ssur

ance

mal

adie

) par

ni

veau

infra

natio

nal

1.6

On d

ispos

e d'

un s

ystè

me

perm

etta

nt a

ux s

pécia

liste

s de

s fin

ance

s de

sui

vre

à la

trace

les

budg

ets

et le

s dé

pens

es (d

épen

ses

du g

ouve

rnem

ent c

entra

l et d

e se

s co

mpo

sant

es (l

e m

inist

ère

de la

Sa

nté,

d'a

utre

s dé

parte

men

ts m

inist

ériel

s, la

séc

urité

soc

iale,

les

adm

inist

ratio

ns

publ

ique

s ré

gion

ales

ou

loca

les,

les

entit

és

extra

budg

étair

es) e

t les

dép

ense

s de

san

té d

u se

cteu

r priv

é et

ses

co

mpo

sant

es (

les f

rais

acce

ssoi

res

des

mén

ages

, l'a

ssur

ance

m

aladi

e pa

r des

priv

és, l

es O

NG, l

es e

ntre

prise

s et

les

socié

tés)

), ve

ntilé

es p

ar n

iveau

infra

natio

nal o

u pa

r dist

rict

Soit

il n'

exis

te p

as d

e su

ivi,

soit

il n'

exis

te

qu'u

n su

ivi d

es

dépe

nses

pub

lique

s

Tout

es le

s so

urce

s de

fin

ance

men

t son

t ve

ntilé

es p

ar n

ivea

u in

frana

tiona

l ou

par

dist

rict

Budg

et d

e l'É

tat e

t dé

pens

es p

ubliq

ues

plus

au

moi

ns u

ne a

utre

sou

rce

telle

que

les

baill

eurs

de

fond

s, m

ais

uniq

uem

ent

au n

ivea

u na

tiona

l

Uniq

uem

ent l

es d

épen

ses

publ

ique

s

III.F

.2

Capa

cité

&

pra

tique

s

2.1

Un n

ombr

e su

ffisa

nt d

e pe

rson

nels

quali

fiés

sur c

ontra

t à lo

ng

term

e es

t ré

guliè

rem

ent

affe

cté

aux

trava

ux s

ur l

es c

ompt

es

natio

naux

de

la sa

nté

(CNS

), qu

e ce

s pe

rson

nels

soien

t ou

nom

em

ploy

és p

ar le

min

istèr

e de

la S

anté

)

Rem

arqu

e : S

ans

objet

s'il

exis

te d

e CN

S

Séle

ctio

n d'

un

pers

onne

l adé

quat

à

l'occ

asio

n de

s tra

vaux

Oui

Il ex

iste

ass

ez d

e pe

rson

nels

et d

e co

mpé

tenc

es, m

ais

ces

pers

onne

ls n

e so

nt

empl

oyés

à lo

ng te

rme

par

aucu

n de

s or

gani

smes

du

pays

ou

ne s

e co

nsac

rent

pa

s ré

guliè

rem

ent a

ux

CNS

Soit

les

RH e

xist

ent e

n no

mbr

e su

ffisa

nt, m

ais

il y

a un

bes

oin

d'as

sist

ance

tech

niqu

e ex

térie

ure,

soi

t il m

anqu

e de

s pe

rson

nels

qua

lifiés

2.2

Pério

dicit

é et

rapi

dité

d'e

xécu

tion

des

trava

ux s

ur le

s Co

mpt

es

natio

naux

de

la sa

nté

Rem

arqu

e : S

ans

objet

s'il

n'e

xiste

pas

de

CNS

Soit

des

prév

isio

ns to

us

les

cinq

ans

au

moi

ns,

soit

pas

de p

révi

sion

s du

tout

Des

prév

isio

ns c

haqu

e an

née,

ave

c un

déc

alag

e d'

un a

n en

tre l'

anné

e d'

étab

lisse

men

t du

rapp

ort e

t l'a

nnée

de

sa

publ

icat

ion

Des

prév

isio

ns c

haqu

e an

née,

ave

c un

déc

alag

e de

deu

x an

s en

tre l'

anné

e d'

étab

lisse

men

t du

rapp

ort e

t l'a

nnée

de

sa

publ

icat

ion

Des

prév

isio

ns to

us le

s de

ux o

u ci

nq a

ns

Page 122: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire122

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

3. L

E FI

NANC

EMEN

T ET

LES

DÉP

ENSE

S CO

NSAC

RÉES

AUX

SER

VICE

S DE

SAN

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

III.F

.2

Capa

cité

&

pra

tique

s

2.3

Les

CNS

four

niss

ent p

ério

diqu

emen

t des

ren

seig

nem

ents

sur

les

qua

tre c

lassifi

catio

ns s

uiva

ntes

des

flux

fina

ncier

s : l

es s

ourc

es

de fi

nanc

emen

t, les

spé

cialis

tes

des

finan

ces,

les

pres

tata

ires

et le

s fo

nctio

nsLe

s fo

nctio

ns :

Les

type

s de

four

nitu

res

et d

e se

rvice

s of

ferts

et l

es

ctivi

tés

men

ées

Rem

arqu

e : S

ans

objet

s'il

n'e

xiste

pas

de

CNS

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Un s

eul

Tous

les

quat

re

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Chac

un d

es tr

ois

Les

donn

ées

sur l

es

dépe

nses

de

sant

é so

nt

disp

onib

les

pour

au

moi

ns u

n gr

and

prog

ram

me

de lu

tte

cont

re c

erta

ines

mal

adie

s et

un

autre

dom

aine

de

préo

ccup

atio

n en

mat

ière

de

pol

itiqu

e

2.4

Les C

NS fo

urni

ssen

t des

don

nées

sur l

es d

épen

ses d

e san

té p

ar

prin

cipale

s m

aladi

es,

cham

p d'

appl

icatio

n de

s pr

ogra

mm

es d

e sa

nté,

rég

ion

géog

raph

ique

/adm

inist

rativ

e et

/ou

popu

latio

ns c

ible

(selo

n les

gra

ndes

pré

occu

patio

ns e

n m

atièr

e de

pol

itiqu

e)

Néan

tLe

s do

nnée

s su

r les

pens

es d

e sa

nté

sont

di

spon

ible

s po

ur a

u m

oins

deu

x gr

ands

pr

ogra

mm

es d

e lu

tte

cont

re c

erta

ines

m

alad

ies

et u

n au

tre

dom

aine

de

préo

ccup

a-tio

n en

mat

ière

de

polit

ique

On d

ispo

se d

'un

budg

et

des

dépe

nses

dan

s ce

rtain

s do

mai

nes

de

préo

ccup

atio

n en

mat

ière

de

pol

itiqu

e, m

ais

ces

prév

isio

ns e

xclu

ent

certa

ines

sou

rces

im

porta

ntes

de

finan

ce-

men

t (pa

r exe

mpl

e le

s fa

ux fr

ais)

Chac

un d

es d

eux

III.F

.3

Diffu

sion

3.2

Les

donn

ées

recu

eillie

s de

s CN

S so

nt la

rgem

ent e

t fac

ilem

ent

acce

ssib

les

Rem

arqu

e : S

ans

objet

s'il

n'e

xiste

pas

de

CNS

Il n'

exis

te p

as d

e ra

ppor

t écr

it po

rtant

sur

le

s do

nnée

s re

cuei

llies

de

s CN

S

Les

donn

ées

recu

eilli

es

des

CNS

ont f

ait l

'obj

et

d'un

e la

rge

diffu

sion

et

sont

cité

es d

ans

un

docu

men

t que

l'on

peu

t co

nsul

ter s

ur le

site

web

Les

donn

ées

recu

eilli

es

des

CNS

ont f

ait l

'obj

et

d'un

e di

ffusi

on a

uprè

s du

pu

blic

Les

donn

ées

recu

eilli

es

des

CNS

sont

dis

poni

bles

à

l'age

nce,

mai

s n'

ont p

as

fait

l'obj

et d

'une

larg

e di

ffusi

on

III.F

.4

Inté

grat

ion

& u

tilis

atio

n

4.2

Les

CNS

ont p

erm

is l'é

labor

atio

n de

pol

itiqu

es e

t l'a

ffect

atio

n de

s re

ssou

rces

Rem

arqu

e : S

ans

objet

s'il

n'e

xiste

pas

de

CNS

Rien

ne

perm

et

d'af

firm

er q

ue le

s dé

cide

urs

sont

au

cour

ant d

es

conc

lusi

ons

de la

co

mpt

abili

té n

atio

nale

da

ns le

dom

aine

de

la

sant

é

Il ex

iste

au

moi

ns u

n im

porta

nt d

ocum

ent d

e po

litiq

ue q

ui, d

ans

une

larg

e m

esur

e, a

sub

i l'i

nflue

nce

des

donn

ées

recu

eilli

es d

es C

NS e

t le

s ci

te o

sten

sibl

emen

t

Tout

au

moi

ns, c

erta

ines

do

nnée

s re

cuei

llies

des

CN

S on

t été

util

isée

s da

ns

le p

roce

ssus

d'é

tabl

isse

-m

ent d

es b

udge

ts e

t la

plan

ifica

tion

Les

déci

deur

s et

d'a

utre

s pa

rties

pre

nant

es s

ont a

u co

uran

t des

con

clus

ions

de

la c

ompt

abili

natio

nale

dan

s le

dom

aine

de

la s

anté

, mai

s rie

n ne

pe

rmet

d'a

ffirm

er q

ue c

es

conc

lusi

ons

ont m

odel

é la

po

litiq

ue e

t la

plan

ifica

tion

Page 123: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

123

4. L

ES É

QUIP

EMEN

TS, L

ES F

OURN

ITUR

ES E

T LE

S PR

ODUI

TS

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

III.F

.1

Cont

enu

1.1

Chac

une

des

form

atio

ns s

anita

ires

doit,

une

fois

au m

oins

par

an

, pré

sent

er u

n ra

ppor

t sur

l'in

vent

aire e

t l'é

tat d

es éq

uipe

men

ts et

de

s in

frast

ruct

ures

mat

ériel

les d

u se

cteu

r pub

lique

(par

exe

mpl

e la

cons

truct

ion,

l'e

ntre

tien,

l'a

limen

tatio

n en

ea

u,

le sy

stèm

e éle

ctriq

ue, l

e sy

stèm

e d'

évac

uatio

n de

s ea

ux u

sées

)

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Non

Oui

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

III.F

.4

Inté

grat

ion

& u

tilis

atio

n

4.3

Les

syst

èmes

d'

info

rmat

ion

pour

di

ffére

nts

prod

uits

et

fo

urni

ture

s so

nt p

ris e

n co

mpt

e da

ns le

sec

teur

pub

licTo

utes

les

four

nitu

res

et to

us le

s pr

odui

ts fo

nt

l'obj

et d

'un

rapp

ort

sépa

Entiè

rem

ent

Parti

elle

men

tPa

ssab

lem

ent

1.3

Chaq

ue fo

rmat

ion

sani

taire

du

sect

eur p

ublic

doi

t, un

e fo

is au

m

oins

par

trim

estre

, pr

ésen

ter

un r

appo

rt su

r so

n st

ock

de

four

nitu

res

et d

e pr

odui

ts (

les m

édica

men

ts,

les v

accin

s, l

es

cont

race

ptifs

et d

'aut

res

four

nitu

res)

Non

Oui

III.F

.2

Capa

cité

&

prat

ique

s

2.1

Dans

le

sect

eur

publ

ic, o

n di

spos

e d'

asse

z de

res

sour

ces

hum

aines

suf

fisam

men

t qu

alifié

es p

our

gére

r les

infra

stru

ctur

es

mat

ériel

les e

t la

logi

stiq

ue li

ée à

l'éq

uipe

men

t, au

x fo

urni

ture

s et

au

x pr

odui

ts

Tota

lem

ent

insu

ffisa

ntes

Très

suf

fisan

tes

Suffi

sant

esEx

iste

nt, m

ais

sont

in

suffi

sant

es

2.2

Pério

dicit

é et

exh

aust

ivité

des

rapp

orts

sur

les

équi

pem

ents

et

les in

frast

ruct

ures

mat

ériel

les d

u se

cteu

r pub

licNé

ant

Rapp

orts

trim

estri

els

com

plet

sRa

ppor

ts a

nnue

ls

com

plet

sRa

ppor

ts in

com

plet

s

2.3

Pério

dicit

é et e

xhau

stivi

té d

es ra

ppor

ts su

r les

four

nitu

res e

t les

pr

odui

ts d

ans

le se

cteu

r pub

licNé

ant

Rapp

orts

men

suel

s co

mpl

ets

Rapp

orts

trim

estri

els

com

plet

sRa

ppor

ts in

com

plet

s

Page 124: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire124

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répu

bliq

ue A

lgér

ienn

e Dé

moc

ratiq

ue e

t Pop

ulai

re

Min

istè

re d

e la

San

té, d

e la

Pop

ulat

ion

et d

e la

Réf

orm

e Ho

spita

lière

Inst

itut N

atio

nal d

e Sa

nté

Publ

ique

Eval

uatio

n du

Sys

tèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ire

Ques

tionn

aire

4 : G

estio

n de

s do

nnée

s

Code

Form

atio

n de

bas

e

Fonc

tion

Inst

itutio

n

Date

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

Page 125: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

125

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

IV. L

A GE

STIO

N DE

S DO

NNÉE

S

IV.A

.1Il

exist

e un

ens

embl

e de

pro

cédu

res

écrit

es p

erm

etta

nt la

ges

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des

donn

ées,

not

amm

ent l

a co

llect

e, le

sto

ckag

e, le

net

toya

ge, l

a m

aîtris

e de

la q

ualit

é, l'

analy

se e

t la

prés

enta

tion

des

donn

ées

pour

le p

ublic

visé

. Ces

pro

cédu

res

sont

mise

s en

œuv

re s

ur to

ut

le te

rrito

ire.

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Il n'

exis

te p

as d

e pr

océd

ures

écr

ites

Oui,

il ex

iste

un

ense

mbl

e de

pr

océd

ures

écr

ites

com

pren

ant

tout

es le

s ét

apes

de

la g

estio

n de

s do

nnée

s et

ces

pro

cédu

res

sont

app

liqué

es s

ur to

ut le

te

rrito

ire

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Oui,

il ex

iste

un

ense

mbl

e de

pro

cédu

res

écrit

es

perm

etta

nt la

ges

tion

des

donn

ées,

mai

s ce

s pr

océd

ures

ne

sont

que

pa

rtiel

lem

ent m

ises

en

œuv

re

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

À l'é

chelo

n na

tiona

l, l'u

nité

du

Syst

ème

d'in

form

atio

n sa

nita

ire

(SIS

) fa

it fo

nctio

nner

une

ban

que

de d

onné

es c

onte

nant

des

in

form

atio

ns p

rove

nant

de

tout

es l

es s

ourc

es (

auss

i bi

en l

es

sour

ces

axée

s su

r la

popu

latio

n qu

e ce

lles

repo

sant

sur

les

fo

rmat

ions

san

itaire

s, y

com

pris

tous

les

prin

cipau

x pr

ogra

mm

es

de s

anté

), et

est

dot

ée d

'un

utilit

aire

conv

ivial

de tr

ansm

issio

n de

do

nnée

s au

quel

dive

rs p

ublic

s ut

ilisat

eurs

ont

acc

ès.

Oui,

il ex

iste

à l'

éche

lon

natio

nal u

ne b

anqu

e de

do

nnée

s, m

ais

elle

est

do

tée

d'un

util

itaire

de

trans

mis

sion

de

donn

ées

de p

orté

e lim

itée

Il n'

exis

te a

ucun

e ba

nque

de

donn

ées

Oui,

il ex

iste

à l'

éche

lon

natio

nal u

ne b

anqu

e de

do

nnée

s do

tée

d'un

util

itaire

co

nviv

ial d

e tra

nsm

issi

on d

e do

nnée

s au

quel

tout

es le

s ad

min

istra

tions

pub

lique

s pa

rtena

ires

et to

us le

s pa

rtena

ires

à at

tein

dre

ont

accè

s

IV.A

.2Ou

i, il

exis

te à

l'éc

helo

n na

tiona

l une

ban

que

de

donn

ées,

mai

s el

le n

'est

pa

s do

tée

d'un

util

itaire

de

trans

mis

sion

de

donn

ées

Oui,

il ex

iste

un

ense

mbl

e de

pro

cédu

res

écrit

es

perm

etta

nt la

ges

tion

des

donn

ées,

mai

s ce

s pr

océd

ures

ne

sont

pas

m

ises

en

œuv

re

À l'é

chelo

n in

frana

tiona

l, il e

xiste

une

ban

que d

e don

nées

sim

ilaire

à

celle

que

l'o

n tro

uve

au n

iveau

nat

iona

l, et

un

utilit

aire

de

prod

uctio

n de

rapp

orts

auq

uel d

ivers

pub

lics

visés

ont

acc

ès.

Oui,

il ex

iste

à l'

éche

lon

infra

natio

nal u

ne b

anqu

e de

don

nées

, mai

s el

le e

st

doté

e d'

un u

tilita

ire d

e tra

nsm

issi

on d

e do

nnée

s de

por

tée

limité

e

Il n'

exis

te a

ucun

e ba

nque

de

donn

ées

Oui,

il ex

iste

à l'

éche

lon

infra

natio

nal u

ne b

anqu

e de

do

nnée

s do

tée

d'un

util

itaire

co

nviv

ial d

e tra

nsm

issi

on d

e do

nnée

s au

niv

eau

natio

nal,

et

nota

mm

ent à

l'éc

helo

n du

di

stric

t

IV.A

.3Ou

i, il

exis

te à

l'éc

helo

n in

frana

tiona

l une

ban

que

de d

onné

es, m

ais

elle

n'e

st

doté

e d'

aucu

n ut

ilita

ire d

e tra

nsm

issi

on d

e do

nnée

s

Il ex

iste

un d

ictio

nnair

e de

mét

adon

nées

qui

four

nit l

a dé

finiti

on

des

varia

bles

ain

si qu

e leu

r em

ploi

dan

s les

ind

icate

urs,

les

ca

ract

érist

ique

s de

la

mét

hode

de

colle

cte

des

donn

ées,

la

pério

dicit

é,

les

désig

natio

ns

géog

raph

ique

s,

les

tech

niqu

es

d'an

alyse

util

isées

et l

es é

vent

uelle

s er

reur

s sy

stém

atiq

ues

Oui,

il ex

iste

un

dict

ionn

aire

de

mét

adon

-né

es, m

ais

il co

ntie

nt u

n en

sem

ble

rela

tivem

ent

inco

mpl

et d

e dé

finiti

ons

et d

e ca

ract

éris

tique

s

Oui,

il ex

iste

un

dict

ionn

aire

de

mét

adon

-né

es, m

ais

il co

ntie

nt u

n en

sem

ble

de d

éfini

tions

et

de c

arac

téris

tique

s trè

s in

com

plèt

es

Il n'

exis

te a

ucun

di

ctio

nnai

re d

e m

étad

onné

es

Oui,

il ex

iste

un

dict

ionn

aire

de

mét

adon

nées

qui

four

nit l

a dé

finiti

on d

es é

lém

ents

de

donn

ée c

oura

nts

ains

i que

les

cara

ctér

istiq

ues

des

autre

s in

form

atio

ns e

ssen

tielle

s re

lativ

es a

ux d

onné

es

IV.A

.4

Des

code

s id

entifi

cate

urs

exist

ent p

our l

es u

nité

s gé

ogra

phiq

ues

ou

adm

inist

rativ

es

(par

ex

empl

e les

gion

s/pr

ovin

ces,

les

di

stric

ts, l

es m

unici

palit

és, e

tc.),

dan

s le

but d

e fa

cilite

r la

fusio

n de

s no

mbr

euse

s ba

ses

de d

onné

es p

rove

nant

de

diffé

rent

es

sour

ces

Des

code

s id

entifi

cate

urs

sim

ilaire

s so

nt u

tilis

és

dans

diff

éren

tes

base

s de

do

nnée

s, m

ais

il fa

udra

ploy

er d

es e

fforts

pou

r le

s fu

sion

ner

Des

code

s id

entifi

cate

urs

sont

dis

poni

bles

, mai

s ils

ne

per

met

tent

pas

de

proc

éder

à la

con

cord

ance

en

tre le

s di

ffére

ntes

bas

es

de d

onné

es

Non

disp

onib

leSo

it de

s co

des

iden

tifica

teur

s un

ique

s so

nt u

tilis

és d

ans

diffé

rent

es b

ases

de

donn

ées,

so

it il

exis

te u

ne ta

ble

rela

tionn

elle

com

plèt

e pe

rmet

tant

de

les

fusi

onne

r

IV.A

.5

Page 126: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire126

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répu

bliq

ue A

lgér

ienn

e Dé

moc

ratiq

ue e

t Pop

ulai

re

Min

istè

re d

e la

San

té, d

e la

Pop

ulat

ion

et d

e la

Réf

orm

e Ho

spita

lière

Inst

itut N

atio

nal d

e Sa

nté

Publ

ique

Eval

uatio

n du

Sys

tèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ire

Ques

tionn

aire

5 : P

rodu

its d

e l’i

nfor

mat

ion

Code

Form

atio

n de

bas

e

Fonc

tion

Inst

itutio

n

Date

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

Page 127: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

127

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

A. IN

DICA

TEUR

S DE

L'E

TAT

DE L

A SA

NTÉ

MOR

TALI

1. M

orta

lité

chez

les

moi

ns d

e ci

nq a

ns

(tout

es

caus

es

conf

ondu

es)

Mét

hode

de

colle

cte

de d

onné

es u

tilis

ée p

our

les

donn

ées

les

plus

réce

ntes

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Pas

de d

onné

esEn

regi

stre

men

t à l'

état

ci

vil d

e 90

% a

u m

oins

de

s dé

cès

chez

les

moi

ns d

e ci

nq a

ns

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

Hist

oriq

ue d

es n

aiss

ance

s à

parti

r des

enq

uête

s au

près

des

mén

ages

ou

du S

EE

Autre

s m

étho

des

(telle

s qu

e le

s m

étho

des

indi

rect

es, l

es d

écès

cent

s) à

par

tir

d'en

quêt

es a

uprè

s de

s m

énag

es o

u de

re

cens

emen

ts

V. P

RODU

ITS

DE L

'INFO

RMAT

ION

V.A.

1.1

Mét

hode

de

col

lect

e de

s do

nnée

s

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Pour

le

s pr

évis

ions

pu

blié

es

plus

cem

men

t, no

mbr

e d'

anné

es d

epui

s la

col

lect

e de

s do

nnée

sDi

x an

s ou

plu

sZé

ro à

deu

x an

sTr

ois

à ci

nq a

nsSi

x à

neuf

ans

V.A.

1.2

Rap

idité

de

publ

icat

ion

Nom

bre

de fo

is q

ue la

pér

iodi

cité

a é

té m

esur

ée a

u co

urs

des

dix

dern

ière

s an

nées

Aucu

ne fo

isTr

ois

fois

ou

dava

ntag

eDe

ux fo

isUn

e fo

isV.

A.1.

3Pé

riodi

cité

Les

révi

sion

s so

nt c

ohér

ente

s da

ns l

e te

mps

et

l'ens

embl

e de

s do

nnée

s en

tre

les

prin

cipa

les

sour

ces

au c

ours

des

dix

der

nièr

es a

nnée

s

Sans

obj

etPa

s d'

écar

ts

sign

ifica

tifs

Quel

ques

éca

rtsDe

nom

breu

x éc

arts

V.A.

1.4

Le c

ham

p d'

appl

icat

ion

des

donn

ées,

sur

leq

uel

repo

se

la

plup

art

des

prév

isio

ns

diffu

sées

cem

men

t

Sans

obj

etTo

us le

s dé

cès

(plu

s de

90

%)

Écha

ntill

on d

e dé

cès

Étud

es m

enée

s lo

cale

men

tV.

A.1.

5R

epré

sent

ativ

ité

Prév

isio

ns

les

plus

cent

es,

vent

ilées

pa

r ca

ract

éris

tique

s gé

ogra

phiq

ues

(par

exe

mpl

e le

se

xe e

t l'â

ge),

par

stat

ut s

ocio

écon

omiq

ue (

par

exem

ple

nive

au d

e re

venu

s, p

rofe

ssio

n, n

ivea

u d'

inst

ruct

ion

de le

urs

pare

nts)

et

par

loca

lité

(par

ex

empl

e zo

ne u

rbai

ne/ru

rale

, pr

inci

pale

s ré

gion

s gé

ogra

phiq

ues

ou a

dmin

istra

tives

)

Aucu

ne

Tous

les

trois

Deux

Une

V.A.

1.6

Dés

agré

gatio

n

Les

prév

isio

ns

natio

nale

s re

cour

ent

à de

s m

étho

des

d'es

timat

ion

trans

pare

ntes

et é

prou

vées

Non

Oui

V.A.

1.7

Mét

hode

s d'

estim

atio

n

Page 128: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire128

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

A. IN

DICA

TEUR

S DE

L'E

TAT

DE L

A SA

NTÉ

MOR

TALI

2. M

orta

lité

mat

erne

lleM

étho

de d

e co

llect

e de

don

nées

util

isée

pou

r ré

alis

er l

es p

révi

sion

s qu

i on

t ét

é pu

blié

es t

rès

réce

mm

ent o

u qu

i ser

ont p

ublié

es

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Pas

de d

onné

esEn

regi

stre

men

t à l'

état

ci

vil d

'au

moi

ns 9

0 %

de

s dé

cès,

ass

ortis

d'

un b

on s

ystè

me

de

certi

ficat

ion

de la

ca

use

du d

écès

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

SAVV

Y av

ec a

utop

sie

verb

ale

Mét

hode

s di

rect

es à

pa

rtir d

es e

nquê

tes

aupr

ès d

es m

énag

es e

t de

s re

cens

emen

ts (t

els

que

l'his

toriq

ue d

e la

fra

trie,

les

décè

s ré

cent

s su

ivis

d'a

utop

sie

verb

ale)

V.2.

1

Mét

hode

de

col

lect

e de

s do

nnée

s

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Pour

les

prév

isio

ns p

ublié

es a

u co

urs

de la

pér

iode

la

plu

s ré

cent

e, n

ombr

e d'

anné

es d

epui

s la

col

lect

e de

s do

nnée

s

Dix

ans

ou p

lus

Zéro

à d

eux

ans

Troi

s à

cinq

ans

Six

à ne

uf a

nsV.

2.2

Rap

idité

de

publ

icat

ion

Nom

bre

de fo

is q

ue la

pér

iodi

cité

a é

té m

esur

ée a

u co

urs

des

dix

dern

ière

s an

nées

Pas

de d

onné

esTr

ois

fois

ou

dava

ntag

eDe

ux fo

isUn

e fo

isV.

2.3

Pério

dici

Donn

ées

cohé

rent

es a

u co

urs

des

dix

dern

ière

s an

nées

Sa

ns o

bjet

Pas

d'éc

arts

si

gnifi

catif

sQu

elqu

es é

carts

De n

ombr

eux

écar

tsV.

2.4

Cohé

renc

e

Cham

p d'

appl

icat

ion

sur

lequ

el

repo

sent

le

s pr

évis

ions

les

plus

réce

ntes

Pas

de d

onné

esTo

us le

s dé

cès

Écha

ntill

on d

e dé

cès

Au p

lan

loca

lV.

2.5

Rep

rése

ntat

ivité

Les

prév

isio

ns

qui

ont

été

publ

iées

le

pl

us

réce

mm

ent,

ou q

ui s

eron

t pub

liées

, son

t ven

tilée

s pa

r ca

ract

éris

tique

s gé

ogra

phiq

ues

(par

exe

mpl

e âg

e),

par

stat

ut s

ocio

écon

omiq

ue (

par

exem

ple

nive

au

de

reve

nus,

pr

ofes

sion

, ni

veau

d'

inst

ruct

ion)

et

par

loca

lité

(par

exe

mpl

e zo

ne

urba

ine

ou

rura

le,

prin

cipa

les

régi

ons

géog

raph

ique

s ou

adm

inis

trativ

es)

Aucu

ne

Tous

les

trois

Deux

Une

V.2.

6D

ésag

réga

tion

Les

prév

isio

ns

natio

nale

s re

cour

ent

à de

s m

étho

des

d'es

timat

ion

trans

pare

ntes

et é

prou

vées

Non

Oui

V.2.

7M

étho

des

d'es

timat

ion

Page 129: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

129

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

A. IN

DICA

TEUR

S DE

L'E

TAT

DE L

A SA

NTÉ

MOR

BIDI

3- P

réva

lenc

edu

VIH

Mét

hode

s ut

ilisé

es p

our

colle

cter

les

poi

nts

de

donn

ées

les

plus

réce

nts.

1. S

’agi

ssan

t d’u

ne é

pidé

mie

gén

éral

isée

:

2. S

’agi

ssan

t d’u

ne é

pidé

mie

con

cent

rée

:

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

1. A

utre

s

2.

Aut

res

1. E

nquê

te g

énér

ale

sur l

a po

pula

tion

+ co

ntrô

le d

es s

oins

pr

énat

als

;

2. S

urve

illan

ce d

e la

po

pula

tion

à ha

ut

risqu

e, à

l’ai

de d

e l’é

chan

tillo

nnag

e al

éato

ire.

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

1. C

ontrô

le d

es s

oins

pr

énat

als;

2. S

urve

illan

ce d

e la

po

pula

tion

à ha

ut ri

sque

, à

l’aid

e de

s éc

hant

illon

s ch

oisi

s à

dess

in.

1. D

écla

ratio

n de

s ca

s de

VIH

.

2. D

écla

ratio

n de

s ca

s de

VIH

V.3.

1

Mét

hode

de

col

lect

e de

s do

nnée

s

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Pour

les

estim

atio

ns p

ublié

es le

plu

s ré

cem

men

t, le

s do

nnée

s av

aien

t ét

é co

llect

ées

il y

a co

mbi

en

d’an

nées

?

Au m

oins

5 a

nsM

oins

de

2 an

s2

ans

3 à

4 an

sV.

3.2

Opp

ortu

nité

Com

bien

de

fois

a-t-

elle

été

mes

urée

au

cour

s de

s 5

dern

ière

s an

nées

?Au

plu

s 1

fois

5 fo

is3

à 4

fois

2 fo

isV.

3.3

Pério

dici

Poin

ts d

e do

nnée

s et

tend

ance

s co

hére

nts

au c

ours

de

s 5

dern

ière

s an

nées

.No

n ap

plic

able

Pas

de d

ispa

rités

m

ajeu

res

Quel

ques

dis

parit

ésDe

nom

breu

ses

disp

arité

sV.

3.4

Cohé

renc

e

Eten

due

des

donn

ées

sur

lesq

uelle

s se

ba

se

l’est

imat

ion

la p

lus

réce

mm

ent c

omm

uniq

uée.

1. S

’agi

ssan

t d’u

ne é

pidé

mie

gén

éral

isée

:

2. S

’agi

ssan

t d’u

ne é

pidé

mie

con

cent

rée

:

1. A

utre

s

2. A

utre

s

1. E

nquê

te s

ur u

n éc

hant

illon

repr

ésen

ta-

tif n

atio

nal +

clin

ique

de

soi

ns p

réna

tals

en

zone

s ur

bain

e et

rura

le;

2. T

ous

les

gran

ds

grou

pes

de p

opul

atio

n à

haut

risq

ue, a

vec

écha

ntill

onna

ge

aléa

toire

.

1. L

es c

liniq

ues

de s

oins

pr

énat

als

en z

ones

ur

bain

e et

rura

le.

2. A

u m

oins

un

gran

d gr

oupe

de

popu

latio

n à

risqu

e da

ns p

lusi

eurs

lo

calit

és.

1. E

chan

tillo

n in

appr

o-pr

ié d

e cl

iniq

ues

2. U

ne p

opul

atio

n à

haut

ris

que

dans

une

loca

lité.

V.3.

5R

epré

sent

ativ

ité

Page 130: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire130

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

A. IN

DICA

TEUR

S DE

L'E

TAT

DE L

A SA

NTÉ

MOR

BIDI

3- P

réva

lenc

edu

VIH

Les

estim

atio

ns

réce

ntes

so

nt

clas

sées

pa

r ca

ract

éris

tique

mog

raph

ique

ge

et

sexe

), st

atut

so

cioé

cono

miq

ue

(ric

hess

e,

empl

oi

ou

éduc

atio

n)

et

par

loca

lité

(zon

e ur

bain

e,

zone

ru

rale

, pr

inci

pale

gion

ad

min

istra

tive

ou

géog

raph

ique

).

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Aucu

nTo

us le

s tro

is –

en

parti

culie

r, la

pr

éval

ence

par

mi l

es

jeun

es d

e 15

à 2

4 an

s es

t est

imée

ave

c un

éc

hant

illon

de

taill

e ap

prop

riée

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

Deux

UnV.

3.6

Désa

grég

atio

n

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Le t

aux

de c

ouve

rture

de

la r

ouge

ole

peut

-être

es

timé

grâc

e au

x st

atis

tique

s ad

min

istra

tives

so

umis

es

par

au

moi

ns

90%

de

s ce

ntre

s de

va

ccin

atio

n.

Ces

stat

istiq

ues

sont

sys

tém

atiq

uem

ent

revu

es à

ch

aque

niv

eau

pour

s’a

ssur

er d

e le

ur in

tégr

alité

et

de

leur

co

hére

nce,

et

to

ute

disc

orda

nce

est

exam

inée

et c

orrig

ée. D

es e

stim

atio

ns fi

able

s de

la

popu

latio

n pe

rmet

tent

de

calc

uler

cet

te c

ouve

rture

.

L’es

timat

ion

du ta

ux

de c

ouve

rture

de

la

roug

eole

ne

peut

se

faire

à p

artir

des

st

atis

tique

s ad

min

istra

tives

Oui.

Les

stat

istiq

ues

adm

inis

trativ

es s

ont

com

plèt

es (>

90%

) et

le c

ontrô

le d

e la

qua

lité

est b

on ;

les

déno

min

a-te

urs

dém

ogra

phiq

ues

se b

asen

t sur

l’en

regi

- st

rem

ent s

trict

des

na

issa

nces

(> 9

0%)

Les

stat

istiq

ues

adm

inis

-tra

tives

son

t éva

luée

s en

vu

e de

gar

antir

leur

in

tégr

alité

ain

si q

ue d

e le

ur c

ohér

ence

; les

nom

inat

eurs

dém

ogra

- ph

ique

s se

bas

ent s

ur le

s pr

évis

ions

dém

ogra

phi-

ques

L’év

alua

tion

de

l’int

égra

lité

et d

e la

co

hére

nce

des

stat

isti-

qu

es a

dmin

istra

tives

est

fa

ible

, ou

bien

ces

sta

tis-

tique

s so

nt s

oum

ises

par

m

oins

de

90%

des

ce

ntre

s co

ncer

nés

ou

alor

s il

n’ex

iste

pas

de

prév

isio

ns d

émog

raph

i- qu

es

V.4.

1M

étho

de d

eco

llect

e de

s in

form

atio

ns

- St

atis

tique

sad

min

istr

ativ

es

Au

cour

s de

s 5

dern

ière

s an

nées

le

ta

ux

de

couv

ertu

re d

e la

rou

geol

e a

été

mes

uré

par

au

moi

ns 2

enq

uête

s na

tiona

les

men

ées

aupr

ès d

es

mén

ages

, et

à

chaq

ue

enqu

ête,

le

s ca

rtes

de

vacc

inat

ion

des

2/3

des

enfa

nts

au m

oins

ont

été

pr

ésen

tées

Aucu

ne e

stim

atio

n du

taux

de

couv

er-

ture

, ni e

stim

atio

n ba

sée

sur u

ne

enqu

ête

aupr

ès d

es

mén

ages

dep

uis

plus

de

5 a

ns

Oui a

u co

urs

des

5 de

rniè

res

anné

es, a

u m

oins

2 e

nquê

tes

natio

nale

s au

près

des

m

énag

es o

nt é

men

ées

pour

mes

urer

la

cou

vertu

re d

e la

ro

ugeo

le ;

et lo

rs d

e ce

s en

quêt

es, l

es

carte

s de

s 2/

3 de

s en

fant

s au

moi

ns o

nt

été

prés

enté

es

Au c

ours

des

5 d

erni

ères

an

nées

, 1 e

nquê

te

natio

nale

aup

rès

des

mén

ages

a é

té ré

alis

ée

pour

mes

urer

le ta

ux d

e co

uver

ture

de

la ro

ugeo

le,

et à

cet

te o

ccas

ion

les

carte

s de

s 2/

3 de

s en

fant

s au

moi

ns o

nt é

prés

enté

es

Lors

de

l’enq

uête

aup

rès

des

mén

ages

, les

car

tes

de v

acci

natio

n de

moi

ns

des

2/3

des

enfa

nts

ont

été

prés

enté

es

V.4.

2M

étho

de d

e co

llect

e de

s in

form

atio

ns

- sta

tistiq

ues

four

nies

par

les

enqu

êtes

aup

rès

des

mén

ages

4- T

aux

de

couv

ertu

re d

ela

roug

eole

pa

r 12

moi

sd’

âge

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

Page 131: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

131

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Pour

les

estim

atio

ns le

s pl

us ré

cent

es, n

ombr

e de

m

ois

depu

is la

col

lect

e de

s in

form

atio

ns.

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

30 m

ois

et p

lus

0 - 1

1 m

ois

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

12 -

17 m

ois

18 -

29 m

ois

V.4.

3

Oppo

rtuni

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

Nom

bre

de fo

is q

u’a

été

publ

iée

au c

ours

des

cin

q de

rniè

res

anné

es u

ne e

stim

atio

n an

nuel

le b

asée

su

r les

sta

tistiq

ues

adm

inis

trativ

es.

Pas

une

fois

5

fois

au

plus

3 à

4 fo

is

1 ou

2 fo

isV.

4.4

Pério

dici

Les

estim

atio

ns

qui

ont

été

publ

iées

trè

s ré

cem

men

t ou

qui v

ont l

’être

son

t dés

agré

gées

par

le

s fa

cteu

rs d

émog

raph

ique

s (p

ar e

xem

ple

le s

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et l‘

âge)

, les

fact

eurs

soc

io-é

cono

miq

ues

(tels

que

le

reve

nu, l

a pr

ofes

sion

et l

’édu

catio

n de

s pa

rent

s)

et la

loca

lité

(par

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mpl

e, le

s zo

nes

urba

ines

ou

rura

les,

les

prin

cipa

les

zone

s gé

ogra

phiq

ues

ou

adm

inis

trativ

es)

Désa

grég

atio

n im

poss

ible

Désa

grég

atio

n ex

ista

nte

pour

3

élém

ents

Désa

grég

atio

n ex

ista

nte

pour

2 é

lém

ents

Désa

grég

atio

n ex

ista

nte

pour

1 é

lém

ent

V.4.

7Dé

sagr

égat

ion

4- T

aux

de

couv

ertu

re d

ela

roug

eole

pa

r 12

moi

sd’

âge

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

Les

donn

ées

conc

orde

nt

avec

le

s en

quêt

es

réce

ntes

et l

es ra

ppor

ts

Sans

rapp

ort

Pas

de d

isco

rdan

ces

maj

eure

s Qu

elqu

es d

isco

rdan

ces

De n

ombr

euse

s di

scor

danc

es

V.4.

5Co

hére

nce

Couv

ertu

re d

es d

onné

es s

ur le

sque

lles

se fo

nden

t le

s to

utes

der

nièr

es e

stim

atio

ns

Autre

(i) d

onné

es fo

urni

es

par a

u m

oins

90%

des

in

stal

latio

ns s

anita

ires

ou d

es c

entre

s d’

info

rmat

ion

où le

s en

fant

s so

nt v

acci

nés,

y

com

pris

tous

les

prin

cipa

ux h

ôpita

ux

des

sect

eurs

pub

lic e

t pr

ivé

; ou

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(ii)

un

écha

ntill

on re

prés

enta

-tif

des

mén

ages

au

nive

au n

atio

nal

Donn

ées

four

nies

par

au

moi

ns 8

0% d

es in

stal

la-

tions

san

itaire

s et

des

ce

ntre

s d’

info

rmat

ion

les

enfa

nts

sont

vac

ciné

s

Donn

ées

four

nies

par

m

oins

de

80%

des

in

stal

latio

ns s

anita

ires

et

des

cent

res

d’in

form

a-tio

ns o

ù le

s en

fant

s so

nt

vacc

inés

V.4.

6R

epré

sent

ativ

ité

Page 132: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire132

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Le p

ourc

enta

ge d

es a

ccou

chem

ents

ass

isté

s pa

r un

per

sonn

el s

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ire q

ualifi

é pe

ut ê

tre e

stim

é gr

âce

aux

stat

istiq

ues

adm

inis

trativ

es

syst

émat

ique

men

t so

umis

es p

ar a

u m

oins

90%

de

s in

stal

latio

ns

sani

taire

s co

mpé

tent

es.

Ces

stat

istiq

ues

sont

sy

stém

atiq

uem

ent

revu

es

à ch

aque

niv

eau

pour

s’a

ssur

er d

e le

ur in

tégr

alité

et

de

leur

co

hére

nce,

et

to

ute

disc

orda

nce

est

exam

inée

et c

orrig

ée. D

es e

stim

atio

ns fi

able

s de

la

popu

latio

n pe

rmet

tent

de

ca

lcul

er

ce

taux

de

co

uver

ture

.

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

L’es

timat

ion

du

pour

cent

age

des

acco

uche

men

ts

assi

stés

par

un

pers

onne

l san

itaire

qu

alifi

é ne

peu

t se

faire

à p

artir

des

st

atis

tique

s ad

min

istra

tives

Oui.

Les

stat

istiq

ues

adm

inis

trativ

es s

ont

com

plèt

es (>

90%

) et

le c

ontrô

le d

e la

qua

lité

est b

on ;

les

déno

min

a-te

urs

dém

ogra

phiq

ues

sont

dés

agré

gés

par

l’enr

egis

trem

ent s

trict

de

s na

issa

nces

(>

90%

)

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

Les

stat

istiq

ues

adm

inis

-tra

tives

son

t éva

luée

s en

vu

e de

gar

antir

leur

in

tégr

alité

ain

si q

ue le

ur

cohé

renc

e; le

s dé

nom

ina-

teur

s dé

mog

raph

ique

s so

nt d

ésag

régé

s pa

r les

pr

évis

ions

mog

raph

ique

s

L’év

alua

tion

de

l’int

égra

lité

et d

e la

co

hére

nce

des

stat

is-

tique

s ad

min

istra

tives

es

t fai

ble,

ou

bien

ces

st

atis

tique

s so

nt

soum

ises

par

moi

ns d

e 90

% d

es c

entre

s co

ncer

nés

ou a

lors

il

n’ex

iste

pas

de

prév

isio

ns d

émog

ra-

phiq

ues

V.5.

1

Mét

hode

de

colle

cte

des

info

rmat

ions

- s

tatis

tique

s a

dmin

istra

tives

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

5. A

ccou

che-

m

ents

as

sist

és p

arde

s pe

rson

nels

de la

san

qual

ifiés

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

V.5.

2M

étho

de d

e co

llect

e de

s in

form

atio

ns

- st

atis

tique

s fo

urni

es p

ar

les

enqu

êtes

au

près

des

m

énag

es

Pour

les

estim

atio

ns le

s pl

us ré

cent

es, n

ombr

e de

m

ois

depu

is la

col

lect

e de

s in

form

atio

ns fi

able

s de

la

pop

ulat

ion

perm

etta

nt d

e ca

lcul

er c

e ta

ux d

e co

uver

ture

60 m

ois

ou p

lus

0 - 1

1 m

ois

12 -

17 m

ois

V.5.

3O

ppor

tuni

18 -

59 m

ois

Nom

bre

de fo

is m

esur

ée a

u co

urs

des

10 d

erni

ères

an

nées

Pa

s un

e fo

is3

ou p

lus

2V.

5.4

Pério

dici

1

Au c

ours

des

5 d

erni

ères

ann

ées,

le p

ourc

enta

ge

des

acco

uche

men

ts a

ssis

tés

par

un p

erso

nnel

sa

nita

ire q

ualifi

é a

été

mes

uré

par

au m

oins

2

enqu

êtes

nat

iona

les

men

ées

aupr

ès d

es m

énag

es

Aucu

ne e

stim

atio

n du

taux

de

couv

ertu

re n

i es

timat

ion

basé

e su

r un

e en

quêt

e au

près

de

s m

énag

es d

epui

s pl

us d

e 5

ans

Oui.

Au c

ours

des

5

dern

ière

s an

nées

, au

moi

ns 2

enq

uête

s na

tiona

les

aupr

ès d

es

mén

ages

ont

été

m

enée

s po

ur m

esur

er

le ta

ux d

e co

uver

ture

Au c

ours

des

5 d

erni

ères

an

nées

1 e

nquê

te

natio

nale

aup

rès

des

mén

ages

a é

té ré

alis

ée

pour

mes

urer

le ta

ux d

e co

uver

ture

Les

donn

ées

conc

orde

nt

avec

le

s en

quêt

es

réce

ntes

et l

es ra

ppor

ts

Sans

rapp

ort

Pas

de d

isco

rdan

ces

maj

eure

sQu

elqu

es d

isco

rdan

ces

V.5.

5Co

hére

nce

De n

ombr

euse

s di

scor

danc

es

Page 133: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

133

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Couv

ertu

re d

es d

onné

es s

ur le

sque

lles

se fo

nden

t le

s to

utes

der

nièr

es e

stim

atio

ns

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Néan

t Do

nnée

s pr

oven

ant

d’au

moi

ns 9

0% d

es

gros

sess

es a

ssis

tées

pa

r un

pers

onne

l m

édic

al q

ualifi

é, e

t de

l’enr

egis

trem

ent s

trict

de

s na

issa

nces

(>90

%)

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

Écha

ntill

on re

prés

enta

tif

des

mén

ages

au

nive

au

natio

nal

Etud

es a

u ni

veau

loca

l; ra

ppor

ts in

com

plet

s su

r le

s ac

couc

hem

ents

su

perv

isés

par

des

pr

ofes

sion

nels

, co

nten

ant o

u no

n un

e év

alua

tion

de le

ur

inté

gral

ité

V.5.

6

Repr

ésen

tativ

ité

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

5. A

ccou

che-

m

ents

as

sist

és p

arde

s pe

rson

nels

de la

san

qual

ifiés

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

V.5.

7O

ppor

tuni

Les

estim

atio

ns

les

plus

cent

es

sont

sagr

égée

s pa

r le

s fa

cteu

rs d

émog

raph

ique

s (te

l qu

e l’â

ge) l

e st

atut

soc

ioéc

onom

ique

(par

exe

mpl

e,

le re

venu

, la

prof

essi

on e

t l’é

duca

tion)

et l

a lo

calit

é (p

ar

exem

ple,

la

zo

ne

urba

ine

ou

rura

le,

les

prin

cipa

les

zone

s gé

ogra

phiq

ues

ou

adm

ini-

stra

tives

)

Néan

tTo

us le

s 3

fact

eurs

mog

raph

ique

s,

soci

oéco

nom

ique

s et

ogra

phiq

ues

2 su

r 31

sur 3

Sour

ce d

’info

rmat

ions

et m

étho

de u

tilis

ée p

our l

es

donn

ées

les

plus

réce

ntes

ant

Rapp

orts

clin

ique

s as

sorti

s d’

une

éval

uatio

n du

taux

de

trans

mis

sion

Rapp

ort d

es d

istri

cts

asso

rtis

d’un

e év

alua

tion

du ta

ux d

e tra

nsm

issi

on

V.6.

1M

étho

de d

e co

llect

e de

sin

form

atio

ns

Rapp

orts

nat

iona

ux

asso

rtis

d’un

e év

alua

tion

du ta

ux d

e tra

nsm

issi

on

Pour

les

est

imat

ions

les

plu

s ré

cent

es,

nom

bre

d’an

nées

dep

uis

la c

olle

cte

des

info

rmat

ions

5

ans

ou p

lus

1 an

s2

ans

V.6.

2O

ppor

tuni

3 - 4

ans

Nom

bre

de fo

is q

u’el

le a

été

mes

urée

au

cour

s de

la

der

nièr

e an

née

(doi

t se

faire

tous

les

trois

moi

s)Né

ant

4V.

6.3

Pério

dici

< 4

6. T

aux

de

réus

site

du

traite

men

t de

la tu

berc

ulos

eda

ns le

cad

re

du tr

aite

men

tde

brè

vedu

rée

sous

su

rvei

llanc

e di

rect

e(D

OTS)

Cohé

renc

e de

s ta

ux d

e ré

ussi

te d

u tra

item

ent

au

cour

s de

s 10

der

nièr

es a

nnée

s (fl

uctu

atio

ns d

ue à

la

pr

océd

ure

de

colle

cte

des

donn

ées

non

harm

onis

ées,

défi

nitio

ns, e

tc.)

Sans

rapp

ort

Pas

de d

isco

rdan

ces

maj

eure

sQu

elqu

es d

isco

rdan

ces

V.6.

4Co

hére

nce

De n

ombr

euse

s di

scor

danc

es

Taux

de

couv

ertu

re d

es d

onné

es s

ur le

sque

lles

se

fond

ent l

es to

utes

der

nièr

es e

stim

atio

ns

- %

des

rap

ports

trim

estri

els

régi

onau

x su

r le

tra

item

ent D

OTS,

qui

ont

été

reç

us a

u co

urs

de la

to

ute

dern

ière

ann

ée p

ar le

pro

gram

me

natio

nal d

e lu

tte c

ontre

la tu

berc

ulos

e.

Infé

rieur

à 5

0%Su

périe

ur à

90%

75%

- 89

%V.

6.5

Rep

rése

ntat

ivité

50%

- 75

%

Page 134: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire134

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Les

estim

atio

ns

qui

ont

été

publ

iées

trè

s ré

cem

men

t ou

qui v

ont l

’être

son

t dés

agré

gées

par

le

s fa

cteu

rs d

émog

raph

ique

s (l’

âge

par

exem

ple)

, le

sta

tut

soci

oéco

nom

ique

(te

ls q

ue le

rev

enu,

la

prof

essi

on, l

’édu

catio

n) e

t la

loca

lité

(par

exe

mpl

e la

zon

e ur

bain

e ou

rur

ale,

la

prin

cipa

le r

égio

n gé

ogra

phiq

ue o

u ad

min

istra

tive)

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Désa

grég

atio

n im

poss

ible

Désa

grég

atio

n ex

ista

nte

pour

3

élém

ents

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

s

Désa

grég

atio

n ex

ista

nte

pour

2 é

lém

ents

Désa

grég

atio

n ex

ista

nte

pour

1 é

lém

ent

V.6.

6

Désa

grég

atio

n - 1

Com

posa

ntes

esse

ntie

lles

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

V.6.

7

Désa

grég

atio

n - 2

Les

tout

es d

erni

ères

est

imat

ions

son

t dés

agré

gées

pa

r le

sta

tut

séro

logi

que

et l

a ré

sist

ance

aux

m

édic

amen

ts

Aucu

n de

s 2

fact

eurs

sagr

égat

ion

par l

es 2

fa

cteu

rs

Désa

grég

atio

n pa

r l’u

n de

s 2

fact

eurs

Mét

hode

de

colle

cte

des

info

rmat

ions

util

isée

s po

ur le

s do

nnée

s le

s pl

us ré

cent

es

Aucu

ne in

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atio

n Do

nnée

s co

mpi

lées

ut

ilisa

nt la

mét

hode

de

s co

mpt

es n

atio

naux

de

la s

anté

Donn

ées

com

pilé

es à

pa

rtir d

e so

urce

s ad

min

i- st

rativ

es (c

’est

-à-d

ire le

s pr

inci

pale

s so

urce

s de

ch

aque

com

posa

nte)

V.7.

1M

étho

de d

e co

llect

e de

sin

form

atio

ns

Donn

ées

impu

tées

à

parti

r de

sour

ces

seco

n-

daire

s (p

ar e

xem

ple

les

rapp

orts

pro

vena

nt d

es

tiers

)

Pour

les

tou

tes

dern

ière

s es

timat

ions

pub

liées

, no

mbr

e d’

anné

es

depu

is

la

colle

cte

des

info

rmat

ions

Néan

t0

- 1 a

ns2

ans

V.7.

2O

ppor

tuni

3 an

s et

plu

s

7. D

épen

ses

géné

rale

s de

l’E

tat e

n m

atiè

re d

e sa

nté

par

habi

tant

(m

inis

tère

de

la s

anté

, aut

res

min

istè

res

et

sécu

rité

soci

ale

adm

inis

tratio

n ré

gion

ale

et

loca

le, a

utre

s or

gani

smes

ex

tra-

budg

étai

res)

6. T

aux

de

réus

site

du

traite

men

t de

la tu

berc

ulos

eda

ns le

cad

re

du tr

aite

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tde

brè

vedu

rée

sous

su

rvei

llanc

e di

rect

e(D

OTS)

Pério

dici

Pas

d’in

form

atio

n Ch

aque

ann

ée

Tous

les

1 - 2

ans

V.7.

3Pé

riodi

cité

Plus

que

tous

les

2 an

s

Cohé

renc

e de

s dé

finiti

ons

des

dépe

nses

de

sant

é en

tre l

es c

ompo

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es (

min

istè

re d

e la

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té,

autre

s m

inis

tère

s et

curit

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cial

e,

adm

inis

tratio

ns

régi

onal

es

et

loca

les,

au

tres

orga

nism

es

extra

budg

étai

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et

pe

ndan

t la

riode

.

Néan

t Un

e se

ule

sour

ce s

ans

cass

ure

dans

la s

érie

Plus

ieur

s so

urce

s qu

i son

t ha

rmon

isée

s V.

7.4

Cohé

renc

e

Plus

ieur

s so

urce

s qu

i ne

sont

pas

har

mon

isée

s

Page 135: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

135

Com

posa

nte

repr

ésen

tées

M

inis

tère

de

la s

anté

un

ique

men

t (ou

rie

n)

Tout

es le

s co

mpo

- sa

ntes

(min

istè

re d

e la

sa

nté,

aut

res

min

istè

res

et s

écur

ité

soci

ale,

adm

inis

tratio

n ré

gion

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et lo

cale

, or

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smes

ex

trabu

dgét

aire

s)

Min

istè

re d

e la

san

té,

adm

inis

tratio

ns ré

gion

ales

et

loca

les

et s

écur

ité

soci

ale

V.7.

5R

epré

sent

ativ

ité

Min

istè

re d

e la

san

té e

t sé

curit

é so

cial

e

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

sCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

7. D

épen

ses

géné

rale

s de

l’E

tat e

n m

atiè

re d

e sa

nté

par

habi

tant

(m

inis

tère

de

la s

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, aut

res

min

istè

res

et

sécu

rité

soci

ale

adm

inis

tratio

n ré

gion

ale

et

loca

le, a

utre

s or

gani

smes

ex

tra-

budg

étai

res)

V.7.

6

Désa

grég

atio

n - 1

Estim

atio

ns d

ésag

régé

es d

es d

épen

ses

géné

rale

s du

go

uver

nem

ent

disp

onib

les

(tout

es

les

com

posa

ntes

:

min

istè

re

de

la

sant

é,

autre

s m

inis

tère

s et

curit

é so

cial

e,

adm

inis

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ns

régi

onal

es

et

loca

les,

or

gani

smes

ex

trabu

dgét

aire

s) a

ux n

ivea

ux d

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rég

ion

ou d

u di

stric

t

Min

istè

re d

e la

san

uniq

uem

ent (

ou

rien)

Tout

es le

s co

mpo

sant

es:

min

istè

re d

e la

san

té,

autre

s m

inis

tère

s et

curit

é so

cial

e,

adm

inis

tratio

ns

régi

onal

es

Min

istè

re d

e la

san

té,

adm

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tratio

ns ré

gion

ales

et

loca

les

et s

écur

ité

soci

ale

Min

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re d

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san

té e

t sé

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é so

cial

e

Estim

atio

ns

désa

grég

ées

des

dépe

nses

go

uver

nem

enta

les

finan

cées

de

l’e

xtér

ieur

et

di

spon

ible

s pa

r so

urce

de

fin

ance

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t (c

’est

-à-d

ire

sour

ces

mul

tilat

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es,

bila

téra

les,

fo

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priv

ées,

ONG

et a

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s)

Néan

tRe

ssou

rces

ext

érie

ures

pr

oven

ant d

e so

urce

s m

ultil

atér

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et

bila

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les,

des

fo

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priv

ées,

des

ON

G et

aut

res

Ress

ourc

es e

xtér

ieur

es

prov

enan

t de

sour

ces

mul

tilat

éral

es e

t bi

laté

rale

s

V.7.

7

Désa

grég

atio

n - 2

Ress

ourc

es e

xtér

ieur

es

enga

gées

pro

vena

nt d

e so

urce

s m

ultil

atér

ales

et

bila

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les

Disp

onib

ilité

, po

ur

tout

es

les

estim

atio

ns

prod

uite

s,

d’in

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atio

ns

déta

illée

s su

r le

s so

urce

s et

le

s m

étho

des

utili

sées

po

ur

les

stat

istiq

ues,

ain

si q

ue s

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com

pte

rend

u de

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éc

art d

es n

orm

es in

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atio

nale

s

Les

estim

atio

ns n

e pe

uven

t être

pliq

uées

Les

estim

atio

ns

peuv

ent ê

tre ré

pliq

uées

à

trave

rs u

n tra

in d

e m

esur

es d

e vé

rifica

tion

des

donn

ées

Sur l

a ba

se d

es in

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a-tio

ns d

ispo

nibl

es, l

es

estim

atio

ns p

euve

nt ê

tre

répl

iqué

es à

75%

V.7.

8M

étho

des

d’es

timat

ion

Sur l

a ba

se d

es

info

rmat

ions

dis

poni

-bl

es, l

es e

stim

atio

ns

peuv

ent ê

tre ré

pliq

uées

à

50%

Page 136: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire136

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Mét

hode

de

colle

cte

des

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rmat

ions

util

isée

s po

ur le

s do

nnée

s le

s pl

us ré

cent

es

Pas

d’in

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atio

nDo

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s co

mpi

lées

sur

la

bas

e de

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étho

de

des

com

ptes

nat

iona

ux

de la

san

Don

nées

com

pilé

es s

ur la

ba

se d

’une

enq

uête

sur

le

s dé

pens

es d

es

mén

ages

, d’u

ne e

nquê

te

pour

au

moi

ns 1

aut

re

com

posa

nte

et s

ur la

bas

e de

s im

puta

tions

pou

r le

rest

e de

s co

mpo

sant

es

V.8.

1M

étho

de d

e co

llect

e de

s in

form

atio

ns

Donn

ées

com

pilé

es s

ur

la b

ase

d’un

e en

quêt

e su

r les

dép

ense

s de

s m

énag

es, e

t des

im

puta

tions

pou

r les

au

tres

com

posa

ntes

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

sCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

8. D

épen

ses

priv

ées

de s

anté

par h

abita

nt

(dép

ense

s de

s m

énag

es,

assu

ranc

e sa

nté

priv

ée,

ONG,

firm

es

et s

ocié

tés)

V.8.

2

Oppo

rtuni

Pour

les

tou

tes

dern

ière

s es

timat

ions

, no

mbr

e d’

anné

es d

epui

s la

col

lect

e de

s in

form

atio

ns

Néan

t0

- 1 a

n2

ans

3 - 4

ans

Pério

dici

Pas

d’in

form

atio

n Do

nnée

s po

ur to

utes

le

s co

mpo

sant

es

disp

onib

les

chaq

ue

anné

e

Tout

es le

s co

mpo

sant

es

exam

inée

s au

moi

ns u

ne

fois

au

cour

s de

s 5

dern

ière

s an

nées

V.8.

3

Pério

dici

Dépe

nses

des

mén

ages

ét

udié

s au

moi

ns u

ne

fois

au

cour

s de

s 5

dern

ière

s an

nées

Cohé

renc

e de

s lib

ellé

s de

s dé

pens

es s

ur la

san

entre

les

com

posa

ntes

(dép

ense

s de

s m

énag

es,

assu

ranc

e-sa

nté

priv

ée, O

NG, fi

rmes

et s

ocié

tés)

et

pen

dant

la p

ério

de

Pas

d’in

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n So

urce

uni

que

sans

ca

ssur

e da

ns la

sér

ieDi

vers

es s

ourc

es q

ui s

ont

harm

onis

ées

V.8.

4

Cohé

renc

e

Dive

rses

sou

rces

qui

ne

sont

pas

har

mon

isée

s

Taux

de

couv

ertu

re d

e la

pop

ulat

ion

Etud

es a

u ni

veau

lo

cal e

t aut

reRe

prés

enta

tif a

u ni

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na

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l com

pren

ant

tous

les

fact

eurs

: dé

pens

es d

es

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ages

, ass

uran

ce

priv

ée, O

NG, fi

rmes

et

soci

étés

Repr

ésen

tatif

au

nive

au

natio

nal u

niqu

emen

t pou

r le

s dé

pens

es d

es

mén

ages

, plu

s un

e au

tre

com

posa

nte

V.8.

5R

epré

sent

ativ

ité

Repr

ésen

tatif

au

nive

au

natio

nal u

niqu

emen

t po

ur le

s dé

pens

es d

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mén

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Estim

atio

ns d

ésag

régé

es d

es d

épen

ses

priv

ées

(tout

es c

ompo

sant

es:

dépe

nses

des

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, as

sura

nce-

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é pr

ivée

, ONG

, firm

es e

t soc

iété

s)

disp

onib

le a

ux n

ivea

ux ré

gion

al e

t du

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rict

Pas

de d

onné

es

désa

grég

ées

Tout

es le

s co

mpo

sant

es d

épen

ses

des

mén

ages

, as

sura

nce

priv

ée, O

NG,

firm

es e

t soc

iété

s

Dépe

nses

des

mén

ages

et

1 au

tre c

ompo

sant

e V.

8.6

Désa

grég

atio

n - 1

Dépe

nses

des

mén

ages

un

ique

men

t

Page 137: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

137

Estim

atio

ns d

e dé

pens

es p

rivée

s dé

sagr

égée

s pa

r so

urce

de

fin

ance

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t (s

ourc

es

mul

tilat

éral

es e

t bi

laté

rale

s, f

onda

tions

priv

ées,

ON

G et

aut

res)

Pas

de d

onné

esRe

ssou

rces

ext

érie

ures

pr

oven

ant d

e so

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s m

ultil

atér

ales

, et

bila

téra

les,

des

fo

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ions

priv

ées,

des

ON

G et

aut

res

Ress

ourc

es e

xtér

ieur

es

prov

enan

t de

sour

ces

mul

tilat

éral

es e

t bi

laté

rale

s

V.8.

7Dé

sagr

égat

ion

- 1

Ress

ourc

es e

xtér

ieur

es

enga

gées

pro

vena

nt d

e so

urce

s m

ultil

atér

ales

et

bila

téra

les

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

sCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

8. D

épen

ses

priv

ées

de s

anté

par h

abita

nt

(dép

ense

s de

s m

énag

es,

assu

ranc

e sa

nté

priv

ée,

ONG,

firm

es

et s

ocié

tés)

V.8.

8

Mét

hode

s d’

estim

atio

n

Disp

onib

ilité

, po

ur

tout

es

les

estim

atio

ns

prod

uite

s,

d’in

form

atio

ns

déta

illée

s su

r le

s so

urce

s et

le

s m

étho

des

utili

sées

po

ur

les

stat

istiq

ues,

ain

si q

ue s

ur l

e co

mpt

e re

ndu

de

tout

éca

rt de

s no

rmes

inte

rnat

iona

les

Les

estim

atio

ns n

e pe

uven

t être

pliq

uées

Les

estim

atio

ns

peuv

ent ê

tre ré

pliq

uées

gr

âce

à un

trai

n de

m

esur

es d

e vé

rifica

tion

des

donn

ées

Sur l

a ba

se d

es in

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a-tio

ns d

ispo

nibl

es, l

es

estim

atio

ns p

euve

nt ê

tre

répl

iqué

es à

75%

Sur l

a ba

se d

es

info

rmat

ions

dis

poni

-bl

es, l

es e

stim

atio

ns ê

tre

répl

iqué

es à

50%

Les

stat

istiq

ues

adm

inis

trativ

es c

oura

ntes

son

t va

lidée

s pa

r le

s ré

sulta

ts d

’une

enq

uête

ou

d’un

re

cens

emen

t ré

guliè

rem

ent

men

é pa

r le

s in

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latio

ns s

anita

ires,

d’u

ne e

nquê

te s

ur l

es

effe

ctifs

du

pers

onne

l, et

d’u

n re

cens

emen

t de

la

popu

latio

n

Aucu

ne d

onné

e Le

s st

atis

tique

s ad

min

istra

tives

co

uran

tes

valid

ées

par

le re

cens

emen

t de

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popu

latio

n, d

es e

nquê

- te

s su

r les

effe

ctifs

du

pers

onne

l, le

s re

cens

e-

men

ts o

u en

quêt

es

effe

ctué

es p

ar le

s in

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latio

ns s

anita

ires,

ai

nsi q

ue le

s st

atis

tique

s ad

min

istra

-tiv

es

Les

stat

istiq

ues

adm

inis

-tra

tives

val

idée

s so

it pa

r le

s re

cens

emen

ts o

u le

s en

quêt

es m

enée

s pa

r les

in

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latio

ns s

anita

ires,

so

it pa

r les

enq

uête

s su

r le

s ef

fect

ifs d

u pe

rson

nel

V.9.

1M

étho

de d

eco

llect

e de

s do

nnée

s

Stat

istiq

ues

adm

inis

tra-

tives

uni

quem

ent s

ans

valid

atio

n pa

r un

quel

conq

ue re

cens

emen

t

9. D

ensi

té d

u pe

rson

nel

sani

taire

(tot

ale

et p

ar c

atég

orie

prof

essi

onne

lle)

pour

100

0 ha

bita

nts

Pour

les

estim

atio

ns le

s pl

us r

écen

tes,

nom

bre

de m

ois

depu

is la

col

lect

e de

s in

form

atio

ns

Aucu

ne in

form

atio

n 0

- 5 m

ois

6 - 1

1 m

ois

V.9.

2O

ppor

tuni

12 m

ois

et p

lus

Nom

bre

de

fois

m

esur

ée

au

cour

s de

s 5

dern

ière

s an

nées

Au

cune

info

rmat

ion

5 ou

plu

s 3

- 4V.

9.3

Pério

dici

1 - 2

Page 138: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire138

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Varia

bles

et

finiti

ons

des

donn

ées

conc

orda

ntes

pe

ndan

t la

riode

) à

trave

rs

diffé

rent

es s

ourc

es.

Les

prin

cipa

les

sour

ces

ne

conc

orde

nt p

as; l

es

défin

ition

s et

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clas

sific

atio

n va

rie

suiv

ant l

es s

ourc

es

Tout

es le

s so

urce

s co

ncor

dent

. Les

va

riabl

es o

nt le

s m

êmes

défi

nitio

ns o

u la

mêm

e cl

assi

ficat

ion

dans

les

sour

ces

La p

lupa

rt de

s so

urce

s co

ncor

dent

. Les

var

iabl

es

ont l

es m

êmes

défi

nitio

ns

ou la

mêm

e cl

assi

ficat

ion

dans

la p

lupa

rt de

s so

urce

s

V.9.

4Co

hére

nce

Seul

es q

uelq

ues

prin

cipa

les

sour

ces

conc

orde

nt

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

sCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

V.9.

5Dé

sagr

égat

ion

- 1

Caté

gorie

s de

trav

aille

urs

sani

taire

s

CITP

:

Clas

sific

atio

n in

tern

atio

nale

ty

pe

de

prof

essi

ons.

Autre

s 15

pro

fess

ions

ou

plus

, ou

CIT

P à

4 ch

iffre

s ou

éq

uiva

lent

s na

tiona

ux

4-14

pro

fess

ions

ou

CITP

à

3 ch

iffre

s ou

équ

ival

ents

na

tiona

ux

Moi

ns d

e 4,

ou

CITP

à 2

ch

iffre

s éq

uiva

lent

s na

tiona

ux

Les

estim

atio

ns

qui

ont

été

publ

iées

trè

s ré

cem

men

t ou

qu

i se

ront

pu

blié

es

sont

sagr

égée

s pa

r (1

) le

sex

e, (

2) la

zon

e ur

bain

e ou

rur

ale,

(3)

la p

rinci

pale

rég

ion

géog

raph

ique

ou

adm

inis

trativ

e et

(4)

le

sect

eur

publ

ic o

u pr

ivé.

Les

donn

ées

perm

e-

ttent

une

dés

agré

ga-

tion

uniq

uem

ent p

ar

le s

exe,

sin

on

aucu

ne d

ésag

réga

-tio

n po

ssib

le

Les

donn

ées

perm

et-

tent

une

dés

agré

gatio

n pa

r tou

tes

les

4 va

riabl

es

Les

donn

ées

perm

ette

nt

une

désa

grég

atio

n pa

r 3

varia

bles

(à l’

excl

usio

n de

la

var

iabl

e se

cteu

r pub

lic

ou p

rivé)

V.9.

6Dé

sagr

égat

ion

- 2

Les

donn

ées

perm

ette

nt

une

désa

grég

atio

n pa

r 2

varia

bles

(à l’

exc

lusi

on

des

varia

bles

sec

teur

pu

blic

ou

priv

é, e

t zon

e ur

bain

e ou

rura

le

9. D

ensi

té d

u pe

rson

nel

sani

taire

(tot

ale

et p

ar c

atég

orie

prof

essi

onne

lle)

pour

100

0 ha

bita

nts

10. T

enda

nce

à fu

mer

(che

z le

s 15

ans

et

plus

)

Mét

hode

de

colle

cte

des

info

rmat

ions

util

isée

po

ur le

s do

nnée

s le

s pl

us ré

cent

es

Aucu

ne in

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atio

n En

quêt

e au

près

de

la

popu

latio

n ba

sée

sur

les

dire

s de

s in

tére

- ss

és; f

umeu

rs d

e to

us

les

jour

s pe

ndan

t tou

t le

moi

s pr

écéd

ent

V.10

.1M

étho

de d

e co

llect

e de

s in

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atio

ns

Pour

les

estim

atio

ns le

s pl

us r

écen

tes,

nom

bre

d’an

nées

dep

uis

la c

olle

cte

des

info

rmat

ions

ant

0 - 2

ans

3 - 5

ans

V.10

.2O

ppor

tuni

6 an

s et

plu

s

Nom

bre

de

fois

m

esur

ée

au

cour

s de

s 10

de

rniè

res

anné

es

Néan

t 2

V.10

.3Pé

riodi

cité

13

ou p

lus

Page 139: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

139

Donn

ées

conc

orda

ntes

au

cour

s de

la p

ério

de

Sans

rapp

ort

Pas

de d

isco

rdan

ces

maj

eure

s Qu

elqu

es d

isco

rdan

ces

V.10

.4Co

hére

nce

De n

ombr

euse

s di

scor

danc

es 1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

s

Rubr

ique

s

MOR

BIDI

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

eIn

dica

teur

sCo

mpo

sant

eses

sent

ielle

s

B. IN

DICA

TEUR

S DU

SYS

TÈM

E DE

SAN

10. T

enda

nce

à fu

mer

(che

z le

s 15

ans

et

plus

)V.

10.5

Repr

ésen

tativ

ité

Type

d’é

chan

tillo

n su

r le

quel

se

fond

ent

les

estim

atio

ns le

s pl

us ré

cent

es

Autre

s Éc

hant

illon

repr

ésen

ta-

tif a

u ni

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nat

iona

l Ec

hant

illon

nage

à b

ut

préc

is o

u éc

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nage

na

tiona

l non

effe

ctué

au

hasa

rd

Enqu

êtes

au

nive

au lo

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Les

estim

atio

ns

qui

ont

été

publ

iées

trè

s ré

cem

men

t ou

qu

i se

ront

pu

blié

es

sont

sagr

égée

s pa

r le

s fa

cteu

rs d

émog

raph

ique

s (c

omm

e le

se

xe

et

l’âge

) le

st

atut

so

cio-

écon

omiq

ue

(le

reve

nu,

la

prof

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on,

l’édu

catio

n),

et

la

loca

lité

(zon

e ru

rale

ou

ur

bain

e,

prin

cipa

le

régi

on

géog

raph

ique

ou

ad

min

istra

tive)

Néan

tTo

us le

s 3

para

mèt

res

2 pa

ram

ètre

s V.

10.6

Désa

grég

atio

n

1 pa

ram

ètre

Page 140: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire140

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Répu

bliq

ue A

lgér

ienn

e Dé

moc

ratiq

ue e

t Pop

ulai

re

Min

istè

re d

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San

té, d

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Pop

ulat

ion

et d

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Réf

orm

e Ho

spita

lière

Inst

itut N

atio

nal d

e Sa

nté

Publ

ique

Eval

uatio

n du

Sys

tèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ire

Ques

tionn

aire

6 : D

iffus

ion

et u

tilis

atio

n

Code

Form

atio

n de

bas

e

Fonc

tion

Inst

itutio

n

Date

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

......

...

Page 141: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

141

Les

rapp

orts

ana

lytiq

ues

SIS

inté

grés

cou

vran

t au

moi

ns u

n m

inim

um d

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incip

aux

indi

cate

urs

y co

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is ce

ux d

es O

MD

et

des

parte

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s m

ondi

aux

de l

a sa

nté,

le

cas

éché

ant,

sont

guliè

rem

ent d

istrib

ués

à to

utes

les

parti

es c

once

rnée

s

Rapp

orts

inté

grés

di

strib

ués

régu

lière

men

t au

moi

ns u

ne fo

is p

ar a

n,

mai

s un

ique

men

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istè

re d

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san

Rapp

orts

occ

asio

nnel

s m

ais

pas

annu

els

Pas

de ra

ppor

ts

inté

grés

Rapp

orts

inté

grés

dis

tribu

és

régu

lière

men

t au

moi

ns u

ne

fois

par

an

aux

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naire

s na

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ux e

t loc

aux

conc

erné

s

VI.B

.1

Satis

fais

ant

2

Très

sat

isfa

isan

t

3

Just

ifica

tion/

com

men

taire

sRu

briq

ues

ANAL

YSE

ET U

TILI

SATI

ON D

E L’

INFO

RMAT

ION

VI.A

.1Le

s ge

stio

nnair

es

et

décid

eurs

ha

ut

plac

és

exig

ent

des

info

rmat

ions

SIS

com

plèt

es,

oppo

rtune

s, p

récis

es,

utile

s et

va

lidée

s

Répo

nses

0

Pas

du to

utsa

tisfa

isan

t

Dem

ande

nég

ligea

ble

des

gest

ionn

aire

s Ou

i

Répo

nse d

ela

pers

onne

inter

rogé

e

Oui,

mai

s n’

ont p

as le

s co

mpé

tenc

es p

our j

uger

1

Exis

te m

ais

pas

satis

fais

ant

Les

grap

hiqu

es

sont

lar

gem

ent

utilis

és

pour

pr

ésen

ter

les

info

rmat

ions

aux

bur

eaux

adm

inist

ratif

s pr

ovin

ciaux

de

la sa

nté

(par

exe

mpl

e, a

u ni

veau

régi

onal

ou p

rovin

cial,

et a

u ni

veau

des

in

stall

atio

ns s

anita

ires.

Ils

sont

à jo

ur e

t par

faite

men

t com

pris

Vrai

au

nive

au d

es b

urea

ux

de s

anté

régi

onau

x, p

ro-

vinc

iaux

, ou

de d

istri

ct,

mai

s pa

s au

niv

eau

des

inst

alla

tions

san

itaire

s

Pas

de g

raph

ique

Vr

ai à

tous

les

nive

aux

(bur

eaux

de

san

té ré

gion

aux,

pro

vin-

ci

aux,

de

dist

rict,

inst

alla

tions

sa

nita

ires

VIA.

2Vr

ai u

niqu

emen

t aux

ni

veau

x de

s bu

reau

x de

sa

nté

régi

onau

x ou

pr

ovin

ciau

x

La d

eman

de d

es g

estio

n-na

ires

est p

onct

uelle

, gé

néra

lem

ent s

uite

à la

pr

essi

on e

xtér

ieur

e (p

ar

exem

ple,

les

ques

tions

des

ho

mm

es p

oliti

ques

ou

des

med

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VI. D

IFFU

SION

ET

UTIL

ISAT

ION

DES

DONN

ÉES

A.

Les

carte

s so

nt

large

men

t ut

ilisée

s po

ur

prés

ente

r les

in

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atio

ns a

ux b

urea

ux a

dmin

istra

tifs

prov

incia

ux d

e la

sant

é (p

ar e

xem

ple

au n

iveau

régi

onal

ou p

rovin

cial,

et d

e di

stric

t) et

au

nive

au d

es in

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atio

ns sa

nita

ires.

Elle

s son

t à jo

ur et

par

faite

men

t co

mpr

ises.

Vrai

au

nive

au d

es

bure

aux

de s

anté

gion

aux,

pro

vinc

iaux

ou

de d

istri

ct, m

ais

pas

au

nive

au d

es in

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latio

ns

sani

taire

s

Pas

de c

arte

s ut

ilisé

es

Vrai

à to

us le

s ni

veau

x (b

urea

ux

de s

anté

régi

onau

x,

prov

inci

aux,

de

dist

rict,

et

inst

alla

tions

san

itaire

s)

VI.A

.3Vr

ai u

niqu

emen

t aux

ni

veau

x de

s bu

reau

x de

sa

nté

régi

onau

x ou

pr

ovin

ciau

x

UTIL

ISAT

ION

DE L

’INFO

RMAT

ION

POUR

L’A

CTIO

N ET

LE

PLAI

DOYE

R B.

Page 142: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire142

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Rapport Final - Algérie 2011

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Rapport Final - Algérie 2011

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145

ANNEXE 6

GUIDE POUR L’ADMINISTRATION DES QUESTIONNAIRES

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMINISTERE DE LA SANTE, DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE

INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE

Evaluation du Système Nationald’Information Sanitaire par

l’Outil Health Metrics

Projet de coopération Algérie/ OMS

Biennium 2010-2011, N° : 10.04.30 DZA

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gérie INTRODUCTION

Le Réseau de métrologie sanitaire (RMS) a été lancé en 2005 en vue d’aider les pays et les autres partenaires à améliorer la santé mondiale à travers le renforcement des systèmes qui génèrent des informations sanitaires pour un processus de prise de décisions fondé sur des bases factuelles. Le RMS est la première expérience de partenariat sur la santé mondiale, qui met l’accent sur deux conditions essentielles de renforcement des systèmes de santé dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.

Une information sanitaire fiable et communiquée en temps opportun constitue le fondement de toute action de santé publique et du renforcement des systèmes de santé, tant au niveau national qu’international. L’information sanitaire est produite et utilisée par bon nombre d’institutions différentes (notamment les ministères de la santé, les offices des statistiques nationales, le secteur privé, les organisations de la société civile, les donateurs et les agences de développement).

II. COMPOSANTES ET NORMES D’UN SYSTÈME D’INFORMATION SANITAIRE Les six composantes du système d’information sanitaire peuvent être décomposées selon ses apports, ses procédés et ses extrants. Les apports renvoient aux ressources, tandis que les procédés touchent la manière dont les indicateurs et les sources de données sont sélectionnés et gérés. Les extrants renvoient plutôt à la production, à la diffusion et à l’utilisation de l’information. En conséquence, les six composantes d’un système de santé sont :

2.1- LES APPORTS

- Les ressources du système d’information sanitaire : il s’agit notamment des cadres législatif, réglementaire et de planification - qui sont des éléments nécessaires au bon fonctionnement d’un système d’information sanitaire - et des ressources, qui constituent le préalable à la mise en fonction du système. Ces ressources comprennent le personnel, les finances, l’appui logistique, les technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi que les mécanismes de coordination entre les six composantes et au sein de chacune.

2.2- LES PROCÉDÉS

- Les indicateurs : Les indicateurs de base d’un système de santé doivent ressortir les changements intervenus au fil du temps. Ils doivent être valides, fiables, spécifiques, sensibles et mesurables. Ils doivent également être pertinents et utiles au processus de prise de décisions sur la collecte des données, ou là où il existe un réel besoin de données à des niveaux plus élevés. Des indicateurs minutieusement sélectionnés et régulièrement révisés sont essentiels au renforcement d’un système d’information sanitaire et peuvent être considérés comme l’épine dorsale du système, en fournissant le paquet minimum d’informations nécessaires à l’appui des fonctions du système de santé. Ces indicateurs de base sont nécessaires pour évaluer les changements dans trois domaines principaux :

* Les déterminants de la santé : Ce sont des déterminants ou des facteurs de risque socioéconomiques, environnementaux, comportementaux, démographiques et génétiques. Ces indicateurs définissent les environnements contextuels dans lesquels fonctionne le système. La plupart des informations sont générées à partir d’autres secteurs tels que l’agriculture, l’environnement et l’emploi.

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gérie

147

* Le système de santé : Les indicateurs ici sont notamment, les apports à un système de santé et les procédés y afférents, tels que la politique, l’organisation, les ressources humaines, les ressources financières, les infrastructures sanitaires, l’équipement et les fournitures. Il y a également les indicateurs de résultats, tels que la disponibilité et la qualité du service. Enfin, il y a des indicateurs immédiats de rendement du système de santé, tels que la couverture et l’utilisation du service.

* L’état de santé : Les indicateurs sont, entre autres, les niveaux de mortalité, de morbidité, de déficience et de bonne santé.

- Les sources de données : Peuvent être divisées en deux catégories principales : (1) Les approches démographiques (les recensements, les données de l’état civil et les enquêtes démographiques), et (2) les données institutionnelles (les dossiers individuels, les dossiers administratifs, et les dossiers sur les ressources).

- La gestion des données : Il s’agit ici de toutes les opérations qui rentrent dans la manipulation des données : la collecte, le stockage, l’assurance de la qualité, le flux, ainsi que le traitement, la compilation et l’analyse.

2.3- LES EXTRANTS

- Produits de l’information : Les données doivent être traduites en une information qui deviendra le fondement des faits observés et de la connaissance qui sous-tendent l’action de santé.

- Diffusion et utilisation : La valeur de l’information sanitaire peut être rehaussée en la rendant facilement accessible aux décideurs (en accordant l’attention nécessaire aux contraintes liées au comportement et à l’organisation) et en offrant des incitations à l’utilisation de l’information.

III. ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX D’INFORMATION SANITAIRE

3.1- QUELS SONT LES OBJECTIFS DE L’ÉVALUATION ?

• Evaluer les composantes du SNIS existant

• Utiliser un outil d’évaluation standard de l’OMS

• Identifier les forces et faiblesses du SIS

• Proposer des stratégies de renforcement du SIS.

3.2- QUI DOIT PROCÉDER À L’ÉVALUATION ?

L’identification des personnes qui doivent être impliquées est une première étape du plan d’évaluation du SIS national. L’un des principes de base de l’approche du RMS est de faire intervenir tous les principaux acteurs dans l’évaluation et la planification des initiatives de renforcement du SIS. Les principaux représentants intervenants dans cette évaluation sont :

- Bureau central de la statistique (personnes chargées du recensement national de la population, des enquêtes auprès des ménages (DHS), de l’étude sur la mesure du niveau de

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gérie vie (LSMS) des ménages et des enquêtes en grappe à indicateurs multiples (MICS) ; des

démographes et des statisticiens.

- Ministère de la santé (cabinet, planification, surveillance des maladies, vaccination, protection maternelle et infantile, planning familial, programmes de lutte contre les maladies non transmissibles, gestion des ressources humaines, finances).

- Ministère de l’Intérieur (état civil).

- Chercheurs et les universitaires.

- Agences du Système des Nations Unies (UNICEF, PNUD, FNUAP, OMS, ONUSIDA).

- Autres.

IV. OUTIL D’ÉVALUATION HEALTH METRICS

L’outil Health Metrics est la feuille de route proposée pour une évaluation qualitative efficace du système national d’information sanitaire. Il est composé de 197 questions réparties sur les six composantes du SNIS. Au total six (06) questionnaires sont à renseigner.

CatégoriesI. Ressources

ii. ressources humaines

A. Politique et planificationB. Institutions, ressources humaines et financement du SISC. Infrastructures du SIS

II. IndicateursIII. Sources de données

A. RecensementB. Statistiques démographiquesC. Enquêtes auprès des populationsD. Archives médicales (y compris la surveillance)E. Archives des services de santé F. Enregistrement des ressources

i- infrastructures et services de santé

iii. financement et dépenses pour services de santéiv. équipement, consommables, biens et services

IV. Gestion des donnéesV. Produits de l’informationVI. Diffusion et utilisation

TOTAL

Nombre de questions25

4

71355

831013111311256

8255

6910

197

Pour chaque rubrique de l’outil d’évaluation, il est proposé une gamme de scénarios (réponses) pour permettre une notation chiffrée objective.

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149

4.1- QUESTIONNAIRE N°1 : RESSOURCES DU SIS

Les questions posées dans cette rubrique ont trait à la :

◘ Législation du pays

◘ Principes statistiques fondamentaux

◘ Plan stratégique du SIS

◘ Comité national du SIS

◘ Compétences (statistiques, épidémiologie, TIC)

◘ Budget alloué pour le SIS

◘ Moyens matériels (ordinateurs, TIC)

Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :

◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »

◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »

◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »

◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »

4.2- QUESTIONNAIRE N°2 : INDICATEURS DU SIS

Les questions posées dans cette rubrique ont trait au(x) : ◘ Indicateurs minimum de base du pays ;◘ Stratégie de mesure des OMD ;◘ Critères de sélection des indicateurs.

Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :

◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »

◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »

◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »

◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »

4.3- QUESTIONNAIRE N°3 : SOURCES DES DONNÉES DU SIS

Les questions posées dans cette rubrique ont trait au(x) :

◘ Recensement de la population,◘ Statistiques de l’état civil,◘ CIM 10 (causes de décès),◘ Enquêtes auprès des ménages,◘ Maladies à déclaration obligatoire,◘ Dossiers médicaux,

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire150

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gérie ◘ Formation en SIS,

◘ Ressources humaines et structures?◘ Dépenses de santé,◘ Moyens

Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :

◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »

◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »

◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »

◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »

4.4- QUESTIONNAIRE N°4 : GESTION DES DONNÉES DU SIS

Les questions posées dans cette rubrique ont trait à la :

◘ Collecte des données

◘ Stockage et l’analyse des données

Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :

◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »

◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »

◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »

◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »

4.5- QUESTIONNAIRE N°5 : PRODUITS DE L’INFORMATION (QUALITÉ DES DONNÉES)

Les questions posées dans cette rubrique ont trait aux indicateurs suivants :

◘ Mortalité des moins de 5 ans;

◘ Mortalité maternelle;

◘ Vaccination rougeole,

◘ Accouchement en milieu assisté,

◘ Traitement DOTS;

◘ Dépenses de santé (public, privé);

◘ Tabagisme.

Ces questions d'évaluation de la qualité des données portent sur les critères suivants :

– La collecte des données : La pertinence de la méthode utilisée pour la collecte des données.

– L'opportunité : Le décalage entre le moment de la collecte des données et celui de leur communication à un échelon supérieur ou de leur publication.

– La périodicité : La fréquence avec laquelle un indicateur est mesuré.

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– La cohérence : Elle concerne la cohérence interne des données dans le cadre d’un ensemble de données ainsi que la précision ou la possibilité de rapprocher les données, dans le temps, avec d’autres sources principales de données.

– La représentativité : Dans quelle mesure les données représentent-elles suffisamment la population et les sous populations correspondantes.

– La désagrégation : L'existence de statistiques stratifiées par caractéristiques démographiques (par exemple sexe, âge, ethnicité), du statut socioéconomique (par exemple niveau de revenus, profession, niveau d'instruction), de la localité (par exemple zone urbaine/rurale, principales régions géographiques ou administratives), le cas échéant.

– Les méthodes d'estimation : Dans quelle mesure les méthodes d'évaluation, suivent-elles des procédures statistiques saines et sont-elles transparentes.

Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :

◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »

◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »

◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »

◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »

4.6- QUESTIONNAIRE N° 6 : DIFFUSION ET UTILISATION

Les questions posées dans cette rubrique ont trait à :

◘ Utilisation de l’information pour la prise de décision;

◘ Utilisation de l’information pour l’allocation des ressources.

Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :

◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »

◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »

◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »

◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »

Rapport Final - Algérie 2011

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire152

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gérie V. RÈGLES GÉNÉRALES

◘ Les questionnaires renseignés sont confidentiels.

◘ Dans le groupe de travail, un coordinateur sera désigné et aura comme tâche de lire au fur et à mesure les différentes questions posées et de lister tous les commentaires émis par le groupe.

◘ Si vous êtes affecté dans un groupe de travail, il faut rester dans celui-ci durant les deux jours de l’atelier et ne pas essayer de changer de groupe.

◘ Un glossaire est disponible et peut être utilisé pour la compréhension de certains termes utilisés dans le questionnaire.

◘ Chaque répondant aura son code d’identification confidentiel.

◘ Chaque répondant doit renseigner son nom, son prénom, sa formation de base, sa fonction et son lieu d’exercice.

◘ Il ne faut pas influencer les autres personnes du groupe dans leur réponse.

◘ S’assurer d’avoir tous les questionnaires (1 à 6).

◘ L’utilisation d’un crayon et d’une gomme est impérative pour le renseignement des questionnaires.

◘ La réponse aux questions doit être lisible et dans la case correspondante.

◘ Ne répondre aux questions que par une seule réponse parmi les propositions offertes.

◘ La réponse aux différentes rubriques du questionnaire se fera selon le calendrier adopté par le groupe de travail.

◘ Une fois les questionnaires d’une rubrique sont remplis, remettez le aux animateurs du groupe de travail.

◘ Dans certains cas, une rubrique particulière des questionnaires peut ne pas être applicable. Dans ces cas-là, on n’en tient pas compte dans la notation et les raisons de cette omission sont consignées par écrit.

◘ Il est conseillé et préférable de s’abstenir d’évaluer les questions dont la réponse vous semble incertaine.

◘ Il y a une colonne à droite des questionnaires pour reporter certains commentaires et remarques sur les différentes rubriques, ainsi que les possibles solutions proposées.

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ANNEXE 7

G L O S S A I R E

Rapport Final - Algérie 2011

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire154

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Page 155: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

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Le m

énag

e es

t un

petit

gro

upe

de p

erso

nnes

qui

par

tage

nt le

mêm

e lo

gem

ent,

qui m

ette

nt e

n co

mm

un u

ne p

artie

ou

la to

talit

é de

leur

reve

nu e

t de

leur

pat

rimoi

ne, e

t qui

con

som

men

t col

lect

ivem

ent c

erta

ins

type

s de

bie

ns e

t de

serv

ices

, prin

cipa

lem

ent d

e la

nou

rritu

re e

t des

ser

vice

s de

lo

gem

ent.

Mén

age

Donn

ées

non

agré

gées

par

rapp

ort a

ux u

nité

s pr

élev

ées

com

me

écha

ntill

ons.

Dan

s le

cas

des

rece

nsem

ents

de

la p

opul

atio

n et

des

mén

ages

, le

s m

icro

don

nées

con

stitu

ent d

es ra

ppor

ts s

ur le

s in

divi

dus

et le

s m

énag

es in

terr

ogés

.M

icro

don

nées

Huit

obje

ctifs

ado

ptés

en

sept

embr

e 20

00 p

ar le

s Na

tions

Uni

es e

t en

vertu

des

quel

s le

s pa

ys s

igna

taire

s s'

enga

gent

à in

tens

ifier

leur

s ef

forts

et

à un

ir le

urs

forc

es p

our l

utte

r con

tre la

pau

vret

é, l'

illet

trism

e, la

faim

, le

man

que

d'in

stru

ctio

n, le

s di

spar

ités

entre

les

sexe

s, la

mor

talit

é in

fant

ile

et m

ater

nelle

, les

mal

adie

s ai

nsi q

ue la

dég

rada

tion

de l'

envi

ronn

emen

t. 20

15 e

st l'

anné

e ci

ble

fixée

pou

r la

réal

isat

ion

de c

es o

bjec

tifs.

Obje

ctifs

du

Mill

énai

re p

our l

e Dé

velo

ppe-

m

ent (

OMD)

Popu

latio

n fu

ture

éva

luée

en

fonc

tion

d'hy

poth

èses

sur

l'év

olut

ion

de la

féco

ndité

, la

mor

talit

é et

les

mig

ratio

ns.

Proj

ectio

n de

pop

ulat

ion

Divi

sion

terr

itoria

le d

’un

état

pla

cée

sous

l’au

torit

é d’

un d

élég

ué d

u po

uvoi

r cen

tral

Prov

ince

= w

ilaya

Pr

ovin

ce

Opér

atio

n de

dén

ombr

emen

t de

la p

opul

atio

n d'

un p

ays.

Le

rece

nsem

ent e

st u

ne o

péra

tion

de d

énom

brem

ent q

ui p

erm

et d

e co

nnaî

tre la

po

pula

tion

d'un

pay

s à

une

date

don

née.

Tou

s le

s ha

bita

nts

rem

plis

sent

un

bulle

tin d

ont

l'exp

loita

tion

stat

istiq

ue p

erm

et d

e co

nnaî

tre le

s ca

ract

éris

tique

s de

la p

opul

atio

n (s

exe,

âge

, pro

fess

ion,

con

ditio

ns d

e lo

gem

ent,

lieux

de

trava

il ou

d'é

tude

s) p

our d

es e

nsem

bles

géo

grap

hiqu

es

varié

s : q

uarti

ers,

com

mun

es...

Rece

nsem

ent

Donn

ées

sur l

es é

vène

men

ts d

e la

vie

, tiré

es d

e to

utes

les

sour

ces

de d

onné

es re

lativ

es a

ux é

vène

men

ts d

e la

vie

. Sur

tout

dan

s le

cad

re d

es p

ays

en d

ével

oppe

men

t, où

l’en

regi

stre

men

t à

l’éta

t ci

vil f

onct

ionn

e m

al o

u pa

s du

tou

t, le

s Na

tions

uni

es r

econ

nais

sent

que

div

ers

syst

èmes

et

sour

ces

de d

onné

es s

ont u

tilis

és p

our é

tabl

ir de

s es

timat

ions

et d

es s

tatis

tique

s su

r les

évè

nem

ents

de

la v

ie.

Stat

istiq

ues

dém

ogra

phiq

ues

Page 156: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire156

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

Énum

érat

ion

long

itudi

nale

des

évè

nem

ents

dém

ogra

phiq

ues,

y c

ompr

is la

cau

se d

u dé

cès

révé

lée

par l

’aut

opsi

e ve

rbal

e, d

ans

des

écha

ntill

ons

de g

roup

es re

prés

enta

tifs

au n

ivea

u na

tiona

l, te

ls q

u’il

en e

xist

e en

Chi

ne e

t en

Inde

. Sy

stèm

e d’

enre

gist

rem

ent d

e l’é

chan

tillo

n de

s do

nnée

s de

l’ét

at c

ivil

(SRS

)

GLOS

SAIR

E DE

LA

STAT

ISTI

QUE

ET D

E LA

GES

TION

DES

DON

NÉES

Syst

ème

info

rmat

ique

de

gest

ion

de l’

info

rmat

ion

utili

sé p

our l

es d

onné

es à

réfé

renc

e sp

atia

le.

Syst

ème

d’in

form

atio

n gé

ogra

phiq

ue (S

IG)

D’ap

rès

la d

éfini

tion

des

Natio

ns U

nies

, il s

’agi

t de

« l’e

nsem

ble

du p

roce

ssus

de

(1) c

olle

cte

des

info

rmat

ions

par

l’en

regi

stre

men

t à l’

état

civ

il ou

l’én

umér

atio

n de

la fr

éque

nce

d’év

ènem

ents

spé

cifiq

ues

et d

éfini

s ai

nsi q

ue le

s ca

ract

éris

tique

s pr

opre

s à

ces

évèn

emen

ts…

et (

2) d

e la

co

mpi

latio

n, d

u tra

item

ent,

de l

’ana

lyse

, de

l’é

valu

atio

n, d

e la

pré

sent

atio

n et

de

la d

issé

min

atio

n de

ces

inf

orm

atio

ns s

ous

form

e de

st

atis

tique

s. »

Syst

ème

de s

tatis

tique

s dé

mog

raph

ique

s

Énum

érat

ion

long

itudi

nale

de

tous

les

évèn

emen

ts d

émog

raph

ique

s, y

com

pris

la c

ause

du

décè

s, e

n pa

ssan

t par

l’au

tops

ie v

erba

le d

e la

pop

ula-

tion

d’un

sec

teur

géo

grap

hiqu

e do

nné.

Syst

ème

de s

urve

illan

ce d

e la

dém

ogra

phie

(S

SD)

Énum

érat

ion

long

itudi

nale

de

tous

les

évè

nem

ents

dém

ogra

phiq

ues,

y c

ompr

is l

a ca

use

du d

écès

rév

élée

par

l’a

utop

sie

verb

ale,

dan

s la

po

pula

tion

d’un

e ai

re g

éogr

aphi

que

défin

ieSy

stèm

e de

sen

tinel

le d

e su

rvei

llanc

e dé

mog

raph

ique

Com

pren

d le

s or

dina

teur

s, le

s lo

gici

els,

les

disp

ositi

fs d

e sa

isie

de

donn

ées,

les

inst

rum

ents

de

com

mun

icat

ion

sans

fil e

t les

rése

aux

loca

ux e

t ét

endu

s qu

i véh

icul

ent l

’info

rmat

ion,

ain

si q

ue le

s pe

rson

nes

qui d

oive

nt c

once

voir,

met

tre e

n ap

plic

atio

n et

app

uyer

ces

sys

tèm

es.

Tech

nolo

gies

de

l’inf

orm

atio

n et

des

co

mm

unic

atio

ns (T

IC)

Rapp

ort e

ntre

le n

ombr

e de

per

sonn

es q

ui m

eure

nt d

ans

l’ann

ée e

t la

popu

latio

n to

tale

de

l’ann

ée a

u co

urs

de la

quel

le le

s dé

cès

sont

sur

venu

s.

Ce r

appo

rt es

t aus

si a

ppel

é ta

ux d

e m

orta

lité

brut

. Le

taux

de

mor

talit

é pe

ut ê

tre h

arm

onis

é lo

rsqu

’on

com

pare

les

taux

de

mor

talit

é au

fil d

u te

mps

(ou

ent

re p

ays)

pou

r re

leve

r le

s di

ffére

nces

qui

exi

sten

t au

sein

de

la p

opul

atio

n. C

e ta

ux e

st a

lors

app

elé

taux

de

mor

talit

é ha

rmon

isé

selo

n l’â

ge.

Taux

de

mor

talit

é

Nom

bre

de d

écès

che

z le

s en

fant

s de

moi

ns d

e ci

nq a

ns p

our 1

000

per

sonn

es-a

nnée

s ob

serv

ées

dans

la p

opul

atio

n de

s en

fant

s qu

i ont

moi

ns

de c

inq

ans.

Taux

de

mor

talit

é de

s en

fant

s de

moi

ns d

e 05

ans

TM

M5

Nom

bre

de d

écès

che

z le

s bé

bés

âgés

de

moi

ns d

’un

an p

our

1 00

0 na

issa

nces

viv

ante

s da

ns u

ne a

nnée

don

née

(il s

’agi

t plu

s pr

écis

émen

t d’

un ra

tio).

Taux

de

mor

talit

é in

fant

ileTM

I

Mes

ure

tota

le d

u ro

ulem

ent p

our l

’ens

embl

e du

sec

teur

sur

une

pér

iode

de

tem

ps p

artic

uliè

re. I

l est

obt

enu

par l

a di

visi

on d

u no

mbr

e d’

empl

oyés

ay

ant q

uitté

par

le n

ombr

e m

oyen

d’e

mpl

oyés

pou

r un

e pé

riode

de

réfé

renc

e dé

term

inée

(gé

néra

lem

ent p

ar m

ois

ou p

ar a

nnée

), pu

is p

ar la

m

ultip

licat

ion

de c

e ré

sulta

t par

cen

t.

Taux

glo

bal d

e ro

ulem

ent d

u pe

rson

nel

Page 157: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Rapport Final - Algérie 2011

Sys

tèm

e Na

tiona

l de

Sant

éSy

stèm

e Na

tiona

l d’In

form

atio

n Sa

nita

ireOb

ject

ifs e

t mét

hodo

logi

eRé

sulta

tsRe

com

man

datio

nsAn

nexe

sPr

ésen

tatio

n de

l’Al

gérie

157

Inst

itutio

ns o

u or

gani

smes

qui

orie

nten

t le

s fo

nds

four

nis

par

des

sour

ces

finan

cièr

es e

t qu

i util

isen

t ce

s fo

nds

pour

pay

er o

u ac

hete

r le

s ac

tivité

s m

enée

s da

ns le

cad

re d

es c

ompt

es d

e la

san

té.

Agen

ts fi

nanc

iers

GLOS

SAIR

E DE

S CO

MPT

ES N

ATIO

NAUX

DE

SANT

É

Néce

ssité

jurid

ique

pou

r une

soc

iété

de

faire

exa

min

er p

ar u

n ex

pert-

com

ptab

le s

es b

ilan,

éta

t fina

ncie

r et s

ystè

me

de c

ompt

abili

té fo

ndam

enta

l, ai

nsi q

ue s

es re

gist

res,

pou

r per

met

tre d

e sa

voir

si s

es é

tats

fina

ncie

rs re

flète

nt ré

elle

men

t la

situ

atio

n fin

anci

ère

de la

soc

iété

et s

i ces

élé

men

ts

sont

con

form

es à

la lé

gisl

atio

n en

la m

atiè

re.

Audi

t

Un c

ompt

e es

t un

inst

rum

ent q

ui p

erm

et d

’enr

egis

trer,

pour

un

aspe

ct d

onné

de

la v

ie é

cono

miq

ue,

(a) l

es e

mpl

ois

et le

s re

ssou

rces

ou

bien

(b) l

es v

aria

tions

d’a

ctifs

et l

es v

aria

tions

de

pass

ifs e

t/ou

(c) l

e st

ock

d’ac

tifs

et d

e pa

ssifs

exi

stan

t à

un m

omen

t don

né. L

es c

ompt

es d

es o

péra

tions

(com

ptes

en

T) in

clue

nt u

n so

lde

com

ptab

le q

ui s

ert à

équ

ilibr

er le

s de

ux c

ôtés

du

com

pte

(c’e

st

à di

re le

s re

ssou

rces

et l

es e

mpl

ois)

et q

ui c

onst

ituen

t, pa

r eux

-mêm

es, d

es m

esur

es s

igni

ficat

ives

de

perfo

rman

ce é

cono

miq

ue.

Com

pte

Plan

pro

spec

tif d

étai

llé, m

ontra

nt c

omm

ent

les

ress

ourc

es s

eron

t ac

quis

es e

t ut

ilisé

es p

our

une

pério

de d

éter

min

ée, e

xprim

ée d

e m

aniè

re

form

elle

et q

uant

ifiab

le.

Budg

et

Inst

rum

ent s

erva

nt a

u co

ntrô

le s

ysté

mat

ique

, glo

bal e

t coh

éren

t des

flux

de

ress

ourc

es u

tilis

és d

ans

un s

ystè

me

sani

taire

nat

iona

l. Il

offre

un

cadr

e av

ec d

es d

éfini

tions

, des

lim

ites

et d

es c

lass

ifica

tions

cla

ssiq

ues,

et u

ne s

érie

de

tabl

eaux

inte

rdép

enda

nts

serv

ant à

l’ét

ablis

sem

ent d

e ra

ppor

ts c

oura

nts

sur l

es d

épen

ses

de s

anté

et l

eur fi

nanc

emen

t. Le

s co

mpt

es n

atio

naux

de

la s

anté

son

t con

çus

de m

aniè

re à

cap

ter l

es fl

ux d

e re

ssou

rces

ser

vant

aux

prin

cipa

les

fonc

tions

du

finan

cem

ent

des

soin

s de

san

té,

à sa

voir

la m

obili

satio

n et

l’al

loca

tion

des

ress

ourc

es,

la

cent

ralis

atio

n et

l’as

sura

nce,

l’ac

hat e

t la

four

nitu

re d

e so

ins,

et l

a ré

parti

tion

des

dépe

nses

par

mal

adie

, par

car

acté

ristiq

ue s

ocio

-éco

nom

ique

et

par

régi

on g

éopo

litiq

ue.

Com

ptes

nat

iona

ux d

e la

san

té (C

NS)

En c

ompt

abili

té n

atio

nale

, la

dépe

nse

se r

appo

rte à

la v

aleu

r éc

onom

ique

des

bie

ns e

t ser

vice

s pr

odui

ts o

u co

nsom

més

. Pou

r la

pro

duct

ion

mar

chan

de, c

ette

val

eur e

st é

tabl

ie a

vec

les

prix

de

trans

actio

n ob

serv

és s

ur le

mar

ché.

Pou

r la

prod

uctio

n no

n m

arch

ande

, la

vale

ur e

st é

tabl

ie

avec

le c

oût d

es fa

cteu

rs (t

rava

il, a

ppro

visi

onne

men

ts, e

tc.)

utili

sés

pour

la p

rodu

ctio

n du

bie

n ou

du

serv

ice

en q

uest

ion.

Dépe

nse

Mon

tant

des

dép

ense

s ef

fect

uées

en

espè

ces

et e

n na

ture

par

les

orga

nes

publ

ics

tels

que

le m

inis

tère

de

la s

anté

, les

org

anis

mes

par

apub

lics,

le

s ag

ence

s de

séc

urité

soc

iale

(san

s co

mpt

er le

s tra

nsfe

rts d

u go

uver

nem

ent à

la s

écur

ité s

ocia

le e

t aux

fond

s ex

trabu

dgét

aire

s) p

our p

ayer

les

frais

de

mai

nten

ance

, de

rest

aura

tion

et d

e pe

rfect

ionn

emen

t. Ce

s dé

pens

es c

ompr

enne

nt le

s pa

iem

ents

tran

sfér

és a

ux m

énag

es p

our a

mor

tir

les

coût

s de

soi

ns m

édic

aux,

et l

es fo

nds

extra

budg

étai

res

serv

ant à

fina

ncer

les

bien

s et

ser

vice

s de

san

té. L

a ba

se d

es re

cette

s de

ces

ent

ités

peut

com

porte

r des

ress

ourc

es m

ultip

les,

y c

ompr

is le

s fo

nds

exté

rieur

s.

Dépe

nses

gén

éral

es d

e l’É

tat e

n fa

veur

de

la

sant

é

Mon

tant

des

dép

ense

s ef

fect

uées

pou

r la

sant

é pa

r des

org

anis

mes

priv

és, c

omm

e le

s ét

ablis

sem

ents

com

mer

ciau

x ou

d’a

ssur

ance

mut

uelle

sa

nté,

les

orga

nism

es à

but

lucr

atif

serv

ant l

es m

énag

es, l

es s

ocié

tés

et q

uasi

-soc

iété

s ré

side

ntes

non

con

trôlé

es p

ar l’

État

et q

ui s

’occ

upen

t de

la p

rest

atio

n de

ser

vice

s de

san

té o

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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire158

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ANNEXE 8

PROGRAMME

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMINISTERE DE LA SANTE, DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE

INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE

ATELIER DE CONSOLIDATION DES RÉSULTATS

INSP, Alger 13- 14 Décembre 2011

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire (SNIS)

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Matinée

08h30 Accueil des participants

09h00 Séance inaugurale Dr. M.E.K KELLOU Directeur Général - INSP

09h30 - 09h45 Rappels des objectifs du projet Dr. S.TOUAMI – INSP

09h45 - 10h00 Ressources du SNIS Résultats de l’évaluation Dr. F. CHERF-BOUZIDA – INSP

10h00 - 10h45 Débat / Recommandations

10h45 - 11h00 Pause café

11h00 - 11h15 Gestion des donnees du SNIS Résultats de l’évaluation Dr.H.BRAHIMI – INSP

11h15 - 12h45 Débat / Recommandations

12h45 - 14h00 DéjeunerAprès-midi

14h00 - 14h30 Sources des données du SNIS Résultats de l’évaluation Dr.H.BRAHIMI – INSP

14h30 - 16h00 Débat / Recommandations

Mercredi 14 /12/ 2011Matinée

09h00 - 09h15 Diffusion et utilisation Résultats de l’évaluation Dr.S.TOUAMI – INSP

09h15 - 10h15 Débat / Recommandations

10h15 - 10h45 Indicateurs du SNIS Dr.F.CHERF-BOUZIDA – INSP

10h45 - 11h15 Débat / Recommandations

11h15 - 11h30 Pause café

11h30 - 12h00 Produits de l’information Dr.S.TOUAMI – INSP

12h00 - 13h00 Débat / Recommandations

13h00 - 14h00 Déjeuner

Après-midi14h00 - 16h00 Recommandations Générales

16h00 Clôture du séminaire

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Rapport Final - Algérie 2011

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ANNEXE 4Liste des participants

Atelier de consolidation des résultats de l’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire

INSP, le 13 et 14 décembre 2011

Nom - Prénom(s) InstitutionALLIM Said MSPRHDirection des Finances et Moyens

Ministère de la Prospective et des StatistiquesAMOKRANE Faouzi Chef de Division

ATAMNA Nacera Ministère de la solidarité Nationale et de la Famille

Sous Directrice

ATEK Madjid INSPChef de Département Information Sanitaire

ATOUI Naziha SEMEP- CHU ConstantineMédecin épidémiologiste

BELAMRI Soraya INSPEpidémiologiste-Unité causes de décès

BENBELLA Omar Office National des StatistiquesChargé des Etudes

DSP Tizi OuzouBENLALA Dalila Médecin Chef de Service Prévention

BOUGHOUFALAH Amel INSPMédecin Santé Publique

CERBAH Hamid EPSP Bordj Menaiel - BoumerdesMédecin de SEMEP

CHAIB Said MSPRHChargé d’études

CHIBOUT Leila OMS - AlgérieChargée de l’information et de la promotion de la santé

DAÂS Mohamed Adil DSP Constantine

Fonction

Chef de Service

FRAIHAT Ahmed Said Direction de la Prévention - MSPRHMédecin Inspecteur

GHARBI Mohamed SEMEP - CHU AnnabaPr. épidémiologie Chef de Service

GRABA Mustapha Kamel Chargé des Etudes et de Synthèse

GUERRAOUAZ Kaci ONS-

Ministère du Travail et de la Sécurité Sociale

HAMMOUDA Nacer-Eddine CREADChercheur

HANNOUN Djohar INSPEpidémiologiste

HEMAIDI ZOURGHI Ahmed INSPSecrétaire Général

KHEDDACHI Rachid INSPEpidémiologiste

DP - MSPRHKHELIFI Houria Chargée de Programme

LAMRI Larbi UNFPAAssistant du Représentant

MAGUEMOUN Salima DSS - MSPRH Chef de programme

MAZZOUZ Hassane EPSP BejaiaMédecin Santé Publique

MERBOUT Ghania Sous Directrice

OUALI Amar Direction de la Population - MSPRHSous Directeur

DP - MSPRH

SALMI Younes DSP TipazaChargé de Communication

SILEM Rabah DSI - Ministère des Finances Sous-Directeur

SOUAMI Kahina Agence National du SangDirectrice de la Formation

STITI Amel CNES Analyste Principale en Economie

INSPTCHICHA Boualem Médecin Santé Publique

YAHIA OUAHMED Lamia EPH Djillali RahmouniEpidémiologiste

Page 162: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Références bibliographiques

◘ Les systèmes de santé en Algérie, Maroc et Tunisie. Défis nationaux et enjeux partagés. Les notes IPEMED N° 13, avril 2012

◘ Rapport national sur l’état économique et social, Ministère de la Prospective et des Statistiques, 2012

◘ Démographie algérienne; ONS série de 2000 à 2012

◘ Rapport sur le développement humain, programme des Nations unies pour le développement, 2010.

◘ 2éme Rapport National sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement, Algérie 2010

◘ Cadre et normes des systèmes nationaux d’information sanitaire, deuxième édition, Organisation mondiale de la Santé, Genève 2008.

◘ Evaluation du Système National d’Information Sanitaire : Un outil d’évaluation. Draft version 4.00, 18 Décembre 2008-OMS-HMN.

◘ Enquête Nationale de Santé, Transition Epidémiologique et Système de Santé, projet TAHINA (contrat IC A3-CT-2002-10011), INSP Algérie 2007.

◘ Renforcement des systèmes d’information sanitaire, WHA60.27 Soixantième Assemblée Mondiale de la Santé, Résolutions et décisions. Génève, 14-23

Mai 2007, WHASS1/2006-WHA60/2007/REC/1.

◘ Interventions prioritaires pour renforcer les systèmes nationaux d’information sanitaire, AFR/CR54/R3 du 02 septembre 2004.

◘ Comptes Nationaux de la Santé de l’Algérie, années 2000-2001 ; MSPRH, Mai 2003.

◘ Relevé Epidémiologique Ménsuel “Reflet de la situation épidémiologique 10 ans déjà !”. INSP décembre 1999.

◘ Principes fondamentaux de la statistique officielle, Nations Unis, Conseil Economique et Social, Commission Statistique. New York, 14 avril 1994.

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire162

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Séminaire national d’information du lancement du projet d’évaluation du SNIS

INSP, salle Guessabi, le 18 avril 2011

Rapport Final - Algérie 2011

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Ateliers d’évaluation du SNIS

INSP, les 03 et 04 mai 2011

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire164

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165

Tab. 1 Evolution du Produit Intérieur Brut (PIB), en dollars US, par habitant, de 1990 à 2008, en Algérie 14

Tab. 2 Evolution de l’Indice de Développement Humain (IDH) de 1990 à 2011, en Algérie 14

Tab. 3 Taux de corrections issues d'enquêtes 1970-1981 et 2002 17

Tab. 4 Evolution de la population résidente (en milliers d’habitants) de 1966 à 2010, en Algérie 17

Tab. 5 Répartition de la population algérienne par tranche d’âge (%) à travers les RGPH de 1966 à 2008 18

Tab. 6 Evolution de l’accroissement naturel (en milliers) et du TAN (en pourcentage) 18

Tab. 7 Evolution des naissances vivantes et du taux brut de natalité en Algérie 18

Tab. 8 Evolution des décès et du taux brut de mortalité en Algérie 19

Tab. 9 Evolution du Taux de Mortalité Infantile par sexe (pour mille naissances vivantes) 19

Tab. 10 Evolution de l’espérance de vie à la naissance (en années) 19

Tab. 11 Evolution du Taux de Mortalité Maternelle (pour 100 000 naissances vivantes) 20

Tab. 12 Répartition des structures publiques selon le type d’infrastructure 24

Tab. 13 Composition du secteur privé par type d’infrastructures 24

Tab. 14 Evolution des dépenses de santé (en pourcentage du PIB) 25

Tab. 15 Sources de financement du système de santé, 2001 (Dépenses en milliards de dinars) 26

Tab. 16 Evolution des Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO) contrôlables par la vaccination, en Algérie 27

Tab. 17 Evolution des incidences de la tuberculose de 2003 à 2011 28

Tab. 18 Evolution du nombre de cas de paludisme de 2003 à 2011 28

Tab. 19 Evolution du nombre de nouveaux cas de sida et du nombre de nouveaux cas de séropositifs au VIH de 2004 à 2012 28

Tab. 20 Evolution des taux de couverture vaccinale chez les enfants âgés de 12 à 23 mois en % 29

Tab. 21 Densité des personnels médicaux et paramédicaux par habitants 29

Tab. 22 Nombre de questions par composante de l’outil d’évaluation « Health Metrics » 37

Tab. 23 Interprétation des scores observés 37

Tab. 24 Nombre de questionnaires renseignés par groupe et par atelier 40

Tab. 25 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Coordination, planification et politiques”, Algérie 2011 43

Tab. 26 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Ressources humaines et financement du SIS”, Algérie 2011 44

Tab. 27 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures du SIS”, Algérie 2011 45

Tab. 28 Résultats de l’évaluation de la composante “Indicateurs du SIS ”, Algérie 2011 46

Tab. 29 Scores des différentes sources des données selon les composantes essentielles (%), Algérie 2011 47

Tab. 30 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Recensement”, Algérie 2011 49

Tab. 31 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Statistiques de l’état civil”, Algérie 2011 51

Tab. 32 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Enquêtes auprès de la population”, Algérie 2011 53

Tab. 33 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Dossiers des maladies-surveillance”, Algérie 2011 55

Tab. 34 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Banque des services de santé “, Algérie 2011 57

Tab. 35 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures et services de santé”, Algérie 2011 60

Tab. 36 Résultats de l’évaluation de la sous composante « Ressources Humaines », Algérie 2011 61

Tab. 37 Résultats de l’évaluation de la composante “Financement et dépenses de santé”, Algérie 2011 63

Tab. 38 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Equipements, fournitures et produits”, Algérie 2011 64

Liste des tableaux

Page 166: Evaluation du Système National d’Information … du SNIS Algérie...6 Evaluation du Système National d’Information Sanitaire 13 5.2 INDICATEURS 46 5.3 SOURCES DES DONNÉES 47

Tab. 39 Résultats de l’évaluation de la composante “Gestion des données ”, Algérie 2011 66

Tab. 40 Tableau récapitulatif des résultats (en %) de la composante“Produits de l’information ” du SNIS, Algérie 2011 68

Tab. 41 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité chez les moins de cinq ans”, Algérie 2011 69

Tab. 42 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité Maternelle”, Algérie 2011 70

Tab. 43 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Prévalence du VIH”, Algérie 2011 71

Tab. 44 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge ”, Algérie 2011 73

Tab. 45 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Accouchements assistés par des personnels de santé qualifiés”, Algérie 2011 74

Tab. 46 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS)”, Algérie 2011 75

Tab. 47 Résultats de l’évaluation d’indicateur du système de santé “Dépenses générales de l’Etat en matière de santé par habitant”, Algérie 2011 76

Tab. 48 Résultats de l’évaluation de l’indicateur du système de santé “Dépenses privées de santé par habitant”, Algérie 2011 77

Tab. 49 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Densité du personnel sanitaire pour 1000 habitants”, Algérie 2011 78

Tab. 50 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Tendance à fumer chez les sujets âgés de 15 ans et plus”, Algérie 2011 79

Tab. 51 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Analyse et utilisation de l’information ”, Algérie 2011 81

Tab. 52 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer ”, Algérie 2011 81

Tab. 53 Résultat de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités”, Algérie 2011 82

Tab. 54 Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation des informations pour l’allocation des ressources ”, Algérie 2011 82

Tab. 55 Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action ”, Algérie 2011 83

Evaluation du Système National d’Information Sanitaire166

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Liste des figures

Rapport Final - Algérie 2011

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Fig. 1 Scores de l’évaluation des six composantes du SNIS, Algérie 2011 41

Fig. 2 Scores de l’évaluation de la composante “Ressources” du SNIS, Algérie 2011 42

Fig. 3 Scores de l’évaluation de la composante “Indicateurs” du SNIS, Algérie 2011 46

Fig. 4 Scores de l’évaluation de la composante “Sources des données” du SNIS, Algérie 2011 47

Fig. 5 Scores en % des composantes essentielles du “Recensement”, Algérie 2011 48

Fig. 6 Scores en % des composantes essentielles des “Statistiques de l’Etat civil”, Algérie 2011 50

Fig. 7 Scores en % des composantes essentielles des “Enquêtes de population”, Algérie 2011 52

Fig. 8 Scores en % des composantes essentielles de la “Surveillance des maladies”, Algérie 2011 54

Fig. 9 Scores en % des composantes essentielles de la “Banque des services de santé ”, Algérie 2011 56

Fig. 10 Scores de l’évaluation de la sous composante “ Banque des ressources” du SNIS, Algérie 2011 58

Fig. 11 Scores en % des composantes essentielles des “Infrastructures et services de santé”, Algérie 2011 59

Fig. 12 Scores en % des composantes essentielles des “Ressources humaines”, Algérie 2011 61

Fig. 13 Scores en % des composantes essentielles du “Financement et des dépenses de santé”, Algérie 2011 62

Fig. 14 Scores en % des composantes essentielles des “Equipements, fournitures et produits”, Algérie 2011 64

Fig. 15 Scores de l’évaluation de la composante “ Gestion des données ” du SNIS, Algérie 2011 65

Fig. 16 Scores de l’évaluation de la composante “ Produits de l’information ” du SNIS, Algérie 2011 67

Fig. 17 Scores de l’évaluation de la sous composante “Indicateurs de l’état de santé ” du SNIS, Algérie 2011 68

Fig. 18 Scores de l’évaluation de la sous-composante “Indicateurs du système de santé ” du SNIS, Algérie 2011 72

Fig. 19 Scores de l’évaluation de la composante “Diffusion et utilisation” du SNIS, Algérie 2011 80

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