Montel - Comment un manufacturier est-il interpellé par le développement durable ?
Cadre économique 2 Léconomie mondiale semble en passe de surmonter ses difficultés Projet de loi...
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Cadre économique
2
L’économie mondiale semble en passe de surmonter ses difficultés
Projet de loi de finances 2004
35
40
45
50
55
60
65
Indice ISM manufacturier aux États-Unis
Indice PMI manufacturier dans la zone euro
Dernier point : août 20031
1 Le seuil de 50 délimite les phases d'expansion et de contraction de l'activité dans l'industrie. 3
Projet de loi de finances 2004
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2001 2002 2003 2004
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
L’Europe devrait tirer profit de la reprise mondialeet du bas niveau des taux d’intérêt
Croissance du PIB, en %
Prévisions pour 2003-2004
Zone euro Monde
4
Projet de loi de finances 2004
Consommation des ménages
0,0
0,2
0,4
0,6
0,8
1,0
1,2
1,4
1,6
1,8
2,0
2002 2003 2004
Les conditions d’une reprise de la demande intérieure sont réunies en France
Ta
ux
de
cro
iss
an
ce
an
nu
el,
en
%
Prévisions pour 2003-2004
Investissement des entreprises
-4,0
-3,0
-2,0
-1,0
0,0
1,0
2,0
3,0
2002 2003 2004T
au
x d
e c
rois
sa
nc
e a
nn
ue
l, e
n %
Prévisions pour 2003-2004
5
Projet de loi de finances 2004
(Croissance du PIB, en %)
Prévision du PLF 2004 0,5 1,7
Consensus Forecast de septembre1 0,4 1,7
Moyenne des prévisions du groupe technique de la Commission économique de la Nation2 0,4 1,7
Une prévision de croissance prudente pour la France,en ligne avec le « consensus »
Prévisions de croissance pour la France
2003 2004
1 Publication du Consensus Forecast du 8 septembre 2003.2 Le groupe technique de la CEN se réunira le 26 septembre 2003.
6
Nos orientations de politique économique
7
Nos orientations de politique économique
Une stratégie de croissance durable
Une politique budgétaire responsable
Une politique de réformes
Créer les conditions d’une croissance forte et durable
8
Une stratégie de croissance durable
Pour l’entreprise :
Encourager la recherche-développement
Faciliter la création et le développement des entreprises
Nos orientations de politique économique
9
Pour l’emploi : poursuivre et amplifier les politiques qui marchent
Baisser les charges : Allégements généraux (Fillon) Allégements ciblés et aide à l’emploi :
- Contrat jeune en entreprise sans charge- Contrat initiative emploi (CIE)- Revenu Minimum d’Activité
Nos orientations de politique économique
Une stratégie de croissance durable
10
Pour l’emploi : le contrat jeune en entreprise sans charge
Nos orientations de politique économique
Une stratégie de croissance durable
Pour une meilleure insertion Objectif : donner la possibilité à des jeunes d’accéder directement à un emploi stable (CDI) dans le secteur marchand Principe : une exonération forfaitaire qui équivaut à une exonération totale de cotisations patronales jusqu’à 1,3 SMIC Mise en place : à partir de juillet 2002 2003 : 90 000 entrées 2004 : 110 000 entrées
11
Pour l’emploi : le contrat initiative emploi (CIE)
Nos orientations de politique économique
Une stratégie de croissance durable
pour l’insertion en entreprise des chômeurs de longue durée Le principe : une aide forfaitaire à l’embauche d’un chômeur de longue durée La relance du CIE : - l’élargir aux chômeurs de plus de 18 mois (au lieu de plus de 2 ans auparavant)- simplifier le mécanisme pour l’entreprise (versement trimestriel de l’aide)- augmenter la durée de l’aide de 2 à 5 ans pour une personne de plus de 50 ans L’objectif : 70 000 contrats en 2003, 80 000 en 2004
12
Pour l’emploi : le revenu minimum d’activité (RMA)
Nos orientations de politique économique
Une stratégie de croissance durable
Donner une nouvelle chance dans l’emploi aux personnes au RMI depuis plus de 2 ans
Le principe : un employeur qui embauche un RMIste recevra une aide équivalente au montant du RMI
L’objectif : 50 000 bénéficiaires en 2004
13
Pour l’emploi : revaloriser le travail
Nos orientations de politique économique
Une stratégie de croissance durable
Baisser l’impôt sur le revenu et accroître la prime pour l’emploi
Revaloriser le SMIC
14
Une politique de réformes
La décentralisation : proximité, efficacité
La réforme des retraites : 2003
La réforme de l’État : moderniser, améliorer, maîtriser la dépense
La réforme de l’assurance maladie : 2004
Nos orientations de politique économique
15
Une politique budgétaire responsable
Les objectifs ne changent pas : maîtriser la dépense pour permettre la baisse des prélèvements et la réduction du déficit
La baisse des prélèvements ne doit pas être interrompue : c’est une politique dans la durée et les Français doivent savoir que les baisses d’impôts sont pérennes
Cette politique définie dans la durée est appropriée aussi à court terme : face à une conjoncture fragile, il est d’autant plus important de redonner du pouvoir d’achat aux ménages et de baisser les charges des entreprises
Nos orientations de politique économique
16
Une politique budgétaire responsable
Deux autres préoccupations, qui se renforcent mutuellement :- la soutenabilité à long terme - nos engagements européens
Le gouvernement met tout en œuvre pour respecter la discipline commune :- ajustement structurel de 0,7 point de PIB en 2004- effort prolongé en 2005 pour revenir en dessous de 3% de déficit
La clef : maîtriser la dépense :- « Zéro volume » pour les crédits de l’État, en 2004 et à horizon 2007- une réforme ambitieuse de l’assurance maladie : revenir à un déficit zéro pour l’ensemble des administrations de sécurité sociale en 2007
Nos orientations de politique économique
17
Réforme et soutenabilitéLe cas de la réforme des retraites
Elle préserve le système par répartition et le rend plus équitable
Elle contribue à la soutenabilité de nos finances publiques
Elle accroîtra à terme la population active, donc la croissance potentielle …
… ce qui en renforce encore le bénéfice pour nos finances publiques et pour les générations futures
Nos orientations de politique économique
18
Notre cap de finances publiques :
une politique prévoyante
19
Notre cap de finances publiques
Évolution du besoin de financement des administrations publiques
État - 3,8 - 3,8 - 3,7
Administrations de sécurité sociale - 0,3 - 0,6 - 0,5
Collectivités locales 0,2 0,2 0,2
2003 20042002En point de PIB
Organismes divers 0,7 0,2 0,4
Solde administrations publiques - 3,1 - 4,0 - 3,6
20
Notre cap de finances publiques
Un contexte initial très difficile : Des comptes structurellement dégradés Un ralentissement de l’économie mondiale
Une politique économique responsable : Les stabilisateurs économiques ont joué en recettes Les dépenses de l’État sont strictement maîtrisées
L’assainissement des comptes est amorcé en dépit
du ralentissement économique : La dégradation conjoncturelle pèse sur le déficit à hauteur de 1 % de PIB Le déficit structurel s’améliore de 0,1 %.
La situation en 2003
Au total, le déficit pour 2003 s’établit à 4 % du PIB21
Notre cap de finances publiques
L’environnement économique s’éclaircit : Une croissance moyenne de 1,7 % Retour à une tendance de moyen terme de 2,5 % fin 2004
Les baisses d’impôts valorisent le travail : Un paquet fiscal net de 3,3 Mds€ traduit dans le PLF 2004 Les prélèvements obligatoires baissent de 0,2 point de PIB
Les dépenses publiques sont maîtrisées : + 1,1 % Les dépenses de l’État sont stabilisées en volume Les dépenses de santé progressent de 4 %
Le déficit public s’établit à 3,6 % :l’amélioration sous-jacente du solde structurel est de 0,7 point de PIB.
Les perspectives en 2004
22
0,5
-0,7
-1
-0,3-0,3
-0,7
0,5
0,8
0,2
1
-1,3
-0,8
-1,5
-1
-0,5
0
0,5
1
1,5
Impact de la conjoncture
Effort structurel : impact des décisions du Gouvernement
1999 2000 2001 2002 2003 2004
Un relâchement des finances publiques dans les années 1999-2001
4
3,5
3
2,5
2
1,5
1
0,5
0
Croissance Économique
(en % du PIB)
FinancesPubliques
(en point de PIB)
23
Mesurer de manière pertinente l’effort d’assainissement des finances publiques
Le solde structurel correspond au déficit public corrigé des effets du
cycle économique L’effort structurel reflète :
- l’action sur les dépenses publiques (maîtrise ou relâchement)
- les mesures nouvelles en matière de prélèvements obligatoires (hausse ou diminution).
-0,3
-1,3
-0,7
0,5
0,8
-0,8
-1,4
-1,2
-1
-0,8
-0,6
-0,4
-0,2
0
0,2
0,4
0,6
0,8
1
1999 2000 2001 2002 2003 2004
Solde stucturel
Effort stucturel
24
-4,5
-4
-3,5
-3
-2,5
-2
-1,5
-1
-0,5
0
1999 2000 2001 2002 2003 2004
La mesure de l’effort structurel met en évidence les changements de politique économique sur 1999-2004
-0,3
-0,7
0,5
0,8-0,8-1,3
Déficit public Effort structurel
25
Notre cap de finances publiques 2005-2007
La programmation des finances publiques poursuit trois objectifs
Conduire une politique budgétaire prévoyante : assainir dans la durée nos comptes publics en évitant de reproduire les erreurs du passé
Améliorer l’efficacité de la dépense publique : systématiser la recherche d’un meilleur résultat pour un coût moindre
Poursuivre la réduction des impôts et des charges : libérer les initiatives pour augmenter le potentiel de croissance de notre économie
26
Notre cap de finances publiques 2005-2007
Un scénario central prudent avec une croissance de 2,5 % et d’une inflation de 1,5 %.
La programmation indique également les résultatsd’une variante avec 3 % du PIB qui permet d’illustrerla sensibilité des finances publiques à une modificationdes hypothèses macro-économiques.
Des hypothèses prudentes
27
Croissance du PIB (volume) 2,5 %
Évolution des dépenses publiques 1 %dont État (274 Md€ en 2003) 0 %dont maladie (125 Md€ en 2003) 2,25 %dont collectivités locales (170 Md€ en 2003) 1,8 %
Le poids des dépenses publiques se réduit de 2,7 pointsde PIB entre 2003 et 2007, passant de 54,3 à 51,6 %.
Cette évolution permet d’assainirnos finances publiques et de libérer des marges
pour poursuivre les baisses d’impôts.
2005-2007(en % par an)
Des dépenses publiques maîtrisées
Notre cap de finances publiques 2005-2007
28
Un effort sans précédent de modernisation de la gestion publique
Le déploiement des outils de la nouvelleconstitution financière s’accélère
De nouveaux chantiers d’économies sont explorés :- la modernisation de la gestion du parc immobilier de l’État (500 M€ de cessions programmées en 2004)- le développement de nouveaux modes de gestion, plus économe et plus performant à travers les «partenariats public privé »- l’expérimentation par le Minéfi d’une réforme profonde des procédures d’achats (sur une masse d’environ 2 Md€ en 2004)
La méthode de travail gouvernementale est réforméeafin de mieux identifier les gisements d’économieet promouvoir les réformes de structure.
Notre cap de finances publiques 2005-2007
29
En 2005, le déficit repasse sous le seuil de 3 %
Cette stratégie permet de réduire les déficits
-4,5%-4,0%-3,5%-3,0%-2,5%-2,0%-1,5%-1,0%-0,5%0,0%
2002 2003 2004 2005 2006 2007
Croissance de 2,5% Variante à 3%
Évolution du solde des administrations publiques(en points de PIB)
Notre cap de finances publiques 2005-2007
30
Notre cap de finances publiques 2005-2007
Le déficit structurel sera amélioré chaque annéed’un minimum de 0,5 point de PIB
Les « bonnes surprises » conjoncturellesqui pourraient être constatées sur les recettesseront affectées à la réduction du déficit
Les baisses d’impôts qui engendrent une diminution permanente de recettes seront financées dans la durée par les économies récurrentes nécessaires
Des règles du jeu claires
31
Notre cap de finances publiques 2005-2007
-0,3
-1,3
-0,7
0,5
0,80,7
0,6 0,6
-0,8
-1,4
-1,2
-1
-0,8
-0,6
-0,4
-0,2
0
0,2
0,4
0,6
0,8
1
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
Le redressement de nos comptes publics, en actes
Effort structurel en point de PIB
Un effort qui sera poursuivi dans la durée 32
L’assainissement des comptes publics mis en œuvre en 2003permet d’entamer une décrue du ratio dette/PIB à partir de 2005
La progression de la dette publique sera stoppée
56
57
58
59
60
61
62
63
64
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
Croissance à 2,5% Variance à 3%
Évolution de la dette des administrations publiques (en point de PIB)
Notre cap de finances publiques 2005-2007
33
Le budget de l’État en 2004
34
PLF 2004 : les grandes orientations
Dépenses : respect de la norme « zéro volume » et des priorités du gouvernement
Allégements d’impôts : encourager fortement le travail et l’emploi
Déficit : une réduction par rapport à 2003, malgré la prudence des hypothèses retenues
Transparence et réforme budgétaires : de nombreuses initiatives
35
Les dépenses
36
La norme « zéro volume »
4,1 Mds e
2 Mds e
3 Mds e
- 0,9 Mds e
Priorités
Autresdépenses
DépensesinéluctablesMarge liée
à l’inflation : 1,5 %
Total budget
LFI 2003
273,8 Md€
PLF 2004
277,9 Md€
Utilisation de la marge
37
Les dépenses inéluctables
Charges de la dette 38,3 + 0,3
Pensions 36,0 + 1,6
Collectivités locales 11,9 + 0,5
Total 96,3 + 3,0
Évolution 2004 en Mds €
Minima sociaux 10,1 + 0,5
LFI 2003 en Mds €
38
Les priorités
Respect des lois de programmation : LPM, LOPSI, LOPJ
Un montant total de 2 Mds € supplémentaires alloués à l’équipement militaire, au fonctionnement et à l’équipement de la police et de la justice, à l’aide publique au développement
26,4 Mds € consacrés à ces quatre actions,contre 22,4 Mds € en 2002
39
Les efforts de redéploiement
L’effort de redéploiement se traduit par la baissede certains budgets ; ceci ne signifie pas que les secteurs concernés soient sacrifiés
Quelques exemples d’ajustement :- Travail : suppression progressive des emplois jeunes, limitation de la durée de versement de l’ASS, en contrepartie d’efforts massifs en faveur de l’emploi marchand- Logement : baisse des crédits du PTZ permise par l’évolution des taux, accompagnée d’un accroissement des prêts sur ressource livret A
40
Les dépenses
-1089
13937
9027
- 4414 - 4561
-5000
0
5000
10000
15000
2001 2002 2003 2004 2004 ycomprisdéfense
Évolution des effectifs (hors défense)
41
- 4 561
5 178
- 9 739Total
Non renouvellementdéparts en retraite
Les variations d’effectifs en 2004
42
Les mesures fiscales du PLF 2004 :
encourager le travail, favoriser l’emploi
43
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
Allégement de l’impôt sur le revenu 1,76
Majoration de la prime pour l’emploi 0,48
Réduction de l’écart de TIPP essence/gazole - 0,80
Allégements de charges pour les entreprises 1,20
Impact en trésorerie de diverses mesures fiscales - 0,14
Total 2,50
NB. : la revalorisation des taxes sur le tabac figure dans le PLFSS
En milliards d’euros
44
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
Allégements nets d’impôts du PLF 2004 - 1,30
Incidence 2004 des mesures PLF 2003 - 0,37
Incidence 2004 des mesures fiscales votées en 2003 - 0,43
Allégements de charges pour les entreprises - 1,20
Total - 3,30
En milliards d’euros
Tableau de synthèse des mesures fiscales en 2004
45
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
1. Encourager le travail et favoriser l’emploi
Pérennisation et poursuite de la baisse de l’impôtsur le revenu
- L’allégement de 6 % de l’impôt voté en loi de finances pour 2003 est amplifié, avec une nouvelle baisse de 3 % de tous les taux du barème
-Comme en 2002, le maintien à leur niveau actuel du plafond de la décote et du quotient familial amplifie l’effet de cette baisse pour les familles et les contribuables à revenus modestes
- En 2004, le cap des 10 % de baisse de l’impôt sur le revenu sera franchi
46
Taux marginal supérieur d’imposition à l’impôt sur le revenu
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
45
50
55
60
65
70
75
48, 09 %
* Compte tenu des majorations exceptionnelles de 1981 à 1985.
Années de paiement de l’impôt sur le revenu
Taux
50 %
47
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
1. Encourager le travail et favoriser l’emploi
Amélioration de la PPE
Revalorisation du barème pour l’ensemble des bénéficiaires
Création d’un acompte forfaitaire de 250 € pour renforcer l’effet incitatif de la prime au retour à l’emploi
Indexation des seuils en fonction des prix
48
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
1. Encourager le travail et favoriser l’emploi
Poursuite de la revalorisation du plafond des dépenses ouvrant droit à la réduction d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile : il passe de 7 400 € à 10 000 € pour l’imposition en 2004 des revenus de 2003
Pérennisation du taux réduit de TVA de 5,5 % pour les services d’aide à la personne et les travaux portant sur les logements*
Baisse du taux de TVA sur la restauration*
*sous réserve de l’accord de nos partenaires européens
Création d’un crédit d’impôt « famille » pour inciter les entreprises à s’impliquer davantage dans la politique familiale
49
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
2. Soutenir l’innovation, la recherche et le développement des entreprises
Création d’un statut pour les investisseurs providentiels : la Société Unipersonnelle d’Investissement à risque
Prorogation et assouplissement du dispositif d’exonération pour les entreprises nouvelles
Création des Jeunes Entreprises Innovantes, afin de soutenir les PME se créant autour de projets de recherche et d’innovation
Assouplissement du régime de report en avant des pertes des entreprises
Renforcement du crédit d’impôt pour les dépenses de recherche
Poursuite des allègements de charges des entreprises50
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
Création du Plan d’épargne retraite populaire
Triplement du nombre de bénéficiaires de la réduction d’impôt en faveur des personnes dépendantes
3. Renforcer les solidarités entre générations
Le crédit d’impôt pour dépenses d’équipements de l’habitation principale est étendu aux travaux d’équipements des logements de personnes âgées ou handicapées
Mesure exceptionnelle d’incitation aux donations anticipées en pleine propriété
51
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
4. Moderniser et simplifier l’impôt
Réformer le régime fiscal des distributions
Simplifier le régime des plus-values immobilières des particuliers
Alléger les obligations déclaratives des héritiers pour les successions de faible montant
Etendre le champ d’application du régime simplifié d’imposition des agriculteurs
Adapter le régime juridique de la redevance audiovisuelle
52
Les mesures fiscales du PLF 2004 : encourager le travail, favoriser l’emploi
5. Rééquilibrer la fiscalité de l’énergie
Réduire l’écart de taxation à la TIPP entre l’essence sans plomb et le gazole pour contribuer au financement de la dette de RFF : augmentation de 2,5 centimes d’euro par litre pour le gazole
Évolution des prix moyens TTC des carburants en France (2002-2003)
70
75
80
85
90
95
100
105
110
Sans plomb 95 Gazole
* Après hausse TIPP
de 2,5 c. d’euro/ litre
*
53
L’équilibre du PLF 2004
54
L’équilibre du PLF 2004
56Mdse
44,6Mdse
49,3Mdse
0
10
20
30
40
50
60
2002 LFI 2003 Prévisionsd'exécution
2003
PLF 2004
Déficit à structure constante : 54 Mdse
RFF : 1,5 Mdse
L’Évolution du déficit
55
Les recettes fiscales
248,2Mdse
241,3Mdse
248,7Mdse
200
210
220
230
240
250
LFI 2003 Prévisionsd'exécution 2003
2004
Recettes avant allégements d’impôts :Élasticité = 0,6
L’équilibre du PLF 2004
56
Transparence et réforme
57
Transparence et réforme
Le FOREC est budgétisé :- 15,8 Mds € de recettes rapatriés au budget de l’État- 17,1 Mds € de dépenses inscrits au budget du travail
Les concours à RFF sont pérennisés
Les concours aux collectivités locales sont simplifiés
Le transfert du RMI est compensé par un partage de la TIPP
Quatre mesures majeures
58
L’application de la loi organique
Le traitement des taxes parafiscales- LFI 2003 et LFR de fin 2002 : budgétisation de la taxe IFP, création de l’ADAR- 2004 : création de contributions volontaires obligatoires pour les taxes agricoles, budgétisation pour les CPDE, fiscalisation de la redevance
La budgétisation de comptes d’affectation spéciale non conformes à la loi organique
Transparence et réforme
59
Les quatre volets de la Moderfie
Le nouveau budget de l’État : missions / programmes / actions
La nouvelle comptabilité : nouvelles normes comptables et redéfinition du rôle des acteurs
Les nouveaux modes de management et d’action publique
Les nouveaux systèmes d’informations
Transparence et réforme
60
Le calendrier de la réforme
24 mois déjà écoulés
Automne 2003 : le socle - publication du nouveau budget de l’État - fin des travaux sur le nouveau plan comptable
Septembre 2004 : la préfiguration- PLF 2005 présenté pour information selon règle de la loi organique
Septembre 2005 : la mise en œuvre- PLF 2006 en format LOLF- Déploiement d’ACCORD 2
Transparence et réforme
61
PLF 2004 : 125 000 agents concernés par les expérimentations
Globalisation de crédits :tous les ministères, 6 milliards d’euros, 125 000 agents
Préfiguration de gestion par programme dans 5 ministères
Départements comptables ministériels
Recensement du parc immobilier de l’État
Montée en puissance d’ACCORD : 7 000 utilisateurs, tous les ministères
Transparence et réforme
62