Au lycée Paraclet, des cuisines au top et une nouvelle...

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Au lycée Paraclet, des cuisines au top et une nouvelle image vendredi 23 août 2013 09:40 Quimper (29) Grâce aux travaux effectués, l'établissement peut accueillir ses élèves dans d'excellentes conditions. Cyrille Fradin avec les élèves dans la nouvelle boulangerie du lycée Le Paraclet. Avec trois cuisines neuves, une boulangerie et une pâtisserie, l'ensemble du lycée Paraclet de Quimper a été revu. "400 élèves sont accueillis sur le site, dont 180 en internat", détaille Cyrille Fradin, chef de travaux dans l'établissement depuis 1999, qui poursuit : "Le Paraclet continue la réforme des bacs pro, une passerelle pour permettre aux jeunes issus d'autres formations d'accéder aux métiers de l'hôtellerie-restauration." Les métiers de la salle ont été revalorisés : "Les élèves participeront, les 21 et 24 janvier prochain, à la semaine régionale organisée par le rectorat de Rennes et les professionnels de l'hôtellerie-restauration." Les temps forts seront : "les tables rondes sur le thème de l'avenir des métiers de service, la découverte des métiers de service par les collégiens de 3e ; des vidéo-conférences permettant les échanges d'idées et l'explication des formations". Fin janvier également se déroulera la finale de la 2e édition du concours 'Master in service, Valorisons les métiers de la salle', ouvert aux élèves apprentis en formation restaurant. restaurant, brasserie-café, bar et sommellerie. Jean-Yves Tournellec Lycée Paraclet 35 avenue des Glénan 29018 Quimper Tél. : 02 98 55 54 38 Email : [email protected]

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Au lycée Paraclet, des cuisines au top et une nouvelle image vendredi 23 août 2013 09:40 Quimper (29) Grâce aux travaux effectués, l'établissement peut accueillir ses élèves dans d'excellentes conditions.

Cyrille Fradin avec les élèves dans la nouvelle boulangerie du lycée Le Paraclet.

Avec trois cuisines neuves, une boulangerie et une pâtisserie, l'ensemble du lycée Paraclet de Quimper a été revu. "400 élèves sont accueillis sur le site, dont 180 en internat", détaille Cyrille Fradin, chef de travaux dans l'établissement depuis 1999, qui poursuit : "Le Paraclet continue la réforme des bacs pro, une passerelle pour permettre aux jeunes issus d'autres formations d'accéder aux métiers de l'hôtellerie-restauration." Les métiers de la salle ont été revalorisés : "Les élèves participeront, les 21 et 24 janvier prochain, à la semaine régionale organisée par le rectorat de Rennes et les professionnels de l'hôtellerie-restauration." Les temps forts seront : "les tables rondes sur le thème de l'avenir des métiers de service, la découverte des métiers de service par les collégiens de 3e ; des vidéo-conférences permettant les échanges d'idées et l'explication des formations". Fin janvier également se déroulera la finale de la 2e édition du concours 'Master in service, Valorisons les métiers de la salle', ouvert aux élèves apprentis en formation restaurant. restaurant, brasserie-café, bar et sommellerie.

Jean-Yves Tournellec Lycée Paraclet 35 avenue des Glénan 29018 Quimper Tél. : 02 98 55 54 38 Email : [email protected] 

Une première nationale, en compagnie de Patrick Hamard,proviseur et Alain Bernard, chef de travaux, premier rang, àdroite.

mardi 21 janvier 2014

Journal Ouest-France du mardi 21 janvier 2014

Edition : St Malo - Rubriques : Dinard Ville

Les métiers de l'hôtellerie et de la restauration

Une Semaine des métiers de l'hôtellerie etde la restauration qui fera date.

Un premier séminaire national et le débutd'incontournables rencontres.

Valorisons les métiers des arts et de la table.C'est ainsi que se nomme cet événement,organisé par l'Académie de Rennes et pilotépar la Direction académique de la formationprofessionnelle initiale et continue (DAFPIC).Unique chaudron de ce nouveau projet, au plannational, le lycée hôtelier Yvon-Bourges a misles petits plats dans les grands, reconnaît Patrick Hamard, proviseur : « Nous rassemblonsdes gens qui ne se parlent jamais. C'était vraiment une démarche qu'il fallait absolumentengager ».

Déficit d'effectifs

Les établissements de formation et les professionnels du secteur seront donc en parfaiteadéquation, jusqu'au vendredi 24. « Les uns comme les autres sont confrontés à un déficitréel d'effectifs, alors que les perspectives d'emploi sont multiples », explique unintervenant. Il s'agit donc de mettre en lumière, les besoins des uns et des autres, afin derépondre à une demande qui débouche sur des perspectives de carrières très motivantes.

Cinq priorités sont évoquées : informer collégiens et élèves sur les métiers de la restauration,informer et sensibiliser les acteurs de l'orientation, renforcer les partenariats école - entreprise,consolider le travail en réseau et diffuser une image valorisante des métiers du service enrestauration.

En parallèle, 17 établissements bretons (lycées ou CFA) participeront, chacun dans ses murs,au concours « Master in service, Valorisons les arts de la table ». La finale se disputera levendredi 25, à la faculté des métiers, de Bruz. « Nos élèves participeront à ce chalenge quisera récompensé par trois trophées (or, argent et bronze) », détaille Patrick Hamard.

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1 sur 1 31/03/2014 13:52

Hôtellerie-restauration.fr

2e édition du Concours Master in Service Valorisons les métiers de la salle lundi 4 novembre 2013 16:51 L'objectif de ce concours est de valoriser les métiers de la salle par une connaissance de la région, des gestes techniques, des connaissances produits et de développer la relation clientèle.

Organisé dans les 17 établissements de formation de la Bretagne, le concours est réservé aux apprenants des différents établissements de l'Académie préparant une formation en restaurant, brasserie-café, bar, sommellerie, de niveau IV et V. Lors de la première épreuve de pré-sélection réalisé au sein de chaque établissement, les candidats doivent réaliser une affiche A3 sur le thème du concours. La seconde épreuve, considérée comme la demi-finale, s'articule autour de 6 étapes obligatoires : épreuve écrite sur les connaissances de la Bretagne, argumentation commerciale de prise de commande en français et anglais, analyse sensorielle d'un vin blanc moelleux de la Vallée de la Loire, création d'un cocktail pour 2 personnes à base de liqueur de fraises de Plougastel, identification de 10 fruits et réalisation d'une mise en place pour 2 convives sur le thème Entre ciel et mer. A l'issue de ces épreuves, 4 candidats seront sélectionnés pour participer à la finale formant ainsi The Team Master. Elle se tiendra le vendredi 24 Janvier 2014 à la Faculté des métiers du Campus de Ker Lann à Bruz (35) dans le cadre de la semaine hôtelière. Ils devront réaliser une mise en place pour 2 personnes sur le thème Spectacle féérique et envoûtant ; quand la forêt de Brocéliande devient forêt de légendes ; créer un cocktail pour 2 convives autour de la liqueur de fraises de Plougastel ; mettre en carafe et faire l'analyse sensorielle d'un vin rouge du Val de Loire ; reconnaître le plus de fromages possible présentés sous la forme d'un buffet et réaliser une assiette de 5 fromages, proposer l'accord mets et boissons par fromage et estimer le prix de l'assiette. Le lauréat sera déclaré Master in Service d'Or. Un prix spécial UMIH sera également décerné. 

L'académie de Rennes défend les métiers de la salle mardi 21 janvier 2014 13:23 Dinard (35) Du 20 au 24 janvier, les professionnels, enseignants et institutionnels de la Bretagne se mobilisent pour promouvoir la filière. Une action que l'on doit à l'éducation nationale (académie de Rennes) et l'UMIH Bretagne.

Lundi 21 janvier, à Dinard (35), Serge Mathoux, inspecteur de l'éducation nationale pour l'académie de Rennes, et Rachel Le Moigne, président de l'UMIH 35, à l'origine du projet, ont lancé la 1ère semaine des métiers de l'hôtellerie restauration en Bretagne.

Jamais une région ne s'était mobilisée seule pour promouvoir les métiers de la salle. Du 20 au 24 janvier, se déroule la première Semaine des métiers de l'hôtellerie et de la restauration en Bretagne, avec un clin d'oeil pour cette filière encore mal perçue par les jeunes. « Notre constat est simple : nous avons un problème de recrutement en baccalauréat professionnel pour les métiers de la salle, face à l'opulence et le nombre incalculable de demandes en cuisine. Les inscriptions manquent dès la sortie de troisième. La région compte 2 100 jeunes en formation chaque année, tous diplômes confondus, dont 800 en salle. Ce dernier chiffre est en déclin tous les ans » pose d'emblée Serge Mathoux. Fraîchement arrivé dans l'académie de Rennes, l'inspecteur de l'éducation nationale s'est rapproché de l'UMIH Bretagne et de son président régional Rachel Le Moigne pour mettre sur pied ce projet insufflé par son prédécesseur Olivier Poussard, parti dans l'académie de Nantes. Ensemble, ils ont rassemblé les 17 lycées et centres de formation publics et privés bretons. Les chefs d'établissements et les chefs de travaux ont de suite joué le jeu.

Trois temps forts

Trois temps forts jalonnent cette manifestation. Tout d'abord, les élèves de 3e de collège ont toute la semaine pour demander un stage d'observation « Ma semaine en restauration » sur les métiers de la salle aux 17 établissements. « Des séquences au cours desquelles ils pourront découvrir le métier, échanger avec des élèves en formation, aborder les objectifs de ces formations et mieux connaître les parcours de formation et professionnels. Des plaquettes ont été envoyées dans tous les collèges. Les familles doivent être concernées. Ca

doit aussi susciter l'intérêt chez les conseillers d'orientation » dit Rachel Le Moigne. Deuxièmement, la semaine a démarré sur les chapeaux de roues ce lundi avec un séminaire Les arts de la table : des compétences et des savoir-faire à découvrir. Photographie d'une profession organisé au lycée hôtelier Yvon Bourges de Dinard (35). Près de 120 personnes ont répondu à l'invitation.

L'idée : engager une réflexion entre les professionnels du secteur, les professionnels de l'enseignement (formateurs et/ou enseignants, chefs d'établissements) et les institutionnels de la région. Un tripartite qui a la même problématique : « un manque de candidats ». Paradoxalement, le FAFIH indique lors de son intervention « que 2 200 postes sont à pourvoir chaque année en Bretagne ». Les 2 100 jeunes formés au secteur ont donc la possibilité de trouver un emploi après leur étude. « 7 130 offres d'emploi pour les métiers de service ont été confiées à Pôle emploi dont 64% à temps plein en 2013, poursuit le GREF Bretagne. Avec 50 000 emplois salariés (et 75 000 en saison), la Bretagne se place au 6ème rang des régions françaises (soit 4,8% de l'emploi salarié de la région) ». Le secteur est un employeur d'avenir.

"former, considérer et rémunérer autrement"

Viennent quelques pistes sur l'attente des clients face aux métiers de service par Bernard Boutboul (Gira Conseil). « Vous êtes dans une phase de transition où il faut tout retranscrire, dit-il à l'assemblée. La demande est en train de changer. Le consommateur aussi.73 % des repas pris hors domicile sont à - de 10 € ; les critères de choix du client : le prix, le rythme (rapidité de service) et le produit. Le critère du rythme revient pour des repas de 10 à 15 €. Suivent le contact (de 15 à 20 €), le service (de 20 à 30 €) et l'atmosphère (+ de 50 €). On a pas affaire à un consommateur exigent, sachant que la restauration de masse est à - de 15 €, il nous livre un message important : ce n'est pas parce que je suis pressé que je ne veux pas avoir de la qualité et de l'attention. Rappelez-vous des 4 AS, ceci n'est pas un objectif mais une condition pour être un restaurant : Accueil Souriant, Ambiance Sympathique, Assiette Savoureuse, Addition Sage ». Bernard Boutboul nous parle de son outil Le parcours émotionnel du client mis en place autour de 8 séquences pour y parvenir : l'accueil (premier contact), le placement, la carte (conseils et accompagnement), la prise de commande, le déroulement du service, la prestation alimentaire, l'addition (si elle arrive seule ou non), le départ du client. Chaque séquence doit être travaillée, selon lui, pour le faire revenir. « Au-delà du sourire, remerciez-le d'être venu, et faites tout pour le satisfaire, dit-il en glissant un autre conseil. Revoyez aussi votre prime-cost (frais de personnel + coût matière) pour former, considérer et rémunérer autrement vos employés de salle ». L'après-midi, place à des ateliers collectifs de 45 minutes autour de 3 thématiques, avant de se retrouver en salle plénière pour une synthèse générale. La première, Les compétences à acquérir en centre de formation et en entreprise, indique « l'importance de l'intégration du jeune dans une entreprise. Donnons-lui un questionnaire à remplir sur l'établissement avant le stage pour attiser sa curiosité. Cette période de formation est essentielle : valorisons ses compétences. Nous pouvons préparer les élèves et leurs parents à l'insertion professionnelle, car ils sont de plus en plus jeunes. Mais penser aussi à la théâtralisation pour démystifier le côté solennel ». La seconde, Les perspectives d'emploi, de carrière et Les difficultés de recrutement, prend conscience que les « jeunes veulent organiser leur vie professionnelle à travers leur vie privée. Comment les garder ? Ils ont besoin de reconnaissances, d'être dans un environnement qui lui convient (le handicap : les coupures). L'intéressement, la rémunération, la formation continue sont des éléments qui peuvent les fidéliser. Certains professionnels demandent des outils d'évaluation. Nous avons le soutien de l'UMIH et du FAFIH. Apportons aussi des témoignages des professionnels de la région aux jeunes formés ».

Démonstration du métier à Prorestel 2014

Enfin, la dernière, La communication autour des métiers de la salle – comment agir ensemble, soumet l'idée « de trouver un objet emblématique du métier. Il faut valoriser le plaisir et les avantages du métier. Pensez à une autre tenue de salle en formation. Il faudrait revoir le nom Limonadier : c'est l'outil qui s'appelle ainsi. Ce n'est pas vendeur. Pourquoi ne pas avoir également un ambassadeur de [sa] région, de [son] établissement… ». Cette grande mobilisation humaine se clôture vendredi par la finale du concours « Master in Services », qui aura lieu à la Faculté des métiers de Ker Lann, à Bruz (35). 44 jeunes de 11 établissements (sur 17) concourront sous la présidence de Yohan Jossier, directeur de salle du triple étoilé Régis et Jacques Marcon - Saint-Bonnet-le-Froid, et trésorier adjoint de Ô Service des talents de demain, association nationale qui milite pour valoriser les métiers de service. « Le ou la lauréat(e) fera une démonstration au salon professionnel Prorestel en mars prochain à Saint-Malo » se réjouissent déjà Serge Mathoux et Rachel Le Moigne. La Bretagne compte avancer pour promouvoir le métier. Au-delà de cette semaine, professionnels, enseignants du public et du privé, et institutionnels, tous sont décidés à faire bouger les lignes en 2014.

Hélène Binet

Ils ont dit…

Jean-Baptiste Gailly, professeur de commercialisation et services en restauration au lycée Yvon Bourges de Dinard (35) : « C'était important que tous les acteurs se rencontrent pour parler d'un sujet d'avenir. Cela n'était jamais arrivé en 10 ans d'enseignement. Améliorer la communication entre les professionnels et les formateurs me parait évident. Cette journée est déjà un premier pas. Pour ma part, je transmets ma passion du métier à mes élèves par le savoir-être (communication) avant d'inculquer les savoirs ou le savoir-faire. En classe, j'organise des jeux de rôle, de mime, ou des expressions autour du ressenti. Je crois qu'il faudrait aussi développer la poly-compétence : que les jeunes des métiers de la salle soient plus impliqués en cuisine pour mieux parler du produit au client ». Karim Khan-Renault, dirigeant du Château d'Apigné à Le Rheu (35) : « Il faut arrêter de parler des points négatifs des métiers de la salle. Soyons positifs auprès des jeunes. Le métier offre un vivier énorme d'opportunités, permet de voyager, procure du plaisir. Les conditions de travail se sont améliorées. C'est aussi un métier de contact et de relation. Il faut communiquer là-dessus. Au Château d'Apigné, mes employés de salle ont la possibilité de faire des formations (sommellerie par exemple) un lundi par mois à la Faculté des métiers de Rennes. Il faut leur donner la possibilité d'accélérer leurs compétences au-delà de ce que nous pouvons offrir ». Dominique Catoir, inspecteur pédagogique régional de l'académie de Rennes : « Ce n'est pas pour rien que le diplôme « Commercialisation et services en restauration », l'un des deux baccalauréats professionnels en trois ans, a été renommé ainsi après sa réforme. Je crois qu'on doit insister davantage sur la notion de commercialisation. Le métier, ce n'est pas d'être un porteur d'assiette. Il faut des connaissances, des techniques. M'occupant du BTS hôtellerie-restauration, je dois souligner aussi que la poursuite d'étude dans ce secteur est possible. Tout jeune entrant en BTS accède plus facilement à des postes d'encadrement, avec plus d'autonomie ».

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Défendre les métiers de la salle ? mercredi 29 janvier 2014, par Serge Raynaud

Une équation juste !

On connaissait (a+b )(a-b) et autres identités remarquables en mathématique.

Dans l’académie de Rennes on vient désormais d’inventer l’équation juste pour les métiers de la salle, et elle devrait faire école :

« élèves de 3e de collège + information sur les formations et les métiers + emplois qualifiés à pourvoir localement = insertion professionnelle assurée »

L’idée est née d’un constat partagé : en Bretagne, l’an dernier sur 2 100 jeunes en formation de baccalauréats professionnel, seuls 800 se sont inscrits en Bac Pro CSR.

Serge Mathoux, IEN-EG de l’académie de Rennes en charge de la filière professionnelle hôtellerie-restauration et Rachel Le Moigne, président de l’UMIH d’Ille-et-Vilaine se sont rapprochés et ont lancé ensemble ce projet de « Semaine de l’hôtellerie-Restauration en Bretagne ».

L’équation de cette « Semaine de l’hôtellerie-Restauration en Bretagne » repose sur trois axes.

Premier axe : les élèves de 3e de collège. Ce sont eux qui sont susceptibles de rejoindre les formations de la filière. Rien de mieux qu’une immersion dans l’un des dix-sept établissements de l’académie pour découvrir ces métiers et côtoyer des jeunes qui se sont déjà engagés dans une formation, soit en initial scolaire, soit par la voie de l’alternance. Pour cela on va leur proposer une stage d’observation intitulé « Ma semaine en restauration » sur les métiers de la salle.

Deuxième axe : un séminaire organisé au lycée des métiers Yvon-Bourges de Dinard (35). Près de cent-vingt personnes ont assisté à cette rencontre autour du thème « Les arts de la table : des compétences et des savoir-faire à découvrir. Photographie d’une profession ». Mettre en présence proviseurs, chefs de travaux, enseignants et formateurs, professionnels du secteur d’activité et représentants des institutions de la région concernée. D’où il ressort que pour la Bretagne il faut former des jeunes aux métiers de la salle, 2 200 postes qualifiés étant à pourvoir chaque année dans cette région d’après les sources du FAFIH, alors même qu’il n’est pas aisé de recruter par manque de candidatures aux cursus de formation des métiers de la salle.

Troisième axe : analyser les demandes de la clientèle pour anticiper sur la création de postes, leur profil et leur nature. Bernard Boutboul, du Gira Conseil, a proposé des outils d’analyse et a apporté son expertise.

Tous les acteurs concernés ont pu apporter leur pierre à la construction. Il va de soi que cette semaine ouvre des perspectives et sera suivie d’actions pour promouvoir les métiers de salle et permettre à terme la mise en adéquation des flux de formation avec les offres d’emploi.

Les élèves de Christophe Penaud ont travaillé les bases duconcours, en accueillant des hôtes chinois.

vendredi 24 janvier 2014

Journal Ouest-France du vendredi 24 janvier 2014

Edition : St Malo - Rubriques : Dinard Ville

Master in service : les lycéens en compétition

Le lycée hôtelier Yvon-Bourges participe auconcours Master in service. Quatreétudiants se rendront à Bruz, pour la finale,ce vendredi.

Un dialogue vient d'être mis en place, parl'Académie de Rennes, entre lesprofessionnels de la restauration et lesprofessionnels de l'enseignement. Il s'agit devaloriser les métiers du service à table,porteurs d'emplois. Les premières tablesrondes ont eu lieu, lundi, au lycée hôtelier. «Nous avons des engagements forts avecles établissements de l'hôtellerie et de la restauration. Mais aussi, avec de nombreuxindustriels et producteurs », explique Alain Bernard, chef de travaux.

Une démarche conséquente, bien ancrée dans les habitudes du lycée Yvon-Bourges. Celadébouche sur des résultats positifs, avec un nombre impressionnant d'emplois à la sortie dulycée.

L'établissement s'est donc lancé dans l'aventure du concours Master in service, dont la finalese déroule ce vendredi, à la faculté des métiers de Bruz. Le lycée sera représenté par quatreétudiants (bar, sommellerie et service).

En parallèle, de nombreux élèves travaillent sur le sujet. Ainsi, ceux de Christophe Pinaud,professeur, qui, jeudi, ont préparé l'accueil et la table d'étudiants chinois.

Alors, difficile de trouver un emploi, en service de table, au bout des études ? « Nous avons100 % de réussite, pour les élèves motivés. Et, en général, ils le sont », expliqueChristophe Pinaud. Même son de cloche, à la cuisine, où d'autres étudiants ont préparé unmenu fort apprécié.

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1 sur 1 31/03/2014 13:46

Le métier de serveur fait partie de ceux qui recrutent le plusen Bretagne.

Frank Perry

vendredi 24 janvier 2014

Journal Ouest-France du vendredi 24 janvier 2014

Edition : Bretagne - Rubriques : Région

La filière hôtelière veut séduire les jeunes

Le secteur offre des postes mais a du malà recruter. La première semaine, dédiée àces métiers, veut inverser la tendance.

« Les jeunes ont une bonne image del'hôtellerie-restauration, mais pas desformations et de ses métiers qui peinent àattirer les jeunes. C'est assez paradoxal »,avance Serge Mathoux, inspecteur del'Éducation nationale, chargée de la filièrehôtellerie à l'académie de Rennes.

Les formations aux arts de la table, commeserveurs, peinent à attirer les élèves. C'estpourtant un des secteurs qui recrute le plus enBretagne, mais « la profession est étiquetéedifficile avec des horaires décalées ».

Concours interlycées

Pour changer ces mentalités, l'académie de Rennes et l'Umih, le syndicat hôtelier, ont organisécette première Semaine des métiers de l'hôtellerie et de la restauration. Des collégiens ont pusuivre un stage d'observation dans des lycées hôteliers. Un séminaire a été organisé avec lesprofessionnels du secteur pour réfléchir à ce problème. « Il faut leur faire prendreconscience qu'ils ont besoin de ces jeunes », poursuit Serge Mathoux.

Les élèves des lycées hôteliers ont aussi été impliqués dans un concours, le Master inServices. Onze des 17 établissements bretons présentent une équipe de quatre élèves, enformation aux métiers en salle. La finale a lieu aujourd'hui à la faculté des métiers de Bruz (Ille-et-Vilaine). L'équipe gagnante repartira avec des tenues et du matériel professionnel.

« Nous devons redorer l'image de ces professions », résume Serge Mathoux. Car tout estprêt dans les lycées : les enseignants, les salles et le matériel. Il ne manque plus que desélèves.

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Le métier de serveur fait partie de ceux qui recrutent le plus en Bretagne. © Frank Perry

Publié le vendredi 24 janvier 2014 à 14:02.

Job Formation / Se former / Bretagne

Le secteur offre des postes mais a du mal à recruter. La première semaine, dédiée à ces métiers,

veut inverser la tendance.

« Les jeunes ont une bonne image de l'hôtellerie-restauration, mais pas des formations et de ses

métiers qui peinent à attirer les jeunes. C'est assez paradoxal », avance Serge Mathoux, inspecteur de

l'Éducation nationale, chargée de la filière hôtellerie à l'académie de Rennes.

Les formations aux arts de la table, comme serveurs, peinent à attirer les élèves. C'est pourtant un des

secteurs qui recrute le plus en Bretagne, mais « la profession est étiquetée difficile avec des horaires

décalées ».

Concours interlycées

Pour changer ces mentalités, l'académie de Rennes et l'Umih, le syndicat hôtelier, ont organisé cette

première Semaine des métiers de l'hôtellerie et de la restauration. Des collégiens ont pu suivre un stage

d'observation dans des lycées hôteliers. Un séminaire a été organisé avec les professionnels du secteur

pour réfléchir à ce problème. « Il faut leur faire prendre conscience qu'ils ont besoin de ces jeunes »,

poursuit Serge Mathoux.

Les élèves des lycées hôteliers ont aussi été impliqués dans un concours, le Master in Services. Onze des

17 établissements bretons présentent une équipe de quatre élèves, en formation aux métiers en salle. La

finale a lieu aujourd'hui à la faculté des métiers de Bruz (Ille-et-Vilaine). L'équipe gagnante repartira avec

des tenues et du matériel professionnel.

« Nous devons redorer l'image de ces professions », résume Serge Mathoux. Car tout est prêt dans les

lycées : les enseignants, les salles et le matériel. Il ne manque plus que des élèves.

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Les participants au concours devaient faire référence à laforêt de Brocéliande pour l'épreuve des arts de la table.

lundi 27 janvier 2014

Journal Ouest-France du lundi 27 janvier 2014

Edition : Rennes Sud - Rubriques : Bruz

Ker Lann a reçu la finale régionale de Master in Service

Vendredi, à la faculté des métiers de KerLann, 48 élèves des cursus hôtellerie-restauration du Grand Ouest se sont mesurés.Ils participaient à la finale régionale duconcours académique Master in Service.

Cette année, la thématique était lavalorisons les métiers des arts de la table.Les apprenants, organisés en équipe dequatre, devaient montrer leurs acquis dansla région Bretagne à travers quatre ateliers: bar, sommellerie, arts de la table etconnaissance des produits.

Les gagnants du concours viennent du lycée le Paraclet de Quimper (master d'or) , ducentre de formation d'apprentis de la faculté des métiers de Bruz (master d'argent) etdu lycée hôtelier Yvon-Bourges, de Dinard (master de bronze).

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Antoine, Caroline, Claire et Dorine : l'équipe du lycéehôtelier, volontaire pour participer au concours Master inservice.

lundi 17 février 2014

Journal Ouest-France du lundi 17 février 2014

Edition : Vitre Fougeres - Rubriques : La Guerche-de-Bretagne

Lycée hôtelier : ils arrivent 4e au Master in service

Caroline, Dorine, Claire et Antoine sont élèvesen terminale bac professionnelCommercialisation et services en restauration,au lycée hôtelier Sainte-Thérèse. Ils sedestinent tous les quatre aux métiers de lasalle.

Fin janvier, ils ont participé au concoursMaster in service, dans le cadre de laSemaine de l'hôtellerie et de larestauration, organisée par l'Académie deRennes et l'Union des métiers desindustries hôtelières (UMIH), en directiondes lycées professionnels publics, privés etCFA.

Cette compétition par équipe a permis à chacun de déployer tout son talent dans unatelier : reconnaissance de 20 fromages et argumentation d'une assiette, pour Caroline; carafage d'un vin de Loire et analyse sensorielle, pour Antoine ; dressage d'une tablesur le thème de Brocéliande, pour Dorine ; création et présentation d'un cocktail àbase d'une liqueur de fraise de Plougastel, pour Claire. Quatre facettes en somme du

service en salle, pour lesquelles, le quatuor guerchais s'est classé 4e ex aequo sur douzeéquipes.

« Ce concours nous a permis de nous mesurer à d'autres équipes, d'approfondirnos connaissances et d'apprendre à gérer le stress, analysent les jeunes. Nous noussommes aussi rendus compte qu'en salle le travail en équipe était important. »

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Par James Wikeno le 03 avril 2014 à 11:44 

Des collégiens à la découverte des métiers de la restauration

Comme tous les ans, le lycée mévennais accueille en ses murs des élèves de 3ème pour leur faire découvrir le milieu de l'hôtellerie-restauration.

Le mercredi 2 AVRIL , des élèves de Rennes, Mordelles, Ploermel et ST MALO étaient à la découverte du lycée hôtelier Notre Dame. Depuis la 1ère semaine des métiers de l’hôtellerie et de la restauration organisée en janvier dernier par les écoles hôtelières, ce sont 6 mercredis qui ont été consacrés au lycée hôtelier Notre Dame de St Méen le Grand à accueillir des élèves de 3ème de tout le département (soit environ 60 jeunes). « A travers ce projet nous voulons montrer aux collégiens notre proposition de formation et notamment leur faire découvrir les métiers du service » précise M LEMAIRE, Chef d’établissement. Au programme de la journée : Découverte des formations , ateliers cuisine et service , repas au restaurant d’application pour observer les élèves en travaux pratiques, un passage au CDI où le documentaliste leur présente entre autres des parcours d’anciens élèves, les entreprises partenaires régionales, nationales voire internationales avec lesquelles le lycée travaille et où il place ses élèves. « J’ai noté une bonne complicité entre les élèves , il y a un bon esprit d’équipe et je n’ai pas eu l’impression que les élèves étaient en cours , ils ne s’ennuient pas !! » dit une élève . Ce qui est remarquable, note Mme de la Bellière Directrice des collèges de Moka et Sacré Cœur à

St Malo, c’est cette autonomie qu’ont les élèves à travailler seuls, c’est vraiment comme en entreprise. Les élèves ont été contents de l’accueil et ont apprécié le fait qu’ils soient emmenés directement en atelier. M LEMAIRE ajoute : « Notre équipe a un réel plaisir à accueillir ces jeunes en questionnement sur leur orientation. Les choix sont déjà pour la plupart posés mais ils connaissent peu les métiers de la salle et je dis bien les métiers de la salle , passionnants, riches de communication et d’une technicité pointue appréciée des professionnels. On remarque que les jeunes attirés par les métiers de service en général (service à la personne, le commerce, la vente...) ne pensent pas aux métiers de la salle donnant accès à des lieux prestigieux et des carrières internationales exceptionnelles pour certains… par méconnaissance je crois ! » Il reste encore deux mercredis 16 et 23 avril pour venir les découvrir.

 

Une médaille d'or pour Victor Allain, Killian Benz, AlexisPacheco et Emmanuel Toutlemont, élèves au lycée hôtelierLe Paraclet.

vendredi 28 mars 2014

Journal Ouest-France du vendredi 28 mars 2014

Edition : Quimper - Rubriques : Vie en ville

Hôtellerie : troisième titre pour Le Paraclet

Les élèves du lycée hôtelier Le Paraclet ontremporté, lundi dernier, le premier prix du «Master in service UMIH Bretagne », àSaint-Malo. Quatre élèves de terminale ontparticipé à la compétition. « Le projet était dedresser une table de restaurant pour uncouple sur le thème de la Guadeloupe. Leconcours s'est déroulé en quatre étapes etétait évalué sur l'originalité, la créativité etla spontanéité », indique l'un des participants.Les élèves avaient libre cours auprès desstands des partenaires pour la collecte dumobilier, du matériel de table et de ladécoration. L'objectif étant de réaliser, entrente minutes, le dressage d'une table dedeux personnes. Après délibération, le jury classe la table du Paraclet en première position.Deux autres élèves du lycée avaient déjà remporté les médailles d'or et de bronze lors de la

43e édition des « Olympiades des métiers », à Brest, en février dernier.

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La restauration, c’est aussi le service en salleSouvent laissés dans l’ombre au profit de la profession de cuisinier, les métiers de la salle et du servicesont pourtant tout aussi porteurs (1). François en est un bon ambassadeur.

Face à ce gaillard d’un mètre quatre-vingt, aux yeux vifs, et en perpétuelmouvement, on imagine l’ancien collé-gien turbulent. « Je n’aime pas resterassis, confie François Poulard, 17 ans.Après la 3e, je serais bien allé dans lecommerce, mais mes parents m’ontpoussé vers le lycée hôtelier de Saint-Quay-Portrieux. Je ne regrette pas. »

En Bac pro commercialisation etservices en restauration, l’adolescenta canalisé son énergie, jusqu’à de-venir un serveur apprécié. « Des ha-bitués du restaurant d’applicationdemandent à être servis par moi »,notre fièrement le jeune homme.

Le 15 février dernier, en décrochantune médaille d’or aux Olympiades ré-gionales des métiers, à Brest, Françoisa gagné son ticket pour la finale, enjanvier 2015 à Strasbourg. Il a surtoutpris de l’assurance. Pour l’heure, c’estle Bac qui le préoccupe. Pas questiond’échouer, car le lycéen envisage depoursuivre par une mention complé-mentaire sommellerie.

Au cours de ses huit semainesde stage (22 semaines durant lestrois ans du Bac pro) l’élève de ter-minale, coaché par les profession-nels de l’auberge d’Acigné (Ille-et-Vilaine) et du Manoir de Lan Kerellecà Trébeurden (Côtes-d’Armor), a ap-pris à découper la viande et à leverdes filets de poisson face aux clients.« Il me reste à bosser mes fichessur les caractéristiques des fro-mages, des cépages, les alliancesentre mets et vins », confie le jeunehomme, conscient que le nouveauBac pro met l’accent sur la connais-sance des produits.

Nul doute que dans son costumesombre, une noisette de gel dans lescheveux, François mettra un pointd’honneur à exceller, aussi bien enthéorie qu’en pratique.

(1) Selon le Fonds national d’assu-rance formation de l’industrie hôte-lière (Fafih), partenaire de la formationprofessionnelle, 2 200 postes sont àpourvoir par an rien qu’en Bretagne. François Poulard, en Bac pro commercialisation et services en restauration.

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J’y ai droit Pour se former La question

Tarifs jeunes sur le réseaudes trains et cars bretons

La Région Bretagneet la SNCF s’associentpour proposer desTER (trains et cars ré-gionaux) moins chers

pour les jeunes Bretons toute l’année.Ainsi, le tarif TER « moins de 26 ans »coûte 8 € pour un trajet de moins de150 km et 15 € pour un trajet de plusde 150 km.Il permet de réaliser entre 30 et65 % d’économies. Les billets sonten vente dans les gares, téléchar-geables sur KorriGo (la carte bretonnedes déplacements) et sur Internet(www.ter-sncf.com/Regions/Bretagne).Un autre site regroupe toute l’info surles différents moyens de transportbretons :www.breizhgo.com

‡www.crij-bretagne.com‡www.infos-jeunes.fr‡www.crij-bn.org Fo

tolia

Plus de 100 métiersautour du cheval

Louis, 18 ans : « J’aimebeaucoup les animaux eten particulier les chevaux.Quels sont les métiers enlien ? »

« Plus de 100 métiers ontété dénombrés en lien direct et indi-rect avec le secteur du cheval. Lesprofessions en lien direct sont : le pa-lefrenier soigneur, le moniteur d’équi-tation, le lad driver, l’éleveur de che-vaux, le maréchal-ferrant, le groom…Les formations aux métiers du che-val s’échelonnent du niveau CAP auniveau Bac +5. Il est donc importantd’identifier le métier qui semble cor-respondre au mieux à ses attentesavant de s’orienter. Attention, les for-mations sont souvent intégrées par« passion », sans que l’on mesure véri-tablement les implications profession-nelles de son choix. Il est donc impor-tant de vérifier son projet à l’aide destages et d’enquêtes auprès de pro-fessionnels. »

Dinard a son campus de l’excellence sportiveInstallé à Dinard depuis de nom-breuses années, le complexe spor-tif, anciennement connu comme leCreps, a été transformé il y a trois ans

en campus de l’excellence sportive deBretagne. Il est le seul Centre de for-mation des apprentis (CFA) du sporten Bretagne. Tél. 02 99 16 34 16.

Angers : six nouvelles formations en apprentissageElles sont proposées par l’universi-té d’Angers en : Génie mécanique etproductique (métiers de l’aéronau-tique) à Cholet, Réseaux et télécom-munications, Métiers des industries

agroalimentaires et biologiques, Génieélectrique et informatique industrielle,Ingénierie des services (tourisme ethôtellerie de plein air), Psychologie del’orientation tout au long de la vie.

Plusieurs aides possibles pour étudier à l’étrangerPour étudier dans un autre pays eu-ropéen, il existe les bourses d’ensei-gnement supérieur sur critères so-ciaux. Mais également, une aide àla mobilité internationale d’environ400 € par mois dans le cadre d’un pro-gramme d’échanges ou d’un stage,ou encore des aides du nouveau pro-gramme Erasmus. Enfin, certainescollectivités accordent des coups depouce ou des prêts sous conditions.

Ì Les lycées Jeanne-d’Arc de Vitréet Saint-Étienne de Cesson-Sévigné(Ille-et-Vilaine) proposent 14 placespour un Bac pro pilote de ligne deproduction en alternance.

Ì L’École supérieure de commercede Rennes propose 40 places enalternance, pour son programme« Innocapt » basé sur la recherched’innovations à l’étranger.

Ì Le nombre de jeunes filles enécoles d’ingénieurs représente seu-lement 28 % des étudiants, une pro-portion qui chute à 15 % dans les cur-sus liés aux transports.

Repéré ‡www.citedesmetiers22.fr‡www.citedesmetiers-orne.fr

www.entreprises.ouest-france.frwww.ouestfrance-emploi.com

Spécial Avenir10, rue du Breil35051 Rennes cedex 9

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