abus du Fisc A -...

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ANNE,E - N" 7.04 gTltiMt A.60KNEIMENIS ,Zft62h'' 543 fr. Les abus du Fisc le te du Bloc National el.n 11 Joui dernier par la len républicaine et socialiste PID:eiepays, nous avons à diverses cs, par la plume et par la s -dans les réunions publiques, l't> ment, signalé les méf ails, les du fisc à l'égard des travail- kgs notamment. Nous nous sommes élevés contre saisie des salaires et du mobilier co' tir un retard apporté dans le paie- cl de l'impôt sur les salaires par des ouvriers chargés de famille et gagnant à peine de quoi sustenter 'ors enfants, les vêtir et les loger. Cependant que des contribuables fOrlunia, connus de tout le monde, soustrayaient à l'impôt avec la omplicité évidente du gouverne- ment d'alors. La rafale qui nous a débarrassés, pou, longtemps, je l'espère, pour toujours même, de ceux qui, maîtres oui-mir, autorisaient les abus à l'égard dea petits et faisaient pro /- ter et profitaient eux-mêmes des complaisances et des faveurs du fisc à l'égard des gros, avait fait naître l'espoir qu'un peu plus de justice allait présider dans le recouvrement des impôts. Cet espoir serait-il déçu ? Les bu- reaux et les fonctionnaires chargés de l'établissement et la perception des impôts le font-ils par habitude ou pour se ficher du Ministre ? Toujours est-il qu'il n'y a pas grand'ehose de changé, si ce n'est en pire, ce qui est nettement déplo- rable. A une question posée au Ministre des Finances, lui demandant si un percepteur peut mettre opposition su salaire d'un ouvrier, peur le re- couvrement de l'impôt, sans laver- de préalable d'avoir à se libérer de se dette, M. Clémente! répond en jouant de l'article 2 de la loi du 12 novembre 1808 autorisant le per- cepteur à se faire délivrer, sur sim- ple demande, par le tiers détenteur ou tiers débiteur, les fonds dus à rEtat, procédure sommaire, dit-il, peu coûteuse au redevable. Mais, ajoute le Ministre, le contri- buable ne peut ignorer sa dette, il reçoit dans les quinze jours au plus tard de la publication du rôle un avertissement fournissant l'indice- hou du montant de l'impôt, les con- diUons de l'exigibilité, délais et for- malités de réclamation, etc., affir- mant en plus que l'opposition à paie_ Oeil de salaires est toujours prece- dée d'une sommation gratis elle plus Fervent, en outre de cet avis, d'une lommation itérative également sans tris. I/ est délit paradoxal, en l'an tie grtee 1924, après cinquante-quatre ans de République, qu'un Ministre issu des élections de mai dernier Puisse se réclame/. d'une loi stupide ayant cent seize ans d'âge pour "sr tes abus des fonctionnaires trop zélés. àlsis il est en plus inexact % d'affir- rer.que l'opposition ana salaires est jours précédée des avis ou 55m- /battons précités ,es faits démontrant l'inexacti- ,'utl de ces affirmations sont assez nretpients et /a question posée était avée Par un de ces abus du fisc. voici un autre également Porté connaissance du Ministre et qui comme une riposte à la ré- ', aPPortée par l' Officiel » du Pteinbre. ett contribuable employé dans une êtltieaie de chemin de fer est tout le 30 août dernier, d'appren- r son administration que le nePteur de la localité a mis oppo- ,,C à ses salaires pour l'impôt dû e0as de 1923 wmteressé, qui n'a pas été touché avis, s'indigne à lis% et ronsPète comme bien on pense 4,1,1? va chez le percepteur pour et payer sa dette. Pay .' aPPrend avec stupeur que entent lui a été adressé à mais qu'il est revenu, re étant parti sais laià- e. absolument inexact, le o question était seule- lacement momentané te de son administra- laquelle le percepteur caner avant de saisir. en confine au scan-. , on apprend que le t,mliosé ce contribua- atOtt les salaires le Ranesines et Adminismation S. Rue Reequelains - TOULOUSE Tel. s-48 Comee BUREAUX A PARIS 46. Lu de TrEMser ng (IX Arrondissement) Talépbs51 Bessère 56-ms 30 août, n'a été établi que le 21 du même mois, ce qui constitue a n'en pas douter un record de vitesse dans le recouvrement de l'impôt. Seulement Fois se demande et je /e demande au Ministre ce que devient son affirmation d'avertisse- ment, de sommation itérative tou- jours envoyées avant la saisie des salaires. D'autres abus se produisent autre- ment, en ce qui concerne les frais de poursuites notamment. Voici par exemple un contribuable qui ne doit rien au fisc, ayant ses re- çus en poche et qui reçoit un poulet l'invitant à passer chez son percep- teur poisr solder une somme de dix- huit branca destinée à régler les frais de poursuites pour le recouvrement d'impôts qu'il ne doit pas. Celui-là avait reçu des avertisse- ments et des sommations, mais, sûr de son fait, il ne bouge pas. A la sommation itérative, il écrit au contrôleur qui est bien obligé d'a- vouer que rien n'est dû au fisc, mais affirme sans rire que les poursuites sont justifiées parce que les impôts West pas été payés /e 31 décembre 1923 au plus tard. Voilà une énormité de taille à ren- verser un cheval. Ce contribuable redevable d'un impôt sur des salaires de 1923, qui n'ont pu en conséquence être décla- rés au fisc par l'employeur qu'en 1924, et qui avait lui-même les trois premierrs mois de l'année 1924 pour faire sa propre déclaration, est accusé d'avoir failli à son devoir avant que le rôle auquel il est ins- crit fut établi. Il eût donc fallu que, plus fort que le contrôleur lui-même, cet ouvrier devinât au 31 décembr e1923 au plus pard, la sonune que lui réclamerait le fisc en 1924. C'est formidable et c'est idiot, tout à la fois. S'imagine-t-on la tête des percep- teurg voyant arriver dans leurs bu- reaux en fin de décembre de chaque année tous les redevables de l'impôt sur les salaires pour exiger de ces fonctionnaires l'acceptation d'un im- pôt non encore établi afin d'éviter des frais do poursuites ? C'est cependant ce/a qu'exigent un contrôleur et un percepteur de /a Seine. Ce dernier fait est porté à la con- naissance du ministre depuis le 23 août. Il n'a pas encore fait con- naître son avis. Je suis bnpatient de savoir com- ment il s'y prendra cette fois pour couvrir la gaffe de ses fonctionnaires et donner raison au contribuable qui n'a pas tort de refuser de payer. Tout cela évidemment irrite travailleurs victimes de pareils abus et dans ce domaine comme dans bien d'autres, il est temos, grand temps d'apporter les améliorations indis- pensables si l'on ne veut pas détruire l'admirable entrain et l'enthetsias- me que l'on connaît pour le minis- tère actuel, en qui les niasses popu- %ires ont placé leur espoir et leur confiance. Il faut à tout prix que les abus et les injustices dénoncés et combattus sous le régi/ne du Bloc National ne se continuent pas, ne se perpétuent pas après la poussée républicaine et socialiste du 11 mai dernier qui a manifesté sa volonté de les voir ces- ser au plus vite. Ne rien faire, ne pas agir en ce sens serait considéré comme une im- puissance ou une capitulation dont profiterait seule la réaction déchaî- née contre les hommes que /a vo- lonté populaire, dans un sursaut de révolte justifiée, a placés à la tête de l'administration du pays. 1. LOBET, Dénué ale /e Mame Une île glisse dans la Loire Nantes, M septembre. Après le pont Maudit et la pont de Pirmil, après le quai Erneettlemuct voici quo la pointe de Pile sur laquelle l'élève le marche de !a PetIte_Hollande s'en est allée à son tour fans le. Loire. L'éboulement entrahm dere sa chute /a sonnette semant au battage des pieux qui doivent, en forment bar- rage. briser d cet endroit la vilesso cm/ter et Protéger ainsi les quais en 'amont du port L'are/dont, cette fois enmre, se produi- sit la nuit et ne fit heureusement aurune yrctime, mais il ne lais. Pas Hue d'Xtre tort .inatigtent peur les riverains du fteurt). SOCIALISTE ,,,propos du drame de Os pourrait faire un bien curieux ro- man aorc le drame de Lannion' un roman ai le corniot. se marrait ou tragique et lu domin,rail probablement: Mme la comtesse n'étant ni icone, ni belle, ni agréable, M. le comte s en allalt courir le suilleriou. Mais cela radie cher de s'amuser, alertant gurtneo,,t;,a l'âge d'étre caché dans les M. de Ferais., dépensait s0, les oecetisrei. Sa femme, qui enrageait de voir /air, non pro son époux, mais sa fortune, ne u noir pas fouiller les véteneeste con épous pendant qu'il doreare., vous cette ansfocrate faisuAA 1,1 de son mare comme ',ne P ,- utt rg Ah fi, madame la (tondeuse ! Le pauvre comte en était réduit à ry., mei:u ter d des notaires des sommes M.e,Al Vissait .darte cachette as grenz . On nie do. que si ce bambocheur s étau, 1,71. tranquille auprès air madame son épouse cela ne serait pas arrivé. O'cat vrai. Mais il faut considérer qu'il avait une femme rune agréneentureil habitait au fis fond de la Bretagne et qu'il avent un nom prédestiné. (buena( on se nomme %minou me doit aimer biseau et /Vinons tortenei Mais ce gui est le plue mn-menant dues tonte celte histoire, ce ma rendrait peu.plexe le romancier gui voudrait écrire la psychologie de cette chiltelaine cupide et meurtrière, c'est la question. de la religion. Comment se fait.il que tette Bretonne n'ait pae s'entr'auvrir sous rite lev obi- me: Mais .0. a parle re p de la n issante influence ale ?a religion sur les nues, da pays armori- caine Ovel cruel détnenti la noble dame infime à l'auteur de l, Rtude sur les °right. au Christianisme I André NE019. CONRAD! L'AL'As',,,,,delduvé de. Soue. Vomis, d'êtee uondamne a nn omis de P.aaa mar, tapage nuetunt.. Hommage au Travail A BOURRE/5, UN OUVRIER 111VIT1' LA LEGION D'HONNEUR Bourges, septembre. En préserreo du préfet id Cher, de Si. Mausen sénateur du Cher, de diverses personnalités dus miaule industriel et do tom ses camarades, un ouvrter. Henri Fouille., vient del. lait chevalier de la Légion d'honneur. Ferrillatre est également titulaire de la m... anciens combattants de /870-71, dos médailles de vermeil et d'or du travail. Le nouveau légionnaire est entré dans l'établissement où est encor, en décem- bre 1863, il avait alors II ans. Il oc devait plus sortir de cotte mais./ 1m Suint-Fie- rent-sur-Cher, il compte done H ans de servis.. C'est un homme Homme. et encore assidu au travail maigre son âge. Il a eu sept enfants. O CENT LE GRAND-DUC CYRILLE SE PR CLAME TSAR. GRAND BIEN LUI FASSE! IVIAIS IL NE LUI FAUDRAIT PAS CROIRE QU'ON VA LUI PAVER ENCORE UN WRANGEL. LA GUERRE AU MAROC Dè. embusqués utiondent les E.putmols Qui fut intolérant ? Rugnaldy, ministre du rom- merce, vient de jouer un bien joli tour à nos cléricaux. Il a tout sim- plement raconte comment s e az passée l'affaire des Clarisses d'Alert- Con. Vous avez encore dans les oreil- les toutes les, criailleries de la gent dépile et aanliouuotiale à propos de lai mesure légale prise contre cette Con- grégation; les cardinaux avaient ful- miné, les évêques avaient levé les crosses; une ligue dite è des Droits du religieux combattant menaçait de passer aux actes... l Et M. Raynaldg vient de démon- trer que c'était M. Poincaré lui-mé- ruse qui, en 1912, avait autorisé seize congréganistes sur trente-cing e, res- ter dans leur couvent d'Alençon, à la condition expresse que ce nombre n'anginkaterail pas et que la Congré- gation ne se reconstituerait pas. Mais, la mite de la guerre, les Clarisses expulsées étaient revenues à Alençon; leur nombre s'était 111êtrte augmente d'une quinzaine de nou- veltes religieuses et Pune d'elles avait pris le titre de supérieure. C'était bien la Congrégation re- constituée. M. Poincaré se retrouvait ou pouvoir. Informé de cette infrac- tins à mn propre décret, il demanda des renseignements an préfet lui ordonnant d'appliquer le décret de 1912 it la lettre, si les faits étaient exacts. Le ministérre Herriot arrive. Que ? II nitrait dû, d'après le dé- cret de M. Poincaré, expulser toutes les Clarisses. Non seulement il n'en fait rien, mais il autorise celles qui étaient revenues pendant la guerre à rester à Alençon. Quant aux quinze nouvelles, il tete donne deux sursis successifs. M. Herriot viole ctinsi le décret de 11f. Poincaré et c'est lui qu'on accuse d'intolérance; c'est contre lui que se lève toute la eléricaille de ce pays M. Ragnaldy aurait pu se conten- ter de ce succès; il a voulu pousser son avantage jusqu'au bout et il a parlé de la fameuse persécution religieuse en Alsace qui a suscité le mouvement factice que ton sait. Il cf demandé qu'on attendit, puise le juger, le gouvernement à ses oc- Ira 7 L'accueil enthousiaste que les Alsaciens lui ont fait à sa récente matte peut lut latsser quelque doute sur le fond des protestations clérica- les. Les républicains ne se sont pas laissé .émommir par tonte l'agitation dont nous venons d'être les témoins; que le gouvernement applique la loi; ils ne lui demanderont rien de plus. Au banquet offert en son honneur. M. Frai /aire a chanté, d'une voix restée jeu. et vibrants, une romance de sou jeune temps : a L'Honnête Ouvrier s. Parmi les /20 convives. figuraient 82 ou- vriers qui, apr. Feuilla tee, avaient, matin mime, reçu des mains do M. Albert Hervet, la médaille du travail méritée Per 30 années de service et min. davantage. La Légion d'honneur à un ouvrier, c'est nouveau et c'est bien. /I faut seulement regretter q. te ruban rouge se soit sali M. OVNI, amas,. de. Affaires Elronsares de à se train.. sur les poitrines de tant no Tuéuu-Sluvemmu sut saune us ,44, mercantis et d'I'veart.iers. plan d Goulus, A propos do la vie, chère Vom eammeni en de nos camarades belges comma in difficulté. de revistunce Belgiquu As As eaeeéela les efforts fuit, oc. tuellmnunt pas net, mal,. neee Pelee rumMA le oie cas,,. Le maintien des hauts pris pour la plu- part des denrées premien nécessita se- ' naet peu à per au preniler plan la question de la lutte centre la ais chère; l'index du mais d'août a romon. de 5 points le charbon domestique reste hors ne prix, 250 francs la tonne de classes â Brunei- battre. tes; .bourre, qui vaut 15 18 francs sur /es marchés des producteurs, s'est vendu jusqu'à Z.1 trams à Bruxelles; j'ai va rue du Mea. des ufs affiches h 75 o. pièce. Le pain no 'misse pas. OÙ vat-on pour l'hiver oni.stppro- cire ? L'inquiétude est dans bien des mi- nages menuee en outre de vole la Chambre suit les réactionnaires du ,Sémt Pour moudre un sac de blé, mo donne au plus Sein francs, réduisant de QUA- TRE francs la part des meuniers; pour panifier un me de farine, alors quo les intitessés réclamaient 43 D. 32, tandis quo certains essais serablent établir quo 28 fr. suMmient, la Cemmi.im alloue 34 francs à titre de transaction. De nouvelles véri- fications vont avoir Heu. Au fr.], c'est le rétablissement des prix alaXima dont la Chambre belge n'a pas voulu naguirec sur 1,squels le gouvernement s'est /lissé soi Mais ce n'est pas tout. Le sucre et clam al so vend, comme nous l'avons montré, auidessus de son prix de production. La gouvernement frarunie est intervenu et oit quinso j m. ours les prix des sueres ont re do 10 francs au sac. Il est de mieue inter- venu pour charger les préfets de surcuit- Lannion - augmenter leur loyer do 50 pour cent. /er tri M. lu /art et a chargé pro- A PETITS BILLETS Il n'y- A justMei que le gouvernement qui Moteurs de la Republione do veiller ame ' semble se désintemossor do ms préoccupa, prix usuraires. tiens essentielles, sema.es encore par Afiu le ridoir, les ispenses des inters une certaine mise industrielle larvée qui mediaim et ainsi réduire In pris des pro- pourrait blen A/Rendre. Et les 200.000 ne. olaits offerts aux rainagises dans les villes, nages M'agents et de fonctionnaires des il a iléal. /a fermeture oles boulangeries dorme ministères attendent toujmrs qu'il et des boucherinu pour on jour plein pie plaise à In CernmisSion des traitements de SeMailin. 11 forait la même chose pour les dire comment elle entend les payer r eabartts opte nous crierions bravo I Pourtant, oe qui se passe en France, en II so propose d'introduire direetement 1mo matière, pourrait encourage/ nm d'Argentas, Os la viande coagulée, reve- nant ainsi à la politique gin, amis avais arab.. durant trois ans sous los hoùoo oies profiteurs. empechée rde danser co rond, la danse du scalpel mlour issus ceno sema/atours dépouillés. EL au lieu de permettre aux Français de - manges du pain extra-blanc, qui est du rosie dépourvu do toutes qui fait la haute valeur atal -Vrai pain des hommes, ayant perdu me parha de son enter/ et une partie dn ses sels minéraux, le gouverne- ment français a ordonné de bluter ti 78 p. c. au lieu de faine des ri fleurs ne seront Mentit plus que do l'amidon I arrogeants; Ils ont sr domlement situa Her- riot d Londres et b Genève qu'un pour- raient l'imiter Mi igalement sans se sentir ohmmuer davantage; et puis il, dervent avoir pris l'habitude... Si cens pouvions en profiter uu peu ? Le Fronce est cependant restée, plus que la Belgiqtre, un paya amict.; à preuve son protectionnisrm souvent bien rétro- grada L'électeur paysan y a donc fio_. licence mnsibleamt plus grau e qu rot . peut-être a-t-il un sens plus aigro vie l'in- lis-il général et iérd moins tourné d'erreurs par ses dirigeants. Toujours est- i/ qu'une des mesures prinsipsles indses par le gouvernement français cansiste cédoiec 105 droits d'entrée sur SIX denrées do grande ceasomamtion Sur les IleUrres, de 60 f p c.; iprolzeprs. p. p.; Soc la enareuerrin, vie 50 P. ; Celte bole discipline, à laquelle le Frans çais semble ce prêter do propos délibérés est admirable; elle tramho avee notre esprit do romp:Mme aveugle et souvent ho/Décile; elle nous montre la voie centre la vie thèse, car il no suffit pas de holtm phrases ni d'ordres du tsar, il faut des me- sures précises et. /a .11sta/ration siimère d'une population intelligente commettant ses intérits réels Our Forge ails riz. de 50 p. a . tue les Immunes censervê, do 50 P. û Nom suivrons oves plus vif inteitt en d'Oxixemien beuxre' ut qui se passe en Eranoo; il faut espérer bas en Prame . y seront salutaires mais e'eull'eequ'ue'lllePelueuse'exuexueet Mu OlOuti 'e n'o-u-naiseerons pas ig,aser Ce-pon- çais ne s'en est peu tenu là : repend le dant, car ce on permanence rend lo centré. du, prix des farines et du pain ; necee-A. hurle. /I ne Mucha Pee eux xuuee 'ex- des locaux commerciaux, c'est la liberté maux du blé et le miltimteur n'est pas de la propriété débridée, usant et abusant feePM. male il 'ee Prerge (lee eue- de tous ses droits, et on n'y Mettra On gonverre"re e. fixer tle. °ch' P." le par le Socialisme qui ;dama t'intérêt aisé.cl el te PeNTFICAT1 ' d'Me général au-dessus di, l'intérêt priori . et que nous fîmes, ici, dureat trms ans. WAUTERS. ninueulleutuut t'une Xee eu"xexxetri" du loyer do /a terre, c'est le prix du loyer Des orages ravagent la Provence L'orage qui s'est odaéldumr a causa' na'résh.rieg'S.'eco'risrier a.07,1ea u la Los tas et pies'ieur:rtnalual. tait 510"e' s. La gare aorarj a ote'Lli'etM'entWora. reime a .rtarns emeorts jusqa a ta oent,-. Muta. seau. Ln arraissonmet oes nona vol. principales sep. promit au billAne- Ire 121 de ta ham de sans â Marseille. Tous les trams sont aetue,Ument deviss par Carpentras La circulation anis,.' éga- iement arritee, à partir de Maillait, au tel- 1 loanêt. 727 de Lym S Mmes, par le Tait, I pur suite d'un arnmsament oies °eux voies psinicbullse eu as pOaiab. Une machine isrmle est tombée dans un terrent et him matin à al heures la Com- pagnie riait Macla° saga nouvelles du per- sonne!. La mauvena temps continue. ms Marna sciai dotés par Ain.. La Gomps- gnie espéra l'établir le service dans les 24 heures. UNE LOCCAIOTIVE mimeras?. D'UNE ILIULEAJR DE 12 8IELI/E5 Niro., 20 septembre Au cours de Pa- vant dernière nuit, un terrible accident "du sans doute â l'orage qui a sévi dans la ré- gion s'est produit entre l'Ardoise et St- Minies-de-Alootraucon. La ligne, poupée pl ma ' I buta dune machine isolas du depôt d'Avignon, guis été précipitée d'une hauteur do sa métres. Le mécanieren et le chauffeur ont MI luis sur le coup ainsi qu'un militaire gui se trouvait malencontreusement â tord de la lesornotim Les secours ont iti as- surés hurnidiatement par Nîmes et Ma- gma Ce regrettable accident entraînera cer- tainement une pertubation dans la mar- che d. trains. Ceux de Marseille-Paris seront détourais par Mmes, pour emprun- ter la ligne Iihness-Paris, via Cidromnt- Ferrand. Les reptations demanderont en délai miuimum die 12 jours LA VOIE FEMME S'EFFRONRE, LES immun DETIORDENA Paris, 25 septembre. D'après les ren- Seign.eMents qui sent parvenus hier apres- midi PU ministère leu travaux publies, les digits causés sur les daim lignes du L M. d,e chaque côté &Lithine ont éte asses considérables. Sac la rive gaueha du MM, c'est la rio.s'u de l'Amr., qui so jette en amont.de la gare d Orange, qui a dsherfd â in suite de., Muios torrentielles dans les basa. validas des Alpes. La gare d'Orange a 010 ravalée. Près de la gare de Goartheson, la voie s'est effondrée sur une dizaine ale métres. Sur la riva droite du IthOne, la vola a été emportée près do la gare do l'Ardoise sar 725 met., Un pont de oing metsea s'est effondré. Pua trouve parmi les decontbrm les cadmr. dan ment da la traction et d'un militaire. Les trains continuent à. être Mourra. par Mais sur la rive droits du Rhône or par Carpentras sur in rive gauche. La Compagnie P. L. bl. néanmoins rétablis une voie dans la jmr- née. Le régiment da gênie d'Avignon a êtd renvoyé sur les lieux du sinistre. En présence de sotte situation, M. Vic- tor Hey-trat, ministre des trmaux publies, qui avait déja envoyé hier mati/1 nase- /lieur on ehef du contrôle. a -décide de se rendre Im-même sur les lieux. I/ est Parti Mar. sois. accompagné du dismteur l'exploitation do la Compagnie P. le M. et de M. Simon, ingénieur on chef, directe,ir des services techniques do sua cabinet - LE SERVICE TELEGRAPIIIQUE ASSURES DAIA AVIONg Le Bourget. 25 septem.bre. Les nom- manient/ms tebegraphiques n'ayant imites rétablies entre Pelas et Marseille, par suite de la persistance du inaumus temps, au ' pi al p I" ts. D b 'lia tt pour Dijon-Lyon-Marseille emportant un stock de télégrammes. Le pilots Portal assume la liaison do Marseille Paris en sens inverse. La teinpèle sur l'Océan Ecuse-corm, 25 septembre. Lu tem- pête continue avec une violence Made. La mer est démontée. Do lorMs a. erses do pluie Su mêlent du vent qui sont° au sud- ouest. La température est basse. Les brio teaux de pêche n'ont pu sortir. Les Sables d'Olonne, 25 septentre. Une violente tempête a sévi toute la nuit sur la côte. Un vent du sud-ouest, amont:. pagne de véritables trombes d'ean souffla, par rafales. Epouvantable orage sur le Tessin UN VILLAGR DETRUIT Locarno, 251 septembre. Un mage d'une Vmutr505influie ares ab sert sur la région. La ville est privég d'eau par suite Set: rupture de la couduIS Le mauvais Automne Les Eléments déchatnés P MI ',Bit, 1921 26 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ANNE,E - N" 7.04gTltiMt

A.60KNEIMENIS,Zft62h'' 543 fr.

Les abus du Fiscle te du Bloc National

el.n11 Joui dernier par lalen républicaine et socialiste

PID:eiepays, nous avons à diversescs, par la plume et par la

s -dans les réunions publiques,l't> ment, signalé les méf ails, les

du fisc à l'égard des travail-kgs notamment.

Nous nous sommes élevés contresaisie des salaires et du mobilier

co' tir un retard apporté dans le paie-cl de l'impôt sur les salaires par

des ouvriers chargés de famille etgagnant à peine de quoi sustenter

'ors

enfants, les vêtir et les loger.Cependant que des contribuables

fOrlunia, connus de tout le monde,soustrayaient à l'impôt avec la

omplicité évidente du gouverne-ment d'alors.

La rafale qui nous a débarrassés,pou, longtemps, je l'espère, pourtoujours

même, de ceux qui, maîtresoui-mir, autorisaient les abus à

l'égard dea petits et faisaient pro /-ter et profitaient eux-mêmes descomplaisances

et des faveurs du fiscà l'égard des gros, avait fait naîtrel'espoir qu'un peu plus de justiceallait présider dans le recouvrementdes impôts.

Cet espoir serait-il déçu ? Les bu-reaux et les fonctionnaires chargésde l'établissement et la perceptiondes impôts le font-ils par habitudeou pour se ficher du Ministre ?

Toujours est-il qu'il n'y a pasgrand'ehose de changé, si ce n'esten pire, ce qui est nettement déplo-rable.A une question posée au Ministre

des Finances, lui demandant si unpercepteur peut mettre oppositionsu salaire d'un ouvrier, peur le re-couvrement de l'impôt, sans laver-de préalable d'avoir à se libérerde se dette, M. Clémente! répond enjouant de l'article 2 de la loi du12 novembre 1808 autorisant le per-cepteur à se faire délivrer, sur sim-ple demande, par le tiers détenteurou tiers débiteur, les fonds dus àrEtat, procédure sommaire, dit-il,peu coûteuse au redevable.Mais, ajoute le Ministre, le contri-

buable ne peut ignorer sa dette, ilreçoit dans les quinze jours au plustard de la publication du rôle unavertissement fournissant l'indice-hou du montant de l'impôt, les con-diUons de l'exigibilité, délais et for-malités de réclamation, etc., affir-mant en plus que l'opposition à paie_Oeil de salaires est toujours prece-dée d'une sommation gratis elle plusFervent, en outre de cet avis, d'unelommation itérative également sanstris.I/ est délit paradoxal, en l'an tie

grtee 1924, après cinquante-quatreans de République, qu'un Ministreissu des élections de mai dernierPuisse se réclame/. d'une loi stupideayant cent seize ans d'âge pour"sr tes abus des fonctionnaires tropzélés.àlsis il est en plus inexact

%

d'affir-rer.que l'opposition ana salaires est

jours précédée des avis ou 55m-/battons précités

,es faits démontrant l'inexacti-,'utl de ces affirmations sont asseznretpients et /a question posée était

avée Par un de ces abus du fisc.voici un autre également Portéconnaissance du Ministre et qui

comme une riposte à la ré-', aPPortée par l' Officiel » duPteinbre.

ett contribuable employé dans uneêtltieaie de chemin de fer est tout

le 30 août dernier, d'appren-r son administration que le

nePteur de la localité a mis oppo-,,C à ses salaires pour l'impôt dûe0as de 1923

wmteressé, qui n'a pas été touchéavis, s'indigne à lis%

et ronsPète comme bien on pense4,1,1? va chez le percepteur pour

et payer sa dette.Pay .' aPPrend avec stupeur que

entent lui a été adressé àmais qu'il est revenu,

re étant parti sais laià-e.

absolument inexact, leo question était seule-

lacement momentanéte de son administra-laquelle le percepteurcaner avant de saisir.

en confine au scan-., on apprend que let,mliosé ce contribua-

atOtt les salaires le

Ranesines et Adminismation S. Rue Reequelains - TOULOUSE Tel. s-48 ComeeBUREAUX A PARIS 46. Lu de TrEMser ng (IX Arrondissement) Talépbs51 Bessère 56-ms

30 août, n'a été établi que le 21 dumême mois, ce qui constitue a n'enpas douter un record de vitesse dansle recouvrement de l'impôt.

Seulement Fois se demande etje /e demande au Ministre ce quedevient son affirmation d'avertisse-ment, de sommation itérative tou-jours envoyées avant la saisie dessalaires.

D'autres abus se produisent autre-ment, en ce qui concerne les fraisde poursuites notamment.

Voici par exemple un contribuablequi ne doit rien au fisc, ayant ses re-çus en poche et qui reçoit un pouletl'invitant à passer chez son percep-teur poisr solder une somme de dix-huit branca destinée à régler les fraisde poursuites pour le recouvrementd'impôts qu'il ne doit pas.

Celui-là avait reçu des avertisse-ments et des sommations, mais, sûrde son fait, il ne bouge pas.

A la sommation itérative, il écritau contrôleur qui est bien obligé d'a-vouer que rien n'est dû au fisc, maisaffirme sans rire que les poursuitessont justifiées parce que les impôtsWest pas été payés /e 31 décembre1923 au plus tard.

Voilà une énormité de taille à ren-verser un cheval.

Ce contribuable redevable d'unimpôt sur des salaires de 1923, quin'ont pu en conséquence être décla-rés au fisc par l'employeur qu'en1924, et qui avait lui-même les troispremierrs mois de l'année 1924 pourfaire sa propre déclaration, estaccusé d'avoir failli à son devoiravant que le rôle auquel il est ins-crit fut établi.

Il eût donc fallu que, plus fort quele contrôleur lui-même, cet ouvrierdevinât au 31 décembr e1923 au pluspard, la sonune que lui réclameraitle fisc en 1924.

C'est formidable et c'est idiot, toutà la fois.

S'imagine-t-on la tête des percep-teurg voyant arriver dans leurs bu-reaux en fin de décembre de chaqueannée tous les redevables de l'impôtsur les salaires pour exiger de cesfonctionnaires l'acceptation d'un im-pôt non encore établi afin d'éviterdes frais do poursuites ?

C'est cependant ce/a qu'exigent uncontrôleur et un percepteur de /aSeine.

Ce dernier fait est porté à la con-naissance du ministre depuis le23 août. Il n'a pas encore fait con-naître son avis.

Je suis bnpatient de savoir com-ment il s'y prendra cette fois pourcouvrir la gaffe de ses fonctionnaireset donner raison au contribuable quin'a pas tort de refuser de payer.

Tout cela évidemment irritetravailleurs victimes de pareils abuset dans ce domaine comme dans biend'autres, il est temos, grand tempsd'apporter les améliorations indis-pensables si l'on ne veut pas détruirel'admirable entrain et l'enthetsias-me que l'on connaît pour le minis-tère actuel, en qui les niasses popu-%ires ont placé leur espoir et leurconfiance.

Il faut à tout prix que les abus etles injustices dénoncés et combattussous le régi/ne du Bloc National nese continuent pas, ne se perpétuentpas après la poussée républicaine etsocialiste du 11 mai dernier qui amanifesté sa volonté de les voir ces-ser au plus vite.

Ne rien faire, ne pas agir en cesens serait considéré comme une im-puissance ou une capitulation dontprofiterait seule la réaction déchaî-née contre les hommes que /a vo-lonté populaire, dans un sursaut derévolte justifiée, a placés à la têtede l'administration du pays.

1. LOBET,Dénué ale /e Mame

Une île glisse dans la Loire

Nantes, M septembre. Après le pontMaudit et la pont de Pirmil, après le quaiErneettlemuct voici quo la pointe de Pilesur laquelle l'élève le marche de !aPetIte_Hollande s'en est allée à son tourfans le. Loire. L'éboulement entrahm deresa chute /a sonnette semant au battagedes pieux qui doivent, en forment bar-rage. briser d cet endroit la vilessocm/ter et Protéger ainsi les quais en'amont du port

L'are/dont, cette fois enmre, se produi-sit la nuit et ne fit heureusement auruneyrctime, mais il ne lais. Pas Hue d'Xtretort .inatigtent peur les riverains dufteurt).

SOCIALISTE

,,,propos

du drame de

Os pourrait faire un bien curieux ro-man aorc le drame de Lannion' un romanai le corniot. se marrait ou tragique etlu domin,rail probablement:

Mme la comtesse n'étant ni icone, nibelle, ni agréable, M. le comte s en allaltcourir le suilleriou. Mais cela radie cherde s'amuser, alertant gurtneo,,t;,al'âge d'étre caché dans lesM. de Ferais., dépensait s0,les oecetisrei.

Sa femme, qui enrageait de voir /air,non pro son époux, mais sa fortune, ne

u noir pas fouiller les véteneestecon épous pendant qu'il doreare.,vous cette ansfocrate faisuAA 1,1de son mare comme ',ne P ,-utt rgAh fi, madame la (tondeuse !

Le pauvre comte en était réduit à ry.,

mei:uter d des notaires des sommes M.e,Al

Vissait .darte cachette as grenz .

On nie do. que si ce bambocheur s étau,1,71. tranquilleauprès air madame sonépouse cela ne serait pas arrivé. O'cat vrai.Mais il faut considérer qu'il avait unefemme rune agréneentureil habitait au fisfond de la Bretagne et qu'il avent un nomprédestiné. (buena( on se nomme %minoume doit aimer biseau et /Vinons tortenei

Mais ce gui est le plue mn-menant duestonte celte histoire, ce ma rendrait

peu.plexele romancier gui voudrait écrire lapsychologie de cette chiltelaine cupide etmeurtrière, c'est la question. de la religion.

Comment se fait.il que tette Bretonnen'ait pae s'entr'auvrir sous rite lev obi-me:Mais.0. a parle re pde la nissante influence ale?a religion sur les nues, da pays armori-caine

Ovel cruel détnenti la noble dame infimeà l'auteur de l, Rtude sur les °right. auChristianisme I

André NE019.

CONRAD!L'AL'As',,,,,delduvé de. Soue. Vomis,

d'êtee uondamne a nn omis de P.aaa mar,tapage nuetunt..

Hommage au Travail

A BOURRE/5, UN OUVRIER 111VIT1'LA LEGION D'HONNEUR

Bourges, septembre. En préserreodu préfet id Cher, de Si. Mausen sénateurdu Cher, de diverses personnalités dus

miaule industriel et do tom ses camarades,un ouvrter. Henri Fouille., vient del.lait chevalier de la Légion d'honneur.

Ferrillatre est également titulaire dela m... anciens combattants de/870-71, dos médailles de vermeil et d'ordu travail.

Le nouveau légionnaire est entré dansl'établissement où est encor, en décem-bre 1863, il avait alors II ans. Il oc devaitplus sortir de cotte mais./ 1m Suint-Fie-rent-sur-Cher, il compte done H ansde servis..

C'est un homme Homme. et encoreassidu au travail maigre son âge. Il a eusept enfants.

O CENT

LE GRAND-DUC CYRILLE SE PR CLAME TSAR.

GRAND BIEN LUI FASSE!

IVIAIS IL NE LUI FAUDRAIT PAS CROIRE QU'ON VA LUI

PAVER ENCORE UN WRANGEL.

LA GUERRE AU MAROC

Dè. embusqués utiondent les E.putmols

Qui fut intolérant ?Rugnaldy, ministre du rom-

merce, vient de jouer un bien jolitour à nos cléricaux. Il a tout sim-plement raconte comment s e azpassée l'affaire des Clarisses d'Alert-Con.

Vous avez encore dans les oreil-les toutes les, criailleries de la gentdépile et aanliouuotiale à propos de laimesure légale prise contre cette Con-grégation; les cardinaux avaient ful-miné, les évêques avaient levé lescrosses; une ligue dite è des Droitsdu religieux combattant menaçaitde passer aux actes... l

Et M. Raynaldg vient de démon-trer que c'était M. Poincaré lui-mé-ruse qui, en 1912, avait autorisé seizecongréganistes sur trente-cing e, res-ter dans leur couvent d'Alençon, àla condition expresse que ce nombren'anginkaterail pas et que la Congré-gation ne se reconstituerait pas.

Mais, la mite de la guerre, lesClarisses expulsées étaient revenuesà Alençon; leur nombre s'était 111êtrteaugmente d'une quinzaine de nou-veltes religieuses et Pune d'elles avaitpris le titre de supérieure.

C'était bien la Congrégation re-constituée. M. Poincaré se retrouvaitou pouvoir. Informé de cette infrac-tins à mn propre décret, il demandades renseignements an préfet luiordonnant d'appliquer le décret de1912 it la lettre, si les faits étaientexacts.

Le ministérre Herriot arrive. Que? II nitrait dû, d'après le dé-

cret de M. Poincaré, expulser toutesles Clarisses. Non seulement il n'enfait rien, mais il autorise celles quiétaient revenues pendant la guerre àrester à Alençon. Quant aux quinzenouvelles, il tete donne deux sursissuccessifs.

M. Herriot viole ctinsi le décret de11f. Poincaré et c'est lui qu'on accused'intolérance; c'est contre lui que selève toute la eléricaille de ce pays

M. Ragnaldy aurait pu se conten-ter de ce succès; il a voulu pousserson avantage jusqu'au bout et il aparlé de la fameuse persécutionreligieuse en Alsace qui a suscitéle mouvement factice que ton sait.

Il cf demandé qu'on attendit, puisele juger, le gouvernement à ses oc-Ira 7 L'accueil enthousiaste que lesAlsaciens lui ont fait à sa récentematte peut lut latsser quelque doutesur le fond des protestations clérica-les.

Les républicains ne se sont paslaissé .émommir par tonte l'agitationdont nous venons d'être les témoins;que le gouvernement applique la loi;ils ne lui demanderont rien de plus.

Au banquet offert en son honneur. M.Frai /aire a chanté, d'une voix restéejeu. et vibrants, une romance de soujeune temps : a L'Honnête Ouvrier s.

Parmi les /20 convives. figuraient 82 ou-vriers qui, apr. Feuilla tee, avaient,matin mime, reçu des mains do M. AlbertHervet, la médaille du travail méritée Per30 années de service et min. davantage.

La Légion d'honneur à un ouvrier, c'estnouveau et c'est bien. /I faut seulementregretter q. te ruban rouge se soit sali M. OVNI, amas,. de. Affaires Elronsares deà se train.. sur les poitrines de tant no Tuéuu-Sluvemmu sut saune us ,44,mercantis et d'I'veart.iers. plan d Goulus,

A propos do la vie, chèreVom eammeni en de nos camarades belges

comma in difficulté. de revistunce BelgiquuAs As eaeeéela les efforts fuit, oc.tuellmnunt pas net, mal,. neee Pelee rumMAle oie cas,,.

Le maintien des hauts pris pour la plu-part des denrées premien nécessita se-'

naet peu à per au preniler plan la questionde la lutte centre la ais chère; l'index dumais d'août a romon. de 5 points lecharbon domestique reste hors ne prix,250 francs la tonne de classes â Brunei- battre.tes; .bourre, qui vaut 15 18 francs sur/es marchés des producteurs, s'est vendujusqu'à Z.1 trams à Bruxelles; j'ai va ruedu Mea. des ufs affiches h 75 o. pièce.Le pain no 'misse pas.

OÙ vat-on pour l'hiver oni.stppro-cire ? L'inquiétude est dans bien des mi-nages menuee en outre de vole laChambre suit les réactionnaires du ,Sémt

Pour moudre un sac de blé, mo donneau plus Sein francs, réduisant de QUA-TRE francs la part des meuniers; pourpanifier un me de farine, alors quo lesintitessés réclamaient 43 D. 32, tandis quocertains essais serablent établir quo 28 fr.suMmient, la Cemmi.im alloue 34 francsà titre de transaction. De nouvelles véri-fications vont avoir Heu. Au fr.], c'est lerétablissement des prix alaXima dont laChambre belge n'a pas voulu naguirecsur 1,squels le gouvernement s'est /lissé

soiMais ce n'est pas tout. Le sucre et clam

al so vend, comme nous l'avons montré,auidessus de son prix de production. Lagouvernement frarunie est intervenu et oitquinso j m.ours les prix des sueres ont redo 10 francs au sac. Il est de mieue inter-venu pour charger les préfets de surcuit-

Lannion- augmenter leur loyer do 50 pour cent. /er tri M. lu /art et a chargé pro-

APETITS BILLETS Il n'y- A justMei que le gouvernement qui Moteurs de la Republione do veiller ame

' semble se désintemossor do ms préoccupa, prix usuraires.tiens essentielles, sema.es encore par Afiu le ridoir, les ispenses des intersune certaine mise industrielle larvée qui mediaim et ainsi réduire In pris des pro-pourrait blen A/Rendre. Et les 200.000 ne. olaits offerts aux rainagises dans les villes,nages M'agents et de fonctionnaires des il a iléal. /a fermeture oles boulangeriesdorme ministères attendent toujmrs qu'il et des boucherinu pour on jour plein pieplaise à In CernmisSion des traitements de SeMailin. 11 forait la même chose pour lesdire comment elle entend les payer r eabartts opte nous crierions bravo I

Pourtant, oe qui se passe en France, en II so propose d'introduire direetement1mo matière, pourrait encourage/ nm d'Argentas, Os la viande coagulée, reve-

nant ainsi à la politique gin, amis avaisarab.. durant trois ans sous los hoùoooies profiteurs. empechée rde danser corond, la danse du scalpel mlour issus cenosema/atours dépouillés.

EL au lieu de permettre aux Français de -manges du pain extra-blanc, qui est durosie dépourvu do toutes qui fait la hautevaleur atal -Vrai pain des hommes, ayantperdu me parha de son enter/ et unepartie dn ses sels minéraux, le gouverne-ment français a ordonné de bluter ti78 p. c. au lieu de faine des ri fleursne seront Mentit plus que do l'amidon I

arrogeants; Ils ont sr domlement situa Her-riot d Londres et b Genève qu'un pour-raient l'imiter Mi igalement sans se sentirohmmuer davantage; et puis il, derventavoir pris l'habitude... Si cens pouvions enprofiter uu peu ?

Le Fronce est cependant restée, plus quela Belgiqtre, un paya amict.; à preuveson protectionnisrm souvent bien rétro-grada L'électeur paysan y a donc

fio_.licence mnsibleamt plus grau e qu rot. peut-être a-t-il un sens plus aigro vie l'in-lis-il général et iérd moins tournéd'erreurs par ses dirigeants. Toujours est-i/ qu'une des mesures prinsipsles indsespar le gouvernement français cansistecédoiec 105 droits d'entrée sur SIX denréesdo grande ceasomamtion

Sur les IleUrres, de 60

f

p c.;iprolzeprs. p. p.;

Soc la enareuerrin, vie 50 P. ;

Celte bole discipline, à laquelle le Fransçais semble ce prêter do propos délibérésest admirable; elle tramho avee notreesprit do romp:Mme aveugle et souventho/Décile; elle nous montre la voie centrela vie thèse, car il no suffit pas de holtmphrases ni d'ordres du tsar, il faut des me-sures précises et. /a .11sta/ration siimèred'une population intelligente commettantses intérits réelsOur Forge ails riz. de 50 p. a .

tue les Immunes censervê, do 50 P. û Nom suivrons oves plus vif inteitt end'Oxixemien beuxre' ut qui se passe en Eranoo; il faut espérerbas en Prame . y seront salutaires maise'eull'eequ'ue'lllePelueuse'exuexueet Mu OlOuti

'e n'o-u-naiseerons pas ig,aser Ce-pon-çais ne s'en est peu tenu là : repend le dant, car ce on permanence rend locentré. du, prix des farines et du pain ; necee-A.hurle. /I ne Mucha Pee eux xuuee 'ex- des locaux commerciaux, c'est la libertémaux du blé et le miltimteur n'est pas

de la propriété débridée, usant et abusantfeePM. male il 'ee Prerge (lee eue- de tous ses droits, et on n'y Mettra On gonverre"ree. fixer tle. °ch' P." le par le Socialisme qui ;dama t'intérêtaisé.cl el te PeNTFICAT1 ' d'Me général au-dessus di, l'intérêt priori. et que nous fîmes, ici, dureat trmsans. WAUTERS.

ninueulleutuut t'une Xee eu"xexxetri" du loyer do /a terre, c'est le prix du loyer

Des orages ravagent la ProvenceL'orage qui s'est

odaéldumr a causa' na'résh.rieg'S.'eco'risriera.07,1ea u la

Lostas et pies'ieur:rtnalual.

tait510"e's.

La gare aorarj a ote'Lli'etM'entWora.reime a .rtarns emeorts jusqa a ta oent,-.Muta. seau. Ln arraissonmet oes nonavol. principales sep. promit au billAne-Ire 121 de ta ham de sans â Marseille.Tous les trams sont aetue,Ument devisspar Carpentras La circulation anis,.' éga-iement arritee, à partir de Maillait, au tel-

1 loanêt. 727 de Lym S Mmes, par le Tait,I pur suite d'un arnmsament oies °eux voies

psinicbullse eu as pOaiab.Une machine isrmle est tombée dans un

terrent et him matin à al heures la Com-pagnie riait Macla° saga nouvelles du per-sonne!. La mauvena temps continue. msMarna sciai dotés par Ain.. La Gomps-gnie espéra l'établir le service dans les24 heures.

UNE LOCCAIOTIVE mimeras?.D'UNE ILIULEAJR DE 12 8IELI/E5

Niro., 20 septembre Au cours de Pa-vant dernière nuit, un terrible accident "dusans doute â l'orage qui a sévi dans la ré-gion s'est produit entre l'Ardoise et St-Minies-de-Alootraucon. La ligne, poupée

pl ma ' I butadune machine isolas du depôt d'Avignon,guis été précipitée d'une hauteur do samétres.

Le mécanieren et le chauffeur ont MIluis sur le coup ainsi qu'un militaire guise trouvait malencontreusement â tordde la lesornotim Les secours ont iti as-surés hurnidiatement par Nîmes et Ma-gma

Ce regrettable accident entraînera cer-tainement une pertubation dans la mar-che d. trains. Ceux de Marseille-Parisseront détourais par Mmes, pour emprun-ter la ligne Iihness-Paris, via Cidromnt-Ferrand.

Les reptations demanderont en délaimiuimum die 12 jours

LA VOIE FEMME S'EFFRONRE,LES immun DETIORDENA

Paris, 25 septembre. D'après les ren-Seign.eMents qui sent parvenus hier apres-midi PU ministère leu travaux publies,les digits causés sur les daim lignes du

L M. d,e chaque côté &Lithine ont éteasses considérables. Sac la rive gaueha du

MM, c'est la rio.s'u de l'Amr., qui sojette en amont.de la gare d Orange, qui adsherfd â in suite de., Muios torrentiellesdans les basa. validas des Alpes. La gared'Orange a 010 ravalée.

Près de la gare de Goartheson, la voies'est effondrée sur une dizaine ale métres.Sur la riva droite du IthOne, la vola a étéemportée près do la gare do l'Ardoise sar725 met., Un pont de oing metsea s'esteffondré. Pua trouve parmi les decontbrmles cadmr. dan ment da la traction etd'un militaire. Les trains continuent à.être Mourra. par Mais sur la rive droitsdu Rhône or par Carpentras sur in rivegauche. La Compagnie P. L. bl.néanmoins rétablis une voie dans la jmr-née. Le régiment da gênie d'Avignon a êtdrenvoyé sur les lieux du sinistre.

En présence de sotte situation, M. Vic-tor Hey-trat, ministre des trmaux publies,qui avait déja envoyé hier mati/1 nase-/lieur on ehef du contrôle. a -décide de serendre Im-même sur les lieux. I/ est PartiMar. sois. accompagné du dismteurl'exploitation do la Compagnie P. le M. etde M. Simon, ingénieur on chef, directe,irdes services techniques do sua cabinet -

LE SERVICE TELEGRAPIIIQUE ASSURESDAIA AVIONg

Le Bourget. 25 septem.bre. Les nom-manient/ms tebegraphiques n'ayant imitesrétablies entre Pelas et Marseille, par suitede la persistance du inaumus temps, au

' pi al p I" ts. D b 'lia ttpour Dijon-Lyon-Marseille emportant unstock de télégrammes.

Le pilots Portal assume la liaison doMarseille Paris en sens inverse.

La teinpèle sur l'OcéanEcuse-corm, 25 septembre. Lu tem-

pête continue avec une violence Made. Lamer est démontée. Do lorMs a. erses dopluie Su mêlent du vent qui sont° au sud-ouest. La température est basse. Les brioteaux de pêche n'ont pu sortir.

Les Sables d'Olonne, 25 septentre.Une violente tempête a sévi toute la nuitsur la côte. Un vent du sud-ouest, amont:.pagne de véritables trombes d'ean souffla,par rafales.

Epouvantable orage sur le TessinUN VILLAGR DETRUIT

Locarno, 251 septembre. Un maged'une Vmutr505influie ares absert sur la région. La ville est privégd'eau par suite Set: rupture de la couduIS

Le mauvais Automne

Les Eléments déchatnés

P MI ',Bit, 192126

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

ENNY 2 !Fld

te d'altimutation. Le poli ia Mme,à

Ascone'menace ruine, et l'on signale

également de graves, dégâts dans. les val-lées supérieures du Tessin.

D'autre part, on a constaté d'importantsdégâts dans les campagnes. Un éboulementimportant a partiellement détruit le villa-ge de Sonléo (val Maggie). Plusieurs pay-sans qui s'enfuyaient arrivèrent sur lepont Maggie juste au moment oû celui-clétait entraîne par les eaux. Une jeune Dm-me et son fils ont disparu. Le syndic duvillage a adressé au conseil diEtat le té-légramme suivant

u Village partiellement détruit, U y ades morts et des blessés. Scènes de dou-leur. Envoyée immédiatement des se-Cours. »

Le service de la ligne de chemin de ferdu vol Maggie est interrompu. Aux der-niêrcs nouvelles, le nombre des morts cau-sés par l'éboulement est de qui.. environ'et celui des maisons détruites d'une oing-Mine. La gare a été complètement sema'tic et l'an a trouvé, ce matin, des piècesde matériel de chemin de fer dans leseaux du lm.

ittreindfretd sous l'ouraganDES DEGATS ET DES VICTIMES

Leningrad, 25 septembre. Ce matin,la Neva, et les eaux des canaux avaientréintégré leurs lits. Les eaux se main-tiennent à trois pieds au-dessus du ni-veau normal.

Hier soir, le nombre officiel des victi-mes était de 19, chiffre relativement peuélevé, étant donné Amportanee de la ca-tastrophe qui s'est abattue sur la ville. Eneffet, depuis 1824, Leningrend n'avait je,mes connu dlinondetions d'une pareillegravité.

Partout, les nmsures prises inimédiate-ment ont permis à la population d'évacuerS temps les habitations menacées. Latroupe, la milice et les organisations m.monistes d'étudiants ont participé à l'or-ganisation des secours.

On ne connaît pas encore le montantexact des dégâts dont le chiffre va êtreétabli d'urgence, mais qui paraissent énor-mes à première vue.

Parmi lm entreprises ayant le plus souf-fert, on rite notamment plusieurs gran-des Tisines. le troisième station électriquePaqueduc central et /es tétégraphes, /e 'as-sît° zoologique, plusieurs théâtres, l'Uni-versité et les marchandises entreposeesdans les bâtiments de la douane ont égale-ment subi de sérieux dégâts.

Sur les 600 paquebots étrangers ancrésdans le port, un seul, le navire allemanda Merkfiseher a, a souffert de linimeganIl n été tete sur un banc de sable. Tous /esautres bâtiments sont indemnes. Une mai-s. de quatre étages, mmi êtsit en cours deremention, s'est écroulée. Il n'y a pas eude victimes.

Ceux qui se battent

L'Espagne au Mares.LA SITUATION EST CRITIQUE

Madrid, 25 septembse. - Dans le sec-teur de Baharrax, la situation est très mi-tique, ainsi qu'à Adru-Sarama. Dans lesecteur de Zacoarbas renne/ni a atta-que violemment Xeruta ; la garnison ré-siste courageusement.

Dans le secteur de Tetouan, les colon-nes pournevent leur avance dans le Mi

d'établir des commumicatitions avecXammer. Taus les objectifs assignés amjourd'hui ont été occupés avec des per-tes per nombreuses.

La guerre des MandarinsLES NEGCCIATIONS DE PAIX

ONT ECHQUE

Shanghai, 25 septembre. -- Les nége-eiatimm ce paix g lion avait tenté d'opsuis out échoué, et le général Lu a quittéShanghai pour le front. Il s'attend à cenue la plus grande bataille pour luposses-lion de la ville soit livrée en soir trit de-main. Les troupes du Kiang-Sou ont faitde grands préparatifs pour la prochainebataille et une importante quantité d'octillerie a été mese en position. Les trouepro du Tche-Kiang sont cinq fois infé-rieuses en nombre, mais elles sont peintstables par leurs mitraillemm.

Des agents rte Kiang-Sou ont détruitdeux pants de plus la lgne Shanghtif-Hardeow comment ainsi les cotnezmica-Bons de Kche-Kiang et les troupes qui setrouvent dans les environs de Shanghai.

Les troupes du Tchili se concentrentdan la simula/1 de Ichol et l'on s'attenddans une quinzaine de jotas à une gram-de bataille potes la possmsion de SamYalltwan.

UNE DEFAITE DES TROUPESDU CHIH.LI

Moukens, 25 septembre. - Un corn-asemiqué paru ici annonce que 8.000

hommes des trouves du Chih-Li ont étél'atone, ces botes derniers 'et que le resteévalué à environ. 2.000 s'est enfui vers

cuest.

LE JAPON DECLARE QU'IL N'ESTPAS SORTI DE LA NEUTRALITELondres, 25 mpterobre. - Le consul

eAngleterre à Moukden s prié les étran-gers de quitter Tching-Wang-To, portcharbonnier que Tchangbonebarde. Onmande de Tokio ut Ir Daily Mai/ e que /eministre japonais des affairm étrangèresaffirme à nouveau que le Japon a-es parl'intention d'intervenir dans lm affairesde Chine. Il admet MPendant m'oit dé-barqué 300 soldats à New-Chang le psi,cipal port de la Mandchourie, pour pro-tiges les intérêts commerciaux.

Un remaniementdo billets aller-retourParis, 25 septembre. On annonce ce

Matin que te nouveau tarif des billetsd'aller et retour soumis par Ms Cosse.gnies de chemins de fer S l'homologationdu ministre des travaux publics apporte-rait au régime de ces billets d'importun.tes modifications. Les principales porte-raient sur la durée de validité des billetstraller et retour qui serait diminué demoitié. La durée exeeptionnelle des bil-lets délivrés â l'occasion de rentames tè-tes serait maine entièrement supprimée.Le tarif des IntInèratres détournés et desdéclassements serait, en outre, augmenté.

Nens savons mie /es reinaniements enIiestion, tels qu'ils ont été mvisages pares réseaux, ont pour but d'unifier et'uniform(ser les conditions dans Duquel-

k, poinermt être délivres le sbillets d'al-ler et retour.

fiariâ in monde ilu Travaii

LES MINEURS DU BORINAGEONT DEMANDE

L'ARBITRAGE DU GOUVERNEMENT

Mons, 25 septembre. - Les déléguésde la rentrale des Mem dr Borinage sesont réunis hies sois.

Au cours de cette réunion, on annonceque l'ancien ministre. Wauters, amaitdemandé l'arbitrage du gouvernement.Il a été insiste eps- ce point que tous de-vraient s'inulines devant la &daim spi)interviendrait. Lm délégués des sectionsont été chargées de faire part de cettesituation aux groupements syndicaux.

LES PORTEURSDE COVENT-GARDEN VONT

REPRENDRE LE TRAVAIL

,Londres, 25 septembre. - Le comitéexécutif cm e la Faération den ouvriersoes transports a décidé, ce soir, de setcommendes aux porteurs des halles deCovent-Garden ce reprendse le travail.

PROGRAMME DU LABOUR PARTY

Londres, 25 septembse. - Les résoluttions qui seront présentées au came de la-conférence du parti travailliste, qui sou.vrira à Londres le 7 octobre prochain,constituent virtuellerrent le programmeque le gouvernement travailliste, s il con-serve le muvoir, s'efforcera d'appliquer.Les psincipatzx points de ces sésolruionssont les suivants I. L, nationalisatiordes mines ; 2. le monopole dErat del'énergie électrique ; 3. le monopole mn-nicipal des Sociétés cooptsatives dr man-tes les denrées alimentaires et psoduits'remuera ; 4. la mise des chômeurs à lacharge de la comernmante; 4. I unpot surla velem des terres.

Tous lm membres ern gouvemententassisteront à la eonférence du parti tra-vailliste et Mac Dmald, ah, épis cinq

loisir,-présidera les séances.

14 GenèveLE CONSEIL CONTINUE SES TRAVAUX

Genève, 25 septendire Le conseil dela Société des nations s'est réuni, ce ma-tin, en séance publique, sous la présidencede M. Paul Hymens. M. Aristide Briandreprésentait la Amce.

Le conseil a d'abord pris connaissanced'une lettre du gouvernement albanais luidemandant d'intervenir le plus tôt possi-ble auprés de la conférence des ambassa-deurs, pour que celle-ci hâte la fixationdéfinitive de la frontière entre l'Albanieet les Etats voisins.

LA QUESTION DE MOSSOULLe conseil est revenu ensuite à l'affaire

de Mossoul. Depuis la dernière séanceconsacrée à cette affaire, le rapporteur,Branting, avait posé pour la clarté du pro-blème plusieurs questions précises aux dé-légations.

Lord Parmoar a exprimé i'espoir quependant /Instance de l'affaire devant leconseil, /a paix sera sauvegardée sur lafrontière des deux pays intéressés.

Fethi bey accu devoir protester contrele fait que l'aviation britannique se li-vre à des opérations utilitaires au delà decette frontière.

L'examen de Paffaire a été renvoyé àune prochaine séance.

LA CH/NE VA-T-ELLE DEPOSER UNEPLAINTE CONTRE LE JAPON

Genève, 25 septembre. Le délégué duJapon, au cours de la discussion du proto-cole de paix, a déclaré quii/ se pourraitbien que son gouvernement fit de réser-ves. Cette attitude peut s'expliquer si larumeur qui circule dans certains milieuxtic la Société des nations se. confirme.

En effet, on prête à /a délégation chi-noise l'intention de saisir te conseil duconflit qui se dér.le actuellement enChine, sous prétexte que I action des re-belles est favorisée par k Japon. Ise gou-vernement chimis accuserait le Japon d'a-voir mis li la disposition des généraux re-belles les chemins de fer japonMs deMandchourie, d'avoir fourni des armes,des avions et même des officiers. La Chi-ne considérerait ce fait comme un acted'agression.

M. Briand./ rend visiteà M. Maurice Sarraut

Genève, 25 septembre. Le meilleurétat de santé de 31. Maurice Sarraut luia permis de recevoir enfin quelques visi-tes. Une des premières a été celle de M.Aristide Briand, ancien président du con-seil, qui s'est entretenu que/ques instantsavec lui et lui a transmis Ds sympathieset les aveux renouvelés des membres duMuvernernent.

mas-s

Ropturedes pourparlersanglo-alleenands

Londres, 25 septembm. L'agence Reu-ter publie une note disant t

Les milieux eutonsés de Londres esb-suent quela rupture den pourparlers angl.-allemands à Berlin, On vue de la conclu-sion d'un traité de commerce, n'est pasdéfinitive. On fait observer que le carac-tère préliminaire des pourparlers exclutquoi que ce soit de natur eréelle.

le drame de Lannion

Lannion, 25 septembre. - Mure Céli-ne Loarer. entendue à nouveau hieraprès-rnidt, a déclaré cos osée d'instroc-num

(r Le 30 août, je suis allée chez MeFleury nli, apsès avoir jeté de l'eau bé-nite sus le corps de M. ce Kerninan, j'aieu un entretien avec Mme Fleury; je luiai dit r. Je sais tout, IVIadrame, le contem'a tout raconté » ; et Mme Fleury,bouleversée, nue répondit s « Ma bonneCéline, je vous en prie, taisez-vam; nedites rien ; c'est un affreux maltantmalheur épouvantable qu'il ne Mut pasébruiter. ti

Oui, c'est vrai, je rne tronvaia dansle jardin ; quand j'ai entendu un ornaidie feu, je suis montée et Yeti tmové I4ponte de la chambre du mente framéeFai appelé et frappé. la comtesse Maouvert ; elle tenait à la main un revolver

rime lur .11 amuie ; le conne étau en-sanglanté et je l'ai fait descendre pour lee,edge est moi spi ai nettoyée laehandme et qui ai porté les vêtementschez le teinturier. p

Et le témoin ajouta r

Deux au trois jours après l'enterre-ment Me Fleury est venu en auto c.hezsrei me demander si je ne connaissaispas l'existence d'un testa/rient fait parIr corme de Karninon. je répandis quenon.

Le juge d'instruction demanda ensuiteà Mme 1_,oarer pourquoi elle n'avait pasparlé plus tôt.

Le témoin, réponcit que le comte l'a-vait prié de ne rien dire.

Confrontée avec Mme Fletey, MnastCéline Loties maintint ses déclarationsMme Fleury fit de môme répétant avoirbien rencontré da.nee l'escalier le comtede Kerninon blessé, mais n'avoir pas pé-nétré M. la chambre où le drame ve-nait de se dérouler.

Le luge crinstraction va faire vérifiercertains faits rapportés par les témoins,en attendant les rapports dei nrrédecinslégistes qui ont demandé, avant de trOdt-tins, communication ce certaines ptecesde l'instruction.

mss..

Sous la botte des Soviets

C'est Moscou qui aurait provoquéle mouvement

New-York. 25 septembre. M Le corres-pondant de la a Chicago Tribune s, à Tré-bizonde, déclare qu'il vient d'avoir con-firmation du fait que les bolcheviks eu/t-ueuses avaient déclenché le soulèvementen Géorgie. La nouvelle a été donnée Puedes depenhes confidentielles que le comitéde Tiflis put faire parvenir aux confitesgéorgiens de Turquie

Le gouvernement de Moscou ayant au-pris qu'un soulèvement se préparait pourl'automne, s'effraya à l'idée qu'il paumaitgagner tout le Caucase. Afin de faire avor-ter, du moins partiellement, le mouve-ment, li fit agir des agents provomteurs deIn Tcheka. Ceux-ci ne purent pénétrerdans la véritable organisation révolution-naire, mais ils déclenchèrent d'eux-mêmesun soulèvement qui put être facilement ré-primé. Les soviets curent ainsi un prétextepour exemer des représailles et terroriserla putonololmsa,

Toutefois, les révolutionnaires conti-nuent une campagne de guérillas dans lesmontagnes. Ils menacent !es mines demanganèse, les puits de pétrole de Bakou,ainsi que la voie ferrée et le Pipe-/.ine,long de 600 kilomètres, allant de Bakouà Batoum.

. <

Pourquoi la Chaussure. .

ne diminue pas ?

LES ACTIONNA/RES IIES SOCIELES DECHAUSSURES Y PERDRA/ENT L.

M. dossier, président de la Chambresyndicale des cuirs et peaux deParis, Lientde démentir l'information venue de Cher-bourg à notre confrère le ,t Matin s etqui montrait le marché normand des cuirsen proie 3 une forte crise en raison duprix élevé) don transports et du décretprohibant la sortie nes peaux. ErreurErreur ! s'est écrie ai. Jossier. Les dispo-nibilités arrivent à peine à suffire auxbesoins de la consommation; cette abon-dance des cuirs esi une utopie, nous som-mes obligés d'importer des cuire étran-gers et il n'y a aucune rMson actuellementpour ele les prix au détail- do la chas.sure diminuent,

Les explications du president de laChan-bre syndicale des cuirs et peaux sonttrès intéressantes si l'on peut dire I

Mais M. Jossier ne nous a pas dit les maksraisons quigfent. que le prix du cuir etamsi celui de la chaussure continuera àêtre très élevé. Tant que les marchande dechaussures continueront h V01110 1S faimdes bénéfices inouïs, scandaleusementinputs. mmme les bilans des sociétés dechaussures nous l'ont appris, il ne fautpas s'attendre h. ce que â quelque prix quesoient les mirs et peaux, la chyjscurediminue et soit jamais bon r.rche !

Une usine de guerrelicencie des ouvriers

Prague, 25 septembre. Des usinesSkoda ont décidé de licencier 0.200 au_osiers oacupês à la fabrication des armesci des munitions; cette )(Mansion a Olé priseà /a suite de la déclaration que vient defaire le gouvernement Ichécoslovaque ence qui concerne la réduction des effectifsmilitaires.

Le mérite Agricole

Paris, 25 septembre. - goimt persansgrade de commandeur ELM. Blanc, àNoyers-sur-Jableon (Bamee-AT. I "li-tem. Bruire!, à. Strasbourg ; Ernest Boue,président de l'union unirent Sgriuolu 4cToulmse ; Cosi/ni, h Mais ; Coude., àArpajon-sur-CM°

'Delattre, Chelles

(Seine-et_Marne) sErse/y, à Guêroult (Eu-re) ; Culard, a Paris ; Gouchaut, r-tenue ; Guilhermet, à Saint-Julien-en-Ge-nevois ; Gellemot. b Paris ; Johannot, àRennes ; TIMM, à. Paris ; Lafosse, à Vin-sailles Legrip, â Vauville (Calvados) ;Lumet, à Paris ; Marengo, à Nancy ;

; Petit, à Leourne ; haie-seaux, b Auxerre.

Au titre de l'Algérie s M. Amiverate,Batna. -

Prosnolion de juillet 1924 MM. Bleu,Benne y (Pm-de-Calais) ; Bose, à Ment-

jardin (Aude) ; Chopin, â Saulces-Munclip(Ardennes) ; Deimos, â Yacsamonrêve) ; Gerseaux, à Paris ; Grosdidier,Montreuit-saus-Beie ; Janssen à Capella-hnerande (Nord) ; Labouno., b RouenManuel, â Montsévéroux (Isère) ; Marthe,g paris ; Orle, à Boutivueil (Indoe-et-Loi-re) ; Pelletier, à Amiens ; Pouriau, à Pa-ris ; Schaeffer, à Vesoul.

<

Une immense réservede charbon au pays froid

New-York, 26 mptembre. Interviewéà propos de son exploration des régionspolaires, qui dura 18 mois, le capitaineMao Meilen a déclaré qu'Il est certain queIr Groenland renferme Ion plut grandsgisements île charbon du monde entier.

LE MIDI SOCIALISTE

te Herriot reo,.Paris, 25 septembre. Le président du

conseil a eu hier une journée particulié-sentent remplie, en ce sens qu'en autre deses préoccupations quotidiennes, il a lie-çu dans la journée un 442tain nombre d°personnalité)). D'abord l'ambassadeur duBrésil, M. de Souva Dante; ; M. de la Huer-ta, chargé d'affaires d'Espagne ; MM. L.Barthou, présidmt de la C. D. R. ; Pain-levé, président de la Chambre ;commissaire général par intérim/ à Stras-bourg ; notre camarade Vincent Anriod,président de la commission des finances,

Enfin, il s'est entretenu longuement avecM. Massigli, secrétaire de la Conférencedes Ambassadeurs et attaché, h la déléga-tion française à Genêve, qui, de la part

M. A. Briand, l'a uns eu murant destravaux de la S. D. N., et notai/met del'impression produite par la demande duReich sur les membres de la S. D. N.

-

Pour les familles nombreuses

Strasbourg, 25 septembre. L'assem-blée générale de la Fédération des asso-ciations des familles nombreuses, réuniesous la présidence de M. Auguste Iman aadopté le progranrme minimum suivantpour les revendications familiales

I. Majoration des allacations nationales;2. dégrèvement pour charges de familleor la contribution mobilière et la patente;T. réduction des frais d'instille-tipis pourles fertiles nombreuses', 4. extension desexonératioor du service militaire pour lesmembres des familles nombreuses ; S. ge-néralisation des primes à la natalité ; S.réduction pour les familles nombreusesdes taxes municipales.

lissa

Les événements de la Guadeloupe

UNE MISSION OFFICIELLEParis, 25 sep :ombre. Le ministre des

colonies vient de couiner b un gouverarieur des colonies M. Lavit, actuellementdétaché à g. csibinet. Une mission spécia-le.

M. Lavit va quitter Paris s'embar-quera aujournhui à bord d'un °briseursPècialêmeld alfrétAnt qui te collifelit aa GuadnloupoIrIs Lavit fera sur plaee une enquéte sur

Es /ans qui se mnt produiS et sur lescauses qui en mut été l'origine.

Cinq crut DdllittS vert brrr

New-York, 20 septembre. Cinq centdix-huit navires en bois co.trujts pen-dant la guerre, par le semitariat de lamarine marchande américaine, et restéssans usage depuis cette date, vont êtrebrûlés sur les bords du Potomac.

Les navires seront hissés sur le ravageet incendiés apres avoir été arroses depétrole.

L'annonce de eet immense feu de joie aprovoqué un vif intérêt da. toute la ré-gion et des milliers de personnes se pré-parent déjà à assister à oe spectacle peubanal.

de

PUISQU'ON PARLE TANTDE JACIT/E COOGAN...

Un peu de réclame à"Epinard"

New-Yorn, e septembre. Epinard anetinue b s entralimr eu publio surelicsup de manses d Agneau. Il donna lavraie mesure te sa vitesse, avec le imItiliHayons en Sella. en couvrant In parcoursde la O000Se de samedi prochain, soit unmille. eu 1' 38". « Lenaemo s parce.atia distence MS 1E moindre effort ai/pa-rent et ne inamlese aucune fatigue ni ner-vosité en rentrant à. l'écurie. Les critiquessportifs ont eu une tris honns impressionet sont unanimes à constater que la formeactuelle d' a Epimrd a est très supérieureh celle dans laquelle il se trOuvait le

teplonubro. Les sportsmen qui le virentcourir en France et en Angleterre l'annéedernière disent qu'il est redevenu le mêmecheval imbattable qu'il était à cette épo-que.

Histoire d'une bouteillede Rhum

Londrm, 21 septemboe. Une bou-teille de rhum de la Jamaïque, ayant at-teint Tage de 179 ans ot considéré com-

la dee.° des bouteilles de rhum,vient d'être ouverte Par son ProPriéteCT,un marchand de Londres. Elle a été bau-chée se nouveau et scellée avec des ins-tructions, car l'alcool qu'elle contient doit

on goûté dans chaque génération desdescendants du propriétaire. Elle a étégoûtée par les générations de 1837 et de001. On la débauchera en MI.

/En cinq lignes

Scfm Devenee bubease déclare rends,cime et fausse la nouvelle selon laquelle le roiBoris de Bulgarie aurait été asassiné dans sonesos

Limoges. 25 septembre. Pierre Pet etAmédée Castelli, les deux célèbres bandits con-damnés aux travaux forcés Pm marde la Haute-Vienne, comme auteurs principauxde cambrio/age commis à la Trésorerie généralede Limogea, se sont évadés cette nuit de lamaison d'arrêt dans des conditions mystériueses.

Madqd. La Joarne1 051ais1 de Madrid pu-blie un démet établissant l'heure d'hiver à partirdu 4 octobre Prockrier

Genève. Une épidémie de grippe sévit ac-tuellement parmi les délégations à l'assembléede Genève.

Lon res. Lr cortége des syndrcats anglaiss nommé une dé/égarion spéciale qui se rendraen Russie pour faire une enquête sur la situa-tion minime indusuielle et sociale.

Washington. Un membre du Congrès, M.John Hill, eet inculpé, par le mond Dm FLE-T./ d'avoir distribué tamis, à on aullir, deses voisins, du cidre contenant 2 3)4 d'alcool. Ilmaintient qu'un pareil breuvage ne rentrait pasdans la catégorie visée par la loi de prohi-

On creit que le but du grand jury fédéral estd'en faire un procès type.

LISEZ ET FAITES LIRE--

LE s MIDI socIALisra

Glaorminiveimes ,1',etualité

On nous assure qua bientôt la frappe desjetons eieluminium sera suspendue..

Ces jetone out rem, un la pan Cu public,le plus sympathique amueil.

On se eouvient des pauvres coupures depapier de deux trams, un franc et na-geante centimes, Saltaea par les Chambre

Mmineme el, si vite beistforubles onune hem inminastde de papier, grâceen particulier, am peu de 8,1111 que le publicapportait à la nonservation de ente mon-naie légère et délicate.

A voir cannant, u l'heure actuelle, lesMlle. de D Il et 241 francs sont malpro-pres ei en partie hors d'usage, hien qu'ils'agisse d'une monnaie précieuse par lavaleur même qui lui est attribuée, on com-prend que an même public, qui uo pondaueou soin d'un billet de 20 francs, ne s'estpas stance de conserver en ban état descoupures représentatives de sommes d'unevaleur inférieure.

Dans lm campagnes murent il est péni-ble de voir ave quel mépris les billets deS. 10 et 20 frams sont reçus par les pay-sans; ils les prennent dans Imre rudesmains comme on ramasse One loque et ilsles enfoncent dans leur poche somme unmouchoir; plus c'est chiffonné, mieux çavaut. A ce régime-M, les Mlles les plusrésistants ne durent pas longtemps. Aussiles coupur. de mont.° </visionnaireétaient-elles devenues des lambeaux dematiêre graisseuse, noirtdre, neressemblant à rien.

On a vécu pendant des années sous cerégime. Ceux qui Pont institué n'avaientévidemment aucune notion de la men/alité<les masses; au fond, les gens soigneux etphysiquement propres ne sont pas eneoretrès nombreux. On remarque cela à centpetits détails. Voyez les lieux d'aisancesdm éteblissements neme de premier Or-dre. Vous M. stupéfait de constater com-bien rares sont, dans les 05fb on /etbétels, les clients assez soigneux pour lais-en en se retirant, cette station solitairedans un état de propreté semblable à nequi existait quand ils sont entses.

Consultez /a femme qui est ordinaimement préposée â l'entretien de on toit.-

I tes et cabinets. Mc sait h quoi sien tenirsur lp °gré déclaration de ses contempo-rains et SOM, sûrs qu'elle n'est pas trèsédiflée b Mt eteard.

Pour en revenir it la monnaie de papier,il est agréable aujourd'hui, lorsqu'on tra-verse les campagnes de nos beaux dépar-tements de trouver des jetons à peu prèspartret. Pas partout, cependant. I est en-.. des régions ni] les coupures de papiersubsistent, et IMn se demande peurs:nui.

A la Monnaie. en Mt bien eertain d'avoirfrappé pour 740 millions be jetons de2 francs, 1 franc et 0 le è' On sait, d'an-tre part, rine le valeur totale des petites

e".710'tr. Pfo'zdo $ctnvs qu'il n'y

6'1Znimil".nt'

la ermie de papier qui rontinup deeemeirinculer flans certaines régions, d'assez curesheureusement, du territoire.

La Monnaie de Paris, qui pasSède égas

PETITS FAITSHAPPEE PAR UN TRAIN

Neeba.m. 23 einem/ore. Ces spresendi, à3 h. 25, le tram express /01 venant de Toulouseet se dirigeant sur Cette a Mame an face /adistillerie Carlos la nommée Marie Las, ména-gère, 50 ans, habimnt place Cassignol. La lem-me Lions qui se plaint de violentes douleursmernes porte une double fracture au bras. Ellea été transportée à son domica. où les soinsnéeessaires /m ont MS donnés. Cep au momentoir elle traversait la vMe pour voir le lingequ'elle avait étendu de claque coté des conte-Dm me la femme Lions, qui en amine demalin, a été blessée.

SANGLANTE TUME DANS UN DERITLyons, 25 septembre. A SaimFons, dans

k banlieue de Lyon, les époux Clair tiennent,route de Vienne, un petit café. Hier soir, lemari étant allé se coucher, la femme servait laclientèle.

Un nommé Bellon, habitué do café, était entrain de consommer top e dm te 'a sPue Mme Clair et le consommateur pi gifflaIn cabaretière; te hère da celleet, un nomméGuillaume, intedrint alors

'mais Ballon sor.

00m son revolver tire duos balles sur Mme Clairqui fut gravement blessée. A son tour Guille.umesordt rasoir et trancha la gorge de Renon.Cependant, ce/uhci avant de s'ailaiwer eut en-core la force de tirer deux balles qui atteignirentmortelletnent le frère de Mme Cldir. Les troisblessés ne tardèrent es à expirer,

Le commissaire de police de Os. Fons apassé une partie de la nuit à enquêter. Aumoment où le drame se dérou/a, /es trois victi-mes Harem seules dans le cale. Le mari doMme Ciels, qui s'émit levé en entendant le bruitde la dispute, se trouva enp résence de mis ce-danse Mrsqu'il pénétra dans le café.

UN TRAIN ATTAQUEPAR LES BANDITS

Varsovie, 25 septembre. Un train a été ahta<mé entre Finale et TIMM, près de la gmede Lobesac. Une bombe a hué lancée et letrain a du etopper ...et. Une bande d'en,

q t hé d h'umatiquess'est précipitée sur les wagons et a

dévalisé les voyageurs dont deux ont été tués.Parmi les voyageurs se trouvaient le voMode

Damenarowics et l'évêque Lcainski, qui sont as-rivés S Luniniec. Quelques instants après Murcoup fait, les bandits ont détaché la locomotiveet I ont lancée sans nmanicien dans la direc-tion de Lueiniec où elle a été arrêtée.

Les autorités cnt organisé /a Pourstrae desmalfeitems.

L'AFFAIRE DU COLLIERhaus, 25 septembre. L'Américaine mime.

Sswel, à qui aurai, été volé un collieren perles de cinq millions, a été entendue, hieraprès-midi pour /a première fois, par le juged'instruction M. Warrain. Un avocat américainM. Rob...0, I'moomPagnatt Mes ce magietrat.

Mistrem Sevel e dlidarf one peut-être lavaleur de son colliur lime à 5 millions gialt

mois qu'en ma cas, SI valait biendeux millions et demI. Elle n'a pu Indiquer lenom des personnes vol. à Para, ont eu connais-sance du coilier volé, n'ayant jamais montré cerssa copie mi, du reste, ne ressemblait pas emc-tement l'original. Le vrai, celai qui eat c -posé de perles vérimbles et qu'on lui a voir aété vu à Budapest, a-t-ello dit, ma une femmede chambre.

UN PERS ETOUFFE SON ENFANTPARCE QUE. CRIAIT

Mulhouse 0' septembre. On a enterré ven-dredi, un enfant de qui la mon fit beaucoup par-ler. Ses parente, les époux Biles, occupent àHirtabsch, près d'Altkirck, une maisonnette lm;lin erIireol près de deux kilomètres de la tocs-

liéBI/ger, ivrogne et brutal, fut autrefois con-damné par aver assommé mn frère. Il est mariéashe une Allemande qui menait me ale scan

jements on le sait, des«tel''nes, frappe encore pourfrancs en jetans par moiprévoir que la frappe voar il n'est pas °tue demosans cette monnaiesiffira de remplacer

Ionà mesure qu'ils seront reDtion.Quand 3 la frappe do lu

gent, de la bette monnaie d'faut pas encore songer. Cbien compréhensible, pline pièce d'argent qui20 sous a une valeurFrapper de telles pies),Ment, serait nue tentles trafiquants d'argeniraient vite elln de les vpau poids du métal findrcient

Lu ,Monnaie, cependant, ne etimetive. Elle frappera deskat de 26, 10 et 5 centimtravaillera pour l'étronplie on particulier.

ushis ayant de suspendre la fjotans, il faut que le gmmeggeu.,dos mesures énergiques 5000rp'

I

médiatement lin le circulatides billets qu'on voli eneoet Boni-Ouest ah lion enduit, dans certaines localitde timbres poste ou de jetonsne font guère hm/fleur à ceuxdessiné le m.odüle ! -

spluontLa valeur réelle de la

monnaie dinuire actuellement circule% u:s-j14-à 166019.695 francs. Cele représeari.iZs'ec7ognedUiodites, 4rJuo2r>di'quer. C'est la répartitinenset III °ternit Saricompte. On 00 Feuil conone les partieniers

t estmonnaie de Jetons qw erm,.Dur par elle-même etlien à aucun trafic clanéd'et..o un gain nimbante

it'aeel").;livrerait.Mais /a mauvaise monnaie Osesbonnet: M'est un pieW adacji

politique qui se 04U0., metn est pas impossible que les pièces tt"kel pur se mchent, et ausei la lu:vieille monnaie de billon, ciest.à-ditubrome composé de cuivre, d'étain e11vine 011", aux yeux des gens aiméeut la seule ayant ling .vgleur intreréelle. Il est évident que si cette p,dent-il existe en circulation pour g..92 millions de francs. et M la mime ènickel, estimée à Si millions de frants scachent) il ne reste plsius,oet da Mepour remplacer les sous de brome Rauie métal blanc qui dorment au fond tla

tirelires nu se cachent dans les bas 3laine.

y a donc toujours des bas de Anachargés de gros sous ? Sans émisnum saitrs qu'il en existe missi qui selohambés d.e beaux émis de 5 fruits et loème de pAces d'or.

Marcel FRANCE

daleese dans Ie pays et deous quine iser.miné.

Biteer rentra Me, comme imion1prétend que nendsat I. mit il me mis E.ms lit le bébé de esa mots «luné n,0femme et qu'il l'étouffa en dormant.

C'est sur /es dires des outres edam àl'ivrogne, gui affirment que Mp plre duraaccès de fureur a tu' en voulant la faire nuibébé gui Mats qu'one moine est ouvin

ECRASE PAR UN TRAINRive 20 septembre. matin, yen 101.1

en gare de Brive, no commun seleion ne mit oommoi, dens un train en nundesglissa et tomba ses les roues. Le issuson releva le suros, nouons été mmsrhssloà la hauteur do bassin. L'identité ds peernon'a pu être établie. C'est un homme é,rv&gé dues ms envimn, cultivateur aravêtu d'un ccmplet Heu marine, codé climdtPeau. /I émit Pons., dosa Oossnls nu"

muassent dimrs vêtements dont us MO d

laine blanche du nec' s' un gilet de mem.,marque et le Nabis s. le corps a tila morgue.

La Vît SportieL'AFFAIRE DES REFUS DE LICENCE

du a.Faris, 25 aptembre. gernollté de Pans a décidé mardi te.aux autres comités de vouloir Bepom demander une réunimde la Fédération, dans le butquestion des licences et descommission eamateurisrue.. Tousprivés de leur licence ont fau ne m.'sion cmi les frappe. Ces réclarash0examinées dimanche, à Toulouse,mission d'amatemisme. D'arreeyens mvoir que la Commismon..se réunirait le 12 octobre, à Pane.bureau fédéral.

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le dimanche il janvier à Pans, .Il esr envisagé ,1 Dire ineléî'iu 18 4

faire jouer les jeudis 0 janvier u' te'islli.:;:, rn,êzee,:arniné /a nid.

Clis parle égslein,_.eni du désiré' lus-rési ..

difral amétera définidmment le ,

Tirages Financiers

50.000 francs.nos.15e0o.s ..pvtel:snk enbrds:-,1._,.-P:e,r1 009.: e::,'"'P r

415 numéros sont rem,

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5.911 :).390V58: <139914.5 ..P774;

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

eejt-±,

Citir iqiiet.,,oriesitonati

eroessiûnneller

SON bien grave erreur que de

à

P scat°. Lierre. du choix, d'. 'ooser dee jos aptitudes PhAmiLmee ksrlfC'est 'P'dons l'Ostentation profession

chellijelligence cher 5e dernier

Lalo-m.. SES CONSEQUENICIES

enfant provient tres souvent

ssetOs

Brn"°°.'ntatsen tees deircute, osas-riors se.jha,jer le problème, laissant àgroall, d r,--trin de le ré.uire.Eeriee pue clame enfant soit sous

et la connaissance derris Pf. aux r'gles fondamentales du, ,m6per, è

dioopmonssage ; afin que ,sonpuisse, se meubler et se cleve-

jfarypel'de manière à préparer une armé,j-c;satiron et rausmentinu deeh se nt co

conditions de op de manière aussivenant meilleur ouvrier, il Puis.

"-. ne salaire nmuttal dû à sa profes-sT3o.no71,'cadt-i-potple d'assurer sa subsistance,jan ntretien capable dès lors de lui

eo-jprettre d'Mercer avec indépendanceia fonction sociale de citoyen. Tel est leehemin dans lequel nous c.evons mien.ter l'enfant, afin de nous permettre deréaliser ce qui. à nos peursn est encoreaujourd'hui ms une revendication.

N'oublions pas que les classes capita-listes tant au point de vue de la nonnes -cades de leurs privilèges de qesit et defait qu'au point de sette de l'intérêt indhvide,/ de leurs membres, ont créé unesérie d'écoles professionnelles à /eur usa.gc.Il y a ses France des Universités, cesFacultés, des écoles de Droit où se for-ment ims magistrats, nos avocats, riosprofesseurs, etc.: des écoles de médeei.nes des mines, des Ponts et Chausséesoù 'se forment non médecine, nos chia se.eos nos ingénieurs; j/ y a, canoter,ee émit ntilitaires ce, se forment nos

officies.Rien ome cet enseignement ne soit .10.-

qu'a une très faible minorité et set./ornera aux fils de la classe bourgeoise,;1 menet û ces deniers d'occuper ter,.ars Ira positions officielles, publiquns,,linsines, administratives. militaires, fa.otioetes, économiques, etc...

Beoncoup Inc occupent qui n'en sontpas dignes moralement et intellectuelle-nient, puisqu'elles ne sont aussi en rua-lettre partie que le privilège Ce l'argent.

Or, dans une société déntaxratique, cen'est pas l'argent qui peut mu qui doitdéterminer si un enfant est capable derecevoir un enseignement supérieur ouid doit occuper telle ou telle fonction.C'est à Finstitmeur d'abord, au père defamille ensuite, d'en juger. Combien defonctions sociales, publiques, officiellessont occupées par des fruits secs, incapa-Mea de les remplir ? Et ce sont ms der-nrets sentant des rangs chie bourgeoisien ayant par conséquent, ni notre esprit,d notre langage, ni notre concepnon so-ciale mn gouvernent et administrent unesociété démocratique is-bisso. politiqueégalitaire.

Nous devons par conséquent nous ef-forcer d'étendre chez non enfants le do.

Ce nos connai.ances genérales etcri rerEiculier cel/es de notre savoir pro-lessionnel, afin de nous affranchir de laseimstde des classes nanties et des privi-keo qu'elles traînent à leur remorque.L'homme osai n'a pas de métier demeureen oint d esclavagp pemsanent, aussifont-il étendre sans cesse l'instruction ete ned ectscearierrent professionnelfaut que chaque enfant devenu ouvriersait im artisan laborieux,un callalderateureffectif et actif de cette .ume de trans.ter/anon et d affranchmsernent.L'enseignement général et le savoir

onessionool sent les conditions essen-tielles de l'obrnacipstion du prolétariat.L est nécessaire crue les oeuvres créées parle prolétariat (tels les cours profession-mis) se poursuivent sans défaillance etcontinuent les efforts déjà faits en cesens.

Nous devons rendre un hormpage bienmirité aux syndicats, a. Bourses duTravai/ gui luttent avec tant Ciénergl.°Paor la diffusion cin savoir et la préna-Ajd,k.. d'en Prolétariat éclairé et résolu.

L'enseignement peofeesionnel compor.tent néce.airernent une instruction gé-nérale et théories. préalable est la clefqus omdira la porte de la cité de ole-°pain. cité lumineuse et rayonnante faite

PlaiX et de tre.mit, de justice et de so-iialarité.

C'est à cette vaste besogne enslà la6...e du Travail ele Toulouse noustem erroloyone, eienuis longteres, etallons continuer dans la voie déjà tracée.

Louis Careneuse, secrétaire éle laBourse du Travail.

Syndicalisme et Tramways

iiiPsa nous demande : Pourquoi tt un peu

4kitistdolite,i,» et,l'évneaue des souvenirs da-

'al qu'if importait de d'r:r%17,7T-1i'Peensabilités et de ne Poe les leie.ceeéPlacerJ. Si les mêmes muses produisent les

effets,.les mômes hommes conemettent les

mêmes faute':Les errements de 1919, étant an.element encore en vigueur, il est né-

Palée d'en. rechercher l'origine.,;F dtc, encore un peu d'histoire.aA no étions a, moment mie /a repri-

travail en 1919. Ginstitution ete.emendent dot conseil de dise-Maint.,tinea* un délégué du mésfet et noms,

trois délé,guês du patron et troisdu Personnel.ails/ rfEiMe du bon plaisir jaspons.e,0 fats de renvoyer tan employé

fetile met' exte ; d'ailleurs leséc snerserinel se montrèrent tomL'es' et attellent esprit de jus-

C'était trop beau, oelà

ti SeA peu poison môme tempe, installa-

tion à la direction des tramways d'uncommerce de vins. Impossible 1 dites-vo. ? Pourtant un chef de service, etnon des moulures, recevait, dans son lots.rems de la rue des Prés, des comme.des vin, percevait le rreontant ries lac-tases, bien entendu, peur les employésdes trambvays seulement. Ce servicefonctionnait encore d y a trois IMMS.

Peut-un sire que ce commerce n'a ja-mais eu d'influence st, la situation oul'avancement de ceux qui y avaient re-cours ?

Mais, il s'agissait, de tonte urgence,de combattre l'autorité de ce maudit syn-dicat. qui tmg en restant riens les limitesose mn rôle, devenait par trop gênant.

Alors, constitiltion d'un syndicat fau-ne, oui, reçut, aussitôt, l'adhition dieUnis les chefs ne service et dm employésqui ne pouvaient vraiment la refuser.

L'importance de ce syndieat fut d'a-bord minime ; mois il permit de nom,mencer la lutte. Les contrôleurs /levaientse montrer très sévères à l'égard desmembres du tvreclicat rouge, et ne jamaisAgneler un jaune. D'ailleurs. si un dis-sident était l'objet d'une sanction, onétait un peu là, peur en empêcher l'exé-cution.

Mais la lutte fratricide était engagée,c'était l'essentiel ; nous verrons, par lasuite, one la raison du plus fort, n'estpas la meilleure.

Avènement du Pion National, puissantatout pour le symdicat jeune.

Pendant cette risériode, si fertile en in-cidents, l'application de la loi des retrai-tes ouvrières, et la vestion des fermes, nefurent pas négligées

(A suivre) Le Bureau Syndical.

RENTRÉE DES CLASSES -SERVIETTE I paMea cuir de vache leçon tram

95 eu, 88 ami al em24a 25 27.

CETTE SEMAINEVente de Frin de OP »tee en

Chemises ;ea,°e,"°zezeuL"-ri.

A L'I DÉ A L TouLaueF

0,4 ET LAVENTE DES RUSTRES

Par une décision, ...niquée à laMamie de Toulouse, le 2.3 septembre ans-

car, BI. le Slous-Secrétaire d'Etat desPorts, de la Marine Marchande et des Pe-ches, a prorogé jusqu'au 30 novembre 1924,In mise en vigueur du Décret du 31 Mil-let .

, a eEn conséquence et aux termes de cette

décision, « la circulation des huîtres me-a tera libre jusqu'au Inc décembre 1924e sans qu'en aucun cas, /a production du

duplicata du certificat de salubrité ou« du bordereau d'expéditif., puisse être« exigé des expéditeurs,

FIXATION DES PERIODESDE DISTILLATION

Le Maire de Tou/ouse a l'honneur d'in-former ses administrés que, par &muonde 51.1e Juge de Paix du Canton Nord, lespériodes de distillation dans la communeont été fixées aux dates ci-aprèsLa/ande du 23 septembre au 15 octobreCroix-Daurade du 23 septembre au 15 oc-

tobreSaiint-Simon du 15 octobre au /5 novera-

vr' eu' 811 15 mars 19MLardent. du 15 octobre au 15 novembre

In 21 fang, au 10 mars 1925 ;Penh David du 15 octobre au 15 novembre;

du 21 févideir au 10 mars 1925 ;Ponvourville du 15 octobre au 15 novem-

bre ; de 21 n'a./. au 10 mars 1925 ;Lefourguette du /5 octobre au 15 novem-

bre ; du 21 février au 10 mars 1925 ;St-Martin du Touch du 15 octobre as 15

novembre; du 21 février au 10 mars 1925.

FEDERATION OUVRIERE ET PAYSANNEAssemblée générale samedi 27 septem-

bre 5 21 h. au siège Café Cbabaud, 14, pla-ce du Capitole.

a LE COQUELICOTSamedi â 21 heures, réunion d'urgence

au Café Boussis des membres du conseild'administratiion.

ASSOCIATION FRATERNELLEDES EMPLOYES

DES CHEVI/NS DE FER FRANÇAIS

Les Sociétaires de /a Section de Tou-louse sont priés d'assister aux obséquesde Mme Bordes, mère de M. Borde, secré-taire du Comité de la Section, mti aurontheu aulourd'hui vendredi 26 septembre10 heures du matin, sur la paroisse duTate.

Le convoi mortuaire partira de la rueRiyals 14.

CINEMA PER/GNON(Avenue Camille Pujol)

La Direction du Cinéma Pérignon dé-sirant remercieir ses nombreux et fidèleshabitués de l'assiduité qu'ifs n'ont cesséde lui témoigner, organise pour le mer-credi ter octobre, une grande représenta-tion de ga/a.

Pont cette reprétsentation tout la fiaitextraordinaire, la direction s'est assurée lemamours don Principaux sujets de nosgrandes scènes qui interpréteront, aprèsun intermède de choix, /es é Mousquetai-res au Couvent r, sétection et une noué.rlin-hassiPe, é A ira Choper e »,

Nous reviendrons sur ce Programme gnid'ort et déjà promet UDe agréable soiréeceux qui auront la bonne fortune d'y

assister.

LE CHARRETON RETROUVELa nommée Ben AU Amédée, née Gues-

cher Louise, chiffonnière, demeurant, 48,rue Denfert-Rochereau, qui, hier matin,avait déposé plainte pour vol d'un char-'ton qu'elle'elle aait laissé devant sa mat-soc, 48, rue Denfert-Rochereau, s'est pré-sentée au commissariat de police du dèmearrondissement et a fait connaitre qu'Ilavait été retrouvé abandonné près duPont des Catalans, rue des Amidonniers.N'ELEVEZ PAS DES ASTICOTS...

SANS AUTORISATIONM. oomrt

o

nissajre de nootes_d,o,12,,aiieepoeur;

in7ratk 'nionentx lofs etgglements "Ir losétablissements dangere., Insalubres os in-commodes, contre la nommée Marie Rouseact, 40 /MIS dameureed Barrière de ld

Peseadoure, uni pratiquait l'élevage desasticots sans être pourvue de l'autorisa-tion réglementaire.

INDISPOSITION/Der soir, vers 17 heures, la nommée

Braida Domani., figée de 21 ans, de na-tionalité italienne, demeurant rue des lié-collets, 9, passait sur les allées Jean-Jau-rès, lorsque arrivée 5 hauteur du n. 2, ,ellea été prise d'une indisposition subite els'est affaissée sur le sol. Conduite I lapharmacie Auber, elle a reçu des soins,et a été transportée ensuite à l'Hôtel-DieuOS elle a été admise salie Ste-Germaine.LE CAMBRIOLAGE DE LA Mon.GIROSLe coffre-fort dont nous avons relaté,

hier, la disparition, appartenant 5 MM. Gi-mes et Cie, 5, rue Lafon, a été retrouvédans la Garonne, aux Platane. (Ponts-Jumeaux),

Remonté aussitôt sur la berge onconstaté qu'il étant non seulement vidé etfracturé, mais que la porte en était mêmecomplètement arrachée.

D a été transporté à la sûreté ; l'en-quête se poursuit.

TROUVAILLESRéclamer M. Sutra, rue Arnaud-Ber-

nanti,,à7broélran,alagme'in,un 'petite=tueY cAoun:

tenant une petite somme et ubjetst. M.RaynaL rue du er ra, ,

contenant une petite somme; S M. Themlé.net, rue des Lois, 5, un sac S main conte-nant une petite somme et divers objets,amm quune paire de ohanetoretit M. Corbière, rue Pharaon, 35, un bon doCrédit moderne; à d'administration desTramways, huit parmi/nies, une ombrelle,un morceau de chaîne de montre, nne Pairedo pantoufles, une scie I métaux, un sac

main, une paire de gants, une paire delorgnons, une blouse de daine.

PARTI SOCIALISTE (S. F. I. Ott

CANTON CENTRERéunion do tacs les camarades du canton, te

samedi 27 semearlyre comma. à 21 heures, ausiège du Parti, café °Abate, arcades du Captatole.

Ordre du Jour t Réeements dn Paru, que..Som diverses, adhésions; cotisations.

JEUNESSE SOCIALISTEAssemblée générale ce soir vendredi, à 8 h. 30

au café araband, plane d. Capiiole.Ordre du Jour t Cotisations; adhésions; quee

lions diverses.

VIE OUVRIERS

Syndicat du eeione mécanisera. - Pesmaneneepour le versement des codassions le dimanehe 28courant, de 10 h, 30 à midi.

Syndied de, ébénistes. - Tous les camaradesébénistes syndiqué. ou non sont ana. d'assister6 H réunion oui aura Iler, levendredi 26 cou-rant. à 8 h. 30 du soir, a laBoame duTrarail.rue er Y. I.

Ordre du jour t Réorganisation intérieure du...lice,, question. importantes.

LES SOCIETE8

Football-Club toulousain. - Réunion vénéralede la section cycliste, ce soir à 21 heures préci-ses, au siège, oefé Galy.

ordre du Jour Circuit s Cim's s &dimanche,Présenee indispensable.

Sauveteurs caonraires de France. - Réunionabgatoire vendredi 26 septembre t Questionimportante à discuter (Ire amende).

!Infos Sporbee Tsnlsosoérn - Ce soir, von-rime, 26 courant, à 9 h., réunion générale assiège, café Dean, 29, me de ta Concorde.

'LE MIDI SOCIALISTE

Dentiers, Bridges, Couronnes I

An :Dème pris qu'au comptantasliaiaosà la Comma rula I reste sa l Muse 453

Exemple :

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VIE SPORTIVE

GOMME DES PYRENEESSéance du 23 septembre.&aient pré.nrs . MM. Lalande, Paillon,

Lainne, Dusand, Examus, niece.Prevo. Lacet, Saute., fedi°, Meyrous,Joly,

Abonnis t tiM. E. /Jour. aine., Daine,Demet, Maude, Madau, Püliteilmaia, Vidal,Seveitai. iaelio, Seigan, lieutenant Moma,Gourtigual.

Courrier. - Lettre do la F. F. R. avisantque les joueurs Sala.. 51 Pradel ne

C>r.7à1t hsrale%.2.C32CP.Ce e!rie'Nicolaïte avisant le Cain. qu'elle va pay'easla juplaid au Made tao.,rrrrurrtrro ; so. SM-pension sera lexie aussitôt qu'elle auraPayé.

COmmission dos Réglementa. - Le d.-sier au »deur Jussan est transmis à laFédération

Le joueur Peyronet, est qualifié pour leClub sportif Appt:tinté-1J

Le joueur Larrieu Pierre ayant signéI. une demanne renouvermie.:77Tor toStade ToutouSain ; 2. une amande demutation pour te Galba dans le tuais dejuin, est qualifia pour le Gaihia, mais 13Comité lui inflige 4 mois de suFpensic.,sans sursis.

La domande de mutation de Gens estr.voyée à l'A. S. Carcassonnaise, pouravis.

Le joueur Songés est qualifie pour 'eStade Saint-Gaudinois, 'et la Comité adres-se un blâme au secrétaire du Sporting-Club Albigeois pour avoir sign. /a licencedons joueur.

Le président du Gallia-fiMb Toulousainsera entendu par la °omission pour FaSfai-re concernant les joueurs Bon, as et S'a-me.

Par 8 voix contre 2, le comité déridarenvoyer le dossier Cyprien à la commis-sion d'amateurisme.

Le lt ueur Ramon sem entendu par laCommission des Reglements ainsi quj lesprésidents de la Jeunesse Sportive Toulaa-saine et du Touleuee-Lalanue, Olympique.

Le projet concernant la répartition don/émettes est renvoyé h la Commission desFinanCes.

Le Comité rappelle aux chahs que lesmembres qui ont l'entrée gratuite sur leurterrain, les jours de ...tonnai doiventtitra porteurs de la carte muni» de leurphotOgraphm.

Le Comité iteléléra le calititeer de Na

sàrie dans ea séance 1 7 octobre. LaComm ;est. des Ceendrie rs se réunira le6 octobre

La bureau. du Comité se réunira régir-fièrement tous las mardis h 21 heures.

Le secrétaire par interilla 1

E. SEILLE._

STADE TOULOUSALNLe dimanche 28 septembre l'équipe pre-

mière du Sta.de Tou.ousain se rendra àneeentre afin d'y rencontrer l'ilquipe cor-respondante du Racing-Clin Narbounais.

Sendant ee lemps, asix Ponts -Jumeaux.les réserves du Stade joueront Yeux mat-ches en vue de la forMution dot équipeinférieures qui earendront les coutaursRouge et Noir au cours de In saison.

La délivrance des cartes pour la sala°.1924-35 se continue te. Ms jours au se-crétariat du Stade I place Matabiau, de50 heures S. midi 014e 17 heures à 19 heu-

Les nouvelles cartes seront exigê..1 °Mem du terrain le 5 octobre, jour del'ouverture officiait° de la-Maison auxPonts-Jumen..

AU T. O. E. C.

L'équipe Bayonnaise qui doij mateherim hommes Ce l'étau aertr moments par sonmanager, M. afflua., acciai 3n trainment,rHS de la commission de rugby duclue. Lette partie eJt considérée par lesdirigeants basques comme une exceuen.stdmiton qui mur permettra ne jugerleur juste valeur los hommes qui feront, ler., p,srorimsirL

A cette «Casings n01.18 aurons le plaisirde voir t'équipe du T. 0. E. C. définitive-ment forme° ainsi qu'il suit

Lagardelle, Barons, Durnartin, Larquier.Gomme, Piteu, Brunet, Gasenave, Gayraud,Le Maitre. B&W., VaAette, Sou P0, Damon,Dickson, Ciriotteray,

Remplaçants r Trois-quarte r Tarbou-ninob; avant : (maraud,

AMIC cette carburation, nous esperom 1

voir de beiles choses ; eella Partie Serad'un précieux appoint pour 1,8 Toulon- I

sains car «est dimanche 5 octdonTqu'il au-ront S rencontrer /es Perpignaimais.

Nous ne parlerons pas 66 a tourtoisie;Dao lequel sera jouir ce mat05 amical,les .iiSitcurs sont aSSUPds deT. G. kie C. comme tous les ans d'ailleurs,le meilleur accueil, et nems rumes assu-rés de voir une part de spéciasiment coma-.tie au jeu ouvert -

M. Micouleau, de à ;minet, membre de lacommise.. des arldtres du comité desPyrénées, a accepté «arbitrer ortie partieamicale.

L'ex-toisiste Rhodes, qui commande l'A.S. de la (Ste-Pav, e, oppiarra cquipe

t'équipe Il th, T. O. Ii. C. en lever derideau. Coup &envoi h 13 D 30.

NOUS rappelons que le comité du T. O. E.C. a dée ide d'ouvrir tous les dimanchesmatins à partir d;e 9 heures au kiosque desallées Jean Jaurès, un bureau de /ocationPour cette partie, te prix lys plaCes a êtéfixé b 6 francs pour l'enceinte des tribunes,3 francs pour les populaires unfertes et2 franoa pour les pourtours.

Les cartes de membm honoraire sontdislrilbuées chaque soir eu siège du oluh,café Albert, arcades du Capitole, de 18heures I 19 h. 30.

COSTES. Couronnes Slertuaires25, Hue de Bitumée 25

etenIesanrNN

AVIS DE DECESMadame Veuve GELY, née GAUTIER: Mon-

sieur Jean CELlYt Monsieur Eugène GELYkMonsieur Jean GELY: Monaieur en MadbmePierre SAURS': Monsieur Esnile SAURY; Mon-sieur et Madame Antonin ALWIGRY née GAU.TIER et leurs enfants Anne, Made, Joseph;ècladame Veuve G151.1FIER ot ses enfants ja,ques et Elisabeth, Monsieur Etienne TRINQUETont la dreemix de faire part leurs amis et conenaiewnees Isba pePe cruelle qu'ils viennent

I d'émeuve: en /a Damon:da le

Illonsieutt Félix CELLChef de /sain, Compagnie du Midi

lem én..., père, fris, neveu, beauarène, onde,Icousin et ami, pieusement dacéda I Page de, 46 ans et les raient d'assister à ses obsèques quiIamont lieu le ,nredi 27 sereambre, a 9 I'ar1"1

al'église d. Croix-Daurade.On se réunira à la maiscri mortuaire, ahemin

da la Cabsrette (Croix-Damade).Il ne sera pas fait d'autre imitation.

TOUR TOCS LES PECESSUR. SAINT-CYPRIEN

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Yvette Cama, Cee Pavée, 13. - Mani.Col. nie Compans, 13. - Marcel Palcbart, alliaCharleesleEitm, lit. - Rob. Berme, alléeChmles-de.Fitte. 49. - Gabriel Ga., muée deBalma, 27. - André Thudes, Port -neuf. Saint.Etienne, 13. - Antonin Machado, me Tour-nefeuil/e. 53. - Albertine Mansions, quartierLerdenno.

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CEIRONIUR 11P0EN-qiA NOS ABORNÉS

NOUS INFORMONS NOS ABONNES QUELES 1IANDATS PRESENTES PAR LAPOSTE SERONT MAJORES DE 1 fr. 25, 115RAISON DES FRAIS DE RECOUVREMENTIRES ELEVES.

iLS ONT DONC IN'TEIIET A NOUSFAIRE PARVENIR DIRECTEMENT LEMONTANT -DE LEUR ABONNEMENTAVANT SON EXPIRATION,

EN L'ADRESSANT PAR CHEQUE POS.TAE, COMPTE 5277, ILS N'AURONT QUEI fr. 25 DE FISAIS.

Haute.. GaroeineflOQUES-SUR-GARONNE

CONCOURS DE TIR. - Sm la demandede M. /e Président de la Fédérait. desS. A. G., de la Haute-Garonne et de l'A-riège, la firs de clôture du concours et letirage de la sousecription sont renvoyésau à octobre, 14 h.

En conséquence, ce concours se pour-

Lusaires' liees21'eateror*irets", 'de c'eutp111 hilsposuor-eiétés affiliées qui désireraient encore yparticiper, suivant le programme qu'elles

reçu.Les carnets de la souscription et leur

montant devront être déposais avant Je

FONSOBBESGROUPE SOCIALISTE. - Réunion da

tous les adhérents à la section socialistesanaddi soir, à 8 h. 30, mille àu camaradeChapin.

Ordre du j.r r Versement des cotisa-tions ; Banquet du 12 octobre ; Causeriesur la loi de huit heures Par un ancien'dutilL nso 1 M'aide e P edémocrate chrétien.

Tous les républicains sont cordialement,'

REVELSECTION SCAGLALLSTE. - La réunion

mensuelle aura lieu samedi 27 septembre,8 tu. 30, salM habituelle.Une causerie sera faite par le camarade

Billiéres, anoien adjoint au maire de Tou-louse.

Présence indispensable de tous Os mem-bres du groupe.

Les sympathisants sont cordialement in-vités à assister b eette réunion.

ARIEGEMOUVEMENT DANS LE PERSONNEL

DES INSTITUTEURS DU DSPARTE-PrIENT 11E L'ARIEGE en date du 23 sep-tembre,

Ont êté nommesA Vèbre, al. et Mme Esquirol ; à Orles

M. et Mme Darramond ; à ignaux, M. Cru-vinier ; à Unes.; M. et Mme Noua. ; àAPPT Mlle Suléra ; à Montant, M. Péunert ;à Verniers (Capelle) adj. M. Delque ;

Lavelanet adj. M. Piquemal ; à Prayols g.M. Dandine ; S Arignae adj. Mme heimue-rique ; à Saverdun direct. M. Bondie ; àJminim, Mlle Crouzet ; à Fornex m. MmeGars ; à timbre In., M. Naudy ; à StFelixde Tournegat o,, Mate S.d. ; à Miglos(Norgeata M. Denjean

'Gest., Mile Rd

vière ; ù Dun ni., M. Dandine ; à Pamiers(Loumet) adj., Mme Rullio ; à Tarascon f.direct., Mme (aaly ; à St-Girons (Leder) f.adj. Mme Loubet ; f Somix adj. f. MlleCamus; à Couf/ens m., M. .Fonta ; à Se-verduti (Fabas) va. M. Carrère', I Saver-dun g. adj. M. Ftichou au Mas d'AMI I. adj.mme puisard ; S Ces/gode In, Mme Tour-fine ; 5 Fabas (Laclaidagnere), Mlle Atoch

Riment (Brouilh) m. Mlle Caujolle ; àLmcure (Lesearabich. m M. PélissierS Liston (Sérac) tu Mlle Faon ; à Senco-nac m. M. Durand ; I Lesure (Laffont) m.Mlle Aynfé Bonrepaux In., Mme Ay-mar ; à Beth.ale (étirions) 1. Mule RouaisMme Calvayrac ; à Erré (Serres) m. MlleBourdeaux ; S Sentsraille m. M. Martre ;

Tiret g. AL AtUaser ; I 1301houtele (Avéltuté)

MIZMIMMI a ITIMIDIMEI

Envoyez voté Lettres, cinez BBB0Bn4lkez*

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UMM, OrRitorprne 4ArÉcnime, Ports el Tovemueg-mosaaterrenflua. las Ceteetetanta. Sema. es linge AntkOklmmeakkethdd

m. M. Calvayrae ; I Montjoie m. Mme Cou.mes ; à Lacourt f. Mine Castet ; d Autosm. Mme Builles ; I ()tué m. M. Galy ;Garanou (Luyenac) m. Mme Moulis ;Orgeix o, Mlle Authie ; S Vaychis m. /ALDenjean ; à Tignac m. Mlle Biasy (MmeDenjean) ; à Caychaux m. Mme Durandnée Vidalot ; S Massat g. M. Galy ; à Foinpat. adj. Mme Giraud ; à Labarre m. MmeBarras ; I Soule (Caraybat) Mme Ton-dus ; à Ilequefixade m. Mlle Becq ; à FoixI. Mme Autuly ; à Bau/. m. 31. Porte/

'Serres (Sahue) m. M. Pujol ; à Pradiê-res n. Mme Simorre,

SERIIES-SUR-ARGETOCTAVE DE LA FETE. - Dimanche pro.

chain, 28 courant, H population de Serrm-susAtget célébrera l'Octave de la Sainte-Croix.

Lu ...masan fart son posable pour quela tata brille d'un vif éclat. Elle ussuséele concoure de, meilleurs musa,mens fmaens.Tous viendront » amuser Sena», dinsencho.prochain.

Comme tarpons le meilieur accueil sera ré-servé auu étrangers.

FOIRE. .- Lundi ProMain 29 coassas:lieu à Serms-sur-Arge, In mande Hire annuelle/de septembre. Les bestiaux ém, deacendus des'montagne., nous espérons que le marché scralbien approvisionné et que les acheteurs visa.'&ont nombreux.

A l'issue de L foire, un bal réunira danseur.et dans....

Un servee d'autobus /Monne,a pendant essI ' A FBETCHAT

LENDEMAIN DE FEUE -Lu Ume lmale qui;a es /Mu ics 2/ et 2 set,embre s'est déroidée:suivant le programme que nous mions fixé et:avec un éclat Meccoutumé. la fête danois da21 a été particulièrement breante et la placepublique de nome healité a ée trop pedte pourdonner libre cons aux joyeux ébats d'une fou-gueuse jeunesse accourue des nombreux villages.vois.. Le feu d'adirice, grace à /a qualité les'pièces et à l'habileté de notre artifipier M. Ri-ves Joen-Marie, a donna satisfaction aux PinIsSicilas

Dans l'aprèamidi d. 22, une course cycliate,qui a réuni /ea meilleurs amateurs de H région adosé les rachats suivants : I. Eutisd FeMile-rat; 2. Dance..., 3. Fené VIctor, 4 Fané Al-bert; 5. Henri. Des jeux Peur enfaiiia o. Ir-

' I pect mou,drions de ne pas mention., Partivité et le 2,déployés par le directeur M. Turpin. Les réicr. -

sapees as ao, terminées na, on quadrille Li,rent aipnel ont partieipé des dames e selectet dm messieurs sot aussi diatinaués. Une men-Don sakis/a à NO& Martres Paul, nommai'Nen. Boussion jean-Baptiste. Ducos Paul et/Perse Abel qui ont été les c As s de la soirée.

Durant lee 2 jours, /a batailie de confetti afait raye, elle a cessé lundi à 24 heures pourrepredre dimenche 28, à fo«asien deAs la fête. - Lu Commimion

IfERAULTBEZIE els

GRANGE FETE TAUROMACHIQUE DUCLUB TAURIN. - Dimanche proclmin 28eptemb, curas-midi, la benjamine des Soma.té, Taudnee de IM.ers, donnera sa premièreeas tauromachique, à /aquelle elle convie tonles aficionados de la région.

Noua en p./étions cidesscus s Pivenumadont l'élaboration qui feit In p/us grand hon-neurau Club Taurin de Béziers, suscite parmiles habitues de la phare de cette ville N elesmond embossas...me

13 Quatre vachettes provenant de la célèbregonaderia française Vve Viret, seront combattueà la cape, atm banderilles et au simulacre demort par 4 quadrilles essentiellement composéede membres du Club Taurin.

25 Les gardiens Bastien et Plagnol de Sa.u.Geniès-deklourgues aidée la d'Elly, du ClosTa.rin, tom trois membre, de D Nacion Cuas,d'ans rons ut, stmo sere la(assola eus 4'annoulle. de Vnet.

34 Trois &toms embonlés porteurs de 250 fr.de cocmdes seront livs aux amateurs.

A 14 h. 30, très précise, Gmnd Paséo 0050de la marche de s Carmen r.

Guardia, Alcasuilx, Aréneros, Canant.,train d'amme mis maniensement à la dispost-tim du Club Taurin par MM. Cmyraud frères

La musique des Artnes et le Rév,/ Biterroisou grand complet mèterom lem otsomirs.

Tous les aficionados seront onardinea pour re.connaître avec nous que le Club Taurin deBeim. Li mandement les chose.; aussi no..,ne doutons pas que - ce ne soit la foule de,mands 3dass qui ser °nie aux Arène. dimanoh.

-Avis importent - Les carres d'invitation riaamenisenent personne/les non: délivrées à partirde ce jour aus kiosques endoses et Lauriol, surles allées: ainsi an'aux grands caf, de Fiance.Gecier et de to Paix.

Elles .ercaa éndesseut délivrées nu bureaude la direction des Arène., avenuedu mmedi 27, 14h eu dimanche 28, 14h 30.,

En ms de mauvais tome., la face sem ren-voyée au lendemain Hndi 20 h. M.

Changement d'adresseNOUS BAPPEEONS A NOS .ABONNES

QUE TOUTE DEMANDE DE CHANGE,MENT D'ADRESSE DOIT ETRE ACC014.PAGNEE de 0 fr. GO ET DE LA DERNIEREBANDE

Mairie de Toulouseeme--

DECLABATIONS DE DECESCONVOIS FUNEBRES

Le maire de la ville de Toulouse al'honneur de rappeler à ses administréeafin de les mettre en garde contre des er-reurs regrettables que les DECLA.RA.,TIONS DE DECES ne Peuvent être te,cues que dans LES BUREAUX DL;L'ETAT CIVIL A LA MAIRIE, confer-mement aux articles 77 et 78 du Codeinielles du décret du 15 avril 1919.

Il rappelle, en mtre, qu'aux termes de,l'article 97 ohaPitre 4, de be Iceeipale du 5 Avril 1884 Eammité tramamie règle le MODE DE TRANSPORDES PERSONNES DEC,EDEES, le IN.HUMATIONS et EXHUMATIONS et

n équence e lle a mule le droit deFelr'les heures des convois funèbres.S'adreaser pour tom renseignements

concernant lm convois funèbres, au Ser-vice Municipe/ des POMPES FUNE-BRES, 34, rue Pargantinièrene 11-40, oui se charge de T&JTES DE,MARCHES a

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SOM MÉRIDIONALE D'IMPRESSION Nos PortraitsSociété anonyme au capital de 250.000 frams entièromerit versés

Conflué le 4soin 1920. Registre de Commet., Toulouse . 403 B. Stems Hem,edeee M. H/LARIOT, Notem b Toutou»

Siège viciai, à TOULOUSE, 36.33, RUE ROQUELAINE, 35.35 1

DDT DE LA SOCIETE

Société e pour objet Tentes les opérations oc rattachant directement ou indireosment an commerce de le Librairie et lie l'Imprimerie, à l'édition et à la vente de

tOus Journaux et Publications et en parti cula, ln publication du journal

LE MIDIQUOTIDIEN SOCIALISTE liguionnt, DESSERVANT ;5 DEPARTIMIElçTS

mission de 1.000 Obligations de Cent francet 200 Obligations de Cinq cents francs

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'de transmission et de ,onversion.L'intérêt est payable annuellement le 1" août de chaque année.Ces obligations seront amorties en vingt années à raison de cin-

queute obligations de cent francs et de dix obligations de cinq centsfrancs chaque année à partir du 1" août 1934. Les obligations à amortirseront désignées par tirage an sort. Ce tirage aura lieu chaque -annéele 25 juin.

Le premier tiragt aura /jeu le 25 juin 1934. A partir de cette der-nière date, la Société se réserve la faculté de remboursement par anti-cipation ou de rachat en bourse.

Ces obligations sont garanties en principal et intérêts par t'ensemblede l'actif social dont l'évaluation, à l'heure actuelle, pas inférieureà un «terni-million.

Il sera créé une Société civile de souscripteurs ou porteurs d'obit-garions.

Pubiniation parue eu tt Bulletin des annonces légales s du lundi 7 juillet 5921.Les souscriptions sent reçues au Siège de la Société, 36, rue Boquelaine, à Tou-

louse. les versements peuvent être faits au crédit du compte de la Société Méridio-nale d'hitipression, et la Banque Courtois, 33, ru' de Rémusat, à Toulouse et dans 333renre%, I la Banque Privée, 13. rue des Arts, a Toulouse, et dons ses agences, aucotppte de Chèque Podtal N. 5.277, à Toulouse.

Les Dom de le Défense Nationale sont accepiés en paiement pour leur valCE

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Bulletin de SouscriptionTe soussigné (nom et prénoms) .....

demeurant ...... .....................souscrire (nombre obligations de (r.

1 En ',cament de ma souscription je verse la somme defrancs pottr libération des obligations pu

moi souscrites.

(Signature)

Tous les chèqués et mandats doivent être établis au nom de /a:3 été Méridionale d'Impressiati, 36, rue Roquelaine, Tolima

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15 FEUILLETON DU a MIDI

Le Pont des Soupirs

DEUXIEME PARTIE

Les Amis de VenisePar Michel ZEVACO

DelltalidC,7

paol3 tous les egfë,

L'AFRICAINAPCIFITIF A LA MANDARLSE

ALIBRESPY do FABRE

à Sainit-Ambroix (Gard)

château. Catenaccio en tête, quittèrentVenise incendiée, ramée une fois Ce

plus, emmenant une cinqueentaine defemmes et de jeunes filles.

Dans la cour du château, l'HommeBrun passa les malheureuses en revue, etselon sa coutume, en choisit <Iran, pourlui, qui étaient sinon /es plus belles, dumoins celles qui lui plaisaient.

Aussitôt. et toujours selon ses détes-tables racems, il en prit une par le braset l'entraîna dans la tom de l'Est, cellequi regarcait Venise.

Il entra dans une vaste salle où setenait l'Infortunée que Catenaccio allaitégorger après avoir assouvi sa passionsur la nouvelle vernie

Cette realhezeuse était dans un coin,à genoux. un poignard à la main.

Dès corolle aperçut relie qui devait lerempladar, rée tressaillit, eut toutes lespeines de monde à retenir un cri.

Giovanna, gronda Catensmcio,écoute-moi bien !

Ce fut au tour de la nouvelle prison-nière de tressaillir. Car cette; nouvelleprisonnière n'était autre que Marc, le

A-t.oes jamais va un pareil canon Inal contenta de grommeler Gatenaccie;pi, tout aussitôt. donna ses derniersmices cn vue de l'expédition projetee.

Au soleil levant, les hommes e armes,à cheval, casqués, cuirassés. les bras-eards et les lombards de fer fixés pardes etnirmies, la lance et la moue aujoing. prirent place sui des larges bu-iôaux plats qui demarrèrenti les triplesran.ga dc rames frappèrent lem en ca-- b,ary figrredense, au chant des rameurs et des sol; Après- la bataille, il s'était habillé endate, ce qui faisait urie terrible rausice. femme, ayant conçu ce plan audacieux

Catenaucio et ses homme, accueillis dep itérera dere, le châterre grâce à cc

Pur roc '4°&erIefr4ddd "'4" dditi.rct'è- subterfuge. Comment fut-il réellementvent pas moins: une m'aide effroyable prie panoure femme ? Comment Cante-s'ensuivit et bientôt les Vénitiens, vain- isaig en,

ors, ne 'Ti'ilbnt à tram.non.naccio le choisit, loi nhuà afmm rnlo rn°cent aux conseils de sen ami Satan, se pa drenasni orrefhybrbpiroarnIhy drét b;oit â rire, Lm pillage commença et dura Gainer dans la tour de I Est ? La léger.tonte .icornée et toute la ntôt., de, are,, cc beau déclic der vulgaires

Le lendemain ri-satin les hommes Mt orgis,,,,blences gui caractérise toutes les

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légendes, n'en dit pas am mat. Et con,me nous ne faisons que répéter, nous fe-rons comme elle.

Ciovanna I s'écria donc Catenaccioétoute-rcei ! Tau Mas résisté grâce à cemaudit poigna;c1 que tu tiens de saintMarc, mais ta dernière heure est venuesoie n'ai ouf te violer, je parlerai du moinst'égorger

Marc apprit ainsi, on peut Peut Ponseravec entelle joie, une sa altère fiancéeétait restée vierge.

Alors C,atenaccio se tourna vers Marc:Et toi, femme, comment t appelles-

tu ?Tu vas le savoir I répondit Marc

d'une voix éclatante.En Mémé temps d'ut tom Ca main, il

se débarrassa de m rdbe d< ar+", eapparat avec. une armure étinceiante,une érée à la main.

Je m'appelle Marc, contimia.Bil, etje suis envoyé par le saint dont je PeutoIn nem, afin de te marrie de toue te.crimes

Aussitôt, et avant que Catenaccio fûtlevene de la stupéfaction et de lieereique lui causaient ce nom et cette arqua-plies, semaine. Marc se précipita sus lui.

eL'idrnamele ronrIna doua soirmare de sang et Ciovanna se jeta tout:frémissante dans les bras de son fiancédevenu son libérateur.

A ce norinoont, Satan apparu: et separciba sur l'Hamme Brun qui râlait, dil'agonie, en s'écriant

Que t'avais-je dit ?.-- nt avais raison, dit Catenaccio.

LU !JIU/ItemSur l'estomac et l'intestin

J'AI ETE GUEtlIE IL Y A CINQ AN.ET, DEPUIS, JE ME PORTE

A IillAttEILLE.dlf. N'AI PLUS MIEN HESSE/STE t

ec1,1 onsieu r,

É, Je suis votre tillante laquelle, il Y acinqOCt. était atteinte d'entérum colite mu«ee-meinerimmiso, niaiaa d'estoc.° et dorheriatiencs, fit venir le « Vrahernent duChartreux t,; j'étais alors condamnée, 00n'était plus dll'une question de semaines,do jours peut-êtres lorsque, sur la néon,mandation de voisins, je pris ta résolutionde suivre co remede souverain.

u Aussitôt l'amélioration se fit sentirc'était une résurreetion puis vint la gué:ris. radicale. Aujourd'hui, me sante estexcellente, je dois dire quo dopais cotteguéris:MI inespérée, deux Mis par an, auKIntemps et A l'adlumne, je fais une curepréventive, oie je me porte tellement bienqu'âgée de quarante ans je viens d'avoirsa bébé qui va avoir six mois

.

a unesanté florissante et sa nounou de mémo.Par je le nourris.

tr Pour une maman qui a né à /A mort,c'est un résultat ; je le proclame par.taon n o'est la a Potion du Chartreux quim'a sauvée, s'est à elle que je dois la vie 1

a Mn o Louise Bédés.et Boulangerie, a Roulda (Aude).

Si du articulations ou des muselas, lerhumatisme, qui est tris mobile, s'attaqueà l'estomac ou A l'intestin, ces cieux orge.ter fournissant un travail énorme et con-tinuel souffrent et ralentissent leur activite ; alitnents qunls ne transformmtplus ou qu'ils transforment incomplète.ment, /es irritent par leur contact avectes muqueuses. Le malade soufire deDyspepsie. gastrite. gastralgie, .atstion,entérite, colite nuee-menuraneue, etc.Ces maladies, rebelles aux remèdes lesplus divers, et procédant par °uses, necèdent qu'au traitement qui s'adresse â lacause ratjele, c'est-Adire au rhumastisme.i.e a Traitement du Chartreux 3 le pluspuismnt anti-rhumatidmat connu. est tn,jours ordonné aveu sucées aux dyspepsi-ques, il régularise les fondit:Ms te Peste.nue et de l'intestin et fait disparaître 1000les troublu dus à l'arthritisme.

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DES VOYAGESREVU ..0160AllteliggegatIng sucrines

Reportera I partir du 16 Octebre 1924

SOUS DInE,CION OH

L'Abbé MOREUXii'uaooiun,',ia,

G. de TÉRAMOND

TOUS

Mteraire.1

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0e00e su public au p. de erootryid oF_FENist. Ct. ria mana. gérai

Emporte-moi, puisque s'est convenu en.tre nous.

Satan éclata d'un rire terrible, saisiteatanaccio par les cheveux et frappentIra dalles qui s'ouvrirent, il s'enfonççadans les entrailles de la terre. Aussitôt,les mitrailles du château maudit se dislo-cillèrent avec tin bruit épouvantable, etun instant plu tard, le château et le ro-cher qui le portait iltngi011tirent dans lesflots.

MM, et Giovanna se retrouvèrent, onne sait par quel miracle, dans une bar-que qui vint atterrir à Venise. Les Ceuxfiancés furent reçus en triomphe, se nm-nèrent et eurent hicaucourrenfunts.

Telle était la légende de Fl-loareneBrun des forêts une dans les chaumièresoie la Haute-Italie on raconte encore nonsans frayeur. et Mn sans avoir au préa.lable fermé porte et fenêtres.

Voici ce nu on atocteL'âme de I'llemom Brun fut condanis.

née â errer PaMétuité sur le théâtre deses crimes. Aussi tant que le amure la-gaine exista dans ses proportions prime

13, l'Miiv3.3, crie rom mauvaiseéenle entra/luit jusque sur remplace-

mocnt

co'

batuts,

rrrafetta

arrnent-ilsfe7is rtZtaitunaZils'tricirront7A1,r:, PI luyaient b toutes menus, car la barque fan-tôme les poursuivait, et Muerte Brunabrectraot a c emparer des femmes despêche...

Des siècles siômi.malèrent. Les sables fi-rent leue ceUvre, 1cm la,ne se combla enpartie, des terres remplacèremt la mer là

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ail s'était élevé le rocher Ce Gatenaccio:les herbes, les plantes poussèrent ; puistome une forêt se dressa entre le rivageet Mese, foret qui a disparume aujourd'hui.

Mais qu'on ne croie pas que Catenac-cio renonça cour si Peru à ses maléfices.Il avait été l'Homme Brun de la barquefantôme ; il devint l'Hamann Brun desforêts, Au heu de naviguer à la poursuitedes péérheurs, il courut à pied. vo-dittoue

Et c'était toltiours aux femmes, auxjenin,e filles aesea dépourvues de bonsers rend T'aventurer la nuit dans la fo-têt. s en prenait.

Il lei poursiZmit. les traquait de four-ré or fcauré. de buis sOn en boisson, etmalheur à elles rpand il les atteicuait.

On citait norrubre dolentes filles quiavaient camermo dans la forêt, et ces dis-paritions étaient misas au compte de*Homs. Brun.

Blanca keit Um esprit ferme et droit.Le superstition avait reu de prise saselle et elle avait d'ailleurs roc° one cer.aine éducation qui lui levait de poila'

Mais à cette émane, les hommes mê-me, et les obis litres d'esprit, subis-saient l'arrtimee. Tele un peuple cedémens ct Tances, cic stryges, derrres, de fartérres de toute nature rue,-lait sa vie très active à la vie du maorieen cbair et en es tri croyait fermorreent

annaritions de tome nature. '

M'acte/lent. si on prend me jemedans l'état d'affolement où se trouvait

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le M'ait maintes fois entendit drsogende telle ma celle dont o05 I

de nous raire le mer:este restaurer_ro

n'aura pas de peine à copePr3.j7merlon. l'épouvmte irraduena0..,talament, s'empara de son être tri"

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