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MATIN - 12 Novembre 1»32 Les raz de marée qui se produisent sur nos côte s Dans la Boxe \ Gala Sportif Par le pn /esseur Luc Oursin vil le Je viens de lire les communi- cations officielles que l'Ingénieur en Chef des Travaux Publies a laites au Ministère h (Pressé, à propos des récents riz rie marée jamais enregistrée .sur la cote de la partie Nord du pays. Nous savons que sur dix mille habitants, le Cap-Haitien en perdit cinq raille qui lurent qui se sont produits le long des tués, que le choc renversa toutes côtes Sud et dans le golle d La les constructions en maçonnerie Gonâve. D'après le bureau des de Portde-Paix et que la mer Travaux Publics, le phénomène se retira à 200 pieds pour se re- » une cause volcanique. ' tourner ensuite contre la ville L'Ingénieur en Chef me per qui eut plus de quinze pieds mettra de n être pas de son avis. . d'eau dans les rues. Au Môle Il faut de préférence attribuer Sl-Nicolas.les dégâts lurent cou- les derniers raz-de-marée à des sidéra blés et le long de toute la mouvements sismiques qui se sont produits sous la mer, près des côtes d'Haïti. Les tremblements de terre sont Iréquents daus notre Ré- publique, comme dans d'autres zones des tropiques et si les travaux que je poursuis depuis quelques années ne m'avaient pas amené à le savoir, ceux du regretté Hév. Père Scherer. de l'Observatoire du Petit-Sémi. na11 Collège St-Martial,seraient la pour m éclairer, comme ils avaient éclairé les ingénieurs américains chargés d'écrire un livre de géologie sur Haiti. D'àoies le hév. Père Scherer, pendant la période de 1551 à 1908, il y eut sept tremblements de terre désastreux qui nanm^ rent, paralt-il, dans la Républi- que ou sous la mer près des côtes, 1) nombreuses autres secousses moins violentes eurent lieu dans les grandes villes, la plupart à Port-au-Prince. Le 7 Mai 1842, les villes du Cap-Haïtien, de Port- de- Paix et du Môle St-Nicolas turent coin- filètement détruites par la plus urte des secousses qui ait été { (|NousJavons reçu jeudi ma-1 tin en nos bureaux la visitef du boxeur cubain Félix Gar» •> riga. Il pèse 140 livres et a à Sun actif quinze matches sur lesquels it en a per lu deux, le premier aux points et dis- qualifié la seconde lois. Garriga, alias i Kid Ch'4 - roi », envoie un cordial salut aux sporstmen d'Haïti et lance un déli à tous boxeurs de sa catégorie. Nous lui souhaitons un agréable séjour parmi nous côte atlantique d'Haiti il y eut un ra:. de-marée. Le 2.I Septembre 1887.il y eut un nouveau tremblement de terre d'égale violence, dans la même région; non seulement toutes les maisons du Môle St- Nicolas lurent détruites, ma : s encore la rade subit le choc d'un raz de marée qui s'étendit même jusqu'à la presqu'île du Sud. Les régions d'Haiti où, sem- ule-t-il, les séismes sévissent avec le plus de fréquence et le plus d'intensité sont . la pres- quile du Nord-Ouest, l'Ouest avec Porl-au Prince au premier rang, et l'Aose-àVeau. On n'a jamais trouvé une ori- gine volcanique aux mouve- ments brusques et violents qu se produisent en H'iiti, à la surlace de l'Océan, alors qu'il est reconnu que les raz-demarée qui balayent partr,j s des points Loterie n Nationale y a des médecins MARCEL Poème drainutique AHMAND GODOY Un volume in-l(i Editions EMILE PAUL » ères 14 Hue de l'Abbaye. TARIS L'exemplaire . /.-» franc» qui a ya f jt pompeusemett con^ da'.nné un mal.ide ...n'admet-' l'^nt pas qu'il lasse mentir leur pronostic ... et ressuscite à la santé. « Le Centre i se trouve exactement dans le cas. Il avait prophétisé le plus sérieusement du monde quev la Loterie Nationale battait de l'aile, et que son Adminis» tratjon, pour éviter la débâ- cle et la ruine ... allait jeter l'éooDge après son plus pro- ch ain tirage. Cette amusante va ticination remonte déjà à qi jelque temps et semble n avoir eu d'autre efiet que d e rendre la Loterie plus po- I lulaire ... et plus florissante... ' it nous n'en parlons que pour mémoire. Il est vrai que «Le Centre i n'a pas déposé les armes et qu'il vient de po- de la côte sont r'.ûs à un séisme ^ ;fir àlladministration de la qin a eu pour théâtre oa foyer tLoterie un questionnaire en 14 points à la VVilson. Atten- l'doas donc les eftets du ques I tiounaire. Peut être est-il V chargé de tuer la Loterie pour la punir de ne pas mourir. Mais comme les œuvres qu'on tue se portent assez bien, il n'est pas détendu de ne pas prendre l'alerte au sérieux et même d'en lire un brin. "I lit même d'j l'océan. Le prof esseur, t.UC DORSINVM.LE LeiJ amateurs de^'boxe ne doivent pas ou blier^que'c'est dimanche après--midi qu'aura lieu au parc Leconte les deux grands matches de boxe tant tteudus.Les boxeurs s'entraî- nent activement.De gros paris s'engagent. Minus Langlois, le roi des boxeurs haïtiens de sa catégorie, rencontrera le pugiliste jamaïcain Tiger Flo- wer (130 livres). Noo* avons eu l'occasion d'assister aux exhibitions de ce dernier qui s est révélé un boxeur poids plume de premier ordre. Beau tournoi en perspective. Savoie Désir promet d'ob- tenir le titre de champion d'Haiti envers et contre tout. Aurat-il raison du terrible Bertico ? C'est ce que vous saurez en allant dimanche au Parc Leconte. Le vainqueur de ce grand match devra se mesurer avec Melito Aragon qui sera en Haïti très prochainement. D'autre part,pour permettre au public de bien suivre les diverses péripéties des deux combats, les promoteurs ont installé , deux puissants ré«» llecteurs. Le ring sera donc éclairé « à giorno». jgAmateurs, rendez««vous en foule dimanche au Parc Le* conte. Encouragez la boxe, le noble art. N. B. - Les combats com- menceront après les courses. Qu'csl le Père Brière? o-o )f Ce nouveau poème d'Ar- mand Godoy est une suite symph inique, une composi- tion rythmique, ni |«, vie humaine est saisie dans son symbole. Commentée par les voix des forces cou tradictoires qui tutourenl l'j&ln et réduite aux pha- ses d'une journée. I * nais»ance de Marcel (\r' sou éveil (Matin); sou * plissement par ÏP -ccoin* di); son ac* aium ( Mt- (Soir); sa v *uet mystique cour.mr 1 ..ori ou mieux son les I 1 .ein-nt (Nuit): v\)'.à r .iièmes que le i oc le. dé< ,elo,*pe, suspend, rcprjud, nuauce selon les mod s »iu musicien et dans le mouve- ment qu'ils comportent. ;;u cent de l'œuvre est uu accent de teudresse. d amour, de se réuité. C'est une acceptation lyrique de la Vie pur l'ac- quiescement à l'Amour, à la Souflrance et a la Moi t. Le livre se termine par un acte de loi. La comp ïsition symphoni* que et la polyrythmie qui en résuitout fout d'Aï mena Go doyle muikfcnduiwbc.S» pen- sée est mystique et sa meta physique est optimiste. Tou- tes ses p.inilious sont des œuvres de pensée et U'iiiia- liadi Port-au Prince, le 10 Nov.lWi.. Mr le Directeur, J'ai lu avec doo leur L*f Echp des Haradérts » r , u - a publié vo- ire journal de c , jour, sous la, rubrique de "V oix des Aubes"". I*wl Les ma' Qaura uX que ce «Groupe de (' Coliques •» n'ait pas eu la vir , ité chrétienne de signer leur / cllo j e ie regr ette. niais la n^t- . élant de nature à |Mer dr. | lSC rédi» sur un homme, ma,s '*"' . homme intégral qui ne COO ,ia« ( que ;on sact .r(toee, j- alSO'l flftHM à un devoir SSCIé i* pas vous taire Ct« lignes, j pas pour plaire au l'ère lffT>ri Icumtl Pioriitil Cfiiuhpiiio Voulons Furonclu Varica Ulcù»' Dépurez votre Sana par la a CUROMAL ANNIVERSAIRE DE U MQRT DE JUSTIN LHÊRISSON A l'occasion du 25éme an- niversaire de la mort du pro- fesseur Justin Lhérisson.l'As- sociation des Membres du Corps Enseignant organise une matinée solennelle en sa mémoire. La réunion aura lieu à Haïtiana, le dimanche matin, l 13 novembre, dès 9 hs 1/2. ( Une messe solennelle de* Requiem sera chantée à la Cathédrale, le mardi 15 crt.. à 6 hres 1/2, pour l'auteur de la Dessalinienne et tous nos autres sociétaires, nos membres fondateurs, hono« raires et bienfaiteurs défunts ENTS de no B rtèrs mais nom dire la vérité f ,n.r l'action sociale que ce p ère , haïtien imprima a^ec courage a j ee milieu délèière l'amour j du devoir le place. Qu'est le Père Hriére ? Si m plemeni un ineooxpris. Envoyé à Baraderes, il eut à Ijire lac«, dès son arrivée, à des dilfi,"tii tés qui Tauruie'it déjà décou- ragé s'il n'était réellement ben trempé, s'il n'avait réellement une .nue d'apô're nourrie par la grâce. Sans rcyil et sans [ai blesse, il « entrepris «Ini.ankMlsons Insupporlal.l..., O* le> Ulcères. 1rs tumeurs n | es m, mJSSÎ °" '''"•' evU8r '•"" "'i» ou fan Knehr rapldttmeni pai inncunui Ouroiuil. DIT."! 81 ', 1 .'' . u P.lu»_sclenUflqu«, i>ii utilise ic.ï mulfl i|ui lui a oooti d«a ann roiinnui-5. luroni'ios. Douiqni, Uioorei .ion.' leurs du Temre. A«o cri. ' " ou l* I iiltrmriit .nui trrn.nl îU.vh C U R n M » '> •!/ •<. à Port au Pruie» : l'hariiayjlJLCJ^^ Avis important j Coquet établissement si- l'ceavre IH tué tout près de la Banque r. us ditlicile, la plus périlleuse, a plus dangereuse et surtout la plus désintéressre. Il s'est mis vaillamment à combattre les su- perstitions de toutes sortes qui maintiennent esclave la popula- tion confiée à ses soins. Tout autre aurait déjà succombé, dé- couragé ou vaincu par la sau- vage opiniâtreté de geni qui ne peuvent comprendre 11 haute Nale et di igé nar Mme Marie BERTfcT. Avis gination pure. Si tradition est celle de BiudeiaiK', ac«Jmer que le Hév. Père Brière ne crue du musuisinc syslé;na-j s'est jamais livré à aucune ac- tique de Mallarmé. I tipjté politique n-pour »i contre qui qu<2 {'.«• soit. Ceci est 1 exprès Les propriétaires d'automo- biles sont avisés que les pla- ques pour l'exercice 1932/93 sont prêtes; ils sont priés de portée morale de la msiondutne pas attendre au dernier Pèie Brière. £ moment pour payer leur pa teute, re, pour éviter tout eu- J'ai été a a Baraderes auxépo. iju. . électorales, je puis allir- combrement. F. L. GILMAN ra« L'ÉBÊNISIEHIE MODERNE Justiiivil Cagnére sion de l'ejurte vérité I Des gens de Baradéies, pas les meilleurs, pourront m'en vou- loir, je m'en moque, je dois dire h vérité, je la dis OAUç sans sourciller. Je conclus en disant,Monsieur Monsieur et Madame Frédé- ' riek Morin et leurs enfants. * Monsieur et Madame Joseph Sa- lomon et leurs enfants, Mon- sieur Constant Bisloury, Mon- sieur Odilon S Casimir, Melle Lisette Casimir et tous les au- tres parents et alliés remercient bien vivement foules les per- sonnes, tant de la Capitale que des autres villes, qui leur ont donné des témoignages de sym- palhie à I occasion de la mort de Madame Vue Sobieski Casimir, née Etiennette Audigée, leur regrettée mère, belle-mère, sœur, belle sœur.lanle, cousine et parente, décédée le dimanche 30 octobre dernier, munie des sacrements de l'Eglise, et les prient de recevoir l'expression de leur prolonde gratitude. Attire la curiosité de tous par ses récentes exhibitions de meubles de styles divers j, e |)i rec teur,que le salut d'Haiti Jeunes eleiiau'i». accourezlj serai! assur e si pour tout le Rue du Mourais». No 1G721 clergé desservant Hiit'.on avait des spécimens de l'envergure du Père Briore, car seul un Haïtien peut avoir |e courage j de taire, sans hiblesse, sans peur, OI/MS argent, ce que tait le courageux prêtre haïtien. Dans l'espoir de vous voir publier pelle lettre, js demeure, Monsieur le Directeur, votre lout dévoué, A Aug. DAUMBC E DO PALAIS G. O.H. Concert dominical du 13 novembre delà Musique du Palais, sous la direction du Maestro Luc Jn-Baptiste, au kiosque 0. Jean'y.à 7 hres 30, place du Champ de Mars. 1 Aux pas les rondelets mollets.pas redoublé d'Occide Jeanty. 2 La bataille de [PAlma, marche par E.Marie. 3 Seconde Rapsodie hou groise de F. Liszt. 4 Toute com ce zo, dapse haïtienne d'A. Brunot. 5 Rodes, air and varia» tloq. solo soprano de J, Levv U - Thérèse, Valse, arr. par 0. Jeanly. 7 - Chanson des vagabonds lox.trot par R. Frirai. 8— Fenm* ça va touyéga- Vou, meringue populaire ar etorch. par Luc Jn-Saptiste! Giné-Jaldy DEMAIN SOIR A 5 HEURES MATINEE S'i- demai de » hau tilm Morgane la Sirène avec IT n relrowfch el ClAir# de Lorez Entrée ti,50 : Bdcon : 1,00 A 8 HEURES ue premier grand film chrétien La vie Miraculeuse de Thérèse Martin ( Ste Théièse de l'Enlan» -Jésus ) avec la collaboration artistique de Simone Bonrdet, '.Suzanne Chrisly, Viguier, Marnaj, Bras et Lionnel Salera. Entrée : 2, 3, 4. DES centaines de milliers de per- sonnes ont eu la fièvre typhoide l'an dernier, et dix pour cent en- viron d'entre elles en sont mortes. Les germes de lu typhoide sont très sou- vent véhiculéspar les pattes velues et sales de la mouche. Protégez-vous! l'ne mouche est tout aussi dange- reuse qu'un revolver chargé I Vapo- risez du Flit! FUI tue mouches, moustiques, puces, feurmis, mites, punaises, cafards et leurs œufs. Mortel pour les insectes mais inoffensif pour l'homme. Em- ploi facile. Ne tache pas. Ne confon- dez pas Flit avec d'autres insecti- cides. Exigez le soldat sur bidon jaune à bande noire. Vaporisez FUT Pour votre garantie, Flit n'est vendu qu'en bidons scrflés. Lés Personnes âgées en ont besoin-. pour combattre les rhumes et la bronchite dangereuse QtM^Mfa <i}wjiii tt >ptei.ee . .. i. nket de scorrs EMULSION uZ««, ï- '" , ' C'.M oourq-oi gu.nd des «ffections de poitrin. « .7prote«ion. ° " * ' SCOTT 'S EMULSION pcir MO conf<5 *2ï P^P«»'ion autre que la SCOTT'S EMULSION ett aussi fortifiant* ^ est ta sauvegarde certain* contre les rhumes, la toux et l'influenza. UuWU ,O , g u îèx^ 0 t! 0 gr ° ,M bOUteiUe d " SCOTT, S EMULSION» - scorrs EMULSION •I huile fei« de morue norvéflMnne Rhhe en Vitamines A et D Depuis 60 ans le remède de confiance pour: J8M^" HUMES «ONCHITI ANEMIE CONSOMPTION INFLUINZA RACHITIIMi *«*JJ» dt vtnui, M A ROI n p. KiTc HIE 4V CO.. lac •udtooa An, M Mih St., N«w York, B. V. o*A. *• F d', te. lie CO lai la, pc UN SAVON PRODIGIEUX QUI ENLKVE l>\S GERMES. EMPLOYEZ.LE POUR LES MAINS, LA FIGURE ET LE BAIN. OY LE SAVÏÏ£ DE uTsAN 1 E POUR MAINS, FIGURES ET BAINS. I) «I un I va mi M Li da co h U Ct (e tl tl —— MOHK J LAUHIN, P. o. BOX»M» - Distribatenn Hae Roox et da Centre.PorKaa-Prinre. >*.«i. -^. Dont la renommée est universelle a gardé w première place Deraanacz oarloul : UN BARBANCOURT Dépe*^Ruejiès CésarjJ >

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MATIN - 12 Novembre 1»32

Les raz de marée qui se produisent

sur nos côtes

Dans la Boxe \ Gala Sportif

Par le pn /esseur Luc Oursin vil le

Je viens de lire les communi- cations officielles que l'Ingénieur en Chef des Travaux Publies a laites au Ministère h (Pressé, à propos des récents riz rie marée

jamais enregistrée .sur la cote de la partie Nord du pays.

Nous savons que sur dix mille habitants, le Cap-Haitien en perdit cinq raille qui lurent

qui se sont produits le long des tués, que le choc renversa toutes côtes Sud et dans le golle d La les constructions en maçonnerie Gonâve. D'après le bureau des de Portde-Paix et que la mer Travaux Publics, le phénomène se retira à 200 pieds pour se re- » une cause volcanique. ' tourner ensuite contre la ville

L'Ingénieur en Chef me per qui eut plus de quinze pieds mettra de n être pas de son avis. . d'eau dans les rues. — Au Môle

Il faut de préférence attribuer Sl-Nicolas.les dégâts lurent cou- les derniers raz-de-marée à des sidéra blés et le long de toute la mouvements sismiques qui se sont produits sous la mer, près des côtes d'Haïti.

Les tremblements de terre sont Iréquents daus notre Ré- publique, comme dans d'autres zones des tropiques et si les travaux que je poursuis depuis quelques années ne m'avaient pas amené à le savoir, ceux du regretté Hév. Père Scherer. de l'Observatoire du Petit-Sémi. na11 Collège St-Martial,seraient la pour m éclairer, comme ils avaient éclairé les ingénieurs américains chargés d'écrire un livre de géologie sur Haiti.

D'àoies le hév. Père Scherer, pendant la période de 1551 à 1908, il y eut sept tremblements de terre désastreux qui nanm^ rent, paralt-il, dans la Républi- que ou sous la mer près des côtes, 1) • nombreuses autres secousses moins violentes eurent lieu dans les grandes villes, la plupart à Port-au-Prince.

Le 7 Mai 1842, les villes du Cap-Haïtien, de Port- de- Paix et du Môle St-Nicolas turent coin- filètement détruites par la plus urte des secousses qui ait été {

(|NousJavons reçu jeudi ma-1 tin en nos bureaux la visitef du boxeur cubain Félix Gar» •> riga. Il pèse 140 livres et a à Sun actif quinze matches sur lesquels it en a per lu deux, le premier aux points et dis- qualifié la seconde lois.

Garriga, alias i Kid Ch'4 - roi », envoie un cordial salut aux sporstmen d'Haïti et lance un déli à tous boxeurs de sa catégorie.

Nous lui souhaitons un agréable séjour parmi nous

côte atlantique d'Haiti il y eut un ra:. de-marée.

Le 2.I Septembre 1887.il y eut un nouveau tremblement de terre d'égale violence, dans la même région; non seulement toutes les maisons du Môle St- Nicolas lurent détruites, ma: s encore la rade subit le choc d'un raz de marée qui s'étendit même jusqu'à la presqu'île du Sud.

Les régions d'Haiti où, sem- ule-t-il, les séismes sévissent avec le plus de fréquence et le plus d'intensité sont . la pres- quile du Nord-Ouest, l'Ouest avec Porl-au Prince au premier rang, et l'Aose-àVeau.

On n'a jamais trouvé une ori- gine volcanique aux mouve- ments brusques et violents qu se produisent en H'iiti, à la surlace de l'Océan, alors qu'il est reconnu que les raz-demarée qui balayent partr,js des points

Loterie

n Nationale

y a des médecins

MARCEL Poème drainutique

AHMAND GODOY

Un volume in-l(i

Editions EMILE PAUL » ères 14 Hue de l'Abbaye. TARIS

L'exemplaire . /.-» franc»

qui ayafjt pompeusemett con^ da'.nné un mal.ide ...n'admet-' l'^nt pas qu'il lasse mentir leur pronostic ... et ressuscite à la santé. « Le Centre i se trouve exactement dans le cas. Il avait prophétisé le plus sérieusement du monde quev la Loterie Nationale battait de l'aile, et que son Adminis» tratjon, pour éviter la débâ- cle et la ruine ... allait jeter l'éooDge après son plus pro- ch ain tirage. Cette amusante va ticination remonte déjà à qi jelque temps et semble n avoir eu d'autre efiet que d e rendre la Loterie plus po- I lulaire ... et plus florissante... ' it nous n'en parlons que pour mémoire. Il est vrai que «Le Centre i n'a pas déposé les armes et qu'il vient de po-

de la côte sont r'.ûs à un séisme ^ ;fir àlladministration de la qin a eu pour théâtre oa foyer tLoterie un questionnaire en

■ 14 points à la VVilson. Atten- l'doas donc les eftets du ques I tiounaire. Peut • être est-il V chargé de tuer la Loterie pour

la punir de ne pas mourir. Mais comme les œuvres qu'on tue se portent assez bien, il n'est pas détendu de ne pas prendre l'alerte au sérieux et même d'en lire un brin.

"I lit même d'j l'océan. Le prof esseur,

t.UC DORSINVM.LE

LeiJ amateurs de^'boxe ne doivent pas ou blier^que'c'est dimanche après--midi qu'aura lieu au parc Leconte les deux grands matches de boxe tant

tteudus.Les boxeurs s'entraî- nent activement.De gros paris s'engagent. Minus Langlois, le roi des boxeurs haïtiens de sa catégorie, rencontrera le pugiliste jamaïcain Tiger Flo- wer (130 livres). Noo* avons eu l'occasion d'assister aux exhibitions de ce dernier qui s est révélé un boxeur poids plume de premier ordre.

Beau tournoi en perspective. Savoie Désir promet d'ob-

tenir le titre de champion d'Haiti envers et contre tout. Aurat-il raison du terrible Bertico ? C'est ce que vous saurez en allant dimanche au Parc Leconte.

Le vainqueur de ce grand match devra se mesurer avec Melito Aragon qui sera en Haïti très prochainement. D'autre part,pour permettre

au public de bien suivre les diverses péripéties des deux combats, les promoteurs ont installé , deux puissants ré«» llecteurs. Le ring sera donc éclairé « à giorno». jgAmateurs, rendez««vous en foule dimanche au Parc Le* conte. Encouragez la boxe, le noble art.

N. B. - Les combats com- menceront après les courses.

Qu'csl le Père Brière?

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Ce nouveau poème d'Ar- mand Godoy est une suite symph inique, une composi- tion rythmique, ni |«, vie humaine est saisie dans son symbole. Commentée par les voix des forces cou tradictoires qui tutourenl l'j&ln et réduite aux pha- ses d'une journée. I * nais»ance de Marcel (\r' sou éveil (Matin); sou * plissement par ÏP -ccoin* di); son ac* aium ( Mt- (Soir); sa v *uet mystique cour.mr1 ..ori ou mieux son les I1 .ein-nt (Nuit): v\)'.à r .iièmes que le i oc le. dé<

,elo,*pe, suspend, rcprjud, nuauce selon les mod s »iu musicien et dans le mouve- ment qu'ils comportent. ;;u cent de l'œuvre est uu accent de teudresse. d amour, de se réuité. C'est une acceptation lyrique de la Vie pur l'ac- quiescement à l'Amour, à la Souflrance et a la Moi t. Le livre se termine par un acte de loi.

La comp ïsition symphoni* que et la polyrythmie qui en résuitout fout d'Aï mena Go doyle muikfcnduiwbc.S» pen- sée est mystique et sa meta physique est optimiste. Tou- tes ses p.inilious sont des œuvres de pensée et U'iiiia-

liadi

Port-au Prince, le 10 Nov.lWi.. Mr le Directeur,

J'ai lu avec doo leur L*f Echp des Haradérts » r ,u-a publié vo- ire journal de c , jour, sous la, rubrique de "V oix des Aubes"". I*wl Les ma' QaurauX que ce «Groupe de (' Coliques •» n'ait pas eu la vir ,ité chrétienne de signer leur / cllo je ie regrette. niais la n^t- . élant de nature à |Mer dr. | lSCrédi» sur un homme, ma,s '*"' . homme intégral qui ne COO ,ia« ( que ;on sact.r(toee, j- alSO'l flftHM à un devoir SSCIé

i* pas vous taire Ct« lignes, j pas pour plaire au l'ère

lffT>ri Icumtl Pioriitil Cfiiuhpiiio Voulons • Furonclu Varica Ulcù»'

Dépurez votre Sana par la a

CUROMAL

ANNIVERSAIRE DE U MQRT DE JUSTIN LHÊRISSON

A l'occasion du 25éme an- niversaire de la mort du pro- fesseur Justin Lhérisson.l'As- sociation des Membres du Corps Enseignant organise une matinée solennelle en sa mémoire.

La réunion aura lieu à Haïtiana, le dimanche matin, l 13 novembre, dès 9 hs 1/2. (

Une messe solennelle de* Requiem sera chantée à la Cathédrale, le mardi 15 crt.. à 6 hres 1/2, pour l'auteur de la Dessalinienne et tous nos autres sociétaires, nos membres fondateurs, hono« raires et bienfaiteurs défunts

ENTS

de no B rtèrs mais nom dire la vérité f ,n.r l'action sociale que ce p ère , haïtien imprima a^ec courage a j ee milieu délèière où l'amour j du devoir le place.

Qu'est le Père Hriére ? Si m • plemeni un ineooxpris. Envoyé à Baraderes, il eut à Ijire lac«, dès son arrivée, à des dilfi,"tii tés qui Tauruie'it déjà décou- ragé s'il n'était réellement ben trempé, s'il n'avait réellement une .nue d'apô're nourrie par la grâce. Sans rcyil et sans [ai blesse, il « entrepris

«Ini.ankMlsons Insupporlal.l..., O* le> Ulcères. 1rs tumeurs n |es m,

mJSSÎ pÉ °" '''"•'evU8r '•"" "'i» ou fan Knehr rapldttmeni pai ■inncunui Ouroiuil.

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roiinnui-5. luroni'ios. Douiqni, Uioorei .ion.' leurs du Temre. A«o cri. • ' "ou

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Avis important j Coquet établissement si-

l'ceavre IH tué tout près de la Banque

r. us ditlicile, la plus périlleuse, a plus dangereuse et surtout la plus désintéressre. Il s'est mis vaillamment à combattre les su- perstitions de toutes sortes qui maintiennent esclave la popula- tion confiée à ses soins. Tout autre aurait déjà succombé, dé- couragé ou vaincu par la sau- vage opiniâtreté de geni qui ne peuvent comprendre 11 haute

Nale et di igé nar Mme Marie BERTfcT.

Avis

gination pure. Si tradition est celle de BiudeiaiK', ac«Jmer que le Hév. Père Brière ne crue du musuisinc syslé;na-j s'est jamais livré à aucune ac- tique de Mallarmé. I tipjté politique n-pour »i contre

qui qu<2 {'.«• soit. Ceci est 1 exprès

Les propriétaires d'automo- biles sont avisés que les pla- ques pour l'exercice 1932/93 sont prêtes; ils sont priés de

portée morale de la msiondutne pas attendre au dernier Pèie Brière. £ moment pour payer leur pa

teute, re, pour éviter tout eu- J'ai étéaa Baraderes auxépo. iju. . électorales, je puis allir- combrement.

F. L. GILMAN

ra«

L'ÉBÊNISIEHIE MODERNE Justiiivil Cagnére

sion de l'ejurte vérité I Des gens de Baradéies, pas les meilleurs, pourront m'en vou- loir, je m'en moque, je dois dire h vérité, je la dis OAUç sans sourciller.

Je conclus en disant,Monsieur

Monsieur et Madame Frédé- ' riek Morin et leurs enfants. * Monsieur et Madame Joseph Sa- lomon et leurs enfants, Mon- sieur Constant Bisloury, Mon- sieur Odilon S Casimir, Melle Lisette Casimir et tous les au- tres parents et alliés remercient bien vivement foules les per- sonnes, tant de la Capitale que • des autres villes, qui leur ont donné des témoignages de sym- palhie à I occasion de la mort de Madame Vue Sobieski Casimir,

née Etiennette Audigée, leur regrettée mère, belle-mère, sœur, belle sœur.lanle, cousine et parente, décédée le dimanche 30 octobre dernier, munie des sacrements de l'Eglise, et les prient de recevoir l'expression de leur prolonde gratitude.

Attire la curiosité de tous par ses récentes exhibitions de meubles de styles divers j,e |)irecteur,que le salut d'Haiti

Jeunes eleiiau'i». accourezlj serai! assure si pour tout le Rue du Mourais». No 1G721 clergé desservant Hiit'.on avait

des spécimens de l'envergure du Père Briore, car seul un Haïtien peut avoir |e courage j de taire, sans hiblesse, sans peur, OI/MS argent, ce que tait le courageux prêtre haïtien.

Dans l'espoir de vous voir publier pelle lettre, js demeure, Monsieur le Directeur, votre

lout dévoué, A Aug. DAUMBC

E DO PALAIS G. O.H. Concert dominical du 13

novembre delà Musique du Palais, sous la direction du Maestro Luc Jn-Baptiste, au kiosque 0. Jean'y.à 7 hres 30, place du Champ de Mars.

1 — Aux pas les rondelets mollets.pas redoublé d'Occide Jeanty.

2 — La bataille de [PAlma, marche par E.Marie.

3 Seconde Rapsodie hou groise de F. Liszt.

4 — Toute com ce zo, — dapse haïtienne d'A. Brunot.

5 — Rodes, air and varia» tloq. solo soprano de J, Levv

U - Thérèse, Valse, arr. par 0. Jeanly.

7 - Chanson des vagabonds lox.trot par R. Frirai.

8— Fenm* ça va touyéga- Vou, meringue populaire ar etorch. par Luc Jn-Saptiste!

Giné-Jaldy DEMAIN SOIR

A 5 HEURES MATINEE S'i- demai de » hau tilm Morgane la Sirène

avec IT n relrowfch el ClAir# de Lorez Entrée ti,50 : Bdcon : 1,00

A 8 HEURES ue premier grand film chrétien

La vie Miraculeuse de Thérèse Martin ( Ste Théièse de l'Enlan» -Jésus )

avec la collaboration artistique de Simone Bonrdet, '.Suzanne Chrisly, Viguier, Marnaj, Bras et Lionnel Salera.

Entrée : 2, 3, 4.

DES centaines de milliers de per- sonnes ont eu la fièvre typhoide

l'an dernier, et dix pour cent en- viron d'entre elles en sont mortes. Les germes de lu typhoide sont très sou- vent véhiculéspar les pattes velues et sales de la mouche. Protégez-vous! l'ne mouche est tout aussi dange- reuse qu'un revolver chargé I Vapo- risez du Flit!

FUI tue mouches, moustiques, puces, feurmis, mites, punaises, cafards et leurs œufs. Mortel pour les insectes mais inoffensif pour l'homme. Em- ploi facile. Ne tache pas. Ne confon- dez pas Flit avec d'autres insecti- cides. Exigez le soldat sur bidon jaune à bande noire.

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FUT Pour votre garantie, Flit n'est vendu qu'en bidons scrflés.

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