70 Année. N° 108. * ’ 37 Décembre. 1899....

4
70Année. N° 108. a b o n n e m e n t s Dw :r U" ■" ........ J 2 fr. 12 fr. ll| fr Six mois... Gir. 6 fr. «fr' Trois mois. 3 fr. 3 50 4 [r ON S'ABONNE : A Senlis, oux Bureaux du Journal, 9 et 11, placofio l'IIÔtel-do-Ville, clioz lous les libraires du dérinrainenl el dons lous les Bureaux de poste de fronce el d'Algério.' L'aBonneinent osl payable d’avauco. Il n’est jamais interrompu ot ost cousBBSrd comme renouvelé, lorsqu'à l’expiration 011 no donoe [ias contro-ordre. Paraissant le Dimanche et le Jeudi. Dimanche 37 Décembre. 1899. JOURNAL COURRIER i; 9 et 11, |, le Joi'IIXAl, !>;. Turrinuh L’ X m T T IA T J JC il - I 'Administration, 1 i'ii|‘l',i-«fo-vi||ot Sentis. i Kiriutê.- iipif pour publier dans >i les jn'ski:riu.Ns judiciaires. JAI S jk s K I! lions . ' 11 < | liet l.'iines : la ligne, 0,40c. ' 'i -? ligne, 0,50 c. 'l’iiej'iiiou aii-dessous de 1 fr. l.es annonces, le- 'léjetilfiiii-nls du Journal. eciiiinfs, etc., concernant Paris et •ut reçucs.diiectoniciit aux bureaux «Jontiutf De Seufai à ses Abonnés, à ses Lecteurs, à tous ses Amis, SES MEILLEURS SOUHAITS POUR 1900 BULLETIN Senlis, 30 Décembre. cho.ogue américain, est du nombre. Il se de mandait: « D'un blanc, d’un Iudien ou d’un negre, d un Ijomino ou dkiue femme, qui a la mémoire la plus longue? Se rnpp:4!e-t-on mieux tes événements gais ou les événements tiistes ? Quelles sont es matières scolaires qu’on garde teînps? »ir° 1 aisément et lo plus long- Dôsirant ôtro fixé sur ces douloureux pro blèmes, M Colegrave a rédigé un questionnaire et il a prié des êtres humains do toute race, de tout ago et des deux sexes de répondre aux qua torze points d interrogation qu’il pose Les réponses parvenues ont donné les résultats suivants : L être humain se rappelle mieux les « S nir\ heureu,x que les jours de douleur. Seuls, font exception à cette règle les nègres. La race de Cham inscrit ses joies sur le sable ot ses déboires sur le marbre. Sas idées sont essentiel lement de la môme couleur que sa peau. L’oncle Tom est 1 archityne du pessimiste. M. Colegrave î^SnJéÆ eL ? üu l i ,Lancs’. de.s nègres et des Lyon, de 6:15 ; à Marseille, de 7.93 ; à Ver sailles, de 9.43 ; à Rennes, do 9.37. Chose singulière, les pays essentiellement vinicoles, qui, autrefois, consommaient peu d’alcool payent aujourd’hui un largo tribut au lléaùî Ainsi a Cette, où le vin ne coûte presque rien, la consommation de l’alcool s’élôvo à rp ÜCSJ ,e l à D ijo n elle 081 de 9-37 ot do lion, très féconde je lo reconnais volontiers, le sert mal en cotte oireoYistniicô. Une guerre de la Franco avec i’Aneleterre entraînerait forcément l'entrée eu caiiipa-'iio de la Russie à nos côtés : ceci r.e fait doute pour personne. L’inlérél seul do la Russie est trop évident pour qu’elle hésite un ins tant, quand môme aucun traité ne la lierait e 4 1» . <3 de sentiment : il a besoin de colonies Dour Lorient 14.14, Amiens 11.70. A la consommation n’est que de et de 3.99 à Roanne. Les ministres, réunis hier en conseil à l'Elysée, ont entendu avec satisfaction , .. ------------------- UWu « , uoa UCKIC8 e» ues les nouvelles données par M. le ministre ? .D l?.J!?e* des hommps et chez des femmes des affaires élrangém de la solution des ' ----------------- - ' •' difficultés récentes avec la Chine ; ils ont approuvé le projet relatif à la défense des côtes et des colonies, et le règlement de la question dn concours d’internat, con formément à la décision de M. le prési dent du conseil. A la suite du réquisitoire du procureur jéneral, la Ilauto-Oour a décidé la mise en liberté des six accusés en faveur des quels^ le ministère public s’était désisté. individus ayant gardé en mémoire des 6\é- nements remontant à la première auuéo de leur existence. Observation bizarre : cVst de leur dix-huitième année que les 1.658 personnes consultées ont, en grande majorité, conservé le meilleur souvenir. La branche d enseignement que les anciens éco liers se rappellent le mieux est l’histoire. Vien- E o 8u p 7 e M E !!* 1'aUemaDd’ ------ . . ** “ « “ 1“ uu UUIUlllf.-i En comparaison'do ces chiffres il est I n1ro?Pn rTv„i?„'î W ï!?,1*?” d° son — de 10 litres à TouVls», d, 8 à Tours, dn h a ttn ïZ™ 3W K ? ce . . - - \ dn 8 à Tours, do 5 à Bordeaux , de 4 a Rouen A Lille, la consom mation s élève 381 litres et est de 304 à Roubaix. Quant à la consommation du vin, Saint- Llienne tient la tète avec une consommation serait trop naïf : ils resteront l’arme au bras, attendant patiemment lo moment de croquer les marrons que d'autres auront tiré du feu; les Etats-Unis tiendraient la môme attitude. moyonne do 262 litres 'Â"pa”rïs”''h'™ J'iZ “ I 'foil4 d»n'« u o r r e déclarée enlre l’An- nuîion est do, m li^déno SrE Z t ^ h Fra“ce el 14 * ■ * Il ne semble, pas .actuellement que la J grève des mineurs à Saint-Etienne doive n dre d inquiétantes proportions. Les ;teurs des Compagnies ont accepté le I principe de larbitrage. i e WarO^C0auraitreçudu I I Sud-Africam des nouvelles si graves, __ I si désastreuses, pour employer le terme I exact - qu il hésiterait à les communi- Iquer au public. On dit, ainsi, que j I Afrikanders seraient en révolte ouverte I ■ à moins de 50 milles de la ville du Cap • I que les communications entre les géné- I raux. trench et Gatacre seraient coupées• ■ oue lord .Methuen aurait essuyé une dé- te sanglante; que le général Buller Au tribunal: — Vos noms et prénoms? — Huntel Machin-Chose. — Votre âge? — Quarante ans. — Avez-vous déjà été condamné ? Le prévenu, poliment : __ — Alors, c'esl une interview, monsieur le président ? LA HAUTE-COUR «a? ? nMarsei,.,e» de <92 à Dijon, de 203 à i Saint-Dems, de 223 ..à Boulogne-sur-Seine et de 2o3 litres à Nice. La consommation du cidre est nulle à Lyon,.Marseille, Bordeaux, Lille, Toulouse. Saint-ElienHe, Roanne Avignon et Cette. A Paris, elle n'est que de 2 litres, et de 3 à Amiens, Orléans et Tours. Par contre, elle s’élève à 322 litres à Rennes. a 211 ■ 11roc A l <inn né a n n à .. f | cette moyenne .. ____, ___ _____ ai teint le chiffre de SksIiFrerpaV habitent’ A Paris, la consomumiion de ces divers nro- I duits n est que d La Granüo-Hrelagnë, commo le dit excel lemment notre confrère Laiage.meien ligne ses 100 cuirassés; ello trouve en face d ollo nos i» cuirassés et les 27 cuirassés russes w qui fait déjA le joli chiffre do 71 cuirassés! La défense dos côtes métropolitaines des nom --causas colonies anglaises, l'oscorto do UPS tnnvnic a.l.li.r,,,.* 1-.. . très, | An;:lq!çj:rq.organise.encore-'uno. coa- iilipu i.’iii'op*euiio■pour j’oleviir son nroslige sur notre dos ; nous avons le « bon bout >>proliions-en. Rippelons-uoiis quo si « l’m l vinciMo Arniiidii i ii’avnit pas été dispors.'o par la tompô'o,<T.\'i{I!fk-rro changoait dé maPro an \V* sièi-le, itioinio elle uiïavait ' f , al1 XI'‘; q»« •‘■i il nnla-rtavait eu 10 000 hommes ù sa disposition au lieu do L Ün,.(a. VC!C. lfiS!,U0!.s ’ d '« B le u rs, il c u lb u ta 20.009 Anglais), I Irlande serait libre à cette heure; que si Napoléon, enfin, n’avait éiô rappelé du camp de Boulogne pour aller conquérir l’Allemagne, c’est probablement le drapeau tricolore qui ilollerait aujour- d hui à Londres. J La « chance » extraordinair,o d’Albion et son astucieuse diplomatie sembleut ôfru en défaut en ce liiôùrient, vaincues par lo des tin contraire: il y va peut-être pour nous d un intérêt vital a profiler du hasard ines- péro des événements. 1 __________ Je ne demande pas qu’on lui déclare la guerre, mais il serait facile do nous appro prier sa inôllu do constante, et do pioliler de ses embarras pour nous’assurer des avantages el des garanties solides pour 1 avenir; n’en déplaise ix M. Lufage, elle n osera pas so faire trop prier, en' c.o mo ment, pour nous les accorder; elle doit môme ôiro disposéo à payer très cher noire neutralité. G. VlLl.AVUÈDtt, Le Chemin de fer :» 'n ria -S e u lla . V n .l,.e. Seulis, eu 29 décembre 1899. A Monaienr le HMncleur en chef dll JOLHNAI. DE Se.NI.IS. Monsieur lo Rédacteur, Dans \e Journal de Senlis du24 décembre vous avez reproduit, d’après la Dépèche de l Oise, le résumé d uno conversation qu’au- ratt eue M. le sénateur Chovet avec M. le Ministre des-Ttuvaux publies au'sujet de la ligne projetée de Paris à Verheiie par senlis. \oiii.oz-vous permettre à un de vos lecteurs qui a quelque raison de se croire b en ? nfonné de vous-sjgnaler~certalB8 nia - î consommtwion de ces divers pro- l02m re5.lqU6dO' 89 ^ilr03et» 4 Lyon, i' Lorsque le ministère eut résolu de dé- roudro et môme de sauver la Républiuuo son premier mouvement - le mauvais - le i njz. . porta, comme le conseillait autrefois M. Ma- « KélleXlOnS llOlTiflaues dter de .-aonljau, a se débarrasser do tout ce I J qui le gênait ou paraissait le gêner. On pér- qutsitioDna partout, on arrêta boaucoup de , . , _____ r— . , !?onlle' 11 s'agissait alors d'un attentat et la que lord Methuen aurait essuyé une dé- I'ra?c6 “PPr'L avec terreur, qu'elle l'avait faite sanglante; que le général Buller on d“™ an|. échappé boite, aurait reculé sa base d’opérations in.nn'à i- “ “ «“ le-ÎOH»» conjurés furent mis en Pietermaritzburg. La W ar flfH.-o n,. heu sür et la cominission d'instruction oxa- i a. umee ne mina, sans indu c'ano»* inma: uo «h» I pourra, longtemps encore, garder un ■ mutisme qui devient presque tragique. A l’étranger, un calme complet. La ■ réception du roi Alexandre de Serbie à mina, sans indulgence, toules les charges accumulées contre eux. Il lui fallut bieu re connaître qu’elles n'étaient pas également graves; elle dut en relâciier soixante et avouer qu'il n'y avait pas l’ombre d'une en tente. Tout au plus pouvait-on, avec de bons compter un peu aussi sur l'cxpérionco el la science de nos marins, et ne cas les supposer capables d'aller bénévolement ac cepter un combat disproportionné, même s ils y sont aguichés; il est probable nue les unîtes se grouperaient en doux ou trois us- cadus puissantes fort en mesure alors de lutter contre les escadres disponibles do l Angleterre ; il faut surtout songer à ceci que nous n'avons que faire do bateaux pour m m w m m m tandis qu uno armée augluiso débarquant par surprise sur nos cô:es serait balayée à la mer plus vite qu’elle n'aurait touche notre dernier. Moi, j aurai plutôt intitulé le morceau : « Héflexions horrifiques. Oyez plutôt : ■ y- * ------------ "“ “'‘uiu ut) OUI . , ---------------- „ ,wu uu „„ua ■ vienne revet un caractère cordial. On yeux. 0t infiniment de bonne volonté, aper- ■peut espérer que les sages conseils de ce^01r quelques vogues traces de complot. |lempereur François-Joseph l’emporte- a Hanle*Cour s®réunit; M. le procureur lans l’esprit du ieuno smivArain I 8ja0ral fit donner lecture de son acte d’accu sation, les témoins furent entendus, et ceux des juges qui ne voulaient pas distribuer une justice politique avec une impartialité poli tique reconnurent loyalement que ce complot ressemblait aux bâtons flottants : de loin, c était quelque chose; de près, ce n’était presque plus rien. Le procureur général, qui ne semble pas animé d une excessive indulgence, a dù re connaître à son tour qu’on s’ôtait un peu légèrement embarqué dans une bien grosse affaire. Sur quinze accusés, il en est jusqu’à six qu il a déclarés innocents et contre les quels il a abandonné toute accusation. Il n'en reste plus que neuf sur ies soixante- |r* e a c e désastreuse d’un pèreTudTgûë: INFORMATIONS Conseil dos ministres. trf 80 son,t réunis hier. dans la ma- a l Elysée* sous la présidence de M. Lou- sol. Mou confrère Lafago niera-l il cela ? pans co cas, je lui fe/ai observer quo ce qui se passe actuellement au Traosvaal est surprenant seulement pour ceux qui no les C |l*Aiseurs represen!ü- I tçousde^'/histoire^ en effor/jm naîs'à'au- Tout est prêt pour l’attaque. La urmuière r4- La flotte de guerre de la rciue d’Angleterre atteint près de 1.100.000 tonnes: colle de h France u est que do 380.00j; celle de la Triule- Alliançe ne monte qu’à 150.000. Et l’avenir? Eu se me. nu vaincu une armée européenne quelconque; ceci n’est pas une opinion, c’est |lXL H- Dalcassé, ministre ------ * u . , *aau»uiu|3 UUUI la garde du littoral métropolitain. Les cent cui rassés britanniques pretiueut l'offensive ; ils pro voquent les quarante cuirassés français à des batailles rangées, pour les écraser «sous le poids du fer ». Sinon, ils les enferment dans la Médi- i affaires étrangères, ------ élranqer *, encore, ces alliés et ces mercenaires lie les ont-ils pas toujours sauves do honteuses débutes : témoiu Bouvines, l'ojilouoy et la guerre do Conl-Aus, où ils éiaieut pourtant bien secondés par les trahisons de la guerre civile. Eu Crimée, ils se sout montres au- dessous de tout. faiTm ? llliieucs 9ue lé» questions péür MDies, au sujet de notre snuation i - '’*•’ ISSenÏÏs Snj?V011 ™Drormë“aüx 'ÎuciSœSIiÔm lîttsentees par le gouvernement français. . ----------------- a V,6< ’!' t6 nu qai"z0 du déb"l, et Ton ignore ce qu'il Kami* s ?, .f™ “!?iî . qnL s,e™ prochainement | restera lorsque les avocats auront discuté ■ m il à la signature du Président de la Bêpu-' I..» Caiilaus, ministre des finances, a fait sl- lf i a PAh Loubel les hôcorations dans la lïhilte Dour Attribuées au titre de son mi le défense du territoire. IwSffiifA tï1(?“ ' 1 acai eIPhqûe que le Kmiw> dofense des cotes et des c ’ ' f » ra aucune nouvelle charge preuves, disséqué le réquisitoire et montré la faiblesse d’une accusation fragile. Il se peut, on semble môme prévoir, que » se montreront moins rigoureux que procureur général ; car il est difficile de condamner sur des rapports de police. Tout le monde constatera alors une dis proportion entre la cause et l’effet: nn terranée; ils les bloquent daus nos ports’de la Manche et de l’Océan. Notre flotte battue ou « miso on bouteille », les Anglais confisquent , L'armço du Truusvaol est débarquée à Atada- nuwonLdë'fêlre! même* en' forces S " Cependant les grands coureurs de mer, Power- ? ^ irlandais, leurs fui. Terrible, Diadem, etc., font la’garde des 8eulos ,roupt'S d attaque, et les Ecossais, routes commerciales; ils évoluent à grand rayon , s S00,es troupes do résistance, sont eu d’action (d yrand rayon d’action I) autour des t,r0P potil nombre et ont été trop exposés stations de charbons et de radoub, échelonnées déjà au feu des Boers; tous les Robens et dans le monde entier, Gibraltar et Malte pour lo tous les Kitchener du monde n’v femm canal do Suez, Halifax (quelle embardée, nom rieu : l’hégémonie anglaise est détruitu \ d’un pémrd/J, Pord-Royal,.de la Jamaïque et de jamais dans l’Afrique du Sud 1 ort-Lostries, à Sainte-Lucie pour les communi- I i>, . * cjfious d'Amérique; Sierra-Léune, l’Ascension môme motif, un débarquement de Sainte-llélène, pour colles du Cap: Maurice’ i'^P^ûUffh'Lsesen Algérieou.à Madagascar Aden, Colombo, Singapour, Bombay et Calcutta! n’a rieu qui puisse nous inquiéter. Elles i__ «_ >— — .a _ _ niT.iinnrniu Itr/nria .. sont évaluées à 120 millions L»» dépenses P « « u S ia ” 111 elrMln<s ™ ''“ P"06 d0 |i r î d.éPm?K seront couvertes au moyen K msexnnn’"3 e“ rembours«ment êos. obliga- pôliilu ro.nh ot qul d»,i«“»Mt libres à la I Dudi ™nbl°“rsemre‘ q8 «es obligations. ' ioaiî îrr PΔ!SS BécossiléeB par Toogmen- ^M bX t n°‘,e' "U ' 8 S°m drjà une mouche I rf 1 aca(lémiqup. f q h t r a 'f S » 11”. * 1' U,onri .L“ ’,eda" . 4 l’Aoa- ■une tri. n »* eu eu j0U(l* eu prése I S. Il-nri i br. euso élégante assistance. lfiriluei|Pmin.Vî t?n a,J dans 8on discours, fait EirlU ™ ?'1' “l0«*.d« “ ■“ «"ri Mriihao, au- 1 h* œarmo r collaborateur M. Ilalôvy. Wiadaire” 0 h«aure8ard a répondu ou K I0 .M,f?,e do M' ■»i|hao, on a applaudi KSes °“s el de i0*0™1 «> spirituelles K » d'"" député. • “ «"<>»■ t de M. Dovier-Lapierre, ï -* «unes d'nnn moi . R « succombé h^nib o . ' S 0, qui ,B lenai‘ éloigné de I, BoviVr i • n ■ ueja lou8‘emps. Curation SJier[0,“v?u kris UD0 Pai‘ nctiveà "*»iounïhîi ^V?hant, aux syndicats tenait à 5# n l s m î °°5 ns du trava‘l- 11 ap- la c,13tnbre depuis trois législatures. I? mer NoJre- kœaine p ü fi épouvantable a sévi, touto la ,lr®s effràvania a* ni0r Noire* causant des ,Ddl“om bré f flî2 S ï i “ M #m l> m orl d ’un ■^‘W hTnt nfl°«nrîi0 dou,e,nt d° rien, et les I Ont Mi'lt) fL n n f « |,8S ord|n,<ires. lr do mw 1 m, enl d’^lro rais on Jeu f e r i r , « i, ,spor'smcn qui prétend Mètres fin »ntt$ ec,riqU0' ,a distanco de lyWQacs«n ne nenro- E*> « d lU â rS.F,reux d?, Lisioux ot est «^"'•cêtaiK lïffi ■?“ mdleu Plr l« ôcs- l ? J " kilomètre,^1 «ivère-Ihlbonvillo. " ‘«W» «iirvelff^jS.Ü T ' l ’ r0Ule d6' La liberté d’enseignement. Le Comité de l’Union fédérale républi caine, que préside M. Henri Barboux, an cien bâtonnier do l’Ordre des avocats publie un manifeste pour proclamer de nou veau, dit-il, le double sentiment qui a ins piré, il y a dix ans, los fondateurs de l’Uuion : le dévouement à la République et à la liberté. Nous en détachons le passage suivant,’ Nous n’admettons pas quo, sons prétexte de rotéger a République contre ses adversaires on rasso d elle un gouvernement d’oppression. On ne nous persuadera pas que, pour vivre, elle ait besoin de recourir à des,procédés renouvelés du premier Empire, de supprimer la liberté d’asso- cialion, de restreindre, directement ou par des moyens détournés, la liberté d’enseignement. La République peut et doit dédaigner l’emploi de pareilles armes. 0 * uo * * M. de Marcère, sénateur, ancien ministre, une campagne active en faveur de la liberté d enseignement et créé une ligue pour coor donner leurs efforts. Ils ont reçu déjà un grand nombre d’encouragements En envoyant son adhésion, M. Albert Validai rappelle qu’il est « ancien élève de 1 Université » et qu’ « il a puisô dans son enseignement le respect des principes d‘éga lité, de liberté, de justice », et c’est pour cette raison qu’il s’associe à la campagne de MM. de Marcôre el de Mun M. de Fraiiquo- ville, membre de l’Institut, « ancien élève de Henri IV », s’exprime dans le môme sens quo M. Vandal. L . __________ La consoniinalion de l’alcool dans les grandes villes Au moment où de tous côtés on lutte sans grand succès, hélas 1 contre le fléau de {alcoolisme, il est intéressant d’appeler 1 attention sur les statistiques que vient de publier lo ministre des finances. Il résulte des chiffros officiels qu’à Paris la consommation de l’alcool par habitant, en 1898, a ôté de 8 litres 26 centilitres ; à tiques, tous ou presque tous, comme vous le savez, accaparés par des compagnies anglaises | Celte armée navale, formidable, aveo ses points d’appui, nombreux, bieu espacés, aux meilleurs points stratégiques, est. commo on voit, des plus impressionnâmes. ( / r crois I) Nous ne sommes pas à la hauteur, et il n’y a pas lieu pour nous j de faire Jos casseurs el les malins. Nom d’un canon Armslrong I ça no vous donne-t il pas la chair de poule, cet ex posé là, rien qu’à le lirel Pour moi. i’en frémis d’horrenr I Ainsi, s’il plaisait demain à la reine d’An gleterre de nous déclarer la guerre, erne I en un tour de main, nos flottes seraient « mises en bouteille », nos colonies « mises en sac », bouclées ot probub ement transpor tées, comme des petits cochons, à dos d’hommes, sur quoique marché britannique pour être vendues au plus offrant et dernier enchérisseur Je me demande alors pourquoi nons dépensons, près d’un milliard et demi par an pour notre défense nationale !. . Il serait certainement plus rationel, dans ces conditions, de renvoyer nos pioupious et nos mnthurins planter leurs choux, delicen- et M. Albert de Mun, député, ont entrepris cier nos officiers de terre et de mer de louer uno cammiirnA nriiro <>» ,i„ i» I nos cuirassés à quelque armateur entrepre nant pour faire le commerce du cabotage ou du long cours — et d’attendre stoïquement faèvitabl0 — puisque ce sera toujours «I/-AI/ bourricot, comme disait « notre Oncle. » pam I il est certain quo si les Boers s’é-, taient complus en des raisonnements pareils, ' nu lieu d’envahir crânement le territoire du Natal et du Cap, ils no seraient pas en train d administrer de monumentales râclées aux meilleures troupes do la Heine, mais subi raient déjà le dur joug de l’anglo-saxon et 1 ignomineux esclavage auquel il soumet ses « sujets. » i M ,wS ‘/'«nquîHisez-vous, bons lecteurs do la République de l'Oise, los choses ne se passeiaieul pas, mais pas du loin, do lu sorte; car, si (es choses pouvaient se passer ITil' n„y a longtemps quo tout serait déjà bâclé : l Angleterre n’a pas l’habitude de se laisser arrêter par des scrupules, et l'his toire des cinq derniors siècles nous démontre qu elle n’a jamais hésité devant un mauvais coup quand elle y voyait son intérêt — pourvu, toutefois, qu’il n’y ait pas dans l’af faire de trop rudes horions à appréhender. 'Parlons sérieusement : il est facile de dé montrer à noire confrère que son ii (quand à Diégo-Suarez, je connais 1 ci droit et je garantis quo pas un vaisseau do S. M. B. n’osera s’aventurer dans ce Thtrmopyles maritime) ; mais quand les Anglais auront bombardé les côtes de nos colonies, soyez sûr qu’ils ne so risqueront jamais hors de la portôo des canons do leurs vai-seaux ; nos marsouins se chargeraient de leur faire dégourdir, la baïonnelto dans les reins,, lours longues jambos plus vite encore quo no lo font les bravos Boers',-—les- queisignorent mémo l’usage delabüïannelte Or, Madagascar est, tout autant et plus encore quo la France et l’Algérie, à l’éprouve de,la famine; lo blocus durerait,un'Siècle que les provisions de rix.de blé, d’em aïi de manioc et de bœufs no s’epuiseïaient pas. Four le Tonkin, noas sommes plus tran quilles encore : les Anglais so garderont bien de distiaire un seul homard pi un seul cipaye do l’Inde où ils auront fort à faire pour défendre les passes do l'Hindou- ICousch contre les üoO 000 Russes déjà concentrés A Merv, à huit jours de marche de leur fron tière ; d’autant plus que les envahisseurs seraient certainement aidés par les Afridi® jes Népaulattes, les Maliarattes, los Sicks et les Gouikis postés dans la montagne. L 1 c’est probablement nous au contraire qui! du Toiikui, pourrions envahir la Birmanie. Enfin, il est un point que notre confrère a négligé et qui esl pourtant capital : l’An gleterre est une iminens» boutique qui vit exclusivement do commerce. Ello fera bien escortor scs convois do navires mon liands par des vaisseaux de guorro, mais, enfin elle ne pourra affecter ses cent cuirassés à la lois u chacun de ces convois. Croit on qu une escadre française très mobile, comme il nous esl facile d’un organiser une . t mémo deux, harcelant los convois, inquiétant los ports marchands, poursuivant, se faisant poursuivie, ne porterait pas un coup fatal au commerce britannique, et, par cou#» quuot. à 1 Angleterre èllo-môme? (.Via s’est déjà vu et pourrait so voir encoro... Chaque peup’o.a daus son existence d(s époques décisives d’où peut dépendre sa grandeur ou sa décadence, définitive : l'An gleterre me parait être àTun do eus tour nant* dangereux de l’histoire; elle a dù dégarnir sa inèlr#poio pour supportor le rS n !? 11! Pelil P6Uple éPiqUe dans Son . les Boers nous but donné l’exeni- p j Chamberlain continue ses rodo- monlndes, n'hùdtons pas à relever le gant; n atteadons pas que, remise de ses< dèsas- - Nouvelles militaires; A la division du Ter, Ou écril°de Naucÿ au Uaulois : Dins les casernes de toutes les garnirons de la division de Nancy, oh pout voir depuis quelques jours les soldats, un groupus autour du thermomètre, examiner avec intérêt les hausses et les baisses du niercuro. Four un demi miflimôtro plus haut ou plus bas, les « punis », eu effet, coucheront ou ne coucheront j)as a la salle de police... C'est que le général do Coruulier-Luci- niôre vient de prendre une oi iginalo déci sion, inspirée, d'ailleurs, par ljèléiét uu'il porte à ses soldats. — 11-a-été-lir-au-rapport-qiisr « lorsque llieriuomètro descendra à moins de cinq de grés, les hommes punis de salle de police resteront couchés dans leurs - lits; les hom mes punis de prison recevront une paillasse et une couverture. Enfin, iorsquo le thermo mètre descendra a- moins do huit degrés tous les hommes punis resteiont à leurs conipaguies... Cette bonne mesure, inspirée par lo bon cœur du général de Lucinières, n’est heu reusement pas une exception ; elle e st prise chaque annee dans une toule de régiments notamment à Paris. Nous souhaitons quo la mesure soit gÂué- rale; un homme biun que puni do prison pour indiscipline, n un a pJS moins d oit à' la sollicitude do ses chefs. CllIlOiYKfH IIÉFARÏEjjE.MALE JLes vélériuaires de l’Oise. Les membres de là Société vétérinaire .do 1 Oise so soin réunis dimanche a I llôiui-do- Ville de Clenhout, à deux heures de l’uorès- midir , Le bureau, pour les années 1900 et 1901, a été ainsi constitué : Président : M. Uuillol, de Mouy; Ÿicc- Président : M.* Chaulai eau, de Ciermoni; Secrétaire général : M. Cagny, do .Senlis; Secrétaire des séances : M. Decauipeaux, do Clüimont. Tous les candidats ont recueilli runani- mito des suffrages, 18 voix spr 19 votùuts. L assemblée a décide : 10 uô participer au Congres veterinairo qui don avoir lieu a Pans en 1900; z11 do so lairo inscrire au Syndicat dos vètérjnairo.s inspecteurs do bouchurio; 3” quo lu prochaine réunion auia lieu a Boauvttis, io dernier dimanche de m ars 1.900, emendus qui lui paraissent résulter, soit do I entretien mémo dont il a élô rendu compto par votre honorable confière, soit do la façon dont quelques détails ont pu en être interprétés par lui il importe, en effet, ce me semb.'o, que, dans uno question qui inté ressé a un si liant degré toute notro région, il ne, puisse subsister aucune ambiguité qin n t airnormi rs d ans lesquels ello so trouve actuellement posée. JotiUi tbord-ço u'ost pas, croyons-nous, • jusqu'a concui ronce de 80, mais bien de 90 millions que la Compagnie du Nord s’est ci'gageirrpüt' iü coiivüiition de 1883 à côn- tribimr aux traxaux do construction d’un •■/■nain non)hrè'do- lignes nouvelles spéci- Iin-s par ladite convention. L’exactitude de ce chiffre est d ailleurs sans intérêt au point de vue qui nous occupe. Ce qu’il importe de rappeler cust qu’aux termes du contrat mt' r '9ou alors entre 1 Etat el la Compagnie, ceiio-ç.i devait fifre entièrement libérée do si s obligations le jour où elle aurait effecti- vament et régulièrement dépensé cette somme .de 9o millions on travaux exécutés par elle, sous le coiitiôle do l’Etat, sur les Jtgims en quosiion Au cas où luur suppi* .................................... ..................... I ; ! 1 cbaige du l’Etat. Si.au contraire, hgnos un»,mis coustriflies, il so' trouvait achôvoment eût exigé un dépense, cet excédent devait JLos récoltes «lans» l’Oiso, Lo Journal o/ficiel publie des renseigne- menis sur la situation agricole dans les dé partements. Four l’Oise, il est dit, à la date du 8 dé cembre : « G iùceàla sécheresse,' oii a pu fjcile- mofit procéder à rarrachagôet'au thmsport dus betteraves: « Les semailles sont terminées. On uxé- cule lo transport des fumior, leur épandiigo et les labours d'hiver. » Examens ï »«>«u * l’«ïnseifraem «înt pidiiiaii'*;. ~ Les sessions anmioljes d’examens pour lobtenliqu dus deux hrevots de c.apacilé. .lîw!;'«,ai,0 V1 snPCr*°ur) seront ouvertes on 1900, aux dates suivantes : Première session. Aspirantes. — Brevet élémentaire, 18 juin. — Liôturo du registre d’inscription, 2 juin Brevet supérieur, 16 juillet.'— Clô uro du registro d;inscription, 2 juillet. un fouie disponible sur le fonds de concours dé 99 millions, ce >obio devait èlre affecté JII q 1à duo (-.(incurreiico, à la création dans le ic.-e.iu du Noid^e lignes à désigner ulié- ii-‘memeni l'Etal se réservant toutefois, a j 1 'l'UP li/n ts. ftmuelles à construire, la acü'ii: d exiger, do la L’ompagniq lo verso- me..i de ce so d- «lans les caisses du Trésor. . A ij poquooù la Compagnie du Nord fut îii'iiuc par lu minis.ro dos Travaux publics, a étudier les niuxens do donuer satisfaction i des populations qui. depuis long-. s » üritaion! la création d'un nouveau « ' mr l-aisant j as Senlis, l’étal '.binent «.«*■» ;;gnos concédées par la '•iu.’t de 1>83 germotiaii do suppoœr h’U! r.til 'Cl;:- t il pourrait ro tor, ' "' Joèi-.ts de concours-prévu do 90 mil- . disponible, bien que l’im- 1 ! u on i ut encore étio déterminée. . iJX:iru:m ni ren-îèignô sur les " jMi.isus ucs négociations alors pour- sui vies , nous ci oyons savoir cependant (pi <'ll(cs a««otiiiront ait dépôt par la (.'ompa- g'ito du Non! o un proj-u de convention (-l ili i sur ies bases suivantes : La t.ompjgnio consentait à prendre à sa c.ha.igq bon seulement .la construction d’une igne pariant.d'un point à déterminer de la ligne de Paris a Soissons, passant par Senlis. et allant rejoindre à Verberie la ligne do 1 ans a la frontière de Belgique, mais encore code d une autre ligue également demandée de la;us n Brebieres, soit ensemble une dé- petiÿ.p d’Uit ie chiffre peut être évalué entro il pour condition que lo solde n de concours de 90 millions jusqua duo concurrence à la oré dimi du ces deux npuvudos lignes, par ap, u. ..n .;i u'u ia couv *iit ou do 1883. du notre part, c’est sir celte 'Ration q io porterait acluel- .‘cord, la Compagnie du Nord > d être tenüe à verser au , •! ■vouiuei des 90 millions, ' 1 Sîl chargo la totalité td icu te à la construction des j léi-s. n és .luquel il est fait allusion Dépêche reproduit par le ,,ous 1:0 pensons pas R -uR de ii non exécution des enga- •. g*. ,.,j 18s i par. la Compagnie du ‘Rn;-: jonc par celle-ci devant lo h .R o an mit, pour objet, si nous •' '■.i informés, qu'une question : l:on de la convent-oa de 1883 I ! ■ ; n dont *e compte d’emploi :u «io miliioiis-doit-éire établi, en , : i •' intéiéts courus pendant tu do coiis:niction. Selon la dôci- ^ rv o ir, ’e solda dispéuibie pouria c ru .augmenté ou (limniué dans une cer taine proportion, si toutefois il en doit res- Uai u.n - S*".0 !- ,,:!!'L‘,n •s0',• fo,,d môme du débat relu.il .i l affectation du ce solde éven- i.no. a la créa lion des doux lignes projetées no sturaii è re régla par cette décision, pni que eeuebat porto uniqueiuenl sur une (.ujsüon du principe, celle do l'emploi qui uro fait do ce solde, quel qu'en soit le éventuel serait ;•!) lion question d’i I-.ment le tk Trésor1 Vc ' " H'd'i i •• oi. dé 11 dépens... deux lignes pr« Quant au pu d m , l’arli,;1!- ,|. Journal de. Sa i" ni. I m qui co la péi o Ë f si C l inscription, «5 juin. çj-s, 'à j.*q rë h U î la^oluUon. ' “ ‘ Deuxième session. Aspirantes. ~ Brevet éléraontaire, 1pro - tobio. - Clôture du registre d’inscription, 17 septembre.. 1 Brevet supérieur 8 octobre. — Clôture du registre d inscription, 24 septembre. Aspirants Brevet élémentaire, 4 octo- bru. •- clôture du registre d’imeription, 20 seplombro. * ' Brevet supériour 15 octobre. — Clôture du registre d inscription, 4« octobre. l. abondance des matières nous oblige, aujourd'hui, à ajourner la publication de notre intéressant feuilleton : L e IV (ii- JFiltf «le d'Artagnan. du cl iffr. T lie?i Î!!6?.’: 5 ° J ° nino,is, le véritable pen- repré- -, n’a pu solution. imi souinetiaiit a votre appréciation, .\ion,ifur |.» B'dacteur, l’opiiorlunité de ' celle I hospitalité do votre journ il nom bavons pas la prétention de iuui, (M ger •!) juge du désaccord existant m • i.t (.ouip iginu du Nord ot lo miuistôie, ! K aiser lo point sur re |ii I I.P'u i,: ut pur \\ pout-étro de rendre pu/.'- 1m accs les i fforls tentés on vue d’y moitié ut. lrr.no II nous sera permis cepen dant do fuie observer qu’une solution con sistant a substituer au projet de création t nue hgno nouvelle, passant par, Senlis, le doublement dos voies oxistant outre Paris et intérêts en cause. La dépensé qu’entrainé- ràit une opération de ce genre serait faite en pure porto, aussi bien pour les population* ûüi rosteratent privéos do la nouvelle vola de communication si ardemment dôsirôq \ * \ wL

Transcript of 70 Année. N° 108. * ’ 37 Décembre. 1899....

Page 1: 70 Année. N° 108. * ’ 37 Décembre. 1899. JOURNALbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_12_31_MRC.pdf · 2014-02-15 · son premier mouvement - le mauvais - le i njz.

70• Année. — N° 108.

a b o n n e m e n t s

Dw : rU" ■ " ........ J 2 fr. 12 fr. l l | frSix m ois... G ir. 6 fr . « f r 'Trois mois. ■ 3 fr. 3 50 4 [r

ON S'ABONNE :A Senlis, oux Bureaux du Journal, 9 et 11, placofio

l'IIÔtel-do-Ville, clioz lous les libraires du dérinrainenl el dons lous les Bureaux de poste de fronce el d'Algério.'

L'aBonneinent osl payable d ’avauco. Il n’est jamais interrompu ot ost cousBBSrd comme renouvelé, lorsqu'à l’expiration 011 no donoe [ias contro-ordre.

Paraissant le Dimanche et le Jeudi.Dimanche 3 7 Décembre. 1899.

JOURNALC O U R R IER

i;9 e t 11, |,

le Joi'IIXAl, !>;. Turrinuh

L ’ X m T T I A T J J Cil - I 'Administration,

1 i'i i |‘l',i-«fo-vi||ot Sentis.

i Kiriutê.- iipif pour publier dans >i les jn'ski:riu.Ns judiciaires.JAI S jk sK I!lions .' 11 <| liet l.'iines : la ligne, 0,40c. ' ' i -? ligne, 0,50 c.'l’iiej'iiiou aii-dessous de 1 fr.

l.es annonces, le- 'léjetilfiiii-nls du Journal.

eciiiinfs, etc., concernant Paris et •ut reçucs.diiectoniciit aux bureaux

« J o n t iu t f De S e u fa i

à ses Abonnés, à ses Lecteurs, à tous ses Amis,SES MEILLEURS SOUHAITS POUR 1900

BU L L E T INS en lis , 30 D écem bre.

cho.ogue américain, est du nombre. Il se de­m andait: « D'un blanc, d’un Iudien ou d’un negre, d un Ijomino ou dkiue femme, qui a la mémoire la plus longue? Se rnpp:4!e-t-on mieux tes événements gais ou les événements tiistes ? Quelles sont es matières scolaires qu’on garde teînps? »ir° 1 aisément et lo plus long-

Dôsirant ôtro fixé sur ces douloureux pro­blèmes, M Colegrave a rédigé un questionnaire et il a prié des êtres humains do toute race, de tout ago et des deux sexes de répondre aux qua­torze points d interrogation qu’il pose

Les réponses parvenues ont donné les résultats suivants : L être humain se rappelle mieux les « S nir \ heureu,x que les jours de douleur. Seuls, font exception à cette règle les nègres. La race de Cham inscrit ses joies sur le sable ot ses déboires sur le marbre. S as idées sont essentiel­lement de la môme couleur que sa peau. L’oncle Tom est 1 archityne du pessimiste. M. Colegrave î ^ S n J éÆ eL ? üu l i ,Lancs’ . de.s nègres et des

Lyon, de 6:15 ; à M arseille, de 7.93 ; à Ver­sailles, de 9.43 ; à R ennes, do 9.37. Chose singu liè re, les pays essentie llem ent vinicoles, qu i, au trefo is, consom m aient peu d ’alcool payent au jo u rd ’hui un largo trib u t au lléaùî Ainsi a Cette, où le vin n e coûte presque rien , la consom m ation de l’alcool s ’élôvo à r p • Ü C S J , e l à D i j o n ’ elle 081 de 9-37 o t do

lion , trè s féconde je lo reconnais volontiers, le s e r t m al en co tte oireoYistniicô.

Une gu erre de la Franco avec i’A neleterre e n tra în e ra it forcém ent l'en trée eu caiiipa-'iio de la R ussie à nos côtés : ceci r.e fait doute pour personne. L’in lé ré l seul do la Russie e s t trop év iden t pour qu ’elle hésite un in s­tan t, quand môme aucun tra ité ne la liera it

e 4 1» . <3 de sen tim en t : il a besoin de colonies Do u r

Lorient 14.14, Am iens 11.70. A la consom m ation n ’est que de e t de 3.99 à R oanne.

Les m in is tre s , ré u n is h ie r en c o n se il àl'E lysée , o n t e n te n d u a v e c sa tis fa c tio n , . . ------------------- UWu « , uoa UCKIC8 e» uesles no u v elles d o n n é e s p a r M . le m in is tre ? . Dl?.J!?e* des hommps et chez des femmesdes affaires é l r a n g é m d e la so lu tio n d es ' “ ----------------- - ' •'d ifficultés ré c e n te s a v e c la C h in e ; ils o n t approuvé le p ro je t r e la t i f à la d é fe n se des côtes e t d es c o lo n ie s , e t le rè g le m e n t de la question d n c o n c o u rs d ’in te r n a t , c o n ­formém ent à la d é c isio n d e M. le p ré s i­dent du co n se il.

A la s u i te d u ré q u is i to i re d u p ro c u re u r jéneral, l a I la u to - O o u r a d éc id é la m ise en lib e rté d e s s ix a c c u sé s en fa v e u r d e s ­quels^ le m in is tè r e p u b lic s’é ta it d ésis té .

individus ayant gardé en mémoire des 6\é- nements remontant à la première auuéo de leur existence.

Observation bizarre : cVst de leur dix-huitième année que les 1.658 personnes consultées ont, en grande majorité, conservé le meilleur souvenir. La branche d enseignement que les anciens éco­liers se rappellent le mieux est l’histoire. Vien-

E o 8u p 7 e M E ! ! * 1'aUemaDd’

------. . ■ ** “ « “ 1“ uu UUIUlllf.-iEn c o m p a ra iso n 'd o ces chiffres il es t I n1ro?Pn r T v „ i ? „ 'î W ï ! ? ,1*?” d ° son —

de 10 litres à T o u V ls» , d , 8 à Tours, dn h a t t n ï Z ™ 3 W K ? ce„ . . - - \ dn 8 à Tours, do 5 àBordeaux , d e 4 a Rouen A L ille, la consom­m ation s élève 381 litres e t est de 304 à R oubaix.

Q uant à la consom m ation du v in , S ain t- L lienne tien t la tète avec une consommation

sera it trop n a ïf : ils re s te ro n t l ’arm e au b ra s , a tten d a n t patiem m ent lo m om ent de c roquer les m arro n s que d 'au tre s au ron t tiré du fe u ; les E tats-U nis tien d ra ien t la m ôm e a ttitude.

m oyonne do 262 litres 'Â "pa”rïs”' 'h '™ J 'i Z “ I 'f oil4 d »n' « u o r r e déclarée e n lre l’An- n u îio n est do, m l i ^ d é n o S r E Z t ^ h F ra “ ce e l 14 * ■ *

Il ne sem ble, p as .a c tu e lle m e n t q u e la J grève des m in e u rs à S a in t-E t ie n n e doive

n dre d in q u ié ta n te s p ro p o r tio n s . L es ;teu rs des C om pagnies o n t a c c e p té le I principe de l a r b i t r a g e .

i e W a r O ^ C 0a u r a i t r e ç u d u II Sud-Africam d es n o u v e lle s si g r a v e s , __I si désastreuses, p o u r e m p lo y e r le te rm e I exact - q u il h é s i te r a i t à le s c o m m u n i- Iquer au p u b lic . O n d i t , a in s i , q u e j I Afrikanders s e r a ie n t e n ré v o lte o u v e r te I■ à moins de 50 m ille s d e la v il le d u Cap •I que les c o m m u n ic a tio n s e n t re le s g é n é - I raux. t r e n c h e t G a ta c re s e r a ie n t c o u p é e s •■ oue lord .M ethuen a u r a i t e ssu y é u n e d é -

te san g lan te ; q u e le g é n é ra l B u lle r

Au tribunal:— Vos noms et prénoms?— Huntel Machin-Chose.— Votre âge?— Quarante ans.— Avez-vous déjà été condamné ?Le prévenu, poliment : __— Alors, c'esl une interview, monsieur le

président ?

LA H A U T E - C O U R

«a? ? nMarsei,.,e» de <92 à D ijon, de 203 à i S ain t-D em s, de 223 ..à B oulogne-sur-Seine

e t de 2o3 litres à Nice. La consom m ation du c id re est n u lle à Lyon,.M arseille , Bordeaux, L ille , Toulouse. Saint-E lienH e, R oanne A vignon e t Cette. A P aris , e lle n 'es t que de 2 litres, e t de 3 à A m iens, O rléans e t Tours. P a r con tre , e lle s’élève à 322 litres à R ennes.a 211 ■ 11roc A l <inn né an n à ” .. f

| cettem oyenne .. ____, ___ _____ a ite in t le chiffre de S k s IiF re rp a V habitent’A P aris , la consom um iion de ces d ivers n ro - I du its n est que d

La G ranüo-H relagnë, commo le d it excel­lem m ent no tre confrère L a ia g e .m eien ligne ses 100 cu irassés; ello trouve en face d ollo nos i » cu irassés e t les 27 cuirassés russes w qui fa it déjA le jo li chiffre do 71 cuirassés!

La défense dos côtes m étropolitaines des nom --causas colonies anglaises, l'oscorto doUPS tnnvnic a.l.li.r,,,.* 1- .. .

trè s , | A n;:lq!çj:rq.organise.encore-'uno. coa- iilipu i.’iii'op*euiio■pour j’oleviir son nroslige s u r no tre dos ; nous avons le « bon bout >> • p ro liions-en . R ippe lons-uo iis quo si « l ’m l vinciM o Arniiidii i ii’avnit pas été dispors.'o p a r la to m pô 'o ,<T .\ 'i{ I!fk-rro changoait dé m aPro an \V* sièi-le, itioinio elle u iïa v a it ™ ' f , al1 XI'‘; q»« •‘■i il n n la -r ta v a it eu 10 000 hom m es ù sa disposition au lieu do L Ün,.( a .VC!C. lfiS!,U0!.s ’ d '«B leurs, il cu lbu ta 20.009 A nglais), I Irlande sera it lib re à ce tte h e u re ; que si N apoléon, en fin , n ’av a it éiô rappelé du cam p de Boulogne pour a lle r co n q u érir l ’Allemagne, c’est p robablem ent le d rapeau trico lore qui ilo llerait au jou r- d hu i à L ondres. J

La « chance » extraordinair,o d ’Albion e t son astucieuse dip lom atie sem bleut ôfru en d éfaut en ce liiôùrient, vaincues par lo d e s ­t in c o n tra ire : il y va peut-ê tre pour nous d un in té rê t v ita l a pro file r du hasard in es-p éro des événem en ts. 1__________

J e n e dem an d e pas q u ’on lui déclare la g u erre , m ais il se ra it facile do nous appro ­p r ie r sa inô llu do constan te , et do p io lile r d e ses em b a rra s pour n o u s ’ assu rer des avantages e l des g aran ties solides pour 1 a v e n i r ; n ’en déplaise ix M. Lufage, elle n osera pas so fa ire trop p rie r , en ' c.o m o­m en t, pour nous les ac co rd e r; elle doit môme ôiro disposéo à p ay er trè s ch e r n o ire n eu tra lité .

G. VlLl.AVUÈDtt,

Le Chemin de fer : » ' n r i a - S e u l l a . V n . l , . e .

Seulis, eu 29 décembre 1899.A Monaienr le H M ncleur en c h e f

dll JOLHNAI. DE Se.NI.IS.M onsieur lo R édacteur,

D ans \e Jo u rn a l de Senlis d u 24 décem bre vous avez reproduit, d ’ap rès la Dépèche de l Oise, le résum é d uno conversation q u ’au - ra tt eue M. le sén a teu r Chovet avec M. le M inistre des-T tuvaux publies a u 'su je t d e la ligne pro je tée de P aris à V erheiie par se n lis . \oiii.oz-vous perm ettre à un de vos lec teurs qui a quelque raison de se croire b en ? n fo n n é d e vous-sjgnaler~certalB8 nia -

î consommtwion de ces divers pro- l0 2 m re 5.lqU6dO' 89 ilr03et» 4 Lyon, i'

Lorsque le m in istère eu t réso lu de dé- roudro e t m ôm e de sauver la R épubliuuoson prem ier m ouvem ent - le m auvais - le i n j z . .po rta , comme le conseillait autrefois M. Ma- « K é lle X lO n S l l O l T i f l a u e s d te r de .-aonljau, a se d éb arrasser do tout ce I J ’qu i le g ên a it ou paraissait le gêner. On pér- qutsitioD na p artou t, on a r rê ta boaucoup de

, . , _____ r — . , !?onlle ' 11 s 'ag issait alo rs d 'u n a tten ta t e t laque lord M eth u en a u r a i t e s su y é u n e d é - I' r a ? c6 “ PPr'L avec te rreu r, q u 'e lle l'avaitfaite s a n g la n te ; q u e le g é n é ra l B u lle r on d“ ™ a n |. échappé boite,aurait re cu lé s a base d ’o p é ra tio n s in .n n 'à i- “ “ «“ le-ÎO H »» conjurés fu ren t m is enPieterm aritzburg. L a W a r flfH.-o n,. h eu s ü r e t la com inission d 'in s truction oxa-

i a . u m e e n e m in a , sans indu c'ano»* inm a: uo «h»I pourra, longtem ps encore, g a rd e r un■ mutisme qui devien t presque trag ique.

A l’é tranger, un calm e complet. La■ réception du ro i A lexandre de Serbie à

m ina, sans indulgence , toules les charges accum ulées contre eux . Il lui fa llu t bieu re ­co n n a ître q u ’elles n 'é ta ien t pas égalem ent g ra v es; e lle d u t en re lâciier so ixante e t av o u er qu 'il n 'y avait pas l’om bre d 'u n e en ­ten te . Tout au p lus pouvait-on , avec de bons

com pter un peu aussi su r l'cxpérionco e l la science de nos m arin s , e t ne cas les supposer capables d 'a lle r bénévolem ent ac­ce p te r un com bat d isproportionné, m ême s ils y son t agu ichés; il est probable nue les un îtes se groupera ien t en doux ou tro is us- c a d u s puissantes fort en m esure alo rs de lu tte r co n tre les escadres disponibles do l A ng lete rre ; il faut su rtou t songer à ceci que nous n 'avons que fa ire do bateaux pour

m m w m m mtand is qu uno arm é e augluiso déb arq u an t p a r su rp rise s u r nos cô:es sera it balayée à la m er p lus v ite q u ’e lle n 'a u ra it touche notre

d ern ie r.Moi, j au ra i p lu tô t in titu lé le m orceau :

« H éflexions h o rrifiques.Oyez p lu tô t :

■ y- * ------------ " “ “' ‘u iu ut) OUI . , ---------------- „ , wu uu „„ua■ vienne revet un carac tè re cord ial. On yeux. 0t infiniment de bonne volonté, aper- ■peut espérer que les sages conseils de ce^01r quelques vogues traces de complot. |lempereur F rançois-Joseph l’em porte- a Han le*Cour s® réunit; M. le procureur

lans l ’esprit du ieuno smivArain I 8 ja0ral fit donner lecture de son acte d’accu­sation, les témoins furent entendus, et ceux des juges qui ne voulaient pas distribuer une justice politique avec une impartialité poli­tique reconnurent loyalement que ce complot ressemblait aux bâtons flottants : de loin, c était quelque chose; de près, ce n ’était presque plus rien.

Le procureur général, qui ne semble pas animé d une excessive indulgence, a dù re­connaître à son tour qu’on s’ôtait un peu légèrement embarqué dans une bien grosse affaire. Sur quinze accusés, il en est jusqu’à six qu il a déclarés innocents et contre les­quels il a abandonné toute accusation.

Il n'en reste plus que neuf sur ies soixante-

| r * e a c e d é sa s tre u se d ’u n pèreT udT gûë:

I N F O R M A T I O N SConseil dos ministres.

trf 80 son,t réunis hier. dans la ma- a l Elysée* sous la présidence de M. Lou-

sol. Mou confrère Lafago n ie ra -l il cela ?p a n s co cas, je lui fe /a i observer quo ce

qui se passe ac tuellem en t au T raosvaal est su rp re n a n t seu lem ent pour ceux qui no

les C|l*Aiseurs represen!ü- I tç o u sd e ^ '/h is to ire ^ en e f f o r / jm n a îs 'à 'a u -

Tout est prêt pour l’attaque. La urmuière r4-

La flotte de guerre de la rciue d ’Angleterre atteint près de 1.100.000 tonnes: colle de h France u est que do 380.00j ; celle de la Triule- Alliançe ne monte qu’à 150.000. Et l’avenir? Eu

se me. n u v a in c u u n e a r m é e e u ro p é e n n equ elco n q u e; ceci n ’est pas une opin ion , c’est

|lXLH- Dalcassé, ministre

------ * u . , *aau»uiu|3 UUUIla garde du littoral métropolitain. Les cent cui­rassés britanniques pretiueut l'offensive ; ils pro­voquent les quarante cuirassés français à des batailles rangées, pour les écraser «sous le poids du fer ». Sinon, ils les enferment dans la Médi-

i affaires étrangères,

------ — é lr a n q e r * ,encore, ces a lliés e t ces m ercenaires lie les on t-ils pas toujours sauves do honteuses débutes : tém oiu B ouvines, l'ojilouoy e t la guerre do Conl-Aus, où ils éia ieu t pourtan t bien secondés p a r les trah isons de la guerre civile. E u C rim ée, ils se sou t m ontres a u - dessous d e tout.

fa iT m ? llliieucs 9ue lé» questions péür MDies, au sujet de notre snuation i - ' ’*• ’ISSenÏÏs Snj?V011 ™Drormë“aüx 'ÎuciSœSIiÔmlîttsentees par le gouvernement français. . -----------------a V,6<’!' t6 nu q a i" z0 du d éb " l , e t Ton ignore ce qu 'il

Kami* s ?, .f™ “!?iî . qnL s,e™ prochainement | re s te ra lorsque les avocats au ro n t discuté■ m i l à la signature du Président de la Bêpu-'

I . . » Caiilaus, ministre des finances, a fait sl- l f i a PAh Loubel les hôcorations dans la lïhilte Dour Attribuées au titre de son mi­

le défense du territoire.Iw S ff i ifA t ï 1 ( ? “ ' 1 acai e I Phqûe que le Kmiw> dofense des cotes et des c ’ 'f » ra aucune nouvelle charge

preuves, disséqué le réqu isito ire e t m ontré la faiblesse d ’une accusation fragile.

I l se peut, on sem ble môme p révo ir, que » se m on treron t m oins rigoureux que

p ro cu reu r général ; ca r il est difficile de condam ner su r des rapports de police.

Tout le m onde constatera alo rs une d is­proportion en tre la cause e t l ’effet: nn

terranée; ils les bloquent daus nos ports’de la Manche et de l ’Océan. Notre flotte battue ou « miso on bouteille », les Anglais confisquent ,

L'armço du Truusvaol est débarquée à Atada- n u w o n L d ë 'f ê l r e ! m êm e* e n ' forces S "

Cependant les grands coureurs de mer, Power- ? ^ ’ irlan d a is , leursfu i. Terrible, Diadem, etc., font la’garde des 8eulos ,ro u pt'S d attaque , e t les Ecossais,routes commerciales; ils évoluent à grand rayon , s S00,es troupes do résistance, sont eud’action (d yrand rayon d ’action I) autour des t,r0P potil nom bre e t o n t été trop exposésstations de charbons et de radoub, échelonnées déjà au feu des B oers; tous les R obens e tdans le monde entier, Gibraltar et Malte pour lo tous les K itch e n er du m onde n ’v fem mcanal do Suez, Halifax (quelle embardée, nom rieu : l ’hégém onie angla ise est d é tru itu \d ’un pém rd/J, Pord-Royal,.de la Jamaïque et de jam ais d a n s l ’A frique d u Sud1 ort-Lostries, à Sainte-Lucie pour les communi- I i>, ■ . *cjfious d'Amérique; Sierra-Léune, l’Ascension m ôm e motif, un débarquem ent deSainte-llélène, pour colles du Cap: Maurice’ i '^ P ^ û U ffh 'L se se n A lgérieou .à M adagascarAden, Colombo, Singapour, Bombay et Calcutta! n ’a rieu qui puisse nous inqu ié ter. Ellesi__ «_ >— — .a _ _ niT.iinnrniu Itr/n ria . .

sont évaluées à 120 millionsL»» dépenses

P « « u S i a ” 111 elrMln<s ™ ' '“ P"06 d0| i r î d.éPm?K seront couvertes au moyenK m sexnnn’" 3 e“ rembours«ment êos. obliga-pôliilu ro.nh ot qul d», i«“»M t libres à la I Dudi ™nbl°“rsemre ‘ q8 «es obligations.

' ioaiî îrr PΔ !SS BécossiléeB par Toogmen-

^ M b X t n°‘,e' "U' 8 S°m drjà

une mouche

I L» rf1 ■ aca(lémiqup.f q h t r a 'f S » 11”.* 1' U,onri .L“’,eda" . 4 l’Aoa- ■une tri. n »* eu eu j 0U(l* eu prése I S. Il-nri i br.euso élégante assistance. lfiriluei|Pmin.Vî t?n a,J dans 8on discours, fait EirlU ™ ?'1' “l0«*.d« “ ■ “ «"ri Mriihao, au- 1 h* œarmo r collaborateur M. Ilalôvy. Wiadaire” 0 h«aure8ard a répondu ou

K I0.M,f ? ,e do M' ■»i|hao, on a applaudi K Ses °“ s el de i0*0™1 «> spirituelles

K » d'"" député.•“ «"<>»■ — t de M. Dovier-Lapierre,

ï -* «unes d'nnn moi . R « succombéh ^ n ib o . ' S 0, qui ,B lenai‘ éloigné de

I , BoviVr i • n■ ueja lou8‘emps.C uration SJier[0,“v?u kris UD0 Pa i‘ nctiveà " * » io u n ïh îi ^V?hant, aux syndicats

tenait à 5# n l s m î °°5 ns du trava‘l- 11 ap- la c,13tnbre depuis trois législatures.

I? mer NoJre- kœaine p ü f i épouvantable a sévi, touto la

,lr®s effràvania a* ni0r Noire* causant des,Ddl“om bré f f lî 2 S ï i “ M # m l > m o r l d ’u n

■^‘W h T n t nfl°«nrîi0 dou,e,nt d° rien, et les I Ont Mi'lt) fLnnf « |,8S ord|n,<ires. l r do mw 1 m, enl d ’ lro rais on Jeu f e r i r , « i, ,spor'smcn qui prétend

Mètres fin »nt t$ ec,riqU0' ,a distanco de lyWQacs«n ne nenro-

E*> « d l U â rS .F ,reux d?, Lisioux ot est « ^ " '• c ê t a i K l ï f f i ■?“ mdleu Pl r l« ôcs- l ? J " kilomètre,^1 «ivère-Ihlbonvillo.

" ‘ «W » « i i r v e l f f ^ j S . Ü T ' l ’ r0Ule d6'

La liberté d ’enseignement.Le Comité de l’Union fédéra le républi­

ca ine, que préside M. H enri Barboux, an ­cien b âto n n ier do l’O rd re des avocats publie un m anifeste pour proclam er de nou­veau , d it-il, le double sen tim ent qui a ins­p iré, il y a dix ans , los fondateurs d e l’Uuion : le dévouem ent à la République e t à la liberté. Nous en détachons le passage s u iv a n t ,’

Nous n ’admettons pas quo, sons prétexte de rotéger a République contre ses adversaires on

rasso d elle un gouvernement d ’oppression. On ne nous persuadera pas que, pour vivre, elle ait besoin de recourir à des,procédés renouvelés du premier Empire, de supprimer la liberté d ’asso- cialion, de restreindre, directement ou par des moyens détournés, la liberté d’enseignement. La République peut et doit dédaigner l’emploi de pareilles armes. 0 * uo

* *

M. de M arcère, séna teu r, anc ien m inistre ,

une cam pagne active en faveur de la liberté d enseignem ent e t créé une ligue pour coor­do nner leu rs efforts. I ls on t reçu déjà un g rand nom bre d ’encouragem ents

En envoyant son adhésion , M. A lbert Validai rappelle qu ’il est « ancien élève de 1 U niversité » e t q u ’ « il a puisô d an s son enseignem ent le respect des principes d ‘éga­lité , de liberté , de ju stice », e t c ’es t pour cette ra ison qu ’il s ’associe à la cam pagne de MM. de Marcôre e l de Mun M. de Fraiiquo- v ille , m em bre de l ’In stitu t, « anc ien élève de H enri IV », s’exprim e dans le m ôm e sens quo M. Vandal.

— L . __________

La consoniinalion de l’alcoold an s le s grandes v ille s

Au m om ent où de tous côtés on lu tte sans g rand succès, hélas 1 con tre le fléau de {alcoolism e, il es t in téressan t d ’appeler 1 a tten tion su r les statistiques que v ien t de pu b lier lo m inistre des finances.

Il ré su lte des chiffros officiels q u ’à P aris la consom m ation de l ’alcool par h ab itan t, en 1898, a ôté de 8 litres 26 cen tilitres ; à

tiques, tous ou presque tous, comme vous le savez, accaparés par des compagnies anglaises

| Celte armée navale, formidable, aveo ses points d’appui, nombreux, bieu espacés, aux meilleurs points stratégiques, est. commo on voit, des plus impressionnâmes. ( / r crois I) Nous ne sommes pas à la hauteur, et il n’y a pas lieu pour nous

j de faire Jos casseurs el les malins.

Nom d ’un canon A rm slrong I ça no vous do n n e-t il pas la cha ir de poule, cet ex­posé là , rien qu ’à le l i r e l P o u r m oi. i ’en frém is d ’h o rre n r I

Ainsi, s’il p la isa it dem ain à la re in e d ’An­g le terre de nous d éc lare r la g u erre , erne I en u n tour de m ain , nos flottes sera ien t « mises en bouteille » , nos colonies « m ises en sac », bouclées ot probub em ent transpor­tées, comme des petits cochons, à dos d’hom m es, su r quoique m arché b ritann ique po u r ê tre vendues au plus offrant e t d e rn ie r en ch érisseu r J e m e dem ande alo rs pourquoi nons dépensons, p rè s d ’un m illiard e t demi p a r an pour n o tre défense nationale !. . Il se ra it ce rta inem en t p lus ra tione l, dans ces conditions, de renvoyer nos pioupious e t nos m nthurins p lan te r leurs choux, delicen-

e t M. A lbert de M un, député, on t en trep ris c ie r nos officiers d e te rre et d e m er de louer uno cammiirnA n r iiro <>» ,i„ i» I nos cu irassés à quelque a rm a teu r en tre p re ­

n a n t pour faire le com m erce du cabotage ou du long cours — e t d ’a tten d re stoïquem ent

faèv itab l0 — puisque ce sera toujours «I/-A I/ b o u rr ico t, comme d isa it « no tre O ncle. »

p a m I il es t ce rta in quo si les Boers s ’é- , ta ien t complus en des ra isonnem ents pareils, ' nu lieu d ’e n v a h ir crânem en t le te rr ito ire du N atal e t du Cap, ils no se ra ien t pas en train d a d m in is tre r de m onum entales râclées aux m eilleures troupes do la H eine, m ais subi­ra ie n t déjà le d u r joug de l ’anglo-saxon e t 1 ignom ineux esclavage auquel il soum et ses « sujets. »i M,w S ‘/'«nquîH isez-vous, bons lecteurs do la R épub lique de l'Oise, los choses ne se passe ia ieu l pas, m ais pas du loin, do lu so rte ; ca r, si (es choses pouvaien t se passer I T i l ' n„y a longtem ps quo tou t sera it déjà bâclé : l A ngleterre n ’a pas l ’hab itude de se la isser a r rê te r p a r des scrupules, e t l 'h is­to ire des cinq dern io rs siècles nous dém ontre qu elle n ’a jam ais hésité devan t un m auvais coup quand e lle y voyait son in té rê t — pourvu , toutefois, qu ’il n ’y a it pas dans l ’af­fa ire d e trop ru d e s horions à ap p réhender.

'P a rlo n s sérieusem en t : il est facile de dé­m o n tre r à n o ire confrère que son ii

(quand à D iégo-Suarez, je connais 1 ci d ro it e t j e garan tis quo pas un vaisseau do S . M. B. n ’osera s ’av e n tu re r dans ce T h trm opy les m aritim e) ; m ais quand les Anglais au ro n t bom bardé les côtes de nos colonies, soyez s û r q u ’ils n e so risqueron t jam ais h o rs de la portôo des canons do leu rs vai-seaux ; nos m arsouins se chargeraien t de leu r fa ire dégourd ir, la baïonnelto dans les reins,, lo u rs longues jam bos plus vite encore quo no lo font les bravos Boers',-— les- q u eis ig n o re n t m ém o l’usage d e la b ü ïa n n e lte

O r, M adagascar est, tout au tan t et plus encore quo la F ran ce e t l ’Algérie, à l ’éprouvede,la fa m in e ; lo blocus d u re ra it ,u n 'S iè c leque les provisions d e r ix .d e blé, d’e m a ïi de manioc e t d e bœ ufs no s ’ep u ise ïa ien t pas.

Four le T o n k in , n o as sommes plus tra n ­quilles encore : les Anglais so garderon t bien de d is tia ir e un seul h om a rd p i un seul cipaye do l’In d e où ils au ro n t fort à faire pour défen d re les passes do l'Hindou- ICousch con tre les üoO 000 Russes déjà concentrés A Merv, à hu it jo u rs d e m arch e de leu r fron ­tière ; d ’au ta n t p lus q u e les envah isseu rs sera ien t ce rta inem en t aidés p a r les Afridi® jes N épaulattes, les M aliarattes, los Sicks e t les G o u ik is postés dans la m ontagne. L 1 c’est p robab lem en t nous au co n tra ire qui! du T oiikui, p ourrions en v a h ir la B irm anie.

E nfin, il est un p o in t que notre confrère a négligé e t qui esl p o u rtan t capital : l ’An­g le terre est u n e im inens» boutique qui vit exclusivem ent do com m erce. Ello fe ra bien escortor scs convois do nav ires m on liands par des vaisseaux de guorro , m ais, enfin e lle n e p o urra affecter ses cen t cu irassés à la lo is u chacun de ces convois. Croit on qu une escad re française trè s m obile, comme il nous es l facile d ’un o rg an ise r une . t mémo deux, h a rce la n t los convois, inqu iétan t los ports m arc h an d s, poursu ivan t, se faisant poursu iv ie, n e p o rtera it pas un coup fatal au com m erce b ritan n iq u e , et, p a r cou#» quuot. à 1 A ngleterre è llo-m ôm e? (.Via s ’est déjà vu et p o u rra it so voir encoro ...

Chaque peup’o .a daus son existence d (s époques décisives d ’où peut dépendre sa g ra n d eu r ou sa décadence, définitive : l'An­g le terre m e para it ê tre à T u n do eus to u r­nant* dangereux de l ’h is to ire ; elle a dù d ég arn ir sa inèlr#poio pour supportor le

r S n ! ? 11! Pelil P6Uple éPiqUe dans Son . les Boers nous b u t donné l ’exeni- p j C ham berla in continue ses rodo- m onlndes, n 'h ù d to n s pas à re le v er le g a n t; n a tteadons pas q ue , rem ise de ses< dèsa s- -

Nouvelles militaires;A l a d i v i s i o n d u T e r ,

Ou écril°de Naucÿ au Uaulois :D in s les casernes de toutes les garn irons

de la d ivision de Nancy, oh pout voir depuis quelques jo u rs les so ldats, un groupus au tour d u th erm o m ètre , ex am in er avec in té rê t les hausses et les baisses du n iercuro.

F o u r un dem i m iflim ôtro p lus haut ou p lus b as , les « pun is », eu effet, coucheront ou ne coucheront j)as a la salle de police...

C 'est que le généra l do C oruulier-L uci- n iô re v ien t de p re n d re une oi iginalo déci­sion , in sp irée , d 'a illeu rs , par l j è l é i é t uu 'il p o rte à ses soldats.— 1 1-a -été -lir-au -rapport-q iisr « lorsquellie riuom ètro descendra à m oins de cinq d e ­grés, les hom m es p u n is de salle de police re s te ro n t couchés d a n s leu rs - lits ; les hom ­m es punis d e prison recev ron t u n e paillasse e t une couverture . Enfin, iorsquo le therm o­m ètre descendra a- m oins do hu it degrés tous les hom m es punis re s te io n t à leu rs conipaguies...

Cette bonne m esure , in sp irée p a r lo bon cœ u r du généra l de L ucin ières, n ’est h eu ­reusem en t pas u n e exception ; elle e st p rise chaque an n e e d an s une toule de régim ents no tam m ent à P aris .

Nous souhaitons quo la m esure soit gÂué- ra le ; un hom m e biun que pun i do prison pour ind isc ip line , n un a p JS m oins d oit à' la sollic itude do ses chefs.

CllIlOiYKfH IIÉFARÏEjjE.MALEJ L e s v é l é r i u a i r e s d e l ’O i s e .

Les m em bres d e là Société v é té rin a ire .do 1 Oise so so in ré u n is d im anche a I llô iu i-do - Ville de C len h o u t, à deux h eu res de l ’uorès- m id ir , ‘ •

Le b u reau , p o u r les années 1900 e t 1901, a été a insi constitué :

P résiden t : M. U uillo l, de M ouy; Ÿicc- P résident : M.* C haulai eau , de C ierm oni; S ecréta ire g én éra l : M. Cagny, do .Senlis; S ecréta ire des séances : M. D ecauipeaux, do C lüim ont.

Tous les cand idats on t recueilli ru n a n i- m ito des suffrages, 18 voix sp r 19 votùuts.

L assem blée a décide : 10 uô p a rtic ip e r au C ongres v ete rin a iro qui d o n avo ir lieu a P a n s en 1900; z 11 do so lairo in sc rire au Synd icat dos vètérjnairo.s in specteurs do bouchurio ; 3” quo lu prochaine réun ion a u ia lieu a Boauvttis, io d e rn ie r d im anche de m ars 1.900,

em en d u s qui lui p araissen t ré su lte r, soit do I e n tre tie n mémo don t il a élô re n d u compto par vo tre honorab le confiè re , soit do la façon don t quelques déta ils on t pu en ê tre in te rp ré té s p a r lui i l im porte, en effet, ce m e semb.'o, que, dans uno question qui in té ­ressé a un si liant degré toute notro rég ion , il n e , pu isse subsiste r aucune am biguité q in n t a irn o rm i rs d ans lesquels ello so trouve ac tuellem en t posée.

JotiU i tbord-ço u 'ost pas, croyons-nous,• ju sq u 'a concui ronce de 80, m ais bien de 90 m illions que la Compagnie du Nord s ’est ci'gageirrpü t' iü coiivüiition de 1883 à côn- trib im r aux traxaux do construction d ’un •■/■nain non)hrè'do- lignes nouvelles spéci- Iin-s p a r lad ite conven tion . L’exactitude de ce ch iffre est d ailleu rs sans in térê t au point de vue qu i nous occupe. Ce qu ’il im porte de ra p p e le r c u s t q u ’aux term es du con tra t m t' r '9 o u alors e n tre 1 Etat el la Compagnie, ceiio-ç.i deva it fifre en tièrem en t libérée do si s ob ligations le j o u r où e lle au ra it effecti- vam ent et régu liè rem en t dépensé cette som me .de 9o m illions on travaux exécutés par e lle , sous le coiitiôle do l ’E tat, su r les Jtgims en quosiion

Au cas où luursuppi* .................................... .....................I ; ! 1 cba ige du l ’E tat. S i.a u co n tra ire ,

hgnos un» ,m is coustriflies, il so' trouvait

achôvom ent eû t exigé undépense, cet excédent devait

J L o s r é c o l t e s « lans» l ’O i s o ,Lo J o u rn a l o/ficiel publie des renseigne-

m en is su r la situ a tio n agricole d an s les dé­partem en ts.

F o u r l ’Oise, il est d it, à la da te du 8 dé­cem bre :

« G iù c e à l a sécheresse,' oii a pu fjc ile - mofit p rocéder à r a r r a c h a g ô e t 'a u thm sport dus betteraves:

« Les sem ailles son t term inées. On uxé- cu le lo transport des fum ior, leu r épandiigo e t les labours d 'h iv e r . »

E x a m e n s ï »«>«u * l ’« ï n s e i f r a e m « î n t p i d i i i a i i '* ; . ~

Les sessions anm io ljes d ’exam ens pour lo b te n liq u dus deux hrevots de c.apacilé.

.lîw!;'«,a i ,0 V1 snPCr*°ur) seron t ouvertes on 1900, aux dates su ivan tes :

P rem ière session.A spirantes. — B revet élém en ta ire , 18 ju in .

— L iô turo du reg is tre d ’inscrip tion , 2 ju inB revet su p érie u r, 16 ju ille t. '— Clô uro du

reg istro d; in scrip tio n , 2 ju ille t.

un fouie disponib le su r le fonds de concours dé 99 m illions, ce >obio devait èlre affecté JII q 1 à duo (-.(incurreiico, à la création dans le ic.-e.iu du N o id ^ e lignes à désigner u lié- ii-‘m em en i l'E tal se réserv an t toutefois, a j 1 'l'UP l i / n t s . ftm uelles à constru ire , la acü'ii: d exiger, do la L’om pagniq lo verso-

m e..i de ce so d - «lans les caisses du T résor.. A i j p o q u o o ù la Compagnie du Nord fut î i i 'i iu c p a r lu m in is.ro dos Travaux publics, a é tu d ie r les niuxens do d o n u er satisfaction

i des populations qui. depuis l o n g - . s » ü ritaion! la création d 'un nouveau

« ' m r l-aisant j as Senlis, l ’étal '.b inent «.«*■» ;;gnos concédées p a r la '•iu.’t de 1>83 germ otiaii do suppoœ r

h’U! r.til 'C l;:- t il pourra it ro tor,' " ' Joèi-.ts de concours-prévu do 90 m il-

. disponible, bien que l’im -1 ! u on i ut encore é tio déte rm inée .. iJX:iru:m ni ren-îèignô su r les

" ‘ jMi.isus ucs négociations alors pour- sui vies , nous ci oyons savo ir cependant (pi <'ll(cs a««otiiiront ait dépôt p a r la (.'ompa- g 'ito du Non! o un proj-u de convention (-l ili i su r ies bases su ivan tes :

La t.om pjgn io consenta it à p rendre à sa c.ha.igq bon seulem ent .la construction d ’une igne p a r ia n t.d 'u n point à dé te rm iner de la

ligne de P aris a Soissons, passant p a r S e n l is . et a llan t re jo in d re à V erberie la ligne do 1 a n s a la fro n tiè re de Belgique, mais encore code d une a u tre ligue égalem ent dem andée de la;us n B rebieres, soit ensem ble u n e dé- petiÿ.p d ’Uit ie chiffre peut ê tre évalué en tro

il pour condition que lo solde n de concours de 90 m illions ju s q u a duo concurrence à la

oré dimi du ces deux npuvudos lignes, parap , u. ..n .;i u'u ia couv *iit ou do 1883.

du no tre p a rt, c’est s i r celte 'Ration q io po rtera it ac luel- .‘cord, la Compagnie du Nord > d ê tre ten ü e à v erser au ,•! ■vouiuei des 90 m illions,' 1 Sîl chargo la totalitétd icu te à la construction desj léi-s.n és .luquel il est fait allusion

■ Dépêche reproduit p ar le ,,ous 1:0 pensons pas

R -uR de i i non exécution des enga- •. g*. ,.,j 18s i par. la Compagnie du

‘Rn;-: jo n c par celle-ci devan t lo h .R o an m it, pour objet, si nous

• ' '■.i inform és, q u 'u n e question : l:on de la convent-oa de 1883

I ! ■ ; n dont *e compte d ’emploi :u «io m iliio iis-d o it-é ire é tab li, en

, : i •' in té ié ts courus pendan ttu do coiis:n ic tion . Selon la dôci- ^ r v o i r , ’e solda d ispéuib ie p o u ria

c ru .augm enté ou (lim niué dans une ce r­taine proportion , si toutefois il en doit re s -Uai u.n - S*".0 !- ,,:!!'L‘,n •s0' ,• fo,,d môme du déba t re lu .il .i l affectation du ce solde éven- i.no. a la créa lion des doux lignes projetées no s tu ra ii è re régla p ar ce tte décision, pni que e e u e b a t porto un iqueiuen l su r une (.u jsü o n du p rincipe , ce lle do l'em ploi qui

u r o fa it do ce solde, quel qu 'en soit le

éventuel se ra it ;•!)

lion

question d ’i I-.ment le tk

Trésor1 Vc ' " H'd'i i •• oi. d é 11 d é p e n s ... deux lignes pr«

Q uant au p ud m , l’arli,;1!- ,|. Jo u rn a l de. S a

i "

n i. I

m qui cola péi o

Ë f siCl in scrip tion , «5 ju in . ç j - s , 'à j.*q r ë h U î la^oluU on. ' “ ‘

D euxièm e session.Aspirantes. ~ B revet é léraontaire , 1pro -

tob io . - C lôture d u reg istre d ’inscrip tion , 17 sep tem bre.. 1 ’

B revet su p érieu r 8 octobre. — C lôture du reg is tre d in scrip tion , 24 septem bre.

A sp ira n ts B revet élém en ta ire , 4 octo- b ru . • - c lô tu re du reg is tre d ’im erip tio n , 20 seplom bro. * '

B revet su périou r 15 octobre. — Clôture du re g is tre d in scrip tion , 4« octobre.

l. abondance des m a tières n ous oblige, a u jo u r d 'h u i, à a jo u rn e r la p u b lica tio n de n o tre in téressan t fe u il le to n : L e I V ( i i - JFiltf «le d'Artagnan.

ducl iffr.

T l i e?i Î!!6?.’: 5 ° J ° n in o , i s , le véritab le pen-

re p ré - - , n ’a pu

solution.imi souinetiaiit a votre apprécia tion ,

.\io n ,ifu r |.» B 'd a c te u r , l’opiiorlunité d e ' ce lle I hospita lité do votrejo u rn il nom b a v o n s pas la p ré ten tion de iuu i, (M ger •!) ju g e du désaccord ex istan t m • i.t (.ouip iginu du Nord ot lo m iuistôie,

! K a i s e r lo poin t su r re |ii I I.P'u i,: ut pur \ \ pout-étro de rendre pu/.'- 1 m accs les i fforls ten tés on vue d ’y m o itié ut. lr r .n o II nous sera perm is cepen­d an t do f u i e observer qu ’une solution con­sistan t a su b s titu e r au pro jet de création t nue hgno nouvelle, passant p a r , S enlis, le doublem ent dos voies oxistant ou tre P aris e t

in térê ts en cause. La dépensé q u ’e n tra in é - r à it une opéra tion d e ce g en re se ra it faite en p u re porto, aussi bien pour les population* ûü i ro ste ra ten t privéos do la nouvelle vola d e com m unication si a rdem m ent dôsirôq

\ * ’\ w L

Page 2: 70 Année. N° 108. * ’ 37 Décembre. 1899. JOURNALbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_12_31_MRC.pdf · 2014-02-15 · son premier mouvement - le mauvais - le i njz.

* p a r elles, que p o u r l ’E ta t e t la Compagnie

3ui n ’y trouvera ien t aucun élément*nouvoau e trafic , aucun accro issem ent possible de bénéfices. U n pro jet d e cette n a tu re n e sau ­

ra it donc ré s is te r & un sérieux exam en.Veuillez ag réer , M onsieur le R édacteur,

l ’assu rance de m a considération trè s d is ­tinguée,

Un Abonné.

A t r a v e r s S e n l i s .

Lk J o u r de i.’An. — Voici re v en u e l’épo­q u e fatidique du nouvel a n , qu i p a ra it tous les douze m ois, com m e un tem ps d 'a r ré t e n tre deux étapes, l ’u n e déjà parcourue e t l ’a u tre à recom m encer. Le cours des alTaires e s t suspendu e t chacun se liv re aux joies i& tiu m d u t e ( a m h u . O a eu so u h a ita -u n e c bonne e t heureuse an n é e » e t quand l’on n ’a pas encore été trop m eu rtr i p a r l ’ex is­tence e t blasé p a r les désillusions, on se sen t ém u A 1 espoir que ce souhait se réalisera .

On s ’échange des ca rtes , e n tre am is, en tre connaissances, e n tre ind ifféren ts m êm e, et ce p e tit bout de carton b lanc où son t tracés quelques caractères no irs sem blé pour un jou r ré a lise r le rêve d e la fra te rn ité un iverse lle .

On plaisan te encore l ’éçhange des cartes de nouvel an ; q u elques-uns s ’e n . ir r i te n t comme d 'u n e su jétion in u tile e t désagréable; nous n e partageons p o in t ce sen tim en t : la ca rte de v isite que l ’o n reçoit nous rappelle souvent quelque am i oub lié , quelque re la ­tion lo in ta ine ; e lle éveille parfois en no tre m ém oire to u t u n m onde de souvenirs que l ’on croyait é te in ts ; e lle atteste , en tous cas, q u ’u n e pensée s’est a rrê té e , am icale, sur nous, n e fût-ce qu ’un in sta n t. Cette coutum e est bonne ; il fau t la conserver. — G. V.

R é c e pt io n s o f f ic ie l l e s . — Ce m atin ont e u lieu les réceptions o rd in aires du jo u r de l ’a n , à la sous-préfecture, au trib u n a l, à la m a irie e t au q u artie r.

Des souhaits em pre in ts d ’une sincère cord ia lité ont été échangés en tre le re p ré ­sen tan t du gouvernem ent, le p ré sid e n t du trib u n a l, le m aire , le colonel e t les d ivers chefs de service.

M. le sous-préfet, accom pagné de son se ­cré ta ire , a re n d u le u r v isite ce t ap rès-m id i à tous ceux qui s’éta ien t p résentés ehezdui le m alin .' ■______ . ________M________________

* • <Mé d a il l e d ’h o n n e u r . — M. B icheron , un

de nos p lus vieux ouvriers sen lisiens, qui com pte plus de tren te an s de services dans l ’a te lie r de s e rru re rie de M. Lefèvre, p lace de la H alle , v ien t de se voir d éc e rn e r p a r le m in is tre la m édaille in d u str ie lle .

Ce m atin , après les réceptions du nouvel a n , M. le sous-préfet se re n d it à i ’hôtel-do- v ille , e t, en présence du m aire , de ses ad ­jo in ts , de p lusieurs conseillers m unicipaux, du p résiden t du tr ib u n a l, e tc ., il rem it la m édaille à M. B icheron , en l ’accom pagnant d e chaleureuses fé lic ita tions, auxquelles le m a ire jo ign it les siennes.

Très ém u, M. B icheron rem ercia .A no tre tour, nous lu i adressons tous nos

com plim ents p o u r ce lte d is tinc tion bien m éritée .

* ■* *

I n t e r r u pt io n de co m m u n ica tio n s t é l é ­p h o n iq u e s ET TÉLÉGRAPHIQUES AVEC S e NI.IS. — La tem pête qui a fa it rage su r Sen lis h ie r a renversé plusieurs poteaux télégraphiques, no tam m ent l’un de csux q u i se trouven t au gué de C reil; d ’où in te rru p tio n com plète de tou te com m unication avec Chantilly e t toutes les lignes y em branchées. La com m unication télégraphique a été ré ta b lie dès h ie r soir, m ais le téléphone res te coupé ; il en est de m êm e su r la ligne d e Crépy, où l'in te rru p ­tion téléphonique ré su lte d ’un en c h ev ê tre ­m en t des fils, ou de lignes b risées. ’

De sorto qu ’à l 'h eu re ac tuelle , on no peut com m uniquer p a r téléphone de Sen lis avec aucun au tre point. Les répara tions seront probablem ent faites cet après-m idi.

A la Ca th éd r a le . — Messe fin -du -sièc le . — On sait que lundi nous en trons d an s la dern iè re annéo du XIX* siècle : le 4M ja n ­v ie r 1901 ouvrira le XXe siècle. Selon une coutum e plusieurs fois sécu la ire , le l ’apo a réso lu de ten ir un ju b ilé en 1900. L’ « année sain te » s’o u v rira , dans tou te la ch ré tien té , pendant la n u it du 31 décem bre au 1er ja n ­v ier, par un office qu i sera d it à m inuit, comme celui de Noël.

M. l’arch ip rê tre D ourlen t, cu ré de la ca­th éd ra le de Senlis, p répare , à l’occasion de ce tte solennité, u n e m esse en m usique, pour laquelle il a fait appel aux m eilleurs artistes de Senlis, e t l’on peut com pter assister à un régal m usical aussi beau , sinon p lus beau, que celui de la n u it d e Noël.

— A ce propos, M. D ourlen t nous p rie do d ire q ce l’inc iden t que nous avons re la té dans no tre d e rn ie r num éro es t loin d ’avoir eu l’importanco que nous lui avions p iëlée , d ’après des renseignem ents erronés. Il n ’y a pas eu de b ru it de cassorolo, m ais sim ple­m en t un am en un peu trop en thousiaste et prolongé, qui a d is tra it un in sta n t los fidèles de leurs prières. M. l'A rch ip rê lre tien t, au con tra ire , à attester la parfaite correction d ’attitude de la population sen lisienne toutes les fois qu 'elle so trouve à l'église.

Au 2» H ussards. — M ercredi d e rn ie r, le général de brigade Belbèze es t venu passer son inspection trim estrie lle au q u artie r O r- dener. Comme toujours, le général s'est m ontré trè s satisfait d e sa revue.

I l s’est ensuite rendu à l'hôp ita l, pour v is ite r les m alades, et a ad ressé ses chaleu­reux rem erciem ents aux dévouées in fir­m ières chargées des Salles des m ilitaires.

3 C ro ix -R ouge F ra n ç a ise . — Le Dr D uchesno a été au to risé à faire p lusieurs conférences aux dam es du Comité sen lisien do la Croix-

Rouge française.Le médecin <s poli te m ère » va se trouver

là tout à fait dans son élémeDt : en tou ré do ces adm irables in firm ières volontaires que constituen t les com ités de la Croix liougo, il au ra à les en tre ten ir do cette question qui la i tien t tan t à cœ ur, e t où il excelle, do d o n n er des soins aux m alades e t aux blessés.

Ces causeries no m anqueron t pas d 'é tro trè s in téressantes et tirero n t un charm e par­ticu lier de la sym palhiquo perso n n alité du conférencier.

La Question du Gaz a S e n l is . — Nous som mes heureux d ’app ren d re que la Com­pagn ie du Gaz v ien t do faire aux con tre - propositions de la M unicipalité uno réponse perm e tta n t d ’esp érer un prochain accord do n a tu re à d o nner satisfaction aux d iv ers in ­té rê ts en cause.

La commission du Conseil m unicipal est convoquée pour m ardi prochain à l’effet de recevo ir com m unication de la réponse do la Compagnie e t de l'exam iner.

E x p l o s io n s d’Ac é ty lèn k . — Un pavé d ’o u rs . — Mardi d e r n ie r , nous causions avec l ’un des m em bres d u Comité de la g rè v e , M. R onam y, d es q u a tre ou cinq explosions d ’acétylène qu i se son t produites en v ille , depuis quelque tem p s; nous re le ­vions en ria n t 1 iro n ie se dégageant de ce fa it que deux de ces accidents av a ien t eu lieu ju stem en t chez les plus arden ts te ­nan ts de l'acéty lène : M. Albouy e t . . . un au tre . Mais nous tom bions d 'accord que m ieux vala it n ’en point p a r le r, pour n e pas risq u er de causer pré jud ice à cçs honora­b les com m erçants.

Nous com ptions sans les lanceurs d e pa­vés d ’ours ; en effet, u n jo u rn a l é tra n g er à la v ille n ’a pas eu n o tre discré tion ; il est

Rarii en g u erro à ce tte ocsasion, co n tre ... i Compagnie du Gaz, e t a p ré tendu d é ­fendra M. A lbouy, q u e p e rsonne n ’a tta ­

quait.De cet a r tic le trè s com pliqué, nous re ­

lovons la jo lie p h rase s u iv a n te , qui fa it rê v e r : « O r, la vérité es t que l ’appareil n ’é ta it pas en fonctionnem ent lorsque s’est p rodu ite l ’exp losion l... » Fau t-il en con­c lu re que si l 'on a chez soi un appare il à acéty lène, il es t p lus dangereux de le lais­ser en repos que d e le fa ire fo n c tio n n e r? ... Ce se ra it g rave 1

Ce bon M. Albouy n ’a décidém ent pas de chance : à l ’in s ta r d ’un illu s tre g u e rr ie r , il po u rra it ad resser au d ie u ... des coiffeurs cette touchante supplication : « S eigneur 1 je m e charge de m es ennem is, m ais, de g râce, gardez-m oi de m es am is 1 »

P ig e o n s vo y a g eu rs . — Il est rappelé à tous les possesseurs d e pigeons voyageurs dom iciliés su r le te rr ito ire d e S en lis, qu ’ils doivent fa ire à la m a irie leu r déc lara tion , d ’ici au 5 jan v ie r 1900, d e rn ie r délai.

L e s Mé n e s t r e l s . — Nous donnons plus loin la liste p roviso ire des lots de la tom bola de la Société de m usique vocale e t in s tru m en ta le les Ménestrels.

Celte liste com prend ac tuellem en t 184 lots, tous d ’uno rée lle v a leu r, e t don t b ea u ­coup son t m êm e des objets artis tiques du m eilleur goût, dus su rto u t à la générosité d e donateu rs parm i lesquels on rem arque les nom s des personnes los p lus honorab le­m en t connues dans S en lis, e t don t la b ien ­veillance est un p récieux encouragem ent pour nos jeu n es Ménestrels.

Aussi, pour tém oigner sa reconnaissance, la Société a décidé de fa ire encore mieux que <e qu ’elle avait p rom is, e t au lieu d ’un piano de 1,200 francs, elle offre com m e gros lot un superbe piano de 1.400 francs, g rand m odèle de sa lo n , en p a lissan d re , 142 x 61 X 129, so rtan t tout fra is des ate­liers de la cé lèbre m aison G aveau, u n e des m eilleures m arques du m onde.

I l est visible que les Ménestrels ne c h e r­ch e n t pas un bénéfice, m ais veu len t con­q u érir une place honorab le d an s la v ille de Sen lis, e t, pour a tte in d re ce b u t, n e cra i­g n en t pas de s’im poser de rée ls sacrifices. Ils m ériten t d ’ê tre récom pensés de leurs peines.

Tous ces lots seron t exposés, à p a r tir du d im anche 31 décem bre, chez M. Bonaven- tu re , qui a m is gracieusem ent les v itrines de sa m aison à la disposition des Ménes­trels.

Ce n ’est pas tou t : comme bouquet, la Société o ff r ira , le 28 ja n v ie r , u n concert g ra tu it, p a r in v ita tio n , à tous ses b ienfai­teu rs . E t ce concert, e lle le v eu t aussi beau que possible.

S ’il est en rapport avec la tom bola, nu l doute qu ’il n e soit m agnifique.

Il n ’est pas éto n n an t q u ’avec de tels at­tra its , les b ille ts de la tom bola s’en lèven t rap idem en t : déjà , au siège de la Société, il n ’en re s te pas un , e t beaucoup de dépo­sita ires en redem anden t.

Bon courage, e t en av a n t 1 nos joyeux Ménestrels.

P . S . — Tous les lots achetés p a r la Société so rten t des m agasins de nos com ­m erçants sen lisiens. »

TourinCkClub de France . — Nous re le ­vons su r la liste des cand idats au T ouring- Club le nom de M. Delfour, commis principal des C ontiibu lions ind irec tes à Sen lis.

S enlis a l’Exposition universelle . — Nous apprenons que M. B uat, l ’hab ile car­rossier d e la rou te de Crépy, a re tenu un em placem ent à l ’Exposition universo lle de 1900 pour y exposer ses p roduits. M. Buat rem portera ce rta inem en t des succès qui l ’honoreron t, en m ôm e tem ps qu ’ils h onore­ro n t l’industrie sen lisienne.

Déjà, du reste , M. B uat a su se fa ire ap­p récier com m e construc teu r à la de rn iè re exposition du Salon du Cycle, à P a ris ; il en es t revenu avec dos com m andes im portantes, don t plusieurs pour l’A ngleterre.

Tous nos com plim ents.Nous croyons savoir, d u re s te , que d ’au ­

tres industrie ls seu lisiens doivent aussi p re n d re p art à l ’Exposition univorselle de 1900.

Boucherie chevaline. ■— La boucherie chevaline don t nous avons déjà p arlé ou ­v rira lo i" j a n v ie r 1900 ,place S ain t-M arlin , en face la scierie O dent.

T h é â t r e d e S e n l i s . — Nous rappelons à no* lecteurs que lundi p rochain , le I " j a n ­v ier. la troupe C hartier d o n n era une re p ré ­sentation d e la Légion é trangère au théâ tre de Senlis.

Le spectacle com m encera à 8 heu res 1/4 très précises.

Nous avons déjà d it tout le bien qu ’il faut pense r de la belle pièce do MM. La Mode et Alévy. R eprésentée pour la p rem ière fois le 10 mai d e rn ie r, au th é â tre d e l ’Ambigu, le succès qui l’accueillit à ce m om ent a été en g rand issan t toujours.

Nous savons, par a illeu rs , avec quel soin M. C hartier, qui n ’est pas un inconnu pour nous, choisit ses artistes ; sa troupe sera cer­tainem ent à la h au te u r d e sa m ission e t l’in- tolp ré talion de la Légion étrangère ne la is ­sera rien ù désirer.

Donc, nous donnons t endez-vous au Tout- S en lisd e s prem ières, lund i à 8 heu res 1/4, au théâtre.

** *

Café du Nord. — S u r la dem ande d ’un grand nom bre do sé's clien ts, M. Longe s ’est décidé à rengager pour tro is nouvelles soi­rées, los 30 et 31 décem bre e t 1 " jan v ie r , la troupe qui a ob tenu un si b rillan t succès à ses précédents concerts : M. D orbigny, le com ique in im itab le d a n s ses ... im ita tions; MmM Lyonna, forte ch a n teu se ; Chelu, gom­m euse, e t Delormo, com ique, ainsi que le p ian iste Leblond, bien connu des Senlisiens.

Les habitués du café du Nord no m anque­ro n t pas do s’y p o rte r en g rand nom bre pen­d an t ces trois soirées, cô rta ins do s ’y am user tout lô.îr coûten t.

F a it s D iv e r s — D angereux va g a b o n d .— M ercredi après-m idi, vers c inq h eu res , deux ind iv idus, un hom m e e t u n e fem m e, se pré­sen ta ien t au com m issariat d e police, dem an­d a n t un g ite pour la n u it. Ils sem blaient avoir bu p lus que do ra ison , e t com m e ils sem on tra ien t, l’hom m e su rto u t, trè s inso len ts e t m êm e m enaçants, M. le C om m issaire leur in tim a l’o rd re d e so rtir .

L’hom m e se re lira à reculons, les m ains dans ses poches, regardan tM . Saint-R aym ond avec un a i r m auvais.

Au m om ent de fran ch ir le seu il, il d it rageusem ent en tre ses den ts : « Comme j ’aurais p la is ir à év e n tre r ça com m e un chien 1 »

Le m ag istra t fit sem blant de n e pas en ­ten d re e t re ferm a la p o rte . Alors le coople, devenu furieux, se m il à secouer les crohées, à t ire r s u r les souao ltes, cr ian t e l m enaçant.

La g en d a rm erie , p ré v e n u e , Tint leu r m ettre la m ain au collet. I ls sont ac tuelle­m ent sous les verrous.

Ce sont les nom m és P ira y , âgé de 25 ans , ou v rier b a tteu r , sans em plo i... depuis long­tem ps, e t sa concubine, la fem m e Lem ar- ch an d , âgée d é 34 ans.

— La Tempête. — H ie r , u n e v io len te tem pête a sévi su r Sen lis e t la rég ion . En v ille , u n g rand nom bre de chem inées on t été pro jetées su r la voie pub lique . Rue V ieille-de-Paris, la chem inée d e M. C hem in, b o u lan g e r, en to iù b a n t, a fa illi écraser M01 C hem in, e t deux m ilita ires q u i pas­saien t ; ru e s S a in t-P ie rre , Bellon, d e B eau- v ais, du C hâtel, e tc ., des chem inées sont égalem ent tom bées, m en açan t la sécurité des passants.

Place d e la H alle , le je u n e L ebon, âgé de 15 an s , dem eu ran t ru e d u H eaum e, se tro u ­vait au coin d e la ru e lle d u G rand-Cerf, atten d a n t quelqu’u n , quand to u t à coup, la brise poussant la po rte , ce lle-ci se referm a avec v iolence su r la m ain de l ’en fan t, lui écrasant deux doigts. Lebon voulu t ro u v rir la porte pour dégager sa m ain , m ais n e put y réu ssir . H eureusem ent, u n voisin , accouru à ses c r is , v in t le t ire r d e cette douloureuse position.

Conduit à la pharm acie M orcre lte ,ijl y a été pansé . I l au ra & su b ir de ce fa it une in ­terrup tion de trav a il d ’u n e h u ita in e ,de jours.

— A cc iden t de tra va il. — Le garde-m ou­lin A uguste Tem ps, occupé chez M. La- vallée, ru e de M eaux, voulant, dans la soirée du 26 co u ran t, déb ray er u n e m a­chine, l ira su r la courro ie ; m ais, ayant laissé échapper celle ci, il tom ba si m alheu­reusem en t, qu ’il eu t le c o u d e 'lu x é , avec épanchem ent sanguin considérable.

La luxation fut aussitô t rédu ite p a r le doc­teu r M illerm ann. Les suites d ép endron t de la résorp tion de l ’épanchem enl.

— Objets trouvés. — U ne boucle d ’oreille et un chapelet n ac re m onté su r or.

S ’ad resser au C om m issariat de police.

V I L L E D E ^ S E N L I S

A v i s .I l es t procédé en ce m om ent à la révision

des listes électorales.E n conséquence, les citoyens qui,. n ’é tan t

pas frappés d ’incapacités légales, réunissent les conditions d 'âge e t de dom icile exigées par la loi, sont inv ités à fo u rn ir im m é d ia te­m e n t à la M airie les renseignem en ts néces­saires à leu r in scrip tion .

S en iis, le 30 décem bre 1899.Le M aire,

A. dm Wàru .

ETAT CIVIL DE SE N L ISd u 24 au 30 décem bre 1899.

Naissances.24. Schamp (Augustiuo-Victoria), 1, rue de la

Biguë.25. Dj Malherbe (Noël-Marie-Georges-Armand),

11, rue de la Chancellerie.Décès.

25. M. Fauvet (François-Alexandre), 57 ans, rentier, -17, rue du Faubourg-Saint - Martin.

28. M*’ Dubuquoi (Catherine - Uranie), veuve Lemoine, 58 aus, à l’Hôpital.

P u b lica tio n s de Mariages.24. M. Letellier (C harles-Julien), cocher, et

M'" Lépine (Ulanche-Augu^Une), domes­tique, tous deux demeurant aSenlis. ,

Mariages.(Néant.)

S o c ié té «le M usique voca le e t i n s t r u m e n t a l e

« l e s M é n e s t r e l s ».Liste provisoire deS lo ts de la Tombola

d u 28 ja n v ie r 4900.Lot offert par M. Franck Chauveau, sénateur :

Un magnifique Couteau à dessert, en. a r­gent. avec écrin.

Lot offert par M. Chopinet, député.Lot offert par M. le Sous-Préfet de Senlis : As­

siettes appliques fies Grands Hommes de la troisième RépubliqueJ.

Lot offert par M. Duputs, conseiller général : Cabaret Cyrano, en porcelaine de Limoges.

Lot offert p - ’ M. de W aru, maire de Senlis : Jeanne d'Arc ( statue équestre).

Lot offert par M. Briard, premier adjoint.Lot offert par M. Oient, deuxième adjoint.Gnos L ot : UN PIANO NEUF, de la Maison

Car eau, de P aris, d 'une valeur de 1,400 francs.

Uu Objet d’art on bronze (buste Watleau), offert par M. Turque! do la Huisserie.

Un Plat artistique, offert par M** la comtesse d'Aldin.

Un Vide-Poche agalino, offert par M. Hubert do Parseval.

Un Siègo de coin doré, offert par M. RuITln Tinel. Uno Table gigogne, noyer, offerte par M. Coinbaz. Un magnifique Coffret parfumerie, offert par

M. Moulin.Un S 'rvice de 74 pièces.Uno Trousse de toilette, véritable cuir de Russie. Une Suspenéion nickelée.Une Carabine de salonDiux bouteilles Madère, offertes par M. Doissay. Un Cadre imitation vieil argent.Une douzaine Cuillères à café dans un richo écrin. Deux bouteilles liqueurs, offertes par M. Leduc. Uu Chandail.Un Pare-Etincelles.Une Pèlerine Pyréuëos.Une Cravato géante on fourruro, offerte par

M. Drault.Deux bouteilles Champagne, offertes par M. Sa-

vnry.Une paire Ras de cycliste.Un Lot, offert par M. Agndt.Une Oie, offerte par M. Josquin, rueaux Fromages. Une Cravate fourrure.Deux bouteilles do Malaga, offertes par M. Roissay. Une Mandoline napolitaine, offerte par M. Edm.

Tinel.Un Parsagc, cadre artistique.Uu Coffret à bijoux.Un Chapeau Bocr, offert par M. Sagot.Un Cabaret à liqueurs panier.Deux bouteilles liqueurs, offortes par M. Chevaux. Un Tambourin artistiquo.Uno Lanterne acétylène.Une Mandoline lombarde. *Un litre Rhum du Marin, offert par M. Poirée.Uno Colonne.Un Encrier Jeanne d’Arc.Uû Ocarina à pompo.Un Forto-Allumoltes Lapin.

Dix litres Bière brune, offerts par M. Ogez.Un Coupon pour gilet, offert par MM. Zoira et

Biscaldi.Un Coffret papeterie parfumé, offert par M. Vignon. Une paire Vases, offerte par M. Uaquin.Un Nécessaire d’écolier.Une bouteille de Champagne, offerte par M. Pier-

rard.Un lot de trois Cravates, offert par M. Fouqué-

Mourel.Un Lot, offert par M. Brenne.Un lot Confiserie, offert par M. Durand.Une bouteille Ean de Cologne, offerte par M. Roy. Une Surprise, offerte par un anonyme.Un Clown mélomane.Un Album photographie.Une Lampe à colonne, offerte par M. Desjardins. Un Socle peluche vieil or.Une Glace à main.Une Pipo écume et ambre.Une Plante verte, offerte par M. Badin.Deux bout-illes Liqueurs, offertes par M. Longe,

. Café du Nord.. Un Masque d’escrime, offert par un anonymo.Un Cadre fer forgé.Une Casquette Transvaal, offerte par M. Sagot. Un Ocarina sans pompe.Un Gâteau Afrikander, offert par M. Bonnamy. Denx Chats musiciens.Un Çncrier, offert par M. Tarcy.Doux bouteilles Liqueurs, offertes par M. Mitel. Un Chapeau Morès, offert par M. Gauron.Une Surprise, offerte par un anonyme.Un Porte-Allumettes Cyrano.Un Coffret porte-moatre.Un Encrier, tête do chien.Une Surprise, offerte par M. Desjardins.Une Brioche monstre, offerte par M. Barbe.Un Famé Cigare, offert par M. Tarcy.Un Porte-Allumettes vieil argent.Un Albnm photographies.Un Ocarina à pompe.Un Lot, offert par M. Toupet.Deux litres Zucco, offerts par M. Depaule.Un abonnement de six mois, offert par le Journal

de Senlis.Un Tonrne-Broche hydraulique.Une Mandoline portugaise.Un Lot, offert par M. Lepape.Un litre Ean de Cologne, offert par M. Lefèvre. Une Galette, offerte par M. Zerr.Un abonnement de trois mois au Petit Journal,

offert par M. Zanone.Un Service à thé, six personnes.Une Cravate géante en fourrure,

rande CsUneUne Bouteille Menthe-verte, offerte p àr M. BnneL Un abonnement de six mois au P etit Parisien,

offert par M. Btondel.Un Manchon oastor naturel, offert par M. Ber- > nar d-Denys ._ ,

Un Couvert rnolz, offert par M. Boucher-Bernoux. Une boite Fruits confits.Un Lot, offert par M. Hardy.Un litre Wambrechies, offert par M. Ogez.Un abonnement de six mois, offert par le Journal

de Senlis.Une paire de Vases, offerte par M" Noché.Une grande Lampe à colonne.Une boite Mandarines.Un Rosbeef, offert par M. Debressy.Une Surprise utile, offerte par M. Bonnefoy.Un bon Violon et son Archet.Un Bougeoir genre Sèvres.Un Porte-Allumettes chinois véritable.Un Bon de 5 francs, offert par M. Zerr.Un paquet Flirt.Deux Stores chinois garantis.Une Lampe à colonne,Un Presse-Papier macabre.Un Gâteau Boer, offert par M. Houvet.Un Rond de Serviette bambou japonais.Un Brûle-Parfum.Un Ecran japonnais, offert par M. Cavallier.Uno Bourriche d’Hullres, offerte par M. Villette. Deux Savons fins et un paquet de Poudre de Riz,

offerts par M. Roy.Un lot de Mercerie, offert par M“ Hoohin.Une boite Fruits confits assortis.Un Article de Fumeur, offert par M. Barré.Une Tête de Veau, offerte par M. Boulland.Une grande Lanterne japonaise.Un Poulet, offert par M. Emile Josquin. Cinquante Petits Pains, offerts par M. Potlier. Deux petites Lanternes japonaises.Un Jambonneau, offert par M. Fillion.Deux litres Liqueurs, offerts par M. Voidet.Une Surprise, offerte par un vieil Ami de la

musique.bum photographie.

Un lot de Musique choisie.Un Album phi

i par M. Béons.Deux carafes Liqueurs,Une Flûte.Ua Jambonneau, offert par M. Dubos.Un bocal de Cerises, offert par la Société des

Comptoirs économiques.Un lot de Musique instrumentale.Un Flageolet.Une Boite à Lettres fantaisie, offerte par M-’Otter. Cinquante Petits Pains, offerts par M. Legrand. Un Fouet, offert par M. Malingre.Une Flûte.Un lot do Musique.Uno Galette monstre, offerte par M- Andry.Un Poulet, offert par M. Razet.Un Lot, offert par M. Chemin.Uu beau Balai crin, offert par un anonyme.Un kilog. de Csfé, offert par M. Danger.Une Lampe, offerte par M. Prévost.Un lot de Musique ae choix.Deux litres Liqueurs, offerts par M. Patté.Un Lot, offert par M. Bontemps, boucher.Un Nettoyage de Costume, homme ou dame, of­

fert par M" Vadaine.Une Garniture de Toilette hygiénique.Un litre Curaçao blanc, offert par M. Cornu.Un Foulet, offert par un anonyme.Une paire de Chaussures, homme ou dame, of­

fert par M. Grévin.Deux bouteilles Liqueurs, offortes par M. Dilly.Un lot Parfumerie, offert par un anonyme.Un Lot, offert par M. Morel.Un Saucisson do Lyon.Uno Pièce à tapisser, offert par M. Vallée.Un Filiro autrichien.Une Garniture de Toilette.Un lot de Musique.Un mètre cinquante de Bbudin, offert par M. Gence. Deux litres liguours, offerts par M. Carron.Une Lampe à colonne, offerte par un anonyme. Un Jambonneau, offert par M. Bontemps.Un Bon de 10 francs, à prendre chez M. Sagot. Un Foulard b’anc en soie.Un Bon pour 10 francs de travaux par M. Bon-

naventurc.Un Lot, offert par M. Julien.Une boite Petits Beurres do Nantes.Un Saucisson, offert par M. Bontemps.Un Foulard couleur en soie.Une boite Polo.Une Troïka porcelaine.Deux flacons Liqueurs Potin, offerts par M. Daguet. Un Lot, offert par un anonyme.Une Guitare véritable espagnole.

Cette liste provisoire contient 184 lots.

M. l ’adjudant Jung;.P arm i les m ilitaires nom m és chevaliers

de la Légion d ’h o n n eu r, à l ’occasion dn Nouvel A n, nous re levons avec p la is ir le nom de M. Jung , a d ju d a n t d e gendarm erie à Beauvais, e t bien connu à S en lis, où il a été m aréchal des logis-chef;

Voici les états d e services de cet excellen t sous-officier :

M Jung (Jean), est né lo 31 décembre 1853, à Batzenaorf (Bas-Ilhin). Incorporé au 12* d ’ai» tilterio lo 8 octobre j872, comme engagé volon­taire pour neuf ans. Brigadier en 1813, il fut nommo maréchal des logis en 1875, au 3* d’ar­tillerie.

Successivement élève-gendarmo au détache­ment de la Cochinchino eu -1877, brigadier à cheval par décision du gouverneur do la Cochin­chino on 1879.

Il nasse à la compagnio dn la Sommo le 17 juillet 1880, et en novembre 1885 M. Jung est nommé maréchal dos logis à la compagnie de l ’Aisne.

Nommé maréchal dos logis-chcf & Senlis en 1892, M. Jung fut ensuite nommé adjudant à Benuvais on mai 1895.

Lo nouveau légionnaire, déjà titulaire de la médaille militaire depuis 1889, a fait la csmpa- ;ue d ’Afr quo ou 1873, et celle de Cochiucbine le m ars 1877 au mois d’avril 1860. Il a été cité k

l’ordre du jour de la légion, pour acte de coura­geux dévouement accompli en 1881, à Buoampi

(Somme), en se mettant à la pdùrsuite d’une voi­lure dont les chevaux s’étaient emportés.

Nous jo ignons nos fé lic ita tions à toutes celles que recev ra M. Ju n g p o u r la h an te d istinc tion d o n t il v ien t d 'ê tre l ’objet.

R éc o m p en se s a u x ouvriers.A l ’occasion du 1er ja n v ie r , d es m édailles

d ’h o n n eu r o n t été accordées, p a r le m in is tre d u com m erce, aux ouvriers e t em ployés de n o tre arrond issem en t d o n t les nom s su iv en t :

M. Bicheron (Henri), ouvrier serrurier dans la maison Lefèvre, à Senlis.

M. Duchauffour (Nicolas-Placide). cantonnier à la Compagnie dn Nord, à Villers-Saiut-Paul.

M. Faux (Louis), oarrier dans la maison Borde et Périer, à Saint-Leu-d’Ess-rent.

M. Goupil (àrthur-Gustave). chef de section à la Compagnie du Nord, à Creil.

M. Leduc (Louis-Joseph), employé dans la m ai­son Borde et Bonifiai, à Saint-Leu-d’Esserent.

M. Moral (Charles), contrôleur ambulant à la Compagnie au Nord, à Aoy-en-Muilien.

T irage au so r t.Voici les dates d u tirag e a u s o r t , aux

différents chefs-lieux de can ton d e n o tre arrond issem en t :

Neuilly-en-Thelle, à l’Ecole maternelle, jeudi 22 janvier, à dix heures et demie du matin.

Stn lis , a la Sous-Préfecture, mardi 23 janvier, à denx henres de relevée.•••'Belz, h la Mairie, jeudi 25 janvier, & dix heures et quart dn matin.

urépy-en-Valois, à la Mairie, samedi 27 jan ­vier, a deux heures de relevée.

Nanteuil-le-H audouin, & la Mairie, lundi 29 janvier, à onze heures du matin.

Creil, à l’Ecole maternelle de la rue de Ver- neuil, mercredi 31 janvier, à une heure de re­levée.

Pont-Sainte-Maxenee, & la Mairie, vendredi 2 février, à deux heures de relevée.

V érification d e s p o id s x e t m esu res .

L a vérification an n u e lle des poids, m e­su res e t in s tru m en ts d e pesage, d an s les com m unes du d ép artem en t d e l ’Oise, a u ra lieu aux dates ci-a p rè s :

A rrondissem ent de B eauva is, d u 3 jan v ie r au 6 ju ille t 1900;

A rrondissem ent de C lerm o n t, du 8 ja n v ie r a u 27 ju in ;

A rrondissem ent de C om piègne, d u 8 j a n ­v ie r au 12 ju i lle t;

A rrondissem ent de S en lis , d u 2 ja n v ie r au 13 ju ille t. .

P rix d e la v iande à partir du 1 " Ja n v ier 1 9 0 0 .

E n exécution de la conven tion acceptée p a r MM. les Bouchers le 2 m ars 1888, ie p rix d e la v ian d e à S en lis, p o u r le mois de jan v ie r , e s t fixé comme su it :

B œ uf.1” catégorie : T endre de tran c h e ,c u lo tte , g îte

à la noix, tra n c h e grasse et cô te sc o u v erte s .le k . I f r . 65

2* — P la ts de côte, épaule,côtes sous l’épaule, ten d ro n , le k i l o . . . 1 45

3* — F lanche t, g ros boutd e po itrine , co llier,le k ilo ....................... 1 15

Veau.I " catégorie : P an de v e a u 1 952* — E paule , p o i t r i n e . . . . 1 853* - C o llie r .......................... 1 55

M outon.1M catégorie : G igot, filet, côte le tte . 2 002* — E p au le .......................... 1 803*“ — P o itrin e , c o l l ie r . . . . 1 40

Les m orceaux de 2* e t 3* ca tégorie de chaque espèce d e v iande d o iv en t p o rte r une é tiquette in d iq u an t le u r ca tégorie e t le p rix de cette ca tégorie.

Les p rix ci-dessus ne so n t pas applicables à la v iande d e tau reau n i à ce lle d e vache.

I l ré su lte de la note ci-dessus, qui nous est com m uniquée p a r la M airie, que les p rix pour le mois de ja n v ie r sont d im inués d e 0 fr . 05 su r le bœuf, e t augm entés de 0 fr . 05 su r le m outon e t su r le veau.

1 A b a t t o i r .Entrées du 20 novem bre a u 2 0 décembre.

3 7 -bœ ufs p esan t 21 .743 kilogram m es. 2 tau reaux — 1 .3 5 0 —

• 20 vaches — 10.191 —69 veaux — 8 .3 4 9 —

326 m outons — 14.682 —114 porcs — 12 .182 —En o u tre , i l a été in tro d u it en v iandes

dépecées :3 .824 kilogram m es de v ian d e de bœuf.

711 — — de veau.633 — — de m outon.

1 .417 — — de porc.L’arrê té m unicipal du 1” octobre 1875

[irescrit aux m archands bouchers do désigner a provenance des v iandes qu ’ils m e tten t en ven te , p a r u n e é tiquette p o rta n t les m ots :

B œ uf, Vache o u T aureau.

L es c a r te s d e v is ite .Les fêles du Jo u r de l ’An d o n n an t lieu à

l ’échange de nom breuses ca rtes de visite , il n ’es t pas saus in té rê t de ra p p e le r au public les dispositions qu i les concernen t :

Sont admises à circuler par la poste, sous en­veloppe ouverte affranchie a 5 centimes ou sous bande affranchie à 1 centime, les cartes de vis-te, imprimées ou manuscrites, contenant les indica­tions ci-après ;

« 1* Nom, préuoms, qualité ou profession et adresse de ('expéditeur;

« 2* Jours et heures do consultation ou de ré ­ception;

« 3' Pour prendre congé ou P P G ;a 4* Pour (aire connaissance ou P F C ;■ 5' En congé, en disponibilité, retraité ou en

retraite:«< 6* Vœux, souhaits, compliments de condo­

léances, félicitations, remerciera nts ou autres formules de politesse n ’excédant pas cinq mots. »

Toutes les ind ications a u tre s que celles re ­p roduites ci-dessus sont in te rd ite s su r les ca rtes de visites affranchies a p rix réd u its ; le fa it seul de leu r p résence su r ces ca rtes constitue u n e contravention ; il en es t de m êm e des form ules de politesse excédant c inq m ots.

* *

Nous rappoions au public q u ’il est exp res­sém ent défendu de je te r d an s les boites aux le ttres do la poste les carlos d e v isite , qui do ivent é lre rem ises aux gu iche ts ou d an s la boite spécialem ent affectée à cet usage.

P p l io s c o r r e c t i o n n e l l e d e S c n l l » .Audience d u 20 décem bre 4899.

P résidence de M. F a is a n t , p résiden t.M. H in r ik t , p ro cu reu r,

occupe le siège du m in is tè re public .Antilly . — Les nommés Noterman (Cyrille),

26 a n s , et Loman (Camille), *6 uns, tous doux sujet* belges, travaillant 5 la sucrerie d'Antilly, ont *o M ira it, le 12 novembre dernier, une bon­bonne d’eau-do-viü chez lo sieur Meys, débitant.

Ces deux individus, qui ont aussitôt regagni leur paya d ’origino, sont condamnés par défaut chacun à six mois de prison.

Betx. — Gonel (Ernest), 23 ans, arrêté à Beu comme vagabond, fera six jours de prison.

Chantilly. — Dnpuis (Victor), 29 ans, et Bar. hier (Eugène), 24 ans, surpris le 28 novembr* d é n ie r par lo garde Périot retirant des lapin, pris au collet, récoltent chacun un mois d’emnri. Bonnement et 50 francs d'amende.

Creil. — Drouple (Auguste). 32 i _____vrier à Creil, a chassé le 18 novembre derni£

, manou.

dans les bois do Verneuil, sans permis et la naît.11 est condamné pour ce fait à denx mois d’em.

prisonnement et 50 francs d’amende.— Condamné par défaut, également

oj, lo 11 décembre dern ér , S deux mois*#50 francs d’amonde, lo nomme Dronpie a forméopposition à co juger

Le Tribnnal réduit la peine d'emprisonnement à quarante jours, et dit que cette peine se coa. fondra avec celle de "deux mois ci-dessus.

MarolUs. — Crétier (Antoine), 32 ans, roanon. vrier à Marelles, attrape par défaut, pour chasti & l’aide d ’engins prohibes, deux mots d’empri.. Bonnement et 50 francs d’amende. *

Montataire. — Se trouvant le 3 décembra dernier à Saint-Vaast-les-Méllo avec plusieun camarades, le nommé Dhondt (Evariste), âgé d« 21 ans, ouvrier d’usine à Montataire, a exercé des violences sur le sieur Tonnelier.

Son acte de brutalité lui rapporte une condam. nation à 16 francs d ’amende.

N tuiVy -en Thelle. — Le sieur Bazin (Joie*. Prosper), âgé de 77 ans. grainetier à Neuilly-ea. Thelle, ayant rencontré le 12 décembre demi» M. Rousseau, maire de la commune, lui aurait adressé des paroles outrageantes. Le sieùr Bazin se défend énergiquement d’avoir prononcé 1h propos qu'on l u reproche.

Le Tribunal lui octroyé 18 francs d ’amende, avec application de la loi Bérenger.

Senlis. — Le nommé Lély (Albert), âgé A 21 ans, cocher au service du sieur Perségnen, est parti le 15 novembre dernier, en emportai une couverture de oheval qui lui avait été confiés. Il a eu outre, avant son départ, coupé en mor. ceaux une paire de guides.

Poursuivi pour abus de oonfiance et dommin à la propriété mobilière d’autrui, il est condamné

Ïar défaut à un mois d’emprisonnement et 11 fr. 'amende.— Maurob t (Jean-Baptiste-A ndré), âgé di

48 ans, manouvrier & Senlis et braconnier fieffé,. est condamné, sur opposition à deux jugement!

8ar défaut des 12 et 26 juin dernier, pour chut*, deux peines de deux mois d ’emprisonnemtn et 60 franos d'amende.

A udience d u 2 7 décembre 4899.Creil. — Le sieur Ducellier (Jules), âgé i

36 ans, berger à Liviiliers (Seine-et-Oise). voyagé le 7 novembre dernier sans billet t Tréport à Creil.

Ce parcours, effectué à l’œil, lui coûte aojon d'hui une condamnation à 16 francs d'amende les frais.

Crépy en-Valois. — BailUon (Hyacinthe), h de 56 ans, natif de Boursonne, préfère le séjoî des maisons d ’arrêt & un travail régulier. I 21 décembre dernier, ayant rencontré dam I rue Saint-Lazare les gendarmes Poncet et Cban feune, il demanda à se faire arrêter, ajoatai que s’ils refusaient il irait briser des carreau,

C’est aveo un réel plaisir qu'il s’entend oetroyi pour vagabondage trois mois de prison.

CHEMIN DE FER DU NORD

B ille ts «l’a lle r e t retour p ou r C au nes, N ic e e t Menton.

La Compagnie d u chem in d e fer du Noii m et en d istribu tion d au s toutes ses gara, pen d an t la période d u 45 Décembre 4899 u 30 A v r il 4900, des b ille ts d ’a lle r et retour de 1r* c lasse pour Cannes, N ice e t Menton, à des p rix rédu its de 25 p o u r cen t sur lm p rix des b ille ts simples.

La d u rée de valid ité d e ces b ille ts esldi 22 jo u rs ; e lle p o urra ê tre prolongée de deu périodes de 10 jo u rs m oyennan t le paiemnl d ’un supplém ent de 10 p o u r cen t pour chi­cane d e ces périodes.

Les voyageurs p o u rro n t s’a r rê te r , tant i l 'a l le r q u 'au re to u r , su r le réseau de Lyoa, à deux gares de le u r choix, à la conditiM de fa ire v iser leurs b ille ts dès l ’arrivée à e« gares d 'a r rê t .

Les voyageurs p o rteu rs d e ces billeM pou rro n t p re u d re p lace d an s le tra in rapiéi jo u rn a lie r p a r ta n t d e P a r is (N ord) à 7 h. H soir.

Iis pou rro n t égalem ent occuper les plans de luxe, s ’il s’en trouve d e disponibles dm le tra in , m oyennant le pa iem en t du supplé- m en t perçu des voyageurs po rteu rs de buliM à p le in tarif .

Les dem andes de billet» devront élu ad ressées à la gare de d é p a r t au mois» 4 8 HEURES A L'AVANCE.

Félix POTINO, rue Bellon, Senlis.Nous appelons l ’a tten tio n de nos client

su r nos artic les de Noël e t do jo u r de l'Aï.BONBONS SUBFINS ET VABIÉS

Grand choix d’A rticles de fantaisieN ota. — M. D a g u e t av ise sa clientèle

q u ’e lle n e do it pas a jo u te r foi aux bruit* ré pandus p a r des personnes intéressée! d non loyales, en ce q u ’il s ’ag it de la cesutkl de son fonds de com m erce e t d e la non MO* tinualion de ses tou rnées aux environs.

B E T ZA ctes de probité

Le je u n e Cap Joseph , âgé de 13 4M ** dem i, a la m ain h eu reu se pour les iro* vailles. Au cours de l ’an n é e qui se termiMj il a trouvé u n parap lu ie e t une ombrelb q u ’il s’es t em pressé de rapporter * » M airie.

T out d e rn iè re m e n t en co re , il trouvait «f la rou le de N anteuil u n porte-m onnaie co** ten an t 45 cen tim es; ce porte-m onnaieetiM contenu son t à la disposition de la persoo** qui les o n t perdus.

Ces faits de prob ité honorent d’auWj p lus ce je u n e garçon q u ’il appartient à **• fam ille peu aisée.

ACY-EN MULTIENL’ou v rier m écanicien Malingre, Agé d*-

61 ans, a y a n tq u itté le ch a n tie r de son vers c inq heures, en so p laignant du frow* n e rep aru t pas de la so irée . Inqujets d* M pas le rev o ir , les o u vriers , dirigé! F , M. M enot, se m ire n t à sa recherche» " u ’est que vers n eu f h eu res que le hom m e fu t trouvé m ort étendu sur I0 reau d an s le m agasin d e pein ture . I | jj succombé à u n e congestion. Comme fi su jet au vertige , on suppose que cette *■**: lion le su rp r it dans l ’e n d ro it où on le e t que le fro id l ’acheva. Le docteur a constaté le décès.

LEVIGNENS té n o g r a p h i e .

Nous sommes prié de d ire qu® g Launô fils, d e L évignen , qui a obtej» diplôm e d 'h o n n e u r anx concours smDJL. phiques d e G renoble e t Pontoise en « se lien t à la disposition des am ateurs»»"^ g raphiques p o u r tou te correspondance.

Page 3: 70 Année. N° 108. * ’ 37 Décembre. 1899. JOURNALbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_12_31_MRC.pdf · 2014-02-15 · son premier mouvement - le mauvais - le i njz.

CREILConseil m unioipal.

Le quorum n ’&yant pu ô lre a t te in t p o u r la deuxième convocation du Conseil m un icipal, la discussion d e l’o rd re d u jo u r fixé es t r e ­portée à u n e d a te u lté r ie u re , p robab lem en t mardi p ro ch ain , 2 ja n v ie r .

Eo ra ison d e la fêle d u Jo u r d e l ’A n, le marché o rd in a ire du lu n d i a u r a lieu ce tte fois la veille , so it d em a in d im an ch e , le 31 décembre.

Les ad jud ica tions de p a in e t v iande p o u r le bureau de b ien fa isance o n t eu lieu h ie r après m idi, à la m airie .

M. C annois; f to a c iw , V e s t vendu a d ju d i­cataire de la fo u rn itu re de v ian d e , à ra iso n de 0,86 c. le x ïtog ., e t M. R obat, boulanger, adjudicataire d e la fo u rn itu re d u p a in , à 0,10 c. de ra b a is s u r le p rix fixé p o u r le pain blanc.

îf™ 5 ’Ac-“ <iémio *'o sl p |a - «ïan» uno allocu­tion do circon ilance , à retraçai- la ca rriè re du d é ro u é d irec teu r de l'école, e t qu 'il lui aâ i i i a i r e T applau(li.sem eot« d e loule l'as- sisiauce , la m édaille q u 'il a si b ien m érilée .

d8rn ia«'. * l 'Iiélel d u Lion d 'O r, a eu lieu le banquet an n u e l de la Société ' trom pettes le R a lliem en t.

M. le M aire, em péché. n ’a duDo m n rélA *____• r! . 8 “ em péché. n ’a pu y assister. îla,e ,0 ^ e s s é dev ra , du fa it do cet accident,

WArL. u t ’ 8 t . pour des ra isODs p a r t ic u - I ? ° ml)re sou trava il pondan t unolières , M. Larsonnior, p résident d e la Société ^ n«»aine de jo u rs . va c ru devoir s’ab sten ir , en so rte q u e le banH ” Ï Ï 11 a ,o i r , ''™ « « p résiden t, m ais G IL O C O U R Tl n7 " i , “ l ' Æ ? î a a m a,re ; h eu reuse- I . Voici la liste des n u m éro s gcgnanla do la

tom bola organisé au pro lit d e la fanfare de

, m ais, — t h eu reu se- I

i tem ps p o u r re m p lir cette fonc- (m en t venution . " ---- —- “ ■ . . . " O — — — uu it» iuiim■ u ut)

bonnée b „ m f 8 F6.8" ™ d8 p lé8id88‘. ' a P ï ï w ? “ rd° d° * 3

Au dessorl, M. P u n a n t a p ris la parolo et

vont ê tre pourvus d e titu la ires e n tra n t en fonctions à p a r tir d u 1tr ja n v ie r .

Nous d o n n ero n s connaissance & n és lec­teurs du règ lem en t do police, transform é & la suite de ce nouveau service.

E ntrepreneurs e t C a r r ie r s de l’Oise. — A ssociation des Soo iétés de gym nastique e t de t i r de l’Oise.

L’abondance des m atière s n ous force & renvoyer à no tre p rochain num éro le com pte­rendu des assem blées généra les d e ces deux Sociétés, qui se so n t tenues d im anche d e r­nier à Creil.

Disons seu lem ent au jo u rd ’h u i que pour lu Sociétés de gym nastique, le com ité-d irec­teur, pour 1900, e s t com posé com m e su it :

MM.C. Laly, de Compiègne. Poulain, de Ste-Geneviôve. Casier, de Creil.Tesson, de Pont.Clayes, de Saintines. Ménard, de Bresles.

- - . » . . . Hëquet, de Pont.Moniteurs adjoints. Bouiillon, Langlois, Millery

Membres de la Commission technique MM. Bonnet et Delannoy. ------

Prlsident........Yiu-Prisidcnts

Secrétaire.. .........T ré so r ie r .,. .: . . . , Moniteur général..

W . W ebb, G. B arlholom ew , II . W ebb,A. C arter, R : C arte r sen io r, II. C arte r ju n io r,Raresse, W allon, P arfrem en t, B atchelor C harles P ra tt, T . C unninglon , J . C unnington!Ch. C unnington. K. C unnington , G . Cun­n ing ton ju p io r , W illy C arie r, W illiam C arter sen io r, E . F la tm an , W. F la lm ao , J . B artho - lom ew, 11. e t E . G ibson, C arra it, Brockwell C harles C arie r, W ealherdon , T . L ane, T e t A. Newby, T . Lock, M adge, G. W illiam s, e tc ., e tc . ’

L e deu il é la il condu it p a r le d is du d é fu n t, G. S le rn , J . W alk ins, E . W atk ins e t E . P rice .

S a p e u r s - P o m p i e r s .A u n e ré u n io n des m em bres actifs de la

Com pagnie réorganisée des Sapeurs-Pom ­p iers d e C han tilly , qu i a eu lieu d im anche dernier^ M . Gobet, a rch itec te , a é té désigné com m e cap ita ine, M. P erp e tte com m e lieu­te n a n t, e t M. L efort comme sous-lieu te- n an t.

• I l p a ra it que cette élection a soulevé des réclam ations d e la p a r t de ce rtains m em ­b re s d e l ’anc ienne Compagnie.

N ou* recevons au jo u rd ’hu i u n e protesta- în signée d e trois d ’en tr

leu rs collègues, d isen t-ils . <mot»uers(U ne a u tre p ro testa tion a été égalem ent 0J (p,i 00 «,0?t term iné qu ’à une h eu re avan

ad ressée au jo u id ’hu i m ôm e au sous-préfe t cée d e ,a M it. aYande S en lis, p a r le Comité des anc iens capo- I

T o S T ï T a l c . p u b lie r aucun d e c e , * Ü S S ï ï Î £ l £ S & U S o c M 6 d ° I & docum ents, couvaiucu q u 'il y a là u u s im ple ™nn,a>‘re «ju’il M . 2351m a l e n t e n d u - q u i n e la rd e ra pus » s e X I ï t o r S a b f :ev01rlM ‘o l " j a n - I «s ip e r d a n s 1 in té rê t d e tous — e t nous souhaitons trè s v irem e n t que la b o n n e h a r - I s , , ,m om e se ré tab lisse e n tre tous les v a illan ts e t l u n d n î . a W ' dim anohoq u i, au m ém o litre , veu len t se consacre r au «1 se tro ë v a i.n i a 7 tel u Lion «l'Or, b ien de le u rs sem blables. trouvaien t d e n o m b re u i am ateu rs.

' o n a trouvé la so irée de lund i un io n

L 'é l u C B a l é z e a u x I

d e 1 E m barcadère, à P an g 'e d e l 'a v e n u , d e | T T M

DUVYM ercredi de rn ie r, M. C arré, Agé de 26 ans,

gardo-m oulio , chez M. Jea n , à ü u v y , e u t la m ain dro ite p rise en tre deux cy lind res de convertisseur. I l* e n e s t ré su lté un éc rase­m en t do I an n u la ire d ro it avec p la ie p ro - tonde» et un arrach em en t du m ajeur.

M- le docteur Cailloux, do Crépy, appelé, e n haie , lu j a prodigué sesso iu s , e t il estim e q u e le blessé ...............

d iscours; & rép lique lui an M ii ®1100 ? as par 10 ch e f des trom ­p é e s , comme cela devait ê tre , m a ij p a r unSociéfé 1 ,8 8 t in ,p row sè l 'o ra te u r de la

S u s e s . - - s - = « où se

1 . 2012. 2354

‘564. 231*55. 2075 0. 2338 7. 2070

1806 1283

10. 100711. 55612. 1593 18. 287314. 42215. 1053

10. 1647

21 .

Jnha Ducancel, plus connue sous le nom de Nini-Patles-en-l’Air, a été l’objet d ’une contravention pour avoir été rencontrée, dans la soirée du 23 décembre, avenue de la Gare, en train de racoler des militaires.

Le lendemain 24, A m inu it, e lle fu t encore Ironvée, ru e de la R épublique, se l iv ra n t A ta petite industrie , tout en g rilla n t u n e ciga-retlA' PIIA A ata l ’nhiût rl'nnn - __ 1

S éanoe de m agnétism eLe professeur de Lombrosie donnera ce

soir samedi A la salle Lefort, une intéres­sante séance de magnétisme.

La réputation du professeur de Lombrosie est faite et l’on peut être assuré d’assister A des expériences vraiment scientifiques et d’un haut in té rê t __________*______

Nou-seulement, il présentera un de ces sujets ordinaires, Eugôuie Blondel; 108,81* hypnotisera ceux des assistants qui consentiront à se prêter A l’expérience.

Nous donnerons un compfe-rendu de la

65. 20T756, 266057. 2521 53. 514 69. 7460. 3761. 62462. 228563. 295264. 54565. 12166. 57967. 71368. 81669. 1870. 123571. 155572. 41673. 119474. 16575. 219776. 91577. 149578. 26179. 160980. 180681. 296982. 183283. 68784. 178885. 196586. 24687. 62988. 83289. 221390. 127191. 30692. 1073

n r ? a ï 80?110 ,d0rD ier' comme les années I 40• ^ 94,’ *793précédentes, la Messe de m in u it, d ite p a r î i * 95- 82

i i ' é g l> e ïS ° i’n t ^ « n ™ <ln6 n ™ — ê d a M i"88 1 1 M -

p a y a n t copié « la nuit du 2* a u ’25 dé- cembre » au lieu de < les nuits du 24

o n S i . exprim0DS D0S regr6t3 à ceax <IQi

418 878 «88

24. 6l726. 2957

22727. 238628. 93129. 141030. 1156 81. »72

900 . 1757

34. 158035. 100436. 135137. 647 88. 257

1735

APREMONTU ne m éda ille d ’h o n n e u r a été décernée.

>ar n m n is t r a A M Cra»..raS..!-_«lie; elle a été l ’ob jet d ’u n e seconde con tra - p a^ *? M o n t r e , à M. S ervo is ier (A lexandre), vention. I q u i, le 6 m ars d e rn ie r , a p o rté secours a une

fem m e don t les vêtem ents ava ien t p r is feu.1 Tous nos com plim ents.

GOUU1EUXA la date d u 28 décem bre, M. le P ré fe t a

accusé réception à M. G avigneaux, d e sa dém ission d e ses fonctions d e conseiller m unicipal.

MONTATAIRENous croyons devoir d o n n e r u n av is

llilA n 11 T IniKinpe i)a l l n n l . i . l . . . _ I

, : ------ . «VI lia U Ottll-w or employé p en d an t q u aran te a n s aux WlliDles m issm ns d e ce service e t souvent ï ï ï i d ,r,gor des voyages su r la fron tiè re «aune préparation à son rô le éven tuel de .T a j . “ aJ’? r d ’u n e d e nos grandes tmées d opérations. I l av a it fa it les cam pa-

de Crimée en 1855, de K aby lieen 1860, -aSud-ûranais en 1864 e t d e T u n is ie en « t. Peudant la g u erre allem ande, il avait

i ? ’ Ç01111110 capita ine d ’é ta t-m a jo r, aux «ous Melz e t av a it été

. . ^ ° 7 ie r d® lu Légion d ’h o n n e u r su r «amp de com bat de L adoncham p. Après

• • E 8’ c e8x 9 a i 001 la charge délicate• i. m -’jauPrôs d a duc d ’A um ale, d o n t il ■ f ilÏT ad0<? m p. tout le trav a il m ilita ire sprocès Bazame.miiit ?.0D.l“ édy ,e av ril 1834, d ’une

le g én é ra l Gniotb ï » i f î ^ éco'e SelnUCjrr en 1854 e t de

b de .Melz en 4856. I l av a it été prom u m n 'I'IF ’î i “ P '^ in e en 1858, c h e f d ’es-

■ ’ H enlenant-co lonel en 4876, i 0' 1.™ 188*. général de brigade le 48

I8$7, g én éra l d e d iv ision le f c ! i géS,éra l e ” 'l 'e l le S B décem bre ■ -îh iii*11?.,0 e r d9 la Légion d ’h o n - 7,r » 18 juillet 4898.ifM œ m andait le 4g ' corps d 'a rm é e a7Z r . ,°rsq,u i l / u l P i ,c é ' a u m oi» d 'av ril •mer, au cadre de réserve .

ü irCau ! SI a 'o r8 p a r l ’In s titu t comme - I J » .? u r dQ doIPa ,n0 d0 C hantilly e t ■mi» ! . ,e eouviennent encore do la ;* n m 'n °i? .rV b !.e p lS i”8 d’n“8 v ib ra n ted » » qu il f ; jfn d u c d'A um ale, le 19 oc-■Isiiiin. à ! ï ’ 8 de l'Inauguration;> pnbitc p “ c e i ce ,a l ,0 “ d 8 r“ ier

- » f t ral,.Gulolli av a it épousé M lle W au-‘ camn u f n du 8é n é ra l an c ien aide

do I em pereur.

***

:UeudU P a ris? " e é “ é ra l G ni0lh ° n l 88

:"nénral„,li?-,désir ,o rm el d u dlS,n " l . l«a « Æ î il" î lr« " o a l Pas M re n d u s , e t | , °>'é Oanrs n i couronnes,rtuairn f ° s e s l ,orD" î au dom icile

•Isnnmi.r av?nuo d e l'A lm a, où une la d e ^ u ? uF8 3 a*all réu n ie .« ué r .cov îd , L‘ pa.r m m - ia u r8 r , t 'iiea dn Sar W au b e r ld e G enlis, beauz-'i,“ e é ,adi ' ,lnl-L e P résid en t d e là R épu- looel Njjiitt ,8 m p a r la lie n le n a n l- J'BBIenant n ^ S . ? i î 81er_ ,d ’8r.d? n.nan.c8 ’

. c 1,8 T W : Thuiilier H enm ita, avènua0 ?° ' T7, 13 : °"b co t M.urico-Albjrt, rua

• w t t I IÜ8 ul,B,em en i a jo u r . | - 1 8 ,

CHANTILLYMort du génépel Gufolh.

Le général de division Guiotb, adminis- tilsur du domaine de Chanlill,, est mort aardi matin, à dix heures, d’une congestion Mlmonaire, en son domicile, avenue del î f r ’ àAPari8 ,11 élait da°s sa soixante- , ntila . ----- , - . - ----------- “ “ « «uuème année et en retraite depuis moins u,l,e aux ,0«0urs de Montataire en^ les brô itoan. * U1U8 venant qu’a l'avenir M. le commissaire de

Legénéral Guiolh avait été un des chefs ppl,C6 li0ndra strictement A ce que leur re­in plus appréciés de noire armée. Il avait I 8i8lre 80,1 régulièrement A jour.■ ïi!!ui0J S “ I ri ôr® .d a n s le co rp s d ’é la t-

M ort de fro id .Mercredi malin, on a trouvé au bas de

• avenue de marronniers du cbèteau la corps d’un pauvre homme âgé d’environ soiiante-dix a n s , et connu a Montataire sous lo nom du père François. Il élait oc­cupé autrefois comme batteur en granae et on ne lui connaissait ni famille, ni domi­cile ; il logeait comme il pouvait dans les carrières, et on le rencontrait souvent ré . dant entre Montataire et Nogent, où il avait établi ses quartiers.

,al'a8 l?(i î l8ï r , î c(ia8!,' de Crei|. lù i a pro­cédé à l'antopsie, a déclaré que là mallleu- reux avait succombé à une congestion pul­monaire occasionnée par le froid

L'inhumation a eu lieu jeudi, àuz frais de la commune; dans le cimetière de Monta-

*ou e j 0ur-de N cël* C0Ue môme église pou- r a ^ a peine con ten ir les nom breux a K -

ram erqua it, no lam m ent, u n e jo lie

m frauon’de’ lous,8118 r é * li8e> «u i fa isa il ‘ 'ad-

Ces jo u rs d ern ie rs , o n t eu lieu à l 'gcn lavlïfe d'«. 5“ s. -F8 ®col8s “ ate rnelles de la v ille , des d istribu tions de jouets aux nom - breux enfants qu i les fréquentent,

u e Irès beaux arb res de NoSI av a ien t été

I é tT e's’ ù 1“,"aS *“ u8al1?8- p|J n C î e a dS ra t 1! t a d an s I adm iratio 'n en m t e n ^ n u ’heu-

S r , a d e l a d i , , r ' buU8" ' ' i ' “ p ad 9 -

Etn« oivil du 7 au 2 8 déoem bre.Naissances.

44. 193645. 127746. 141447. 289848. 126149. 161850. 163961. IOxiO62. ,1822 " \ 203 54. 1108

96, 129897. 574

99. 400100. 2759101. 2910102. 2460103. 888104. 774 106. 345106. 247107. 1666108. 850

1C9. 1058 110. 2334 l i t . 717112. 913'113. 1931114. 387115. 736116. 1858117. 1094118. 575119. 1463120. 1484121. 2165122. 609123. 631124. 2675125. 2540126. 475127. 2513 128 1512129. 2851130. 1597131. 1239132. 827133. 749134. 497135. 1596136. 501137. 32138. 484139. 2873140. 2164141. 248142. 2964143. 559144. 1541145. 1404146. 437147. 1744148. 13U6149. 672150. 596151. 2974152. 2016153. 688154. 2710 208.' 2464 165, 1119 209. 1933156. 1977 .............167. 2887158. 632159. 2579 100. 712161. 715162. 551

163. 2662 101. 106165. 2827166. 2572167. 2388168. 25 ll169. 1993170. 2820171. 2393172. 2694173. 1(83174. 2641175. 210176. 2639177. 2677178. 979179. 1684180. 8.1181. 2899182. 2240183. 887184. 2167185. 689186. 2191187. 1296188. 2906189. 2133190. 188191. 2925192. 235193. 313194. 1468195. 731196. 791197. 2993198. 578199. 2577200. 200201. 2242202. J399203. ‘ 657204. 2574205. 196206. 2i2Z

ussistanco otsous Ia présidence do M. Itordio a, ? !a !“ p a r M 18 «lecteur M ulciie,

qui avait choisi po u r ihùma : l .'l ln n iin e de l a lim en ta tio n et la Digestion.

F en d an t près d 'u n e heure , lo conférencier a développé d uno façon très lucide com­m en t nous devons m anger; quelles étaient lo sd iverses natures d 'alim en ts e t leu rs trans­form ations.

e J ? . » P.” ' 16 é« alem on‘. avec faits ù l'appui, c e s t-a -d ire en se servan t do ca rtes coloriées ; 0l r a n d 0 f d0» 1,'» a élô fa it d on à nos

p!C liques les p rincipaux organes de la digestion , le rôle des dén is, les diirérem es évolutions dans la digestion , l'action de la H îr? ? g,esll,)n dans l ’Estomac, la diges- tib ililé des alim ents, les m o d i f i i o n s e t les tioubles causés p a r ujio uiauvaLso b ^ . y ^

i Di ? ' r,' e ill le s alim en ts bief, digérés profitent a la nu trition .l ’uis i l a term iné sa lié s 'inléffe’ssan le cau-

sono en faisant re sso rtir les iiicoiivéïilénls d un trava il trop la lo iie u x im m édiaiom eui; f ? a n “ l " i t " |S; ‘ d “ LoISSOOS Ctsu rtout de I alcoolism e, ut les fui,estes ellels p im cipalem en t chez les pelils en fan ts , dà repas lio p précipités ou Irop éloignés. écnmésSa|!.t8 co“ s1i,s " u t été parfailom oot £ F o. î ’ u F ? u . rs '|u eu d e ra iu r liou lo famUlo prô ’enfos.eS’ * “ “ dr8s de

Cotlo conférence a été su iv ie d e projec- o a r XI ‘“ “ ' “ aa*0". .fa i'u s irès ad ro item en t' m il ia ! , ' ,? ’■ d8 \a rn e u i l ; et te rm inée , aum ilieu des vivats de l ’assistance, p a r des a u dm ons au graphophone qui a rep rodu it, d u n e façon irrép rochab le, n o tre hym ne national, la Marseillaise.

C éta it le m orceau Huai ; aussi M. Berdini n m ? Sf ance en re ,ue,'cian t, au nom d e tous, M. le docteur M uletle, cl

Six Jours Gratuits à l’Exposition.li„!«J,r ’ l8 voici’ '* v'" n t d o n o u s a r r iv e r le liv re lu plus a lien d u , le plus désiré « e h u réclam é p ar tous ul p a r^ lou les, Fumi e t lennüpa' ’ i i '-‘" ‘i!1”8' W r o r d i s mi. n g ts , lo p ins u tile c l le p lus a ltia v a n l des

H a o h e t l e " 0 ,’" 'a " CS' ~F "eus a rriv e joyeux ol p im pan l, tout

n ses i n'au pa|p* t,üuv«)lll's »« in cd iirs ,ë n , * ' î ï “ r8? .'14' ,cn f“ " ‘ la livr,

. e t liv ro A

bon m aiclié le plus illu'sb'é q u i’e x b i”

i ' ; ± S ' " « / »«' f - L'r q u 'u nno* filles

io u m e lioitj S ë à l ï ï u Z ^ n ’à i t -f . " ! " " " 8 \a » " # « < a » e : — L'art de faire i o n

çau t que la tro isièm e cen férên rë pop'ullurë a u ra it lieu couran t jan v ie r .

La nécessité de 'p ro longer l'école p rim aire pai des cours d adultes e t dos conférences p opulaires, est a u jo u rd 'h u i reconnue par tous, m êm e d a n s les plus petites bourgades.surE e s T , f 6r .l ’ll1ls lruc li»n commencée

a O des écoles, on trava ille pourUépSbliqd„8eb0nS à Lit F ran ce e t a la

m in is tre d e T a g u erre ;

* i8 g én é 7 y n Prt8x8“ la U I’IostU u t'^ de Pari. Br°K ôre, g ouverneur m ili- > assistait A la cérém onie fa-

^ S 'd e 't o i l î fo“ j ’ parm i les nom breux d|ret, ipc ü.f f rad0s» le v ice -am iral de *■*. de fiirl'-n aux S l “ ss icr, M ercier, * s do Chanun’ 8 lc ', ’ u n e délégation des -filait, du <5 î . 1 8 1 aum ônier do Coudé,b téréml - eau de Chantilly.‘ céléiH-j.01® raligiouso, tré8 sin)p la, a •Jllot e, r . f n I église S a in l-F ie rre de

'««atuia r ®"011 “ éléfail8 c im ° -

Obaèt& rr»me

1 Jendi

dues de G. S te m .1 de l 'e n lra lu e u r G. S le rn a

1.1 „ F." Jn,iiie«« d'une nombreuse -ast-î i 5“alf funèbre était couvert de

, P 'rîti “ “ «fdons du poste étaient te- la.ii, ;lrler Junior, Weaver, Bishop

i ** f t i e n . / ' ï 6;F“ n8' ,o r e | . Aubrun, '* jMItev. t î.8118 8 188 8"l™lneurs

‘ 8ÿ8 T- .B . C r ie r , P lanner,

ta ire .N O G EN T-LES-V IERG ES

L ’enquê le ouv erte au su jet de la rixe su r­ven u e d an s 1 étab lissem ent d e M. « lennes- s ie r, le 17 décem bre d e rn ie r, e t que n ous avons sigoalée, rixe au cours de laquelle p lusieu rs c a r re a u i e t une tab le en m arb re av a ien t été cassés, p en d a n t les coups échan- gés e n tre p lusieu rs jeu n e s g en s d e Creil e t d e Nogent, a re levé des charges co n tre sent d e ceux-ci, qu i son t inculpés e t seron t p o u r­su iv is p o u r ce tte affaire . p

PR E C Y -S U R -O ISE.L u n d i d e rn ie r, M']* M arguerite X .., égée d e S8 ans , dom estique chez Mme Fortin p ro p rié ta ire ù P réc y -su r O ise, é ta it a llée p o u r sa p a tro n n e , ch e rch e r un seau d ’eau F,” ™ !a cour- Au bout d 'u n e dem i-heuro , M Fortin ne voyant pas re v e n irs a bonne la rech erch a e t v it la corde tom bée au fond* d u puits, qui a env iron îo m ètre s de p ro­fondeur. Un courageux citoyen , M. L auer se r ru r ie r , descend it au fond d u pu its où il trouva la m alheureuse b o n n e évanouie te n a n t tou jours la corde. I l la rem on ta aveà beaucoup de p ein e . F ile a re p ris connais­sance quelques beu ros ap rès ; le m édecin éspôre la sauver.

E x p cr to credo.Eccperto crede Iloberto :Crojts-An mon oxpéricne»,L exquis et parfomé Congo E U le m eilleur «avon de France.

Robert L ..., au parfum eur Victor Vaissier.

Le Bal de sam ed iSam edi d e rn ie r , 83 décem bre , d an s une

des salies de l'hô tel du Liou d'A àgent, ten u

aP? u ™ A : ï ' U n l" ''U l“ l b a l ' oirorl l’ai' un d e jeunus gens de la Ville avait207. 2841 I r6 a n i one société nom breuse et choisie.208. 2464 I Los charm an tes jeunes iilles do là'villA2 to ‘ ‘JdrnM a v a ie n lr^p o n d l,e a graud nom bro à l ’inv i- a i? ' a i ? i ““ .‘f a q u i l e u r a v a ité té faite.n ia ! ltititi I j dom icîrnëi8 ado vcIltur05 a é 'é les p re n d re 213. b u ë l i o ï ï ?, m n ' , dans leurs élégantes toilettes,

K ; T , I ta o m ê û î décorée1; 8n ‘rfi8 d a“ la 8 a l l8 b ' d -

losAconëtCr,CO?ë3 d ’ï n, 6 m usi(lUB en tra în an te , v a lser m l l i , ? “ a ies e t n 'o n t cessé de m a tin ’ ’ Jus<1114 ciu(1 h e u r“s du

p a f m é 'ë u h im .118 50' 1'60’ l8s P aarrea n ’ont pas etc oubliés, uuo quéto faite ou leu r■aJ.e,ar a p rodu it une som me de 27 fr 50 qui

„ . 7 - , ? S a t “Æ 8d ^ S r , ? n 8nn I ^ ^ ^ ^ ^ “ " P ' USi . tV c i ê e h ' ~ 7,: Jot"8bl° ' t Emit». Loui., rae b tan v e illao t. Aussi es l-it heu reu x d 'e n m an i- I peut a s i ù w 1 i a “ ssl comPllS|e , un

te s te r pub liquem en t s , reconnaissance. L ius aE â n ï ï ?

fa ire un compte re n d u e très déta illé de tout ce qu i s’es t d it e t chanté su r la scène. Je désire tou t sim plem ent fé lic ite r les o ra an i-

soirée* 61 163 aCt6Ur8 d0Cetl6 cBartoante

A la suite du tirage, M. Thieux, directeur de la Fanfare a, en quelques mots, remercié les personnes qui par leurs dons et leurs démarches, ont contribué à la réussite si complète de cette tombola.J ! . a . di! — ce qui est très vrai — que I

Ÿ r â ™ aR. r , V . ”ôa J.u-de F.um., _ 24 : Fonrmd. 0 .o ré .tt,- a La ToarasUe. - 20 i J«»aua Zoé

Adébilo, à Bouillant. — 27 : Dôoreuat Loui.n AagDitJue, place Gambatta.

Récis. -a 19 : Legrand AdoIphe-8iverin.An go*te, 41 ans, rue Lamartine

S a S y S a s

17 s Entre Boncher Charles-AmfidS»

ü S d ’i . “ ï - o Arta r

Lépius Aliao-Loui.., poitstua da pJ'nà o X v Mariagti. -(Néant).

i', ,' "" , - u ï i d e [ a i r e "son ~ v n n e n t e r r é v i t u n l /

185 l" " ' ,’es p récédentes, l'A lm a - p leines. " ÜUS viüul 8" cü le |8S ‘“ a' “ a

Il nous offre pour 18 000 francs de n r im . sans coinpior los bous d ’achat lu portra it B * "« 'Saa ç t la curlo d 'id en tité qu° peu

1 d“ plSce justificative e t m ém o de pas- m i n ï ï J " ' 6 ' 11" 1 don ,le d ro “ A un

Mats ce n 'est pas tout.. O ulro la bourso de 3 000 fr . dont hénéfi

« T O M n e désignée par'“ v K1900 à rèt™ " 0 ' 108* “ é c h e t te o ffre , p o u r 1 J0 0 , a .^ e i/o o u v r ie r s o u o u v r iè r e s d a i..« I ru n s p o i tc r g r a tu i t e m e n t 4 F a ™ “ « o n r n r e t do le s lo g e r p e n d a n t î ü s 'ix j o u r ,

F o u f ',H JT ' Ü'U i vis" 81' 1 Uxposilioo.l l Ù c T t t t J °F ‘ 8 l' 8n5l!o' L A fm u ù a c /t h ? I fa i! ap p e l a tous s e s L e c te u rs e tou VI i t “ ro u ? dudésiguor. à ra iso n do q u atre i . f p0O* chacune dos q u a tre ré a io n sd a la F rance, seize travailleurs qu i" à K

^ S e u U o Pë ™ S F ^ “ ui 188 “ n aà isreu t

d e la F a tr ie 0 d P ' US l u u l8 d 8 " e

t h o . J ' T ' , ,acl‘ /y ar/lf" e com pte su r F ini- h i t ! tn ’ A l U 0 n m unicipales, Chain- î 8 . . f 0 com uieice, C orporations, Syndicats Associations P atronales, O uvrières etc en a n .n o , su r Paine do tous tes g e S o 61^ ! !

A cetto bulle fôle du T ravail, n ’es t-il nv. este de convier ceux qui y on le plu i u

tribué, ceux que leu r lèch eo u leu rs ressourcesau a ie n t tenu éloigné» do P aris ?

dV i t ï n , ! r u r 2 n c T ,J l6 6 ü é r8 U i8 ‘d48

ç S S S . i s S r ! * " *

CRÉPY - EN- VALOISSam edi m alin , M. l ’In sp e clo u rd ’Académio

d e i O ise ot M. l 'In spec teu r p rim aire de l ’a r ­rond issem en t do S en lis, on t rem is officielle­m en t ù M. F ran c o lin , d ire c le u rd e l'é c o le des garçons de Crépy, la m édaille d 'a rg en t que lu i a accoidéo M. le M inistre d e l'In s tru ctio n pub lique pour la bonne d irec tion de son école.

SI. Chopinct, re te n u p a r les travaux p a r­lem en ta ires , s 'é ta it excusé do n e pouvoir a ss is ter 4 la cérém onie. Comme noua l ’avons déjà d it, M. N êry, ad jo in t, ay a n t fa it une ch u te en s y ren d an t, e t qui d ev a it p re n d re la paro le comme rep résen tan t de la Ville de Crôpy, s 'est vu , lu i aussi, p rivé d u p la is ir d y p re n d re part.

M. P o n an t, ad jo in t ; M M .O udinelS agnv délégués cantonaux ; lo personnel d e l'école des filles e t de l'école m aternelle , ava ien t ten u t d o n n er à M. F ranco lin u n e nouvelle m art|u o d e sym pathie.

C 'est en "Présence d e tous les élèves deléc e lee td e le a rsm a lffM que SJ. l'iospeo-

BETHISV SAINT-PIERREUêdailles d 'h o n n eu r.

Une médaille d 'honneur a été décernée par le ministre au sapeur Luc (Edouard) ?a™aa8,p08ii.sa Tle 8" caapérant au sauve­tage du malheureux Thomas, enseveli dans un puits, les I , 5, 6 et 7 septembre dernier

Pour le môme motif, MM. Picard fFranà Cots) et Lefèvre (Philippe) ont mérité des mentions honorables. 88

M, Balon (Edouard-Florenlin) a été l'ob- i ë r e . r 8 d' 8lmÇti8n semblable pour avoir arrête un cheval emporté, le 23 juin 4898.

Nos sincères félicitations 4 tous ces braves.

R ivière d ’A u to m n e .Des procès-verbaux viennent d’élre dres­

sés par M. Chauve), conducteur des ponls h1 MnSr 88 ,é l!«“ J-Saint-Piert» , contre iëxrf n i '6™.. ? l,ul8r' de Presnoy-la-Ri- îre ’ Uérault' d0 Béthisy-Saint-Pierre et

xeuve Ferréol-Carandas, de Gillocourtf.0“ r i ™ a s.0.m? n ld '6a“ l industrielles dans a rivière d Automne.

Samedi dernier, vers Irais heures.' M -1 Bergeron, néo Dufour, et une de ses voi- sines, lavaient leur linge dans le ru Cadol, M HérlSfi (1I>IW . prés le moulin de a . , n lor,8que 18 bachot dans lequel M " Bergeron était agenouillée vint 4 glis- miérè “ m dans l'eau, la tê te la p re -

La voisine, affolée, se m ité criorotùappo- 1er au secours.

Fort heureusement, à ce moment, passait sur la route, allant à la gare, le jeuneHm07rgM m - - a n ’ f gé d,8 89 ana. employé chez M. Hérault, lequel, entendant les ap- pels, se rendit à l’endroit d ’où ils partaient uli'hFinf0 ffua son courage, so jetait tout babillé dans le lavoir et en ramenait laï ï r » h / 1?a 'i? é j‘ paral*8é8 par 1« froid et asphyxié par Peau. -

Transportée chez elle par son sauveur, tout mouillé et transi de froid, M— Bergeron fut immédiatement l'objet des soins néces­saires en pareil cas, et aujourd'hui elle est à pou près remise de son émotion

M. Georges Saillant, le courageux Sauve-

hahi'lanls’do “ 0!“ ™ “ ' d llM 0rabl88

sienne! Melte’ne a d é jà ^ ^ la a n r a signaler son acte généreux 4 qui de droit

v i v S i c U r , : ^ 1" ' *drM88b8 888

Lundi, 4 l’occasion des fêtes de l'An

M l ! '0Ule '* “ uil 4 ' 'h 4181 de ,a Vieille-

n y a. pas dorm i, 4 ce concert, loin dé là , on a r i de bon cœ ur e t on s 'es t am usé ferm e. Cela a tenue à ce que nos jeu n e s a r­tistes o n t rem pli leu rs rôles à la satisfaction de tous. C hanteurs e t chanteuses o n t charm é les aud iteu rs qui n e le u r o n t pas m énagé les bravos e t les rappels. K

Quelques am ateurs dont les nom s n e figu­ra ie n t p as au program m e ont b ien voulu se fa ire en te n d re . On n e peut que le u r en ê tre reconnaissant, ca r ils se sont acquittés de leu r tftche d une façon m erveilleuse. Une jeune v irtuose, e n tr ’au lres a ch an té quelques rom ances qui on t é t é . dites avec beaucoup d âm e, d e justesse e t d ’expression. Somme toute, excellen te soirée.

A quand la pareille ?_ _ _ _ _ _ Ut diète.

décès Ha m™ j i m pem e la nouvelle du n»?„ HeÀ'b ln ’ “ archando do jo u r­nau x , su rvenue h ie r soir, à q u atre hourcs

I 8]ad™ J8' 80 son dom icile, à P o n l-« = i" i» -

c o ? d ïé a adcês!5003 A 88 ¥ “ ‘W nos 8incire8

il y au ra Mm* veuve

Aujourd hui et dem ain lundi, bal à g ra u d orchestre chez C arrigaud.

SAINTINES M. L ucien, commis de f classe à la m a-

n u fic tu ro d allum ettes, v ien t d 'é tre é le ré su r place & la 3* classe.

M T E P I L - L E - H A U D O U I N

m ONTA G N Y -SA IN TE-FELICITEOn nous éorit :

M ercredi, 27 décem bre, a eu lieu à Monta- g ny-Sain te-Fôlicilô , uno cérém oniè tris te - S » ? n , !?posant0’ i ’eo to rrem en t d e M. e t M B oileau, décédés l ’un âgé d e 76 ans. r f f i » 69*à p i q u e s heures d ’in terva lle , îo . , - !• , m m odô|e- i ls n ’av a ien t l ’unïam ïio « Sue des paro,es aim ables, et jam ais on n e les v it u n seul in s ta n t en d é ­saccord. Leurs enfants ava ien t p o u r eux une respectueuse déférence e t n ’a u ra ien t pâë voulu les désobliger en quoi que ce fût

M. e t M » ' Boitoau jou issa ien t d e l'estim e e t de la sym pathie d e lapopu lation qui s ’est en fouie, em pressée d ’accom pagner à leu r d e rn iè re dem eure ces braves gens q u i, par Z l f “ ? ile du s° r t , s 'e n a lla ieu l,f ' . l . ? da,“ 8 la m orl' com m e ils1 av a ien t é lé dans la vie, le jo u r de leu r 50 an n iv e rsa ire de m ariage, e t qu e ,naguère

j h y S n i 88 prom811aie“ ' d8

nt!?àaî?iUoa ■ fa!8ail parli8 d “ Conseil ma- m cipal depuis p lus de cin q u an te an s , oùffrAndA ATnZpianoa l. .i .

RHUI3Tuée d ’u n coup de pied.

Dans la so irée du 24 courant, vers ana tro e t dem ie, le nom m é Jean Bourg, accom pagné

deux" anmsmePtMr M0r0U ^ 0 d 0 q u a S - S0S tro ,s jeunes enfants

san s dom icile, a r r iv a it coucher au poste- dé

e n tra it auss!,Utlè ^ u8*que,s ias>am s1,aprèesdyÜ 1 r n n l l i ? , d8 lorce’ le nom uié Em ileî ï ï i l S ’-i 6 ll'e u!e-deux an s , forlouient^ a t t i ra i t ilftv t x 8ar en ,a n ls couchés etB ëure n iH h ë ? riSpî " ” an d 8 sd 8 la femm e Bourg qui lu i lu ltm a 1 ordro de so rtir e t de

n é t a i t n ? - SeC0" d l o c a l 4 C llld «luin é ta it pa»> encore occupé.

l a Vn0niVn° n a Q l r i e n 0 n , e n , , r 0 I v r o g n e passa la m m n p ar u n e ouverturo pra tiquée daus la

S 2 Î e ’vin t \ l T 10 t r ,0Cb8t da “ in té rieu !PT e v ë J ë ïf ? s,u r 185 ° " fa“ ls e n d o rm ie Le que voyant ta femm e Bourg se leva et som m a I m tru s de déguerp ir. F o u r louto réponse 1 hom m e la traita do v ... , et lui

l'abdom en* i 'a r mb n? COUp8 do pieds dans i j La m alheureu8e, qui é ta it e n -

d es cris décbdranls!110’3 ' ° m ba 80 poussanl

6 0 A N N E E S d o S U C C È S GT ! : K ? S P n i x t o - i s ü j t t a u i ü s )

Hors Concours- Msmbr» du Ju ry a.po.ltioni d. IlOUItN ISao a nRUXBIJ.RR 18971

A lc o o l — — 48

LESLe stut riritabi» A lcooïl, Menthe

D IS S IP E los m au x do c œ u r, do tê to 03 108 in d i£ e*tions.

SQUyERAIH contre k GHiPPE elles REFROIDISSEMENTSI E X 0E IdL E N T a u ss i p o u r les D E N T S I et la T O IL E T T EI R E F U S E R / a s IM IT A T IO N S

E X I G E R le nom D E R IC Q L É 8

. d e n t if r ic e s ,I (BÜ^^Y^OOlrOelPStO) fabriqués parles I

FRÈRES PLOËRMELII laaSenlsrfiellemeot (abriqofiSf..<«Bellclsaz |I asra-a* s IConce>siiuinairrt pour l ’arrond issem en t

de Sen lis :M. Lusurikii, ép icerie Félix P o tin ,

105, G rande-R ue, à Chantilly .On demande des représentants sérieux.

. - - o ' — 'vu.vu.uiSSléo.BOQrfi'd e ce o ë [ »«°nlri H gardecbam pl!lr8 U ecom t!

^ r 2 s T o » m ë r rE £p a rë T B o u rg .11*’ T0“ ,Ul f i iro “ “ “

„„ f.a,f0I? m,e 8i f>r “ lalem ent frappée se p la i-

^ « ^ ^ 4 8 8 d a d f i |

L e urnri se re n d it à V erberie q u é r ir un fendem ain m alin , le doclm ir I

M aricourt ju g ea 1 état très graves. E q e u n e périto n ite s ’ô tait déclarée, ot m alg ré I

80,118 i08 p lus em pressés, l’in fortunéo m o u ru t dans le refugo. a côlé de son m arie t de ses en fan ts, son é ta t no perm e tta n t pas I.îo i„ j ” *"08 uu p e rm e tta n t pas d e la tran sp o rte r à l ’hospice. Une heu re« n ? Dn» a8 im ort’ 61,0 av a it aC0ouchô e n fa n t égalem ent m ort. d ’un

âgée de*42 ans.n é° ‘ ^ (AUn8) ' é ,a it Q uant au m eu rtr ie r, Em ilo Louvet, r

I w ‘« aS t ' T ' J ° r r p r t t 4 oh lii'e r roszëm : m î i h L ‘ .t r t , “ n o r d« la F ab riq u e , m em bre honora ire de la Com pagnie des pom piers e t de la F an fa re . I l av a it été long­tem ps a d jo in t do la com m une de M onlagnv.n i?o6r ! iSë r >a dem aa f e qu ’il y a tro is ans , il ne fu t pas renom m é.

Aussi le Conseil m unicipal, m a ire c t a d -Fanfare I T ’ Col?P a8 " ia dos pom piers, la

‘esmt e 'S u t . a 'n S ,d 0 la b a u ‘e 88llm8 04 il8

PONT-SAINTE-MAXENCESooiété na tionale des ConU penoes

popu la ires.La deuxièm e conférence pjpulaire an

adultes a eu lieu venJredi soir, a h u it heure», dans la grands sa lle de l ’Ecole dos garçons, au m iu iu d’une nombreuse

cin q condam nations.«rra^11™ 1 at a rrô ld* condu it devan t le Ip ro c u reu r de la République e t écrouô à lam aison d a r rê t d e Senlis.

VERBERIE Conférences p opu la ires p o u r i 899-1900 .

Ck.nthk d e vu es c ir c u u iu b s

L e « Patronage scolaire * des garçons do V erberie possède en dépôt quelquos coliec- K , d 0 r 8 po,ür. p r°J«ciions lum ineuses, d o n t le déta il es t c i-ap rés, p ro v en an t do la « Ligue de I E nseignem ent »,

Ces collections son t m ises à la disposition d es in stitu teu rs de la région qu i voudrout ou fa ire la dem ande à M. L ebrun , d irec teu r dë I écolo des garçons de V erberie , p résiden t d u « P atro n ag e sco laire > .

L iste des co llec tions de vues :1. Voyage du présiden t Félix F au re en

R ussie (25 vues).2 . Les grandes M anœ uvres (25 vues).3 . L e Tonkin (24 vues).4. Madagascar (25 vues).

P H T I S I E C O N J U R É EMéllez-voua des to u x sèches e t p e rs is ­

ta n te s ; elles inènent so u v e n t à la ph tisie .drions q u e to u s ceux q u i en

so n t affligés p u issen t lire la le ttre su iv a n te : . X» ,„llc,”so nc-ot-LolrcK 20 octobre 1897.

nirâ,. î: ?u r?.’ l0r8fiu c je me décidai à ein-nlov e r v o tre h inulsion S co tt, je com m ença is a e tre s tr ie u se iu c iu a tta q u é e de la po itrin e , ex tenuéo p a r de co n tin u e lle s q u in te s de

toux nvcc de v io­len te s d o u leu rs d a tis le d o s ct la po itrine . l im e v e n a it trè s so u ­v e n t â la bouche un g o û t de s a n g et je c ro y a is to u ­jo u rs q u e j 'a lla ia en vom ir; n epou- v n n t p lu s p re n ­dre a u cu n e nour* ri tu rc , n ia fa i­blesse é ta i t si g ro n d e ,q u e je me voynis perdue.

» A yant eu con­n a i s s a n c e d o s

j OUJON m erveilleux rô-

p réparat ion. le c o m m e n ç a ? 'e n ^ a iro u sag e fraiin1 u 'P iclqnes Jou rs, j e m e se n tis p lu s foric ; la to u x é ta it m o ins fréquen te e t les

s d u d o s e t «,1c la n o ttrine b ien m oins

g ran d e ,q u e je me vo>’«*8 perdue.

tiàieC --'• /•" * A yant eu con*M"8 Ma

douiei, ,. . ----- — — V- ,- ... po ..._ ........le^ùxtîVi r t i x vonuo conlVântëlvol'i v bien f..i • l'u sa jre de{mnil 'Ind ' PniS ? " tCi 1 • "î " « - o u - S c o l œ jo u id hni i ni le p la is ir do vous an n o n ce r q ue i’api'ét.*. e s t ex ce llen t, les forces ro-mé .i p 8 (loule,'ir3 '•oinplèie-! dMp.i ui.s. hn un m o l,le c h a n u e m c n t iéè ‘ os/ f 'iV0 u u j 'e"»>"sém erveil*é« , «-i j e \ ous prie d lig réor, M essieurs, to u s m is b on tim cn is tle jfrn iilu d e .

» S igné : M.vaiB G o u jo n ». inPw V i°Ja * >uxol).h.*iâire,le d épérissem en t,« îm 'i 'u -n tî . ï 'V I ' l i S |’bK alvcr8’ 1’ISmul’i l i f 1 lli rem ède, parce qU'il r .a .. . ■ ! , i* ."u ll ', tila J*) l’hu ile derÀ.A i.t. r a lli n n ^ (! (c’e s t-à -d ire dl-

rin.?1-.» i P '^ l’ciêtés a lib ilo s do la g lycô- iii i l e t le p récieux a lim e n t nerveux rep ré- fra!., ira1>L - u 8 hy i’ophosph i te s de c baux et de soude. Elle n o u rrit e t relève la vita lité; e lle friandise0118 ’ ,)0Ur ,ca en f*n to, c’e s t une

lîeh an illlon sera envovô flranco contre 'J,6 ,,in.l)i;ca- « d rossés à D elouche

etC w .lO .ruearavel.L evallo ls-l'erreU Soine).

U Gérant : Braqdxv,

Im prlm »rle aJm M »bm U ra .1

Page 4: 70 Année. N° 108. * ’ 37 Décembre. 1899. JOURNALbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_12_31_MRC.pdf · 2014-02-15 · son premier mouvement - le mauvais - le i njz.

1

m

»I -

I t h l r

; •

fi,^ , . ■

M-

litÀ.. I

P (ilI

I . <

1 '

¥ï

A n n o n c e s J u d i c i a i r e sA rtic lb l ,r M“ L o u is ESCA VY,

docteur en droit, avoué & Senlis, rue de Viilevert, n* 7 , suoo* dp M' Kmile D i u i u n ;

DIBT, notaire à Crépy- en-Valois.

' \ y £ B O ,a * £ aB a r p u b l i c a t i o n s J u d ic ia ir e s ,

d’un

M O U L IN A EA UMONTÉ A CYLINDRES

Sis à FRESNOY-LÀ-RIVIÊRE, appelé le lfo u lin d e l’Abbesse

COMPRENANTBâtim ents d’habltstlon et d’ex­

ploitation, en sem ble le s g én é­r a teu rs, m achines à vapeur, tournants, m ouvants, virants ot travaillants, eto.,

ETP’UNB

P I E C E D E T E R R ESiss torroir do FaESNov-iA-RiviÉBa,

lieu dit le Marais de la Gorge-Roux.

L’adjudication aura lieu l e D im a n c h e îfiH J a n v i e r

I 0 O O ,à deux heures de relevée,

En la M d rle de la commune de F/esnoy-la-R.vIère,

Par le ministère de M* DiBT, notaire à Crépy-en-Yalois, commis à cet effet.

On fait savoir à-lous ceux qu’il ap ­partiendra :

Qu’en exécution d’un jugement rendu sur requête, par le Tribunal Civil de première instance de Senlis (Oise), le viugt Décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregis­tré;

Il sera, aux requêtes, poursuites et diligences de :

r M. Emile-Jojeph Blondet, meu­nier, demeurant au Mouliu de l’Ab- besso, commune de Fresuoy-la-Ri- vtère ;

2* Et de M* Louis Escavy. avoué, demeurant à Senlis, 7, rue de Ville- vert,

« Au nom et comme liqui- « dateur judiciaire des biens o et affaires dudit sieur Ulon- ■ det, nommé à cette fonction « par jugement du Tribunal « Civil de Senlis, jugeant corn­et mercialement, le douze Dé­fi cembre mil huit ccni quatre- «. vingt-dix-neuf, enregistré, « qui a déclaré ledit* sieur « Blondet en état de liquida- « tion judiciaire; »

M’ Escavy occupant pour lui-même et pour le sieur Blondet sus-nommé;

Procédé, le Dimanohe vingt-huit Jan v ier mil neuf o e n t, à deux h e u r e s de re levée , en la Mairie de la communo de Fresnoy-la-Rivière et par le ministère de M* Diet, notaire à Crépy-en-Valois, commis a cet effet, à la vente sur publications judiciaires, au plus offrant et dernier enchéris­seur et à l’extinction des feux, et avec faculté do réunion, des immeubles dont la désignatiou suit :

D É S I G N A T I O N

M I S E S A P R I XCommune et terro ir de Fresnoy-

la-Rimère, canton de Crépy-en-Valois (Oise).

A rticle prem ier.Dix-huit ares dix-neuf centiaros do

terre, terroir de Fresnoy-la-Rivière, lieu dit le Marais de la Uorge-Roux, tenant d ’un côté ouest au moulin ci- après désigné, à l’est faisant angle rentrant au marais commuual, nu nord M. Coutard, et au sud la r i ­vière.

Cadastrés section B, numéro 1321. Mise à p r ix : 100 fr.

A rticle deuxièm e.U n M O U L I N à e a u , monté

h cylindres, sis à Fresnoy-la-Rivière, appelé le Mouliu de l’Abbesse, com­prenant :

Bâtiments d’habitation et d’exploi­tation, ensemble les générateurs, ma­chine à vapeur, touruauls, virants, mouvants et travaillants, composant Jn priséo dudit mouliu, ut-tous agen­cements et appareils quelconques , déclarés immeubles par destination par l’article b i t du Code Civil. (Ma­chine à vapeur de 3 chevaux, goné «- |m r Kretzehma do ‘<0 cln vaux, ion— üours, broyeurs, convertisseurs).

Deux autres bâtiments détachés formant une dépendance dudit mou­lin, chute d’eau, passage, cour, jar­din, terre et bois, chaussée au-delà de la rivière d ’Automne et longeant cette rivière.

Le tout, contenant soixante et onze ares soixante-sept centiares, tient d ’un côté a M. Coutard et par un pas­sage à la roui» do Gilocourtà Villers- Cotterêts, d ’autre côté à la pâture communale et à la rivière, d’un bout à M. Saliez, et d’autre bout au Marais de la Gorge-Roux.

Le tout cadastré section .D, numé­ros 1258 1258 bis, 1259 partie, 1261 partio, 1262 partie, 125-1,1253 partie, 1255, 2014 partie et 1252 partie.

Mise à prix : lü.UOOfr.L’adjudication aura lieu sous les

charges, clauses et conditions du ca- • hier des charges, dressé par M’ Diet,

notaire à Crépy-en-Valois, et déposé en son Etude où chacun peut en prendre connaissance et sur les mises a prix sus-iudiquées, lixées par le jugement du viugt décembre sus- énoncé.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigué.

Senlis, le 30 Décembre 1899.Signé : L. ESCAVY.

Et enregistré.S’adresser pour les renseignements :

1* A M’ Louis ESCAVY, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2* A M’ DIET, notaire à Crépy-en- Valois , dépositaire du cahier des charges ;

3* Et pour visiter, à M. BLONDET, au Moulin de l’Abbessc.

Four insertion : Signé : L. ESCAVY.

Lequel a élu domicile en l’Etude de M* Philippe Martin, avoué à Sentis;

A M. lo Procureur do la Répu­blique, près lo Tribunal civil du pre­mière instnneo du Sunlis ;

Do l’expédition d ’un acte dressé au Grcffu du Tribunal Civil du première instance do Senlis, lu seize Décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistré, constatant lo dépôt fait au ­dit Greffe, de la copie dûment colla- tjonnéo et enregistrée;

D’uu contrat reçu par M" Petit et son collègue, notaires à Seulis(Oise), lo treize Novembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistré ;

Contenant vente par Madame Zoé- Zélie Barré, marchande do vins et spiritueux en gros et eu détail, de­meurant ou Raincy (Seine-et-Ois -), vouvo de M. Jcnn-RaptisteTernaux, au prolit do M. Thierry,

D’uue Maison, siso à Vineuil..com­mune do Faiiit Firmin , canton do Senlis, sur lus Carrières, élevée sur terre-plein d ’uu rez de-chaussée, de deux pièces avec grenier au-dessus, fournil avec grenier au-dessus ; toit à porcs, cour;

Bâtiment en carrière, jardin planté d ’arbres fruitiers ot ceps do vigne; puits; c u r è r e habitai» u au fond du­dit jardin du côté de M. Couvrcux.

Lensomble tenant du midi à M.Ci- rardin, du nord aux biches et fontis de carrièro et à la sente, du levaut à la place et du couchant à Cbevanco, M . Couvreux et à Madame veuve Rubé;

Et co. moyennant la somme __ s ix mille cinq cent cinquante francs do prix principal ;

Avec déclaration à Monsieur le Trocifl’èur do la République :

P Que ladite notification lui était faite eu conformité de l’article 2194 du Code Civil, pour qu’il ait à pren­dre, dans le délai de deux mois, dudit jour, au prolit du qui de droit, su r l’immeubie vendu tuiles ins­criptions d’hypothèque légale qu’il jugura convenable, smon et fautu de co faire dans ledit délai et icelui passé, que ledit iinmeublo passerait aux mains de l’acquéreur franc et quitto de toutes dettes et hypothèques do celte nature;

2’ Qu’outre la venderesse, les an­ciens propriétaires du lit immeuble étaient :

Communauté d’entre M. Louis- Julos Prudhommo et dame Marie-Jo- sèphe Deblire, son épouse;

Madame Antoioelle-Rose-Maric De- corbie, veuve de Louis-Victor Doyen, ot Alphonse-Napoléon Doyen indivi­sément ;

Communauté Doyen-Decorbie;Pour partie :

r Michel Charles Ecosse et Vic- toire-Joséphino Coulet, son épouso; Julie,n Défais e t Frauçohe Ernestine Ecosse, sa femme;

2’ Dame Caroline Waltée, veuve de Bazile-Antoine Lég-iillon ; demoiselle Virginie - Hélène Lrguillon; dame Alexandrine Désirée Leguillon, épouse de Isidore Dubois; et demoiselle Louise-Adèle Léguillon;

3° Françoise-Denise-Sophie Bi­dault. veuve de Louis-Auguste Gabi- lut; Louis-Casimir Rubé et Louise- Adolphine Gabilot, sou épouse ;

4’ Pierre-IJelix Chovance ;3’ Et que no connaissant pas tous

ceux du chef desquels il pourrait être pris dus inscriptions pour raison d'hy­pothèques légales, M. Thierry ferait publier ladite notification dans un journal judiciaire, conformément à la loi.

Pour insertion : (Signé) MARTIN.

Elode do II' GUICHA11D. uoiàiro à Liaucourt (Oise).

BELLE PROPRIÉIÊ U’AGüÉIENTdite

CH ATEAU D E CAU EFRYSise A CAUFFRY,

contre la gare de Llancourt-Ranligny. Comprenant :

Jolie maison d'habitation, com- tosée vestibule, doux salons, salle le billard, salle à manger, office.

Grand jardin d’hiver.A l’étago : 6 chambres et deux

cabinets do toilette, water closets, grenier.

Au sous sol : cuisino, rclaverio, salle de bains, culorilèro, caves, fruitiers.

Maison de jardinier, écurie, remise, sellerie et dépendances.

Atelier du photographie.Parc entièrement clos do murs. Deux potagers bien plantés.Pièces d’eaux et sources.Le tout d'une coiitcnanco dè 4

hectares.Et un bois, do 4 hectares, près do

la propriété ci-dessus.A Vendre par Adjudication

En l'étude do M’ Guiciiard, notaire à Liancourt,

Le 14 Janvier 1900.

Ent éa en jouissance 15 févrler l900,

G randes facilités de paiem ent.

Jours de visites, dimanches et jeudis, de 1 à 4 heures.

( ■(m ander le perm is de visiter à M- GUlCUillUJ.

Art. 2Etude do H’ Philippe MARTIN,

avoué à Senlis, rue de la République, n’ 20,

Successeur do M" Lionrt ot Quêter.

P u r g e I j é g n l e .

Suivant exploit doJolv, huissier i Chantilly, un date du vingt-huit Dé­cembre mil nuit cent quatre-vingt- dix-neuf, enregistré :

Notification a été failu à la requête du M. François-Thcophile Thiurrv, marchand de vins et d ’épiccrio, de­meurant à Vineuil, commune de Saint-Fifinin;

A r t . 3 .

Elude de M* Oscar SAVARY, avoué à Senlis,

place Henri IV, numéro 15, Successeur de M’ Pklüois.

D IV O R C EAssistance Judiciaire.

Décision du llurèau de Senlis du 1" JùiUct 1898.

D’uu jugement par défaut, rendu par le Tribunal Civil du première ins­inue*! du Sunlis. le vingt-cinq Octobre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistré ;

Au prolit do Madame Augéiino-Vic- joria Ma q u is , épouse du M. Charles B ox in g h k . charretier, avec lequel elle demeure de droit à Rouville (Oise), mais de fait à Orrouy, chez M” Ma- q u in , sa m ère;

Demanderesse, comparant ut plai­dant par M' Savary, sou avoué cons­titué ;

D’une part ;Contre le sieur Charles Bo .m n g r r ,

charre tier, demeurant ci-devant à Rouville ut actui llt-meut sans domi­cile ni résidence connus ;

Défendeur défaillant ;D’autre port;

Il appert :Que le divorce a été prononcé entre

les époux Ro m x g iie , au prolit de la dame Bo.x in c r k .

La présente insertion est faite en conformité de l’article 317 du Code rivil, modifiée par la loi du 1 8 avril 1886. ut d u n e < rdonnance rendue par M. le Président du Tribunal Civil du Senlis, le vingt-sept décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, en­registrée, alin de faire courir les dé­lais d'opposition etd'appeldu jugement sus-énoncé.

Pour insertion : Signé : Oscaii SAVARY.

Etude de M* DIET, notaire à Crépy- en-Valois.

A Louer de SuiteBELLE MAISON B O M M

Sise à CRÉPY,Avenue da Géresm as.

Pour tous renseignements, s’adresser audit M'DIET. 69

A V E N D R EÇlieval & H arnaisS’adresser à M' MARTIN, avoué

à Senlis. 51

A Céder de Suitepoun CAUSE DE DÉCÈS

FONDS DE COMMERCEde

M A R C H A N D D E V . N S & É P I C I E RSis à VILLENEUVE,

communo d'Auger-Sainl-Vincent. S’adresser à M' DIET, notaire à

Crépy-en-Valois. 75

U s in e h y d r a u l iq u eFo icj motrice de 30 chevaux

A LO U ER S'adresser au Bureau du Journal. 102

B E A U C A F Éavec

BUVETTE à DÉBIT DE TABACDans une ville près d'une Gare

Importante de l'Oise. S 'adresser au Bureau du Journal. 77

Etude de M’ F É T IZ O N , notaire à Senlis.

A Vendre & VAmiableIIOTEL MEUBLÉ

ETC A F É - R E S T A U R A N T

Sis on face d’une importante Gare de chemin de fer.

J O U I S S A N C E ^ M M E D I A T E

S’adresser à M* FÉTIZON, notaire à Stnlis.

Elude do M* Philippe MARTIN,avoué à Senlis (Oise),

rue de la République, n‘ 20, successeur do M" Lionkt ot Quêter.

O ï l îiT J- <C Î*S U R S A IS I K JMMOUl JLIÈHI£

D ’ U N E M A I S O NSituée à M ONT ATA IR E ,

rue d’En Haut, u* 13, rt d’un

P E T I T J A R D I NSis derrière ladite maison,

En un s e u l Lot. L’adjudication aura lieu le M a r d i

* 3 J a n v i e r 1 6 0 0 , heure de m idi,

En l’audience dos criées du Tribunal civil de Senlis, au Palais do Justice, ruo do la République.

S’adresser pour l a renseignements : 1* A M’ MARTIN, avouo à Senlis,

poursuivant la venlw .2* A M* VASSEUR, huissier à

Pont-Saiulc-Maxunce ;3’ A M. DAUSS1N, à Montataire;4’ Et au Greffe du Tribunal civil

de Senlis, où le cahier des charges •st déposé, et où chacun peut eu prendre connaissance.

A Céder de Steitem m M C U M B U L l i E T

BONNE BUVETTE8’adresser au bureau du joorna' 260

A LOUER A ÏHBS BAS PRIX V IV E M A I S O N

AVEC ÉCURIE A REMISESituée à Sknl's, rue do Meaux, n‘ 14.

'adresser au Bureau du Journal. 108

A 900 mètres de la gare de Senlis.

Maison B ourgeoiseDE CONSTRUCTION RÉCENTE

jS X . JÊLm OKLT 3*33 JR19L. «v«o

JARDIN, ECURIES et REMISESS’adresser au Bureau du Journal.

Eluda do M* D E L A U N A Y , notaireà Senlis.

Successeur de M* Dr ia r d .

D roit do ChasseSur t O h. 9 (1 a. 2 4 c. de Terre,

En quatre Pièces.Au terroir du MONTLÉVÊQUE,

A L o u e r p a r A d jud ica tion I.e Hard i 9'Janvier, à S heures, -

A Sbni.is, un rEtudoetparlcmiuislèro do M* delaunay, notaire.

!M'' FERRY, notaire à Bé- thisy-S'-Pierre;

BEAUCIIAMPS, no­taire à Pont-Sainto- Maxence.

A v e n d r e a u x e n c h è r e sSur les lieux,

Par lo ministère de M’ Ferry, notaire à Béthisy- Saint-Pierre,

en présenco do M* Bkauchamps, notaire à Pont-S’ -Maxence,

Le Dimanche 7 Janvier 1900, à une heure,

1 0 2 LOTS DE BF AU BOIS TAILLISSitués terroir de Bétiiisy-S'-Pibrre,

dans lo Dois de l'Isle.

Etude do M’ L é o n BARANGER, commissaire-priseur

des ville et arrondissement do Senlis (Ohe).

H O T E L DES VENTES D E S E N L I SH u e d u F o u r . n u 1,

Vente aux enchères publiquesDE TIN D’ANNÉE

M E U B L E S C O U R A N T SO B J E T S D ’A R T

T A B L E A U X , G R A V U R E SLe Dimanche S I Décembre 1899,

d une heure.Par lo ministère de M'Léon Baranobr,

commissaire-priseur à Senlis.On pourra v isiter dans la matinée.

Etude de M* Aldert JOLY, huissier à Chantilly.

Vente aux enchères publiques A C H A N T I L L Y

D’UNE

Jum en t de CourseBaie, âgée de 4 ans,

nommée • S É MI D A », par Uadgc et Sèmiramis,

l e Mercredi 3 Janvier 19Dù% à d ix heures du m atin.

Par lo ministère dudit M* J oly .

Etude de M'THIROUIN, notaire à Acy-eu-Multien.

Commune d ’Acy-en-M ultlen.

ADJUDICATIONLe Dimanche 14 Janvier 1900,

d une heure,En l a s a l l e de l a Mairie d’Aoy,Par le ministère de M* T h ir o u in ,

notaire,En cinq Lots,

DE

M a P E U P L I E R SSitués commune d’AcY-RN-MuLTiKN,

appartenant à la commune.

Etudo de M' LOMBOIS, notaire à Prccy-sur-Oise.

Matériel de C ultureA v e n d r e a u x e n c h è r e s

P A R S U IT E O E C E S S A T IO N O E C U L T U R EA CHAUMONT

commune do Gouvieux, au Moulin exploité par M"' L a o a c h e ,

Le Dimanche 14 Janvier 1900, d une heure,

Par le ministère de M* Lohbois, notaire à Précy-snr-Oise.

M E M E E T U D E *

M A I S O N8iso à DUR AN, rue de la Fpsse,A Vendre par AdjudicationLe Dimanche 91 Janvier IsOU,

d tro is heures.En l’étude et par le ministère

le M* L o jiü o is , notaire à Précy-sur-

ANCIENNES MAISONS PAYEN ET NOUVIAN

r i e r i e Administrative etD E S E N L I S

I ï * o i n l 6 © o ï l 1 7 5 6

9 e t 1 1 , P l a c e d e l ' I I ô t e l - d e - V i l l e , 9 e t 1 1 ,

S E N L IS (Oise).

Typographie - LithographietÇ fm w u e f i i c v t e e t a c ie c

' ' m w

Travaux pour la grande et la petite Industrie :R egistres, Etiquettes, etc.

IM PR IM É S A D M IN IS T R A T IF S(Etat, Départements, Mairies):

Tableaux. — Plans. — Etats. — Bordereaux.— Enveloppes im primées. —

Livrets de Famille. — Bons du Bureau de bienfaisance, — Passe-Partout. —

Billets de logem ent, etc., etc., etc.

(Sattea de OMitc - Qx,ite<i co/iun<ytciale&j Î N - T Ê T E S D E J .E T T R E S , f A C T U R E S , E T C .

jÜÿwialité di) Jfoumitiire!) pm ; Jodétijîd-'dXx&aÇèle. eto De £>'vc s

G r a n d e s P a r t e s O r n é e s , M A R M O TS, C IB L E S , E T Ç .

IM P R E S S IO N D E V O L U M E Se t B r o c h u r e s .

Le tou t d'exécution parfaite, à des prix trè s modérés,

Etudo de M* DHERBE, huissier à Pont-Sainte-Maxenoe,

Suco’ de M' Comn.'

La Vente de Matériel et Mobilier de marchand de vius, épicier-merciur, qui devait avoir lieu, à Rully, le D manche 31 Décembre, *6 iule heure,

e s t a jo u r n é e .

AGE N T S A li» ; n o n V iu m ,Commissions avantageuses. Appoin­tements. — Ecrire a LAUANE, Bor­deaux. 115

Rouge 8*, prix iixe 6 0 fr. la pièce de 2x0 litres, fût perdu.

Blano sec, 1" choix, 75 fr. la pièce do 220 litres, fût perdu.

Rendu gare acheteur, congé compris, Port payé. Paiement à 90 jours net 30 jours 2 */„ contre rembours’ 3 */. Echantillons contre 0.6'Jcent. S’adres. à M. lu Régisseur du Clos Lacowbe, près Aubais (Gard). 61

Le Moniteur Financier( 3 8 * A N N É I )

89, Avenus as voplra, p a r is

U Uonltntr Flnêncltr, pur m it. «a dlt.loppam.nt «on.tdlrebl» d* n i tin s . , rdduirt U prii d . MB tbSBat- mept » 5 (rtnea p ir sn k partir d*

C'.it I* plat tncl.D de. (Oarn.ai fln>act«ri,20p>aeid« texte i II pabli*I . pr.m i.r toute .lu informtlioniutll.l bui rentier.. BcU.nn.tr.. .1 obli|.- t .ire . d . tout.. I . . Socidti.; C tui.rl. fin.ncttr.,Acta>ltU.,Corr.ipondineM, Re.u. d*. T.Ionr., Min.» d’or, L t.t. odei.ll. d . tou. t in t* ., Cote. — p ltt .. d . ton!.. 1*. T.Ionr., .10.,

I ir t lo t gratuit pendant un mole eue simple demande admets au Dlreeteur:

38, AVENU! dé l’OPtBA- MBH

L I O U I D E S n ^ ^ n ”t a « t pour la conlréo. S’adresser à M. PINCHON-BEAUCOUSIN, 14,1416 Saint-Denis, à Rouen. 106

DEMANDÈS ET OFFRES*9- M . D I I U G E O N , o h a r -

o u " « r à Chantilly, d e m a n d e u n A p p r e n t i . 121

V* O n d e m a n d e u n b o n G h a r r e t i e r - K o u t i e r . —B o n s a p p o i n t e m e n t s .

Références sérieuses exigées.S’adresser au Bureau du Journal.

i« r* O n d e m a n d e IS o n n e A t o u t f a i r e , pouvan t au besoin o o n d u ire un oheval.. S’adresser chez M. CHEMIN, rue de Paris, S e n l is .

V* A g e n t s d ’A N a n r a n c e s , C'* N o r d , sont demandés dans tout le canton do Neuilly-cu-Tholle. — Conditions exceptionnelles.

S’adresser à MM. LAUC1IE, père et 111s, à Bury (Oise).

« a* M a i s o n d e V i n s , visi­tant spécialement la clientèle bour­geoise, et ayant des clionts dans le Valois, la Brie et le Soissonnais, d e ­m a n d e u n R e p r é s e n t a n t a y a n t d e n o m b r e u s e s r e l a ­t i o n s d a n s u .ea c o n t r é e s .

'«dresser au Bureaudu Journal. 123

o o r O n d e m a n d e u n b o n J a r d i n i e r , connaissant la culture potagère et sachant soigner un che­val.

Logem ent p o u r s a fam ille.S’adresser au bureau du Journal, 124

rfRv L a R e c e t t e d e s F i ­n a n c e s d e m a n d e u n p e t i t E m p l o y é . »

^ M O É L É B B M

AVEZ-VOUS D E ^ H E Y E P ^ f a t AYEZ-VOUS DES PELLICULES N M VOS CHEVEUX S 0 N T J I ^ ^ « g f TOMBENT-ILS î M M

^ ■ l l l «VM M I

M Q u n u B U dU llt.E xiger su r 1m flacons les m ots m eurs sn flacons s t dsml-flacons.

r. Ss troars chas Isa Colffsmra-Farfa-1

9 ENTREPOT : 3 8 . x n x o d ' E n g h i e n . P A R I S Envoi franco sur demanda da Proiptctaa contanant ditoila «t attastathil 6

Dépôt à SENLIS, U P AT D A T T V Coiffenr-Parfumeur. ohé* i » . t « . A i i U U U l y t 7 ,F U c a d o l« H r i l i , r

Suco' de M. YVOREL.A CRÉPY-EN-VALOIS, M . G R E N I E R , 1, rua de la Boucherie.A CRE1L, M . W A C H E U X , 15, avenue de la Garé.

« p f f f f t j Nous recomiuanuons sp é c ia le m e n t ànos lecteurs commemaisou de o o n f ia n o é

GRANDE PHARMACIE CENTRALE DE SENLIS 1Mm p l u s E m p o r t a n t e d o t o u t e t a t t é g i o n

14, plaça Henri l ï (en face le Journal).

J n A T T Pharmacien de 1" classe.I l 1 1 ¥ Lauréat. - Ex-Interne des Hôpitaux de Paris.

I l 1 Y I ' Ex-Préparateur de Chimie.B l v Prix de Physique. - Prix de Chimie. (Méd,u d ’arg.). Il

Vend de» m édicam ents ohlm lquem ent p u r s et Irréprochab les M e i l l e u r m a r c h é q u ’à P a r i »

Si vous avez besoin d’un BON BANDAGE, nous II vous c o n s e il l o n s F o iiT de vous adresser à M. HOY, qui possède un GRAND CHOIX de tous les A c o e s- s o i r e s de t harmaeie (bas à varices, ceintures, ir- rigateurs, douches, etc.).

A n c ie n n e F é c u l e r i e F é l in AIV C EL.,

A Vendre à VAmiable26 LOTS DE TERRAINS BATIS ET A BATIR

A 200 mètres de la gare de Compiègne, entre la voie du chemin de fer et la route de Clermont, à proximité de la rivière d ’Oise.

Ces terrains, qui faisaient autrefois partie de la Féoulerlo Anoel, sont » desservis par trole ru e s nouvelles (dont une le long de la voie ferrée) et par la route de Clermont.

Sur ces terrains, existent deux M alsons bourgeo ises, une auberge des é e u r les tout agencées, -des m ag a sin s et bâtiments divers *

Les premiers acquéreurs pourront, en outre, proûter de l’achat de maté­riaux pour la construction.

v .y -w & Q tn

NO,70

S’adresser, pour les renseignements, su r les lieux, à M. H ip p o l y t i ANCEL, brasseur à Compiègne. J80

l e S A L O N d e l a M O D ETOUS LES SAMEDIS

|£ e pluô lé g a n t e t le pluâ p ra tiq u e deâ g o u m a u x de j^o d eâ

P R E M IÈ R E É D IT IO N ( A v e o g r a v u r e s n o t r e * )U n A n, 1<S fr. — Six M ois, 71 fr. 6 0 — T ro is Mois, 4 fr.

S E C O N D E É D IT IO N ( A v e o 52 g r a v u r e * o o l o r l d e i )U n A n. 2 2 fr. — Six M ois, 1 1 fr. 5 0 — T ro is Mois, U fr.

Ajouter U N fra n c p a r trim estrep our recevoir 28 g rands patrons découpés

S P É C I M E N S G R A T I S A dresser les dem andes à M. H enry P E T IT , D ir . ,5 , ru a d es F ille s-S t-T h o m as , P a r i s

L E LA TIN A P P R I S E N T R O IS ANS L E G R E C E N D E U X A N S

PARO L I V I E R B E N O I 8 T

P rix : I frano .E nvoi franco con tre lirabre-posto à l ’a u te u r , à P la illy (Oise),

ou à l ’é d ite u r L a i i u r b , ru e de F le u ru s , 9 , à P a ris .

ETRENNES 1900CINÉMATOGRAPHES — GRAPHOPHONES — APPAREILS A PROJECTIONSFilms, Rouleaux, vierges, Rouleaux enregistrés, Positifs pour projections

N O M BREU SES OCCASIONS D’A P P A R E IL S PH O TO G R A PH IQ U ES Nouveau Diaphragme pour Phonographes d’une puissance extraordinaire.

B O I T E S C O M P L È T E S D E P R O C É D É S A N C I E N S & N O U V E A U XP e in tu r e — P h o to p e in tu r e — A q u a re lle — P h o to - A q u a r e l le — P h o to m in ia tu r e

P e in tu r e é m a il — G r a v u re a u fe r — M é ta ll is a tio n . — P ro c é d é s J i p , e tc .(Spécialités de la Maison BOURGEOIS).

F O U R N I T U R E S & A P P A R E I L S D E S M A I S O N S E A S 1 M A N N , G U I L L E M I N O T , L U M I E R E & A U T R E S

Encadrements en tous genres. — Chevalets de tous formats.A L B U M S & P H O T O G R A P H I E S D E S C H A T E A U X D E C H A N T I L L Y ,

P I E R R E F O N D S & V E R S A I L L E S

S’adresser chez

I . E 3 . a © R O Z Y C K IPEINTRE-PHOTOGRAPHE

6 , rue Sa in l-P ierre , à S e n l is ,e t G9, G ra n d e -R u e , à C h a n t i l l y .

N O U V EA U X M O D ÈL ES Depuis 3 0 francs.

S P É C I A L I T É D ' A G R A N D I S S E H B N T SP H O T O G R A P H I E S E N C O U L E U R S Depuis 3 5 francs.

JÉ C L A I R A G E A L ’A C E T Y L E N E —

DES

A ppartem ents, M agasins e t UsinesPAR LE

GAZOGÈNE A üT O -R E G Ü L A T E Ii]^[Appareil e t chute automatique e t réglée

du carbure dans l'eau.SYSTÈME TESTELIS, BREVETE EN FRANCE ET A L 'É T R iJ ®

N* 0 . — 2 b e c s .N* I . — 3 - ...................N* 2 . — 6 - .....................N* 3 . — 12 — ...................N* 4 . - 2 4 - .................

7 5 fr- I O O § 6 0 * 6 03 7 6 4

n t r * * m y y C E 5-£ 3 ^

P a s d © s u r p r o d u c t i o n d © g®2 ’

Vu par nous. Maire do la Ville do Sonlis, pour la signature do apposée A l'article , Lo

E n re g is tré h Senlis, R eçu Imprimerie Administrai

Renseignements^! démonstration LE PA PE, ® àï!8^

albrooioot Commerciale do Senlis, G. VJLLAVRÊDE, directeur-gértf*»9 et 11, place de l’HôteWé-ViUo.