L D E S E N L COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1900_01_28_MRC.pdf ·...

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48 40 44 44 86 40 ! 46 38 40 is au domi- oamionnage par 104 bot- ï. pour foin pour paille, oltes. a b o n n e m e n t s •raÆËL-x DÜ » ‘ n^!T-,. 11 Ér. llfir. Ma 8il M 0S... 6 fr. 6 fr. 8 fr. Tri» «Mb. 81r. 3 60 4 fr. ON S'ABONNE : A IM ii. aux bureaux du Journal, 9 et 11, place de n’eal Jamais enfaisance. î modérés, ,GE, nous \ J l. KOY, les Acces- itures, ir- imis voix I dit d'Artagnan, ta la ta vaux dix-foi» ton ergo, mon garçon | et Paraissant ,1 e Dimanche et le Jeudi. L D E S E N L Dimanche 28 Janvier 1900. COURRIER DE L'OISE b u r e a u x Rédaction et AdniiinstroiJon, 9 et 11, •place de l’Ilôtel-do-Ville, à Seuils. Le Journal. M Suvus ni pour publitr dant l arrondissement les fNSKimoNs judiciaibks. PRIX DES INSERTIONS : Annonces : la o.ÿO c. Réclames : la ligne, 0,40c. -Puits divers . la ligné, 0,50 c. On n’accepte pas d’insertion au-dessous de 1 tr. Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et le. Départements sont reçues directement aux bureaux du Journal. BU LLETIN Sentis, 27 Janvier. Les députés désignés par M le Procu reur de la République comme ayant bé néficié de l’influence électorale des Pères de l'Assomption, ont réclamé virement, à la séance de la CJiambre. Il s’en est suivi des incidents tumultueux qui ont obligé M. Deschanel à faire expulser manu militari M. Charles Bernard. Une demande d’interpellation sur le môme suiet a été, sur la demande de M. le pré sident du Conseil, ajournée à un mois. Puis l’on a repris le budget de l’instruc tion publique et la Chambre s’est ajournée à mardi. Les juges de la neuvième chambre ont rendu leur sentence dans l’aflaire des Pères de l’Assomption. La congrégation a été déclarée dissoute et les prévenus condamnés à 16 francs d’amende. A la suite de ce jugementle cardinal Richard, archevêque de Paris* s’est rendu au cou vent des assomptionnistes et leur a re commandé de « persévérer dans leur œu vre ». Les Pères ont annoncé qu’ils in terjetaient appel. La cour impériale de Berlin et toutes les cours allemandes prennent le deuil, par suite de la mort do la duchesse douai rière de Slesvig-Hobtein, mère de S. M. l'impératrice d’Allemagne, décédée jeudi à 1 fige de soixante-cinq ans. Le projet d’augmentation de la flotte allemande a trouvé bon accueil auprès du conseil fédéral de l'empire, qui a déoidé d y pourvoir par un emprunt de 769 mil lions de marks et nne annuité budgétaire de 11 millions. affaire, 300 hommes, dont officiers. La situation, maintenant, est bien nette : les Anglais ont échoué sur toute la ligne ; ou ils chercheront à enle ver de vive force les formidables retran chements qui se dressent devant eux, et ils courent alors à un échec certain : ou fl™ arrivera probablement, ils vont chercher & se retirer, pour recommencer ailleurs à nouveaux frais. Et alors, gare a la retraite 1 Disons en passant que l’on connaît exactement, maintenant, le chif- I fre des pertes éprouvées de part et d’au tre, depuis le commencement de la cam pagne. Du côté boer ; 212 morts, 1.031 blessés,. 197 prisonniers; du côté an glais : près de 10.000 tués, blessés et prisonniers. INFORMATIONS Grève aux chantiers de Imposition. occupés anx chantiers de 1Exposition se sont mis en grève, dans la mati- Lesouvriers ont con- S îninls,re **illerand et M. le cora- Mf^ement* d’ 0û espère 11X1pr0Bpt Chez les Assomptionnistes. Le cardinal Richard, archevêque de Paris. avanl'|lier malin, à neuf heures, chez assomptionnistes de la rue François-I" ? »de «^“doléances. Le oardi- 8ea1, 8 681 Présen,é * la porte de la chapeUe au moment où les fidèles et les reli- Pn ^ n * mea8e»chantaient le Te Deum. y 6 Pèro Picard se portèrent ‘ h ÏÏM j ? 61 lui flrent Vi8iler ,OQt08 Î S i. S f iK d.e 1établissement. Dans la salle de f i r S ? j 2. l T n#l 1(1 Crouo, le cardinal a béni î®?®J es rédacteurs et a prononcé oes mots : «Je vous recommande de persévérer dans votre œuvre avec simplicité et fermeté. > â mettre le pied ni dans le Transvaal, ni dans I Orange, et ils ont subi trois défaites définitive8 ’ procbafa0 8era probablement Une lettre d’un officier allemand révèle le secret de ces actions de guerre si précises, si décisives et qui coûtent si peu aux vain- E ri 00. m.orU 01 00 b,e88és î «He explique aussi ces lenteurs, ces retraites successives de l année boer, déconcertantes pour les stratégistes européens, el suivies d’oflênsives foudroyantes : le général Jonbert, ménager ~ î,e 8j 8 frôr0s»ne veut rien entendre î!?«£?n8î I8 4 ^ cticiens étrangers, il a sa manière &l a i l a manière boer - dont il ipaB dôm°rdre qui consista à nè fiîîaJ a i8ef.au ba8ard ®l 4 ne jamais se ^ (*a4 cnnpsûr. Celte ma- ÎÏÏ^ ii cora? e °? ., a «n vaut une Sunfi.f. S-.f 5°,?né Jas(Iu,ici d’assez bons résultats. Elle fait comprendre, en tous cas. pourquoi son armée ne s’est pas opposée résolument au passage de la Tngela par les Anglais : le vieux général-paysan suit son îîî 1J Ja\eax qae Pers°nne, 11 sait que le .? eJ a gn er[e 08‘ ,àp aux derniers con- M i Drakensberg — ou encore au Langs-Neck. Il aimerait mieux en finir à opion-Kopje, au lieu d’avoir &recommencer plus en arriére tout son plan de défense: mais il attend le moment de marcher de l avant à coup sûr — et cette fois il y ira avec une confiance accrue par l’introduction dans ses « commandos » d’une arme dont ils igno raient totalement l’usage il y a deux mois i peine : la baïonnette. ,0 “ « remarqué que jusqu’ici les Rpere n ont jamais pu tirer partie de leurs Vic toires : supposez qu’après l’écrasement de Buller à Coienso, son armée ait été poursui vie vigoureusement; c’était la déroute finale. et les Boers n avaient plus qu’à marcher sur Pietermarilzburg et Durban. Mais, comment S S “ p re d® PrÔ8 ™® armée vaincue, quand 1on ne dispose d aucune arme blan- P.hn niianrl la «...i..:. . ^ Sur les instances de la reine-régente, les ministres espagnols ont accordé une amnistie pleine et entière pour délits de presse, et transformé en bannissement pour la durée de leur peine les châti ments divers encourus par les anarchistes Barcelone. Cette mesure de démence est favorablement accueillie par tous les partis et a touché le cœur du généreux peuple espagnol. Co n’est pas en vain que les Russes massent des troupes en Afghanistan. Sui vant une dépêche de source péterabour- gsoise, 1 émir actuel, pensionné par l’An gleterre, aurait ordonné la destruction des routes situées entre Hérat et Kutschk, territoire occupé par les soldats du tsar. On peut donc attendre de proohains évé- nemeits en cette région. Il y a contestation entre la Crète, nuis ance vassale, et la Porte, puissance su- teraine, au sujet du tribut annuel stipulé parle traité, pour un écart de 500.000 francs entre les offres du prince Georges et la demande du sultan. Le gouverne ment crétois désire un arbitrage. Il est douteux que la Porte y consente. Comme non» le disions dans notre der nier bulletin, les Anglais sont arrêtés net *‘Lpied,du drakensberg ; u, viennent même d éprouver un éoheo qui aura un «ïet démoralisateur profond sur les trou- d,M *» nu*‘ d® nercredi à jeudi, avait occupé- non pas 1» Spion-Kopje, o’est-i-dire la dernière croupe en promontoire du Drakensberg à A on14 ~ m ,i* IW Eétit mamelon situé à 1.SUÜ mètre, de ce point, et tenu par «0 Boers, qui .‘étaient retirés. Maie Warren dut se retirer à son tour de ce «tçmelon, trop exposé au feu terrible des retranchements du Spion-Kopje. Le W ar- Ufflce, a y a n t annoncé la prise de ce joint important, avait provoqué à Londres enmï exagéré qui se tourna n morne déoeption quand l’on apprit la '•rite. Les troupes anglaises ont perdu, n uutuuuono f uoers, en effet, n ont aucune autre arme de guerre que leur carabine. 8 Depuis peu, les choses ont changé, Ce n’a C é \t " K tfîT J R ÿ fc E - r La Le peuple russe. p L® correspondant russe du Soleil & Saint- I M ,:r ° “ rr r *>wsïïrèSïï^Sïiïïî dd5 I ^ ™ n,? J o I1 ;Ul“l- d0..!'“™»..Wauohe, le ‘i*™’ en parlioulier les Anglais et les ““ "•“r*1* croire * quel point ces deux noms sont exécré, ici. Le peuple™ent pS , a daurade grandes luttes iaoute- ? “ Wo qui commence, 5?a “J^M C hir les frères slaves de Turauio «Autriche « d Allemagne même. D'où la popnl Isçité qui, çhes nous, s’attache t l’armée, S la Sm M ttolil"f “ ,Ui ropréroutent Je dra- a.a.as*waA..x,. i uni ut} Uo i arm e oianche, le vieux Krüger, Joubert, Reiiz, Ollivier, Stenn, CroDje, tous méfiants, discutèrent ce mode de combat, ne comprenant point que deux hommes armés de lourds fusils, termi nés par des couteaux effilés, pussent se dé fendre l’un contre l’autre ; à leur sens, ils devaient inévitablement se tuer l’un l’autre* ces hommes, qui prisent très haut l’existence de leurs soldats, nsiimninni nim M n>A«A:> Le suicide de l’empereur de Chine, on mande de Shanghaï au Ntic-York Hirald : Le bruit court aveo persistance aue l’emnermir s’est suicidé, dans la nuit d’hier q emperear «sDufcSfée» .reil80igaemenl3 di80nt ^ * été 1001 nouvelle de la mort a été ré- impression!’ ”01re Ti“° e‘ a pr0llu^, UUI) ,lïe Un ohâteau aa pillage. I vS?8 ma.!friteur3 ont pénétré, la nuit dans nn château situé à Saint-Marcel (Ardèche),’ apparie- “ “ I3 d? Pontbrisnq eMoisbilé ù ô C à ï ï fi o Après a,oir “ is 18 <*»- csndlor. molrailours ont ténté do lin . n n î f . i e8‘ ,1.,ril>tl4 4 des malfaiteurs qui PrsucS quoique temps dans le midi de la la PriicUe fiataille. i S ü a ï ï m ' j î Républiques, ce sera & un prix qui étonnera le monde », il n’exagérait d&s fa iwmnia minuscule résistant &un aussi puissant em pire que la Grande-Bretagne et mettant en déroute ses soldats en toute rencontre, n’ést- Ü®Pu?'r ?n. ®^0*» on épisode extraordinaire de 1 histoire de l’humanité? il est visible maintenant, d ailleurs, que la première parue de la proposition du vieil Oom Paul nîî!i^ap6rStte li Dg,alerre ne 8era jamais maîtresse des deux Républiques, û in s ce jouruiU o n’ui cessé de'l’siilrmer, en dép« des prédictions contraires de ceux oui me taxaient de paradoxal : après trois mois de anglais débarqués au Sud de i Afrique n’ont pas encore réussi y "c» uaui i oxisieace ae leurs soldats, estimaient que ce n’étàit pas la peine de risquer la vie d’un Boer contre celle don seul Anglais. L’incident ? , 8Iaagty où l0 régiment allemand da colonel Schiel, armé du sabre, se laissa décimer et prendre par les Anglais, pour s être trop imprudemment avancé, ne fut pas pour leur faire changer d’idée. Ce que nous allons dire maintenant mé rite d être relaté : les renseignements que I on va lire nous ont été adressés du Trans- vaal même, par un de nos amis, ancien sous- offlcier d un régiment d’infanrtfrie en France, et qui a pris une part active à l’éducation des Boers &1 arme blanche. Nous tenons sa lettre depuis près d’un mois et n’avons voulu rien en dire jusqu’ici de peur de commettre une indiscrétion; mais aujourd’hui les An glais sont renseignés, — de là leur pru dence, —* et nous pouvons parler sans crainte de leur rien révéler. Donc, le colonel Braun, tenace comme tous les Allemands, demanda au président Kruger 1 autorisation de créer une réserve composée exclusivement d’Européens armées du sabre et de la baïonnette et affectée à la garde de Prôtoria; il groupa ainsi 3.800 hommes ; Allemands, Français, Hollandais, Espagnols et... Irlandais (la plupart des anciens soldats des Irigh fusilier» faits pri sonniers à Glencoe servent actuellement dans les rangs boers avec leurs compatriotes venus a Irlande et d’Amérique); les instructeurs étaient des officiers européens, parmi les quels notre correspondant. Tous les jours, sur la pelouse qui s’étend devant la modeste demeure de l’Oom Paul. cette petite année faisait l’exercice du sabre î!.i . /a baïonnette; le président Krüger assistait à cette mimique bizarre pour lui, mais dont 1 ensemble et la vigueur ne lais- sait pas de l impressionner. Joubert, atteint a une inflammation du bassin pour avoir abusé de 1 équitation, rentra à Prôtoria afin de se faire soigner et assista, à son tour, aux exercices du « commando » européen. Enfin, le colonel de Villebois-Mareuil, en gagé en France par le Dr Leyds comme chef a étal-major de l'armée du Transvaal, arriva a Colenso ; il fut aussi frappé de voir ces troupes exclusivement armées de fusils. Il en exprima son étonnement; on s’expliqua: il voulut voir le « commando » Braua, qui lui fut dépêché par chemin de fer. Il le fit manoeuvrer et finit par convaincre les offi ciers boers des avantages de l’arme blanche. Au Transvaal, on le sait, l’usage n’est pas de perdre beaucoup de temps en parlottes une chose décidée est aussitôt mise en pra tique : on ne sera donc pas surpris d’ap- prendre qu à l’heure actuelle 20.000 Boers. spécialement dressés à cet effet, et encadrés !!ï2 (e“! 2pél D>*manient le sabre el la baïonnette avec "1 adresse de vieux bris cards. 12.000 font partie du corps qui fait face aux Anglais en avant de la Togela. Placés toujours en réserve, un peu en ar riére du front de bataille, ils font le coup de feu quand ils en trouvent l'occa sion , mais ils ne sont jamais autorisés à se por er en avant. Le jour où le général Jou- j r*{,J0K0ant lo moment opportun de pren dre 1offensive, culbutera les Anglais, ceux- ci n ont pas à entretenir l’espoir de pouvoir se reformer à quelques kilomètres en ar- n 0J0 » 1,8 80r°nt pourchassés par 18.000 concentration; les Anglais viennent de s’em parer des dernières collines en avant du Drakensberg ; la lutte, aruiéo contre armée, va commencer... II. de Rauvili.k. ----- xxa . uoo m » ramèneront repee la Tag«lap oû, coûte nue coûte, ils devront faire le plongeon. Comme nous le disions dans notre dernier 5., Ïm’j- gônéral Bu,ler avait raison quand il disait à ses soldats que cette fois, il leur faudrait « .vaincre ou mourir ». Ajoutons que le général de Villebois-Ma reuil a revendiqué l’honneur de conduire lui-môme cette charge suprême : on peut être assuré qu il saura vaillamment s’ac- quitter de cette tâche. Dôiâ il a commandé en chef à Colenso, en l’absence de Joubert. et on sait quelle défaite il a infligé à i 11er// Lo J°urnal officiel boer lui-môme, le Vollcestem, a reconnu que tout l’hon neur de la victoire lui revenait, et le Volk- S i r olé des re“ erei8“ ™ '» « d« Il sera peut-être intéressant ici de savoir quel rôle joue exactement là-bas, notre illustre compatriote : comme chef d'état- major, il est chargé de la préparation pro- prement dite du combat : données tactiques, distribution stratégique des forces ; mais i n est pas autorisé à modifier les formations paî L6!1 09 aux Boers et que nous avons précédemment décrites, excepté, toutefois, en ce qui concerne le corps dressé à l’arme b anche et dont il a le commandement direct assisté du colonel Braun et d’officiers euro^ pôens. Quand la bataille commence, Joubert prend seul le commandement et tout le E a S 8.. !.2béit» ? «>mP™ le généralissime orapiste Ll-onje, y compris le président Stenn et môme le président Ktflger s’il plaît à celui-ci de venir faire le coup de feu. comme cela lui est arrivé à Dundee et à Co- lenso - et dans ce cas M. de Villebois- Mareuil reste prés de Joubert comme con- •a Huf çu va prendre la têlo d’un commando, selon qu’il en reçoitjl’ordre.. Notre compatriote, du reste, apprécie hau- J^ 10^ ^ 68 troupes boers. Voici comment il « f r 0.« ? i> i0r8i 80nt des soldats d’un tempérament extraordinaire au feu, des hommes d’il y a deux cents ans combattant aveo des engins modernes. il88? servent admirablement de leurs pièces, ap- ri? « ? distanças d’une façon invraisembla- fl«r il?0 '28tülci m'jilaire a“fiuel il faut se Ie régulariser, attendu qu’il nî^î».P inluitl0Q ,à beaucoup de choses quo f f i n , bion,P,P™ .x“ 8 lM «“ 6m8m f 8” 188 “ r. La Crise du Charbon. L’industrie houillère manque en ce mo- mont de bras. Les besoins de la consomma tion exigent, en effet, par suite des deman des plus fortes de ta métallurgie, une production plus élevée que la production normale. Môme dans leNçrd. où les grèves n ont pas encore troüblrlè travail et ralenti le rendement des mines, l’on éprouve le besoin d’une m ain-d’œuvre plus nom breuse. * Anssi, s’inspirant de la nécessité de re médier à cet état de choses, trois députés d“ Nord> aPP«rtenant à des opinions très différentes, MM. Basly, des Rotours et La- mendin, viennent-ils d’écrire au ministre des Travaux publics pour lui demander d obtenir le renvoi temporaire, dans leurs loyers, des ouvriers mineurs actuellement sous les drapeaux. On estime leur nombre a environ 5.000. C’est un chiffre appréciable. Nous ne voyons aucun inconvénient a ce que Ion fasse droit a celte requête. Chaque année, au moment de la moisson, un cer tain nombre de fils de cultivatéurs ou d’ou vriers, ruraux sont envoyés en coogé pour prendre part aux travaux de la récoiteVH n y aurait doDC, dans la mesure réclamée par les trois députés du Nord, rien d’anor- mal. ......... _ ........ ......... ......... .. La nécessité force, en certains centres, les compagnies houillères à embaucher en ce moment des ouvriers où elles peuvent çest-à-dlre des ouvriers qui ne sont pas habitués à ces travaux. Les ouvriers mi- neurs, actuellement sous les drapeaux, viendraient remplacer, non seulement comme nombre, mais comme qualité, le personnel d’exploitations qui, sans parler des travaux de l’Exposition, ont à satisfaire â des besoins de premier ordre. arrêté seront eonstatées et poursuivies dans les formes déterminées par la loi sus-visée Arl j — MM. les sous-préfets, maires et Hnic’ ’ 3 6™da™i>™, Tes gardes fures- tiets, gardes champêtres, gardes particulier, sont chargés, chacïu eu ce qui le concerne blii m m t°J I" pi6iem arrSlé 10i S81’» PU- dôparlemeuL ,ü“ ‘eS “““ « «•» Beauvais, le 22 janvier 1900. Henri P aul . Nouvelles militaires. Les Officiers et les Sports. Le ministre de la Guerre a envoyé aux commandants de corps d’armée la circu laire suivante : Mon cher général, Il résulte des ‘constatations faites par des gé néraux inspecteurs permanents que, dans cer tains réguuems de cavalerie, des officiers néuli- gent leurs devoirs professionnels pour s’adonner a des sports extérieurs. «uuuuei Je suis partisan do ces exercioes, dont je re connais. i utilité et les bons résultats; mais chaque chose a son rang d’importance. Aussi je proscrirai les sports extérieurs si, conformé ment aux ordres existants, on ne les fait pas = n apiès les nécessités du service et del'ins- Je vous charge d’en avertir qui de droit et de me signaler les abus qui Se'produiraient encore, Galliffet. m i Ï Ï ; S Ü ae.laurs embarquements en che- SnûJL 80 *°?1 avec ?ne raPidité que nos ca valiers peuvent leur envier,., Ils usent très à Dro- |£ ida de fer et utilisent le p r f a c i Æ t e ? A bi‘éV0Urei-J Cfl8t a*081 qae le général w io ia.ii ,a Modder-River pour Kim- s ! r l f . ip,rer 8 r®,r<dfa de Belmont et vient . l e corps de secours anglais. Il était KS 4.B toŒ L“ ml“ 48 ter Il est juste de dire aussi que Cronje est un « progressiste », si je puis ainsi dire, et est quelque peu enclin à trop adopter les factiques européennes,. au grand scandale des généraux Jdubert, Stalk et.Ollivier. Ils ont cependant consenti à accepter de lui le Km êui™ rÏÏCJa«i.d0,iég6' 40,11118 TOnt Quoiqu'il en soit, les événements décisifs sont proches : la série des combats d’avant- garde est terminée ; les Boers ont fait leur CHRONIQUE DÉPARTEMENTALE Clôture de la Chasse en t 900. Nous, préfet du département de l’Oise, officier de la Légion d'honneur, )gVu ies lois des 3 mai 1844 et Î 2 janvier Vu l’arrêté réglementaire sur la police de la chasse du îo janvier 1900 ; Vu la dépêche de M. le Ministre de l'agri culture du 11 janvier 1900 ; Anaérons : Article premier. —La clêturede lâchasse est fixée au Dimanche 4 février 1900, au soir. Art. 2. — Toutefois, la chasse à courre à cor et à cris, continuera d’avoir lieu ius^ qu au 30 avril inclus. T L.a. cha880 au marais ne sera ,080,? ae 10 ^5 avril et sera ouverte Je 18 juillet suivant. L’arrôtô réglementaire sur la police de la chasse du 80 janvier 1950 fait connaître les conditions spéciales de cette chasse. Art. 4. — Les contraventions au présent SENLIS A trav ers Serxlia. SoddTd n’IIouTicuLTURg na S enlis . A sa ilarniôre séance, tenue le 7 janvier cou- rant, sous la présidence de M. Thirion, pré sident, la Société d'horticulture de Seuüs a admis parmi ses membres M. Gustave Le- Sa“m ^aJximin!er ^ 11“r d 8‘>»“ '-g, 4 Ont été présentés : MM. Lebon, prévôt de la Confréiie de Saint-Fiacre, maraîcher a '"lover., par MM. Testard el Thirion* niênne r®!aurateur, porte Com- piègne, a sentis, par MM. Davenne et Ar- naMu M °f0n ° claï8). jardinier ICourleuil, par MM. Lozel el Mourel ; Vincent, jardinier a19’ ?,fr MM’ Ber8er «t Lo«" Après le dépouillement de la correscon- dance, M. te Président annonce le décès de deux des membres de la Société, M. Lasnier aubergiste, et M. Fauvet, propriétaire, tous r f.’î?na nlls’ L’assemblée envoie à ces deux famrttes-ses compl nienis de c o n d o lé a S 1 donne la parole a M. Morel, président de a commission des iinances, pour faire la lecture de son rapport. LobuiJgetde 1900 est adoptée! tes comptes de 1899 approuvés, tels qu'ils sont présentes Par lu commission des finances. Des remerciemenls sont en plus votés A M. le vice-président Morel, el à M. Choquei trésorier, pour la bonne direction du budget! le becrétaiie-Générul donne connais- în f W o i i a rt89ï bll!9 d6s d4cisi8DS Prises par de «tour : minlslrallon dans «4 séance A',™Ci°f,seil' fprès aToir eclendu la lecture « l ï ï î 4 18 présideot par M. Goreullot, jardinier chez M. Kuip. au château de V algeuceuse, demandant qu'il lui soit accordé une récompense pour 25 ans de service dans la même maison! a décidé qu’5 y qvait heu de fane droit 4 la demande de M. Goreullot, et quo d’aprôs le règlement ii avau droit 4 une médaiüe de vermeil dé de févrwrqUI 801811 décernéa a la 6éa“ co Sur la proposition do M. le Président, le Consoit a décidé qu'il y aurait, en 1905, deux concours semestriels, dont les dates seraient Usées dans la prochaine séance, ainsi que des visites de Jardins. B Ccs dêcisions sont notillées par l’assemblée. M. te 1 résident donne la parole 4 M. Lo- i,Pif i88Bf r’ pl!ur la le' on “unoncée sur ta multiplication des oignons 4 fleurs, et 4 la demande de M. le Président, il a consenti A on faire un résumé très intéressant hnfi 0S„1 t °|"SU1S8 procédé aa lirago de la tom- et demie. ° Sl é0 4 q“atre heur8s Voici l’itinéraire des leçons d'horticullura pour le mois de février 1900 : Taille des arbres i fruits el d noyau*. Senlis: Dimanche 4, i l'issue d . la séance cherï’maire! 4 10 ll> ch0z M^ bou- l 'E Ï f f î S : Dtaaao,la “ • * s Usures, » Dell : Jeudi 15, i 2 h. J/2, à ta Mairie la Mairie Uim*“8h8 18,4 2 h ., 4 Il Is^d-le-llaudouin : Jeudi 22, 43 h 1/2 a 1Ecole des Garçons. » « « u. i/*, Creil : Dimanche 25, à 2 h., à la Mairio. .s ^ aa distribution do récomponses aux iau- ! chrysanthèmes du t 2 novembre dernier, pour apports on séances, ainsi que pour les visites do jardins aura lieu le 4 février prochain, 4 deux heure» et demie, en la salle dos séances. ~ MM- E- Chemin, hou- & , ’ ont ê m S dfaomb’re dernier.4 la da pendue de la lerre, si la mienne n’existait rSUILLSTON — Oh I oui, monsieur. LE PETIT-FILS D’A R T A G N A N *• hlaV ’KiV & A. 8IÉGEL «sut p!î* ,înne l,eara 1 «’écria maliclouso- Uinn nn .V ,1 ' P" thotnent quo mon capi- «au'fl m!0 ,ra'!f plus d'idi01 61 d'animal, j W c h e? nPnre 5 par la d0“M“r.i8 vais me n d8“ DI0U* voici fa chose : ’a ma ra? a aTOU flh’elle ferait volontiers e"S , a r 'ln8 ‘nddêlitô 4 sou Busse .. Pitrinej r’ « , 8aTe*~v°us qui c’est, mon ca- l'heare r.m - R,od,ko, 'e hussard de tout A «nu6' “ “' I 81 “et» 4 si bleu fermé au 18 iwrle du prince Dorielf. son mali™ ,-* Salané Golfatl «nmd, mi |.~ J ,on.siear dl“era-t-il ici y demanda Ivetr^dl'hoVmT ”1 r° re,lir d'Ar,a«“an j^o Mpa0 li^à?!^natu!ndanP,edonnez,àeM^gar- k?ne q? voudra, et faites-moi ser“ rg„S picrïee fendC re ’ “ r i l gè,e a“iourd'hai 4 ouTn^an^dfn^sa^hambro/ 116 " r?i? “ Loim haa1’ 81 envoyez-moi la chose par - . Ta «s entendu f flt Phêle en s’adres- sant à la servante. . tnaitre, répondifla fille, rouge de joie d avoir aSsezallirê l'attention d’un jeune pè,o;)8:nCrm ,er P0Ur qa'“ da^ .,e T p ! i’h#m1 hro’!! 8 ,!f'i’ p^ !' ell° enlrail dans la chamf demandé! H8”' “PP°r,ant lo ïia Le Gascon l’atlendait, les pieds étendus minée ,Ui 1>r4la“ dans la che- — Dépose le bol sur celte table à cétê do moi, ma fille, lui ordonna-t-il. — Voilà, monsieur. vers'la porte!° réT6renM “ “ "aha — Reste, lai cria-t-il. — Monsieur a besoin de mes services ? roucoula-t-elle, câline. «orvicesr — Oai, je voudrais causer un non avec toi, ma petite Louüen. Et d'abord,1 Prtpdhd» franchement. Suppose que ton amoureux dans une heure dW ndon, t’ait confié w - —- Môme si I on te payait pour parler ? dit d ^ ta?Dan en ôlevant, à la hauteur des yeux de la servante, sa bourse, qu’il agila 2n 5 ^ re1rendr0 son argentin. Elle baissa les paupières et, finaude : — Je suis une honnête fille, monsieur, et, aa.moild0» jo no dirai ce que j’ai £ ™ 4 m0in8 qu’on ne s’y prenne si gentiment, si gentiment... rAndî2 îg??n aIail pour Principes de mener rondemon les choses. Macha n’existait en core pour lui çju’â l’état de rôve. Îî?,cï 0' accorle* contrai- 5 0nt 4 Goliath, le Gascon n’accordait mrSn. f. T i 00001*0»™ à la taille plus s é ; r d8s,emmM4q“iii8ap^ «i.ïL a,l*ra Louison à lui, l’assit doucement hnL«r3on!n?.UX’ 0l’- aprôs lai aVoir donnô un baiser sur chaque joue : b*en; Pet‘to, trouves-tu que je m'y prends d une façon assez honnête ? pire • 86 contre sa moustache, et sou- Oh I .oui. Dites, monsieur, au’est-ce que vous voulez savoir ? ’ q reüx?CeSl dz^° ^ ®s* ton amou- — Oui. „ T. Kh bi®n ! tu sais peut-être, par lui, 35»% S?/!80111!0810 priDC®Borieff fréquente nées ? et comment il passe ses jour- s i e u r ^ l0nl 06 qae RodEko mon- a ^ J S & e a f s t »! Bon?* M t*al d<nmer q»» . “ B’abord, en dehors de3 officiers de son Nancy001’ prilQC® n ® voit personne à — Personne? “*■ Personne; mais en dehors de Nancy» c est autre chose.. ba^ * flt.d’Artagnan, vivement in téressé , conte-moi cela; friponne. XVHI , B8> r ° " > de h'èrtagnan, Louison so .Vüi agl,8S0r à ses pieds, où elle s’accroupit sur le plancher, sans cesser de dévorer des yeux le beau capitaine. Puis, elle commença : • „ ~ B y avait environ deux mois que j ’avais bonfô8Qr bu88ard Bodzko mes premières ‘ L® fan® de miel de nos amours était passée, et nous nous disputions quelquefois. « Un jour qu’il me traitait de coquette, comme je ne voulais pas être en reste avec fa AnVul ré,pondl8 flue» 80a8 fa rapport de lîioniï ’i *8 bomme8 n0 valaient pas mieux que les femmes. n n V Z Tai8' toi* B, tu ne sais pas ce dont un Russe amoureux est capable. Ici, Louison crut devoir s’interrompre. 6irii>;oa? £ exc1Q8«r®2»mon beau monsieur, ^ i^ .rfX K ^ u ^ Œ 1 ,0 s .« û x ^ ;r;„<3 Æ rp , s . porm9,,ro 40 4lÜ’iïfiaffi0”' “* pre*'é’ Bllt reprit j ' la ne serais pas fâchée, lui deman- dai-je, do savoir tout ce dont un Busse amoureux est capable. Tu no me l'as nas fit BodxJko ’ appnmd,-|0-moi. mon pe- v El, en même temps, je le câlinai de mon mieux. « — Ah ! Louison, soupira-t-il, je ne suis quune brute, moi, et jaime comme une brute. Mais un qui sait aimer, c’est mon raaiire, le prince Dorieff, le modèle des amoureux l... * « Jamais il ne m’avait parlé du prince, et, jusqu alors, quand je lui avais posé des questions au sujet de ce magnifique seigneur qa j5 ^ I8ail 81.b0o» «i généreux, il s’était gardé de répondre. « Dame! vous comprenez, monsieur.du moment qu il y avait un mystère — et un mystère d amour — jo n’eus de cesse qu’il me le révélât. 4 « Je ne sais comment je m’y pris pour le décider à parler, mais enfin, je réussis. — Je m’en doute, moi, dit d’Artagnan en riant. Et, à part lui, il ponsa.: « Il parait que le hussard est plus sen sible aux caresses d’une jolie fille qu’à tout l argent du monde. Il ne trahirait pas son maître pour un écu, mais pour un baiser, c est autre chose. » *7 Voici donc, poursuivit Louison, ce que fî°lz»v° me raconfa • ' U y avait, à ce moment- là, à Nancy, une panvre jeune fille, aveu- S le, qui parcourait les rues de fa Ville en lendlatit sou pain et eelul de sa grand- mère: « - « Tontes deux étaient d’anciennes bro- » uvua oMiuiu u anciennes nro- ■ • • • • » » . i» ..' « Quand je dis que la Ninon mendiait ta me trempe. Mendier, c'esi recevoir l'aum’êna et ne rien donner en échange. toi! ?.r’ en relour .des liards qu’on lui ie« fait, et que ramassait sa grand’môre Ninn» charmait les oreilles des g™, frains qu elle chantait d’une voix trô?iîm °armes.40UC0 q“'e"° ™a» « S ait’dS « Un jour que lo prince se promenait dans les rues de la ville, avec Bodzko il rencontra Nioon et l'entendit ' “ lion1' 5’arr4‘a S°“dain 81 d9?il“ p4le é'êmo- « Au mémo inslanl, Bodzko lui dit • * — !.rillc8. C'est vraiment miracùlam f On dirait quo, quitlnut notre sainto llussio ierïr „ a(.n« f jq ,° 40 l a ,B8R8 «m te™ To: d.8™ aa esl venue jusqu'en France, et quo c est eilo que nous entendons sortir do la Louche do celte jeune aveuglo. « Il faut vous dire, monsieur, — c'est on. ™n° h n qoi m a appris 80 détail, — que cette belle comtesse ost célèbre à Saint- létersbourg, plus encore pour sa voix aua pour sa grâce, sa bonté et sa vertu « Mais sa voix, à co qu'on assuré, est la plus charmante qu'on puisse entendra « Le prince a voué é celle dame une ud- M ÿ u edp ^ 7e 1 °oÿ«i « r.M 4? æ qu^Srr soupçonnât. qoa p*fMm8 1, fintràre^

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48 40 44 44 86 40

! 46 38 40is au domi- oamionnage par 104 bot- ï . pour foin pour paille, oltes.

a b o n n e m e n t s

• r a Æ Ë L - x DÜ » ‘ n ^ ! T - , .11 Ér. llfir . M a

8i l M 0S . . . 6 fr. 6 f r . 8 fr.T r i» « M b . 81r. 3 60 4 fr.

ON S'ABONNE :A IM ii. aux bureaux du Journal, 9 et 11, place de

n’eal Jamais

enfaisance.

î modérés,

,GE, nous \ J l . KOY, le s Acces- i tu r e s , ir-

im is voix

I dit d'Artagnan, ta la ta vaux dix-foi» ton ergo, mon garçon | et

P a r a i s s a n t ,1e D i m a n c h e e t l e J e u d i .

L D E S E N L

Dimanche 28 Janvier 1900.

C O U R R I E R D E L 'O I S E

b u r e a u xRédaction et AdniiinstroiJon,

9 e t 11, •place d e l’Ilôtel-do-Ville, à Seuils.

Le J o u rn a l. M S u v u s n i pour publitr dantl arrondissement les fNSKimoNs judiciaibks.

PRIX DES INSERTIONS :A nnonces : la o.ÿO c . Réclam es : la ligne, 0 ,4 0 c.

-Puits d ivers . la ligné, 0 ,50 c.On n ’accepte pas d ’insertion au-dessous de 1 tr.

Les annonces, réclam es, e tc ., concernant P a ris et le . Départem ents sont reçues d irectem ent a u x bureaux du Jou rna l.

B U L L E T I NS en tis , 27 J a n v ie r .

Les députés désignés p a r M le P ro cu ­reu r de la République comme ay an t b é­néficié d e l ’influence électorale des P ères de l'A ssom ption, ont réclam é v irem en t, à la séance de la CJiambre. I l s’en est suivi des incidents tum ultueux qui ont obligé M . Deschanel à faire expulser m anu m i l i ta r i M. Charles B ernard . Une demande d’interpellation su r le môme suiet a é té , s u r la dem ande de M. le p ré ­sident du Conseil, ajournée à u n mois. Puis l’on a rep ris le budget de l ’in stru c ­tion publique e t la Chambre s’est a journée à mardi.

Les ju g es de la neuvièm e cham bre ont rendu le u r sentence dans l’aflaire des Pères de l ’Assom ption. L a congrégation a été déclarée dissoute e t les prévenus condamnés à 16 francs d’amende. A la suite de ce ju g em e n tle cardinal R ichard , archevêque de Paris* s’est ren d u au cou­vent des assom ptionnistes e t leu r a re ­commandé de « p e rsév é rer dans leu r œ u­vre ». Les P ères ont annoncé qu’ils in ­terjetaient appel.

La cour im périale de Berlin e t tou tes les cours allem andes prennent le deuil, par suite de la m ort do la duchesse douai­rière de S lesv ig-H obtein , m ère de S. M. l'im pératrice d’A llem agne, décédée jeu d i à 1 fige de so ixante-cinq ans.

Le p ro je t d’augm entation de la flotte allemande a trouvé bon accueil auprès du conseil fédéral de l 'em pire , qui a déoidé d y pourvoir p a r un em prunt de 769 m il­lions de m arks e t nne annu ité budgétaire de 11 millions.

affaire, 300 hom m es, dont officiers. La situation , m ain tenant, est

bien ne tte : les Anglais ont échoué su r to u te la ligne ; ou ils chercheront à enle­v e r de vive force les form idables re tran ­chem ents qui se dressent devant e u x , et ils couren t alors à un échec certa in : ou c® fl™ arriv era p robab lem ent, ils vont ch erch er & se re t ire r , pour recom m encer a illeu rs à nouveaux frais. E t a lo rs, gare a la re tra ite 1 Disons en passant que l’on connaît exactem ent, m aintenant, le ch if-

I fre des pertes éprouvées de p a rt e t d’a u ­t re , depuis le commencement de la cam­pagne. Du côté boer ; 212 m orts, 1.031 blessés,. 197 p riso n n iers ; du côté an ­glais : près d e 10.000 tu és , blessés e t prisonniers.

IN FORM ATIONSGrève aux chantiers de Imposition.

occupés anx chantiers de 1 Exposition se sont mis en grève, dans la mati-

Lesouvriers ont con- S îninls,re **illerand et M. le cora-M f^ e m e n t* d’ 0û espère 11X1 pr0Bpt

Chez les Assomptionnistes.Le cardinal Richard, archevêque de Paris.

avanl' |lier malin, à neuf heures, chez assomptionnistes de la rue François-I"

? »de «^“ doléances. Le oardi- 8ea1, 8 681 Présen,é * la porte de la chapeUe au moment où les fidèles et les reli-

Pn^n* mea8e» chantaient le Te Deum. y 6 Pèro Picard se portèrent

‘ h Ï Ï M j ? 61 lui flrent Vi8iler ,OQt08ÎS i.S f iK d.e 1 établissement. Dans la salle de f i r S ? j 2. l T n#l 1(1 Crouo, le cardinal a béni î®?® J es rédacteurs et a prononcé oes mots : «Je vous recommande de persévérer dans votre œuvre avec simplicité et fermeté. >

â mettre le pied n i dans le Transvaal, ni dans I Orange, et ils ont subi trois défaites définitive8 ’ procbafa0 8era probablement

Une lettre d’un officier allemand révèle le secret de ces actions de guerre si précises, si décisives e t qui coûtent si peu aux vain-E ri 00. m.orU 01 00 b,e88és î «He explique aussi ces lenteurs, ces retraites successives de l année boer, déconcertantes pour les stratégistes européens, el suivies d ’oflênsives foudroyantes : le général Jonbert, ménager

~ î,e 8j 8 frôr0s» ne veut rien entendre î!?«£?n8î I8 4 ^ cticiens étrangers, il a sa m anière & l a i l a manière boer - dont il

i paB dôm°rdre qui consista à nè f i î îa J a i8ef . au ba8ard ®l 4 ne jamais se

^ (*a 4 cnnpsûr. Celte m a-Î Ï Ï ^ ii cora? e °? ., a «n vaut une S u n fi.f . S-.f 5°,?né Jas(Iu,ici d’assez bons résultats. Elle fait comprendre, en tous cas. pourquoi son armée ne s’est pas opposée résolument au passage de la Tngela par les Anglais : le vieux général-paysan suit son î î î 1J Ja\eax qae Pers°nne, 11 sait que le ? Æ . ? eJ a gn er[e 08‘ ,àp aux derniers con-

M i Drakensberg — ou encore au Langs-Neck. Il aimerait mieux en finir à opion-Kopje, au lieu d’avoir & recommencer plus en arriére tout son plan de défense: mais il attend le moment de marcher de l avant à coup sûr — et cette fois il y ira avec une confiance accrue par l’introduction dans ses « commandos » d’une arme dont ils igno raient totalement l’usage il y a deux mois i peine : la baïonnette.

, 0 “ « remarqué que jusqu’ici les Rpere n ont jamais pu tirer partie de leurs Vic­toires : supposez qu’après l’écrasement de Buller à Coienso, son armée ait été poursui­vie vigoureusement; c’était la déroute finale.et les Boers n avaient plus qu’à marcher sur Pietermarilzburg et Durban. Mais, comment S S “ p re d® PrÔ8 ™® armée vaincue, quand 1 on ne dispose d aucune arme blan-P.hn n i ia n r l la « . . . i . . : . .

Sur les instances de la re ine-régen te , les m inistres espagnols ont accordé une amnistie pleine e t en tière pour délits de presse, e t transform é en bannissem ent pour la du rée de leu r peine les ch â ti­ments divers encourus p a r les anarchistes d® Barcelone. C ette m esure de d é m e n c e est favorablem ent accueillie p a r tous les partis e t a touché le cœ ur du généreux peuple espagnol.

Co n’es t pas en vain que les R usses massent des troupes en A fghanistan. Sui­vant une dépêche de source péterabour- gsoise, 1 ém ir ac tue l, pensionné p a r l ’A n­gleterre, a u ra it ordonné la destruction des routes situées en tre H éra t e t K u tschk , territoire occupé p a r les soldats du tsa r . On peut donc a tten d re de proohains évé- nemeits en ce tte région.

Il y a contestation en tre la C rète, nu is­ance vassale, e t la P o rte , puissance su - teraine, au su je t du t r ib u t annuel stipulé parle t ra ité , pour u n écart de 500.000 francs en tre les offres du p rince Georges et la demande du su ltan . Le gouverne­ment crétois désire u n arb itrage . I l es t douteux que la P o rte y consente.

Comme non» le disions dans n o tre der­nier bulletin, les Anglais sont a rrê té s n e t *‘L pied,du d rak en sb erg ; u , v iennent même d éprouver u n éoheo qui au ra un «ïet dém oralisateur profond su r les trou-

d ,M *» n u *‘ d® nercredi à jeu d i, avait o c c u p é - non pas 1» Spion-Kopje, o’e s t- i-d ire la dern ière croupe en prom ontoire du D rakensberg à A on14 ~ m ,i* IW Eétit m amelon situé à 1.SUÜ m ètre , de ce point, e t ten u p a r « 0 Boers, q u i . ‘é ta ien t re tirés . Maie Warren d u t se re t ire r à son to u r de ce «tçmelon, tro p exposé au feu te rr ib le des retranchements du Spion-K opje. Le W ar- Ufflce, ayant annoncé la prise de ce joint im portant, avait provoqué à Londres enm ï exagéré qui se tou rn an morne déoeption quand l ’on apprit la

'•rite. Les troupes anglaises ont p erdu ,

n uutuuuono f uoers,en effet, n ont aucune autre arme de guerre que leur carabine. 8 ■

Depuis peu, les choses ont changé, Ce n’a

C é \ t " K t f î T J R ÿ f c E - r La

Le peuple russe. p L® correspondant russe du Soleil & Saint-

I M ,: r ° “ rr r * > w s ï ï r è S ï ï ^ S ï i ï ï îdd5 I ^ ™ n ,? J o I 1;Ul“ l - d0. . ! '“™ »..W auohe, le

‘i*™’ en parlioulier les Anglais et les ™ ““ "•“r*1* croire * quel pointces deux noms sont exécré, ici. Le peuple™ent

pS , a daurade grandes luttes iaoute- ? “ Wo qui commence,5?a “J^M C hir les frères slaves de Turauio «Autriche « d Allemagne même. D'où la popnl Isçité qui, çhes nous, s’attache t l’armée, S la S m M tt o l i l " f “ “ ,Ui ropréroutent Je dra-

a.a.as*waA..x,. i uni ut} Uo i arme oianche, le vieux Krüger, Joubert, Reiiz, Ollivier, Stenn, CroDje, tous méfiants, discutèrent ce mode de combat, ne comprenant point que deux hommes armés de lourds fusils, termi­nés par des couteaux effilés, pussent se dé­fendre l’un contre l’autre ; à leur sens, ils devaient inévitablement se tuer l ’un l’autre* ces hommes, qui prisent très haut l’existence de leurs soldats, nsiimninni nim M n >A«A:>

Le suicide de l’empereur de Chine, on mande de Shanghaï au Ntic-York Hirald : Le bruit court aveo persistance aue l’emnermir

s’est suicidé, dans la nuit d’hier q emperear«sDufcSfée» .reil80igaemenl3 di80nt ^ * été

1001 1® nouvelle de la mort a été ré-impression!’ ” 01re Ti“° e‘ a pr0llu^, UUI) , l ï e

Un ohâteau aa pillage.I vS?8 ma.!friteur3 ont pénétré, la nuit dans nn

château situé à Saint-Marcel (Ardèche),’ apparie- “ “ I3 d? Pontbrisnq eMoisbilé ù ô

C à ï ï f i o Après a,oir “ is 18 <*»-csndlor. molrailours ont ténté do lin .

n n î f . i e8‘ ,1.,ril>tl4 4 des malfaiteurs qui PrsucS quoique temps dans le midi de la

la PriicUe fiataille.i S ü a ï ï m ' j îRépubliques, ce sera & un prix qui étonnera le monde », il n ’exagérait d&s f a iwmnia minuscule résistant & un aussi puissant em­pire que la Grande-Bretagne et mettant en déroute ses soldats en toute rencontre, n’ést- Ü® Pu?'r ?n. ®^0*» on épisode extraordinaire de 1 histoire de l’hum anité? i l est visible maintenant, d ailleurs, que la première parue de la proposition du vieil Oom P auln îî! i^ ap6rStte li Dg,alerre ne 8era jamais maîtresse des deux Républiques, û in s ce jo u ru iU o n ’ui cessé de 'l’siilrmer, en dép« des prédictions contraires de ceux oui me taxaient de paradoxal : après trois mois de

anglais débarqués au Sud de i Afrique n ’ont pas encore réussi

y "c» uaui i oxisieaceae leurs soldats, estimaient que ce n ’étàit pas la peine de risquer la vie d’un Boer contre celle d o n seul Anglais. L’incident

? , 8Iaagty où l0 régiment allemand dacolonel Schiel, armé du sabre, se laissa décimer et prendre par les Anglais, pour s être trop imprudemment avancé, ne fut pas pour leur faire changer d ’idée.

Ce que nous allons dire maintenant mé­rite d être relaté : les renseignements que I on va lire nous ont été adressés du Trans- vaal même, par un de nos amis, ancien sous- offlcier d un régiment d’infanrtfrie en France, et qui a pris une part active à l’éducation des Boers & 1 arm e blanche. Nous tenons sa lettre depuis près d’un mois et n ’avons voulu rien en dire jusqu’ici de peur de commettre une indiscrétion; mais aujourd’hui les An­glais sont renseignés, — de là leur pru­dence, —* et nous pouvons parler sans crainte de leur rien révéler.

Donc, le colonel Braun, tenace comme tous les Allemands, demanda au président Kruger 1 autorisation de créer une réserve composée exclusivement d’Européens armées du sabre et de la baïonnette et affectée à la garde de Prôtoria; il groupa ainsi 3.800 hommes ; Allemands, Français, Hollandais, Espagnols et... Irlandais ( la plupart des anciens soldats des Irigh fusilier» faits pri­sonniers à Glencoe servent actuellement dans les rangs boers avec leurs compatriotes venus a Irlande et d’Am érique); les instructeurs étaient des officiers européens, parmi les­quels notre correspondant.

Tous les jours, sur la pelouse qui s’étend devant la modeste demeure de l’Oom Paul. cette petite année faisait l’exercice du sabre î ! . i . / a baïonnette; le président Krüger assistait à cette mimique bizarre pour lui, mais dont 1 ensemble et la vigueur ne lais- sait pas de l impressionner. Joubert, atteint a une inflammation du bassin pour avoir abusé de 1 équitation, rentra à Prôtoria afin de se faire soigner et assista, à son tour, aux exercices du « commando » européen.

Enfin, le colonel de Villebois-Mareuil, en­gagé en France par le Dr Leyds comme chef a étal-major de l'armée du Transvaal, arriva a Colenso ; il fut aussi frappé de voir ces troupes exclusivement armées de fusils. Il en exprima son étonnement; on s’expliqua: il voulut voir le « commando » Braua, qui lui fut dépêché par chemin de fer. Il le fit manoeuvrer et finit par convaincre les offi­ciers boers des avantages de l ’arme blanche.

Au Transvaal, on le sait, l’usage n ’est pas de perdre beaucoup de temps en parlottes une chose décidée est aussitôt mise en pra­tique : on ne sera donc pas surpris d’ap- prendre qu à l’heure actuelle 20.000 Boers. spécialement dressés à cet effet, et encadrés ! ! ï 2 (e“! 2pél D>* manient le sabre el la baïonnette avec "1 adresse de vieux bris­cards. 12.000 font partie du corps qui fait face aux Anglais en avant de la Togela. Placés toujours en réserve, un peu en ar­riére du front de bataille, ils font le coup de feu quand ils en trouvent l'occa­sion , mais ils ne sont jamais autorisés à se por er en avant. Le jour où le général Jou- j r*{,J0K0ant lo moment opportun de pren­dre 1 offensive, culbutera les Anglais, ceux- ci n ont pas à entretenir l’espoir de pouvoir se reformer à quelques kilomètres en ar- n 0J0 » 1,8 80r°nt pourchassés par 18.000

concentration; les Anglais viennent de s’em­parer des dernières collines en avant du Drakensberg ; la lutte, aruiéo contre armée, va commencer...

II. de Rauvili.k.

----- xxa.uoo m» ramèneront repeela Tag«lap oû, coûte

nue coûte, ils devront faire le plongeon. Comme nous le disions dans notre dernier5., Ïm ’ j- gônéral Bu,ler avait raison quand il disait à ses soldats que cette fois, il leur faudrait « .vaincre ou mourir ». Ajoutons que le général de Villebois-Ma­reuil a revendiqué l’honneur de conduire lui-môme cette charge suprême : on peut être assuré qu il saura vaillamment s’ac- quitter de cette tâche. Dôiâ il a commandé en chef à Colenso, en l’absence de Joubert. et on sait quelle défaite il a infligé à i 11er// Lo J°urnal officiel boer lui-môme, le Vollcestem, a reconnu que tout l’hon­neur de la victoire lui revenait, et le Volk-

S i r olé des re“ erei8“ ™ '» « d«

Il sera peut-être intéressant ici de savoir quel rôle joue exactement là-bas, notre illustre compatriote : comme chef d 'état- major, il est chargé de la préparation pro- prement dite du combat : données tactiques, distribution stratégique des forces ; mais i n est pas autorisé à modifier les formations paî L6!1 09 aux Boers et que nous avonsprécédemment décrites, excepté, toutefois, en ce qui concerne le corps dressé à l’arme b anche et dont il a le commandement direct assisté du colonel Braun et d’officiers euro^ pôens. Quand la bataille commence, Joubert prend seul le commandement et tout le E a S 8. . !.2béit» ? «>mP™ le généralissime orapiste Ll-onje, y compris le président Stenn et môme le président Ktflger s’il plaît à celui-ci de venir faire le coup de feu. comme cela lui est arrivé à Dundee et à Co- lenso - et dans ce cas M. de Villebois- Mareuil reste prés de Joubert comme con- •a Huf çu va prendre la têlo d ’un commando, selon qu’il en reçoitjl’o rd re .. ’

Notre compatriote, du reste, apprécie hau- J^ 10^ ^ 68 troupes boers. Voici comment il

« f r 0.« ? i>i0r8i 80nt des soldats d ’un tem péram ent ex trao rd ina ire a u feu, des h om m es d ’il y a deux cen ts ans com battan t aveo des engins m odernes. i l 8 8 ? se rven t adm irab lem ent d e leu rs p ièces, ap-

r i? « ? distanças d ’une façon invraisem bla- fl«r i l? 0 '2 8tülci m 'jila ire a “ fiuel il fau t se

Ie rég u la rise r, attendu q u ’il n î ^ î » . P inluitl0Q ,à beaucoup de choses quo

f f i n , bion,P,P™ .x “ 8 lM «“ 6m 8m f 8” 188 “ r .

La Crise du Charbon.L’industrie houillère manque en ce mo-

mont de bras. Les besoins de la consomma­tion exigent, en effet, par suite des deman­des plus fortes de ta métallurgie, une production plus élevée que la production normale. Môme dans leN çrd. où les grèves n ont pas encore troüb lrlè travail et ralenti le rendement des mines, l’on éprouve le besoin d’une m a in -d ’œuvre plus nom­breuse. *

Anssi, s’inspirant de la nécessité de re­médier à cet état de choses, trois députés d“ Nord> aPP«rtenant à des opinions très différentes, MM. Basly, des Rotours et La- mendin, viennent-ils d’écrire au ministre des Travaux publics pour lui demander d obtenir le renvoi temporaire, dans leurs loyers, des ouvriers mineurs actuellement sous les drapeaux. On estime leur nombre a environ 5.000. C’est un chiffre appréciable. Nous ne voyons aucun inconvénient a ce que Ion fasse droit a celte requête. Chaque année, au moment de la moisson, un cer­tain nombre de fils de cultivatéurs ou d’ou­vriers, ruraux sont envoyés en coogé pour prendre part aux travaux de la récoiteVH n y aurait doDC, dans la mesure réclamée par les trois députés du Nord, rien d’anor-mal. ......... _ ........ ......... ...........

La nécessité force, en certains centres, les compagnies houillères à embaucher en ce moment des ouvriers où elles peuvent çest-à-dlre des ouvriers qui ne sont pas habitués à ces travaux. Les ouvriers mi- neurs, actuellement sous les drapeaux, viendraient rem placer, non seulement comme nombre, mais comme qualité, le personnel d’exploitations qui, sans parler des travaux de l’Exposition, ont à satisfaire â des besoins de premier ordre.

arrêté seront eonstatées et poursuivies dans les formes déterminées par la loi sus-visée

A rl j — MM. les sous-préfets, maires et Hnic’ ’ 3 6™da™i>™, Tes gardes fures-tiets, gardes champêtres, gardes particulier, sont chargés, chacïu eu ce qui le concerne b l i i m m t°J I " p i6 ie m a r rS lé 1 0 i S81’» PU-dôparlemeuL ,ü“ ‘eS “ “ “ “ « «•»

Beauvais, le 22 janvier 1900.Henri P a u l .

Nouvelles militaires.L e s O f f i c i e r s e t l e s S p o r t s .

Le ministre de la Guerre a envoyé aux commandants de corps d’armée la circu­laire suivante :

Mon cher général,

Il résu lte des ‘constata tions faites p a r des gé­n é ra u x inspecteurs perm anen ts que, dans ce r­ta in s rég u u em s de cavalerie , des officiers néuli- gen t leu rs devoirs professionnels p o u r s ’adonner a des spo rts ex té rieu rs . «uuuuei

Je su is partisan do ces exercioes, dont je re ­co n n a is . i utilité e t les bons ré su lta ts ; m ais chaque chose a son ra n g d ’im portance. Aussi je p roscrira i les sports ex té rieu rs si, conform é­m ent a u x o rd res ex is tan ts , on ne les fait pas

= n ap iè s les nécessités du serv ice e t d e l 'in s -

Je vous charge d ’en av e rtir qui de d ro it et de m e s ignaler les abus q u i Se 'p rodu ira ien t encore,

G alliffet.

m i Ï Ï ; S Ü ae.laurs embarquements en che- SnûJL 80 *°?1 avec ?ne raPidité que nos ca­valiers peuvent leur envier,., Ils usent très à Dro- | £ i da de fer et utilisent le p r f a c i Æ t e ? A bi‘éV0Urei-J Cfl8t a*081 qae le général w i o i a . i i ,a Modder-River pour Kim- s ! r l f . ip ,rer 8 r®,r<dfa de Belmont et vient d® . l e corps de secours anglais. Il était

K S 4 . B t o Œ L “ ml“ 48 ter

I l est juste de dire aussi que Cronje est un « progressiste », si je puis ainsi dire, et est quelque peu enclin à trop adopter les factiques européennes,. au grand scandale des généraux Jdubert, Stalk et.Ollivier. Ils o nt cependant consenti à accepter de lui le

K m ê u i ™ r Ï Ï CJ a « i .d0,iég6' 40,11118 TOntQuoiqu'il en soit, les événements décisifs

sont proches : la série des combats d ’avant- garde est terminée ; les Boers ont fait leur

CHRONIQUE DÉPARTEMENTALEC lôture d e la C h asse en t 9 0 0 .

Nous, préfet du département de l ’Oise, officier de la Légion d'honneur,)gVu ies lois des 3 mai 1844 et Î 2 janvier

Vu l’arrêté réglementaire sur la police de la chasse du îo janvier 1900 ;

Vu la dépêche de M. le Ministre de l'agri­culture du 11 janvier 1900 ;

A n a é r o n s :

Article premier. — La clêturede lâchasse est fixée au

Dimanche 4 février 1900, au soir.A rt. 2 . — Toutefois, la chasse à courre

à cor et à cris, continuera d ’avoir lieu ius^ qu au 30 avril inclus.

T L.a. cha880 au marais ne sera ,080, ? ae 10 ^5 avril et sera ouverte Je

18 juillet suivant.L’arrôtô réglementaire sur la police de la

chasse du 80 janvier 1950 fait connaître les conditions spéciales de cette chasse.

Art. 4. — Les contraventions au présent

S E N L I SA t r a v e r s S e r x l i a .

SoddTd n’IIouTicuLTURg na S e n l is . — A sa ilarniôre séance, tenue le 7 janvier cou- rant, sous la présidence de M . Thirion, pré­sident, la Société d'horticulture de Seuüs a admis parmi ses membres M . Gustave Le-

Sa“m ^ a Jximin!er ^ 11“rd8‘>»“'-g, 4Ont été présentés : MM. Lebon, prévôt de

la Confréiie de Saint-Fiacre, maraîcher a '" lo v e r ., par MM. Testard el Thirion* niênne r®!aurateur, porte Com-piègne, a sentis, par MM. Davenne et Ar-naMu M ° f0n ° claï8). jardinier ICourleuil, par MM. Lozel el Mourel ; Vincent, jardinier

a19’ ?,fr MM’ Ber8er «t L o«" Après le dépouillement de la correscon-

dance, M. te Président annonce le décès de deux des membres de la Société, M. Lasnier aubergiste, et M. Fauvet, propriétaire, tous r f.’î?na nlls’ L’assemblée envoie à ces deux famrttes-ses compl nienis de c o n d o lé a S

1 donne la parole a M. Morel, président de a commission des iinances, pour faire la lecture de son rapport.

LobuiJgetde 1900 est adoptée! tes comptes de 1899 approuvés, tels qu'ils sont présentes Par lu commission des finances.

Des remerciemenls sont en plus votés A M. le vice-président Morel, el à M. Choquei trésorier, pour la bonne direction du budget!

le becrétaiie-Générul donne connais- în fW o iia rt89ï bll!9 d6s d4cisi8DS Prises par de « t o u r : minlslrallon dans «4 séance

A',™ Ci°f,seil' f près aToir eclendu la lecture « l ï ï î 4 18 présideot parM. Goreullot, jardinier chez M. Kuip. au château de V algeuceuse, demandant qu'il lui soit accordé une récompense pour 25 ans de service dans la même maison! a décidé qu’5 y qvait heu de fane droit 4 la demande de M. Goreullot, et quo d ’aprôs le règlement ii avau droit 4 une médaiüe de vermeil dé

de févrwrqUI 801811 décernéa a la 6éa“ co Sur la proposition do M. le Président, le

Consoit a décidé qu'il y aurait, en 1905, deux concours semestriels, dont les dates seraient Usées dans la prochaine séance, ainsi que des visites de Jardins. B

Ccs dêcisions sont notillées par l’assemblée. M. te 1 résident donne la parole 4 M. Lo-i ,P if i88Bf r’ pl!ur la le' on “unoncée sur ta multiplication des oignons 4 fleurs, et 4 la

demande de M. le Président, il a consenti A on faire un résumé très intéressant hnfi 0S„1t °|"SU1S8 procédé aa lirago de la tom- et demie. “ °Sl é0 4 q“atre heur8s

Voici l’itinéraire des leçons d'horticullura pour le mois de février 1900 :

Taille des arbres i fru its el d noyau*. Senlis: Dimanche 4, i l'issue d . la séance

ch e rï’m aire! 4 10 ll> ch 0z M ^ bou-

l ' E Ï f f î S : Dtaaao,la “ • * s Usures, » Dell : Jeudi 15, i 2 h. J/2, à ta Mairie

la Mairie Uim*“8h8 18,4 2 h ., 4I l I s ^ d - le - l la u d o u in : Jeudi 22, 43 h 1/2a 1 Ecole des Garçons. » « « u. i/* ,

Creil : Dimanche 25, à 2 h., à la Mairio.

. s aa distribution do récomponses aux iau- ! chrysanthèmes du

t 2 novembre dernier, pour apports on séances, ainsi que pour les visites do jardins aura lieu le 4 février prochain, 4 deux heure» et demie, en la salle dos séances.

~ MM- E- Chemin, hou-

& , ’ ont ê m S

dfaomb’re dernier.4 la da

pendue de la lerre, si la mienne n ’existaitrS U IL L S T O N— Oh I oui, monsieur.

LE P E T IT -F IL S

D’A R T A G N A N* • h l a V ’K iV & A . 8 I É G E L

«sut p!î* ,înne l,ea ra 1 «’éc ria m aliclouso- Uinn nn .V ,1' P " thotnent quo m on capi- «au'fl m !0 ,ra ' ! f p lus d 'idi01 61 d 'an im al, j W che? nPnre 5 par la d0“M“r. i 8 vais m e l Æ n d8“ DI0U* voici fa chose : ’a ma ra? a aTOU flh’elle fe ra it volontiers e " S , a r 'ln8 ‘nddêlitô 4 sou B usse .. Pitrinej r’ « , 8aTe*~v°us qui c’est, mon ca - l'heare r.m- R,od,ko, 'e hu ssa rd d e tout A « n u 6' “ “ ' I 81 “ e t» 4 si bleu ferm é au

18 iwrle du p rin ce Dorielf. son mali™ ,-* Salané Golfatl

« n m d , m i

| . ~ J ,on .s ie a r d l“ e ra -t- i l ici y dem anda

I v e tr ^ d l 'h o V m T ” 1 r° re,lir d'Ar,a«“an

j o Mpa0li^à?!^natu!ndanP,edonnez,àeM gar- k ? n e q? voudra , e t faites-m oi se r“ rg „ S

picrïee fendCre ’ “ r i l gè,e a“iourd'hai 4

ouTn^an^dfn^sa^hambro/ 116 " r?i? “L o i m haa1’ 81 envoyez-moi la chose par

- . Ta «s entendu f flt Phêle en s’adres- sant à la servante.. tnaitre, répondifla fille, rouge dejoie d avoir aSsezallirê l'attention d’un jeunepè,o;)8:nCr m ,er P0Ur qa'“ da^ . , e T p !

i’h#m1hro’!!8 ,!f'i’ p^ !' ell° enlrail dans la chamf demandé! H8”' “PP°r,ant lo ï ia

Le Gascon l’atlendait, les pieds étendus minée ,Ui 1>r4la“ dans la che-

— Dépose le bol sur celte table à cétê do moi, ma fille, lui ordonna-t-il.

— Voilà, monsieur.

v ers 'la p o rte!° réT6renM “ “ " a h a— Reste, lai cria-t-il.— Monsieur a besoin de mes services ?

roucoula-t-elle, câline. «orvicesr— Oai, je voudrais causer un non avec

toi, ma petite Louüen. Et d'abord,1Prtpdhd» franchement. Suppose que ton amoureux dans une heure d W n d on , t’ait confié w -

—- Môme si I on te payait pour parler ? dit d ^ ta? Dan en ôlevant, à la hauteur des yeux de la servante, sa bourse, qu’il agila

2 n 5 ^ re 1rendr0 son argentin.Elle baissa les paupières et, finaude :— Je suis une honnête fille, monsieur, et,

aa.moild0» jo no dirai ce que j ’ai £ ™ 4 m0in8 qu’on ne s’y prennesi gentiment, si gentiment...rAndî2 îg??n aI ail pour Principes de mener rondemon les choses. Macha n ’existait en­core pour lui çju’â l’état de rôve.

Îî?,cï 0' accorle* contrai- 5 0nt 4 Goliath, le Gascon n ’accordait i» mrSn. f . T i 00001*0»™ à la taille pluss é; r d8s,emmM4q“i i i8 a p ^«i.ïL a ,l*ra Louison à lui, l’assit doucementhnL«r3on!n?.UX’ 0l’- aprôs lai aVoir donnô unb a is e r s u r c h a q u e jo u e :

b*en; Pet‘to, trouves-tu que je m'y prends d une façon assez honnête ? pire • 86 contre sa moustache, et sou-

Oh I .oui. Dites, monsieur, au’est-ce que vous voulez savoir ? ’ qreüx?CeSl dz^° ^ ®s* ton amou-

— Oui.„ T . Kh bi®n ! tu sais peut-être, par lui, 3 5 » % S?/!80111!0810 priDC®Borieff fréquente nées ? et comment il passe ses jour-

s i e u r ^ l0nl 06 qae RodEko mon-

a ^ J S & e a f s t»! Bon?* M t* a l d<nmer q»»

. “ B’abord, en dehors de3 officiers de son Nancy001’ prilQC® n® voit personne à

— Personne?“*■ Personne; mais en dehors de Nancy»

c est autre chose..ba^ * flt.d ’Artagnan, vivement in­

téressé , conte-moi cela; friponne.

XVHI

, B8> r ° " > de h 'èrtagnan, Louison so .V ü ia g l,8S0r à ses pieds, où elle s’accroupit sur le plancher, sans cesser de dévorer des yeux le beau capitaine.

Puis, elle commença : •„ ~ B y avait environ deux mois que j ’avais bonfô8Qr bu88ard Bodzko mes premières

‘ L® fan® de miel de nos amours était passée, et nous nous disputions quelquefois.

« Un jour qu’il me traitait de coquette, comme je ne voulais pas être en reste avec fa AnVul ré,pondl8 flue» 80a8 fa rapport de l î i o n i ï ’i *8 bomme8 n0 valaient pas mieux que les femmes.n n V Z Tai8' toi* B, tu ne sais pas ce dont un Russe amoureux est capable.

Ici, Louison crut devoir s ’interrompre. 6 i r i i> ;oa? £ exc1Q8«r®2»mon beau monsieur,

^ i ^ . r f X K ^ u ^ Œ 1,0 s . « û x ^ ; r;„<3 Æ rp , s . porm9,,ro 40

4 l Ü ’i ï f i a f f i 0” ' “ * pre*'é’Bllt reprit j '

— la ne serais pas fâchée, lui deman- dai-je, do savoir tout ce dont un Busse amoureux est capable. Tu no me l'as nasfit BodxJko ’ appnmd,-|0 -moi. mon pe-

v El, en même temps, je le câlinai de mon mieux.

« — Ah ! Louison, soupira-t-il, je ne suis quune brute, moi, et jaim e comme une b ru te . Mais un qui sait aimer, c’est mon raaiire, le prince Dorieff, le modèle des amoureux l... *

« Jamais il ne m’avait parlé du prince, et, jusqu alors, quand je lui avais posé des questions au sujet de ce magnifique seigneurqa j 5 ^ I8ai l 81.b0o» «i généreux, il s’était gardé de répondre.

« Dame! vous comprenez, m onsieur.du moment qu il y avait un mystère — et un mystère d amour — jo n’eus de cesse qu’il me le révélât. 4

« Je ne sais comment je m’y pris pour le décider à parler, mais enfin, je réussis.

— Je m’en doute, moi, dit d ’Artagnan en riant.

Et, à part lui, il ponsa.:« Il parait que le hussard est plus sen­

sible aux caresses d’une jolie fille qu’à tout l argent du monde. Il ne trahirait pas son maître pour un écu, mais pour un baiser, c est autre chose. » ’

*7 Voici donc, poursuivit Louison, ce que f î° lz»v° me raconfa •' U y avait, à ce moment- là, à Nancy, une panvre jeune fille, aveu-

Sle, qui parcourait les rues de fa Ville en lendlatit sou pain et eelul de sa g ran d -

mère: « -« Tontes deux étaient d’anciennes bro-» uvua oMiuiu u anciennes nro-

■ • • • • » » . i» . . '« Quand je dis que la Ninon mendiait ta

me trempe. Mendier, c'esi recevoir l'aum’êna et ne rien donner en échange.to i! ? .r ’ en re lo u r .des lia rd s qu ’on lu i ie« fa it, e t que ram assait sa g ra n d ’m ôre N inn» ch a rm ait les o re illes des g™ , fra in s qu e lle ch a n ta it d ’une voix t r ô ? i î m

°arm es.40UC0 q “ 'e" ° ™ a » « S a i t ’ d S« Un jour que lo prince se promenait

dans les rues de la ville, avec Bodzko il rencontra Nioon et l'entendit ' “

lio n 1' 5’arr4‘a S°“ dain 81 d9?il“ p4le é'êmo- « Au mémo inslanl, Bodzko lui dit •* — ! .rillc8. C 'est v r a im e n t miracùlam f

On d i r a i t quo, q u it ln u t n o tr e s a in to llu s s io

ierïr „ a(.n« f jq ,° 40 l a ,B8R8 « m te ™ To:d.8™ aa esl venue jusqu'en France, et quo c est eilo que nous entendons sortir d o la Louche do celte jeune aveuglo.

« Il faut vous dire, monsieur, — c'est on.™n° h n qoi m a appris 80 détail, — que cette belle comtesse ost célèbre à Saint- létersbourg, plus encore pour sa voix aua pour sa grâce, sa bonté et sa vertu

« Mais sa voix, à co qu'on assuré, est la plus charmante qu'on puisse entendra

« Le prince a voué é celle dame une u d-

M ÿ u e dp ^ 7e1° o ÿ « i « r .M 4? æ qu^Srrsoupçonnât. qoa p*fM m 8 1,

f i n t r à r e ^

Page 2: L D E S E N L COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1900_01_28_MRC.pdf · 2014-02-15 · ,GE, nous \ Jl. KOY, les Acces- itures, ir-imis voix I dit d'Artagnan,

S o c ié t é d e S e c o u r s m u tu e l s d e s S a - I’E U r s - 1*om pikrs . — L'assemblée générale de la ' Société de secours mutuels dos Sa­peurs-Pompiers de Senlis so tiendra, à rilôtel-de-Ville, demain dimanche, le 28 courant, à deux heures a’prés-midi.

ORDRE DU JOUR

Situation financiôro au 31 décembre 1899.R e n o u v e lle m e n t d e s m e m b re s d u c o n se il

d e fa m ille .

. N éc r o lo g ie . — AL Pierre La font. — Ce m atin, à d ix h e u r e s , o n t e u lio u , à la c a th é ­d r a le , lo s o b 'ô q u e s d e M. P te r r e -C a m il le Laront, ty p o g ra p h e , d é c é d é j e u d i , e u so n domicile, dans sa q u a r a n te e t U n iè m e année.

L os c o in s d u d ra p é ta ie n t to n u s p a r

cale, d o n t I .a fo n t é ta i t t r é s o r i e r , e t p a r M M . L o u is V a r le t , p ro ie , S o :q o l H o n o ré V a r le t , ty p o g ra p h e s , s e s c a m a ra d e s d ’a lo - l i e r .

L ’ofllce a é té c é lé b ré p a r M . D a v o u s t, le n o u v e a u v ic a ir e d o S e n l is .

U n g ra n d n o m b ie d o p a r e n ts e t d ’am is a c c o m p a g n a ie n t lo d é fu n t a sa d e r n iè r e d o m e u re .

.L a fo n t la is s e r a lo s o u v e n ir le p lu s sy m p a th iq u e à to u s ce u x q u i l ’o n t c o n n u ; e x c e l le n t o u v r ie r , b o n c a m a ra d e , t r a v a i l le u r a c h a rn é , s a d is p a r i t io n f e r a u n v id o s e n s ib le a u x a te l ie r s d u Journal de Senlis, o ù , à sa g ra n d e jo ie , i l é t a i t r e n t r é d e p u is q u e lq u e s m o is . . *

N o u s a d re s s o n s à s a fa m ille n o s s in c è re s c o n d o lé a n c e s .

E s c r o q u e r i e . — D an s lo c o u r a n t d u m o is d e d é c e m b re , u n in d iv id u d u n o m d e l ’o u r - n io r se p r é s e n ta i t à M. d o Ito zy ck i e t lu i d e m a n d a i t d o lu i c o n lic r u n g ra p h o p h o u o d ’u n e v a le u r d o 100 f ra n c s , a s s u r a n t q u ’il e n a v a i t le p la c e m e n t.

C e t in d iv id u lu i d é c la r a i t d e m e u re r S e n l is d e p u is p lu s d ’u n m o is e t , a l ’a p p u i d e se s d i r e s , lu i m o n tr a d e s p iè c e s q u i p a r ­v in r e n t à d é c id e r M . d e R o z y c k i, j u s q u e - là h é s i ta n t .

L e le n d e m a in , u n e fe m m e , se d is a n t la f e m m e d e F o u r n ie r , s e p r é s e n ta i t à M. d e I to z y c k i e t lu i d é c la r a i t q u e so n m a r i , q u i so t r o u v a i t à M o n llé v ô q u e , é ta i t e u p o u rp a r le r s p o u r la v e n te d e s o u a p p a re i l , m a is q u ’il lu i f a l la i t d e s ro u le a u x e n re g is i ro u r s , q u 'i l l ’e n ­v o y a it p o u r le p r i e r d e le s lu i d o n n e r .

M . d o ito z y c k i a c c é d a à c e l le d e m a n d e e t lu i r e m i t d e n o u v e l le s p iè c e s , s 'é le v a n t à la so m m e d e 20 f ra n c s .

L e l e n d e m a in , i l a p p re n a i t q u e lo s ie u r F o u r n ie r é t a i t à S e n l i s lo r s q u e s a fem m e v i n t le t r o u v e r , e t q u 'i l s 'é la i l e m p re s s é d e p a r t i r a v e c le s p iè c o s cou liéo s .

U n e e n q u ê te fa i te p a r M. le C o m m issa ire d e p o lic e é t a b l i t q u e c e t in d iv id u , q u i p a r ­c o u r a i t le s fo ir e s a v e c u n g ra p h o p h o u o , a v a i t v e n d u p o u r u n e so m m e r e la t iv e m e n t é le v é e , à u n c o m m e rç a n t d e S e n l is , u n a p p a re i l h o r s d ’u sag e , e t a v a i t u s é d u s u b te r fu g e in ­d iq u é c i-d e s s u s p o u r r e m p la c e r l ’a p p a re i l u s é , d o n t i l s ’é ta i t d é b a r r a s s é â s i b o n co m p te .

S ’i l c o u r t e n c o re , c e t e sc ro c d o i t ê t r e lo in .

V I L L E D E S E N L I S

L e M a ire d e la v i l l e d e S e n l i s , c h e v a l ie r d e la L ég io n d 'h o n n e u r ,

P ré v ie n t lo s h a b i ta n ts q u e p a r a r r ê t é p ré ­fe c to ra l d u 2 2 ja n v ie r c o u ra n t , la c lô tu re d e l a c h a s se e s t f ix é e a u d im a n c h e 4 f é v r ie r 1 9 0 0 .

F a i t â l ’IIô le l* d e -V ille d e S c iil is , le 28 j a n ­v i e r 1900 .

Le Maire,S ig n é : A . d e W a r u .

p r é f e c t u r e d u d é p a r t e m e n t DE L OISE

LlaMisseoicnls dangereux, insalubres ou incommodes.

D é p ô t «1e b o u c s e t i m m o n d i c e s ,

CO M M U N E D E SK X L1S

E n q u ê te a d m in i s t r a t i v e .Nous, Préfet du département de l’Oise,

oilicier do la Légion d'honneur,Vu. en date du 29 décembre 1899, la de­

mande présentée par M. Monlupel, débitant, demeurant â Senlis, en vue d'obtenir l’auto­risation d’établir un dépôt de boues et ira mondices au territoire de Senlis, route de Crépy et chaussée Itriinehaul;

Vu les plans des lieux annexés à la de­mande sus-viséo ;

Vu le décret du 15 oclobro 1810 et l'or- donnanco du 14 janvier 1815;, Vu le décret du 25 mars 1852 sur la dé­centralisation administrative ;

Vu les décrets des 3 mai 1886, 5 mai 1888, 15 mars 1890, 26 janxier 1892, 27 mars,13 avril 1894 et 6 juillet 1896, portant clas­sement des établissements réputés dange­reux, insalubres'om incommodés;

Vu les propositions de .M. le Sous-Préfet do Senlis, en date du 2 janvier 1900,

A r r ê t o n s :

Article 1<r. — Pendant uti mois, du 23 janvier au 23 février 1900 inclusivement, la demàtido et le plan des lieux resteront dé­posés au secrétariat de la Mairie do.Senlis, pour être communiqués, sans déplacement, a louto personne qui en fera la demande.

Article 2. — Pendant la mémo durée, le présent arrêté sera publié et alliehè tant dans la commune de Senlis, que dans celles ci-dessous désignées :

Apremont, Aumonl, Harhery, Chaînant, Lourleuil, Saint-l iiniin, lleurines, Jon- laine-les-Corps-Nuds, Saint-Léonard, Monl- lévêquo, Ognon. Pontarmé, ’J’hiers et Vil- lers-Saint-Frambourg.

Articlo 3. — M. Vaillant, percepteur en retraite à Senlis, est spécialement désigné pour procéder à l’onquèto de commodo rt incommodo prescrite par l'ordonnanco du14 janvier 1815. Il ouvrira à cet effet, à la Mairio do Senlis, pendant la journéo du 24 février 1900, do dix heures du malin â quatre heures du soir, un registre sur lequel

. les intéressés seront admis à consigner leurs observations ou oppositions. Il annexera â ce registre les déclarations écrites qui lui seraient présentées.

Articlo 4. — Los cei lilicals de MM. les M aires constatant rnppudiioti des • liichos et les publications prescrites : erom adressés, à l'expiration du délai lixé a l'article l , r ci- dessùs, à .M. le Sous-I’réfet do Senlis.

Articlo5. —• M. lo Coiiinii.ssaiio-Enqiirqoii»' fma parvenir à M. le S uis-Préfet de Senlis les diverses pièces do l'allairo dés que les Opérations seront terminées.

Article 6. — M. le Sous-Préfet de Senlis est chargé de l’exécution du présent arrêté, dont une expédition est transmise â M. lo Commissaire-Enquêteur.

Beauvais, le 15 jin v ier 1900.S ig n é ; H e n r i P a u l .

E f AT C IV IL DE S E N L ISdu 20 au 27 janvier 1900.

Naissances.(N éapt.)Décès.

21. C orrcux (M ario-M agdeloine), veuve Vail­lan t, 89 ans 1/2, à l ’Hôpital.

21. lléberl(C hrisiine), veuveT eru iz ien ,tf7nn8 l/2 , à l'H ôpital.

25. I.afont (Cam illc-Piorre), <10 ans 1 /2 , .ty p o ­graphe, rue d u C hancelier-G uériu', 4.

Publications de Mariages.21. Enlro M ulard (A lbprt-A ugusto), boucher, et

dem oiselle Maudou (Pauline-A dôle-Léo- ni de), sans profession, tous deu x dem eu­ra n t à 11 igneux (Seine).

21. E n tre Longm (Antoine), ta illeu r d 'hab its , etdem oiselle b a rré (M arie -b lanc lie ), sans

p ro fe ss io n , tous d e u x d em euran t à Senlis, èiariages.

22. E nlro b a r ré (Alfred-Hippolyte), cnltivatour,e t den ibi-elle Sollier (I.ouise-Constance- A ngéliquu), sans profession, to u s deux dem eu ran t 4 S ooIR

27. E ntre Prévost (Georges-Eugène), m anouvrie r, et d c m r jp io Doré (Emélie-Angélique), tous deu x D em euran t à Senlis.

27. E n tre Hanse (A lphohse-Charles), m anouvrier, e t dem oiselle P révost (Gabriellc-Alphon- siue), tous deu x dem eu ran t à Senlis.

T r a v a i l «Iu iih l ’i n d u s t r i e .I . — Liste des membres de la commission

directrice des comités de patronage pré­vue par l’article 25 de la loi du2novem- bre 4892.ME.MlllICS NOMMÉS I’ I l LB CONSEIL GÉNÉRAL

i r c h o O e t i séna teu r, conse ille r-général, m aire de Cornpiègno, 23 aoôt 1899.

M, lliiiosselin , ancien d épu té ; conseiller géné­ra l, 5 S ain t-Just-en-C hausséo , 23 août 1899.

M. Cliopinet, docteur en m é lec in e , conseiller général, m aire , député , à C répy-on-V alois, 2 3 août 1899.

M. bebauve, ingénieur en chef dos ponts et cliausséos, à b eauvais , 23 aoû t 1899.

MEMBRES NOMMÉS I*AR LE PRÉFET

M. Dévé, docteur en m édecine, à Beauvais, lO jan x icr 1900,

M. D upont, in d u strie l,p ré sid en t de la Cham bre do com m erce, à Beauvais, 16 jan v ie r 1900.

M. A ubertie , in sp ec teu r d épartem en tal d u t r a ­vail dans l’ind ifttr ie , à B eauvais, 16.ja n v ie r 1900.

II. Liste du comité de patronage prévu par l'article 25 de la loi du 2 novembre 4892, pour l'arrondissement de Senlis.M. T roté, ingén ieu r d es ponts e t chaussées à

Senlis, 23 ao û t 1899.M. Cagoy (Paul), v é té rin a ire à Senlis, 23 août

1899.M. Cliopinet, doc teu r en m édecine, conseiller

g énéral, m aire , d éputé , à Crépy-en-V alois, 23aoû t 1899.

M. C lair, industrie l à C répy-on-V alois, 23 août1899.

M. D ip riez , ingénieur civil à N euilly-en-Tholle, 23 août 1899.

M. M euret, juge de p a ix à C reil, 23 aoû t 1899. M. Pavétie , in spec teu r p rim a ire à Senlis,

23 août 1899.M. S o rrin , conseiller généra l, à N euilly-eu-

Thalle, 23 ao û t 1899.M. Ilé ro u a rl (Eugène), secré ta ire d u Syndicat

d es ouv riers m étallu rg istes de l’Oise, à M oula- la ire , 21 décem bre 1899.

M. Ca r ia i s père , p résiden t d u Syndicat typo­g raphique e t des industries sim ila ires, à Senlis, 21 décem bre 1899.

M. M oyeucourl p ère , p résiden t de la Cham bre d es ouv riers e t ouvrières de la M anufacture d’a l- lum ettos de Saintines, 21 décem bre 1899.

A b a t to i r . "Entrées du 20 décembre au 20 janvier.

39 b œ u fs p e s a n t 2 3 .5 4 3 kilogrammes.1 ta u re a u *—

2 6 v a c h e s — 82 v e a u x —

347 m o u lo n s •— 148 p o rc s

6721 2 .6 4 0

9 .8 2 61 5 .6 1 51 5 .9 6 7

E n o u t r e , i l a é té i n t r o d u i t e n v ia n d e sd é p e c é e s : ..........

2 .9 2 4 k ilo g ra m m e s d e v ia n d e d e b œ u f.411 — — d e v e a u .830 — — d e m o u to n .126 — — d e p o rc .

L ’a r r ê t é m u n ic ip a l d u 1e' o c to b re 1875 p re s c r it a u x m a rc h a n d s b o u c h e rs do d é s ig n e r la p ro v e n a n c e d e s v ia n d e s q u ’ils m e t te n t e n v e n lo , p a r u n e é t iq u e t te p o r ta n t le s m o ts : Bœuf, Vache o u Taureau.

M,nc C a rp e n tio r a l 'h o n n e u r d 'in f o r m e r s a n o m b re u s e e t a im a b le c lie n lè lo q u 'e l le a q u itté C h a în a n t e t v ie n t d ’o u v r i r , 7 , r u e d u C liû lo l, à S e n l i s , u n m a g a s in d e m a c h in e s à c o u d re a m é r ic a in e s D av is e t a u t r e s s y s tè m e s . L a D av is e s t u n iq u e p a r le n o m b re e t la q u a l i té d e s tr a v a u x q u ’e l le e x é c u te . L eço n s, ré p a ra t io n s , fo u rn i tu re s , p iq û re s à faço n e n to u s g e n re s .

C o n s e i l s a u x l o c a t a i r e s .. Is s i i ro n c e contre l'incendie : Risque locatif

N ous a t t i r o n s to u te l ’a t te n t io n d e s loca­ta i r e s s u r la r e s p o n s a b i l i té q u i , e n c a s d ’in ­c e n d ie , l e u r in c o m b e , p u r a p p lic a tio n des a r t ic le s 1733 , 1734 e t 1735 d u C ode c iv il .

D ’a p rè s c e s a r t ic le s , i ls s o n t e n e ffe t r e s ­p o n sa b le s , v is - à -v is d u p ro p r ié ta i r e , d e la v a le u r d e s b â t im e n ts loués par eux.. G é n é ra le m e n t , le s p ro p r ié ta ir e s s o n t as­s u ré s , p o u r le u rs b â t im e n ts , c o n tre l 'in c e n ­d i e ; los C o m p ag n ie s p a ie n t b ie n le p ro p r ié ­t a i r e ; c e lu i-c i é ta n t in d e m n is é d o p a r sa p o lice , c è d e to u s s e s d r o i t s e t a c tio n s à la C o m p ag n ie c o n tre ceu x q u i so n t r e s p o n s a ­b le s v i s - a -v is d u p ro p r ié ta i r e , c ’e s t - à - d i r e les lo c a ta ire s .

P o u r se m e t tr e à l’a b r i d e l ’a c tio n d o la C o m p ag n ie d ’a s s u ra n c e s d u p r o p r ié ta i r e , les lo c a ia i ie s d o iv e n t s 'a s s u r e r c o n lro lo re c o u rs lo ca tif , q u 'i l s s o ie n t lo c a ta ire s à la s e m a in e , a u m o is , à l 'a n n é o o u a u tr e m e n t , p o u r la v a le u r d e s b â t im e n ts , a f in d e so t ro u v e r à l ’a b r i do l 'a c tio n d u p ro p r ié ta i r e o u d e son a s su ra n c e .

L e lo c a ta ire d e v ra s ’a s s u r e r p o u r u n e v a ­le u r a u m o in s é g a le à c e lle d e s b â tim e n ts , c a r s i, p a r ex e m p le , u n in c o n d io d é t r u i t u n b â t im e n t v a la n t 8 .0 0 0 f r . , u s u re d é d u i te , q u e le lo c a ta iro n e so it a s s u ré , ou é g a rd à so n r is q u e lo c a tif , q u e p o u r 4 .000 f r . , la C o m p a­g n ie p a ie r a ces 4 .000 f r . s e u le m e n t à c e lle d u p ro p r ié ta ir e , e t lu i il au 'rà â d é b o u r s e r , c ’e s t - à - d i r e à p a y e r d e sa poclio^ la d iffé ­re n c e , so it 4 .000 Ir.

A ussi, un lo c a ta iro q u i s e r a i t m al a s s u ré p o u r le re c o u rs lo ca tif o u q u i m ém o n o le s e ra it pa>. p e u t a t r o u v e r r u in é d 'a v o i r à p a y e r le m o n ta n t do l 'in to u d io à la C o m p a­g n ie d u p ro p r ié ta ire .

N ous en g a g e o n s tons lo c a ta ire s à s ’a s s u r e r p o u r le r is q u e d o le u r lo c a tio n , a lin d 'ê t r e â l 'a b r i c o n tre to u s re c o u rs , e t q u ’u n e C o m p a­g n ie les g a ra n t is s e d e la r u i n e ; n o u s le u r re c o m m a n d o n s d e b ie n s ’a s s u re r p o u r la v a le u r d es b â t im e n ts , il n e fa u t p a s q u e l 'im p o r ta n c e d e la p r im e les a r r ê te .

O u p e u t s 'a s s u r e r p o u r le s e c o u rs lo c a tif A u n e C o m p ag n ie a u tro q u o ce lle d u p ro ­p r i é t a i r e ; d a n s ce c a s , o n p a io le s tro is q u a r ts d e la p r im o d e s b â t im e n ts . M ais i l e s t p ré fo ra b le d o s ’a s s u r e r à la m ém o Compa­gnie q u e le p r o p r ié ta ir e , car alors on ne

tiaie que moitié de la prime; môme tout ocataire intelligent fera bien d ’exiger que

son propriétaire obtienne de sa Compagnie d'affranchir le locataire du recours locatif ; dans ce cas, le propriétaire paie un supplé­ment de prime du quart de celle des bâti­ments, supplément que le locataire lui rem­bourse. De celle manière, le locataire est déchargé de la responsabilité du recours locatif, en ne payant que le quart de prime de colle des bâtiments ; en cas de sinistre, il est & l’abri de toute difficulté avec la Compagnie du propriétaire, quelle que soit l’importance de l’indemnité.

Tout propriétaire qui ne peut avoir de locataires stables, devrait même faire ainsi, sauf à faire payer, en sus du loyer, tant pour prime.

Nous insistons pour que tout locataire

en cas d’incendie; car nous avons Vu exemples frappants de ce que nous signalons. Nous demanderons même à nos représen­tants de faire votor, si possible, une loi supprimant les articles du Code civil men­tionnées plus haut, et nous demanderons aux syndicats agricoles, aux autres syndicats comme aussi à la pressp, de faire la propa­gande nécessaire.

Nous réclamons, par contre, qu’à l’avenir les propriétaires soient tenus, obligatoire­ment, de s’assurer pour leurs bâtiments, contre l’incendie; que les locataires ne soient plus responsables, et que l’assurance du propriétaire n ’ait plus de recours contre les locataires.

Nous pensons avec raison, croyons-nous, qu’il est injuste que le locataire paie à la Compagnie d’assurances du propriétaire une prime pour le recours locatif quand les pro­priétaires paient déjà une prime d’assu­rance; par cette façon de faire, on arrive tout simplement à assurer deux fois le même risque, au grand profit des Compagnies seulement.

La suppression radicale des articles 1733, 1734 et 1735 du Code civil, serait une bonne chose pour la tranquillité et la prospérité des populations rurales; elle serait éminemment utile aux cultivateurs, industriels, commer­çants et ouvriers, enfin à tous.

D’autre part, l’assurance obligatoire des bâtiments par les propriétaires, serait une excellente mesure.

Qaelques Compagnies d’assurances ont des tarifs très élevés et différents, selon les régions où elles procèdent; il y a là encore une chose pea juste, aussi réclamons-nous qu’on impose à toutes les Compagnies un seul et unique tarif, sans distinction de ré­gion.

L’assurance est évidemment parfois très coûteuse; nous désirons qu’on impose une nouvelle retenue de 10 0/0 sur les primes, sous forme de nouvel impôt, avec interdic­tion aux Compagnies d’augmenter leur tarif; cet impôt devant rester exclusivement à leur charge, serait destiné uniquement à là créa­tion successive de sociétés de sapeurs-pom­piers là où il n ’en existe pas, et à subven­tionner celles qui existent.

Nous croyons, en signalant ces innova­tions à créer, rendre un modeste service à la population rurale. Puisse notre désir être pris en considération, nous le souhaitons de tout cœur.

Il va sans dire que nous ne sommes. ennemi des assurances. Non, ce que nous demandons, c’est que ces assurances soient faites d ’une façon équitable; qu’elles de­viennent à la portée de tous.

Nous voudrions, dans l ’intérêt de l’ouvrier surtout, qu’elles deviennent obligatoires pour tous, de façon que cet ouvrier puisse mettre son chétif mobilier à l ’abri de la perle en cas d’incendie.

F r a n c ,

P o lio a c o r r e c t io n n e l le d e S en ll» .Audience du 22 janvier 4900.

P ré s id e n c e d e M. P aisan t, p ré s id e n t .

M . M e u s n ie r , su b s t i tu t , o ccu p e le s iè g e d u m in is tè r e p u b lic .

Boran. — Le 10 ja n v ie r , les nom m és Grossen (A braham ) 51 ans, e t Denis (Antoine), 48 Hijets su isses, o n t é té trouvés à B oran, n dian t on réunion.

Ils réco lten t chacun six jo u rs de prison .Creil: — P ie rre (G erm ain), â gé de 27 an s , est

l’individu q u i, lo 18 jan v ie r, a tenté de soustraire p lu sieu rs litres de liq u eu r au préjud ice d u sieu r bettencourt, auberg iste à C reil. P o u r sa défense, P ie rre allègue q u ’il é ta it iv re et q u ’il n e se ra p ­pelle rien.

Lo Tribunal se m o n tre très indulgent pour cette p rem ière fauto e t lu i o ctroie h u it jo u rs de prison ,

— C ondam né p a r défau t, lo 14 aoû t 1899, à qu inze jo u rs d ’em prisonnem ent p o u r coups, le nom m é Sauvai (Ju les-A lberi), âgé de 27 an s , m an o u v rie r à Creil, a form é opposition à ce ju g e ­m ent.

Com m e il ne so p résen te pas, le T ribunal m ain tien t la peino.

Crépy-en-Valois. — Lefèvro(A rsène), 54 i ,e t son (ils L efèvre (C harles),'âgé de 19 ans, sont p oursu iv is p ou r avo ir porté des coups à la dam e V efn ie r. Les deu x inculpés p rétenden t que la dam e Y ornier se trom pe, e t n ien t énerg iquem ent les faits q u i leu r son t rep rochés. Lefèvre père, qui sem ble avoir fait de nom breuses stations chez les débitan ts avant de v en ir à l’audienoe, dem ande tou jou rs la paro le et s’éorie : • J ’a rrê te le jugem en t , ce q u i m et en gaieté le nom breux public.

Chacun des p révenus est condam né à 26 fr. d ’am ende.

Lamorlaye. — Dupuis (Sesthène-Célestin), âgé de 19 ans, bûcheron , dem eu ran t à Lam or­laye, a été su rp ris p a r le garde-chef A laphi- lipnc, au m om ent où il décrochait d e u x lapins p ris â des collets. Dupuis prétend quo s ’il a louche aux lapins, ce n 'é ta it pas p o u r se les app rop rie r, m ais p ou r leu r ren d re la liberté, ca r il les avait en tendu c r ie r . ,

Il n ’en est pas m oins condam né è 50 francs d ’am ende, avec application de la loi do sursis.

E tant dans le déb it Vignon, à Chantillv, lo 26 décem bre d ern ie r, le nom m é D enycr (Tho­m as, âgé de 41 an s , palefren ier à Chantilly, a soustra it le pardessus de sou com patrio te Frost, et es t allé lo vend re nu s ieu r May, jockey à La­m orlaye, p ou r la som m e d e 15 francs.

Denycr ost condam né p a r défau t à u n mois do prison.

I.c 26 décem bre dern ie r, lo s ieu r Lemoine (Henri), m archand de bois à Coye, é tan t en iré dans lo débit d u s ie u r Meggs, à L am orlaye, où , so trouvaient déjà p lu sieu rs consom m ateurs, so mit à in ju rie r g rossièrem en t l’un d ’eu x , le sieu r L iénnrd, Agé d * 85 an s , A lsacien-L orrain nyaut opté pour la F rance, le tra itan t d e « salo P ru s- si il », etc. Ce bravo vieillard lui a y an t répondu que bien quo sou pays d ’orig ine fût annexé, il avait un co-ur p lus français q ue le s ien , Lomoino • : il une chaise et chercha a en frapper le sieu r

iard, qu 'il bonsc ila . Le nom m e M euoi(Charles), Agi1 de 36 ans, iudigné de la façon de faire de Lemoine, se le tn et lui porta un coup de poing s u r la hnueli", lui b risan t q u a tre d en ts . Lemo!no, no i conten t (h cette verte co rrection , q u ’il avait quelque peu m éritée, porta p 'a in te . Il eû t m ieux fuit d e ne rien d ire , car si au jou rd ’hui il so p ré­sente com m e victim e, il p o u rra it se fa ire q u ’à l'une d ts p rochaines audiences il com paraisse à son tour com m e inculpé.

Mrnot est condam né à 50 francs d ’araondc aveo application de la loi de su rsis.

Montataire. — Le Tribunal m ain tien t la peioo de u n m ois de prison prononcée p a r défau t contre lo nom m é Tavern ier (A uguste), de ü 'on iata lrc , lo 3 ju ill .t dern ie r, p o u r iv resse un rccidivo.

— Profitant do l'absence de la veuve Grav er, née Bureau, tenant uno cantiau pu hameau du

P on t-T héra io , lo nom m é B onneval (Jules-Joseph), âgé de 32 an s , te rra s s ie r , occupé a u x trav au x de la nouvelle écluse, a s o u s tra it, en b risan t la p o rte do la can tine , p lu sieu rs litre s do U queur e t un bocal de corn ichons; Bonneval m et s u r le com pte de l ’é ta t d 'iv re sse d ans leque l il se trouvait l’acte d 'indélicatesse q u i in i es t rep roché.

Il es t condam né à u n m o is de prison.— Lo 24 d écem bre 1899, les nom m és Gainon

(Victor), 20 a n s , C hevaillier (Em ile), 26 an s , e t Zech (Eugène). 21 an s , o u v rie rs d ’usine à Mouta- ta ire , on t po rté des coups â V audoraegeu, e t ont b risé deu x c a rre a u x à la p o rte de l ’hahila tiou do celu i-ci.

G ainon e t Chevaillier, q u i font défau t, son t condam nés ch acu n à 50 fran cs d ’am en d e; Zech en est qu itto avec 10 francs.

— Le m ém o jo u r , lo nom m é G ainon (Victor), a aussi b risé u n e porto a u logem ent occupé p a r le sie iir C haron . *

P our ce no u v eau fait, G ainon a ttrap e , p a r dé-

Pont-Saintc-Maxcnce. — Postel (Joseph-Clo- dom ir), âgé d e 34 ans, a ; é ta n t au se rv ice do M. Butté, b ra sse u r à Pont, e n qualité de garçon - liv reu r, com m is plusieurs abus do confiance.

Cet em ployé infidèle es t condam né p a r défau t à six m ois do prison .

Rounrts. — B ureau (Georges), 31 ans, e t H ar- p illsrd (Louis), 58 ans, dem eu ran t tous d e u x à R ouvres, o n t chassé san s peem is le 1“ jan v ie r . S u rp ris p a r le garde . B reux , ils réco ltè ren t ce jo u r- là u n p rocès-verbal, q u ’ils voient se ch an ­g er au jou rd ’hu i e n uno condam nation & 16 francs d ’am ende chacun .

Saint-Maximin. — A d es rep roches q u e lui faisait sa m è re , le nom m é L em pereu r (Joseph), âgé de 23 ans, a répondu p a r u n form idable coup de poing.

Il paiera 16 francs d ’am ende.Senlis. — A yan t ren co n tré le gendarm o Caron

qui conduisait u n hom m e iv re a u vio lon , Gil- bergo (E tienne), âgé “d e '25 an s , vacher, dem eu­ra n t à Senlis, a ou tragé cet a g e n t, e t com m e ce­lu i-ci voulait l’a rrê te r , G ilberge s’est rebe llé e t a cherché à f rap p e r le g en d arm e C aron, q u i d u t req u é rir u n b rig ad ie r d u 2* h u ssa rd s p o u r con­d u ire ce forcené a u poste.

Coût ; qu inze jo u rs d ’em prisonnem ent.Ully-Saint-Georges. — Cocq (R ufün-A Iexan-

dre), 53 ans, m anouvrie r, a y a n t ren co n tré la iille Coulette (M arie), lu i a lancé u n e p ie rre q u i l’a attein te à la tê te .

Cet acte de b ru ta lité lu i v au t u n e condam na­tion à 16 francs d ’am ende.

GONDREVILLEU s conférences de M. Gréiez.

Dimanche dernier, a eu lieu, à Gondre- ville, une très intéressante conférence prési­dée par &L Duru, maire.

Cette réunion a eu un succès complet. Le sujet traité é ta it: L’impérialisme anglais et la lu tte contre Its Botrs.

Plus de 80 person- es étaient présentes, et ont applaudi le conférencier, M. Gréiez, instituteur, qui, pendant une heure etdemie, les a entretenu de celte question qui attire l’attention universelle. La séance a été con­tinuée par des projeclious lumineuses à la fois instructives et amusantes, e t l’on s’est séparé, après un mol heureux de M. le Pré­sident, demandant à bref délai une réunion semblable.

F i n i s A n g l i œ .L’Angleterre déjà serait en décadenee?Se» soldats «ont battu» , s«s boxeur» auom m éa ;

vSe» savon» »an» parfum , em portan t le »nif ranee, T i r vo tre exquia Congo «ont p a rto u t désarmé». Albert Dussart, au parfumeur Victor Vaissier.

SAINT-FlRM lNLe duc et la duchesse de Chartres, venant

de Paris, sont arrivés à Cannes, où ils se proposent de faire un long séjour.

VINEUILAudacieuse agression.

Mercredi soir, vers sept heures, M. Jen- nings, entraîneur à Vineuil, prés de Cham tilly, entendit frapper à coups redoublés à sa porte. Il envoya ouvrir par son domes­tique Fortin. Celui-ci avait à peine ouvert là porte qu’un individu l ’entraina dehors, le renversa et le roua de coups.

M. Jennings arriva aussitôt et fit des observations à l ’agresseur, puis enleva à un autre individu, caché derrière le mur de la propriété, le bâton dont il le menaçait.

A ce moment, un troisième individu, éga­lement dissimulé derrière le m ur, se jeta sur M. Jennings et lui donna un coup de couteau au niveau de l ’articulation de l’épaule droite. Une hémorragie abondante se produisit.

M. Jennings fut transporté chez lui. La blessure est grave; mais 1 état du blessé s’est amélioré depuis.

Un nommé Heurteur, âgé de dix-huit ans, a reconnu être l ’auteur de celte tentative de meurtre.

Il a étéjScrouô à la prison de Senlis, ainsi que ses deux complices, Devillers et Char­pentier.

Pilules Suisses.Migraines, maux de tête. 1 fr. 50.

B E T ZT ira g e a u s o r t d u o a n to n d e B etz .

(24 janvier 1900).Inscrits : 69.

Acy-cn-M ultien.— Chamberlin Jules, *5; Fleury Fernand, 12 ; Lepage Emilien, 69; Lucet Félix, 31 ; Picard Auguste, 7 ; Rayon Charles, 34 ; Thomas Achille, 1.

A ntilly . — Lahaye Jules, 47 ; Marô Ana­tole, 28.

Aulheuil-en-Valois. —■ Guillaume Jules; 52 ; Thierry Claude, 36.

B argny .— Hambly Alphonse, 4 ; Lebon AJberl, 10; RegnautD enis,2; Remy Ernest,

Betz. — Commartin Gaston, 42 ; de Champs de Saint-Léger Marie, 29 ; Lallier Eugène, 48; Lesure Gaston, 44; Magnier Jules, 24; Maubuisson Octave, 61 ; Richard Casimir, 65; Romain Henri, 11.

Bouillancy. — Haze Désiré, 64. Boullarre.— Breux François, 59; Colmant

Emile, 16; Pantout Lucien, 41.Doursonnes. — (Néant).Brégy. — Aubry Albert, 19; Carré Alex.,

60 ; Marin Arthur, 43 ; Offroy Léon, 53 ; Ra- gon Paul, 6 ; Tisserand Jean, 68. /

Cuvergnon. — Benard Emile, 30 ; Pot Armand, 38.

Etavigny. — Cardinal Alexandre, 14 ; Col­line! Félix, 26 ; Gibert Théophile, 57 ; Lassé Adrien, 56.

Gondreville. — Lonoir Auguste, 3.Ivors. — Carrier Julien, 54 ; Loisselleux

Lucien, 17 ; Moquet Aimé, 63.La Villeneuve-sous-Thury. — (Néant). Lévignen. — Leguillelto Ernest, 46. tlareuil-sur-Ourcq. — Alard Louis, 13;

Babtou Tltéodulo, 32; Boudot Henri, 25; Martin Louis, 27 ; Paris Léon, 18; Paris Prudent, 15; Turpin Emile, 37.

Hlarolles. — Benoit Gustave, 33 ; Garnaud Adolphe, 39; Gaulel Félix, 21; Goujon Jules, 50; Lontaire Alfred, 55; Loudenoot Félix, 5; Poutriquet Emile, 49 ; Thuillier Louis, 58; Veuanl Emile, 67.

Neufchelles. — (Néant). • Ormoy-le-Davien. — Coutard Jules, 51;

Delorme Auguste, 62.Réez-Fosse-Marlin. — Barlemont Albert,

40; Lemaire Jean, 20.Rosoy-en-Multien. — (Néant). •Rouvres. — (Néant).Thury-en-Valois.— Bridelle Ernest, 28;

Bridelle Lucien, 8; Poirée Albert, 66.Varinfroy. — Beaufort Augustin, 9; Quin-

tin François, 28.Vilkrs-Saint-Genest. — (Néant).

C R E I LL’in o id e n t d e s S a u v e te u r s .

Notre excellent confrère de la Dépêche de l’Oise exprime son étonnement de la < cam­pagne que, selon lui, le Journal de Senlis mène contre M. Chovet ».

Notre confrère nous a évidemment mal lu, car dans les notes publiées par le Jour­nal de Senlis, au sujet de l’Incident des Sauveteurs, il n ’y a pas une ligne, pas un mot qui puisse être considéré comme un commentaire quelconque, favorable ou non, â l’adresse de M. le sénateur Chovet, encore moins comme une campagne menée contre lui.

Comme nous en avons le devoir, nous avons renseigné nos' lecteurs sur^des inci­dents survenus au sein de la Société des Sauveteurs de l’Oise. Nos renseignements, pour n ’être pas puisés à des sources « offi­cielles », n ’en sont pas moins très véridi­ques : ils nous ont été fournis par les inté­ressés eux-mêmes...

G. V.

E le o tlo n s m u n ic ip a le sc o m p lé m e n ta ir e s .

Nous ignorons jusqu’à présent quels sont les candidats aux douze sièges vacants au Conseil municipal.

Si les électeurs sérieux, — qui sont en m ajorité,— voulaient s ’entendre, nous n’au­rions plus à la Mairie de ces politiciens, de ces francs-maçons qui croient avoir le mo­nopole de l’esprit, de l’intelligence et de- l’administration, mais dont toute la préoccu­pation est d’être aux honneurs, de diriger les masses.

Choisissons donc des hommes capables de défendre nos intérêts, dévoués, sans parti- pris, ayant à cœur la bonne administration des finances de la ville, cherchant les moyens d’apporter des économies, de diminuer les taxes d’octroi de m anière à dégrever le plus possible les denrées de première nécessité.

Jusqu’à présent, malgré leurs belles pro­messes, nos conseillers municipaux ont voté des sommes fabuleuses, augmenté les taxes d’octroi.

Demandons aux candidats de nous dé­clarer :

S’ils sont affiliés à la franc-maçonnerie;S’ils veulent faire do la politique ou s’oc­

cuper sérieusement des affaires commu­nales ;

S’ils sont partisans de la conservation de l’Hôtel-de-Ville actuel, mais restauré et agrandi ;

S’ils veulent sacrifier 200.600 francs pour la création d’une Ecole primaire supérieure, dont le besoin ne se fait nullement sentir, le Cours complémentaire de notre Ecole communale donnant de bons résultats, ou s’ils préfèrent employer cette somme â la création d’un groupe scolaire dans le quar­tier de la rive droite de l’Oise, dont la po­pulation augmente chaque année.

Il faut d’abord penser à assurer l'instruc­tion prim aire élémentaire à tous les enfants de notre cité, avant de construire une Ecole prim aire supérieurfe, dont ne profiteront guère les enfants de la classe ouvrière de Creil. Un Groupe d’Electeurs.

Le travail préparatoire des élections est en train de s’élaborer; une réunion a été tenue mercredi soir à l’hôtel du Chemin de Fer

riar les protestataires, où la confection d’une iste a été étudiée ainsi que la proclamation aux électeurs. D’autre part, une réunion à

laquelle assistaient plusieurs conseillers municipaux, a eu lieu le même jour chez M. Varô, et une liste comprenant cinq mem­bres de la rive gauche et trois de la rive droite a été arrêtée. Quatre noms de candidats du parti ouvrier compléteront cette liste ; l'on ne prévoit pas d’autres candidatures en dehors des ’deux listes en présence.

L’Oise, depuis quelques jours, monte dans des proportions inquiétantes : l ’eau commence à affleurer les quais à certains endroits. Si la crue devait continuer encore u n certain temps, il y aurait certainement des inondations à craindre sur plusieurs pointa.

M. Régnât, commissaire de surveillance au chem in 'de fer du Nord, à Creil, est nommé à la résidence de Tbiers (Puy-de- Dôme). Depuis dix-huit mois environ qu’il était à Creil, M. Régnât s’ôtait acquis toutes les sympathies, et son départ sera certaine­ment regretté de tous ceux qui ont eu des relations avec lui.

Par décision de M. le Directeur des Con­tributions indirectes M. Atgié-Latour, com­mis de 1r# classe à Creil, a été nommé en la môme qoalilê à Aiguës-Vives (Gard).

M. Üufau, surnuméraire de la Loire, a été nommé commis de 2» classe à Creil, en rem­placement de M. Atgié-Latour.

cataires, celte mafcpn, fut réveillée, la ont» par une odeur do fumée insupportai» Ayant ouvert ses fenêtres et s’étant assurJ que rien ne b iû lait chez elle, elle ne pou»! pas plus loin ses investigations, et ce n'e» que sur le malin, en sortant de son log»! ment, qu’elle aperçut, sous la cage de PL calier, tin amas de vieux sacs et de chiffoni qu’op avait entassés là, et auxquels on ar»R mis le feu. ‘

L’enquête ouverte n ’a pas encore pu fajr, découvrir l’auteur de cette criminelle tenti tive.

CHANTILLYM. Victor Mansuy, capitaine de cavalerj»

chevalier de la Légion d’honnen?en retraite

en remplacement de M. Louvet.

M. Bruerre, ferblantier à Creil, est auto­risé à ouvrir un colombier de pigeons voya­geurs.

Le Parquet'de Senlis a fait une descente à Creil jeudi après-midi, afin de poursuivre, sur les lieux, l’instruction de l’affaire d’in ­fanticide dont nous avons entretenu nos lecteurs.

On parle, sous le manteau do la chemi­née, d un scandale qui défraye la chroniquo locale. C’est un banal roman d’amour dont auraft été victimo une jéune fille de 15 ans, d ’une honnête famillo, qui, séduite par un jeuuo homme ayant une certaine position, serait abandonnée, dans uno situation fâ­cheuse, par le complice, qui doit se marier prochainement avec uno amie de son an­cienne amie.

Une tentative d ’incendie, qui n ’a heu­reusement pas eu de résultats fâcheux, a été commise dans la nuit du 23 a u 24 courant, dans un immeuble situé, 13, rue du Pré- Sainl-Môdard.

Mm» Bodry, qui habitp, avec d'autres lo-

A la suite fi’une discussion au cercle s» un sujet presque futile, une rencontre i l'épéo a été décidée entre M. Jacques di Brémond et M. P ierre Perrier. Celle-ci eut lieu mardi, l’après-midi, à Maisons-Laflitte derrière les tribunes du champ de coutu L’engagement fut très court. Au bout de trois ou quatre minutes, M. Perrier était toucM à la poitrine, mais celte blessure légère n’arrêta pas le combat. Quelques iostants après, on vit M. de Brémond cracher I» sang. Il ne s’était pas aperçu qu’il avait éu touché sous l’aisselle droite. C'était beaucotu plus grave qu’on ne le supposait. La poioS de l’épée avait atteint le haut d a poumon.

Le blessé était porté au pavillon de garda car son transport à Paris pouvait entraîner de graves complications. On faisait appeler immédiatement un chirurgien,' M. RedanL qui ne l’a pas quitté depuis. I l est soigné également par son frère, M. Paul de Bré* mond.

Quant à M. Perrier, il a pu rentreri Paris, et dans trois ou quatre jours, il sert complètement guéri.

Les dernières nouvelles sur l’état du bleui Jacques de Brémond sont bonnes. Le bulle- tin de santé, rédigé par le chirurgien M.He< dard, est même rassurant : Nuit assez bonne état général e t local assez satisfaisants; R pronostic de la blessure 'doit être encon réservé. Mais, vu la gravité du sas, le doc­teur ne peut encore se prononcer.

Amourette, en tombant dans le prix di Cannes, s’est tuée sur le coup. Son jockey, F. Bâtes, s’est assez fortement contusionné i la jambe.

Amourette, par Yellowet Amlna, était née au haras de Bois-Rouaud. Sous les couleon de son éleveur, le comte de Juigné, elles gagné en plat trois courses, la plus impor­tante en 1896 dans un handicap, & Maisons- Lafilte. Achetée pour les obstacles par U.di Ravel, elle remporta quelques succès imi* gnifiants dans cette spécialité,

Résultat du lir aux pigeons du Sporting- Club qui a eu lieu mardi, à La Morlaye ;

La première poule était partagée entra F. Fearis et F . Cunnington ; la detuièmi poule était également partagée entre MH.Q. Champouillon et Chandos ; ce dernier a etn suite gagné la troisième poule.

Il y avait treize tireurs pour le Handicap en 5 pigeons, remporté par Roland Carter, qui gagne une coupe en cristal (avec cuiller)! second, M. G. Champouillon.

Le Handicap en 3 pigeons ôtait parlagi entre R. Denman et G. Cunnington senior.'

Le prochain tir aux pigeons du La Morûjl Sportmg-Club aura lieu le mardi 30 janriirt â une heure trente.

MONTATAIREMagnez (Zéphir), de Cires-les-Mello, Itl

de 25 ans, machiniste aux Forges de Monta* taire, s’est, le 24 courant, en vérifiant II graissage de la machine et en essuyant k bâti, fait prendre la main droite entre ledit bâti et la manivelle de l’arbre. Le docten diagnostique la perte probable d ’un doigt d l’incapacité de travail à un mois.

Le même jour, son camarade BenoitThoil* lière, également machiniste, a failli se faim scalper en surveillant, en marche, le gnif sage de sa m achine ; il fut saisi par ses vfita- ments qui, heureusement, cédèrent, et et fut quitte pour une forte contusion à la téta, enlevant une légère partie du cuir chevela; l ’incapacité de travail ne sera que de quel­que» jours.

Samedi soir, salle Noël, doit avoir lin une grande représentation très intêreittnta donnée par le professeur de Latoue et It grecque Djiria.

THIVERNYDimanche dernier, 21 janvier, à uneheotf

de l’aprèâ-midi, ont été célébrées, en l’église de Thtverny, les obsèques de M*' Bersoi (Geneviève), épouse de M. Fleury (Perdi* nand), propriétaire à Thiverny, décédée II 18 janvier, après une courte e t terrible ma­ladie.

Une foule nombreuse et recueillie aecoo* pagnait à sa dernière demeure le cerptdt Mm® Fleury, témoignant ainsi son estiffl* pour la défunte et sa famille.

M“ * Fleury était la belle-môre de M. Ori* son-Fleury, le sympathique et dévoué nuin de Thiverny.

Etat civil de l’année 4899.Naissanas. — 23 avril i Poétte HaorMta*

Simone. — 7 juin : Kicheter Emélis-AlbsHj»»^ 11 août : Déqaenno Hôloïio-Régina. — vembra : Monnechet Laore-Simone.

Décès. — l ,r janvier : Lefanqnenr Jesa-I^ ' Romulns, 53 an». — 5 février : Pibeetl» Aon»* Emile, 8 an» ; 28 : Leelero Louis-Eugène, 6o»» - - 7 mars : Dnerotoy C ara, femme Dollé, -E» *®*’ — 17 avril : Buljambe Renée-Eugénie- 10 mois. — 18 mai : Grison Hebert-EtieilJijr ans i 81 : Rieher Henri-Eugène, 18 ans. r eembre : Menneehit Laure-Simone.

Mariages. — 4 Juillet : Bàtardy Jales-JW et Rieher Maria-Palmyre. „

14 octobre : Minier Charles-Vietor et Blft»* mier Sylvie.

v i l l e r s -s o u s -s a i n t -l e u

Etat civil de l’année 4899. Naissances. — 7 juin : Goujon ■2 juillet s Jubiot Mareel-Panl. — H ** ,

Carbon Léon-Dôsiré. — 30 octobre î Del*»®™ Henri-Eugène.

Mariages. — (Néant).Décès. — 16 septembre : M etrger Jee*'W*

tiste. — 31 décembre : Bargno Françoi».Reconnaissance. — 13 avril : Etoy *

Emile.Transcription de Décès. — 8 nove»W 1

Lhoiti» Ambroiaa.

M N T E U I L - L E - H A U D O P f l

CHEVREVILLE .M"* Marie Choque!, institutrice

Sérifonlaine, est nommée institntriÇJ noviôros, en remplacement de M * oppeléo à Crëpy.

Page 3: L D E S E N L COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1900_01_28_MRC.pdf · 2014-02-15 · ,GE, nous \ Jl. KOY, les Acces- itures, ir-imis voix I dit d'Artagnan,

CRÉPY- E N - VALOISNous Usons d an s la Guette de l’Oise :M. Legros, l ’aimable et distiaguô inspec­

teur de la Compagnie du Nord, à Saint-Jusl- en-CliaubSée, vient d’ôire nommé inspecteur A la résidence de Paris, dans un poste de confiance dos plus recherchés. On ne peut i qu’applaudir do grand cœur à cet avance­ment bien mérité. ' 1

Ingénieur des Arts ot Manufactures, H. Legros, qui appartient à une des plus honorables familles de Crépy-en-Valois, a su, bien que très jeune encore, rapidement se faire estimer et apprécier; en toutes choses, d’ailleurs, il savait allier à d’émi- nentes qualités professionnelles une aménité

■ do caractère toujours égale, une èa uitéiusb».j

■ tions qu’il a occupées dans notre région, tant à Beauvais qu’à Saint- Just-en-Chaussée, il n’a recueilli que d'unanimes sympathies. Aussi, en lui adressant de cordiales félici­tations, doit-on y joindre les vifs regrets que nous cause son départ.

Décès. — 19: Pezé Auguitine-Armand®, 1 j. — 20 ; Duval Luciu-Dé»irôs, 8 moi», rue Saint- Liztre. — 20: Levaira Louiaa:Erneatine. 21 a u rue de Paria. — 22 ; Itingnier Julie, 77 an« epona® Daipçea, rue Jeanno-d'Aro. — 25 : Clé­ment Eugénie-Flore, éponae Brouet, ruo Joanne- d’Aro.

Publications de mariages. —21 : Entro Tem- pette Paul-Emile-Léopou, charretier, veuf do I auuna Pot, et dame Chain M *ri«, manouvriôre veuva de Aloxsndre Caron, toua deux à Crépy. ’

Mariages. — 22: Violet Louis- E rnest, bou­cher à Pterrefonds, et MlleDebeaupuis Eugônie- Adèle-Antoinette, sana profession à Crépy.

AUGER-SAINT-VINCENTUn curieux phénomène do végétation se

produit en ce moment à Auger-Saint-Vin-

m™ Pijassou, est en pleine floraison.De nombreuses personnes viennent visiter

ces étranges fleurs d’hiver. Il serait curieux maintenant qu’elles produisent des fruits.

BETHANCOURTEtat civil de l’année 4899.

Naissances 0 février : Thierry Mauriee- Aavier-Alexandre. — 14 juin : Dolôehenault Anselma. — 23 août : Piedloup Lonis-Itoger. — d octobre : Franrk Thôrèie. — 2 novembre : Es- uer Louis-Emest — 17 : Soheirlinek Robert-

- 29 ruai • 'f Yvonne- Alphonsine, 3 ans.Lâmdtloo, 49 an* **e en , 8, n,e*Aorore, épouse I a la nônédiction d ’ufT tableau de cran.V lS l o i l m a î t r e , oITart à la Compagnie “ are: par M

„ Franck (.liaiivean. viVn-ni-é«i>iuni h » c a« ...■transcription d’acte de naissance — 8 im „ -

l^g li8e, afin d’honorer leur glorieux patronî l ! ? i an l-9u? usage de8 Preux chevaliers U arc des siècles passés.

Dos places Jour avaient été réservées dans le chœur, et M. le Curé les compli­menta do leur pieuse démarche.

A la Un de la messe, et sur la demande ducapitam o des archers, le célébrant a pro­cédé a la bénédiction d ’uiT tableau de grand maître. oifArt à i»

i Amérique).

ROCQUEMONTEtat civil de l’année 4899.

Naissances. -

A la dernière réunion de la Section can­tonale de la Société d’horticulture, pendantlaquelle le professeur, M. Lozeti a fait une I ri«7’r iU0',ü' 0- — «novembre : e «-cônféreuce sur la

I l t t ' n s l M m ^sô -6 a 6U> réél“* I 9 Sainte-Beuve P o K c é i Ï Ï ^ “

Président : H. Chopinet; Vice-Président :M. Petit; Trésorier : M. Legros; Secrétaire :

| Jf. Francolluj Pice-Secrétotrc ; M. Fosquello ;

■ Mu' Passard, iqjtitutrice à Senneviôres, I est nommée en la même qualité & Crépy 1 (Ecole maternelle), en remplacement de

M11' Sarthe, à qüi nn cdngô est accordé.' qui

La C h a m b ra ay n d io a lé .■ La réunion générale de la Chambra syn- J dicale de l’usine Clair, a eu lieu le dimanche I 10 janvier, dans la salle du Vieux-Château.

J a l’ordre du jour figuraient différentes■ questions : nominations diverses, oompte- I rendu de la caisse, dépouillement de la cor-■ jespondance.

Le président a ensuite donné la parole à an camarade, qui résuma le but e t les avan­tages du syndicat.

Mariages. — 7 janvier : Stheirlinck Charité- Louie, aveo Dorgebraye 8idonie-Auguaiine.

Décès. — 19 juillet : Darvillô Charlee-Auguate, ai “ 'V - «eptembre : Legrand (mortuné). — 31 octobre : Delaeroix Louia-Julien, 09 ana. — 8 Joür?tmbr* : Sdh0ir,inck (Robert-Antoine,

b e t h i s y -s a i n t -m a r t i nLa Sa in t■ Vincent.

C’était lundi la Saint-Vincent. Ceux ne consultent pas le calendrier tous les jours 1 ignoraient sans doute, mais nous savons que les ouvriers de M. Valentin marchand de vins en gros à Compiôgue, né I oubliaient pas, car, suivant une vieille et bonne tradition de la Maison, la Saint-Vin­cent est pour eux l ’occasion d ’une partie fine à la campagne. *

L’année dernière, le banquet offert par • Valentin à son personnel, ainsi au’à

quelques clients, représentants et courtiers J ?n ?ni* aTa,t ea lieu à Vieux-Moulin. Donc lundi, à onzes heures, tout le monde était au rendez-vous au café dû Commerce, où ? !r? rï lapé.ri,i/» puis’après une station au caré-Français — pour ne pas s’en aller sur une jambe, comme disaient nos grands- p è res— M. Valentin e t tous ses invités, au d î m4ereh i ? ‘; éùt,e-9Uatre. prenaient le train Q oî„.«T *.f3 ^ d esc e n d a ie n t à Bôthisy- î ï ï ïS î •?r ï n» .°.ù un P,anlureux repas les attendait chez M. Lesueur-Dubois.

Le menu, où figuraient un consommé de votantes, des hors-d’œuvre, brochet, gigot hancots, dindonneau, salade et desserts, lélOUt a r ro s é nn Vins Sao mnjIIahh. \ .

. Sur la proposition do M. l’Ingénieur en■ chef, lo Touring-Club a accordé une sonnno■ de 30 francs au cantonnier Desseam, de■ Crépy, paralysé, incapable de travailler et | ayant sept enfants a sa charge.

Tombola d e la I - C o m p a g n ie d 'A ro .Liilede» numéros gagnants de la tombola I haricots, dindonneau, salade et dess'er°ù°”lo

f i t u s î s s M i ï S é f ? tréw 1,001 î ? é ^ « i : t t , r t t r 5i,a r .I 97 2508 3128 3K2Q k m taa* I conversations amicales des convives. Au

champagne, on a hu en l'honneur de saint rincent, qui avait réussi 4 former la ca-

phitryon68101 6t 4 ,0 8atdd du Ifénéreux am-M. Valentin avait eu la bonne idée d ’em-

porter un grapbophone pour divertir ses invités Après le café, profilant d ’un rayonde soleil, I aimable patron qui s'élait muni aussi d un appareil photographique prit de ses convives, un < groupe sympathique , gui rappellera a tous le souvenir de cette

97 2508 3125 3529 *377113 2536 32*9 *13* *393

1350 2756 3268 *167 *923_ M. Colmont, capilaine de ladite Compa-■ pie, invite les personnes possédant les■ numéros ci-dessus 4 vouloir bien retirer IdéM aTa° ' 16 6 ,é ' rier Procbain, dernier

30 m i : o .l lé o , E üsnno .Murtage. 2HsepleDibre : V iuflnx, E rn a il

Aloiandra, SVM domoiiella Gama,d, Oaurgolte. Publications de mariages. ~ Entra Viman, irB? n flflmüi,ol|a Gaiaard, Georgstta ’

G aorgetle.11 A lb ,r l - -l«-noiMlla D ubrouil

SAINTINESauLnrnntnd« organise une tombolaau profil de sa caisse. Le tirage aura linn i*> 16 avril <900. De nombreux^ S f j X l o h o l î0 ,2 5 cenUmesl o re “ n i8 a t0 “ r s - P » du billet

yaDéa 0rs°,dSeaiS So|ea,s '“ens ^ ^ r ^ i;

SERY-MAGNEVALMiîÎPîv aP.l)r“nons l!» prochain mariage de

poid’ M S m s f d ' f f i f 01’ " 00'" - 1’ épTous nos vœux de bonheur aux futurs

VAUCIENNESDécouverte archéologique.

On vient do découvrir a prolimité do

UèregaUo-romidn I, e8si8' aa'®“ 8 an cime^

tene grossière. Malheureusement ce vase a disparu, emporté par un ouvrier. Il aurait pu servir peut-être 4 déterminer l ’énmue exacte de cos inhumations.

Dans celle sépulture on a trouvé aussi dp<*

ppAnd.1' r ,rt U.UUJPUK"'Ü U arc par M. Franck Chauveau, vice-président du Sénat. L est une toile de l'école italienne, renré- ?„en‘anl.|e martyre de saint Sébastien, dont la Lharité panse les plaies ruisselantes de Hor.g ,.;° ,‘ab,eau» Placé comme un ornement Î K a 5®"f6» reslera no,‘ seulement la pro­priété de la Compagnie d’arc do Fleurines, mais encoro le témoignage oa U m iliam jj»

XÎW.Whù'iVh 'iln 'lii ' A » "5 aoû - ^vtitTDsite TieTfl. "FranckI S Z . ' & S Z k i S i : - * ' * - - « d ^ . l a w ^ ^ w t ü n d o S a in t-C itr is to p h e -

Dêcés.- W m l ! n . u s . ’ A lu s o r t ie d o l ’é g liso , c lia c u n fa isa it

i f t “ .<ieuc e l">.l,8 li te W le d 0 fo m illo , lu n d isQUe nOS Ohnvil lAPc limirniiv dr. , .nl_ r i

IK S If" ! î“" b“arB Saint-Jacques, dont lu famille habite Rainvillers.Plume était allé dimanche rendre visite

son pére, chez qui il passa la nuit.Lundi, la yicümo avait ôté vue pour la

dernière fois à sept heures et demie du soir I lurne devait se rendre chez sa fille, mariée depuis trois mois et demeurant à peu do distance du lieu où s’est produit l’accident

Jusqu à présent on ne sait encore si l’on suicide™ 60 présence d’llu acci(*e»t ou d’un

Pour se rondre chez ses enfants, Plurno devait traverser un passage à niveau dé­pourvu de barnéro et d’éclairage. On pré­sume que, trompé pai l’obscurité, le malheu­reux aura été surpris par un train passant à

dans ? o ° t b , r il8 001 é‘é in*>umf5Telaquels

n îiô n a® u i .* , «t310 00 ïamine, tandisInan ï A !,eva ,ers» l,eureux d’avoir si bien

(our journéo, allaient, en bonne et ! ra / ii10nO ?llt6’ commencer leurs agapes fraternelles chez M. Delamarre, hôtelier qui avait mis à leur disposition son ineil- leur cordon bleu et sa grande salle de ré­ception.

“mil!al banquet prirent part les membres honoraires de la Compagnie d’arc,s S é m° lgner l6“ rs 8J mPalllies 4 ,a belle, „ £ asl ainsi que, dans la vie, les Sociétés,

J as .tndividus, ont leurs grandes J ° ï0“ 80 fêle, surtout quand de

telles réunions^ laissent dans les annales tn n e ®a ,s . “J1 dél'cieux souvenir de gaietéfrançaise et de cordiale fraternité.

6D l'CIIA M T0U It.

Ve r b e r i el e s conscrits de Vorborio et Saint-Vaast-

de-I.ongmont organisent un banquet et un<9 o’ f e Z T 1 !° ™ dradi 2 février Ion?’». baa<ïuet à six heures et le bal à

d e U F o n rtalneU S O ,r,0 h 0 Z “ ' VaS8e“ r ’ M w

prendre après le VCpas „ „ v m ‘

«DE l.'AUBAVE IiE CHATEAUDUN | C est le plus puissanldiicstif.-la moins cbêr», t, ■eliiaere n-i Miadei)

Se trouve dans toutes les b„„nes Maison, 1

U ne A le rte . , ,Ljndi dernier, un habilant de CréDV ?ui raPP0ll0ra

profitant de la voilure d’un cultivateur Ses b00”8 J08r“ êe.Ienvirons, était allé, en tvnnnmniia tin I

BETHISY-SAINT-PIERRE

a ; . ' ' ' ” . . . eumvaieur des■S i ’. ÇUé, en compagnie de ce-■ini.ci, voir une chasse à courre en forêt de ■tapiêgne. Le soir, au retour, par suite du ■mglas, le cheval qu’ils conduisaient glissa |l> descendant la cote de Gillocourt, et les ■voyageurs furent précipités a ferre. Le cnlti-■ Yllmir ton fu t nlnu.A A I — , a, .

fCt“ n " s é b « tle m é’ 8amedi dernier- h C'est par une pluie battante qu’ils se sont

rendus a la messe et qu’i l , ont*fait le o ïrd ll villflfffl. f'.hnr'nn _ ° ‘.u u r

■Y.înnV^n’r V *;’& T , a ierre- Le cnlti- renaus a ta messe et qu’ils ont fait i«■ seQl fut ble8sa à. la tôle, mais peu du village, chacun d’eux ayant un n a r a n E

as-nous de le dire. Quant a au lien d’un carquois, d ’ofi o r ig i f f i é due route, il eut le bonheur défilé et obliuation non. i . “u

bai808- 8" 8 80 10 dire. Quant a I au lien d’un carquois, d W o ïîô i iï ï i iX “S Ï compagnon de rente, il eut le bonheur défilé et obligation nour le c a n i i E i i l .

J 1“ '“ P0 P8»>8 semonce dilierdes termes d f r e m L n S e Z n t ^ïlas meh é onû818 C0T ga1, d8 la Parl “‘usi qu'il devait dire « ouvrez paranlùiM , f f i Ü S .fl0 0 .?0" absence prolongée ou < fermes parapluies >. raP‘ules »,

En Tain prêlait-on j A sept heures, un banquet de nnar.ni» Ttatérionr i f . 1‘* de rou,a«0 menant couverts a été servi chez M? Caron füazard l Intérieur t le ,« tonneau » n arrivait Le menu, habilement composé a fait hon

I nenr au maitre-d'hoiel.La municipalité était représentée par

adjohiL m a' r0' 01 M’ bofcvre-Lequeux’ EMEVILLE

. A oo id en ts .I iÎ S “ Oidents sont survenus ces jours-ci i l s brasserie du Valois.I Samedi d0rnier, 4 deux heures d e l’aprés-

le nommé Charles Eckteln - —foix bouillante en goudron

A S f r « S“ ‘ troi? d0ie18 de la mah. île brûlés, et devra, du fait de cet acci-knt in<„,. ««»»», uu lai* uo coi acci-

Jdsiainé de°jours 800 ' raTaU pendant 008 [J» même jour, à cinq heures ot demie du

iii!nno?lnl4 , , , 8bi0. aide-brasseur, en rannant un foudre, a été atteint par du fou enflammé projeté par une explo- • L ouvrier eut la face' et les mains

S .L e ““ .« P 08 d’an moins vingt jours 'nécessaire 4 son complet rétablisse- nar.!S^'orenau de sortir de l'hép ita l.à

iHlcern h,, u**8, c.h a ie Qu'il avait faite, le ^Mtembre dernier, dans la cave de la

J ftat civil d u 11 a u 2 5 J a n v ie r .«n»1! ; '? ' 7 11 J;“Ti,r ; Ch.Tali.r Gutav», 5 2 »I.L“J|“ ’ r 11 ! ° " d »‘ C ltom c.A u.

Md. „ aè mn’iU‘. r 18 ! ?“ 6 Auga.lin.- d» Compiègue. - 29 : SiSv.igtr U.U.Î ûainl-O.nmin, — 22 : Fr»u-“ U Ï S »'SU*.' * ~ i» f Vin-

is-aK ert’ r“* ~ 2* : Ses»»"■AlphoMB. rus d . U Cloche.

m S 0; " d8rni0r8- d80A élaguours étaient occupés à couper des têtes d’arbres, quand I on d eux, connu sous le nom de « P ari-hrflVi’nreçu»nen p,eln est°mac nne énorme branche qu il venait d abattre et dont onh8r è T h i T ld' â600„kil0*’ Lo 8h0o de cetm ih tê n i J “ ,casser«>l|8 sur laquelle le bû- cheron était monté, et ce dernier resta ina- nimé, renversé sur sa corde, a <7 mètres de

oompagnon, le nommé Dubau- vel (Alfred), d Eméville, sans calculer le danger, escalada l'arbre, pour se porter au secours de . Parisien ». C’est au prix d'ef­forts mouis qu’il put arriver jusqu’à lui le! w T L S“,r s881éPa“ l“ , el opérer ainsi une descente des plus périlleuses. Enfin, il tou- 8 8 V 8i ean.» encombres, et ramena le n ï h ï . . i u ' .MI1 domicile a lui, Duhauvel, où les premiers secours lui furent donnés, en attendant qu’il put être trans-

três graveamPl0Ul' L é““ d6 * Pari!iei1 * 8st FEIGNEUX

S ta t civil de l'année /899. Naissances. — 4 Ju in : C oor.on R o c -L u e ia .

r w qï î Ue rac^ aPParteQaient ces hommes T Cest ce que les spécialistes nous d£on lorsque 1 on aura complété les fouilles et aue 1 on aura rassemblé les ossements.

A proximité de cette sépulture surgissentrnn*a 0Ur»eA aboQdaot«s près desquelles 1 on a retiré des instruments de l ’âge de la

mafnes. 101 aiD3i que des « « X r ï

hiACnM,i f ? ° in8 d,uî?.pa890 lrÔ3 aDcion sem­blent indiquer qu il existait non loin de là nno station très importante ; los néoTiSiiouos qui ont éclaté et poli ces instruments en piarre devaient camper à proximité de ces sources. Plus tard, les RornSma su ren t in“n n trî 111 8 pomt oulminant qui se trouvo entre Vauciennes et le Plessis-au-BoismnteL n (Î T rle8 .lrÔ8j nlére88aD^ donne­ront lieu à des recherches minutieuses.

U E U I L L Y -E W -T H E L L Eb o r a n

Etat cicil de l’année 4899.N aissances................................ jg

« ................................ V7

Total des a c t e s . . , . . , 35

Décès

PONT-SAIIÎTE-MAXENCE. J . sa séance du 17 décembre dernier, la S ° P 1 ? °n(-Sainte-Maxence de la So- ciétô d horticulture de Senlis a procédé au renouvellement de son bureau pour l ’année

Ont ôté élus :

M.Pn m d0° ‘i M’ Cél8r- par 9 “ otro 1 àVice-Président. : M. Bouffet, <0 voix

toof) ; H. llrassarl, <0 voix (2< tour) Secrétaire : M. Vinet, par 6 voix. J

: M’üonnequin (Edmond).

Dang“ T l Z e n e U t i r r,8 : ü esl“ d8)>Délégué ; M. Gosnet.

La Saint-Sôbastien a été fôtôe sa m e d i

t iS T f l i? Y 108 arch6re d0 Verberie. Le m il m»’ ™ , U T ’1 avait li0a la messe, chan­tée par M. P ans, curé de la paroisse ot a sn?r 0| î- " ïsislail toute la Compagnie! Le

K ° r ? é t t e uve?b’ chea Mber°te-y »'!0mpYqaail B,g01’ m air8d0 Vor- nerle , M. Personne, maire de Saint-Vaast- de-Longmont, etc. Au dessert, p usfeu™ f ’jojoors ont égayé l'assistance par leurs joyeuses chansonnettes ; mais la Dalmeest d f . r n 0VAhS a o.i, « ’ « » “ 8’ a' - p« » r t^

o Æ r , pf a? sears 61 charmantes danseuses se livrent â des ébats chorégraphiques qui ont ioven sement duré jusqü’au mâtin, J ïeu

VERNEUILSamedi dernier, 20 janvier 1900 la Jeu

S ï " * conduisait à sa dernièreAnïrA rf ““ J 8 S8S m0ml)ros actifs, le jeune André Leramberl, décédé à la suite d’une maUdm qui ne pardonne pas, 4 P à g e T

Nombreuse était l’assistance qui suivait le dJS r corlé«8’ n°o» remarquons

rn Jïîm délégations qui avaient apporté de ï ï î f t l,UM coofooocs. Avec touB les gvm!d è r n L W 168’ sonl Beudin, prési­den t, Sorel, directeur; Tillolov. norle.dro- peau; Boutillon; des délégations de Creil

a I !?lre.0A Ponl'Sainte-Maxence. ’ Qn*üiA ! ' ®or®ï* directeur de la

h ac?xen term®3 émus la vie siami h. dAfîfnr 0ué “ Oiaiado. Ensuite un h h hi. 1 au nom ^es jeunes gens et

5? i anite de Veroeuil, exprime fes vifs regrets de la population. Puis M. Tesson n îîtn Jn 9 de PA88ociation de l ’Oise’ Pah-,nu sf3™]6 à son tour- Au nom de là Patriote, des Associations de l’Oise, rénio- nale et de l ’Union de France, il exprime à

« iM flt aux- camarades, gymnastes deléarîS ? «t î 8ent,me“ ts d® profonde condo- Jéuoces et le souvenir le plus ému avec l adieu de tous les gymnastes de l ’Oise.

f o n L u T 1’ adj udant aa régiment d’in- mariue, décoré de la médaille

?e Verneuil n°mmé à la recelt0 bureliste

’ « 'Une enquête est ouverte.

BONNELEAUMariage. 0 . ... . .

Le mariage do 5i"“ Louise do chalenav fillo d u distingué conseiller général de l’Oiso avec lo comte Piorro do Caslillon do Sainl- Victor, a été célébré, mercredi dernier, un la chapelle du château de Uonneleau.. La bénédiction nuptiale a élé donnée aux jounes époux par S . IjJMlgr Lo Roy, supé-dM U,fni” o a d0 ' a Uongrogatiou dos Pères du Saint-Esprit, évêque titulaire d'Alinda.

Les témoins élaiont ; Pour de Cha- tenay ; le comle de Montblanc, sénaiour au Pariement belge; M. de Wavreciiin

Pour le comte Pierre de Caslillon: le baron de baint-Loup et le vicomte de Cau- sans*

FRANCASTELCes jours derniers, le curé de Prancastel

a découvert, sur la roule de Viefviliors, lo cadavre d un nommé Maxime Lequesne, 4gé de soixante-douze ans, originaire de Viliers- Vicomte. Ce vieillard avait succombé à la miséra.

VARESNESOn a repêché au pont de Varosnes, dans

le canal latéral 4 l'Oise, le cadavre d’un nommé Aurélien Rrunois, âgé de vingt ans charretier de bateaux, qui était tombé acci­dentellement 4 l'eau le 11 décembre dernier.

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Imprimerie administrative et commerciale de Senlis.

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J s r i o dn ^ “ i 0. s r d0Æ

(scr vire mixio)mm<! à ‘' ““ ‘-S^'hio-Maxencc

f l e u r i n e sOn nous éorit :Dimanche dernier, le 21 janvier, la Com-

pSlronaîe ° ,,|8ul'in0s célébrait sa fête

Æ i a m T r i e i V a, t T ^

i ’Æ h S aT nt-S éïïfiênT j °,0 “S08 ', ° U° S :

p i o 7 o » V M S „ ! o ï „ : r cl. ; ^ x 0ns ï ï r „ 6es, lod6;

Arrondissements voisins, b e a u v a i s

Ecrasé sur la voie.Mardi malin, M. Soullet, m archand do

H '11™ 4 SM l-Légor-en-Bray, se rendait à la gare de Saint-Paul, pour prendre le train de 5 h. 29, 4 destination de Gournay, S . Ü W *"1 prèa d ’oo Pa«sago 4 niveau situé entre les gares de Saint-Léger et de ? “ !® l8™’ an Wlomètre 7.700, son allen-

pré. de îavoie.Par ° “ 0 ma™ inf8rm8 g i,anl e„t,8,K?,a *8ï r s’approcha e t aperçut le corps travers desreiTs01116 d '" ° v J 'ooO 'iO .lan ls après, le bruit de la décou-

i nS tardail Pas 4 80 propa- r fü , ? paJ 8’ 81 habitants reconnn- S i . Df° rp5 S0? 1? 8 61ail ooloi du nommé SL, i lP •m8'r^g *7 a88' ouvrier bros-sier à 1 usine Dupont et Cie. 4 it™„vni. a»_

d é p o s i t a i r e i

C H O Q U E T - B R A S S I E RSENLIS

I Annonce. J u d i c i a i r e sJ A r t ic le 1**

| ÏWe de G eorges MORAND,• avoué à Sonlis,

i jne Saint-HUaire, n* 10, Wccesseur de M’ L iv i iu x ) .

- N r «nite do L1 c ita tio n ,I r b , ,*ae d® ml>« A prix ,

IT«c faculté d e réu n io n ,

FTVr DK : 1 * ■

pj® M A IS O NI c Jwdin & Dépendance®;

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F #l»dj" Ji“ «0o for* benI “ ,oc.h« S B F é v r ie rL ^ n r . d . V . t o * , ,

i G f C - ! Sa,«-On.n (Seine).ÜMMrfls'nl8 **' ®BBaA40, S , * ? a |nt-D enis, ’ “ ®mls I «et effet.

Oa fait savoir à tous ceux qu’il ap­partiendra :

Qu aux requête, poursuite et dili­gence de M. Emile-Ernest Demav garde particulier, demeurant à Précv sur-Oise, 1

Ayant pour avoué. constitué M* Morand, domourant à Senlis, rue Saint-Hilaire, numéro 10;

En présence de :1* M. Victor-Jules Leleu, cultiva­

teur, demeurant à Blaincourt-les- Préoy,

« Au nom et comme tuteur « naturel et légal de Albert- « Victor-Léon Leleu, son fils « mineur, issu de son mariage « -avec Madamo Léonlino-Eu- « génie Damay, son épouse « décédée ; ■

Co-licitant;Ayant pour avouo constitué M* Louis

Escavy, demeurant à Sonlis, ruo d* Villevert, n° 7;

2 M. Paul-Joseph-Adolphe San- dhommo, propriétaire, demeurant à Blaincoort,

« En sa qualité (ie subrogé- « tuteur ad hoc du mineur « Albert-Victor-Léon Leleu,■ sus nommé; »

Ou eux dûment appelé! ;Et en exécution d’un jugement

coatradletoire. rendu par le Tribunal Civil de première Instaura de fieolli,

le vingt-sept Décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistré ;

Il sera procédé, le Dlmanohe vingt-cinq Février mil neuf cent, * une heure de re lev ée , on la Mairie de Saint-Ouen, et par lo mi­nistère de M* Besnard, notaire A Saint-Denis, commis h cet effet, à la vente sur licitation et sur baisse do mises à prix, au plus offrant et der­nier enchérisseur, à l’extinction des feux, en deux lots, avec faculté de réunion, des immeubles dont la dési­gnation suit :

DESIGNATIONDBS IMI1KUBLE8 A VENDRg

Premier Lot.> 8180 1 Sainl- Out n (Seino), avcuuo do la Garpl

numéro 39, construite en piorres couverte en pannes, comprenant ! ^U n perron, aveo marqulso cl bal-

aJu? r?8'do-,°hauBséo; uu corridor à " n osbiHet et une

i J ï b î deni pièces ;Autre pièce donnant sur la cour ; - . A côté un esoalier, pour aller nn

p K 6;r composé do cinqGrenier au-desius;

derrière! d6” “' '* “ <",8n « »ar

01, ï “i!» mitoyen avec le voisin, pompe sur citerne, cabinets d’aisance, réser­voir au-dessus, deux caves ;

.^“ ‘ tenant par devant à l’Ave- nue do la Gare, par derrière à un terrain vague, d un côté est Verneret. et d autre côté un terrain.

Deuxième Lot.M « I « o n , sise à Saint-

Ouen (Seine), Avenue de la Garo. numéro 45, construite en briqnes. couverte en tuiles, comprenant :

Un rez de-chaussée composé de trois pièces, escalier pour monter au premier étage, cabinet d’aisances et autre cabinet sous l’esoalier;

Premier étage composé de trois pièces et un cabinet;

Petite cour, avtc poulailler, cave sous partie do la maison;

E ° ‘0.u‘ j.enant par dovant à l’Ave­nue de la Gare, par derrière M. Du- P , comme locataire, d’un côté M Cœurdovache, et d’autre côté M. Ver- nertt.

M I S E S A P R I Xd.nSîunno0 / 3 c.har*os, clauses et conditions énoncées au cahier des charges, dressé par M* Besnard, no­taire à Saint-Denis, ot déposé en son Etude où toute personne peut en prendre connaissance, les immeuble® cl-dessus désignés seront mis en

à Prix suivantes, ÎJ in P Préoité, m-

Lo premier lot, sur la mise à prix do qua- tre mille francs, c i.. . . 4.000 fr.

Le deuxième lot, sur Iami8eiprixde quinze cents francs, c i .

pnï oU.' .4.M. s T s w

vint soros'iplf.'1 P”r l a,°“é P00880!'Sonlis, le 27 Janvier 19C0.

„ , Signé : G. MORAND.Et enregistré.

TOMBlgaMoeali :, MORAND, avoué A Senlis, poorsuivant la vint® ;

p r L î , ? -,aES ï ’ a™“j i S a a “8’

C bL îiyY TISSK,UNT’ aa' ^ 8“L DESNARD, notaire i

Saint-Denis, dépositaire du cahier des charges.Pour insertion,

(Signé) G. MOBAND.

Art. S.Etude do M* Georges MOBAND,

Licencié on Droit, évoué A Senlis,

rue Saint-Hilaire, n* 10. (Suocesseur de M* Lxvitux),

N v a s a r o e p o aP»r«4it* û’wMpUti,, M M to in ,

G7GLES r AUTOMOBILES£ t A @ ü t d £ t l £ 3 4 ( B D l I P i f f i

A. B R È C H ES E N L I S , 16, Place Henri I V , 16, S E N L I S

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SVCCVT t ^ n . ^ l i L H' 7 C h e a H. AU llIir, rue de Creil, P o n l -S lc M I a o c c H a c , Ve r h e r t c , o to . , e tc .

FOUT ESCOMPTE «U CO»PT«»T - GRANDES FACILITES DE PAIEMENT

LOOATXOM - ■*»AlAfïOV - âüMAMCtl

l’Etude et par lo ministère de M" Vildé, notaire à Marseille-lo-Petit commis & cet effet, & la vente par smte d’acceptation bénéficiaire, au plus offrant et dernier enchérisseur, a l’oxiinction dos feux, en trois lots avec faculté de réunion partielle ou totale desdits lots, des immeubles dont la désignation suit :

d é s i g n a t i o nBT

M I S E S A P R I XDES IMMEUBLES A VENDRE

Terro ir de Marsellle-le-Petlt«Premior Lot

CiDquante-huit ares quatre-vinoia centiares de torro, lieu dit la Grippe ! f r L d: “.a .cî “ ¥.«’> o l e t e t ? £

Trois P ièces de Terred’une contenance totale de

I HECTARE 39 ARES 75 CENTIARESsises terroirs de

MARSEILLE-LE PETIT (Oisi), Plus amplement désignées ci-après.

L’adjudication anra lien l e D im a n c h e 2 5 F é v r i e r

à deux heures de relevée,En l’Etude et par le ministère

de M* Vild é , notaire A Marseille- le-Pelit (Oise).

exécution d’un jugement sur requête, rendu par le Tribunal Civil de premièro instance de Senlis, le vingt-sept Décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistré ;

Et aux requête, poursuite et dili- gonco do :

Madame Hélène-Marguerite Goorgotto Michel, épouse de M. Paul Bellnquier, charpentier, aveo lequel elle demeure A Paris, rue Letort,“v"*0" '0 « ion», rue jLoionnuméro 28, et oe dernier pour l’®s- sistanoe et l’autorisitAn nécessaires A la dame son épouse ;

2* M. Honé-Arlhur-Kmlle Michel, ci-devan] pâtissier et actuellement soldat «a o* bataillon d’artillerie A

pied, 3* batterio, au fort de Pagny-ia- Blanche-Côte (Meuse);

3 Et Madame Berthe-Marie-Hélène ^uyo d0 M. Louis-Feixli-

nand Michel, demeurant à Loueuse, canton de Songeons (Gise),

« Au Dom et comme tutrice « naturelle et légale de Ga- ■ briel-Femand fiiehol, son « fils mineur, issu de son ma- « nage avec son défunt mari,

« Agissant tous en leur qua- « h té d héritiers do M. Louis- « Ferdinand Michel, leur pôro, « son vivant pâtissier à Cham- « bly. où il.est décédé lo quinzo « Août mil huit cent qu&tru- * ^ “^d^-neuf, mais ious « uénelico d’inventairo seulo- a ment; »

Poursuivants la vento;Ayant M* Georges Morand, pour

avoué constitué;En présonco ou lui dûmont appolé

. Jf* Mario Onéziphore Michel, comp- table, demeurant à Beauvais, ruo df la Banque, quméro 5,

« Mo «a qualité de subrogé- « tuteur de Gabriel -Foraand « Michel sus-nommé; •

Il sera procédé, le Dlmanohe vingt-cinq Février mil neuf oent, A «tint h a u m «a re la y é ,, en

lier, d'autre cûlé cl d’un bout . . . dame Masson , et d’autro bout M®'-Frérot V0UV° F 01 “ •

Mise à prix : fOO fr.Deuxième Lot t

Cinquante-huit ares quatre-vin vis centiares de terre, lieu dit le Chemin des Bœufs ou le Four A Chaux, tenant

a . r d M o T ' h d ' * S

S n & , ! U ^ û b ia t ' ”^M lw à p rU ; (00 fr,

Page 4: L D E S E N L COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1900_01_28_MRC.pdf · 2014-02-15 · ,GE, nous \ Jl. KOY, les Acces- itures, ir-imis voix I dit d'Artagnan,

1y .

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T ro is iè m e L o t V iD g t-d ea i a res q n io ie cen tiares

i e te^ro , lieu d it la Forestelle, tenant d’on côté M adam e Masson, d ’au tre eê té M adam e F orestie r, d ’u n bout M. D upont, e t d ’au tre bout le bois de M adam e Jeron .

M ise à p r i x : 400 ( r .

Ko o u tre des cbargos, clauses e t conditions énoncées au cah ier des charges , d ressé p a r M* Vildé, no taire k M arstil o-le-Pelit, e t déposé en son E tude , où ton te personne peu t en p re n d re connaissance, les im m eub'es ci-dessus désignés se ro n t m is en vente s u r les m ises à p r ix sus-énoncées, fixées p a r le jugem en t d u vingt-sept D écem bre d ern ie r.

F a it e t réd igé p a r l ’avoué p oursu i­v a n t soussigné,** îXHvîer’iVôo.

Signé : MORAND.E t en reg istré .Madrssser p o u r les renseignements

1* A M* MORAND, avoué à Senlis, p o u rsu ivan t la v en te ;

2* A M ' TISSERANT, n o ta ire à Cham bly ;

3* E t à M« VILDÉ, n o ta ire à Mar- seille-le-Petit, déposita ire d u cah ie r d es charges.

P o u r insertion :Signé : MORAND.

Cette vente consiste en :Batterie e t Ustensiles de Cuisine,

Vaisselle, Tables, Chaises, T aboure ts, Réveil-Matin , P oê le -C u isin iè re en fonte avec ses T uyaux , Buffet avec Vitrine, B ois d e L it, Som m ier, Mate­las , D raps, C ouvertures, Edredons, O reillers, R ideaux de c roisée, Lam pe, Tapis.

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L ’adjudication au ra lieu l e D i m a n c h e S B F é v r i e r

1 9 0 0 ,A deux heures de relevée.

E n l’E tude e t p a r le m in istère d e M‘ Lemigqub, notaire

à N anteu il-le-1 laudoni n (Oise), com m is à ce t effet.

M“ MORAND, licencié en d ro it, avoué k Senlis, ru e S a in t-Ilila ire , n* 10. (Successeur d f M* Le viaux);

SAINTE-BEUVE, li­cencié en d ro it, avoué k Senlis, 17, ru e de la R épublique;

LENICQUE, notaire k N a n t e u i l - l e - U a u - douin.

VENTE SUR LICITATION 01

11 Pièces de Terre et Préd ’une contenancs totale d e

4 HECTARES 17 ARES 19 CENTIARESsises te rro irs de

SURVILUERS e t SA1NT-W1TZ

A rt . 5 .

E tude d e M* Gkorgis MORAND, avoué k 8 e n lis

(Successeur de M* Levibux).

S ép aration d e Biens*

D’un jug em en t re n d u p a r le T ribu­nal Civil de p rem ière in stance de Sen­lis, le v in g t-qua tre Ja n v ie r m il neuf cen t, en reg is tré ;

A u p ro lit d e Madame Emma-M aria- Georgette H a rd y , épouse de M. P ierre- Ju lien Nollb, ci-devant cu ltivateu r, d em euran t k D roizelles, com m une de V ersigny, e t actuellem ent employé, dem euran t k Senlis.

E t p a r défau t con tre led it siau r No l l b ;

Il ap p ert :Que la d am e N olle a é té déclarée

séparée, q u an t a u x b iens d ’avec ledit M. Nollb son m ari.

S enlis, le 27 Jan v ier 1900.P o u r e x tra it :

Signé : MORAND.

et de PLAILLY (Oise),

L’adjudioation a u ra lieu D im a n c h e 1 8 F é v r i e r

fi 9 0 0 ,d deux heures de relevée,

En la malson d’Eco'e de Lolay, commune de Ver,

P a r le m in istère d e M* Lexicqub , n o ta ire k N anteuil-le-H audonin,

com m is k c e t effet.

S'adresser pour les renseignements : A M " MORAND e t SAINTE-

BEUVE, avoués k Senlis, pou rsu i­v an ts la ven te ;

2* A M* DELAPORTE, avoué Senlis, p résen t k la v e n te ;

3* A M* FERTÉ, n o ta ire & Senlis ; A M* MAGNIER, no taire k Ba­

ro n ;6* AM.GRONY, c u ltiva teu r k S a in t-

W itx ;6* A M* LENICQUE, n o ta ire k N an­

teuil-le-H audouin, déposita ire d u ca ­h ie r des charges.

K l exécution d ’u n jugem ent ren d u s u r requête , p a r le T ribunal Civil de Senlis, le v ing t-sep t Décembre mil h u it oent q u a tre - vingi - d ix - n euf, en reg is trée ;

E t k la requê te de :1* Madame Louise-Adèle Boulrel,

cu ltivatrice , dem euran t k Droizelles, com m une de V ersigny, veuve de M. Jean-C harles B ellard ;

2 ’ M. A rm and-C harles Bellard, cu l­tiv a teu r, dem eu ran t audit Droizelles,

• ag issan t com m e h éritiers« sous bénéfleed’inventaire de« M. Jean-C harles Bellard. >

A yan t p o u r avoué constitué M* Sainte-Beuvo, d em euran t à SenL’» ru e d e la R épublique, num éro 17 ;

I l se ra procédé, le Dimanche vingt- é in q Fitrier mil neuf cent, à deux heures de relevée, en l ’E tudo et p a r le m in istère de M" L e n ic q u e , n o ta ire k N anteu il-le-H audouin, com ­m is k ce t effet, k la vente des im m eu­b le s dont la désignation su it e t su r le s m ises à p r ix c i-ap rès fixées.

D É S I G N A T I O NET

M I S E S A P R I X Premier Lot.

U ne Maison, s itu ée à Droizelles, com m une de V orsigny, en la grande ru e , com prenant c inq pièces a u rez- de-chaussée ; g ren ie r au-dessus.

C our devant.S tab le , toits k po rcs, poulailler.G range divisée en deux parties.L e to u t c ouvert eh paille.Ja rd in e t verger au tou r desdits

bâ tim en ts con tenan t environ vingt- c inq a res cinquan te cen taires, clos d e ha ies e t do treillage.

L ’ensem ble tien t p a r devant à la ru e , par de rriè re et d ’u n côté k M. Dol, d’au tre côté k la Ruelle de la Fontaine.

Mis# i prix : 800 fr.Deuxième Lot.

Q uarante a res quatre-vingt-cinq cen tia res do bois, te rro ir do Droizel­les , lieu d it eu F urtil, tenant d 'u n côté à M. Jé n a rt, d ’au tre côté à M. Dol, d ’u n bout au bois do M. Lecerf, d 'au ­t r e bout k M. Dol.

Mise k prix : 180 fr.Troisième Lot.

Vingt-huit a res soixante-douze cen tia res d e te rre , m ôm e te rro ir , a u Che­m in do L essart, ten an t d’un cô té à M. Jén a rt, com m e ferm ier, d ’au tre cô té e t d u levant k M. Dol, d u cou­ch an t k M. Géniel.

Mise à prix : 180 fr.Quatrième Lot

Vingt a res c inquan te cen tiares de to rre , en la Rue du Château, tenant d ’un côté k M adame Vido et à M. Dol, d ’au tre côté et d ’u n bout à M. Dol, d ’au tro à Madame Vidé.

Mise h prix : 180 fr.

Art . 6 .

|E tu d e de M. Georges MORAND, avoué k Senlis

(Successeur de M* Lrvieux).

S ép aration d e B ien s.

D’u n jugem en t contrad icto ire rendu p a r lo T ribunal Civil de prem iôro instance de Senlis, le ving t-quatre Jan v ie r m il neu f cen t, e n reg is tré ;

E ntre M adam e M arie-Elise Gatté, épouse de M onsieur Em ile-Joseph Blondet, m eun ier, avec lequel elle dem eure k Fresnoy-la-R iv iôre ; e t 1* ledit sieu r Blondet ; 2° M 'Louis E scay, avoué k Senlis, on sa qualité de liqu idateur jud iciaire d u s ieu r Blon- d e t su s-nom m é ;

I l appert :

Que la dam e Blondet, sus-nom m ée, _ é té d éclarée séparée, q u an t anx b iens d ’aveo ledit M. Blondet , son m ari. •

Senlis, le 27 Jan v ie r 1900.P our e x tra it :

S igné : MORAND.

Art . 7.

udo d e M* O scar SAVARY, avoué à Senlis

S é p a r a t i o n d e B i e n s .

A ssistance Ju d ic ia ire .

Décision d u Bureau de Sen lts d u MM Décembre 1899.

D’un explo it d u m in istèro de Le- n o ir, h u iss ie r à Senlis, en date du v ingt-six Janv ie r m il n e u f cen t, e n ­reg is tré ;

I l appert :Que la dam e Mario Rozier , épouse

_ j M. C harles Mazoter, escom pteur, avec lequel elle dem eure à Creil, a form é sa dem ande en sépara tion de biens contro ledit s ieu r M a z o y ir , son m ari, e t q ue M* S avary , avoué près le T ribunal Civil de Senlis, a é té cons­titué par la dem anderesse su r ladite assignation.

P o u r in sertion : S ig n é : SAVARY.

Total des m isos & p r ix .................................... 9aO ,rSenlis, le 27 Janv ie r 1SOO.

Signé : A. SAINTE-BEUVE, S’adresser pour les renseignements

1* A M* SAINTE-BEUVE, avoué k Senlis, p o u rsu ivan t la vente;

2* A M* LENICQUE, no taire à Nan- te u il- le -H a u d o u in , déposita ire du cah ie r des charges.

P o u r insertion Signé ; A. SAINTE-BEUVE.

Ar t . 4.

.NT* Philippe MARTIN,u * I avoué k Senlis ;

E tudes do J A l b e r t j o l v , hui ( s ie r k Chantilly.

VENTE MOBILIÈREF a r suite de liq u id a tio n jud iciaire ,

A GOU'VIEUX en la dem eure de M. C an d k lm er,

m arécha l-fe rran t,La Dimanche 4 Février 1900,

d une heure de relevée,P a r lo m in istère de M* J olt',

hu iss ie r k Chantilly,E t en v e rtu d 'u n e ordonnance rendue

{iar M. Cayrou, juge-com m issaire, o v io g t-qua tre Janv ier 19C0.

Art . 8.

Etude de M 'FERRY, no taire âB éthisy Sain t-P ierre .

A V I S

S uivant con tra t reçu p a r M’ Ferry, no taire k B é th isy -S a in t-P ie rre . v in g t-q u a tre Jan v ie r m il neu f cent, " D k lk v o t (A lexandre-A dolphe-E r- __Jt), négocian t, et M adame D k lande C lém entine-Julia), son ép o u se , de lé th isy-Sain t-P ierre , o n t vendu k M

L r ro y (A lbert), bo u rre lie r, e t M adame H a r l a u t (L ou ise), son épouse, du m êm e lieu, lo fonds de com m erce d ’épicerie, m ercerie, elo ., qu 'ils font va 'o ir k B éth isy-Sain t-P ierre , ru e des C ourtillie rs , aux p r i x , charges conditions stipulés audit contrat.

L’en trée en jou issance a é té fixée a u p rem ier A vril mil neuf cent.

P our e x tra it : Signé : FERRY.

iM ” Georges MORAND,[ licencié en d ro i t .\ avoué k Senlis, ru é/ S '-IIila ire , n* 101 (suc’dcM 'Levioux);I TISSERANT, notaire \ à Cham bly.

VENTE SUR LICITATIOND E

27 Pièces de T erreBOIS ft FRICHE

d ’une contennnco totale de

5 Hootares )8A ros 18 Cent,Situées te rro irs d ’ULLV-S’-GEORGES

et de LA CIIAPELLE-S’-PIERRE

L’adjudication an ra lieu le D i m a n c h e o n z e F é v r i e r

fi 9 0 0 y d u n e h e u re de relevée,

En la M airie d e Cavillon,P ar le m in istère do M* T i s s b r a n t ,

notaire k Cham bly, com m is i c e t effet.

S’odrener pour les renseignements 1* A M* MORAND, avoué k Senlis,

poursu ivant la vente;2’ A M’ ESCAVY, avoué k Senlis

présen t k la vente;3 ’ A M’ LOMBOIS, n o ta ire k Frécy-

sur-Oiso4’ A M’ T IS S E R A N T , notaire

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LENICQUE, notaire k N anteuil-le-H au­douin.

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com m is à cet effet,A BO ISSY -FRE8N 0Y

en la malson d’Boole,L e D im a n c h e fi fi F é v r i e r

fi 9 0 0 , à deux heures de relevée.

S 'ad re sse r p o u r les renseignements 1* A M* MARTIN, avoué k Senlis,

poursu ivant la vente ;2* A M’ LENICQUE, notaire k N an­

teu il-le-H audouin , déposita ire d u ca ­h ie r des charges.

‘ SAINTE-BEUVE,avoué à Senlis ;

DANZELLE, notaire à Guise (A isne).

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E n l’E tude e t p a r le m inistère d e M‘ P au l Danzrllb, no taire & Guise

com m is k cet effet.!Tadresser pour les rense ignem en ts ,

V A M* SAINTE-BEUVE, avoué k Senlis, poursu ivant la ven te ;

2* A M* D A N Z E L L E , no taire G u ise , dépositaire d u cah ie r des charges ;

E t k M* DESABIE, n o ta ire Creil.

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P a r le m in istère do M* DIkt, no taire k Crépy-en-Valois, com m is k ce t effet.

S’adresser pour les renseignements 1* A M' L ouis ESCAVY, avoué

Senlis, poursu ivant la vente ;2’ A M* DIET, no taire k C répy-en-

Valois , dépositaire d u cah ie r des charges ;

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apposée k l’artiolo . Lo1 Enregistré k Senlis. | Reçu Imprimerie Administrative et Commerciale de Senlis, 0 . villaVRÈDB. diragwM ® ^ 1

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