w w w . g r o u p e h p m . c o m

3ansdéjà

ÉVÉNEMENT PERSPECTIVE VUE D’AILLEURS25 ans de SOS Mains Création d’Anaïs Rencontre avec D. LENOIR

N°

1 F

év

rie

r -

20

10

J o u r n a l I n t e r n e d u G r o u p e

sommaire

p 4 PERFORMANCE HpM 3 ans déjà !

p 12 VOUS AVEz DIT qUALITÉ ?LA CERtIfICAtION DE NOS CLINIquES, c’est l’affaire de tous.

p 13 SyNERgIE LA DRH :Un service transversal incontournable.

p 14 PASSIONLA SCIENCE DE L’ARt par le Dr Christophe obry.

p 15 NOS COUPS DE CœUR

p 16 EN bREF / AgENDA

p 11 INNOVATION 24/24 HpMLA pERMANENCE téLépHONIquE dédiée aux urgences cardio-vasculaires, aux urgences de la main, à la chirurgie orthopédique, traumatologique et urologique.

p 8 ÉVÉNEMENT SOS MAINS 25 ans au service de la main

p 9 VUE D’AILLEURS RENCONtRE AVEC D. LENOIR Directeur préfigurateur de l’agence régionale de santé

p 10 PERSPECTIVE ANAïS le nouveau nom du service H.a.D. Hpm

3Le CoLiBri N°1

Trois fois par an, retrouvez toute l’ac-tualité du Groupe, et celle de votre clinique en particulier via un supplé-ment réalisé par les équipes de votre établissement. ensemble, relevons ce défi !

pour cette première édition, Le Colibri retrace nos trois années d’existence, nos efforts, nos progrès, sans oublier bien sûr les innovations pleines de promesses.

2010, Hpm poursuit son chemin. C’est sur cette même lancée que j’ai le plaisir de souhaiter à chacun d’entre vous, mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année.

Dr F. SNAUWAERT.

éDiTo

Docteur Fabrice SNAUWAERT, président du Comité stratégique Hpm.

Un astre s’éteint, un autre s’éveille… Le Colibri, votre nouveau journal interne, remplace en ce début d’année la lettre mensuelle Hpm.

PETIT à PETIT L’OISEAU FAIT SON NID…

LES MISSIONS DU COLIbRI

Fédérer : L’objectif premier de ce nouveau journal est de fédérer l’ensemble du personnel Hpm, en stimulant le dialogue et les échanges entre les services.

informer : principal outil de communication intercliniques, Le Colibri vous informe de l’actualité, des innovations et des orientations stratégiques du Groupe Hpm.

Communiquer : Tribune d’expression par excellence, ce support de communication vous permet de partager vos expériences et d’apporter des témoignages utiles à tous. pour cela, n’hésitez pas à transmettre vos articles au service communication (m.battaglia@groupehpm.com).

Divertir : Une ouverture sur le monde extérieur par la découverte de talents ou de passions insoupçonnés agrémente la lecture de votre journal.

N°1 - Février 2010

Directrice de la publication : marie BaTTaGLia (Directrice du service Communication). Comité rédactionnel : Gérard BesaNGer (Directeur opérationnel Unique), Yvon Le CoCQ (secrétaire Général). Avec la participation de : Dr F. sNaUWaerT, J. LeNNe De moraËs, C. HaraNG, o. FaUre, m. maLBraNQUe, p. DeLaTTre, m. arHaNCeT, m.-e. maLLeT, a.-s. DoCKWiLLer, a. BaGUeT, a. HaZarD, s. GUemarD.Crédits photos : Christine riCHarD, olivier pLUQUeT. Création, réalisation : graphèmes CONSEIL ET CRÉATION EN IDENTITÉ VISUELLE - RCS LILLE 338902554.

perFormaNCe

Siège social du Groupe

5Le CoLiBri N°1

Que de chemin parcouru depuis la signature d’une simple convention de pourparlers le 14 mars 2006 entre les cliniques du Bois, du Croisé Laroche et de Lille sud.

hPM, 3 ANS DÉjà !3 étapes, 3 axes stratégiques, 30 réalisations.

La première étape de compagnonnage a vite été suivie de fiançailles consommées et irréversibles à partir de l’assemblée générale du 30 avril 2007 qui scellait définitivement un mariage de raison et donnait naissance à une organisa-tion originale, unique, sans référence dans le secteur d’activité, donc encore fragile… Bien entendu, il s’agissait de résister aux appétits externes mais aussi et surtout de prouver l’efficience d’une réponse médicale pour les patients de la grande métropole lilloise reposant sur un actionnariat exclusivement libéral.

Déjà trois ans de vie commune sur une valse endiablée rythmée par :

- le temps de l’idée et de sa mise en forme conceptuelle, - le temps du regroupement matériel et structurel et de l’émergence de projets, - le temps de la mise en œuvre dans l’efficience.

mais, pour autant, pas de valse hésitation pour le travail quotidien d’adaptation, d’assimilation et d’échange, porté par des femmes et des hommes conscients d’exercer un des plus beaux et utiles métiers du monde : soigner en associant les valeurs libérales, la performance individuelle, l’humanité, l’économique, l’innovation et la qualité.

C’est vrai qu’il a fallu et qu’il faut encore déplacer quelques montagnes pour gommer quelques dizaines d’années pas toujours pacifiques et les égos qui ont pu naître de victoires acquises parfois à la pyrrhus.

informer, rassurer, discuter, innover et parfois improviser, constituent autant de temps d’action indispensables à une volonté stratégique Hpm basée sur 3 axes :

- l’universalité de la prise en charge des patients, - la spécialisation et l’excellence médicale, - la maîtrise des métiers de la santé dans notre territoire.

passer de cliniques individuelles à l’entreprise Hpm sans provoquer le syndrome du loup et de l’agneau n’est finalement pas si simple et les obstacles très nombreux : l’histoire et les cultu-res des établissements, les difficultés à élaborer un projet médical consensuel, la multiplicité des structures juridiques et des organes historiques de direction, la course permanente aux investissements et au pouvoir, la diversité des sensibilités et des attentes intériorisées ou exprimées constituent autant de difficultés.

pourtant, le chemin parcouru en si peu de temps est exceptionnel. Jugez-en plutôt !

Créé en avril 2007,

le siège Hpm basé

au 17 av. de Flandre

à Wasquehal regroupe

la Direction Générale et les

directions administratives :

Communication, Financière,

informatique, Juridique,

Qualité, rH , Techniques

et Travaux.

6 Le CoLiBri N°1

les temps forts hpmCertes, le simple regroupement des établissements permettait d’offrir une réponse complète aux besoins des patients métropolitains : de la chirurgie (ambulatoire à lourde) jusqu’à la médecine, la psychiatrie, les soins de suite, les urgences de la main et cardiologiques, en passant par le médico-social, le plateau technique, la radiologie. Depuis l’avènement d’Hpm, il faut ajouter :

1 La création de centres hyper-spéciaLisés

- le Centre de Chirurgie du pied à Lille sud,

- l’orientation ophtalmologique d’ambroise paré,

- le Centre de l’épaule à Lambersart,

- le service de gérontologie à la Clinique saint Jean,

- le regroupement des maternités de la Clinique Lille sud et du pavillon du Bois.

2 Le déveLoppement de spéciaLités

médicaLes- avec la création d’un service de médecine au Croisé Laroche,

- les autorisations de prise en charge du cancer,

- le développement de l’addictologie dans différentes structures.

5 des investissements Lourds

- comme l’installation de nouveaux scanners à la Clinique Lille sud et à la Clinique La Victoire en attendant le nouvel irm au sein de cette dernière,

- le lancement d’un très important programme de travaux à la polyclinique du Bois qui confirme sa vocation de vaisseau amiral de la flotte Hpm par l’installation de la réanimation chirurgicale, les soins intensifs et la surveillance continue,

- l’ouverture de sites permettant d’accueillir les cabinets de consultations aujourd’hui à Lille sud et demain dans l’immeuble mercedes à marcq, ainsi qu’à Lambersart.

3 un nouveau souffLe pour

nos structuresÀ titre d’exemples : - anaïs, le nouveau nom de notre service d’hospitalisation à domicile,

- l’eHpaD Clos saint Jean installé dans une aile de la Clinique saint Jean. Le site des Boiseries a rejoint le Groupe en 2008,

- la maison Fleurie et son extension de l’hôpital de jour pour la psychiatrie.

4 des innovations

pLeines de promesses- 24h/24 Hpm, une permanence téléphonique dédiée aux urgences cardio-vasculaires, aux urgences de la main, à la chirurgie orthopédique, traumatologique et urologique.

- le traitement de la cicatrisation par laser.

perFormaNCe

7Le CoLiBri N°1

Aujourd’hui, hPM est sur les rails de la réussite. Le niveau de performance de l’entreprise Hpm dépend maintenant de sa capacité à fédérer les différents établissements. il en est de la supra- nationalité Hpm comme de l’europe vis-à-vis des états membres.

y. LE COCq.

8 un système informatique

unique- grâce à la mise en place d’un schéma informatique permettant d’être nominé dans le plan Hôpital 2012,

- une organisation construite autour de logiciels communs, pharma, X3, CTi, Hôpital manager, Crossway,

- la mise en place de la V11.

7 La reconnaissance d’un savoir faire

- via des classements nationaux remarqués tant en maintien d’activité que dans la lutte contre les infections nosocomiales,

- d’excellents résultats en matière d’accréditation et de certification.

10 La mutuaLisation des équipes

- avec une définition de fonction pour les directeurs de sites et le partage de l’expérience,

- la maîtrise et la centralisation des achats et des travaux,

- le développement d’un contrôle de gestion performant,

- l’identification d’un service juridique et fiscal qui a su piloter le dossier des reports d’imposition, un appel d’offres aux assurances, un nouveau contrat d’exercice professionnel,

- un service comptable structuré avec une gestion de trésorerie cash poolée,

- l’harmonisation de la Direction des ressources Humaines.

9 Le maiLLage du territoire

- La polyclinique du Val de Lys a rejoint le Groupe Hpm. Ce bel établissement est basé à Tourcoing.

- L’addictologie passerelle a élargi son activité sur la polyclinique du Bois.

6 La naissance d’une marque

- avec la création d’un logo et une identité visuelle Hpm unifiés,

- la publication de lettres médicales spécialisées,

- l’harmonisation des livrets d’accueil,

- la création d’un site internet Hpm,

- un site intranet en cours de lancement.

8 Le CoLiBri N°1

éVéNemeNT

Un trio qui, sans le savoir, lançait un service qui devait devenir le plus grand centre de chirurgie de la main de l’Hexagone. pourtant, selon le Dr Leps, «si du chemin a été accompli depuis l’origine du service, s’il y a eu évolution, il n’y a pas eu révolution». en effet, «le matériel et les techniques sont certes plus aboutis, mais leurs principes sont connus et maîtrisés depuis longtemps. La vraie évolution est dans l’amé-lioration des compétences de chaque médecin, dont l’expérience au sein du service permet des diagnostics et des interventions toujours plus pointus».

Un service de plus en plus grand public, une évolution humaine, donc, doublée d’un tra-vail de prévention en amont. «Dans le sillage des actions portées par l’état, nous avons mené campagne un peu partout, surtout dans le milieu industriel, pour sensibiliser et infor-

mer sur les accidents de la main». Le résul-tat, aujourd’hui, est sans appel : «Dans les années 80, nous soignions une trentaine de gros segments amputés par an. aujourd’hui, nous en sommes à un ou deux». Un chan-gement des mentalités face au risque qui a permis à sos mains d’élargir son public : «À l’origine, nous avions surtout pour vocation de traiter les accidents industriels lourds. Désormais, nous traitons 70% d’accidents du travail, 20% d’accidents ménagers et 10% d’accidents d’enfants».aujourd’hui, pour le Docteur Leps, «l’avenir du service est dans l’allogreffe - greffe d’un mem-bre à partir d’un tiers - ainsi que dans l’amélio-ration de la récupération après une transplan-tation». Un programme ambitieux…rendez-vous dans 25 ans pour un nouveau bilan !

Racontez-nous ce qui vous a mené à SOS Mains ?«Un accident de travail ! Les faits remontent à 2002, pendant les vendanges : ma main gauche est sec-tionnée par une machine agricole. en l’espace d’une seconde, je comprends immédiatement que je dois faire le deuil de cette main qui ne m’appartient plus. pourtant, je ne ressens aucune douleur et constate, étonné, que je ne saigne pas ! ma première réaction, c’est de rassurer mes collègues et ma famille».

Comment avez-vous été pris en charge par SOS Mains ?«Les pompiers m’ont héliporté à Lille, le centre spécialisé le plus proche. sur place, je suis immédia-tement pris en charge par les Drs Leps et BeCQUeT, puis amené au bloc dans l’heure. Je suis alors certain qu’ils ne pourront rien faire pour moi. À une infirmière, j’ai même dit : «Je ne crois pas au père Noël» ! elle m’a répondu : «Nous ne faisons QUe

notre métier» ! L’opération dure 6 heures et je re-monte dans ma chambre «en entier». s’en suit une angoisse de 6 jours, avant le diagnostique définitif. pendant tout ce temps, je sens ma main comme un poids mort au bout de mon bras. Quinze jours plus tard, je rentre chez moi, assuré de recouvrer toutes mes facultés».

Aujourd’hui, comment allez-vous ?«Très bien ! Je ne remercierai jamais assez l’équipe de sos mains qui a réalisé un miracle. après deux ans de rééducation, j’ai pu reprendre mon activité professionnelle, où mes mains sont pourtant mises à rude épreuve. Je profite donc de cet anniversaire pour adresser mes meilleurs vœux à l’ensemble du service et à son personnel».

C’était mitterrand, orwell et platini. Une autre époque. Un autre siècle.

C’était il y a 25 ans, et sos mains voyait le jour sous l’impulsion du Dr sCHooFs, rejoint par les Drs miLLoT et Leps.

25 ANS AU SERVICE DE LA MAIN

1984.

TÉMOIgNAgE

J’étais certain qu’ils ne pourraient rien faire pour moi !»Daniel, viticulteur en Champagne, accidenté en 2002.«

Clinique Lille Sud96 rue Gustave Delory, 59810 LesquinTél : 0826 20 95 75 - www.groupehpm.com

Schoofs. C’est le nom du chirurgien plasticien à l’origine du service.

Organisation. il a dix ans, trois médecins urgentistes ont rejoint sos mains et ont ainsi consi-dérablement accéléré la prise en charge des patients.

Solidaires. La création d’un GCs (Groupement de Coopération sanitaire), en 1999, avec le CHrU de Lille a permis à sos mains de devenir l ’unique centre spécialisé de la main de la métropole.

Médecins. Depuis 2005, le service a obtenu son agrément de centre de formation et en-seigne à des étudiants du CHrU de Lille mais aussi à des étudiants étrangers.

Anesthésie. Les anesthésies locorégionales, véri-tables expertises de la Clinique Lille sud, ont été développées à partir de sos mains.

Information. La prévention qu’a effectuée le service, en collaboration avec les autorités sanitaires, a permis de faire chuter considérablement le nombre d’accidents graves, qu’ils soient indus-triels ou domestiques.

Nota bene. sos mains s’occupe également des pieds puisqu’il s’agit de la même spécialisation chirurgicale.

Soins. en plus des 9 chirurgiens plasti-ciens ou orthopédistes, l’équipe est composée de 11 infirmières et de 9 aides-soignants.

j. LENNE DE MORAËS, C. hARANg et O. FAURE.

9Le CoLiBri N°1

VUe D’aiLLeUrs

Dans le cadre de la loi HpsT (Hôpital, patients, santé, Territoire), 26 agences régionales de santé vont être créées en France en 2010 pour organiser l’offre de soins dans sa globalité et renforcer l’efficacité des politiques de santé.

LA MODERNISATION DU SySTèME DE SANTÉRencontre avec Daniel LENOIR, Directeur Préfigurateur de l’ARS du Nord-Pas-de-CalaisLes objectifs de l’ARS Nord-Pas-de-Calaisrécemment nommé Directeur préfigu-rateur de l’agence régionale de santé (ars) du Nord-pas-de-Calais, Daniel LeNoir a pour mission de regrouper, pour fin mars/début avril, la Drass (Direction régionale des affaires sanitaires et sociales), les DDass (Direction Départementale des af-faires sanitaires et sociales), l’arH (agence régionale d’Hospitalisation), l’UrCam (Union régionale des Caisses d’assurance maladie), plus une partie de la Cram (Caisse régionale d’assu-rance maladie) et de la Drsm (Direction régionale du service médical)… «il ne s’agit pas de mettre côte à côte ces services existants mais de développer une politique de santé plus cohérente propre au Nord-pas-de-Calais», relève Daniel LeNoir. Un conseil de surveillance sera créé. Les parties prenantes de l’ars (l’état, les collectivités territori-ales, l’assurance maladie, les usagers du système) y seront représentées.autre objectif pour ce nouvel établis-sement public : trouver les moyens de combler le retard en matière de santé. «La situation sanitaire n’est pas bonne dans notre région comme le confirment les indicateurs de santé. Le Nord est à la traîne malgré tout le travail effectué. La région dispose pourtant d’atouts considérables : un potentiel hospitalier public/privé indéniable, l’existence de

réseaux, un tissu associatif particu-lièrement actif. il nous faut travailler tous ensemble pour optimiser l’offre de soins sur le territoire. C’est une logique nouvelle de coopération pour répondre le mieux possible aux besoins de santé. La prévention, les premiers recours aux soins, le médico-social sont à développer en priorité», préci-se-t-il.

La loi hPST et la santé privée«La Loi HpsT prévoit la possibilité d’une coopération plus importante entre les acteurs publics et privés via des groupements de coopéra-tion sanitaire». selon l’article L.6112-1, les établissements de santé privés peuvent être appelés à assurer, en tout ou partie, une ou plusieurs des 14 missions de service public suivantes : la permanence des soins, l’enseigne-ment universitaire et post-universi-taire, la recherche, le développement professionnel continu des praticiens hospitaliers et non hospitaliers, l’aide médicale urgente, (…).

L’agence régionale de santé devrait installer son siège à proximité des gares de Lille. La majorité des 550 collaborateurs sera sur le site de Lille, une partie à arras, et deux antennes de l’ars existeront à Valenciennes et Calais.

propos recueillis par M. bATTAgLIA.

bIOgRAPhIE EXPRESS :

Formation : ingénieur agronome, diplômé de l’eHess, ancien élève de l’eNa.

Naissance à Béthune en 1955.

1er octobre 2009 : il est nommé Directeur préfigurateur de l’ars du Nord-pas-de-Calais en Conseil des ministres.

Depuis janvier 2005 : il occupait le poste de Directeur Général de la Fédération Nationale de la mutualité Française.

2002 : Directeur de la Caisse Nationale d’assurance maladie des Travailleurs salariés.

1997 : Directeur Général de la mutualité sociale agricole.

1994 : Directeur Général de la mutualité Fonction publique.

1990 : membre de l’inspection Générale des affaires sociales.

1985 : chargé de mission au ministère de la Coopération.

1980 : chargé de mission à l’assemblée permanente des Chambres d’agriculture.

Daniel LENOIR.

10 Le CoLiBri N°1

Anaïs, un nom qui humanise le Service hospitalisation à Domicile.rassurant et accessible, le prénom «anaïs» permet de traduire les notions de service et de proximité. par le choix de ce nom court, simple et mémorisa-ble, la marque «anaïs» se distingue de ses concurrents par son originalité et véhicule des valeurs de joie et de bien- être.

Un cœur pour emblème.L’emblème du logo en forme de cœur présente plusieurs niveaux de lecture. sa forme évoque également celle d’un «a», première lettre du nom «anaïs», pour en faciliter la mémorisation et rappelle la forme d’un cocon chaleureux et protecteur. La reprise des couleurs dominantes du logo Hpm permet de signifier l’appartenance d’anaïs au Groupe.

Une typographie qui reflète les valeurs de la Marque.À la fois ronde et régulière, la typo-graphie traduit la volonté du service : allier convivialité, sérieux et fiabilité. L’introduction du nom par une lettre

minuscule renforce l’idée d’une marque proche et accessible.

Deux cibles principales.Ce service s’adresse aux professionnels de la santé, en tant que prescripteurs de l’HaD, et bien entendu au grand public, au cœur du projet.

Un déploiement sur tous supports.afin de promouvoir la marque «anaïs», son identité visuelle est appliquée sur tous supports susceptibles de renfor-cer sa notoriété : plaquettes destinées aux professionnels de santé, papeterie, habillage de la flotte de véhicules, intégration au livret d’accueil et au site internet du Groupe, etc.

perspeCTiVe

afin de mieux traduire sa vocation, de renforcer sa visibilité et de faciliter sa reconnaissance sur la métropole Lilloise, Hpm apporte un véritable statut de marque à son service d’hospitalisation à domicile.

ANAïS,le nouveau nom du service h.A.D. hPM.

qUESTIONS

à Patrick bEEUSAERTDirecteur de cliniques.

Pourquoi créer une identité propre à l’hAD ?«C’est un projet que nous avions depuis quelque temps. Notre vo-lonté découle d’une proposition faite par un médecin actionnaire afin de créer une identité distincte de ses concurrents.»

qu’est-ce que ça va changer pour vous ?«Le service ne se transforme pas. L’accompagnement du patient se fait de la même façon. anaïs va juste permettre de donner plus de visibilité à l’hospitalisation à domi-cile proposée par Hpm.»

Contactez notre service au

03 20 11 50 11M. MALbRANqUE et P. DELATTRE.

11Le CoLiBri N°1

iNNoVaTioN

La permanence téléphonique dédiée aux urgences cardiologiques, aux urgences de la main, à la chirurgie orthopédique, traumatologique et urologique sur la métropole Lilloise.

24/24 hPMRencontre avec le Dr SNAUWAERT, Président du Comité Opérationnel hPM.

Concrètement, comment fonctionne 24/24 hPM ?Quand un médecin appelle le «0809 36 36 36 », un numéro vert gratuit, notre call center lui demande ses coordonnées et la pathologie du patient pour lequel il appelle. après identification de la pathologie et recueil des choix du patient, nous proposons la solution de transport et d’hospitalisation la plus adaptée au sein de l’un de nos établissements (polyclinique du Bois, les Cliniques Lille sud, saint Jean, Croi-sé Laroche, La Victoire). Le chirurgien concerné est prévenu par un mail et un sms envoyés initialement au réfé-rent de la clinique. en cas d’incapacité de la clinique à recevoir le patient, par manque de lits d’hospitalisation par exemple, le patient est orienté systéma-tiquement vers la Clinique Lille sud.

quelles sont les pathologies prises en charge ?Dans un premier temps, 24/24 Hpm prend en charge les urgences cardio-logiques, les urgences de la main, la chirurgie orthopédique, traumatologi-que et urologique. Ce service, réservé aux médecins de ville, devrait s’étendre prochainement à d’autres pathologies.

quels sont les avantages de 24/24 hPM pour les patients, mais aussi pour les médecins de ville ?pour le patient comme pour le médecin de ville, il s’agit bien évidemment d’un gain de temps. 24/24 Hpm propose en quelques minutes une solution de prise en charge globale du patient au sein de l’une de nos cliniques.

Et pour hPM ?24/24 Hpm nous permet de répondre aux besoins médicaux imminents de la population de la métropole Lilloise, sans parler de la rentabilité engendrée pour Hpm.

propos recueillis par M. ARhANCET et M.-E. MALLET.

Docteur Fabrice SNAUWAERT.

12 Le CoLiBri N°1

Par définition, qu’est-ce que la certification d’une clinique ?

«La certification est une procédure d’éva-luation externe qui porte sur l’ensemble de l’établissement. elle est effectuée par des professionnels mandatés par la Haute autorité de santé, basée sur une auto-évaluation et suivie d’une visite d’«experts visiteurs».C’est une démarche de fond mobilisant l’ensemble des personnels autour d’un objectif commun : avoir une prise en charge du patient sûre et de qualité. La procédure de certification est en constante évolution de façon à s’adapter en permanence aux exigences de la légis-lation mais aussi à celles des patients.»

quelles sont les équipes concernées sur le terrain ?

«Le principe est d’obtenir la participation du personnel en expliquant les enjeux et l’avancement de la démarche de la façon la plus factuelle possible.Le succès de la certification repose en grande partie sur l’adhésion du personnel médical, paramédical, soignant, administratif et des prestataires. L’implication et le sou-tien de la Direction doivent être réels et de tous les ins-tants. Les groupes de réflexion doivent être basés sur le volontariat et être pluridisciplinaires.La certification de nos cliniques, c’est l’affaire de tous !»

quels sont les objectifs de la certification ?

«La procédure de certification a pour objectif de mesurer le niveau de qualité et de sécurité apporté par l’établissement dans la prise en charge de ses patients. L’autoévaluation, temps fort de l’éta-blissement, permet de se positionner par rapport aux exigences du manuel de certification. C’est l’occasion de définir des améliorations, de mettre en valeur des pratiques existantes, reconnues et pé-rennes. La visite réalisée par les experts visiteurs tous les 4 ans, consiste à s’as-surer que la dynamique d’amélioration engagée est maintenue dans le temps et est source d’amélioration effective dans la qualité et la sécurité des soins.»

quels sont les éléments audités par les experts visiteurs ?

«La qualité du management et la sécu-rité du patient sont des points clef de la certification.La qualité de la prise en charge du patient est appréciée à travers les évaluations de pratiques professionnelles, le circuit du médicament, le fonctionnement du bloc opératoire, la gestion des risques et des événements indésirables graves, le risque infectieux, la prise en charge de la dou-leur, les droits des patients, la prise en charge des urgences, la tenue du dossier patient et l’identitovigilance.L’efficacité de la démarche se mesure par le suivi d’indicateurs.autant d’éléments où intervient l’ensem-ble des professionnels.»

Cinq Cliniques du Groupe Hpm sont évaluées successivement en 2010 en vue de leur certification. ensemble, agissons pour que ce projet aboutisse.

«LA CERTIFICATIONde nos cliniques, c’est l’affaire de tous !»

VoUs aVeZ DiT QUaLiTé ?

A.-S. hENNERON responsable Qualité Cliniques saint Jean, La Victoire, ambroise paré.

S. FRèRE et R. gOzE responsables Qualité Cliniques Lambersart, polyclinique du Bois.

P. LEFRANÇOIS responsable Qualité Cliniques Lille sud, maison Fleurie.

C. KRUMPhOLz responsable Qualité Clinique Croisé Laroche.

CALENDRIER DES PROChAINES CERTIFICATIONSClinique La Victoire : du 19 au 22 janvier 2010

Clinique Ambroise Paré : du 2 au 5 février 2010

Clinique Saint jean : du 10 au 13 mars 2010

Clinique Croisé Laroche : avril 2010

Polyclinique du bois et Pavillon du bois : décembre 2010

zOOM SUR LA CERTIFICATION

propos recueillis par M. bATTAgLIA.

13Le CoLiBri N°1

À la fois support de la stratégie Hpm, garant de l’équité, de l’employabilité des salariés, de l’écoute et de la dy-namique sociale, soutenues par nos représentants du personnel, les rH interviennent auprès des Directions opé-rationnelles et Fonctionnelles, dans le cadre de leur fonction transversale.Composé de 14 personnes, le service rH accomplit de multiples missions :

• gestion Administrative : Dorothée CarDoN et angélique LeNoir gèrent les contrats et le suivi des dossiers salariés. idem pour Corinne BaeTemaN et Corinne DeHoNGHer pour la polyclinique du Bois et le pavillon du Bois.

• gestion de la Paye : Christine TaiLLeZ, secondée par sylvette erBes, angélique LeNoir (mi-temps), et Lucie moLLeT, assure la paye des salariés. Jean-Luc CorDa est en charge de la paye de la polyclinique du Bois. eric BLoNDeL s’occupe de celle du pavillon du Bois.

• Formation : aurélie CaNGe accompa-gne la réflexion stratégique du Groupe sur les compétences qui leur sont nécessai-res et sur les évolutions professionnelles des salariés. elle conçoit et met en place les formations appropriées, le plan de formation. elle apporte également le soutien et l’expertise nécessaires aux unités de Direction.

• gestion du Recrutement et des Carriè-res : pauline GUiLBerT assiste et conseille les Directions et le pôle administratif des unités en matière de recrutement, de ges-

tion prévisionnelle des emplois. elle analy-se et identifie les besoins, gère le suivi des effectifs, la valorisation des compétences. elle accompagne les situations individuel-les, s’occupe de la gestion des carrières et de la recherche d’affectations en interne.

• gestion Sociale : anne-sophie DoCKWiLLer (DrH) et Jacqueline HaUTeCoeUr (DrH adjointe), assistées de Dorothée CarDoN et Cathy GraTpaNCHe, gèrent les irp (institutions représentati-ves du personnel), Nao, accords d’entre-prises.

• gestion des contentieux : Jacqueline HaUTeCoeUr instruit les dossiers de collaborateurs ayant des litiges (risques prud’homaux), en lien avec anne-sophie DoCKWiLLer.

• gestion des risques : odile LiGNeeL et Jacqueline HaUTeCoeUr assistent aux CHsCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail). odile suit les dossiers liés à la gestion des risques pro-fessionnels et aux projets médicaux.

• Action Sociale : l’équipe rH accompa-gne sur un plan social, les salariés en diffi-culté personnelle (santé, handicap, famille, logement, budget, droits sociaux…).

La Direction des rH a pour ambition de poursuivre et parfaire la politique Groupe engagée au sein d’Hpm et ainsi valoriser la notion que l’Homme est au centre de notre entreprise.

jOURNÉE D’INTÉgRATION POUR LES NOUVEAUX ARRIVANTS

La première demi-journée d’intégra-tion commune à tous les établisse-ments du groupe s’est déroulée le 3 décembre dernier. rendez-vous in-contournable du processus d’accueil des nouveaux collaborateurs, elle est destinée à leur présenter les diffé-rents établissements et les grandes fonctions transversales comme les ressources Humaines, la Qualité et la Gestion des risques ainsi que l’Hygiène. Les nouveaux collabora-teurs ont été accueillis par anne- sophie DoCKWiLLer DrH, Laurent DeLemer Directeur de la polyclinique et du pavillon du Bois, sylvie HUGer Directrice de la Clinique maison Fleurie, ingrid VaNTomme Dssi de la Clinique de Lambersart. La séance a été clôturée par l’intervention de monsieur BesaNGer.

CRÉATION D’UN POOL VOLANT INFIRMIERS / AIDES-SOIgNANTS

Un atout pour le groupe Hpm : la constitution depuis mars 2009 d’un pool infirmiers / aides-soignants afin de pallier aux besoins ponctuels de personnel au sein des différents établissements. Ce pool permet de renforcer les équipes en place et de développer la polyvalence du person-nel soignant. La coordination de ce pool est confiée à Hafida raZZi, Dssi de la Clinique saint Jean.(coordonnées : 06 60 45 34 50).

La Direction des Ressources humaines :

UN SERVICE TRANSVERSAL INCONTOURNAbLE

sYNerGie

De gauche à droite, de haut en bas : Dorothée CarDoN, Christine TaiLLeZ, Lucie moLLeT, Corinne BaeTemaN, Corinne DeHoNGHer, aurélie CaNGe, angélique LeNoir, eric BLoNDeL, sylvette erBes, Jean-Luc CorDa, Jacqueline HaUTeCoeUr, pauline GUiLBerT, Cathy GraTpaNCHe, anne-sophie DoCKWiLLer, odile LiGNeeL.

A.-S. DOCKWILLER, DrH Hpm.

14 Le CoLiBri N°1

passioN

Paysage vietnamien. Dans une lumière pâle et sous un léger filet de brume s’étend le delta du Mékong : c’est l’aube. Ciel et eau se confondent et se disputent l’horizon dans une grande épure. Quel-ques jonques naviguent sur les eaux calmes d’où émergent des rochers d’un noir de jais. Figée sur la toile, l ’atmosphère vaporeuse n’est pas sans rappeler le célèbre parlement de Londres de monet. L’aquarelle est d’une beauté à couper le souffle. elle nous transporte immédiatement en asie et nous plonge dans un univers oriental intemporel.

L’artiste ?il n’est autre que le Docteur Christophe oBrY, chirurgien orthopédiste et trau-matologue à la Clinique Croisé Laroche. pas étonnant pour un enfant dont la mère était passionnée par le XViiie siècle et les antiquaires. Dès son adolescence, il fait ses premiers pas en peinture sous l’égide de patrick spriet. pour ce chirur-gien, pas de doute, sa passion résulte de l’ambiance artistique dans laquelle il a toujours baigné.

Médecin ou peintre ?Lorsque vient le moment de choisir, une décision se pose : médecin ou peintre ? L’homme a tranché en faveur de la mé-decine, ce qui ne l’a jamais contraint à délaisser ses pinceaux. Talentueux, le

Docteur oBrY l’est assurément. pour preuve, durant ses études, il remporte un prix des Beaux arts de paris en sculpture.

Le Vietnam, une nouvelle source d’inspiration. en 1999, il découvre le Vietnam et par-ticipe à l’aventure de l’édification de l’Hôpital Français de Hanoi. Coup de cœur. il s’y est rendu 35 fois depuis et y passe désormais quatre mois par an. L’élément aquatique omniprésent ajouté à la lumière si particulière du Vietnam l’inspirent… L’eau est devenue un motif récurrent dans ses œuvres qui, grâce à des expositions, ornent les murs de particuliers. «Je les sais dans de bonnes maisons», concède-t-il non sans avouer qu’il préfère conserver certaines de ses toiles auprès de lui.

Du dessin à la sculpture…À sa palette : huiles, aquarelles mais aussi anatomie artistique. Les marines et les paysages ont sa préférence :

«J’ai besoin d’être sur le motif, de travailler en extérieur.» parfois, en hiver ou lorsque les conditions météorologi-ques sont dégradées, il se réfugie dans sa voiture pour continuer de peindre. Toute-fois, la pratique du dessin de nus lui donne envie de se tourner vers la sculpture. Terres cuites puis bronzes à cire perdue absorbent désormais son temps libre. «il me manque du temps», avoue Chris-tophe oBrY, toujours en quête d’un moment pour assouvir et approfondir ses connaissances du monde artistique. avec un plaisir non dissimulé, il évoque sa passion pour les arts et ses bienfaits. «La peinture est une forme de médi-tation. elle m’apporte beaucoup de bonheur mais aussi une sérénité que je ne retrouve pas dans mon métier de médecin». Une trentaine d’expositions lui ont permis de se confronter à la critique et d’évoluer dans son travail, sous l’œil bienveillant de ses proches qui adorent tout simplement sa passion…

A. bAgUET et A. hAzARD.

LA SCIENCE DE L’ART PAR LE DR ChRISTOPhE ObRy

action aide asie : www.actionaideasie.com action aide asie vient en aide aux enfants et aux jeunes adultes handicapés, victimes de mines antipersonnelles, d’accidents, de malformations et n’ayant pas accès aux soins.

Docteur Christophe ObRy, chirurgien orthopédiste et traumatologue à la Clinique Croisé Laroche à marcq-en-Barœul.

15Le CoLiBri N°1

NAThALIE bERNARDartiste peintre, originaire du Nord, passionnée de peinture depuis son enfance, a suivi des cours aux Beaux arts.Coloriste, cubiste dans des thè-mes variés plutôt abstraits, schématiques dans lesquels se dessine une force des lignes.impression de mouvement, de puissance, de rythme que l’on retrouve notamment dans des thèmes parfois plus figuratifs tels que la voile.peinture acrylique, de grands formats, technique du pinceau et du couteau, associant les couleurs dans une recherche d’harmonie, de subtilité et d’esthétisme.

OSCAR ET LA DAME ROSEaprès le roman et la pièce, voici le film de eric-emmanuel sCHmiTT. oscar, 10 ans, condamné par un cancer, vit à l’hôpital. Ni les mé-decins ni ses parents n’osent lui révéler la vérité. seule rose, une ex-catcheuse interprétée par michèle LaroQUe, communique avec l’enfant sans détour. Tous deux sont loin d’imaginer à quel point cette complicité va bouleverser leur destin…

Nos CoUps De CœUr

Livre

Livre

Artiste

Film

contact : nathaliebernard59@hotmail.fr

ANTICANCER, le livre de David serVaN-sCHreiBer, est avant tout une leçon de vie pour les malades comme pour les bien-portants. Grâce à de nombreuses expériences scientifiques, de multiples recherches menées aux états-Unis, au Canada, les témoi-gnages de ses patients, il expose clairement une nouvelle approche anticancer. Ses conseils, axés sur quatre piliers : l’hygiène de vie, l’alimentation, le mental et l’activité physique, ont pour objectif de nous protéger de la maladie.David serVaN-sCHreiBer ne parle pas uniquement en tant que médecin et chercheur. Lui-même atteint par un cancer, il nous fait vivre son parcours du com-battant, sa relation avec son entourage et son adver-sité à toute épreuve.À travers cet ouvrage, l’auteur espère qu’il aidera chacun, quelle que soit sa situation, à mettre toutes les chances de son côté.

LILI ET LA FLEUR DE NUITCe conte pour enfants ou adultes rê-veurs nous emmène dans l’univers merveilleux de Lili, la Fleur de Nuit, Jocko le crapaud, Caméllion l’escargot et madame la Lune.Chacun met en scène un person-nage aux traits familiers. Lili incarne

la féminité et la malice, Jocko représente l’ordre, la rigidité, et Caméllion la perfection. Chaque protagoniste de l’histoire prend sa place autour d’un marécage et y joue un rôle indispensable. Dans ce récit poétique, il n’y a pas de méchant ou de gentil. Le lecteur y trouvera son bonheur, dans la fantaisie du récit pour les petits et par l’émotion qu’il dégage pour les adultes.Cécile CarLier, art-thérapeute à la Clinique maison Fleurie site parc monceau à Lille, est l’auteur, illustrateur et éditeur de Lili et la Fleur de Nuit, une œuvre à part entière qui enchantera les petits comme les grands.

www.lilifleur.fr

M. bATTAgLIA et S. gUEMARD.

eN BreF

aGeNDa

DIRECTIONM. bESANgER a été nommé directeur opérationnel unique lors de la réunion du 16 décembre par le Comité stratégique

SIègE hPMArrivée de toute l’équipe technique

CLINIqUE CROISÉ LAROChEExtension de la Clinique

CLINIqUES LA VICTOIRE, AMbROISE PARÉ, CROISÉ LAROChEMise à jour de la signalétique intérieure

CLINIqUE DE LAMbERSARTUn nouveau paysage extérieur!

POLyCLINIqUE DU bOISDémarrage de la dernière phase des travaux

PAVILLON DU bOIS2329 bébés pour 2009

LIVRET D’ACCUEILRéimpression annuelle pour tous les établissements du Groupe

FIN MAI / DÉbUT jUIN EXPOSITION ARTISTIqUE

20 artistes du nord exposent leurs toiles dans nos cliniques.

polyclinique du Bois, pavillon du Bois, Clinique Lille sud, Clinique saint Jean

Nous recherchons : 1 référent art par site.

merci de contacter marie BaTTaGLia (m.battaglia@groupehpm.com)

HÔ

piT

aL

pr

iVé

mé

Tr

op

oL

e -

rC

s r

oU

Ba

iX-T

oU

rC

oiN

G 4

93

69

9 1

02