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10 dossiers dans les conditions réelles du concours sur tablette numérique ECN OBJECTIF Urologie François Audenet I José Batista Da Costa CCA en urologie à Paris Interne des hôpitaux de Paris en Urologie ACCÈS GRATUIT 30 dossiers progressifs + 10 dossiers en ligne Dossiers et questions isolées type concours 100 % QRM Corrigés détaillés et commentés Illustrations type concours

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10 dossiers dans les conditions réelles

du concours surtablette numérique

ECNOBJECTIF

UrologieFrançois Audenet I José Batista Da CostaCCA en urologie à Paris Interne des hôpitaux de Paris

en Urologie

ACCÈS GRATUIT

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Dossiers et questions isolées type concours

100 % QRM

Corrigés détaillés et commentés

Illustrations type concours

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ObjectifECNi

L’application créée par Théo Pezel, David Deutsch

et Jeremy Lupu

Nouveau concours : Nouvelle application !

15 spécialités à 4,90 € chacune,avec 10 dossiers progressifs et des questions isolées

Disponibles sur :

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LES DOSSIERS ECNiU R O L O G I E

François Audenet, Médaille d’Or de Chirurgie des Hôpitaux de Paris,

Chef de Clinique – Assistant des Hôpitaux,

Hôpital Européen Georges Pompidou,

Université Paris-Descartes, Paris

José Batista Da CostaInterne des Hôpitaux de Paris

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Éditions ESTEM4, rue de la Michodière, 75002 ParisTél. : 01 72 36 41 60Fax : 01 72 36 41 70E-mail : [email protected]

ISBN 978-2-84371-882-3© 2016, Éditions Estem

Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur, ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (loi du 11 mars 1957, alinéa 1er de l’article 40). Cette représentation ou reproduction par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.

www.estem.fr@

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V

Présentation de la collection

Tous les ouvrages de la collection « Les dossiers ECNi » sont écrits par des auteurs classés parmi

les meilleurs aux ECN et validés par des PU-PH spécialistes de la matière, investis dans le nouveau

concours ECNi. Cette nouvelle collection vous permettra de vous mettre en situation de concours en

proposant un contenu adapté aux nouvelles modalités des ECNi :

1 - Des dossiers progressifs

Chaque dossier comporte 15 questions, sous la forme exclusive de QRM suivants les dernières

modalités du concours. Elles couvrent l’ensemble de la spécialité.

Un classement par niveau de difficulté est proposé afin de progresser dans vos révisions, en allant

au fur et à mesure vers des dossiers plus transversaux.

Un rappel des items étudiés est indiqué en fin de dossier, pour faire le lien avec le nouveau

programme.

Les corrigés sont cotés et commentés, avec des conseils et astuces propres aux auteurs. Ils

intègrent les pondérations « Réponse inacceptable » et « Réponse indispensable » comme prévues

au concours.

La rubrique finale « L’avis du conférencier » statue sur le cas étudié dans le dossier en donnant

les réflexes à avoir le jour du concours.

Chaque dossier étant progressif, l’étudiant devra se garder de regarder la question qui suit avant de valider sa réponse.

2 - Des questions isolées

Ces questions vous permettront de faire le tour des items susceptibles de vous discriminer.

Remarque sur les pointsPour la cotation, des points ont été attribués à chaque bonne réponse, mais les consignes du CNCI sont les suivantes :

en l’absence de discordance, l’étudiant a la note maximale ; dans le cas d’une discordance, la note est divisée par

deux ; dans le cas de deux discordances, la note est multipliée par 0,2. Dans le cas de 3 discordances ou plus, la

note est de zéro. De même si une réponse inacceptable est cochée, ou une réponse indispensable non cochée. Dans

le cas où une réponse unique est attendue, toute case cochée par erreur donne un zéro à la question.

Bonne préparation et bonne chance !

Les éditions Estem

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VII

Dossiers cliniques progressifs

DOSSIER N° 1. Une douleur testiculaire révélatrice ..................................................... 3DOSSIER N° 2. Problèmes de tuyauterie ............................................................................ 9DOSSIER N° 3. Problème de fuites urinaires ................................................................. 15

DOSSIER N° 4. Une infection sévère ................................................................................. 21

DOSSIER N° 5. Sérotalgies en folie ................................................................................... 27

DOSSIER N° 6. Une boule mal placée .............................................................................. 33

DOSSIER N° 7. Une vie de prostate ................................................................................... 39

DOSSIER N° 8. Histoires de famille ................................................................................... 45

DOSSIER N° 9. Pénibilité du travail ................................................................................... 51

DOSSIER N° 10. Un métier à risque ................................................................................... 57

DOSSIER N° 11. Douleurs pas toujours typiques ...................................................... 63

DOSSIER N° 12. Une prostate à risque ......................................................................... 69

DOSSIER N° 13. La vie en orange ................................................................................... 75

DOSSIER N° 14. Trop plein ................................................................................................ 81

DOSSIER N° 15. Infections urinaires à répétition .................................................... 87

DOSSIER N° 16. Rien d’anodin ......................................................................................... 93

DOSSIER N° 17. La puce à l’oreille ................................................................................ 99

DOSSIER N° 18. Un patient sanguin ........................................................................... 106

DOSSIER N° 19. Hématurie macroscopique ............................................................ 112

DOSSIER N° 20. Élévation du PSA ........................................................................... 118

DOSSIER N° 21. Un rein passé à tabac ................................................................. 124

DOSSIER N° 22. Lombagies suspectes ................................................................... 131

DOSSIER N° 23. Pipi brûle-t-il ? ............................................................................... 138

DOSSIER N° 24. Iono troublant... ............................................................................. 144

DOSSIER N° 25. Gonfl é à l’hélium ............................................................................ 150

DOSSIER N° 26. Gros reins ......................................................................................... 156

DOSSIER N° 27. Judith voit rouge ............................................................................ 163

DOSSIER N° 28. Very high level ............................................................................... 169

DOSSIER N° 29. Un patient confus .......................................................................... 175

DOSSIER N° 30. À bicyclette ...................................................................................... 181

Questions isoléesÉnoncé ....................................................................................................................................... 188

Corrigé ....................................................................................................................................... 192

Sommaire

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DOSSIER N° 13 75

Items 123 – 287 – 289 – 290 – 291 – 292 – 311 – 342 – 343

ÉnoncéM. V., 77 ans, vient vous voir en consultation. Depuis quelques mois il urine du sang avec de petits caillots. Il n’a aucun antécédent, à part un tabagisme non sevré à 60 paquets/année et ne se plaint de rien d’autre. Le toucher rectal montre une prostate souple évaluée à 60 g. Les fosses lombaires sont libres.

1. Devant cette hématurie macroscopique, quelle(s) est (sont) l’ (les) hypothèse(s) diagnostique(s) ?❏ A. La présence de caillots oriente vers une cause urologique

❏ B. Il existe une corrélation entre l’importance de l’hématurie et la gravité de la maladie causale

❏ C. L’épreuve des trois verres peut avoir une valeur localisatrice de l’origine de l’hématurie

❏ D. Il faut rechercher en priorité un cancer urologique

❏ E. L’hématurie macroscopique peut être due à une pathologie bénigne

2. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) demandez-vous ?❏ A. ECBU

❏ B. Fibroscopie vésicale

❏ C. Uro-TDM

❏ D. Marqueurs tumoraux

❏ E. Ionogramme urinaire

Vous réalisez une fibroscopie :

3. Quelle est votre prise en charge ?❏ A. Instillation endovésicale de BCG

❏ B. Bilan d’extension avec TDM thoracique

❏ C. Biopsies de la lésion en fibroscopie vésicale

❏ D. Résection transurétrale de la vessie au bloc opératoire

❏ E. Fibroscopie de contrôle dans deux mois

DOSSIER

N° 1313 La vie en orange

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ÉNONCÉ76

4. Quels sont les facteurs de risque de tumeurs de la vessie ?❏ A. Diabète de type II

❏ B. Carcinogènes industriels

❏ C. Irradiation pelvienne

❏ D. Tabac

❏ E. Exposition à du cyclophosphamide

Vous réalisez une résection transurétrale de la vessie et le résultat histologique est le suivant : pTa de bas grade, le muscle est vu.

5. Quels sont les facteurs de risque de progression des tumeurs de la vessie n’infiltrant pas le muscle (TVNIM) ?❏ A. Aspect macroscopique de la tumeur (papillaire)

❏ B. Taille de la tumeur

❏ C. Multifocalité

❏ D. Score de Fuhrman : degré de différenciation

❏ E. Stade tumoral

6. Quelle prise en charge proposez-vous pour une tumeur pTa de bas grade ?❏ A. Surveillance clinique seule

❏ B. Sevrage tabagique

❏ C. Cystoprostatectomie totale

❏ D. Instillation endovésicale de BCG

❏ E. Surveillance par des fibroscopies régulières

7. Quelle aurait été votre prise en charge en cas d’une tumeur pT1 de haut grade ? ❏ A. Même traitement que pour une tumeur pTa de bas grade

❏ B. Sevrage tabagique

❏ C. Cystoprostatectomie totale

❏ D. Instillation endovésicale de BCG

❏ E. Surveillance à vie

Vous revoyez M. V. en consultation de contrôle. Il vous dit être de plus en plus gêné pour uriner. Il a du mal à démarrer le jet urinaire et il doit se lever trois fois par nuit pour uriner. Vous pensez qu’il souffre d’une hypertrophie bénigne de la prostate.

8. Parmi les examens suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui fait (font) partie du bilan à faire en première intention ? ❏ A. Créatininémie

❏ B. Uro-TDM

❏ C. Score IPSS

❏ D. ECBU

❏ E. Cystomanométrie vésicale

M. V. a un score d’IPSS à 14. Sur l’échographie, la prostate est estimée à 75 g et il n’y pas de retentissement sur son haut appareil urinaire. Vous lui proposez une prise en charge médicale en introduisant un traitement par alphabloquants.

9. Quels sont les effets secondaires les plus fréquents avec les alphabloquants?❏ A. Épilepsie

❏ B. Agranulocytose médicamenteuse

❏ C. Éjaculation rétrograde

❏ D. Trouble de la mémoire

❏ E. Hypotension orthostatique

Cinq semaines plus tard, M. V. se présente aux urgences de votre CHU. Il n’arrive plus à uriner depuis cinq heures. Il est sondé aux urgences, ce qui permet d’évacuer un globe vésical de 750 cc. Quand vous allez voir M. V., les urines sont franchement hématuriques.

10. Quelles sont vos hypothèses diagnostiques pour cet épisode qui l’a amené aux urgences ?❏ A. Rétention aiguë d’urines sur hématurie macroscopique caillotante

❏ B. Rétention aiguë d’urines liée à l’hypertrophie bénigne de la prostate

❏ C. Rétention aiguë d’urines d’origine médicamenteuse due aux alphabloquants

❏ D. Hématurie macroscopique a vacuo

❏ E. Hématurie macroscopique sur récidive de tumeur de la vessie

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DOSSIER N° 13 77

Vous réalisez une fibroscopie vésicale dès que les urines sont redevenues claires. Celle-ci met en évidence une récidive de la tumeur de la vessie d’allure infiltrante.

11. Concernant les tumeurs de la vessie infiltrant le muscle (TVIM), quelle(s) est (sont) l’ (les) affirmation(s) exacte(s) ?❏ A. Il s’agit de la présentation la plus fréquente des tumeurs de la vessie

❏ B. La RTUV est indispensable au diagnostic

❏ C. Le risque principal est la récidive locale après traitement

❏ D. Le traitement de référence à visée curatrice est chirurgical

❏ E. Il s’agit d’une lésion de bon pronostic, même au stade avancé

Vous réalisez une RTUV. L’histologie cette fois-ci retrouve un pT2G3.

12. Quelle est votre prise en charge ? ❏ A. Deuxième RTUV (2e look) pour affirmer le caractère infiltrant de la tumeur

❏ B. Cystoprostatectomie avec curage ilio-obturateur bilatéral en cas de maladie localisée

❏ C. Radiothérapie néoadjuvante

❏ D. Radiothérapie et chimiothérapie à visée curative

❏ E. Bilan d’extension et discussion du dossier en RCP

Le bilan d’extension est négatif. Après un bilan onco-gériatrique, il est décidé en RCP de proposer une cystoprostatec-tomie avec dérivation cutanée de type Bricker.

13. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s)?❏ A. Le Bricker est une urétérostomie cutanée transiléale

❏ B. Le patient doit être prévenu du risque de fuites urinaires par les voies naturelles

❏ C. Il s’agit d’une intervention à visée palliative

❏ D. Le curage ganglionnaire doit être un curage ilio-obturateur étendu bilatéral

❏ E. Chez les patients âgés, il faut privilégier une reconstruction par entérocystoplastie

M. V. refuse d’être opéré et il est perdu de vu. Il revient dans votre CHU un an plus tard pour altération de l’état général. Il a perdu 5 kg en six mois, il n’a plus d’appétit. Il vous dit que depuis deux jours il n’urine quasiment pas et il pense être bloqué comme il y a un an. Cliniquement, il n’y a pas de globe vésical. Le sondage vésical ne donne que 100 cc d’urines.Le bilan biologique est le suivant : Na = 135 mmol/L, K = 6 mmol/L, créatinine = 750 μmol/L.

14. Quel(s) examen(s) réalisez-vous en urgence ?❏ A. TDM abdomino-pelvienne sans injection de produit de contraste

❏ B. Radiographie du thorax

❏ C. Protéinurie et ionogramme urinaire

❏ D. ECG

❏ E. Aucun, indication à une épuration extra-rénale en urgence

L’ECG ne montre pas de trouble de la repolarisation. Le TDM retrouve une dilatation bilatérale des cavités pyélocali-cielles symétrique avec une dilatation des uretères sur l’ensemble de leur trajet jusqu’à la vessie qui est envahie par une masse tumorale postérieure.

15. Quelle est votre prise en charge ? ❏ A. Abstention thérapeutique, prise en charge palliative

❏ B. Épuration extra-rénale

❏ C. Remplissage vasculaire massif

❏ D. Drainage chirurgical des urines en urgence

❏ E. Pose de néphrotomies bilatérales

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CORRIGÉ78

CorrigéQ

RM

1Réponse Cotation Commentaire

A ✕ 5 Une hématurie macroscopique avec caillots impose un bilan étiologique à la

recherche d’une cause urologique.B

C ✕ 5

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 2

Réponse Cotation Commentaire

A ✕ 5

B ✕ 5

C ✕ 10

D L’uro-TDM est plus sensible que l’échographie réno-vésicale pour la recherche

d’une lésion urothéliale.

E

QR

M 3

Réponse Cotation Commentaire

A Devant l’aspect typique de lésion urothéliale, la RTUV (au bloc opératoire) est

diagnostique et thérapeutique dans le cas des TVNIM. Le muscle vésical doit

être vu en anatomo-pathologie pour éliminer une forme infiltrante.B

C

D ✕ 20

E

QR

M 4

Réponse Cotation Commentaire

A La découverte d’une tumeur de vessie doit systématiquement faire rechercher

une exposition professionnelle.B ✕ 5

C ✕ 5

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 5

Réponse Cotation Commentaire

A

B ✕ 5

C ✕ 5

D

E ✕ 10La stadification des patients présentant une TVNIM permet d’adapter le suivi

en fonction du risque de récidive et de progression.

QR

M 6

Réponse Cotation Commentaire

A

B ✕ 10

C

D

E ✕ 10 Le risque principal est la récidive.

QR

M 7

Réponse Cotation Commentaire

A

B ✕ 5

C

D ✕ 5

E ✕ 10 Le risque ici est la progression vers une forme infiltrante.

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DOSSIER N° 13 79

QR

M 8

Réponse Cotation Commentaire

A ✕ 7 Examens complémentaires à demander en 1re intention devant une HBP :

– ECBU ;

– créatinine ;

– PSA ;

– débitmétrie ;

– échographie réno-vésico-prostatique.

B

C ✕ 7

D ✕ 6

E

QR

M 9

Réponse Cotation Commentaire

A Les alphabloquants doivent être prescrits avec précaution chez les patients

âgés, coronariens ou en cas de traitement antihypertenseur associé.B

C ✕ 10

D

E ✕ 10

QR

M 1

0

Réponse Cotation Commentaire

A ✕ 5 En cas de RAU :

– si hématurie d’emblée – probable caillotage vésical ;

– si hématurie secondaire au drainage vésical – hématurie a vacuo.

Pour prévenir l’hématurie a vacuo, il est conseillé de réaliser une vidange

progressive et de clamper la sonde quelques minutes tous les 500 cc.

B ✕ 5

C

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 1

1

Réponse Cotation Commentaire

A Les TVIM sont des lésions agressives avec un risque d’extension métastatique.

B ✕ 10

C

D ✕ 10

E

QR

M 1

2

Réponse Cotation Commentaire

A Le choix du traitement dépend des comorbidités du patient et du bilan d’exten-

sion métastatique.B ✕ 10

C

D

E ✕ 10

QR

M 1

3

Réponse Cotation Commentaire

A ✕ 10 Le Bricker est une stomie urinaire : les urines sont dérivées à la peau à travers

un segment d’intestin grêle pour éviter le risque de sténose.B

C

D ✕ 10

E

QR

M 1

4

Réponse Cotation Commentaire

A ✕ 10Devant cette anurie, il faut en priorité rechercher une cause obstructive pour

drainer le haut appareil urinaire.

B

C

D ✕ 10 Réponse indispensable*.

E

* Réponse indispensable = 0 à la question si non cochée.

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CORRIGÉ80

QR

M 1

5

Réponse Cotation Commentaire

A

B

C

D ✕ 10 L’anurie obstructive est une urgence chirurgicale.

Devant une masse pelvienne avec probable envahissement des méats, il faut

privilégier un drainage par néphrostomies bilatérales.E ✕ 10

Total ........... / 300

Items abordés dans ce dossierN° 123 : Hypertrophie bénigne de la prostate

N° 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, préven-

tion et dépistage des cancers

N° 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel

et investigations paracliniques ; caractérisation du

stade ; pronostic

N° 290 : Le médecin préleveur de cellules et/ou de

tissus pour des examens d'Anatomie et cytologie

pathologiques : connaître les principes de réalisation,

transmission et utilisation des prélèvements à visée

sanitaire et de recherche

N° 291 : Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, traitements médicaux des cancers (chimiothérapie, thérapies

ciblées, immunothérapie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l'information du malade

N° 292 : Prise en charge et accompagnement d'un malade cancéreux à tous les stades de la maladie dont le stade de

soins palliatifs en abordant les problématiques techniques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements symptoma-

tiques. Modalités de surveillance.

N° 311 : Tumeurs vésicales

N° 342 : Rétention aiguë d'urine

N° 343 : Insuffisance rénale aiguë – Anurie

L’avis du conférencierDossier classique présentant l’histoire naturelle d’une

tumeur de vessie, d’abord non infiltrante, devenant

ensuite infiltrante :

– TVNIM : risque de récidive et de progression ;

– TVIM : risque métastatique et vital.

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DOSSIER N° 22 131

Items 106 – 289 – 291 – 292 – 307

Lombagies suspectes

ÉnoncéM. G. âgé de 84 ans, est transféré au service d’accueil des urgences pour un syndrome confusionnel. Cet enseignant à la retraite vit seul à son domicile.

C’est son aide-ménagère qui l’a conduit aux urgences. D’après elle, M. G. n’a pas d’antécédent particulier. Il se plaignait de douleurs lombaires depuis plusieurs mois et prenait du kétoprofène à visée antalgique.

Ses constantes à l’arrivée aux urgences sont les suivantes : température = 37,3 °C, pouls = 95 bpm, PA = 100/60 mmHg.

1. Devant ce syndrome confusionnel, quels sont les éléments à rechercher à l’examen clinique ?❏ A. Signes de localisation neurologique

❏ B. Purpura

❏ C. Globe vésical

❏ D. Fécalome

❏ E. MMS

À l’examen clinique, il existe une douleur élective à la palpation de L1. Le TR trouve une prostate pierreuse dans son ensemble. Il existe une déshydratation extracellulaire. Le reste de l’examen est sans particularité.

Le bilan biologique réalisé aux urgences est le suivant : créatinine : 250 μmol/L, K : 4,5 mmol/L, Hb : 13 g/dL, Ca : 3,1 mmol/L. Vous demandez une échographie : les reins sont de 11 cm à droite et 12 cm à gauche et vous ne retrouvez pas de dilatation des cavités pyélocalicielles.

2. Quels sont les arguments en faveur d’une insuffisance rénale aiguë ?❏ A. Absence d’anémie

❏ B. Contexte d’automédication par des AINS

❏ C. Absence de dilatation des cavités pyélocalicielles

❏ D. Taille des reins normale

❏ E. Âge

Vous réalisez un bilan biologique plasmatique et urinaire complémentaire dont voici les résultats : U/P urée = 22, U/P créat = 60, FeNa < 1 %.

3. Interprétez les résultats ci-dessus.❏ A. Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle

❏ B. Insuffisance rénale aiguë organique par nécrose tubulaire aiguë

❏ C. Syndrome néphrotique

❏ D. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique

❏ E. Nécrose tubulaire aiguë

4. Quelles sont les mesures immédiates à prendre ?❏ A. ECG

❏ B. Réhydratation par voie parentérale

❏ C. TDM cérébrale

❏ D. Arrêt des AINS

❏ E. Insuline-glucose

DOSSIER

N° 2222

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ÉNONCÉ132

Une radio du rachis lombaire est réalisée :

5. Quelle est votre interprétation ?❏ A. Fracture-tassement de L1

❏ B. Lésion ostéocondensante de L1

❏ C. Lésion ostéolytique de L1

❏ D. Lésion dégénérative de L1

❏ E. Discopathie L1-L2

6. Parmi les cancers suivants, lequel (lesquels) est (sont) à rechercher devant des lésions osseuses d’allure secondaire ?❏ A. Peau

❏ B. Foie

❏ C. Prostate

❏ D. Sein

❏ E. Côlon

Le syndrome confusionnel de M. G. régresse avec votre traitement. La fonction rénale se normalise. Vous réalisez un bilan de cancer de prostate. Le PSA sérique total est mesuré à 58 ng/mL. Les biopsies de prostate mettent en évidence un adénocarcinome Gleason 8 (4+4) bilatéral.

7. Quel va être votre bilan d’extension ?❏ A. IRM prostatique pour l’évaluation locorégionale

❏ B. TEP au 18 FDG

❏ C. TDM thoraco-abdomino-pelvienne

❏ D. IRM cérébrale

❏ E. Scintigraphie osseuse

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DOSSIER N° 22 133

La scintigraphie osseuse met en évidence une hyperfixation au niveau du rachis lombaire. Vous complétez votre bilan par une IRM rachidienne qui met en évidence des lésions ostéocondensantes au niveau de L1 et L2 sans recul du mur postérieur et sans compression médullaire.

8. Que prévoyez-vous pour la prise en charge de ce patient ? ❏ A. Abstention thérapeutique et surveillance car les lésions prostatiques sont peu évolutives

❏ B. Traitement à visée curative par un blocage androgénique

❏ C. Traitement palliatif par hormonothérapie avec un agoniste de la LH-RH

❏ D. Prise en charge à 100 %

❏ E. Prise en charge multidisciplinaire

Vous présentez le dossier de M. G. en RCP et il est décidé de débuter une hormonothérapie palliative. Vous revoyez M. G. en consultation et vous lui expliquez les effets secondaires des agonistes de la LH-RH.

9. Quel est le mécanisme d’action des agonistes de la LH-RH ? ❏ A. Ils agissent sur l’axe hypothalamo-hypophysaire

❏ B. Ils agissent directement sur le testicule

❏ C. Ils agissent en bloquant les récepteurs périphériques aux androgènes

❏ D. Ils entraînent un arrêt de la production de testostérone

❏ E. Leur effet est réversible à l’arrêt du traitement

10. Quels sont les principaux effets secondaires de la suppression androgénique ?❏ A. Baisse de la libido

❏ B. Bouffées de chaleur

❏ C. Perte de poids

❏ D. Ostéoporose

❏ E. Gynécomastie

Alors que vous avez débuté le traitement hormonal, M. G. est hospitalisé en neurochirurgie pour une paralysie des membres inférieurs d’apparition brutale. À l’examen clinique initial, M. G. présente un déficit sensitivo-moteur des deux membres inférieurs avec une abolition des réflexes ostéo-tendineux.

11. Comment expliquez-vous la présentation clinique ?❏ A. Fracture-tassement vertébral ostéoporotique

❏ B. Compression médullaire d’origine métastatique

❏ C. Effet « flare-up »

❏ D. Le cancer est devenu résistant à la castration

❏ E. Syndrome de Guillain-Barré

12. Comment peut-on le prévenir l’effet « flare up » ? ❏ A. Utilisation d’un autre agoniste de la LHRH

❏ B. Association d’un anti-androgène à l’agoniste de la LHRH

❏ C. Traitement par des bisphosphonates

❏ D. Utilisation d’antagoniste de la LHRH

❏ E. Immobilisation du rachis par le port d’un corset

Mr. G. est opéré en urgence en neurochirurgie et il récupère sur le plan neurologique.

Sous hormonothérapie, le PSA se stabilise à 1 ng/mL. Les douleurs sont contrôlées par des antalgiques de palier 2 et M. G. a pu rentrer chez lui, où il bénéficie d’aides à domicile.

13. Quelles sont les modalités de suivi ?❏ A. Dosage mensuel de la testostéronémie

❏ B. Dosage régulier du PSA

❏ C. Surveillance des douleurs osseuses

❏ D. Surveillance du poids

❏ E. Surveillance de la qualité de vie

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ÉNONCÉ134

Malgré votre traitement, le suivi à un an met en évidence une progression biologique avec un PSA à 42 ng/mL et une progression des douleurs osseuses.

14. Parmi ces propositions, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?❏ A. La résistance à la castration est définie par une élévation du PSA nadir + 2

❏ B. L’arrêt des anti-androgènes peut permettre une baisse du PSA dans 30 % des cas

❏ C. Il faut vérifier la testostéronémie pour s’assurer que la castration est correcte

❏ D. Il faut une augmentation du PSA sur deux dosages successifs pour parler de résistance à la castration

❏ E. Le cancer de prostate résistant à la castration n’est plus hormono-dépendant

15. Quelle prise en charge proposez-vous ? ❏ A. Nouveau bilan d’extension

❏ B. Arrêt de l’hormonothérapie

❏ C. Discuter une chimiothérapie par Taxotère®

❏ D. Prise en charge symptomatique et antalgique

❏ E. Surveillance simple

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DOSSIER N° 22 135

CorrigéQ

RM

1

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 10

B Il s’agit d’une confusion non fébrile : pas d’indication à la PL.

C ✕ 5

D ✕ 5

E Pas de MMS en phase aiguë de la confusion.

QR

M 2

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 5 Devant une insuffisance rénale, il faut toujours éliminer une cause obstructive

par une échographie rénale.B ✕ 10

C

D ✕ 5

E

QR

M 3

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 20 Chez ce patient, IRA fonctionnelle multifactorielle :

– prise d’AINS ;

– déshydratation ;

– hypercalcémie.

B

C

D

E

QR

M 4

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 5

B ✕ 10Le traitement de l’hypercalcémie repose sur l’hyperhydratation. Les bisphos-

phonates sont également indiqués dans les formes sévères.

C

D ✕ 5 Réponse indispensable*

E

QR

M 5

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A

B ✕ 20 Toujours suspecter une lésion maligne devant une lésion ostéocondensante.

C

D

E

QR

M 6

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 5 En cas de lésion osseuse suspecte, il faut rechercher des potentiels primi-

tifs en priorité des cancers ostéophiles : Peau, Poumon, Rein, Sein, Prostate,

Thyroïde.B

C ✕ 10

D ✕ 5

E

* Réponse indispensable = 0 à la question si non cochée.

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CORRIGÉ136

QR

M 7

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A Pas d’indication à l’IRM de prostate dans le cancer métastatique.

B

C ✕ 10

D

E ✕ 10

QR

M 8

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A

B

C ✕ 10 L’hormonothérapie n’a qu’un effet suspensif sur la maladie.

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 9

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 10 L’objectif de la suppression androgénique est d’avoir une testostéronémie <

0,5 ng/mL.B

C

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 1

0

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 5 La prévention des effets métaboliques de l’hormonothérapie est indispensable :

– exercice physique ;

– alimentation équilibrée ;

– surveillance du poids.

B ✕ 5

C

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 1

1

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A

B ✕ 10

C ✕ 10 Réponse indispensable* : l’effet « flare-up » correspond à une élévation brutale

de la testostérone lors de l’introduction des agonistes de la LH-RH.

D

E

QR

M 1

2

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A Il doit être prévenu par l’association d’un agoniste LH-RH et d’un anti- androgène

pendant au moins un mois, ou par l’utilisation d’un antagoniste de la LH-RH.B ✕ 10

C

D ✕ 10

E

* Réponse indispensable = 0 à la question si non cochée.

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DOSSIER N° 22 137

QR

M 1

3

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A Suivi clinique, biologique et surveillance des effets secondaires.

B ✕ 5

C ✕ 5

D ✕ 5

E ✕ 5

QR

M 1

4

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A Même en cas de résistance à la castration, les androgènes restent la cible des

traitements de 2e ligne.B ✕ 5

C ✕ 10

D ✕ 5

E

QR

M 1

5

Réponses Cotation COMMENTAIRE

A ✕ 5

BIl ne faut pas arrêter l’hormonothérapie en cas de résistance à la castration au

risque de réactiver les clones de cellules cancéreuses hormonosensibles.

C ✕ 5

D ✕ 10

E

Total ........... / 300

Items abordés dans ce dossierN° 106 : Confusion, démence

N° 289 : Diagnostic des cancers : signes

d'appel et investigations paracliniques ;

caractérisation du stade ; pronostic

N° 291 : Traitement des cancers : chirur-

gie, radiothérapie, traitements médicaux

des cancers (chimiothérapie, thérapies

ciblées, immunothérapie). La décision

thérapeutique pluridisciplinaire et l'infor-

mation du malade

N° 292 : Prise en charge et accompagnement d'un malade cancéreux à tous les stades de la maladie dont le stade de

soins palliatifs en abordant les problématiques techniques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements sympto-

matiques. Modalités de surveillance.

N° 307 : Tumeurs de la prostate

L’avis du conférencierLe cancer de la prostate métastatique peut facilement servir

de trame à un dossier transversal en fonction des différentes

complications.

Bien connaître le mécanisme d’action des agonistes de LH-RH

avec le risque d’effet flare-up.

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