Contrôle théorique 2ème annéeJeudi 17 novembre 2011

18h15 - 20h15 - Préfa 2.4

Dissertation portant sur le cours théorique « gestion de sa vie physique » et sur des recherches bibliographiques personnelles. (tous documents autorisés)

Le sujet comportera les termes suivants :- Condition physique - Bien être

NB : Les documents étant autorisés, le cours n’est pas à apprendre « par cœur ». En revanche, l’argumentation doit se baser sur la réflexion et les connaissances issues non seulement du cours mais aussi les recherches personnelles de l’étudiant sur les mots-clés du sujet.

Pour se préparer, il faut donc : - Lire le cours une première fois (si on n’y a pas assisté) ; Le cours est composé d’une partie « gestion de sa vie physique » et d’annexes au choix de l’étudiant en fonction de l’activité pratiquée (escalade ou relaxation-étirements)- Définir les mots clés du sujet.- Imaginer des mises en relation possibles des termes clés, formuler les questions qui en découlent.- Relire le cours en s’attardant plus particulièrement sur les parties en relation directe avec les mots clés du sujet. Approfondir ces mises relation par des recherches personnelles (livres, articles, recherche internet) et des exemples personnels issus de la pratique.

NB : Tous les arguments devront être référencés précisément (pour que l’on puisse retrouver leur provenance). Attention aux sources internet, vérifier leur crédibilité (légitimité des auteurs)Pour gagner du temps le jour du partiel, vous pouvez préparer une liste de références potentielles, et numéroter sous forme de renvoi celles que vous utilisez.

GESTION DE SA VIE PHYSIQUE - Sylvie Belle - 2011

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Activité Physique et gestion de sa vie physique

INTRO : POURQUOI S’INTERESSER A CE SUJET ?Monde moderne : Vie de plus en plus sédentaire (transports, métiers), espérance de vie augm. Et temps libéré aussiSport phénomène de société objet d’étude pour les sociologues.

DEFINITIONSVie physique: - Utilisation des ressources physiques tout au long de la vie Façon dont un individu intègre le corps dans sa vie quotidienne. Intégration de la pratique physique dans sa vie quotidienne d’adulte : professionnelle, familiale, de loisir

La vie physique d’un individu dépend de sa santé dans son aspect évolutif : tout au long de la vie. Santé pris dans le sens le plus large : absence de maladie+condition physique+bien-être physique, moral et social.

Vie : les évènements subis + les choix (maitrisés)

Gérer = Sous-entend qu’on a un contrôle. - Utiliser sans l’épuiser le potentiel existant : économiser - Développer ce potentiel

Rapport avec la société qui imposerait sa logique d’efficacité et de rendement ?

En quoi la pratique physique aide t’elle à gérer le potentiel existant ? En quoi l’individu est libre de choisir une pratique physique qui améliore sa santé au court de sa vie ?

I – Etre en bonne santé grâce à la pratique physiqueII – Quand la pratique physique nuit à la santé III – Trouver un bien-être physique, moral et social grâce à la pratique physiqueLe poids des valeurs sociales, recherche de liberté

GESTION DE SA VIE PHYSIQUE - Sylvie Belle - 2011

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PLANI – Avoir une activité physique aide à être en bonne santé

I.1- La Santé   comme absence de maladie I.2- La Santé   comme absence de maladie + condition physique

I.2.1- Effets de l’immobilisationI.2.2- Effet de la pratique sur la VO2maxI.2.3- Entrainabilité relative des qualités physiquesI.2.4 - Effet de la pratique physique à long terme1.2.5 - Effet de la pratique sur la perte de poidsI.2.6 - Effet de la pratique sur le tabagisme

II – Quand la pratique physique nuit à la santé II.1 - Troubles ponctuels dus à la pratique physique

II.1.1 - HypoglycémieII.1.2 - Traumatismes articulairesII.1.3 - Traumatismes musculaires

II.2 - Troubles à long terme dus une pratique physique excessiveII.3- Pratique sportive de haut niveau

II.3.1 - L’argent, la gloire ou quelques bonnes raisons de se ruiner la santéII.3.2 - La pratique précoce II.3.3 - Le surentraînement II.3.4 - Le dopageII.3.5 – La violence dans le sportII.3.6 – L’apologie du risque

III – Trouver un bien-être physique, moral et social grâce à la pratique physiqueLe poids des valeurs sociales, recherche de liberté

III.1 Bien-être physiqueIII.1.1 - La vie moderne en question III.1.2 - Lutter contre la sédentarité dans sa vie de tous les jours ?III.1.3 - Contre la spécialsation : Jouer la polyvalence

III.2 - Bien-être moralIII.2.1 - Les pratiques de développement personnel III.2.2 - Les pratiques physiques artistiquesIII.2.3 - Les activités physiques de pleine nature

III.3 Bien-être social

GESTION DE SA VIE PHYSIQUE - Sylvie Belle - 2011

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I – Quand avoir une activité physique aide à être en bonne santéPratique sportive Santé = Lieu commun maisEST-ON VRAIMENT EN MOINS BONNE SANTE SI L’ON N’EST PAS SPORTIF ?

I.1- Avoir une AP pour ne pas être malade

« SANTE = ABSENCE DE MALADIE »

- La sédentarité augmente le risque de maladieDr M.Rieu in « AP et santé » : Culture Technique n°13, 1985Pas d’AP ° du risque de maladieFacteur de risque qui se rajoute aux excès de notre civilisation (stress, alimentation excessive)

° FC >> ° Rendement cardiaque

° VES >

° Tension artérielle> Vieillissement des vaisseaux

° Cholestérol > Risque maladies cardio-vasculaires

- La pratique sportive diminue la consommation de médicaments«  L’AP et la santé des jeunes chômeurs » : Etude de Kari Fasting effectuée au Danemark en 1982Groupe 1 : AP 2x/sem Exam médical

2 : Rencontre 2 x / sem Test bio 3 : Groupe témoin QuestionnaireAVANT / APRES : Troubles ou symptômes de maladie (migraine, insomnies,...) ? ° Groupe 1 Conso° de médicaments ? ° Groupe 1Consommer moins de médicament : un + pour l’homme, pour la sociétéRéflexion actuelle sur la surconsommation de médicaments :

- Les laboratoires pharmaceutiques ont favorisé cette situation- Aujourd’hui reprise en main pour des raisons économiques

le bien-être de l’individu est-il pris en compte ?

- La pratique sportive diminue les arrêts de travailF.Marini,80 in JP.KORALSZTEIN, « La sante à l’épreuve du sport », PUG,86 Statistiques sur les taux d’absence des salariés.Raison d’absence = Accidents +fréquents chez partiquants d’un sport MAIS Sportif pourtant absents 2 x moins svt que non sportifs.

AP influe sur absence de maladie mais déf° réductrice de la santé

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I.2- Avoir une AP pour avoir une bonne condition physique

« SANTE = ABSENCE DE MALADIE +CONDITION PHYSIQUE »Condition Physique = « Réservoir d’énergie qui permet d’accomplir des activités quotidiennes professionnelles, domestiques et de loisir sans accumuler de fatigue » (Marini,INSEP,85)Quels sont les facteurs de la condition physique ?selon Marini Endurance aérobie Souplesse Force et endurance musculaire relâchement mental % graisse /poids du corpsLa relation de la pratique physique avec certains de ces facteurs a été étudiée.

- Effets de l’immobilisation

Dr M.Rieu in « AP et santé » : Culture Technique n°13, 1985immobilisation du sportif Fonte musculaire

° qualités d’endurance ° organisation du mouvement

Non pratique ° condition physique

- Effet de la pratique sur la tension artérielle

Dr Stéphane Cascua : « le sport est il bon pour la santé ? »Mobilisation des muscles (alternance contraction relâchement) pompage du sang qui soulage le cœur. Au repos, cœur et vaisseaux s’habituent à travailler à un régime de pression inférieur. Sport d’endurance les plus adaptées (marche footing natation vélo) 3 fois par semaine, 30mn à 1h

Pratique régulière modérée diminue l’hypertension

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- Entrainabilité relative des qualités physiques S.SZCZESNYin «Dynamique du développement des qualités physiques d’élèves du cycle 2daire »,INSEP,1983

Cet auteur compare l’évolution des performances de différentes qualités physiques dans l’histoire des Jeux Olympiques (de 1896 à 1980, l’augmentation des performances est imputable à la rationalisation de l’entrainement) à celles de jeunes sportifs de 12 à 18 ans. Il observe des corrélations. Il en déduit que les plus grandes progressions correspondent à des qualités physiques plus entrainables et que les qualités physiques qui progressent moins (avec l’entrainement) sont donc davantage innées.

QUALITE PHYSIQUE

TEST Jeunes 12-18 ans

Epreuve aux JO de 1896 à 1980

héritabilité Effet de l’entrainemt

Endurance 12 mn 16 % 10 000 m 12 % +++ - - -

Vitesse 40 m 23 % 100 m 15 % ++ - -

Force explosive des jambes

Détente 77 %SautenHauteur

30 % - - ++

Force explosive des bras

Lancer 500 g

124 %Lancer de Poids 90 % - - - +++

Certaines qualités physiques sont plus faciles à développer que d’autres. Certains facteurs de la condition physique sont plus en relation avec la pratique physiques que d’autres.

- Effet de la pratique physique à long terme

- ROYER (84) in B.DURING : « Energie et conduite motrice »,1989Test sur des hommes - Non pratiquants VO2 rel = 30 l/mn/kgde 50-59 ans - Pratiquants ado VO2 rel = 38 l/mn/kg

- Pratiquants ado/ adultes VO2 rel = 53 l/mn/kg

La pratique a un effet bénéfique à long terme sur les qualités aérobies

- Effet de la pratique sur la perte de poids

Cas de l’obésité :10 % des cas : Mauvais fonctionnement de la régulation hypothalamique de l’assimilation des lipides90 % des cas : Alimentation excessive, déséquilibrée

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La pratique physique ne remplace pas la diète mais la complète et aide au niveau psychologique (prise de conscience des progrès et du mieux-être corporel)

Cas de poids corporels moyens :Dr J.P KORALSTEIN in « La santé à l’épreuve du sport », PUG, 86Etude du poids de coureurs assidus 3 fois / sem depuis au moins 1 an38 % des H et 16 % des F - 5 kg et +Surtout chez les personnes qui possédaient un indice Poids/Taille élevé avant de courir.

AP perte de poids

I.2.6 - Effet de la pratique sur le tabagismeJ.P KOPLAN et coll, 82Parmi les coureurs assidus (10 km/sem)85 % n’ont jamais fumé 12 % ont arrêté 3 % continuent

I.2.7 - Effet de la pratique physique sur l’ostéoporose

- HAS : Haute Autorité de Santé (Autorité publique indépendante à caractère scientifique, dotée de la personnalité morale et disposant de l’autonomie financière) une pratique physique régulière est recommandée pour lutter contre l'ostéoporose post-ménopausique

AP a un effet positif sur la santé : Diminue les risques de maladie Améliore la condition physique et surtout les qualités cardio-vasculaires Contribue à l’amélioration de l’hygiène de vie. La société y gagne : Certaines entreprises favorisent (rend obligatoire) les entrainements

de gym But   : rendement de l’entreprise Article du parisien en 2008 : http://www.leparisien.fr/economie/bouygues-institue-la-gym-obligatoire-sur-ses-chantiers-25-06-2008-3298588216.php

Vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xfdtc1_le-sport-au-bureau_news

Mais cette logique de rendement, de performance est-elle compatible avec le bien-être de l’individu ?

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II – Quand la pratique physique nuit à la santé Dans certains cas la pratique physique peut nuire à la santéStatistique sur les accidents : 36 % des accidents des écoliers se produisent au cours d’EPS. Quels risques ?

II.1 - Troubles ponctuels dus à la pratique physiqueII.1.1 - Hypoglycémie   :

Cf rôle du glucose dans les filières énergétiques- Cause : Mauvaise alimentation avant l’effort. - Mécanisme : Baisse brutale du taux de glucides dans le sang Plus l’effort est intense, plus le taux d’utilisation des glucides est important (50% de l’NRJ vient des glucides qd 60% de la VO2max

100% 90% de la VO2 max)- Symptômes : Vertiges, malaises- Conduite à tenir : Allonger ou asseoir, Sucre rapide, boisson sucrée- Prévention : Manger des sucres lents (pâtes, riz, céréales) la veille

II.1.2 - Traumatismes articulaires ENTORSES :- Cause : Mouvement violent anti-anatomique- Mécanisme : Distension ligamentaire (entorse bénigne)

Déchirure partielle ou totale de ligaments, capsule, tendon (entorse moyenne ou grave)

- Symptômes : Douleur initiale plus ou moins intense (sans rapport avec la gravité) ,craquement graveGonflement + Bleuissement (dans les 3-4h pour les entorses graves, après 24h pour le bénignes)

- Conduite à tenir : Arrêt act., suppression de l’appui Cryothérapie (vasoconstriction des artérioles : diminut° oedème, anesthésique), Radio, médecin

- Prévention : Echauffement : Mob° articulaireEvoluer à son niveau qquesoit le sportRespect période d’arrêt pour éviter rechute

LUXATIONS :- Cause : Mouvement anti-antomique, hyperlaxité- Mécanisme : Déboîtement passager ou non- Symptômes : Douleur initiale plus ou moins intense, Déformation visible - Conduite à tenir : Arrêt act., suppression de l’appui

Cryothérapie (vasoconstriction des artérioles : diminut° oedème, anesthésique) Immobilisation (ne pas remettre à chaud), Hôpital

- Prévention : Echauffement : Mob° articulaireEvoluer à son niveau qquesoit le sportOpération ou bandage des articulations hyperlaxesII.1.3 - Traumatismes musculaires   :

COURBATURES :- Cause : Biochimique (Travail en lactique excessif ) ou traumatique (travail musculaire intense avec échauffement insuffisant)- Mécanisme : 1 - Sang trop acide

2 - Micro lésions au niveau des fibres musculaires- Symptômes : Douleur ( 2-pouvant être très locale) après l’effort

(plus fortes le 2ème jour)

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- Conduite à tenir : Arrêt de l’activité, Massage- Prévention : Echauffement, stretching, éviter les excès

physiques, travailler le relâchement dans l’activité (Efficience)

CRAMPES :- Cause : Fatigue, hydratation insuffisante- Mécanisme : Mal connu. Circ° sanguine insuffisante ne permettant pas de répondre aux besoins- Symptômes : Douleur +++- Conduite à tenir : Etirement passif- Prévention : Bon échauffement. Boire beaucoup.

CONTRACTURES :- Cause : Contraction du muscle excessive en durée ou en intensité. Facteurs favorisants : Fatigue, mvs échauffement, froid...- Mécanisme : Tétanie d’une partie du muscle - Symptômes : On sent comme une boule dans le muscle avec douleur persistante.- Conduite à tenir : Etirement très progressif- Prévention : Idem

DECHIRURE :- Cause : Etirement ou contraction violents ou exagérés- Mécanisme : Le muscle est sollicité au delà de ses possibilitéd’élasticité. Rupture de fibres Hémorragie, oedème- Symptômes : Douleur vive et immédiate- Conduite à tenir : Glace, membre surélevé pour réduire l’oedème, médecin, repos long (3 à 8 semaines) - Prévention : Etirements sans à-coups (réflexe myotatique dumuscle)

Conclusion : S’échauffer, respecter une progressivité, savoir se reposer et s’arrêter en cas de blessure.

II.2 - Troubles à long terme dûs une pratique physique excessive

35 % des coureurs assidus (1 fois par semaine mini) ont des troubles articulaires. Surtout genoux, chevilles, dos.Importance des chaussures ! ! ! La course est une activité traumatisante Danger de l’AP sur le métabolisme osseux des + de 60 ansR.MALESSET, 87 in Retraite active, retraite sportive, 1987Vieillissementperte d’os risque de fracture pour les séniorsConclusion : Etre en bonne santé malgré la pratique physique Le footing est la façon la plus simple de maintenir sa condition physique où que l’on soit. Mais bonnes chaussures, étirements, à dose raisonnable. Mieux vaut commencer jeune adulte que sénior ! Pour les sédentaires qui reprennent une activités, favoriser les sports en décharge totale (natation) ou partielle (cyclisme) permettant de développer la masse musculaire et les réflexes (dim° du risque d’accident) tout en économisant les surfaces articulaires.

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II.3- Dérives de la pratique sportive :1 - L’argent, la gloire ou quelques bonnes raisons de se ruiner la santé

Compétition sportive = institution contestée par certainsVoir JM Brohm : Sociologie politique du sport , PUN, 1992 (rééd de 76) Les meutes sportives : critique de la domination, L’harmattan,1993Les shootés du stade, Ed° Paris- Méditerrannée, 1998Vision marxiste du sport de compétition qui appartient aux sociétés capitalistes. Le principe de rendement, les enjeux économiques engendrent la violence.

A.Jaquard, illustre généticien, met son savoir au service d’un discours humaniste et d’un engagement en faveur des plus démunis. Entendu sur France culture (2007) : « La compétition fabrique des perdants ». « Si Carl Lewis me disait: "tiens, Albert, on court un 100 mètres ensemble". Je mettrais vite mes chaussures et je courrais avec lui; lui n'aura aucun souvenir, mais moi j'aurai un souvenir, c'est ça l'émulation et c'est le contraire de la compétition »http://www.dailymotion.com/video/x9fghd_l-abc-d-albert-jacquard-sport_webcam#rel-page-13

Le corps du sportif est instrumentalisé par la sociétéChampion : Figure symbolique de puissance, accès à l’argent donc au pouvoir. Ils sont souvent courtisés par le pouvoir(ex : David Douillet, outil de contrôle des masses ?)Les + touchés : les classes populaires, sport = outil de promotion socialeC.Pociello : Sport et société, Vigot, 82Pratiques sportives en fonctions des CSP :Les sports accessibles (foot, cyclisme) sont les sports les plus populaires. Valorisent l’effort ( golf, glisse : pratiques hédonistes). Les champions de ces sports sont les plus riches... Rêve.Pression de l’entourage autour du sportif qui sacrifie tout : Ses études, sa santé… pratique précoce, surentrainement dopage.

2- La pratique précoce J.Personne : « Les dangers des pratiques sportives précoces, SA,9183 % d’anomalies radiologiques osseuses à l’extrémité inférieure du radius pour 83% des 100 meilleurs gymnastes européens.Nbx arrachements osseux chez les gym de HN

Pr A.CREFF rapporte les propos de Elvira Saadi, gymnaste soviétique aux JO de Munich (72) interrogée en 1992 (elle doit avoir 40 ans).

« J’ai laissé toute ma vie dans la gym. Je suis une invalide, je suis brisée de partout. Jeune, je ne prêtais pas attention à tout cela mais maintenant les vieilles douleurs se font sentir : Jambes tordues, blessure à la colonne, distension des ligaments de l’épaule, luxation des ménisques, coups à la tête. J’ai fait 7 commotions cérébrales. J’ai souvent des migraines, je n’ai plus de mémoire. Non respect des limites organiques : Fatigue, douleur = Signaux d’alarme. Non respect des limites psychologique : Pression de l’entourage  StressA plus ou moins long terme, ça casse...

Pr A.CREFF : L’ entraîneur américain de natation répond à la question« Comment fabrique-t’on des champions ? »« C’est très simple, vous prenez un panier plein d’œufs et vous le balancez contre un mur. Ceux qui ne seront pas cassés seront des champions.»Tout ça pour quoi ? Etude de l’INSEP en 87 : 5 % d’espoirs de Ht Niv deviennent des athlètes de Ht niv. Les autres : Reconversion difficile.

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Conclusion : Etre en bonne santé malgré la pratique physique. Ne pas investir ses enfants des vieux rêves non réalisés.

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3- Le surentraînement

N.MIDOL : « Problématique anthropologique et déontologique du soutien psychologique à la performance » Sophia Antipolis, 91Ex du champion de triathlon 1990 qui a poursuivi un effort intense pendant t 24H d’affilée. Dominique Garcin a nagé (8H), pédalé(8H), couru 8H.Il disposait de toute une logistique technique pour l’aider à dépasser ses limites physiques et affectives comme par exemple le non respect des biorythmes dont la fonction est de protéger l’organisme du surmenage. Si santé = silence des organes, cette déf° est prise à contre pied : La santé du champion se mesure ici à sa capacité de résister au tintamarre de son organisme, à supporter la nocivité de son environnement, à mépriser les signaux de détresse, de danger et de fatigue que lui transmettent les organes.

Conclusion : Etre en bonne santé malgré la pratique physique. Ecouter les alarmes de son corps

4- Le dopage

ANNEES 60 : Amphétamines JO de Rome (1960) : Mort d’un athlète danois1967 : Mont Ventoux : Cycliste Tom Simpson

67 : Commission de lutte au sein du CIO mais seuls produits décelables = Amphétamines à haute doseStéroïdes anabolisants, corticoïdes utilisés à haute dose sans contrôle possible.

ANNEES 70 : AnabolisantsAprès les JO de Munich (1972) en 73 on arrive à les déceler.

Montréal (76) : Dépistage opérationnel. ANNEES 80 : Testostérone

Mais hormone présente dans le corps à des taux suivant les individu. Notion de seuil autorisé (sauf état physiologique ou pathologique)

1993/94 : Les athlètes chinoises explosent les records dans des sports où elles n’étaient pas performantes.

Qques mois après, 10 sont reconnues pour avoir pris un dérivé de testostérone. Aujourd’hui :

Le dopage s’est « démocratisé ». En 94, un mort au critérium de val de marne (Vélo) Revues spécialisées en bodybuilding ; appdre la pharmaciePeut toucher le moindre joueur de club, tous les étudiants (examens!) ! !Ministère de la Jeunesse et des sports a mis en place un n° vert « écoute dopage » : 0800 15 2000

5- La violence dans le sport 2000 : recherche de l'INSERM, sur la violence des jeunes : une des conclusions = l'activité sportive, même intense (8 heures hebdomadaires), suscite des conduites violentes. Les jeunes sportifs sont également plus nombreux à subir des violences physiques (22 %).

Jean-Marie Brohm : « Le sport est un assassin » : c’est « la mort maquillée en triomphe de la vie ».« On peut compter les points avec un copain sans rentrer dans cette logique destructrice mais le pb est celui des seuils »

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6- l’apologie du risque- Société de performance extrême : Le sportif est en guerre contre lui-mêmePatrick Baudry (in « le corps extrême », l’Harmattan, 1991) parle des conduites à risques. Consacre un chapitre à la société sportive. « La montagne n’est plus le monde mystérieux, envoutant mais aussi respectable que pouvait dépeindre premier de cordée. Mais un pur obstacle à dominer ou qui devient le prétexte à se dominer ». JM Boivin : 80 : gravit le Cervin en 4H10, 86 : enchaînement de 4 faces dans les Alpes, 90 meurt en sautant de la plus hte cascade du monde « salto angel «  au Vénézuela pdt tournage TV !!!Magazine Vertical en 2001 : Eric Escoffier a failli mourir dans un accident en escalade, reprd le parapente l’année suivante comme un « forcené » se broie les 2 pieds lors un atterrissage raté. Handicapé à 35 %, hémiplégique mais « le bonhomme est increvable » retourne dans l’Himalaya…

- analyse de P.Baudry concernant les conduites suicidaires : fantasme de maitriser sa mort : « se tuer pour ne pas mourir »

- + fonction sociale du suicide : la mort n’est pas subie : elle devient la forme extrême du rapport social.

Ex d’un pilote de F1 : L’équipe 1978 : « mort d’un pilote= celle d’un pionnier placé aux avant postes de l’humanité pour défricher un peu plus l’inconnu et l’impossible » P.Baudry : « La divinisation du héro s’accomplit après sa mise à mort… on lui accorde d’être un créateur après sa destruction ».

Conclusion : Les risques liés à la pratique physique semblent encouragés par les valeurs de la société actuelle : recherche de performance. De quelle marge de manoeuvre dispose-t-on face au choix de nos pratiques ?

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III – Trouver un bien-être physique, mental et social grâce à la pratique physiqueLe poids des valeurs sociales, recherche de liberté

Selon l’OMS, La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. La définition n'a pas été modifiée depuis 1946.Définition du bien-être (Larousse) : Fait d’être bien, satisfait de ses besoins, ou exempt de besoin, d’inquiétudes ; sentiment agréable qui en résulte.

1 - Recherche de bien-être dans les pratiques de développement personnel   :

Yoga, sophrologie, relaxation, taichi, ... aident à gérer le stress en travaillant sur le relâchement mental. (cf cours théorique, étirements-relaxation)Véhiculent une philosophie inhérente à la pratique.Permettent de s’ouvrir à des champs culturels de connaissance ayant des répercussions réelles sur le mode de vie. L’offre s’est multipliée ses dernières années, effet de mode ? S’investir dans ce type d’activités c’est souvent chercher à harmoniser les différentes facettes de sa vie. Cette quête n’est-elle pas parfois antinomique avec la marchandisation du bien-être ?

1.1 – Recherche de bien-être   = injonction sociale   ?

Extrait de G.Vigarello « Histoire des pratiques de santé : le sain et le malsain depuis le MA, , Seuil, 1999 » :

« Le marché de cette santé consommée propose "toujours plus ", étendant son territoire, comme l'a fait avant lui le marché des biens domestiques. Une expression nouvelle l'impose: "mieux être". Elle fait le titre des magazines de santé : "goûtez au plaisir de mieux être" ; elle fait le titre d'affiches publicitaires . "Pour mieux être dans son corps et dans sa tête" Elle rejoint la nouvelle définition donnée par l'Organisation Mondiale de la Santé évoquant "un état complet de bien-être physique, mental et social ne se caractérisant pas uniquement par l'absence de maladie ou d'infirmité". Le but ici n'est plus simplement d'écarter le mal comme le suggéraient les textes traditionnels, ni même d'accroître les résistances organiques comme le suggéraient, dès la fin du XVIIIe siècle, les thèmes du progrès, il est aussi d'approfondir un sentiment, une façon de ressentir et d'éprouver le corps. Au classique travail qui protège du mal s'ajoute un interminable et obscur travail qui quête le bien-être.  »…

Ce texte quelque peu ironique sur la quête de bien-être en montre bien la complexité (« obscur travail »). On peut également noter que « l’encouragement à consommer » du bien-être est antinomique avec ses fondements même. Comment faire à titre d’exemple avec les injonctions paradoxales de la plupart des magazines féminins qui dans le même temps enjoignent au bien être (qui passe par l’acceptation de soi) et à être filiforme et exempte de rides.

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1.2 – Pratiques de bien-être   : un choix en conscience

Les pratiques de présentent un double écueil : - Les personnes fragiles en quête de réponses existentielles peuvent être en danger

d’emprise face à certaines personnalités de type « gourou » (charlatanisme et risque sectaire.

- On peut simplement s’initier et retenir de chaque méthode ce qui nous convient au risque de tomber dans un 2d écueil, celui d’une trop grande dispersion.

La démarche de choix d’activités physiques de bien-être est un processus personnel qu’il faut concevoir dans son aspect évolutif tout au long de la vie. Elle n’est pas anodine et doit être adoptée en conscience.

2 – La civilisation du loisir

Industrialisation, robotisation, montée du tertiaire,80% d’une classe d’âge au Bac Métiers manuels en baisse.Transports modernes Part de l’activité physique dans la vie quotidienne dim.Pourtant, faut-il remettre la vie moderne en question ?Auj., sédentarité = tentat° forte mais temps libre, poss de s’adonner à une AP de loisir J.DUMAZEDIER : « Vers une civilisation du loisir ? », 1967

« 1968-1988 : La révolution culturelle du loisir »Le temps libéré a augmenté :Le sport de loisir n’est plus réservé à une élite3 fct°= - délassement (se reposer) du « droit à la paresse » de Paul Lafargue en 1880 à la France d’aujourd’hui transformée en parc d’attraction (Raffarin en 2003) Vigarello ds Sp et soc(C.Pociello, Vigot, 1982) : pub pour balades cool pour un retour à la nature soft : « l’aventure se voudrait quelque peu paresseuse où le corps gagnerait en impressions inédites plus qu’en efforts cumulés »

- divertissement : se changer les idées : recherche de sensations Importation des « sports californiens » + création de nouvelles modalités de pratiques (ski HP, VTT…)

- développement de la personne : Progrès de l’individu par rapport à sa volonté propre : dans les domaines qu’il a librement choisis.Mais déterminisme social : importance de l’éducation

Conclusion : Pouvoir pratiquer des AP de loisir est une chance. Les AP de loisir sont des produits de consommation qui participent aux inégalités sociales.

3 – La forme, pas les formes

Catherine Louveau in Sport et société : « la forme, pas les formes »Assimilation santé=belle silhouetteCulpabilisation des non sportifs : Les médias encouragent les régimes, le fitness, la gym de la semaineSvt : Efforts intenses mais ponctuels. Bonnes résolution de début d’année : Abonnement au gymnase club ou au cours de GV de la semaine, un mois après... Motivation extrinsèque (de la société donc pas durable)

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« Histoire des pratiques de santé : le sain et le malsain depuis le MA, G.Vigarello, Seuil, 1999 »

Les corps lisses, légers, bronzés des magazines de santé, échappent aux ordres rigides des vieilles gymnastiques ou aux prescriptions tatillonnes des vieux régimes professoraux. Triomphe d'un individu plus indépendant, plus narcissique sans doute, le renouvellement de l'investissement sur le corps s'est imposé comme une vérité d'autant plus tangible que sont tombés les "au-delà", ou que se sont effacés les "grands messages". La chute des transcendances, politiques, religieuses, renforce cette importance de la conscience corporelle: mieux s'éprouver, accroître le registre des sensibilités, ne pas vieillir. Elle suggère l'investissement physique comme une ressource ultime, de durée, de certitude, d'engagement très personnalisé, installant une maîtrise de soi totalement traversée par l'attention au physique et à son immédiateté.

Le bien-être physique passe par une activité régulière. Le step OK mais motivation ?En plus de la pratique physique : Hygiène de vie = Respecter son corps tous les jours.

Dictature des médias : L’acceptation d’un corps imparfait est-elle possible (perfection = anorexie ?)Philippe Liotard : Article « Art-kor », 2001Percing :« expression du refus d'un ordre corporel inéluctable et la volonté d'échapper aux modèles du corps préétablis. L'ornementation du corps apparaît de la sorte comme une tentative d'opposition à l'ordre social traditionnel et comme l'expression d'un désir de non-conformité »

Aujourd’hui, est ce le cas ?

4 – L’épanouissement dans la diversité

La société pousse à la spécialisation à outrance : spécialisation des tâches dans le monde du travail.Faire « du » sport de façon polyvalente ( Un seul sport car pb de l’arrêt brutal) La pratique raisonnée de plusieurs AP permet D’éviter les excès du surentrainement D’allier les différents aspects des AP : dominante + énergétique/+informationnel,

individuel(cô de soi)/collectif(relationnel)… De permettre une vie harmonieuse à long terme (chgemt d’AP avec l’âge =/= pratique

spécialisée du lancer de poids ou de la gymnastique… viser le transfert)

5 - Les pratiques physiques artistiquesLa pratique sportive, puisqu’elle met en jeu un savoir faire de l’homme est-elle une expression artistique   ? Technique (grec : tekne : art) = ensemble des méthodes d’un art, d’un métier, d’une industrie. C’est le savoir-faire, le « tour de main » ce qui permet d’être efficace. La haute technicité s’approche de l’art qd elle approche la perfection car

- elle est l’expression de l’homme en tant qu’individu unique- elle suscite de l’émotion (ex : athlète de haut niveau)

Ben Johnson a lui aussi créé son œuvre (dopage à rapprocher de l’œuvre d’Orlan ("une course d'une beauté hallucinante de puissance et de grâce" Sport et philosophie : Yves Vargas)

- elle ss-entend création qd elle innove : Fosbury, Graham, Jigoro Kano : Nouvelle conceptionnouveau repères, nouvelles valeurs

En danse, les techniques. Les connaître toutes pour construire la sienne.

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Créativité = capacité d’exploiter sans contrainte le champ initial des possiblesPicasso a dépassé la technique : Connaissance des codes pour pouvoir les transgresser. Bcp de passionnés passent leur tps à se former ms ne ft jamais le pas de la création.Excès inverse : Créer en occultant la technique. Chacun peut s’exprimer qqsoit son potentiel physique mais les limites

La danse, le mime, le travail corporel en théâtre et en chantLa technique corporelle pas une fin en soi : au service de l’expressionLe conformisme peut être combattu au travers des APA qui permettent à chacun d’exprimer sa singularité La danse artistique est un anti-sport puisque son essence même est de transgresser tous les codes (ex du patinage artistique), O. Revault : in « la création artistique et les promesses de liberté, 1963 : »de tous les faits humains, celui de la création artistique n’est-il pas le plus inintelligible, le plus intouchable, le plus fuyant ? »La création échapperait à toute « gestion » est-ce que la gestion ultime n’est pas le lâcher priseCréation =/= perf : Le travail de création permet à chacun quelque soit son niveau d’exprimer sa différence.

6 - Les activités physiques de pleine natureConcept° globale de la personne, épanouie, adaptable à son environmt = occidentale

D.LE BRETON in « Corps et sociétés », Méridien,85. Ex des canaquesPas de rupture entre la chair du monde et la chair du corps.On retrouve ça dans le vocabulaire : les organes, les os portent des noms de fruits, d’arbre. Le mot « corps » signifie structure, base qui s’applique à tout.

La pratique des APPN nous permet : De poursuivre une AP à long terme : Marche = Mvt le plus naturel D’être en harmonie avec le monde (Montagne, mer, Etranger). Sortir de la logique

citadine : Comme pour les agriculteurs, vie rythmée par les saisons, la météo D’acquérir une conscience écologique (modification du milieu naturel à vue d’œil) 1,5 à 4°

de plus sur la planète d’ici 2050.Etre passionné d’APPN c’est respecter les lois (déchets, incendies …) et les devancer : économie d’énergie,… Il a fallu des lois récentes pour que les expés dans l’Everest descendent leurs déchets.

7 – Rencontrer les autres grâce aux APM.BOUET : « La motivation des sportifs »69 reprend NuttinDésir d’affiliation = 1ère motivation des ados pour pratiquer une APSport collectif : Relation de coopération, d’entraide. Pratique associative renforce la convivialité, le fair-play...Expériences de réinsertion des jeunes défavorisés, responsabilité et citoyennetéInvestissement dans la vie associative : Permet De rencontrer les autres De s’investir en développant ses qualités organisationnelles De devenir acteur de sa vie physique...de celle des autres

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CONCLUSION :

En quoi la pratique physique aide t’elle à gérer le potentiel existant ? En quoi l’individu est libre de choisir une pratique physique qui améliore sa santé au court de sa vie ?

Avoir une pratique physique riche et diversifiée, c’est non seulement gérer son potentiel physique mais plus largement accéder à un domaine de la culture. Connaître et se positionner face aux différentes modalités de pratique, c’est se donner les outils pour effectuer ses choix en conscience et construire sa vie physique à tout âge sans être instrumentalisé par la société de consommation.

GESTION DE SA VIE PHYSIQUE - REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUESS.Belle

En gras les ouvrages de références

Dr M.Rieu in « AP et santé » : Culture Technique n°13, 1985 Dr FLANDROIS in « le médecin, l’enfant et le sport », 1984 Dr CASCUA   : «   Le sport est-il bon pour la santé   », O.Jacob, 2002 S.SZCZESNY in «Dynamique du développement des qualités physiques d’élèves du cycle

secondaire »,INSEP,1983 ROYER (84) in B.DURING : « Energie et conduite motrice »,1989 J.P KOPLAN et coll, 82 in Dr J.P KORALSTEIN in « La santé à l’épreuve du sport », PUG,

86 R.MALESSET, 87 in Retraite active, retraite sportive, 1987 C.Pociello   : Sport et société, Vigot, 82 J.Personne : « Les dangers des pratiques sportives précoces », colloque « Performance et

santé », Sophia-Antipolis, 91 N.MIDOL : « Problématique anthropologique et déontologique du soutien psychologique à

la performance » Sophia Antipolis, 91 S.Stromme et coll. In »Santé et AP », Kino, Québec,1983 F.Marini,80 in JP.KORALSZTEIN, « La sante à l’épreuve du sport », PUG,86 JM Brohm   : Les shootés du stade, Ed° Paris- Méditerrannée, 1998

Sociologie politique du sport , PUN, 1992 (rééd de 76) Les meutes sportives   : critique de la domination, L’harmattan,1993

D.LE BRETON   :   Corps et sociétés   , Méridien,85. Passions du risque Ed. Métailié1996

M.BOUET : « La motivation des sportifs », 69

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