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PRÉ-REQUIS pour l’examen - Connaissances des L.O.T., L.O.C., et L.O.O. selon la description dans: http://mac.me.com/ tinturierclaude Médecine ostéopathique complémentaire COPYRIGHT © C. TINTURIER D.O. 2004

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  • PRÉ-REQUIS pour l’examen

    • - Connaissances des L.O.T., L.O.C., et L.O.O. selon la description dans:

    • http://mac.me.com/tinturierclaude

    Médecine ostéopathique complémentaire

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  • 02/20/2006

    ASPECTSTHÉORIQUES

    PLAN GÉNÉRALIntroductionBases physiologiquesRappel du conceptRéflexes conditionnésVariation de la vigilancePrincipes du traitement

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    INTRODUCTION

    LES DIFFÉRENTS COMPORTEMENTS

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    RESEAU MOTEUR

    SYSTÈME EFFECTEUR

    AFFÉRENCES SPÉCIFIQUES

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  • 02/20/2006

    Informations externes recueillies

    Activités internes

    Traitement mémoires

    Création dʼun besoin Action sur le monde extérieur

    Attente dʼun résultat Confrontation

    plaisir - échec

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

    INTRODUCTION

    RENFORCEMENT DE L ’APPRENTISSAGE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    ACTION RÉACTION DE LʼENVIRONNEMENT

    1. LE RÉSULTAT COÏNCIDE AVEC INTENTION INITIALE

    = MFB ACTIVÉ (DOP. +NE) = PLAISIR

    RENFORCEMENT APPRENTISSAGE INHIBITION AXE H-H-C-S ET NE PÉRIPH.

    = PVS ACTIVÉ (ACH)

    = ÉVITEMENT DE LA DOULEUR PAR LA LUTTE OU LA FUITE (E)

    SI EFFICACE = PLAISIR

    RENFORCEMENT APPRENTISSAGE INHIBITION AXE H-H-C-S ET NE PÉRIPH.

    MÉCANISME DIRECT

    MÉCANISME INDIRECT

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  • 02/20/2006

    BASES PHYSIOLOGIQUES

    L ’INHIBITION DE L ’ACTION • LE RÉSULTAT NE COÏNCIDE PAS AVEC L ’INTENTION

    == S.I.A. == NE +H-H- C-S• SELON ANOKHIN: L ’INHIBITION INTERNE EST LA

    CONSÉQUENCE OBLIGATOIRE DE LA DISSOCIATION ET DE LA RENCONTRE CONFLICTUELLE DE DEUX SYSTÈMES D ’EXCITATION, DE DEUX ACTIVITÉS INTÉGRALES DE L ’ORGANISME.

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

    BASES PHYSIOLOGIQUES

    EFFETS DE L ’INHIBITION DE L ’ACTION

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    SYSTÈME INHIBITEUR DE LʼACTION (ACh)

    LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE

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  • 02/20/2006 réf.: Laborit + E.S.O.

    LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE ET SYSTÈME IMMUNITAIRE

    ABSENCE DE PHÉNOMÈNE EXTÉRIEUR FAVORABLE

    LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE PRIMAIRE

    SYSTÈME INHIBITEUR DE LʼACTION HIPPOCAMPE, AMYGDALE , (ACh)

    HYPOTHALAMUS

    HYPOPHYSE (ACTH)

    SURRENALES (GLUCO-CORTICOIDES)

    antérieur (CRF) postérieur

    +

    +

    _

    _

    INTERLEUKINE 1 THYMOSINE ALPHA 1

    GIF FACTEUR AUGMENTANT LES GLUCOCORTICOIDES

    _

    +

    LYMPHOCYTE T AUXILIAIRE

    _

    _

    MAF = FACTEUR ACTIVANT LES MACROPHAGES

    MACROPHAGE

    BACTERIESVIRUSPARTICULESDECHETS CELLULAIRES

    HYPERSENSIBILITE retardéeCHAMPIGNONSMICROBACTERIESAGENTS granulomateux

    INTERLEUKINE 2

    LYMPHOCYTE T CYTOTOXIQUE

    CELLULE TUEUSE NATURELLE

    LYMPHOCYTE T SUPPRESSEUR

    ADRENALINE

    +

    +

    _ _

    _

    MELATONINE+

    ß ENDORPHINES

    _+

    TRANSPLANTSC. TUMORALESVIRUS

    +

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  • 02/20/2006

    CONCEPTION " " CLASSIQUE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

    BASES PHYSIOLOGIQUES

    LES RÉACTIONS VÉGÉTATIVES DE LA L.O.M

    L. O. C.

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  • Organisation Système Nerveux Autonome

    Hypothalamuspartie périventriculaire

    Bulbenoy. faisc. solitaire

    S. N. parasympathiqueS. N. sympathique

    muscle lisse, muscle cardiaque, cellules sécrétrices glandulaires

    paroi oesophage, estomac, intestins, pancréas,vésicule biliaire

    intestins, estomac, certaines hormones, vaiss. sanguins

    système entériqueplexus myentérique (Auerbach) et plexus sous-muqueux (Meissner)

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  • Le système nerveux sympathiquetravaille à court terme pour les urgences

    dilatation pupille, diminue salivation et production de larmes, relaxe les bronches, accélère le coeur,

    stimule synthèse et sécrétion de glucose, stimule adrénaline et noradrénaline des médullo-surrénales, relaxe la vessie, favorise l’éjaculation

    origineneurones préganglionnaires

    substance grise intermédiolatérale de la moelle épinièretiers central moelle épinière C8-L2

    fibres postganglionnairesdistribuées par le grand et le

    petit splanchnique, + splanchnique accessoire

    chaînes sympath. latérovertébrale

    actionsdiffuses

    multipleslentes

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  • Le système nerveux parasympathiquetravaille dans la durée et silencieusement

    fibres (longues)préganglionnairesdistribuées par:

    III VII IX X b.acc.ggl. proches ou à

    l’intérieur de l’organe cible

    fibres post-ganglionnaires

    constriction de la pupille, stimulation salivation et production de larmes, constriction des bronches,

    ralentissement cardiaque, stimulation de la digestion, stimulation du pancréas (insuline et enzymes

    digestives), dilatation des vaisseaux sanguins de l’intestin

    3ème tiers côlon transverse et descendant

    rectum, contracte la vessie,stimule l’érection

    noyau viscéralpartie sup. du tronc cérébral origine quatre segments sacrés

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  • 02/20/2006

    LIEUX SYMPATHIQUE PARASYMPATHIQUE

    vaiss. peauvaiss. muqueusevaiss. muscles striésvaiss. visc. abdomin.vaiss. org. gén. ext.vaiss. poumonscerveauvaiss. reinsvaiss. gl. salivairescoronairescoeurcoeurcoeurmuscles lissesestomacintestinrectumvessiebronchescardiapyloresphincter analsphincter vésicalsphincter irienmuscles ciliairesutérusorganes sex. masc.gl. sudoriparesgl. salivairesgl. lacrymalesgl. nasopharyngiennesgl. gastriquesgl. pancréatiquesmédullo-surrénales

    constrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionconstrictionaugm. rythmeaugm. puissanceaugm. conductioninhibitiondim. tonus et péristaltismedim. tonus et péristaltismeinhibitioninhibitiondilatationconstrictionconstrictioncontractioncontractiondilatationrelâchementvariableéjaculationstimulantstimulant épais visqueux

    inhibitioninhibitionsécr. adrénaline B

    dilatationdilatationdilatationdilatation

    dilatationdilatationdilatationdim. rythmedim. puissancedim. conductioncontractionaug. tonus et péristaltismeaug. tonus et péristaltismecontractioncontractionconstrictiondilatationinhibitioninhibitioninhibitioncontractioncontractionvariableérection

    stimulant aqueuxsécrétionsécrétionstimulationstimulation

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  • 02/20/2006

    BASES PHYSIOLOGIQUES

    SIGNIFICATIONS DE L ’ADRÉNALINE ET DE LA NORADRÉNALINE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    BASES PHYSIOLOGIQUES

    P. 108 Lʼinhibition de lʼaction H. Laborit Ed Masson 1979

    “ Pour notre part nous apportons certains faits (Laborit, Kunz et Baron, 1974) expérimentaux qui montrent que lʼon ne peut plus continuer à parler de réaction sympatho-adrénergique et que ces deux systèmes, système noradrénergique contrôlant le tonus vasculaire par voie nerveuse, et système adrénergique lʼinfluençant par voie humorale par lʼintermédiaire dʼune libération dʼadrénaline à partir de la médullo-surrénale, fonctionnent séparément et nʼont pas la même signification physiologique et comportementale.”

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    RAPPELS L.O.M.

    DÉFINITION DE LA L.O.C. • On entend par lésion ostéopathique comportementale un

    ensemble de voies neuronales non suffisamment soumises à des phénomènes extérieurs favorables. Elle présente des synapses à relativement mauvais rendements et correspond à un traitement adapté potentiel.

    LES PHÉNOMÈNES EXTÉRIEURS 1, 2, 3 

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    PHÉNOMÈNE EXTÉRIEUR 2

    ÉLÉMENTS MÉMORISÉS

    L.O.M.LÉSION PRIMAIRE

    CIRCUITS PRÉFÉRENTIELS

    CENTRE DE RÉCEPTION ET DE CODAGE

    PHÉN. EXT. 1 PHÉN. EXT. 3

    NOUVELLE SITUATION

    PHÉN. LÉSIONNELS

    Le phénomène extérieur 2 correspond aux ph. ext. qui ont créé les voies des circuits préférentiels.Nous appelons ph. ext. 3 le ph. ext. qui est appliqué à une structure présentant déjà un D.F.F.. Le D.F.F. sʼest installé suite à un ph. ext. dit primaire (ph. ext 1).dans ce cas, le ph. ext. 1 signifie . absence de ph. ext. favorable. réf: Terramorsi

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  • 02/20/2006

    RAPPELS L.O.M.

    LES PHÉNOMÈNES DIRECTEURS LES 3 SITUATIONS Comportement gratifiant inné ou acquis, secondairement

    interdit par apprentissage de la non récompense. Situation imaginaire faisant appel à un matériel

    mémorisé non récompensé ou puni avec inefficacité de l’action (fuite ou lutte).

    Déficit informationnel empêchant dans une situation

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    vision psy

    les phobies

    Définition: peurs irrationnelles (objet, situation, activité) dont phobies simples = couple angoisse-situation (claustrophobie, phobie

    des animaux, phobie des bruits, phobie des lieux élevés) et sociales (peur du regard des autres)

    agoraphobie (phobie multiple ➔ tt par anxiolytique, antidépresseurs tricycliques + technique comportementales) suit souvent les attaques de paniques et l’anxiété généralisée

    à différencier: - pseudo-phobies (passagère et labile) - obsessions phobiques (angoisse en relation avec l’idée de l’objet = présentes à l’évocation - phobies d’impulsion (peur de commettre un acte) - nosophobie (post- traumatique, délire hypochondriaque) - dysmorphophobie (centrée sur le corps, transitoire à l’adolescence, anorexie mentale,)

    Les techniques comportementales et cognitives sont utilisées dans: les phobies simples, les phobies sociales, les troubles obsessionnels compulsifs, les attaques de panique et l’anxiété généralisée, les troubles dépressifs, les troubles de la personnalité, les troubles des conduites alimentaires, les conduites addictives et l’alcoologie, les troubles sexuels, les troubles psychotiques, la médecine comportementale

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  • 02/20/2006

    PRINCIPES DU TRAITEMENT

    Samuel-Lajeunesse B., Mirabel-Sarron Ch., Vera L., Mehran F. et al. Manuel de thérapie comportementale et cognitive 2ème édition Dunod 2004

    Caractère structuré ≠ psychothérapie classique Concentration sur ici et maintenant ≠ psychothérapie classique Absence de constructions théoriques = adaptation au patient ≠

    psychothérapie classique Refus des applications des théories mentalistes (motivation,

    affectivité, volonté, émotion, personnalité, intelligence, hérédité). Refus d’hypothèse sur la conduite d’un individu. Intérêt porté sur les éléments de cette conduite (éléments de

    réactivité ou phénomènes lésionnels)

    thérapie comportementale et cognitive classique

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  • 02/20/2006

    vision psy

    les principes du T.C.et C

    Aider à changer certains éléments de son comportement. Supprimer chez l’obsessionnel des vérifications ou des rites. Modifier des réactions émotionnelles. Apprendre de nouvelles compétences sociales dans les relations

    interpersonnelles. Prévoir la réponse de l’organisme lors d’un stimulus (Watson en 1913:

    traitement de l’alcoolisme par aversion conditionnée, traitement de l’énurésie nocturne chez l’enfant, traitement d’anomalies de l’orientation sexuelle telle l’homosexualité chez des volontaires).

    Thérapie cognitive = la liaison entre stimulus et réponse est analysable (variables intermédiaires, boîte noire). Mise en évidence de construction de pensées erronées avec désapprentissage puis apprentissage de pensées adaptées.

    Thérapie comportementale (relaxation, affirmation de soi) = la liaison entre stimulus et réponse n’est pas analysable.

    Mais les pratiques thérapeutiques mettent en jeu des processus comportementaux et cognitifs.

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  • 02/20/2006

    LES DIFFÉRENTS TYPES

    La mémoire déclarative• mémoire des faits et des événements• formation rapide des souvenirs• oubli rapide des souvenirs• modifications synaptiques disséminées donc complexes à

    étudier La mémoire procédurale

    • réaction par un geste à une stimulation sensorielle

    MÉMOIRE

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  • 02/20/2006

    LES DEUX CATÉGORIES mémoireprocédurale

    LʼAPPRENTISSAGE ASSOCIATIF• le conditionnement classique (Pavlov, prix Nobel de médecine 1902)

    – stimulus inconditionnel ou absolu + stimulus conditionnel induit une réponse– répétition de lʼappariement– stimulus conditionnel induit une réponse conditionnée

    • le conditionnement instrumental (Edward Thorndike), opérant (Skinner)

    – apprentissage = association dʼun geste à une récompense ou une aversion (évitement) = renforcement ⇒ modification du comportement par la conséquence des actes ⇒ escalade de symptômes (appréhension dʼun moyen de transport - peur de le prendre - difficulté face à prendre un autre moyen de transport - peur de sortir de chez soi).

    LʼAPPRENTISSAGE NON ASSOCIATIF• lʼhabituation = banalisation• la sensibilisation = renforcement de la réponse à un

    stimulus.

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  • 02/20/2006

    RÉFLEXES CONDITIONNÉS

    Ordre classique des séquences (2 possibilités) St. abs. + St. cond. induit une réponse St. cond. précède de peu St. abs. induit une réponse

    Installation du stimulus conditionnel Nécessite une habituation du St. cond.

    Ordre non classique (≈ Pavlov) = réflexe associatif St. abs.- attente de la réponse - St. conditionnel (ou associatif)

    Adaptation possible à l’humain Réflexe explicite = explication de la réponse souhaitée ≈ St. abs. [St. abs.] + [“St. cond.” = souvent rite culturel] ⇒ réponse associée ≈ conditionnée.

    Lorsque le St. abs. fait partie de la culture: St. cond. ⇒ réponse conditionnée

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    LES DIFFÉRENTS TYPES

    La mémoire déclarative (= mémoire explicite, consciente)• fait appel à un système neuronal entier, localisé dans le lobe temporal interne. • mémoire des faits, des événements, des mots, des visages, de la musique• formation rapide des souvenirs• oubli rapide des souvenirs• modifications synaptiques disséminées donc complexes à étudier

    La mémoire non déclarative• inaccessible à la conscience - sʼexprime dans la performance - habitudes -

    apprentissages émotionnels - réflexive (automatisation) - pratique dʼun sport• habituation - déshabituation - sensibilisation - conditionnements classique et

    opérant• une connexion entre 2 neurones = unité élémentaire du stockage mnésique -

    MÉMOIRE

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  • 02/20/2006

    • Le potentiel dʼaction arrive dans la cellule présynaptique et ouvre les canaux calciques. Lʼentrée des ions Ca++ dans les terminaisons présynaptiques libère un ou plusieurs paquets de 5000 molécules de neurotransmetteur qui sont contenues dans des vésicules synaptiques et qui diffusent dans lʼespace synaptique par exocytose vers la cellule postsynaptique. Lʼinteraction du neurotransmetteur avec les récepteurs de la cellule postsynaptique induit un faible potentiel dʼaction synaptique. Chaque classe de neurotransmetteur est capable dʼêtre reconnue par un certain nombre de récepteurs différents. Il existe deux classes de récepteurs:

    • Pour la première, chaque récepteur contient un canal ionique chimio-dépendant assurant des actions excitatrice ou inhibitrice rapides (quelques millisecondes). A lʼarrivée du neurotransmetteur, les récepteurs ionotropiques adoptent une forme qui ouvre leur canal ionique primitivement fermé, ce qui permet le passage de ions au travers de la membrane post synaptique. Le flux dʼions induit des potentiels synaptiques qui excitent ou inhibent la cellule en fonction du type de récepteurs et de ions impliqués.

    • Pour la seconde, les récepteurs sont dépourvus de canaux ioniques et sont appelés métabotropiques car ils activent le métabolisme de la cellule postsynaptique par lʼintermédiaire de lʼaugmentation dʼune enzyme qui modifie la concentration dʼun second messager. Leur action est lente (plus que quelques millisecondes). Les seconds messagers ont trois fonctions: transfert du signal extracellulaire, amplification du signal et régulation des fonctions intracelullaires. Ils peuvent produire des actions excitatrices ou inhibitrices.

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  • 02/20/2006

    • Mémoire déclarative• Encodage• Stockage• Récupération• Oubli• Imperfections

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  • 02/20/2006

    • Plasticité• La force des connexions synaptiques est plastique et modifiable et elle

    conditionne le stockage mnésique. Les modifications des forces synaptiques sont durables et servent de base dans la création du souvenir.

    • Plasticité dans lʼhabituation à court terme (mémoire non déclarative): elle se fait par une réduction de paquets de neurotransmetteur libérés, cʼest-à-dire par diminution des vésicules synaptiques fonctionnelles ce qui induit une diminution de la force synaptique. La dépression synaptique se manifeste sur la voie excitée. On parle dʼaction homosynaptique.

    • Plasticité dans lʼhabituation à long terme (mémoire non déclarative): elle se fait par une diminution des terminaisons présynaptiques des neurones cibles.

    • Plasticité dans la sensibilisation (mémoire non déclarative): augmentation de la force synaptique par augmentation du nombre de connexions synaptiques. Cette facilitation existe sur les interneurones et les motoneurones (effet hétérosynaptique). Ce mécanisme est présent dans les récepteurs métabotropiques.

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

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  • 02/20/2006

    RÉFLEXES CONDITIONNÉS

    SIGNIFICATIONS• NÉCESSITÉ D’UNE DIMINUTION DE VIGILANCE POUR:

    – ATTRIBUER À UN STIMULUS CONDITIONNANT UNE RÉPONSE SPÉCIFIQUE

    – INSTALLER UN APPRENTISSAGE– ACCÉDER À UNE VOIE DÉFAVORISÉE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    VARIATIONS DE LA VIGILANCE

    DIMINUTION• BUTS• MOYENS

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    DIMINUTION DE LA VIGILANCE

    POSSIBILITÉS:• SYST. SENSITIFS, SENSORIELS, INFLUX PROPRIOCEPTIFS

    – (VALABLES DANS LES 2 SENS)• HYPOTENSION, HYPERTHERMIE, ASPHYXIE• HYPOCAPNIE PAR SURVENTILATION

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    RÉPONSE RÉPONSE

    SITE RÉCEPTEUR

  • 02/20/2006

    L. O. C.Mécanismes synaptiques

    = ouverture du pore = passage de ions

    si ions Na++ = dépolarisation de la cellule postsynaptique = (PPSE) se voit avec ACh et glutamate

    si ions Cl- = hyperpolarisation de la cellule postsynaptique = (PPSI)se voit avec GABA

    Potentiel dʼaction dans la terminaison axonique:Ouverture des canaux calciques voltage dépendant

    Au repos [Ca++] est basse. Le potentiel dʼaction = force électromotrice qui augmente [Ca++] interne = signal de libération

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  • 02/20/2006

    fixation du glutamate sur les récepteurs métabotropiques

    signal électrique de lʼaxone libération du glutamate

    ouverture des canaux calciques

    entrée massive des ions calciques extracellulaires dans le neurone postsynaptique

    expression de gènes précoces (500 possibles) (dont cƒos, ziƒ268, CREB, famille jun)

    synthèse de protéines effectrices

    augmentation de la sensibilité des récepteurs NMDA

    modifications synaptiques construction de nouvelles synapes stimulation réservoirs à récepteurs

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  • 02/20/2006

    AUGMENTATION• BUTS• MOYENS

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    AUGMENTATION DE LA VIGILANCE

    POSSIBILITÉS SYST. SENSITIFS, SENSORIELS, INFLUX PROPRIOCEPTIF

    (VALABLES DANS LES 2 SENS) HYPERCAPNIE = +, ANOXIE FAIBLE = +, ANOXIE FORTE = +++ ASSOCIATIONS, PRISE DE CONSCIENCE, RATIFICATION

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    FACTEUR FAVORISANT LA FIXATION DE LʼINFORMATION

    MILIEU EXTÉRIEUR

    SYSTÈME

    DʼINTÉGRATION

    INFORMATION

    RÉACTIONS VÉGÉTATIVES ET HORMONALES

    PRISE DE CONSCIENCE

    AUGMENTATION DE LA VIGILANCE

    référence : Jean-Paul Renner

  • 02/20/2006

    MÉTHODES CONNUES

    VERBALES• SCHULTZ, JACOBSON, SOPHRONISATION, VITTOZ,

    HYPNOSE, EX. DE CONSCIENCE CORPORELLE, MAGNÉTISME, HAPTONOMIE, TENSION/DÉTENTE,...

    NON VERBALES• MAGNÉTISME, HAPTONOMIE, PAR LA VISION, MASSAGE,

    MANIPULATIONS CRÂNIENNES, SONORES (MUSIQUE,

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    MÉTHODES UTILISÉES

    PARTICULARITÉS PAS DE PHILOSOPHIE PEU DE DIMINUTION DE LA VIGILANCE PAS D’ANALYSE DE LA VERBALISATION UTILISATION DES SENSATIONS UTILISATION D’UNE PHASE D’INHIBITION MÉTHODE RESPECTUEUSE DIFFÉRENT DE LA MÉDECINE PSYCHOSOMATIQUE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    P. 140 Lʼinhibition de lʼaction H. Laborit Ed Masson 1979“ Mais le danger du terme vient surtout du fait quʼil entretient le dualisme entre le corps et lʼesprit, la dichotomie cartésienne qui ne peut plus se défendre aujourdʼhui. De cette dichotomie vont naître dʼautres dichotomie entre la psychiatrie et la médecine qui resteront enfermées dans des domaines séparés. La première est généralement seule à sʼoccuper des rapports de lʼindividu dans son environnement social. Dʼailleurs bien souvent, la psychiatrie elle-même a recherché désespérément des bases dʼorganicité macroscopique, microscopique et plus récemment biochimique, qui se sont dérobées jusquʼici à son approche. .... Dans le terme de psycho-somatique persiste la notion de psychologie, dans sa forme la plus langagière, et si la combinaison des deux mots nʼétait pas si laide phonétiquement, il serait certainement plus exacte de parler de médecine . En effet, le mot implique une action par rapport à un milieu et permet dʼenvisager des niveaux dʼorganisation qui le supportent, biochimique et neurophysiologique en particulier. Comme le signale Lader (1972), le terme de psychosomatique implique une entre . Lʼévénement psychologique serait une cause de lʼaffection organique alors que nous ne pouvons le concevoir maintenant lui-même que comme une réponse à une relation entre lʼhomme, chargé de ses biologiques, et son milieu. Le poids de la mémoire, processus organique, biochimique, y est prépondérant et nous savons quʼelle constitue la substance même de ses émotions. Or, ce sont celles-ci qui sʼapparient avec les réactions physiologiques, dont elles sont lʼexpression plutôt que la cause, réactions à une situation événementielle.”

  • 02/20/2006

    efficacité des " techniques

    Psychothérapies Eysenck 1952 p. 13 “Les thérapies comportementales” J. Cottraux Ed. Masson1978.

    analysa 24 études portant sur 7000 cas. Les patients traités par psychanalyse s’améliorent dans 44

    % des cas. Après correction (arrêt prématuré de la psychanalyse), le taux remonte à 66%.

    Les patients névrotiques qui restent 2 ans sur une liste d’attente sont dans 66 % des cas guéris ou améliorés.

    La psychanalyse devrait obtenir des résultats > 66 % et dans un temps bref.

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    Psychothérapies, trois approches évaluées INSERM 26.2.2004 approche psychanalytique - approche comportementale et cognitive -

    approche familiale ou de groupe (analyse exhaustive de 1000 articles) Les thérapies cognitivo-comportementales obtiennent

    l’efficacité la mieux établie dans les troubles anxieux (avec ou sans médicament), le stress psycho-somatique, dans le trouble panique (en association avec un antidépresseur pour éviter les rechutes), les troubles de la personnalité (18 mois à 4 ans de suivi en psychanalyse et 1 an en thérapie cognitivo-comportementale).

    L. O. C.efficacité des techniques

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  • 02/20/2006

    PRINCIPES DU TRAITEMENT

    TRANSFORMATION D’UN ÉLÉMENT DE LA RÉACTIVITÉ

    VARIATIONS DE LA VIGILANCE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    LES 3 PHASES DU TRAITEMENT

    PRÉALABLES INSTALLATION DE L’INHIBITION INSTALLATION DE LA CORRECTION

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    LES PRÉALABLES

    CHOISIR L ’ÉLÉMENT DE RÉACTIVITÉ DÉTERMINER LES RÉGIONS MUETTES CHOISIR LE RÉFLEXE « ASSOCIATIF » APPRENDRE UNE TECHNIQUE DE

    MODIFICATION DE VIGILANCE ET/OU TRANSFORMER L ’ÉLÉMENT DE RÉACTIVITÉ

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    INSTALLATION DE L ʼINHIBITION

    CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE FAIRE APPARAÎTRE LE CONFLIT RESSENTIR LES ZONES MUETTES ASSOCIER UN RÉFLEXE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    INSTALLATION DE LA CORRECTION

    CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE FAIRE APPARAÎTRE LE CONFLIT SENTIR LA NOUVELLE RÉACTIVITÉ RATIFIER CHAQUE RÉUSSITE METTRE EN SITUATION RÉELLE

    L. O. C.

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  • 02/20/2006

    LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE ET RESPIRATION

    1. PREALABLE" - OBSERVATION - DIAGNOSTIC" - PRISE CONSCIENCE - EXPLIQUER" - ENSEIGNEMENT DE LA TECHNIQUE" " - RESPECTER LES STADES" " - D.D." " " - MISE EN MVT DU DIAPHRAGME" " " - SENTIR " " " - RESPIRATION NORMALE" " " " - SENTIR " " " " - LAISSER LʼEXPIRATION LIBRE" " " " - RESPIRATION " " - ASSIS" " - DEBOUT" " - EN MARCHANT

    2. INHIBITION" - EN SITUATION IMAGINAIRE

    3. CORRECTION" - EN SITUATION IMAGINAIRE

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  • 02/20/2006

    1. Respiration (groupe ou individuel)2. La modification dʼune représentation mentale" " - difficile à réaliser si pas de vraie situation" " - on peut faire exercice % à la douleur

    3. Modification « sensation de boule/chaleur »" - Principes" " - amener une source IF-main-bouillotte, contact direct ou indirect " " - avantages" " - intégrer = mettre dans lʼordinateur " " - associer évolution = fixation" " - inscrire la durée = fixation" " - se souvenir = répéter = fixation" " - éviter lʼhabituation = commentaire " banalisation du résultat4. Mettre en situation" " - inhibition" " - correction

    5. Techniques de prolongement " " " " - problème: pas de phase dʼinhibition - habituation !" " - avantage: état de base valable pour toute situation

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  • 02/20/2006

    INDICATIONS sensation obsessionnelle image obsessionnelle sensation obsessionnelleBUTS mod. sensation mod. image mod. respiration

    choix élém. de réactivité épigastre/gorge/autre détail de l'image connu déterminer régions muettes X X

    PRÉALABLES choix geste associatif X X X appr. techn. mod. vigilance si nécessaire si nécessaire si nécessaire transformation élément de réact. chaleur/froid/autre mod. du détail voir détail joint

    amplification par respiration X

    diminution de vigilance si nécessaire si nécessaire situation conflictuelle imaginaire X X

    INHIBITION sentir zones muettes X X application réflexe associatif x x

    diminution de vigilance si nécessaire si nécessaire si nécessaire situation conflictuelle imaginaire X X

    CORRECTION sentir toutes les zones X X ratifier chaque réussite X X

    se mettre en situation réelle si possible X si possible ratifier chaque réussite X X X

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  • 02/20/2006

    ÉTAT DʼÊTRE FACULTÉS DISPONIBLES TONUS

    EXTENSUS INSENSUS ASSENSUS EXPECTATUS

    EXTENSUS RATIONALIS CIRCUMSENSUS ATTENTUS

    OBTENTUSEXTENSUS AFFECTUS PERSENSUS

    RECIPROTONUSEXTENSUS CONCENTUS TRANSSENSUS

    APOTONUS

    P PRÉSENCE SINCÉRITÉ, CLARTÉ, CANDEUR, VÉRIDICITÉT TRANSPARENCE LIMPIDITÉ, SANS DÉGUISEMENT, LUCIDITÉP PRUDENCE PRÉCAUTION, RESPECT, CIRCONSPECTION

    PRENDRE SOIN

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  • 02/20/2006

    Protocole du prolongement 1er stade = DV1. Explications

    2. Mettre en évidence

    3. Une main

    4. Deux mains

    5. Jusquʼaux épaules

    6. Retester (uniquement avec des mvts des bras)

    7. Avez-vous senti la différence ?

    8. Refaire plus rapidement

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  • 02/20/2006

    Protocole repositionnement du bassin

    1. Généralités sur le “ballan”, Câles,

    2. Prise de conscience de la lordose lombaire

    3. Mise en position des membres inférieurs

    4. Positionnement de la main de lʼostéopathe

    5. “Ballan”

    6. Extension des membres inférieurs

    7. Contrôle de la lordose

    8. Indications

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  • 02/20/2006

    LES DIFFÉRENTS STADES DʼÉVOLUTION DU “PROLONGEMENT” DU DV À LʼÉTAT DʼÊTRE

    FONCTIONNEL1. PROLONGEMENT EN DV - “MASSAGE” DE LA JAMBE - “BALLAN” - “BALLAN” AVEC OBJETS

    2. PROLONGEMENT EN DD- TEST DE LA CUISSE- “BALLAN”- REPOSITIONNEMENT DU BASSIN- COMPRENDRE LʼEFFICACITÉ DU LIEU DE PROLONGEMENT- COMMENT AUGMENTER LE CHANGEMENT DE TONUS- LʼIMPORTANCE DU CONTACT DIRECT

    - PROLONGEMENT AVEC ET “SANS” CONTACT

    3. PROLONGEMENT DEBOUTIMMOBILE AVEC ET SANS CONTACTAVEC DÉPLACEMENTAVEC DÉPLACEMENT ET EN LISANT

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  • 02/20/2006

    L. O. C.Indication technique

    du prolongement

    PHÉNOMÈNE EXTÉRIEUR 3 = VIE QUOTIDIENNE

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  • 02/20/2006

    L. O. T. ASPECTS PRATIQUES

    POSITION DE MISE EN TENSION RECHERCHE D’UN RELÂCHEMENT (EXPIRATION) RATIFIER CHAQUE RÉUSSITE RESSENTIR LES SENSATIONS RÉSIDUELLES FIXER LA DURÉE DES EFFETS

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  • 02/20/2006

    Niveau supérieur = stratégie = aires associatives du néocortex + ganglions de la base

    1. Informations sur la situation dʼorigine (inf. auditives, visuelles, somatiques et proprioceptives)

    2. Analyse des options possibles ganglions de la base

    3. Sélection de stratégies

    4. Envoi des stratégies vers le cortex + référence à lʼexpérience

    5. Décision finale

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  • 02/20/2006

    Niveau inférieur = exécution= tronc cérébral + moelle épinière

    1. Activation des neurones du tronc cérébral

    2. Transmission des ordres aux niveaux concernés de la moelle épinière

    3. Activation des motoneurones et interneurones

    4. Mouvements et ajustements posturaux

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  • 02/20/2006

    Niveau intermédiaire = paramètrage= cortex moteur + cervelet

    1. Décision tactique (amplitude, direction, force du mouvement)

    2. Transmission des instructions au tronc cérébral

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  • noyaux striés

    noyaux gris septaux

    (pallidum et putamen fusionnent et forment le n. lenticulaire)

    pallidum = paléostriatumputamennoyau caudé néostriatumclaustrumn. amygdalien =archéostriatum

    Les noyaux de la base (STRIATUM ET SEPTUM)assurent la jonction hémisphère-névraxe

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  • Les noyaux gris centraux

    noyau caudéputamen

    palliduminterne = GPi

    externe = GPe

    noyau sous-thalamique

    substance noire (le plus gros noyau du mésencéphale humain)

    dorsale = pars compacta

    ventrale = pars reticula

    parties effectrices principales“néo”striatum

    paléostriatum

    mésencéphale

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  • CORTEX CÉRÉBRALaires: sensorielle, motrice, d’association et limbique

    voie indirecte

    pars reticulaSubstance noire

    Palliduminterne externe

    voie directe

    Noyau caudé Putamen

    Thalamus

    e

    r

    t

    ntro

    v

    la

    é

    I

    al

    noyau sous-thalamique

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  • cortexcortex moteur

    moelle épinière

    faisc. pyramidal

    système moteur latéral

    N rougesfaisc. rubro-spinal

    système moteurventromédian

    Noyaux réticulaires

    colliculus sup.vestibulaires

    faisc. vestibulo-spinalfaisc. tecto-spinal

    faisc. réticulo-spinal

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  • 02/20/2006

    ASPECTS PRATIQUES

    LE DIAGNOSTIC PRÉLIMINAIRE LE DIAGNOSTIC SPÉCIFIQUE LA CORRECTION (2 PHASES) LA VÉRIFICATION

    L. O. O.

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  • 02/20/2006

    INSTALLATION DE LʼINHIBITION

    CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE VISUALISER LE MOUVEMENT RESSENTIR LES ZONES MUETTES ASSOCIER UN RÉFLEXE

    L. O. O.

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  • 02/20/2006

    INSTALLATION DE LA CORRECTION

    CRÉER UNE DIMINUTION DE VIGILANCE VISUALISER LE MOUVEMENT RESSENTIR LES SENSATIONS PROPRIOCEPTIVES RATIFIER CHAQUE RÉUSSITE METTRE EN SITUATION RÉELLE

    L. O. O.

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