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HIVER 2010
LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS
82
Votre stratégie Une relation
privilégiée pour votre
patrimoine privé
Votre expérience
Bénédicte Jézéquelmise sur le bois du futur
www.entreprises.banquepopulaire.fr
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2 COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82
COCKPIT BPCE, 50 avenue Pierre Mendès France 75013 Paris. http ://www.banquepopulaire.fr. Publication trimestrielle de la Banque Populaire. Tirage : 30 000 exemplaires. Destinataires : chefs d’entreprise, dirigeants, administrateurs, cadres d’état-major, responsables d’exploitation et conseillers de clientèle entreprise des Banques Populaires. Directeur de la publication : Olivier Klein, BPCE, directeur général banque commerciale et assurance. Rédacteur en chef : Olivier de Coussemaker. Tél. : 01 40 39 67 81. Rédactrice en chef adjointe : Marianne Vergnes. E-mail : cockpit@bfbp.banquepopulaire.fr. Comité de rédaction : Oriane Bauduin, Erika Boetsch, Virginie Da Silva, Serge Daupeux, Bernard Gantzer, Valérie Glowiak, Éric Grandpierre, Patrick Hamon, Christine Levassor, Jean-Marie Louzier, Sylvie Peschard, Olivier Poulard, Isabelle Ravaille, Mireille Wetz. Réalisation : Publicis Consultants France – département édition. Crédits photos : Samuel Bigot/Andiap (couverture, p. 5), Gilles Plagnol (p. 2),Achim Sass/Westend61 (p. 3), Société Silvadec (p. 5), Tetra Images (p. 7), Christian Pedrotti (p. 8), Jean Chiscano (p. 9), Comstock (p. 12), Centre Léon Bérard (p. 13). Photogravure : Regard Numérique. La Banque Populaire a souhaité produire cette publication dans le respect de l’environnement. Ainsi, l’impression a été réalisée à partir d’encres végétales sur les presses de IMP Graphic, 14 rue Lafayette - 58204 Cosne-sur-Loire (France), imprimeur Imprim’vert (charte de respect de l’environnement :
gestion et sécurisation des déchets dangereux et non-utilisation de produits toxiques) certifi é ISO 14001 (certifi cation environnementale). Le papier sélectionné pour cet ouvrage est du Satimat Green produit par Arjowiggins (France), usines certifi ées ISO 14001. Ce dernier est composé de 60 % de fi bres recyclées et de 40 % de fi bres vierges certifi ées FSC™ Sources Mixtes (Forest Stewardship Council). Routage : Comelli Numérique. Membre de l’UJJEF. N° ISSN : 1165-7839.
Chers clients, peut-être faites-vous partie de ces dirigeants totalement
absorbés par l’aventure entrepreneuriale, au point de n’accorder
qu’une attention minimale à votre situation patrimoniale. Considérant
de plus que la totalité de vos actifs se trouve dans votre affaire, sans
doute ne voyez-vous pas de raison de vous préoccuper du reste…
Cependant, nous vous encourageons fortement à ne pas négliger
les questions relatives à votre patrimoine privé. À la Banque Populaire,
nous pensons en effet que le personnel et le professionnel doivent
s’envisager de concert et qu’il n’est donc jamais trop tôt pour
s’intéresser à l’optimisation de ses actifs. C’est la raison pour laquelle
votre conseiller entreprise est en permanence à votre écoute pour
pouvoir vous orienter vers l’un de ses collègues experts en gestion
patrimoniale. Mais à l’opposé d’une logique restrictive consistant
à placer au mieux vos liquidités, notre approche globale vise au
contraire à cerner l’ensemble de vos besoins afi n d’y répondre de
manière à préserver chacun de vos intérêts. Pour autant, soyez-en
assurés, cette double relation que vous propose la Banque Populaire
repose sur un total cloisonnement entre la sphère privée et la sphère
professionnelle. C’est ce que nous vous invitons à découvrir en détail
dans ce nouveau numéro de Cockpit. Bonne lecture.
Henri Ferrao
Pour une optimisation de vos intérêts professionnels et privés
EDITO
Henri Ferrao,
Directeur Développement
Entreprises de la BRED
Banque Populaire
SOMMAIRE
Les PME françaises et Internet :une relation en progrès dans tous les domaines
VOTRE ENVIRONNEMENT
3
Silvadec ou le bois du futur
5
Échangez sur Internet en toute sécuritéCRÉANCEalliance Recouvrement, le recouvrement sans limites
Prendre soin de son patrimoine privé
VOS OUTILS AU QUOTIDIEN6
7
Transactions internationales : s’entourer de spécialistes pour réaliser ses projets
Rémunération des managers :la voie royale du management package
M6 et la Banque Populaire donnent la parole aux hommes et femmes de projetsLa Banque Populaire multi-récompensée aux Corbeilles 2010
Ingénierie sociale : du nouveau à l’hôpital
VOTRE PATRIMOINE
LE CLUB
14
15
COCKPIT | #82 | HIVER 2010
EDITO
VOTRE EXPERIENCE
VOTRE STRATEGIE
VOS SALARIES13
12VOS OUTILS A L'INTERNATIONAL
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VOTRE ENVIRONNEMENT
COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 3
Les PME françaises et InternetUne relation en progrès dans tous les domaines…
Alors que la communication à l’aide
d’un site Internet était quasi inexis-
tante dans les PME françaises il y a
encore quelques années, ce canal a
désormais leur nette préférence avec un taux
d’utilisation de 82 %. C’est ce qu’indique un son-
dage OpinionWay et Europages mené en
octobre 2009 auprès de 178 petites et moyennes
entreprises françaises. Même les traditionnels
catalogues et dépliants ne résistent pas à ce raz-
de-marée, puisqu’ils ne sont plus utilisés que
dans 59 % des cas. Viennent ensuite les actions
de marketing direct par envoi postal (56 %),
l’e-mailing (50 %), la participation à un salon en
tant qu’exposant (48 %), la publicité sur Internet
(45 %) et les relations publiques (43 %). On
recense globalement peu de différences au sein
des quatre pays sondés (Espagne, Allemagne,
France, Italie) et seules les PME ibériques sont
encore plus friandes du site maison pour commu-
niquer, avec un taux de 89 %. OpinionWay et
Europages ont également interrogé les entreprises
sur l’évolution de leurs budgets de communi-
cation au cours des deux dernières années. En
France, les investissements au profit du site
Internet ont progressé de 61 %, tandis que ceux
réalisés sur de la publicité en presse tradition-
nelle ont diminué de 51 %.
Une autre étude, réalisée par le prestataire de
centres d’affaires Regus en mars 2010 auprès de
15 000 entreprises réparties dans soixante-
quinze pays, révèle que les PME françaises sont
également à la pointe concernant l’utilisation des
réseaux sociaux. Elles sont en effet 61 % à les
utiliser pour acquérir de nouveaux clients, contre
54 % en moyenne dans le reste du
monde. Ces statistiques sont d’au-
tant plus remarquables qu’elles
apparaissent en contradiction avec
le constat fait du côté des grandes
entreprises françaises : alors que
seules 33 % d’entre elles utilisent
les réseaux sociaux, la moyenne
mondiale atteint les 40 %... Cause
ou conséquence de cette différence
d’attrait en fonction de la taille, ces
espaces virtuels de networking
réussissent en tout cas beaucoup
mieux aux petites qu’aux grandes
entreprises françaises : 39 % des premières décla-
rent avoir déjà trouvé de nouveaux clients par ce
biais, contre 21 % pour les secondes.
Sur le plan sectoriel enfi n, ce sont les sociétés de
conseil qui ont tiré le plus de profi t des réseaux
sociaux, 42 % d’entre elles ayant trouvé des nou-
veaux clients à l’aide de ce canal. À l’opposé,
le secteur de la santé ferme la marche avec un
taux de 13 %.
La communication par le biais d’un
site maison a la cote dans les petites
et moyennes entreprises françaises.
Ces dernières sont aussi en avance sur le reste du
monde concernant l’utilisation des
réseaux sociaux.
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VOTRE ENVIRONNEMENT
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Les réductions d'impôt accordées
en contrepartie d’un investisse-
ment dans les PME connaissent
un succès grandissant auprès des
contribuables assujettis à l’ISF. En 2010,
140 043 d’entre eux ont eu recours à ce
dispositif contre 102 000 en 2009, ce qui
représente près d'un quart des per-
sonnes concernées. La somme de ces
investissements s’élève à 1,1 milliard
d’euros pour cette année. Mais si le dis-
positif est un coup de pouce très appré-
ciable pour les entreprises, il représente
également un manque à gagner pour
l’État ; c’est la raison pour laquelle sa sup-
pression avait été envisagée lors de l'éla-
boration du projet de loi de finances
2011. Finalement, il n’en sera rien. Les
personnes concernées pourront conti-
nuer à réduire leur ISF à hauteur de 75 %
de leurs investissements dans des PME.
Les réductions ISF PME remportent un franc succès
Travail à distance : les entreprises y viennent…
Éditeur de logiciels en ligne, Citrix Online a réa-
lisé, en juin 2010, une enquête auprès de 3 000
managers sur la mobilité au sein des entreprises
françaises, allemandes et britanniques. Il ressort
que ceux-ci sont favorables à plus de mobilité de la
part de leurs collaborateurs. Seuls 10 % des sondés s’y
déclarent hostiles tandis que 40 % d’entre eux pensent
que la possibilité de travailler à distance et d’avoir des
horaires flexibles a un impact positif sur la productivité.
Par ailleurs, 14 % des entreprises encouragent l’en-
semble de leurs employés à utiliser des outils leur
permettant de travailler à l’extérieur (ordinateur por-
table, agendas partagés, réunions en ligne, smartphones,
etc.).
Autre enseignement de cette enquête : le besoin d’in-
teraction permanente de certains managers pour s’as-
surer de l’exécution du travail de leurs collaborateurs,
avec une forte disparité selon les pays. Ainsi, seuls 18 %
des managers anglais ressentent un tel besoin, tandis
qu’ils sont 51 % en France et 56 % en Allemagne.
La crise pèse de moins en moins sur l’accès au crédit
L’édition de septembre 2010 du baromètre
KPMG / CGPME sur le financement des PME
le confirme, les effets négatifs de la crise sur
l’obtention de crédits sont en repli marqué.
Seuls 21 % des 400 dirigeants (d’entreprises françaises
de 10 à 500 salariés) interrogés déclarent que « la
situation économique actuelle a des impacts négatifs
sur leurs conditions d’accès aux crédits auprès de leur
banque ». Soit une baisse de 8 % par rapport à juin et
de 14 % par rapport à mars.
Conséquence directe de cette perception, ils ne sont
plus que 28 % à se restreindre dans leurs investisse-
ments et leurs demandes auprès des banques, contre
43 % en juin. Enfin, bien qu’elle soit encore ressentie
par 69 % des patrons, l’inquiétude face à la crise atteint
son niveau le plus bas depuis la création du baromètre
en février 2009. Rappelons qu’en juin dernier, cet indi-
cateur avait atteint le taux record de 85 % de diri-
geants inquiets.
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VOTRE EXPERIENCE
COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 5
«La clé de notre réussite ? Avoir cru au bon produit au bon moment et s’être donné les moyens, financiers comme techniques, de le développer », estime Bénédicte
Jézéquel, directrice générale déléguée de Silvadec.
Ce « bon produit », c’est le Forexia®, un bois compo-
site à base de produits recyclés. Bénédicte Jézéquel
et Philippe Crez, à cette époque responsable qualité
et responsable d’un centre de profit dans une entre-
prise de plasturgie, l’ont découvert en 2000 lors d’un
voyage professionnel aux États-Unis. Issu d’une tech-
nologie brevetée, il est alors inconnu en Europe. Les
deux collègues en mesurent rapidement le potentiel :
d’aspect bois, résistant à l’humidité et aux intempé-
ries, il est idéal pour les aménagements extérieurs,
notamment les terrasses. Produit à partir de déchets
de l’industrie*, il est recyclable à 100 %, ne contient
pas de métaux lourds et est imputrescible sans avoir
recours à des produits de traitement. Autant de bons
points pour l’environnement ! Bénédicte Jézéquel et
Philippe Crez décident donc de se lancer : en 2002,
ils acquièrent un contrat de licence qui leur octroie
l’exclusivité de la production du Forexia® en France
et inaugurent, en 2003, une usine à Arzal (56) avec
l’aide financière de la Banque Populaire Atlantique.
« Les premiers mois ont été difficiles, reconnaît la direc-
trice générale déléguée. Mais dès notre première année d’activité, nous avons obtenu la médaille d’or au concours de l’innovation du salon Batimat et bénéficié de très belles retombées presse. Un coup de pouce fantastique ! »
Des bâtiments « propres » et innovantsDès 2004, Silvadec décuple son chiffre d’affaires,
qui passe de 200 000 à 2 millions d’euros, puis croît
très régulièrement. Le succès ne se dément pas mal-
gré la crise. « Silvadec a su très bien gérer son impres-sionnante croissance. Nous avons répondu présent à chaque étape », explique Pierre-Yves Danilo, conseiller
clientèle entreprises Banque Populaire à l’agence de
Vannes. L’entreprise a ainsi, l’an dernier, emménagé
dans des locaux dotés de nouveaux équipements.
La Banque Populaire Atlantique a financé un tiers de
cet investissement de 7 millions d’euros. Plus spa-
cieux, le bâtiment neuf est aussi respectueux de l’en-
vironnement. « Nous avons notamment opté pour des systèmes de dépoussiérage et de traitement acoustique ultra- performants », précise Bénédicte Jézéquel. Silvadec
multiplie les références un peu partout en Europe : à
l’école de la Biodiversité de la Fondation de France et
la Fondation Nicolas Hulot, dans le parc de Branféré,
à l’aéroport de Barcelone… « Nous sommes désormais suffisamment solides pour résister à de nouveaux entrants sur notre marché », reprend-elle. Prochain objectif de
Silvadec : mettre en place des filières de recyclage
fiables pour ses produits lorsqu’ils arriveront en fin
de vie. Même si ce n’est pas demain la veille : les pro-
duits Forexia® sont conçus pour résister plusieurs
dizaines d’années…
* Le Forexia® est composé de deux tiers de copeaux et de sciures de bois réduits
en farine, et d’un tiers de polyéthylène haute densité (PEHD) en partie recyclé.
Solidement implantée sur un marché de niche, l’entreprise Silvadec réalise, moins de dix ans après sa création, un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros pour trente-cinq salariés. Elle ne connaît pas la crise…
Pour en savoir plus : www.silvadec.com
Silvadec ou le bois du futurHIVER 2010
LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS
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Votre stratégie Une relation
privilégiée pour votre
patrimoine privé
Votre expérience
Bénédicte Jézéquelmise sur le bois du futur
www.entreprises.banquepopulaire.fr
Pierre-Yves Danilo, conseiller clientèle entreprises Banque Populaire à l’agence de Vannes
« Dès le départ, les diri-geants de Silvadec ont su s’entourer en s’appuyant sur des dispositifs comme le réseau Entreprendre ou Oséo. Gestionnaires rigou-reux et toujours à l’écoute de nos conseils, ils ont su maîtriser leur croissance rapide en dégageant un niveau de bénéfi ces propor-tionnel et en consolidant leurs fonds propres. »
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VOS OUTILS AU QUOTIDIEN
Échangez sur Internet en toute sécurité
Du paiement des salaires au règlement
des fournisseurs, en passant par les
virements administratifs, les entre-
prises réalisent de nombreuses opé-
rations bancaires par Internet. Et les utilisations
ont tendance à se développer encore avec la
mise en place du nouveau protocole de télé-
transmission EBICS. Pour faciliter et surtout
sécuriser ces échanges informatiques, les
Banques Populaires proposent un certificat
numérique permettant à l’émetteur de s’authen-
tifier et de fournir une signature électronique à
haut niveau de sécurisation. Les certificats, déli-
vrés par des autorités de certification agréées
par le ministère de l’Économie et des Finances*,
sont remis aux utilisateurs sur des clés USB
personnelles et sécurisées par un code PIN. À
chaque utilisation, le collaborateur doit ainsi
s’identifier avec ce code qui lui est propre.
La solution, souple, permet en outre de mettre
en place et de gérer des délégations de signature
en fonction des montants et des types d’opéra-
tions : les transactions que l’émetteur n’est pas
autorisé à effectuer sont automatiquement blo-
quées. Enfin, les certificats peuvent être utilisés
pour les échanges avec les autres banques si l’en-
treprise est multibancarisée, ou avec les adminis-
trations comme pour la télédéclaration et le
télépaiement de TVA.
Les demandes sont à adresser à votre conseiller
habituel.
* Click and Trust ou CertEurope
CRÉANCEalliance Recouvrement, le recouvrement sans limites
Le risque d’impayé est une préoccupation
majeure des dirigeants d’entreprise. Mais
pour des raisons financières, les PME ne
mettent pas toujours en œuvre tous les
moyens, notamment judiciaires, pour recouvrer
leurs créances. CRÉANCEalliance Recouvrement devrait les aider à actionner l’ensemble des
leviers existants pour récupérer leurs fonds. Ce
produit, unique sur le marché, leur permet de
confier, pour un prix forfaitaire mensuel connu
d’avance et calculé en fonction de leur chiffre
d’affaires, le recouvrement d’autant de créances
civiles et commerciales qu’elles le souhaitent,
sans limite de nombre ni de montant. Le forfait
inclut les actions amiable et judiciaire*, sans coût
supplémentaire. La gestion est réalisée par les
experts de Coface. Concrètement, l’entreprise
remet ses factures en ligne à partir du site
Banque Populaire Factorem, avec des codes d’ac-
cès personnels. Elle peut suivre sur Internet
l’avancée de ses dossiers ainsi que les actions qui
sont engagées selon un processus préalablement
défini en fonction du montant de la facture. Les
fonds encaissés sont reversés par quinzaine, dans
un délai de vingt jours après leur encaissement.
Efficace et sans surprise !
* jusqu’à trois fois le forfait annuel
Avec CRÉANCEalliance Recouvrement, un
service à tarification forfaitaire, les PME mettent toutes les
chances de leurs côtés pour recouvrer
leurs créances.
Souple, simple et sûr, le certificat
numérique facilite et sécurise les échanges
informatiques entre les entreprises, leurs banques et les
administrations.
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COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 7
VOTRE STRATEGIE
PARTENAIRE INCONTOURNABLE ET HISTORIQUE DES ENTREPRISES,
LA BANQUE POPULAIRE DÉVELOPPE ÉGALEMENT UNE EXPERTISE POINTUE LIÉE AU CONSEIL EN GESTION PRIVÉE. PLACEMENT DE SES ACTIFS, DIVERSIFICATION DE SES INVESTISSEMENTS, OPTIMISATION DE SA RÉMUNÉRATION, INGÉNIERIE SOCIALE
AFIN DE PROTÉGER SES PROCHES, APPROCHE PATRIMONIALE DE LA TRANSMISSION DE
SA SOCIÉTÉ… DÉCOUVREZ DANS CE DOSSIER TOUS LES AVANTAGES QUE VOUS POUVEZ
RETIRER EN FAISANT APPEL À CETTE DOUBLE COMPÉTENCE DE VOTRE BANQUE.
Intégrer une dimension patrimoniale à son entreprise
Des compétences pointues en gestion privée
Une double expertise incontournable
PRENDRE SOINDE SON PATRIMOINE PRIVÉ
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VOTRE STRATEGIE
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Lionel Raymond,
Directeur du marché
Entreprises de la
Banque Populaire
des Alpes.
Entrepreneurs,ne négligez pas votre patrimoine privé
A ccaparés par le rythme trépidant de
leur vie d’entrepreneur, nombre de
dirigeants ne commencent à se préoc-
cuper de leur patrimoine personnel
que le jour où ils envisagent la cession ou la trans-
mission de leur affaire. « Et cette tendance est renfor-cée par le fait que nos dirigeants d’entreprises sont conscients que leur patrimoine repose aussi sur la réussite de leur entre-prise, commente Lionel
Raymond, directeur du
marché Entreprises de la
Banque Populaire des
Alpes. C’est justement une bonne raison pour ne pas négliger l’approche privée. » En effet, il n’existe pas de
véritable barrière entre les deux patrimoines : si les
décisions d’un entrepreneur sont avant tout dictées
par des considérations managériales, elles ont aussi
une forte incidence sur les intérêts personnels de
ce dernier. Qu’il s’agisse de diversifi er ses actifs,
d’optimiser fi scalement sa rémunération ou encore
de protéger ses proches, le dirigeant a donc tout à
gagner à profi ter d’une expertise capable de conseil
au-delà du simple placement des liquidités pour se
focaliser sur la problématique spécifi que du client
privé également entrepreneur. Telle est l’appro che
de la Banque Populaire,
basée sur un double
accompagnement assuré
par le conseiller entre-
prises pour les questions
professionnelles et par un
expert en gestion privée
pour toutes les considéra-
tions relevant de la sphère
personnelle (plus de détails dans « l’avis d’expert »
en page 9). Cette approche permet schémati-
quement d’associer à chaque stade de développe-
ment de l’entreprise des problématiques d’ordre
patrimonial.
Quel que soit le stade de
développement de votre entreprise,
il n’est jamais trop tôt pour y intégrer
une dimension patrimoniale. Par le biais de
son expertise en gestion privée,
la Banque Populaire peut
vous accompagner dans cette voie.
L'EXPERTISE GESTION PRIVEE
« La plupart des entrepreneurs estiment que leur avenir f inancier repose entièrement sur la réussite
de leur entreprise. »
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COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 9
VOTRE STRATEGIE
Stade 1 : l’entreprise en lancementSauf dans le cas particulier de l’entrepreneur qui n'en est pas à
sa première création, la question du placement d’actifs se pré-
sente bien sûr assez rarement lors de cette phase. « Les pro-blématiques patrimoniales restent le plus souvent limitées à l’acquisition de la résidence principale, remarque Lionel Raymond.
Cependant, le choix de la structure juridique de l'entreprise a des impacts patrimoniaux importants, tant en matière de responsabi-lité qu'en matière de statut, de protection sociale et d'optimisation des fl ux dégagés par l'entreprise au profi t du patrimoine privé. Pour le chef d'entreprise comme pour la banque, c’est aussi l’occasion de tisser une relation de confi ance, un gage essentiel de qualité dans la perspective de questionnements patrimoniaux plus complexes. »
« Tout dirigeant peut profiter des conseils de nos chargés de
clientèle privée, cela sans condition de revenus. »
Stade 2 : l’entreprise établieAu cours de cette période durant laquelle l’entrepreneur
est en mesure de se verser un salaire confortable et des
dividendes, ses préoccupations sont liées à la fois aux place-
ments fi nanciers et à l’optimisation patrimoniale de ses reve-
nus. « En complément du chargé de clientèle privée, la Banque Populaire fait alors entrer dans la boucle un ingénieur patrimonial, explique Lionel Raymond. Force de proposition sur toutes ces questions d’optimisation, il apporte son expertise pour la mise en œuvre de solutions souvent complexes. Il peut notamment assister et conseiller le dirigeant dans des opérations moins cou-rantes telles que le fi nancement de rachat de comptes courants
ou la réalisation d’une partie de son actif professionnel en cédant des actions ou des parts de sa propre entreprise selon le principe de l’OBO (Owner Buy Out), etc. »
Stade 3 : l’entreprise proche de la transmissionCette phase nécessitant une expertise ultra-pointue, plus la
banque est associée en amont des projets de transmission de
l’entrepreneur, plus ses recommandations s’avèreront utiles.
« En concertation avec le conseiller entreprise, l’ingénieur patrimo-nial intervient pour préconiser les meilleurs schémas en fonction du souhait du dirigeant de céder son entreprise ou la transmettre à ses héritiers, précise Lionel Raymond, de la Banque Populaire
des Alpes. Tandis que le conseiller entreprise accompagne notam-ment l’entrepreneur dans la gestion au quotidien de son affaire, les conseils sur mesure de l’ingénieur patrimonial permettent d’op-timiser la cession ou la transmission sur le plan fi scal, juridique, patrimonial et successoral. »
Stade 4 : après la transmission…Une fois la vente réalisée, la Banque Populaire propose au diri-
geant un panel de solutions allant bien au-delà des placements
fi nanciers les plus rentables. « Sans négliger cet aspect pour lequel les performances des produits de la banque et des fi liales du Groupe constituent un élément majeur, nous nous attachons surtout à défi nir avec le client ses besoins et à optimiser l’allocation d’actifs de son patrimoine en fonction de ses souhaits personnels en matière de revenus, conclut Lionel Raymond. Répondre au mieux à ces attentes nécessite confi ance et proximité avec l’entre-preneur. Patiemment tissée au fi l des ans, cette relation se poursuit bien sûr une fois les placements effectués. A cet effet, des rendez-vous de suivi très réguliers sont programmés. »
Jean-Louis Grand, Directeur du marché de la Gestion Privée de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté
En agence comme en centre d’affaires, la Banque Populaire est organisée de manière à favoriser les contacts quotidiens entre les conseillers entreprise et les conseillers en gestion de patrimoine. Une proximité naturelle qui profi te en premier lieu aux clients professionnels de la Banque Populaire et suscep-tibles d’avoir besoin de conseils à titre personnel. Cette relation
double leur permet en effet de bénéfi cier d’une expertise incomparable, apte à prendre en compte à la fois les intérêts de l’entreprise et ceux de son dirigeant. Confi dentialité oblige, les informations que celui-ci peut être amené à communiquer à son conseiller en gestion de patrimoine ne sont jamais connues de son conseiller entreprise.
AVIS D'EXPERT
L'EXPERTISE GESTION PRIVEE
« Une double expertise au service des dirigeants »
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10 COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82
La Banque Populaire met ses compétences au service de votre patrimoine Que peut apporter la Banque Populaire à un chef d’entreprise pour la gestion de son patrimoine privé ?En premier lieu, un double regard. La
proximité, tant culturelle que géogra-
phique, entre nos conseillers banque pri-
vée et nos conseillers entreprise favorise
les échanges d’expertises afi n de servir
au mieux les intérêts professionnels et
personnels des dirigeants. Ces derniers
peuvent, s’ils le souhaitent, accéder de facto à la convention patrimoniale. En
d’autres termes, quel que soit leur niveau
de revenus, ils bénéfi cient de l’attention
particulière que nous portons à nos
clients fortunés au sein de notre agence
Banque Privée. Dans un environnement
juridique, fi scal, économique et fi nancier
en évolution permanente, profi ter d’un tel avantage est la
meilleure des garanties de qualité de service. Qu’il s’agisse
de diversifi er leurs investissements, de valoriser leur patri-
moine, de transmettre leurs biens ou encore de protéger
leurs proches, nous leur proposons des solutions adaptées
à leurs objectifs.
Concrètement, quelles peuvent être ces solutions ?Elles sont très nombreuses et bien sûr adaptées à chaque
cas particulier. C’est pourquoi nous entamons toujours
notre relation par un audit détaillé de leur situation éco-
nomique, fi scale, juridique et patrimoniale. S’ensuivent des
recommandations sur mesure telles que des placements en
assurance vie, des opérations immobilières de défi scalisa-
tion, d’ingénierie sociale destinées à mieux protéger le diri-
geant et son conjoint. Nous pouvons également conseiller
le chef d’entreprise sur l’adaptation de son régime matri-
monial, sur la structuration juridique de son activité profes-
sionnelle et ses conséquences fi scales (en matière d’ISF par
exemple) ou sociales (niveau de cotisation et de protec-
tion) ou bien encore sur les modalités d’acquisition ou de
détention de l’immobilier d’exploitation
de l’entreprise qui peuvent avantager tant
l’entreprise que son dirigeant.
Les dirigeants ont-ils accès à des produits fi nanciers particuliers ?Tout à fait. En tant que clients banque
privée, nous leur réservons une gamme
exclusive avec un excellent effet de levier,
notamment pour les investissements de
défi scalisation. Et pour contrer la pénurie
d’accès à de tels placements, nous avons
des enveloppes dédiées aux dirigeants.
La logique est identique pour tous les
produits financiers, nous leur propo-
sons un large portefeuille allant bien
au-delà des seuls supports de la Banque
Populaire et de Natixis. C’est le cas en
particulier pour les clients qui délèguent la gestion de leurs
avoirs à notre département de Gestion Sous Mandat. Dans
la mesure où seule nous importe la performance en fonc-
tion de leur profi l de risque, nous sommes amenés à leur
recommander également les Sicav d’un confrère.
Pour vous, l’expertise Banque Populaire Gestion Privée à portée de clic !
www.gestionprivee.banquepopulaire.fr
Un site Internet avec des dossiers d’actualité, les réponses de nos experts à des questions concrètes et des informations sur les marchés.
Abonnez-vous !Une fois par mois, la e.newsletter Banque Populaire Gestion Privée vous informe de l’actualité patrimoniale. Inscription gratuite sur la page d’accueil du site.
VOTRE STRATEGIE L'EXPERTISE GESTION PRIVEE
3 QUESTIONS À…
Philippe Kott, Directeur de la Gestion Privée
de la Banque Populaire d’Alsace
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COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 11
Comptant parmi les leaders français du
négoce de bières de spécialité, IBB est
fidèle à la Banque Populaire du Nord
depuis sa création en 1990. C’est pour-
quoi son dirigeant fondateur Jean-Luc
Butez a tout de suite songé à se tourner
vers elle lorsqu’il s’est posé ses premières
questions successorales.
« Dans la mesure où j’ai toujours été satisfait du professionnalisme de mes conseillers concernant la gestion des fl ux fi nanciers de mon entreprise, il m’a paru naturel de
m’adresser à eux pour mon patrimoine privé, indique-t-il. Ne serait-ce que pour m’éviter d’avoir à expliquer toute l’histoire de ma vie professionnelle à un nouvel interlocuteur. »
Jean-Luc Butez précise toutefois ne pas
avoir signé un chèque en blanc à la Banque
Populaire du Nord. « En effet, j’ai d’abord tenu à vérifi er que l’expertise dont je profi te depuis vingt ans pour mon entreprise existait aussi au niveau de la gestion de mon patri-moine. Je dois dire que j’ai très vite été ras-suré… La banque a su mettre autour de la
table des spécialistes des placements, des montages fi nanciers et des problématiques patri moniales. J’apprécie beaucoup ce cumul de compétences qui me permet d’obtenir des conseils précieux et des réponses à toutes les ques-tions que je peux être amené à me poser. »
Jean-Luc Butez, PDG d’IBB
« J’apprécie beaucoup ce cumul d’expertises »
TEMOIGNAGE
Pascal Margerin, Directeur du département Ingénierie Financière à la Banque Populaire du Nord
« Lors de la transmission de son entreprise, la double expertise de la banque prend tout son sens »
« Tout dirigeant est un jour ou l'autre confronté à la question de l'avenir de son entreprise dans son patrimoine. Les solutions qui se présentent à lui peuvent être diverses : transmission familiale, cession aux salariés, cession à une personne physique dans le cadre d'un montage type LBO (Leverage Buy Out), cession à une autre entreprise dans le cadre d'une croissance externe… Les réfl exions à mener doivent donc intégrer à la fois la dimension privée et professionnelle.Dans ce contexte, Ingénieur Financier et Ingénieur Patrimonial de la Banque Populaire forment un tandem en mesure de lui apporter le meilleur éclairage relatif aux différentes alternatives qui s'offrent à lui. En cas de cession familiale, il convient notam-ment d'aborder le sujet parfois délicat du mode de transfert.
Dans la confi guration fréquente d'un entrepreneur souhaitant transmettre son entreprise à un seul de ses héritiers, se pose en effet la question de la justesse des conditions de la transmission. A savoir celle du juste prix, mais aussi celle du mode de désin-téressement des membres de la famille n'accompagnant pas la reprise ainsi que celle des besoins fi nanciers du cédant. De tels schémas étant susceptibles d'engendrer de sérieux confl its fami-liaux, notre rôle consiste à éclairer ses choix en fonction des différents paramètres.A ce sujet, rappelons que la transmission d'une entreprise ne s'improvise pas. Pour qu'elle ait toutes chances de se dérouler dans un climat apaisé, il est indispensable de commencer à se poser ce genre de questions bien avant l'échéance. »
AVIS D'EXPERT
VOTRE STRATEGIE L'EXPERTISE GESTION PRIVEE
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12 COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82
Chaque année, des milliers d’entre-
prises sont acquises ou vendues
à l’international. Nombre de ces
opérations sont effectuées dans des
environnements familiaux. En France en 2008, un
quart des acquéreurs réalisait un chiffre d’affaires
inférieur à 250 millions d’euros et 88 % des socié-
tés acquises à l’international par des entreprises
françaises avaient un chiffre d’affaires inférieur à
100 millions d’euros.
Pour accompagner leurs clients sur ces opé-
rations dites « de petite et moyenne tailles »
– entre 2 et 80 millions d’euros –, les Banques
Populaires s’appuient sur l’expertise de leur filiale
Pramex International.
Un spécialiste localDéfinition de la stratégie, recherche de la cible
à acquérir ou acquéreuse, négociation, due dili-
gence, valorisation, préparation documentaire,
closing, intégration des contraintes juridiques
locales… sont, parmi d’autres, autant d’éléments
à maîtriser pour assurer la réussite de l’opéra-
tion. Grâce à son intervention très en amont,
dès la phase de conseil, et aux échanges avec la
Banque Populaire, Pramex International dispose
d’une vision globale des besoins de ses clients. Sa
présence, à la fois en France et dans quinze pays
à travers le monde, assure au client de bénéficier
d’un accompagnement au plus près du terrain
et d’un accès privilégié aux informations locales.
Cette organisation en équipes mixtes franco-
locales facilite l’aboutissement des missions
dans des contextes locaux souvent complexes
et spécifiques. « Nos spécialistes, présents in situ, mettent leur carnet d’adresses à la disposition des clients. Ils connaissent parfaitement la culture, la législation, les contraintes du pays et peuvent, le cas
échéant, s’appuyer sur notre réseau mondial de par-tenaires, banquiers, avocats, fiscalistes ou notaires », explique Alexis Hermann, directeur de la direc-
tion Corporate de Pramex International. Lors
de l’acquisition d’une entreprise italienne, les
équipes de Pramex International en Italie ont
ainsi étroitement assisté l'acquéreur, une entre-
prise bourguignonne distributrice de casques de
moto, sur les négociations avec la cible et le mon-
tage du dossier. Enfin, de par ses compétences,
Pramex International a développé une offre de
Post Merger Integration (PMI) et peut aussi, pour
les clients qui le souhaitent, prendre en charge
la gestion des structures implantées, une fois la
transaction réalisée.
Un projet de cession ou d’acquisition à
l’étranger requiert anticipation et
professionnalisme. Pramex International
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avec Pramex International : une conférence-
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COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 13
Ingénierie sociale : du nouveau à l’hôpital
«Il y a trois ans, le mode de financement des hôpitaux a été complètement modifié : notre budget est désormais calculé en fonction de notre activité
réelle et nous devons maintenir notre équilibre économique. Dans ce contexte, notre personnel est le meilleur garant de notre performance et donc de la pérennité de l’établissement », explique Hervé
Valérian-Bessac, le directeur des ressources
humaines du Centre Léon Bérard, centre lyon-
nais de lutte contre le cancer. Pour inciter les
salariés à rester dans l’entreprise et attirer les
talents, l’établissement a, ces dernières années,
totalement revu sa politique sociale et salariale.
« Parmi nos actions phares, nous avons notamment
créé une crèche pour les enfants du personnel. Nous avons aussi, en 2006, signé un accord d’in-téressement aux résultats, auquel a été adossé un plan d’épargne entreprise (PEE). Un outil entière-ment nouveau pour nos collaborateurs ! »
Du compte épargne temps au PercoParmi plusieurs prestataires proposés par la
direction, c’est Natixis Interépargne qui a été
choisi par la commission paritaire des organi-
sations syndicales pour gérer le dispositif. « La clarté des frais de gestion et la disponibilité de nos interlocuteurs de la Banque Populaire Loire
et Lyonnais pour expliquer le système au per-sonnel ont été particulièrement appréciées. Puis, lorsque les premiers comptes ont été ouverts et les premiers versements effectués, nous avons pu tester la fiabilité et la rapidité du service. C’est pourquoi lorsque nous avons souhaité, cette année, mettre en place un plan d’épargne retraite col-lectif (Perco), nous avons de nouveau fait appel à Natixis Interépargne », poursuit le directeur des
ressources humaines. Ce Perco, sur le point
d’être signé, sera un moyen supplémentaire
de renforcer l’attractivité de l’entreprise et de
fidéliser les salariés. « Ce plan répond aux préoc-cupations des plus de 40 ans sur leur retraite. Mais en plus, grâce à la possibilité de débloquer les fonds
en cas d’acquisition de sa résidence principale, il peut séduire les plus jeunes qui ont un projet en ce sens », estime Hervé Valérian-Bessac.
Les salariés pourront y déposer leur intéresse-
ment, y faire des versements volontaires, mais
aussi y basculer jusqu’à dix jours par an de leur
compte épargne temps. Une possibilité qui
devrait vraiment inciter le personnel à épargner,
d’autant que le centre a décidé de bonifier de
20 % la valeur financière de ces jours versés
sur le Perco. « Nous disposons désormais d’une offre d’ingénierie sociale très en avance sur nos concurrents, conclut-il. Je suis optimiste sur son efficacité. »
Le Centre Léon Bérard, à Lyon, est l’un des vingt centres français de lutte
contre le cancer. Ses 1 200 salariés
bénéfi cient depuis peu d’un solide dispositif d’ingénierie sociale,
comprenant notamment un PEE et un Perco
gérés par Natixis Interépargne. Une
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hospitalier !
VOS SALARIES
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VOTRE PATRIMOINE
14 COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82
DANS SYNTHÈSES #94Synthèses est la publication de la Banque Populaire Gestion Privée. Dans le numéro 94, retrouvez un dossier dédié aux retraites.
Rémunération des managers : la voie royale du management package
Banque Populaire Gestion Privée
ÉDITOVolorroriam que eum, officipsam, quatiae ces-ciat volor sinullam aut expliquas maximag nita-tur sitas nulparc hilita doluptas dolori ulpa verumqui berspicipit et hariat alit ipienda ndan-dis etum cum conse-quodit esent iume hente vellent. dequia custem que illaborerum, sus dolor soptas volupta ssimpos alique volupta qui blaborro expel iur.Uptatem coreser unti-aecepro dolorit aspera-tur, nobitad quis esed quis de optas volupta ssimpos alique volupta qui blaborro expel iur.Uptatem coreser unti-aecepro dolorit aspera-tur, nobit bis as re dolup-tatur, si optas volupta ssimpos alique volupta qui blaborro expel iur.Uptatem coreser unti-aecepro dolorit aspera-tur, nobit id et et re asit harisi voluptatem adis estrumetur.
N°94HIVER 2010
www.gestionprivee.banquepopulaire.fr
RETRAITES : PRÉPARER SON AVENIR ET CELUI DE SES PROCHES
Dans le but de les motiver, de les fidéliser
et surtout de les associer à la création
de valeur liée à leur travail, de plus en
plus de dirigeants salariés bénéficient
d’un management package. Cet anglicisme désigne
les conditions financières globales dans lesquelles le
manager va être intéressé à la réussite de l’entre-
prise qu’il dirige. En effet, le management package fait
figure de dispositif idéal pour permettre aux mana-
gers de récolter les fruits de leurs compétences par
le biais d’une participation aux plus-values générées.
C’est la raison pour laquelle cette pratique devient
de plus en plus fréquente, en particulier dans les
entreprises détenues par des fonds d’investissement
désireux d’attirer les meilleurs talents ; l’accélé-
ration de la compétition sur le marché des LBO,
notamment, a entraîné un fort développement de
ces plans d’intéressement personnalisés.
Dans la mesure où il est essentiellement basé sur
l’achat par le dirigeant de titres de la société qu’il
dirige, le principe du management package est
simple. Sa mise en œuvre s’avère en revanche plus
complexe, car elle repose sur des mécanismes par-
fois appelés à se cumuler : actions de préférence,
obligations convertibles ou encore bons de sous-
cription d’actions.
L’offre spécifique de la Banque Privée 1818Sophistiquées et portant sur des espoirs de gain de
plus en plus élevés, ces opérations financières ont
conduit les managers concernés à professionnaliser
leur approche du sujet. La plupart d’entre eux choi-
sissent désormais de s’entourer d’experts de cette
problématique, aptes à apporter une vision à la fois
globale et patrimoniale. La Banque Privée 1818, qui
fait partie du groupe BPCE, développe une offre
spécifique dans ce domaine.
Elle propose tout d’abord aux dirigeants de les
accompagner dans la négociation de leur manage-
ment package. Volumétrie de titres, dispositifs utilisés,
seuils de déclenchement, garanties d’accès à la liqui-
dité en cas de plus-value, conditions d’exercice en cas
de départ anticipé… autant de sujets cruciaux pour
lesquels la banque apporte son expertise. Au-delà de
la définition économique et financière de l’opération,
elle s’appuie sur des avocats conseils rompus à la
validation des aspects juridiques et fiscaux de ce type
de montage.
Le coût des titres acquis par le dirigeant étant signifi-
catif (généralement entre un et deux ans de salaire),
La Banque Privée 1818 se positionne également sur
l’offre de financement des management packages
à travers des prêts bancaires. Situées à la frontière
entre le prêt personnel et le prêt corporate, ces
opérations exigent, elles aussi, une approche de pro-
fessionnels de la gestion de patrimoine.
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Outils d’intéressement
personnalisés, les management
packages permettent aux
dirigeants salariés de tirer profi t de la réussite
de l’entreprise qu’ils dirigent.
Ils reposent essentiellement sur un achat de
titres et, pour être pleinement
effi caces, doivent être conçus
dans le cadre d’une stratégie
patrimoniale globale.
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LE CLUB
COCKPIT | LE MAGAZINE DES ENTREPRENEURS | HIVER 2010 | #82 15
« Partez à la rencontre de ceux qui font les beaux
projets de nos régions ! » Telle est l’accroche
d’un nouveau programme proposé depuis
le 17 octobre sur M6, en partenariat avec la
Banque Populaire. Présenté chaque jour (sauf le samedi) par
Stéphane Rotenberg vers 19h45 jusqu’à la fi n de l’année 2010,
ce rendez-vous nommé « Un projet, une équipe » donne la
parole, pendant quelques minutes, à des personnes ayant
mené à bien leur projet. Parmi tous ces témoignages, on
retrouvera bien sûr de nombreux entrepreneurs, comme par
exemple Julie et Mélanie Khim, les deux fondatrices de la ligne
de produits de puériculture Mum On The Go ; le 19 octobre
dernier, M6 a en effet diffusé un reportage sur ces deux
sœurs chefs d’entreprise en région parisienne depuis 2008.
Parallèlement à la diffusion quotidienne sur la chaîne, un concept
original et novateur de web
documentaire vient renfor-
cer le dispositif. En plus du
programme court de la veille
proposé dans son intégralité,
les internautes ont accès à
des vidéos complémentaires
sur le projet présenté, à une
interview du conseiller ban-
caire, à des conseils, des fi ches
pratiques, des témoignages... Ils
peuvent également naviguer librement en choisissant leur
point d’entrée par région, par projet ou par thématique.
Retrouvez tous les programmes déjà diffusés sur :www.unprojet-uneequipe.com
Organisée en partenariat avec
Euro Performance le 23 sep-
tembre dernier à la Bourse de
Paris, la 25e édition des Corbeilles
du magazine Mieux vivre votre argent a fait
la part belle à la Banque Populaire dans la
catégorie « Banques grand public », c’est-à-
dire disposant d’un réseau d’au moins 100
agences sur le territoire national.
La Banque Populaire a décroché la 3e Corbeille
d’or pour la performance de sa gamme sur un
an, ainsi que le prix de la meilleure Gamme
Actions sur un an.
Natixis Interépargne, leader du marché
français de l'épargne salariale et filiale à
100 % de Natixis, s’est par ailleurs vu décer-
ner à cette occasion la 3e Corbeille de
l’Épargne salariale sur cinq ans. Ces trois
récompenses viennent donc distinguer les
performances des fonds (OPCVM et FCPE)
gérés par Natixis Asset Management et com-
mercialisés par Natixis Interépargne ou via
le réseau Banque Populaire.
(Source : Mieux vivre votre argent - 10/2010)
Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les perfor-mances passées ne sont pas un indicateur fi able des perfor-mances futures. Les références à un classement, un prix ou à une notation d’un OPCVM ne préjugent pas des résultats futurs de ce dernier.
Diffusé chaque jour du 17 octobre au 26 décembre 2010, un nouveau programme court de la chaîne M6 met en lumière des personnes ayant mené à bien, avec l’aide de leur entourage, un projet personnel ou professionnel, tel que la création d’une entreprise.
« Un projet, une équipe »
M6 et la Banque Populaire donnent la parole aux hommes et femmes de projets
Prix Corbeilles 2010
La Banque Populaire multi-récompensée aux Corbeilles 2010
Pour en savoir plus :www.am.natixis.com
BANQUE POPULAIRE, PARTENAIRE D’« UN PROJET, UNE ÉQUIPE » SUR M6
STÉPHANE ROTENBERG PART À LA RENCONTRE DE
CEUX QUI FONT LES PLUS BEAUX PROJETS DE NOS RÉGIONS !
UN PROJET, UNE ÉQUIPEdiffusé à partir du 17 octobre 2010 vers 19h45 sur , et présenté par Stéphane Rotenberg.
Rendez-vous surwww.unprojet-uneequipe.com
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