Le nostre poesie
Primo concorso di poesia
IS Luigi Barone Verrès
A-.S. 2012/13
Le nostre poesie
Primo concorso di poesia
IS Luigi Barone Verrès
A-.S. 2012/13
Atelier d’écriture 3B
Atelier d’écriture : Co-pillage
Création de poèmes pour retrouver ses propres sentiments, ses
propres émotions et ses propres visions dans le tableau « Les
Nymphéas » de Claude Monet.
Objectifs :
rompre avec le « J’ai pas d’idées, je ne peux pas écrire » ;
faire comprendre que les mots d’autrui éveillent nos émotions et nos idées ;
donner le courage pour oser (s’) écrire.
Démarche :
invitation à la lecture de poèmes mis à la disposition des élèves (Edmond de Rostand, Arthur
Rimbaud, Baudelaire, Henry de Régnier, Leconte Lisle) ;
lecture de repérage de mots, de phrases qui interpellent les élèves ;
construction de réservoir de mots et mise en commun ;
écriture d’un texte poétique commun et de textes poétiques personnels.
Les Nénuphars Frissons
Dans une eau frissonnante, La lumière de la lune divine à travers des ondulations majestueuses et
lentes, Brille parmi les constellations. des Nénuphars blancs, des fleurs vivantes. La tige des fleurs
parfumée A l’horizon, le ciel chuchote ses rayons dorés : Frissonne dans l’eau. (Wiam) Il allume le
jardin mouillé. (Céline)
Le Bohémien Les troupeaux
Un homme souffrant la somnolence Des troupeaux de nénuphars S’étend sur un mont divin.
Broutent dédaigneux les feuilles Il pousse un soupir géant sur les constellations. Qui s’égouttent.
Un météore lui sourit: La rosée émane une odeur de fraicheur. La joie mousse. Un flux froid pleut
Son écho résonne dans les mers de la montagne. (Hamza) Sur un paysage majestueux. (Singh)
La nuit
La nuit, tout est ténébreux. Les petites flaques semblent des océans profonds, L’innocent colibri le
corbeau le plus morne, Le vent qui frissonne dans les glaïeuls un confus appel de mort. La nuit met
fin à la clarté/consume la clarté : C’est la source de nos peurs. Heureusement, on dort. (Alex)
La folie du ciel
Des flammes frissonnent, Des vapeurs flottent. La lumière éclaire follement le ciel. Il est des
parfums riches et triomphants… On rêve doucement. (Tatiana)
Mon étang Floraison
Je connais un trou de verdure Au printemps, Où remue un étang. Les épis se dressent sur la terre
humide, Mon cœur se noie Les pétales des glaïeuls éclatent dans l’herbe, Dans ce calice d’eau
vivante. De blancs nénuphars se balancent sur l’eau, Les rayons du soleil Tels que des haillons
d’argent. (André) Envahissent la chevelure des arbres Et allument la beauté des nymphéas Et des
colibris bariolés. (Valeria)
Avec toi La vie nocturne
On est dans le ciel, D’un bois ténébreux, Entourés de gros bœufs blancs. A travers des voiles de
vapeur, Le soleil nous parle Emerge la constellation des nymphéas. Avec ses flammes implacables.
J’entends picoter : L’eau dorée remue majestueusement C’est l’air humide d’une nuit incroyable.
Les nénuphars sur leurs lits verts. (Marco) Les colibris s’éveillent dans l’ombre. (Domenico )
Les nébuleuses Les oiseaux
Des glaïeuls poudreux Un colibri picote minutieusement Flamboient de splendeur : Sur un pilier
vert. Ce sont des nébuleuses. L’eau tranquille de l’étang Ces fleurs pleines de joie et d’amertume
Apaise l’âme : Rendent l’homme heureux Tout se tait. Comme avec une femme. Mon esprit bat des
ailes La vie fleurit. (Simone) Comme les oiseaux migrateurs. (Andrea)
Les yeux clos Depuis la fenêtre
Les yeux clos, dans mon lit, L’air parfumé baigne ma tète : Je fais un somme : Je goûte la surface
lisse de l’étang Je vois tomber Illuminée par le bleu de l’été. Une ombre imperceptible de ciel. Ce
sont des haillons d’argent Le faîte de l’arbre Qui s’étirent divins. Remue dans le vent. Dans les
jardins frais et dormants Je pense à la vaste étendue de rosée : La brise innocente Un frisson
parcours mes pieds. Murmure des paroles sublimes Mon âme s’effondre Et caresse mon visage.
(Maria Luca) A la pensée d’un soldat Qui marche dans le soleil de sa vie. Un fier colibri vole Dans
le ciel infini. Demain matin, je me réveillerai : J’épierai derrière les rêves. Ce soir, je me
rendormirai. (Giada)
Nuit d’été Les nuits bleus d’été, les enfants Jouent, les pieds dans les glaïeuls, Dorment , les mains
sur la poitrine. Les parfums, les couleurs et les formes divines Charment les rêves Au bord des
ravines. (Carmen)
Terre sacrée
Le soleil chauffe la somnolence. Vaste comme la nuit et comme la clarté, La Terre est assoupie en
sa robe de feu. Blanche mère des visions : Les colibris fleurissent frais et dormants, Les fleurs
sourient comme souriraient Un enfant malade. (Nadia)
Forêt de symboles
Les blancs nénuphars, A la beauté fière, Tissent une pluie de lumière furtive. Les soirs bleus d’été,
Un calme ténébreux Couronne l’étang. Des parfums triomphants Picotent les narines. Le
bourdonnement des libellules Laisse sortir de confuses paroles. (Serena)
L’infini
Un amour infini pleut Sur la flamme de la lumière Qui va mourir à l’horizon.
La lune et son essaim d’étoiles Offrent à la nuit la douceur D’un sourire profond mais implacable.
(Stefania)
Le feu des fleurs
De superbes nénuphars Sur l’eau frissonnante, Conductrice innocente, S’offrent souriants.
Les soirs bleus d’été, Dans un essaim d’ étoiles, L’air parfumé, habillé de feu, Remplit mon âme
d’amour infini.
Séduite par la clarté de la lune, Je laisse le vent baigner Mon esprit brûlant. (Sylvie)
Nature
Les hauts sommets des montagnes Rendent le soir follement sombre. Les frais colibris bleus Volent
dans le ciel lumineux d’étoiles. Les nénuphars blancs Flottent sur l’eau brillante, Dans le jardin
mouillé. L’air est parfumé de bois et de musc. (Gaia)
Les sens
J’aperçois un sentier Dans la forêt sombre. Des nénuphars reposent Comme des nuages. Je sens un
air léger et parfumé, J’entends le bruissement des eaux souterraines. Je lève les yeux : Une
constellation de colibris Eclatent de brillantes couleurs. A mes côtés, Des glaïeuls et des épis très
doux. Je suis heureuse, je suis l’horizon. (Alessia)
Le poesie della 3°
“Il leone politico”
Il leone, re della savana,
sempre servito dalle leonesse
sempre sdraiato sulla sua roccia,
fa la stessa vita del politico,
servito dai cittadini,
sempre seduto sulla sua poltrona
a non far niente.
Stefano Bianco; 3 A
Sempre di Stefano:
Oh mia cara nonna,
vecchia ma saggia
come l’albero più grande della foresta
hai visto molte cose.
Sempre la 3° A
Ora una di Valeria Solari:
Al nonno.
Di Valeria S.
Caro nonno,
ormai sei così distante,
ma sono forte.
Grazie ai bei ricordi
che mi hai lasciato.
Come il vento,
sei stato portato via
da me
ma tutte quelle cose
fatte insieme
mi riportano il sorriso.
Aurora.
Di Federica Billi.
Aurora mia Aurora
il tuo nome è semplice
e dolce come una rosa.
Quando penso a te
qualsiasi giornata scura
diventa radiosa.
Tu sei un colore, l’oro,
perché sei preziosa e brillante
come lui.
E’ lei la ragazza,
la ragazza della primavera,
ogni fiore del prato quando
passi tu canta e mostra
i suoi colori in tuo onore.
Il tuo dolce profumo
di vaniglia
riesco a riconoscerlo
tra mille persone, perché solo tu
porti profumi così
buoni e dolci.
Le poesie della 2C
Eleonora
Spero che tu sappia quanto mi manchi
Lasci vuoti nel mio cuore
Lasci lacrime , soltanto i ricordi passati insieme portan via…….
Ma cambierà armonia ci sarà una nuova rima
E ci sarà…dentro te e dentro me un sentimento che non si romperà mai….
Ci sarà una felicità che ti renderà felice per sempre.
Vorrei sorridere per te ,ma non so se tu lo sai che per me la tua perdita è un dolore…..
Ma i tuoi sorrisi troppo forti e coraggiosi sai per me…..
Non morire adesso solo per un pianto
E ci sarà…dentro te e dentro me un sentimento che non si romperà mai…..
Ci sarà una felicità che ti renderà felice per sempre.
Pensami e non dimenticherai quant’è l’amore che tu sai ….. CHE SEI ANCORA QUI…..
Il mio cuore non ti dimenticherà mai ….
Questo dolore lo sciolga il cuore ,come sa fare con altre cose ….
E ci sarà…dentro te e dentro me un sentimento che non si romperà mai….
Ci sarà una felicità che ti renderà felice per sempre.
Per sempre…….
Filippo
A VOLTE LE TASSE SI ALZANO
E NOI ABBIAM MENO SOLDINI
LO SAI COSA INTENDO SE DICO
CHE A TUTTA C’è UNA SOLUZIONEEEE
E TUTTE LE LUCI SI SPENGONO
MILIARDI DI SOLDI SI ABBASSANO
ED ENTRANO A RITMO DI UN BATTITO, DI UN BATTITO,DI UN BATTITO
E SOTTO I MIEI PIEDI C’è MONTI
E SULLA MIA TESTA C’è INGROIA
E IO VIVO PROPRIO NEL MEZZO DEGLI EVASORI FISCALI
DOVE SUONAN LE BANCHE
E RIDIAMO DI BERSANI
E IO ODIO I POLITICI
SI SPERIMENTANO ARMI
PER UCCIDERLI TUTTI
DOVE SUONA BERLUSCA,
E I PORTAFOGLISI SUOTANO
E LE TASSE SI PAGANO
E LE TASSE SI PAGANO
SIAM SEMPRE NOI CHE PAGHIAMO
CI LASCIANO SENZA SOLDONI
A VENDERE LE NOSTRE COSE
IN CERCA DI NUOVI LAVORI
E C’è SEMPRE UN GRAN SOLE A SORPRENDERCI
NELL’INDIFFERENZA DI GRILLO
CHE TRA POCO MUORE DAGLI URLI,
CON LA FACCIA DA PAZZO
E SOTTO I MIEI PIEDI C’è MONTI
E SULLA MIA TESTA C’è INGROIA
E IO VIVO PROPRIO NEL MEZZO DEGLI EVASORI FISCALI
DOVE SUONAN LE BANCHE
E RIDIAMO DI BERSANI
E IO ODIO I POLITICI
SI SPERIMENTANO ARMI
PER UCCIDERLI TUTTI
DOVE SUONA BERLUSCA,
E I PORTAFOGLISI SUOTANO
E LE TASSE SI PAGANO
E LE TASSE SI PAGANO
E LA FORZA SI AMPLIFICA
ED IL SANGUE SI MESCOLA
E CASINI è UNA TRAPPOLA
MICA SEMPRE PEROOOOO
QUALCHE VOLTA TI LIBERA,
DALLO STAR TROPPO BENE
E TI VIEN VOGLIA DI PRENDERE UN FUCILE E SPARARGLI IN TESTA MAAAA
SOSTANZA PURISSIMA,
CHE TI CHIAMI CERVELLO
E CI FAI VENIR VOGLIA DI VIVERE FINO ALL’ULTIMO ATTIMOOO,
E C’è MONTI CHE RIDEEE
NELLA TERRA DEGLI UOMINI
E C’è UN POSTO PER CHI TI SORRIDE DA UN ANGOLO
FINO ALL’ULTIMO ATTIMO
FINO ALL’ULTIMO ATTIMO
FINO ALL’ULTIMO ATTIMO
OOHHHHHH.
Le poesie della seconda B
Iman B.
Tu non sai niente, su di me, su di te
solamente che, tu non sei come me.
Tu non cambierai, mai poi mai, mai poi mai.
C’è qualcosa che, io vorrei, io vorrei.
Pensa a quel che vuoi, ma non scordarti mai
di quel che non c’ è stato fra di noi, fra di noi.
io provo a parlarti, ma tu pensi ad altro,
per esempio solo a te, solamente e solo a tè.
Sono così stufa, che non saprei veramente,
cosa fare e cosa dire.
Io sto qui con te, ma tu non ascolti mai
quel che dico o quel che canto.
Io urlo e grido, ma tu non mi ascolti mai.
Io urlo e grido, ma tu non cambi mai, mai e poi mai.
Sono molto stanca, più stressata e ancora stressata
Dimmi ora che devo fare, devo fare , devo fare?
Pensa alla le lealtà, quella che ricorda me.
Apri la tua mente, per sentirti ancor più te.
Tienimi all’oscuro, di ciò che riderai
o quello che dirai su di me ,su di me.
Cosa devo fare, con te che sai pensare,
solo quel che ti pare e soltanto quel che ti appare.
Sono cosi stufa, che non saprei veramente
cosa dire e cosa fare .
io parlo con te, ma tu non cambi mai, poi mai, poi mai.
Io parlo e grido , ma tu non ascolti mai.
Io urlo e grido, ma tu non cambi mai, mai e poi mai.
Io urlo e grido ma tu non cambi mai
Io urlo e grido ma tu non cambi mai
Io faccio quel che voglio
Io faccio quel che voglio
L’amicizia
L’amicizia è una cosa che
può servirti in ogni occasione,
è quella goccia essenziale
che ti fa sentir speciale
L’amicizia è una cosa che
non si può più scordare
come un gelato che al sole
non si può squagliare
E quando tutto sembrava
ormai perso
io parlavo con te
E quando tutto sembrava
ormai buio
invece ho capito che
Tu sarai l’amica mia
la mia forza, il mio coraggio
sorelle e amiche comunque nessuno mai
ci dividerà
Tu sarai l’amica mia
la mia compagna
d’avventura
la mia gemella
Che condivide
tutto con me
con me
L’amicizia è una cosa che
non ti devi lasciar
rubare
sentire come ci si sente
quando qualcuno ti
vuole bene
Quando tutto sembrava
ormai perso
io parlavo con te
E quando tutto sembrava
ormai buio
invece ho capito che
Tu sarai l’amica mia
la mia forza, il mio coraggio
sorelle e amiche comunque nessuno mai
ci dividerà
Tu sarai l’amica mai
la mia compagna d’avventura
la mia gemella
il mio angelo custode…
La mia compagna d’avventura
la mia gemella
il mio angelo custode
con te
CON TE
Tu sarai l’amica mia
tu sarai l’amica mia
tu sarai l’amica mai
per me
sempre per me
F.Nancy e P.Marie-Claire
Le poesie della terza G
Le Monde
Le ciel ètait trop bleu, trop tendre,
la lune blanche,
La mer trop verte et l’air trop doux,
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles….
L’ hiver a cessé: le lumiere est tiéde
L’ aissez-la s’apaiser de la bonne tempete,
Et que je dorme un puisque vous reposez.
Le vent du matin vient glacer à man front
Voilà ma raute avec le paradis au baut
Voici mon coeur qui ne bat que pour vus.
Qui vienne l’ été! Que viennent ancore
L’automne et l’hiver!
Votre voix me dit:” Marche encore!”.
di A.M. 3G
Le reflet de la nuit
la nuit brune regarde la lune
elle nous a réunis dans la joie
l’automne et l’hiver la délasseront
la lune sera décorée par fantasie et raisons
l’amour chantera pour elle toute la nuit
et son coeur infini tombera sur sa triste voix
3G A.A.
LA DANSE DE LA LUNE
les roses étaient dans l’ombre,
le ciel était trop bleu, trop tendre,
le vent du matin vient glacer à mon front,
nul bruit, calme, dans la nuit brune.
La lune noire descend de ce silence profond,
et danse dans ton coeur,
ton immense joie retournera
et s’épandra dans l’air.
3G N.F.
Ed infine le Prime
B. Sophie
MARTINA L’APE REGINA
C’era una volta Martina
una coraggiosa ape regina
che viveva in una reggia gialla
a forma di palla
un giorno i calabroni
che erano abili guerrieri ma stupidoni
decisero di attaccare la reggia gialla
e di rubare il miele in una scodella
ma Martina che era assai coraggiosa
li attirò in una vicina rosa
con il suo esercito ben organizzato
e sulla testa il suo caschetto posato
in una battaglia li sconfisse
e quella fu l’apocalisse:
dopo tanti anni di sottomissione
i piccoli trionfarono col pungiglione.
La fine dell’anno
Quest’anno è ormai finito
E son rimasto stupito
A giocare a palla a volo
Ho piantato un gran volo
Per colpa di Martina
Che faceva la leoncina.
Questa classe è disatrosa
Perché non scrive mai in prosa
Preferisce la poesia di qualunque tipo sia.
Ora dobbiamo chiamare un muratore
Per colpa di Russo il trivellatore.
A causa di un cagnolino
Sassi è salito su un tavolino
Con tutti i professori che ci sono
Ho ricevuto un solo dono:
Una buona caramella
Con sapore di cannella.
La materia grigia è in parte uscita
E l’anno prossimo sarà ormai finita
La pagella sta per arrivare
Sento già il mal di mare!
Son contento di partire
Per potermi divertire.
OMBRETTA LA CAVALLETTA di Manila
Ombretta la cavalletta
che é un po’ piccoletta
odora saltare
ma sopratutto cantare.
Ombretta é un po’ gelosina
della sua sorellina.
Lei adora andare in bici
con tutti i suoi amici.
Lei porta allegria
dovunque essa sia
tranne a sua zia
che soffre un po’ di pazzia.
E per finire Ombretta
torna a casetta
e dopo aver giocato
fa un sonno ben dotato.
OMBRETTA LA CAVALLETTA. Di Miriana C.
Ombretta la cavalletta
amava viaggiare con la sua cuginetta,
amava cantare e ballare,
ma anche suonare e scherzare.
Amava studiare con Marameo,
il suo fedele amico scarabeo.
Amava annusare il profumo dei fiori,
che erano profumati e di mille colori.
Amava un sacco andare in piscina,
con la sua amica l’Ape Regina.
Amava giocare con la sua palla
che era molto morbida e gialla.
Amava mangiare la colazione
che gustava con molta attenzione.
Amava saltare sul prato
che era sempre verde e delicato.
La sua amica la formica
lavorava senza fatica,
mentre lei che non amava pulire
se ne stava tutto il dì a dormire.
Di Erjia N.
Martina l’ape regina
svolazzava la mattina
su pei monti, giù pei prati
sopra i fiori colorati!
L’ape mangia a più non posso
nettare di un fiore rosso rosso
poi ritorna all’alveare
e comincia a lavorare.
Produce miele di cui l’orsetto
va ghiotto, ghiotto il piccoletto.
Martina l’ape regina
svolazzava la mattina
su pei monti, giù pei prati
sopra i fiori colorati!
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