[email protected] . architecte diplome dtat
p.f.e. 2009.2010 . carnet de recherches . ensa lyon
Ple de distribution habit
3.149
Sommaire Ple de distribution habit 1
p.f.e. Synthse et planches 5
Carnet de recherches 21
Grand Lyon ? 23Sites de projets 33Problmatique 41Processus de projet 47Projet 121
Enseignants
Christophe WIDERSKI, Mathilde DUTILLEUL, Anthony JOYEUX, Mathieu LAMOTTE. Intervenants : Pierre JANIN, Karim BETTICHE, Sylvaine BULLE, Herv LEQUAY.
Atelier : Architecture, Stratgies et Pratiques AvancesMaster Stratgies pour le Dveloppement Durable et quitable, Anne scolaire : 2009 . 2010cole Nationale Suprieure dArchitecture de Lyon
p.f.e. synthse et planches
Des ples de faits...
Les espaces de la grande distribution contribuent aujourdhui structurer le territoire. Il reprsentent un masse significative demplois et jouxtent souvent de grandes fonctions urbaines qui polarisent de nombreux dplacements (universit, hpitaux, stades, etc.).
Ils sont devenus des lieux de rfrence de vie quotidienne, limitant parfois aux pri-urbains la ncessit du recours au centre-ville.
Mais comme leur dveloppement sest fait au coup par coup, ils sont accuss par tous de bien des maux.
Dans un contexte o la prise en compte de lenvironnement devient une priorit, leur fonctionnement et rentabilit, bas sur lusage de lautomobile, est mis mal. En plus dtre consommateurs despace outrance, ces aires sont sectorises et trs peu structures, en bref, dpourvues de qualits urbaines et architecturales.
Ce sont des polarits temporaires contraintes par les horaires douverture des magasins. Les PLU contribuent dailleurs souvent conforter la vocation de ces grandes aires conomiques et commerciales.
pfe . synthse et planches
7.149
habiter les ples dconomies centres historiques
porte des alpes
porte de lyon
le prollier
st genis 2
givors giers
caluirebeynost
0 10 km
rseau autoroutierrseau viaire
ferroutage 2 chelles
rseau autoroutier
tram T et arrts
rseau ferrovire
influence des arrts
inscription rseau TCL
espaces pitonniers
liaisons pitonnes
arodrme
2
3
1
1
1
3
2
A43
gare mixte renault trucks
aerodrmebron
entrept tcl
saint priest
boulevard urbain-est
en construction
rocade est
priphrique est
mtro D
tram t2
0 400 m
pfe . synthse et planches
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rseau autoroutierrseau viaire
ferroutage 2 chelles
rseau autoroutier
tram T et arrts
rseau ferrovire
influence des arrts
inscription rseau TCL
espaces pitonniers
liaisons pitonnes
arodrme
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A43
gare mixte renault trucks
aerodrmebron
entrept tcl
saint priest
boulevard urbain-est
en construction
rocade est
priphrique est
mtro D
tram t2
0 400 m
... potentiel de renouvellement
Leur attractivit mtropolitaine pourtant, tablie, la conjoncture actuelle semble en faveur de leur restructuration et offrent un champ daction trs propice au renouvellement urbain et architectural.En effet, mme si 70% du chiffre daffaire des commerces est issu des aires pri-urbaines, les grand distributeurs se proccupent de linfidlit croissante de leurs clients.
Les hypermarchs, et leurs galeries commerciales sont devenus obsoltes et sont attaqus sur tous les fronts . Retour en force du commerce de proximit, la recrudescence de la distribution spcialise et du hard discount, le dveloppement du e-commerce, les magasins de plus petit formats et le tout couronn par la gnralisation une prise de conscience environnementaliste.
Les oprateurs commerciaux ont dj pris conscience de ces profondes mutations venir. Ainsi, de nouveaux concepts mergent de leur ct, tentant de rpondre au dcalage avec lvolution des modes de vie : Le Fun ou Experience Shopping viennent placer les centres commerciaux comme forme complmentaire au e-commerce
Aux tats-Unis, certains promoteurs conscientisent dj des limites du modle de Retailtainment, qui proposent toujours des ambiances gnriques. Ils ont dvelopp des modles de petites villes dont une des plus connues est Seaside (o a t tourn le film The Truman Show)
Malgr sa perte de vitesse actuelle, la grande distribution nest donc pas en panne de nouveaux concepts.
Des projets venir.
Ainsi, confronts lessoufflement de lhypermarch, modle traditionnel de la grande distribution, les grand groupes privs, propritaires des zones commerciales, peuvent rejoindre les proccupations des pouvoirs publics, donnant lieu lmergence de nouveaux partenariat publics/privs.
Pour viter que les nouvelles typologies de centre commerciaux sinstallent ailleurs, nouveau sur le coup dopportunits foncires, bouleversant lhistoire de la ville de faon parfois brutale, et en gnral pour limiter ltalement urbain, il est ncessaire daugmenter lintensit urbaine de ces espaces dj btis.
Bien localiss par rapport aux bassins dhabiter et aux rseaux de transports collectifs existants, les grand groupes ont tout gagner rester sur le site, et pour les autres points positifs voqus prcdemment, ces aires peuvent rpondre aux besoins en quipements proches pour de futurs habitants Cependant, le paysage complet de ces zones restent rinventer.
Ainsi, en accompagnant la mutation de lhypermarch in-situ, le projet de fin dtudes tentera de rpondre la problmatique : comment intensifier les zones commerciales priphriques en les rendant habitables ?
Le projet consistera en un plan guide pour la transformation progressive et opratoire dune zone commerciale en une vritable polarit spcificit de logistique commerciale, une polarit dconomie et dhabitat.
pfe . synthse et planches
11.149
Projet de ngociation entre sphre publique et sphre prive, il sappuie sur les dynamiques de grande distribution actuelles pour accompagner sa mutation in-situ sous des formes architecturales contemporaines. Elles sont compltes par des espaces publics et une plus grande varit de programmes. Ainsi, les surfaces commerciales sont valorises et la ncessaire habitabilit du site se met en place.
tant donn le contexte infrastructurel du site et sa position par rapport lhyper-centre de la mtropole, le principal changement programmatique rside dans le dveloppement du volet logistique et stockage pour le groupe propritaire.
Intgrer du logement permettra dviter de reproduire les effets de sectorisation et de polarit temporaires que lon trouve toujours dans les centre commerciaux de nouvelle gnration Shopping-Loisirs du type Valle-Village de Val dEurope Marne-la-Valle...).
Le projet rclame un changement de regard sur ces espaces devenant dimmenses rserves foncires, et lacceptation de leur propritaires comme ayant leur place dans la ville et sa construction contemporaine.
13.149
15.149
17.149
19.14919.149
Membres du jury
Sylvaine BULLE : Sociologue, Enseignante lcole darchitecture de Paris Val de Seine et lEcole des Hautes Etudes en Sciences Sociales
Joan CASANELLES : Architecte, Enseignant ENSAL, responsable du dpartement VTP.
Abdelkader DAMANI : Architecte, co-directeur artistique de la Biennale dArt de Lyon.
Herv LEQUAY : Architecte, Enseignant ENSAL, Responsable du laboratoire MAP-ARIA et du dpartement SPA
Steven MELEMIS : Architecte urbaniste, Enseignant lcole de Paris-Malaquais.
Ken RABIN : Architecte, Designer, Enseignant la Columbia University (NY)
Christophe WIDERSKI : Architecte urbaniste, Enseignant ENSAL, responsable du dpartement SPA.
21.149Chronologie des recherches menes et processus dlaboration du projet.
Carnet de recherches
21.149
Temps et mmoire des villes
La mmoire dun territoire ?Ce quon sen remmore.Limage que lon sen fait.
Un toponyme na pas t attribu par lhomme de manire arbitraire mais dans un souci de description et didentification du territoire.
Nommer, cest en quelque sorte prendre possession.
Un toponyme signale lappropriation historique dun lieu par une communaut qui la habit. Il rvle les caractristiques des milieux, les vnements qui ont marqus marqu la mmoire des hommes qui sy sont installs.
Ltude aura donc pour objet un relev toponymique.
oct. 09
Grand Lyon ?
Protocole de relev
La dmarche utilise en grande partie Internet comme outil de relev du matriau. Il sera utilis pour reprer les souvenirs et images vhicules par ses utilisateurs, une mmoire instantane des territoires du Grand Lyon.
La premire tape consiste en un relev des toponymes apparaissant sur toutes les pages et documents des 20 premiers sites Internet recenss par Google lors de la requte Grand Lyon .
Une grande diversit de sites est ainsi couverte : officiels, commerciaux, associatifs et forums. Les 150 toponymes relevs correspondent aussi bien des noms de communes qu des noms dentits paysagres ou bien des noms de quartiers.
le territoire du grand lyon .
25.149
Genas Commune Personnalit - 74 700 74,7 rfrence au premier seigneur s'appelait Jean de Genas 1500
Genve Commune Hydrographie - 876 000 876,0"Genua" en latin, vient d'un terme ligure (peuplade du nord de l'Italie) qui fait allusion la proximit d'une nappe d'eau : le lac Lman luimme ou les marais la sortie du Rhne du lac. De plus, genusus dsigne le fleuve en illyrien. 0
Gerland Quartier Hydrographie - 107 000 107,0"gerle" signifiant "ruisseau" par contraction avec le mot germanique land. ces terres ne furent jusqu'au XIXme s. qu'un gigantesquemarcage travers par les mouches (bras de fleuves). 1800
Girondins Nexans ZAC Quartier Activit Personnalit 117 0,1 ? - Groupe politique de la Rvolution franaise et Nexans, leader mondial de l'industrie du cblene lyon 2009
Givors Commune Hydrographie - 57 900 57,9reoit son nom de la rivire le Gier. en langage du pays Gier sappelle Gi, et Vord est une corruption gasconne de Bord. Givors est doncGier bord ou Bord du Gier. 500
Gorge de Loup Connexion Topographie - 158 000 158,0 ? - "Gorge", valle encaisse et troite aux parois verticales tailles. 1980Grand Ouest Pays rgionnal - 172 000 172,0 ? -Grange Blanche Connexion - - 47 000 47,0 ? -
Grenoble Commune Personnalit Topographie 1 200 000 1200,0" Cularo", littralement, le village accul la montagne), d'origine celtique, deviendra Gratianopolis sous le rgne de l'empereur Gratien.Grenoble rebaptise Grelibre la rvolution et ne reprendra son nom actuel que sous Napolon. 0
Grigny Commune - - 532 0,5 ? -Guillotire Quartier - - 17 800 17,8 ? 1500Halle Tony Garnier Btiment Activit Personnalit 53 900 53,9 (1869 Lyon - 1948 ) architecte et urbaniste franais des anciens abattoirs lyonnais. 1914Halte ferroviaire Jean Mac Connexion Personnalits - 358 0,4 (1815 - 1894) enseignant et journaliste franais. 2005Hpital Feyzin - Venissieux Connexion Activit - 3 380 3,4 ? -Htel de ville Quartier Activit - 208 000 208,0 voque la prsence de la mairie -Ile de Miribel Quartier Hydrographie Topographie 14 700 14,7 "mire bellum", signifie beau point de vue. Ce vient de son site exceptionnel, en haut de la Ctire, 300 m. splendide panorama. 1200InCity Btiment - - 49 400 49,4 ? - "dans la ville" traduction de l'anglais au francais 2009Jet d'eau Mends France Connexion Personnalit Hydrographie 11 600 11,6 voque les jets d'eau, et (1907-1982) un homme politique franais, Radical-socialiste au Front populaire, puis la Rsistance. 2009La Bourgogne Pays rgionnal Personnalit - 215 000 215,0 "regnum Burgundiae" en latin, constitue par le peuple portant le nom de Burgondes et stablissant en Gaule romaine 0La buire Quartier - - 13 900 13,9 ? 2009la Confluence Quartier Hydrographie - 211 000 211,0 voque la confluence du Rhne et de la Sane 2000La Doua Quartier Activit - 191 000 191,0 voque l'ancien camp militaire prsent sur les lieux 1800la Duchre Quartier - - 21 100 21,1 ? 1400La mulatire Commune Personnalit - 13 100 13,1 viendrait de celui d'un magistrat lyonnais, Clment Mulat, consul de Lyon en 1479 - 1480 1480La Rize Quartier Hydrographie - 117 000 117,0 voque la Rize cours d'eau qui parcours le quartier -la Tte d'or Parc Activit - 159 000 159,0 provient d'une lgende selon laquelle un trsor avec une tte de Christ en or serait enfoui cet endroit. 1800Lachassagne Commune - - 9 930 9,9 ? -Lacroix-Laval Parc Personnalit - 4 840 4,8 XVIIIe sicle, Jean de la Croix, seigneur de Laval acquiert le domaine qui par la suite prendra le nom de Lacroix-Laval. 1300Laurent Bonnevay Astroballe Connexion Personnalit - 4 160 4,2 (1870 - 1957), avocat et homme politique lyonnais centriste 1978
Le Bas Dauphin Pays rgionnal Personnalit - 164 000 164,0vient du fait que de nombreux comtes du Viennois aient port le rare prnom de Dauphin . Le comt du Viennoisou Dauphin tantl'apanage du fils ain du roi de France, il devient le titre homonyme d' hritier de la couronne . 1200
Le Beaujolais Pays rgionnal Personnalit 162 000 162,0baronnie possde au IXe sicle par Guillaume, comte du Lyonnais et comte de Forez, mort en 900. sa mort, la baronnie chut sonfils Brard qui le premier porta le titre de sire de Beaujeu. 900
Le Bugey Pays rgionnal - - 74 600 74,6 ? -
Le Haut Dauphin Pays rgionnal Personnalit - 189 000 189,0vient du fait que de nombreux comtes du Viennois aient port le rare prnom de Dauphin . Le comt du Viennoisou Dauphin tantl'apanage du fils ain du roi de France, il devient le titre homonyme d' hritier de la couronne . 1200
Le parc Blandan parc Personnalit - 3090 3,1 sergent Blandan est n Lyon en 1819. 2009Le Pilat Pays rgionnal Topographie - 94 700 94,7 en celte, montagne large (pi : montagne et lat : large). 0Les Dombes Pays rgionnal Hydrographie - 47 400 47,4 Dombes proviendrait dun nom germanique Dumpel signifiant tang, au 7me s. "Terra de Dumbis" 0Les Hauteurs Parc Topographie - 141 000 141,0 voque l'altitude du parc -Les Monts d'Or Pays rgionnal Topographie Hydrographie 116 000 116,0 provient du celte dwr qui signifie eau. De nombreuses sources et une multitude de fontaines tmoignent de son abondance. 0L'le Barbe Quartier Hydrographie Personnalit 42 000 42,0 Insula Barbara, l'Ile Barbare a donn l'Ile-Barbe. druides se livrant des sacrifices humains. Ou son aspect "sauvage". 0L'Isre Pays rgionnal Hydrographie Topographie 132 000 132,0 Izara ou Vizara. Iz ou viz signifiant "valle creuse", et ara "cours d'eau", le mot Isre signifie donc cours d'eau dans la valle creuse. 0Lissieu Commune Personnalit - 17 500 17,5 Licinius, ancien esclave romain, qui, une fois affranchi, construit son palais l'emplacement de l'actuel couvent de Montlusin. 0
Lyon Commune Topography Personnalit 10 100 000 10100,0Lugdunum drive de mots gaulois, Lug dsignant le dieu suprme de la mythologie celtique et dunos, la "colline", l'ensemble dsignantdonc "la colline de Lug". Loudoun au VIIIe sicle, et "Lyon" au XIIIe sicle. 0
Mcon Commune - - 2 680 000 2680,0 ? - Matisco en latin 0Marseille Commune Personnalit - 2 450 000 2450,0 Mas-Salia, la rsidence des Salyens.Massilia l'poque romaine. 0Mermoz Quartier Personnalit - 31 000 31,0 Jean Mermoz, aviateur franais (1901 -1936) 1992Meyzieu Commune - - 49 200 49,2 ? -Montbrisson Commune - - 84600 84,6 ? 800Montchat Quartier Hydrographie - 11 200 11,2 mont Chal du radical celte -cal- qui dsigne un espace bois ou marcageux. 0Monplaisir Quartier - - 20 700 20,7 ? -Monts du Lyonnais Pays rgionnal Topographie - 51 200 51,2 ? -Neuville-sur-Sane Commune Hydrographie - 19 700 19,7 situe sur la Sane 0Parilly Parc - - 14 400 14,4 - -
Toponymes Type / Echelle Rfrences Rfrence 2
Nombredersultatsurinternet
Tailledepolice Etymologie du toponyme Periode
Annecy Commune Personnalit - 222 000 222,0
viendrait d'une importante villa romaine, situe sur le coteau d'Annecy-le-Vieux, nomme Aniciacus du gentilice d'un propritaire de lafamille des Anicii, clbre dans l'histoire du Bas-Empire. Au VIIIe s., un grand domaine sur la colline d'Annecy-le-Vieux tait connu sous le nom d'Anicius, ou Aniciacus, ou villa Aniciaca. 800
Bachut Quartier - - 3 470 3,5origine tire du nom du dieu Bacchus, vase boire, puis espce de bateau dont une partie destine conserver le poisson vivant enrecevant l'eau par le moyen d'une grille. -
Balan Commune - - 28 100 28,1Balanum (fruit en latin ?) tait un port actif domin par la Balme du Mollard. Pendant plusieurs sicles, Balanum, puis Balon, enfin Balanen 1654. 0
Balmes Viennoise Pays rgionnal Topographie - 538 0,5
dsigne dans la rgion lyonnaise tout coteau escarp, pente ou talus. vient du gaulois balma qui signifie " grotte dermite ". Les falaiseset les parois abruptes des valles tant souvent creuses de cavernes de dissolution servant dabris, le nom a t appliqu ensuite lensemble du versant. -
Bligneux Commune - - 6100 6,1 Village de Biligniaci ds le XIIIe sicle. 1300
Bellecour Quartier Activit - 90 900 90,9
fin du XIIe, vigne appele bella curtis (beau jardin). 1562, le pr de Belle-court 1715, place Royale, nomme "place Louis-le-Grand".A la Rvolution, "place de la Fdration" puis devient "place de lEgalit". Juin 1800, la place porte le nom de "place Bonaparte", un peu plus tard "place Napolon", sous la Troisime Rpublique, nom actuel : "place Bellecour". 1300
Berges du Rhne Quartier Hydrographie 74000 74,0 Le nom celtique du Rhne est Rodanos, forme plus ancienne : Srodanos. La signification de ce nom est "puissant cours d'eau". 2000Berthelot-Epargne ZAC Quartier Personnalit - 130 0,1 nomme en l'honneur de Marcellin Berthelot (1827 - 1907) chimiste, essayiste, historien des sciences et homme politique franais. 2009Bioparc Lyon Quartier Activit - 4 260 4,3 ? - du grec bios [bio-, -biose], vie. 2009
Bourg-en-bresse Commune Personnalit - 140 000 140,0un lieu de culte druidique gaulois. "Bresse", hrit de Brixia, divinit gauloise, et celui de "Brou", la broussaille, le bois sacr . Rvolution la ville prend le nom dpi-dOr signifiant Bourg rgnr. le nom de Bourg, puis ajout de "en-Bresse". 200
Bron Commune Personnalit Hydrographie 400 000 400,0 1248, Josselme de Bron est seigneur de Bron - Fontaine, Source. 1200
Brotteaux-Servient Connexion Hydrographie Personnalit 471 0,5
dsigne en parler lyonnais une le de la plaine alluviale du Rhne et limit par le fleuve lui-mme ou l'un de ses bras. provient del'arpitan broteu, drivation de brot, dsignant les jeunes pousses d'arbres qui le caractrise . Madame de Servient, ancienne propritairedu domaine de la part-dieu. 1800
Caluire et Cuire commune - - 76 500 76,5? - racines celtiques, le mot cal signifie rocher mais aussi fort ou encore marais. Du ct de nos anctres latins, un colon militaire romain qui s'appelait Calvirius , y aurait tabli un domaine. Le nom de Caluire apparat dans les textes, partir du 14 sicle. 1400
Canal de Jonage Quartier Hydrographie Personnalit 3 770 3,8"Joanages", sans doute est-ce l l'origine de son nom, Jonage tant une dformation de Jean (Jehan Johan), est-il rapprocher desrivires Jouanne, Juine, Joigne, Jugnon ? 1100
Carr de Soie Quartier Activit - 126 000 126,0 voque l'histoire lyonnaise, et son industrie de la soie. 2000Chalon-sur-Sane Commune Hydrographie - 112 000 112,0 La ville s'est appel Cabillonum dans temps des romains. 0Charbonnire-les-bains Commune Hydrographie - 338 0,3 ? - evoque l'activit thermale. Carbonaria en latin . -Charpennes Connexion - - 7 480 7,5 Charpenes, pluriel de Charpena, fait rfrence l'arbre Charme, Carpinus en latin. -Chassieu Commune - - 41 600 41,6 ? -Cit internationale Quartier Activit - 117 000 117,0 ? - evoque une activit internationale 2000Collonges-au-Mont d'Or Commune Topographie Hydrographie 9 160 9,2 Colonias, Colungiis en 1176, de Colungias en 1201, puis Colonge et enfin Collonges. ce nom dsigne un point deau. 1000Corbas Commune - - 44 500 44,5 ? - en 937, sous le nom de Villa Corbatis . 900Cordeliers Connexion Activit - 38 400 38,4 nom jadis donn aux religieux franciscains de la stricte observance, cause de la corde noue qu'ils portaient autour de la taille. 1200Cotires de la Dombes Pays rgionnal Topographie Hydrographie 3 060 3,1 "Ctires", cteaux abrupts. Dombes proviendrait dun nom germanique Dumpel signifiant tang, au 7me s. "Terra de Dumbis" 700Craponne Commune - - 59 400 59,4 ? 913
Crayon Btiment - - 126 000 126,0voque la cylindrique de l'difice. Aujourd'hui, Tour de la Part-Dieu. il fallait un nom plus reprsentatif pour le Crayon, et capable sesexporter ltranger. 1980
Cremieu Commune - - 28 900 28,9 ? 1200Croix Luizet Quartier - - 2 610 2,6 ? Charles Luizet, fonctionnaire franais, militaire, rsistant, puis Prfet de Police de Paris. Compagnon de la Libration.Croix Rousse Quartier - - 108 000 108,0 une croix est rige sur le plateau et ralise en pierre de Couzon, de teinte ocre. Elle donnera son nom au bourg cr. 1500Dardilly Commune Personnalit - 50 000 50,0 ? - Dardiliacus qui aurait fond Dardilly. 0Dcines Commune - - 129 000 129,0 ? 0Demeure du Chaos Btiment Btiment - 85 400 85,4 ? - voque la destruction artistique d'une demeure saint romain au mont d'or 2000
Dijon Commune - - 1 370 000 1370,0
? - march sacr latin "Divio", Divione, Digum au XIIIe sicle, "Diviomagus" compose du celte magos,signifiant "champ de foire" etde "divio", signifiant "sacr". pourrait renvoyer divin car important lieu de culte des Lingons. Ou amalgame de deux mots latins: D et Vio signifiant deux voies , allusion la voie romaine et l'Ouche qui traversaient la ville. 0
Ecully Commune - - 73 900 73,9 primitivement couverte d'une fort de chnes. Aesculus, chne en latin, donne Esculiacus puis : Excolliacus, Escullieu, Escully. 500Edouard Herriot Btiment Personnalits - 10 400 10,4 homme politique franais d'origine lyonnaise, membre du Parti radical et maire de Lyon 1935Fontaine-sur-Sane Commune Hydrographie - 713 0,7 voque localisation sur la rivire Sane et la prsence d'un point d'eau. 0Fourvire Quartier Activit - 78 000 78,0 Vieux-Forum de la Cit en latin ''Forum Vetus'', puis Fourvire. 0Francheville Commune Activit - 52 700 52,7 premire banlieue de Lyon, avec la civilisation romaine, franca villa . 0Gare de Vaise Connexion Hydrographie - 12 500 12,5 autrefois "Vaques", viendrait de vacua . galement driv de vzia ou vezola, "tuyau ou de canal d'irrigation". 0
Gare de Vnissieux Connexion Personnalit - 19 400 19,4 "Villa Vnicis" se situerait dans le dcor du prieur de Saint-Pierre-de-Lyon. volue de Venicies en Venissieu puis en Vnissieux. 600Gare Saint Paul Connexion Personnalit - 170 000 170,0 voque un des aptres du Christ. 1876
rsultat dimages
< 50 000
200 000 >
grand ouest gare saint paul tour oxygne villefranche l'ouest lyonnaisla tte d'or gorge de loup point du jour parc des hauteurs bourg-en-bresse
portes du sudportes des alpesla confluence htel de ville la doua
valle du giers val de sane sainte foy dcines crayon carr de soie cit internationale la rize les monts d'or saint fons croix rousse
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caluire et cuire genas vaise berges du rhne ecully presqule
leslys terraux rhne amont craponne givors pierre bnite
viennebronlyon grenoble
le territoire du grand lyon .
27.149
0 20 km
N
parctte dorchurchillbrotteaux-servientcharpennescordeliersgare de vaise
gare de vnissieuxgare saint paulgorge de loupgrange blanche jean mac
Hpital Feyzin - Venissieux
mends francelaurent bonnevay astroballe
meyzieu z.ipart-dieupriphrique nordrocade est
Saint-Exuprysaxe - gambetta
stade de gerlandperrachemontrochet
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presqu'lesaint-rambert
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zac valo vieux-lyon
gratte-cielzac bon laithtel de villeperrache
les balmes viennoises
le beaujolais
la bourgogne
les dombes
l'isre
le grand ouest
haut dauphin
bas dauphin
le buget
les monts dor
le pilat
monts du lyonnais pays de lozon
plaines de l'est lyonnais
plateau des dombes
le val de sane
plateau deshautes barolles
valle d'azergues
valle de la chimie
valle de l'ain
Valle de l'Ainvalle de l'yseron
valle dugiers
le bois de serres
vallons des chets
vallondu ribes
tte d'or
lacroix-laval blandan
les hauteursmiribel-jonage
parilly
annecy
balan
bourg-en-bresse
bligneux
bron
caluire-et-cuire
chalon-sur-sane
charbonires-les-bains chassieu
collonges-au-mont-d'or
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dardillydcines
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saint-fonsst genislaval
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saint-tienne
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vaulx-en-velin
vnissieux
vienne
villefranche-sur-sane
corbas
marseille
Go-localisation, cartographie toponymique.
0 20 km
N
le territoire du grand lyon . Resserrement du cadrage de ltude
29.149
N
0 5 km
saint-xupry
vaulx-en-velinla soie
zac berthelot-epargne bioparc lyon zac girondins
nexansconfluence
zac thiers
zac valo
toponymes contemporains
laurent bonnevay astroballepart-dieu
priphrique nord
rocade est
toponymes XX s.
cit internationale
zac bon lait
valle de la chimie
brotteaux-servientsaint paul
gerland
la doua canalde jonage
perrache
tte d'or
les hauteurs
la mulatire
saint-fons
toponymes XIX s.
tats-unis
cordeliers
croix rousse
guillotire
la duchre
montchatpresqu'le
terraux
bligneux
craponne
dardilly
genas
neuville-sur-sane
ste foyls-lyon
tassin lademi-lune
vnissieux
villefranche-sur-sane
corbas
toponymes mdivaux
lacroix-laval
SAINT-RAMBERT
LES DOMBES
BRON
COLLONGES-AU-MONT-D'OR
CULLY
FONTAINE-SUR-SANE
FRANCHEVILLE
GIVORS
LISSIEU
RILLIEUX
VIENNETOPONYME ANTIQUES
Ages des toponymes
Nbachut
bellecour
berges du
rhne
zac berthelot-epargne
bioparc lyon
carr de soie
cit inter--nationale
croix luiset
croix rousse
tats-unis
fourvire
gerland
zac girondins nexans
guillotire
confluence
la douala duchre
la rize
la buirelumire
mermoz
montchat
montplaisir
le point du jour
portes des alpes
portes du sud
presqu'le
saint-rambert
sans-soucis
terraux zac thiers
vaise
zac valo
vieux-lyon
gratte-ciel
zac bon lait
htel de ville
perrache
balan
bligneux
bron
caluire-et-cuire
charbonires-les-bains
chassieu
collonges-au-mont-d'or
craponne
dardilly
dcines
cully
fontaine-sur-sane
francheville genas
givors
gringy
la mulatire
lachassagne
lissieu
meyzieu
neuville-sur-sane
pierre bnite
rillieux
saint-fons
st genislaval
ste foyls-lyon
tassin lademi-lune
vaulx-en-velin
vnissieux
vienne
villefranche-sur-sane
corbas
le territoire du grand lyon .
Classement par rfrentiel tymologique, rvlant la gographie du territoire
31.149
0 5 km
N
gorge de loup
les hauts de st clair
portes des alpes
les pentesle plateau
les balmes viennoises
les monts dor
monts du lyonnais
pays de lozon
plaines de l'est lyonnais
plateau des dombes
le val de sane
plateau deshautes barolles
valle d'azergues
valle de l'ain
valle dugiers
le vallon deserres etdes planches
vallons des chets
vallondu ribes
cotires des dombes
les hauteurs
collonges-au-mont-d'or rillieux-la-pape
vaulx-en-velin
techlid
Sites de projets
Parmi les maux du territoire de la ville distendue, le groupe a cherch comprendre les dynamiques qui tendent la formation de poches sectorises.
Nous avons pu dgager de grandes catgories dans les dynamiques dattraction et de dlaissement du territoire : la formation de cadres dhabit et de cadres dconomie.
Insidieuses ou promulgues par les actions des pouvoirs publics, ces deux cadres induisent parfois des configurations spatiales diffrentes.Si dans le discours politique, les diffrences spatiales tendent seffacer, elles sont toutes autres en ralit.
nov..09
recherche de sites de projets
Sites de projets
ATTRACTION
dlaisss conomiques
FranchiserCadre conomique
Se logerCadre dhabiter
DLAISSEMENT
pauprisationgentrification
concentration dactivits
35.149
ATTRACTION
dlaisss conomiques
FranchiserCadre conomique
Se logerCadre dhabiter
DLAISSEMENT
pauprisationgentrification
concentration dactivits
Mthodologie
Nous avons fait un tat des lieux cartographi du territoire actuel, associ aux politiques de dveloppement en place, en ce qui concerne le dveloppement des cadre dhabiter et dactivits conomique.Sont reprsents : en vert, les lieux de la gentrification (espaces de rsidence des populations aises) coupls aux grands projets politiques de valorisation des territoires ; en bleu, les lieux de lconomie (richesses produites par les communes) et les espaces miss en lumires comme attractifs par le Grand Lyon.
Confronts la tache urbaine existante, plusieurs types de sites nous sont apparus comme de potentiels lieux de projet : certains confrontent les deux dynamiques chelle locale, ou ne sont soumis qu une des deux, voire aucune.
Sur le panel relev, nous avons dgag de manire plus intuitive les lieux les plus marquants pour slectionner nos sites de projets de fin dtude.
recherche de sites de projets0
N
5 km
Franchiser, Cadre conomique.
37.1490
N
5 km
Se loger, Cadre dhabitat
0N
5 km
Combinaison des dynamiques
39.149
Superposition aux territoires sectoriss
Des ples contemporains...
Une nouvelle forme de polarit est apparue de manire insidieuse ds la fin des annes 1960... Les espaces de la grande distribution se sont dvelopps en priphrie au moyen de labondante disponibilit de foncier faible cot, viabilis par la mise en place du rseau autoroutier et grce la motorisation progressive des mnages.
Ces ples priphriques contribuent encore aujourdhui structurer le territoire : ils accueillent une masse significative demplois et de fonctions urbaines et polarisent de nombreux dplacements. Ils sont devenus le lieu de rfrence de vie quotidienne, limitant parfois aux pri-urbains la ncessit du recours au centre-ville.
Permettant chacun daccder aux produits rpondant aux besoins quotidiens essentiels, ces nouveaux monuments sont galement le lieu dtonnants brassages de populations, dhorizons socio-professionnels les plus varies. Mais comme leur dveloppement sest fait au coup par coup, ils sont accuss par tous de bien des maux et cumulent de nombreux points faibles.
Dans un contexte o la prise en compte de lenvironnement devient une priorit, leur fonctionnement et rentabilit, bas sur lusage de lautomobile, est mis mal. En plus dtre consommateurs despace outrance, ces aires sont sectorises et trs peu structures, en bref, dpourvus de qualits urbaines et architecturales.
Gres par des oprateurs privs, ce sont des polarits temporaires contraintes par les horaires douverture des magasins. Les PLU contribuent gnralement conforter la vocation de ces grandes aires conomiques et commerciales, en limitant la hauteur du bti, ou en y interdisant la ralisation de logements.
dc.09
41.149
Problmatique
aires commerciales pri-urbaines
=70%du chiffre daffaire
du secteur du commerces
problmatique de projet.
43.149
... potentiel de renouvellement
Ainsi, malgr leur attractivit mtropolitaine tablie depuis une vingtaine danne, laction publique commence seulement sintresser lamnagement de ces ples, en les desservant parfois par les transports en communs.
La conjoncture actuelle semble pourtant en faveur dune restructuration des centres commerciaux de priphrie et offrent un champ daction trs propice au renouvellement urbain et architectural.
En effet, mme si la France reste le plus grand march de limmobilier commercial en Europe et que 70% du chiffre daffaire des commerces est issu des aires pri-urbaines, les grand distributeurs se proccupent de linfidlit croissante de leurs clients.
Les hypermarchs sont attaqus sur tous les fronts : retour en force du commerce de proximit, la recrudescence de la distribution spcialise et du hard discount, le dveloppement du e-commerce, le tout couronn par la gnralisation une prise de conscience environnementaliste. lorigine de ces produits de la ville gnrique, les oprateurs commerciaux ont dj pris conscience de ces profondes mutations venir.
Ainsi, de nouveaux concepts mergent de leur ct, tentant de rpondre au dcalage avec lvolution des modes de vie : ils commencent intgrer des proccupations de dveloppement durable, notamment en ce qui concerne laccessibilit (prise en compte des modes doux) ainsi quune certaine qualit darchitecture.
Le Fun ou Experience Shopping viennent placer les centres commerciaux comme forme complmentaire au commerce virtuel
Aux tats-Unis, o le systme sest excessivement dvelopp, les paysages dabandons de vieux hypers se multiplient au profits de centre commerciaux dernire gnration. Certains promoteurs conscientisent dj des limites du modle de Retailtainment, qui propose des ambiances souvent gnriques. Ils ont dvelopp des modles de petites villes dont une des plus connues est Seaside (o a t tourn le film The Truman Show)
Malgr sa perte de vitesse actuelle, la grande distribution nest donc pas en panne de nouveaux concepts.
Les pouvoirs publics peuvent ainsi rejoindre la proccupation de certains amnageurs ou oprateurs commerciaux confronts lessoufflement du modle traditionnel de la grande distribution, donnant lieu lmergence de partenariats publics/privs.
Pour viter que les nouvelles typologies de centre commerciaux sinstallent sur de nouveaux sites sur le coup dopportunits foncires, bouleversant lhistoire de la ville de faon parfois brutale et en gnral pour limiter ltalement urbain, il est ncessaire daugmenter lintensit urbaine de ces espaces dj btis.
Bien localiss par rapport aux centres historiques, parfois aux rseaux de transports collectifs existants et pour les autres points positifs voqus, ces aires peuvent rpondre aux besoins en quipements proches pour de futurs habitants
Cependant, lenvironnement physique et limage de ces quartiers restent rinventer.
Le projet de fin dtudes tentera de rpondre la problmatique :Comment intensifier les zones commerciales priphriques en les rendant habitables ?
problmatique de projet.
45.14945.149
Le parking du supermarch correspond une phase contemporaine de lvolution du grand espace aprs Versailles. []
Le parking est le parterre dun paysage de bitume.
Le dessin form par les lignes de stationnement donne une orientation de mme que celui des pavements, [...] en donnent une au jardin de Versailles : les grilles dclairage comme des points didentit et de continuit dans le grand espace se substituent aux oblisques, aux ranges durnes et de statues. *
* Robert Venturi, Steven Izenour, Denise Scott Brown, Lenseignement de Las Vegas,
jan. 10
47.149
Processus de projet
Biographie paysagre...
Porte des Alpes .
Rien que son nom, ainsi que la plupart des mots qui dcrivent cet espace de la grande distribution, grand ple conomique de la grande plaine de lest lyonnais, ne font quvoquer des paysages de limmense.
Pourtant, limmensit de ce lieu de coprsence dchelle mtropolitaine du territoire de Lyon nest quillusion.
Ce site de plus de 30 hectares, rgit sous lordre de la voiture, nest prsent que comme lieu de la pratique de lautomobile des fins commerciales.
Dpourvu dchelle humaine, machinique et monotone : ces qualificatifs tuent ses qualits inhrentes de grand espace. La prise de photo sest avre illgale dans ce site gouvern par des oprateurs commerciaux.
Ainsi, travers ces quelques photographies voles, la biographie paysagre suivante cherchent retranscrire cette srie sans fin de lordre du commercial et de lautomobile, en opposition de vritables grands espaces qui subsistent encore : le ciel et les terrains vagues avoisinant.
processus de dveloppement du projet.
49.14949.149
processus de dveloppement du projet.
51.14951.149
Evolution des pratiques du site de porte des alpes1990 2000 2010
cration du site commercial
activit de laroportLyon Bron
dmnagement IKEAextension Auchan
construction duparc technologique
extension des Hopitaux Est
nombre dtudiants Universit Lyon 2
volution du nombre demploi dans le tertiaire
activit du centrecommercial
dveloppementconomique et tertiaire du site
accessibilit par lestramways T1 et T2
...?
Stratgie programmatique
Les enjeux se situent diffrentes chelles que le projet explorera. Parfois daire dinfluence rgionale, ces polarits priphriques posent la question de leur inscription territoriale et de leur liaisons aux autres ples de la mtropole, et plus localement aux infrastructures et quipements qui les jouxtent. Le terme habitable soulve les notions de contexte et de cadre de vie. Il convient de redonner une chelle plus humaine ces lieux du quotidien, et de rtablir un rapport plus raisonn aux lments naturels (hydrographie, topographie, faune et flore). Un projet despace public pourra donc tre propos.
processus de dveloppement du projet.
53.149
espace public& accessibilit
soutenable
ple mixtequipementsde proximit
rapport raisonn lenvironnement
naturel
t =1 jour
20 ans
ple dhabitermixte
habitabilit
comment intensifier les zones commerciales priphriques en les rendant habitables ?
53.149
Stratgie de dveloppement du projet dans le temps
Lintensification mentionne suggre linjection de nouveaux programmes pour remdier labsence de mixit et la densit trs faible de ces espaces. En considrant de nouveaux rapports de proximit, la mise en place de logements sur le site sera explore. La question de la mutation des centres commerciaux pourra tre parcourue par la reconversion dune partie de ces boites (espaces de stockages lis lexplosion du e-commerce ?).
Aussi, des concepts de paysage productif seront questionns dans ces lieux de consommation outrance.
Une juxtaposition nouvelle de programmes sera ainsi mise en place pour proposer de nouveaux modes dhabiter, sur ces espaces de la ville gnrique.
processus de dveloppement du projet.
fv. 10
55.14955.149
Axes de transformation et gographie du site
processus de dveloppement du projet.
57.149
Intentions la croises dchelles spatiales et temporelles et premiers relevsIntentions la croises dchelles spatiales et temporelles et premiers relevs
dplacements de biens /personnes doux
Achat Experience/Plaisir VS Achat corve
processus de dveloppement du projet.
59.149
MAGAZINE
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MULTIMEDIA
EVENTS
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NEXT GENERATION
CONTINUINGEDUC ATION
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FOREIGN OFFICE ARCHITECMeydan Retail Complex, IstaIn Umraniye, a working-clasrecently built a mall topped Cristobal Palma
At FOAs Meydan shopping cneighboring housing developCristobal Palma
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PRINT E-OC TOBER 2008 MAGAZINE
New Malls, Old IdeasWith a handful of new retail projects, several major architects are attemptingto bring the much derided mall into the 21st century. But is good designenough?
By Mason CurreyPosted October 15, 2008
3 comments
Regardless of what you think of his work, you have to admit that Frank Gehry has a greatmidlife-crisis story. Its 1980, and the 51-year-old architect is hosting a dinner at his house,a traditional California bungalow that, two years earlier, he had outfitted with a series ofdramatic triangular skylights and bizarre industrial outcroppings. His latest project,however, is Santa Monica Place, a bland suburban-style shopping mall a couple of milesaway. Attending the dinner is the president of the malls developer, who points out theobvious discrepancy. If you like this, he says of the house, you cant possibly like that mall.Gehry admits as much, but says, hey, hes got to make a living. Stop it, the developer tellshim. You should stop it. Dont do that.
We all know how the story ends. Gehry recognizes that he is squandering his talent,dumps the malls, embraces his avant-garde tendencies, and goes on to conquer thearchitectural world. His Santa Monica home has since been called one of the mostinfluential residences of the 20th century. And malls? Ha!
But now, almost three decades later, the humble shopping mall is no longer an automaticstand-in for architectural compromise and mere economic necessity. Architectssuccessful ones, famous onessuddenly want to do malls. Just this month there are twonew examples. On October 8, the Westside Shopping and Leisure Center, in Bern,Switzerland, opens its doors. This design is by Daniel Libeskind, fresh off major museumprojects in Denver, Toronto, and San Francisco. And, at the end of the month, the1.6-million-square-foot Westfield London will open in Shepherds Bush, with a luxury-retail outposta sort of appendage mallby Michael Gabellini, the New York architect bestknown for his sleek, minimalist interiors for fashion houses like Jil Sander and GiorgioArmani.
Meanwhile, the Italian architect Massimiliano Fuksas has a shopping mall in Frankfurt,Germany, set to open early next yearnoteworthy, at the very least, for a dramaticescalator that will whisk pedestrians from ground level directly to a fifth-floor plazabeneath a swooping glass roof. In the United States, David Rockwells firm consulted onthe design of the Meadowlands Xanadu, a 4.5-million-square-foot megamall currentlyunder construction in New Jersey, which is poised to become the biggest in the countryand the third largest in the world. Last year, Londons Foreign Office Architects completeda remarkable shopping center in Istanbul, Turkey, with a broad public square surroundedby a series of rolling green roofs. And, a few years ago, the Pritzker Prize winner TadaoAndo replaced a 1927 Bauhaus-inspired apartment complex with a massive shopping mallin the same Tokyo neighborhood where the Dutch firm MVRDV has since built anotherluxury mall.
Noted architects designing high-end retail spaces is hardly a new phenomenon. But thoseprojectsRem Koolhaass stores for Prada, Gehrys shop for Issey Miyaketend to bejewel boxes with the aura of an art gallery; they are exercises in branding more thanattempts to move goods. The recent designer shopping centers, by contrast, arenoteworthy for just how mall-like they are. There are escalators, skylights, food courts,movie theaters, even water parks. These are mall malls.
Of course, the architects themselves might disagree. Weve never, ever used the wordmall, Gabellini says of West Village, his 150,000-square-foot luxury emporium attached
New Malls, Old Ideas | Metropolis Magazine http://www.metropolismag.com/story/20081015/new-malls-old-ideas
1 sur 4 08/03/2010 10:11
Innovation et marchs de la grande distribution
Jean-Baptiste Berry*
Depuis une dizaine d'annes, la concurrence que se livrent les hypermarchs comme lesgrandes enseignes du commerce spcialis pousse les entreprises des changements leurpermettant de rduire les cots ou de mieux servir les clients, le but tant d'acqurir un avan-tage comparatif par rapport aux autres entreprises du secteur. Ce sont ces changements quel'Insee a cherch mesurer l'aide de l'enqute Innovation gnrale, ainsi que leurs effets surla croissance des entreprises.L'innovation prend des formes trs varies dans les secteurs du commerce en forte volutionque sont les hypermarchs, la grande distribution spcialise et les centrales d'achats. L'effetdes innovations sur les performances des firmes est galement vari suivant les secteurs. Cesinnovations apportent un gain de croissance individuel significatif pour le grand commercespcialis, en phase d'expansion. Inversement, les hypermarchs, dans une phase de maturit,ne profitent pas significativement des innovations ralises, et doivent leur croissance plus des effets de taille et de localisation qu' des innovations.
Constitue des hypermarchs et des entreprises dites du grand commerce spcialis1, lagrande distribution a t retenue dans cette tude pour son caractre innovant, supposncessaire pour rsister un march fortement concurrentiel. Il a fallu prs de quarante anspour que l'hypermarch parvienne au seuil de sa phase de maturit2 en France (figure 1) ; lesgrandes surfaces spcialises demeurent en phase de croissance, beaucoup d'entre elles tantdveloppes par des groupes internationaux (comme par exemple Ikea, Kingsfisher/Darty/
Innovation et marchs de la grande distribution 17
*Jean-Baptiste Berry, la rdaction de cet article, faisait partie de la division Commerce, de lInsee. Il a travaill sur lethme de l'innovation, en collaboration avec Marc Dupuis, dans le cadre d'une tude suggre par la commission descomptes commerciaux de la Nation ( paratre).1. Cf. fiche 2.26, Le grand commerce spcialis intgr.2. On peut distinguer diffrents moments de la vie d'un concept de vente : la phase de croissance, pendant laquelle sesparts de march augmentent ; une phase de maturit, avec une stagnation de ses parts de march; puis ventuellementune troisime phase de dclin.
0
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1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005
March non alimentaire
March alimentaire
en %
Parts
demarch
1. Parts de march de l'hyper-march depuis 1965
Lecture : les parts de marchs alimentaires et nonalimentaires des hypermarchs sont en croissancedepuis la cration de ce concept de vente la fin desannes soixante, jusqu' une stabilisation, respecti-vement en 1998 et 1995. On observe un trs lgerretrait de ces parts demarch aprs leur stabilisation.Source : Insee, comptes du commerce.
Dossier1.psN:\H256\STE\K3WCPB\_DONNEES\COMMERCE2006\Commerce2006\Dossier1\Dossier1.vpmardi 7 novembre 2006 11:46:19
Profil couleur : Profil dimprimante CMJN gnriqueComposite 150 lpp 45 degrs
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La Disponibilit
Point de vente
La vraie tendance, c'est l'Experience Shopping Marketing Magazine N100 - 01/12/2005 - Propos recueillis par Aurlie Charpentier
Les habitudes de consommation ont volu et les marques doivent s'adapter. De larelation aux services, c'est l'ensemble du point de vente qui est revisit. Olivier Saguez,prsident de Saguez & Partners dcrit les tendances mergentes.
COMMENT ONT VOLU LES POINTS DE VENTE CES DIX DERNIRES ANNES ?
Olivier Saguez?: Avant, pour faire une marque, il suffisait de faire de la publicit. Aujourd'hui, les gens veulent duconcret, des faits. Ils ne veulent plus de blabla. Deuxime changement?: la massification de l'offre. Avec l'arrive desmarques propres et la guerre des prix, nous sommes arrivs une indiffrenciation des marques. La marque propre at vraiment la grande rvolution de ces dix dernires annes. Les distributeurs ont brouill la lecture de l'importancedes marques?: o situer la valeur ajoute d'une marque ? Du coup, il faut crer de la diffrence relle dans l'offre. Onne peut pas se diffrencier uniquement par le prix. Il faut avoir un avantage discriminant de produit, de service Lemarketing, qui a beaucoup consist susciter de la demande est redevenu un marketing de l'offre. Enfin, avecInternet, nous sommes entrs dans une priode trs immatrielle o paradoxalement les gens ont besoin de contactsdirects. Or, acheter, c'est toucher, essayer, comparer et c'est aussi dialoguer, choisir, comprendre, essayer le produit.La publicit ne suffit plus raconter une marque ou faire vivre une relation. Les marques se sont donc dit que, pourmontrer leur diffrence, leurs valeurs, il fallait qu'elles fassent des lieux. Apple ne s'est jamais mieux porte quedepuis qu'elle a cr ses Apple Centers. Avant, le lieu de vente n'tait qu'un lieu de vente, point final. Aujourd'hui, onparle d'Experience Shopping. Les gens n'y vont pas pour acheter parce qu'on peut faire plus vite, plus simple partlphone ou Internet. Mais on ne cre pas une relation. On sait ce que l'on veut, on vient juste chercher un prix. Lelieu de vente doit devenir autre chose cause d'Internet et du fait qu'il y a un manque en amont de relation directe,d'change, de dialogue, d'essai. La marque a intrt attirer le consommateur dans le lieu, mme si elle touchemoins de monde, elle les touchera de manire beaucoup plus efficace. Un lieu, c'est une unit de temps et d'action,comme une pice de thtre. La distribution a t gagnante ces dix dernires annes, non seulement cause desmarques propres mais aussi parce qu'elle a bien compris qu'en tant matre du lieu, elle tait matre du jeu. C'estpourquoi des marques comme L'Oral, Nestl, Danone, ont essay de recrer leur propre univers dans ces grandslieux-l en faisant du merchandising, du trade marketing ou en crant des lieux phmres. Pour raconter son histoire,soit Nike ouvre des Nike Stores, soit il installe des corners chez Go Sport o il cre un mini univers de marque. Nike vad'ailleurs envoyer des dmonstrateurs chez Go Sport, pour animer le lieu.
Y A-T-IL DES PROJETS SUR LESQUELS VOUS AVEZ TRAVAILL ET QUI ONT T REFUSS PARCE QUE PEUT-TRE JUGS TROPFUTURISTES ?
OS?: En effet, il y a une ide que je ne dsespre pas de faire passer. Nous avons un projet international en stand bypour une marque de yaourt?: faire un bar yaourts, comme les bars caf, dans les centres commerciaux, et quiserait en liaison avec le rayon yaourt de l'hypermarch. Une espce de petit bar drle et jeune, un peu comme unelaiterie, et sur le thme de la sant.
ALORS QUELLES TENDANCES POUR DEMAIN ?
OS?: La vraie tendance, c'est l'Experience Shopping?: un endroit o l'on ne vient pas que pour acheter. Souvent,quand des Japonais ou des Amricains viennent en France et me demandent de leur montrer nos conceptsd'Experience Shopping, je les emmne sur des marchs parisiens, riches en changes, bruits, odeurs, saveurs,relations intenses. L'Experience Shopping, c'est rinventer les marchs riches en convivialits et en changes. Latendance est aussi aux centres commerciaux ouverts, voyagistes, aux petits formats, aux magasins phmres. J'aiune ide de magasins roulettes o l'on ne s'occupe pas des murs, on vient juste avec son mobilier. On revientgalement la proximit, il faut revenir quasiment au pied des immeubles des gens. Je rflchis aussi des conceptsde magasins de toutes petites surfaces (25 m2), phmres, dans des centres commerciaux, dans la rue, avec un ctkiosque. Car il faut tre ractif pour arriver le premier sur le march?: on n'a donc pas le temps d'attendre un permisde construire. Et parce que l'on veut toucher tout le monde, les multiformats sont galement tendance. A l'instard'Orange et France Tlcom qui se dclinent la fois dans des lieux comme la maison o l'on explique tout, et depetits lieux pour les ravitaillements rapides. L'autre tendance, c'est le besoin de lieux simples, fonctionnels, efficaces.Il s'agit de revenir au cur du mtier?: prsenter correctement les produits. C'est ce qu'on retrouve dans lesmagasins d'usine, sobres, sans dcor. On s'est d'ailleurs rendu compte qu'il y avait des gens qui venaient MarquesAvenue parce que c'tait simple et non plus seulement pour les prix. Car aujourd'hui, acheter est devenu tropcompliqu. Les gens ne veulent pas du dcorum qui ne sert rien. Internet a appris aux gens aimer la simplicit etl'efficacit. Les magasins doivent aussi apprendre tre simples et purer les choses.
RAGISSEZ : Dposer un commentaire
e-marketing.fr - Version imprimable de l'article : La vraie tendance, c'e... http://www.e-marketing.fr/Marketing-Magazine/Article/-La-vraie-tend...
1 sur 2 15/01/2010 13:37
6 Dossier
INTRODUCTION
Lmergence puis la monte en puissance du commerce pri-phrique constitue llment majeur de ces quarante derniresannes en terme dquipement commercial. La diversificationdu commerce de priphrie a rendu plus confuse lanciennerpartition spatiale des spcialits commerciales. Ainsi, lemonopole des magasins du centre, pour les branches de lqui-pement de la personne et de la culture-loisirs, ne cesse de sef-friter face loffensive des hypermarchs et des surfaces spcia-lises.
Quant cette priphrie conqurante, elle ne se prsentepas de faon monolithique. Selon les agglomrations, un ouplusieurs ples principaux se partagent lessentiel de la client-le. Le dynamisme commercial nest pas partout identique. Lasituation par rapport aux rocades et pntrantes, le poids duple et lagressivit commerciale plus ou moins grande des
enseignes sont autant de facteurs qui instituent une hirarchisa-tion pousse. Les centres commerciaux et les zones dactivitscommerciales nont jamais cess dvoluer au niveau de loffre,jouant sur leffet de masse et la diversification pour renforcerleur attractivit. La monte en puissance du commerce pri-phrique depuis la fin des annes soixante avec les premiershypermarchs et les centres commerciaux, et les annes quatre-vingt avec les zones dactivits commerciales a entran la dis-persion croissante des achats entre plusieurs ples bien distinctsdont lespace central. la dichotomie centre-priphrie, cha-cun spcialis dans lune ou lautre branche du commerce, sesubstitue un espace marchand plus flou. Lespace central, sur ladfensive, perd de plus en plus de parts de march au profit desples commerciaux priphriques. Faut-il, dans ces conditions,parler dun centre et de priphrie ou plutt de la mise en placedun systme multipolaire o chaque lment tend entrer enconcurrence avec les autres ? Une hirarchisation se constitueparmi ces nouvelles centralits priphriques. Pour accder au
Les centres commerciaux franais,futurs ples de loisirs ?
Ren-Paul Desse
Flux n50 Octobre - Dcembre 2002 pp. 6-19
Innovation et marchs de la grande distribution
Jean-Baptiste Berry*
Depuis une dizaine d'annes, la concurrence que se livrent les hypermarchs comme lesgrandes enseignes du commerce spcialis pousse les entreprises des changements leurpermettant de rduire les cots ou de mieux servir les clients, le but tant d'acqurir un avan-tage comparatif par rapport aux autres entreprises du secteur. Ce sont ces changements quel'Insee a cherch mesurer l'aide de l'enqute Innovation gnrale, ainsi que leurs effets surla croissance des entreprises.L'innovation prend des formes trs varies dans les secteurs du commerce en forte volutionque sont les hypermarchs, la grande distribution spcialise et les centrales d'achats. L'effetdes innovations sur les performances des firmes est galement vari suivant les secteurs. Cesinnovations apportent un gain de croissance individuel significatif pour le grand commercespcialis, en phase d'expansion. Inversement, les hypermarchs, dans une phase de maturit,ne profitent pas significativement des innovations ralises, et doivent leur croissance plus des effets de taille et de localisation qu' des innovations.
Constitue des hypermarchs et des entreprises dites du grand commerce spcialis1, lagrande distribution a t retenue dans cette tude pour son caractre innovant, supposncessaire pour rsister un march fortement concurrentiel. Il a fallu prs de quarante anspour que l'hypermarch parvienne au seuil de sa phase de maturit2 en France (figure 1) ; lesgrandes surfaces spcialises demeurent en phase de croissance, beaucoup d'entre elles tantdveloppes par des groupes internationaux (comme par exemple Ikea, Kingsfisher/Darty/
Innovation et marchs de la grande distribution 17
*Jean-Baptiste Berry, la rdaction de cet article, faisait partie de la division Commerce, de lInsee. Il a travaill sur lethme de l'innovation, en collaboration avec Marc Dupuis, dans le cadre d'une tude suggre par la commission descomptes commerciaux de la Nation ( paratre).1. Cf. fiche 2.26, Le grand commerce spcialis intgr.2. On peut distinguer diffrents moments de la vie d'un concept de vente : la phase de croissance, pendant laquelle sesparts de march augmentent ; une phase de maturit, avec une stagnation de ses parts de march; puis ventuellementune troisime phase de dclin.
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Parts
demarch
1. Parts de march de l'hyper-march depuis 1965
Lecture : les parts de marchs alimentaires et nonalimentaires des hypermarchs sont en croissancedepuis la cration de ce concept de vente la fin desannes soixante, jusqu' une stabilisation, respecti-vement en 1998 et 1995. On observe un trs lgerretrait de ces parts demarch aprs leur stabilisation.Source : Insee, comptes du commerce.
Dossier1.psN:\H256\STE\K3WCPB\_DONNEES\COMMERCE2006\Commerce2006\Dossier1\Dossier1.vpmardi 7 novembre 2006 11:46:19
Profil couleur : Profil dimprimante CMJN gnriqueComposite 150 lpp 45 degrs
59.149
Recherche de rfrences thoriques, projectuelles, technologiques etc.
LES GRANDES ZONESDACTIVITS CONOMIQUESET COMMERCIALES :DES ESPACES STRATGIQUESPOUR LE RENOUVELLEMENT URBAIN
Durant les 40 dernires annes, lautomobile a profondment transform lagographie des villes. Jusque dans les annes 60 et en labsence de transporten commun, les espaces ruraux priphriques restaient inaccessibles etdonc inaptes lurbanisation. Le vhicule motoris individuel a chang la donne. La ville automobile a succd la ville pdestre et du transport collectif.Lagglomration est devenue aire urbaine et les espaces priurbains sont devenusparties intgrantes de la ville moderne.Le dveloppement de lautomobile a aussi eu des consquences sur lorganisationdes centralits. Les centres traditionnels, dont les accs sont plus contraints en auto-mobile, ont progressivement perdu leur situation de monopole en matire de ser-vices et dactivits commerciales au profit des ples nouveaux que sont les grandeszones dactivits conomiques et commerciales installes aux frontires de lagglo-mration et bien desservis par le rseau routier. Ces grands ples priphriques contribuent structurer aujourdhui le territoire lchelle de laire urbaine. Ils accueillent de nombreux emplois, des commerces etdes quipements au service de la ville constitue et des nouvelles zones dhabitatpriurbain. Fonctionnant comme des centres urbains de fait, ils restent pourtantdans une logique de dveloppement fond sur lusage de lautomobile et ils restentlargement dpourvus durbanit. Le plus souvent rattrapes par lurbanisation, cesedge-cities la franaise offrent dexceptionnels gisements de renouvellementurbain au cur dagglomrations devenus multipolaires.Le premier dfi que posent ces ples la ville durable est celui de leur desserte :il faut imprativement les rinscrire dans les rseaux structurants de transport encommun. Cela ne suffira toutefois pas : il faut aussi y dvelopper les espacespublics et y lancer des programmes de renouvellement urbain qui en densifient loc-cupation et en diversifient les usages. Comme lillustrent les exemples prsents dans ce dossier, les centres urbains defait que sont les grands espaces conomiques et commerciaux dvelopps sur lesanciennes frontires de la ville peuvent devenir de vrais morceaux de ville biendesservis, multifonctionnels et pleins durbanit.
N22DCEMBRE 2008
FEDERATION NATIONALE DES AGENCES D'URBANISME
processus de dveloppement du projet.
61.149
EchangeurGrand Montout
Z.A des Pivolles
Promenadesdu Tournesol
P
P
E
0 200 400 m
Fvrier 2007
ZUC
Chemin du Raquin
Les Grandes Robertires
Av. du Dauphin
Le Raquin
Rond PointR. Cassin
Rond PointR. Cassin
Plossier
Rpublique (1er Tranche)
Aired'accueil
Aire d'accueil
Pelossier
Beausjour
Savoie Pierres Blanches
ZAC de la Fouillouse
Gare de St Priest
ZAC du Centre Ville
Av. des Tilleuls
Joliot Curie
Rue Garibaldi
Rue M. KoeningZAC Mozart
Place F.Buisson
ZAC du Vieux Village
ZAC desHauts de Feuilly
Tramway
PlaceR. Salengro
Dchetterie
ORU St Priest
CarrRostand Sud
Mansart-Farrre
Rue de Mangetemps
Mangetemps
Carrire Berlet
Contournement Sud de Mions
Aux Pierres
ZAC de Pesselire
Route de Corbas
Aire d'accueil
ZAC des Pierres Blanches
Logementsgens du voyage
Av. de la Gare
Rue d'EspagneRue de l'industrie
SecteurCh. du Charbonnier
Rue du Progrs
Voie Nouvelle
RN6
RN6
Place Coponat
Mi-Plaine
Mi-Plaine Est
Mi-Plaine
Le Capot
Grand Bois - La Fouillouse
Sous-Murires
Arsenal
Cerisioz
Bel-Air
Perrinire Ouest
V Vert Sud
Courpilire
Petit champ Dolin PlaceH.de Balzac
Desserte Eurexpo
Vie Guerse
Carrefourdes 7 chemins
ORU Terraillon
ZAC Jardin du Fort
Pl. Curial
Dessertedes Hpitaux Est
Av. C. Rousset
Av. F. Mitterand
Gendarmerie
Route de Genas
La Perle Route de Genas
Av. de Lattre de TassignyBoutasse
Viaduc Mermoz ORU Parilly
Place de la Libert
BUE
A 8 A 8
A 8
A 8
A 8
A 8
DesserteEurexpo
Parc technologique
Poste aux chevaux
BronAviation
AroportLyon-Bron
Carrefour Aviation
Albert Camus
Albert Camus
Bd de l'Europe
GaleriesLafayette
Vinatier
Rue d'Alsace
LesLads Campus Porte des Alpes
Porte des Alpes
Dauphin
Cit Berliet
BUE
BUE
BUE
Centrede Groupage
Voie d'accs
Ch du Charbonnier
ZAC Berliet
Hauts de Feuilly
BandonnireDauphin
Brigoudes
Rue du Dauphin
Ch. de Revaison
Av. P. Mends FranceTCSPParc technologique
Aire d'accueil
BRON
CHASSIEU
VENISSIEUX
SAINT-PRIEST
FEYZIN
LYON
VILLEURBANNEVAULX-EN-VELIN
DECINES-CHARPIEU MEYZIEU
CORBAS
MIONS
Liste des projets : Porte des Alpes
NIVEAU D'ENGAGEMENT DES PROJETS
Projet du mandat en cours ( termin en 2007 )
Projet act programm sur PPI actuelle et non termin (dbut ou non)
Projet l'tude (non programm)
Ide de faire
Site de questionnement
TYPE DE PROJETS
Axe fort de transports collectifs
Principe d'axe fort de TC (trac non dfini)
Halte ferroviaire Equipement public majeur
Programme de construction, ou ZAC
Primtre de projet ou d'tude
Site de questionnement
Z.I en requalification
Traitement de l'espace public
Parc et jardin
Espace agricole valoriser
Projet nature / Espace naturel sensible
Liaison modes doux, cheminement
Parc de stationnement
Maillage viaire structurant
Maillage viaire local
P P P P
EE E E
61.149
Rfrence : Rem Koolhaas, Melun Senart
processus de dveloppement du projet.
63.149
Rfrence : Rem Koolhaas, Melun Senart
63.149
Rfrence : Field Operations Fresh kills park
Rfrence : A. Chemetoff, lle de Nantes
et confrences pavillon de larsenal
processus de dveloppement du projet.
65.14965.149
Rfrence : Revue Praxis, n8. Program.
processus de dveloppement du projet.
67.14967.149
Rfrence : Reburbia, concours dide sur les suburbs americaines
mars 10
processus de dveloppement du projet.
69.14969.149
idees/ intuition / photo collage
Les espaces libres du site (investis par la voiture sont immenses mais sont en contre-bas en tout points. Le seul espace o lon respire est un parking superpos dont le toit est accessible au public . Prendre possession du site du regard. Prendre de la hauteur.
Entour despaces du mme ordre reprsentationnel (autoroute, cimetire, suite de la zone commerciale, parc technologique), la ncessit daller chercher plus loin que les propres limites du site. Les Alpes, le massif du Pilat sont visible en tout point haut dune dizaine de mtre de la plaine de lEst lyonnais.
Des pratiques, des programmes, des temporalits
processus de dveloppement du projet.
Temps de prparation et douverture des diffrentes boites
71.149
serv
ice
auto
gale
rie
h2
1h
01
h8
h6
h4
h0
2h16
h18
h20
h22
h24
h14
h
Tem
ps d
'ouv
ertu
re e
t de
prp
arat
ion
des
mag
asin
s :
h21h01h8h6h4h0 2h 14h
1
2
3
4
6
5
Lundi
Mardi
Mercredi
Vendredi
Jeudi
Samedi
Dimanche
3.Heure de pointe : samedi 11h-20h + semaine 17h30-20h30
2.Soire soft : Auchan + restos 20h-22h30 lun-samedi 20h-22h30
5. Heures creuses : Auchan + IKEA + magasins 8h30-11h30 + 15h-17h30 lun-vendred
4.Prparation : magasins ferms livraisons 4h-9h lun-vendredi et 4h-8h samedi
Nuit : magasins ferms 23h-4h
1.Dimanche : 11h30-22h restaurants ouverts
Dimanche
Jeudi-Vendredi
Samedi
taux defrquentation
intensit
Lundi-Mercredi
22h20h18h16h
processus de dveloppement du projet.
73.149
h21h01h8h6h4h0 2h 14h
1
2
3
4
6
5
Lundi
Mardi
Mercredi
Vendredi
Jeudi
Samedi
Dimanche
3.Heure de pointe : samedi 11h-20h + semaine 17h30-20h30
2.Soire soft : Auchan + restos 20h-22h30 lun-samedi 20h-22h30
5. Heures creuses : Auchan + IKEA + magasins 8h30-11h30 + 15h-17h30 lun-vendred
4.Prparation : magasins ferms livraisons 4h-9h lun-vendredi et 4h-8h samedi
Nuit : magasins ferms 23h-4h
1.Dimanche : 11h30-22h restaurants ouverts
Dimanche
Jeudi-Vendredi
Samedi
taux defrquentation
intensit
Lundi-Mercredi
22h20h18h16h
Intensit des lieux temporaire.
processus de dveloppement du projet.
Occupation du sol du parking et relev des pratiques alternatives aux heures creuses
75.149
processus de dveloppement du projet.
Occupation du sol du parking et relev des pratiques alternatives aux heures creuses
77.149
Relev dtaill des obstacles et espaces impraticables au public
processus de dveloppement du projet.
79.149
processus de dveloppement du projet.
Espaces impraticables : toitures et magasins ferms, stockages, voies routires
81.149
Espaces praticables = parking et friches.
processus de dveloppement du projet.
83.149
POURQUOI JAI CHOISI CE SUJET ?
processus de dveloppement du projet.
Enseignes et image du groupe propritaire, thique ?
85.149
La vie Auchan, a change la vie ?
processus de dveloppement du projet.
87.149
Pas dides, pas de projetPas de projet.... Pas de projet.
infrastructures routires et parkings existants
avril 10
processus de dveloppement du projet.
89.149
infrastructures routires et parkings existants
Mobilit, Parking, Dpart de projet ?Mobilit, Parking, Dpart de projet ?
91.149
Total des places de parkings, potentiel foncier ?
93.149
Superposition des places de parkings concerves !
chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain
local
quartierurbain
individuel
exsitant
1
2
3
4
2500 places46900m
900 places16900m
220 places4125m
250 places4400m
r+3
r+4r+5
r+1
r+3r+4
r+1r+2
r+1r+2
dimensionnement des silos
acce
ssibil
itpi
tons
processus de dveloppement du projet.
95.149
chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain
local
quartierurbain
individuel
exsitant
Positionnement des parkings silos, nuisances,
chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain
local
quartierurbain
individuel
exsitant
localdividuelel
divdi rtier
urbainineietiquartierelelel
eietiprojet
parkings
processus de dveloppement du projet.
97.149
chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain
local
quartierurbain
individuel
exsitant
localdividuelel
divdi rtier
urbainineietiquartierelelel
eietiprojet
parkings
Echelles dimpact des infrastructure : nuisances, frquentations...
0 80m
NEchelles de site = Projet urbain ?
processus de dveloppement du projet.
99.149
0 80m
N
PHASE 1 :SIMPLANTER
MOBILIT :
PRATIQUES :
PAYSAGE :
PHASE 2 :SETENDREE
PHASE 3 :REPROGRAMMER
PHASE 4 : HABITER
cologie et paysage
diversit de pratiquesmobilit douce
parkings silos
quipementde proximit
programmes in situaugment
espace public programmes rcratifs et culturels
programmes dcologienouveau paysage
logement in situ
Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin
tramPublic
concentration des magasins
TramFret
2010
2012
2011
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
2021
Dveloppement dans le temps
1 programme phare = 1 vnement ou 1 activit temporaire annonce
processus de dveloppement du projet.
101.149
PHASE 1 :SIMPLANTER
MOBILIT :
PRATIQUES :
PAYSAGE :
PHASE 2 :SETENDREE
PHASE 3 :REPROGRAMMER
PHASE 4 : HABITER
cologie et paysage
diversit de pratiquesmobilit douce
parkings silos
quipementde proximit
programmes in situaugment
espace public programmes rcratifs et culturels
programmes dcologienouveau paysage
logement in situ
Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin
tramPublic
concentration des magasins
TramFret
2010
2012
2011
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
2021
PHASE 1 :SIMPLANTER
PHASE 2 :DIFFUSER
PHASE 3 :REPROGRAMMER
PHASE 4 : HABITER
cologie et paysage
diversit de pratiquesmobilit douce
parkings silos
quipementde proximit
programmes in situaugment
espace public programmes rcratifs et culturels
programmes dcologienouveau paysage
logement in situ
Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin
tramPublic
concentration des magasins
TramFret
1
2
3
2010
2012
2011
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
2021
TramFret
TramPublic
1
plot n
2
3
4
construction/mutation degr dhabitat
dpla
ceme
nt de
s ser
vices
auto
dans
plot
1
dpla
ceme
nt to
boga
n
et res
tauran
ts da
ns pl
ot 3
mutat
ion 4
dpla
ceme
nt bo
ulang
er
kiabi,
tobo
gan d
ans p
lot 2
mutat
ion pl
ot 3 (
Galer
ie)
et 4 l
oisir
soft
ilts B
ilts C
ilts D
ilts A
mutat
ion au
chan
dans
1 et
2
Dveloppement du dtail de phasage
processus de dveloppement du projet.
103.149
PHASE 1 :SIMPLANTER
PHASE 2 :DIFFUSER
PHASE 3 :REPROGRAMMER
PHASE 4 : HABITER
cologie et paysage
diversit de pratiquesmobilit douce
parkings silos
quipementde proximit
programmes in situaugment
espace public programmes rcratifs et culturels
programmes dcologienouveau paysage
logement in situ
Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin
tramPublic
concentration des magasins
TramFret
1
2
3
2010
2012
2011
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
2021
TramFret
TramPublic
1
plot n
2
3
4
construction/mutation degr dhabitat
dpla
ceme
nt de
s ser
vices
auto
dans
plot
1
dpla
ceme
nt to
boga
n
et res
tauran
ts da
ns pl
ot 3
mutat
ion 4
dpla
ceme
nt bo
ulang
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kiabi,
tobo
gan d
ans p
lot 2
mutat
ion pl
ot 3 (
Galer
ie)
et 4 l
oisir
soft
ilts B
ilts C
ilts D
ilts A
mutat
ion au
chan
dans
1 et
2
Premiers essais de plan guide.
processus de dveloppement du projet.
105.149
pratiques actuelles
ventes doccasion
magasins pop-up
amap circuits courts
spectacles (cin thatre...)
confrences
clubs de nuit
bars cafs
fte forraine
march aux puces
expositions
production dnergie
collecte et puration deau
jeux denfants
espaces sant dtente
basketball football volley
auto-partage
vlo-partage
parking-relais
maison de quartier
observatoire du paysage
aires picnics dtente
sanitaires publics
frisbee
roller skate bmx
jogging
natation
athltisme
promenade
dog-walking
karting
cole de conduite
jardins partags
auto-cueillette
vente de produits transforms
transfo. de produits de la plaine est
recyclage
vente de produits recycls
logements
logements temporaires
bureaux
locaux associatifs
logements tudiants
cole
extension universit
crche
rserve naturelle
drive-in-spectacles
drive-in-restaurant
venementielhypermarch
co-voiturage
vente de particulier particulier
rencontre avant dpart
lieu de retrouvailles
sports dasphaltes
ventes spcialises
services auto
drive-in-shopping
restaurants
galerie marchande
stockage dpot pour tram-fret
in situ augment
dveloppeurs programmatiques
coprsence nouveau paysage
transitoires plein air couverts en intrieursmtropolitaine
aire dinfluence : conditions de pratique :
locale prive M
MM M
M
M
MM
M
M
MMMMMMMM
MMM
M
MMMMMMMM
M
MMMM
M
M
L
LLL
LL
L
L
L
L
LLLL
L
L
L
LL
LLLL
L
P
P
P
P
Dveloppement des programmes nouveaux possibles
processus de dveloppement du projet.
107.149
pratiques actuelles
ventes doccasion
magasins pop-up
amap circuits courts
spectacles (cin thatre...)
confrences
clubs de nuit
bars cafs
fte forraine
march aux puces
expositions
production dnergie
collecte et puration deau
jeux denfants
espaces sant dtente
basketball football volley
auto-partage
vlo-partage
parking-relais
maison de quartier
observatoire du paysage
aires picnics dtente
sanitaires publics
frisbee
roller skate bmx
jogging
natation
athltisme
promenade
dog-walking
karting
cole de conduite
jardins partags
auto-cueillette
vente de produits transforms
transfo. de produits de la plaine est
recyclage
vente de produits recycls
logements
logements temporaires
bureaux
locaux associatifs
logements tudiants
cole
extension universit
crche
rserve naturelle
drive-in-spectacles
drive-in-restaurant
venementielhypermarch
co-voiturage
vente de particulier particulier
rencontre avant dpart
lieu de retrouvailles
sports dasphaltes
ventes spcialises
services auto
drive-in-shopping
restaurants
galerie marchande
stockage dpot pour tram-fret
in situ augment
dveloppeurs programmatiques
coprsence nouveau paysage
transitoires plein air couverts en intrieursmtropolitaine
aire dinfluence : conditions de pratique :
locale prive M
MM M
M
M
MM
M
M
MMMMMMMM
MMM
M
MMMMMMMM
M
MMMM
M
M
L
LLL
LL
L
L
L
L
LLLL
L
L
L
LL
LLLL
L
P
P
P
P
rduire les tempsde parcourset belvdre
accder au site
relier les parcstraverser le site
chemins pitonniersavoisinants
conditions existantes
MOBILITEmodes doux individuels
Parc deParilly
Jardin du parc technologique
Conception des diffrentes couches de projet
processus de dveloppement du projet.
109.149
MOBILITEvhicules motoriss
conditions existantesinfrastructures et parkings
desservir le sitede faon efficace.
concentrer les parkings
parking concentrs en silosou souterrains
Conception des diffrentes couches de projet
PAYSAGEflore
conditions existantes
maillage des corridors cologiques
diminution de limpact de lautoroutemarquer les entres et les transversales principales
interactions possibles flore / bati
PAYSAGEflore
conditions existantes
maillage des corridors cologiques
diminution de limpact de lautoroutemarquer les entres et les transversales principales
interactions possibles flore / bati
processus de dveloppement du projet.
111.149
PAYSAGEeau
suivre lcoulement naturel de leau
collectermettre en rseau
nettoyer et rcolter les eaux de pluieterres innondables
GROUPEAUCHAN
GRANDLYON
DEPARTEMENTDU RHNE
REGION RHNE-ALPES
INVESTISSEURSIMMOBILIERS
DIVERS
COMMUNE DE BRON
COMMUNAUTE DE COMMUNES
DE PORTE DES ALPES
COMMUNE DESAINT PRIEST
r+1
r+2
r+3
r+4
r+8
r+3
r+4
r+3
r+4
r+8
1000 m
EXISTANTSCENARIO 1 : POLE HABITAT
surface au sol31,5 Ha
315 000 m
potentiel de surfaceen tages
surface commerciale conserve sur R+1surface restante aloue a des activits diverses destines lhabitat
parking et infrastructure120 000m
btiments shopping 100%
stockage 68 000 m
vente 122 000 m
surface de stockage necessaire
surface mutable
rsidusrsidus
hypermarch
commerces spcialiss
places de parking
infrastructures
IKEA
galerie marchande
service auto
site dtude primtre
surface vendresurface vendre
surface vendre
espace public
espace public projet107 000 m
parkingsuperposs
63%
39%
38%60%
15% 10%
MAI
TRIS
E DOU
VRAGE P
OTENTIELLE
PR
OPRIETAIRE
21%
r+3
r+4
r+3
r+4
SCENARIO 3 : POLE DE DISTRIBUTION HABITEsurface commerciale conserve sur R+1
surface logistique x2 et surfaces restantes destines lhabitat
surface vendre
espace public
SCENARIO 2 : POLE COMMERCIAL HABITEsurface commerciale x 1,5 sur R+1
surface restante aloue des activits diverses destines lhabitat
surface vendre
espace public
r+8
r+8
- POINTS FORTS : rapport dchelles de proximit et dintensit de pratique entre commerce et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques appuye.
- POINTS FAIBLES : non-viable conomique-ment, oprateur priv ny gagne rien, fonds publics investis en masse dans la la mise en place dun paysage habitable.
- POINTS FORTS : viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire et espace public et paysage financs par partenariat public priv.
- POINTS FAIBLES : rapports dchelle de proximit, daires dinfluence et dintensit de pratiques entre commerce et habitat ne sont pas rtablis. desectorisation et mixit de pratiques rduites.
Type Vaulx-Carr de Soie.
POINTS FORTS :
chelles de rapport de proximit entre commerce, travail et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques renfor-ces
viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire en renforcant le volet distribution et logistique de leur activits.rentabilisation du contexte infrastructurel.espace public et paysage financs par partenariat public priv.
Recherches de scnarios programmatiques
processus de dveloppement du projet.
113.149
GROUPEAUCHAN
GRANDLYON
DEPARTEMENTDU RHNE
REGION RHNE-ALPES
INVESTISSEURSIMMOBILIERS
DIVERS
COMMUNE DE BRON
COMMUNAUTE DE COMMUNES
DE PORTE DES ALPES
COMMUNE DESAINT PRIEST
r+1
r+2
r+3
r+4
r+8
r+3
r+4
r+3
r+4
r+8
1000 m
EXISTANTSCENARIO 1 : POLE HABITAT
surface au sol31,5 Ha
315 000 m
potentiel de surfaceen tages
surface commerciale conserve sur R+1surface restante aloue a des activits diverses destines lhabitat
parking et infrastructure120 000m
btiments shopping 100%
stockage 68 000 m
vente 122 000 m
surface de stockage necessaire
surface mutable
rsidusrsidus
hypermarch
commerces spcialiss
places de parking
infrastructures
IKEA
galerie marchande
service auto
site dtude primtre
surface vendresurface vendre
surface vendre
espace public
espace public projet107 000 m
parkingsuperposs
63%
39%
38%60%
15% 10%
MAI
TRIS
E DOU
VRAGE P
OTENTIELLE
PR
OPRIETAIRE
21%
r+3
r+4
r+3
r+4
SCENARIO 3 : POLE DE DISTRIBUTION HABITEsurface commerciale conserve sur R+1
surface logistique x2 et surfaces restantes destines lhabitat
surface vendre
espace public
SCENARIO 2 : POLE COMMERCIAL HABITEsurface commerciale x 1,5 sur R+1
surface restante aloue des activits diverses destines lhabitat
surface vendre
espace public
r+8
r+8
- POINTS FORTS : rapport dchelles de proximit et dintensit de pratique entre commerce et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques appuye.
- POINTS FAIBLES : non-viable conomique-ment, oprateur priv ny gagne rien, fonds publics investis en masse dans la la mise en place dun paysage habitable.
- POINTS FORTS : viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire et espace public et paysage financs par partenariat public priv.
- POINTS FAIBLES : rapports dchelle de proximit, daires dinfluence et dintensit de pratiques entre commerce et habitat ne sont pas rtablis. desectorisation et mixit de pratiques rduites.
Type Vaulx-Carr de Soie.
POINTS FORTS :
chelles de rapport de proximit entre commerce, travail et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques renfor-ces
viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire en renforcant le volet distribution et logistique de leur activits.rentabilisation du contexte infrastructurel.espace public et paysage financs par partenariat public priv.
Recherches dimplantation programmatiques et gabarits limites
mai 10
hypermarch
autoroute
Boul
evar
d A.
Bou
loch
e
Tram
PHASE 1 :SIMPLANTER
EXISTANT
PHASE 2 :DIFFUSER
PHASE 3 :REPROGRAMMER
PHASE 4 : HABITER
hypermarch parking parking hybride
parking station service
station service
station servicehypermarchnon-alimentaire
hypermarchalimentaire
hypermarchalimentaire
hypermarchnon-alimentaire
entrepothybride
rserve naturesauvage
loisirs mtropolitainspromenade en belvdre
plateforme logistiquepoint relais local
corridor cologique
rserve naturesauvage
rserve naturesauvage
ilot mixte
logements temporairesrestaurants
hypermarch - grand bazard sur deux niveaux
service - experience shopping
toit vgtal - nouveau paysage
quick shopping
habitat
habitat - travail
travail - commerce - equipement
processus de dveloppement du projet.
115.149
hypermarch
autoroute
Boul
evar
d A.
Bou
loch
e
Tram
PHASE 1 :SIMPLANTER
EXISTANT
PHASE 2 :DIFFUSER
PHASE 3 :REPROGRAMMER
PHASE 4 : HABITER
hypermarch parking parking hybride
parking station service
station service
station servicehypermarchnon-alimentaire
hypermarchalimentaire
hypermarchalimentaire
hypermarchnon-alimentaire
entrepothybride
rserve naturesauvage
loisirs mtropolitainspromenade en belvdre
plateforme logistiquepoint relais local
corridor cologique
rserve naturesauvage
rserve naturesauvage
ilot mixte
logements temporairesrestaurants
hypermarch - grand bazard sur deux niveaux
service - experience shopping
toit vgtal - nouveau paysage
quick shopping
habitat
habitat - travail
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