Aurore Rapin. PFE. Pôle de distribution habité. Carnet de recherches

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1.149 [email protected] . architecte diplomée d’état p.f.e. 2009.2010 . carnet de recherches . ensa lyon Pôle de distribution habité

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Synthèse et carnet de recherche de mon projet de fin d'études, Validé par l'école nationale supérieure d'architecture de Lyon en juin 2010.

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  • [email protected] . architecte diplome dtat

    p.f.e. 2009.2010 . carnet de recherches . ensa lyon

    Ple de distribution habit

  • 3.149

    Sommaire Ple de distribution habit 1

    p.f.e. Synthse et planches 5

    Carnet de recherches 21

    Grand Lyon ? 23Sites de projets 33Problmatique 41Processus de projet 47Projet 121

  • Enseignants

    Christophe WIDERSKI, Mathilde DUTILLEUL, Anthony JOYEUX, Mathieu LAMOTTE. Intervenants : Pierre JANIN, Karim BETTICHE, Sylvaine BULLE, Herv LEQUAY.

    Atelier : Architecture, Stratgies et Pratiques AvancesMaster Stratgies pour le Dveloppement Durable et quitable, Anne scolaire : 2009 . 2010cole Nationale Suprieure dArchitecture de Lyon

  • p.f.e. synthse et planches

  • Des ples de faits...

    Les espaces de la grande distribution contribuent aujourdhui structurer le territoire. Il reprsentent un masse significative demplois et jouxtent souvent de grandes fonctions urbaines qui polarisent de nombreux dplacements (universit, hpitaux, stades, etc.).

    Ils sont devenus des lieux de rfrence de vie quotidienne, limitant parfois aux pri-urbains la ncessit du recours au centre-ville.

    Mais comme leur dveloppement sest fait au coup par coup, ils sont accuss par tous de bien des maux.

    Dans un contexte o la prise en compte de lenvironnement devient une priorit, leur fonctionnement et rentabilit, bas sur lusage de lautomobile, est mis mal. En plus dtre consommateurs despace outrance, ces aires sont sectorises et trs peu structures, en bref, dpourvues de qualits urbaines et architecturales.

    Ce sont des polarits temporaires contraintes par les horaires douverture des magasins. Les PLU contribuent dailleurs souvent conforter la vocation de ces grandes aires conomiques et commerciales.

    pfe . synthse et planches

  • 7.149

    habiter les ples dconomies centres historiques

    porte des alpes

    porte de lyon

    le prollier

    st genis 2

    givors giers

    caluirebeynost

    0 10 km

  • rseau autoroutierrseau viaire

    ferroutage 2 chelles

    rseau autoroutier

    tram T et arrts

    rseau ferrovire

    influence des arrts

    inscription rseau TCL

    espaces pitonniers

    liaisons pitonnes

    arodrme

    2

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    2

    A43

    gare mixte renault trucks

    aerodrmebron

    entrept tcl

    saint priest

    boulevard urbain-est

    en construction

    rocade est

    priphrique est

    mtro D

    tram t2

    0 400 m

    pfe . synthse et planches

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    rseau autoroutierrseau viaire

    ferroutage 2 chelles

    rseau autoroutier

    tram T et arrts

    rseau ferrovire

    influence des arrts

    inscription rseau TCL

    espaces pitonniers

    liaisons pitonnes

    arodrme

    2

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    3

    2

    A43

    gare mixte renault trucks

    aerodrmebron

    entrept tcl

    saint priest

    boulevard urbain-est

    en construction

    rocade est

    priphrique est

    mtro D

    tram t2

    0 400 m

    ... potentiel de renouvellement

    Leur attractivit mtropolitaine pourtant, tablie, la conjoncture actuelle semble en faveur de leur restructuration et offrent un champ daction trs propice au renouvellement urbain et architectural.En effet, mme si 70% du chiffre daffaire des commerces est issu des aires pri-urbaines, les grand distributeurs se proccupent de linfidlit croissante de leurs clients.

    Les hypermarchs, et leurs galeries commerciales sont devenus obsoltes et sont attaqus sur tous les fronts . Retour en force du commerce de proximit, la recrudescence de la distribution spcialise et du hard discount, le dveloppement du e-commerce, les magasins de plus petit formats et le tout couronn par la gnralisation une prise de conscience environnementaliste.

    Les oprateurs commerciaux ont dj pris conscience de ces profondes mutations venir. Ainsi, de nouveaux concepts mergent de leur ct, tentant de rpondre au dcalage avec lvolution des modes de vie : Le Fun ou Experience Shopping viennent placer les centres commerciaux comme forme complmentaire au e-commerce

    Aux tats-Unis, certains promoteurs conscientisent dj des limites du modle de Retailtainment, qui proposent toujours des ambiances gnriques. Ils ont dvelopp des modles de petites villes dont une des plus connues est Seaside (o a t tourn le film The Truman Show)

    Malgr sa perte de vitesse actuelle, la grande distribution nest donc pas en panne de nouveaux concepts.

  • Des projets venir.

    Ainsi, confronts lessoufflement de lhypermarch, modle traditionnel de la grande distribution, les grand groupes privs, propritaires des zones commerciales, peuvent rejoindre les proccupations des pouvoirs publics, donnant lieu lmergence de nouveaux partenariat publics/privs.

    Pour viter que les nouvelles typologies de centre commerciaux sinstallent ailleurs, nouveau sur le coup dopportunits foncires, bouleversant lhistoire de la ville de faon parfois brutale, et en gnral pour limiter ltalement urbain, il est ncessaire daugmenter lintensit urbaine de ces espaces dj btis.

    Bien localiss par rapport aux bassins dhabiter et aux rseaux de transports collectifs existants, les grand groupes ont tout gagner rester sur le site, et pour les autres points positifs voqus prcdemment, ces aires peuvent rpondre aux besoins en quipements proches pour de futurs habitants Cependant, le paysage complet de ces zones restent rinventer.

    Ainsi, en accompagnant la mutation de lhypermarch in-situ, le projet de fin dtudes tentera de rpondre la problmatique : comment intensifier les zones commerciales priphriques en les rendant habitables ?

    Le projet consistera en un plan guide pour la transformation progressive et opratoire dune zone commerciale en une vritable polarit spcificit de logistique commerciale, une polarit dconomie et dhabitat.

    pfe . synthse et planches

  • 11.149

    Projet de ngociation entre sphre publique et sphre prive, il sappuie sur les dynamiques de grande distribution actuelles pour accompagner sa mutation in-situ sous des formes architecturales contemporaines. Elles sont compltes par des espaces publics et une plus grande varit de programmes. Ainsi, les surfaces commerciales sont valorises et la ncessaire habitabilit du site se met en place.

    tant donn le contexte infrastructurel du site et sa position par rapport lhyper-centre de la mtropole, le principal changement programmatique rside dans le dveloppement du volet logistique et stockage pour le groupe propritaire.

    Intgrer du logement permettra dviter de reproduire les effets de sectorisation et de polarit temporaires que lon trouve toujours dans les centre commerciaux de nouvelle gnration Shopping-Loisirs du type Valle-Village de Val dEurope Marne-la-Valle...).

    Le projet rclame un changement de regard sur ces espaces devenant dimmenses rserves foncires, et lacceptation de leur propritaires comme ayant leur place dans la ville et sa construction contemporaine.

  • 13.149

  • 15.149

  • 17.149

  • 19.14919.149

    Membres du jury

    Sylvaine BULLE : Sociologue, Enseignante lcole darchitecture de Paris Val de Seine et lEcole des Hautes Etudes en Sciences Sociales

    Joan CASANELLES : Architecte, Enseignant ENSAL, responsable du dpartement VTP.

    Abdelkader DAMANI : Architecte, co-directeur artistique de la Biennale dArt de Lyon.

    Herv LEQUAY : Architecte, Enseignant ENSAL, Responsable du laboratoire MAP-ARIA et du dpartement SPA

    Steven MELEMIS : Architecte urbaniste, Enseignant lcole de Paris-Malaquais.

    Ken RABIN : Architecte, Designer, Enseignant la Columbia University (NY)

    Christophe WIDERSKI : Architecte urbaniste, Enseignant ENSAL, responsable du dpartement SPA.

  • 21.149Chronologie des recherches menes et processus dlaboration du projet.

    Carnet de recherches

    21.149

  • Temps et mmoire des villes

    La mmoire dun territoire ?Ce quon sen remmore.Limage que lon sen fait.

    Un toponyme na pas t attribu par lhomme de manire arbitraire mais dans un souci de description et didentification du territoire.

    Nommer, cest en quelque sorte prendre possession.

    Un toponyme signale lappropriation historique dun lieu par une communaut qui la habit. Il rvle les caractristiques des milieux, les vnements qui ont marqus marqu la mmoire des hommes qui sy sont installs.

    Ltude aura donc pour objet un relev toponymique.

    oct. 09

  • Grand Lyon ?

  • Protocole de relev

    La dmarche utilise en grande partie Internet comme outil de relev du matriau. Il sera utilis pour reprer les souvenirs et images vhicules par ses utilisateurs, une mmoire instantane des territoires du Grand Lyon.

    La premire tape consiste en un relev des toponymes apparaissant sur toutes les pages et documents des 20 premiers sites Internet recenss par Google lors de la requte Grand Lyon .

    Une grande diversit de sites est ainsi couverte : officiels, commerciaux, associatifs et forums. Les 150 toponymes relevs correspondent aussi bien des noms de communes qu des noms dentits paysagres ou bien des noms de quartiers.

    le territoire du grand lyon .

  • 25.149

    Genas Commune Personnalit - 74 700 74,7 rfrence au premier seigneur s'appelait Jean de Genas 1500

    Genve Commune Hydrographie - 876 000 876,0"Genua" en latin, vient d'un terme ligure (peuplade du nord de l'Italie) qui fait allusion la proximit d'une nappe d'eau : le lac Lman luimme ou les marais la sortie du Rhne du lac. De plus, genusus dsigne le fleuve en illyrien. 0

    Gerland Quartier Hydrographie - 107 000 107,0"gerle" signifiant "ruisseau" par contraction avec le mot germanique land. ces terres ne furent jusqu'au XIXme s. qu'un gigantesquemarcage travers par les mouches (bras de fleuves). 1800

    Girondins Nexans ZAC Quartier Activit Personnalit 117 0,1 ? - Groupe politique de la Rvolution franaise et Nexans, leader mondial de l'industrie du cblene lyon 2009

    Givors Commune Hydrographie - 57 900 57,9reoit son nom de la rivire le Gier. en langage du pays Gier sappelle Gi, et Vord est une corruption gasconne de Bord. Givors est doncGier bord ou Bord du Gier. 500

    Gorge de Loup Connexion Topographie - 158 000 158,0 ? - "Gorge", valle encaisse et troite aux parois verticales tailles. 1980Grand Ouest Pays rgionnal - 172 000 172,0 ? -Grange Blanche Connexion - - 47 000 47,0 ? -

    Grenoble Commune Personnalit Topographie 1 200 000 1200,0" Cularo", littralement, le village accul la montagne), d'origine celtique, deviendra Gratianopolis sous le rgne de l'empereur Gratien.Grenoble rebaptise Grelibre la rvolution et ne reprendra son nom actuel que sous Napolon. 0

    Grigny Commune - - 532 0,5 ? -Guillotire Quartier - - 17 800 17,8 ? 1500Halle Tony Garnier Btiment Activit Personnalit 53 900 53,9 (1869 Lyon - 1948 ) architecte et urbaniste franais des anciens abattoirs lyonnais. 1914Halte ferroviaire Jean Mac Connexion Personnalits - 358 0,4 (1815 - 1894) enseignant et journaliste franais. 2005Hpital Feyzin - Venissieux Connexion Activit - 3 380 3,4 ? -Htel de ville Quartier Activit - 208 000 208,0 voque la prsence de la mairie -Ile de Miribel Quartier Hydrographie Topographie 14 700 14,7 "mire bellum", signifie beau point de vue. Ce vient de son site exceptionnel, en haut de la Ctire, 300 m. splendide panorama. 1200InCity Btiment - - 49 400 49,4 ? - "dans la ville" traduction de l'anglais au francais 2009Jet d'eau Mends France Connexion Personnalit Hydrographie 11 600 11,6 voque les jets d'eau, et (1907-1982) un homme politique franais, Radical-socialiste au Front populaire, puis la Rsistance. 2009La Bourgogne Pays rgionnal Personnalit - 215 000 215,0 "regnum Burgundiae" en latin, constitue par le peuple portant le nom de Burgondes et stablissant en Gaule romaine 0La buire Quartier - - 13 900 13,9 ? 2009la Confluence Quartier Hydrographie - 211 000 211,0 voque la confluence du Rhne et de la Sane 2000La Doua Quartier Activit - 191 000 191,0 voque l'ancien camp militaire prsent sur les lieux 1800la Duchre Quartier - - 21 100 21,1 ? 1400La mulatire Commune Personnalit - 13 100 13,1 viendrait de celui d'un magistrat lyonnais, Clment Mulat, consul de Lyon en 1479 - 1480 1480La Rize Quartier Hydrographie - 117 000 117,0 voque la Rize cours d'eau qui parcours le quartier -la Tte d'or Parc Activit - 159 000 159,0 provient d'une lgende selon laquelle un trsor avec une tte de Christ en or serait enfoui cet endroit. 1800Lachassagne Commune - - 9 930 9,9 ? -Lacroix-Laval Parc Personnalit - 4 840 4,8 XVIIIe sicle, Jean de la Croix, seigneur de Laval acquiert le domaine qui par la suite prendra le nom de Lacroix-Laval. 1300Laurent Bonnevay Astroballe Connexion Personnalit - 4 160 4,2 (1870 - 1957), avocat et homme politique lyonnais centriste 1978

    Le Bas Dauphin Pays rgionnal Personnalit - 164 000 164,0vient du fait que de nombreux comtes du Viennois aient port le rare prnom de Dauphin . Le comt du Viennoisou Dauphin tantl'apanage du fils ain du roi de France, il devient le titre homonyme d' hritier de la couronne . 1200

    Le Beaujolais Pays rgionnal Personnalit 162 000 162,0baronnie possde au IXe sicle par Guillaume, comte du Lyonnais et comte de Forez, mort en 900. sa mort, la baronnie chut sonfils Brard qui le premier porta le titre de sire de Beaujeu. 900

    Le Bugey Pays rgionnal - - 74 600 74,6 ? -

    Le Haut Dauphin Pays rgionnal Personnalit - 189 000 189,0vient du fait que de nombreux comtes du Viennois aient port le rare prnom de Dauphin . Le comt du Viennoisou Dauphin tantl'apanage du fils ain du roi de France, il devient le titre homonyme d' hritier de la couronne . 1200

    Le parc Blandan parc Personnalit - 3090 3,1 sergent Blandan est n Lyon en 1819. 2009Le Pilat Pays rgionnal Topographie - 94 700 94,7 en celte, montagne large (pi : montagne et lat : large). 0Les Dombes Pays rgionnal Hydrographie - 47 400 47,4 Dombes proviendrait dun nom germanique Dumpel signifiant tang, au 7me s. "Terra de Dumbis" 0Les Hauteurs Parc Topographie - 141 000 141,0 voque l'altitude du parc -Les Monts d'Or Pays rgionnal Topographie Hydrographie 116 000 116,0 provient du celte dwr qui signifie eau. De nombreuses sources et une multitude de fontaines tmoignent de son abondance. 0L'le Barbe Quartier Hydrographie Personnalit 42 000 42,0 Insula Barbara, l'Ile Barbare a donn l'Ile-Barbe. druides se livrant des sacrifices humains. Ou son aspect "sauvage". 0L'Isre Pays rgionnal Hydrographie Topographie 132 000 132,0 Izara ou Vizara. Iz ou viz signifiant "valle creuse", et ara "cours d'eau", le mot Isre signifie donc cours d'eau dans la valle creuse. 0Lissieu Commune Personnalit - 17 500 17,5 Licinius, ancien esclave romain, qui, une fois affranchi, construit son palais l'emplacement de l'actuel couvent de Montlusin. 0

    Lyon Commune Topography Personnalit 10 100 000 10100,0Lugdunum drive de mots gaulois, Lug dsignant le dieu suprme de la mythologie celtique et dunos, la "colline", l'ensemble dsignantdonc "la colline de Lug". Loudoun au VIIIe sicle, et "Lyon" au XIIIe sicle. 0

    Mcon Commune - - 2 680 000 2680,0 ? - Matisco en latin 0Marseille Commune Personnalit - 2 450 000 2450,0 Mas-Salia, la rsidence des Salyens.Massilia l'poque romaine. 0Mermoz Quartier Personnalit - 31 000 31,0 Jean Mermoz, aviateur franais (1901 -1936) 1992Meyzieu Commune - - 49 200 49,2 ? -Montbrisson Commune - - 84600 84,6 ? 800Montchat Quartier Hydrographie - 11 200 11,2 mont Chal du radical celte -cal- qui dsigne un espace bois ou marcageux. 0Monplaisir Quartier - - 20 700 20,7 ? -Monts du Lyonnais Pays rgionnal Topographie - 51 200 51,2 ? -Neuville-sur-Sane Commune Hydrographie - 19 700 19,7 situe sur la Sane 0Parilly Parc - - 14 400 14,4 - -

    Toponymes Type / Echelle Rfrences Rfrence 2

    Nombredersultatsurinternet

    Tailledepolice Etymologie du toponyme Periode

    Annecy Commune Personnalit - 222 000 222,0

    viendrait d'une importante villa romaine, situe sur le coteau d'Annecy-le-Vieux, nomme Aniciacus du gentilice d'un propritaire de lafamille des Anicii, clbre dans l'histoire du Bas-Empire. Au VIIIe s., un grand domaine sur la colline d'Annecy-le-Vieux tait connu sous le nom d'Anicius, ou Aniciacus, ou villa Aniciaca. 800

    Bachut Quartier - - 3 470 3,5origine tire du nom du dieu Bacchus, vase boire, puis espce de bateau dont une partie destine conserver le poisson vivant enrecevant l'eau par le moyen d'une grille. -

    Balan Commune - - 28 100 28,1Balanum (fruit en latin ?) tait un port actif domin par la Balme du Mollard. Pendant plusieurs sicles, Balanum, puis Balon, enfin Balanen 1654. 0

    Balmes Viennoise Pays rgionnal Topographie - 538 0,5

    dsigne dans la rgion lyonnaise tout coteau escarp, pente ou talus. vient du gaulois balma qui signifie " grotte dermite ". Les falaiseset les parois abruptes des valles tant souvent creuses de cavernes de dissolution servant dabris, le nom a t appliqu ensuite lensemble du versant. -

    Bligneux Commune - - 6100 6,1 Village de Biligniaci ds le XIIIe sicle. 1300

    Bellecour Quartier Activit - 90 900 90,9

    fin du XIIe, vigne appele bella curtis (beau jardin). 1562, le pr de Belle-court 1715, place Royale, nomme "place Louis-le-Grand".A la Rvolution, "place de la Fdration" puis devient "place de lEgalit". Juin 1800, la place porte le nom de "place Bonaparte", un peu plus tard "place Napolon", sous la Troisime Rpublique, nom actuel : "place Bellecour". 1300

    Berges du Rhne Quartier Hydrographie 74000 74,0 Le nom celtique du Rhne est Rodanos, forme plus ancienne : Srodanos. La signification de ce nom est "puissant cours d'eau". 2000Berthelot-Epargne ZAC Quartier Personnalit - 130 0,1 nomme en l'honneur de Marcellin Berthelot (1827 - 1907) chimiste, essayiste, historien des sciences et homme politique franais. 2009Bioparc Lyon Quartier Activit - 4 260 4,3 ? - du grec bios [bio-, -biose], vie. 2009

    Bourg-en-bresse Commune Personnalit - 140 000 140,0un lieu de culte druidique gaulois. "Bresse", hrit de Brixia, divinit gauloise, et celui de "Brou", la broussaille, le bois sacr . Rvolution la ville prend le nom dpi-dOr signifiant Bourg rgnr. le nom de Bourg, puis ajout de "en-Bresse". 200

    Bron Commune Personnalit Hydrographie 400 000 400,0 1248, Josselme de Bron est seigneur de Bron - Fontaine, Source. 1200

    Brotteaux-Servient Connexion Hydrographie Personnalit 471 0,5

    dsigne en parler lyonnais une le de la plaine alluviale du Rhne et limit par le fleuve lui-mme ou l'un de ses bras. provient del'arpitan broteu, drivation de brot, dsignant les jeunes pousses d'arbres qui le caractrise . Madame de Servient, ancienne propritairedu domaine de la part-dieu. 1800

    Caluire et Cuire commune - - 76 500 76,5? - racines celtiques, le mot cal signifie rocher mais aussi fort ou encore marais. Du ct de nos anctres latins, un colon militaire romain qui s'appelait Calvirius , y aurait tabli un domaine. Le nom de Caluire apparat dans les textes, partir du 14 sicle. 1400

    Canal de Jonage Quartier Hydrographie Personnalit 3 770 3,8"Joanages", sans doute est-ce l l'origine de son nom, Jonage tant une dformation de Jean (Jehan Johan), est-il rapprocher desrivires Jouanne, Juine, Joigne, Jugnon ? 1100

    Carr de Soie Quartier Activit - 126 000 126,0 voque l'histoire lyonnaise, et son industrie de la soie. 2000Chalon-sur-Sane Commune Hydrographie - 112 000 112,0 La ville s'est appel Cabillonum dans temps des romains. 0Charbonnire-les-bains Commune Hydrographie - 338 0,3 ? - evoque l'activit thermale. Carbonaria en latin . -Charpennes Connexion - - 7 480 7,5 Charpenes, pluriel de Charpena, fait rfrence l'arbre Charme, Carpinus en latin. -Chassieu Commune - - 41 600 41,6 ? -Cit internationale Quartier Activit - 117 000 117,0 ? - evoque une activit internationale 2000Collonges-au-Mont d'Or Commune Topographie Hydrographie 9 160 9,2 Colonias, Colungiis en 1176, de Colungias en 1201, puis Colonge et enfin Collonges. ce nom dsigne un point deau. 1000Corbas Commune - - 44 500 44,5 ? - en 937, sous le nom de Villa Corbatis . 900Cordeliers Connexion Activit - 38 400 38,4 nom jadis donn aux religieux franciscains de la stricte observance, cause de la corde noue qu'ils portaient autour de la taille. 1200Cotires de la Dombes Pays rgionnal Topographie Hydrographie 3 060 3,1 "Ctires", cteaux abrupts. Dombes proviendrait dun nom germanique Dumpel signifiant tang, au 7me s. "Terra de Dumbis" 700Craponne Commune - - 59 400 59,4 ? 913

    Crayon Btiment - - 126 000 126,0voque la cylindrique de l'difice. Aujourd'hui, Tour de la Part-Dieu. il fallait un nom plus reprsentatif pour le Crayon, et capable sesexporter ltranger. 1980

    Cremieu Commune - - 28 900 28,9 ? 1200Croix Luizet Quartier - - 2 610 2,6 ? Charles Luizet, fonctionnaire franais, militaire, rsistant, puis Prfet de Police de Paris. Compagnon de la Libration.Croix Rousse Quartier - - 108 000 108,0 une croix est rige sur le plateau et ralise en pierre de Couzon, de teinte ocre. Elle donnera son nom au bourg cr. 1500Dardilly Commune Personnalit - 50 000 50,0 ? - Dardiliacus qui aurait fond Dardilly. 0Dcines Commune - - 129 000 129,0 ? 0Demeure du Chaos Btiment Btiment - 85 400 85,4 ? - voque la destruction artistique d'une demeure saint romain au mont d'or 2000

    Dijon Commune - - 1 370 000 1370,0

    ? - march sacr latin "Divio", Divione, Digum au XIIIe sicle, "Diviomagus" compose du celte magos,signifiant "champ de foire" etde "divio", signifiant "sacr". pourrait renvoyer divin car important lieu de culte des Lingons. Ou amalgame de deux mots latins: D et Vio signifiant deux voies , allusion la voie romaine et l'Ouche qui traversaient la ville. 0

    Ecully Commune - - 73 900 73,9 primitivement couverte d'une fort de chnes. Aesculus, chne en latin, donne Esculiacus puis : Excolliacus, Escullieu, Escully. 500Edouard Herriot Btiment Personnalits - 10 400 10,4 homme politique franais d'origine lyonnaise, membre du Parti radical et maire de Lyon 1935Fontaine-sur-Sane Commune Hydrographie - 713 0,7 voque localisation sur la rivire Sane et la prsence d'un point d'eau. 0Fourvire Quartier Activit - 78 000 78,0 Vieux-Forum de la Cit en latin ''Forum Vetus'', puis Fourvire. 0Francheville Commune Activit - 52 700 52,7 premire banlieue de Lyon, avec la civilisation romaine, franca villa . 0Gare de Vaise Connexion Hydrographie - 12 500 12,5 autrefois "Vaques", viendrait de vacua . galement driv de vzia ou vezola, "tuyau ou de canal d'irrigation". 0

    Gare de Vnissieux Connexion Personnalit - 19 400 19,4 "Villa Vnicis" se situerait dans le dcor du prieur de Saint-Pierre-de-Lyon. volue de Venicies en Venissieu puis en Vnissieux. 600Gare Saint Paul Connexion Personnalit - 170 000 170,0 voque un des aptres du Christ. 1876

  • rsultat dimages

    < 50 000

    200 000 >

    grand ouest gare saint paul tour oxygne villefranche l'ouest lyonnaisla tte d'or gorge de loup point du jour parc des hauteurs bourg-en-bresse

    portes du sudportes des alpesla confluence htel de ville la doua

    valle du giers val de sane sainte foy dcines crayon carr de soie cit internationale la rize les monts d'or saint fons croix rousse

    gerland vnissieux vaulx-en-velin part-dieu bellecour

    plaines de l'est lyonnaisdemeure du chaos fourvire saint-exupry

    caluire et cuire genas vaise berges du rhne ecully presqule

    leslys terraux rhne amont craponne givors pierre bnite

    viennebronlyon grenoble

    le territoire du grand lyon .

  • 27.149

    0 20 km

    N

    parctte dorchurchillbrotteaux-servientcharpennescordeliersgare de vaise

    gare de vnissieuxgare saint paulgorge de loupgrange blanche jean mac

    Hpital Feyzin - Venissieux

    mends francelaurent bonnevay astroballe

    meyzieu z.ipart-dieupriphrique nordrocade est

    Saint-Exuprysaxe - gambetta

    stade de gerlandperrachemontrochet

    saint priestbel air

    vaulx-en-velinla soie

    vaulx-en-velin la grappinire

    iut feyssinehtel de villelouis pradelbellecourguillotirecit internationalecentre de congrs

    cuirevieux lyoncathdrale st jean

    saint-justfourvireles hauts de st claircroix roussecroix rousse nordles sourcesvalmyfochgrand clementbachutbellecour

    berges du

    rhnezac berthelot-epargnebioparc lyon carr de soie

    cit inter--nationalecroix luisetcroix

    roussetats-unisfourviregerlandzac girondins nexansguillotireconfluencela douala duchrela rizela buirelumiremermoz

    montchatmontplaisirle point du jourportes des alpesportes du sud

    presqu'lesaint-rambert

    sans-soucisterrauxzac thiersvaise

    zac valo vieux-lyon

    gratte-cielzac bon laithtel de villeperrache

    les balmes viennoises

    le beaujolais

    la bourgogne

    les dombes

    l'isre

    le grand ouest

    haut dauphin

    bas dauphin

    le buget

    les monts dor

    le pilat

    monts du lyonnais pays de lozon

    plaines de l'est lyonnais

    plateau des dombes

    le val de sane

    plateau deshautes barolles

    valle d'azergues

    valle de la chimie

    valle de l'ain

    Valle de l'Ainvalle de l'yseron

    valle dugiers

    le bois de serres

    vallons des chets

    vallondu ribes

    tte d'or

    lacroix-laval blandan

    les hauteursmiribel-jonage

    parilly

    annecy

    balan

    bourg-en-bresse

    bligneux

    bron

    caluire-et-cuire

    chalon-sur-sane

    charbonires-les-bains chassieu

    collonges-au-mont-d'or

    craponne cremieu

    dardillydcines

    dijon

    cullyfontaine-sur-sane

    francheville genas

    genve

    givors

    grenoble

    gringy

    la mulatire

    lachassagne

    lissieu

    mcon

    meyzieu

    montbrisson

    neuville-sur-sane

    pierre bnite

    rillieux

    saint-fonsst genislaval

    saint-claude

    ste foyls-lyon

    saint-tienne

    tassin lademi-lune

    vaulx-en-velin

    vnissieux

    vienne

    villefranche-sur-sane

    corbas

    marseille

    Go-localisation, cartographie toponymique.

  • 0 20 km

    N

    le territoire du grand lyon . Resserrement du cadrage de ltude

  • 29.149

    N

    0 5 km

    saint-xupry

    vaulx-en-velinla soie

    zac berthelot-epargne bioparc lyon zac girondins

    nexansconfluence

    zac thiers

    zac valo

    toponymes contemporains

    laurent bonnevay astroballepart-dieu

    priphrique nord

    rocade est

    toponymes XX s.

    cit internationale

    zac bon lait

    valle de la chimie

    brotteaux-servientsaint paul

    gerland

    la doua canalde jonage

    perrache

    tte d'or

    les hauteurs

    la mulatire

    saint-fons

    toponymes XIX s.

    tats-unis

    cordeliers

    croix rousse

    guillotire

    la duchre

    montchatpresqu'le

    terraux

    bligneux

    craponne

    dardilly

    genas

    neuville-sur-sane

    ste foyls-lyon

    tassin lademi-lune

    vnissieux

    villefranche-sur-sane

    corbas

    toponymes mdivaux

    lacroix-laval

    SAINT-RAMBERT

    LES DOMBES

    BRON

    COLLONGES-AU-MONT-D'OR

    CULLY

    FONTAINE-SUR-SANE

    FRANCHEVILLE

    GIVORS

    LISSIEU

    RILLIEUX

    VIENNETOPONYME ANTIQUES

    Ages des toponymes

  • Nbachut

    bellecour

    berges du

    rhne

    zac berthelot-epargne

    bioparc lyon

    carr de soie

    cit inter--nationale

    croix luiset

    croix rousse

    tats-unis

    fourvire

    gerland

    zac girondins nexans

    guillotire

    confluence

    la douala duchre

    la rize

    la buirelumire

    mermoz

    montchat

    montplaisir

    le point du jour

    portes des alpes

    portes du sud

    presqu'le

    saint-rambert

    sans-soucis

    terraux zac thiers

    vaise

    zac valo

    vieux-lyon

    gratte-ciel

    zac bon lait

    htel de ville

    perrache

    balan

    bligneux

    bron

    caluire-et-cuire

    charbonires-les-bains

    chassieu

    collonges-au-mont-d'or

    craponne

    dardilly

    dcines

    cully

    fontaine-sur-sane

    francheville genas

    givors

    gringy

    la mulatire

    lachassagne

    lissieu

    meyzieu

    neuville-sur-sane

    pierre bnite

    rillieux

    saint-fons

    st genislaval

    ste foyls-lyon

    tassin lademi-lune

    vaulx-en-velin

    vnissieux

    vienne

    villefranche-sur-sane

    corbas

    le territoire du grand lyon .

    Classement par rfrentiel tymologique, rvlant la gographie du territoire

  • 31.149

    0 5 km

    N

    gorge de loup

    les hauts de st clair

    portes des alpes

    les pentesle plateau

    les balmes viennoises

    les monts dor

    monts du lyonnais

    pays de lozon

    plaines de l'est lyonnais

    plateau des dombes

    le val de sane

    plateau deshautes barolles

    valle d'azergues

    valle de l'ain

    valle dugiers

    le vallon deserres etdes planches

    vallons des chets

    vallondu ribes

    cotires des dombes

    les hauteurs

    collonges-au-mont-d'or rillieux-la-pape

    vaulx-en-velin

    techlid

  • Sites de projets

    Parmi les maux du territoire de la ville distendue, le groupe a cherch comprendre les dynamiques qui tendent la formation de poches sectorises.

    Nous avons pu dgager de grandes catgories dans les dynamiques dattraction et de dlaissement du territoire : la formation de cadres dhabit et de cadres dconomie.

    Insidieuses ou promulgues par les actions des pouvoirs publics, ces deux cadres induisent parfois des configurations spatiales diffrentes.Si dans le discours politique, les diffrences spatiales tendent seffacer, elles sont toutes autres en ralit.

    nov..09

    recherche de sites de projets

  • Sites de projets

  • ATTRACTION

    dlaisss conomiques

    FranchiserCadre conomique

    Se logerCadre dhabiter

    DLAISSEMENT

    pauprisationgentrification

    concentration dactivits

  • 35.149

    ATTRACTION

    dlaisss conomiques

    FranchiserCadre conomique

    Se logerCadre dhabiter

    DLAISSEMENT

    pauprisationgentrification

    concentration dactivits

    Mthodologie

    Nous avons fait un tat des lieux cartographi du territoire actuel, associ aux politiques de dveloppement en place, en ce qui concerne le dveloppement des cadre dhabiter et dactivits conomique.Sont reprsents : en vert, les lieux de la gentrification (espaces de rsidence des populations aises) coupls aux grands projets politiques de valorisation des territoires ; en bleu, les lieux de lconomie (richesses produites par les communes) et les espaces miss en lumires comme attractifs par le Grand Lyon.

    Confronts la tache urbaine existante, plusieurs types de sites nous sont apparus comme de potentiels lieux de projet : certains confrontent les deux dynamiques chelle locale, ou ne sont soumis qu une des deux, voire aucune.

    Sur le panel relev, nous avons dgag de manire plus intuitive les lieux les plus marquants pour slectionner nos sites de projets de fin dtude.

  • recherche de sites de projets0

    N

    5 km

    Franchiser, Cadre conomique.

  • 37.1490

    N

    5 km

    Se loger, Cadre dhabitat

  • 0N

    5 km

    Combinaison des dynamiques

  • 39.149

    Superposition aux territoires sectoriss

  • Des ples contemporains...

    Une nouvelle forme de polarit est apparue de manire insidieuse ds la fin des annes 1960... Les espaces de la grande distribution se sont dvelopps en priphrie au moyen de labondante disponibilit de foncier faible cot, viabilis par la mise en place du rseau autoroutier et grce la motorisation progressive des mnages.

    Ces ples priphriques contribuent encore aujourdhui structurer le territoire : ils accueillent une masse significative demplois et de fonctions urbaines et polarisent de nombreux dplacements. Ils sont devenus le lieu de rfrence de vie quotidienne, limitant parfois aux pri-urbains la ncessit du recours au centre-ville.

    Permettant chacun daccder aux produits rpondant aux besoins quotidiens essentiels, ces nouveaux monuments sont galement le lieu dtonnants brassages de populations, dhorizons socio-professionnels les plus varies. Mais comme leur dveloppement sest fait au coup par coup, ils sont accuss par tous de bien des maux et cumulent de nombreux points faibles.

    Dans un contexte o la prise en compte de lenvironnement devient une priorit, leur fonctionnement et rentabilit, bas sur lusage de lautomobile, est mis mal. En plus dtre consommateurs despace outrance, ces aires sont sectorises et trs peu structures, en bref, dpourvus de qualits urbaines et architecturales.

    Gres par des oprateurs privs, ce sont des polarits temporaires contraintes par les horaires douverture des magasins. Les PLU contribuent gnralement conforter la vocation de ces grandes aires conomiques et commerciales, en limitant la hauteur du bti, ou en y interdisant la ralisation de logements.

    dc.09

  • 41.149

    Problmatique

  • aires commerciales pri-urbaines

    =70%du chiffre daffaire

    du secteur du commerces

    problmatique de projet.

  • 43.149

    ... potentiel de renouvellement

    Ainsi, malgr leur attractivit mtropolitaine tablie depuis une vingtaine danne, laction publique commence seulement sintresser lamnagement de ces ples, en les desservant parfois par les transports en communs.

    La conjoncture actuelle semble pourtant en faveur dune restructuration des centres commerciaux de priphrie et offrent un champ daction trs propice au renouvellement urbain et architectural.

    En effet, mme si la France reste le plus grand march de limmobilier commercial en Europe et que 70% du chiffre daffaire des commerces est issu des aires pri-urbaines, les grand distributeurs se proccupent de linfidlit croissante de leurs clients.

    Les hypermarchs sont attaqus sur tous les fronts : retour en force du commerce de proximit, la recrudescence de la distribution spcialise et du hard discount, le dveloppement du e-commerce, le tout couronn par la gnralisation une prise de conscience environnementaliste. lorigine de ces produits de la ville gnrique, les oprateurs commerciaux ont dj pris conscience de ces profondes mutations venir.

    Ainsi, de nouveaux concepts mergent de leur ct, tentant de rpondre au dcalage avec lvolution des modes de vie : ils commencent intgrer des proccupations de dveloppement durable, notamment en ce qui concerne laccessibilit (prise en compte des modes doux) ainsi quune certaine qualit darchitecture.

    Le Fun ou Experience Shopping viennent placer les centres commerciaux comme forme complmentaire au commerce virtuel

  • Aux tats-Unis, o le systme sest excessivement dvelopp, les paysages dabandons de vieux hypers se multiplient au profits de centre commerciaux dernire gnration. Certains promoteurs conscientisent dj des limites du modle de Retailtainment, qui propose des ambiances souvent gnriques. Ils ont dvelopp des modles de petites villes dont une des plus connues est Seaside (o a t tourn le film The Truman Show)

    Malgr sa perte de vitesse actuelle, la grande distribution nest donc pas en panne de nouveaux concepts.

    Les pouvoirs publics peuvent ainsi rejoindre la proccupation de certains amnageurs ou oprateurs commerciaux confronts lessoufflement du modle traditionnel de la grande distribution, donnant lieu lmergence de partenariats publics/privs.

    Pour viter que les nouvelles typologies de centre commerciaux sinstallent sur de nouveaux sites sur le coup dopportunits foncires, bouleversant lhistoire de la ville de faon parfois brutale et en gnral pour limiter ltalement urbain, il est ncessaire daugmenter lintensit urbaine de ces espaces dj btis.

    Bien localiss par rapport aux centres historiques, parfois aux rseaux de transports collectifs existants et pour les autres points positifs voqus, ces aires peuvent rpondre aux besoins en quipements proches pour de futurs habitants

    Cependant, lenvironnement physique et limage de ces quartiers restent rinventer.

    Le projet de fin dtudes tentera de rpondre la problmatique :Comment intensifier les zones commerciales priphriques en les rendant habitables ?

    problmatique de projet.

  • 45.14945.149

  • Le parking du supermarch correspond une phase contemporaine de lvolution du grand espace aprs Versailles. []

    Le parking est le parterre dun paysage de bitume.

    Le dessin form par les lignes de stationnement donne une orientation de mme que celui des pavements, [...] en donnent une au jardin de Versailles : les grilles dclairage comme des points didentit et de continuit dans le grand espace se substituent aux oblisques, aux ranges durnes et de statues. *

    * Robert Venturi, Steven Izenour, Denise Scott Brown, Lenseignement de Las Vegas,

    jan. 10

  • 47.149

    Processus de projet

  • Biographie paysagre...

    Porte des Alpes .

    Rien que son nom, ainsi que la plupart des mots qui dcrivent cet espace de la grande distribution, grand ple conomique de la grande plaine de lest lyonnais, ne font quvoquer des paysages de limmense.

    Pourtant, limmensit de ce lieu de coprsence dchelle mtropolitaine du territoire de Lyon nest quillusion.

    Ce site de plus de 30 hectares, rgit sous lordre de la voiture, nest prsent que comme lieu de la pratique de lautomobile des fins commerciales.

    Dpourvu dchelle humaine, machinique et monotone : ces qualificatifs tuent ses qualits inhrentes de grand espace. La prise de photo sest avre illgale dans ce site gouvern par des oprateurs commerciaux.

    Ainsi, travers ces quelques photographies voles, la biographie paysagre suivante cherchent retranscrire cette srie sans fin de lordre du commercial et de lautomobile, en opposition de vritables grands espaces qui subsistent encore : le ciel et les terrains vagues avoisinant.

    processus de dveloppement du projet.

  • 49.14949.149

  • processus de dveloppement du projet.

  • 51.14951.149

  • Evolution des pratiques du site de porte des alpes1990 2000 2010

    cration du site commercial

    activit de laroportLyon Bron

    dmnagement IKEAextension Auchan

    construction duparc technologique

    extension des Hopitaux Est

    nombre dtudiants Universit Lyon 2

    volution du nombre demploi dans le tertiaire

    activit du centrecommercial

    dveloppementconomique et tertiaire du site

    accessibilit par lestramways T1 et T2

    ...?

    Stratgie programmatique

    Les enjeux se situent diffrentes chelles que le projet explorera. Parfois daire dinfluence rgionale, ces polarits priphriques posent la question de leur inscription territoriale et de leur liaisons aux autres ples de la mtropole, et plus localement aux infrastructures et quipements qui les jouxtent. Le terme habitable soulve les notions de contexte et de cadre de vie. Il convient de redonner une chelle plus humaine ces lieux du quotidien, et de rtablir un rapport plus raisonn aux lments naturels (hydrographie, topographie, faune et flore). Un projet despace public pourra donc tre propos.

    processus de dveloppement du projet.

  • 53.149

    espace public& accessibilit

    soutenable

    ple mixtequipementsde proximit

    rapport raisonn lenvironnement

    naturel

    t =1 jour

    20 ans

    ple dhabitermixte

    habitabilit

    comment intensifier les zones commerciales priphriques en les rendant habitables ?

    53.149

    Stratgie de dveloppement du projet dans le temps

  • Lintensification mentionne suggre linjection de nouveaux programmes pour remdier labsence de mixit et la densit trs faible de ces espaces. En considrant de nouveaux rapports de proximit, la mise en place de logements sur le site sera explore. La question de la mutation des centres commerciaux pourra tre parcourue par la reconversion dune partie de ces boites (espaces de stockages lis lexplosion du e-commerce ?).

    Aussi, des concepts de paysage productif seront questionns dans ces lieux de consommation outrance.

    Une juxtaposition nouvelle de programmes sera ainsi mise en place pour proposer de nouveaux modes dhabiter, sur ces espaces de la ville gnrique.

    processus de dveloppement du projet.

    fv. 10

  • 55.14955.149

    Axes de transformation et gographie du site

  • processus de dveloppement du projet.

  • 57.149

    Intentions la croises dchelles spatiales et temporelles et premiers relevsIntentions la croises dchelles spatiales et temporelles et premiers relevs

  • dplacements de biens /personnes doux

    Achat Experience/Plaisir VS Achat corve

    processus de dveloppement du projet.

  • 59.149

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    PRINT E-OC TOBER 2008 MAGAZINE

    New Malls, Old IdeasWith a handful of new retail projects, several major architects are attemptingto bring the much derided mall into the 21st century. But is good designenough?

    By Mason CurreyPosted October 15, 2008

    3 comments

    Regardless of what you think of his work, you have to admit that Frank Gehry has a greatmidlife-crisis story. Its 1980, and the 51-year-old architect is hosting a dinner at his house,a traditional California bungalow that, two years earlier, he had outfitted with a series ofdramatic triangular skylights and bizarre industrial outcroppings. His latest project,however, is Santa Monica Place, a bland suburban-style shopping mall a couple of milesaway. Attending the dinner is the president of the malls developer, who points out theobvious discrepancy. If you like this, he says of the house, you cant possibly like that mall.Gehry admits as much, but says, hey, hes got to make a living. Stop it, the developer tellshim. You should stop it. Dont do that.

    We all know how the story ends. Gehry recognizes that he is squandering his talent,dumps the malls, embraces his avant-garde tendencies, and goes on to conquer thearchitectural world. His Santa Monica home has since been called one of the mostinfluential residences of the 20th century. And malls? Ha!

    But now, almost three decades later, the humble shopping mall is no longer an automaticstand-in for architectural compromise and mere economic necessity. Architectssuccessful ones, famous onessuddenly want to do malls. Just this month there are twonew examples. On October 8, the Westside Shopping and Leisure Center, in Bern,Switzerland, opens its doors. This design is by Daniel Libeskind, fresh off major museumprojects in Denver, Toronto, and San Francisco. And, at the end of the month, the1.6-million-square-foot Westfield London will open in Shepherds Bush, with a luxury-retail outposta sort of appendage mallby Michael Gabellini, the New York architect bestknown for his sleek, minimalist interiors for fashion houses like Jil Sander and GiorgioArmani.

    Meanwhile, the Italian architect Massimiliano Fuksas has a shopping mall in Frankfurt,Germany, set to open early next yearnoteworthy, at the very least, for a dramaticescalator that will whisk pedestrians from ground level directly to a fifth-floor plazabeneath a swooping glass roof. In the United States, David Rockwells firm consulted onthe design of the Meadowlands Xanadu, a 4.5-million-square-foot megamall currentlyunder construction in New Jersey, which is poised to become the biggest in the countryand the third largest in the world. Last year, Londons Foreign Office Architects completeda remarkable shopping center in Istanbul, Turkey, with a broad public square surroundedby a series of rolling green roofs. And, a few years ago, the Pritzker Prize winner TadaoAndo replaced a 1927 Bauhaus-inspired apartment complex with a massive shopping mallin the same Tokyo neighborhood where the Dutch firm MVRDV has since built anotherluxury mall.

    Noted architects designing high-end retail spaces is hardly a new phenomenon. But thoseprojectsRem Koolhaass stores for Prada, Gehrys shop for Issey Miyaketend to bejewel boxes with the aura of an art gallery; they are exercises in branding more thanattempts to move goods. The recent designer shopping centers, by contrast, arenoteworthy for just how mall-like they are. There are escalators, skylights, food courts,movie theaters, even water parks. These are mall malls.

    Of course, the architects themselves might disagree. Weve never, ever used the wordmall, Gabellini says of West Village, his 150,000-square-foot luxury emporium attached

    New Malls, Old Ideas | Metropolis Magazine http://www.metropolismag.com/story/20081015/new-malls-old-ideas

    1 sur 4 08/03/2010 10:11

    Innovation et marchs de la grande distribution

    Jean-Baptiste Berry*

    Depuis une dizaine d'annes, la concurrence que se livrent les hypermarchs comme lesgrandes enseignes du commerce spcialis pousse les entreprises des changements leurpermettant de rduire les cots ou de mieux servir les clients, le but tant d'acqurir un avan-tage comparatif par rapport aux autres entreprises du secteur. Ce sont ces changements quel'Insee a cherch mesurer l'aide de l'enqute Innovation gnrale, ainsi que leurs effets surla croissance des entreprises.L'innovation prend des formes trs varies dans les secteurs du commerce en forte volutionque sont les hypermarchs, la grande distribution spcialise et les centrales d'achats. L'effetdes innovations sur les performances des firmes est galement vari suivant les secteurs. Cesinnovations apportent un gain de croissance individuel significatif pour le grand commercespcialis, en phase d'expansion. Inversement, les hypermarchs, dans une phase de maturit,ne profitent pas significativement des innovations ralises, et doivent leur croissance plus des effets de taille et de localisation qu' des innovations.

    Constitue des hypermarchs et des entreprises dites du grand commerce spcialis1, lagrande distribution a t retenue dans cette tude pour son caractre innovant, supposncessaire pour rsister un march fortement concurrentiel. Il a fallu prs de quarante anspour que l'hypermarch parvienne au seuil de sa phase de maturit2 en France (figure 1) ; lesgrandes surfaces spcialises demeurent en phase de croissance, beaucoup d'entre elles tantdveloppes par des groupes internationaux (comme par exemple Ikea, Kingsfisher/Darty/

    Innovation et marchs de la grande distribution 17

    *Jean-Baptiste Berry, la rdaction de cet article, faisait partie de la division Commerce, de lInsee. Il a travaill sur lethme de l'innovation, en collaboration avec Marc Dupuis, dans le cadre d'une tude suggre par la commission descomptes commerciaux de la Nation ( paratre).1. Cf. fiche 2.26, Le grand commerce spcialis intgr.2. On peut distinguer diffrents moments de la vie d'un concept de vente : la phase de croissance, pendant laquelle sesparts de march augmentent ; une phase de maturit, avec une stagnation de ses parts de march; puis ventuellementune troisime phase de dclin.

    0

    10

    20

    30

    40

    1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005

    March non alimentaire

    March alimentaire

    en %

    Parts

    demarch

    1. Parts de march de l'hyper-march depuis 1965

    Lecture : les parts de marchs alimentaires et nonalimentaires des hypermarchs sont en croissancedepuis la cration de ce concept de vente la fin desannes soixante, jusqu' une stabilisation, respecti-vement en 1998 et 1995. On observe un trs lgerretrait de ces parts demarch aprs leur stabilisation.Source : Insee, comptes du commerce.

    Dossier1.psN:\H256\STE\K3WCPB\_DONNEES\COMMERCE2006\Commerce2006\Dossier1\Dossier1.vpmardi 7 novembre 2006 11:46:19

    Profil couleur : Profil dimprimante CMJN gnriqueComposite 150 lpp 45 degrs

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    La Disponibilit

    Point de vente

    La vraie tendance, c'est l'Experience Shopping Marketing Magazine N100 - 01/12/2005 - Propos recueillis par Aurlie Charpentier

    Les habitudes de consommation ont volu et les marques doivent s'adapter. De larelation aux services, c'est l'ensemble du point de vente qui est revisit. Olivier Saguez,prsident de Saguez & Partners dcrit les tendances mergentes.

    COMMENT ONT VOLU LES POINTS DE VENTE CES DIX DERNIRES ANNES ?

    Olivier Saguez?: Avant, pour faire une marque, il suffisait de faire de la publicit. Aujourd'hui, les gens veulent duconcret, des faits. Ils ne veulent plus de blabla. Deuxime changement?: la massification de l'offre. Avec l'arrive desmarques propres et la guerre des prix, nous sommes arrivs une indiffrenciation des marques. La marque propre at vraiment la grande rvolution de ces dix dernires annes. Les distributeurs ont brouill la lecture de l'importancedes marques?: o situer la valeur ajoute d'une marque ? Du coup, il faut crer de la diffrence relle dans l'offre. Onne peut pas se diffrencier uniquement par le prix. Il faut avoir un avantage discriminant de produit, de service Lemarketing, qui a beaucoup consist susciter de la demande est redevenu un marketing de l'offre. Enfin, avecInternet, nous sommes entrs dans une priode trs immatrielle o paradoxalement les gens ont besoin de contactsdirects. Or, acheter, c'est toucher, essayer, comparer et c'est aussi dialoguer, choisir, comprendre, essayer le produit.La publicit ne suffit plus raconter une marque ou faire vivre une relation. Les marques se sont donc dit que, pourmontrer leur diffrence, leurs valeurs, il fallait qu'elles fassent des lieux. Apple ne s'est jamais mieux porte quedepuis qu'elle a cr ses Apple Centers. Avant, le lieu de vente n'tait qu'un lieu de vente, point final. Aujourd'hui, onparle d'Experience Shopping. Les gens n'y vont pas pour acheter parce qu'on peut faire plus vite, plus simple partlphone ou Internet. Mais on ne cre pas une relation. On sait ce que l'on veut, on vient juste chercher un prix. Lelieu de vente doit devenir autre chose cause d'Internet et du fait qu'il y a un manque en amont de relation directe,d'change, de dialogue, d'essai. La marque a intrt attirer le consommateur dans le lieu, mme si elle touchemoins de monde, elle les touchera de manire beaucoup plus efficace. Un lieu, c'est une unit de temps et d'action,comme une pice de thtre. La distribution a t gagnante ces dix dernires annes, non seulement cause desmarques propres mais aussi parce qu'elle a bien compris qu'en tant matre du lieu, elle tait matre du jeu. C'estpourquoi des marques comme L'Oral, Nestl, Danone, ont essay de recrer leur propre univers dans ces grandslieux-l en faisant du merchandising, du trade marketing ou en crant des lieux phmres. Pour raconter son histoire,soit Nike ouvre des Nike Stores, soit il installe des corners chez Go Sport o il cre un mini univers de marque. Nike vad'ailleurs envoyer des dmonstrateurs chez Go Sport, pour animer le lieu.

    Y A-T-IL DES PROJETS SUR LESQUELS VOUS AVEZ TRAVAILL ET QUI ONT T REFUSS PARCE QUE PEUT-TRE JUGS TROPFUTURISTES ?

    OS?: En effet, il y a une ide que je ne dsespre pas de faire passer. Nous avons un projet international en stand bypour une marque de yaourt?: faire un bar yaourts, comme les bars caf, dans les centres commerciaux, et quiserait en liaison avec le rayon yaourt de l'hypermarch. Une espce de petit bar drle et jeune, un peu comme unelaiterie, et sur le thme de la sant.

    ALORS QUELLES TENDANCES POUR DEMAIN ?

    OS?: La vraie tendance, c'est l'Experience Shopping?: un endroit o l'on ne vient pas que pour acheter. Souvent,quand des Japonais ou des Amricains viennent en France et me demandent de leur montrer nos conceptsd'Experience Shopping, je les emmne sur des marchs parisiens, riches en changes, bruits, odeurs, saveurs,relations intenses. L'Experience Shopping, c'est rinventer les marchs riches en convivialits et en changes. Latendance est aussi aux centres commerciaux ouverts, voyagistes, aux petits formats, aux magasins phmres. J'aiune ide de magasins roulettes o l'on ne s'occupe pas des murs, on vient juste avec son mobilier. On revientgalement la proximit, il faut revenir quasiment au pied des immeubles des gens. Je rflchis aussi des conceptsde magasins de toutes petites surfaces (25 m2), phmres, dans des centres commerciaux, dans la rue, avec un ctkiosque. Car il faut tre ractif pour arriver le premier sur le march?: on n'a donc pas le temps d'attendre un permisde construire. Et parce que l'on veut toucher tout le monde, les multiformats sont galement tendance. A l'instard'Orange et France Tlcom qui se dclinent la fois dans des lieux comme la maison o l'on explique tout, et depetits lieux pour les ravitaillements rapides. L'autre tendance, c'est le besoin de lieux simples, fonctionnels, efficaces.Il s'agit de revenir au cur du mtier?: prsenter correctement les produits. C'est ce qu'on retrouve dans lesmagasins d'usine, sobres, sans dcor. On s'est d'ailleurs rendu compte qu'il y avait des gens qui venaient MarquesAvenue parce que c'tait simple et non plus seulement pour les prix. Car aujourd'hui, acheter est devenu tropcompliqu. Les gens ne veulent pas du dcorum qui ne sert rien. Internet a appris aux gens aimer la simplicit etl'efficacit. Les magasins doivent aussi apprendre tre simples et purer les choses.

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    e-marketing.fr - Version imprimable de l'article : La vraie tendance, c'e... http://www.e-marketing.fr/Marketing-Magazine/Article/-La-vraie-tend...

    1 sur 2 15/01/2010 13:37

    6 Dossier

    INTRODUCTION

    Lmergence puis la monte en puissance du commerce pri-phrique constitue llment majeur de ces quarante derniresannes en terme dquipement commercial. La diversificationdu commerce de priphrie a rendu plus confuse lanciennerpartition spatiale des spcialits commerciales. Ainsi, lemonopole des magasins du centre, pour les branches de lqui-pement de la personne et de la culture-loisirs, ne cesse de sef-friter face loffensive des hypermarchs et des surfaces spcia-lises.

    Quant cette priphrie conqurante, elle ne se prsentepas de faon monolithique. Selon les agglomrations, un ouplusieurs ples principaux se partagent lessentiel de la client-le. Le dynamisme commercial nest pas partout identique. Lasituation par rapport aux rocades et pntrantes, le poids duple et lagressivit commerciale plus ou moins grande des

    enseignes sont autant de facteurs qui instituent une hirarchisa-tion pousse. Les centres commerciaux et les zones dactivitscommerciales nont jamais cess dvoluer au niveau de loffre,jouant sur leffet de masse et la diversification pour renforcerleur attractivit. La monte en puissance du commerce pri-phrique depuis la fin des annes soixante avec les premiershypermarchs et les centres commerciaux, et les annes quatre-vingt avec les zones dactivits commerciales a entran la dis-persion croissante des achats entre plusieurs ples bien distinctsdont lespace central. la dichotomie centre-priphrie, cha-cun spcialis dans lune ou lautre branche du commerce, sesubstitue un espace marchand plus flou. Lespace central, sur ladfensive, perd de plus en plus de parts de march au profit desples commerciaux priphriques. Faut-il, dans ces conditions,parler dun centre et de priphrie ou plutt de la mise en placedun systme multipolaire o chaque lment tend entrer enconcurrence avec les autres ? Une hirarchisation se constitueparmi ces nouvelles centralits priphriques. Pour accder au

    Les centres commerciaux franais,futurs ples de loisirs ?

    Ren-Paul Desse

    Flux n50 Octobre - Dcembre 2002 pp. 6-19

    Innovation et marchs de la grande distribution

    Jean-Baptiste Berry*

    Depuis une dizaine d'annes, la concurrence que se livrent les hypermarchs comme lesgrandes enseignes du commerce spcialis pousse les entreprises des changements leurpermettant de rduire les cots ou de mieux servir les clients, le but tant d'acqurir un avan-tage comparatif par rapport aux autres entreprises du secteur. Ce sont ces changements quel'Insee a cherch mesurer l'aide de l'enqute Innovation gnrale, ainsi que leurs effets surla croissance des entreprises.L'innovation prend des formes trs varies dans les secteurs du commerce en forte volutionque sont les hypermarchs, la grande distribution spcialise et les centrales d'achats. L'effetdes innovations sur les performances des firmes est galement vari suivant les secteurs. Cesinnovations apportent un gain de croissance individuel significatif pour le grand commercespcialis, en phase d'expansion. Inversement, les hypermarchs, dans une phase de maturit,ne profitent pas significativement des innovations ralises, et doivent leur croissance plus des effets de taille et de localisation qu' des innovations.

    Constitue des hypermarchs et des entreprises dites du grand commerce spcialis1, lagrande distribution a t retenue dans cette tude pour son caractre innovant, supposncessaire pour rsister un march fortement concurrentiel. Il a fallu prs de quarante anspour que l'hypermarch parvienne au seuil de sa phase de maturit2 en France (figure 1) ; lesgrandes surfaces spcialises demeurent en phase de croissance, beaucoup d'entre elles tantdveloppes par des groupes internationaux (comme par exemple Ikea, Kingsfisher/Darty/

    Innovation et marchs de la grande distribution 17

    *Jean-Baptiste Berry, la rdaction de cet article, faisait partie de la division Commerce, de lInsee. Il a travaill sur lethme de l'innovation, en collaboration avec Marc Dupuis, dans le cadre d'une tude suggre par la commission descomptes commerciaux de la Nation ( paratre).1. Cf. fiche 2.26, Le grand commerce spcialis intgr.2. On peut distinguer diffrents moments de la vie d'un concept de vente : la phase de croissance, pendant laquelle sesparts de march augmentent ; une phase de maturit, avec une stagnation de ses parts de march; puis ventuellementune troisime phase de dclin.

    0

    10

    20

    30

    40

    1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005

    March non alimentaire

    March alimentaire

    en %

    Parts

    demarch

    1. Parts de march de l'hyper-march depuis 1965

    Lecture : les parts de marchs alimentaires et nonalimentaires des hypermarchs sont en croissancedepuis la cration de ce concept de vente la fin desannes soixante, jusqu' une stabilisation, respecti-vement en 1998 et 1995. On observe un trs lgerretrait de ces parts demarch aprs leur stabilisation.Source : Insee, comptes du commerce.

    Dossier1.psN:\H256\STE\K3WCPB\_DONNEES\COMMERCE2006\Commerce2006\Dossier1\Dossier1.vpmardi 7 novembre 2006 11:46:19

    Profil couleur : Profil dimprimante CMJN gnriqueComposite 150 lpp 45 degrs

    59.149

    Recherche de rfrences thoriques, projectuelles, technologiques etc.

  • LES GRANDES ZONESDACTIVITS CONOMIQUESET COMMERCIALES :DES ESPACES STRATGIQUESPOUR LE RENOUVELLEMENT URBAIN

    Durant les 40 dernires annes, lautomobile a profondment transform lagographie des villes. Jusque dans les annes 60 et en labsence de transporten commun, les espaces ruraux priphriques restaient inaccessibles etdonc inaptes lurbanisation. Le vhicule motoris individuel a chang la donne. La ville automobile a succd la ville pdestre et du transport collectif.Lagglomration est devenue aire urbaine et les espaces priurbains sont devenusparties intgrantes de la ville moderne.Le dveloppement de lautomobile a aussi eu des consquences sur lorganisationdes centralits. Les centres traditionnels, dont les accs sont plus contraints en auto-mobile, ont progressivement perdu leur situation de monopole en matire de ser-vices et dactivits commerciales au profit des ples nouveaux que sont les grandeszones dactivits conomiques et commerciales installes aux frontires de lagglo-mration et bien desservis par le rseau routier. Ces grands ples priphriques contribuent structurer aujourdhui le territoire lchelle de laire urbaine. Ils accueillent de nombreux emplois, des commerces etdes quipements au service de la ville constitue et des nouvelles zones dhabitatpriurbain. Fonctionnant comme des centres urbains de fait, ils restent pourtantdans une logique de dveloppement fond sur lusage de lautomobile et ils restentlargement dpourvus durbanit. Le plus souvent rattrapes par lurbanisation, cesedge-cities la franaise offrent dexceptionnels gisements de renouvellementurbain au cur dagglomrations devenus multipolaires.Le premier dfi que posent ces ples la ville durable est celui de leur desserte :il faut imprativement les rinscrire dans les rseaux structurants de transport encommun. Cela ne suffira toutefois pas : il faut aussi y dvelopper les espacespublics et y lancer des programmes de renouvellement urbain qui en densifient loc-cupation et en diversifient les usages. Comme lillustrent les exemples prsents dans ce dossier, les centres urbains defait que sont les grands espaces conomiques et commerciaux dvelopps sur lesanciennes frontires de la ville peuvent devenir de vrais morceaux de ville biendesservis, multifonctionnels et pleins durbanit.

    N22DCEMBRE 2008

    FEDERATION NATIONALE DES AGENCES D'URBANISME

    processus de dveloppement du projet.

  • 61.149

    EchangeurGrand Montout

    Z.A des Pivolles

    Promenadesdu Tournesol

    P

    P

    E

    0 200 400 m

    Fvrier 2007

    ZUC

    Chemin du Raquin

    Les Grandes Robertires

    Av. du Dauphin

    Le Raquin

    Rond PointR. Cassin

    Rond PointR. Cassin

    Plossier

    Rpublique (1er Tranche)

    Aired'accueil

    Aire d'accueil

    Pelossier

    Beausjour

    Savoie Pierres Blanches

    ZAC de la Fouillouse

    Gare de St Priest

    ZAC du Centre Ville

    Av. des Tilleuls

    Joliot Curie

    Rue Garibaldi

    Rue M. KoeningZAC Mozart

    Place F.Buisson

    ZAC du Vieux Village

    ZAC desHauts de Feuilly

    Tramway

    PlaceR. Salengro

    Dchetterie

    ORU St Priest

    CarrRostand Sud

    Mansart-Farrre

    Rue de Mangetemps

    Mangetemps

    Carrire Berlet

    Contournement Sud de Mions

    Aux Pierres

    ZAC de Pesselire

    Route de Corbas

    Aire d'accueil

    ZAC des Pierres Blanches

    Logementsgens du voyage

    Av. de la Gare

    Rue d'EspagneRue de l'industrie

    SecteurCh. du Charbonnier

    Rue du Progrs

    Voie Nouvelle

    RN6

    RN6

    Place Coponat

    Mi-Plaine

    Mi-Plaine Est

    Mi-Plaine

    Le Capot

    Grand Bois - La Fouillouse

    Sous-Murires

    Arsenal

    Cerisioz

    Bel-Air

    Perrinire Ouest

    V Vert Sud

    Courpilire

    Petit champ Dolin PlaceH.de Balzac

    Desserte Eurexpo

    Vie Guerse

    Carrefourdes 7 chemins

    ORU Terraillon

    ZAC Jardin du Fort

    Pl. Curial

    Dessertedes Hpitaux Est

    Av. C. Rousset

    Av. F. Mitterand

    Gendarmerie

    Route de Genas

    La Perle Route de Genas

    Av. de Lattre de TassignyBoutasse

    Viaduc Mermoz ORU Parilly

    Place de la Libert

    BUE

    A 8 A 8

    A 8

    A 8

    A 8

    A 8

    DesserteEurexpo

    Parc technologique

    Poste aux chevaux

    BronAviation

    AroportLyon-Bron

    Carrefour Aviation

    Albert Camus

    Albert Camus

    Bd de l'Europe

    GaleriesLafayette

    Vinatier

    Rue d'Alsace

    LesLads Campus Porte des Alpes

    Porte des Alpes

    Dauphin

    Cit Berliet

    BUE

    BUE

    BUE

    Centrede Groupage

    Voie d'accs

    Ch du Charbonnier

    ZAC Berliet

    Hauts de Feuilly

    BandonnireDauphin

    Brigoudes

    Rue du Dauphin

    Ch. de Revaison

    Av. P. Mends FranceTCSPParc technologique

    Aire d'accueil

    BRON

    CHASSIEU

    VENISSIEUX

    SAINT-PRIEST

    FEYZIN

    LYON

    VILLEURBANNEVAULX-EN-VELIN

    DECINES-CHARPIEU MEYZIEU

    CORBAS

    MIONS

    Liste des projets : Porte des Alpes

    NIVEAU D'ENGAGEMENT DES PROJETS

    Projet du mandat en cours ( termin en 2007 )

    Projet act programm sur PPI actuelle et non termin (dbut ou non)

    Projet l'tude (non programm)

    Ide de faire

    Site de questionnement

    TYPE DE PROJETS

    Axe fort de transports collectifs

    Principe d'axe fort de TC (trac non dfini)

    Halte ferroviaire Equipement public majeur

    Programme de construction, ou ZAC

    Primtre de projet ou d'tude

    Site de questionnement

    Z.I en requalification

    Traitement de l'espace public

    Parc et jardin

    Espace agricole valoriser

    Projet nature / Espace naturel sensible

    Liaison modes doux, cheminement

    Parc de stationnement

    Maillage viaire structurant

    Maillage viaire local

    P P P P

    EE E E

    61.149

  • Rfrence : Rem Koolhaas, Melun Senart

    processus de dveloppement du projet.

  • 63.149

    Rfrence : Rem Koolhaas, Melun Senart

    63.149

    Rfrence : Field Operations Fresh kills park

  • Rfrence : A. Chemetoff, lle de Nantes

    et confrences pavillon de larsenal

    processus de dveloppement du projet.

  • 65.14965.149

  • Rfrence : Revue Praxis, n8. Program.

    processus de dveloppement du projet.

  • 67.14967.149

  • Rfrence : Reburbia, concours dide sur les suburbs americaines

    mars 10

    processus de dveloppement du projet.

  • 69.14969.149

    idees/ intuition / photo collage

    Les espaces libres du site (investis par la voiture sont immenses mais sont en contre-bas en tout points. Le seul espace o lon respire est un parking superpos dont le toit est accessible au public . Prendre possession du site du regard. Prendre de la hauteur.

    Entour despaces du mme ordre reprsentationnel (autoroute, cimetire, suite de la zone commerciale, parc technologique), la ncessit daller chercher plus loin que les propres limites du site. Les Alpes, le massif du Pilat sont visible en tout point haut dune dizaine de mtre de la plaine de lEst lyonnais.

  • Des pratiques, des programmes, des temporalits

    processus de dveloppement du projet.

  • Temps de prparation et douverture des diffrentes boites

    71.149

    serv

    ice

    auto

    gale

    rie

    h2

    1h

    01

    h8

    h6

    h4

    h0

    2h16

    h18

    h20

    h22

    h24

    h14

    h

    Tem

    ps d

    'ouv

    ertu

    re e

    t de

    prp

    arat

    ion

    des

    mag

    asin

    s :

  • h21h01h8h6h4h0 2h 14h

    1

    2

    3

    4

    6

    5

    Lundi

    Mardi

    Mercredi

    Vendredi

    Jeudi

    Samedi

    Dimanche

    3.Heure de pointe : samedi 11h-20h + semaine 17h30-20h30

    2.Soire soft : Auchan + restos 20h-22h30 lun-samedi 20h-22h30

    5. Heures creuses : Auchan + IKEA + magasins 8h30-11h30 + 15h-17h30 lun-vendred

    4.Prparation : magasins ferms livraisons 4h-9h lun-vendredi et 4h-8h samedi

    Nuit : magasins ferms 23h-4h

    1.Dimanche : 11h30-22h restaurants ouverts

    Dimanche

    Jeudi-Vendredi

    Samedi

    taux defrquentation

    intensit

    Lundi-Mercredi

    22h20h18h16h

    processus de dveloppement du projet.

  • 73.149

    h21h01h8h6h4h0 2h 14h

    1

    2

    3

    4

    6

    5

    Lundi

    Mardi

    Mercredi

    Vendredi

    Jeudi

    Samedi

    Dimanche

    3.Heure de pointe : samedi 11h-20h + semaine 17h30-20h30

    2.Soire soft : Auchan + restos 20h-22h30 lun-samedi 20h-22h30

    5. Heures creuses : Auchan + IKEA + magasins 8h30-11h30 + 15h-17h30 lun-vendred

    4.Prparation : magasins ferms livraisons 4h-9h lun-vendredi et 4h-8h samedi

    Nuit : magasins ferms 23h-4h

    1.Dimanche : 11h30-22h restaurants ouverts

    Dimanche

    Jeudi-Vendredi

    Samedi

    taux defrquentation

    intensit

    Lundi-Mercredi

    22h20h18h16h

    Intensit des lieux temporaire.

  • processus de dveloppement du projet.

    Occupation du sol du parking et relev des pratiques alternatives aux heures creuses

  • 75.149

  • processus de dveloppement du projet.

    Occupation du sol du parking et relev des pratiques alternatives aux heures creuses

  • 77.149

  • Relev dtaill des obstacles et espaces impraticables au public

    processus de dveloppement du projet.

  • 79.149

  • processus de dveloppement du projet.

    Espaces impraticables : toitures et magasins ferms, stockages, voies routires

  • 81.149

  • Espaces praticables = parking et friches.

    processus de dveloppement du projet.

  • 83.149

  • POURQUOI JAI CHOISI CE SUJET ?

    processus de dveloppement du projet.

    Enseignes et image du groupe propritaire, thique ?

  • 85.149

    La vie Auchan, a change la vie ?

  • processus de dveloppement du projet.

  • 87.149

    Pas dides, pas de projetPas de projet.... Pas de projet.

  • infrastructures routires et parkings existants

    avril 10

    processus de dveloppement du projet.

  • 89.149

    infrastructures routires et parkings existants

    Mobilit, Parking, Dpart de projet ?Mobilit, Parking, Dpart de projet ?

  • 91.149

    Total des places de parkings, potentiel foncier ?

  • 93.149

    Superposition des places de parkings concerves !

  • chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain

    local

    quartierurbain

    individuel

    exsitant

    1

    2

    3

    4

    2500 places46900m

    900 places16900m

    220 places4125m

    250 places4400m

    r+3

    r+4r+5

    r+1

    r+3r+4

    r+1r+2

    r+1r+2

    dimensionnement des silos

    acce

    ssibil

    itpi

    tons

    processus de dveloppement du projet.

  • 95.149

    chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain

    local

    quartierurbain

    individuel

    exsitant

    Positionnement des parkings silos, nuisances,

  • chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain

    local

    quartierurbain

    individuel

    exsitant

    localdividuelel

    divdi rtier

    urbainineietiquartierelelel

    eietiprojet

    parkings

    processus de dveloppement du projet.

  • 97.149

    chelle dimpact des infrastructuresmtropolitain

    local

    quartierurbain

    individuel

    exsitant

    localdividuelel

    divdi rtier

    urbainineietiquartierelelel

    eietiprojet

    parkings

    Echelles dimpact des infrastructure : nuisances, frquentations...

  • 0 80m

    NEchelles de site = Projet urbain ?

    processus de dveloppement du projet.

  • 99.149

    0 80m

    N

  • PHASE 1 :SIMPLANTER

    MOBILIT :

    PRATIQUES :

    PAYSAGE :

    PHASE 2 :SETENDREE

    PHASE 3 :REPROGRAMMER

    PHASE 4 : HABITER

    cologie et paysage

    diversit de pratiquesmobilit douce

    parkings silos

    quipementde proximit

    programmes in situaugment

    espace public programmes rcratifs et culturels

    programmes dcologienouveau paysage

    logement in situ

    Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin

    tramPublic

    concentration des magasins

    TramFret

    2010

    2012

    2011

    2013

    2014

    2015

    2016

    2017

    2018

    2019

    2020

    2021

    Dveloppement dans le temps

    1 programme phare = 1 vnement ou 1 activit temporaire annonce

    processus de dveloppement du projet.

  • 101.149

    PHASE 1 :SIMPLANTER

    MOBILIT :

    PRATIQUES :

    PAYSAGE :

    PHASE 2 :SETENDREE

    PHASE 3 :REPROGRAMMER

    PHASE 4 : HABITER

    cologie et paysage

    diversit de pratiquesmobilit douce

    parkings silos

    quipementde proximit

    programmes in situaugment

    espace public programmes rcratifs et culturels

    programmes dcologienouveau paysage

    logement in situ

    Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin

    tramPublic

    concentration des magasins

    TramFret

    2010

    2012

    2011

    2013

    2014

    2015

    2016

    2017

    2018

    2019

    2020

    2021

  • PHASE 1 :SIMPLANTER

    PHASE 2 :DIFFUSER

    PHASE 3 :REPROGRAMMER

    PHASE 4 : HABITER

    cologie et paysage

    diversit de pratiquesmobilit douce

    parkings silos

    quipementde proximit

    programmes in situaugment

    espace public programmes rcratifs et culturels

    programmes dcologienouveau paysage

    logement in situ

    Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin

    tramPublic

    concentration des magasins

    TramFret

    1

    2

    3

    2010

    2012

    2011

    2013

    2014

    2015

    2016

    2017

    2018

    2019

    2020

    2021

    TramFret

    TramPublic

    1

    plot n

    2

    3

    4

    construction/mutation degr dhabitat

    dpla

    ceme

    nt de

    s ser

    vices

    auto

    dans

    plot

    1

    dpla

    ceme

    nt to

    boga

    n

    et res

    tauran

    ts da

    ns pl

    ot 3

    mutat

    ion 4

    dpla

    ceme

    nt bo

    ulang

    er

    kiabi,

    tobo

    gan d

    ans p

    lot 2

    mutat

    ion pl

    ot 3 (

    Galer

    ie)

    et 4 l

    oisir

    soft

    ilts B

    ilts C

    ilts D

    ilts A

    mutat

    ion au

    chan

    dans

    1 et

    2

    Dveloppement du dtail de phasage

    processus de dveloppement du projet.

  • 103.149

    PHASE 1 :SIMPLANTER

    PHASE 2 :DIFFUSER

    PHASE 3 :REPROGRAMMER

    PHASE 4 : HABITER

    cologie et paysage

    diversit de pratiquesmobilit douce

    parkings silos

    quipementde proximit

    programmes in situaugment

    espace public programmes rcratifs et culturels

    programmes dcologienouveau paysage

    logement in situ

    Gestion de limprvisibilit des propritaires.Mutation Auchan / Dpart IKEA / Leroy Merlin

    tramPublic

    concentration des magasins

    TramFret

    1

    2

    3

    2010

    2012

    2011

    2013

    2014

    2015

    2016

    2017

    2018

    2019

    2020

    2021

    TramFret

    TramPublic

    1

    plot n

    2

    3

    4

    construction/mutation degr dhabitat

    dpla

    ceme

    nt de

    s ser

    vices

    auto

    dans

    plot

    1

    dpla

    ceme

    nt to

    boga

    n

    et res

    tauran

    ts da

    ns pl

    ot 3

    mutat

    ion 4

    dpla

    ceme

    nt bo

    ulang

    er

    kiabi,

    tobo

    gan d

    ans p

    lot 2

    mutat

    ion pl

    ot 3 (

    Galer

    ie)

    et 4 l

    oisir

    soft

    ilts B

    ilts C

    ilts D

    ilts A

    mutat

    ion au

    chan

    dans

    1 et

    2

  • Premiers essais de plan guide.

    processus de dveloppement du projet.

  • 105.149

  • pratiques actuelles

    ventes doccasion

    magasins pop-up

    amap circuits courts

    spectacles (cin thatre...)

    confrences

    clubs de nuit

    bars cafs

    fte forraine

    march aux puces

    expositions

    production dnergie

    collecte et puration deau

    jeux denfants

    espaces sant dtente

    basketball football volley

    auto-partage

    vlo-partage

    parking-relais

    maison de quartier

    observatoire du paysage

    aires picnics dtente

    sanitaires publics

    frisbee

    roller skate bmx

    jogging

    natation

    athltisme

    promenade

    dog-walking

    karting

    cole de conduite

    jardins partags

    auto-cueillette

    vente de produits transforms

    transfo. de produits de la plaine est

    recyclage

    vente de produits recycls

    logements

    logements temporaires

    bureaux

    locaux associatifs

    logements tudiants

    cole

    extension universit

    crche

    rserve naturelle

    drive-in-spectacles

    drive-in-restaurant

    venementielhypermarch

    co-voiturage

    vente de particulier particulier

    rencontre avant dpart

    lieu de retrouvailles

    sports dasphaltes

    ventes spcialises

    services auto

    drive-in-shopping

    restaurants

    galerie marchande

    stockage dpot pour tram-fret

    in situ augment

    dveloppeurs programmatiques

    coprsence nouveau paysage

    transitoires plein air couverts en intrieursmtropolitaine

    aire dinfluence : conditions de pratique :

    locale prive M

    MM M

    M

    M

    MM

    M

    M

    MMMMMMMM

    MMM

    M

    MMMMMMMM

    M

    MMMM

    M

    M

    L

    LLL

    LL

    L

    L

    L

    L

    LLLL

    L

    L

    L

    LL

    LLLL

    L

    P

    P

    P

    P

    Dveloppement des programmes nouveaux possibles

    processus de dveloppement du projet.

  • 107.149

    pratiques actuelles

    ventes doccasion

    magasins pop-up

    amap circuits courts

    spectacles (cin thatre...)

    confrences

    clubs de nuit

    bars cafs

    fte forraine

    march aux puces

    expositions

    production dnergie

    collecte et puration deau

    jeux denfants

    espaces sant dtente

    basketball football volley

    auto-partage

    vlo-partage

    parking-relais

    maison de quartier

    observatoire du paysage

    aires picnics dtente

    sanitaires publics

    frisbee

    roller skate bmx

    jogging

    natation

    athltisme

    promenade

    dog-walking

    karting

    cole de conduite

    jardins partags

    auto-cueillette

    vente de produits transforms

    transfo. de produits de la plaine est

    recyclage

    vente de produits recycls

    logements

    logements temporaires

    bureaux

    locaux associatifs

    logements tudiants

    cole

    extension universit

    crche

    rserve naturelle

    drive-in-spectacles

    drive-in-restaurant

    venementielhypermarch

    co-voiturage

    vente de particulier particulier

    rencontre avant dpart

    lieu de retrouvailles

    sports dasphaltes

    ventes spcialises

    services auto

    drive-in-shopping

    restaurants

    galerie marchande

    stockage dpot pour tram-fret

    in situ augment

    dveloppeurs programmatiques

    coprsence nouveau paysage

    transitoires plein air couverts en intrieursmtropolitaine

    aire dinfluence : conditions de pratique :

    locale prive M

    MM M

    M

    M

    MM

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    L

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    L

    P

    P

    P

    P

  • rduire les tempsde parcourset belvdre

    accder au site

    relier les parcstraverser le site

    chemins pitonniersavoisinants

    conditions existantes

    MOBILITEmodes doux individuels

    Parc deParilly

    Jardin du parc technologique

    Conception des diffrentes couches de projet

    processus de dveloppement du projet.

  • 109.149

    MOBILITEvhicules motoriss

    conditions existantesinfrastructures et parkings

    desservir le sitede faon efficace.

    concentrer les parkings

    parking concentrs en silosou souterrains

  • Conception des diffrentes couches de projet

    PAYSAGEflore

    conditions existantes

    maillage des corridors cologiques

    diminution de limpact de lautoroutemarquer les entres et les transversales principales

    interactions possibles flore / bati

    PAYSAGEflore

    conditions existantes

    maillage des corridors cologiques

    diminution de limpact de lautoroutemarquer les entres et les transversales principales

    interactions possibles flore / bati

    processus de dveloppement du projet.

  • 111.149

    PAYSAGEeau

    suivre lcoulement naturel de leau

    collectermettre en rseau

    nettoyer et rcolter les eaux de pluieterres innondables

  • GROUPEAUCHAN

    GRANDLYON

    DEPARTEMENTDU RHNE

    REGION RHNE-ALPES

    INVESTISSEURSIMMOBILIERS

    DIVERS

    COMMUNE DE BRON

    COMMUNAUTE DE COMMUNES

    DE PORTE DES ALPES

    COMMUNE DESAINT PRIEST

    r+1

    r+2

    r+3

    r+4

    r+8

    r+3

    r+4

    r+3

    r+4

    r+8

    1000 m

    EXISTANTSCENARIO 1 : POLE HABITAT

    surface au sol31,5 Ha

    315 000 m

    potentiel de surfaceen tages

    surface commerciale conserve sur R+1surface restante aloue a des activits diverses destines lhabitat

    parking et infrastructure120 000m

    btiments shopping 100%

    stockage 68 000 m

    vente 122 000 m

    surface de stockage necessaire

    surface mutable

    rsidusrsidus

    hypermarch

    commerces spcialiss

    places de parking

    infrastructures

    IKEA

    galerie marchande

    service auto

    site dtude primtre

    surface vendresurface vendre

    surface vendre

    espace public

    espace public projet107 000 m

    parkingsuperposs

    63%

    39%

    38%60%

    15% 10%

    MAI

    TRIS

    E DOU

    VRAGE P

    OTENTIELLE

    PR

    OPRIETAIRE

    21%

    r+3

    r+4

    r+3

    r+4

    SCENARIO 3 : POLE DE DISTRIBUTION HABITEsurface commerciale conserve sur R+1

    surface logistique x2 et surfaces restantes destines lhabitat

    surface vendre

    espace public

    SCENARIO 2 : POLE COMMERCIAL HABITEsurface commerciale x 1,5 sur R+1

    surface restante aloue des activits diverses destines lhabitat

    surface vendre

    espace public

    r+8

    r+8

    - POINTS FORTS : rapport dchelles de proximit et dintensit de pratique entre commerce et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques appuye.

    - POINTS FAIBLES : non-viable conomique-ment, oprateur priv ny gagne rien, fonds publics investis en masse dans la la mise en place dun paysage habitable.

    - POINTS FORTS : viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire et espace public et paysage financs par partenariat public priv.

    - POINTS FAIBLES : rapports dchelle de proximit, daires dinfluence et dintensit de pratiques entre commerce et habitat ne sont pas rtablis. desectorisation et mixit de pratiques rduites.

    Type Vaulx-Carr de Soie.

    POINTS FORTS :

    chelles de rapport de proximit entre commerce, travail et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques renfor-ces

    viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire en renforcant le volet distribution et logistique de leur activits.rentabilisation du contexte infrastructurel.espace public et paysage financs par partenariat public priv.

    Recherches de scnarios programmatiques

    processus de dveloppement du projet.

  • 113.149

    GROUPEAUCHAN

    GRANDLYON

    DEPARTEMENTDU RHNE

    REGION RHNE-ALPES

    INVESTISSEURSIMMOBILIERS

    DIVERS

    COMMUNE DE BRON

    COMMUNAUTE DE COMMUNES

    DE PORTE DES ALPES

    COMMUNE DESAINT PRIEST

    r+1

    r+2

    r+3

    r+4

    r+8

    r+3

    r+4

    r+3

    r+4

    r+8

    1000 m

    EXISTANTSCENARIO 1 : POLE HABITAT

    surface au sol31,5 Ha

    315 000 m

    potentiel de surfaceen tages

    surface commerciale conserve sur R+1surface restante aloue a des activits diverses destines lhabitat

    parking et infrastructure120 000m

    btiments shopping 100%

    stockage 68 000 m

    vente 122 000 m

    surface de stockage necessaire

    surface mutable

    rsidusrsidus

    hypermarch

    commerces spcialiss

    places de parking

    infrastructures

    IKEA

    galerie marchande

    service auto

    site dtude primtre

    surface vendresurface vendre

    surface vendre

    espace public

    espace public projet107 000 m

    parkingsuperposs

    63%

    39%

    38%60%

    15% 10%

    MAI

    TRIS

    E DOU

    VRAGE P

    OTENTIELLE

    PR

    OPRIETAIRE

    21%

    r+3

    r+4

    r+3

    r+4

    SCENARIO 3 : POLE DE DISTRIBUTION HABITEsurface commerciale conserve sur R+1

    surface logistique x2 et surfaces restantes destines lhabitat

    surface vendre

    espace public

    SCENARIO 2 : POLE COMMERCIAL HABITEsurface commerciale x 1,5 sur R+1

    surface restante aloue des activits diverses destines lhabitat

    surface vendre

    espace public

    r+8

    r+8

    - POINTS FORTS : rapport dchelles de proximit et dintensit de pratique entre commerce et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques appuye.

    - POINTS FAIBLES : non-viable conomique-ment, oprateur priv ny gagne rien, fonds publics investis en masse dans la la mise en place dun paysage habitable.

    - POINTS FORTS : viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire et espace public et paysage financs par partenariat public priv.

    - POINTS FAIBLES : rapports dchelle de proximit, daires dinfluence et dintensit de pratiques entre commerce et habitat ne sont pas rtablis. desectorisation et mixit de pratiques rduites.

    Type Vaulx-Carr de Soie.

    POINTS FORTS :

    chelles de rapport de proximit entre commerce, travail et habitat rtablies. desectorisation et mixit de pratiques renfor-ces

    viable conomiquement, oprateur priv bnficiaire en renforcant le volet distribution et logistique de leur activits.rentabilisation du contexte infrastructurel.espace public et paysage financs par partenariat public priv.

  • Recherches dimplantation programmatiques et gabarits limites

    mai 10

    hypermarch

    autoroute

    Boul

    evar

    d A.

    Bou

    loch

    e

    Tram

    PHASE 1 :SIMPLANTER

    EXISTANT

    PHASE 2 :DIFFUSER

    PHASE 3 :REPROGRAMMER

    PHASE 4 : HABITER

    hypermarch parking parking hybride

    parking station service

    station service

    station servicehypermarchnon-alimentaire

    hypermarchalimentaire

    hypermarchalimentaire

    hypermarchnon-alimentaire

    entrepothybride

    rserve naturesauvage

    loisirs mtropolitainspromenade en belvdre

    plateforme logistiquepoint relais local

    corridor cologique

    rserve naturesauvage

    rserve naturesauvage

    ilot mixte

    logements temporairesrestaurants

    hypermarch - grand bazard sur deux niveaux

    service - experience shopping

    toit vgtal - nouveau paysage

    quick shopping

    habitat

    habitat - travail

    travail - commerce - equipement

    processus de dveloppement du projet.

  • 115.149

    hypermarch

    autoroute

    Boul

    evar

    d A.

    Bou

    loch

    e

    Tram

    PHASE 1 :SIMPLANTER

    EXISTANT

    PHASE 2 :DIFFUSER

    PHASE 3 :REPROGRAMMER

    PHASE 4 : HABITER

    hypermarch parking parking hybride

    parking station service

    station service

    station servicehypermarchnon-alimentaire

    hypermarchalimentaire

    hypermarchalimentaire

    hypermarchnon-alimentaire

    entrepothybride

    rserve naturesauvage

    loisirs mtropolitainspromenade en belvdre

    plateforme logistiquepoint relais local

    corridor cologique

    rserve naturesauvage

    rserve naturesauvage

    ilot mixte

    logements temporairesrestaurants

    hypermarch - grand bazard sur deux niveaux

    service - experience shopping

    toit vgtal - nouveau paysage

    quick shopping

    habitat

    habitat - travail