Plan de travail:
I- Introduction.
II- Le M’ZAB situation et morphologie.
III- Genèse du M’ZAB.
IV- Structuration de la ville:
IV.1- Limites et accessibilité
IV.2- Les voies.
IV.3- édifices cultuels.
IV.4- Marché.
V- Typologie des maisons :
V.1- Analyse fonctionnelle.
V.2- Analyse spatiale.
V.3- Matériaux de construction.
V.4- Techniques de construction.
VI- Conclusion.
VII- Bibliographie.
Analyse typologique de l’habitat du M’Zab
epau ANNEE UNIVERSITAIRE 2009/2010
Enseignants: -Mme HADJI - Mr ATIK
- K.MAYOUF - N.DJEKIDEL - R.ZERARA
I-Introduction:
La vallée du M’Zab,
joyau culturel et
architectural classé
par l’UNESCO sur la
liste du patrimoine
universel de
l’humanité depuis
1982, est une
manifestation de
cette maîtrise des
mozabite pour leur
habiter.
En dépit de l’extrême hostilité de ces terres
caillouteuses brûlée par le soleil, les gens du M’Zab ont
su transformer cette terre d’exil en vallée verdoyante
jalonnée de Ksour.
existait depuis
3000 an AV-JC, Ce
sont des berbères
de Znatha, leur
langue c'est
Tamazight.
II-:Situation et morphologie:
a- Situation géographique:
Situé à
32°30’ de
latitude nord
et à 3°45’ de
longitude
Est.
Le M’Zab se
situe au sud
de la Sahara
algérienne à
600 km au
sud d'Alger,
dans la
wilaya de
Ghardaïa.
B- Morphologie du site :
L’ensemble géomorphologique
dans le quel s’inscrit cette
région est un plateau rocheux
dont l’altitude varie entre
300 à 800 m. Il s’agit d’un
plateau crétacé formé par les
calcaires durs et qui font du
paysage une vaste étendue
pierreuse ou affleure une
roche nue de couleur brune et
noirâtre.
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II-Genèse du M’ZAB:
A l'origine le Mzab
était un ensemble de
5 oasis de 72km² à
600 km au sud
d'Alger :
-Ghardaïa.
-Beni-Isguen.
-El-Ateuf.
-Mélika.
-Bou Noura.
-Guerrara.
La ville se développe suivant un schéma
radioconcentrique, le premier édifice à construire est
la mosquée. Autour d’elle, les maisons viennent se
greffer en cercle concentrique jusqu’aux remparts
de la cité.
La mosquée est
là pour
préserver
l'unité,
l'intimité
communautaire
et l'ordre
établi.
C- Analyse climatique :
Le climat saharien
se caractérise par
des étés aux
chaleurs torrides
et des hivers doux.
T° moyenne
Janvier
10,1 ° C
T° moyenne
Juillet
33,1 ° C
MIN 0,2 ° C
MAX 46 ° C
Température :
La région est marquée par
une grande amplitude entre
la température de jour et
de nuit, d’été et d’hiver
variante de min de 0°C a
46°C.
Pluviométrie:
On constate 10 jours de
pluie annuellement en
moyenne.
Moyenne
annuelle
50 – 60 mm
MIN 18 mm
MAX 120,5 mm
Hygrométrie :
Octobre à avril = 42%
Mai à septembre = 4%
Facteur Vents :
-En hiver : Nord-ouest.
-En été : Nord-est.
-Vents de sable :Sud-ouest.
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III-Structuration de la ville:
1- Limites et accessibilité :
2- Les voies:
Elles sont étroites, souvent la dimension nécessaire au
croisement de 2 ânes bien charger; parfois couverts par
des planchées des maisons.
Hiérarchisation des voies:
Voie périphérique :
Dont la largeur varie
entre 1.5m à 10m.
Les ruelles:
Empruntées par
l’élite.
La largeur varie entre
1.5m à 5m.
La ville est
protégé par les
remparts qui fait
4à5m de hauteur.
Les remparts
possèdent sur
tout sa longueur
des portes.
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La porte, dans les
ksour, est un ouvrage
essentiel car elle
représente, pour les
habitant, à la fois la
sécurité et le lien avec
l’extérieur. Elle met en
relation la cité avec le
reste du territoire :
palmeraie, vallée, voie
de communications….
Le rempart et ses
portes matérialisent la
limite, la protection et
le seuil du Ksar.
Les impasses:
Elle sont plus
intimes que les
ruelles.
Elles ne peuvent
pas être
empruntées par
les étrangers.
Passages
couvertes:
3- Les édifices cultuels:
A- La mosquée:
Elle domine la ville ,
c’est un bâtiment
important , non
seulement pour ses
implications religieuses
et sociales , mais aussi
par ses dimensions . Le
minaret est le symbole
et le signal.
Tout les bâtiments
annexes: Madrasa,
bibliothèque…, sont
implantées
directement autour
d’elle. L’ensemble
constitue le centre
spirituel de la ville.
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l’intérieur de la mosquée (salle de prière )
mosquées à coté des cimetière
B- Mausolées et Tombeaux :
Les tombeaux sont
construits dans le
style local, entourés
d’une vaste aire de
prière d’où on
découvre un panorama
étendu.
Les tombeaux sont recouverts de
jarres, gargoulettes et autres
poterie cassée pour identifier les
sépultures
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4- Le marché:
Situé au milieu de la
ville, c’est un lieu
d’échange entre les
habitants de
Ghardaïa, les
étrangers et tout
les habitants de la
vallée du M’Zab.
Le marché se
compose d’une
place
rectangulaire,
entourée pas des
portiques sur le
quel s’ouvre des
boutiques et des
magasins réserve
La place
centrale
de la
marchée
Galerie, paroi
de la place
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Ouast
Eddar
Réserve Latrine
Ecurie
Cuisine Tézefrit
Escalier
Cheminé
Ammas
n
tadert
(patio)
Réserve Latrine
Ecurie
Cuisine Tézefri
Skifa
Escalier
Cheminé
IV-Analyse de la maison mozabite:
Tigharghart
Chambre
Chambre
Ikomar
Escalier
Laali
Les différents espaces composant la maison:
L’entrée :
Ouverture unique qui se
présente comme un trou
rectangulaire.
L’entrée de la maison est
marquée par un seuil de
hauteur variable (enverrons
de 20cm).
Chicane (Skifa) :
L’intimité du foyer est préservée
par une entrer en chicane, dont
la deuxième ouverture comporte
parfois un rideau.
Le rideau
Dans le mur qui fait face
à la porte d’entrée est
parfois percé un trou
qui permet d’observer la
rue et le seuil. Analyse typologique de l’habitat du M’Zab
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L’escalier :
Situé dans un angle,
les volées sont
courtes, les
marches sont
hautes 20 à 25 cm,
c’est un volume
indépendant; il
comporte 8 à 10
marches.
Souvent on
remarque deux
escaliers; l’un est
en communication
directe avec le
Ammas n tadert (patio) :
Est l’espace central de la
maison qu’est le plus
vaste.
Elle a comme rôle la
distribution des espaces,
mais c’est aussi l’espace
ou se déroule l’ensemble
des activités domestiques
de la journée.
Un grand trou central
est percé au plafond de
l’espace central, il
assure l’essentiel
d’éclairage et d’aération.
Tézefri (le salon de femme) :
Cet espace se trouve dans
toutes les maisons du
m’Zab.
C’est une assez grande
pièce qui s’ouvre largement
sur l’espace central, outre
sa fonction de séjour et
d’accueil.
skiffa, offrant un accès a l’étage et qui évite la vue sur
Westt Eddar.
La cuisine :
La cuisine est aménagée dans
un coin de l’espace central,
traditionnellement au cote
opposé de à la tizefri.
Elle est composée d’une
cheminée, à la quelle
s’ajoute, quelques niches
étagères percées au mur et
une aiguière supportée par
(sajel) un socle en pierre,
pour le lavage et le rinçage.
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Tigharghart :
Prolongement
découvert de l’Ikoumar.
Cour a ciel ouvert qui
se situe au dessus de
Ammas an tadert, c’est
par elle a travers le
chebek que le RDC est
éclairé, terrasse
protégée par quatre
murs et baignée de
soleil.
Ikoumar :
Espace intermédiaire
(ni dehors, ni plus
tout à fait dedans)
circulation couverte
qui permet d’accéder
à d’autres pièces, il
donne sur une cour
ouverte
(Tigharghart).
Laali :
Petit salon réservé aux hommes et à l’accueil des
étrangers masculins, il se situe à l’étage, pièce
aménagée soigneusement.
Chambre :
La chambre à coucher,
signe d’intimité est
disposées à la droite de la
Tizefri.
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1-Maison urbaine :
Occupation groupée autour de la mosquée située au
point le plus élevé ; présence d'un marché à proximité
de la limite de la cité.
Typologie des maisons du m’Zab :
Plan de situation
Altitude : 470 m.
Orientation : Les orientations est et sud sont les plus
recherchées.
Surface au sol : Environ 60 à 100 m².
Surface du logement : Environ 100 à 150 m².
Nombre d’étages : RC + 1, en partie en terrasse +
terrasses individuelles sur certaines chambres.
Nombre de logements : Un logement.
Nombre de familles : Une famille.
Nombre moyen d e membres par famille : 8 personnes en
moyenne.
Analyse spatiale :
Plan cave
Espace annexe
Circulation
verticale
Espace sec
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Analyse spatiale :
Plan RDC
Espace
multifonctionnel
Espace jour
Espace nuit
Espace annexe
Circulation
verticale
Circulation
horizontale
Espace sec
Espace humide
Plan 1er
étage
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2-Maison de la palmerai :
Maison située dans la palmeraie des cités de la v
allée du M'Zab. Chacune possédait une palmeraie pour
l'activité agricole des habitants. Sur une surface
permettant de vivre du revenu, les plus riches, grâce
à une activité marchande, pouvaient bâtir une maison
d'été au milieu du jardin.
Typologie des maisons du m’Zab :
Altitude : 470 m.
Orientation : L'orientation de l'ouverture des arcades de
l'étage se fait toujours vers le sud, de manière à recevoir
l'ensoleillement.
Surface au sol : Environ 120 m².
Surface du logement : Environ 170 m².
Nombre d’étage : RC + 1, en partie en terrasse +
terrasses individuelles.
Nombre de logements : Un logement.
Nombre de familles : Une famille.
Nombre moyen d e membres par famille : 8 à 10 personnes
en moyenne.
Analyse spatiale :
Plan RDC
Espace
multifonctionnel
Espace jour
Espace nuit
Espace annexe
Circulation
verticale
Circulation
horizontale
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Espace sec Espace humide
Plan 1er
étagePlan RDC
Espace
multifonctionnel
Espace jour
Espace nuit
Espace annexe
Circulation
verticale
Circulation
horizontale
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Plan 1er
étage
Espace sec Espace humide
Comparaison entre les 2 types:
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V.3- Les matériaux de construction:
a-la pierre:
Des blocs grossiers, de dimension variables, sont
extraits des strates régulières de calcaire blanc.
Ils sont misent en œuvre sans avoir subi de taille.
b- Le sable
Le sable argileux
Il est utilisé
directement comme
mortier.
Le sable non argileux
Il entre dans la
composition de certain
liants.
c-Le timchents:
Sorte de plâtre traditionnelle, de couleur grise,
obtenu à partir d’un gypse.
D- Le plâtre:
Il est produit
industriellement dans
une usine de Noumérate ,
à une dizaine de km de
Ghardaïa .son utilisation
supplante actuellement
celle de Timchent.
Utilisé comme enduit
donnant
sa couleur grise ou une
couleur ocre ou rose
selon le
sable qu’on le mélange
avec.
Appliqué sur les sols,
plafonds, murs.
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E-Le palmier:
Cet arbre est utilisé
après sa mort afin de
ne pas détruire.
la construction
emploie le stipe, la
palme et la gaine qui
est la base de
nervure de la palme.
Le stipe:
Il est utilisé pour
réaliser des grosses
poutre de déférents
épaisseurs entre 12 et
14cm, longueur .
Il peut être débité en
planches assez
grossières.
La palme:
Elle est d’bord séchée.
Elle peut être utilisée
entière, et dépouillée et
réduite à la nervure .
La gaine:
Elle est relativement
résistante , elle peut
être utilisée comme
appui
gaine palme
d- La chaux :
les carbonates sont très abondant dans la Chebka
.leur exploitation entaille horizontalement le
rebord des plateau .
Pratiquée dans des
fours d’environ 2 m de
hauteur.
leur calcination est
analogues à celle du
timchent mais
nécessite 5 ou 6 fois
plus de bois , ce qui
rend l’opération plus
difficile.
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B-Les éléments porteurs:
1)Les murs
Ils sont composé de moellons plus ou moins gros
qui forment une maçonnerie irrégulière.
Très rationnellement, l’épaisseur des murs
extérieur varie, pouvant atteindre 1 m à la base
pour se réduire sur la terrasse à un acrotère de
15 cm. Le cloisonnement, toujours porteur, est
réalisé en quinze ou 20 cm d’épaisseur.
V.4- Les techniques de construction:
A- Les fondations:
Le sol naturel des villes est en grande partie
constitué par la roche affleurant , dans ce cas le
mur de moellon commence directement.
Sur le mur sablonneux on creuse une rigole qui
permet d’asseoir le mur sur le sable compact. Le bon
sol est toujours proche de la surface.
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2)Les piliers :
Les piliers sont
constitués de moellons
liés parfois au sable
argileux mais plus
fréquemment au mortier
de timchent et sable ou
de timchent seul. Leurs
dimensions sont très
variables, de 1m à
0,20m de coté.
Il peuvent être de base
approximativement
carrée ou rectangulaire
et s’appuient
directement sur le sol.
Par fois en
s'épaississant.
3) Arcs :
Ils sont réalisés en
moellons posés en assises
successives, face à face,
suivant deux techniques:
l’arc peut être défini par
quelques étais durant le
temps de la prise du
timchent, ou au moyen de
coffrage perdu. Cette dernière mise en œuvre
est la plus courante: entre
les piliers devant supporter
l’arc, on cintre des nervures
de palme que l’on scelle au
timchent, puis on monte les
moellons. Ce coffrage très
résistant est soit noyé soit
apparent. Du fait de la
langueur variable des
nervures, de leur flexibilité,
du cintrage peu contrôlable,
on obtient une arcature
irrégulière formée d’arc en
plein cintre, ou parfois
outrepassés
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4) Plancher :
Des poutres taillées en bois de palmier ou des
linteaux en pierre constituent le franchissement
linéaire. Des traverses en bois de palmier
constituent la base porteuse du plancher, elles
sont d’une longueur maximale de 2m et espacées
entre elles de 30 à 40 cm, elles repartissent ainsi
les charges surfaciques sur les poutres, disposées
latéralement….. la totalité des charges reçues est
repartie par les poutres sur les éléments porteurs.Planchée avec gaine Planchée avec pierres plats
Plancher à lattis serré Plancher à voûtains
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5- Voutes :
La construction des
voutes relèves de la
même technique que
celle des arcs:
pierre montées au
timchent sur
coffrage perdu de
nervures de palmes
Si les voûtes sont
renforcées par des
arc doubleaux, on
peut passer
légèrement cette
limite..
6- Les coupoles :
Elles sont principalement utilisée dans les
édifices que l’on trouve sur les cimetières. Elles
s’appuient sur des piliers ou des murs par des
pendentifs. On les réalise en moellons et
timchent; certaines sont coffrées avec une
croisée de nervures de palme qui prend appui sur
les piliers.
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VI- Conclusion. VII- Bibliographie:
Le M’Zab, est toute une
architecture mais
également un art de vivre,
c’ est une société
spécifique qui a ses
structures sociales et
ses règles de vie, fondées
sur une solide tradition.
C’est une
architecture sans
Architectes. Ils
utilisent des
matériaux locaux .
ils ont défié la nature
puisque ils habitent
dans le désert. Le
Corbusier a dit" là ou
la nature dit non, les
Mozabites disent oui".
Les concepts
auxquelles se
réfère
l’architecture
moderne furent
atteintes dans
l’architecture du
m’Zab depuis prés
de dix siècles.
-Le M’Zab, une leçon d’architecture.
André RAVEREAU, Sindibad , Paris 1981.
-Habiter le disert –les maisons mozabite-.
Jean-Marc Didillon et pierre Donnadieu, Maldega,
Bruxelles 1977.
- Le M’ZAB.
M.ROCHE, Arthod imprimé en France.
- Lumières du M’Zab.
Claude Pavard.
-Des architectures sahariennes de la tradition.
M.Fin d’études A.DJENDOU et N.LOUERRAD -2003/2004-
-ATLAS Mondial .
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