Vie Et Evolution Des Ames Christin F Et Noel C

7/26/2019 Vie Et Evolution Des Ames Christin F Et Noel C

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Franois CHRISTIN et Claude NOEL

Vie et volution des mesLinvestigation des lans invisi!les

LHO""E ET SON #ESTIN

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T$%LE #ES "$TIERES

Prface. 3

&'re artie( Le m)st're de notre destine( *I. Dieu et la Vie. 4

II. Lme et lesprit. 8III. La loi de lvolution. 12IV. Les lois de la destine. 1V. La rincarnation. 22

VI. La dsincarnation. 2!

+ i'meartie( ,our devenir mdium( -+VII. Linvesti"ation des plans invisi#les. 32

VIII. La mdiumnit. 3I$. %anifestations et formes de la mdiumnit. 4&$. 'aissance et dveloppement de la mdiumnit. 4!

$I. Les communications avec lau(del). !2$II. Les messa"es mdiumni*ues. !+

$III. ,rreurs- cueils et prcautions. +1

$IV. onseils et e/ercices prati*ues. +8

0nne/e. L,sprit et le sommeil. 1

,r.a/e

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uel est le #ut ultime de notre e/istence terrestre ue recouvrent lestermes Dieu- me- ,sprit ...

uels sont les "randes lois de nos destines loi dvolution- loi duarma- dterminisme et li#re ar#itre- loi damour ... Do5 venons(nous et o5allons(nous ue sont lastral et les plans suprieurs de conscience uelle estla vie et lvolution des mes uelles sont les modalits et la finalit de la

rincarnation omment ta#lir le contact avec les 6tres dsincarns Lutter- pro"resser- avancer- aimer... telle est la "rande loi de vie. 7esacrifier- se dvouer- vaincre en soi l"osme et lor"ueil- sou#lier pour son

proc9ain- le soula"er- lassister- voil) la vrita#le voie menant au/ cimestincelantes de la perfection et de la connaissance.

La premi:re partie de cet ouvra"e nous rv:le notre vrita#le destine etnous indi*ue le sens profond et vrai *ue nous devons donner ) notre e/istence spiritualit- altruisme- amour.

La deu/i:me partie de cet ouvra"e nous initie ) la mdiumnit- facult *uetout 9umain poss:de ) ltat latent- mais dont seule une minorit ) prisconscience- et la dveloppe. Le mdium ;vo


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C1aitre I

0 #ieu et la vie

&( La /ause remi're de toute e2isten/e

Dieu- ,sprit- rateur- de *uel*ue nom *uon le dsi"ne- sous *uel*ue forme *uon lecon>oive- demeure- pour tous les cro


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lespace- la perptuation de la vie *uIl cra. ,t la vie ne peut pas finir- la vie peut setransformer- voluer- modifier ses formes- ses manifestations- elle ne peut sarr6ter de produire.ar #ieu est lEtre ar d.inition- et l,tre na pas de limite- ni dans le temps- ni danslespace- ni dans la puissance- ni dans le dsir de vie. Il est donc Auste de dire *ue #ieu est entout4 artout- et cela- depuis touAours et ) Aamais- termes *ui nont- pour lintelli"ence9umaine- aucun sens vrita#lement accessi#le- ni prcis.

%ais laissons l) ces profondeurs ou plutBt ces altitudes mtap9


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secr:te- invisi#le- com#ien plus nous serions merveills de lIntelli"ence *ui- non seulementprsida ) son ta#lissement- mais r"la les modalits de son volution- de sa destine.

DA)- cependant- devant la multitude des merveilles offertes ) la vision 9umaine- le cKur-l,sprit de l9omme se sentent- une fois encore- crass- anantis- par la Puissance cratrice etlIntelli"ence directrice- *ue cette multitude rv:le.

Depuis limmensit des ocans Aus*u) la miniature de linsecte- tout indi*ue- dans lacration- le fini de la forme- lin"niosit de la fonction et son adaptation Audicieuse- en un mot

la er.e/tion .inale du !ut. Cn ne peut- sans ladmirer- o#server le plus infime des 6tres- danssa structure- dans ses mouvements et dans sa vie. 9acun des corps de linnom#ra#le l"ion descratures est- ) lui seul- un monde de merveilles- o5 la c9imie- la p9


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l9omme se sent confondu @ lui *ui croit touAours avoir fait la dcouverte finale- trouve touAoursmieu/- touAours plus #eau

La p9onns- des domaines secrets dune incompara#le ric9esse et dont les rvlationssaccroissent c9a*ue Aour- lui permettant de croire ) linfini de leurs manifestations. ,ncore na(t(il e/plor *uun petit- tout petit domaine du c9amp scientifi*ue@ dautres domaines- enmultitudes- lui demeurent encore ferms.

ue de merveilles lavenir encore aAoutera au/ merveilles du pass- ) celle du prsent 0ucun cerveau 9umain ne les peut concevoir- ni m6me oser concevoir %ais c9acune de ses

dcouvertes confirme ) l,sprit la certitude de l9armonie et de la vie la premi:re corollaire

de lautre@ et- plus il avance sur la vie de la onnaissance- mieu/ lui apparaEt cette nitcratrice *ui est #ien la preuve de lunit du rateur- mieu/ lui apparaEt aussi cette volontd9armonie- issue de la volont damour du rateur.

uelles *ue soient les imperfections *ui sem#lent "ter louvra"e du rateur-imperfections imputa#les ) lindi"ence de lintellect 9umain- *ui ne peut en saisir les ncessits etles #uts- lnivers est #ien un Hout 9armonieu/- dont le mcanisme secret porte la si"nature duGnie divin. ,t- pourtant- notre monde ( ne lou#lions pas ( se classe parmi les mondesinfrieurs- o5 la relativit est loi de vie et o5 linvolution est encore- pour la maAorit des 6tres- la

forme vitale omment concevoir- alors- la perfection des mondes suprieurs- de ceu/ o5 lvolution a

ac9ev son c


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C1aitre II

0 Lme et lEsrit

&( Le2ression de lIntelligen/e sur7meL,sprit est- en l9omme- le/pression de lIntelli"ence supr6me- le ra


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Lme est essentiellement le mo)en de donner 3 l7tre la /ons/ien/e de sa vie et delui permettre dapporter sa colla#oration ) sa propre volution. est par lintermdiaire de ses

possi#ilits ps


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ltat dmes= retourne enfin son foyeret redevient- pour ainsi dire- Parcelle divine- il na

plus #esoin de lme *ui lui a servi de v9icule et de truc9ement. Il li#:re donc un 6tre- uneindividualit- ou tout au moins une personnalit capa#le dincarnation et dvolution @ ce *ui- ensomme- nimpli*ue pas la ncessit dun nom#re illimit dmes. ,nfin- nou#lions pas *ue nosmondes sont temporaires et *ue la vie n< est *ue pr6te pour un temps dtermin.

Dtournons donc nos am#itions de connaEtre ce *ui- pour nous- apparaEt ) une 9auteurinaccessi#le. 'ous avons tant et tant dtapes ) franc9ir- dans le domaine de nos possi#ilits et

dans le c9amp permis de nos conceptions- *uil nous paraEt a#solument inutile- pour le moment-de c9erc9er ) connaEtre le secret inscrit de lautre cBt du "rand Voile. ar- dA)- pour nous-lourde est la tc9e de "ravir le premier versant de la monte

6( Laura 1umaineLaura est le ra


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C1aitre III0 La loi de lvolution

&( Les /)/les dvolutionIl est- pour lme 9umaine- sept plans ) "ravir- avant de parvenir au terme de son

premier c


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7on"eons *ue- pour raliser seulement son ascension dun plan ) un autre- il lui faut dessi:cles et des multitudes dincarnations- non pas seulement sur une- mais sur plusieurs plan:tesde notre sant ) la *uitude- ) latran*uillit dune vie "oste- se consacrent au service de leurs fr:res@ ce sont ceu/ *ui ontpous la mis:re 9umaine et la veulent "urir- soula"er- ceu/ *ui se penc9ent avec fraternit surla dtresse de leurs fr:res- et ceu/ *ui pansent avec amour les plaies des corps et des mes.

est cette dou#le multitude- arme de la souffrance ou l"ion du "ervice - ce sontelles- les vraies M lues N- celles *ui ont dA) con*uis leurs "alons spirituels ou aspirent ) lescon*urir- par lpuration douloureuse ou le dvouement volontaire. e sont ces mes(l) *ui- )l9eure li#ratrice de la mort- recouvreront les premi:res la Lumi:rela Vrit- et prendront

place parmi les convives d9onneur- au "rand #an*uet de l0mour divin 0mes ferventes et fortes des M serviteurs N- mes pito


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e sera vous- les vrais lus- ceu/ ) *ui le P:re ouvrira- les premiers- 7es Oras protecteurs- et *uiverreJ- ) lau#e li#ratrice de la dsincarnation- luire l,toile de 7alut- ) la*uelle vous aureJ crudans les tn:#res ar- pure et "randie- votre me- a


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9ommes- avoir rec9erc9 la tc9e altruiste- en un mot avoir particip dune mani:re effective etdsintresse ) l,volution "nrale.

Le dpouillement de l"osme- *ui va de pair avec le renoncement personnel- all:"elme des voiles fluidi*ues *ui la retiennent dans les plans infrieurs. 0insi li#re- elle acc:deau/ plans plus su#tils (- o5 les mes ra


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; $mour et Sa/ri.i/e ( La orte de la lumi're0lors- pour*uoi sent6ter- pour*uoi ter"iverser et retarder indfiniment- mon ?r:re- tonentre dans la vraie vie- dans la Lumi:rela Vrit Hu sais- tu es sr *ue- derri:re cette portepaisse- o#scure- mais vulnra#le- il est des espaces lumineu/- merveilleu/- dro#s encore ) tavue. Hu 9sites devant cette porte- *ui tapparaEt effra


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celle de l"osme *ui mure ton coeur 0lors- resteras(tu ainsi- lon"temps prisonnier de toi(m6me- volontaire captif dune "eBle- dont tu es le gardienet dont tu oss'des la /le. ?

e serait vraiment- et ridicule- et stupide Hoi *ui te dis le roi de la Herre- trem#leras(tudevant lillusion de ton M moi N- te laisseras(tu aveu"ler par les tn:#res environnantes L:ve les


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les plans fluidi*ues- c9acune de ces incarnations constitue ce *ue nous nommons- improprement-M une destine N.

ar la destine- cest la fin supr6me- cest la totalit de la vie dune me- depuis sapremi:re involution consciente dans la mati:re. ,lle a un #ut suprieur et plus #eau *ue laplotte am#ition dune e/istence terrestre. ,lle va des premiers #al#utiements de la conscienceau/ 9


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divine est sa"e et "nreuse- elle permet le rac9at une #onne action rac9:te- au m6me titre *uela souffrance- un coin du pass mauvais. ,n outre- le #ien ne rpare pas seulement le mal- ilappelle et cre le #ien- le #on- le #eau. est laLoi natrelle de lAffinit*ui se/erce l)- loi *uia nom ma#ntisme - dans le domaine p9


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Il ne peut rien sur ses dettes du pass- *uil doit pa


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Il est donc vain- et dailleurs inutile- de vouloir connaEtre la date dune dsincarnation-car celle(ci nest ni immua!lement .i2e4 ni .atalement mar9ueau calendrier de lvolution.,n outre- cette connaissance serait nfaste ) lindividu intress- car elle paral


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C1aitre V

0 La rin/arnation

&( Sa rarationLincarnation- plus encore *ue la dsincarnation- comporte une srie de p9ases- soumises

au/ lois strictes de l,volution et dune incorrupti#le Austice. est un vnement tr:s important-non seulement au point de vue 9umain- terrestre- mais encore au point de vue astral- fluidi*ue etspirituel. Il doit 6tre prpar de lon"ue date et comporte le concours de multitudes dentits oude forces de diffrentes natures. uand selon les r:"les ine/ora#les de l,volution et la disciplineinfle/i#le des M(oit et Avoir spirituels- une me- vivant ) ltat li#re sur les plans fluidi*ue- estamene ) se rincarner- cest tr:s lon"temps ) lavance *uelle prpare cette opration capitale.,lle doit- en effet- surtout si elle a dA) atteint un certain de"r dvolution- se rev6tir

pro"ressivement de v6tements fluidi*ues de plus en plus denses- emprunts ) la su#stancespcifi*ue des plans *uelle traverse- en redescendant dans la forme c9arnelle ,lle a #esoin- pour

cela- du concours des forces directrices et conservatrices de la vie de ces plans. Lincarnation estsoumise ) une srie comple/e de conditions- *ue la relativit et limperfection de notre vie

plantaire ne nous permettent "nralement pas de ralis:rent leur plnitude. 7elon se mritespasss et- surtout- suivant ses dsirs- ses volonts de pro"r:s actuels- lme c9oisit le milieu- lafamille et le lieu de son incarnation proc9aine- l) o5 elle sait pouvoir accomplir le mieu/ sa

proc9aine destine. 9oisir nest pas le mot Auste- car nont le droit de /1oisir rellement *ueles mes *ui ont ac*uitt compl:tement les dettes du pass et peuvent- alors- en li#ert- modelerleur proc9aine incarnation. Les autres sont o#li"es de se soumettre ) la "rande Loi del$piation etde ce fait- elles voient se rduire les limites de leur c9amp dvolution- donc deleur c9oi/. 7ouvent- cest tr:s lon"temps ) lavance *uune famille est c9oisie- prpare m6me-surtout parce *uil sa"it dune incarnation deprdestin ou de missionn .Il faut- en effet- des

affinits fluidi*ues et ps


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ra


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rpercussions ps


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C1aitre VI

0La dsin/arnation

&( La mati're retourne 3 la mati'reLa dsincarnation nest *uune solution de continuit dans le courant vital or"ani*uela

rupture du lien fluidi*ue- *ui relie le canal soit #ientBt avec 9orreur *uune #arri:re infranc9issa#le le sparemaintenant du monde au*uel il croit- cependant- appartenir.

'e serait(ce pas l) lima"e du vrita#le enfer 7upplice de la solitude- de la dtresse Ilna pas encore reconnu son sAour- se cro


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dans latmosp9:re terrestre. Il ne le peut *uen all"eant la divine prisonni:re de la multipletuni*ue de fluides "rossiers- *uil ) lui(m6me tisse par sa vie de Aouissance et d"osme.

,t cela- ce ne sera pas lKuvre dun Aour- ni leffort dun seul. uand il aura #ien souffert-il comprendra. Des #ides- des amis le viendront instruire et lui apprendront laLoi dvoltion-loi inlucta#le. ,t- lors*uil aura accepte- alors- dnouant enfin le lien *ui retenait son me

prisonni:re de la mati:re- il lui sera accord un #on repos- pour *uelle puisse accomplir lamtamorp9ose *ui fera delle- de nouveau- un papillon cleste- une messa":re aile des espaces

spirituels.Lenfer- cest cela est ce sAour de lme dsincarne dans lpais fluide de la terre@cest ce #ain forc dans cette "lu fluidi*ue *ui sem#le retenir la vo


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peu- dpouiller la co*ue sordide *ui la tenait prisonni:re de la mati:reet- dans un sommeilprofond- ou#lier lamertume de lincarnation- pour sveiller- ensuite- l":re et li#re- ) sanouvelle vie de lespace.

n lon" rpit de silence et de calme suit- pour la plupart des mes- les affres "nralementdouloureuses de la"onie. Il est tr:s difficile de retrouver alors leur silla"e- car elles sem#lent

#ien lima"e est tr:s Auste des c9r


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occulte- ni la porte- sens et porte *ue leurs insti"ateurs connaissent et apprciaient ) leur rellevaleur.

6( ,ai2 au2 mes de !onne volontPour le spiritualiste- pour celui *ui sest donn au service de ses fr:res- dans leur amour et

par amour pour Dieu- la mort nest- ne peut 6tre *uune dlivrance- une ascension "lorieuse- uneenvole l":reet 9eureuse vert les sAours de Lumi:re de Oeaut- de Pai/ . La mort ne devait

Aamais effra


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sont les formes fluidi*ues des penses et des sentiments *ui manent du corps prisprital des9umains et de la masse des dsincarns de lastral. 0 cette multitude "risaille saAoutent desra


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Les modes de perception de cette vie demeurent les m6me sur tous les plans. Lme tantdoue de sens internes propres ) son e/istence particuli:re sur les plans spirituels- ces sensdeviennent de plus en plus puissants et se dveloppent selon le r


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+'me artie 0 ,our devenir mdium

C1aitre VII

0 Linvestigation des lans invisi!les

L9omme a ) sa disposition un dou#le mo


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m/ani9ues4 automati9ues;oui(Aa- ta#le- etc.= o5 le suAet- inconscient et e/trioris- na pas ouna *uune fai#le notion de ce *ui se passe.

,t nous a#ordons- alors- les formes tout ) fait inconscientes de la mdiumnit celle delin/ororation(Dans ce dernier mode dinvesti"ation occulte- le mdium sem#le dormir. ,ntout cas- il na aucune conscience- aucun souvenir de ce *uil dit ou fait pendant la transe. Il ne

peut- ) volont- o#tenir le p9nom:ne @ il le su#it- sans pouvoir en e/pli*uer- en anal


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-( #i..rentes .ormes de /lairvo)an/eLa vo


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La Pense divine et- lui o#issant- la pense cratrice des entits suprieures- c9ar"esde veiller ) le/cution de la Volont divine et de 7es dcisions- crent- par des formes dura#les-les ima"es des vnements futurs- une sorte de plan de la vie davenir- o5 sinscrivent lumineu/-visi#les- les "rands faits collectifs ou individuels.

9acun de nous vit donc- pour ainsi dire- non seulement avec son #a"a"e du pass;sorte de pedi"ree invisi#le=- mais avec le miroir fluidi*ue de son futur. Les collectivits- lesnations- comme l9umanit enti:re- ont de m6me leur miroir t9ri*ue. 7i #ien *ue le

clairvo


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emplo


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C1aitre VIII

0 La mdiumnit

&( #.initionLa mdiumnit est une facult psoit la vie et lactivit de lam#iance invisi#le. La mdiumnit est- ensomme- un si2i'me sens multile4 car il se/prime- aussi #ien et ) la fois- par la vision *ue parlaudition- lolfaction- etc. %ais cest un sens interne- cest()(dire se/er>ant dans un domaine*ui ne tom#e pas sous les sens corporels. ,lle comporte- en outre- la facult de recevoir etdenre"istrer les messa"es dune radio spirituelle- dune tlpat9ie entre incarns et dsincarns.,nfin- elle en"lo#e le plus souvent la facult de lintuition ;ou don de divination=- cest()(dire le

pressentiment- la prescience des vnements et des faits davenir ou la perception de ralits

invisi#les et inconnues. Le mdium peut- par le/triorisation de ce sens interne- e/plorerlinvisi#le et en rapporter des ensei"nements directs. Il peut encore recevoir des ensei"nementset des messa"es des entits *ui peuplent lespace sous la forme fluidi*ue- cest()(dire desdsincarns ou ,sprits- Il est un a"ent de transmission des ondes ps


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0lors *ue- si- d:s le d#ut- il lapprcie comme un don divin- linstrument dun apostolat-et lui conf:re une sorte de saintet- il pourra esprer- non seulement la dvelopper en puissanceet en valeur- en instrument de #ien et de service- mais la considrer comme le premier stade delinitiation. La mdiumnit sera rellement- pour lui- un dpBt prcieu/- un pr6t divin- *uil luifaudra restituer plus #eau encore et enri/1i de tout le trsor de !ien4 9uelle aura servi 3a//omlir(

Peut(6tre trouvera(t(on *ue nous e/a"rons- en 9aussant sur un pidestal spirituel cette

simple facult ps


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Les "rands initis- *ui recevaient les messa"es directs dans le/tase- taient des mdiums.Oeaucoup avaient le don de "urir- forme la plus prcieuse de la mdiumnit. Les M miracles N*ui leur sont attri#us- sils taient dus parfois ) lintervention directe de forces invisibles-taient aussi- #ien souvent- leffet de leur mdiumnit personnelle ) lincorporation-matrialisation- apports- etc.

Dailleurs- ces dons- remar*us c9eJ les saints reli"ieu/- se retrouvent ) des milliersde/emples c9eJ des saints la*ues. %ais l,"lise- pour conserver le privil:"e de la saintet-

attri#uait au dmon- c9eJ ceu/(l)- ce *uelle attri#uait ) Dieu c9eJ les siens. ependant- lesm6mes p9nom:nes avaient les m6mes causes- et la cause- c9eJ les uns comme c9eJ les autres-tait la mdiumnit.

Le cur d0rs tait voois d0ssise comme un saint Vincent de Paul.

%ais l0nti*uit- comme les Hemps modernes- offrent- en re"ard- de "rands saints la*ue-

tels P


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C1aitre I

0 "ani.estations et .ormes de la mdiumnit

&( Le si2i'me sensLa mdiumnit comporte- en somme- un si2i'me sens4plus complet et plus su#til *ue

les sens corporels. e sens est en "nral s


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est plus une s


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mcani*ue daider la concentration ;*ui prc:de touAours- ou ) peu pr:s- ltat mdiumni*ue= oude raliser la manifestation. ,n fi/ant du re"ard le verre- la #oule de cristal- etc- ils aident ) laconcentration en donnant une si"nification conventionnelle ) certains si"nes- ) certaines cartes-le mdium en fait des instruments indicatifs- mais *ui nont par eu/(m6mes aucune influence surla facult ps


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'ous avons rserv une place spciale ) cette forme de mdiumnit- car elle est peut(6trecelle *ui rpond le mieu/ au #ut supr6me de le/ercice mdiumni*ue le servi/e de l1umanit4ar le soulagement des mau2 1umains(

Le "urisseur re>oit directement- par le truc9ement de ses centres psoit et transmet les forces directes- *uil assimile et proAette sur les malades.

omme c9eJ le mdium ordinaire- cest par son "rand s


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mdiumni*ue- puis*uelle concourt au soula"ement des mau/ 9umains- au service et au pro"r:sde l9umanit- par les indications prcieuses *uelle peut offrir au mdecin de lme et du corps.

!D Comment ro/'de le s)/1om'tre ?

Pla>ant lo#Aet fluidifi c9eveu/- ou lettre- lin"e- v6tement- tissu- papier- etc.entre

ses mains- il se concentre par une pri:re- un appel au/ #onnes forces. Puis- les


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C1aitre

0 Naissan/e et dveloement de la mdiumnit

&( La rvlation de la mdiumnitOeaucoup de personnes sont ou peuvent devenir mdiums- mais li"norent. Parfois- elles

ont enre"istr- ) leur "rande surprise- *uel*ues manifestations des forces occultes- ont t lo#Aetou le tmoin ou m6me la victime de p9nom:nes dit M supranormau/ N- sans se rendre compte*uelles en taient aussi linstrument- le mo


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Fptons(le la mdiumnit- en fait- est une facult 9umaine- *ue c9acun poss:de en"erme- mais *ui ne se dveloppe et ne se/erce *ue c9eJ *uel*ues(uns- dans toute son ampleuret son acuit. ,t le s


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de ses fi#res su#tiles ( *ue senre"istrent les p9nom:nes invisi#les. La su#tilit du sues- sous une forme intelli"i#le et compr9ensi#le ) cedernier. et tat psues- sous une forme intelli"i#le et compr9ensi#le ) cedernier. et tat ps


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deu/ plans ) la fois- parce *uelle aura dvelopp normalement son 6tre ps


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dentraver une mission spirituelle. 7i le mdium sait conserver cette triple cuirasse et silprati*ue laltruisme et la c9arit comme 9a#ituelles vertus- sil se place totalement par la pri:re

entre les mains des 9autes ,ntits- il ne craindra Aamais de devenir comme- 9las ela arrive

trop souvent ni le Aouet des entits infrieures- ni un pauvre dtra*u- victime de ses propres

illusions et de son or"ueil.Le climat moral dans le*uel vit personnellement le mdium a une importance capitale et

une influence indnia#le sur la *ualit de ses travau/. e climat- cest lui- en "rande partie *ui

le forme- et celui *ui a su se crer une atmosp9:re morale personnelle pure et leve- na pas )craindre "rand(c9ose des atta*ues e/trieures- car il sest construit un solide #ouclier

protecteur- ) la#ri du*uel son me demeure li#re et ses facults ps


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6( Limortan/e de lam!ian/ePour nous- *ui #asons le/ercice de la mdiumnit sur le M service N- le dveloppement

de la mdiumnit impli*ue touAours le sou/i de lvolution morale. La mdiumnit est unac*uis de cette volution et doit donc la continuer.

'ous ne pouvons ima"iner son dveloppement par des mo


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Pour nous- la pri:re est plus et mieu/ elle est llan sinc:re du cKur vers les 9tresspriers- llvation de lme vers l,tre divin @ elle est un appel fervent dune crature ) sonrateur- pour demander force- protection- lumi:re. Peut importe *uelle ne rev6te aucuneformule- *uelle ne soit *uun mot- moins *ue cela m6me un appel muet du cKur. Du moment*ue cest un lan vers le Divin- cest une pri:re. e *ui importe- cest le sentiment de foi-desprance- d9umilit- *ui prosterne lme devant Dieu ou devant 7es Lois.

ependant- pour aider et apprendre ) prier- on peut- au d#ut dune sance- faire )

9aute voi/ une invocation. %ais il est vident *ue- pour 6tre efficace- cette invocation doitavoir son c9o- non seulement sur les l:vres- mais dans les cKurs. ,t nous prfrons- lors*ue lancessit et le #ienfait de la pri:re ont t suffisamment dmontrs- *uelle demeure silencieuseet recueillie- afin *uelle soit davanta"e un lan intime et fervent de lme vers les ?orcesdivines.

C1aitre I

0 Les /ommuni/ations ave/ lau0del3

&( Les groues dmesomme nous lavons dit- lactivit des mes est incessante- dautant plus utile et

fconde *uelles sont plus volues. Groupes selon les lois daffinit su#tile de lacommunaut daspiration et didal- elles o#issent tout naturellement ) la plus voluesdentre elles- lui confiant les soins de c9oisir et de rpartir la tc9e collective et celle dec9acune delles. 0insi c9a*ue "roupement reprsente- dans lunivers spirituel- une petite

plan:te- ou plutBt une constellation- o5 lactivit est r"le selon les pouvoirs- les mrites de

c9a*ue me.

4


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Le "roupe tout entier sattac9er ) une dou#le tc9e celle de ltude et celle du service.Hour ) tour- elles doivent relater le fruit de leurs o#servations spciales et de leurs ac*uisitions-en m6me temps *ue fournir- pour ainsi dire- une part tan"i#le de travail. De temps en temps-*uel*ues(unes se dtac9ent du "roupe dtudes- pour aller instruire leurs sKurs dun planinfrieur- mais elles demeurent constamment relies et en communication directe avec le"roupe dont elles manent- au centre m6me. 0insi nos #idesne sont(ils- dans la plupart descas- *ue des missaires dun fo


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souvent la manifestation visuelle et la constitution dun v6tement fluidi*ue apparent- maisprovisoire- dont ils empruntent la su#stance ) un mdium puissant et spcialement or"anispour la matrialisation.

!D Le /li/1 t1ri9ueDailleurs- dans lapparition- tr:s souvent ils emploient surtout le /li/1 t1ri9ue-

cest()(dire *uils forment par la proAection puissante de leur pense- une ima"e de la sil9ouette

9umaine de leur derni:re incarnation- *ui les rend reconnaissa#le ) lassistance @ sans recourir )la matrialisation proprement dite- ils envoient- par ce truc9ement- leurs messa"es. Dans cecas- il leur faut- ) pro/imit- un mdium ) la fois vo


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enveloppe l,sprit- et cest par ce miroir *ue se communi*uent au cerveau les su""estions delintrieur. 'e nous tonnons donc point de retrouver- dans les messa"es- les proccupationsou les opinions personnelles du mdium. Il faut- de la part de celui(ci- une vrita#le"a#le par les conceptions et lactivitmentale des assistants *ui- m6me ) leur insu et contre leur volont- d"a"ent desra


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attention sur une notion ) ac*urir- une vrit ) claircir- puis- par llvation de leur mes-constituaient une am#iance capa#le dattirer- m6me passa":rement- les#idessuprieurs.

,nfin- il serait dsira#le *ue le mdium prEt l9a#itude de neutraliser- ar une/on/entration ro.onde sur le oint indi9u4ses propres conceptions et ides ) ce suAet. Cnverrait- alors- la prcision- la nettet- la 9auteur remplacer- dans les messa"es- linco9rence-limprcision- le va"ue et la #analit- si commune dans ce *ue nous appelons lesM communications N.

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C1aitre II

0 Les messages mdiumni9ues

&( Comment les o!tenirLors*uil < a *uel*ues indications permettant de supposer *uon poss:de la mdiumnit

dcrivain ;soit mcani*ue- soit semi(mcani*ue- soit consciente ou inspiration= on pourra la

dvelopper par des e2er/i/es rts rguli'rement.es e/ercices auront lieu- autant *ue possi#le- soit dans la solitude- soit sous la

protection dun autre mdium plus e/priment. ,n tout cas- il est salutaire de purifierauparavant lam#iance par la pri:re- en < aAoutant la com#ustion de *uel*ues "rains dencens-

purification occulte des fluides atmosp9ri*ues.Puis- a


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et par leur truc9ement- il pourra sinstruire et instruire autrui sur les "randes vrits- spirituelleset p9ilosop9i*ues. est- dailleurs- l) le vrita!le4 linitial !ut de toute mdiumnit(

-( Les arti.i/esLe d#utant renouvellera souvent- c9a*ue Aour- si possi#le- ses tentatives- en c9oisissant

les moments de calme et de solitude. uil ne se dcoura"e pas des premiers insucc:s @ mais*uil se persuade #ien *uil russira dautant mieu/ et dautant plus vite- 9ue son rogr's

moral sera lus raide.'ous savons *uil e/iste *uel*ues procds prati*ues facilitant peut(6tre sans

lassurer cependant le dveloppement mdiumni*ue verre deau- #oule de cristal- etc. %ais

nous faisons plus de crdit- en loccurrence- ) lvolution morale. ar la vrita#le voie delInitiation est une voie de pro"r:s et dlvationet la mdiumnit est le premier pas sur la"rande route initiati*ue.

0 tous les verres deau- les #oules de cristal- etc.- nous prfrons et nous le

conseillons ) ll:ve mdium nous appli*uer ) vivre en siritualiste sin/'re(HBt ou tard- il

verra alors son don ps


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pollution des plans matriels. Ils arrivent ) notre me dans leur vi"ueur et leur puretprimitives.

La seule difficult demeure dans leur traduction. est pour*uoi ils prf:rent touAours-pour leurs messa"es p9ilosop9i*ues et mtap9


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Hous poss:dent cette facult en "erme- mais son dveloppement est le fruit de nosefforts vers plus de spiritualit et de perfection. ,lle demeure en nous comme une flammeclairante interne- *ui se ravive sous le souffle ardent de l,sprit- dans la mditation intense etla concentration. ,lle ne rel:ve daucun appareil ou or"anisme e/terne. e nest pas )

proprement parler une mdiumnit- mais- si lon veut- la mdiumnit totale et /onstante4cest()(dire le mo


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C1aitre III

0 Erreurs4 /ueils et r/autions

&( Les r/autions 3 rendreLa prparation de lam#iance ncessaire au/ relations mdiumni*ues dans les centres

spirites impli*ue des connaissances spciales et impose de grands devoirs sirituels aumdium et ) lassistance. ette prparation ne commence pas ) l9eure m6me des sances- ellecomporte une attitude morale de tous les instants- un constant dsir de purification- dlvationet daltruisme- en toute circonstance.

Dans nos centres dinstruction- il faudrait avoir le souci de la slection- non par vanit-mais afin *ue l9armonie- venant de la communaut des sentiments et daspirations- soitralise aussi compl:tement *ue la relativit 9umaine le permet. Cr- la plupart du temps- nosassem#les sont constitues sans aucune r:"le- sans aucun souci du respect des lois

primordiales de laffinit et de lvoltion. 'e nous tonnons pas- alors- de linfriorit des

messa"es et de la mdiocrit des rsultats spirituels.Cn sem#le trop souvent ou#lier *ue le #ut essentiel des runions est llvation morale

des mem#res- *ue lessprits4#idesde l9umanit ont pour principale mission daider leursfr:res incarns ) avancer sur le dur c9emin terrestre et ) leur en faciliter les moon ) ne pas dcevoir les curiosits enfantines ou les dsirs "ostes de certainsassistants par la 9auteur des messa"es

7i un "roupe se forme sous l"ide de la spiritualit pure et avec le dsir decomprendre- de savoir- pour mieu/ servir @ si c9acun de ses mem#res sefforce touAours deraliser cet idal- lam#iance fluidi*ue sl:vera delle(m6me- et nous o#tiendrons- alors- desmessa"es de 9aute porte et des instructions de premier plan. ela ne nous emp6c9era pas de

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former- ) cBt- des "roupes moins slectionns- *ui rassem#leront- en un centre lmentaire-les mes *ui demandent une nourriture plus primitive.

+( Ldu/ation siritualisteLducation spiritualiste- comme toute ducation- a ses de"rs et ses classes- et il faut

"ravir- un ) un- les c9elons de la spiritualit. 'ous "a"nerons en rsultats et en travail- si nouscommen>ons Austement par "rouper les spirites selon leur tendance- leur volution- et leurs

"ots. Ssus la dit il ne fat pas donner des perles a$ porcea$. Dure ) lor"ueil9umain est cette parole- mais Auste en cons*uences. Hout ensei"nement reli"ieu/- touteducation spiritualiste doit sadapter au de"r dvolution de ll:ve @ et- sil nest pas #on de

parler le m6me lan"a"e ) un enfant *u) un adulte- sous peine de ne pas 6tre compris- de m6meil fait slectionner les difficults- srier les ensei"nements en mati:re spirituelle- sous peine devoir une partie de ces ensei"nements perdre de leur valeur et de leur porte- et passer par(dessus lentendement des assistants.

'ous aimerions voir se former des centres restreints- mais c9oisis- o5 toussefforceraient par leur conduite et leur tenue morale- de vivre lidal spiritualiste. Vrita#lesdisciples du %aEtre- ils en pourraient- alors- recevoir un ensei"nement direct et rassem#ler- entout cas- dans leurs centres les lments dune vrita#le initiation.

Les coles anti*ues navaient "arde dou#lier ce principe de slection- et c9acunprparait- par un c9oi/ Audicieu/- de petits centres initiati*ues- dans lenceinte m6me destemples. L) na#ordaient *ue ceu/ dont la vie et lattitude mentale staient purifies- levessuffisamment pour ne sintresser *uau/ *uestions mtap9


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distraire et #ien souvent- la tc9e du #ideest entrave- o#strue par leurs efforts et leursindiscrtions.

est pour*uoi- lors*ue les#idesle peuvent cest dailleurs dans la "nralit des

cas ils se font prcder dun +rat darmes *ui d#laie le terrain et fait #onne "arde

autour deu/ pendant la dure du messa"e. 'ous les aiderions dautant plus- dans cetteclarification de lam#iance- *ue nos penses et nos pri:res seront plus leves et altruistes- leur

permettant ainsi de se maintenir dans un 9alo de fluides lumineu/ o5- selon linlucta#le lois de

laffinit- ne peuvent demeurer les ,sprits infrieurs.

*( L1armonie des .luidesCutre ces lments- causes dentraves dans les relations mdiumni*ues- il en est

dautres plus su#tils ceu/ de l9armonisation des fluides des assistants- par e/emple. ette9armonisation- a#solument indispensa#le ) la *ualit des messa"es- ne se fait *ue lentement- )la faveur des /onta/ts rguliers entre les m6mes assistants et les m6mes "uides. est

pour*uoi il nous est difficile do#tenir lunit et la co9rence des communications- silassistance se modifie ) c9a*ue sance.

'ous avons montr- plus 9aut- la ncessit de la communaut de vues et de llvationdes #uts- dans la *ualit des messa"es. Il reste encore diffrentes causes derreurs ou de

difficults dans la rception de ces derniers. Lastral est peupl tr:s intensment- non seulementd,sprits rcemment dsincarns ou infrieurs en volution- mais dautres entits encore- dontlincarnation demeure fluidi*ue et *ui nont rien de commun avec l9umanit. Gnies de laterre- des plantes ou des eau/- comme on les dnomme poti*uement- ils ne prennent pas part

directement ) nos relations avec les #ides- mais leur propre activit peut- en maintsoccasions- "6ner la leur- par des intrusions volontaires ou involontaires dans un domaine *ui-sans leur 6tre propre- ne leur est pas non plus ferm.

aD Les /onditions atmos1ri9ues,n outre- les conditions atmosp9ri*ues Aouent aussi un rBle capital dans la

transmission tlpat9i*ue. Il est certain *uune atmosp9:re limpide- s:c9e- ensoleille est- en

"nral- plus propice ) la communion spirituelle. De plus- la temprature ou lassainissementdes couc9es infrieures de lt9er a aussi son importance. ,nfin et surtout ltat de sant

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Lunivers est un ternel et continuel mouvement. Hous les plans invisi#les sont peuplset actifs- et touAours selon les "randes lois de laffinit- *ui deviennent lois damors- dans lesr"ions suprieures de l,sprit. 7elon *ue nous Kuvrerons dans tel ou tel sens- nous"rouperons immdiatementautour de nous une multitude de colla#orations invisi#les Kuvrantdans le m6me sens. 7elon la 9auteur de notre idal- laltruisme de notre vie- nous pourrons

parvenir ) mettre en mouvement une force puissante dactivits invisi#les- *ui nousseconderont et contri#ueront ) mieu/ nous faire entendre les avis des #ides.

Perptuelle communion des ,sprits dans lsprit ;niversel- relations intimes etfcondes des plans de vie- cons*uences "nreuses de lunit et de la "randiose #ont durateur- *ui na pas voulu *uaucune parcelle de vie demeure solitaire ou a#andonne dans le"rand concert invisi#le des mes. 9acun a sa petite collectivit- dori"ine et de fin- sacommunaut fraternelle o5 elle vient se retremper et sinstruire- ) lissue de c9a*ue incarnation

pour mieu/ o#ir ) la "rande loi dvoltion. ,t les relations mdiumni*ues ne sont *uun desmille mo


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ou#lient *ue ce sont eu/ *ui- dans la plupart des cas- en sont la premi:re cause- car cest parleur am#iance *uils crent celle o5 volueront les entits invisi#les.

,n effet- tr:s souvent- cette am#iance est- sinon infrieure- du moins tr:s *uelcon*ue etne peut fournir des lments suprieurs ) latmosp9:re fluidi*ue. Dans cette am#ianceordinaire- sinon vul"aire- ne peuvent parvenir les ra


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Dans ce cas- il recevra sans arr6t des messa"es plus ou moins inco9rents et fau/- et ilse sentira contraint de les prendre @ ou #ien il se verra- sil est auditif- condamn ) our tout letemps- nuit et Aour- des insanits- des inAures- des "rossi:rets- des ordures- parfois- ou pire @ ilrecevra des impulsions incoerci#les- se verra contraint do#ir ) une force irrsisti#le etde/cuter des actions touc9ant ) la folie ou ) la maladie ;sadisme- contorsions- sorted9


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C1aitre IV

0 Conseils et e2er/i/es rati9ues

&( @uel9ues re/ommandationsCn ne saurait asseJ recommander la sin/rit4 la modestieet la ruden/e( uels *ue

soient sa valeur et ses pouvoirs- on ne saura Aamais asseJ le mettre en "arde contre unecrdulit trop "rande ou un suffisance aveu"lante.

Du seul fait *uil est 9umain- il ne peut concevoir ou voir *uune partie de la Vrit et ildemeure touAours suAet ) des erreurs dinterprtation. Il ne sentourera donc Aamais trop de la"arantie dune rserve prudente et naffirmera Aamais rien e$ cat+edra.

7urtout- il ne se laissera Aamais aller ) M inventer N. Lors*uil ne voit ou nentend plusrien- *uil ait la lo


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Il est des moments o5 le mdium se sent M en forme N- o5 il lui sem#le plus facile

do#tenir la communication avec lInvisi#le. uil profite- sil le peut cest()(dire sil a le

calme et la li#ert de ces 9eures de "rce. uil nou#lie pas de commencer son recueillement

par la pri:re. Puis- selon la forme de sa mdiumnit- *uil prenne un cra


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$nne2e

0 LEsrit et le sommeil

&( Le travail o//ulte de lEsritIl est possi#le et m6me tr:s courant de sinstruire endant le sommeil4et ce-

dans toutes les #ranc9es de la science.Voici comment Dans ltat de sommeil corporel- l,sprit se d"a"e en partie et peut aller- sil est

suffisamment volu pour traverser les diffrents plans de linvisi#le- Aus*u) la source desensei"nements *uil rec9erc9e. L)- il sclaire- sinstruit plus facilement @ mais le plus difficile-

pour lui- est denre"istrer dans le prisprit- sous une forme accessi#le ) lintelli"ence- les

notions ac*uises.es notions- comme dailleurs tout ce *ui touc9e l,sprit- laissent leur empreinte dans

son enveloppe fluidi*ue *ue les uns appellent M prisprit N- *ue les autres nomment

M su#conscient N. ette opration a lieu c9eJ tous- avec plus ou moins dintensit- suivant lasu#tilit du fluide prisprital- su#tilis dpendant- en "rande partie- du de"r dvolution- maisdont un mdium est touAours srement plus ou moins dou.

0utomati*uement si cest un mdium les empreintes du prisprit se rflc9issant

dans le cerveau- et celui(ci- avec un peu de/ercice- les retrouve tr:s facilement au rveil. e*ui met o#stacle ) cette transmission au cerveau par le prisprit- cest lenveloppe des fluidescr#rau/. eu/(ci- dans la plupart des cas- sont trop pais pour se laisser pntrer par les

ra


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1 ( la multiplicit et la diversit des impressions e/trieures- *ui trou#lent lamditation dans une socit *uelcon*ue @

2 ( la difficult de le/triorisation compl:te- ) ltat de veille @3 ( le man*ue de/ercice en "nral- des l:ves ) ce suAet.

7ac9ons- cependant- *ue nous ouvons tout arendre4 tout demander4 toutsavoir4 ar lEsrit 8 *ue celui(ci poss:de- selon le de"r de son volution- des antennes plusou moins su#tiles- *ui le mettent en relation avec les plans de lIntelli"ence Divine- o5 il peutac*urir les notions et les connaissances universelles.

+( Lemmagasinement des /onnaissan/esIl est encore une autre source dinstruction elle provient de lemmagasinement4

dans le prisprit- de toutes les connaissances ac*uises dans le pass- par le travail- lesrec9erc9es des vies antrieures. ,lles sur"issent alors- alors- souvent spontanment- comme detr:s anciens souvenirs- enfouis dans les couc9es profondes de la mmoire spirituelle.Lintelli"ence- la compr9ension immdiate des faits- *ui apparaissent difficilement e/plica#les

) l,sprit ordinaire- ne sont pas autre c9ose *ue la rsurre/tion de ses a/9uis antrieurs. ,tle "nie- les "randes facults artisti*ues- la puissance de ltude ne sont- eu/ aussi- *ue desac*uis du pass.

Dailleurs- lors*ue ces souvenirs rapparaissent ainsi soudainement et passent- de lammoire prispritale au souvenir cr#ral- lintress a touAours limpression du dA) vu- dA)connu- dA) vcu. Il lui sem#le *uil savait cela depuis lon"temps- depuis touAours

est donc- en l9omme une prcieuse facult et- pour lui- un "rand secours- *ue cettepossi#ilit pres*ue instantane de dcouvrir la connaissance- la notion dsire."al1eureusement4 soit ar ignoran/e4 soit ar indi..ren/e4 la luart des 1ommes laddaignent. Ils sin"nient ) tudier dans les livres- ) ressasser les ensei"nements de leursaEns- sans essa


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Il est tant de ri/1esses ine2lores dans le domaine sirituel4 tant de uissan/esse/r'tes4 inemlo)es ar l1omme4 et4 /eendant4 mise /oml'tement 3 sa disosition4 3son servi/e4 ar une ,roviden/e gnreuse4 9ue si l1omme savait4 voulait les utiliser4 ilourrait .aire de la terre un den et4 de sa vie4 une lumi're(

%ais le dveloppement de ses facults spirituelles dpend touAours de son volutionmorale- et la plupart des 9ommes sont encore si retardataires sur le sentier *ui monte vers laonnaissance Demeurant coinc sous les pais fluides de la mati:re- l,sprit ne peut emploues par le

prisprit.Du cBt ,sprit- il emma"asine les notions- clic9s- su""estions- puis les ra


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F6ver de *uel*uun- dsincarn ou non- cest avoir pris le contact fluidi*ue avec lui-contact dont le souvenir demeure plus ou moins vivace au rveil- selon *ue le cerveau a plusou moins #ien enre"istr la rencontre. e souvenir nest- le plus souvent- *uune ima"e- et ilfaut une certaine mdiumnit ou le/prience renouvele des r6ves pour en traduire le sense/act.

aDLe r7ve rmonitoire

Dautres r6ves- plus prcis- sont rmonitoires( Ils sont prop9ties et annoncent unvnement proc9ain. Dans ce cas- cest tout simplement une rvlation faite ) l,sprit- d"a"

par le sommeil- par des entits invisi#les ou le rsultat de la clairvo


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Vie Et Evolution Des Ames Christin F Et Noel C

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