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1 SPORTS Vendredi 30 juin 2017 TP101 - V1 Vendredi 30 juin 2017 World Schools Championship Athletics 2017 > PAGES 8-9 EN IMAGES Les photos insolites de ces Mondiaux Avant de quitter Nancy, les participants de ces Championnats du Monde se sont retrouvés place Carrière à Nancy ce jeudi pour communier une dernière fois. UNSS > PAGES 12-13-14 TÉMOIGNAGES Les impressions des jeunes reporters > PAGES 2-3 AMBIANCE Un relais de l’amitié pour terminer en beauté

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1SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP101 - V1

Vendredi 30 juin 2017

World Schools Championship

Athletics 2017

> PAGES 8-9

EN IMAGES

Les photos insolites de ces Mondiaux

Avant de quitter Nancy, les participants de ces Championnats du Monde se sont retrouvés place Carrière à Nancy ce jeudi pour communier une dernière fois.

UNSS

> PAGES 12-13-14

TÉMOIGNAGES

Les impressions des jeunes reporters

> PAGES 2-3

AMBIANCE

Un relais de l’amitié pour terminer en beauté

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2 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

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I l s’agissait en effet d’unrelais spécial en comparai-son des autres des cham-

pionnats du monde, puisquechacune des vingt-six équipesétait composée de dix-huit athlè-tes de pays différents. Pour leséquipes constituées de moinsd’athlètes, certains devaient pas-ser deux fois. Comme les élèvesétaient de nationalités différen-tes, les équipes étaient nomméespar une lettre de l’alphabet.Mais le plus original fut le choixdu bâton de relais, des microsen plastique, des éponges, desraquettes, des massues, des sa-bots…

« Un moment de rassemblement »

Chaque élève devait parcourirun tour de la place située àproximité de la célèbre Stanis-las, ce qui correspond à unedistance de 350 mètres. La cour-se a duré près de vingt minutespour la plupart des équipes. À lafin, la première à franchir laligne d’arrivée a été l’équipe Wou « milkshake team ». L’équipeH ou « pink micro team » s’estplacée en deuxième position.Les troisièmes ont été les S oumembres de la « croc’s teams ».Les gagnants ont reçu chacunun relais en souvenir de cettebelle matinée. Au lieu de récu-pérer de leurs efforts, les athlè-

tes ont préféré danser le flashmob de la compétition sur unair de Bruno Mars. Certainesdélégations sont même montéessur scène pour reproduire leurchorégraphie présentée à la soi-

rée des Nations. Ce fut le casdes Brésiliens, des Espagnols etdes Chiliennes.

Nous avons pu recueillir lesimpressions d’une athlète suis-se : « J’ai trouvé ce relais très

sympa car même s’il y a beau-coup d’interaction en tempsnormal entre les nations, cematin, on a appris à connaîtretous les membres de notre équi-pe. Tout le monde se supporte

alors que d’habitude, on sou-tient en priorité notre pays.C’était vraiment un moment derassemblement. »

Delphine JEAUNEAUet Manon RADLOVIC

RELAIS DES NATIONS >

Le relais qui crée des liens

L’ambiance était joyeuse pour ce relais de l’amitié.The atmosphere was joyful for this friendship relay.

Hier matin pour la clôture des compétitions, le relais des Nations ou relais de l’amitié a mis en joie la Place Carrière. Le but ? Mélanger les cultures de chaque délégation.

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3SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

# Ensemble

I ndeed, it was a special relayin comparison with the otherevents of the world cham-

pionships since each of the twen-ty-six teams was composed of ei-ghteen athletes from different countries. For the teams with fewer athletes, some had to make it twice. As the students were fromdifferent nationalities, the teams were named after the letters of thealphabet. But the choice of the relay baton was most original : plastic mikes, sponges, rackets, clubs, clogs…

Each student had to go aroundthe square situated near the fa-mous Place Stanislas, which cor-responds to 350 metres. The race lasted about twenty minutes for most of the athletes. At the end, the first to finish was the W team or “Milkshake team”. The H team or “pink mike team” ranked se-cond. The S team or “Crocs team”ranked third. The winners each got a relay baton as a souvenir of this wonderful morning.

‘’A ‘get together’ moment’’Instead of resting after their ef-

fort, the athletes preferred dancingthe competition flash mob on a Bruno Mars’tune. Some delega-tions even got on stage to reprodu-ce the choreography they perfor-med at the Nations evening.

Especially the Brazilian, Spanish and Chilean girls.

We could ask a Swiss girl’s im-pressions : “I found that relay con-test was very ‘cool’for even if thereare normally a lot of interactions between the nations, this mor-ning, we got to know every mem-ber of our team. Everybody sup-ports one another whereas usually, we first support our own country. It was really a ‘get to-gether’moment.”

Delphine JEAUNEAUet Manon RADLOVIC

RELAY OF THE NATIONS >

The relay, a creator of relationships

Le relais des Nations, ou relais de l’amitié, a mis l’ambiance Place Carrière jeudi matin. The relay of Nations, or friendship relay, filled the Place Carrière with delight thursday morning.

Last morning for the competition closing day, the relay of the nations, or friendship relay, filled the Place Carrière with delight. What was the aim of it ? To mix up the cultures of each delegation.

Champio’météoL’événement se termine sur un temps plutôt maussade : le vent sera très présent, dépas-sant toutes les valeurs de la semaine, allant jusqu’à 26 km/h dans l’après-midi. L’humidi-té se fera, elle aussi, ressentir, elle ne des-cendra pas en dessous des 50 % ; mais les précipitations ne dépasseront pas cette valeur. La température ne remontera pas, l’après-midi ne sera qu’à 20°C.

Bref, une météo qui semble s’accorder avec l’humeur souvent triste et nostalgique des départs…

Weather champ’What a gloomy day to end this competition ! It will be more windy than any other day and reaching up to 26km/h in the afternoon. We will also feel humidity as it won’t go below 50 %. Rains won’t reach that level won’t go up again and in the afternoon it will only be about 20°C.In brief, a weather that seems to match the sad and nostalgic mood of departures…

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4 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

L undi et mardi, un ensem-ble de stands étaient ins-tallés sur l’espace devant

la cantine. Trois ateliers dis-tincts ont été mis en place : unsimulateur de tonneaux, deslunettes qui simulent la sensa-tion d’être ivre et un car qui serenverse.

Des jeunes ont ainsi pu ap-prendre comment bien mettresa ceinture et pourquoi s’atta-cher grâce à une « voiture ton-neau ». Le principe ? Desmembres de l’association « sé-curité routière » vous montrentcomment bien mettre sa ceintu-re afin de ne pas être projeté enavant lors du choc. Ensuite,une fois tout le monde attaché,la voiture qui est remplie d’ob-jets du quotidien se met àtourner sur elle-même durantune trentaine de secondes. Lesjeunes vivent un tonneau del’intérieur et se rendent compteque les objets du quotidien telsqu’un smartphone ou un sac àmain deviennent dangereuxlors d’un accident.

Démonstration de désincarcération

Ensuite, les jeunes ont putester des lunettes donnantl’impression d’être ‘’bourré’’.Une fois les lunettes enfilées,les testeurs se mettaient à voirle sol tourner autour d’eux etvoyaient le monde en vert. Ilsdevaient alors réaliser un par-cours de slalom et de saut.Belle chute assurée !

La dernière installation estunique au monde. Il s’agit d’uncar crée par la société « AGO-RA formation » et inauguré enseptembre 2016. Ce car a laparticularité de pouvoir se cou-cher sur le côté en 17 secondes.Les personnes à bord du cardoivent alors parvenir à ensortir le plus vite possible enpassant par la sortie de secourssituée sur le toit. Dans cettesituation aussi, il est obligatoire

d’avoir sa ceinture de sécurité.Cette installation est égalementutilisée pour l’entraînement denombreux pompiers, qui l’utili-sent pour faire des exercicesd’évacuations.

« En France, il n’y a que 4,6 %des personnes de moins dedix-neuf ans qui mettent leurceinture dans le car. Notreobjectif, c’est de montrer auxjeunes pourquoi il faut à toutprix mettre sa ceinture », nousdit le membre de « sécuritéroutière » à l’origine de l’inter-vention.

Pour clôturer la journée, lespompiers ont fait une démons-tration de désincarcération.L’objectif était de sortir unepersonne coincée dans une voi-ture qui ne parvenait plus àouvrir les portes. Armés descies sauteuses, les pompiersont sectionné les portes et tiréla personne hors de son véhicu-le.

Jérémy RAMBACH

SENSIBILISATION >

Les dangers de la route…

Un ensemble de stands a été installé près de la cantine pour sensibiliser les participants aux dangers de la route. In front of the canteen, stands were built to sensitize the participants to the dangers of the road.

Durant les deux jours de compétition, un ensemble d’activités autour de la sécurité ont été organisées devant la cantine où mange l’ensemble des participants.Au programme, une simulation de tonneaux, des lunettes qui donnent l’impression d’être alcoolisé, un car qui se renverse et un exercice de désincarcération.

board have to manage to get out of it as fast as possible by going throu-gh the exit on the roof. In this situa-tion too, you must have your seat belt fastened. This installation is al-so used for the training of lots of firemen, who use it to do evacua-tion practice.

« In France, only 4.6 % of peopleunder 19 fasten their seat belts on coaches. Our objective is to show the young ones why they must ab-solutely fasten their seat belt », a road safety member who pionee-red the project tells us. To end the day, the firemen performed a car cutting out. The objective was to free a person who was stuck in a carand could not open the doors. Equipped with jigsaws, the firemencut out the doors and took the per-son out of the vehicle.

Jérémy RAMBACH

thrown forwards during an impact.Then, once everyone is fastened, the car, which is full of everyday objects, starts to roll over for about thirty seconds. The youngsters live a car flip from the inside and realizethat everyday objects such as a smartphone or a handbag become dangerous when a crash occurs.

After that, the young people couldtest glasses which give them the im-pression of being plastered. Once they had put on the glasses, the tes-ters started seeing the ground mo-ving around them and saw the world in green. They had to do a course of slaloming and jumping. Great falls guaranteed ! The last installation is unique in the world. It is a coach created by the “AGO-RA” company. This coach has the specificity of lying down on one si-de in 17 seconds. The people on

Monday and tuesday, stands werebuilt in a space in front of the can-teen. Three different workshops were set : a car flip simulator, glas-ses that make you feel like you were“plastered” and a coach that rolls over. Some young people could learn how to fasten their seat belt properly and the reason why they have to be tied thanks to the “flip car”. Members of the road safety association show you how to fastenyour seat belt properly not to be

AWARENESS-RAISING >

The dangers of the roadDuring the two days of competition, a bunch of activities about road safety were organized in front of thecanteen where all the participants go to eat. A schedule of car flip simulation, glasses giving the impression of being drunk, a coach that rolls over and an exercise to set somebody free from a crashed car.

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5SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

LE SPORT POUR TOUS À NANCY

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DE PROXIMITÉ

De quelles villes venez-vous ?Une grande partie de l’équipe vient de la capitale Santi-

ago. Les bâtiments et les maisons au Chili ne ressemblentpas du tout à ceux d’ici, par exemple les immeubles dansnotre ville sont beaucoup plus grands par rapport à ceuxd’ici qui paraissent petits. C’est ce qui nous a le plus choqué ici quand nous sommes arrivés.

Quel est le sport le plus populaire au Chili ?Au chili, le sport le plus répandu est bien sûr le football,

il est pratiqué dans tout le pays. Nous suivons d’ailleurs notre équipe nationale qui est en finale de la coupe des confédérations, nous avons le meilleur attaquant du monde d’ailleurs qui est Alexis Sanchez, c’est lui qui va nous faire gagner (rires).

Comment vous êtes-vous déplacé pour venir à Nan-cy ?

Pour venir à Nancy, nous nous sommes donné rendez-vous dans un endroit de Santiago pour prendre l’avion tous ensemble jusqu’à Paris, le voyage en avion a duré 14heures, c’était très long (rire et soupir). Puis, de Paris à Nancy, nous avons pris le train pendant deux heures.

Est-ce que c’est la première fois que vous venez enFrance ?

Oui, je ne pense pas qu’il y a un membre de l’équipe quisoit venu avant car nous sommes loin de la France et l’Europe, nous sommes contents d’être ici à ces mon-diaux, ça nous permet de découvrir un peu Nancy.

Quelles sont vos premières impressions de la Franceet de Nancy ?

Nous trouvons Nancy très beau avec de belles infras-tructures, les bâtiments à Nancy sont beaucoup plus petits que ceux à Santiago du Chili.

Apprenez-vous le Français dans votre école au Chi-li ?

Non nous n’apprenons pas le français dans presqueaucune école au Chili mais nous apprenons l’anglais.

Connaissez-vous un athlète français ?Oui nous connaissons Renaud Lavillenie que nous

avons vu lundi, nous connaissons aussi Jimmy Vicaut, ilssont très connus dans notre monde de l’athlétisme.

Combien d’heures d’entraînement faites-vous par se-maine ?

On a deux entraînements chaque jour, un le matinavant 10 heures et un entraînement le soir, assez tard. Les entraînements durent environ une heure, une heure et demie. Nous nous sommes entraînés dur pour ces Mondiaux.

Mathias DA SILVA

PRÉSENTATION DES DÉLÉGATIONS >

Chili

La délégation chilienne venait en majeure partie de la capitale Santiago. The major part of the chilean delegation came from Santiago, the capital city.

because we are very far from France andEurope. We are glad to be here in these world championships, it allows us to dis-cover a little bit of Nancy.

What are your first impressions ofFrance and Nancy ?

We find that Nancy is very nice withbeautiful infrastructures, the buildings inNancy are smaller than those in Santiagoin Chile.

Do you learn French in your schoolsin Chile ?

No, we don’t learn French in most ofChile schools but we learn English.

Do you know any French athletes ?Yes, we know Renaud Lavillenie we

saw last Monday, we also know Jimmy Vicaut. They are very famous in our ath-letics world.

How many hours do you train a day ?We have two trainings every day, one in

the morning before 10 am and another quite late in the evening. The trainings last about one hour or one hour and a half. We have trained hard for the world championships.

Mathias DA SILVA

What cities are you from ?The major part of our team comes from

Santiago, the capital city. The houses andbuildings in Chile don’t look at all like those you can see here. For example, thebuildings in our city are much taller thanthose here, which look small.

What is the most popular sport inChile ?

The most popular sport is football ofcourse. It is played all over the country. By the way, we are following our natio-nal team which is selected for the final ofthe confederations cup in Russia. Besi-des, we have the best forward in the world, Alexis Sanchez, and he is going tomake us win (laughter).

How did you get to Nancy ?To come to Nancy, we all met at a point

somewhere in Santiago to take the planetogether to Paris. The flight lasted 14 hours, it was very long (laughter and sigh). Then we took a two hours journey train from Paris to Nancy.

Is it your first time in France ?Yes, I think so. I don’t think any mem-

ber of the team has ever come before

PRESENTATION OF DELEGATIONS >

Chile

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6 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

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De quelle ville venez-vous ?Nous venons de nombreuses parties du

pays tout comme Londres, York ou même Stratford. York est une ville du Nord de l’Angleterre entre deux rivières : l’Ouse et la Foss. Stratford est une ville située au centre de l’Angleterre.

En Angleterre, quel est le sport le pluspopulaire ?

Il s’agit du football, nous avons de grandsclubs prestigieux comme Arsenal, Evert on, Liverpool, Manchester et Chelsea. Le hockey est lui aussi très apprécié.

Comment êtes-vous venus ?Tout d’abord, nous avons pris l’Eurostar

de Londres jusqu’à Paris, puis le train de Paris à Nancy. C’était un voyage assez rapide.

Combien y avait-il d’heures de trajet ?En tout, nous avons eu 6 heures de trajet.Combien d’heures d’entraînement

avez-vous par semaine ?La plupart de nos athlètes ont environ 9h

d’entraînement par semaine.Quelle était votre première impression

en arrivant en France ?En France, quand nous sommes arrivés,

nous avons été très surpris par la chaleur étouffante.

Êtes-vous déjà venus en France ? Où ?Pourquoi ?

L’entraîneur : Pour ma part, je suis venuen France une fois avec ma famille.

Une athlète de l’équipe : Je suis déjà venuen France quatre fois en vacances auprès de ma famille.

Qu’est-ce qui vous a le plus surpris enFrance ?

Encore une fois, nous avons été beau-coup surpris par la forte température. Nous devions prendre en compte cette donnée pour gérer au mieux notre compé-tition.

Est-ce que vous apprenez le français ?Si oui, depuis quand ?

L’entraîneur : J’ai étudié le français trèspeu de temps donc je ne le parle pas.

Delphine JEAUNEAU

PRÉSENTATION DES DÉLÉGATIONS >

Angleterre

La délégation anglaise venait de Londres, York (Nord de l’Angleterre) et Stratford (Centre). The english delegation came from London, York (North of England) and Stratford (Centre).

What city are you from ?We are from everywhere in the

country, from London, York or even Stratford. York is located in the North of England, between the Ouse and Foss rivers. Strat-ford is located in the centre of England.

What is the most popular sportin England ?

Football of course, we haveprestigious and great clubs like Arsenal, Everton, Liverpool, Manchester and Chelsea. Hockeyis also quite popular.

How did you come here ?We first got on the Eurostar

from London to Paris and then caught a train from Paris to Nan-cy. It was quite a short trip.

How long was the trip ?It was six hours all together.How long do you train every

week ?Most our athletes train for 9

hours every week.What was your first impression

when you arrived in France ?We were very surprised by the

heat wave.Had you been to France befo-

re ? Where and why ?Coach : I came to France once

with my family.Athlete : I have already been to

France four times with my family.What was the most surprising

thing for you in France ?Once again the temperatures

were a very big surprise and we had to take that into account for the competition.

Do you learn French ? If youdo, since when ?

Coach : I have learnt French fora short time so I don’t really speak it.

Delphine JEAUNEAU

PRESENTATION OF DELEGATIONS >

England

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7SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

avec le conseil départemental

le sport scolaire est plus fort !

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La délégation italienne a raté de peu lepodium puisqu’elle s’est classée à la fois chez les filles et les garçons à la 4e place. Pourtant, elle n’a pas démérité, autant du point de vue sportif que moral.

En effet, elle a remporté plusieurs titrescomme le lancer de disque féminin par Emma Peron ou le triple saut féminin par Valeria Paccagnella. Et cela grâce à de nom-breuses heures d’entraînement, deux à troisheures par jour, sept jours sur sept depuis près de deux ans. Quant au coach MaurizioMoscheni, originaire de Tosi près de Floren-ce, il semble très pacifiste et tient des proposqui amènent à réfléchir. « En France, j’ap-précie beaucoup les cultures différentes réunies, des individus de couleur de peau nuancée, les échanges de regards positifs. Le sport est une union de tous les peuples, ilest un moyen de faire la paix dans le mondele temps d’un championnat et cela depuis des millénaires ! Ainsi, au temps de la Grèceantique, les cités décidaient d’une trêve du-rant les jeux olympiques interdisant toute guerre à travers la Grèce. »

De plus, il confie que selon lui, il « a aidé àaugmenter les capacités physiques de ses athlètes ». C’est pour cela qu’il se concentreessentiellement sur les membres de sa na-tion et connaît peu d’athlètes français no-tamment, même si les sportifs de la déléga-tion apprennent la langue de Molière au lycée. « C’est une grande satisfaction pour moi de participer à ces championnats du monde du sport scolaire puisque seuls les meilleurs élèves de la planète peuvent y accéder. »

Pour venir à Nancy, la délégation italien-ne a dû voyager pendant environ dix heuresmalgré la distance relativement courte à vold’oiseau par rapport à l’échelle mondiale qui sépare les deux pays. Elle a commencé son voyage à l’aéroport de Milan où elle a embarqué jusqu’au terminal Charles de Gaules à Paris. Puis, elle a pris un TGV pourrelier la capitale à Nancy.

Manon RADLOVIC, Tristan VON LÜNENet Cosimo WATY

PRÉSENTATION DES DÉLÉGATIONS >

Italie

La délégation italienne n’a pas démérité en prenant la 4e place chez les filles et les garçons. The Italian delegation ranked fourth both for girls and boys.

The Italian delegation missed the po-dium from short since they ranked fourth both for girls and boys. Yet they were quite deserving from the sporty as from the moral points of view. Indeed, they have won several titles such as the woman’s discus throw by Emma Peron or the woman’s triple jump by Valeria Paccagnella. And this thanks to several hours of training, two or three hours a day, seven days a week for about two years.

As for the coach, Maurizio Moscheni,from Tosi near Florence, he seems very pacific and his talks make you think. ‘’InFrance, I really enjoy the different unitedcultures, people with different shades of skin colour, positive eye exchanges. Sport is a unification of all the peoples, itis a way to bring peace in the world just the time of a championship and it has been true for milleniums ! Thus, in An-cient Greece the cities agreed to a truce during the Olympic games, forbidding any war throughout Greece.” What is more, he confesses that, according to him, he “helped increase the physical abilities of his athletes.” That’s why he mainly focuses on the members of his nation and knows few French athletes even if the sportsmen of his delegation learn “Molière’s language” at school. “t’s great satisfaction to me to participate to these school world championships sinceonly the best pupils on earth can reach them.”

To come to Nancy, the Italian delega-tion had to travel for ten hours in spite ofthe relatively short distance (as the crowflies) which separate both countries, in keeping with the world scale.

They started their trip from Milanairport where they boarded up to Char-les de Gaulle terminal in Paris. Then, they took a high-speed train to come to Nancy.Manon RADLOVIC, Tristan VON LÜNEN

et Cosimo WATY

PRESENTATION OF DELEGATIONS >

Italy

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8 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP108 - V1

World Schools ChampionshipAthletics 2017

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9SPORTS Vendredi 30 juin 2017

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World Schools ChampionshipAthletics 2017

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10 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP110 - V1

the last two days of Ramadan so that they wouldn’t faint the day ofthe competition. At the end of themeals, several athletes of different nations left their trays on the can-teen tables. Maybe they are not used to clearing off their dishes.

Alicia PICARDet Marika PIERREJEAN

Among the other curiosities ofthis championship, bananas had alot of success whereas kiwis did-n’t, except with the Asians. The canteen managers took care of theathletes’ habits, for example by displaying chopsticks for the Chi-nese. The organizers guess that theMuslim athletes had to postpone

During this championship, themembers of the organization as well as the athletes had their meals at the canteen of the Lycee Varoquaux. Some nations made culinary discoveries, like those who tasted artichoke or the Brazi-lians who enjoyed cheese very much.

World Schools ChampionshipAthletics 2017

Durant ce championnat, les mem-bres de l’organisation, ainsi que les athlètes, ont été restaurés au lycée Arthur Varoquaux. Il y a eu des dé-couvertes culinaires dans certaines nations. Comme dans quelques dé-légations qui ont découvert l’arti-chaut, ou les brésiliens qui ont ado-ré les fromages.

Parmi les autres curiosités de cechampionnat, les bananes sont par-ties comme des petits pains contrai-rement aux kiwis qui n’ont pas eu autant de succès, sauf auprès des Asiatiques. Les responsables de la cantine ont veillé aux habitudes desathlètes, en mettant à disposition des baguettes pour les Chinois. Les organisateurs supposent que les athlètes musulmans ont dû repor-ter les deux jours de ramadan de façon à ne pas tomber dans les pommes le jour de la compétition. À la fin des repas, plusieurs athlètesde différentes nations ont abandon-né leurs plateaux sur les tables de lacantine, n’ayant peut-être pas l’ha-bitude de débarrasser leurs cou-verts.

Alicia PICARDet Marika PIERREJEAN

CANTINE >

Des baguettes pour les chinois

La cantine a été l’occasion de découvertes culinaires pour certaines nations. Some nations made culinary discoveries at the canteen.

CANTEEN >

Chopsticks for the Chinese

Les responsables de la cantine ont veillé aux habitudes des athlètes, en mettant à disposition des baguettes pour les Chinois par exemple. The canteen managers took care of the athletes’ habits, for example by displaying chopsticks for the Chinese

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11SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP111 - V1

World Schools ChampionshipAthletics 2017

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En revenant en salle de rédac-tion jeudi matin, un débat a étélancé sur les deux soirées organi-sées mercredi soir.

- Le dîner de gala était mieuxcar il nous a permis de découvrirun nouvel environnement : lesgrands salons de l’hôtel de vil-le…

- À la soirée des nations, nousavons pu découvrir de nouvellescultures.

- Oui, mais nous, on a appris àmanger avec huit fourchettes etcinq verres.

- C’est vrai que c’est très utilede savoir ça… Cette soirée nousa permis de faire de belles ren-contres et de partager des cho-ses.

- Nous aussi, on a rencontrédes personnes intéressantes dans

le monde du journalisme et on aété pris au sérieux.

- On a goûté les spécialitésd’autres pays.

- On a mangé des plats dehaute gastronomie et bu du très,très bon champagne.

- Notre soirée était plus décon-tractée et on s’est beaucoupamusés.

- Pas besoin d’être décontractépour s’amuser. On a quand mê-me passé une très bonne soiréeavec de la musique.

- Les animations étaient cool etil n’y avait pas de discours.

- Les discours étaient intéres-sants. En plus, on a gagné untee-shirt dédicacé par PascalMartinot-Lagarde et Renaud La-villenie.

- Ouais, peut-être, mais nous,

on a fait du sport au moins.- J’avoue, mais nous, on a fait

des photos avec Renaud Laville-nie en comité restreint.

- Peut-être, mais on n’est pasrestés enfermés toute la soirée.

- Certes, mais nous avons man-gé à trois tables de RenaudLavillenie.

- On a établi un tout nouveaucontact avec les autres déléga-tions, on a découvert un autrelangage que tout le monde con-naît : la danse.

- Oui mais ce fut une expérien-ce unique et inoubliable.

Soirée des Nations :Chloé MARTIN, Simon TIXIER

et Cyrielle OTTERDîner de gala :

Marguerite BROSSEet Maëva VIGNERON

DÉBAT >

Soirée des nations VS dîner de gala

Back to the editors room thurs-day morning, a debate was laun-ched about the evenings of wed-nesday night :

- The gala dinner was betterbecause it enabled us to discover anew place : the great lounges of the Town Hall…

- At the nations evening, we wereable to discover new cultures.

- Yes, but we learnt how to eatwith eight forks and five glasses.

- It is true that this is very use-ful… This evening allowed us to meet wonderful people and share many things.

- We also met interesting peoplein the reporter’s world and they took us seriously.

-We tasted other countries’spe-cialities.

- We ate haute cuisine dishes anddrank very, very delicate champa-gne.

- We had a more relaxed eveningand had such fun !

- No need to be relaxed to havefun. We spent a wonderful eve-ning with music anyhow.

- The activities were cool andthere was no speech.

- The speeches were interesting.What is more, we won a T-shirt dedicated by Pascal Martinot-La-garde and Renaud Lavillenie.

- Yep, maybe, but at least we didsome sport.

- I admit, but we made photos

with Renaud Lavillenie in close committee.

- That’s possible, but we didn’tstay home all the evening.

- Sure, but we had dinner atthree tables from Renaud Laville-nie.

- We made a brand-new contactwith the other delegations, we discovered a new langage known by everybody : dance.

- Yes but it was a unique andunforgettable experience.

Nations evening :Chloé MARTIN, Simon TIXIER

and Cyrielle OTTERGala dinner :

Marguerite BROSSEand Maëva VIGNERON

DEBATE >

Nations evening VS Gala dinner

Lundi soir, nous avions donné rendez vous à l’équipe des sherpas, afin demieux comprendre leurs fonctions lors de ces championnats. Les sherpas sont les traducteurs lors des événements mondiaux. Ici, nous avions des sherpas qui pouvaient traduire l’anglais, l’espagnol, le turc, le portugais, le chinois et l’allemand. Les élèves ont été inscrits via les réseaux sociaux ou grâce à l’organisation. Tout d’abord, les jeunes traducteurs ont des journéesdifficiles. Margaux Betz a calculé à l’aide de son téléphone les kilomètres qu’elle a pu parcourir dans une journée, environ 12 kilomètres. En plus d’être traducteurs, ils doivent être guides. Pour certains sherpas, soit leur langue pratiquée est natale (une élève est d’origine taïwanaise par exemple),soit ils ont vécu dans un pays étranger. L’équipe était composée de neuf lycéens, deux collégiens et un post bac. C’est la première fois qu’ils remplis-saient cette fonction pour la plupart et certains veulent faire un métier en rapport avec les langues, par exemple, dans le commerce international. Leur job est assez difficile, mais plaisant.

TRADUCTION >

Le rôle clé des sherpas

Monday last night, we were mee-ting the Sherpa team to learn more about their duties during this scho-ol world championship. The Sher-pas are the translators for the cham-pionships. Here, the Sherpas could translate from English, Spanish, Turkish, Portuguese, Chinese and German. The students were enlis-ted thanks to the social networks orthe organization.

First, the young translators havehard days, Margaux Betz calcula-ted with her mobile phone all the kilometres she could have walked

on one day and the sum was 12 km.The students are not only transla-tors but they have to be guides as well. For some Sherpas, either they are native speakers – for example, astudent girl is from Taiwan - or they have lived in a foreign country. The team was composed of nine high school students, two junior high and one university students. This is the first time they have done this joband most of them want to work in keeping with languages as, for ins-tance, in the world trade. So, they have difficult but pleasant jobs.

TRANSLATION >

The key role of the sherpas

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12 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP112 - V1

World Schools ChampionshipAthletics 2017

TÉMOIGNAGES >

À l’heure du bilanMado ThiemongeLycée Henri Loritz (Nancy)Les + :J’ai particulièrement apprécié jouer la paparazzi derrière les jambes musclées des coureurs. J’ai égale-ment aimé la bonne humeur, toujours présente, en salle de débriefing, qui nous a permis de mener à bien notre projet de journal. J’ai rencontré des personnes formidables, parfois un peu décalées, notamment des photo-graphes sans qui je ne saurais tou-jours pas prendre de photos nettes à l’heure actuelle. Avant tout, j’ai découvert un sport et des personnes passionnées par ce qu’elles font tous les jours.Les - :Je regrette cependant de ne pas avoir partagé plus de moments avec les athlètes (je parle bien sûr des beaux Autrichiens).

Chloé MartinLycée Jeanne d’Arc (Nancy)Les + :Grâce à cette formidable expérien-ce, j’ai pu rencontrer des personnes venant d’autres pays, comme le Brésil ou le Chili. J’ai d’ailleurs pu rencontrer un très gentil athlète bulgare (Baba pour les intimes), ainsi que Renaud Lavillenie, dont j’ai obtenu un autographe. Plus sérieusement, cela m’a permis de savoir comment rédiger un article et de découvrir l’envers du décor, et de me donner des idées sur mon orien-tation pour plus tard. Cette semaine restera sûrement gravée longtemps en moi car j’ai appris à m’amuser et travailler en même temps. Cette expérience sera aussi un plus dans mon CV et je m’attends à ce qu’elle m’apporte beaucoup dans le futur.Les - :J’ai attrapé un rhume et j’ai dû rester tard quelques soirs pour terminer des articles, ce qui m’a épuisée.

Simon TeixierLycée Jeanne d’Arc (Nancy)Les + :Ces quelques jours m’ont permis de découvrir de nouvelles cultu-res, car c’est la première fois que je vais à un rassemblement avec autant de nationalités représen-tées. Ils m’ont aussi permis de me familiariser avec le milieu de l’athlétisme et j’ai appris à rédi-ger des articles sportifs, ce qui n’est pas forcément facile.Les - :Le seul petit point négatif que j’ai pu trouver est la chaleur, qui rendait parfois pénible les séan-ces d’observation de la compéti-tion, mais ce ne saurait en rien entacher les bons souvenirs de cette compétition.

Marguerite BrosseLycée Jeanne d’Arc (Nancy)Les + :Grâce à cette expérience, je suis devenue plus proche de mes co-équipiers et j’ai appris à travailler en groupe. Je suis devenue plus responsable dans mes choix et dans mon travail. J’ai également appris la persévérance lors des écritures d’articles. J’ai fait des rencontres inoubliables, sans oublier mon tee-shirt dédicacé par Lavillenie et Martinot-Lagarde.Les - :En revanche, j’ai dû travailler sous la chaleur parfois difficile à suppor-ter et la pluie souvent imprévisible. Il m’arrivait de devoir recommencer un article, ce qui pouvait provoquer une baisse de motivation. Les traductions que je devais faire étaient souvent longues et je man-quais de temps, mais malgré tout, ces points négatifs n’influencent en rien sur les souvenirs de mon séjour.

Maeva VigneronLycée Jeanne d’Arc (Nancy)Les + :Le meeting Stanislas a été un mo-ment magique. Voir les perchistes s’échauffer puis sauter à quelques mètres de nous était exceptionnel. Les athlètes ont également été super sympa de venir signer des autogra-phes et je suis très contente d’en avoir eu un de Valentin Lavillenie ainsi que de Kévin Menaldo. Mon plus beau souvenir restera quand même le dîner de gala ! Manger à trois tables de Renaud Lavillenie et avoir deux photos avec lui est un moment que je n’oublierai jamais. Cette semaine fut une expérience unique et inoublia-ble.Les - :Le seul point négatif a été la météo lors du meeting Stanislas.

Mathilde PicautLycée Henri Loritz (Nancy)Les + :J’ai aimé discuter avec des jeunes athlètes étrangers et comprendre qu’ils travaillaient dur pour arriver à ce niveau. J’ai pu rencontrer des athlètes professionnels comme Renaud Lavillenie ou encore Pascal Martinot-Lagarde. J’ai appris quel-ques mots chinois. Cette semaine m’a permis de découvrir un championnat du monde de l’intérieur, non à la télévision. Je me suis améliorée dans le domaine de la photo sportive. Les athlètes étaient heureux quand je les prenais en photo.Les - :C’est assez fatigant. Être photogra-phe n’est pas simple. Quand il pleu-vait c’était compliqué de prendre des photos.

Yanis ThiemongeCollège Les Tilleuls (Commercy)Les + :Le fait de pouvoir se déplacer où l’on veut. Le basket avec un paquet de mouchoir à Héré. Avoir vu et pu échanger avec des champions de l’athlé. Les surveillants de l’internat de Varoquaux. La chanson ‘’Ginette fais-moi ton couscous boulette’’ dans le bus. Le concours de ‘’bottle flip’’ avec les Bulgares, Turques et Indiens.Voir les spécialités de chaque pays. L’échange avec l’équipe de France et avec le Brésil. La soirée des Nations où tout le monde a dansé. La fête et l’ambiance en général. Les échanges de bracelets avec les Brésiliens. Voir mon premier meetingLes - :Les fissures à côté de mon lit à HéréLes fortes pluies lors du meeting

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13SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP113 - V1

World Schools ChampionshipAthletics 2017

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Enzo SaureyCollège Haut-de-Penoy (Vandoeuvre)Les + :Le championnat m’a beaucoup plu, parce que je trouve que c’est bien de rencontrer de nouvelles personnes, surtout d’autres pays, et c’était un plaisir de parler avec eux en anglais. C’est surtout très convivial, J’ai pu rencontrer des athlètes de différentes délégations. C’était une très bonne expérience et j’aimerais bien recom-mencer une compétition comme celle-ci, toujours en tant que photo-graphe. C’était aussi compliqué de prendre des photos au bon moment et surtout se poser à un endroit où il n’y avait pas trop soleil ou pas assez. Ce qui était très bien c’est qu’il y avait un bar, où il y avait des Kinder, de l’Oasis, de l’eau… Tout ça en plus gratuitement.Les - :On nous donnait des rendez-vous (briefing) assez serrés. Surtout, j’étais très fatigué parce que je ren-trais chez moi vers 23h et que le lendemain je devais me réveiller vers 6h, sachant qu’avec cette chaleur ce n’est pas facile de dormir.

Louise CortesiCollège Montaigne (Dompaire)Les + :Étant passionnée par l’écriture, cette semaine s’annonçait être une expé-rience incroyable et effectivement, je ne suis pas déçue ! J’ai appris à tra-vailler en groupe, écouter les argu-ments des autres, y réfléchir et corri-ger ma manière d’écrire, ce que je fais beaucoup et dont j’espère en faire mon métier. J’ai également constaté que l’on pouvait communiquer sans la parole (j’ai dansé avec deux athlè-tes par exemple !), et même sans me rendre à la soirée des Nations, j’ai découvert des modes de vies et des cultures complètement différents des miens ! Bref, ce fut un séjour très enrichissant et inoubliable !Les - :Ma famille me manquait et j’ai pleuré quelques fois. Sinon, il y avait juste la contrainte du temps, il fallait être assez rapide.

Valentin ReceveurCollège Les Tilleuls (Commercy)Les + :- Être VIP et pouvoir aller sur le stade- Le basket avec un paquet de mou-choir.- Les surveillants qui ne nous sur-veillaient pas dans l’internat d’Héré- Les différentes danses à la fête- Faire sauter les bouchons des bouteilles- Le tour de magie des Anglais- Pouvoir se reposer dans les tribu-nes quand j’étais fatigué et en profiter pour regarder les courses, saut et lancer- Profiter de la compétition gratuite-ment- La buvette gratuite- Pouvoir voir mes athlètes préférés- Les différents stands devant la cantine- Les athlètes qui nous demandaient de faire des photos- Recevoir nos journauxLes - :- M’être fait disputer sur le stade quand je suis passé devant le chro-nomètre électrique du 100m- Louper une belle photo

Lucie GarciaCollège Montaigne (Dompaire)Les + :Rien que de participer au journal ! J’avoue avoir été anxieuse le premier jour, mais très vite, je me suis fait des amis. L’expérience a été très enrichis-sante : j’ai développé mon anglais, j’ai vaincu ma timidité pour de bon, etj’ai appris à travailler en groupe ! Je garderai à tout jamais des souvenirs merveilleux, deux en particulier : le premier lorsque les Jeunes Officiels, les Jeunes Photographes, les Jeunes Reporters et moi étions sur la piste, devant les gradins. Nous avons été applaudis par les délégations. Je me suis sentie très honorée et fière ! Le deuxième est arrivé durant la soirée des Nations. J’ai aimé cet événement parce que c’était un immense échan-ge entre les différents pays. J’avais l’impression d’être à une fête entre amis ! Une expérience inoubliable.Les - :J’ai malheureusement dû partir mercredi avant le Top 8 contest, afin de rentrer chez moi à temps pour passer mon brevet jeudi et vendredi ! J’aurai vraiment aimé rester jusque la fin pour avoir la satisfaction d’avoir été jusqu’au bout !

Tristan Von LunenLycée Frédéric Chopin (Nancy)Les + :J’aimerais avant tout remercier l’Est Républicain et l’UNSS de nous avoir donné l’opportunité de rédiger ce supplément. Cela m’a permis de savoir vers quelle filière je voulais m’orienter, celle du journalisme sportif. J’ai également apprécié la forte disponibilité des ‘’personnages du décor’’, comme le speaker. Ils ont répondu sans problème à nos ques-tions, je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi simple. La grande fête nous a également permis de décou-vrir de nouvelles cultures d’un point de vue culinaire et festif.Les - :J’ai juste trouvé qu’il y avait peu de variété dans les desserts et les en-trées à la cantine.

Angèle TuizatLycée Henri Loritz (Nancy)Les + :Nous avons profité d’une forma-tion avec des professionnels qui nous ont beaucoup apporté, no-tamment les photographes et journalistes. Nous avons beau-coup échangé avec les interve-nants, surtout Camille, Serge et Gilbert. Mon niveau en photogra-phie a considérablement augmen-té grâce à la qualité des conseils de Serge et Gilbert. Quant à Christian, il m’a appris à travailler avec les autres. Nous étions libres dans nos sujets, ce qui fut agréable. À l’ave-nir, nous pourrons utiliser notre participation à ces championnats pour, par exemple, faire de la photo sportive.Les - :Nous n’avons que très peu échangé avec les athlètes, ce qui est dom-mage, car nous ne passions finale-ment pas beaucoup de temps avec eux en dehors des épreuves. À la fin, à force de fatigue et de l’absen-ce de compétition, nous étions fatalement moins motivés.

Cyrielle OtterLycée Jeanne d’Arc (Nancy)Les + :Cette semaine a été une expérience très enrichissante, humainement comme journalistiquement. J’ai aussi beaucoup appris sur l’athlétisme et l’esprit de ce sport. J’ai apprécié les échanges entre les membres des délégations et entre les athlètes et les jeunes volontaires, surtout à la soirée des Nations. Les matins quand nous découvrions nos articles dans le journal étaient aussi très motivants. Bizarrement, ça fait quelque chose de voir son nom à côté d’un tas de mots sur du papier…Les - :La météo n’a pas été clémente avec nous le soir du meeting Stanislas. Les journées ont aussi été très fatigantes.

Cosimo WatyLycée Alfred Kastler (Stenay)Les + : - La soirée des Nations.- L’ambiance.- La première fois que je voyais certai-nes disciplines réellement.- Ma mère n’était pas là pour me dire de ranger ma chambre.- La tension des athlètes dans les starting-blocks.- Le spectacle son et lumière.Les moins :Le repas à 17h30 et le mauvais temps.

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14 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP114 - V1

World Schools ChampionshipAthletics 2017

Marika PierrejeanCollège Emile Gallé (Essey-lès-Nan-cy)Les + :J’ai rencontré plein de gens étrangers ou même de France. Le premier jour, on nous a donné cinq T-shirts. On était accrédité, ça donnait une im-pression de VIP. Un des vigiles était très sympa, on pouvait passer trois fois dans la journée, il nous disait trois fois bonjour. Le championnat était sponsorisé par Kinder, donc on a pu en manger autant que l’on voulait. Une fois que l’on avait fini un article, on pouvait aller voir la compétition (Même si on se remettait vite au travail). Ce que j’ai préféré, c’était aller interviewer les délégations (le contact avec les gens).Les - :Je ne parle pas du tout anglais (je suis en 5e donc pour communiquer c’est compliqué). Deux des T-shirts ont des couleurs très vives (vert fluo). Tout le monde avait cette accréditation, donc le côté VIP c’est plus trop ça.

Mathias Da SilvaLycée Jeanne d’Arc (Nancy)Les + :Ce championnat m’a beaucoup plu, de par la proximité que l’on a eue avec les équipes nationales, par exemple pour mon cas, j’étais sou-vent avec les équipes du Portugal et du Brésil car je parle un peu portu-gais, ce qui m’a permis de passer une partie de la soirée des Nations avec des Portugais et notamment Pedro Jorge Silva. On a beaucoup ri avec toutes les festivités. Lors de la Coupe des confédérations, je suis resté avec des entraîneurs du Portugal pour regarder le match, c’était assez sympa malgré le mauvais résultat. Ce qui m’a aussi plu, c’est le fait que l’on puisse aller un peu où on voulait, par exemple, si on avait besoin, on pou-vait aller sur le terrain d’athlétisme sans déranger la compétition, ou bienaller voir les athlètes s’échauffer ou s’entraîner sur le terrain d’entraîne-ment. Ça nous a permis de pouvoir échanger avec les nations.Les - :Ce qui m’a moins plu, c’est que l’on devait marcher pour rejoindre notre salle de travail au terrain d’athlétis-me, on devait sans cesse faire des allers-retours. Heureusement pour nous, cette situation n’a duré que quelques jours. Après nous étions situés sous les tentes presse juste à côté des terrains d’entraînement et d’athlétisme.

Delphine JeauneauCollège Haut-de-Penoy (Vandoeuvre)Les + :Lors de ce championnat, j’ai beau-coup aimé le travail d’équipe avec toutes les personnes qui nous entouraient. J’ai également trouvé ces moments très ‘’fun’’, comme la soirée des Nations avec les danses (Brésil, Chili, Espagne). J’ai pu parler anglais avec plusieurs délégations et ils m’ont permis de découvrir leur culture et leur pays.Les - :Malgré tout ces bons moments, j’étais tous les soirs très fatiguée à cause de toutes les soirées organi-sées, mais ça ne m’a pas empê-chée de les adorer.

Manon RadlovicCollège Haut-de-Penoy (Vandoeuvre)Les + :Incontestablement, le point le plus positif est et sera toujours la buvette à volonté ! En continuant sur la nour-riture, j’ai apprécié la découverte de la gastronomie de chacune des délégations au cours de la soirée des Nations. Sinon, j’ai aimé l’ambiance chaleureuse, la bonne humeur de l’homme de la sécurité à l’entrée du stade et la danse des brésiliens.Les - :J’ai trouvé que plusieurs points laissaient à désirer… les t-shirt taille L alors que je ne dépasse pas 158 centimètres, la très performante connexion Wifi, le repas délicieux à Varoquaux à 17 heures 30, le Meeting Stanislas sous des violentes averses et le doublage anglais lors de la cérémonie d’ouverture.

Juliette EloyLycée Henri Loritz (Nancy)Les + :L’ambiance de la cérémonie d’ouver-ture à l’Opéra, surtout avec l’entrée des délégations.- Ne pas savoir ce que l’on doit faire, et travailler différemment chaque jour.- La bonne humeur générale des participants qui ont été gentils avec nous.- Apprendre à connaître les différents pays : soirée des Nations avec la découverte des danses et chansons de chaque délégation.Les - :- La longueur des journées est épui-sante.- Les conditions de travail parfois difficiles (pluie, températures éle-vées).- Les courts délais pour rédiger des articles ce qui nous pousse à nous presser.

Anouk BourgeoisLycée Henri Loritz (Nancy)Les + :C’était sympa de voir des nations du monde entier se réunir à Nancy et de les voir courir tous ensemble au relais. Cette expérience nous a per-mis d’avoir un aperçu du métier de journaliste et m’a permis de savoir que je ne suis pas faite pour un métier littéraire.Les - :C’était une semaine très fatigante parce qu’on avait des journées très chargées. On a parfois eu du mal avec le timing du journal.

Alicia PicardCollège Émile Gallé (Essey-lès-Nancy)Les + :La sécurité, pour entrer dans le stade nos sacs sont fouillés par des vigiles, sachant que nous, jeunes reporters, nous faisions des va-et-vient entre le stade et la « salle de réunions », nous nous sommes donc fait fouiller plus d’une fois. À force de passer et repas-ser, j’ai sympathisé avec l’un des vigiles qui était extrêmement aima-ble. Les organisateurs de ce cham-pionnat ont mis en place une buvette gratuite, et nous avons pu régaler nos papilles avec des barres chocolatées gentiment données par Kinder.Les - :La pluie est tombée le seul jour où je pouvais réellement regarder les compétitions, car le reste du temps j’ai couru partout à la recherche d’informations

Thibault RoyerCollège Les Tilleuls (Commercy)Les + :Le fait de pouvoir échanger avec les autres délégations. Le 1.500 m de Quentin Malriq. L’anglais du saut en hauteur qui était toujours le premier à encourager ses adversaires. Voir pour la première fois voir les cham-pions de l’athlétisme. Pouvoir faire des photos avec les athlètes.Les - :La pluie qui est tombée lors du top 8 contest et la morue que j’ai mangée qui venait de Lettonie.

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15SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP115 - V1

World Schools ChampionshipAthletics 2017

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Après une semaine passée à gratter du papier avec Christian Frichet, nous pouvons dire que nous avons obtenu notre examen de mini-journalistes. Nous nous devons de remercier celui sans qui rien de cet édifiant journal n’aurait existé.Diriger une équipe dans les terres inconnues qu’étaient le journalisme et l’athlétisme, pour nous, ne fut pas aisé pour Christian, qui n’a pas compté les soirs où il est resté travailler pour cette édition. Il nous a appris à persévérer dans nos volontés d’écriture, à être responsables, professionnels, organisés et quasiment autonomes, mais surtout à travailler en équipe. « Le travail a la vertu d’unir les gens », et c’est grâce à cette union qu’un tel projet a vu le jour. Grâce à son expérience, nous avons su écrire avec une précision journalisti-que, bien que les débuts aient été difficiles. Nous avons découvert les aléas du métier, ne pas pouvoir faire une interview en raison de l’absence du principal intéressé, mais aussi ses avantages comme le rapport aux gens. Ce passionné de journalisme, travaillant toujours dans la joie et le bon humour, a su ré-veiller des passions au sein de notre assemblée ou pour certains en confirmer.

Merci M. le rédac’ chef !After one week scratching paper with Christian Frichet, we can say that we got our journalists’test. We have to thank the man who has built this brilliant newspaper.Leading a team in the unknown countries journalism and athletics for us wasn’t easy for Christian, who didn’t count the evenings of work. He taught us to persevere on our writing wills, to be in charge, professio-nal, organized and almost independent but above all to have a produc-tive teamwork. “Work can unify people”, and this union turned our project into a success. Thanks to his experience, we learnt how to write with a journalistic precision, even if the beginning was hard. We disco-vered the job’s drawbacks, like being unable to interview someone because they weren’t available, but also the advantages like the rela-tionships with people. This journalism addict, always working in happi-ness and good humor, knew how to reveal passion within our team or confirm it for some of us.

Thanks M. chief editor !

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16 SPORTS Vendredi 30 juin 2017

TP116 - V1

Les sponsors :

World Schools ChampionshipAthletics 2017