TLOOLITTELL=LITS TOULOUSE La Se Repu**images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101... ·...

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ADMINISTRATION & RÉDACTION 38, Rue Roquelaine T011liOUSE alalseonem043 DelQUIEldE ANNEE. 84» -1238 POUR DEVENIR lin gen Repu** oie, et je pas e du moins de polir être censier(' c,omine *Reflua il fallail quelques fi- Il nese flet i I. pas de vagues gestes srours ; de serieuses références iddiSpen SALI es. les temps sont changés ! Aujour- ce n'est pas malin de passer poUr uhlicain bon te.int et de sieillo ortie. "N'allez pus croire qu',i1 soit né- ,aseire de protester rOnbe 1 expeditlon .,,,ree 'ne ou l'attitude du gouvi3rne- n'nfl'égard des instituteurs. (le se- ,rait de la dernièreimprudence t on sons traitatit d'antiptdriote. danse- eirisle, on ,ous accuserait d ente rilb sti- pendié de l'Allemagne ià moins que Co lb SOi.t de l'Autriche, de l'Espagne ou \ngleterre. C est Idea plus simple. 11 suffit de se ,iclarer contre la R. P. ou da faire de erandes rés en:ce Sur le projet voté [...sabre. Le moyen est Andrieu', des Basses-Alpes, et Ribot Fait expérimente avec succès. Vous cunnaissez las personuagen. M. Andrieux est im ancien préfet de poli- . ee, osa ancien ambassadeur. Il a eu do nombreux avatars, mais, d'aucun d'eux on ne peut dire qu'il lui crée des titres leelinte des 4,81)1MB...iris. Plusieurs lois député. et I.Hp plus grand nonchre Ide fois candidat, il nla jamais mis sort talent an service du parti républicain. n y a 'deux ans.1,1 o élé élu comme .11- issivalellr amis le déportement ce- présente. Auparavant, il avait eté can- , dIdat dans la Saine contre le progres- Oie Beauregard. gaif trouvait bop vnn&. fies :premiers papiers electo- yfauxque jOli lus, ce sont ses déclara- 'MISS MU électeurs slu Cantal on 1890 ,e1892. Je TOUS assure Tee la If épubli- 4ue élan bien traitée dans ces mani- -,e.estes I li faiteS voir ea 1 Ajoutez ique lysietra homme courait Darrondisseinent isnoorté de faut tee: que pays cardpiait "de aimai:Man ires. :Viatique Ilui-inern, aval( items à free l'inlerêt qu'il partait au lenii- leeerara.....e.ethsceis ;investiture et sa bénédiction. Voilà un bon passe de républicain ! 1f11 bien 1 ii n'y parait pas aujourd'hui. M. Clemenceau -nient do déceruer à M. Mdrieux un brevet 'gai lève tout doute r son attacluenent ii nos institutions. Il est vrai que lorsqu'on a sur la ce/s- edan& autant d'actes anlieépubliceins Ste M. Cleincnceett on est peu qualifié r distribuer des cerlifirate de Mals- eau de CI. Ribot est encore plus on. Inutile de raplatit. le passé. de ancieeo présiderai du conseil. Lard Oie des lois de laïcité. uvre de ack-Rousseau et de Combes, et de cle la Saparalion des Eglises et cle t, moines, surs et curés n'eurent do plus eltaitet drenseur que lui. auvent pardonner à Bouvier d'a- o,ter la ,Séparation, il fut ,des artisans de sa eh Me. Pendant enfle période son zèle catholique il celui de feu l'abbé Roc tant . Pion.. t homme qui, lors de l'affaire Prit plus ardrnt lila la plus des nationalistes, té déteindre ires da DElat-Majoe. est de- s jours un excellent républi- «sen à lui reprocher. Oublié. son ehef, !pendant dix ans, de la n mihitaino et clériealls 1 Oubliée, e sic Mercier et des autres bart 11 Ministère de la Guerre ! Jetons le. sur ce passé détestable. Ne as que le Présent qtd est digne M. Ribot vient de diminuer dans He an c Temps si qu'il est Ped- du pretjet voté porta Chambre. leen ? Ne pas diniiser le parti ri- 0649 ! C'est authentique. 'Llhorn- is pendant les ministère Waldeck Ois, fut l'orateur de 'da droite, ne Pas 'fliviser le parti remil-rIkain ! on i+arnellissement ? klt est pas moins Aral quo le », organe ofiliclel du parti ras Sarre M. Ribot un sipublismirs .cl, s'appuyant sur fait ha leçon à itt. Buisson. l'ion des elleis tir la R. P. ce nfea;t. appeler le choc en ro- Voila trou, én la vraie savon- vilain ». Avis à ceux qui ont Passe do réaction à se faire iliebine, Charles DU1,11V -voue pour venir ,querie .ao- revet ? Allez. de votre nié- conf. lu R. lé. Ineontinent, Itm, n, de Draveil, Augagneur, de ct-zurtiLif(allia,dieal vou° démocratie o. Un fige Sur robe passé nom- ait pour les autres. Qu'est- la .arrèle ? VOUS n'avez pas diSeqUIS ,Ou faveur de eu- 11055 _ies que M. Ribiat, et vou 0%. y. plus flirte avec les bonapar- ar Andalous,. Vous pouvez IMINsseasa("lnlsraell-rilles et aborder té- 'In1)kfins_eos,yolilr,aris'I'ahatit autre ois amas epoil «de 113t jeux de doubler nelrlQ.eC le «,Ileellefr'nts.ne3nli il °al Pas Moins d'es- prit Mie le oélèbre hutnotsiste. Mais il Psi d uraindro que loure invention ne Sei( pas plus utile à ha République quo ne fol Celle de heur Modèle à la M'el.° nationale. LE PASSANT. C1.40S, -- LE UENITENT BLANC. prownehl Préde,,,e. Mistral vient d'a, tenter le titre do prieur honorukre des ,p&mitcuto blancs. La confrérie des pénitents Imnes a son sü,..ge 0 Montpellier i les pénitents blancs matteat tous leur coquetterie à conserver dans leur weociution lo« pieuses eontnane.,. d'autuefeis et les pratiques de eévotion des armatres de man Campa. gide que, sur L, demande d'un 05 600 membres, :1,:stral viena de devenir prieur honoraire. Le ré- n:teat, gal raconte la ehom dans le Madelin de la confrérie, se rende. il y a quelque tempe, à Mail. èttre pour obtenir do l'illustre poète mn aceepta. M,strad la donna anse:tôt. J'accepte, j hideepte avec grand parsi, riO ponda Mistral r La, paltents blancs I- Que de bous eue de tenchands, que de lointaite saure emprent en moi! C'est à 'a chapelle de pénitent, bran., quand j'étais au collage à Avi. gnou, que notre nadtre meus menait tous les d,- manaor à le m.e.e.e. Nous 0150ne tellement édi- fiés et sédh/its pur tee piemes eirénenies dee péni. tants quo 11,utmap d'entre nous, après 08e sor. Cs ein colle., revenaient dans cette chapelle de prieérenee S toutes les autres églises d'Avignon. Meri-neme j'y anis, retommé bien sauvent. J'ai marne prie part. aux eérémonles qui s'y faisMent. FOI' me souviens d'xvoir pluelearA fois suivi, revétu du costume blanc de la confrérie, les belles preces,,ons oui se déroulatent libiement alors dans les rues d'Ar:gnon. n Le, pénitents blanns r.. Mais ils ms rappel- lent encore un autre souvenir, celui de notre pan. vas 01 grane Aubanel. Aubanel a ara toute sa vie son fervent pénitent. Tl assit presarit de le revêtir quand il sero4 mort de sou costume de ,pénitent conformément aux règles de Is once, gnie. Eu effet je roi sur mr son nt de mort revétu Or ce' do pénitent... Pu:sque vous étos Mou:po:aérait, Marial pourra dire, je crois bien qu'Il l'a dessiné, Voue le lu, de. manderea. E, s'adressant à Mme Mistral s'étonnait ma peu. le poète sjonta oie veux métee que tu ne fasses faire un coshme. UN OBATI'E CIEL. On ',lent d'.hever New.York une nmison qui est le pl. hamt gratsa eus, dont puiMe s'e.rgueidra la grande nullrepole anWrwaine. (".«.t le Woolworth dnns Broadway et Park frire. I.e paivinon amér:cain y nette a selle heure à pledle.,ato.4essra dureel-ekien gag le drames,/ En ut Egfodittio pees-nn-lag ïl eafait grana-tout ..p:us somme un moucbeier dom poche. L'édifice a cinouante étages. Il a êté eommen. cé en novembre 1010 1 on espère que quelques. uns des harem.: pourront être ocmtpés oeto. bre mals les étages supérieurs ne seront arn0. nagés qu'en décrier 1913. L'inmeuble représente sou ,alear de 07.' 0,000 francs, dent 22_500.000 francs pour le terrea ayant deux cents pieds de façade sur Broadway, Il uCtiers pour les fondations et 00 adWens pour la construction. Ies loyers produiront annuellement 12 malle., 500500 anus,. 1,s Woolwortit Building appartient en majeirre partiu à dee capital:stzr francais qui ont acheté pou, erelron 40 m'Anone de francs d'actions de o compagnie am...Mère qui l'a mien*. LES BONzEe. Dons une intére,ante étude de la citoyenne fol- Yandervelob dans n La Jeunesse c'est l'Ave, Sait s'est pneus à l'Aeadérnie des Beaux-Ar. de Bruxelks. C'était un sen salas dessinait d'après In modèle, ta reprebactIon d'un ohcf.d'teuvre antique. en l*ocurence la Vénus de ?dito, Seulement_ S àté de celte.ci, sur 15 même mele,0mo avait posé le pied do rliereule Farnèse. Or. ce.r.i.ci, énorme type maculeque d'atlilàte, ne ressemble nature;ternem en ries 511 Vénus, gras. de, belle Emma. aux contours ronds, aux attaches Pians. Ise élèves no comprenant pas du tout se que fuirait te pial d'Hercule a côté de selon rie VED119 s'actreerent au professeur, qui leur TE- poudd r a Je l'ai mis /à pour, que voue puisgez développer, d'après 05 50605, de l'Hercule, celui do la T'eues. dont sconse pouvez bien voir 10 040505,» FEUILLETS ROUGES os =gours Il ne s'agit point ici d,s rats. Ce sont des rongeurs médiocres. Lorsque derrière une malle Iront en paix grignote un mouton, on les peut féliciter de leur audace et rie leur fortune. Mais plutôt. lisez le rapport de M. Maria sur le budget des affairas êtr.gères. Con- sultez-y lesi chapitres consacrés aux récep- tions des souverains par Son Excellence du toupillon et NOUS y verrez confinent le mon- sUur barbu qui fait profession de représen- ter la République démocratique presente ses homnsagm et offre ses commodités aux souverains, reçoit.. N'attendes pas de rusai l'êntunkation com- plete deu achat." l'enlisés. Ce serait trop lona. Et volts ne me croiriez pat C'est vainemeM quo je vous dirais r pour le moi do Norvège on a acheta 60 halais, 12 martinets, 12 anses, 300 torehons, 68 draps, 16 peignoirs, et pour le roi do Danemark on a fait emplette de 24 sceaux, 12 cayeu, es, 200 franco de rubans et de peignes, 114 francs do savons nique le tout s'élève ii plus de 2.000 francs, vous m'accuseriez de vous ruent.. bateau 015e me payer votre Mie. Il vaut mieux que vous lisiez le rapport Marie et mm, tel Thomas voyant de ses propres yeux et touchant de ses propres mains la plaie du Maitre, vous découvriez vous-manse les ravages causés, à vos frais, par hm rongeurs do l'Elysée. Toutefois, voiei deux chapitres Moquerits. Pour recevoir roi de Nonage saaez-vous pour combien hl. Fallières a acheté e Peaux, de gants et de i-hanesef tes? 1205 fr. 80 de chapeaux, led francs de gants et 449 fr. 50 O e chaussettes Idni quoi chaussa, aux mains et aux pieds et eftiffer Ol.é et hiver tout an village ! ta 00 jr' VOUS dise mon qu'en ou- tre des dépenses de M. Falliares. sen gendre, nl. Lano, s'est fait rembourser, à. cette oera- sMit par le budget national, 5.517 fr. 80 de oigare,s (admirez /es eentimes), 80 francs d'honoraires 4, son coiffeur, 90 freinas .de gra- tification arr vestiaire et 200 francs de gen- Lifleation aux ouvreuses de POpera. Je n'ai p.as no découvrir le menu chapitre : e Ou n'est pua en bois o, II est vrai qllo ces mes- Sieltri ont gratuitement accès dans les coulisses. Ne nous Stonnons pas. Et maintenant instruisez-vous, comme di- sait feu Bossuet I Mais laissez-moi praoiser auparavant que les précédentes dépenses de ;représentation, .alonsieur la citoyen rallie- ras se les fait e irembourser ,i, économisant ainsi la modeste indemnité de 1.260.000 fr, qui ne lui est pourtant servie que pour re- cevoir les hôtes do le France ! Je voudrais bien voir, quant 5 moi, /es chapeaux de mon cher, trés cher président, jures trois jour, en usa pour 1.200 francs I Mais je ne veux pas qualifier le fait, par ce fi/onglons. et son gendre, de se faire rem- bourser 1.127 fr. 80 de cigares, mir généreu- sement les Tribunaux chargés de défendre le.ue honneur et l'honneur de la République, m'offriraient gracieusement gtte et nourri- ture pour le reste de mes jours. La Franee est dévorées volée, pillée par une race de parvenus sans scrupules, qui disaiL très justement le journal radical a Le Rappel ». ne .nt arrivés au pouvoir que pour finir leur existence en jouisseurs. Et ces politiciens b l'engrais, le Parle- ment républicain les supporte, les laisse faire, les encense et les envie, uniquement .réocoupé de ..er tes travailleurs et de juguler les petits fonctionnaires. Où allons-nous? je ne sais. niais je ne sais non plus si le peuple ouvrier et paysan, nés roc ô, la richesse publique, accablé par la misère et ruiné par l'impôt, suppor- tera plus longtemps qu'une bande de rumi- nants dévore la nation et ealioe la Répu- bli ue Ce n'est pas pour des prunes, je pense, qu'os flétri.. les Rois. Et p me demande la thte que feront les inslituteurs, les cheminots, les ouvriers et les paysan, lorsqu'ils apprendront que dans fessa. de trois jours, 31. Aemand Fallières, président de la République, et son gendre ont, dépensé, en frais de chapeaux de gants et, de- cigaree, quatre années de traitement d'un brave cantonnier! Vincent AURIOL. --- LISEZ ET FAITES LIRE LE o MIDI SOCIALISTE » lifineEIZeuaalaMELESMEnteLETE A 1.AS Pr" LA MINE mEURTRIERE STATISTIQUES LES COMMENCES DES COUPS DE GRISOU ET DES TREMBLEMENTS DE TERRE Notre «infatue parisien ni Le Petit Jour- nal n paSlin le curieux document suivant : 1875. Senou.Soe sismiques, dégagements de grisou on Angleterre. 185e. 18 juin, secousse a York. Le mienne jour, explosion S Clifionsiiall o 110 victimes. 1886. 8 dicelubre, jour où sévit une tem- pête sismique .r l'Europe occidentale : dé- gageinents instuntanés de grisou en Angle- terre, en Belgique, en Fran.. Ers plusieurs endroits, on est Obligé de suspendre les ira- vauk. 1887. 23 février, Tremblement de terre en Italie et sur la Cate-flAzur Nie°, Menton, etc, Dégagements simultanés de gais.. la crise continue : explosion a. Saint-Etlenne, I, ler mass, 75 morte; le 5 mars, explosion h Campagnes (Aveyron), 80 victimes. nen. 20 avril Tremblements de terre, orages violents ; catastosille dans la mine de Ciply, suivie quelques heures après de celle d Mickleflold. 55,.5. 3 juillet : orages violents, tremble- ... de terre eu Italie, en Sicile, en Autri- Mie. Explosion de grisou en Belgique, au Grand-Orme, fosse rebutée comme non gri- souteuse nombreuses victime& 1000. 39 octobre roenausso au Venezuela. 3 novembre : Explosion à Philippi (Etats- EMS, 3?. morts. 510 blessés. 1901. Explosion S Ourdit, à Waidenburg (Silésie), ti la lin de tnei, au total 108 victi- mes. Tremblements de terre à Turin, b Ma- drid, Réveil de volcanisme à Batavia. 109.l. Année volcanique et sismique par excellence. Eruptions, tremblements de :er- re, digagements grisouteon. Aplês la se- cOtaSe du 17 mai. Explosion d Goal-Creck (Etats-Ti/list 300 victimes. 1905. Avril mérnes phénonsenes. Tremble- ments de terre au Japon, en France, en An- gleterre, explosion do grisou en Belgique. 05125,7 mars r Secousse à Sainte-Lucie. evidemmeni. 1907. 18 et 24 janvier : Secousses en Relie. Explesi. is Sarrebruck, 200 viciimest ; 191-1. 15 octobre :Secousse en Sicile. ta. oc- tobre, explosion à <saint-Dronne tad mes. 1912,8 août tremblements de terre a. Cons- tantinople. Catastrophe de Westphaiie. Paur l'Agr celture Frazg: LA POLLUTION DES EAUX Ce que devraient tenter les grandes cités - Les déchets des villes richesse des campagnes Autrefois, lors d'inondations, les prairies voisines des fleuves et do rivières se recou- vraient dem limon bienfaisant, qui rendait In sol fertile ; maintenant l'inondation se fait désastre; ses iMptiétsi corrodent, tuent les plantes, communiquent la poste bovine, et par contrit-coup empoisonnent l'homme. Les épouts des taos salissent les rivieres, en tuant le poisson et ainsi se gaspille l'élé- ment fécond, qui, a. bon marche, fumerait et ferait abondamment produire les champs. Par une néfaste, pénible contradiction, fai- sant do tout bien tout mal l'home tue en polluant les eaux par les matures menses qui devraient fertiliser la terre, sa grande mare nourrie-lare ! On expédie Ie grands frais des convois de navire ailn de récolter au pole moirai la fiente des pétrels et des pingouins, et l'in- calta/labié élément d'opulence qu'on 5500' la main, on l'envoie à la mer Lee eaux d'égouts renferment une très grande quantité de matières organiques qui constituent des engrais précieux. L'EAU DES EGOUTS L'eau des égouts des villes, Inn des en- rais liquides les plus abondants, r.te °étaiement sante emploi, quoique depuis plusieurs dizaines d'années la science eh, nustrie aient recherché las moyens de les utiliser eu preflt de la production agricole au lieu de les laisser s'écouler dans les ri- vh)res, au détriment de la mlutbritsi publi- que. Partout où elles peuvent âtre conduites sans frais sur les terres incultes, les eaux des égouts des villes, formant un engrais liquide variable dans sa cotnposition, mas dire le sol eall'suli'e. C'est ainsi ro,e Priser, le célèbre agronor., en dirigeant, il y a nu. soixantaine d'années, su,r 01,0 sables jusqu'a- lors stériles, Ies eaux des égouts de Berlin, déversésis présente..utl dans la Sprée, a crée prés de cette grande ville des prairies daine incomparable fertilités La môme chose a ête réalisée vers la même épame, quoique sur une même échelle, aux environs de la eapitale de l'Er..sr n les eaux des égouts diladimbourg ont changé en champs fertiles des terres réputées antérieurement trop mauvaises pour tes cultiver avec quelque chance de suefinis. l'avantage des engrais liqomdct, ciest de pouvoir être transportes au moyen de con- duits souterrains, a. de grandes distances sur les terrains qu'ils doivent fertiliser. 1,3n Angleterre, l'agriculture profite autre- ment des eaux d'égouts ; celles-ci sont épu- rées de différentes manières. Toutes les or- dures qu'on y trouve sont invariablement, et sans triage, pilées en poudre qu'on rend inodore Cl gni colotilue un engrais de va- Mur pour des terres lourdes. Suivant une autre systerne, les matières végétales et minéraleo sont utilisées, comme engrais, tandis que les matières incombusti- bles sont réduites en poudre et transformees en briques. D'autre part, les matières combustibles sont, de même, reduites en poudre, mêlais- gées de goudron et comprimées en briquet- tes es noisettes, qui constituent un excel- lent combustible, ne laissant pas de c.end-res. La ville française de Saint-Ouen agit de la sorte asen ses déchets. Les ordures de .Muniell sont triées soi- gneusement et l'on bat monnaie de toutes matiiceâ commerciales qu'on y trouve. Le restant sert au comblement d'un .marais ou S la eombustien. L'agrieulture a do. tous avantages à voir silles épurer, h son intention, bes eaux d'égouts. LES BOUES DES VILLES Les issues sles vilies sont des déchets ehe- Idincnt utilisables pour la fertilisation des champ, Selon A. nésebean, par la pratique, on a trouvé, pour sen terres de Campine nouvel- Icrinent trie' '11,100, qu'une famurp do hm ln, cubes de boues par hectare 'égaie, quant â son effet utile, one fumure de 65 mètres cabes de fumier de ferme et à 800 kilos de gLI.E110. il CEI bon de faire reniaiquer que les houes sur lesquell. Ont parlé les observa- Lions fle A. Ysabeeu éteient en tas depuis plus d'un an ; elles avaient subi une forte fermentation : leur volume primitif s'était sensiblement réduit r 100 mitres cubes de ces boues représentaient au inoins 120 5 130 mènes cubes du même engrais non fer- menté, let qu'il est mli moment où iL vient d'are ramassé par les entrepreneuro du ba- layage public. L'installation- du service d'épuration de Kiel, en Allemagne, est surtout remarqua- ble. Les bacs b ordures des habitant, ny sont pas déversés sur des charrettes, mais on y place les bacs niâmes ; ceux-ci sana en- suite placés dans des fours crématoires, et soalloyes minutieusement. Avec les scories du four, on fait des bri- ques d'excellente qualité, b Lel point que la S. fabriquer Film Kiel, ise du four les admi- lupart des ie les boues plue grande partie des briques en 1912 sont- vendues dès à présent. A Eranefort-sus' Brum, s, ete., on iutilise la chaleur acqu crématoire pour produire de Vêle...té. En France, il est regrettable que nistrations communales de la p grandes villes négligent de meus a la disposition de l'agriculture. ENCRAIS HUMAINS Il n'existe pas d'engrais plus précieux que l'engrais humain, imur la fertiiisation du .1; il Men exists pas dont il sa perd une partie plus importante. IL n'est pas un peuple S 10000100m du glo- be qui ne Misse dissiper en pure perte la grande partie de rot engrais. Gest toujours un fait déplorable que la pe5.10,1es .4/5 au moins de l'engrais humain, alors que tout cultivateur se plaint, avec raison, de no pouvoir donner û. chemine do ses récoltes une dose d'engrais suftisante. L'urine humaine constitue run des plus puissants engi.ais liquides; elle est parti- eutièrernent riche en phospore. Avec Ifurine, étendue do deus parties d'eau, les °raisins fourdissent plusieurs coupes de féusrage vert. Sou emploi dans la culture de la bet- terave fourragera est userveilloux. Sur un hantaeo de terre, qui, sens ce moyen, n'au- rait produit que 40,000 kilos de con sas, on a rémollel ju.squ'à 87,000 kilos de magnifiques betteraves. Las urines peuvent servir soit à imbiber les tas de fumier, soit le. arroser directement au printemps les prairies naturelles ou arti- ficielles. L'on a observe que chaque homme prednit en mos-cnne 028 grammes d'urine siaa jour, soit 2.111 kilos par an, Mest-à-dire de quoi fumer 34 ares. Ou pst surtout dans leu villes qu'il serait fuite de rerueillir ce1 engrais liquide et de lé mettre à teSs bas prix a la disposition dag ,. 'gololesant Osut la à 110101, (2,1,111 énorme perte due à. l'insonciabeed L utilisation ne l'urine humai., des eaux des egouts et des quantité, d'autres engrais produits dans les villes, devrait se faire de eoneert M'OC lot grandes entreprises de de- . ent. Ces eograis serment (selles à transporter à prode frais dans dos baUaux- citernes, par les canaux qui siliennent la France em tous sent jusque sur les terres . . s a II I IT L'eau provenant de l'entretien de la férue de pOrntnes de terre, les eaux résiduaires des uSines S gaz, ires dalles en ammoniaque, sont eneore au nombre des engrais liquides tes plus précieux o aes eaux saint. rarement utilisées conne elles pourraient l'etre. Neus voyons par ce qui précède que tous, mais absolument tous les déchets et excré- ments jetas dans nos rivières, pourraient mirvir à augmenter considérablement la ri- chesse nationale. Charles IIUTGEERTS, La Se tornoris nÉnicniALes *lote, HitiLLITLT, TETE urEENËE.eutoolorr.TLEB, 00E50055,C00E5enCANTAL, LOT-EL-GARONNE, cEES,LOT,HAUTESTIVIdelE119,Ui nes, TERE-ET-OARONN ApssmoTERÊTUEs, ARIÊGIS, TOULOUSE Ans, ILIUTE-GARONNE. I r Comme il fallait sly .attendre, lo surarbi- tres désignes par le Gouvernement pour tranche, le différend qui, depuis 15 jours, mettait aux pris. la Compagnie des Messa- geries Maritimes et ses équipages, ont don- né toTt aux insurits. Ces messieurs ont rendu une sentence aux termes de lequelle ils pro- clament que les grévistes ne sont pas fondés D soutenir qu'en raison du renie/se...lent des vivres et du loyer H est indispenseble d'augmenter le taux des salaires. Ce gni re- vient à dire qu'aux yeux de, trois augures qui distribuent la justice en tranches sd moyennant une forte rémunération, à la )uir suprâme ou au Conseil d'Etat, les 'vic- times de l'aceaparement des denrées ah- mentaires sont les pauvres actionnaires des Cornnagnies Maritime&mii reçoivent de SE- UL des prunes de plusieurs millions et qui, d'aullie part, exploit.t les passagers et les matelots. Mais aussi c'est bien fait pour les inscrits maritimes. A n'oins quo ce ne soit pour montrer mie fois ne plus que recourir à l'arbitrage équivaut pour les ouvricm à vou- loir jouer bénévolement le rôle de dopes je me demande par mite de quelle aberra- tion d'esprit, ils ont eu l'idée de faire solu- tionner le conflit par nism tiers Le simple raisonnement suffit à prouver qu'il est Mi- passibte que des magistrats do l'envergure des BVUU121-11, Boutes autres Saincère. puisse,ost désferidre au nom do le plus élé- mentaire équité, les droits des trayant...! Ces messie°ru exercent la profession de juges à tout faire. Bien payés par la bour- geoisie, ils ont au nioins los reconualsmnee du ventre et oui ne saurait Leur en faire un Oriel. Mais ce qui est certain, c'est qu'il sera jl101011On aprros flotte nouvelle expérience. ans apôtres de l'arbitrage obligatoire de convaincre les mlaries de la bonne qualité de leur marchandise. s'e Près de Béthune, dans les mines de la Cla- rence, le grisou a semé l'épouvante et la mort. Line soixantaine de mineurs ont été Lu.. Les bi.simn sont nombreux et toute :a contnée est plongée dans lu désolation. 3,1. Jean Dupuy, ministre des Travaux publias, Ce venu upporler me familles des sinis- tres les condoléances du gouvernement da !a République. Certes, il importe peu mu ITIEPELI e'dorés des viatimes qu'un person- nage de haute envergure. aienue verser des nes.. , ceocomms sur les cercueils des ouvriers morts à la peine, mais il est permis de constater que dans notre état demoorati- que, il faut eu moins La visite d'un souve- rain pour que le parhyderme de l'Elysée se dôrarfg, Car catastrophe aumi terrible que selle des mines de la Carence n'est pas pour le Fallières du toupiiton un événement sen- sationnel et Les mineurs sont de trop petites gens peur que noire Guignol national com- patisse à Loandostleur. - Remarquez joug dans les pays voisins qui su bissent Le tyrannique do la mOna, Chie, les. LinpereUrs et lev Rois se font un devoir, dans des oiroenstances analogues, de se rendre car les lieux du sinistre. Récem- ment, ie roi Gemmes d'Angleterre tint S des- cendre dans une mine incendiée et le roi d'Italie et l'empereur dAllesnagne lui-marna, l'occasion d'Ovéner.nts douloureux, n'hé- sitèrent pas ti so rendre immédiatement au- près de /eues sujets éprouvés par le mal- heur. Au fond, ce qui est triste, c'est que lm Compagnies miniares puissent impunément ivie s un, serin le maximum de rende- ment, sans être tenues à prendre dame ma . toutes los mesures capable, diens/d:ober une catastrophe de se preduire. Déjà, le 8 janvier dernier, un incendie cé- tol', déclaré dans la mine. On savait que le feu couvait dans une veine Ires grisofinuse et le Conseil d- adminieration n'a au saune pensée : reprendre au .plus vite l'extraction du °herbes Les travaux indispensables pour assurer la sécurité nes mineurs Mont pas Me exécutés. Pour augnesnter leurs divi- dendes, les actionnaires ont préféré courir le risque d'une catastrophe. Aujourd'hui, ils doivent ('Ire satiefeits. es Les travailleurs anglais, tiennent à New- port, Leur talie Congres annuel. A ces essises 'uvrièes v, près de 000 délégués repres . ent1 plus de deux milli.s cladisérents aux orga- nisations corporatives de la Grande Breta- gne. El nsarne pour le capitalisme anglais, le Congrès de Nesvport est un fait d'une ex- trème importance qui, dans la grande presse d'information passe au premier plan do Far- tualité. C'est qu'en effet, il est incontestable que /esprit. du VIEW: Trado,enionisme glais s'est .nsiblement modifié au coure de ces dernières années. Ce n'est plus !a mé- thode corporatiste qui est rn honneur sein des organisations ouvrières anglaises. SiaM le syndicalisme anglais est animé d'un lare souffle socialiste et révolutionnaire. Le prolétariat anglais ne lutte plus contre In capitalisme sur le terrain meule du capi- talisme, il ne veut plus que son action cor- porative soit la plaie copie de lactiot de, groins...te patronaux o il s'organise sur des bases notuvelles et rompt, bien plus pour s'émanciper Sue sOrt action directe que sur les !ois Idioties par la bourgeoisie. La grève générale est considérée par les syndiqués comme un excellent moyen de combat, et Ire fédérations de métiers qui .fretlennent des rivalités mesquines et qui créent une sorte d'aristocratie ouvrière se transforment peu S peu en fédérations d'industrie qui déve- loppent dans te monde du travail l'esprit solinariste it ln conscience de duos. Les grands conflits qui, oes temps der- niers, ont ,bouleversd l'Angleterre, prouvent surabondam,ment qu'au merveilleux tempé- ra... d'organisation qui caractérise les travailleurs de ta Grando-Brelagne, est venu s'ajouter un stimulant précieux l'activité révolutionnaire. .4. Si nous n'étions fixés depuis longtemps lice, le dernier avatar qui, une fois de plus, . ...au, nouS completemein On connaît les faits. Lon pseu- do-c.ourtier 3. la solde ide la gaieté générale a vendu aux camelots de l'Action Fronçai. Dans l'affaire, nos adversaires royalistes ont trouve leur consiste. En effet, la Police a pous,6 l'amabilité jusqu'à lour vendre 27 fr., les arases qu'elle avait achetees b 02. Il est vrai qu'elle espérait grâce S. son agent pro- vocateur. echafauder un complot on les principaux propagandistes du nationalisme intégral auraient MS impliqués. De la sorte, on se nts débarrassait de quelques hommes g..3- niapour le regime et on sauvait icetle 'prostituée de République bosirgeolse. 01 y a Ungtemps que Marianne, grâce la vigil.- ce nes politiciens radicaux. n'a pas échappé quelquo danger sêrieux et vraiment le he- SOin m fait, sentis. de rehausser le prestige quelque peu tombé en désuétude ide la Ré- ptiblque des Clemenceau et des Briand. 1/11STA08Illit; SbIl°'aÉafbsltll StriA BAU ARD ACES La Tenue, qu'il fera... A dé fout d'autres, cklée m'est vmie, ce mar tin, daller intereleirer le Temps. Comment mie pels-ie a m'esta., bien amuis strie. cotai qat mn Medi dire où je le trouvais. Car les ,chlora confrercs » n'auraient qu'a mc chopper. Id r098 je peux eetier, c'est qu'apr,s osait au saut du te conefigé ma montre, je crus pose voir, satih au Et c'est ce que je fis. Le bonhomme, comme un 00w an tait, n'est plie de première jetmesse. Et jc le !roumi Meuse depuis la derniele fois. Aussi erse-je de- voIr '1"Z:te idie:Ce','Iusi dis-je en m'incessant, les humains sont désoids el Us me depdehent auprès de ro. peur duale ce qu'ils avisent end cora eraittire ou .,er...Erer de IMre Le pou,.en tremide pou, sa rdroUe. L'ouvrier redoute ta des chers O El le fuit la pd- dheur. Le bourgeois ihrotore les s nalée de sa villégiature, car «4.11 dosa les Alpe, si la neige e. fee landBi que Iouler eu,4ei0.te lui interdisait les teins embaumer.. Pmees-voses que nos jolies s plegeBies » vo. pi:inhumeront Insinuas d'empacher l'exhibition de +eues deriiiers cotionLs ? Ballet fut mau.,neld.sur vas On- - et Août nausë,berid. Que nous easetoes- vous. bon Pian, «tee tienterribre ? Je voici le es 'Sourde o biea des fois des gens ont mutilasse à mon oreille rne fait pad un riche .isaips En., nous fouclid ? Ou bien en, core , Le Tenrps se geite. Seriez-vides ad- ieux ? Le Temps ne parlait pas. El le soleil &ait si terne au-dessus di sa tele 00,05 apparaesail cmn- nie une areeiglide pf.yre«.( du Sioux pe,, à bar- be blanche. Cependant, comme feus parlé, soue laree perla au bord de tes 7/...1, aans 13, tandis eteitte Se peadult en ses 'dile, bics, une pluie dilizokmne 15100051 Ica Parie un 5e5f0514 souPés mgdeps sa p . muette, Ilit fonet de Moreau accourt avec furie Le plus terrible dm enrews Que l'Ouest juse,tie-la ons porté dans se flancs.. Le Temps s'obstinuit 055e ers parler. Or, ;e compris gide n'y avait dacidament à faire. Et comme je Et le 7 ,es Puis ci. Temps, net,- 1051,0r5 le nième, grot, en empochanm ma galette. EI, rus fun d, com,ale, c'est la seule 1,1,, cfs!.re quel me suit permis de rapptetee 0 Met contemporains... L. D. LES 0101IGHANDS DE LA PCLIGE Paris, 7 septembre. La préfecture de police conimuniqus ce matin la note suivante relative à l'incident soulevé pue le nomme, Michaux. 005 Leidneuil e De ienqufile ordonner) par M. 1,, MOI:E- tre 0e Pinterieur, il revaille que Id. Borde, cOminiSeFairo do malice dl quartier; da Fau- bourg-Montmartre, Sn ami pas sansla cou, nabis) de prieneationt mais qu'il Mat Me pruden.ent laissé mystifier. e II a dant.. part commis la fauta de ne pas avoir prdvenu ses chefs des pourparlers Vans lesquels il s'est engage. In 511 conséquence, le préfet de police Te frappé do quinze jou50 do sustianaian de tras fiaient et a fléchie sun dépl.eigent dons un intérêt de .rstice. C'est donc un aveu. Il est etabli, nar la note qui précède que le « fait Veemoil est exaet., q, St Em des a eu mu, sam- e/lard Verneuil ot lui a fait vendra e gons et flingots » à l'Artiou Fasses,' a. iltah ce qu'il importe de connaître. La prea de police et le gen...sent VO.t.TI tt, dégager. frappent Bordes, maisliard-me:d niais l'affaira Men o... pas :5.'13 d ,its. de mvoir daburd M Berl,'o oui e o d et nui vient Métre cor lm é lifficiel ce laissera feire 0c05t à ne', ,n,, savons bien que la respewaldlilé g ,ver- nomentale et préfectorale sont lasoned étatifies. C'est ce qui éclatera bientliô. C'est du promet M. hein contra la LÉ Il y huit jours, je me plaçais au point de vue de la loi de Initki et je montrais 'ffin diapres les textes, d'apnès la j11/,:tOltdeacd toute poursuite était iinpoesible contre lm instituteurs. Sans douce, il est Loisible as ouverneruest dfixiiiieer néanmoins une ai. lion publique. Le Parquet al tenu dc ho obéir. Mais lorsque la qu+,11,.n ,rn jugée en droit, on ne pourra 15mo',', o, us, po. condamner les dirigeants et da sir, ii-. 10 Syndicat, faune qu en réalité est une assOCiation smuitiee ,t, la loi de 1001. 'Un camarade ni, de., . préciser el de recheacher si au point de vue dois Loi de 1901, il ne serait pas an rale cle taquiner les organisations adhérentes o Féühretion. Je réponds sens Sé,ilatnuln ; oies/ impossible. Supposons que le Congrès de Clsarribery ait fait noie Mantipetriatisine stmoostats Mame 50: o! ail foie nie une gr,a- ve il serait impsoilils ilimouere la Fé- dération et pouru d'atitrtittt tnlion et à. la sic ''oc les daiegés ert Con- gris. On ne peul, s'en prendre 0,500050000 pour un acte accompli par la Fédération. Mais dans liefnt , peut-on en v.ertis de la loi de 1901 contes LI Le peuple est républicain, oies un fait ias ame contestable, ruais son enthousia me pour la Corme do gouvernement décro t. de jour en jour. Le prolétariat n'oublie pl que la Rés publique a MA pour lui une marâtre sangui- naire. Révocations, persécutions, fusillades, Seul a été bon pour briser ses o ganisations - syndicalistes. Et c'est parce que le peuple bonde la République, que nos 'bourgeois di- rigeants essaient de se refaire une virginité en se posant én sauveurs du régime. Mais cette fois-ci leur fumisterie fait long feu. Comme dans l'affaire llétivier, le poli- cier est démasqué par las induite,o de la a Guerre Sociate Monition, Bordes, Lépine en sont pour leurs frais d'imarineti. et comme toujours, leur zèle inintelligent a servi à déconsidérer le régirue en 1z-0,1.in que le mouchardage était désormais élevé 3 la hauteur d'une institution nationale. TLOOLITTELL=LITS Colonies / soir' 20 fr. roser Oie. 18 fr. 36 fr. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ADMINISTRATION& RÉDACTION

38, Rue RoquelaineT011liOUSE

alalseonem043

DelQUIEldE ANNEE. 84» -1238

POUR DEVENIR

lin gen Repu**oie, et je pas e du moins de

polir être censier(' c,omine*Reflua il fallail quelques fi-

Il neseflet i I. pas de vagues gestessrours ; de serieuses références

iddiSpen SALI es.

les temps sont changés ! Aujour-ce n'est pas malin de passer poUr

uhlicain bon te.int et de sieilloortie. "N'allez pus croire qu',i1 soit né-

,aseire de protester rOnbe 1 expeditlon

.,,,ree 'ne ou l'attitude du gouvi3rne-n'nfl'égard des instituteurs. (le se-

,rait de ladernièreimprudence t on

sons traitatit d'antiptdriote. danse-

eirisle, on ,ous accuserait d ente rilb sti-

pendié de l'Allemagne ià moins que Co

lb SOi.t del'Autriche, de l'Espagne ou

\ngleterre.C est Idea plus simple. 11 suffit de se

,iclarer contre la R. P. ou da faire deerandes rés en:ce Sur le projet voté

[...sabre. Le moyen estAndrieu', des Basses-Alpes, et

Ribot Fait expérimente avec succès.Vous cunnaissez las personuagen. M.

Andrieux est im ancien préfet de poli-. ee, osa ancien ambassadeur. Il a eu do

nombreux avatars, mais, d'aucun d'euxon ne peut dire qu'il lui crée des titres

leelinte des 4,81)1MB...iris. Plusieurslois député. et I.Hp plus grand nonchreIde fois candidat, il nla jamais mis sorttalent an service du parti républicain.n y a 'deux ans.1,1 o élé élu comme .11-issivalellr amis le déportement ce-présente. Auparavant, il avait eté can-

, dIdat dans la Saine contre le progres-Oie Beauregard. gaif trouvait bopvnn&. fies :premiers papiers electo-

yfauxque jOli lus, ce sont ses déclara-'MISS MU électeurs slu Cantal on 1890,e1892. Je TOUS assure Tee la If épubli-4ue élan bien traitée dans ces mani--,e.estes I li faiteS voir ea 1 Ajoutez ique

lysietra homme courait Darrondisseinentisnoorté de faut tee: que pays cardpiait"de aimai:Man ires.

:Viatique Ilui-inern, aval( items àfree l'inlerêt qu'il partait au lenii-

leeerara.....e.ethsceis;investiture et sa bénédiction.

Voilà un bon passe de républicain !1f11 bien 1 ii n'y parait pas aujourd'hui.M. Clemenceau -nient do déceruer à M.Mdrieux un brevet 'gai lève tout doute

r son attacluenent ii nos institutions.Il est vrai que lorsqu'on a sur la ce/s-edan& autant d'actes anlieépubliceins

Ste M. Cleincnceett on est peu qualifiér distribuer des cerlifirate de Mals-

eau de CI. Ribot est encore pluson. Inutile de raplatit. le passé. de

ancieeo présiderai du conseil. LardOie des lois de laïcité. uvre deack-Rousseau et de Combes, et decle la Saparalion des Eglises et cle

t, moines, surs et curés n'eurentdo plus eltaitet drenseur que lui.auvent pardonner à Bouvier d'a-

o,ter la ,Séparation, il fut,des artisans de sa eh Me. Pendantenfle période son zèle catholiqueil celui de feu l'abbé Roc tant. Pion..t homme qui, lors de l'affaire

Prit plus ardrnt lila la plusdes nationalistes, té déteindreires da DElat-Majoe. est de-

s jours un excellent républi-«sen à lui reprocher. Oublié. son

ehef, !pendant dix ans, de lan mihitaino et clériealls 1 Oubliée,

e sic Mercier et des autres bart11 Ministère de la Guerre ! Jetonsle. sur ce passé détestable. Ne

as que le Présent qtd est digneM. Ribot vient de diminuer dans

He an c Temps si qu'il est Ped-du pretjet voté porta Chambre.

leen ? Ne pas diniiser le parti ri-0649 ! C'est authentique. 'Llhorn-is pendant les ministère Waldeck

Ois, fut l'orateur de 'da droite, nePas 'fliviser le parti remil-rIkain !

on i+arnellissement ?klt est pas moins Aral quo le

», organe ofiliclel du parti rasSarre M. Ribot un

sipublismirs .cl, s'appuyant surfait ha leçon à itt. Buisson.

l'ion des elleis tir la R. P. cenfea;t. appeler le choc en ro-

Voila trou, én la vraie savon-vilain ». Avis à ceux qui ont

Passe do réaction à se faireiliebine, Charles DU1,11V

-voue pour venir ,querie .ao-revet ? Allez. de votre nié-conf. lu R. lé. Ineontinent,

Itm, n, de Draveil, Augagneur, dect-zurtiLif(allia,dieal vou°

démocratie o. Unfige Sur robe passé nom-

ait pour les autres. Qu'est-la .arrèle ? VOUS n'avez pasdiSeqUIS ,Ou faveur de eu-

11055 _ies que M. Ribiat, et vou0%. y. plus flirte avec les bonapar-ar Andalous,. Vous pouvez

IMINsseasa("lnlsraell-rilles et aborder té-

'In1)kfins_eos,yolilr,aris'I'ahatit autre ois amasepoil «de 113t jeux de doubler

nelrlQ.eC le «,Ileellefr'nts.ne3nliil °al Pas Moins d'es-

prit Mie le oélèbre hutnotsiste. Mais ilPsi d uraindro que loure invention neSei( pas plus utile à ha République quone fol Celle de heur Modèle à la M'el.°nationale.

LE PASSANT.

C1.40S,--LE UENITENT BLANC.

prownehl Préde,,,e. Mistral vient d'a,tenter le titre do prieur honorukre des ,p&mitcutoblancs.

La confrérie des pénitents Imnes a son sü,..ge0 Montpellier i les pénitents blancs matteat tousleur coquetterie à conserver dans leur weociutionlo« pieuses eontnane.,. d'autuefeis et les pratiquesde eévotion des armatres de man Campa.gide que, sur L, demande d'un 05 600 membres,:1,:stral viena de devenir prieur honoraire. Le ré-n:teat, gal raconte la ehom dans le Madelin de laconfrérie, se rende. il y a quelque tempe, à Mail.èttre pour obtenir do l'illustre poète mn aceepta.

M,strad la donna anse:tôt.J'accepte, j hideepte avec grand parsi, riO

ponda Mistral r La, paltents blancs I- Que debous eue de tenchands, que de lointaite saure

emprent en moi! C'est à 'a chapelle depénitent, bran., quand j'étais au collage à Avi.gnou, que notre nadtre meus menait tous les d,-manaor à le m.e.e.e. Nous 0150ne tellement édi-fiés et sédh/its pur tee piemes eirénenies dee péni.tants quo 11,utmap d'entre nous, après 08e sor.Cs ein colle., revenaient dans cette chapelle deprieérenee S toutes les autres églises d'Avignon.Meri-neme j'y anis, retommé bien sauvent. J'aimarne prie part. aux eérémonles qui s'y faisMent.FOI' me souviens d'xvoir pluelearA fois suivi,revétu du costume blanc de la confrérie, les bellespreces,,ons oui se déroulatent libiement alors dansles rues d'Ar:gnon.

n Le, pénitents blanns r.. Mais ils ms rappel-lent encore un autre souvenir, celui de notre pan.vas 01 grane Aubanel. Aubanel a ara toute savie son fervent pénitent. Tl assit presarit de lerevêtir quand il sero4 mort de sou costume de,pénitent conformément aux règles de Is once,gnie. Eu effet je roi sur mr son nt de mortrevétu Or ce' do pénitent... Pu:sque vous étosMou:po:aérait, Marial pourra dire, jecrois bien qu'Il l'a dessiné, Voue le lu, de.manderea.

E, s'adressant à Mme Mistral s'étonnaitma peu. le poète sjonta

oie veux métee que tu ne fasses faire uncoshme.

UN OBATI'E CIEL.On ',lent d'.hever New.York une nmison

qui est le pl. hamt gratsa eus, dont puiMes'e.rgueidra la grande nullrepole anWrwaine.(".«.t le Woolworth dnns Broadway etPark frire.

I.e paivinon amér:cain y nette a selle heure àpledle.,ato.4essra dureel-ekien gag le drames,/

En ut Egfodittio pees-nn-lag ïl eafait grana-tout..p:us somme un moucbeier dom poche.

L'édifice a cinouante étages. Il a êté eommen.cé en novembre 1010 1 on espère que quelques.uns des harem.: pourront être ocmtpés oeto.bre mals les étages supérieurs ne seront arn0.nagés qu'en décrier 1913.

L'inmeuble représente sou ,alear de 07.' 0,000francs, dent 22_500.000 francs pour le terreaayant deux cents pieds de façade sur Broadway,Il uCtiers pour les fondations et 00 adWens pourla construction.

Ies loyers produiront annuellement 12 malle.,500500 anus,.

1,s Woolwortit Building appartient en majeirrepartiu à dee capital:stzr francais qui ont achetépou, erelron 40 m'Anone de francs d'actions deo compagnie am...Mère qui l'a mien*.

LES BONzEe.Dons une intére,ante étude de la citoyenne fol-Yandervelob dans n La Jeunesse c'est l'Ave,

Sait s'est pneus à l'Aeadérnie desBeaux-Ar. de Bruxelks. C'était un sen salasdessinait d'après In modèle, ta reprebactIon d'unohcf.d'teuvre antique. en l*ocurence la Vénus de?dito, Seulement_ S àté de celte.ci, sur 15 mêmemele,0mo avait posé le pied do rliereule Farnèse.Or. ce.r.i.ci, énorme type maculeque d'atlilàte, neressemble nature;ternem en ries 511 Vénus, gras.de, belle Emma. aux contours ronds, aux attachesPians. Ise élèves no comprenant pas du tout seque fuirait te pial d'Hercule a côté de selon rieVED119 s'actreerent au professeur, qui leur TE-poudd r a Je l'ai mis /à pour, que voue puisgezdévelopper, d'après 05 50605, de l'Hercule, celui dola T'eues. dont sconse pouvez bien voir 10 040505,»

FEUILLETS ROUGES

os =goursIl ne s'agit point ici d,s rats. Ce sont des

rongeurs médiocres. Lorsque derrière unemalle Iront en paix grignote un mouton,on les peut féliciter de leur audace et rieleur fortune.

Mais plutôt. lisez le rapport de M. Mariasur le budget des affairas êtr.gères. Con-sultez-y lesi chapitres consacrés aux récep-tions des souverains par Son Excellence dutoupillon et NOUS y verrez confinent le mon-sUur barbu qui fait profession de représen-ter la République démocratique presenteses homnsagm et offre ses commodités auxsouverains, reçoit..

N'attendes pas de rusai l'êntunkation com-plete deu achat." l'enlisés. Ce serait trop lona.Et volts ne me croiriez pat C'est vainemeMquo je vous dirais r pour le moi do Norvègeon a acheta 60 halais, 12 martinets, 12 anses,300 torehons, 68 draps, 16 peignoirs, et pourle roi do Danemark on a fait emplette de24 sceaux, 12 cayeu, es, 200 franco de rubanset de peignes, 114 francs do savons nique letout s'élève ii plus de 2.000 francs, vousm'accuseriez de vous ruent.. bateau 015eme payer votre Mie. Il vaut mieux que vouslisiez le rapport Marie et mm, tel Thomasvoyant de ses propres yeux et touchant deses propres mains la plaie du Maitre, vousdécouvriez vous-manse les ravages causés,à vos frais, par hm rongeurs do l'Elysée.

Toutefois, voiei deux chapitres Moquerits.Pour recevoir roi de Nonage saaez-vouspour combien hl. Fallières a acheté ePeaux, de gants et de i-hanesef tes? 1205 fr. 80de chapeaux, led francs de gants et 449 fr. 50O e chaussettes Idni quoi chaussa, aux mainset aux pieds et eftiffer Ol.é et hiver tout anvillage ! ta 00 jr' VOUS dise mon qu'en ou-tre des dépenses de M. Falliares. sen gendre,nl. Lano, s'est fait rembourser, à. cette oera-sMit par le budget national, 5.517 fr. 80 deoigare,s (admirez /es eentimes), 80 francs

d'honoraires 4, son coiffeur, 90 freinas .de gra-tification arr vestiaire et 200 francs de gen-Lifleation aux ouvreuses de POpera. Je n'aip.as no découvrir le menu chapitre : e Oun'est pua en bois o, II est vrai qllo ces mes-Sieltri ont gratuitement accès dans lescoulisses. Ne nous Stonnons pas.

Et maintenant instruisez-vous, comme di-sait feu Bossuet I Mais laissez-moi praoiserauparavant que les précédentes dépenses de;représentation, .alonsieur la citoyen rallie-ras se les fait e irembourser ,i, économisantainsi la modeste indemnité de 1.260.000 fr,qui ne lui est pourtant servie que pour re-cevoir les hôtes do le France !

Je voudrais bien voir, quant 5 moi, /eschapeaux de mon cher, trés cher président,jures trois jour, en usa pour 1.200 francs IMais je ne veux pas qualifier le fait, par cefi/onglons. et son gendre, de se faire rem-bourser 1.127 fr. 80 de cigares, mir généreu-sement les Tribunaux chargés de défendrele.ue honneur et l'honneur de la République,m'offriraient gracieusement gtte et nourri-ture pour le reste de mes jours.

La Franee est dévorées volée, pillée parune race de parvenus sans scrupules, quidisaiL très justement le journal radical a LeRappel ». ne .nt arrivés au pouvoir quepour finir leur existence en jouisseurs.

Et ces politiciens b l'engrais, le Parle-ment républicain les supporte, les laissefaire, les encense et les envie, uniquement.réocoupé de ..er tes travailleurs et dejuguler les petits fonctionnaires.

Où allons-nous? je ne sais. niais je nesais non plus si le peuple ouvrier et paysan,nés roc ô, la richesse publique, accablépar la misère et ruiné par l'impôt, suppor-tera plus longtemps qu'une bande de rumi-nants dévore la nation et ealioe la Répu-bli ue

Ce n'est pas pour des prunes, je pense,qu'os flétri.. les Rois.

Et p me demande la thte que feront lesinslituteurs, les cheminots, les ouvriers etles paysan, lorsqu'ils apprendront que dansfessa. de trois jours, 31. Aemand Fallières,président de la République, et son gendreont, dépensé, en frais de chapeaux de gantset, de- cigaree, quatre années de traitementd'un brave cantonnier!

Vincent AURIOL.---LISEZ ET FAITES LIRE

LE o MIDI SOCIALISTE »

lifineEIZeuaalaMELESMEnteLETE

A 1.ASPr"LA MINE mEURTRIERE

STATISTIQUESLES COMMENCES DES COUPS DE GRISOU

ET DES TREMBLEMENTS DE TERRE

Notre «infatue parisien ni Le Petit Jour-nal n paSlin le curieux document suivant :

1875. Senou.Soe sismiques, dégagements degrisou on Angleterre.

185e. 18 juin, secousse a York. Le miennejour, explosion S Clifionsiiall o 110 victimes.

1886. 8 dicelubre, jour où sévit une tem-pête sismique .r l'Europe occidentale : dé-gageinents instuntanés de grisou en Angle-terre, en Belgique, en Fran.. Ers plusieursendroits, on est Obligé de suspendre les ira-vauk.

1887. 23 février, Tremblement de terre enItalie et sur la Cate-flAzur Nie°, Menton,etc, Dégagements simultanés de gais.. lacrise continue : explosion a. Saint-Etlenne,I, ler mass, 75 morte; le 5 mars, explosion hCampagnes (Aveyron), 80 victimes.

nen. 20 avril Tremblements de terre,orages violents ; catastosille dans la minede Ciply, suivie quelques heures après decelle d Mickleflold.

55,.5. 3 juillet : orages violents, tremble-... de terre eu Italie, en Sicile, en Autri-Mie. Explosion de grisou en Belgique, auGrand-Orme, fosse rebutée comme non gri-souteuse nombreuses victime&

1000. 39 octobre roenausso au Venezuela.3 novembre : Explosion à Philippi (Etats-EMS, 3?. morts. 510 blessés.

1901. Explosion S Ourdit, à Waidenburg(Silésie), ti la lin de tnei, au total 108 victi-mes. Tremblements de terre à Turin, b Ma-drid, Réveil de volcanisme à Batavia.

109.l. Année volcanique et sismique parexcellence. Eruptions, tremblements de :er-re, digagements grisouteon. Aplês la se-cOtaSe du 17 mai. Explosion d Goal-Creck(Etats-Ti/list 300 victimes.

1905. Avril mérnes phénonsenes. Tremble-ments de terre au Japon, en France, en An-gleterre, explosion do grisou en Belgique.

05125,7 mars r Secousse à Sainte-Lucie.

evidemmeni.1907. 18 et 24 janvier : Secousses en Relie.

Explesi. is Sarrebruck, 200 viciimest; 191-1. 15 octobre :Secousse en Sicile. ta. oc-tobre, explosion à <saint-Dronne tadmes.

1912,8 août tremblements de terre a. Cons-tantinople. Catastrophe de Westphaiie.

Paur l'Agr celture Frazg:

LA POLLUTION DES EAUXCe que devraient tenter les grandes cités - Les déchets

des villes richesse des campagnesAutrefois, lors d'inondations, les prairies

voisines des fleuves et do rivières se recou-vraient dem limon bienfaisant, qui rendaitIn sol fertile ; maintenant l'inondation se faitdésastre; ses iMptiétsi corrodent, tuent lesplantes, communiquent la poste bovine, etpar contrit-coup empoisonnent l'homme.

Les épouts des taos salissent les rivieres,en tuant le poisson et ainsi se gaspille l'élé-ment fécond, qui, a. bon marche, fumerait etferait abondamment produire les champs.Par une néfaste, pénible contradiction, fai-sant do tout bien tout mal l'home tue enpolluant les eaux par les matures mensesqui devraient fertiliser la terre, sa grandemare nourrie-lare !

On expédie Ie grands frais des convois denavire ailn de récolter au pole moirai lafiente des pétrels et des pingouins, et l'in-calta/labié élément d'opulence qu'on 5500'la main, on l'envoie à la mer

Lee eaux d'égouts renferment une trèsgrande quantité de matières organiques quiconstituent des engrais précieux.

L'EAU DES EGOUTSL'eau des égouts des villes, Inn des en-

rais liquides les plus abondants, r.te°étaiement sante emploi, quoique depuisplusieurs dizaines d'années la science eh,nustrie aient recherché las moyens de lesutiliser eu preflt de la production agricoleau lieu de les laisser s'écouler dans les ri-vh)res, au détriment de la mlutbritsi publi-que.

Partout où elles peuvent âtre conduitessans frais sur les terres incultes, les eauxdes égouts des villes, formant un engraisliquide variable dans sa cotnposition, mas

dire le sol eall'suli'e. C'est ainsi ro,e Priser,le célèbre agronor., en dirigeant, il y a nu.soixantaine d'années, su,r 01,0 sables jusqu'a-lors stériles, Ies eaux des égouts de Berlin,déversésis présente..utl dans la Sprée, acrée prés de cette grande ville des prairiesdaine incomparable fertilités La môme chosea ête réalisée vers la même épame, quoiquesur une même échelle, aux environs de laeapitale de l'Er..sr n les eaux des égoutsdiladimbourg ont changé en champs fertilesdes terres réputées antérieurement tropmauvaises pour tes cultiver avec quelquechance de suefinis.

l'avantage des engrais liqomdct, ciest depouvoir être transportes au moyen de con-duits souterrains, a. de grandes distancessur les terrains qu'ils doivent fertiliser.

1,3n Angleterre, l'agriculture profite autre-ment des eaux d'égouts ; celles-ci sont épu-rées de différentes manières. Toutes les or-dures qu'on y trouve sont invariablement, etsans triage, pilées en poudre qu'on rendinodore Cl gni colotilue un engrais de va-Mur pour des terres lourdes.

Suivant une autre systerne, les matièresvégétales et minéraleo sont utilisées, commeengrais, tandis que les matières incombusti-bles sont réduites en poudre et transformeesen briques.

D'autre part, les matières combustiblessont, de même, reduites en poudre, mêlais-gées de goudron et comprimées en briquet-tes es noisettes, qui constituent un excel-lent combustible, ne laissant pas de c.end-res.

La ville française de Saint-Ouen agit dela sorte asen ses déchets.

Les ordures de .Muniell sont triées soi-gneusement et l'on bat monnaie de toutesmatiiceâ commerciales qu'on y trouve. Lerestant sert au comblement d'un .marais ouS la eombustien.

L'agrieulture a do. tous avantages à voirsilles épurer, h son intention, bes eaux

d'égouts.LES BOUES DES VILLES

Les issues sles vilies sont des déchets ehe-Idincnt utilisables pour la fertilisation deschamp,Selon A. nésebean, par la pratique, on atrouvé, pour sen terres de Campine nouvel-

Icrinent trie' '11,100, qu'une famurp do hmln, cubes de boues par hectare 'égaie, quantâ son effet utile, one fumure de 65 mètrescabes de fumier de ferme et à 800 kilos degLI.E110. il CEI bon de faire reniaiquer que leshoues sur lesquell. Ont parlé les observa-Lions fle A. Ysabeeu éteient en tas depuisplus d'un an ; elles avaient subi une fortefermentation : leur volume primitif s'étaitsensiblement réduit r 100 mitres cubes deces boues représentaient au inoins 120 5 130mènes cubes du même engrais non fer-menté, let qu'il est mli moment où iL vientd'are ramassé par les entrepreneuro du ba-layage public.

L'installation- du service d'épuration deKiel, en Allemagne, est surtout remarqua-ble. Les bacs b ordures des habitant, nysont pas déversés sur des charrettes, maison y place les bacs niâmes ; ceux-ci sana en-suite placés dans des fours crématoires, etsoalloyes minutieusement.

Avec les scories du four, on fait des bri-ques d'excellente qualité, b Lel point que la

S. fabriquer

Film Kiel,ise du four

les admi-lupart des

ie les boues

plue grande partie des briquesen 1912 sont- vendues dès à présent.

A Eranefort-sus' Brum, s,ete., on iutilise la chaleur acqucrématoire pour produire de Vêle...té.

En France, il est regrettable quenistrations communales de la pgrandes villes négligent de meusa la disposition de l'agriculture.

ENCRAIS HUMAINSIl n'existe pas d'engrais plus précieux que

l'engrais humain, imur la fertiiisation du.1; il Men exists pas dont il sa perd unepartie plus importante.

IL n'est pas un peuple S 10000100m du glo-be qui ne Misse dissiper en pure perte la

grande partie de rot engrais.Gest toujours un fait déplorable que la

pe5.10,1es .4/5 au moins de l'engrais humain,alors que tout cultivateur se plaint, avecraison, de no pouvoir donner û. chemine doses récoltes une dose d'engrais suftisante.

L'urine humaine constitue run des pluspuissants engi.ais liquides; elle est parti-eutièrernent riche en phospore. Avec Ifurine,étendue do deus parties d'eau, les °raisinsfourdissent plusieurs coupes de féusragevert. Sou emploi dans la culture de la bet-terave fourragera est userveilloux. Sur unhantaeo de terre, qui, sens ce moyen, n'au-rait produit que 40,000 kilos de con sas, ona rémollel ju.squ'à 87,000 kilos de magnifiquesbetteraves.

Las urines peuvent servir soit à imbiberles tas de fumier, soit le. arroser directementau printemps les prairies naturelles ou arti-ficielles. L'on a observe que chaque hommeprednit en mos-cnne 028 grammes d'urinesiaa jour, soit 2.111 kilos par an, Mest-à-direde quoi fumer 34 ares.

Ou pst surtout dans leu villes qu'il seraitfuite de rerueillir ce1 engrais liquide et delé mettre à teSs bas prix a la disposition dag

,. 'gololesant Osut la à 110101,(2,1,111 énorme perte due à. l'insonciabeed

L utilisation ne l'urine humai., des eauxdes egouts et des quantité, d'autres engraisproduits dans les villes, devrait se faire deeoneert M'OC lot grandes entreprises de de-.

ent. Ces eograis serment (selles àtransporter à prode frais dans dos baUaux-citernes, par les canaux qui siliennent laFrance em tous sent jusque sur les terres. . s a II I IT

L'eau provenant de l'entretien de la féruede pOrntnes de terre, les eaux résiduaires desuSines S gaz, ires dalles en ammoniaque,sont eneore au nombre des engrais liquidestes plus précieux o aes eaux saint. rarementutilisées conne elles pourraient l'etre.

Neus voyons par ce qui précède que tous,mais absolument tous les déchets et excré-ments jetas dans nos rivières, pourraientmirvir à augmenter considérablement la ri-chesse nationale.

Charles IIUTGEERTS,

La Se

tornoris nÉnicniALes

*lote, HitiLLITLT, TETEurEENËE.eutoolorr.TLEB,

00E50055,C00E5enCANTAL,LOT-EL-GARONNE,

cEES,LOT,HAUTESTIVIdelE119,Uines, TERE-ET-OARONN

ApssmoTERÊTUEs,

ARIÊGIS,

TOULOUSE

Ans, ILIUTE-GARONNE.

I r

Comme il fallait sly .attendre, lo surarbi-tres désignes par le Gouvernement pourtranche, le différend qui, depuis 15 jours,mettait aux pris. la Compagnie des Messa-geries Maritimes et ses équipages, ont don-né toTt aux insurits. Ces messieurs ont renduune sentence aux termes de lequelle ils pro-clament que les grévistes ne sont pas fondésD soutenir qu'en raison du renie/se...lentdes vivres et du loyer H est indispensebled'augmenter le taux des salaires. Ce gni re-vient à dire qu'aux yeux de, trois auguresqui distribuent la justice en tranches sdmoyennant une forte rémunération, à la)uir suprâme ou au Conseil d'Etat, les 'vic-times de l'aceaparement des denrées ah-mentaires sont les pauvres actionnaires desCornnagnies Maritime&mii reçoivent de SE-UL des prunes de plusieurs millions et qui,d'aullie part, exploit.t les passagers et lesmatelots.

Mais aussi c'est bien fait pour les inscritsmaritimes. A n'oins quo ce ne soit pourmontrer mie fois ne plus que recourir àl'arbitrage équivaut pour les ouvricm à vou-loir jouer bénévolement le rôle de dopesje me demande par mite de quelle aberra-tion d'esprit, ils ont eu l'idée de faire solu-tionner le conflit par nism tiers Le simpleraisonnement suffit à prouver qu'il est Mi-passibte que des magistrats do l'enverguredes BVUU121-11, Boutes autres Saincère.puisse,ost désferidre au nom do le plus élé-mentaire équité, les droits des trayant...!

Ces messie°ru exercent la profession dejuges à tout faire. Bien payés par la bour-geoisie, ils ont au nioins los reconualsmneedu ventre et oui ne saurait Leur en faire unOriel. Mais ce qui est certain, c'est qu'il serajl101011On aprros flotte nouvelle expérience.ans apôtres de l'arbitrage obligatoire deconvaincre les mlaries de la bonne qualitéde leur marchandise.

s'ePrès de Béthune, dans les mines de la Cla-

rence, le grisou a semé l'épouvante et lamort. Line soixantaine de mineurs ont étéLu.. Les bi.simn sont nombreux et toute :acontnée est plongée dans lu désolation. 3,1.

Jean Dupuy, ministre des Travaux publias,Ce venu upporler me familles des sinis-tres les condoléances du gouvernement da!a République. Certes, il importe peu muITIEPELI e'dorés des viatimes qu'un person-nage de haute envergure. aienue verser desnes.. , ceocomms sur les cercueils desouvriers morts à la peine, mais il est permisde constater que dans notre état demoorati-que, il faut eu moins La visite d'un souve-rain pour que le parhyderme de l'Elysée sedôrarfg, Car catastrophe aumi terrible queselle des mines de la Carence n'est pas pourle Fallières du toupiiton un événement sen-sationnel et Les mineurs sont de trop petitesgens peur que noire Guignol national com-patisse à Loandostleur. -

Remarquezjoug

dans les pays voisins quisu bissent Le tyrannique do la mOna,Chie, les. LinpereUrs et lev Rois se font undevoir, dans des oiroenstances analogues, dese rendre car les lieux du sinistre. Récem-ment, ie roi Gemmes d'Angleterre tint S des-cendre dans une mine incendiée et le roid'Italie et l'empereur dAllesnagne lui-marna,

l'occasion d'Ovéner.nts douloureux, n'hé-sitèrent pas ti so rendre immédiatement au-près de /eues sujets éprouvés par le mal-heur.

Au fond, ce qui est triste, c'est que lmCompagnies miniares puissent impunémentivie s un, serin le maximum de rende-ment, sans être tenues à prendre dame ma

. toutes los mesures capable,diens/d:ober une catastrophe de se preduire.Déjà, le 8 janvier dernier, un incendie cé-tol', déclaré dans la mine. On savait que lefeu couvait dans une veine Ires grisofinuseet le Conseil d- adminieration n'a au saunepensée : reprendre au .plus vite l'extractiondu °herbes Les travaux indispensables pourassurer la sécurité nes mineurs Mont pasMe exécutés. Pour augnesnter leurs divi-dendes, les actionnaires ont préféré courirle risque d'une catastrophe. Aujourd'hui, ilsdoivent ('Ire satiefeits.

esLes travailleurs anglais, tiennent à New-

port, Leur talie Congres annuel. A ces essises

'uvrièesv, près de 000 délégués repres .ent1

plus de deux milli.s cladisérents aux orga-nisations corporatives de la Grande Breta-gne. El nsarne pour le capitalisme anglais, leCongrès de Nesvport est un fait d'une ex-trème importance qui, dans la grande pressed'information passe au premier plan do Far-tualité. C'est qu'en effet, il est incontestableque /esprit. du VIEW: Trado,enionismeglais s'est .nsiblement modifié au coure deces dernières années. Ce n'est plus !a mé-thode corporatiste qui est rn honneursein des organisations ouvrières anglaises.SiaM le syndicalisme anglais est animé d'unlare souffle socialiste et révolutionnaire.Le prolétariat anglais ne lutte plus contreIn capitalisme sur le terrain meule du capi-talisme, il ne veut plus que son action cor-porative soit la plaie copie de lactiot de,groins...te patronaux o il s'organise surdes bases notuvelles et rompt, bien plus pours'émanciper Sue sOrt action directe que surles !ois Idioties par la bourgeoisie. La grèvegénérale est considérée par les syndiquéscomme un excellent moyen de combat, et Irefédérations de métiers qui .fretlennent desrivalités mesquines et qui créent une sorted'aristocratie ouvrière se transforment peuS peu en fédérations d'industrie qui déve-loppent dans te monde du travail l'espritsolinariste it ln conscience de duos.

Les grands conflits qui, oes temps der-niers, ont ,bouleversd l'Angleterre, prouventsurabondam,ment qu'au merveilleux tempé-ra... d'organisation qui caractérise lestravailleurs de ta Grando-Brelagne, est venus'ajouter un stimulant précieux l'activitérévolutionnaire.

.4.

Si nous n'étions fixés depuis longtemps

lice, le dernier avatar qui, une fois de plus,. ...au, nouS

completemein On connaît les faits. Lon pseu-do-c.ourtier 3. la solde ide la gaieté généralea vendu aux camelots de l'Action Fronçai.

Dans l'affaire, nos adversaires royalistesont trouve leur consiste. En effet, la Police apous,6 l'amabilité jusqu'à lour vendre 27 fr.,les arases qu'elle avait achetees b 02. Il estvrai qu'elle espérait grâce S. son agent pro-vocateur. echafauder un complot on lesprincipaux propagandistes du nationalismeintégral auraient MS impliqués. De la sorte,on se

ntsdébarrassait de quelques hommes g..3-

niapour le regime et on sauvait icetle'prostituée de République bosirgeolse. 01 y aUngtemps que Marianne, grâce la vigil.-ce nes politiciens radicaux. n'a pas échappé

quelquo danger sêrieux et vraiment le he-SOin m fait, sentis. de rehausser le prestigequelque peu tombé en désuétude ide la Ré-ptiblque des Clemenceau et des Briand.

1/11STA08Illit; SbIl°'aÉafbsltll StriA

BAU ARD ACES

La Tenue, qu'il fera...A dé fout d'autres, cklée m'est vmie, ce mar

tin, daller intereleirer le Temps. Comment miepels-ie a m'esta., bien amuis strie. cotai qatmn Medi dire où je le trouvais. Car les ,chloraconfrercs » n'auraient qu'a mc chopper. Id

r098 je peux eetier, c'est qu'apr,s osaitau saut du te conefigé ma montre, je crus posevoir, satih auEt c'est ce que je fis.

Le bonhomme, comme un 00w an tait, n'estplie de première jetmesse. Et jc le !roumi Meuse

depuis la derniele fois. Aussi erse-je de-voIr

'1"Z:te idie:Ce','Iusi dis-je en m'incessant,les humains sont désoids el Us me depdehentauprès de ro. peur duale ce qu'ils avisent endcora eraittire ou .,er...Erer de IMreLe pou,.en tremide pou, sa rdroUe. L'ouvrierredoute ta des chers O El le fuit la pd-dheur. Le bourgeois ihrotore les s nalée de savillégiature, car «4.11 dosa les Alpe, si laneige e. fee landBi que Iouler eu,4ei0.telui interdisait les teins embaumer.. Pmees-vosesque nos jolies s plegeBies » vo. pi:inhumerontInsinuas d'empacher l'exhibition de +eues deriiiers

cotionLs ? Ballet fut mau.,neld.sur vas On-- et Août nausë,berid. Que nous easetoes-

vous. bon Pian, «tee tienterribre ? Je voici le es'Sourde o biea des fois des gens ont mutilasseà mon oreille rne fait pad un riche .isaipsEn., nous fouclid ? Ou bien en,core , Le Tenrps se geite. Seriez-vides ad-ieux ?

Le Temps ne parlait pas. El le soleil &ait siterne au-dessus di sa tele 00,05 apparaesail cmn-nie une areeiglide pf.yre«.( du Sioux pe,, à bar-be blanche. Cependant, comme feus parlé, souelaree perla au bord de tes 7/...1, aans 13,

tandis eteitte Se peadult en ses 'dile,bics, une pluie dilizokmne 15100051 IcaParie un 5e5f0514 souPés mgdeps sa p .

muette,Ilit fonet de Moreau accourt avec furie

Le plus terrible dm enrewsQue l'Ouest juse,tie-la ons porté dans se flancs..

Le Temps s'obstinuit 055e ers parler.Or, ;e compris gide n'y avait dacidament

à faire.Et comme je

Et le 7,esPuis ci.Temps,

net,- 1051,0r5 le nième, grot,en empochanm ma galette.

EI, rus fun d, com,ale, c'est la seule 1,1,,cfs!.re quel me suit permis de rapptetee 0 Metcontemporains...

L. D.

LES 0101IGHANDS DE LA PCLIGE

Paris, 7 septembre.La préfecture de police conimuniqus ce

matin la note suivante relative à l'incidentsoulevé pue le nomme, Michaux. 005 Leidneuil

e De ienqufile ordonner) par M. 1,, MOI:E-tre 0e Pinterieur, il revaille que Id. Borde,cOminiSeFairo do malice dl quartier; da Fau-bourg-Montmartre, Sn ami pas sansla cou,nabis) de prieneationt mais qu'il Mat Mepruden.ent laissé mystifier.

e II a dant.. part commis la fauta de nepas avoir prdvenu ses chefs des pourparlersVans lesquels il s'est engage.

In 511 conséquence, le préfet de police Tefrappé do quinze jou50 do sustianaian de trasfiaient et a fléchie sun dépl.eigent dons unintérêt de .rstice.

C'est donc un aveu. Il est etabli, nar lanote qui précède que le « fait Veemoilest exaet., q, St Em des a eu mu, sam-e/lard Verneuil ot lui a fait vendra egons et flingots » à l'Artiou Fasses,' a. iltahce qu'il importe de connaître. La preade police et le gen...sent VO.t.TI tt,

dégager. frappent Bordes, maisliard-me:dniais l'affaira Men o... pas :5.'13 d ,its.de mvoir daburd M Berl,'o oui e o d etnui vient Métre cor lm élifficiel ce laissera feire 0c05t à ne', ,n,,savons bien que la respewaldlilé g ,ver-nomentale et préfectorale sont lasonedétatifies. C'est ce qui éclatera bientliô.

C'est du promet

M. hein contra la LÉIl y huit jours, je me plaçais au point

de vue de la loi de Initki et je montrais 'ffindiapres les textes, d'apnès la j11/,:tOltdeacdtoute poursuite était iinpoesible contre lminstituteurs. Sans douce, il est Loisible asouverneruest dfixiiiieer néanmoins une ai.

lion publique. Le Parquet al tenu dc hoobéir. Mais lorsque la qu+,11,.n ,rn jugéeen droit, on ne pourra 15mo',', o, us, po.condamner les dirigeants et da sir, ii-. 10

Syndicat, faune qu en réalitéest une assOCiation smuitiee ,t,la loi de 1001. 'Un camarade ni, de., .

préciser el de recheacher si au point de vuedois Loi de 1901, il ne serait pas an rale cletaquiner les organisations adhérentes oFéühretion. Je réponds sens Sé,ilatnuln ; oies/impossible. Supposons que le Congrès deClsarribery ait fait noie Mantipetriatisinestmoostats Mame 50: o! ail foie nie une gr,a-ve il serait impsoilils ilimouere la Fé-dération et pouru d'atitrtittttnlion et à. la sic ''oc les daiegés ert Con-gris. On ne peul, s'en prendre 0,500050000pour un acte accompli par la Fédération.

Mais dans liefnt ,

peut-on en v.ertis de la loi de 1901 contes LI

Le peuple est républicain, oies un fait iasame contestable, ruais son enthousia me pour laCorme do gouvernement décro t. de jour enjour. Le prolétariat n'oublie pl que la Réspublique a MA pour lui une marâtre sangui-naire. Révocations, persécutions, fusillades,Seul a été bon pour briser ses o ganisations -syndicalistes. Et c'est parce que le peuplebonde la République, que nos 'bourgeois di-rigeants essaient de se refaire une virginitéen se posant én sauveurs du régime.

Mais cette fois-ci leur fumisterie fait longfeu. Comme dans l'affaire llétivier, le poli-cier est démasqué par las induite,o de laa Guerre Sociate Monition, Bordes, Lépineen sont pour leurs frais d'imarineti. etcomme toujours, leur zèle inintelligent aservi à déconsidérer le régirue en 1z-0,1.inque le mouchardage était désormais élevé 3la hauteur d'une institution nationale.

TLOOLITTELL=LITS

Colonies /soir' 20 fr.

roser Oie. 18 fr. 36 fr.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: TLOOLITTELL=LITS TOULOUSE La Se Repu**images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101... · 2010-03-05 · ADMINISTRATION & RÉDACTION 38, Rue Roquelaine T011liOUSE alalseonem043

Fedaratiou elle-memc ? Il laidJour la dissoudre que la .Fecno, . ete fondée sur Une cause ou en Vue d-Lm objetfillette, contraire aux lois, aux bannesthoron': nu qu'elle Pur '' pour but de porteratteinte à IiintOgr ,ltoire nationalet b la forme m du gouverne-ment Ce+ I français que

f etre d dmin . .aticerts-I hie exemple

mission(`.1. eut déviant

utif, elle dirige..cction franches

sur ce peut. ;

» r r ar le texte nem° dedes déclarations trà, précise,

de Cl. /apporteur de la lm devantla (M'imbu.

n est do. bien certain quo la Férdaratiendes int° 'Leurs est eMièrement b l'abris detoute. . ...nec. gouvernementales. Kunbut pas douter un but eeponatif

s use que suit rinterpreationah ne peut ôtre

m la propagandel'objet de l'As.-

. ile semmis

en p.-sibe les Syn-dic: inatta-que'

Est que le gouvernement Samar-ie ? o tri:prenne pas les poursuitesarmai.. ?iullement ; ocra déjà poursuivien MM Rien n'empècbe de poursuivre uneseconde fois. Mais l'issue du procès ne peutêtre douteuse : roche° complet du gouver-nement sera l'aboutissement cerLain do tou-tes les menaces déjà faites. Dos sancttonsdisciplinaires, quoique fort difficiles, sontseules possibles pratiquement ; car l'arbi-traire en madère admInistrative est beau-coup plus facile qu'en toute aut. maties,.Le Conseil ddlul. cependant, est d'une im-partialité assez st .de ci ne subit que fortpeu Fieluence gouvernement. Aussi noscamarades instituteurs peuvent-ils bord,-meut insister. Ils ont le droit pour euer Us'ily a des juges eu Ire or,?, ils auront raison.

Paul RAMADIER,

ME GOIlisERNEMENT CONTRE LA LA1QUE

A

Les illsttlienrs SyndirgisGUIST'llAU SEVIRA

Purim 7 septembre.Le é Matin » put voir, à l'issue du con-

seil des mi/liens hi, Guistildu, qui lui adeare

En conformité do la décision du con-seil, hiouivoie inunédratenent aore préfetskme cté:pêche pour leur renouveler mes Ms-blutions.

e Que tee syndicats, d'instituteurs ne di-lent pas qu'O. leur et impassible de pren-ro on ce moule une resohnion parce quea plupart de leurs adhérents sont ta mi-asme,

Les evadi.to d'a M'imbibais EL dos Len-a,ie viennent de sa dis.urffe, à Ion majoritéMs bous tiers; les autres dansant en, faireautant ayant le 10 octobre.

Paaad ce délai, ja ne puis que répétermu la question sera du ressort des tribu.nouent e

COURAGEUSES DECLARATIONSD'UN SYNDICALLSTR

Tournon, 7 septembre.A Tournon, le élimée Léger, ancien se,

grétaimiétieral des syndicats emsbiLutourr,déclare que la .idisout manifestation an-timilitariste de Cb.ibény s'est qu'un .pré-texte neutre les syndicats d'institueu.,

Le genveruemen, dit-il, soit parfaite-Mont à quoi s'en tenir; on réalité, leS pour-suites actuelles sont motivées per ele, rai-sons autrement plus grayre que cette his-toire du Sou du Sede.

Le gouvernement attendait depuis long-temps . prétexte, bon ou mauve., pour sevtinger de cetains bu rune retentissants etpour der.iro nos organisations, dent lesprogrès rapides commençaient à effrayerl'administration.

En deus ans, en effet, nous avons triplémigre effectid; c'est à ce moment que le gou-vernement veut aouo détruire?

« Trop tard! Personne ne nous empaele-ma de renouveler quand il faudra une mani-festation de sympathie à l'égard de la C. G.T., des inscrite ars grève, de le presse se-tiersbe et syndicaliste.

e Nous voulons user à notre gré de toUT1106 done do eitovens.

Eu cos 43 dissolution de nos svadeats.nous pense. les reconstituer. sotie formed'ess.rations régies par !a lei de /ND.

Fe hemllant bans CCM, en utilisantnos bulleti. syndicaux, Pons edftruled0uSnotre force. +

Paris, 7 septembre.Le sieur Cbalapin, secrétaire clu Syndicat

de la Seine, duit dans la a Bataillé Syndi-caliste

v Comme il fallait s'y attend., le nul rie.nous refuse tout sursis, et après le

10 septeralere, ainsi que nous lu dit genti-rafiot il. rie Lauessan, les procureurs da laRepu:nig,rue outreront ni mouvement coutreles shmehmits rebelles.

A cotte heureuse nouvelle, tous nos en-nemie, sont en joie.

a Off en Se/unie-Umm exactement? C'esdassez facite à le déterminer, il nie semble.

La Fédération des syndicats n'a rieneliSeQU.S,

ote sitint, fle ee conformeraux ordrvr ministériels

a Quant aux autres, ils ne semblent guèreen voie dg souinis,ien.

FEUILLETON DE 6 nZTITIVéligito: 1912 52

ereiliudoehmeogPar Louis LETAING

Eu raison du manque absolu d'air etdo la couche de sable sec qui entouraitle cercueil de Monne, la decorupositionhuillide ne s'était p. produite. Le cada-vre flétan lentèment mongiNé. Et Pou di,-Raguait nettement les traits si fins et sicaractérisés de la princesse Batsylg etetitIS tee longs alla noirs, la place despcands yeux mangés. et qui semblaientclos. Le col délicat ei mince, où les doigtsa l'assassin avaient fait dur taches brrr.

' au milieu des -vêtementsviol.ence nuvre mur-

d'or' du COVier de Clecuemré.. la Iman jaunie nu cercle

nha genoux les uminsac un aiment dechirant

1... C'est donc ainsii enfants devaient temieinfOrtonee, à mata

bie111pe, d'elle, Armand Sorel

loucement et lui disait delu'sonsolation.

murmura à l'oreille

alles counaiLre Vairs

irerebq ann joue.tis qat' n'ordibitif. Crinaaaa mirs, &firme,

i.Ronebes-dueRhéne, I',Savoie, to Mame-et-Loir,

s comptant un nombre de,,al, c'est une -attitude digne

ot tido° qui est adoptée; et derrière noue,en dépit des henteust, catemnies. nous sen-te., l'appui de toute la classe erreur are.

e Testeurs tee bons républicains, Il n'estper l'heure dei chester eicore vidoirs. »

L'INDECISION DANS LE ANONELyon, 7 sep... e.

Le Syndinat des instauteurs s'est réuni àla Bourse du travail.

A l'issue de cette le.ron, l'ordre dujour suivant a été communiqué

Les instituteurs symliqués pre,sernis iLyot, convoqués en réunion extraordi.irepar leur Pureau ai, pressdo par calui-ei dedorme une réponse b l'ultimatum du préslet au sujet de la disseution de tour é'Yn-clideat, ont delibrini sur la va:Mite de ladécision la prendre, vu leur petit nombre.

Après trois votes eumes.sifs à bultettussecret., les toix s'elaut chaque fois exacte-ment partagées entre ler partisans devalidité et canne de la non-validite, le pré-sedee s'étant, d'anise pari. refusé à fairecontraitee son vote oeur tle pas faire la-bey nases. gréponder.te, les membreo dubureau demssioneent et remettent à I os-usrseblea générale du o ocstobre le sein denommer sur nouveau bureau ride prendreune décision définitive.

d /User° elle Rhône, dans

La Mn IturitièreTRAVAUX SINISTRES

Béthune, 7 septembre.De, équipes douvniers u sont

Ouate la mut au fond pour continuer à éle-ver dos barrages clans le, gaderies où sefont des retours, d'air, afin donner uneventilation maillet..

Les trois caria-ares qui °Laient restés auCoud hier ont été remontée ce matin_

Ils ont sis reconnus par de parents àPou &erre de Weemend,

Ires efforts mut maintenant portés sur larégias du couchant, dans laque° se sontproduits de sérieux éboulements et oh sontensevelis dense mineurs,

lOo,terA toute la bonne volonté, il est isa-iuoaaeiilq travailleurs do s'avancer bpi.o 180 mètres dans ceite galerie en radon

de l'épaisons fumée qui y règne.Leu mauve.rn, munis d l'appareil peu-

vent seuls s'aventures plus avant et aller850 mettesD'autres hommes, I. mains garelititt d,

gaMs en caoutehoue, sont occupes à dépe-cer les cadavres des chevaux eu putréfac-tion qui ra trouvent dans les galeries.

Les lalmoés, qui sent dans les ladigit-aux,vont aussi bien mie pe.ible et, à moins docomplication:, en Os»re maintenant pou-voir tom les sauves., sauf un jeune galibol.qui n'a plain sa connaissance depuis de.jours.

M. Weiss, ingénieur de /list, â qui nousdemandions a la sortie du cimetière de Di-vins eit ...errait toujours l'espoir de mo-ttons-m. des vivants, .us répondit

Ciao. j'espère eucore; 'toast qu'ou n'aurapas visite toutes les galeries, tant qu'on n'aura pas fouilé toue mu points de taille, i,ifest pas permis de diree que tout eepoirest perdu.

Derriére les ,tboulements qui se produisi-rent p.veut encore se treuve dee odvriemvivants. »

LB GOUFFRE REND SES mannesLille. 7 septembre,

line nouvelle descente a été faite dansPaprée-midi.; eZe a permis de retrouver etde remonter une dizaine de cadavrm.

On a, également dégage dma bowettes dmcadavres de chevaux qui les encombraientet menacuient do contribuer â la borne-tion de l'air.

LES CONDOLDANCESLe rai d'Italie elle président de la Gon-

fédératim suisue ont exprimé par tétegeam-au président de la République leurs, se,

doliances à Pocca.sion de la tatastrophe dela Clarence.

L'ambassadeur de Turquie, le ministre deSuede Otto ministre de Belgique. sont venusapportes au président du cossel les core,gemmes de leur gouvernement.LA C. G. T. AUX OBSEQUES DES VICTIMES

Béthune, 7 septembre.A. obsèques des mineurs qui ont en lien

hier matin à Geonne-Ricoeart, 4.nuoulin,délégué do la C. G. T. a prononce un dis-cours contre les Compagnies, la capiteismcet legouvernement.

GalindaY, secret.me général do la pré-fecture, qui venait do prend. la Parole,s'est retire ..itôt 00e protester contre lelangage du délégua de la C. G. '1'.

Pauvre homme! Lt quel malheur 1

Au Fond de la Selne,UNE CURIBUSli 1,1XPIfftlEXUE

Paris. 7 .pimidee.Hler aprûsonnii, en présence d, al, Volnay, re-

présentas: le préfet de police et des nàadeoeOu jury du couoiurs Lépine, 111, Cernes a °sassépour la .00n.do fois l'appareil do ura invenhonqui lut pormee de rester d. unn eartable profon-deur eue reau.

Calle nouvelle experimoe a eu lieu en amontdu pont Alesamirc-Ill

L'appareil est ufrenemut eompose nrg em-bouchoir qui prend l'air au moreu d'un ebbe dece-catchai. relié 1 une simple pompe de bluY-Teldo.

A e heures, dl, Cernes, complètement 11 Calé.daant 5 la main un poids de sept kilogrammesloi permettant de rester as fond de la SKare, selaisse esse- da.. fond,

11 a parmunu trente mètres environ, Clresté huit minutes .us Peau,

Le jury a trouve l'experrew, cone-nul,.

prése.e... A la faveur du désordre quisa se produire, j'agirais.

Randolph répondit par un signe d'in-tellagence.

Puis à haute voix tMessieurs, que signifient ces recta,-

elt. et CeS feuilles ?... De quel droit dies,vous au elle...au de Rochegriao au milieude la nuit et agi.ez-vous comme ai vousétiez les maitres de céans ?

Ces protes, jetées au milieu d'une si-tuation dramatique par elle-rnémo, hou-levereérent toutes les personnes qui en-touraient la tombe révélée de la princesseimbue.

Julee Thiereelin se retourna brusque-ment et fut en lace de lord Holley.

Ode quel droit y êtes-vou, vous-me-m° ? aveu une surprise pionnrde colàse.

Randolph toisa dédaigneusement lejeune homme qui lui parlait,

Qu'est-. ? avec vus flegme bri-tannique lié 1 mais, si je m'abuse,c'esF, le coiffeur de la duchesse de Val-breuse qui me parle ?... Saint-Quentin ?...Muscadin ?... Gomment cela re dit-il 1

D'un geste de suprême impertinence,il campa son monocle sou, l'arcade cour-e/Ume gauche el marut eo.ideser av.Cusinsite 1 evisase rouge de colère dujeune rédacteur ell Mission extraOrdi-naire.

Pour uu peu, tnicrtmlin lui cuit sauteau collet, des m eneussse pse.ererit Outse rappeler à ' Clavediplomate

ans 1s BalkausL'ATTITUDE PZ LA SERBIE

Delgrado, 7 septembreDes télégramme, signalent de nouveaux mas-

sacres de tierbes à Memnon, le pillage eu graingdes mai.ne et des propriétés, ainsi oneno"prise des hostilités mn la frontière turoo-mouni-reelne.

Les jourtraux pumien1 les récits le sodries horsle district dg Brant lui récemment le

Quatorae villeg. serbes, avee sept, cents mai-

'opiseux_Mrtscutéis'S'emrtr.'ele'','Y'arecOMberr'ele''l'eti fenians.Me enfants, .ralent péri, soit due /es combes,sou dan, les massacres.

Des lemmes curent les soins are.hes, des efrSala miles furent mutilée d'une façon ignoble.

Dr.. mille ne:sennes sont refuglées sur le .0aritoire monlendgrin.

L'opinion Intbli4118 s'émeut beaumsup.Den hommes politiques Mhésitent pas O décla-

re, nec Serbes et Bulgares sont un seul et mêmepeuple et doivent moto, leurs forces en cornai..

On no veut phd entendre parler du statu quon, respect.. peur satisfaire le paeldeme des

puissances.Le 1TALIMN BLESSE CONSPANTI0P1,17

Consfintinesple, 7 septembre.Les agents de police out tire, cotte Mitite der55

usasse de Para, sur un italien elnesme (idet.rae,parc° qu'il refusait d'obtempérer 5 leurs ordres.

Il pits êta Mn mais simplement blessé,11 a Été transporté à nbôpitalGen.° e déjà subi une condamnation pour un

dee ce avait ête expulsé, merns avant l'expul-sion générale des Italiens. 11 Cu.

k Consaantinopie, grâce, un passe-'pet franç..,

LAlittvolfrE ALBANAISEGoulart 7 seplentbre.

Issa Bolatiue a renvoyé tous Ica fonclionnalmsSe Pierre L'a et al a alésé le vah queadmstrera IdemmeA teck us attenta:. a 055 commis pestas le es_

envers dIs nuances, qui 00.0 blesseSalonique, 7 septembre,

cootil-Seiteliri-Paella a été nommé prdsidect duconseil de guerre de Ketchsu.

Il O rem des instar/Yens très sévems, le ré-sultat de la première enquête n'ayant. pas rHsatisfals.t.

individu, revêtu de Puirorme turc et per.more d'une mathas infernale, unie 61.00 mor-tellement par une sentinelle, sur la ligne du usemu de fer, près de Karst Mi,

DANS LE GUÊPIER

Vers hiarrakechLA MAFIOSO Stift MARRAKECH

Caisaielnu., 7 septembre.Le, troupes qui marchent sur Marrakech

ont. formé deux eolonner.Eee.:, comptent e'rlver aujourd'hui de-

art. la ville.LA MAURE DES coLorwss

Casablema, 7 septembre.La celone° Pondeat poursuit sa recon-

widsmuce.La colonne u opéré quelques opérations

nepreselvee contra 1,r- tribus qui ont prisHari 4 l'attaque du 4 °entre La colemd Man-gin.L'OCCUPATION DE SAFI ET7JE DIOGADOR

tuaablian., 7 septembre.Les deux premières compasaiie du batail-

lon du Se zo.ves dirigéen sur la côte Sudou,. ...mue à Set.

Les bialeoens assistaient en très g.nsdnombre au d:Mari:peinent.

Les dem compagnies de zouaves ont im-médiatement enduire IO babor de la policelocale et co.tituont, dit uue note officiel.,une force très suffisante pour assurer lemaintien complet de l'ordre dans la ville.

Les deux autres composai. du Se batail-lon doivent débarquer aujourd'hui à Mo-gado,

.1,15 REVENANTGesablanca, 7 septembre.

Ou annonce quo l'ancien sultan Abd-el-:nez est. parti do Tanger à .dostination doCasablanca.

Les bruite les plus se.ationnela ont étéaussitôt mis eu erculabien.

Déjà, on voyait Abd-oL-Azis prenant lalace de filoulni-oume.La réa-lité serait plus terre à terre.L'ansever sultan viendrait seulement ré-

gler Ms questions d'intérêt personne.Off NEGOCIE

Saint-Sebutico, 7 septembre.Garcia Prieto a conféré, cc matin, avec

le délégué espagnol. oranges deGerhina,

sujeut de lu contribution douamèse

D côté français, tut attend lote.ru duerenseignements complimentais. de Paris.

Il mt. Mosan quo les négociations soientsuspendue le prop. des Incidents de Mo-gador te do Mazages., car le fuit. quo le CO,sui d'Espagne à Mogador ait été KepeteSaint-Sébastien pour clona. des expires-/Ione au miniere d'Iltat est considéré com-me ane première satisfaction à la France.

Après avoir exarenk le cas de Id. de Ses-tos, In miniere des affadi.on étrennerca au-rait dans l'avis que le consul doit Meachue" de .p.tei da. Pintera des bonnesrelations avec la Franco. (Agence 0:11-Melte

QUOI DE VRAI?Madrid, 7 septembre.

Le Libéral », priant des pourparlersraimo-espegueLs, dédia. qiign se prôna.

' signer un accord dia/radie et de solidaritédard des conditions saus précédent.

E avec un° superbe ironie de-vant 10 lord

Votre Grâce a mauvade inesnOirnDudq.0 elle s'.t Inqundee une prennes°foi, de mon humble nom, j'oserai luirappeler qu'on m'appelle tout simple-ment Florentin, pi, n nteme temps, quejO sui, duit pays on les plus modestescitoyen, trouvent dans leur propre fonds,parfois, IP, moyens, de vainire tnr It'im-parte quel terrain les niunds et les puis-Seita de la tenu, fussent-ils d'Outre-Manche la. Sans vou, offenser, milord !...

11e ! hé ! de l'insolence. Fort bien,mais je n'el pas affaire à vous, mou 2 ar-tiOn.

Su détournant ayee une aisance quicachait b merveille, d'aille.,' une se ri-te sage, Randolph inpterella 111. Blache,le commissaire.

C'est à vous que id ferai mes oh..vations, monsieur. N'ai,je pas, eateududire que N'Otto apparteniez à la poli. lo-

ale ?J'ai cet honueun nmusieur.Bien. V b + la/ connais-

sez doue Im

.

onsieus.moins quetout autre. 0: . " i's éte,-vous

iutteduit, mmoil,nn, d. madame laMarquise d Y no subtile que la

nans mandat!mer du bons'

sire de la en,mu !. . de la IMduo ed ordinaire, savez-. ta

4W377127128SIMIMIZZ[14121/10$2111PMAIN.0879S00156...

Le jetir.1 Mt qu'il faut examiner la réa-lité telle qu'elle est. IL émue. que Igtatd'esprit spi anime les reteinta entre les°doyens des deus nations qui vont se par-tager l'influera° sur l'empire marocain estactuellet.nt aussi anormal quo regrettableet il craint que les Francais et les Led-gnes résidant au Maroc centinuent à vivredan, rue opposition ...ante. Des que-relle, os. dmo discordes sans fin nous atten-dent pirsuit le Libéral », si avant la si-nature du trad., des précautions no sont

di'alt prises, soit dans ic texte netne du trai-té. soit dans une clauso additionnelle et eridsu ternies qui ne laissent araçun doutepour établir un resemo t l'égard des proté-gés qui sont la cause de /a plupart des di,oordes actuelles Puisque le danger est con-nu, conclut le, journal on doit, I &rite, etno pas signer raccord sans âtre indu staro.mie les Francais et les Espagnols an Marocne vont pas continuer à se considérer com-me Osa ennemis acharnes.

A L'ETRANGER110NORIE,

La Réforme électoraleLe comte Tissa publie tiwrtS ra en-sue,

article sur la réforme É...dorer et se ditparti.n don système qui exige connue Mn-diltion du droit do vote le cerliii.t de fré-quentation de ria anneee d'école primai.et I afro de 30 ans. D'après sou système, lenonee dest.électeurs augmenterait de plusde frO p. cen

PORTUGAL

Le Portugal et le VaticanLa nouvelle d'après laquelle 800 prêtreS

portugais auraient reconnu. Is république etecepte les germions offertev par le s.v.,liement, malgré les avis du Saint-Siège, pro-duit au Vati.n une impression désastreu-se.

Lo patriarche de Lisbonne avait envoyéune intormation d après laquelle mue .partiedu clergé était disposé à accepter les offresdu gouvernement, mais on ne supposait pasque les pet.s de.héissant au Saint-Siègeauraient été si nombreuxPL'Observatore Romano a elle Cernera

organms officieux du Vatican, pu-blient des notes strganati.st la conduite deean metsau et donnant à entendre qu'ils se-raient sous peu suspendu, par les évêques.ITALIE ,

Uns Etrange PhénomèneLrr *rampa phénumeac a êtê constaté na

l'hôpital de Vesou et a. donné lieu à devives controvesae entra les médeced decelte umile, Un enfant da neuf arm, es traite-ment daim cet établissement, uoouao de res-pires, tandru que les fonctions cardiaquesétaient maintenues.

Les noekriim ayant constetti que lecontin.it à fonctionner, nrevoquèrent larespiration artificlolle. AprEs une demi-hea-ee d'essais infructueux, on eut Tee.c'u à lairaclntcmie. Chaque fois quo l'on suspen-dalt le procédé artificiel, l'amilavnie deve-nait complète, landau qu'a la suite-une aus-cultation attentive, on entendait le quientinueit à haire.Cette lutte contre la merl durs environ 18

heures, pendant 1.quellee les fonetions ducur nc emserent pas. Enfin la mort fit sonuvre.

LA LUTTE &MAULES TISSEURS IgE SAINT-ET/ERNE

Saint-Faim/ne, 7 .plembre.Les délégués administratifs de la Bourse

du Travail de Saint-Etienne, réunis cettenuit, ont à l'unanimité prononcé l'exclusiondu syndicat des tisseurs de l'administra-tion de la Bour. du Travail, en raison doson attitude dard le conflit avoo la muni-cipalité et de sa demande faite pour obte-nir le payement du traitement de son se-crétaire permanent.

Le syndioat des tissmirs compte der,u mi1-lo membres environ.

LA CRISE DE L'APPRENTISSAGEParis, 7 septembre

Coutant, député de ta Seine, vient d'a-dresser a lettro suivante au ministre durent:101U

hlo.ieur le Ministre,a j'ai inerme. de vous internam que dès

Ja rentrée des Chambrer, je vous dim.-dorai à Interpeller le gouveanement,bon MC..., campto prendre pour re-médiat' à la crise do l'appobutiesage, quicompromet gravement b esocioppeinerit C.mimique dU

Agréez,

La Cass 1912Le oentingont .1e12nisl ra omprrbo ainsi'e7

qu'il suit t

1. Le ler octobre ler homme affectés auxiroupo b cheval et les nomemu de toutesareum qui, ne Sema pas présentes devant.I, conseil de ses isiou, ont Ale déclarés bousabsnuts; 2. Les 8, 9 et 10 octobre, par seriesà peu pies égales, las homm00 ôtes autresarum.

Toiniteis, les je.. gens (mi ont Otelcânti, oomme. .utiens do famille .rontmin en route les derniers.

je m'eu flans.-- Taie Illitititti ptittr Vtitre Seigneu-

rie !...M'apprendr.o.vous ?Dita. foi 1 Mon Je suis ici en simple

spectateur et l'on y voit de, chomrs «mu-troxuent iatéressantes...

Cependant-1.4111a Maude/ph d'unton de menace.

Qui Mes-vous,. d'abord ?... réponditlsL Ifflachet en fronçant ses gros soureite.

Lord Randolph Belloy, duc d'Exeter,ex-lieutertantegéneal de Sa Gracieuse.Majesté ..gouvernement de Delhi.

Eh bien I lord Itandelph Holley, dued'Exoter, cx-licutenanL 01e Sa Gracieu.Majesté° ,je ne anis plus où vous avezdit, je n'ai pas I'llonnote de vous surs-net.. Je Mai à répondre mies proprié-taire de c:et immeuble, c'est-a-dire in ma-dame de Rochentrise. ou phitôt. earM'Oie que le chàleau miel appartient main-tenant en tti,tire sa fille. madame/a dues 'Valbreme. Serviteur, moufiTUT.Etri »Richet perla la main

eu manière de salut el.

.. dire ? c'est la prentelbf ..lt subalterne sm mot'

.ar, ferai revu.'aire.

le Cotir,cheveu,. nt /lailrdio

Un Cadavre d'un 11â

Paris, 7 septembre.Un sideide, remonte& prés d'un an et domlête daeouvert cet aprermldi au Perroux, nase

use vina isolée, mues, 55, avenue de Rosny.Les hakitand de cet. commune étaient intri-

14.0, dei mis plusieurs mots, par l'aspect aban-don+. due pavillon, appartenant 1 M. Jean-Charles Guignard vieillard de 71 ana, qat 00550lof seutAujourd'hui, ils prévinrent m .mmissaire de

polirn qui, aptds avoir fait ouvrir la porte parun :mesuriez', trouva le cadavre de M. Guignaitaffreusement décomposé, sur le In.

Les constatations faites par K. magiee,nl rois,papiers laissés par le défaut ont permB d'éta-blir quo la mort doit etre attribuée â un suicide,renionlant au 19 mars 5911.

En .ralson des circonstimess exceptionneleo dece dies et le domicile des parents de 5l,gen n'étant pas connus, lo corps a été trete-peso a la Morgue.

Voie dans patios cirmastances on a au.-vert le cadavre de di. Jean Admganau

Depuis le pigeonne de l'an deesier personnen'avait vu le vieillard, mals qn pesait qu'il s'e-t/sit retire dans un asIle. Cependant plusieurspersonnes eaeant présent.s'n pour acheter /a mai-son qu'un écriteau Indiquait comme vendre, etne sachant qui s'adresser. se .t'enellrent ace looommie.tro de police de 30inville. Celui-si, in-trigue, se rendit dons la ritai.o abandonnée. Unatroce spectacle l'attende dans la t'aile à man-ger. Pesa d'un poêle, dant !é tuyau avait été en-levé, Osait tm cadavre, ou p/utilt. un assemblaged'os, Une nnittitude de rats, sana MM.., cou-raient dans la salle, En évidence, os une tablevoisine, était plante une lettse dose mi feuilletavait cas rongé par los rats. Sur lus parties ja-botes, on pnr néanmoins lire quelqueu lignesdans lerqosues Jeta Goignisu disait, mie,prouvant, quo d'idephons et que peurs, 11 avaitdeolde d'en Unir Oisela vie.

-U Loo formidable

dLir.ille 7 septembre.Une auliomobite, duits laquelle avarient prie d'ace

IL Satibert, professeur de droit commercial de /afaculté Ihre de als.e.ille; 'Mme Jaubert, en femmeet les deux frères du professeur, MM. Aimé etGeorges Jaubert, avocats, a rd tamponnée parun troin sus la ligne du dimsn de fer de Salonla Arles à 5 kilomètres eneron de Fontvieille,

ee trouve un passage b niveau sans bar-

S'us le chou, IMsence fit explosion et la voi-ture prit 15mo.

stoppe auseildt et les voyageum mi-rent pied di terre

Co/ (spectacle eorritiant s'offrit b louré re-garde. Le chauffeur de l'autnobile a.vaitune jambo coup,05 qui gisait au milieu de laroute, tandis que son corps était resté sansFeue-tien Mme Jaube.ri portait tine affreusel'iodure à la tete. Ells avet cessé dre vivre. M.Jaubert avait a peitrine défoncée, 0/11 il TES-grait en.re. On le Hansporta haus me olivier.Là, tandis fille .ISS sauveteurs l'enue.Sale.11t au-tour des autres vionmes. H sortit de s0 poche,un revolver et tenta de se .icider. Cee serfithjuste à temps pour l'empêcher da mettre lesprojet à exéention.

Les esterado tont sur Ses lieux pour établiri'seespouecblt.tAa de er Iragique accident

el. Georges Jaubert ta la mienne veinai/ralebrisée. Son état est déeespéré. Suant b dl, Jau-bert lui-même, il a dite blessé dose dielevem.1sur Inue le corps,

Lrs blessés me ide Hausportés 1 l'hôpital

Les Champ-eue natglEMt

Besançon; 7 .ptembre,bitguettencs localités du département du

Quere personnes sont mort. r Mluephie Wopmonn, à Besançon; M. daeurev,hÔtetier et deux italiens, ses pe.ionnaires,à Colombier-Fontaine. Deux mares ouvriersitaliens qui avaient été malades semblenthors do danger. -

Naney., 7 septembre.Le manoeuvre Joseph Dend, fige do 5,9

domicilié à Neuves-Maise., près de Nancy,a Mé pris de vomissements pour avoir man-gé des champimerd véné... Il a été trans-porté dans nu état grave à FlieopitalNene-y.

Elbeuf, 7 septembre.A Erbeuf, un ouvrier débardeur, nommé

Buena Peyrou. et Marguerite Forestier,avea laquelle it vvait, ay.t mange dqechampignon, cueillis par euu dans les boisont w. empoisonnés.

Peyroux est mort à Mnospice d'Elbeuf.L'état de sen 000mo narguante Fouetter estdes plus Inquiétants.

Mets, 7 septembre.A la suite d'abemption de champignons,

uro journalter nommé L.tensre, habitantQualreveut, dans le °aubin de Longs n, asuccombé. Sa bmu est gravement meade.

Les Drames de la &hère -

Ugine (Savoie), 7 s'Op Leone,Au village entiginvir., aggromeation si-

tuée à quelques .ntaines de lettres dligine,venait demeurer, il y a quatre mois einvtronle rae.gu Jean Dreux, qui habitait Usiné010 ma trois aus,

M. Cie., II eue, était employé minimemanuvre dne,u ,une usine. Sa femme, Mar-the Besenvat 28 ans, était atteinte d'un malineurable, et elle ne pouvait se livrer ii an-ima travail. Ils avaient deux enfants, unepetite fille âgée de 2 ans et demie, et unpetit germen de 13 mois

Ge maties, vers ex heures, une voisine pas-sant devant la cuisine de la famille Cieux.con .donie sur une galerie, vit, colle mieearresux, uu chiffon de impies sur lequelétaient écrits. les mot, solvants n n Priere SI

.

uvait Ste nu 1110111ellt. 'ditOUpuée par laquerelle voulue de Randolpà et du com-mis,aire, se retournèrent aussitôt et vi-rent l'Anglais sec cl jmtue, qui s'étaitadroitement faufilé ju.meglà, penchécor la tombe béante.

-- Amen. ! cria Thiercolin.Mais sir dames, qui avait à la main

son couteau ouveii, trancha d'un seulgeste le collier convoité mil'enleva du coude la morte.

Ramassé nue lui-mémo, sa maigre teleenfoncée dans ers e.paules, avec seà pe-tits yeux perçants cherchant l'issue fa-vorable, il fut soi moment immobile, l'ob-jet, laité Seeré contre .n corps, puis ilbondit, échappa aux mains qm voulaient,le saisi, s'élança vers la porte qu'il eutle temps d'ouvrir et disparut.

Cour., CO/CU, arratoz-le !... oriaThieeelin en poussant Pag,ent de policesus le trace de l'Anglais. Ah f il me sem-

,. rattraperais se voleur si jedonner la chasse. 11é/às ! Luefaut que nous restions pour

un peu lourd et pm-ue, ombre lapidesi-lc d, sir James.

la flglre br011la bouche

. t\i. e,,,,,

1,iirLiter rhZ,Z, V' 'eebsotue de rentrer avant

peurés,,,,,,etula, l.edatemehelerr p:t "n44Crcommune d'Ugine. s S ' j, K

dit aussi t. sur les lieuxen chef de la mairie, La°hercher le juge de paii . meo, un voistn applimitrel la fenêtre ,dc la chu usned sur Une ruelle et tisrest ru

spectaele Soffrdle mari et la femme élaieniIii ; la fillette da01 entregarçon dans son berceau.vie. Un réchaud éteint iment quel Mer. s'était

Lin docteur, appel°, cesleS rappeler à la Vie. On

partient.ap

adressees au maire, auprr

ou qui leur

et à, tille Vete. clarle leeql1rée, déclara:, S'unsir dansvent suffire à leurs besoinl'on s'occupe de leurs obsèques

Des V ère da as duFumier

Un eultivateur ale Carne

1:1;feli;fi'e:urei itull'an;i:11:iest:tdiueirl:t.qe'm'en': 1 ' ief:142

A un erten nvonvent, il fe,-

fourche, et découvrit un nid deada,L7t à

rnu'lry l'era' tséMutg.-'.'t.il Sii te sve'P't er'ne'fouLetee'"Zifumier.

..-e-,.......,La Rente des Travail:ewl

UNE TORCIIn VIVANTE

Arras, 7 sepàieK,len neuve accident de bla poudre°t's.,

prsduit u la cartoucherie de oIllyoisàee de 30 es, ôtait rid4p1

le deuxième .rtotioberist lorsqu'am,de poudre noire se produisit,

11100 entouré de flammes qui, gas,,,,che en proche. se PinftigMent Jusqu'a la

af flouse' .couru aussitôt p.. .tvs.000,101 transporté à l'hôpital de 5.5seu

atteint de brünme, reins.

LA PRZSSELE KAISER EN SUISSE

I. hé. Judet, da. lffotair :r Depuis les inctulatonees polenques

suivi peut, d .1getitr, cool pcuseare le enum signe u détente apparente qui se g,masquée avec éclat.

Les inertes Mea connus à remis,.chef de la inissert françade rendait plus sesla manifestation empresele du kese.

Il s'est exécute, eelon son habitude, iode«parfaite bonne g-race,

Nous ne sommm pas dupés de paregesMesses; elles sont. néanmoins, un 1100.M8, rtede à le valeur de notre ancre, dont s rekas'impose rprind ene est percent/dicta sus esreusemorte, avec tant de perionsme e e

L'IblEBTIE DE FALLIBRESDu Soleila La grandeur de 51 Fallières le mi«

Rambouillet, où sans souci let larmea10010M. 00 on deuil 51 '010 de prouesses opestelques et suppute Io rapport probesceps du Loupât..

La voila -bien daus toute se biens la

me monarchique, le souverainsem. aderemeed

ses responsabilités, sait mil a '

mes, le peuple dest sa grande Malt stbonheur est 1e out auquel tendent sucoermts et dl .urre de ses peines. 50nos lob. au contahlre.. moquent 15 551°leur sauté premeUration est d'êtliter salemode lour fortune à son détriment,

LES AFFAIRES 0"15 BAROCDa Rappel :

11 éclate am yeux qu'il faut 550555remet et y r.ter en forces et faire cree e

néral Lyautey, fidèle O la politique touristetiquée, Établisse d'étroites Made.. are d

eriblm., ouvre des marchée, assure au. MMong adri.Ms les bienfaits de la séciaiti

que nos .soldes puissent, à Marrakech, .85irez, comme à Casablanca, rester neu

pied.A nen prie douter, rouit* à Martel

u colonel Mangin marquona su mem* rgres de la .paeitleation du Mese.

LISEZ ET FAITES LIRESOCIAle

reeransnmesseamerensimmenramnakzatmem

11r

.1tirti le

. P.., fit le .pelit

Brod alu deep/mut la porte d cJIdiceil.

-- Votre Grime ?..,ter. - fità°Non, répondit le lord. Ne teirou 11,1

s'ackessalt Renamt 4eune indignation qu'il ne parvendifficilement à maitriser. tee

V0119 sied leen, nailmfjd_j,men des autres avec tant 4gomplissement de form0lileé,4quand,'

t.OUS Vtis °UNtinte, ne liVrellt tti

Lord Rainiolph ne se, te'Jt cehaussa les épaules el reit" '

riantd' 'fiesDu moment que v u S

'exempté el que vousmoyens illégaux, nousvotre propre tedmin, G'FOntettoy, seuls HatMies, nmssieurs lm

--- Ce Collier de cirefair voler a donc unemilord ?

Vous uninKrsogeM81m/sieur ?.

Soit. Je tirerai colMen ti,tie 0.291

Issy-lesalloutinhinx, 7 e.Mes.'.../

Dix personms étaient it. bord, Pan.. 'eue

Le dirigeable a Itupuy-..ne-Desse t , l'ese,i7,1Us' e, de la Blette-Breuil, eed, axes

LES DIRIGHABLFS AUX OLANOEUVRIN.4Antal«RTS

le ...I Bouleaux. enril,:i.,

D,,e,..1,se:artiraprobableallee.,,n,le

l ondo.ur es eux-Set., Où il doit eue rpo

m

ro,Tori,,,,,K.ousbleurAt_cli,::,,,leleatialls,

et. a

peur'

d jlent b ey, pertira probabm ent et.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: TLOOLITTELL=LITS TOULOUSE La Se Repu**images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1912/B315556101... · 2010-03-05 · ADMINISTRATION & RÉDACTION 38, Rue Roquelaine T011liOUSE alalseonem043

Poe-c

COM LOC&L'ACTION MUNICIPALE

Les ureaux

.S OCIALIS'FI

a ta dernière séance du conseil municagr a e plaie fiel et hourausennt ravie. par

ns do nos, dm r la plaie de laau

leiteursmnt pu lire, dans le comptecette séance, les observatiom pré-

le ...yen Poulatad, P propne damaison de l'éclairage dans les

males. Depuis peu douai,campé/anis étaient saisie de

EL ehal seulement un mois a-free que le conseil municipal a

unication des propositions do ceaLe comble, eest qu'un employe,manant délit de négligence, !I ariadegager de ses responsabilUee eur

du coteeibler rapporteur!trharnueL Et Mus reenuvons bien

alités et les vertus de cette bureau-',roeiueUSê. arrogante et toute pue-

s :lamiers...cura iddlcaux, in-nsouciants. net fait cadeau àmiteuse et rentre laquelle se

rat les meilleures solontestx avaient, en effet. Thabltuds

lie aux bureaux. C'étaient lesfaisaient les rapporta, den-

os étaient des damentnt, tranchaient r l'adjointceignaient, et ne s:e don-

'étudier les dossiers, se. larmes, it l'opinion de

ail. Me peu à peu etr-e crurent les maltres du

ao s'en rebureau

ccuPaiort tenant grang.leur ctains uiserta

pCeCêaie.ri.ain, ont Mt, devoir continuer comme

'Pe' nve,v,strceii:perruque. Et Ica justes cei-ni diriateee, vendredi soir,

soja.e es deine:aie état d'esprit, leur doitêtre un av lissment.

Nes amia sonl. en elleL décides, a ne pas

se laisder faire Et contre Mur volonté, au-cune résistance ou aucune intrigue ne pria

-Matera.En outre, cet Met d'esprit dieparaitra avee

une muselle réorganimaiott des servieen nuaannljrceli wir, le citosen Pinel

s'écria : Il faut, que le travail' as fasae.Et si les employés ne aent pas assez nora-

' Meus, qu'au en nomme d'autres/1 s Qia cm.'hait Pinel aura compris que son exolarna-tioa n'était qUMe houtede. A la mairie, eneffet, les fonds pouceat faire défaut, mais

elatisarrurf'aut. eieet assigner à sua-due servi., à attaque employé une Lichedéterminée. D'est, ainsi donner à chacun uneresponsabilité Mea définie. Cl si. comme laMaorie socialiste I, Miranda deus Ihn-niencenseil municipal et comme Fout pro-mis nea élue, en mei chauma k eu plate et

-- on axe à chacun son devoir, ehu par onedimiuution de gaffes et de gâchis, une di-minution de personnel et de dépenses etune augmentation de travail que se traduirala rafale..

Ladmeistraten mune:pale fait prouved'initiative et d'anergie. Elle fait preuveégaie:n.1, de formel1 lies conseillers muni.t'peaux iinapireat d'un zale et don dévoue.ment dont on a pu et rendre, conapto parIca cliscuesione courtoises el. passionna.eccecommue. P. faut sleunenumt. que les

bureaux a emmerdent anales que lesbureaux et que, ear une Mergani.tion

rationnelle et ..ge des clivera services,élague les inutilee emplois et on intrulgehm toue 1m formtionuarres, que., cadetsMeut, quelles que soient leurs °fumons,l'amour du travail et l'esprit de diseiplineque nous nous plaisons ce ailleurs a race:t-elle en toute justice a la plupart d'entreeux.

Nous amena que, pour cela, nous pouvonshitcompter sur l'énergie des Mus socialistes.

nue inlervierc quo mus sema eue dumaire, notre carme.. Rieur, et me nouepublierons dans u&proehain wmdro. fierra es contriburbbe Cl les employés muni-

-- eine. sur le, MitMlions (le Tadministra-tira municipale.

'

il Î['ÏCf SE1lllliilLe Marché aux Fleurs da la place Esquirol.

La Fontaine Olivier. Stennade la place Roquet. La Casa

Saint-C,yprien.

Wielara Frima il faut g

iluierti cirer MIMMIrMsm'ion., de bien faire et

è d aboutir. De l'activité eta activité lieur que Toulouseamat au alyeau des grand.

os, amis encore au-desaus dea, :rés mea Et a. côté des grosses

ire e ,Lt à l'étude, des gravesnitOnolm,:"Ood riaaaciares et dan proble-a d'ordre intérieur dont notre camarade

Uer d'ofogCa'rrigieettre';'aletllortg.;puis longenes denuedées qui sollieitent

notre attention et que no. avons donnéeadenneroas encore aux Touloue... Ce

06 sas ,predécemeurs radicaux note ja-halait ; la ellimtation des désirs dasamuine nous avons déjà prouvé, les

ne MI. autrea, que mua soulene le faire.0. ...St pas uni. Collaborer avec nom con-tele au bon renom cibla prospérité de

ville, tel est,. nous semble-t-il, leDeur moyen de leen administrer,

ainsi, ajoute notre camarade, que ,j'aijours., a travers Saint-Cypmea,

et inter.anle promenade.tramway?

Parfaitement, et ne riez pas, jai puainsi beaucoup de choses. Ne croyez-

as, par encule., que ne, marchanders de la plue Ewurrot pourraientplus intatesente encore, plus Nivea-

Inas MM cette ter., ce marché auxplantes et aux Mlles Orne,.? J'ai vu

Y4res mervaileux installés sur 1. sais-emballage. Pourquor ne .pas s egénier

pâmer cea socle% improvisés? Plus lom,..Yez-vous pas que les intéressés ne

Blornasi,e'llteere'lZtnie pin,i 'antealuettiot'érdn'trtel9!,IVeu?attirent le regard au coin de l'Hôte!.

litSCALIER DE LA PRAIRIE DES FILTRES'aga ai mie concerne le, particuLiern

lto de la prairie des Filtres concerneOr eid escalier est dans un étai

mur déplerable. Ceci du pluAussi ma sois-je empreSsé d'aion du chef du .rvrce ,,,,,pé-

frant, sur l'état de cet escalier,Ode, retarda à la prairie drua mieux aménagé. C'est dian-

e...rio que cela fera plaisir àlaboreuse du fauleurg Saint-

LA PLACE OLIVIERemarqué que sur la pla-t, Melque clause à faim., continue Prép., quel-

'cri s'appela que vainement

den. Frostallation de rad, ou quatre bancsautour de la Fontaine monumentale quiorne memeileusement cette petite place.ne a Midi Socialiste i peut annoncer quemus peu de jours satisfaction erra donnéeaux habitants du quartier, car le nécessaireva être fait pour l'installation des bouesdemandés.

Par la manse oocasion je me anis renducompte que nous pourrons donner aux Tou-lousains un muvel exemple de coquetterie.Ne cmyez-vous .pas que la déeoration flo-rale do la Fontaine Olivier ternit d'un boleffet? Auend ai-je prié notre chef de servised'étudier un projet do dilcoraraon. Et, il a étédécida que de chaque nate de la Fontaine.deur urnes fleuries seraient dei peutallées.

SUR LA PLACE ROSIEZDate, punique nous en monnes an cha-

pitre de la coquetterie, poUrsuit notre ea-marade, les deux grandes statum de la pla-ce Boguet ont besoin d'un nettoyagerègle et semblent fort, s'ennuyer entre la :a-vère justiee de paix et Le non moins 'som-bre immeuble du commissariat.

Faim un peu de toilette b tee deux sta-tues s'impose tout d'abord. Ce aera fail. Enoutre .M. Lafent a Olé invité a étudier uuprojet de décoration. Co projet est déjà éta-mure.

Il consistera on deux petits jardinet: en-tourant le, deux Pelas. Autour de ces en-elea monteront des fleurs grimpantes quirendront moins triste, .istrrament, les deuxstatuer de la place Rogue.

Ainsi, la municipale° socialiste ne songepeu seulement à rendre joyeuses et bellesles graMes rues de Toulon., noir aussinue l'affleuras.

A LA GARE seadv-cyouturrA coup sûr, eut cela sum joli. Ge rasa

agréable-- Mais 'MM rutila, ajoute Prévot. Quel-

ques habitants du faubourg dont eignalebieu d. Moses des rnimewx rasai entre-tenus, pleins d'eaux croupissantes, et mem-ruant sur ravenue qui conduit a la gare deLa petite vite.. de Saint-Gyprien, de nom-breuses fondrières. Celse avenue est dé-foncée en plusieurs endroit,. De manie,la sortie de la gare des voyageura, il n'y apas un seul Mc de pua, pas d'éclairage lux,qu'à l'aveu, de Iambes,

de leanamettami ces doléances à mire ca-marade Rima, tiam son retour, c'est-à-direlundi. Et si les faits qu'on Ma signaléemauvais entas:tien de l'avenue de la petitevitrese et le défaut déolairage de l'avenuede la gare des voyageurs relever. de laCompagnie des chemms de fer, il est mr-taie qu me invitation premaute bu seraadressée par la municipalité. Si au t'antre/-ro, ils concernent la ville, l'administraitormunicipale donnera des ordres en usné-e/mnre ponr donner .1isfaction aux Me-merçanta et aux voyageurs.

A LA PATTE-DDIEDe môme certains cummerçants Mont

on ITellle temps que le clapir/rable étatde saleté de l'abreuve. du la Patte-S.01eles dellonites grm souvent ils éprouventpour user do la Inusuelle mn se trouveproximita do la barrie.00 de lue. (avenuede la Patte-dOiel. Une (coteau tante sé-pare en effet la chaussée de la bascule. Etj'avoua qu'il y a certains incouvénienia hcondurre sur nette bascule les eharretacequ'il faut ueser.

Souveat 'on avait réclamé auprès de l'ad-ministration précédente. sans qu'on sine-re.at a ce, acclamait... Aussi ai-je attirel'attention don services municipe. eue ria-eopaiêniout signala et Lee ai- 'e invités a

do blet.Voilà ce que j'ai pu conataler, conolut

Pnévot, dans ma courte et rapide promenadeà Saint-Cyprieu. Cl VOS, pouvez dire quel'adrninistration niunieipale. préoccupée deEmme:dan el de ladite, donnera seer..iunaux légitimes réclamations qui nient étéformulaes.

LA TRAVAIL A TOULOUSE

La fitiuuaten Mùllors

Il faut revenir à la belle sereure,rie

['s'Ani plus de 'vingt ma, on dénonce enwee la mise des industries d'ara La serra-

. échappe à cette décadenoe,pour au aunvarucre, de comtatere le la produotion due en grandediratamien du smog Mmicenemmil,crise, tut Le mande amfare. Male

les purin. serruriers, nep nets ou ms Maisuesum, law laissera rien pualire et partiel-

falal.tes à otite cour. h Pabereirolne doivent pas ignmer que notre niledemuante ouvrera mus kinnuse d'etes bien ren-

r,m. sur la siturrion de nos patrons ellesa. de no. nager.

. nmii 'ioO'crZ.d'estes ee

baMeurs de fonds,csne pape caMique résissance mate ma-

gma ou rediverneet trea.Mires de leurs ou-vriers, solevonert lardelie par P.a.:lettonsanu cesse oraMenta du Ne de la vie,

Pourquoi celle se..Col lue le dem/manse/a de 'entreprise de

serrurerie a Ma trop Murale et hors de pro-portion avie J'effort financier que pommentfus ma patrons toulomains pour rachat dhu-l..-nue, ragsaudisaernent d.5145555, le paie-

megedent'ineQuelques constructeurs serruriers ont fait

furtue. Noaa pouraione les canette tue/memsou

tlic0e1gr'trege' êrCp"Ice -d'"u'"D'autres ont fullCertains finissaient ralséseléenunt dans 30

ânt,unie. ;,u?enbmCn:Mes leurs anciens rivaux, tamils que quel-mus-una dtrositaient p. à s'expatrier. pour

i'eratterrnie.eaerG.,ux qui riment ma pour la plupart, un

â la palle aveo leauel les four danser les mar-chauds de fer et les mamhands d'argent

Pendant qu'ils étaient on bute aux bagas detoutno serteu créés par leur nouvelle situation,due se passan-ilu ratelter

Le riveur, le earpentier en fer, le an.ceuvrereraplaealt roovrier; l'apprenti était occupé àpercer des trous, barbai/Mer de minium gesMces de charpente, traltraut kr chuter, taisantdes couses; moteurs, casitillea, poineomeuses,appareils a seudure autosteme, devenaient teeattainciires ind.pensables dans toute maison cm

conAussstri.uction.

tendrs que les ou'vrioro dee noirescorporation. voaairie hure .laires s'égver.roturier .acrrarier ae aentant élimina petit apeut de latesea n omit rmemiquer craignanteindisposer le patron et de perdre as place

Il est Pale qu'il faut d l'ouvrier 6 fra.6.pu jour pour vivre 5 'recloue, oes5 du r.tele taux dru salaires gagnés dans sa Palace d.Industries locales, L'ouvrier serrurier eat obligéde no .ntenmr de ais 4 tr an que obtint a lasuite de la grève de 1909.

Voila la eiteatien exacte des patrons ei au-velem sorrurlera à Toulouse On peut la qustiller. sans exageratIon ., de ..tables

Peal-elle changer

Li'"'e'sltrela'atn.M eiregr Igtep"Its'n' ece ei masla miment de riadisce grosabei1Loasfaisant de grand. entreprises.

Par suite mi la rincettes. quais fontet cm stegvnt de la part des mar-

. itranettes Mieux surine. pou ee genreda travais ms n'ont Mumi quia ronde lada ca-pital improductif. unir les sMarres et. faireeansideur le métier de sera.. /comme :edernier des métiem où envole en putrittonles enfants qui te veulent pas travaillert'école

A la mise du métier rat venu sa greffer lacrise de raterenti.age. Il faut don' me lagrande entrepriae scal laissée S. la grande ta-

rama. saura ai. dailleurs s'emparerement de tous les gus travaux.

aima' dom la -mesure du po.ible la

orme.lr en fer et retour à la sommeras cm-siemens dee. à la belle peduction, d la aman-rer.

On nous abjecte.. me /ha n'a jamais oessed'en faire el nue les travaux .diaat sont tuarares .1.4, peavola y apparier une attention

lsocalcarésT' ar les trame de toutesaortes resuismt dea gris leu 'enereps.,pstrons sont desintere.es ces travaux dedécria/gon par g fat

Au client ma demandait d -foies exomer unecelle ramPe' au pneiail. 05 Pm.. quelooae.en for fonte, on réponde ee reclarnalit caaprix ex...tante, et en lei prase/rant dos Pra-me berivernent bac., in.métiqueset de mau-vais goût On lui suggérait le remplacementdu fer par des pausains ou des balestres enfonte, flatteui aon inlacôt par theonomtecette substitution et le aient s'asana. peutà sen, h ,oln sons Ses yeua. des traywanieurod,isi

g:ecig'ne srffé=i1orarel... ine""'au.. l'étranger. ta touriste,'. visiteur, mn.

pria vtatenamena p. la vue des mem.. mas-quant I. clov.turea des gr.da mals st desmal.ne de commerce, marqui.s ressemblant

do grands uuvertoes de sures ou à crim-merdes pusse, de ro/tenta afreams, a-tal unepierre MM du bon goût des habitants de lacite palladienne Si encore une potence d'en.saigne, un balren en fer Maga retenaient ansattention '1_ Non, rlen, ni oe de.v las vestigeorappelant. /a gloire des nmIlres ferronniers dosdix-sepflême et dix-gruirerne siSoles.

Du côte macler on dnit singer que la pra-tique des spore de s pêche ale ligne, radhé-sep à une société orphéoarcate ou Instrumen-tale, ta partie de maolle au .el, Mites distrac-tions Saiette/mu anlaresseatee ne et/rairont pusla busse des salaires. es ne donneront pas .acon...won il lamelle ont droit. les travail-Mura

On défend sa dignité, ou reveralique lorequeIhn est fart. Et on ne Pest vitrirablernent carsmes avez numnestd sa voleur rurale, pentesseerre'le, hast:estuaire, aide: s'ers mu enSymtiCat où l'on étudient, eue cornmns loures lesquestions imereasant le malter,

ar va pas Seulement I rorgwi.tion laveine darne archlaration do grève pose s'en re-tirer me fois le unie. achevé, Ces, un gesteentreris et sans aucune purge.

Nous >mons que passu son temps à fatale,verses son argem peur des cotisations. Msv.11er 11 moire debout des ouvres d'éduearewet de réalisation pratique sepugne L beaucoupde nos oamaradee habitués b employer mes-Iciairs na eatil ou à la pêche. Pourtant, c'estpar csa [noyer. Soulemeut 011e remédierontaux tri...érables conteions do leur existence.

Pendant mo les uns . lamer/Ment et queles arases allaient I telles pelaios, e eamlieatries métaux, Mi, aideaan

agaia 11 sait que a. iaitiaavo a besoin de lacollaboration de toutes Sas bormea valent.

C'est a ceSe collaboraten des interêts et descwieértor,cea qu'il fait appel dans un but crl.tant/ mi:tuerai.

Nous Mus dons un arochaln artels con-ment... pourrait se produire,

DORLa,Secrettoire du Syndicat des Métaux,

Pour les PêcheursPOUR LE PERMIS DE PERES

Eviderunsina je en, .par mame que jamie imearcillia les del/Mme, de aosermix

indépendantes qui vont m'amuser do pie-malter une reforme eut à fait mrelPiet.Mat ique. Qu'ai-je à rapendre sur de péiatMaricet ?

7, sais Peu bien qu'il y a des gens tout âfait ineapeines d'aller au fond des MosoaSi de jura. mitron/dut qua sur les apparen-ces. Ceu derniers prouveront tout simple-ment miuha ne a:annate:cal pas le premiermoi de roc lets sur la réale, . j'ai la ,pré-tentlon, on coatraire, da p.a.:Mer unereforme tout à fait dettumeatispe -et daucder le " deuil du FWEW e, mu fas de celuides « gros adjudiratairm mie non pêches flu-viales Je m'explique; c'est bien simplevous sases que le délités pécha est exercéen Femme au panne de Mat dam lesvas, lor ria:ares et ammui'mavirgarbles etque la .pècle au. filet s'y regIr par adjudi-caftan: Nous autres, haeheure à La ligne,nom sommée telée.asasuassjayeastaana.til,

a-consul...an t'aida devones ri. a rée a-mer, Mana ri chez les wtres s deet une

gracribmeta ru qm tels nous octree ennous accordant la permission de preadre,

ci della ors nialheure. poiason Musamale. échappé a la gamme que lui font rens-fumera les empolsonnameareI. fileta et les braconnier:a!marne le jour où par um cotisation MMimnime EMniate incapable à coup MM degêner tous meus qui trouvent de nembreu-ace heur./ de loisir gour se livrer à leurplaisir favori noue fournironu, cepen-dant, etri égard à notre none., aux amomereapearable avre une affectation spéciale,nettement déterminée ? Je ne te cons rimaNon a/Meulent nom serma en mesure eute moment de luttai earleatneerat contrele brmeormage, en multiaplieni, avis; eer. ar-gent. !es gardsameeho, mais nous ponsMana obtenir relthrmage d'un ou plueieursMM de pêche et Imagerie en «bon pêne detuimil's 'e, en supprimant complètement iosMets pfflu'à rie que tee pois:sans y soientrevenuu es abondance. Poseesseure d'unpermie paytml. noue serons à marne d, ré-el:amer celle fais, du gouverne:nui, tes fa-VeMIS qui jusqu'alors noue ont été refueaes.par exempta le droit °Meng d, pêcher ledimanche en temps pr'ohibé. Ign somme leproblante peut se Mun.' à ces deux pro-poaitiom

Si le pêchent' ne veut me tnenaper du fildam l'eau, il a emnplêtérumt satieladionà Ileum actuelle, let !ai ici permet la « li-gne flottante e; mais pendant oe temps, losfileta détruisent, le brecoarage s'exerce, lmenipoiaomprents tudusteels mgmentent.le poison" disparalt de plus en plus.

Si. au contraire- il veut arriver à reparuster Mos lui trois ou quatre livres de pos-aen et plus, il faut qu'il Mue un omette.Ms, lager. en raisoa du grand nomkre de

parheum; qu'il eontribue par un imitai. ver-aernent au paiement du fermaah sut stranutit la répression enengique du brecomage.Il faut qu'il uc rallie a ceux qui, dans l'in-tacet général, se groupent pour Intim ro/t-ee leu empoisonner-nue industriels et pourprendra touees les meatures utiles qui ren-dront a. nos riveres beur anciense richesse,dl ne s'agit rien moine que de atePrimerle tribut annuel de 5.515.200 francs (moyen-ne de l'importation du poissa. Irais d'eaudouce pendant les dix derniares années) quenous payons à l'étranger. Si nos légiste-kurs ont le smei Men public, une unsme de aras de 6 milless do francs, expédiéehors de France Maque année, ne doit pasles laisser indifférents.

Pouvonsnone rausalr ? Assurament. Noussoulmes plor de douze cent ...He pêcheursen Fraere ! C'est un chiffre.

Enfin, notre grande force a none aut..,eavea-vous, c'est .qu'on noue Maque. Com-ment se mon Itrer mpitoyable avec ales gensque l'on crible dem-gramm.? Vous savezla dMinition cr La ligne est un use avecune bete amx deux bouts a A ce comple-la,Ambroisie Thomas, Augier, Sandeau, Al-phonse Eue (qui a même émit un livresur la crache), Rossini, qui a trouva le triodo r Guillaume Tell a en prenant des gou-

da ne seraient que des e bsehériheu r'.Laissions dire el continuons notre prie.

gande.Nous voulons le repeuplentent de nos ris

ViMMV 51 110123, y arriverons, Solide SSCnide.

Dans notre prochaine .chroniqu» noustraiterons r Des objecter. contre le per-mis de paohe

ETAT DES FAUXfous les Soies d'eau sont clairs.

PROBABILITESa Matte a l'asticot sera hatotimuse

ophim et goujons dans Eaudo et le Tarnornement.La pêche à la ruche ichenillel réussira.aerb.nx, cabeaux et sièges, dans la Ga-

ronne, l'Ares,. la Loupe et le Touch.Des esaais peuvent aine tentés au viapour

le brochet et l'amimie° dant Io Canal etdane toue les climat.

B. NERQUE.

N kif àLLEa Le Cri de Toulouse »

Au sommaire du numaro 90 ;

Epurons Touiduse, de-min fantaisiste defaavignol, La semaine drôle et aes ace.

Un type de Gascon, par Eu.,awyn.s. À travers ries 'théâtres, docu-menta et photogra.phrea. Pour nos chas-PaSSO m Braeonniers et braconnage. MMeta.

Festival de CharitéOn mous prie eaiirkOnCer gus le dimamte

Sa septembre prochain. il sera dcnne auest/ad-R.0; à. 8 heures et dem. du soir,un festival artistique, au profir des gel-ares, aveo le graereux comouns de M. LouisTabac/LM et un groupe important d'or-phéonisies, de La Section d. GavrochesToulousains,. el. de l'ex.:lente Muaique. del'Ecole d'artaltarie, dont La précieuse 'colla-rberation a été fort obligeamalicat accordéepar M. le général. Plasma

On se rappellera le Peres Witten:1 qu'ob-tint, l'an deraier, M. Theme', da00 un con-cert analoaue. Dans l'audition projetée du15 septembre, te générassn organe de ditrutalentueux eonipatriote sera mie pl:eine-m°urt na setier par l'accompagner-neast puis-sant et hammam. d'un groupe vocal elinstrumental. imposmt.

Adeutona qut, pour cette fête musicale,relltnO0 de notre bel..promena.de sera labrie et gratuite. Comme d'usage, pour cessortes de connu., le prix des chaises semporté à 0 fr. W.

FAirrb AJMVEttSToi avec 'Violences

Proces-verbal a ére dresse par le le armaidémentent contre le nommé Lou. I/.. 95 ana.coure, en aimera., de passage d Toue.c,sans dentale axe, pour sot due «Imam da900 hanua commis avec violen.s au préluda' aet an doreelle de ',Rte Marge-Louis, Cazeaux,modiste, demeurant rue du afoeninEuyard,a tIO &Tond à la mai.n d'errer.

Ivresse et MendititéPro.s-verba darr.tation a été drome ras

In ler amonesement outre /e .nomméOrid1 V., 4a ans, ouvrer bouranger, sans domi-cile fias pour Ivresse pubiique, tnendeue etoutrage à apura V, a été conduit ce "nana auperquet et antarem ra MM d'arrestalioa.

TrouvaillesRacismes r d 51. Semante ore St-Sylse, 13

vesre en mir; b ai, de ParedUan, rue dema Pomme. 9, un chion fox Lamier; a Ne Moisder, ore Ms Arls, 5, des sateles de muncail.e.rte: à Baudet, rue St-Jérôme, 30, un pOriemonnaie contenant une Mes aonsue; au buirami des épeire, an paquet. de Ileum en per.;

Dalean. interner Prends-y-Garde ave-nue de Loneez, une pomae de bieverette ;M. lanuesad, rue Biquet an une colmate son,me; à atiministration d. nuise, un maman.,une page de Causettes neuves,

rans nos EandioussOn odtu gris d'insérer

FETES DE LAFOURGUETTELu Canicriesien se fait SM, plumrur dinfor-

mer les habitants et les et rangers qua laMe sera OddaSnée let 8 et, 0 septembre coi,ranis Les années praieder..tea la t'et, ayant

tdde guette renomnée. grate au dé-vouement. Ma membres- du comité; la nom-e:ras:ou eette. année, n'a rien nestiga pourdonter h cette fele L'éclat de ses devance-ms. Un orchestre délite, m'intime des ph.Ses musiotena do notre cité, tachera deahariner danseuses M. danamias 1rrir eus

-Maiamstlx let Mlance chois. et Ise plus en-train:mes. Voici, d'ail.... le programme

'a élaboré la ceinadasion.Dimanthe 6 aeptembre. Dûs l'aube, sal-

ves andorgent la fele, sous leu0011 en du cama eadant Databoula; à 11 lino.-ree ollert par af.'Foulletei, danntimporte quel etabliastimmta à 12 heures',repaa somptmux uni dalla liumeme

de M. Dehors. par M. le Vaelcluisoi; a 14 heure. départs du hallen l'In-visible; à 16 heures, theilie sur fespenadeet grand bal jusqu'à 18 Ileum. h al heure,.

r'' ''e des doses braient° laie de nuit,feus liedgale."bombee, jusqu'd24 heures;à 24 heures. mime. du Tourin ta servi dansla vaete selle du café de l'Ormeau

Lundi, à 9 heures, salvea d'artillerie; àIl Mures, al. Reataneu fera quelquus en-volé.. sur son .biplan Mener/Mut avec sonmoteur afarchana. 60 5-P; a 14 heures,Jeux divers, .pache à la modine, coriaxe enoie, course aux grenouilles', course auxânes, cournn aux cerceaux, tir aux pigemS.eourses aux canards, mum. à La mort. con-cours de mollets pour jeunes 111.1e1. Matehde boxe; à 16 heme,nm tour de ville en mu-Merles et bel jusqu'à 15 hernies: a 20 heureareprise des clames sous un ecilairage.equn ataquaa 24 15e0re3; b 21 beur.. albatura par ab. Bousma a et le quadrille desilaelles.(dares. La comanisaion se fait un de-voir calmi/Car lea êtrangers il faire foule,cos joursa-la, car le meillem accueil leursera réserve.

LA PETE DE SAINT-SIMONLa jscineies

câcuelo -eLt'Ve laZ/V.,.','"'arpcal/the/1e. cette année, 1. 13 et 16 septlefrabre.

La commission, à set effet, n'a rien Mali-té pour donner à la rate un éclat tout gar-particulier en s'amurant du concours d'un

orchestre d'élite temposd de dix-

/1,11C'exijoUreit'...entesac la pLace dl I'ligliseami sera pavoiare et illununee avec In la-tent habituel de M. Lacroix.

Comme les années preeedentca le meii-leur accueil sera réservée aux étrwsers.

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isce eirob'sn'de 'restérailon sont huilées à sefaire repre.nler par teure délègues titulaires ouaaPlateanta. Le Semétabie riderai r P. Vigneau.

comm,ssioN 00 PIWPAGANDEseer:étama et trésoriers eantonaux

sorslieued asà.;ster à la reltion ddmeile coirn.titurti,

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lioCad Parti.e du mur organisetion dune grande fête

n, leLa presence de tous les caroarades est Iodes-

pensable.sIICZ.P«ereozze...11Cer. et luet appartenant à ces groupes sont relus de.s

ries mainielpags'ses moeres.Lems/ver mortuaire partira dimunche 1 2 heu-

le...nal:cg. /me écuries munit/Mame avenue des

antroantagara goisu:-Pierre,len da la annummion des tètes a oc .pre de sen-

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ministraten. Questions tes en-matantes et usgeates S. l'ordre du Jour.

I, camarade Besset est prie d'Ode présent.Le Coquelicot (section Sain.Agnel. Mardi

soir an courut, a 9 heur. lé Buena aSaint-Agne, edimion de la dirOgation du rus mutd'administrai:un. Les élèves et camarades faisant

Ye'persil,,.eeit.l':litâ7er'Z dlior."' noCoquelicot mention des Amidunters cl Saint.

Mme« Ra/raton du COMell d'administrationaujourd'hui dimanehe â 51 heur0s du matin,salle du mea du Beurre.

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manitou Mt. dest aeralement invité, àassister à on.

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iMructit. lahne artistiques r le Poids deotill'Or: l'Auto en flammes, drame dant arahnd in-clut Lee bons de demi-ruir sont adma.

VIE SI,MITILA 11AISON DE. Bila/EBY

Al STADOEHREE TODLOESAINLo Stadoceste Toblew.ia nous informe

qu'il va conetencer ientraineramt en vuedo la saison de rugay 1212-1013, qui sera deeplus tatéreasanes en raison des nombren-sea remontres osmium pour les joueurspremière et de seconde équipe.

Les Mmes gen, pratiquant.. foot-ballqui désirer-Meut 10 pratiquer et qui vou-deatant faire partie au Stadoceste sont perdsd'envoyer leur adhéalon par émet au magedo alub. cale Paul, I. place Lafayette. Lemeilleur accueil leur est ol.red.8RANDE COURSE CYCLISTE

DES DEBUTANTSL'epreue réservée,. débutants du dé-

parte/mer. du la IlautsmGaronne, wu« à ceuxqui se sont déjà clames les rem premiersd'une C,prentve similaire et pouvant Mettegler do leurs titres de d'abattants, me dispu-huit aujeurd'hui, conatilue la première desintéremantes coteau créées par le G. S. C.eu fureur dee jeunes. Constataua de suitequo mate pamniare remporte un véritablerampas aurpras ares apprentis champions quitna foule, watt errata..

Le ehiffm de 9a, mu: Meure la lets, est

e:erlir-U. "elp50501155 d'us telpelotari de consearrents, les organisateursont dû prendre hem dispositions les plue sa-mares pour que Louc varoise sans d-coup.Aussi kes engagée una-im priés de tenircompte des délai. d'orgwisaiiou. Tout non-°terme qui ne enfumerait pas arepresen.p.tions suturales. serait immédiate,ment ms hors de course,

La diatreution, des dossards se fera auMage 015G, S. C., 5, avenue de la Patte-die.,cri sera inetalle. le veatiaire de 1l heures à13 h. 43; le dauart, en semper compact,sua donné justpi'a l'avenue de alunit, boraneIl le départ u(floiel aera donné It14 heu-res Iras précises. A Paiet-Sulpire-am-Lazerentraie Osé et maltait:ciment. Les esuaeuradevront donner loura aignaturos sur unddeuIlto apêciale do contrôLe où un arrét

iisaateme d'un quart d'heure leur earadorure.

/Le départ du pomma sera conaleté parlat roui. d'un linkel que le eact de ma-lade. Leur don.mu a leur arrivée à Saint.iSulpice-eur-Lase.

L'arrivée à Toulouse aura Heu a la Nor-a 5, avenne de Id Palte-d'Oie rie lo contrô-

le de te de course seraAmas Parra/Se les concurrents devront

renetlre leurs de...d,. La course se ferapar n'importe quel terre,

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théatre d'un acre de férocité qui Mit frémirmérne les gens habitués aux meurs sauva-ges du n Far West s.

Coq petits vauriens, dontle plou jeune a7 ans et le plus âgé 10 ans, ont lancé .dr_opierrée a un garçonnet de .quatre ans, nom-mé Joseph Zimmermann, jusqu'il ce due lepauvre enfant fût mort.

Ces assassins présoces, arrêtas el interro-gés, ont déclare avoir tué le petit parcequ'a Liane pouvaient plus le aentir n.

Les Viandes MalsainesHonailly-sur-Seine, 7 septembre.

Une quarante'se de personnes habitant à Re-milly-sur-Sci., ont le intoxiquées per engemmn de viande malsaine.

Plusieurs sont. dus un Mat grave.m, ma, ae, de 29 sas, est décédé hier,

Troyes, 1 septembre.Le nonem de cas d'empoisonnement paa les

viedes avariées s'élave, u Roraill-sur-Golas,une alnquantaine.

La plupart des pomma. atteet. .ntdanger,

A Connusser-Seina, vis 050Ie famille a Mi'atteinte. mais "'Mat de mué d. viotimëo Va dot-me,liorant,

L'enquête sur /es .uses de ces empote..men.a awricuê ce malin.

Palmera personnes ont damero que la viandaleur avait paru d.pact doute..

Certains cliems. apres cml «voir acheta, l'a,vaCeni donnée aux chiens,

Les animaux qui en avaient ,manah sont Se-terrent enaporeonares,Cette viwde provenait, manne an le sait, d'une

vache abattue dans la commune de Gelant.,aprts avu du vétérinaire qui la magnait dem,deux leurs qui l'avait reconnue malade, mais dé-clarer: propre d ..natimmation

A Romilly, le préposé de redittair: sliesurance qu'il avait reçu de raularimbon par teveleatnalre, timbra la viande, .uforraeumst u laloi

àar roues de rowele, le vétariadre a déclaraique !a Meade était adieu X PM.. Nor/ staseMember à ana insu une dose de geleoa à lavache malade, à moins qu'on ali Subeitua à la/a vache qu'il man examinée une autre bête.

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qui demandent du suait.,Si ce mi d-appel n'est pas entendu, les Mares

qui °ornement les- reine se désagrègent et, cela,.ns que te dos tasse mal.

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ruatre lyERS PETITE CONTRIBUTION estant de Za Wehrmacht a ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1942/B... · ces jours derniers, que trois di- planeurs remorqués ardeff visions

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Sans le souvenir de la Ruhr1 SOCIALISTE raccord …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1924/B315556101_MIDSOC_1924... · leur arrilrellelerrr des textes de ... Les détenteurs des

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Les événements d'Espagne - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole.

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MINISTERE DES MINES, REPU LIQUE DE OTE …...- Formation des sous-groupes thématiques (01) - Canevas de rédaction du rapport de sous-groupes thématiques (01) - Canevas de présentation

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s.-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1926/B315556101_MIDSOC_1926... · noms. Les cas de ce genre sont lunaire: ... petite bourgeoisie Bis d'instituteurs ou de petits fon, ti: ...

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SEMINAIRE NATIONAL SUR L’ENERGIE 2012 · 2014. 8. 5. · ministere des mines, du petrole et de l’Énergie repu lique de ote d’ivoire ----- union – discipline - travail plan

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La Gazette des Chalets...La Gazette des Chalets Bulletin de l'Association du quartier Chalets-Roquelaine 9, rue Douvillé - 31000 TOULOUSE - Téléphone 05 61 62 23 67 N 26 - Eté

La Gazette des Chalets...La Gazette des Chalets Bulletin de l'Association du quartier Chalets-Roquelaine 9, rue Douvillé - 31000 TOULOUSE - Téléphone 05 61 62 23 67 N 26 - Eté

de majorité, la Chambre mccepte mue inflation de six ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · Le manifeste du Parti en a dressé avec force les raisons.

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MOUVENIn'S Les aud!enees publiques Premiers …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1943/B315556101_MIDSOC_1943... · croit te tactique actuel s a (empatte 'Angle erre. ous nos avio.

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Les forces républicaines Poursuivent avec succès leur ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 3 mole, 25 fr. su mots, 49 Ir.; I ., 92 fr. ... dis

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REPU LE 2 5 JAN. 2018 029532 Interpellation de Monsieur ...195.244.167.115/2018-02-02/A. El Ktibi - Les politiques de la sante... · REPU LE 2 5 JAN. 2018 029532 Interpellation de

REPU LE 2 5 JAN. 2018 029532 Interpellation de Monsieur ...195.244.167.115/2018-02-02/A. El Ktibi - Les politiques de la sante... · REPU LE 2 5 JAN. 2018 029532 Interpellation de

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La Gazette des Chalets - … · Journal de l'Association du quartier Chalets-Roquelaine ... reçu comme ambigu), nous proposons Plaça Caca, avec l’accent, ... petite boutique de

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»Ne,. CENT. in SOCIALISTE plus que de loure …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/B315556101_MIDSOC_192…»ne,. d1.130 abonnements t

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