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TEXTES transposés

Textes transposés - A partir de Faire de la grammaire au Cm2 – F. Picot – Ed Canopé

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TEXTE Transposé 1 – LA VENGEANCE DE MOWGLI - MA VENGEANCE

Dans la jungle en feu, le tigre Shere Kahn veut manger Mowgli ; il a fait du mal à Baloo et

Bagheera.

Quand je rouvre les yeux, je vois près de moi Bagheera, couchée sur le sol, immobile, et Shere

Kahn qui se tient triomphant sur le corps de Baloo. Je n’ai plus le temps de m’occuper d’eux. Je

sais seulement que la fleur rouge, qui fait pleuvoir des étincelles autour de moi, se trouve à portée

de ma main. Je me lève, me dresse autant que je le peux sur la pointe des pieds, attrape une

branche enflammée, la casse et m’élance vers Shere Kahn ! Celui-ci recule d’un air inquiet.

« Épargne-moi, petit d’homme !

– Me prends-tu pour un imbécile ? Si je t’épargne aujourd’hui, tu te remettras demain à ma

poursuite. »

TEXTE Transposé 2 – DEUX CHATS, UN SINGE ET UN PAIN - DEUX CHATS, DEUX SINGES ET UN PAIN

Deux chats trouvent un pain. Ils discutent bruyamment d’un partage équitable, quand

surviennent deux singes. En voyant le beau pain tout doré et croustillant, leur estomac crie

famine. Ils ont une telle envie de ce pain ; « Si vous ne pouvez pas vous mettre d’accord, peut-

être pouvons-nous vous aider ? En effet, rien de plus simple ! Nous allons vous mesurer deux parts

égales. »

Sur ce, ils disparaissent. En un clin d’œil, ils reviennent avec une balance. Ils coupent le pain en

deux morceaux. Ils les posent doucement sur les plateaux. L’un d’eux étant un peu trop lourd, ils

en mordent une bouchée, mais l’autre morceau devient trop lourd, et ils doivent en mordre aussi

un bout. Ils continuent ainsi et, quoi qu’ils fassent, il y a toujours une part plus lourde que l’autre.

Voyant leur pain disparaitre petit à petit, les chats finissent par protester : « Rendez-nous notre

pain ; nous le partagerons nous-mêmes ! » Mais les singes répliquent : « Ce qui reste est la

récompense de notre travail. » Et ils avalent le dernier morceau en toute hâte !...

Bien mortifiés de leur dispute, les pauvres chats !

TEXTE Transposé 3 – UNE BELLE PEUR - UNE BELLE PEUR

Je patauge un long moment dans la vase. Quand enfin je réussis à m’en sortir, il fait nuit noire. J’ai

horriblement froid, je tremble de tous mes membres ; c’est à peine si je peux ouvrir les yeux

tellement la boue me colle partout. J’avance péniblement. Je n’ose pas couper par les champs,

de peur d’une autre mésaventure, et je regagne donc la maison par le bord de la route.


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TEXTE Transposé 4 – L’EAU EN DANGER - L’EAU EN DANGER

Voici des conseils qui s’adressent à chaque enfant de France :

Impossible d’imaginer la vie sans eau ! Tu en utilises sans arrêt. Mais les réserves contenues dans les

océans et les rivières ne sont pas inépuisables et certains pays du monde souffrent cruellement de

la sècheresse. Heureusement, tu peux, toi aussi, éviter gaspillage et pollution. Voici comment

devenir le Zorro des ruisseaux !

Après les repas, quand tu brosses tes dents, tu fermes le robinet et tu utilises un verre à dents. En

trois minutes, tu économises environ 15 litres d’eau. Plutôt que des bains, tu prends des douches

qui consomment beaucoup moins d’eau. Si tu fais la vaisselle, une goutte de liquide vaisselle

suffit. Tu utilises moins de produit chimique, donc moins d’eau pour rincer et tu pollues moins. Et tu

donnes un gage à ta maman si tu vois qu’elle ne remplit qu’à moitié le lave-vaisselle ou le lave-

linge !

TEXTE Transposé 5 – LE MONSTRE DE LA RIVIÈRE - LE MONSTRE DE LA RIVIÈRE

Parce qu’il a fait pipi dans son eau, le monstre de la rivière entraine Olivier dans sa grotte, avec

rage… Celui-ci raconte.

Le Père Tire-Bras n’est pas grand, il a à peu près ma taille. Son teint ? Aussi vert que les parois de

sa grotte. En guise de cheveux, des nageoires s’alignent sur le crâne. Son visage est à moitié

pourri. Un de ses yeux pend comme une ampoule à un fil électrique. Il n’a pas une seule dent, et

on dirait qu’une souris a grignoté une de ses oreilles. Il tousse.

– Je t’en donnerai, moi, du pipi ! Ma rivière n’est pas assez polluée comme ça ?

– Vous… vous êtes le Père Tire-Bras ?

– Oooh, mais il est intelligent ! Il est brillant ! Comment tu as deviné ? Évidemment, andouille !

– Et, euh… qu’est-ce que vous voulez ?

– Il y a trente ou quarante ans, le problème aurait été vite réglé. Je t’aurais bouffé. Oui, bon, fais

pas cette tête. T’es pas au courant ? Le Père Tire-Bras, y boulotte les petits enfants. Je devrais te

becqueter. Mais je peux plus. Je peux plu-u-u-us !

Sa voix se casse, et le monstre se met à pleurer comme un veau.

TEXTE Transposé 6 – LA RÉUNION DE VICTOR - LA RÉUNION DE VICTOR

Un samedi, Victor réunit ses copains de classe dans sa chambre, pour parler du départ à la

retraite de leur maitre. Ils viennent vers 15 heures. Ils sont nombreux, mais ils trouvent tous une

place et Victor dit :

– Je fais cette réunion car je veux préparer une surprise à monsieur Lécolle pour son départ à la

retraite.

– Quelle surprise veux-tu lui faire ? demandent Louise et Anne.

– Je veux offrir un cadeau au maitre et lui dire des poèmes écrits par nous. Êtes-vous d’accord ?

À ce moment, deux enfants prennent la parole :

– Moi, je n’ai pas d’argent pour acheter un cadeau, déclare Hugo.

– Et moi je ne sais pas inventer un poème ! ajoute Alice.

Alors, Victor explique à ses camarades que rien n’est obligatoire. Puis chacun donne son avis.

Et, au bout d’une heure de discussion, garçons et filles finissent par s’entendre sur l’organisation

de cette journée particulière.


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TEXTE Transposé 7 – UNE BONNE SOIRÉE - UNE BONNE SOIRÉE

Les parents de Mathilde passaient la soirée chez tante Sabine. Mathilde est restée seule à la

maison avec sa petite soeur Carla.

Du fond de son lit, Mathilde a entendu la porte de la maison se refermer derrière ses parents. Ils

sont enfin partis ! Elle a soupiré de contentement et a creusé douillettement son oreiller avec sa

tête. En écoutant le souffle régulier de Carla qui dormait profondément, elle a attendu un

sommeil qui ne voulait pas venir.

Mathilde a hésité encore un instant, puis elle a décidé de se lever. Les volets n’étaient pas fermés

mais la chambre était dans l’obscurité ; seul un mince filet de lumière filtrait par la porte

entrouverte. La veilleuse de l’entrée était allumée.

Mathilde est allée tout droit s’installer dans un grand fauteuil confortable, où il était bien agréable

de se prélasser sans le partager avec papa ou maman. Elle a allumé la télévision. Ce soir-là, elle a

pu regarder ce qu’elle a voulu !

TEXTE Transposé 8 – LE CAUCHEMAR - LE CAUCHEMAR

En vacances dans une maison isolée, un jeune garçon a dormi seul dans une chambre au

grenier. Il a fait un cauchemar.

L’heure est venue, un peu trop rapidement à mon gout, de me coucher. […] J’étais à peine

endormi. Une forme visqueuse a jailli de l’armoire et s’est jetée sur moi. Elle ressemblait à une

énorme anguille. Elle s’est enroulée aussitôt autour de mon torse, serrant ses anneaux pour

m’étouffer. Sa gueule était béante, je sentais le souffle chaud de son haleine sur mon visage.

– Non ! Non !

Mes cris ont brisé le cauchemar. Je me suis redressé sur le lit. Les yeux grands ouverts dans le noir,

la respiration haletante, j’ai tâtonné autour de moi pour trouver la lampe torche. Ma main a

cogné une masse vivante.

– Au secours ! ai-je hurlé de toutes mes forces.

[…] Au moment où maman apparaissait, j’ai vu une ombre se glisser derrière l’armoire. Mais

c’était impossible. Il n’y avait même pas un centimètre entre le meuble et le mur.


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TEXTE Transposé 9 – LES SABLÉS DE MAMIE LOUISE - LES SABLÉS DE MAMIE LOUISE

Mamie Louise s’est adressée à son petit-fils. Elle lui a indiqué comment confectionner des sablés.

Pour réaliser une pâte à sablés, tu as eu besoin de :

– 200 grammes de farine ;

– 100 grammes de beurre ;

– 100 grammes de sucre ;

– deux jaunes d’œufs ;

– une pincée de sel.

D’abord, tu as mis la farine et le beurre ramolli dans une terrine. Tu as malaxé l’ensemble du bout

des doigts pour obtenir un mélange pareil à du sable.

Puis, dans ce mélange, tu as creusé une fontaine et tu as ajouté les deux jaunes d’œufs, le sucre

et le sel. Tu as mélangé le tout avec une spatule et tu as versé l’ensemble sur une planche à

pâtisserie. Tu as formé une boule à la main. Tu as laissé reposer la pâte au frais.

Une heure plus tard, tu as étalé la pâte avec un rouleau à pâtisserie. Tu as découpé des disques à

l’aide d’un verre retourné. Tu as déposé ces disques sur une plaque beurrée.

Enfin, tu as laissé cuire tes sablés 15 minutes environ à four modéré. Tu as bien surveillé la cuisson

pour ne pas les laisser bruler.

Si tes sablés étaient réussis, c’est que tu as été un bon pâtissier !

TEXTE Transposé 10 – LA MÉTÉO DE L’EUROPE - LA MÉTÉO DE L’EUROPE

Quel temps a-t-il fait sur l’Europe hier ?

Le soleil a brillé sur l’ensemble de la France, et le thermomètre a marqué 33 °C. Une brise légère a

rafraichi un peu l’atmosphère.

Sur le Portugal et l’Espagne, la chaleur lourde a provoqué des orages. Ils ont été localement

violents et les vents ont soufflé par rafales jusqu’à 90 km par heure. Il a fait de 30 à 35 °C.

Sur l’Italie et la Grèce, le soleil a été généreux après la disparition de quelques brumes matinales.

Le tonnerre a grondé sur les reliefs. On a vu le mercure grimper jusqu’à 39 °C !

Les nuages ont pris beaucoup de place dans le ciel d’Angleterre et du Danemark et la pluie est

tombée par intermittence ; le thermomètre a affiché de 17 à 26 °C.

Enfin, le ciel de la Belgique est resté nuageux ; des éclaircies ont néanmoins réussi à s’imposer. Les

températures n’ont pas dépassé les 23 °C.


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TEXTE Transposé 11 – UN CURIEUX BOUT DE BOIS - UN CURIEUX BOUT DE BOIS

Gepetto a reçu d’un ami menuisier un curieux bout de bois qui semblait parler. Il a voulu en faire

un pantin.

À peine rentré chez lui, Gepetto a pris vivement ses outils et s’est mis à tailler et à fabriquer son

pantin.

– Quel nom vais-je lui donner ? s’est-il demandé en lui-même. Je vais l’appeler Pinocchio. […]

Après avoir trouvé le nom de son pantin, il a commencé à vraiment bien travailler, et il lui a fait

tout de suite les cheveux, puis le front, puis les yeux. Les yeux terminés, imaginez sa stupeur quand

il s’est aperçu que ces yeux remuaient et le regardaient fixement. Gepetto, en se voyant regardé

par ces deux yeux de bois, était sur le point de se trouver mal, et a dit d’un ton irrité :

– Vilains yeux de bois, pourquoi me regardez-vous ?

Personne n’a répondu.

Alors, après les yeux, il a fait le nez ; mais, à peine fait, le nez a commencé à grandir : et il a

grandi, il a grandi, il a grandi… En quelques minutes il est devenu un nez qui n’en finissait pas.

TEXTE Transposé 12 – UN VOYAGE AGITÉ - UN VOYAGE AGITÉ

Gulliver a quitté son pays pour voyager sur un bateau à voiles nommé L’Aventure. Il a raconté.

Nous avons eu un vent très favorable jusqu’à la hauteur du cap de Bonne-Espérance, où nous

avons jeté l’ancre. Mais notre capitaine souffrant d’une forte fièvre, nous n’avons pas pu quitter le

cap avant la fin du mois de mars.

Nous sommes repartis alors et notre voyage s’est fort bien déroulé. Mais lorsque nous étions au

nord de l’ile de Madagascar, les vents ont soufflé très violemment. Pendant vingt jours nous avons

dérivé. Puis nous avons dû affronter une terrible tempête lorsqu’un vent du sud appelé mousson

s’est élevé. Nous avons hissé alors la grand-voile, mais elle a été presque aussitôt déchirée par

une rafale.

La mer était très haute et les vagues se brisaient les unes contre les autres.

Après la tempête, nous avons fait courir le navire toutes voiles dehors. Le 17 juin, nous avons vu

clairement une grande ile où nous avons accosté.

TEXTE Transposé 13 – LA PANTHÈRE DANS LA NEIGE - LES PANTHÈRES DANS LA NEIGE

Les canards sont partis en voyage et un jour, ils sont revenus accompagnés de deux panthères.

Depuis ce jour, Delphine et Marinette jouaient beaucoup dehors avec les panthères. Mais, en

novembre, il a plu tous les jours. Alors, les panthères ne quittaient plus la cuisine. Elles attendaient

avec impatience la neige dont les canards leur avaient parlé.

[…] Un matin, les panthères se sont éveillées plus frileuses qu’à l’ordinaire et elles sont allées à la

fenêtre, comme elles faisaient maintenant chaque jour. Dehors, tout était blanc, la cour, le jardin,

la plaine, et il tombait de gros flocons de neige.

De joie, les panthères se sont mises à miauler et elles sont sorties dans la cour. Leurs pattes

s’enfonçaient sans bruit dans la couche moelleuse. […] Elles se sont mises à courir sur les prés, elles

s’arrêtaient, elles roulaient dans la neige et repartaient à toute vitesse.

Après deux heures, inquiètes, elles ont cherché des yeux la maison et elles ont vu qu’elles en

étaient très loin. Avant de rentrer, les panthères se sont accordées un moment de repos et se sont

allongées dans la neige. Mais, quand elles ont voulu se lever, leurs pattes étaient engourdies et un

tremblement agitait leur corps.


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TEXTE Transposé 14 – LA CHÈVRE DE MONSIEUR SEGUIN - LA CHÈVRE DE MONSIEUR SEGUIN

Alphonse Daudet raconte l’histoire de la petite chèvre de monsieur Seguin à son ami Gringoire.

La chèvre voulait aller dans la montagne. Mais, comme elle risquait de se faire manger par le

loup, monsieur Seguin a enfermé la chevrette.

Monsieur Seguin a emporté la chèvre dans une étable toute noire, dont il a fermé la porte à

double tour. Malheureusement, il a oublié la fenêtre, et il avait à peine le dos tourné que la petite

s’en est allée…

– Tu ris, Gringoire ? Parbleu ! Je crois bien ; tu es du parti des chèvres, toi, contre ce bon monsieur

Seguin… Nous allons voir ce que tu diras tout à l’heure.

Quand la chèvre blanche est arrivée dans la montagne, ça a été un ravissement général. Jamais

les vieux sapins n’avaient assisté à un aussi joli spectacle. On a reçu la chèvre comme une petite

reine. Les châtaigniers se baissaient jusqu’à terre pour la caresser du bout de leurs branches. Les

genêts d’or s’ouvraient sur son passage et sentaient bon tant qu’ils pouvaient. Toute la montagne

lui faisait fête.

– Tu penses, Gringoire, si notre chèvre était heureuse !

TEXTE Transposé 15 – SNOOPY RACONTE - SNOOPY SE SOUVIENT

Je m’appelle Snoopy et lorsque j’étais un chiot, mon maitre prenait grand soin de moi : il me

lavait, me brossait, me bichonnait. Aussi j’étais très beau et les gens ne voyaient que moi !

Si j’avais envie de jouer, mon maitre me lançait la balle ou un bâton, aussi longtemps que je le

désirais. Je faisais tout ce que je voulais : je détachais mon collier, je grimpais sur les fauteuils, je

choisissais toujours ce que je mangeais. Mon maitre ne me grondait jamais.

Il ne savait pas que j’avais une copine de mon âge. Dès la tombée de la nuit, Lida me retrouvait

au fond du jardin, puis nous allions dans une rue voisine. Nous pouvions alors bavarder

tranquillement. Parfois, des chiens du quartier venaient à notre rencontre :

« Alors, petits, encore dehors à cette heure ? » disaient-ils.

« Oui, nos maitres nous laissent sortir », répondait Lida, « mais nous devons rentrer avant minuit. »

Et nous n’oubliions jamais l’heure car nous étions raisonnables. Mais nous prenions rendez-vous

pour le lendemain…


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TEXTE Transposé 16 – SNOOPY SE SOUVIENT - LE MAITRE DE SNOOPY SE SOUVIENT

Tu t’appelles Snoopy et lorsque tu étais un chiot, je prenais grand soin de toi : je te lavais, te

brossais, te bichonnais. Aussi tu étais très beau et les gens ne voyaient que toi !

Si tu avais envie de jouer, je te lançais la balle ou un bâton, aussi longtemps que tu le désirais. Tu

faisais tout ce que tu voulais : tu détachais ton collier, tu grimpais sur les fauteuils, tu choisissais

toujours ce que tu mangeais.

Je ne te grondais jamais.

Je savais que tu avais une copine de ton âge. Dès la tombée de la nuit, Lida te retrouvait au fond

du jardin, puis vous alliez dans une rue voisine. Vous pouviez alors bavarder tranquillement. Parfois,

des chiens du quartier venaient à votre rencontre :

« Alors, petits, encore dehors à cette heure ? » disaient-ils.

« Oui, nos maitres nous laissent sortir, » répondait Lida, « mais nous devons rentrer avant minuit. »

Et vous n’oubliiez jamais l’heure car vous étiez raisonnables. Mais vous preniez rendez-vous pour le

lendemain…

TEXTE Transposé 17 – L’AVALEUR DE NUAGES - L’AVALEUR DE NUAGES

Il faisait très chaud sur la Terre, quand les dieux Indra et Kouma ont vu le serpent Ahi. Celui-ci

étirait sa tête jusque dans le ciel pour avaler les nuages qui passaient. Ahi avait si soif qu’il buvait

toute l’eau des nuages : voilà pourquoi il ne tombait plus une goutte de pluie. À cause de ce

glouton, la Terre entière mourait de soif !

« Cela ne peut pas continuer, ont décidé les jeunes dieux. Nous allons libérer les nuages et libérer

la pluie. » Ils ont pris un arc à sept couleurs et des flèches bizarres, jaunes et tordues : des éclairs.

Puis ils ont sauté sur leur cheval volant.

Dans le ciel, ils ont rattrapé le serpent tout gonflé d’eau qui s’est tortillé de rire :

« Hi hi hi ! Ces jeunes fous croient que j’ai peur d’eux, de leur drôle d’arc et de leurs flèches

tordues ! »

Mais « ouille ! » a fait Ahi quatre fois en recevant quatre éclairs dans le cou. Alors, à chaque cri,

des nuages se sont échappés de sa gueule ouverte, laissant enfin tomber la pluie sur la Terre.

TEXTE Transposé 18 – UN NOUVEAU COPAIN - DES NOUVEAUX COPAINS

Sébastien et Aurélien vivaient seuls avec leur père. Leur mère, qui habitait à mille kilomètres de là,

leur a envoyé un petit chien pour leur anniversaire. Leur papa n’était pas très content…

« Qu’est-ce que tu veux que je fasse de deux chiens dans un appartement ? Qui va les garder

pendant que je serai au boulot ?... » Plein de questions auxquelles Papa ne voulait surtout pas

trouver de réponses.

« Je vais lui écrire ce que j’en pense », a dit Papa.

Nous aussi, nous allons le faire. Mais nous, ce que nous voulions dire, c’était un grand merci tout

plein pour ces touffes de poils que nous appelions Toufdepoil et Bouledepoil. Nous les serrions

dans nos bras. Papa pouvait dire ce qu’il voulait. Toufdepoil et Bouledepoil étaient à nous, pas à

lui. Maman l’a écrit : « Ils ne seront que pour vous. » Nous avons dit à papa :

« Nous te jurons que nous nous en occuperons bien, que tu n’auras rien à faire, que nous les

promènerons. Que nous ferons tout. Tu n’auras rien à leur reprocher. »


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TEXTE Transposé 19 – LA COURSE D’ORIENTATION - LA COURSE D’ORIENTATION

Simon, Lucas et Tom préparent une course d’orientation. Lucas et Tom sont chargés de poser les

balises.

– Vous vous souvenez de ce que vous aurez à faire demain ? demande Simon.

– Parfaitement, répondent Lucas et Tom. Nous prendrons d’abord la route départementale 35 et

nous irons jusqu’à Finan ; nous poserons la première balise dans l’église, derrière la porte.

Nous continuerons notre chemin. Au carrefour, nous placerons la balise n° 2 sous la grosse pierre

puis nous partirons vers Pessia. Nous déposerons la troisième balise… heu… où ?

– Au pied de l’escalier qui descend au lavoir.

– Ah oui ! Ensuite, à la sortie du village, nous marcherons pendant 500 m jusqu’au bord de l’étang.

Lorsque nous verrons la petite cabane, nous pourrons mettre la balise n° 4 à l’intérieur de celle-ci.

Enfin, nous ferons encore 1 km, nous franchirons le pont et nous accrocherons la dernière balise à

une branche du grand chêne. Nous reviendrons alors au point de départ.

TEXTE Transposé 20 – LA MÉTÉO DE L’EUROPE - LA MÉTÉO DE L’EUROPE

Quel temps fera-t-il sur l’Europe demain ?

Le soleil brillera sur l’ensemble de la France, et le thermomètre marquera 33 °C. Une brise légère

rafraichira un peu l’atmosphère.

Sur le Portugal et l’Espagne, la chaleur lourde provoquera des orages. Ils seront localement

violents et les vents souffleront par rafales jusqu’à 90 km par heure. Il fera de 30 à 35 °C.

Sur l’Italie et la Grèce, le soleil sera généreux après la disparition de quelques brumes matinales.

Le tonnerre grondera sur les reliefs. On verra le mercure grimper jusqu’à 39 °C !

Les nuages prendront beaucoup de place dans le ciel d’Angleterre et du Danemark et la pluie

tombera par intermittence ; le thermomètre affichera de 17 à 26 °C.

Enfin, le ciel de la Belgique restera nuageux ; des éclaircies réussiront néanmoins à s’imposer. Les

températures ne dépasseront pas les 23 °C.

TEXTE Transposé 21 – L’AVOCATIER - L’AVOCATIER

Voici quelques conseils à suivre pour faire pousser un avocatier :

D’abord, tu prendras un avocat et tu le couperas en deux parties pour en extraire le noyau.

Tu feras un mélange de terreau et de tourbe.

Tu rempliras un pot avec ce mélange ; tu tasseras légèrement la terre.

Puis tu poseras le noyau dans ce pot en mettant la partie pointue vers le haut.

Tu rajouteras de la terre entre le pot et la graine puis tu la tasseras à nouveau.

Tu arroseras copieusement et tu n’auras pas peur de mettre beaucoup d’eau.

Ensuite, tu placeras le pot dans un endroit obscur. Tu iras l’observer chaque jour.

Tu seras patient(e) et tu observeras un jour que le noyau se fend.

Tu mettras alors la plantation près d’une fenêtre éclairée et tu vaporiseras le feuillage

fréquemment.

Bonne chance !


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TEXTE Transposé 22 – LE RÈGLEMENT DE LA PISCINE - LE RÈGLEMENT DE LA PISCINE

Voici des règles de sécurité à respecter à l’intérieur d’une piscine.

Dans les vestiaires, vous rangerez vos affaires dans un casier, vous le fermerez et vous garderez la

clé avec vous.

Vous prendrez une douche et vous franchirez le pédiluve avant d’entrer dans la piscine.

Vous ne courrez pas sur le bord du bassin.

Vous ne crierez pas.

Vous ne sauterez pas dans le bassin mais vous descendrez doucement.

Vous ne ferez pas pipi dans l’eau !

Dans le bassin ou autour, vous respecterez les autres personnes.

Vous obéirez au surveillant de la piscine et vous le préviendrez en cas de problème.

À la fin de la baignade, vous repasserez par les douches avant de regagner votre casier.


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Période 1 – Pour réviser - TEXTE Transposé – MOI, LE HÉRISSON

TOI, LE HÉRISSON

Tu possèdes un bon odorat. Tu as une ouïe très fine. Tu passes sous les clôtures et tu grimpes sur les

murs. Tu nages aussi. Tu manges des limaces, des petits rongeurs, des fruits. Si un danger se

présente, tu avances plus vite ou tu prends la forme d’une boule.

LUI, LE HÉRISSON

Il possède un bon odorat. Il a une ouïe très fine. Il passe sous les clôtures et il grimpe sur les murs. Il

nage aussi. Il mange des limaces, des petits rongeurs, des fruits. Si un danger se présente, il

avance plus vite ou il prend la forme d’une boule.

NOUS, LES HÉRISSONS

Nous possédons un bon odorat. Nous avons une ouïe très fine. Nous passons sous les clôtures et

nous grimpons sur les murs. Nous nageons aussi. Nous mangeons des limaces, des petits rongeurs,

des fruits. Si un danger se présente, nous avançons plus vite ou nous prenons la forme d’une

boule.

VOUS, LES HÉRISSONS

Vous possédez un bon odorat. Vous avez une ouïe très fine. Vous passez sous les clôtures et vous

grimpez sur les murs. Vous nagez aussi. Vous mangez des limaces, des petits rongeurs, des fruits. Si

un danger se présente, vous avancez plus vite ou vous prenez la forme d’une boule.

EUX, LES HÉRISSONS

Ils possèdent un bon odorat. Ils ont une ouïe très fine. Ils passent sous les clôtures et ils grimpent sur

les murs. Ils nagent aussi. Ils mangent des limaces, des petits rongeurs, des fruits. Si un danger se

présente, ils avancent plus vite ou ils prennent la forme d’une boule.


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Période 2 – Pour réviser - TEXTE Transposé – ESCALADE EN MONTAGNE

ESCALADE EN MONTAGNE

Je suis en vacances. Ce matin, je vais en montagne, je dis au revoir à ma famille et je quitte la

maison. Je veux grimper en toute sécurité, alors je prends mon temps. Toutes les deux heures, j’ai

faim alors je mange. Du sommet, je vois le village et je peux admirer le paysage. Le soir, je reviens

de mon ascension avec de belles images plein la tête.


Tu es en vacances. Ce matin, tu vas en montagne, tu dis au revoir à ta famille et tu quittes la

maison. Tu veux grimper en toute sécurité, alors tu prends ton temps. Toutes les deux heures, tu as

faim alors tu manges. Du sommet, tu vois le village et tu peux admirer le paysage. Le soir, tu

reviens de ton ascension avec de belles images plein la tête.


Nous sommes en vacances. Ce matin, nous allons en montagne, nous disons au revoir à notre

famille et nous quittons la maison. Nous voulons grimper en toute sécurité, alors nous prenons

notre temps. Toutes les deux heures, nous avons faim alors nous mangeons. Du sommet, nous

voyons le village et nous pouvons admirer le paysage. Le soir, nous revenons de notre ascension

avec de belles images plein la tête.


Vous êtes en vacances. Ce matin, vous allez en montagne, vous dites au revoir à votre famille et

vous quittez la maison. Vous voulez grimper en toute sécurité, alors vous prenez votre temps.

Toutes les deux heures, vous avez faim alors vous mangez. Du sommet, vous voyez le village et

vous pouvez admirer le paysage. Le soir, vous revenez de votre ascension avec de belles images

plein la tête.


Pierre et Jean sont en vacances. Ce matin, ils vont en montagne, ils disent au revoir à leur famille

et ils quittent la maison. Ils veulent grimper en toute sécurité, alors ils prennent leur temps. Toutes

les deux heures, ils ont faim alors ils mangent. Du sommet, ils voient le village et ils peuvent admirer

le paysage. Le soir, ils reviennent de leur ascension avec de belles images plein la tête.


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Période 3 – Pour réviser - TEXTE Transposé – LES LAPINS

MOI, LE LAPIN

Un soir d’été, j’ai fait la fête. Je suis allé sur la dune et j’ai dansé au clair de lune. À minuit, j’ai eu

faim et j’ai mangé des fleurs sauvages. Puis j’ai voulu aller dans la forêt. Là, j’ai joué comme un

fou. Au matin, j’ai vu le soleil se lever alors j’ai pris le chemin du retour et je suis revenu à mon

terrier.

TOI, LE LAPIN

Un soir d’été, tu as fait la fête. Tu es allé sur la dune et tu as dansé au clair de lune. À minuit, tu as

eu faim et tu as mangé des fleurs sauvages. Puis tu as voulu aller dans la forêt. Là, tu as joué

comme un fou. Au matin, tu as vu le soleil se lever alors tu as pris le chemin du retour et tu es

revenu à ton terrier.

LE LAPIN

Un soir d’été, il a fait la fête. Il est allé sur la dune et il a dansé au clair de lune. À minuit, il a eu

faim et il a mangé des fleurs sauvages. Puis il a voulu aller dans la forêt. Là, il a joué comme un

fou. Au matin, il a vu le soleil se lever alors il a pris le chemin du retour et il est revenu à son terrier.

NOUS, LES LAPINS

Un soir d’été, nous avons fait la fête. Nous sommes allés sur la dune et nous avons dansé au clair

de lune. À minuit, nous avons eu faim et nous avons mangé des fleurs sauvages. Puis nous avons

voulu aller dans la forêt. Là, nous avons joué comme des fous. Au matin, nous avons vu le soleil se

lever alors nous avons pris le chemin du retour et nous sommes revenus à notre terrier.

VOUS, LES LAPINS

Un soir d’été, vous avez fait la fête. Vous êtes allés sur la dune et vous avez dansé au clair de lune.

À minuit, vous avez eu faim et vous avez mangé des fleurs sauvages. Puis vous avez voulu aller

dans la forêt. Là, vous avez joué comme des fous. Au matin, vous avez vu le soleil se lever alors

vous avez pris le chemin du retour et vous êtes revenus à votre terrier.

LES LAPINS

Un soir d’été, les lapins ont fait la fête. Ils sont allés sur la dune et ils ont dansé au clair de lune. À

minuit, ils ont eu faim et ils ont mangé des fleurs sauvages. Puis ils ont voulu aller dans la forêt. Là,

ils ont joué comme des fous. Au matin, ils ont vu le soleil se lever alors ils ont pris le chemin du

retour et ils sont revenus à leur terrier.


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Période 4 – Pour réviser - TEXTE Transposé - LE VOYAGE À PARIS

LE VOYAGE À PARIS

Autrefois, tous les ans, j’allais à Paris. Je partais trois jours. Je prenais le train et à Paris je me

déplaçais en métro. Le premier jour, je mangeais au pied de la tour Eiffel et je montais ensuite. De

là, je voyais toute la capitale ! Le deuxième jour, je faisais un circuit en bateau sur la Seine. Le

troisième jour, je n’oubliais pas la visite d’un musée et je finissais mon séjour en assistant à un

concert.

LE VOYAGE À PARIS

Autrefois, tous les ans, tu allais à Paris. Tu partais trois jours. Tu prenais le train et à Paris tu te

déplaçais en métro. Le premier jour, tu mangeais au pied de la tour Eiffel et tu montais ensuite.

De là, tu voyais toute la capitale ! Le deuxième jour, tu faisais un circuit en bateau sur la Seine. Le

troisième jour, tu n’oubliais pas la visite d’un musée et tu finissais ton séjour en assistant à un

concert.

LE VOYAGE À PARIS

Autrefois, tous les ans, elle allait à Paris. Elle partait trois jours. Elle prenait le train et à Paris elle se

déplaçait en métro. Le premier jour, elle mangeait au pied de la tour Eiffel et elle montait ensuite.

De là, elle voyait toute la capitale ! Le deuxième jour, elle faisait un circuit en bateau sur la Seine.

Le troisième jour, elle n’oubliait pas la visite d’un musée et elle finissait son séjour en assistant à un

concert.

LE VOYAGE À PARIS

Autrefois, tous les ans, nous allions à Paris. Nous partions trois jours. Nous prenions le train et à Paris

nous nous déplacions en métro. Le premier jour, nous mangions au pied de la tour Eiffel et nous

montions ensuite. De là, nous voyions toute la capitale ! Le deuxième jour, nous faisions un circuit

en bateau sur la Seine. Le troisième jour, nous n’oubliions pas la visite d’un musée et nous finissions

notre séjour en assistant à un concert.

LE VOYAGE À PARIS

Autrefois, tous les ans, vous alliez à Paris. Vous partiez trois jours. Vous preniez le train et à Paris vous

vous déplaciez en métro. Le premier jour, vous mangiez au pied de la tour Eiffel et vous montiez

ensuite. De là, vous voyiez toute la capitale ! Le deuxième jour, vous faisiez un circuit en bateau

sur la Seine. Le troisième jour, vous n’oubliiez pas la visite d’un musée et vous finissiez votre séjour

en assistant à un concert.

LE VOYAGE À PARIS

Autrefois, tous les ans, elles allaient à Paris. Elles partaient trois jours. Elles prenaient le train et à

Paris elles se déplaçaient en métro. Le premier jour, elles mangeaient au pied de la tour Eiffel et

elles montaient ensuite. De là, elles voyaient toute la capitale ! Le deuxième jour, elles faisaient un

circuit en bateau sur la Seine. Le troisième jour, elles n’oubliaient pas la visite d’un musée et elles

finissaient leur séjour en assistant à un concert.


15

Période 5 – Pour réviser - LA RÉALISATION D’UN HERBIER

LA RÉALISATION D’UN HERBIER

Au cours de promenades, je récolterai tiges, feuilles, fleurs et boutons. Je prendrai un canif ou un

sécateur et je saisirai les tiges délicatement pour les couper.

Je ferai sécher la récolte : j’étalerai bien les plantes entre des feuilles de buvard et de journal. Je

poserai dessus un objet très lourd.

Je laisserai sécher pendant trois ou quatre semaines.

Je collerai ensuite les plantes parfaitement sèches. J’utiliserai des feuilles de papier épais.

Le collage terminé, je n’oublierai pas de noter les noms des plantes conservées.


Au cours de promenades, tu récolteras tiges, feuilles, fleurs et boutons. Tu prendras un canif ou un

sécateur et tu saisiras les tiges délicatement pour les couper.

Tu feras sécher la récolte : tu étaleras bien les plantes entre des feuilles de buvard et de journal. Tu

poseras dessus un objet très lourd.

Tu laisseras sécher pendant trois ou quatre semaines.

Tu colleras ensuite les plantes parfaitement sèches. Tu utiliseras des feuilles de papier épais.

Le collage terminé, tu n’oublieras pas de noter les noms des plantes conservées.


Au cours de promenades, on récoltera tiges, feuilles, fleurs et boutons. On prendra un canif ou un

sécateur et on saisira les tiges délicatement pour les couper.

On fera sécher la récolte : on étalera bien les plantes entre des feuilles de buvard et de journal.

On posera dessus un objet très lourd.

On laissera sécher pendant trois ou quatre semaines.

On collera ensuite les plantes parfaitement sèches. On utilisera des feuilles de papier épais.

Le collage terminé, on n’oubliera pas de noter les noms des plantes conservées.


Au cours de promenades, nous récolterons tiges, feuilles, fleurs et boutons. Nous prendrons un

canif ou un sécateur et nous saisirons les tiges délicatement pour les couper.

Nous ferons sécher la récolte : nous étalerons bien les plantes entre des feuilles de buvard et de

journal. Nous poserons dessus un objet très lourd.

Nous laisserons sécher pendant trois ou quatre semaines.

Nous collerons ensuite les plantes parfaitement sèches. Nous utiliserons des feuilles de papier

épais.

Le collage terminé, nous n’oublierons pas de noter les noms des plantes conservées.


Au cours de promenades, vous récolterez tiges, feuilles, fleurs et boutons. Vous prendrez un canif

ou un sécateur et vous saisirez les tiges délicatement pour les couper.

Vous ferez sécher la récolte : vous étalerez bien les plantes entre des feuilles de buvard et de

journal. Vous poserez dessus un objet très lourd.

Vous laisserez sécher pendant trois ou quatre semaines.

Vous collerez ensuite les plantes parfaitement sèches. Vous utiliserez des feuilles de papier épais.

Le collage terminé, vous n’oublierez pas de noter les noms des plantes conservées.


16


Au cours de promenades, elles récolteront tiges, feuilles, fleurs et boutons. Elles prendront un canif

ou un sécateur et elles saisiront les tiges délicatement pour les couper.

Elles feront sécher la récolte : elles étaleront les plantes entre des feuilles de buvard et de journal.

Elles poseront dessus un objet très lourd.

Elles laisseront sécher pendant trois ou quatre semaines.

Elles colleront ensuite les plantes parfaitement sèches. Elles utiliseront des feuilles de papier épais.

Le collage terminé, elles n’oublieront pas de noter les noms des plantes conservées.

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